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Par : le 06/04/16
4 ème rencontre de Sabine. "Mon Maître me Manque" Alors. ....! Le manque parlons-en.... J'ai beau parler à Mon Maître au téléphone plusieurs fois par jour, je ressens parfois le besoin de retrouver la caresse de ses mains sur mon corps, son souffle sur ma peau ou simplement cette lueur au fond de ses yeux... Je veux retrouver le plaisir de poser ma tête sur ses genoux pour retrouver la caresse de sa main dans mes cheveux... Ne résistant pas à ce besoin, j'ai pris une journée de congés en milieu de semaine afin de pouvoir passer la soirée de mercredi et la journée de jeudi avec Mon Maître. Mon Maître vient me chercher en voiture et c'est le coeur léger que nous prenons la route vers la maison. Pendant le trajet, mon Maître s'amuse à pincer mes tétons pour les faire durcir et pointer sous ses doigts. Il me fait écarter les jambes et vient glisser ses doigts dans l'antre de ma féminité pour vérifier mon taux d'humidité.... Service. .."" Camions ""..! Tout en guettant l'apparition d'éventuels camions. Ah oui, j'ai oublié de vous dire que Mon Maître a une adoration pour les camions. Je m'explique : lorsque nous sommes sur la route tous les deux, il est toujours aux anges lorsqu'il voit un camion, il s'amuse à ralentir pour être au même niveau qu'eux et ainsi leur offrir sa p'tite femelle, chemisier grand ouvert sur ses seins nus et jambes bien écartées pour qu'ils puissent profiter du spectacle.... Ce qui nous vaut inévitablement un p'tit coup d'klaxon ou un appel de phares en guise de remerciement ;) Arrivée à la maison chez Mon Maître Tout au plaisir de se retrouver, nous dînons ensemble et la soirée s'écoule en mode câlin pour mon plus grand bonheur alors que je retrouve le plaisir de pouvoir m'occuper de lui. Lorsque nous montons nous coucher, Mon Maître m'attire vers lui, il ne sait que trop bien le plaisir que j'ai à m'endormir ainsi plaquée tout contre lui. Avant de dormir. ..auprès de mon Maître Mais de dormir, il n'est point question puisque déjà il glisse sa main entre mes cuisses et je peux entendre son sourire dans sa voix lorsqu'il me dit "tu es toute trempée ma femelle", ses doigts aventureux s'introduisent profondément en moi, ils vont et viennent au fond de mon vagin. Je sens deux, trois puis quatre doigts qui m'écartèlent littéralement et provoquent les nombreux tremblements de mon corps. Petite saillie Remontant mes jambes sur ses épaules, son membre gonflé remplace ses doigts en moi. De son pouce Mon Maître continue à titiller mon p'tit bouton qui se gorge et sort de sa cachette alors que je sens son gland cogner au fond de mon vagin.... Il ressort de là en se disant qu'il aimerait bien faire une incursion par ma p'tite porte arrière, il me demande de me mettre à quatre pattes mais mon anneau sacré est, comme moi, du genre un peu rebelle, qu'importe qu'il est d'ores et déjà eu l'occasion d'être présenté à Mon Maître, il a décidé que ce n'était pas toujours entrée libre, encore faut-il qu'il soit d'humeur..... Qu'à cela ne tienne, le membre de Mon Maître retrouve sa place au fond de mon vagin, mes muscles se resserrent autour de son membre que je sens grossir en moi, je ne peux retenir mes gémissements à mesure que sa queue s'enfonce plus profondément en moi alors que ses doigts saisissent mes cheveux avec force, j'adoooore lorsque mon Maître laisse libre cours à son instinct animal et qu'il rugit de plaisir en libérant sa semence au fond de moi... Le réveil du Maître Il fait encore nuit noire pourtant je sens que mon Maître bouge légèrement derrière moi. Sans avoir besoin de regarder ma montre, je sais qu'il doit être près de 5h du matin. C'est Son heure !! Celle à laquelle il émerge des bras de Morphée, le membre fièrement dressé et l'âme conquérante.... Instinctivement, je me love encore plus près de lui. D'une main il vient tâter ma p'tite chatte qu'il découvre trempée, sait il alors que j'ai passé la nuit à rêver de ses assauts. Il me voit lascive et soumise, offerte et frissonnante ! Ses mains parcourent mes fesses rondes et fermes en caresses tendres et sensuelles, sous l’excitation ma peau est parcourue de frissons, instinctivement je me raidis, Mon Maître dépose alors une pluie de bisous sur mon épaule et dans mon cou en me murmurant à mon oreille "laisse toi faire ma femelle, je veux te prendre ce matin, tu m'appartiens alors laisse toi aller ma douce". Préparation de l'anneau sacré par mon Maitre Son excitation est à son comble, je me mets donc à quatre pattes, je me cambre un peu plus alors que je sens son pouce glisser entre mes fesses déjà humides, je sens mon désir monter, je mouille de plus en plus et mon sexe s’inonde de mon jus, jouant avec mon petit anneau il glisse son deuxième pouce dans ma p'tite chatte avant de l'introduire aux côtés de son jumeau. Je me cambre alors davantage et relève ma croupe… Il continue à faire glisser ses doigts dans mon anneau sacré... je gémis de plus belle, je dégoulines de plaisir. Je sens que Mon Maître a fait entrer entièrement ses deux pouces et qu'il me travaille de plus belle et je m'en régale....déjà je me détends et de mes mains j'écarte encore plus mes fesses lascives pour qu'il dilate encore plus mon p'tit anneau offert.... Prise de possession de mon anneau sacré par mon Maître N' y tenant plus et succombant à son excitation, il prend son membre en mains et me pénètre doucement mais franchement. Je sens que mon oeillet s'ouvre littéralement sous ses coups de butoir. Je l'entends râler dans mon dos et je frémis de plaisir lorsque me saisissant par les épaules il s'enfonce profondément…. Entre deux grognements de plaisir, alors que je sens les vagues du plaisir gronder et monter en moi tel un raz de marée, je l'entends me dire "tu es à moi, tu m'appartiens totalement à présent" et cette simple phrase suffit à faire sauter le barrage par lequel je contenais mon propre plaisir. La respiration de mon Maître s'apaise doucement alors que je sens son membre glisser lentement hors de moi. Taquin mon Maître me prend ensuite dans ses bras en me murmurant à l'oreille "tu vois, ce petit anus qui était rebelle est maintenant dompté.". Le petit déjeuner. Un peu plus tard, nous descendons au salon où, après m'être prosternée devant mon Maître, nous prenons ensemble notre petit déjeuner tout en discutant avant d'aller travailler tous les deux dans son bureau. Moi qui suis tellement sérieuse dans mes fonctions professionnelles, j'avoue qu'au début, j'ai eu un peu de mal à travailler dans cette tenue. J'ai bien envisagé d'aller enfiler quelque chose au-dessus de ma robe corset, mais au regard de mon Maître lorsqu'il me dit "tu voudrais me priver du privilège de pouvoir admirer tes beaux seins ?", j'ai bien compris que c'était hors de question.... C'est donc dans cet nouvel uniforme que je reprends mes tâches administratives.... Préparation à la venue de Mr le Vicomte de Roisac Un peu avant midi, c'est ensemble que nous préparons le déjeuner et c'est à ce moment là que mon Maître m'annonce que son ami, M. le Vicomte, va venir nous rendre visite. Etant assez sociable de nature, sur le moment je n'y vois aucun problème, mais lorsque mon Maître m'annonce qu'il me faudra me prosterner pour accueillir son ami et l'honorer, là j'avoue que j'ai été prise de panique. Ceci me semble très naturel avec mon Maître car au fil des jours, il a su m'apprivoiser et, aujourd'hui, c'est même avec plaisir que je le fais dès que nous arrivons à la maison et chaque matin, mais là... il faudrait que je me présente ainsi devant un parfait inconnu, il faudrait que je le laisse palper mon intimité et que je le prenne en bouche, c'est juste IMPOSSIBLE pour moi !! Je sens mon pouls s'accélérer et je n'arrive pas à contrôler mon appréhension, j'ai beau vouloir tout faire pour satisfaire mon Maître, là je sais que je n'y arriverai pas... Toujours aussi attentionné, mon Maître prend le temps de me rassurer, il me dit à quel point il est fier de moi et des progrès que j'ai pu faire en 3 semaines, il me rappelle qu'il est là pour me protéger et que RIEN ne sera fait sans mon accord, il me réexplique qu'à tout moment je peux utiliser les mots d'alerte. Avec ses mots, avec ses mains d'une tendresse inouïe, il parvient à m'apaiser, me précisant qu'il a tout à fait conscience du fait que tout ceci est nouveau pour moi, il me rappelle que j'ai déjà bien avancé, il m'explique que j'aurai juste à être en position pour accueillir son invité car il veut présenter sa nouvelle soumise à son ami, il me prend dans ses bras et me rassure en m'assurant que quoiqu'il arrive il ne sera pas déçu de moi.... L'arrivée de Mr Le Vicomte de Roisac C'est donc un peu plus sereine que je m'installe auprès de mon Maître pour déjeuner. D'ailleurs nous sommes encore à table lorsque la sonnette de la porte d'entrée retentit. Oh purée.... nouveau vent de panique..... Mon Maître le ressent et il me prend par la main pour m'amener jusqu'au tapis tout en me rappelant LA règle de base "tout est possible, rien est obligatoire, ne l'oublie pas ma puce". Prosternée sur le tapis, j'attends.... Dieu que cette attente est stressante.... j'entends la voix de mon maître dans le couloir alors qu'il accueille son ami.... j'entends leurs pas lorsqu'ils pénètrent dans le salon, mais j'entends surtout les battements de mon coeur qui résonnent tellement fort à mes oreilles que je ne parviens même pas à écouter ce qu'ils disent. Le visage "caché" entre mes bras, j'essaye de faire le vide dans ma tête mais je ne peux retenir les frissons qui m'assaillent alors que je sens une main effleurant mes lèvres, oui.. oui... celles-ci...., j'ai envie de resserrer mes cuisses mais je ne le fais pas car je sais que mon Maître aime me voir ainsi ouverte et disponible. Je peux enfin respirer lorsque je sens les mains de mon Maître caresser mes cheveux avant de me dire de me relever. Les yeux baissés, je ressens encore le besoin de me blottir tout contre lui. Il doit ressentir mon stress car immédiatement il m'entoure de son bras protecteur en me présentant son ami. On fait connaissance avec Mr le Vicomte et Parrain. Après leur avoir servi un p'tit café, je m'empresse d'aller reprendre ma place aux pieds de mon Maître, je peux vous assurer qu'à ce moment là, c'est bien le seul endroit où je me sens vraiment en sécurité.... Mais très vite, mon Maître me demande de venir m'asseoir entre eux deux sur le canapé. Hésitante, je me dis que je serai aussi bien assise à sa gauche, à l'extrémité du canapé, mais vu son regard je comprends que je n'ai pas vraiment le choix. Partage de mon corps avec Mr le Vicomte et Mon Maître Mon Maître caresse ma poitrine en invitant M. le Vicomte à en faire autant. Mon Maître sent que je suis hyper tendue alors que les mains extrêmement douces de son ami se posent sur mes seins, alors il m'embrasse tendrement en m'encourageant afin que je me détende, que je me laisse aller et que je profite pleinement du moment présent.... M. le Vicomte continue à masser mes seins, il se penche au-dessus de moi et je frémis de plaisir lorsque je sens sa bouche se refermer autour de mon téton qui se dresse et durcit sous les caresses de sa langue. Je n'ai plus vraiment la notion du temps et je me sens de plus en plus humide alors que mon Maître laisse sa main gauche se perdre entre mes cuisses qu'il écarte encore davantage.... Plaisir....Plaisir. .....Oh. ......Plaisir...! Je dois avouer que je finis par me détendre complètement et je savoure cet instant, jusqu'au moment où, subitement, la sonnette raisonne à nouveau !! C'est pas possible... là je crains le pire.... d'autant que mon Maître n'est que partiellement surpris, ce qui ne me rassure pas d'ailleurs. Il se lève en me souriant et en me demandant de ne pas stresser.... C'est bien plus facile à dire qu'à faire, je ne peux plus retenir le tremblement de mes mains, j'ai l'impression d'être paralysée sur place....Je ne vais jamais tenir..... M. le Vicomte, toujours aussi adorable, me dit de ne me pas m'inquiéter outre mesure alors que j'entends mon Maître parler avec un inconnu dans le couloir, il revient juste une minute dans le salon pour me dire "vite, vas te prosterner ma puce, c'est Parrain !!" L'arrivée de Parrain Mitre JLF. Tenue de rigueur jupe corset seins libre orifices accessibles. Mais bien sûr.... comme si c'était facile.... il faut savoir que, s'il est vrai que mon Maître m'a souvent parlé de lui, je n'ai encore JAMAIS vu celui qui deviendra mon Parrain. Ce n'est donc pas étonnant si j'ai la gorge sèche à nouveau et cette terrible impression d'avoir des sueurs froides.... J'ai juste envie de rentrer sous terre ou d'aller me réfugier au 1er étage.... Mon Maître doit le ressentir puisqu'il m'embrasse tendrement tout en glissant sa main dans mon cou en me murmurant "tout va bien ma puce". Aussi bizarre que cela puisse paraître, ces simples mots suffisent à m'encourager, j'ai une telle confiance en lui, alors, même si je tremble encore à l'idée de me présenter ainsi, aussi courte vêtue et exhibant ainsi mes seins devant cet homme que je ne connais pas, je vais me prosterner sur le tapis comme me l'a demandé mon Maître..... J'entends Parrain et mon Maître entrer dans la pièce, je sens que Parrain tourne autour de moi alors que mon Maître lui dit "voici Sabine, ma nouvelle petite soumise...", je sens la main de Parrain qui caresse mes fesses avant de laisser glisser ses doigts à l'entrée de ma p'tite chatte où il peut facilement mesurer l'état d'excitation qui est le mien à cet instant.... Mon Maître m'aide ensuite à me relever afin que je puisse enfin voir mon "futur" Parrain.... Abandon. . Partage. .tout en douceur et respectueux. Après avoir servi à boire à mon Maître ainsi qu'à ses deux amis, je reprends ma place sur le canapé auprès de mon Maître. Je n'en mène vraiment pas large alors je préfère garder le silence et les écouter parler entre eux. Toutefois, Parrain semble vouloir me faire parler, il aborde alors un sujet sur lequel nous nous rejoignons très vite puisque, sans le savoir, nous partageons une même passion. Mon Maître doit sentir que j'ai encore un peu de mal à me détendre complètement, aussi il me garde à l'abri dans ses bras, puis d'une main il me fait écarter les jambes alors que de l'autre main il caresse mes seins tout en invitant ses deux amis à s'approcher pour découvrir sa femelle de plus près.... Parrain s'approche et vient embrasser et lécher mes seins pendant que M. le Vicomte s'installe entre mes cuisses, ses doigts écartent mes lèvres avant de lécher et sucer mon clito, il l'aspire littéralement..... Oh bien sûr j'aurai pu tout arrêter d'un seul mot, mais après avoir fait le vide dans ma tête, je dois bien reconnaître qu'il m'était très agréable de sentir les vagues de plaisir monter progressivement en moi, j'ai adoré sentir toutes ces mains parcourant mon corps. Du regard, je recherche instinctivement Mon Maître qui est là, bien présent... Sentant mon besoin de l'avoir à mes cotés, il revient près de moi et prend mon téton droit en bouche tout en me murmurant à l'oreille à quel point il est fier de me voir me laisser aller ainsi.... Premier FISTAGE Un peu plus tard, alors que Parrain prend la place de M. le Vicomte entre mes jambes, celui-ci revient s’asseoir près de moi sur le canapé, ses mains douces s'attardent sur mes seins qu'il malaxe et pétrit à pleines mains pendant que Parrain vient titiller mon p'tit bouton du bout des doigts. Il glisse un, deux, puis trois doigts dans ma p'tite chatte, je ne peux plus retenir les gémissements que ses caresses provoquent au plus profond de moi. Dans un demi brouillard, j'entends mon Maître lui dire "hier soir je lui ai quasiment mis quatre doigts, tu peux y aller....", manifestement ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd...., tout en maintenant mes jambes largement écartées, Parrain continue à introduire ses doigts toujours plus profondément en moi, ses doigts s'activent de plus en plus vite au fond de mon vagin, suivant les conseils de mon Maître j'ai laissé mon corps succomber devant ce tsunami de sensations que les doigts de Parrain provoquaient en moi, lâchant totalement prise face à la lame du plaisir que je sentais monter en moi, je m'accroche avec force à la main rassurante de mon Maître comme s'il s'agissait d'une bouée de sauvetage... je ne découvre que plus tard, qu'en fait il s'agissait de la main de M. le Vicomte...... Littéralement confuse de m'être ainsi trompée, je recherche mon Maître des yeux pour m'excuser de cette erreur, mais loin d'être contrarié, son sourire et ses yeux brillants me disent toute la fierté qu'il ressent à ce moment précis. Il se penche au-dessus de moi et m'embrasse passionnément tout en me tenant par les cheveux pendant que Parrain continue à fouiller fougueusement le coeur de ma féminité, suivant alors mon instinct, ma main caresse langoureusement la queue de M. le Vicomte à travers son pantalon. Se sentant à l'étroit, celui-ci ouvre son pantalon et je ne résiste pas au plaisir d'y glisser ma main afin de pouvoir caresser son membre que je sentais gonflé et dur sous mes doigts. Croisant le regard de mon Maître, je lui demande du regard de s'approcher de moi afin de lui demander la permission d'honorer M. le Vicomte. ."Mon Maître vous me permettez que l'honore Mr le Vicomte ""..?, ce qu'il accepte immédiatement en m'embrassant tendrement. Je me pose aucune question je fait..je vois les yeux pétillants de Mon Maître. J'honore Mr le Vicomte. Je me suis alors agenouillée devant M. le Vicomte, sortant complètement son membre de son pantalon, puis j'ai refermé mes lèvres sur la chaire sensible de son gland avec gourmandise. Mes lèvres vont et viennent le long de sa queue, le sentant grossir encore sous les caresses de ma langue. Tout en caressant ses bourses pleines, ma langue joue autour de son gland avant de le reprendre jusqu'au fond de ma gorge alors que sa main dans mes cheveux me fait littéralement décoller. Les yeux fermés, je continue tout en savourant les gémissements de M. le Vicomte qui semble apprécier ce moment plein de sensualité. C'est fou ce qu'un geste aussi simple peut provoquait chez lui. Les paupières mi-closes, M. le Vicomte poussait des grognements de plaisir. Je dois avouer que j'ai eu plaisir à donner du plaisir découverte pour moi surtout à un autre homme que mon Maître Trois mâle pour moi seule... Dans le même temps, Parrain qui est assis juste derrière moi, continue à me branler vigoureusement, puis ressortant ses doigts trempés de ma p'tite chatte, il profite de ma position pour glisser ses doigts dans mon anneau sacré. Très vite, ce n'est plus un mais deux, puis trois doigts qui se mettent à aller et venir en moi, je sens le plaisir monter crescendo à mesure que Parrain travaille mon anus et je me mets à trembler de la tête aux pieds. Je me sens emportée par cette vague de plaisir à tel point que j'en oublie la queue de M. le Vicomte qui, compréhensif, profite de ce temps de répit pour caresser tendrement mes cheveux alors que je suis toute concentrée sur le plaisir offert par les doigts de Parrain qui, de sa deuxième main continue à branler ma p'tit chatte dégoulinante de mouille. Mon Maître s'approche alors de moi pour glisser son doigt dans ma bouche alors que les doigts de Parrain vont et viennent dans mes deux orifices.... Je jouie ou ai eu les "prémices d'un orgasme". Soudain je sens des étincelles de plaisir parcourant mon échine avant d'aller se lover dans mon ventre. Cette sensation de me sentir remplie de toutes parts, me laisse littéralement pantoise, j'ai l'impression d'être sur un p'tit nuage, à tel point que l'espace d'un instant, je ne sais plus d'où monte ma jouissance.......................... J'étais encore perdue dans les nimbes du plaisir lorsque j'ai senti les doux baisers de Mon Maître sur mon dos et sur mes épaules, alors qu'il me murmurait Réponse du Maître. "Merci ma Femelle, je suis tellement fier de toi, tu as été bien au-delà de ce que j'imaginais ma Douce, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir que cela.........."
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Par : le 05/04/16
Erreur fatale, faute caractérisée, désobéissance manifeste, la gynarchie, même vécue de façon temporaire, ne tolère aucun laissez aller. France réagit immédiatement en me stoppant net dans mon élan: -tout doux mon bel ami, c'est moi qui donne les consignes et je vous précise qu'il est hors de question que l'un de vous deux puisse avoir son plaisir avant que j'en ai décidé !. L'effet de ces paroles nous fit l'effet immédiat d'une douche froide. Nos corps se séparérent et j'entendis le claquement sec d'un mousqueton se refermant sur l'anneau de mon sexe. La laisse se tendit, m'obligeant à suivre France à l'extérieur, en direction du jardin. Au jardin La silhouette entrevue tout à l'heure n'est plus là. Et c'est bientôt avec une bêche dans les mains que débute ma journée de travail, la laisse négligemment passée autour du cou. Le projet de terrasse est bien avancé, mais il reste encore à décaper quelques centimètres supplémentaires. Voilà qui devrait me calmer les sangs et me replacer dans la situation d'ouvrier agricole/esclave sexuel qui doit rester la mienne tout au long de ce séjour breton. Travailler physiquement sous ce petit soleil d'hiver n'est pas déplaisant du tout. Je sens mes couilles lourdement lestées par le métal se balancer entre mes jambes au gré de mes mouvements et c'est fort agréable. Mon cul, assoupli par ses visites récentes, apprécie lui aussi la chaleur du soleil. Concentré sur ma tache, j'entends néanmoins un bruit furtif, puis sens à quelques mètres de moi une présence (presque) silencieuse. Me gardant bien de réagir, je poursuis ma tache, prenant toutefois soin de me baisser un peu plus, histoire de rendre mon entrejambe un peu plus visible à celui (ou celle) qui m'observe. Tournant lentement sur moi même et me penchant encore davantage pour creuser le sol, j'offre maintenant le spectacle d'un cul soyeux, luisant,et disponible à toutes sortes de visites ainsi qu'une belle paire de couilles allongées par le poids du gros anneau qui les enserre. - Très beau spectacle que voilà! dit soudain la voix grave d'Albert, le mari de France. - Viens donc par ici mon mignon ajouta t'il en se saisissant de la laisse pour m'entraîner vers le fond du jardin. Tout en marchant, il déboucle son ceinturon, ouvre sa braguette et en extirpe un membre petit et court, mais tout rouge et turgescent. Manifestement mes fesses lui plaisent et le désir d'y plonger sans tarder se lit sur son visage. La capote est en place en un instant et grâce à la laisse, il n'éprouve aucune difficulté à m'attirer à lui. Cherchant sa voie de façon un peu maladroite, il finit par trouver l'ouverture et placer là son petit bout de zan tout dur. Sans façon, ni préparation supplémentaire, il me pénètre soudain d'une seule poussée, sans provoquer heureusement de dommages grâce aux doigts de France ayant préparé la place. Tout va ensuite très vite, quelques aller-retours frénétiques à une cadence presque aussi rapide que celle des lapins, une soudaine crispation de sa main sur l'un de mes tétons et je sens son jus gicler en moi, en deux petites saccades étriquées. J'ai à peine eu le temps de commencer à chauffer que déjà ses miaulements essoufflés signalent qu'il vient de prendre son plaisir et va maintenant se retirer. -Merci, c'était bon, je reviendrai certainement te voir avant mon départ ! , lache t'il en s'éloignant. Un peu frustré que tout soit déjà terminé, je m'ébroue, réajuste ma tenue et reprends sans mot dire mes activités agricoles, tout en laissant mon esprit vagabonder librement. Même si l'argent peut certainement être une forme de consolation, ce ne doit pas être vraiment drôle de vivre de ses passes à longueur d'années et de se sentir ainsi utiliser, sans façon ni considération, par des mâles en rut, uniquement préoccupés par la recherche égoïste de leur plaisir. Ce petit intermède eut toutefois l'avantage d'éveiller mes sens et je me sens maintenant en pleine forme, intéressé et disponible pour d'autres petites folies encore. Du côté de la maison, tout est silencieux, France probablement occupée à l'étage à faire sa toilette. Et de l'autre côté de la cloture, nul mouvement perceptible pour le moment, si ce n'est un gros chat noir installé au soleil et passant obstinément sa patte derrière son oreille. Mauvais signe pour le reste du week-end, me dis je en voyant la scène. - Non pas de souci, il va faire beau pendant les trois jours à venir, claironne soudain une voix féminine enjouée. Agée d'une quarantaine d'années la voisine apparait à travers la haie, transportant un panier chargé de bois pour le poêle. D'un gabarit imposant, elle déplace cependant son chargement, ainsi que ses rondeurs, son large fessier et son opulente poitrine, avec une étonnante facilité. - Très bonne nouvelle, car je suis loin d'avoir terminé tout ce que j'ai à faire, lui répondis je. - Oui, j'ai vu que vous étiez très actif au jardin… et très polyvalent aussiajouta t'elle, avec un brin malice dans la voix. L'énorme fard qui me monta instantanément aux joues empêcha toute réponse cohérente. Pas de doute, la présence que j'avais senti derrière la haie, c'était donc elle. Très certainement témoin de mon petit intermède avec Albert, elle m'a vu accepter de bonne grâce sa saillie, bassin bien cambré et fesses ouvertes, comme une jeune pouliche menée à l'étalon. Peut-être a-t-elle même aussi entendu les grognements de satisfaction du mari de France lorsqu'il m'a craché sa semence. Sur sa lancée et sans me laisser le temps de me ressaisir, elle poursuit en demandant si je suis là encore pour quelques jours. - Vous pourriez venir prendre l'apéritif à la maison, ce soir ou bien demain, ajoute t'elle l'oeil tout à coup étrangement brillant. - Pourquoi pas, mais il faut que je questionne France sur ce qu'elle a prévu. Je suis à son service et c'est elle qui décide de mon emploi du temps, répondis je. - C'est amusant cette situation, réplique t'elle en ajoutant, et quel genre de service devez vous lui rendre? Sentant la situation évoluer dangereusement vers des questions trop précises, je saisis le prétexte de la porte du jardin qui claquait bruyamment pour aller la fermer en lui criant que je passerai lui donner réponse dès que possible. Puis, attrapant ma pioche, je repris mon travail de terrassier, tout en essayant d'imaginer la suite possible des événements. Même interdit de jouissance, l'idée d'en voir un peu plus de l'énorme poitrine de la voisine n'était pas pour me déplaire. J'ai toujours aimé les rondeurs féminines très généreuses et adoré leur adresser mille caresses. Et de son côté, peut-être aura t'elle envie de jeter un œil sur mon entrejambe, voire d'y poser des lèvres gourmandes. La réponse de France coupa court à mes secrètes élucubrations et elle déclara tout de go, clair et net, qu'il était hors de question de frayer avec cette voisine mal élevée et sans gêne dont elle entendait parfois la voix puissante traverser le mur mitoyen et hurler à son mari les pires insultes, où il était souvent question de mollesse récurrente et d'impuissance maladive. Tout penaud, je vins donc presser la sonnette de la voisine pour lui signifier mon regret de ne pouvoir répondre à son invitation. Ayant probablement pressenti la réponse, elle griffonna un numéro de téléphone sur un petit papier qu'elle me tendit avec un grand sourire. En me raccompagnant à la porte d'entrée, elle me glissa au creux de l'oreille que sa maison m'était ouverte et qu'elle aurait grand plaisir à m'y accueillir pour un séjour de travail d'un jour ou deux. Un peu perturbé par cette proposition vraiment très directe, à subir certainement quelques délicieux outrages, je revins dans la cuisine, un peu songeur, solliciter les consignes de France pour la suite de la journée. Outre le menu à préparer pour le repas du soir, elle me rappela le passage d'un couple d'amis habitant le village pour l'heure de l'apéritif. Ouvrant ensuite la grande armoire contenant le linge de maison, elle en sortit un tablier de garçon de café. Me poussant devant la psyché du salon après avoir ôté ma laisse, elle hocha la tête avec satisfaction, manifestement contente de voir ainsi élégamment exprimée ma fonction de majordome, affecté à la réception de ses invités. A SUIVRE...
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Par : le 05/04/16
Le Petit Prince - chapitre XXI C'est alors qu'apparut le renard: - Bonjour, dit le renard. - Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien. - Je suis là, dit la voix, sous le pommier. - Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli... - Je suis un renard, dit le renard. - Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste... - Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé. - Ah! pardon, fit le petit prince. Mais, après réflexion, il ajouta: - Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ? - Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu ? - Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ? - Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ? - Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ? - C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie "créer des liens..." - Créer des liens ? - Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde... - Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé... - C'est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses... - Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince. Le renard parut très intrigué : - Sur une autre planète ? - Oui. - Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ? - Non. - Ça, c'est intéressant ! Et des poules ? - Non. - Rien n'est parfait, soupira le renard. Mais le renard revint à son idée: - Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé... Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince: - S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il. - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître. - On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! - Que faut-il faire? dit le petit prince. - Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près... Le lendemain revint le petit prince. - Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur... Il faut des rites. - Qu'est-ce qu'un rite ? dit le petit prince. - C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances. Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche: - Ah! dit le renard... Je pleurerai. - C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise... - Bien sûr, dit le renard. - Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince. - Bien sûr, dit le renard. - Alors tu n'y gagnes rien ! - J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé. Puis il ajouta: - Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret. Le petit prince s'en fut revoir les roses: - Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. - Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose. Et il revint vers le renard: - Adieu, dit-il... - Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. - L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir. - C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. - C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir. - Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose... - Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir. Le Petit Prince - Antoine de St Exupéry
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Par : le 01/04/16
Voici le temps venu, Des rendez-vous Du soir venu, En ce lieu Si peu convenu. Où l'on toise Les nouveaux venus ; On y pavoise En premiers venus ; On y croise Des cons venus, Qui rencontrent Mille déconvenues. Pour mots choisis Bien malvenus, Qui soulèvent Les sous-entendus ; Nous désespèrent Bien entendu ! Vite un cautère Sur ces coeurs fendus Car la frontière Est bien ténue. Entre une parole Non tenue, Et une promesse Bien advenue. M.Doe, Ce dernier venu, En ce lieu, Si peu convenu, Espère, ému, Y dénicher Son ingénue. Que dis-je, Sa dévote élue !
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Par : le 01/04/16
Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent pas mal de temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café ou à écrire, quand il est inspiré, de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées. Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. La Bretagne, avec son histoire ancienne celte émaillée de multiples contes et légendes plus ou moins fantastiques, est souvent présente dans ses récits, créant une ambiance et un climat particuliers, mélange subtil de rudesse et de sensualité assumées. ______ La tempête récente a lessivé le ciel et sur la campagne, la lumière est d'une pureté cristalline. Paulo, au volant de sa petite Fiat 500 verte, s'enfonce peu à peu dans les profondeurs de la Bretagne, traversant hameaux isolés et villages immobiles. Nous sommes vendredi et les habitants semblent avoir tous déserté les rues pour courir vers des rendez vous secrets. Lui aussi a rendez vous ! Et c'est là-bas, dans ce petit groupe de maisons isolé qui se détache sur le haut de la lande. Autour, des champs puis des bois en grand nombre, parfois adossés à une ferme. La dame qu'il va rejoindre à l'heure du café est agée, près de 70 ans, et divorcée depuis de longues années. Vague connaissance de Jana, sa Maitresse, elle a sollicité les conseils de celle-ci pour trouver un homme pouvant l'aider à divers travaux de bricolage et de jardinage. Dans la conversation, elle a laché que si l'homme lui plaisait, elle aurait aussi plaisir à jouer un peu avec lui, ses longues années de célibat forcé l'ayant privé des ardeurs d'un mâle disponible en permanence à la maison. Premiers contacts L'affaire fut conclue en échange de quelques beaux légumes tout frais récoltés, et je quittais donc Nantes missionné pour servir la dame de toutes les façons possibles, durant une journée et une nuit entières, avec comme seule consigne le respect impératif de l'abstinence sexuelle imposée par ma maitresse Jana et la condition de tout lui raconter au retour. Ayant probablement entendu la voiture ralentir au dernier virage, France est sur le pas de la porte pour m'accueillir, en compagnie d'un homme. Remarquant mon air surpris, elle me le présente comme son ex mari, de passage pour l'après midi. Et elle annonce aussi la visite d'un couple d'amis pour l'heure de l'apéritif. Furtivement, et avant de pousser le portail, je remarque une autre présence masculine, silencieuse et discrète, de l'autre côté de la haie séparative avec le voisin. Me voici donc repéré ! France est petite, un peu gironde avec une peau blanche de rousse. Malgré son age, elle est encore très vive dans ses déplacements et ses injonctions aussi. Manifestement, elle aime commander, régenter son monde. Cela se voit et s'entend. Son ex mari semble plus réservé, grand et sec, le regard un peu fuyant. Je décide de rien changer à ce qui a été convenu avec ma Maitresse et entre donc dans la maison, tenant à la main un sac de tissu noir que je pose sur la table, couverte de la traditionnelle toile cirée bretonne. Et là, j'attends, immobile et déjà obéissant, les consignes de la maîtresse de maison. Le sourire aux lèvres, elle s'approche et commence par m'inspecter de la tête aux pieds. Ma tenue de paysan médiéval semble lui plaire, tout comme mon attitude humble, tête baissée et jambes légèrement écartées. Son mari se tient en retrait, silencieux mais manifestement très attentif à la scène. Plongeant la main dans le petit sac noir, elle en sort un collier de cuir, un de ceux que portent tous les chiens des environs et qui servent à les tenir attachés à l'entrée des cours de ferme tout au long du jour. Je surprend le regard intéressé et amusé de l'homme qui s'approche lui aussi de la table. Se saisissant du collier, il en éprouve la souplesse, glisse un doigt dans l'anneau où s'accroche la laisse, puis le donne à sa femme avec un hochement de tête affirmatif. Je n'en mène pas vraiment large durant cet échange silencieux qui voit ce vieux couple pourtant séparé décider en silence des entraves que je vais devoir porter durant mon séjour ici. La grosse laisse de coton torsadé noir est maintenant étalée devant moi, tout comme les deux bracelets de chevilles que j'ai fourrés dans mon sac avant le départ. C'est manifestement elle qui décide. S'approchant de moi, elle met en place d'une main experte le collier puis les bracelets. A tel point que j'ai soudain le sentiment qu'elle n'en est pas à son coup d'essai et qu'ils ont peut-être déjà reçu ensemble avant lui d'autres soumis comme moi, venus pour assurer son service. Lui se contente de vérifier la solidité des attaches, du collier autour du cou, des bracelets aux chevilles. J'ai soudain l'impression qu'une de ses mains vient furtivement de me frôler mes fesses, mais je n'ai pas le temps d'identifier s'il s'agit d'un geste volontaire ou non. France, qui n'a manifestement pas les yeux dans sa poche, intervient de suite et intime à son mari l'ordre d'aller chercher du bois dans la remise pour recharger le feu qui s'épuise dans la cheminée. Elle profitera d'ailleurs de son absence pour glisser elle aussi une main entre mes jambes et vérifier si le gros anneau dont lui a parlé ma Maîtresse est bien en place. Une légère traction sur celui-ci me confirmera, si besoin était, qu'elle a fort bien compris l'usage de cet accessoire destiné à contenir mes ardeurs sexuelles, si nécessaire. Des bruits de pas venant du dehors rappellent la corvée de bois en cours et je s'empresse d'ouvrir la porte pour faciliter la livraison d'une petite montagne de bûches. Il s'agit manifestement là du seul mode de chauffage de la maison et les abords de la cheminée vont probablement être le lieu d'une bonne partie de nos jeux de domination à venir. Pour l'instant, l'heure n'est pas à la bagatelle et il faut débarrasser la table des restes de leur repas et attaquer la vaisselle dans la petit cuisine attenante. Par la fenêtre qui donne sur le jardin, je surprends à nouveau la silhouette masculine de tout à l'heure. Décidément, mes hôtes semblent bel et bien être épiés par leur voisin. Peu familier des habitudes de rangement de la maison, je pose quelques questions auxquelles France répond avec gentillesse et précision. Un climat de douce coopération s'installe progressivement dans la cuisine et je commence aussi à sentir de temps à autre sa main se poser sur mon bras ou sa poitrine frôler agréablement mon dos lorsqu'elle passe derrière moi. Elle n'a probablement jamais eu un physique à se faire pâmer une garnison mais je lui trouve des formes encore très avenantes, notamment de belles fesses rebondies, et une poitrine certes menue mais dirigeant toujours ses hauts sommets fièrement vers le plafond. Son visage est rieur avec de petites étincelles dans les yeux et j'aime la rousseur de sa tignasse contrastant avec la blancheur laiteuse de sa peau. La vaisselle se termine et je m'approche de la machine à café. Prenant le prétexte de m'indiquer où se trouve le café, elle vient plaquer la chaleur de son corps contre mon dos. Ses bras m'enserrent et je sens, cette fois très distinctement, ses mains venir se poser sur mes tétons. C'est sûr, ma Maitresse a dû lui signaler ma petite particularité car bientôt ceux-ci roulent sans ménagement sous ses doigts, déclenchant illico une monumentale érection ! Poussant les fesses contre son bassin, je lui exprime toute ma réceptivité à ses caresses en ondulant à la cadence de ses doigts. « eh bien, comme vous y allez » dit l'homme en entrant dans la pièce. « pourquoi ne pas m'avoir attendu pour faire plus ample connaissance ? ». Nullement impressionnée par la remarque de son ex mari, France poursuit son petit jeu sous ma chemise en pinçant maintenant avec davantage de vigueur encore mes pointes sensibles et maintenant toutes dures. Ne pouvant résister plus longtemps à cette délicieuse torture, je pose le boite de café et me laisse complètement emporter par ses mains expertes. Avec malice, elle nous fait alors doucement pivoter ensemble, me positionnant béat et abandonné, juste en face à son mari. Celui-ci apprécie manifestement l'offrande qui lui est faite et n'hésite pas longtemps sur la conduite à tenir. Sa main file vers mon entrejambe et se saisit avec autorité de l'anneau qui s'y trouve. Je n'ai alors d'autre choix que de suivre le mouvement et me voici bientôt littéralement pris entre leurs deux corps qui m'assaillent. Je dois avouer que cette situation me plait et m'excite. Je sens contre mon ventre un sexe tendu et dur tandis que roule contre mes fesses la houle douce d'une femme qui me berce, tout en pétrissant mes seins avec vigueur. Pas pour longtemps d'ailleurs, car deux doigts décidés viennent de changer d'activité et se glissent dans mon pantalon. Cherchant un instant leur chemin, ils finissent par le trouver et, sans plus attendre, me pénètrent l'anus, heureusement préparé par le massage récent d'une amie. Ces doigts sont féminins car l'un de mes tétons se sent maintenant abandonné. Fugace impression qui ne dure pas car une bouche gourmande à la barbe piquante vient de le happer. Mordillé, aspiré, têté avec ardeur, le pauvre petit m'envoie de furieux messages d'excitation dans tout le corps. Mon bassin se cambre encore davantage et c'est maintenant 3 puis 4 doigts qui me pénètrent. Si cela continue, c'est bientôt la main toute entière de France qui m'aura envahi. Ravi de tout cela, j'entreprends de défaire le ceinturon qui me meurtrit le ventre et de libérer le sexe tout dur de l'homme que je sens contre moi. A SUIVRE...
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Par : le 28/03/16
Putain , viens .... baises moi ... ... violes moi .... Prends ce qui est tien .... ...ce qui t appartient ... Allez quoi ...tu n oses pas .... ... aurais tu peur de moi ... Viens .... encules moi .... Prends mes profondeurs ... Ouvres les ... Pétris les ... Dilates les .... Prends ... voles .... dérobes ... Que ce soit en catimini .... ou avec violence ... Putain ... t’attends le déluge .... ...Laisses ce foutu orgueil de coté ... Je sais ... tu crains ce qui vit en moi .... Promis ....je le tairait .... Marques moi de ton cuir ..... Laisses en les lanières m envelopper ...s’incruster .... Oublies toute douceur .... Fais moi hurler .... sangloter .... Fais moi ....... te supplier .......... ramper ......... Fais moi rugir ....sous la froidure de l acier ... Tu ....Vous .... ...on s’en fout .... A genoux ...... je viens vers toi .... Le regard noyé ..... S’il Vous plait .......... S’il te plait .......... Laisses toutes celles en moi ..... revivre ........ Sylvie L. Decidement...deuxieme texte partagé de cette personne, une personne dont j'apprecie enormement les ecrits tant il me ressemble, je me lis dans ses ecrits comme un miroir, c'est assez deroutant car les seuls mots qui me viennent lorsque je la lis, c'est " exactement ca, ni plus ni moins"
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Par : le 28/03/16
Allez , on continue mais differement ! Je vous propose un quatrain à construire ! Un quatrain ( donc 4 vers pour les incultes ) de 6 OU 8 pieds chacun ! J impose trois mots qui ne doivent pas bouger et vous faites le reste ! Allez , on attaque ! - Je ................... ...............couleur ...................... Comme ................ Vous avez donc le choix pour les rimes : ABAB ou ABBA Vous avez tout le week end , entres deux chocolats !
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Par : le 28/03/16
La venue d'Inès chez son Maître. Première rencontre. 13 heure 30. Un SMS m'arrive "" je suis arrivée mais où êtes vous Maître. "" Rendez vous était pour 14 h. Inès est en avance je n'ai pas encore pris mon déjeuné rentant de mon travail. ""Elle est en avance"" que je pense. Je sors et vois sa voiture lui fais signe pour se garer. Une fois garer je vois une femme blonde sortir de la voiture. Sourire elle me regarde je sens son regard sur moi..." que pense t-elle à ce moment "... Je la laisse arriver à ma hauteur. .."" une belle femme elle fera une belle femelle soumise "" que je pense le Féling passe. Je pose mes mains sur ses épaules et un bisou sur les joues... ""je la sens étonné. "" Mais ne dis rien que... "" Bonjour as tu fais bon voyage """? .. Je l'invite à entrer chez moi. Et une fois la porte fermée lui dis... Bienvenue chez Ton Maître. .. Elle sait ce qu'elle a à faire, elle a reçue ses instructions avant son départ de chez elle et nous en avons parlé ensemble. Inès entre et je lui prendre son manteau. Je découvre une belle femme en jupe noir courte, chemisier, bas et haut talons. Je lui fais la visite du rez de chaussé de chez son Maître. .. bureau, douche, sanitaire et enfin l'entrée dans la grande pièce du séjour avec.... le tapis de prosternation des soumises, cuisine à l'américaine et l'escalier qui monte à l'étage. Je l'invite à visiter SEULE l'étage lui expliquant que je viens de rentrer et n'ai pas encore déjeuné. Inès monte à l'étage je la regarde monter l'escalier, elle a une belle croupe je vois ses jambes gantés de ses bas tenus par les jarretelles et le début de sa chaire ((ma faim ce réveille en moi))... beau spectacle que de la regarder monter l'escalier seule. Pendant qu'elle Ines Soum découvre l'étage salle de bain, chambre du maître et son grand lit, chambre d'amis et et et .. Le donjon. ...je commence à déjeuner. A son retour je l'invite sur le canapé à mes côtés lui offre un café pendant mon déjeuner nous discutons un peux ensemble. Quand j'ai fini mon déjeuner je lui dis ""tu sais ce que j'attends de toi."" ..elle fait une moue. .... et s'exécute. Elle va sur le tapis des soumises . et je la guide pour ce prosterner ce qu'elle fait. Je tourne autour d'elle soulève et retrousse sa jupe sur les reins, découvre de belles fesses que je caresse. Ces beaux orifice sont disponibles. Je contrôle sa pilosité. L'anus et bien épilé, rose, lisse avec quelques plissage comme un oeillet à éclore, le sexe est bien imberbe aucun poils disgracieux, lisse, de belles lèvres charnues, la peau est douce agréable ses chaires intimes sont fermés mes doigts ouvrent la chatte et entrent dans cette Ôrifice étroit, c'est chaud et....déjà très humide. .. je l'écarte pour bien l'ouvrir. Je constate qu'il est vraiment étroit et qu'il me faudra le forcer avec fermeté. Je me rappel qu'elle m'avait dit ne pas avoir été saillie depuis plus d'une année, et qu'elle a toujours été étroite. Un tout cas Elle mouille bien. Ms doigts recherchent le clito et le décapsule il est dur et grandit bien. Je joue un peu avec et il s'érecte bien. Je pense que des pinces seront nécessaires pour le faire bien travailler. J'arrête de la doigter.. Je l'aide à de mettre en position d'attente ou elle est tête baissé je lui relève et lui dis..." c'est bien tu sais ce que j'attend de toi...si tu me veux comme ton Maître..! Je lui explique la symbolique de ses instants en pose et leurs significations. 1 - la pose prosterné..tu accepte de te soumettre. 2 - la pose à 4 pattes jambes écartées.. tu offres tes orifices pour être saillie. 3 - la pose assise à genoux tête basse bouche ouverte.. tu attends de recevoir la NOBLE QUEUE de ton MAÎTRE et tu dois l'honorer. 4 - debout bien droite et mains jointent sur la tête bras écartés ainsi que les jambes largement ouvertes écartés.. tu vas être contrôlée. 5 - à genoux tête baissée.. tu attends de recevoir ton collier de soumission. Elle me répond... """" Oui Maître. ..""" je l'aide à ce relever. Et la laisse quelques instants prendre son café....! j'ai à faire au bureau....! Quand je reviens au séjour quelques minutes après, Inès et en train de ce dévêtir près du canapé, j'assiste à ce moment et découvre ma nouvelle Soumise Belle femme des beaux seins lourds des fesses rondes fermes. Je lis une certaine anxiété. ..dans son regard, elle n'ose pas me regarder directement mais guête mes réactions (que je ne montre pas).. Je l'amène sur le tapis de soumises Inès se positionne comme pour se prosterner Nue entièrement NUE. Elle prend la pose de prosternation pour la deuxièmes fois je ne la guide plus, elle doit d'elle même chercher la perfection de cette pose. Il y a déjà du mieux. J'appuie de nouveau sur le bas de son dos pour qu'elle se cambre encore plus. Avec la cravache je lui fais écarter les cuisses. Enfin bien prosternée écartés, mains jointent l'une sur l'autre. C'est beaucoup mieux. Je lui dis alors.. Première règle tu le sais.. Inès répond... "oui Maître.. Obéissance...Docilité..." Ses reins sont chaud presque brûlant. Je découvre son corps NU ses hanches ses seins lourds qui tombent à toucher le tapis. Je lui appui encore d'une main ferme sur les reins et lui indique ""Cambre toi bien relèvetes fesses""" ce qu'elle essaie de faire ""c'est mieux"":...! Je tourne autour d'elle je palpe ses orifices, découvre sa peau douce et ferme. Mes mains parcourent son dos, ses fesses, je la vois réagir, des frissons parcourent son corps et lui donnent une 'chaire de poule'. Je découvre de nouveau ses orifices sa chatterie aux belles lèvres, ferment et soûlent, l'entrée de sa chatte, que j'ouvre et pénètre d'un puis deux doigts cet orifice est bien étroit, je la sens se crisper un peu, je la rassure.." tout va bien c'est très bien pour une 1ère rencontre détend toi, lâche prise..c'est bien".. Mes doigts glissent mieux Inès mouille bien elle se détend puis c'est au tour de son petite ôrifice (l'anus) qui reçoit un doigts il est étroit contracté je le palpe et le masse j'entre et resorts mon index en petits vas et viens, puis mon pouce, il s'asouplit, je le sens palpiter autour de mes doigts et Il fini par s'ouvrire. Je vais sur sa chatte avec mon autre mains tout en gardant mes doigts dans son ôrifice anale.. Je cherche le petit bouton le décalote de sa cachette et la masturbe un peu. Puis cest au tour de ses lourd seins et le tetons qui sont en erection bien dur ils pointent, je men occupe en les pinçant un téton apres lautre puis les deux en même temps, Inès résiste un peu tendue encore. Je la sens ainsi tendue. Puis elle se lâche de nouveau. Venant devant elle je lui dis "" c'est bien "". L'aidant à s'assoire en position d'attente et lui dis ""tu as quelque chose à me dire.""..? Ta promesse d'obéissance la connais tu..? Inès commence alors me faire sa promesse. Voyant qu'elle a oublié quelque mots (dû au stress certainement) je l'aide. Puis elle relève sa tête ouvre la bouche et attend. Mon bas ventre est juste à sa hauteur jattend. ..que d'elle même réagisse. (car je veux que mes soumises prennent des initiatives comme dans se cas quand je mets mon bas vente devant leur visage. Inès à compris et se souvient des ordre reçu. Elle ouvre ma ceinture ouvre mon pantalon sort mon membre à moitié éveillé, ouvre grande la bouche et aspire mon membre et l'avale. Inès honore en suçans son Maître celui qu'ELLE a choisie maintenant après sa promesse Je me retiens ne souhaitant pas lui faire une gorge profonde des maintenant. Je la laisse m'honorer en me suçant de mieux en mieux j'observe sa dextérité. Mon membre glisse bien entre ses lèvres je me retiens pour ne vous l'ensemencer maintenant. Éveillé je sors de ses lèvres agréable et chaude et tourne autour d'elle ""prosterne toi"" Inès obéi. M'offrant sa croupe, je m'agenou derrière elle, ma queue vient masturber sa chatterie et son clito, j'ouvre les lèvres qui ferment l'entre de son antre humide intimité et pose ma queue devant en poussant doucement pour y accéder, puis la tenant par les hanches l'attire fermement pour la posséder en toute ses profondeurs. Elle soupir puis gémit et se détend se laissant saillir. Sa chatte et étroite serré mais je pousse fermement pour la saillir. Inès se détend enfin se relâche je pose une main au creux de ses reins pour sentir ses réaction Inès fait des contractions du périnée que je récent sur mon membre. Je la saillie lui disant ""tu es mienne"" elle repond alors ''oui maître je vous appartient'', J'écoute sa respiration qui devient hâletante et rapide elle est bien (Inès ne sais pas vocalises son bien être ni son plaisir il faudra lui apprendre car c'est ainsi qu'elle me guidera sur son ressenti) Je me relâche et l'ensemence de mon plaisir, je joui au find d'elle en râlant mon plaisir, je sens son corps avoir des petits spasmes en même temps que les miens au moments où jaillit ma semence en elle.j'écoute sa respiration une main en appui sur le bas de son dos. J'appuie pour la faire mieux se cambrer encore plus, Ines fais des contractions autour de mon membre enserrant celui-ci a chaque jaillissement de ma semence puis ce relâche elle pousse ses fesses vers moi comme pour s'empaller et pour en vouloir encore de ma saillie. Son souffle est court haletant Inès essaie de me cacher son plaisir, je me courbe sur son dos le caresse je la tiens par les cheveux avec fermeté, puis la caresse embrasse ses reins et j'attends d'être détendu pour me glisser hors d'elle. Et lui redis "tu es maintenant mienne Ma soumise Ma femelle .. repond..". ''Oui Maître je suis corps et âme à vous je suis vôtre chienne soumise et je veux devenir une de vos esclaves. - je prends sa tête dans mes main pour lui poser un baisers sur ses lèvres. Voilà. .. Le début de la soumissions d'Inès qui devient soeur de soumission d'Ôpale et de Sabine. Je la prend comme une novice elle devra ré apprendre bien des choses sur la soumission """ Le respect que le Maître à pour sa soumise, pas de violence inutileautre que les punitions, elle n'est pas un objet mais soumise esclave sexuel. ... et bien d'autres choses. Bienvenue petite Inès. Ton Maître.
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Par : le 28/03/16
J'imagine le trouble en toi... tes cuisses qui se serrent... l'appel dans ton ventre, ton sexe humide...l'envie de t'appaiser.... J'imagine d'autres tortures, des boules de geisha... elles cognent en toi... delicieux supplice... chaque pas est un plaisir... un appel à l'orgasme... Un oeuf vibrant...qui s'active quand on y pense plus... le trouble en toi, le plaisir qui monte... Un plug qui orne joliment ton cul... seul toi sais qu il est là, en toi... il se rappel à toi, lorsque tu bouges.... J'imagine... ton trouble à la lecture de ce message... la chaleur et moiteur de ton entre jambe... que j'aimerais caresser... lécher...
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Par : le 28/03/16
Quelques dominatrices présentes sur ce site me connaissent et savent qu'en plus de fréquenter les milieux BDSM classiques, c'est à dire domination / soumission entre hommes et femmes, je fréquente les milieux homos. J'aimerais que l'on parle de ces ambiances. Certains clubs réservés aux hommes sont à tendance SM, certains clubs à PARIS sont même exclusivement destinés à la domination entre hommes. J'ai fréquenté quelques après midis organisées par la CLEFASSO, club de la fessée entre hommes. Fesseur ou fessé, les fesses chauffent très vite sous l'application de ces fessées à main nue données par ces paluches très viriles. Ces milieux ont une image toujours très virile, surtout lorsque les hommes sont habillés de cuir et peuvent paraître impressionnants et sont mêmes considérés comme crades. C'est vrai que ces milieux manquent de sensualité due à l'absence féminine, les hommes vont très loin entre eux. J'ai connu un club avec un mur carrelé de blanc en face du bar, des hommes nus alignés le long du mur se faisant asperger d'urine pendant des heures entières par les autres hommes. J'ai préféré participer en qualité d'arroseur plutôt qu'arrosé et j'ai trouvé jouissif d'uriner contre ce mur d'hommes. J'en ai connu un autre CLUB où des hommes passaient des heures entières dans la cave, allongés sur des pierres à se faire fister par des paluches viriles. Là je me suis limité au rôle de spectateur. A côté de cela, il y a des endroits plus sensuels, je veux parler des soirées travesties où je suis devenu travestie dominatrice, chez Prisca ou à la MDT, il y a toujours quelques hommes prêts à vous lécher les cuissardes et à prendre quelques fessées. Sans nul doute ces hommes là cherchent toujours des dominatrices, vraies dominatrices génétiques, mais à défaut de les trouver, ils se rabattent vers les soirées travesties, du moment qu'il y a des cuissardes en cuir à lécher ou des fessées à prendre données par une jupe en cuir, peu importe le sexe que l'on peut sentir sous la jupe. C'est la tenue qui fait la dominatrice, pas le sexe. Ces endroits spécifiques mis à part, dans les saunas classiques homos, on peut voir des croix de ST ANDRE, on entend parfois claquer quelques fessées et parfois un peu de doigté anal peut se transformer en fist. J'écris cet article sachant qu'il va intéresser les soumis et les dominateurs préférant fréquenter les milieux réservés aux hommes, mais les dames dominatrices ou soumises peuvent réagir, je sais que des dominatrices déplorent de ne pas pouvoir accéder à ces clubs même avec leur statut de dominatrice.
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Par : le 23/03/16
Bon , allez on remet ça les artistes ! Maintenant , j impose et j exige ! ( plus facile à écrire qu'à dire ça ! ) - on respecte le nombre de vers donné à la base ; - du ABAB OU ABBA pour 4 pieds ; du ABABAB pour 6 pieds ! - si la première strophe est en 4 vers , la suite devra l'être ; si elle est en 6 , pareillement ! -pas plus de 2 verres au volant ! Pardon ; pas plus de 2 vers par personne histoire de créer l ambiance cadavre exquis . - je ne vous oblige pas les mêmes rimes pour toutes les strophes , allez ; je suis bien gentils Voila voila m'sieurs dames ! On se concentre et on attaque ! " Mon emprise était douce ta soumission joyeuse ... A vous les ami(e)s !
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Par : le 20/03/16
Bonjour vous ! Le jeu est simple et les contraintes légères ! Deux premiers vers que je vous apporte sur un plateau et la suite dépendra de vous , oui , vous ! Des contraintes disais je ? Ah ben , oui , tout de même ! - le respect du nombre de pieds ( pas celui que l on lèche ou qui vous piétine , hein ! ) - le respect de la rime - de tout réécrire depuis le début à chacune de vos interventions Libre aux premiers auteurs de décider si les rimes seront en ABAB ou bien ABBA ; si les strophes seront en 4 , 6 ou bien 8 vers ! Chacun d entres vous se devra de faire en fonction du précédent auteur(e) donc à vous d être vigilent ; je surveille ! Allez , on y va ? " Mes mains qui se baladent aimantées par ta peau ;.... A suivre ...... Mr Mano
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