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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Brisée dans mon âme
Encore ce péché qui pointe le bout de son nez
Encore une nuit blanche
Un air surpris sur mon visage
Je pensais pouvoir combattre
Mais je ne peux voir ce que je ne connais pas
Je dois le refuser.
Ou sont passés mes rêves?
Me serais-je écarté du chemin?
Serais-je partie aussi loin de moi même ?
En quoi ce combat changeras mes rêves ?
Une imagination,
Utopie,
D'une vie qui n'est pas mienne
Facile d'implorer la cause divine
Mais certaines vérité ne sont pas bonne a voir
Pardon de bousculer toute vos idées conventionnelles
Mais tout ce que vous savez est faux.
Asseyez-vous.
Servez nous un verre.
Les coudes posés sur la table
Discutons.
Peut-être qu'au fil de la nuit
Nous y découvrirons l'espoir...
C'est une plaisanterie.
Sommes nous inconscient ?
Certainement.
Demandons nous plutôt
Ou commence la folie.
Cherchons nous a nous détruire ?
Comment ça seulement moi ?
Comment pouvez vous afficher ce sourire ?
Votre assurance me fascine
Votre folie me terrifie
Devrais je vous fuir ?
Ou vous laisser tenter de me prouver
Que vous êtes plus fou que moi ?
Qu'est ce ?
C'est une blague ?
Pensez vous vraiment me sauver avec une chaîne ?
Vous faire confiance ?
Pour me mieux me faire confiance ?
Ses mots sonnent d'une fausseté.
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le vent est glacial autour de ton astre, pourtant,
je sens la chaleur dans tes murmures poussiéreux.
Je te regarde danser sur une mélodie contradictoire,
entre la porte entre ouverte et l'escaliers à monter.
Chaque âme à ses propres épines noires, tes roses ont été coupé à la racine,
tu t'es noyé en tentant de rejoindre tes rêves à l'horizon,
les miennes ne sont que fanés, je n'ai bu que la tasse.
Il est clair que nous ne serons jamais l'autre,
je ne comprendrais certainement jamais ce que tu as traversé
mais je m'abaisserai à toi pour te relever la tête.
Laisse tes larmes nourrir mes roses, je t'aiderai à évacuer toute cette mer
de souffrance, dans cet équilibre parfait des deux, nous maintiendrons la balance
en son milieu, ainsi ne régnera que la plénitude.
Regarde moi
ne fais surtout pas de moi ta cible, tu deviendrais ma proie.
Regarde toi
ta fatigue est telle que tu ne fais pas le poids.
Mes mots sont durs ? peut être.
Alors ne me demande pas de te prouver que tu n'as rien à craindre,
contente toi de cracher tes tripes sur mon épaule.
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Qui est elle ....
Chienne ....Louve ....
Nul ne sait ....et surtout pas elle ....
Chienne lorsque sa présence se fait sentir....
...ressentir ....
Louve ...lorsque enfin il apparaît....
....elle renaît ....
Mais surtout ....
Entre Chienne et Louve .....
Un peu comme cet espace temps ....
Peu avant que la nuit ne tombe ....
Un peu comme ce contre temps ...
Avant qu'il ne nous plombe ...
Qui est elle ....
Chienne ... Louve ....
Chienne à ses côtés .....
Ramassant ses crocs acérés ...
Louve désespérée ....
Désespérée .... de ne pas ....
.... de ne plus ....
Savoir contrôler ses pulsions ....
...ses impulsions ...
Chienne contrôlée ....
...domptée....
Louve insaisissable ....
...incontrôlable ....
Entre Chienne et Louve ....
En tous temps ...
Tout instant ....
Chienne dont l échine peut se courber ....
...plier ...
Louve dont la gueule se fait mordante ....
...puissante ....
L'une domptée....
L'autre .... tentée d'apprivoiser ....
Entre Chienne ..... et Louve ...
Sylvie L.
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la soumise dessin sado maso sur mesure et commandé pour illustré un texte sur un blog érotique isa les mains attachées doit faire jouir dans sa bouche le plus d’homme possible en un temps très court sinon elle subira les tortures les plus hard elle s’applique suce goulûment lèche enfonce le membre tout entier au plus profond de sa gorge fait des va et vient de plus en plus rapide exerce une pression forte avec sa bouche ses lèvres et sa langue tout en poussant des gémissements de plaisir pour exciter le plus possible l’homme qui voit cette soumise attaché et nu s’acharner savamment sur son sexe isa fait tout pour que le sexe éjacule au plus vite dans sa bouche pour une fois remplis et débordant de sperm elle puisse aussitôt sucer sans reprendre son souffle une autre bite avec la même vigueur isa a vu les installations de torture qui on été préparés pour elle , on lui a expliqué en détail ce qu’elle subira suite à son échec et notamment ce gros pal dresse d’un mètre cinquante de haut huit de large qui l’attend et sur lequel on a bien l’intention de l’empaler par son cul . une fois sur ce pieux ou elle ne pourra absolument pas bouger de peur de voir le pal s’enfoncer d’avantage pour subir d’autres sévices . c’est pour dire à quel point elle est motivée pour sucée de nombreuses queues elle y arrivera et aura sucer trente hommes en une heure fatiguée et son corps luisant de sueur et de sperm qui aura coulé de sa bouche à ses seins pour atteindre son sexe pour voir et savoir plus sur mes dessins érotiques http://dessindenu.onlc.fr/
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A) Les oxymores :
Commençons par le CM2, vous connaissez tous :
« monter en bas » (et que j’en entende pas un dire ‘oui mais avec mes bas résilles… je peux aller à l’étage’ ^_^ … si si je les entends les pestouilles :p )
Reprenons : monter en bas.
SOIT on monte,
SOIT on va en bas !
Cet oxymore est facile à « démonter ».
Je vous en propose de notre vie courante :
-« Guerre humanitaire »
Qui pourrait « démonter » cet oxymore ?
-« égalité des chances »
Qui pourrait « démonter » cet oxymore ?
Je vous propose aussi "mariage pour tous" en démonstration.
L.
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Blond et lisse, de bois façonné, jusqu'au détail du gland qui fait comme un renflement en son extrémité... son gabarit effraie autant qu'il attire l'oeil luisant, la bouche salivante. Sera-t-il plutôt une punition ou une récompense? Apportera-t-il plutôt du plaisir ou de la douleur ? L'eau à la bouche, le regard plein de convoitise, je l'ai entrevu une fois et depuis, il revient cerner mes pensées de temps en temps. Comme une obsession en demi teintes, un rêve éveillé, un fantasme long et dur, glissant dans un orifice comme un puits sans fonds. Le toucher des doigts, appliquer ma langue sur ce membre sculpté, prier cette divinité à genou, cuisses ouvertes, sexe béant, anus palpitant devant cet objet tendu qui appuiera un jour sur cette entrée ourlée, lisse, veloutée pour l'accueillir avec un suave soupir au fond de mon ventre. Distendue, écartelée devant ce sexe d'apparat, ce sexe de substitution, ce sexe indicible...
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Bleue, la mer qui se tait quand le vent ravage ma peau
Bleu, l'horizon de mes rêves zébrés de sang et d'or
Bleu, l'air glacé que réchauffe l'étincelle des corps
Bleue, la cravache et la main dans le même tempo
Bleus, les éclairs argentés qui lacèrent mes fesses
Bleue, la douleur fulgurante qui ravive la flamme
Bleue, ta pupille troublée qui me traverse l'âme
Bleus, tes yeux-fleuves dans les miens, comme une douce ivresse
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Il m'envahit, me submerge de ses mains voraces sur moi, parcourant, saisissant, caressant, emprisonnant, pinçant. Ses doigts semblent démultipliés, avides, curieux explorant chaque parcelle de mon corps.
Sa bouche-ventouse plaquée sur ma chair, gonflée sur mon cou, happant mes épaules et aspirant chaque millimètre de peau jusqu'à la pointe dressée de mon sein, sous sa langue dardant et ses dents mordillant. Il me retourne et plaque son corps contre mon dos, pesant, humide, collé à mon dos, son sexe dardant sur mes fesses, ses genoux forçant l'ouverture de mes cuisses, me livrant à son désir chaud et durci, butant sur mon cul, mes mains immobilisées dans le dos, emprisonnées dans sa poigne puissante, abandonnées à sa force, écrasée sous son poids. Affalée, pantelante, soumise à sa volonté et à ses membres démultipliés qui prennent possession de moi, entièrement à sa merci. Je sens sourdre et couler son désir, contre mon anus, ses doigts happés par ma chatte moite et brûlante, gluante. Cet homme tentaculaire qui pénètre mon esprit et mon corps, dont les membres me parcourent, m'envahissent, me submergent.
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Les deux jolis mamelons aux larges auréoles framboise jaillissant hors de leur prison firent sourire Ambre qui entrepris ensuite de réclamer à sa propriétaire de petits mouvements de la tête, des mains et des jambes.
Totalement rassurée par cet examen rapide, elle dit à voix haute qu'il n'y avait plus là matière à inquiétude et qu'après une bonne nuit de sommeil tout serait oublié, mises à part quelques ecchymoses et courbatures. Et elle proposa même à la jeune femme, en tournant les talons, de les soulager dans les jours à venir par quelques uns de ses massages magiques.
Un peu plus loin dans le fossé, un grand panier d'osier laissait dépasser la tête d'un jard splendide. Mais le volatile ne bougeait plus et sa tête faisait un angle bien étrange avec le reste de son corps. Il n'avait pas eu la même chance que sa maîtresse!
Un peu troublée par ce joli corps féminin entraperçu, et fatiguée aussi par sa journée de travail, Ambre installa dans sa cour un grand baquet d'eau fraîche et n'eut pas la patience d'attendre longtemps qu'elle réchauffe au soleil pour se mettre nue et y plonger toute entière.
Une lourde chaine entre les jambes
Ses ablutions furent vite expédiées et elle s'allongea bientôt avec délice sur sa confortable fourrure de massage devant l'âtre où crépitait un feu vif, avide d'un sommeil réparateur et pressée aussi de retrouver en songe les bras puissants de son forgeron préféré.
Mais à l'instant même où il se décidait enfin à l'entreprendre en la prenant aux hanches pour une pénétration qui s'annonçait bien vigoureuse, il lui sembla vaguement qu'on toquait à la porte. Un moment, elle crut avoir mal entendu, mais le heurtoir reprit du service et elle se leva en maugréant.
Passant une pelisse de renard sur ses épaules nues, elle entrouvrit prudemment la porte. Là, se tenait un homme, manifestement confus de la réveiller à cette heure tardive. Vêtu d'une longue cape de laine et portant bâton de marche, il dissimulait sous un chapeau de feutre un visage marqué par la fatigue.
Totalement immobile mais nullement menaçant, il semblait attendre qu'elle décide pour lui. Accepterait-elle de l'héberger pour la nuit ou bien le repousserait elle dans la solitude du soir! En fait, il s'en remettait totalement à son esprit de décision et aussi à sa bonne étoile.
Elle sourit intérieurement à cette vue et se dit que décidément ses amies les étoiles avaient bon goût et lui envoyaient justement l'aide qu'elle espérait.
Sans mot dire, elle s'effaça pour le laisser entrer et le fit asseoir. Remarquant au passage de discrets cliquetis métalliques, elle ne fit aucune remarque et lui proposa un morceau de fromage, un quignon de pain et un gobelet de vin rouge.
Le regardant attentivement pendant qu'il mastiquait avec lenteur ce dîner bienvenu, elle remarqua qu'il gardait sa grande cape ostensiblement fermée, malgré la chaleur régnant dans la pièce. Instinctivement, son tempérament de maîtresse femme lui commanda d'en savoir plus.
S'approchant de lui, elle écarta doucement les pans de laine et découvrit un homme arborant une tenue paysanne, mais partiellement nu, une lourde chaîne pendant entre ses jambes. A ses poignets, des marques profondes témoignaient clairement d'une mise aux fers sévère et prolongée.
Poursuivant avec calme ses investigations, Ambre s'agenouilla devant son visiteur du soir et examina avec attention la chaîne qui lui battait les chevilles. Le dernier maillon était difforme, tordu, manifestement cassé par des efforts musculaires frénétiques et répétés. L'autre extrémité avait été forgée de façon à venir enserrer les testicules du prisonnier.
Elle frissonna en imaginant le terrible coup de marteau qui avait aplati la pièce métallique pour la maintenir définitivement en place, sans toutefois causer le moindre dommage aux parties génitales du prisonnier. Manifestement il y avait là un vrai savoir faire de la part d'un bourreau très habile!
En ces temps reculés, les châtiments pratiqués par les celtes étaient laissés à la discrétion des offensés et pouvaient s'avérer d'une rare cruauté, à l'égal des terribles pratiques chinoises. En outre, le lien entre faute et châtiment était souvent direct et l'on était souvent puni par où on avait pêché.
Quelques siècles plus tard, la promulgation de la première version de la loi salique (IVe ap JC) imposera une modification de ces pratiques en portant dans la sphère publique la prononciation des peines par un représentant du roi. Et cela sur la base d'un inventaire précis de tous les dommages pouvant être causé (meurtre, mutilation, vol…). Exit donc les fantaisies terrifiantes de certains notables locaux et toutes ces règles particulières établies par chaque conseil d'anciens.
Mais pour l'heure, c'est encore Elcmar, seigneur de Rohan et époux de la sublime Dana, qui prononce chaque jeudi (jour de la semaine destiné à traiter les affaires juridiques chez les celtes) les sentences à venir.
Obscure et sombre couleur prune
Petit et malingre, cet homme méchant au visage ingrat et à la voix de fausset s'est rapidement fait connaître dans toute la contrée pour la férocité implacable de ses jugements.
Avec lui, le bourreau ne chôme pas, faisant même preuve d'une grande inventivité dans les supplices pratiqués, suivant en cela, disent les mauvaises langues, les conseils avisés et un tantinet sadiques de la belle Dana.
Et Ambre de reconnaître la signature de celle-ci dans cette façon récente et tout à fait particulière d'enchaîner les condamnés de sexe masculin. Elle sait aussi les attirances anales de la redoutable Dame et n'a guère de doute sur ce qu'a pu subir son visiteur du soir, côté pile.
Prévenante, c'est après avoir plongé la main dans le petit pot d'onguent opiacé disposé près de la cheminée, qu'elle va tenter d'apaiser le feu qui lui dévore l'anus, malmené très récemment en prévision probable d'une exécution par empalement.
Ignorant la composition exacte de la médecine qu'elle se procure en forêt chez une vieille rebouteuse, elle l'applique cependant avec conviction et douceur, en connaissant l'efficacité rapide, et aussi certains de ses effets secondaires tout à fait intéressants quand on aime les plaisirs de la chair.
C'est bien connu, l'intimité d'une femme, c'est l'origine du monde. Celle d'un homme, c'est au contraire une porte fermée, tendre et délicate, mais d'une obscure et sombre couleur prune, à laquelle la plupart des civilisations n'ont accordé qu'un rôle strictement fonctionnel.
Ambre sait pourtant qu'il en est tout autrement, et qu'avec un sésame approprié on peut s'y glisser toute entière, ou presque. Elle aime sentir cette chair palpitante, qui s'échauffe encore davantage lorsqu'elle saisit brusquement l'un ou l'autre des tétons disponibles du mâle qu'elle soumet.
Lorsqu'elle mène ainsi bataille, arrachant victoires sur victoires au point d'y mettre la main entière, elle sent aussi monter du côté de son ventre à elle de fortes envies de visite. Elle résiste tant qu'elle peut, poursuivant parfois son avantage jusqu'à doter son entrejambe d'un gigantesque fac similé.
L'esthétique de l'ustensile lui déplaît souverainement mais la sensation quand elle pénètre l'homme n'est pas du tout déplaisante. Le retournement de situation est complet et c'est avec grand plaisir qu'elle laboure avec vigueur le sillon masculin, attentive aux gémissements de contentement qui lui parviennent bientôt aux oreilles.
Toute à ses pensées frivoles, elle frissonne soudain et réalise que le feu dans la cheminée a bien baissé.
Allongeant le bras vers le haut du bahut, elle en ramène un collier de cuir, des bracelets munis d'un gros anneau ainsi qu'une laisse de corde tressée.
- « je ne veux rien savoir de ton passé» dit elle «ni d'où tu viens ni pourquoi tu portes cette chaine».
- «je te propose de demeurer ici aussi longtemps que tu voudras, tu y seras à l'abri de ceux qui te poursuivent. Mais tu seras aussi mon esclave. Tu garderas tout au long du jour et de la nuit ce collier et ces bracelets. Et dorénavant c'est moi qui déciderait ce qui est bon pour toi, dans quelque domaine que ce soit.» ajouta t'elle en secouant légèrement la chaine.
Hésitant un court instant, il tendit finalement le cou, puis les chevilles et les poignets, auxquels elle fixa solidement le cuir. A l'anneau du collier, elle accrocha la laisse, puis décida que c'était l'heure de dormir et le guida jusqu'à l'étage.
FIN
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Sombre nuit qu'éclaire la lueur fugace et fébrile des bougies... C'est la nuit du Solstice, le bienveillant retour du soleil qui réchauffe nos corps et nos âmes. C'est la nuit d'un rêve éveillé, un rêve de cordes et de bambou, de fer et de cuir ; d'odeurs mêlées de cire et de stupre, de fragrances animales, musquées et aigres, de gouttelettes de sueur et de stries de salive, coulant sur la peau ; d'images révulsées et de mots tapageurs, cinglants comme le fouet, saisissant comme la paume d'une main ; de regards inquisiteurs qui déshabillent et qui caressent, qui lèchent et qui sucent, des orbites creuses, dégoulinantes de désir humide, avide, athropophage ; de morsures et de griffures, d'empreintes sur la peau diaphane d'un oiseau nocturne, un rapace qui se repaît de ma chair. Dissoute et digérée pour renaître à la vie, renaître au soleil, sereine, épanouie, apaisée. Rêve d'une nuit de Solstice...
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ne ambiance, une lumière tamisée par les bougies au sol...une constellation... mon peignoir tombe... je m'avance au centre.... je suis nue... telle une nymphe...je m'agenouille... je me prosterne... moment de calme...de séreinité... d'appaisement... je te sais bien veillant... une bougie dans ta main...la cire qui coule... tombe sur mon dos...se fige...premier contact... impression, sensation...
Je me retourne... fais couler l'huile d'une bougie de massage... douce chaleur au creux de mes seins... qui coule sur mon ventre... mon corps devient luisant... je t'offre mes seins... tu me tends un glacon, que je caresse sur la pointe qui s'érige.... la bougie....première goûte... chaud froid.. je mords ma lèvre...et ferme les yeux... la cire se fige..
http://pin.it/gHLp9V3
http://pin.it/h1TmVkY
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J'ai eu un rêve. Créer un centre d'entrainement de Ponygirl. Il pourrait être constitué d'une grande ferme isolée dans le Sud-Ouest de la France. Il possèderai un grand manège, et le terrain serait assez grand pour réaliser un peu de training à l'extérieur. Il pourrait aussi servir pour éduquer ces belles juments sur différents thèmes et servirai de ruche à idées et d'échanges.
Il pourrait être loué à plusieurs, dans le respect mutuel et l'équilibre relationnel.
Voilà un rêve de ce vieux Gabriel, il en a bien d'autres, mais pour l'instant, c'est celui qui le hante......
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