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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je viens de finir de me faire à manger, et de m’installer à table, lorsqu’elle entre dans la pièce à quatre pattes. Elle est superbe, magnifique, sa croupe se dandine à chaque pas qu’elle fait, puis elle vient à mes pieds, et place sa tête sur mes genoux. Je souri, c’est une journée ordinaire, un midi ordinaire, je rentre du travail et je vais y retourné dans une heure, mais aujourd’hui, ce midi elle me fait le plaisir d’être ma pet girl, ma chienne. Je lui caresse la tête et lui dit que c’est dommage de ne pas avoir mis la totale, collier, oreille de chienne et plug anale avec queue.Et puis j’aime bien aussi quand elle a sa gamelle et son bol d’eau à mes pieds et qu’elle mange en même temps que moi. Mais aujourd’hui, maintenant, c’est juste de l’amour, de la tendresse petgirl/ maitre. Très bien. Je lui caresse la tête, lui dit qu’elle est une bonne fille, et me met à déguster mon repas tout en regardant la télévision et en lui caressant sa tête. Nous restons la, le maitre et sa petite chienne le temps que je finisse mon repas. Un instant simple, sa tête sur mes genoux, ma main dans ses cheveux, le bonheur. Puis je me lève et m’installe sur le canapé pour prendre mon dessert, elle me suit a 4 pattes, s’installe entre mes jambes, pose sa tête sur mes genoux et remue du derrière lorsque je lui dis qu’elle est une bonne petite chienne.Elle frotte son nez/museau sur mon sexe. Le sent durcir, et le frotte avec sa bouche à travers mon pantalon puis remet sa tête sur mes genoux et reste la coller à ma jambe, regardant la télé. De temps en temps lors d’une publicité, elle tourne la tête, frotte son museau sur mon sexe et lève des yeux implorant vers moi. Elle est si belle quand elle me regarde d’en bas. Quelques gratouille encore et c’est déjà l’heure de retourner au travail… je me lève, elle prend un air triste. Je lui dis que je vais revenir, qu’elle est une bonne petite chienne mais que j’aimerais parler à ma femme avant de partir. Elle se relève et me fait des bisous, puis descend, défait mon pantalon et met mon sexe dans sa bouche qu’elle suce ardemment, finit par m’embrasser. Je lui dis au revoir et merci pour ce moment. Elle me dit qu’elle ne peut pas se dédoubler et qu’elle aimerait être ma chienne et ma femme en même temps…Ou me trouver une petite chienne pour que Elle soit ma femme. Je lui dis qu’on a le temps mais moi je ne l’ai pas maintenant, je suis à la bourre. Je file….
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Une personne posait récemment la question sur un forum : « Le libertinage est-il moral ? »
Belle question.
Libertinage et moralité. Voilà un couple apparemment contre nature, non ?
Déjà que le libertinage ne fait pas bon ménage avec le BDSM...
Dans un sens, on peut clairement dire que le libertinage fait fi d’un certain sens moral, celui de la « morale publique », a fortiori celui de la morale chrétienne.
Copuler joyeusement sans être mariés et sans même connaître le nom de son partenaire, prendre la femme sous les yeux de son mari… un certain nombre de soutanes et de personnes "bien pensantes" partiraient en courant et voueraient aux gémonies les misérables mécréants que nous sommes.
Et pourtant.
Le libertinage,
si d’aucun pourrait parfois craindre qu’il s’accompagne d’une certaine perversité, et des romans malicieux ont mis en scène de telles situations,
force est de constater que la majorité des pratiquants que je côtoie (restons prudents et ne décrivons pas trop vite tout le milieu libertin comme étant angélique) sont dotés d’un ensemble de valeurs et de convictions qui s’apparentent de très près à ce que l’on pourrait appeler un « sens moral » individuel.
Et que ces principes semblent leur apporter un équilibre mental qui rejaillit plutôt favorablement sur leur personnalité (me vient alors à l’esprit le comportement et le tempérament d’un ensemble de connaissances qui attestent de cette constatation).
En bref, ce sont souvent des gens bien dans leur peau.
Quels sont ces principes ?
L’ouverture vers les autres, le respect des souhaits des personnes que l’on croise (et de là le respect tout court, et notamment des femmes par les hommes), la recherche du don du plaisir, parfois un certain esthétisme (je pense à l’érotisme qui m’est cher), une acceptation de ses qualités et défauts (le libertinage conduit à lever un certain nombre de complexes, notamment physiques), une joie, une énergie (là je m’éloigne un peu du registre des principes), une certaine sérénité due à l’acceptation de son corps et de ses pulsions et désirs.
Par ailleurs, le libertinage peut s’accompagner de vrais principes moraux, humanistes, d’un humanisme équilibré, généreux mais lucide, d’un humanisme social, d’un humanisme responsable envers les hommes, nos congénères, et responsable envers la fragile planète que la petite bébête que nous sommes arpente anxieusement en tous sens…
Reconnaissons pour finir par des propos moins grandiloquents, qu’une certaine perversité, je dirais même, une certaine amoralité, ajoute parfois une petite dose épicée que j’apprécie bien dans mes relations libertines ou
BDSM.
Alors moralité ou pas ?!!?!??…
Qu'en pensez-vous ?
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Dans la semaine, je louais un gite en pleine campagne bourguignonne et envoyait le mail suivant :
« G.,
Prévoit de te libérer le week-end prochain du Vendredi au Dimanche soir. Tu prendras le train pour Beaune. Je t’attendrais Vendredi à la gare à 20h30. Tu n ‘emportes avec toi que le minimum. »
J’aurais pu l’amener en voiture mais je souhaitais qu’elle fasse elle-même la démarche de venir à moi.
Le vendredi nous nous retrouvâmes comme convenu. Elle me salua civilement sur le quai de la gare mais une fois dans la voiture, je lui tendis ma main sur laquelle ses lèvres se posèrent, tandis que ses yeux levés au-dessus de ses lunettes vinrent à la rencontre des miens : la première fois que nous échangions un regard alors que chacun prenait sa position. Comment ce simple regard pouvait nous en dire autant sur l’autre ? Comment nous permettait-il de nous ouvrir, aussi profondément, à l’autre sans que nous soyons d’ailleurs en mesure d’exprimer la teneur de ce que nous avions échangé ? Je ne saurais le dire, mais d’innombrables fois la rencontre de nos yeux me bouleversa au plus point.
Nous n’échangeâmes guère durant le trajet. Je la sentais un peu inquiète mais ne fit rien pour la rassurer.
Arrivés au gite, je lui demandais de rester dans la voiture pendant que j’installais nos affaires.
Je retournais à la voiture, lui ouvrit la porte et lui prit la main pour la faire descendre.
Dans l’entrée je lui demandais d’ôter sa culotte. Je vis son visage rougir quelque peu alors qu’elle s’exécutait. Comme j’aimais ce contraste entre sa réserve, sa retenue, sa pudeur et sa propension à aller au bout de ses envies, de concrétiser ses désirs !
Nous rentrâmes dans la pièce principale où j’avais préparé à manger. Je m’assis à table en face d’une assiette, elle fit de même, à côté de moi. Je lui demandais de se relever. Elle s’étonna.
« Je ne crois pas t’avoir permis de t’asseoir. Je ne souhaite pas que tu prennes la moindre initiative sans m’en demander l’autorisation. Est-ce bien compris ? »
« Oui Maitre ».
Je lui donnais l’ordre de s’asseoir après avoir relevé jusqu’à la ceinture, sa charmante robe d’été.
Elle s’assit et posa les mains sur la table de part et d’autre de son assiette bien sagement mais le derrière à l’air.
Elle paraissait sérieuse, naturelle et quiconque l’aurait vu ainsi, n’aurait pu dire qu’elle jouait un rôle. Elle ne jouait pas. Je comprenais qu’elle était elle-même en agissant ainsi.
Elle me regarda commencer à manger sans bouger et je vis qu’elle attendait un signe de ma part pour en faire de même. Un sourire, un hochement de tête et elle entama son repas. Nous n’avions pas eu besoin de parler pour nous comprendre et je sentais que la complicité qui s’était déjà installée entre nous, prendre encore un peu plus corps.
J’entamais la discussion sur des sujets aussi communs que l’entreprise dans laquelle nous travaillions, nos loisirs respectifs, nos opinions sur quelques sujets d’actualité bref nous apprenions à nous connaître. Nous nous découvrions des intérêts communs, des divergences de point de vue mais surtout nous avions soif de nous découvrir mutuellement, au-delà de la position dans laquelle chacun se situait. Je sentais qu’il nous fallait nous connaître bien mieux pour nous évader ensemble vers les terrains que nous avions déjà un peu explorés.
Bien qu’elle fut absorbée – tout comme moi – par notre conversation, elle n’en était pas moins attentive à certains détails et je fus saisi lorsque, ayant vidé mon verre de Monthélie, elle le remplit avec délicatesse tout en m’adressant le plus beau des sourires. Comment, après une telle œillade, pourrais-je lui faire subir les tourments, les humiliations auxquels j’avais pensé en préparant notre week-end ?
Lorsque je parti chercher le dessert, elle se leva dans le même élan en restant debout devant sa chaise. Au moment où je me rassis, elle troussa sa robe et m'imita.
Le doute qui venait de me saisir s’effaça, devant son attitude qui me rappelait la position qu’elle voulait prendre et par conséquent celle qui devait être la mienne.
A la fin du repas, je lui demandais de se lever et de m’attendre jambes écartées, les mains dans le dos, tournée vers le salon afin qu’elle ne puisse me voir.
Je rangeais tranquillement les restes du repas, fit la vaisselle tout en jetant un œil à la belle qui patiemment m’attendait.
Je m’approchais d’elle, posa mes mains sur ses épaules et fermement la guida vers la chambre.
Lorsqu’elle y pénétra, je la sentis se raidir à la vue des quelques objets que j’avais négligemment et volontairement abandonnés sur la commode : cordes, cravaches, baillons, bracelets de cuirs, cagoule, … et quelques accessoires à usage plus … interne.
Sans protocole je lui demandais : « Déshabille-toi ». Elle s’exécuta sans presque me lâcher du regard sans doute pour apprécier ma réaction pendant son effeuillage.
Mon ton avait changé, mon attitude également et mon envie était maintenant de lui faire comprendre que je la maitrisais, que je prenais possession d’elle.
Je la poussais sur le lit, saisis une de ses chevilles et y fixa un des bracelets de cuir. J’en fis de même pour son autre cheville et ses poignets. Elle se laissait faire mais je sentais de l’inquiétude dans ses yeux.
J’avais préparé à chaque pied du lit une corde à laquelle je fixais les anneaux des bracelets et elle se retrouva immobilisée, bras et jambes écartés, entièrement à ma merci. Elle ne me quitta pas des yeux alors que je l’attachais comme si elle avait cherché à ce que je la rassure du regard mais j’œuvrais sans m’occuper d’elle.
Allongé à ces côtés, je commençais à la caresser. Son visage, ses bras, ses flancs, ses jambes … en évitant les zones sensibles qui auraient pu lui faire penser qu’elle n’était là que pour son plaisir. Je vis ses yeux se clore et de son visage disparaître l’inquiétude qu’elle avait laissé percevoir.
Je me plaçais en bout de lit et attrapa un des instruments sur la commode. Face à elle, cravache en main je devais surement lui paraitre un peu menaçant.
Le bout de la cravache parcouru lentement son corps, d’abord son pied, sa cheville, monta le long de son mollet, de sa cuisse, passa sur l’aine, sur son ventre, entre ses seins, glissa sur sa gorge alors qu’elle penchait sa tête en arrière et s’arrêta sur le menton. L’angoisse qui était réapparu au moment où je me présentais instrument en main semblait s’être dissoute sous l’effet sensuel du frôlement. Elle avait fermé les yeux pour mieux gouter à la caresse mais les rouvrit lorsque le bout en cuir s’était arrêté.
La cravache redescendit et frottai doucement son ventre en dessous du nombril. Je commençai quelques tapes réparties équitablement sur la zone. Graduellement j’augmentai l’intensité des frappes. Sa peau prenait peu à peu une teinte rosée et sa respiration, maintenant sonore, se synchronisait au rythme de ma main. J’interrompais son tourment et elle posa sur moi des yeux interrogateurs alors que ma main se levait bien haut. La cravache s’abattit avec force sur son ventre et elle émis un souffle rauque comme pour expulser la douleur dont elle venait d’être l’objet. Les coups qui suivirent zébraient son épiderme de jolis traits rougeâtres. Son visage était contracté, barré de petit rictus, son souffle court et haché par chaque impact. Son bassin se soulevait comme pour aller au-devant des coups, pour mieux les accueillir. Ses cuisses s’écartaient encore un peu plus que ne l’imposaient les liens et de son sillon rose perlaient quelques gouttes.
J’avais changé de position pour mieux atteindre ma nouvelle cible et reprenait par de légers tapotements en atteignant son pubis, son entrecuisse offerte. Les tapotements s’accentuèrent, devinrent secs, pour finirent pas être plutôt rudes compte tenu de l’endroit où ils s’abattaient. Si elle avait apprécié le début de ce nouveau tourment, elle se débattait maintenant à chaque frappe. Ses yeux grands ouverts me suppliaient et elle aurait pu me demander d’arrêter mais aucune supplique ne sortait de sa bouche, comme si son corps n’en pouvait plus mais que son esprit se refusait à arrêter son supplice et appelait même à le poursuivre.
J’interrompais mes gestes et vint me blottir à son côté. Ma main caressa les endroits meurtris, apprécia les marques qu’avait laissé la cravache. Les yeux dans les yeux, sans un mot, nous communiquions : elle me disait ses tourments, sa fierté de s’être donné, je lui disais mes doutes de lui avoir infligé cela, elle me rétorquait son plaisir et par là-même m’insufflait une nouvelle confiance en moi.
Mes doigts descendirent sur son sexe, s’insinuèrent en elle, ses hanches ondulèrent pour mieux me laisser entrer. L’oreille collée à sa bouche, j’entendais, je sentais même vibrer, chacun de ces souffles. Elle m’offrit le plus merveilleux des tremblements.
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Il est ainsi des gens toxiques
Dont il vaut mieux s'éloigner
Moi personnellement j'abdique
Ils sont impossibles à soigner
J'en ai rencontré dans ma vie
De ses handicapés du coeur
Pour moi c'est une question de survie
Je n'en veux plus, j'en ai horreur
Ils ne savent pas se donner
Derrière un mur ils se retranchent
Dans leur égo tout cantonné
Non, jamais leur coeur s'épanche
Si on les côtoie de trop près
Que par malheur on s'y attache
C'est sur on en paie les frais
Il ne faut pas qu'on s'amourache
A présent elle ne veux plus souffrir
Elle a coupé des liens très forts
Pour le meilleur et pour le pire
Le laissant là mais sans remords
Le 9 septembre 2015
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Ce mardi 8 septembre, Maitre Vous m'aviez donné RV à la gare près de chez moi. Dans ma précipitation à Vous retrouver, j'ai pris le RER qui passait quelques minutes avant celui dans lequel vous étiez monté. Nous nous sommes finalement retrouvés à la gare du nord et Vous m'avez embrassé tendrement, pas fâché du tout de ma maladresse. Après quelques péripéties dans la gare noire de monde, nous prenons le métro pour nous diriger vers le magasin Démonia où Vous avez décidé d'acheter mon collier de soumise. Nous entrons dans cette antre de perdition et nous nous dirigeons vers les colliers. J'avais repéré un collier rouge qui me plaisait et qui Vous plaisait aussi sur le site internet du magasin. En l'essayant, nous nous sommes aperçu qu 'il était trop large et trop épais pour mon petit cou épais. Finalement, nous avons trouvé un modèle noir moins large qui nous plaisait à tous les deux. Avant de reprendre le métro, nous allons nous installer en terrasse d'un café et buvons une bière pour nous désaltérer et j'en profite pour me coller à Vous et poser ma tête sur Votre épaule. Puis nous repartons et nous dirigeons vers l'hôtel où Vous avez réservé une chambre. Le temps passe très vite, il est déjà 20h. Arrivé dans la chambre, Vous m'embrassez langoureusement et Vous me demandez où se trouve le collier. Le matin même, je Vous avais envoyé un email dans lequel je Vous disais quelle soumise je désirais être pour Vous et Vous demandais de devenir mon guide dans la soumission. Je suis toujours plus à l'aise avec l'écrit que l'oral quand il s'agit de partager des sentiments, des sensations et des émotions. Vous m'aviez d'ailleurs envoyé un SMS en retour me disant que ce que j'avais écrit correspondait à l'idée que Vous Vous faisiez d'une soumise. Je le sors du sac dans lequel il se trouvait et avec votre aide je m'agenouille devant Vous. Je suis très intimidée et Vous le ressentez fortement il me semble. Connaissant mon état de santé qui ne me permet pas de rester longtemps agenouillée, vous m'autorisez à m'asseoir à Vos pieds. Je Vous tends alors le collier, mais je n'arrive pas à articuler un seul mot, pourtant j'avais préparé une phrase dans ma tête pour Vous demander de m'accepter comme Votre soumise. Vous prenez alors le collier de mes mains constatant mon grand trouble et me le passez autour du cou. Puis Vous m'aidez à me relever, Vous me serrez très fort dans Vos bras et Vous m'embrassez de nouveau tendrement. Je suis toujours muette, submergée par l'émotion. Vous me demandez alors où j'ai mis le foulard que Vous m'aviez demandé d'amener sans explication de son utilité. Je Vous le donne et vous l'enroulez autour de mon collier, que je suis si fière de porter dès l'instant où Vous l'avez mis autour de mon cou. Vous aviez prévu à l'avance de me le faire porter pour aller au restaurant, car Vous êtes fière de Votre soumise comme Vous me l'avez dit avant de sortir de la chambre et nous diriger vers le restaurant. Que d'émotions pour nous deux, je Vous sens aussi ému que moi quand Vous me serrez fort dans Vos bras et que Vous me souriez tendrement. Je mesure maintenant la chance que j'ai eu de Vous rencontrer Maitre. Que d'émotions pour nous deux pour cette remise de collier, je Vous sens aussi ému que moi quand Vous me serrez fort dans Vos bras et que Vous me souriez tendrement. Je mesure maintenant la grande chance que j'ai eu de Vous rencontrer Maitre.
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J'ai écrit ce texte il y a maintenant presque 4 mois et même si je pourrais en modifier très légèrement la fin, il est toujours d'actualité.
Les chemins qui mènent au BDSM ne sont que rarement pavés de belles choses et de beaux instants.
Nos vies passées nous ont bien souvent bousculées, voir même abîmées.
De là à dire que le BDSM peut-être une voie de reconstruction et de renaissance je ne sais pas, je ne suis pas psy et je ne suis pas certaine non plus que cela soit la meilleure façon de le faire.
C'est simplement celle que j'ai choisi parce qu'elle me convient et me ressemble.
C'est mon chemin, mon parcours, mes chûtes, mes espoirs.
Certains trouveront cela très exhibitionniste, bien plus qu'une photo où l'on devine les amygdales "vue d'en bas".
C'est simplement pour moi un moyen d'avancer encore, de me libérer du poids des douleurs et des blocages du passé.
Comme le dit l'hymne des travailleurs, si cher à mon cœur, Du passé faisons table rase...
Voici donc celle que je suis, en partie au moins.
Mais nous sommes tous, toujours beaucoup plus que ce que nous arrivons à dire de nous même.
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À des années lumières de la gynarchie, si je devais me coller dans une case alors ce serait celle des Dominas atypiques, natures et dilettantes avec un amour inconsidéré pour les blagues à 2 balles
Rien ni dans mes tenues, ni dans mon physique, ni même dans mon attitude ne laisse transparaître ce « costume » mental que je peux prendre plaisir à endosser à l'occasion.
Je suis surtout, bien avant d'être Domina, une maman célibataire accompagnée d'un petit gars de 6 ans accroché à mes jupons et vivant notre exil volontaire sous le soleil des Caraïbes. Et quelque sera mon choix de vie future, mon enfant passera avant tout le reste.
Je suis une femme que le politiquement correct appelle une femme ronde, en réalité je suis grosse, une vraie de vraie. Et même si aujourd'hui je commence à accepter ce corps, mon corps, car j'ai compris après un long travail les causes psychologiques de ce surpoids, il m'a handicapé pendant longtemps dans la majorité de mes relations aux autres et aux hommes particulièrement, et continuera à m'handicaper probablement encore un peu tant que je n'aurais pas appris à m'accepter totalement telle que je suis.
Quand tu ne t'aimes pas il est pratiquement impossible d'imaginer qu'un autre puisse avoir envie de toi.
Soit tu te refermes et tu vis une vie de nonne recluse... bof pour moi.
Soit tu te lances "à corps perdu" dans du tout et surtout du grand n'importe quoi simplement dans l'espoir d'accrocher un gars un peu plus que quelques heures et espérer oublier entre ses bras à quel point tu ne t'aimes pas.
Ça a été mon cas pour la plupart de mes relations. Enfin pour la plupart des relations où je ne cherchais pas un simple plan cul.
J'ai longtemps, en vanille, écumé les bars parisiens et provinciaux pour chasser. Dans ces moments là, je ne me posais pas trop de question sur les envies des mecs que je croisais ou sur mon physique. Pour reprendre une expression vulgaire mais tellement parlante : "un trou est un trou et une bite n'a pas d’œil". Il m'était donc très facile de ramener le gars que je voulais à la maison pour la nuit.
Passé cette phase, qui finalement n'aide en rien à l'amour de soi même ... j'ai commencé comme toute nana dont l'horloge biologique avance à vouloir me caser ... et là sont arrivés les questions et les problèmes.
Me méprisant pour mon physique, je n'allais que vers des personnes que finalement je méprisais aussi. Soit un trop gros, soit un trop alcoolique, soit un trop mal dans sa peau, soit un trop dépressif, soit un trop feignant pour vivre d'autre chose que du rmi (celui là m'a même fait un enfant ...) etc. etc.
Dans ma recherche malsaine et constante du gars qui voudrait bien de moi je suis tombée, un soir, sur une discussion sur un tchat spécial grosses qui parlait de vanille. Je ne comprenais pas le terme, et j'ai horreur de ne pas comprendre ^^
J'ai donc commencé à réfléchir et à chercher dans cette direction.
J'avais presque 40 ans et je découvrais pour la première fois l'existence du monde BDSM en tant que monde codifié et répondant à certaines « règles ». Je l'avais effleuré auparavant mais sans en avoir conscience.
Les débuts furent chaotiques puisque j'ai dans un premier temps poussé la porte du site sensationsm en m'imaginant soumise.
Et je suis tombée sur beaucoup de véritables malades (jusqu'au gars voulant me faire baiser par son berger allemand ...) j'en ai donc rapidement conclu que ce monde là était essentiellement peuplé de personnes ayant des besoins sexuels non seulement hors norme mais surtout malsains, qu'ils n'étaient pas "normaux" et que donc moi ne l'étant pas non plus vu mon physique j'allais pouvoir y trouver celui suffisamment malade pour bien vouloir de quelqu'un comme moi ....
Oui je sais la démarche est dure et extrême, même blessante. Mais elle était mienne à l'époque, totalement abîmée que je l'étais par la vision que j'avais de moi-même.
J'ai finalement croisé sur mon tchat préféré un gars vanille, marié et gros baiseur, qui pour me faire plaisir et surtout parce que ça lui permettait de faire ce qu'il voulait avec une nana m'a dit qu'il était Dom.
Il en était loin, j'en ai pris conscience par la suite, mais c'était plutôt une bonne chose parce que très soft finalement, et on a eu une relation où on jouait à la soumise et au Dom à la fifty shade ^^.
J'ai fini par me lasser, tenaillée à nouveau par mon envie d'une relation établie et en plus poussée par l'idée de trouver alors absolument un beau père à mon fils... (grosse erreur)
J'avais lâché sensationsm et j'étais donc retournée, en vanille, à mon site de toujours et que je fréquente encore. J'y ai eu quelques aventures en tant que soumise dont une qui m'a longtemps fait rêver et continue parfois encore à me faire pousser un soupir de déception, non pour le côté soumise mais parce qu'il représentait l'Homme parfait pour moi intellectuellement parlant.
J'ai peu après ça lâché l'idée d'une relation BDSM pour me recentrer sur le vanille que je pensais maîtriser.
Et un soir, j'ai croisé le beau gosse de mes rêves ^__^
Il avait un vrai boulot, une gueule d'ange qui me faisait totalement craquer, adorable, gentil enfin tout quoi :D
J'ai donc décidé de mettre la main dessus. J'ai fini par "l'avoir" et j'ai été passé une nuit chez lui. On a un peu parlé de nos expériences passées et j'ai donc abordé ma période de "soumission". Il m'a dit alors être en réalité soumis et chercher une Domina.
Et donc ... pour lui plaire, pour lui faire plaisir et pour tout faire pour essayer de le garder (pffffff...) je lui ai dit banco je veux bien essayer d'être ta Maîtresse. Je me suis retrouvée un peu comme une poule devant un couteau, ne sachant absolument pas quoi faire et totalement "polluée" par mes habitudes vanilles. Ça n'a évidemment rien donné très vite.
Ensuite, poussée par l'idée que finalement Domina pourrait être plus porteur que soumise j'ai commencé à me pencher sur la question.
Toujours sur le même site j'ai discuté avec un gars qui s'affichait ouvertement soumis. On a pas mal discuté, j'ai posé beaucoup de questions, lui était bien prosélyte (qui a dit souminateur ? ^___^) et il m'a fait prendre conscience que finalement il y avait dans la Domination féminine des pratiques qui faisaient écho à ce que j'étais. Je me suis donc rendue compte que c'était le mode de relation que je voulais vivre. Toujours extrémiste et incapable de ne pas foncer bille en tête j'ai de suite imaginé que la D/s en 24/7 était MA solution. Moi la "grande" Domina vivant avec mon chevalier servant totalement épris de moi et répondant à tous mes désirs .... (oui je sais je n'étais absolument pas réaliste )
Je me suis donc mise à chercher des fora BDSM et je suis tombée sur un forum où le contenu n'était pas uniquement centré sur la consommation immédiate.
Je m'y suis inscrite en tant que Domina et j'ai très vite croisé un soumis qui écrivait bien et ne semblait pas trop con. En moins d'un week-end totalement virtuel (msn+téléphone) il était devenu MON soumis .... à peine plus d'un mois après il venait vivre chez moi à Paris.
Alors a commencé mon véritable apprentissage du BDSM en 24/7. Cette histoire a durée 2 ans ½ est elle est aujourd'hui terminée .
À la fin de cette aventure je me suis retrouvée persuadée que le BDSM n'était absolument pas fait pour moi et que j'avais fait la plus grosse connerie de ma vie en me lançant la dedans.
Toujours poussée par ce besoin de faire plaisir et surtout de tout faire pour garder l'autre, je m'étais perdue dans cette histoire et j'avais fini par en perdre toute libido et toute envie. Je me desséchais littéralement. Et je pense que je suis seule responsable de cela.
J'avais donc envie de tout autre chose que de ce type de relation.
Et puis le temps a passé, j'avais commencé une thérapie avant notre séparation et pris conscience de la perversion de mon mode de pensée. Du côté malsain non pas de ceux que je croisais mais bien de ma démarche et de mon dégoût de moi même. J'ai aussi compris et donc travaillé sur ce qui m'avait amené à cette vie et à ce mépris que je me portais. J'ai compris que je faisais fausse route et que malgré mon physique j'étais une personne que l'on pouvait aimer et que JE pouvais aimer, quelles qu'aient été mes blessures d'enfances. Que j'avais une vraie force de caractère et une capacité à l'indépendance importante. Que je n'étais pas une si mauvaise mère que ça et que j'étais une amie sincère et généreuse pour ceux que j'aimais. Et j'ai surtout compris que j'avais moi aussi réellement le droit au bonheur et que je ne voulais plus me complaire dans un malheur dont j'étais la seule responsable.
Margot venait enfin de devenir adulte
Ce que je sais aujourd'hui, après cette phase d'introspection, c'est que oui, je ne veux plus de 24/7, je ne veux plus de D/s où je dois porter la quasi totalité de la relation, tant sexuelle qu'humaine sur mes seules épaules. En tout cas je ne pense pas pour le moment être capable de revivre ça.
Je sais que je ne veux pas d'un soumis incapable de me montrer qu'il a envie de moi et incapable de me faire l'amour.
Aujourd'hui j'ai envie de vivre une relation BDSM certes, mais où le BDSM ne serait qu'une partie, importante pourquoi pas, mais seulement une partie et non pas la base principale voir unique de la relation.
J'ai pris conscience que j'aime ces jeux de pouvoir mais surtout que je suis finalement assez sadique et que plus que l'échange de pouvoir au quotidien j'aime les jeux sexuels où je peux contraindre, attacher, fesser, fouetter, faire gémir, faire souffrir celui que j'aime ; mais que j'aime aussi les moments totalement romantiques et fleur bleue, où l'homme qui partage ma vie me fait l'amour tendrement et doucement avec une réelle envie de moi et sans que j'ai eu besoin de lui en donner l'ordre, où on passe une soirée à deux devant la télé à regarder une grosse connerie lové dans les bras l'un de l'autre sans que j'ai le besoin de le féminiser ou de l'attacher à mes pieds pour que cela lui plaise.
Aujourd'hui mon exil à 7.000 km de la métropole dans une île pudibonde ne me laisse que peu d'espoir pour rencontrer THE soumis et je ne pense pas être en capacité de vivre une relation strictement virtuelle. J'aime bien trop le réel pour cela.
Donc pour le moment, je ne cherche qu'à discuter, apprendre, dialoguer, échanger sur le BDSM et ses multiples facettes et je remets à « un plus tard » quand je me serais totalement guérie de mon mal être et de mon dégoût de moi même, l'idée de reconstruire une vie de couple pimentée de BDSM.
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C’était une de ces nuits moites et électriques.
Il s’était assis à une table, près de la porte d’entrée.
Puis elle était entrée dans le bar d’une démarche qui avait fait se retourner toutes les têtes.
Short ultra moulant, jambes interminables s’engouffrant crûment dans une paire de santiags, fesses se balançant au bout du regard captif des hommes.
La lumière pourpre faisait luire des gouttes de sueur sur son dos que couvrait mal un tee-shirt débardeur bien trop large.
Elle s’était approchée du comptoir et s’était quasiment collée à l’homme qui, debout, sirotait un verre.
Elle lui dit d’une voix qui ne souffrait aucune discussion tant sa sensualité était impérieuse, « Par cette chaleur, tu m’offres une bière, l’ami ? »
Il fit un signe de tête au barman qui lui servit une grande chope débordant de mousse.
Elle s’en empara. Frotta la chope fraîche sur ses joues laissant de la mousse s’écouler sur son menton puis dans son cou.
Elle but goulûment une longue gorgée, laissant de la bière s’échapper de la commissure de ses lèvres et couler dans son cou et entre ses seins.
« Cela fait du bien mais il fait encore chaud, l’ami. Tu ne crois pas ? »
Et rejetant animalement sa tête en arrière, elle renversa tout le restant de sa chope sur sa poitrine ferme et opulente, collant comme une deuxième peau son débardeur sur ses seins et son ventre, trempant aussi le devant de son short.
Elle s’amusa à regarder couler les traînées de bière sur l’intérieur de ses cuisses et jusque dans ses bottes.
« Mmmmm voilà qui va mieux… »
Elle prit la main de l’homme et la plaqua sur son sein, alors que sa propre main s’emparait de son entrejambe et massait ouvertement ses bourses et son sexe maintenant bien à l’étroit dans son pantalon.
Elle déplaça la main de l’homme pour qu’il agrippe le tissu de son tee-shirt entre ses seins et lui dit « enlève-moi ça, ça me gêne. »
Il tira dessus pendant que la femme se penchait violemment vers l’arrière ; et le vêtement se déchira de part en part dans un grand et long crissement liquide, libérant définitivement sa poitrine luisante.
Elle s’agenouilla dans la flaque de poussière et de bière qui était à ses pieds et dégrafa le pantalon qui était devant son nez.
« Voyons cela » dit-elle l’air gourmand.
Elle en sortit un sexe déjà de belle taille, le saisit à pleine main et l’enfouit dans sa bouche vorace.
Elle le lécha et le pompa avec vigueur, l’engloutissant au plus profond de sa gorge, enfouissant son visage dans le bas-ventre de son partenaire, qu’elle pressait sur elle en ayant vigoureusement empoigné ses fesses.
Au bout d’un moment l’homme saisit sa chevelure pour essayer d’imprimer son rythme à cette furie qui lui procurait des frissons incroyables. Il commença à gémir et allait venir quand elle se détacha de lui, ôta rapidement son short et dégagea rageusement la table la plus proche pour aplatir sa poitrine sur sa surface dégoulinante, présentant une croupe prodigieuse à l’homme qu’elle suçait depuis plusieurs minutes.
« Lâche-toi l’ami, mon cul en feu n’attend plus que ta bite. Tu as un incendie à éteindre de ta lance ! »
A ces mots crus, l’homme se jeta sur elle et la pénétra d’un coup formidable.
Elle poussa un grand ahanement puis l’encouragea des fesses et de la voix par des paroles de plus en plus ordurières.
Au bout de quelques minutes, l’homme n’y tint plus, se dégagea et l’arrosa de longs jets de sperme sur ses fesses, son dos et même ses cheveux.
Harassé, il tituba et faillit tomber s’il ne s’était pas rattrapé au comptoir.
Elle se redressa, remit son short, laissa les restes de son tee-shirt à terre, s’approcha de l’homme, l’embrassa à pleine bouche en lui disant « merci mon vieux, t’as assuré ».
Et s’éloigna lentement du bar vers la sortie, pour aller s’asseoir par terre, près de l’entrée, aux pieds de l’Homme qui était assis à une table et qui, levant lentement le bras, commanda d’une voix grave et tranquille « Deux whiskies… Du single malt s’il vous plaît. »
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Quand je pense à Fernande ...
Comment certaines pensées certes légères mais qui pour certains ne leur ferait même pas soulever une paupière , chez d autres tels que moi provoque presque de suite un émotion difficile de contenir qui se caractérise le plus souvent par un début d érection voir une érection toute entière .
Bien sur se sont presque toujours des pensées dites cochonnes mais pas toujours , quoique si au départ elles ne l étaient pas forcément parfois il suffit de peu pour qu elles le deviennent en même pas l espace d un clignement de paupières ... c est tout dire.
Et dans ce cas de suite mon imagination se réveille et mets en place toutes les possibilités que telle scène , tel lieu ou telle situation pourrait offrir pour des jeux les plus ludiques possibles à souhait.
D’ ou je tiens cela je ne le sais mais loin de m en plaindre je m en satisfait pleinement .
Serais-je doté d un chromosome de plus que les autres ? allez savoir ...
Certains diront que je ne suis qu un obsédé , beaucoup trop réducteur et simpliste à mon gout et puis quand bien même , il n y a aucune honte à l être car il n y a qu’ à voir toutes les possibilités et le bonheur que cet état m’ offre au quotidien.
Souriant et de bonne humeur je le suis presque tout le temps
Tout comme aucune des partenaires qui ont traversées ma vie ne s en sont jamais plaintes , bien au contraire , on a toujours loué chez moi cette si extraordinaire imagination qui nous a permis de vivre tant de délires souvent presque instantanés ce qui fait qu à chaque sortie on aime à se reposer totalement sur moi vu que c est sur je trouverais facilement de quoi nous divertir et nous exciter et ce dans les endroits , situations ou lieux les plus improbables pour le commun des mortels.
Oui le sexe et ses plaisirs fait bien partie intégrante de ma vie , je ne le nie pas mais ce n est pas pour autant que je ne fais que cela car même pour moi à force c est épuisant d avoir en permanence son esprit et son imagination en alerte et si il n y avait que ça , je sais depuis plusieurs années que je souffre ... enfin souffrir est plus un terme d ordre médical , car moi je n éprouve aucune douleur , bien au contraire , d un mal ou plutôt d un trouble dont je ne me souviens plus du nom qui parait-il se soigne très bien mais quel intérêt ... et qui fait que je me masturbe en dormant et ce presque toutes les nuits et une bonne partie de celles-ci sans jamais débander ou presque mais et surtout sans jamais éjaculer .... et ce peut importe si j ai eu ou pas des rapports juste avant de dormir , donc cela ne pourrait correspondre à un manque de ce coté là .... et le pire est qu au réveil je ne me souvient de rien.
Tout ça pour dire que même en dormant mon imagination et ou certaines pensées me provoquent encore et toujours de belles érections ... même pendant mon sommeil.
Ceci explique aussi surement pourquoi certains matins je me réveille hyper fatigué lol.
Pas besoin de voir de jolies femmes en jupette parfois si courte presque au ras de la salle de jeux pour avoir l imagination en éveil et ou un début d érection sinon quelle misère se serait l hiver et puis ceci est surtout à la portée de n importe quel homme .
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Quoi de plus rageant , agaçant et énervant et pire encore que de sentir que l' on passe à coté de que que l on pense être sur le coup la femme de sa vie ... ou de ses rêves.
Combien de fois pour une broutille , une erreur voir même lorsque la technique si infaillible jusqu ici se met d un coup un seul à déconner juste ce jour là ou se moment précis là .
Pour l erreur on ne peut s en prendre qu à soi même et jurer après coup qu on ne refera jamais la même oui mais voilà chaque personne et chaque femme étant unique ce qui avec une le sera avec une autre pas , mais sauf abrutissement total généralement par instinct on évite quand même de refaire celle là même qui nous avait conduit à cet échec si cuisant , si douloureux.
Pour la technique là c est autre chose , soit c est l ordi qui rend l âme en pleine conversation avec la belle , ne riez pas cela m est arrivé dans le passé , et bien entendu on avait pas eu le temps de s échanger nos Nos de téléphone , sur le coup inutile de vous le cacher la colère prend presque de suite la place devant l incompréhension et les pourquoi moi fleurissent à tout va avant d employer d autres termes moins polis mais beaucoup plus en accord avec le ressenti d injustice totale du moment.
Ensuite et toujours concernant l ordi , ne jamais avoir le bon logiciel bien à jour pour communiquer car bien entendu on a jamais celui qu il faut le jour J , mais encore fallait-il savoir que ce jour allait devenir le jour J , mais passons .
Le pire est la perte de réseau soudaine c’ est un peu comme recevoir un sceau d eau froide en pleine hiver alors qu on était nu en train de dégager la neige , oui j exagère un peu , mais vraiment peu alors.
Et là dans ce cas précis et à toute vitesse car l urgence est présente il faut tout vérifier , matériel , connexion , éteindre puis rallumer l ordi en priant que la belle soit animé d une patience à toute épreuve mais surtout d un grand intérêt pour notre petite personne et surtout que tout remarche comme avant et qu elle soit toujours là.
Dans la plupart des cas ça repart , mais parfois et on ne comprend pas pourquoi le sort s acharne sur nous et rien à faire et même et cela m est aussi arrivé plus de connexion durant plusieurs jours , ce qui méritait bien un appel comment dire ... pas vraiment courtois envers l opérateur concerné avec menaces de résiliation si connexion pas obtenue rapidement.
Et puis il y a le téléphone , dans la série des bourdes monumentales , je me souviens il y a bien longtemps d une jolie fille que j avais dragué et avec qui après une formidable après midi en sa compagnie ou l on était devenus déjà hyper complices je lui avait donné mon numéro et elle m avait promis de me tel le lendemain , mais rien ni les jours suivants et ce n est qu un peu plus tard que j ai compris pourquoi , je m étais trompé d un chiffre en lui donnant mon numéro ... non ça ne s invente pas.
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6 mois, cela faisait 6 mois que Notre projet couvait.
Il naquit un certain soir, dans une chambre.
Lui, Il l'avait attaché, d'un beau cordage pour ses jambes. Elle, entravée, buvait avec délectation ce moment, comme tous les autres, riche en sensation et complicité.
Mais au lieu de sortir une autre corde, un petit écrin apparut et s'ouvrit, avec la question magique, laissant apparaitre mille points brillants ....
Ce Jour est l'aboutissement. Une dalle dorée sur Notre Chemin que nous traçons depuis que Nous nous connaissons, il y a maintenant 2 ans.
Le stress n'a jamais été de mise. Son caractère zen a toujours été présent même à 1h de dire 'Oui'.
Il n'avait pas encore vu sa tenue en complet. La confiance qu'Il accordait aux Petites Mains, les Mains de Fée, qui le Lui confectionnait était sans limite. Il avait vu des pièces séparées, procédé à plusieurs essayages, choisi les tissus, mais surtout, Il avait vu et senti qu'avec le talent, il y avait le Coeur. Une passion sans borne, avec un savoir-faire prodigieux, la perfection toujours recherchée, une bonne humeur toujours au rdv, même quand les délais deviennent tendus, une Vraie Authenticité mêlée à de la simplicité.... Tous ces ingrédients Lui inspiraient de la confiance. Il savait que tout irait bien; il en était intimement convaincu.
A H-1, Il troque le t-shirt de base contre ce Chef-d'Oeuvre, une tenue gothique victorienne. L'idée est venue des envies de sa Fierté, et de son gout pour ce style noir, mais classe, qu'Il avait un peu de mal à exprimer au grand jour.
Cela va se faire, devant tout ses proches ...
Alors qu'Il enfile les différents vêtements, les Mains de Fée l'aide à se vêtir. Il y a l'excitation, et c'est la première fois qu'Il les portent tous ensemble.
Une curieuse sensation Le traverse. Un mélange d'excitation, certes, et de fierté. Beaucoup de fierté et d'émotion. Cette tenue est splendide, un autre Homme la porte. Le miroir ne semble pas mentir, mais c'est un autre Lui qui se tient debout, ainsi.
Cela Lui va comme un gant.
Mais Il est très fier, et soulagé malgré tout, de voir les Mains de Fée respirer enfin, soulager que tout aille à la perfection et que les nombreuses heures de travail soient récompensées de la sorte. Une sourire, des paroles qui se veulent rassurantes pour signifier qu'il n'y a plus rien à retoucher. Et même s'il fait chaud, c'est une joie, un bonheur d'être habillé ainsi.
Le dernier coup de main marque cet étrange moment où de nombreuses sensations se mélangent dans un joli capharnaüm... Avec le plaisir de se faire habiller dans une Oeuvre d'art(pas comme d'habitude où les rares types qui donnent un coup de main le font avec le plus d'impersonnalité et le maximum de vénalité possible) par sa Créatrice livrant son Oeuvre d'Art et l'émotion de la journée, Il a la puissante sensation de ne pas être ce qu'Il est d'habitude, mais bien mieux que cela.
Mais il est encore plus puissant quand Il se présente ainsi devant sa Fierté, confirmant les dires du miroir et de Ses sentiments. Elle retomberait amoureuse de son Homme ...
Ce moment intense est écourté par le délai : elle doit encore s'habiller, quand arrive un de Ses témoins. Lui aussi tombera des nues, le reconnaissant à peine. La surprise lue sur son visage est sans équivoque.
C'est quelques minutes plus tard, au pied de la mairie (sans plus de stress que cela), qu'Il la découvre enfin.
Il n'y a pas assez de 2 yeux, ni de chemin à parcourir pour admirer cet autre chef d'oeuvre. Il s'attendait à du lourd, c'est une Somptuosité.
Le moindre recoin a été travaillé, le moindre détail pris en compte impeccablement; aucun fil n'est laissé au hasard. Une telle beauté est presque irréelle.... Et pourtant, elle habille Sa Fierté, aussi rayonnante qu'exceptionnelle.
Il pourra admirer, parcourir le reste de cet Oeuvre tout au long de la journée, se laissant surprendre de la finesse des accessoires, des autres détails, décors, .... Il en perd ses mots...
Qu'il eut été transformé ainsi, épris par tant de bonheur de revêtir une Oeuvre qui dévoile une partie de sa personnalité avec tant d'aisance, avec la fierté supplémentaire de porter une tenue conçue avec le Coeur par des Mains de Fée, Il en aurait presque été destabilisé. Mais il est peu comparé à la manière dont sa Future a été métamorphosée.
C'est un rêve.
C'est presque irréel.
Elle qui avait été ligotée pour se voir proposer Sa demande de mariage.
Elle qui porte le collier symboliquement depuis 2 ans.
Elle qui fait son Bonheur depuis le début.
Elle est plus que jamais Sa Fierté.
La journée se déroule comme un torrent. Des sensation, des émotions, mais Il a l'impression que ca va vite. Est-ce ainsi quand on vit sa journée sur un nuage ?
Ils sont le centre d'intérêt de toutes ces personnes invitées à participer à la cérémonie de Leur Bonheur. A la base.
Mais nul n'avait vu un couple vivant ainsi en bordure de chemin. A leur grande joie.
Plus tard dans la soirée, Il se surprendra à être totalement à l'aise pour l'ouverture de bal. Ils avaient appris quelques pas de danse grâce à l'Homme de Mains de Fée. Des pas simples, de la mise en confiance.
N'aimant pas danser et craignant le regard des autres, il s'agissait d'une épreuve pour Lui.
Il s'est passé qu'Il était à l'aise et en redemandait. Mains de Fée n'avait pas été la seule à l'avoir transformé, au final....
La soirée avançait trop vite. Il avait tout ce qu'il fallait pour continuer à vivre ce moment d'exception, mais il a fallu éteindre les lumières, avant que certaines autres musique ne soient diffusées.
Un retour à la réalité avec un petit pincement au coeur, mais heureux de porter cette alliance.
Heureux d'avoir savourer quelques slows dans les bras de Sa Femme, la dévorant de ces yeux qui l'avaient charmé 2 ans auparavant. Qu'existe-t-il de plus merveilleux quand les regards se fondent l'un dans l'autre avec une si amoureuse intensité ?
C'est quand les mots ne sont plus suffisants pour traduire des émotions aussi fortes qu'intenses.
C'est ce qui a été vécu pendant cette soirée, cette journée, magiquement exceptionnelle.
Sa Femme était dans Ses bras, Il avait voulu danser aussi avec sa Soumise (oui, un "S" majuscule) : les bracelets étaient de sortie, mais trop tard...
Puisse la Réalité se tenir correctement pour que le Maitre retrouve sa soumise
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Il est des aventures dont on ne sait s’il faut en rigoler ou s’en attrister… et là, je vais plutôt en rire.
Je discutais depuis quelques jours sur un site spécialisé avec un homme plutôt cultivé et courtois qui aurait pu me convenir en que dominant. Nous avons donc échangé nos numéros de téléphone et le contact téléphonique s’est poursuivi, tout aussi intéressant que nos écrits.
Là où ça a tout de même un peu péché, c’est qu’il m’expliquait être Grand Maître. Il avait été élu (ou nommé je ne sais plus) par une confrérie avignonnaise chargée de former les Grands Maîtres. Je vous explique brièvement : le Maître est formé sur toutes les activités bdsm courantes et apparemment, sur la psychologie de la soumise (comment se comporter avec elle et être un bon maître pour elle). Une fois que le maître a réussi a amené une soumise au niveau « O » , il est proclamé Grand Maître par la confrérie et peut donc à siéger à leur table. (Je veux bien !)
Ayant pour habitude de ne jamais prendre pour argent comptant ce que l’on me dit (surtout venant des dominants, pardon messieurs les Doms), je décidais de faire un petit tour sur le web afin de me renseigner sur cette fameuse confrérie. Elle est carrément bien planquée ! Je n’ai rien trouvé… (d’ailleurs si quelqu’un sur ce site peut m’éclairer sur le sujet, j’en serais ravie… mais je doute !)
Je décidais de laisser cette histoire de confrérie de côté pour le moment et de me concentrer sur la personne en question, ses pratiques et sa façon de vivre le bdsm. Je me trouvais de plus en plus d’affinités avec lui.
Aussi, lorsqu’une amie m’a invitée à une soirée bdsm chez elle, j’en ai fait part à mon contact qui s’est dit ravi de m’accompagner. Nous pourrions même « jouer » ensemble ! Et c’était pour moi l’occasion de le rencontrer en terrain neutre.
Nous décidions donc de nous retrouver une heure avant dans un endroit public afin de faire connaissance. Si nous nous convenions physiquement (oui, le physique est tout de même un critère qu’on ne peut ignorer), nous irions à cette soirée ensemble. Si non, nous repartirions chacun de notre côté et je m’y rendrais seule. J’avais, de toute façon, l’intention d’y aller.
Nous nous sommes donc rencontrés. Tout s’est bien passé : bonne conversation, bon échange, mise au point sur certaines petites choses et le monsieur était décidé à m’accompagner.
« je te suis », me dit-il
Nous avons pris nos voitures respectives et il s’est mis à me suivre car ne connaissait pas notre destination. Nous avons passé un premier rond point puis un deuxième ! Et là, je constate avec stupeur, que le monsieur est en train de faire demi-tour et de s’enfuir !!!
Pourquoi ? Cela reste un grand mystère et je ne vais pas chercher à savoir…
Je suis simplement éberluée de voir qu’un homme qui se prétend dominant, et plus encore puisque soi-disant grand maître, ne soit même pas capable de dire à une soumise qu’il rencontre qu’elle ne lui convient pas !
Ou alors, le monsieur a eu peur de se faire démasquer dans une soirée entouré de gens « du milieu » !
Cette histoire n’est qu’une histoire parmi d’autres et il y aurait beaucoup à dire sur la lâcheté des dominants
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Pas celle de Monsieur Seguin
Petite et quelque fois naine
Une chose de sûre elle n est jamais vilaine
Elle aime à marcher et gambader
Sans presque jamais se reposer
De se vêtir de blanc de noir ou de marron
Toutes les couleurs de toute façon lui vont
Plutôt du genre végétarienne
De kilo elle en mange par douzaine
De caractère doux et plutôt facile
Elle n en reste pas moins agile
Elle se laisse facilement attacher
Mais de tirer sur sa corde elle pourrait se cabrer
Plus sensible qu on ne la croie
Le savoir est déjà un exploit
Point nécessaire qu elle se vautre
Surtout ne la prenez pas pour une autre
Sans nul doute elle est faite pour obéir
C est son devoir de l accomplir
De se sentir en sécurité
Oui elle aime s y retrouver
Elle jouit d une certaine intelligence
Mais aussi d une certaine impatience
Elle aime à se sentir protégée
De suite vous allez l adorer
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