La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 10/10/21
Madeleine: chapitre 1 Madeleine rencontre son jouet. Madeleine est ce qu’on appelle une vieille fille et à la quarantaine et ne s’est jamais mariée. Elle a bien eu des amours de passage mais jamais un seul n’est resté. Peut-être que son caractère un peu fort a fait fuir les prétendants mais tant pis elle est toujours restée maitresse de sa vie et ça n’est pas parti pour changer. Pourtant elle est encore bien foutue. Elle ferait une couguar magnifique avec sa taille contenue et sa poitrine opulente qui fait se retourner pas mal de garçons encore maintenant. Elle pense parfois au sexe et aimerait avoir un homme juste à se disposition pour assouvir ses pulsions quand elle en a. Mais ce genre d’homme ne doit pas courir les rues. Tant pis elle se contente de s’acheter parfois des dessous coquins juste pour elle. Kevin est représentant en assurance à l’ancienne du genre de ceux qui bloquent la porte avec leur pied et sont indécrochables. Il a vingt-cinq ans et une belle gueule dont il abuse pour faire signer les ménagères mures qui représentent son gibier favori. Aujourd’hui ça n’a pas marché terrible. Il est tombé sur beaucoup de portes closes et les rares qui se sont ouvertes cachaient des hommes pas vraiment impressionnés par sa beauté féline. Il est tard mais il veut absolument conclure un contrat aujourd’hui. Il a fait tout le secteur qui était programmé et maintenant il se balade au hasard comptant sur son instinct pour trouver une rombière à croquer toute crue. Encore une tentative. Il sonne et entend des pas lents approcher de la porte. Celle-ci s’entrouvre. Miracle c’est pile poil son terrain de chasse une femme mure encore bien foutue qui va forcément tomber sous son charme. Madeleine s’en veut d’avoir ouvert sans regarder dans le judas. Ça va être coton de se débarrasser de ce minet. Pendant qu’il déballe son boniment elle se fait la remarque que c’est pile le genre de jeunot qu’elle aimerait avoir à sa disposition quand elle en a besoin. Il voit que son charme agit et réussit sans qu’elle ne s’en aperçoive à pénétrer dans la maison elle est en colère contre elle-même. Maintenant ça va être encore plus coton. En vainqueur il la pousse quasiment dans le salon où il s’installe en enlevant sa veste pour montrer sa belle musculature. Décidément il m’en faudrait un comme ça dans un placard se dit elle malgré elle. Il étale ses prospectus et la pourri de compliment sur sa forme éblouissante et ses yeux malicieux. Des ficelles usées qui ne font que l’énerver. Mais qu’est ce qu’il croit ce butor il me prend pour une faible. Il mériterait une bonne leçon. Se dit-elle. Il lui raconte que c’est e bon dieu qui a guidé ses pas jusque chez elle alors qu’elle n’est pas sur son secteur de prospection. Il tousse un peu et se racle la gorge puis demande si elle a un verre d’eau à lui offrir. Elle décide de lui donner une leçon. Elle lui propose de lui faire un café c’est mieux qu’un verre d’eau et surtout se dit elle ça cachera le gout du laxatif que je vais lui faire boire. On verra s’il est toujours vaillant après ça. Il accepte et la remercie pour sa bonté. Elle le laisse pour aller préparer le café. Elle fouille en passant dans sa pharmacie pour trouver le laxatif. La première chose qui’ lui tombe dans la main est un puissant sirop pour lutter contre les insomnies. Elle s’en sert parfois mais c’est très fort et deux gouttes suffisent pour l’assommer net. Elle hésite. Et si … Il parade comme un coq dans le salon. La rombière lui fait un café. C’est dans la poche. Il va conclure et lui faire un contrat béton sur lequel il va bien toucher. Il kiffe sa vie. Madeleine revient. Elle a deux tasses café fumantes dans les mains et lui en donne une. Il boit rapidement le café car il est temps de passer l’estocade. Il a le temps de se dire que la mamie n’est pas la reine du café car il a un gout bizarre. Elle lui demande ce qu’il a comme voiture. Il lui répond une Clio jaune garée juste en bas. En se demandant pourquoi elle lui a posé cette question. Elle lui demande s’il est marié ou en couple. Ça y est elle va lui proposer un coup. Pourquoi pas comme ça je la niquerais de tous le cotés se dit-il. Il lui assure qu’il est libre comme l’air. Elle sourit. Il veut passer au contrat mais il sent que sa journée a été longue car il est crevé. Sa tête semble trop lourde pour son cou. Elle le prend dans ses bras et le couche gentiment sur le canapé. Il n’a pas le temps de la remercier. Madeleine est stupéfaite de ce qu’elle a osé faire. Et maintenant je fais quoi se dit-elle. Elle fouille les poches du jeunot et trouve les clés de la Clio. Elle prend le portefeuille et le téléphone du gars et sort de la maison. Il en a pour un bout de temps avant de se réveiller. Elle trouve rapidement la Clio et monte dedans. Elle roule quelques pâtés de maisons et arrête la Clio dans la cité terrible de la ville. Elle laisse le portefeuille le téléphone et les clés sur le contact et rentre tranquillement chez elle. Il lui faut près d’une heure pour arriver chez elle. Elle va dans le salon ou le jeune dort comme un bébé. Elle s’en approche et le déshabille complètement. C’est vrai qu’il est pas mal elle lui masse la queue qui petit à petit se met à durcir. Il est très bien monté et elle se dit qu’il ferait un parfait porte sexe pour assouvir ses pulsions qu’elle sent d’ailleurs monter en force. Elle n’a pas été excitée comme ça depuis de lustres. C’est pas tout il va bien finir par se réveiller et ne sera pas très content de son sort. Elle va dans son garage pour récupérer de l’adhésif et du cordage. En passant elle repense à la boite qu’un de ses anciens amants un peu pervers a laissée quand elle l’a viré. Elle prend la boite qui est assez lourde et l’ouvre dans le garage. Dedans il y a une panoplie BDSM. Des menottes, des bâillons boule, des cordes, des accessoires dont elle n’a aucune idée de l’usage et une cagoule aveugle en latex. Elle emmène la boite dans le salon et la vide à côté du dormeur. Bon je vais le mettre où. Elle pense le mettre dans un placard mais ce serait dommage de ne pas l’avoir en expo dans son salon. Elle regarde autour d’elle et petit à petit une idée se précise. Kevin a une grosse gueule de bois. Il émerge peu à peu du sommeil. Il a mal partout et prend peu à peu conscience de son corps. Sa position n’a rien de naturel. Affolé il ouvre les yeux mais reste dans le noir. Il est à genou sur quelque chose de dur et ses pieds sont maintenus écartés par des liens. Il ne peut pas serrer les jambes. Ses bras sont tendus au-dessus de lui et attachés en hauteur. Il ne peut pas se reposer sur ses fesses. Quelque chose lui écarte la mâchoire et l’empêche de parler. C’est quoi ce bordel. En plus quelque chose lui enserre la queue et les testicules et il a un truc genre gourdin enfoncé dans son cul. Il gigote et essaye de se défaire de tout ça mais les liens sont solides et ne bougent pas d’un millimètre. Il veut crier mais juste un vague gémissement sort de sa bouche. Je crois que mon jouet se réveille dit une voix féminine. Il reconnait la voix de la cliente Il rue mais en vain. Elle attend qu’il se calme. Après quelques minutes elle lui dit tu es beau comme ça. Dommage que tu ne bandes pas j’aurai bien aimé que tu bandes pour moi. Mais je pense que tu dois avoir envie de pisser. Elle s’approche et lui prend la bite dans la main. Elle approche un flacon et lui dit tu peux y aller. Il ne veut pas mais l’envie arrive et il finit par se soulager. Bien dit-elle. Elle va vider le flacon et revient vers lui. Elle lui reprend la bite et entreprend de la malaxer. Elle passe la main derrière lui et active les vibrations du plugs annal qui est bien enfoncé dans son cul. Les caresses et les vibrations commencent à agir il commence bien malgré lui à bander. Elle l’encourage en lui susurrant des mots pervers. Il finit par avoir une belle trique. Elle le prend en bouche et le suce avec application. Il commence à onduler mais au moment où il sent que ça vient elle s’arrête et le laisse en plan. Bien tu as une bonne queue. Je pense qu’on va passer du bon temps tous les deux maintenant que tu m’appartiens. Il débande aussitôt. C’est quoi ce délire. Elle lui explique que sa voiture son téléphone et son portefeuille ont disparus dans la cité terrible. Et qu’on se demande ce qui a bien pu lui arriver. Mais qu’il se rassure. Tant qu’il bandera comme ça il sera bien traité. Kevin se demande comment il va bien pouvoir s’échapper de ce piège. Pour le moment il est trop bien ligoté. Il se contente d’écouter la sorcière. Madeleine voit que Kevin l’écoute. Elle lui dit que désormais il s’appellera jouet car il est le jouet de madeleine. Elle lui précise qu’aujourd’hui il ne mangera rien et servira d’ornement au salon. A partir de demain il pourra manger mais pour cela il devra la satisfaire dans tout ce qu’elle demandera sinon ça sera diète et coups de martinets. Elle lui montre un martinet avec des lanières en cuir qui ne présage rien de bon. La matinée se passe. La position de Kevin est douloureuse et il ne peut pas se reposer. Il commence à avoir faim et surtout soif. Midi approche. Madeleine se concocte un plateau repas et vient déjeuner au salon face à sa statue vivante. Elle lui enlève la cagoule et il peut enfin y voir. Elle est en sous-vêtements très vaporeux qui mettent en valeur son corps bien foutu. Elle lui montre un verre et lui demande s’il a soif. Il hoche la tête. Elle lui dit alors qu’elle va lui enlever le bâillon le temps qu’il boive mais que si il parle ou crie elle lui remet le bâillon, le fouette et ne lui donne pas d’eau. Il hoche la tête. Elle lui enlève le bâillon et il se met à crier comme un sourd pour appeler à l’aide. Elle a tôt fait de lui remettre le bâillon et lui dit qu’ici personne ne peut l’entendre mais comme il n’a pas tenu parole il doit être puni. Elle passe derrière lui et lui assène dix coups de martinets bien appuyés. Il a les larmes aux yeux et ses fesses le brulent. Il est persuadé qu’il n’a plus de peau sur le derrière. Madeleine se replace en face de lui et déjeune tranquillement. Elle s’absente pour faire la vaisselle et revient dans le salon pour regarder la télévision. Il est toujours attaché et la douleur est insupportable entre la position qui est difficile à tenir et les fesse qui le cuisent. En plus il a une soif pas possible. L’après-midi passe. Madeleine décide de profiter un peu de son jouet. Elle s’approche de lui et lui attrape le pénis et les couilles à pleine main. Maintenant mon beau jouet il va falloir me faire plaisir sinon c’est le fouet. Kevin est effaré il n veut pas regouter au fouet. Il se force à penser au sexe et peu à peu une érection arrive. Madeleine sent le sexe palpiter et le malaxe avec vigueur. Puis une fois qu’il a pris de bonnes proportions elle le prend dans la bouche et entreprend une fellation experte. Kevin réagit à la fellation et bande au maximum. Comme dans la matinée au moment où il va jouir elle arrête et se recule en regardant le chibre palpitant. Eh non mon jouet c‘est pas encore le moment de gicler tu dois d’abord me faire plaisir. Tu vas comprendre. Elle lui remet la cagoule et il se retrouve dans le noir. Il sent qu’elle modifie les liens et en quelques secondes il se retrouve par terre toujours à genou mais ce coup-ci ses mains sont menottées dans le dos. Elle lui a mis un collier avec une laisse. Je vais t’enlever le bâillon mais tu ne parles pas et ne crie pas sinon c’est le martinet, 20 coups cette fois et pas que sur tes petites fesses. Il hésite mais ses fesses le cuisent encore suffisamment pour qu’il se résigne à se taire. Le bâillon est enlevé. Elle tire la laisse vers le bas et il se retrouve la tête collée aux pieds de Madeleine. Lèche-moi les pieds petit jouet et mets-y du cœur. Abasourdi il veut relever la tête mais la laisse est bien tenue et un petit coup de martinet lui cingle les fesses. Il se rebaisse et lèche les pieds de Madeleine. Elle exulte et le laisse faite pendant quelques minutes. Maintenant tu vas monter un peu plus haut dit elle et elle tire sur la laisse pour amener le visage de Kévin dans l’entrecuisse. Aller petit jouet fais-moi voir ce que tu vaux avec ta langue. Il hésite mais un petit coup de martinet l’aide à se décider. Il commence à lui brouter la chatte. Madeleine commente les opérations et lui indique ce qui est bien ou pas. En quelques minutes il est expert et madeleine part plusieurs fois en live. Elle est essoufflée et éloigne la tête de Kévin de sa chatte. Entre temps il a fini par bander durement. Elle le voit et se dit autant en profiter. Elle le couche sur le dos sur le tapis du salon et l’enfourche avec joie. Elle s’empale et lui dit que maintenant il peut ruer comme il le sent. Il finit par lâcher prise et donne des grands coups de rein. Ce coup-ci il est autorisé à gicler et peut enfin se lâcher complétement. Il est hors d’haleine. Elle pèse son poids et l’a chevauchée comme une furie. Elle se relève et dit bien mon petit jouet tu t’es bien comporté et tu vas avoir une petite récompense. Elle le remet à genou. Puis lui enlève la cagoule. A côté de lui il y a une gamelle pour chien remplie d’eau. Tu peux boire mon petit jouet autant que tu veux. Ensuite tu regagneras ta place sur la table. Il se retourne et voit la table du salon sur laquelle il a dut passer une partie de la journée. Et si tu es sage tu n’auras pas les bras attachés au plafond. Il regarde le plafond et voit un anneau en métal dédié normalement à l’accrochage d’un lustre. Il est interloqué comment peut-il boire ? Elle devine sa gêne et lui dit tu n’as qu’à faire comme un chat ou un chien il faut laper. Elle lui montre le martinet et le remue dans sa main. Il baisse la tête et commence à laper. C’est très dur et très long de boire de cette façon. Il met plusieurs minutes à étancher sa soif. Quand il a fini elle le raccompagne fermement sur la table ou il se met à genou face à elle. Elle lui menotte les chevilles et relie les menottes des mains à celle des chevilles et lui remet la cagoule. Il ne peut pas descendre de la table au risque de se casser la gueule. Ecartes bien les genoux que je vois tes attributs dit-elle. Il écarte les genoux. L’après-midi se termine. Madeleine se fait un plateau repas et revient au salon avec le plateau et une bouteille de vin. Elle se met face à lui et commence à diner en arrosant le repas avec le vin. Il est affamé et sent avec envie ce qu’elle mange. Si tu bandes pour moi je partage mon assiette avec toi dit-elle sinon je te fouette. Encore une fois il doit puiser dans son imagination pour se faire bander. Ravie de l’érection madeleine s’approche de Kevin et lui fait manger par petites bouchées une partie de son repas. Il picore et ça fait du bien de manger enfin quelque chose. Madeleine une fois son repas fini se rapproche de Kevin et lui fait une fellation enfin jusqu’au bout. Il se rend compte qu’elle est insatiable. Dommage qu’il n l’ai pas connu dans d’autres circonstances. La soirée avance et madeleine décide d’aller se coucher. Kevin est effaré il ne veut pas passer la nuit à genou sur cette table. Pourtant il va passer la nuit dans cette position inconfortable. Madeleine pour sa part savoure sa journée délicieuse. Elle se demande ce qu’elle va pouvoir inventer demain pour profiter de son jouet chéri. La nuit est compliquée pour Kevin. Il dort par petites touches vite réveillé par la position inconfortable. Enfin il entend madeleine qui se lève. Elle vient dans le salon et lui demande s’il a été sage. Il attend la suite. Elle lui dit qu’il est l’heure de passer à la douche et après lui avoir libéré les chevilles l’emmène par la laisse jusqu’à la salle de bains. Elle le douche lui lave les dents et le frictionne rudement. Enfin elle l’entraine vers la cuisine pour le petit déjeuner. Là elle lui remet la cagoule et le fait mettre à genoux. Si mon petit jouet veut un petit déjeuner il va falloir d’abord qu’il fasse plaisir à sa maitresse. Elle tire la laisse et il se déplace péniblement à genou jusqu’à ce que son visage rencontre l’entrejambe de madeleine qui ne porte pas de culotte Un petit coup de martinet et il entame un cunnilingus matinal pendant que madeleine prend son café. Elle est aux anges. Après quelques minutes elle est repue. Elle lui enlève la cagoule et il voit une gamelle pleine de céréales à côté de lui. Affamé il se jette dessus et mange sans pouvoir s’aider de ses mains. Une fois sa gamelle vide madeleine lui dit maintenant tu vas aller faire un petit pipi car tu vas devoir m’attendre jusqu’à midi quand je rentrerais du taf. Elle le remet debout et l’emmène aux toilettes. Puis retour dans le salon où il reprend sa place d’objet décoratif sur la table du salon. Cagoulé il ne peut rien voir et après avoir tenté en vain de se détacher il prend son mal en patience. Les heures sont longues et la position toujours inconfortable l’empêche de s’endormir complétement. Soudain un bruit le réveille c’est madeleine qui rentre. Elle vient près de lui et lui saisit le sexe. Ça m‘a manqué ce matin. Heureusement je vais jouer avec cet après-midi mais d’abord un apéritif. Il doit attendre que madeleine ai pris son apéritif et déjeuné pour qu’elle se rapproche de lui. Je pense que tu serais beaucoup plus beau et excitant sans tous ces poils. On va s’occuper de ça. Il se demande ce qu’elle va faire quand il sent qu’elle modifie ses liens. En peu de temps il retrouve la position dans laquelle il s’est réveillé la veille, les bras tendus vers le haut et les genoux écartés au maximum. Il sait que sa queue et ses couilles sont offertes à la vue de madeleine. Il sent tout à coup le bruit d’une tondeuse qui rase les poils pubiens. Puis une espèce de crème est déposée sur sa peau du cul jusqu’aux contours de sa bite. Madeleine dit c’est une bonne crème dépilatoire. Tu vas être beau comme un cœur. Après quelques minutes elle essuie la crème et le rince avec un gant de toilette qu’elle humidifie dans une bassine. Enfin elle sèche et commence à le malaxer. L’absence de poils lui donne l’impression d’être encore plus nu et plus vulnérable. En même temps le contact des doigts de madeleine directement sur la peau l’embrase littéralement. Il est pris d’une érection massive. Madeleine le félicite pour sa tenue et masse tendrement les couilles et la bite de Kevin. Elle y goute avec la bouche ce qui rend fou Kevin qui ne pense plus à sa situation mais voudrait surtout mettre sa bite dans une chatte brulante. Quelques minutes plu tard madeleine le décroche du plafond et le fait descendre de la table avec les mains menottées dans le dos. Ne voyant toujours rien il est guidé par la laisse et finalement sa bite tendue rencontre l’arrière de madeleine qui s’est penchée en avant jusqu’à reposer ses mains sur le dossier du canapé. D’une main experte elle guide le membre palpitant dans son sexe qui est ruisselant d’excitation. Kevin ne pense qu’à fourrer cette chatte accueillante et il la pilonne avec toute l’énergie qu’il peut y mettre. Trois mois ont passés Kevin malgré toute sa volonté n’a pas réussi une seule fois à déjouer la méfiance de madeleine qui ne relâche jamais son attention. Il est toujours garroté comme un gibier et la plupart du temps il a la cagoule qui le prive de la vision Sa seule distraction est de tirer un coup plusieurs fois par jour car madeleine est insatiable. Il la soupçonne de lui faire boire une mixture pour qu’il soit tout le temps avec la gaule et qu’il récupère si vite. Finalement il attend chaque jour avec impatience qu’elle rentre du taf pour pouvoir niquer. Madeleine est contente. La petite potion qu’elle fait boire à son jouet est maintenant bien au point et il est toujours disponible avec une gaule appréciable. A suivre.
792 vues 9 aime
Par : le 10/10/21
Nous avions passé la journée ensemble. Nous étions sortis nous aérer. Je sentais encore sur mon fessier la marque de la ceinture. J’avais quelques petites douleurs. Mon dos me faisait un peu mal. Il se montrait si doux. J’adorais sa tendresse, quand il me prenait dans ses bras. Ces petits moments simples qui sont précieux. Nous étions revenus à Deadalus. Cassandra était toujours aussi belle. - Bonsoir Mademoiselle Lane, comment allez-vous ? - Bien Cassandra, je vous remercie. - Cassandra, puis-je vous voir? demanda Monsieur. - Oui bien sur. - Allez à votre chambre Mademoiselle, Cassandra viendra vous donner les instructions pour ce soir. - Mickaël va venir vous chercher. Ne bougez pas. Quelques minutes après, Mickael se présenta. Il m’adressa son sourire. - Comment va la petite malade, son traitement lui a-t-il plu ? Je baissais les yeux, si intimidée. Monsieur m’avait interrogé sur tous les ressentis, mes sentiments, mes interrogations. - Comment se porte votre fessier ? Votre maître m’avait demandé d’y mettre du cœur à l’ouvrage se vanta-t-il. - Il est quelque peu douloureux je dois le reconnaitre. - Humm, vous allez garder en tête ces instants, ça me rend tout dur voyez-vous. - Je… - Vous êtes une sacrée chienne. De l’autorité, de la contrainte et vous mouillez et écartez vos cuisses pour être prise. Assumez-vous. Je n’osai pas répondre. J’avais toujours ce sentiment de culpabilité même si cela avait été exécuté sous les ordres de Monsieur. - Je m’en veux Mickaël. - D’avoir aimé tout ce que vous m’avez fait. - Ne culpabilisez pas. Soyez toujours honnête avec vous-même. Un homme qui fait tout pour réaliser vos désirs, il s’abandonne aussi. Il vit aussi dans la crainte de vous perdre aussi, mais c’est ce qui rend ces moments intenses et précieux. Toujours à la recherche de se surpasser et de rester vrai. Peu de gens en son capable. - Je ne sais pas, vous avez peut être raison. Je culpabilise car je m’autorise des choses et je lui en impose des limites.. - Nous en avons tous, après certaines de vos limites sont celles que vous ne voulez pas franchir car vous vous enfermez dans votre confort, à ne pas chercher à voir au-delà de votre forteresse. - Vous êtes bien surprenant ! comment vous êtes arrivé ici ? - Ah ça c’est un secret ma chère. Bonne soirée. Il me laissa dans ma chambre. Je rêvassais. Tous ces moments passés si intense émotionnellement. Tout était remis en question. Mes questionnements, la femme que j’étais. J’étais à fleur de peau. Je ne pensais qu’à lui, à notre connexion. Je prenais ma douche, brulante pour apaiser mes tensions. J’en profitais pour mettre ensuite de l’Arnica sur mes fesses. En sortant de la salle de bain Cassandra était dans ma chambre. Elle se rapprocha de moi. J’étais en serviette. Son visage proche du mien, elle chuchota à mon oreille - Monsieur souhaite vous voir à 20h. Voici votre tenue pour ce soir et ses instructions. Elle avait déposé sur le lit une robe noire presque vulgaire ultra moulante , des bas et un manteau. Allions-nous sortir ? Il m’avait demandé de rapporter ma brosse à cheveux, je trouvais cela bien étrange. Je toquais à sa porte. - Entrez. Il était assis sur le canapé tenant dans sa main un verre. - Bonsoir Monsieur. - Bonsoir Mademoiselle. - Venez face à moi. Il me montra du doigt où je devais me mettre. Ce doigt autoritaire. - Tenez Monsieur. Je lui tendais ma brosse à cheveux. - Posez là sur la table. Je portais le long manteau noir. IL me regarda et me dit. - Voyons à quoi vous ressemblez ce soir. Ôtez votre manteau. - Hum parfait. Nous allons avoir une petite conversation. A genou. Il releva mon menton avec sa main. - Humm très sexy dans cette robe noire. - Relevez-vous. Ses mains passaient entre mes seins, caressant ma poitrine redescendant sur mes hanches, mes fesses. Il me tourna. D’une main ferme il défit la fermeture éclair de ma robe. Je me retrouvais ainsi seins nu en porte jarretelle bas et haut talons. Ma laisse tombante entre mes seins. - Retournez vous. Sans rien dire, il me caressa à nouveau entre les seins tout en se dirigeant vers mon ventre. Il baissa ma culotte juste assez pour découvrir ma chatte. Avec deux doigts il écarta mes lèvres pour libérer mon clitoris. - Déjà humide ? - Hum.. - Répondez ! - Oui… Monsieur. Déjà humide. Il saisit un ciseau posé sur la table et coupa ma culotte. - C’est mieux ainsi. Une putain est toujours mieux la chatte à l’air. Tournez vous. - Vos fesses ont été bien chauffées hier. Il passait ses doigts sur mes marques. Il les caressaient, les prenant de pleines mains, les claquant. - Aie…. - Humm oui je me doute combien c’est sensible, mais si je le juge nécessaire et selon votre attitude, je vous punirais et l’état de vos fesses ne regarde que vous. Vous avez mérité cette fessée. Mettez-vous à quatre pattes et présentez-moi vos trous je vous prie. Je m’exécutais, tremblante. - Avez-vous froid ? - Non Monsieur. - Pourquoi tremblez-vous ? - Je ne sais pas Monsieur, l’émotion je suppose. - Nous allons en parler. J’ai un petit cadeau pour vous ma chère. Je vous veux putain et chatte ce soir. J’étais là, à quatre pattes, lui présentant ma chatte et mon cul. - Cambrez vous. Il inséra un doigt dans mon petit trou. Je sentais son majeur faire des va et viens, parfois s’enfonçant bien au fond, me fouillant puis reprenant ses vas et viens. - Hummmm… merci Monsieur. - Je sais que vous aimeriez être plus fourrée, n’est ce pas ? - Je… Oui Monsieur. - Humm ma petite salope. Ouvrez votre bouche. Regardez ce que j’ai pour vous. Il tendit devant moi un plug avec une queue de chat. - Je vais vous le mettre sans ménagement dans votre fion. Je ne veux rien entendre. Je sentis la froideur du métal au bord de mon trou. Doucement mon cul cédait. Il exerçait une pression juste suffisante. Je forçais de mon coté pour le posséder. Soudain, mon cul s’ouvrit et le plug disparut. Il caressa alors la queue et la remonta sur mon fessier.. - Quelle jolie chatte vous faites. On va bien s’amuser ce soir. Mais avant nous allons parler de votre soirée d’hier. Mickael est venu me faire un rapport et me donner la vidéos de vos ébats. - Je.. - Vous ai-je autorisez à parler. Il me gifla. - Restez ainsi ! Il se leva et alla chercher un ipad. Il passa en me frôlant. - Asseyez-vous sur vos genoux je vous prie. Il plaça l’ipad devant moi sur la table. Il appuya sur lecture. La scène où j’étais dans les toilettes. Il saisit la brosse à cheveu et commença à me brosser les cheveux. Je sentais ses mains douces faire cette tache si intime. Je sentais son souffle dans le creux de mon cou quand il me murmura: - Regardez-vous, combien vous êtes belle quand on vous prend de forces, comment vous vous abandonnez. - Je. Il saisit mes cheveux fermement. - Vous ai-je autorisé à parler ? - Quand je vous vois prise ainsi, je ne désire que vous posséder à nouveau encore et encore. De vous combler de partout, de vous punir de vous être laissée prendre comme une petite putain. Je n'ai pas éprouvé de jalousie mais de la fierté à savoir que vous êtes à moi. Il se rapprocha de mon oreille et me dit. - Mon sexe est bien tendu ce soir. - Je.. J’aimerai dire quelque chose Monsieur. - Je vous écoute. - Je ne comprends pas pourquoi j’aime autant tout ce que vous faites pour moi et que de l’autre, je ne vous autorise pas l’inverse. J’ai peur de ma jalousie, de mes excès, de ma sensibilité. Il posa la brosse et me releva pour me faire asseoir entre ses cuisses. Il passa sa main à hauteur de poitrine et me plaqua contre lui. Il me murmura à l’oreille. - Tu sera toujours l’unique, celle qui me fait vibrer. Que tu te fasses défoncer par d’autres hommes c’est mon choix, j’aime ça. Il faut vivre ses fantasmes dans la mesure du possible, sinon tu le feras avec un autre n’osant pas parlé de tes désirs. Regarde, je t’offre ta liberté. Soudainement il saisit mes tétons et commença à les malaxer. - Regarde comme il t’a bien baisé. Je lui ai demandé de ne pas être tendre, de te contraindre car je sais que tu aimes être violenter. - Je… aiiiieeee Il pinçaient fermement mes seins, les malaxaient si fort. - Plus tu résistes, plus je te punirais. Sache une chose tu es pour moi mon essentielle. Il n’y en a pas d’autres. Vivons ensemble nos envies. Accepte de vivre aussi les miennes comme j’essaie de comprendre les tiennes. Tant que nous parlons et nous sommes sincères l’un envers l’autre, cette confiance ne peut être défaite. Cette fois-ci il tournaient davantage mes tétons. - Je vous remercie Monsieur pour tout ce que vous avez fait pour moi. - HUmmmmm ces seins.. je vais les orner. Une bonne chatte a ses petites clochettes. Donnez moi les pinces à téton sur la table je vous prie. Je sentais à nouveau son basculement. Je savais que cette soirée allait être plein de questionnement. Je me penchais pour les attraper quand soudain je sentis une fessée s’abattre sur mon postérieur. - Est-ce ainsi qu’une chatte cherche ses jouets ? - Non.. Monsieur. Je me mis alors à quatre pattes pour aller chercher avec ma bouche une pince à téton pour lui apporter dans la main, puis l’autre. Il m’installait, à genou devant lui. Il caressa mon visage. - Redressez vous. - Je vais vous punir ce soir, d’avoir été une si bonne chienne hier. - Me punir ? - Vous allez comprendre rapidement… Il commença à me gifler les seins puis fermement il saisit mon téton droit et y déposer la pince pour écraser mon téton. Je sentis cette brulure. J’avais les seins si fragiles. Il s’occupa ensuite du second. - Humm, voilà je vais toujours savoir où vous êtes maintenant. Voyez voir si ça fonctionne. Levez vous et sautez sur place. Je m’exécutais. Je sautais sur place, les clochettes faisant leur petits sons. Je sentis bien fermement le plug. - Parfaite. Il se leva et se dirigea vers moi. Il m’enlaça, m’embrassa avec une telle douceur. - Je suis si fière de vous, , des progrès que vous avez accompli. Chaque jour, chaque nuit, vous devenez celle je vois. Il se mit à genou. - Ecartez vos jambes. Il passa sa langue sur mon pubis, mon clitoris. Il inséra un doigt dans ma chatte et de son autre main, il jouait avec ma queue. - Humm si mouillée.. je vais vous dévorer ce soir. J’espère que j’aurai assez de force pour satisfaire - Je…. Il saisit ma laisse et me força à me mettre à quatre pattes. Il alla à la table et saisit ma brosse à cheveu. Je n’allais pas y échapper cette fois. - Vous ai-je autoriser à parler. Les coups de la brosse à cheveux étaient terribles, bien plus que ceux de la ceinture. Il prenait plaisir à frapper plusieurs fois au même endroit. Je tombais au sol, ne tenant plus ma position. - Quand je dis de ne pas parler, vous écouter ! Je hochais la tête. - Je vais vous donner une bonne correction ce soir. Pas celle que vous croyez. Il prit la laisse et me fit marcher à quatre pattes sans ménagement sur le lit. - Embrassez moi. Il devenait d’un seul coup réconfortant, doux. Il était d’une telle sensualité. Sa main de fer laissait place à une main de velours. Nos langues s’entremêlaient. Il caressait mes seins, jouant avec mes pinces à téton pour me donner la juste douleur qui m’excitais. - Je vous vous dégoulinante ma chère. Il sortit de sa poche un masque pour m’ôter la vue. J’étais là demandeuse. Il saisit mes mains pour les attacher et les encorder au lit. - Ecartez bien vos jambes et dites moi ce que vous avez aimé hier soir. J’écartais au mieux mes jambes pour lui montrer ma vulve. - Hier soir j’ai aimé être contrainte, Monsieur. Sentir la force m’obligeait à céder. Savoir que vous avez organisé cela. Je pensai à vous surtout pendant ma correction. J’ai aimé être un jouet sexuel. - Humm Je sais. Qu’êtes-vous? - Une - Putain… termina-t-il - Je.. je suis votre putain Monsieur - Humm oui ma putain, mon chef d’œuvre. Il m’embrassa avec une telle fougue, une telle sensualité. Je sentis sa main sur mon sexe… - Humm Monsieur. Je me dandinais, demandeuse de ses doigts. - Pas encore. Je sentis alors sa bouche se poser sur mon genou, m’embrasser, me caresser. Son autre main maintenir ma jambe contre le lit, la remonter, offrant ainsi ma vulve. - Hummmm…. Il caressait mon entrejambe. Le coup de grâce commença quand un premier coup de langue passa sur ma chatte déjà si humide. Puis un second coup de langue de bas vers le haut, un troisième se faisant plus marquante, inquisitrice voulant comme aspirer ma chatte. Sa bouche s’ouvraient grandement pour m’aspirer, me sucer. Puis elle relâchait, aspirait mes lèvres. Je couinais mon désir. Sa langue passait avec une infinie douceur me faisant perdre pied. Je tremblais. Je voulais tellement plus. Puis il reprit alors l’assaut de ma chatte, il léchait, aspirait, mordillait, doucement puis plus fortement. Ses coups de langue sur mon clitoris, la pression exercée par cette dernière juste dans ma chatte. Il aspirait mon jus. Je sentis alors qu’il bougeait sur le lit. Ses lèvres se déposant sur les miennes .C’est à cet instant que je compris. Qui était en train de me lécher la chatte ? qui était en train de m’embrasser? - Mais? questionnai-je? Je sentis un doigt sur ma bouche. - Chut petite chienne murmura-t-il. On ôta mes pinces à tétons. Je sentis une langue venir me soulager de la douleur. Quand soudain je sentis un doigt pénétrer ma chatte. L’autre bouche embrassait mon cou. Il tournait mon visage pour prendre possession de ma bouche. - Vous aimez ? - Je… Oui monsieur. Je me questionnais sur qui léchait ma chatte avec tant de savoir faire de douceur. Je m’en voulais d’adorer cela. Pendant qu’il m’embrassait et malaxait mes seins, un autre doigt me pénétra. Je sentais une telle dextérité. La main écarta mes lèvres. A nouveau cette langue donnant des coups, encore et encore. Les vas et viens étaient si fort avec les doigts.. je défaillais. - Vous avez -vu comment elle couine? L’autre personne ne parlait pas. - Ca vous plait petite chienne ? non.? Je gémissais. - Hum oui ça lui plait... Soudain, je sentis une seconde langue sur ma chatte, des doigts se mêler dans ma chatte. Un tas de question. Il n’était pas bi.. non ? cela ne pouvait être ça. Une main tenait toujours ma cuisse en l’air, une autre l’autre cuisse. La lumière m’aveugla. Il ôta mon bandeau. Il mit son pouce dans ma bouche pour que je le suce. - Regarde comment tu te fais bien nettoyer ta chatte ? C’est bon non ? deux langues.. En moi plusieurs sentiments se mêlèrent. Il mit sa main sur ma bouche et m’embrassa. - Lâchez prise. Cassandra était en train de me dévorer la chatte. Mon Maitre redescendit pour me caresser à nouveau. Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux pendant qu’elle insérait plusieurs doigts dans ma chatte. - Ta mouille est un régale ma chère. J’adore te dévorer. Je n’osait le regarder en train de me lécher lui aussi avec Cassandra à coté. Le coup de grâce fût quand ils s’embrassèrent pendant qu'il léchaient ma chatte. Je tentais de me défaire. Cassandra me dit - Doucement, ta mouille est trop bonne pour être gâchée. Puis elle engouffra ses doigts dans la chatte laissant son pouce dehors. Il s’approcha à nouveau de moi et m’embrassa. Je refusais ce baiser. Il me saisit par la gorge et m’embrassa de force. Il se leva, pied au sol, tête au dessus de moi. Il continuait à m’embrasser, à tenir mes seins. - Profitez de ce moment de désir intense. Laissez-vous aller, vous en mourrez d’envie. Je sais l’effet qu’à Cassandra sur vous. Regardez comme elle vous lèche. Elle adorent les petites vicieuses comme vous. Je veux vous voir ainsi baiser par cette femme. Votre leçon du jour. Acceptez aussi mes désirs et les combler. Il continua a me tenir par la gorge, son autre main était maintenant sur mon clitoris. Les coups de langue me rendait folle. Elle me rendait folle. Je tentais de me relever malgré mes liens. Ses doigts étaient bien au fond pendant qu’elle me léchait. Cherchant, encore et encore à me remplir. Elle commençait à me pilonner avec ses doigts. J’avais du mal à tenir en place. - Je… je… Je ne tenais plus, Je trempais de partout, j’en mettais partout. Cassandra avait placé sa bouche comme il faut pour ne pas en laisser une goutte. Je ne tenais plus je jouissais si fortement dans les bras de Monsieur, sous l’effet incroyable de Cassandra. Mon maitre se releva. Il me laissa ainsi attaché. Cassandra se mit à quatre pattes à coté de moi. Je le vis la posséder sous mes yeux. - Regardez comment je la baise. En moi un sentiment de colère si fort. Un sentiment aussi d’égoïsme aussi m’envahit. Le mien, car hier aussi j’en avais profité et pourtant mes ressentis à son égard son identique. Il claqua ses fesses tout en regardant chacune de mes réactions. Je voyais rouge. Il la pilonna si brutalement. Quand il se retira d’elle, il retira son préservatif. Elle s’était retournée. Il l’avait prise par les cheveux. Il enfonça sa queue dans sa bouche. Il l’avait empoigné avec une telle force. - Ouvre mieux que ça ! Il lui mettait jusqu’au fond. Ne lui laissant aucun répit. A chaque moment il me regardait. Je le vis sur le point de jouir. Il se mit au dessus de moi et éjacula sur mon corps. Je vis alors Cassandra s’empresser de venir lécher le sperme pour me nettoyer. Mon maitre n’en ratait pas une seule miette. Je me sentis prise par tant de sentiments contradictoires à la fois. Enervée, comblée, jalouse. Il me laissa attachée au lit. - Maintenant vous allez réfléchir si c’est Mickaël qui avait été là ? Cassandra et Monsieur se dirigèrent vers le canapé. Il commençait à discuter tout en regardant la vidéo avec Mickaël. - Ne t'inquiète pas ma chérie, on revient abuser de vous après. Reposez vous.
491 vues 9 aime
Par : le 10/10/21
Me voilà les yeux bandés, installé soigneusement par tes soins sur cette chaise. Je sens différents type de liens se poser autour de moi, des cordes, mais aussi des colliers de serrage en plastique. J'entends le "ziiiiip" de ces derniers et mon corps est totalement contraint. Il m'est donc impossible de me libérer sans une pince coupante. Mes bras sont encordés au dos du dossier de siège et arrimés à ce dernier avec des zips. Mes chevilles zippées aux pieds de la chaise, mes mollets également...des cordes aux cuisses... D'autres cordes passent autour de ma poitrine... Tu me fixes un collier de cuir épais et l'ajuste au plus près. Tu pars te changer... De longues minutes... Où je tire sur mes liens... J'adore sentir le sérieux de ton œuvre. Soudain j'entends des talons cingler le sol, se rapprochant dangereusement de moi. Tu t'arrêtes derrière moi. Tu me caresses les cheveux, le menton, le torse... Puis tu te penches en avant, je sens tes cheveux à mon épaule droite... Tes mains glissent de mon torse à mon sexe. Tu l'empoignes fermement et me masturbe... Tu me sussurres à l'oreille des insanités. Mon sexe se gorge... Tu stoppes... Et fait plusieurs tours autour de moi. Je sens comme une cravache qui parcours tout mon corps en même temps que tu tournes autour de moi. Tu tapotes sur ma queue, mes bourses... Je gémis... Tu m'enfonces alors un linge en bouche... Je me rends vite compte que c'est une culotte que tu as porté toute la journée... J'ai ton odeur en bouche. Ma bouche est totalement comblée et tu complètes d'un bandana autour de ma tête pour m'empêcher de recracher cette culotte souillée. Tu serres fort ce dernier au dos ma tête... Tu m'enlèves le bandeau sur les yeux... Et je ne peux que constater ta tenue... Bottes en cuir de 12cm avec plateforme, serre taille et porte-jarretelles, tes seins sont nus. Enfin, tu portes un tanga. L'ensemble est noir. Tu me chevauches et t'assoies sur moi. Tu poses tes bras sur mes épaules et m'encercles la tête. Tu plonges ta poitrine contre mon visage. Je me niche dedans. Tu frottes tes dessous contre mon sexe. Je pousse de petits bruits. Mon sexe se remet à durcir. Tu te relèves. Et pose ton pied gauche sur la chaise pile entre mes jambes. Tu ne bouges plus comme un chasseur qui pose fièrement sur sa proie capturée. Puis... Tu te mets à caresser mon sexe du bout de ta botte, doucement... Puis, tu me poses ton talon aiguille sur mes bourses... Tu y vas doucement mais fermement. Tu poses ta cravache sur une de mes joues. Mon bandana me protège un peu, tu tapotes sur ma joue puis tu me gifles d'un coup... Tu recommences tu tapotes plusieurs fois et vlan... J'ai des larmes de honte. Tu fais cela sur l'autre joue également. Tu me rebandes les yeux. Je t'entends alors partir. Et revenir aussi vite. Tu prends mon sexe en main, et le masturbe de façon à ce que je bande follement. Puis... Je sens alors un lien de satin venir serrer la base de mes bourses, la base de mon sexe... Et ce lien continue entrecroisé comme un laçage de serre taille tout le long de mon pénis. C'est très serré et j'adore ça. Je suis à deux doigts de jouir. Tu termines par un noeud juste en dessous de mon gland. Tu liberès ma bouche... Tu accroches sous mon gland une cordelette... Et je t'entends faire glisser un tabouret. Tu te places face à moi... La cordelette est longue... Tu tires dessus... Mon sexe palpite... tu m'offres un talon aiguille... Et tu me dis "suces moi ça". Tu joues de la cordelette... Pendant que je suce assidûment ton talon. Tu arrêtes le jeu. Enlèves le nœud de la cordelette. Tu réduit le lien de satin à la base de ma queue et de mes bourses... Tu serres encore plus fort. Ma bite est veineuse. Je vais exploser. Tu déroules une capote... Lentement. L'effet du latex m'excite encore plus. Tu me caresses les bourses. Longuement. Je jouis dans la capote. Tu me détaches de la chaise. Clipse une laisse à mon collier. Mes yeux sont toujours bandés. Tu m'emmènes dans la chambre comme un chien en laisse... J'avance doucement les yeux bandés. Tu me poses ma cage de chasteté et t'installes sur le lit. Jambes écartées. Tu retires mon préservatif plein. Et le déverse sur ton sexe... Je ne le sais pas mais ma semence coule jusqu'à ton petit trou. Tu m'enlèves le bandeau, m'attache les mains dans le dos... Tu m'ordonnes de tout nettoyer. Tu me dis d'ouvrir la bouche pour prouver que j'ai tout avalé. Je dois reprendre le cunnilingus...tu n'as pas jouis... De longues minutes... Avant que tu y parviennes. Tu as jouis si fort, tes jambes ont écrasées ma tête. Je suis épuisé. Tu me laisses là. Inerte. Au pied du lit. Tu pars te repoudrer. Me voilà comme tu souhaitais, attaché sur une table, en "L". Le torse à plat sur la table, les bras devant moi, ligotés, mes jambes écartées attachées également. J'ai toujours ma cage de chasteté. Tu viens m'embrasser. Et me pose un gros bâillon boule rouge "pute". Tu le sers jusqu'au cran. L'attache pénètre mes joues. Tu me bandes les yeux. Tu regardes ton œuvre. Tu tournes autour de la table. Tu t'arrêtes sur un détail, le bâillon boule me fait saliver... Tu en joues en métalant la salive sur mon visage et mes cheveux. Tu retournes derrière moi. Quelle vue. Ta chienne encagée, son petit orifice, ses jambes écartées... Tu attaches à la base de mes bourses un petit collier de chaton, ce dernier possède un grelot, le grelot tinte à chacun de mes mouvements. Tu m'ordonnes qu'il ne sonne pas... Tu lances le fouet, le grelot tinte... Tu recommences... Encore et encore... Mon petit cul en rouge. Je tremble de douleur, je hurle dans mon bâillon. Tu me dis que c'est terminé... Tu embrasses mes fesses, puis. Tu fais glisser ta culotte encore immaculée de reste de nos semences. Tu la glisses sur ma tête, la partie la plus odorante tombe pile sur mon nez. Je suis soulagé. Je sens un liquide couler sur mon anus... Oui c'est bien gras. Du lubrifiant. Gloups... J'ai mon bandeau, ta culotte, mais tu enlèves mon bâillon. Je découvre alors un goût de plastique. Tu m'enfonces un god ceinture en bouche. Je n'arrive pas à le sucer convenablement du fait de ma position. Tu me remets le bâillon en bouche. Le serre un cran de plus. Et tu dis "tu vas en avoir besoin ma belle". Tu m'insères un doigt, lentement, puis deux. Mon grelot tinte... Cela t'excite. Tu me prends avec tendresse. Je gémis face à ta douceur, ton onctuosité... Tu es parfaite. Le godemiché est juste à la bonne taille. La stimulation de ma prostate me déclanche un orgasme comme je n'ai jamais connu. Mon sperme se déverse au travers de ma cage. Tu passes sous la table le lécher... Et tu m'abandonnes ainsi...
513 vues 2 aime
Par : le 10/10/21
C’est LadySpencer, à l’occasion d’une conversation semi publique dans laquelle elle est intervenue, qui m’a fait réfléchir autour de ce thème. Mon contradicteur n’ayant pas relevé le challenge, je me lance. En même temps, je le comprends. Pour un mec, il y a surtout des coups à prendre, compte tenu de nos exigences contradictoires concernant les hommes 😀. _______________ Dans le monde en général, et le bdsm en particulier, y-a-t-il seulement encore place pour cette approche surannée des relations entre les hommes et les femmes ? Celui qui prétend dominer une femme peut-il, peut-il, doit-il se montrer galant envers elle? N’est ce pas en contradiction avec son statut de dominant, qui décide, impose ? Quant aux féministes nouvelle version, dans leur étrange inversion du sens des mots et des choses, la galanterie ne serait pour elles qu'une survivance haïssable du modèle patriarcal. Ou au mieux une forme de sexisme "bienveillant", pire encore que le sexisme ordinaire, puisque insidieux. Qui traduirait la volonté des mecs de nous maintenir dans une position d'infériorité, de nous infantiliser pour mieux asseoir leur domination, sous le couvert des attentions qu'ils nous témoignent. Comme si l’égalité des sexes qu’elles revendiquent (moi aussi, mais pas toujours ni en toutes circonstances 😀) était antinomique avec la courtoisie désuète qui a longtemps prévalu dans les relations hommes femmes. Beauvoir déjà s'inscrivait dans cette logique qui écrivait à ce propos dans Le Deuxième Sexe "au lieu de leur faire porter les fardeaux comme dans les sociétés primitives, on s’empresse de les décharger de toute tâche pénible et de tout souci : c’est les délivrer du même coup de toute responsabilité. On espère qu’ainsi dupées, séduites par la facilité de leur condition, elles accepteront le rôle de mère et de ménagère dans lequel on veut les confiner". Gisèle Halimi également, que j'appréciais pourtant pour d'autres de ses combats, quand elle disait rejeter la galanterie comme une forme de domination masculine "parce qu’elle est dissymétrique, inégalitaire". _______________ Mon éducation « bourgeoise » (que je ne vois pas comme une tare, la connerie existe dans toutes les classes sociales et au global je ne me trouve pas plus conne que certain(e)s autres 😀) fait que que pour ma part je demeure sensible à ces attentions du quotidien. Sans y voir ce que certaines abhorrent. Une « infériorisation » de la femme. Qui devrait être « protégée » par l’homme, en contrepartie de sa soumission et de la reconnaissance par elle de son rôle prééminent. Je n’ai nul besoin d’être « protégée » par quiconque. J’ai appris à me défendre seule. Mais j’ai toujours apprécié que mes copains de facs, et mon mec désormais se sentent obligés de me défendre quant on m’importune. Même si je n'ai jamais dupe déjà à l’époque qu'ils poursuivaient parfois un autre objectif que celui de voler à mon secours 😀. Auquel il m’est arrivé de réserver une suite favorable. Et agréable pour chacun de nous 😀. Aujourd’hui, je suis soumise à mon Maître. Et je le revendique. Comme je revendique d’être son égale dans la vie. Mais j’apprécie aussi que dans les gestes du quotidien, il se comporte en « galant homme ». Que ce soit toujours lui qui ouvre et referme pour moi la portière de la voiture. Même si je conduis aussi bien que lui (enfin, presque, l'essentiel des rayure et des bosses à sa bagnole étant quand même de mon fait 😀.) Qu’il porte systématiquement mes bagages, et sans même se plaindre de tout ce que j'emporte à chaque fois 😀. Que quand nous sortons, c’est toujours lui qui le premier entre dans le resto. Quand bien même nous ne fréquentons pas habituellement de bouges justifiant qu’il s’assure avant de me laisser entrer que je ne risque rien. Que s’il nous arrive de prendre un escalier, il l'emprunte toujours en premier. Pour que son regard ne soit pas attiré par ce qu’il pourrait voir de mes hanches ou d'autres parties de corps. Et ce bien que ma nudité lui soit plus que familière 😀. Qu’il m’offre sa veste chaque fois que j’ai froid et des fleurs sans raison particulière. Alors, oui, j'apprécie que mon mec se montre galant en toutes circonstances. Son comportement vis à vis de moi fait sourire certaines de mes copines, mais je ne suis pas dupe. Puisque ce que je sens surtout de leur part, c'est une forme d’envie, de jalousie 😀. Parce que moi j'y vois non du sexisme de sa part, mais une acceptation et une appréciation de nos différences. Qui traduit quelque chose de plus profond chez lui. Une élégance innée. Identique à celle dont il fait preuve quand il manie la cravache. L’élégance de ses sentiments vis à vis de moi :smile:
433 vues 11 aime
Par : le 07/10/21
Quand j’ai cherché ma serviette dans la cuisine, j'ai vu l'heure : deux heures. J’ai espéré qu’on allait s’arrêter, ce qui n’a pas eu lieu. Je me suis demandée pourquoi on continuait, j’étais fatiguée, en manque de sommeil. Ensuite, bandeau sur les yeux et pinces sur les seins, déjà tellement malmenés que la douleur a encore augmenté. Des pinces sur les grandes et les petites lèvres, je ne savais pas ce que vous faisiez, ça faisait hyper mal. et vous me disiez que c’était les pinces qui pincent le moins. Est-ce que c’était votre première utilisation ? Ca faisait mal, très très mal, je ne me souviens plus quand j’ai eu une douleur physique aussi intense, il y a des années surement. Vous avez commencé à retirer les pinces à ma demande. Heureusement. En me disant que j’étais hypersensible. Et là .....Enorme crise de larmes, poumons bloqués par la douleur, je ne pouvais plus respirer, plus reprendre mon souffle. J’ai commencé à paniquer de ne pas respirer, je suis entrée en moi, me suis calmée seule, et ma respiration est revenue. Je ne voulais plus rien, juste m’en aller, et certainement pas vous approcher. Puisque vous êtes celui qui fait mal. La seule raison qui m’a fait rester est que j’étais épuisée, et vous, le seul être humain à la ronde. Je vous en ai voulu beaucoup, de ce peu de compassion et d’humanité apparente, pas de petite phrase « viens dans mes bras, tu as été courageuse ». Non, des ordres, juste « viens là, calme toi ». Votre explication : la jouissance d’après cette douleur devrait être encore plus forte. Ça n’a pas été le cas, je n’ai pas joui plus fort, j’ai subi cette douleur très vive pour peu de plaisir supplémentaire. Trop fatiguée pour aller plus loin dans la recherche de plaisir ? sûrement. Ou trop de force pour vraiment lâcher prise ….. Ensuite, du shibari que j’apprécie toujours autant. Une fessée avec un chausse-pieds en métal, froid, agréable, et aussi comme une menace de l’endroit à frapper. Après …. Les coups fatiguent. Les marques sont encore là, quatre jours après, elles partiront sûrement. Sur les pieds aussi, douloureux, aussi. Vous m’avez laissée un petit temps encordée, agréable pour me reposer, j'en profitais pour me remettre, et respirer longuement en attendant la suite. J’avais atteint le stade de capitulation, je n’osais plus rien faire, et plus rien dire non plus, de peur de me faire pincer les seins, ou avoir mal, encore et encore : ce n’était plus drôle depuis un bon moment, tard dans la nuit aussi, et vous n’aviez apparemment pas l’intention d’arrêter. Et pourtant, je continuais. C'était peut-être ce que vous souhaitez : me "mater" Je continuais, pour voir, pour savoir ce que cette découverte pouvait comporter. J’étais là pour apprendre, sur moi, c’est mon souhait. L’envie de savoir était plus forte que l’inconfort, la douleur ou la fatigue. MON envie de savoir, d'apprendre, d'expérimenter. MA volonté aussi, qui a été largement testée. Et je savais aussi que je pouvais m’en aller à tout moment. Une grosse sécurité pour moi. Quand vous avez mis une pince sur ma langue, je l’ai enlevée. Quand vous avez parlé de l'appliquer à mes narines, la phrase est sortie toute seule « si vous faîtes ça, je m’en vais ». J’ai rassemblé mes forces 3 secondes pour faire ça, mon instinct de survie probablement. Le silence est tombé dans la chambre, éloquent. Je vous ai senti déçu. Et surpris. De quoi ? Pour autant, vous avez respecté mon souhait et m’avez désencordée. Ouf. Ensuite je vous ai donné du plaisir avec ma bouche, j’ai entendu « ma douce soumise », à moitié endormi, sur le dos, tranquille. Un peu bougon, vous restez au lit, le temps que j’aille prendre une douche. Pas de douche ensemble, d'aftercare si précieux pour moi, l'eau c’est mon élément, je profite de ce moment seule, dommage. Ça m’aurait donné une occasion de vous voir nu. Une fois douchée, en guise de bonne nuit, c’était « fais moins de bruit », charmant ! Vais-je dormir dans cette chambre, ou dans la chambre à côté ? De fatigue, je suis restée. Dormi deux heures, réveillée avant vous, vers 5-6 heures à cause des ronflements, malgré les bouchons d’oreille et l’huile essentielle …... Une prochaine fois, je ferai autrement. Réveil presque câlin, fellation et sodomie. J’ai échappé à une nouvelle torture de mes seins, je ne sais pas si j’aurai supporté. J’aime entendre les hommes jouir, c’est mon plaisir, c’est gratifiant pour moi. Petit déjeuner calme, vous debout tout le temps, vous mangez, parlez et buvez debout. Allez-vous continuer à me pincer les seins, le jeu est-il fini ? Dans le doute, je reste en semi-alerte, je n'ai pas ou plus confiance. Mais vous ne me touchez pas, ça me détend. En tous cas, 3 petites heures de sommeil n’ont pas l’air de vous déranger, vous ne semblez pas fatigué, un homme solide. Un bisou sur la bouche en partant, une des rares récompenses accordée à ses soumises. Probablement un signe positif pour moi. Vous m’avez dit aussi que j’étais une bonne soumise. Retour chez moi, boulot le matin et 2 heures de sieste pour me remettre, vu qu’une longue soirée m’attendait. Criblée de courbatures le vendredi, le frottement de ma robe est douloureux devant. Du mal à dormir sur le ventre, les seins douloureux, bleuis et les tétons un peu écorchés. Pas trop de mal du côté des fesses, à part les traces violettes. Avec le recul, je me suis aussi demandée quand vous aviez prévu de vous arrêter pour cette première rencontre. Si je ne vous avais pas stoppé, aviez-vous prévu une nuit blanche ? Pourquoi trop fort, trop long, trop douloureux, sadique, peu voire pas sensuel ? Quelle aurait été votre limite ? Est-ce que vous n'en avez pas du tout ? (ce qui serait effrayant) Je me le demande encore. Je suis venue, j'ai vu, j'ai perdu (veni, vici, perdidi) ******************************************************************************************* Edit 2021 Avec le recul, deux années après, je me rends compte à quel point je voulais tester des choses. Et à quel point j'ai une très forte volonté. Cela n'aurait pas pu se faire sans. Et de la patience. Capable de me faire passer 7h avec une personne qui ne me correspond pas. Et à quel point mon instinct de survie s'enclenche. Quand il le faut. A bon escient. Ca me rassure, aussi de savoir que j'ai cette ceinture de sécurité personnelle. Et enfin, comment je sais entrer en moi, avec quelques respirations, comment je peux m'isoler du monde par la simple force de mon souffle. Pour ceux qui liraient mal entre les lignes, ce n'est PAS du masochisme. C'est une expérience. Sévère, abrupte, mais c'est ainsi. ****************************************************************************************** Quelle a été la suite de cette fameuse soirée ? Ce dom, d'une vieille famille bordelaise très connue, n' avait pas souhaité que l'on se rencontre dans un café à Bordeaux avant cette soirée, car il était marié. Et plutôt connu. Donc difficile pour lui de se promener avec une femme qui n'est pas son épouse. Et je ne me voyais pas l'inviter chez moi. Ensuite, il habitait en Normandie et je savais que ce ne serait pas une relation intense, vue la distance. Suite à mon courrier, il a été effaré par le retour que je lui en ai fait, la description précise. Et a signalé que ça le calmait bien de recommencer. Preuve qu'il n'avait pas observé/compris ce qui se passait durant la séance. Que sa limite était ...... la mienne : drôle de dom qui délègue la limite à sa soumise, sait-il lire mes signaux ?  Et pour la petite histoire, ce monsieur a vécu un sévère "retour de boomerang". Découvert par son épouse, son téléphone surveillé par ses fils, il a totalement disparu des réseaux sociaux. Et ses ex-soumises n'ont plus entendu parler de lui. C'était donc un dom ...... pas si dom que ça :-)
1.1000 vues 9 aime
Par : le 07/10/21
Aux premiers jours de l’automne de l’an 1717, Une nuée épaisse et sombre coulait lentement depuis le bourg de Saint-Lambert jusqu’à venir lécher les prés salés bordant l’estuaire, presque à l’étouffer et la priver des dernières bribes de la timide lumière du soir. L’astre incandescent qui dominait le domaine ces derniers mois avait définitivement perdu de sa force, il s’était terni, trainant désormais péniblement son teint pâle au-dessus d’un horizon harassé. Assise à l’abris d’une haie touffue, depuis longtemps dépouillée de ses dernières mûres par les enfants du domaine, Élisabeth s’emplissait à pleines bronches de cette fraicheur humide, comme défiant la nature. A quelques pas les bêtes paissaient encore, dans la pénombre qui les grisait petit à petit, enfin libérées des pesants tombereaux qu’elles avaient charriés des semaines durant. L’effervescence des semaines de vendanges était désormais achevée, rangée au rang d’émouvants souvenirs que bien peu garderaient en mémoire, pressés de se remplir à nouveau de la vacuité de leurs existences. Derrière les épais murs des chais, le jus noir épuisé par ses incessants bouillonnements avait enfin acquis un peu de quiétude. Coulant doucement depuis les rondes cuves de bois ou au travers des grilles des pressoirs, il était enfin venu se blottir contre la tendre paroi des barriques qui le bercerait durant les longs mois d’hiver. De tout cela, ni elle ni aucune femme ne savait rien, ou si peu. Ce que les hommes voulaient bien en raconter, tout au plus, des récits de phrases simples et bercées d’une ignorance crasse. Elle soupira. Derrière un petit bosquet, à quelques centaines de pas, la frêle silhouette d’un carrelet se détachait de plus en plus péniblement de la noirceur grandissante de l’estuaire silencieuse. Le fragile bâtiment de bois, posé sur ses jambes graciles, avait depuis quelques semaines gagné un rang prestigieux. Jadis simple cabane de pêcheur aux mœurs rugueuses, il était devenu temple, cathédrale sacrée que la simplicité de son architecture protégeait d’un paganisme furieux, un refuge à la brillance de ce qui ne saurait être vu par des yeux aveugles. C’est là que chaque soir depuis une orageuse nuit d’août, Nicolas, venait se repentir des vicissitudes de sa condition, là que sous l’obscurité naissante, Élisabeth confessait un à un chaque pêcher, lavait méticuleusement l’âme de son jeune nobliau, lui imposant autant d’épreuves qu’elle lui dispensait d’enseignements. Un soir la cabane suspendue au-dessus des flots battants, comme une aorte au cœur de la campagne, ne servait que de point de départ à une excursion aux teintes initiatiques. Un autre c’est derrière le secret de ses planches vermoulues qu’Élisabeth guidait le jeune comte au plus profond de lui-même. La belle vigneronne ignorait encore le temps dont elle disposait pour mener à bien sa mission, mais elle savait ce qu’elle lui imposait. Un jour Nicolas devrait porter haut la renommée du domaine et il serait seul, de leur aventure dépendait tant de choses. Une lumière hésitante apparu derrière les planches du petit carrelet. Élisabeth se releva, et se mit en marche, le pas décidé et le cœur battant. Derrière la vieille porte ajourée de la petite cabane suspendue, l’unique pièce baignait dans la lueur vacillante d’une chandelle reposant sur son bougeoir, posé à même le sol. Au centre de la pièce, le jeune Comte était agenouillé, tournant le dos à l’entrée, simplement vêtu d’une chemise blanche. Il semblait attendre, paisible. Pourtant, depuis le chambranle, Élisabeth pouvait sentir battre chacune de ses artères, le sang cognait comme des tambours, résonnant contre les parois de la cabane. A mesure que ce rituel s’était institué entre eux, la jeune femme avait appris à lire cette discrète symphonie. Elle en comprenait maintenant chaque accord, des douces harmonies de la joie, aux intenses envolées de l’exaltation, du tumulte de l’excitation au son rauque de la crainte. Elle pouvait en sentir la moindre nuance, parfois même leurs dissonances ou leurs contradictions. Plus étrange encore elle mesurait à quel point certains de ses mots ou de ses gestes pouvaient résonner des jours durant dans le vacarme des veines de son obligé. La poitrine d’Élisabeth se gonflait chaque soir à cet instant précis, elle adorait cet avant, cet instant si particulier où elle se nourrissait de lui, comme un succube aspirant la vie de ce corps à sa merci, pouvant décider si elle comblerait ou non les aspirations dont elle se pourléchait, ou au contraire si elle l’emmènerait loin de ces suppositions ou bien de ses peurs les plus profondes. Ce soir c’est son excitation qu’elle ressentait par-dessus tout, et cela faisait déjà plusieurs jours que malgré son silence, les tambours frappaient de plus en plus fort. Jamais son jeune protégé ne le lui aurait dit, il se gardait bien de ce genre de confessions, encore trop contrit par son éducation puritaine. Un jour, elle en rêvait, il lui hurlerait ses vices, ignorant qu’elle en savait déjà tout. Mais ce n’était pas encore l’heure, et elle ne lui donnerait pas ce qu’il espérait, pas ce soir. Élisabeth pénétra dans le carrelet, couvrant le Comte de son ombre qui s’étirait jusque sur la paroi de planches, finement ajourées. — Bonsoir mon Comte. — Bonsoir Madame, répondit-il simplement, tentant de faire taire les émois qui l’électrisaient depuis qu’il avait perçu la présence de la jeune femme sur le pas de la porte. — De quoi avez-vous rempli votre journée, mon bon Monsieur ? — De comptes et de chiffres, hélas, Madame. J’ai du supporter les bavardages de Monsieur l’Intendant tout le jour. Élisabeth soupira, puis s’approchant du jeune homme, apposa une caresse rassurante sur son échine. — Allons, allons, ces heures là sont derrière-nous. Comment les choses se passent-elles dans nos chais ? — J’ai goûté les vins ce matin-même, et il semble bien que vos conseils pour retenir les ardeurs de Monsieur l’Intendant aient porté leurs fruits. J’ai trouvé les vins plus puissants que jamais auparavant, et leur toucher très fin. — J’aimerais tellement que vous m’y introduisiez. — Mais comment, vais-je faire cela ? s’offusqua le jeune Comte. — Allons, allons, je suis sûr que vous saurez accomplir ce prodige. Et puis n’êtes-vous pas le maître des lieux ? Il resta silencieux un instant. Faisant comme à son habitude taire l’empressement qu’il avait à son endroit et qu’il jugeait par trop indécent. Élisabeth le savait, elle aussi s’efforçait de ne rien montrer de tout ce que cela lui inspirait. Jamais elle ne s’était sentie, ainsi, belle et désirable jusqu’au fond de ses pupilles. Se lasserait-il un jour de la regarder ainsi ? Pourvu que ces temps n’adviennent jamais. — Viendrez-vous aux fêtes de la Saint-Martin, Madame ? — Mais je n’avais pas encore prévu de me passer de vos services très cher ! Il me semble donc inutile de revoir les termes de votre servage, fit-elle mine de s’offusquer. Le Comte ne put retenir un rire espiègle, elle lui rendit un sourire qu’il ne put que deviner. — Abaissez donc cette chemise, s’il vous plait. Elle me semble bien inutile, lui intima-t-elle d’une voix douce. Il s’exécuta, désormais à demi nu, seule son intimité se trouvant simplement couverte du voile pudique de la fine étole de lin blanc. Doucement elle initia quelques courbes du bout de ses ongles, pourtant assez courts, sur la peau blanche et douce de son amant. On eut dit qu’elle dessinait dessus, suivant avec délicatesse les courbes de son corps, dessinant collines et vallons formés par ses muscles qui s’étaient tendus à son moindre contact. En agronome avertie, elle découvrait le terrain, en détectant les moindres mouvements, préparant son labeur avec application. Vint alors le temps des labours, elle appuya plus fermement, plus profondément, le griffant en stries parallèles comme on tire des sillons avant de semer. Un travail précis, méticuleux, juste assez fort pour permettre aux graines de la luxure de s’y épanouir, un ouvrage bien plus sûr qu’un négligé semis à la volée, pas trop profond non plus, qu’aucun de ces germes ne s’y voit étouffé. Par endroit le corps du Comte semblait tressaillir, se crisper sous la griffure, quelques gémissements qu’il retenait entre ses dents, refusant encore de les lui offrir, s’y dissimulaient de plus en plus mal. Plus Élisabeth imprimait ses marques dans la peau de Nicolas, plus elle ressentait les vibrations et les résistances que sa peau tendue lui répercutait. Elle se remémorait les paroles de son père qui lui avait conté dans sa jeunesse la manière dont on doit ressentir la terre qu’on laboure, la façon dont on doit selon le besoin accepter que sa force vous repousse ou au contraire s’employer à la contraindre encore plus fort pour l’attendrir, la discipliner. Un parfum de terre fraichement remuée, mélange d’odeurs salines et de senteurs acidulées d’humus, lui revenait en mémoire, comme le doux effluve d’une petite pâtisserie blonde, elle aussi parcourue de stries, qu’un autre dirait mieux que quiconque quelques siècles plus tard. A mesure que son labeur avançait, les doigts d’Élisabeth s’enfonçait plus fermement dans la peau de Nicolas, elle le sentait l’accepter peu à peu, se laisser aller. Sa chair devenait plus douce plus accueillante, il s’accommodait de ce travail profond, et ses gémissements toujours aussi contenus portaient désormais bien plus les atours de râles de plaisir, bercés d’un laisser aller vaporeux. Enfin, il était prêt, désormais réceptif et libéré de ses carcans. Élisabeth se saisit alors du bougeoir non loin d’elle. Sa main guidait la flamme presque contre la peau de l’objet de son désir, éclairant d’une chaude lumière les stries rouges qui lardaient son dos. Au passage de la flamme, elle sentait le jeune homme lutter contre ses tressaillements, elle se délectait autant de ses réactions intempestives, qu’il tentait pourtant de dompter, que de l’abandon à ses désirs et qu’il lui offrait. Elle le trouvait beau, si frais. Sa candeur l’émerveillait. Après avoir longuement admiré son œuvre, comme si elle voulait le faire redescendre, lui imposer de dévaler la montagne avant de l’obliger à la gravir à nouveau, elle souleva le bougeoir, plongeant à nouveau le corps de Nicolas dans une semi-pénombre. Elle inclina la bougie, laissant tomber une minuscule goutte de cire sur la base de sa nuque. Il sursauta, laissant échapper une sorte de jappement. Elle se retint de rire, parcourue d’un plaisir indicible remontant depuis son intimité même. — Allons, mon beau, tout doux, tout doux, lui murmura-t-elle, en lui caressant délicatement le sommet des épaules. Elle laissa tomber une deuxième goutte, entre ses omoplates cette fois. Il retint son gémissement. — Ainsi, vous aimeriez donc que je sois de la fête ? Attendant qu’il commençât à formuler sa réponse, elle choisit cet instant précis pour incliner à nouveau la bougie et troubler sa réplique. — J’en serais si heureux, grogna-t-il, électrisé par la si fugace brulure. Une petite goutte, moins visqueuse et plus salée celle-là, venait de perler au coin de son œil. Élisabeth souriait, s’enivrant de son propre plaisir. — Vous oseriez donc vous promener mon bras ? interrogea-t-elle, mutine, en laissant s’affaler une autre goutte de cire, plus grosse celle-là. — Je ne saurais en choisir une autre que vous, confessa-t-il après avoir réprimé le cri que le fluide surchauffé cherchait à lui extirper. — Je ne sais pas, je ne suis pas convaincue, dit-elle, en versant cette fois une importante quantité de cire au centre du dos de son amant. Il ne sut retenir un hurlement cette fois, alors que le liquide blanchâtre aux reflets incertains dévalait en coulée avant de se figer en atteignant le creux de son dos. De nouveau elle passa une main tendre sur sa nuque, le rassurant de sa voix la plus suave, tout en la serrant puissamment. — Tout doux, mon beau. Il s’ébroua imperceptiblement, comme pour se donner la contenance nécessaire pour affronter d’autres assauts cuisants. Pas question pour lui de céder aussi facilement, si le faire souffrir devait être son plaisir, alors qu’il en soit ainsi, il ne s’y soustrairait pas. Une autre coulée de cire s’affala contre son épaule, se partageant comme deux rivières autour d’un delta, l’une dévalant contre son pectoral et l’autre se jetant comme une cascade vers son flanc déjà lardé de traces rouges. Le blanc opalescent venait désormais ça et là croiser les lignes vermillon sur le fond orangé et vacillant de sa peau éclairée par la flamme. Qui sait si en d’autres temps, on n’eût pas pris cela pour une œuvre artistique ? — Aurais-je votre entier dévouement donc ? insista-t-elle plus durement, en laissant à nouveau un long filet brulant s’écouler jusque sur les fesses de Nicolas. Il acquiesça dans un cri nourri de larmes. Elle saisit ses cheveux et le tira violemment en arrière puis l’embrassa goulument, forçant le passage de ses lèvres avec sa langue puissante et conquérante. Ayant conquis son objet elle se retira et murmura à son oreille. — Vous viendrez donc me chercher à deux heures de relevée, devant ma demeure. Puis elle relâcha sa chevelure, déposa le bougeoir à ses pieds, saisit sa serpette à sa taille et s’appliqua méticuleusement à retirer chaque trainée blanchâtre pétrifiée. La lame glissait lentement le long de sa peau, risquant à chaque instant de la fendre dans un irradiant flot incarnat, Nicolas tremblait. — Ne bougez-pas ! intima-t-elle. Elle prit tout le temps nécessaire à son œuvre, se nourrissant encore de la peur de son objet vivant. Comme il était docile désormais. Son ouvrage achevé, Élisabeth s’assit à la gauche du jeune Comte et l’enlaça tendrement. Sans fard et dépouillé de sa nature, il posa négligemment sa tête sur l’épaule de sa vigneronne, reine parmi les reines, et ferma les yeux. Ce soir encore il n’avait rien dit du désir charnel que la vigneronne lui inspirait, il lui devenait pourtant si lourd de porter ce fardeau. Ce chancre de désir le rongeait au plus profond de ses entrailles. Dût-il en supporter encore d’avantage, il était résolu à l’affronter, attendre qu’elle soit prête et qu’elle le désire également. Naïveté touchante, car Il ignorait le feu qui brulait à moins d’une coudée de son cœur, sous les jupons de sa chère Élisabeth. Ainsi se poursuivit une soirée tendre et lascive entre les deux amants. Une soirée suspendue au-dessus du long cours noir de la Garonne, bercée de ses clapotis langoureux contre ses berges accueillantes. Dans deux jours, tout le village résonnerait d’un vacarme bien moins apaisant, l’une des fêtes les plus importantes de l’année se préparait.
483 vues 3 aime
Par : le 06/10/21
Les frondaisons noires et pommelées bordaient l’estuaire s’étirant jusqu’à se tendre vers un horizon confus. Les ombres flottaient à la manière d’un long drap brun porté par la brise, sous l’éclat blanchâtre d’une lune protectrice. Une lune d’or révélait par instant entre les nuages un peu plus nettement les formes qui se dessinaient avec hésitation. Un voile plus sombre, plus loin, aux limites de sa propre vue, où l’esprit du Comte, à sa fenêtre, tentait de se perdre lui aussi. Un refuge improbable où il espérait qu’un espace de quiétude dissimulé puisse exister, aux confins du monde. Il se prenait à rêver de rivages lointains, aux colonies loin des barrières des hommes et de leurs lois stupides. Le Comte n’avait presque pas quitté sa chambre ces deux derniers jours. Dès le matin qui avait suivi leur cavalcade au-delà des limites de l’enclos, les premiers bruissements s’étaient fait entendre. De simples murmures, presque inaudibles, à peine formulés qui cessait dés lors qu’il s’en approchait trop près. La cohorte des serviteurs vacant à leurs occupations ménagère glissaient comme des vagues de murmure, puis se taisaient comme de petites bêtes effrayées pelotonnées dans leurs caches. Alors un étrange sentiment était venu ronger le jeune homme, une angoisse déchirante dont il se persuadait qu’elle se lisait même sur les traits de son visage : la honte. Elle se mêlait de peur, celle du déshonneur, son statut, cette place qu’il n’avait finalement jamais demandée lui éclatait devant les yeux. Il se prenait à envier tous ces autres, ces gens qui n’étaient rien, et n’avaient pas à supporter le poids d’une charge, d’un statut. Un long soupir de désespoir s’échappa de sa gorge. Un souffle embué sous la fraicheur du soir qui tombe, chargé de la buée de ses larmes. Élisabeth lui manquait, mais c’était impossible, il devait bien se rendre à l’évidence, il devait l’oublier assumer son rôle et faire taire ses pulsions déviantes. Il aurait pourtant dû se dire qu’il n’était pas le premier noble à se laisser gagner par des sentiments que l’étiquette interdisait, que rien de ce qui faisait leur si particulière intimité n’était réellement perceptible aux esprits profanes qui les observaient de loin. Seul le poids de la rumeur et du jugement l’envahissait. Quelques brumes plus épaisses dans la pénombre vinrent couvrir la lueur de la lune. Enfin le noir, enfin le silence. L’image d’Élisabeth l’obsédait, apparaissant en filigrane sur cette toile obscure aux délicats reflets nacrés. Il n’en pouvait plus, si cela continuait, il allait exploser sous le poids de sa propre culpabilité, il lui fallait de l’air, beaucoup d’air et sortir de cette prison dorée. S’étant subrepticement glissé dehors, dans l’ignorance de la maison endormie, il déambulait dans les allées sablonneuse, glissant entre les règes alignées et paisible, à peine bercée par les faibles bourrasques de fraicheur apaisante. Seul le grincement de ses pas sur les galets épars venait troubler le néant bleu sombre. Comme aspiré par l’estuaire étendue au bout de la terre, il se laissa descendre le log de la pièce des socs, se rapprochant des dangereusement des demeures des ouvriers, éteintes, et crachant une timide fumée blanchâtre au-dessus de leur tête. A cette heure tardive, il ne se trouvait aucune ombre pour venir troubler les tortures de son âme. Combien de temps déambula-t-il ainsi, d’allées en allées, de pièces en pièces, de buisson en buisson. Au loin l’église de St Lambert vin troubler le silence de deux tintements timides. Le Comte se décida, à rentrer, au comble de son désespoir et de sa solitude. Il s’engouffra entre deux buis, puis se glissa dans le parc de la grande maison. A peine eut-il franchi ce rideau végétal, qu’une lueur tremblante attira son regard, au pied d’un grand chêne. Il s’approcha à pas feutrés, distinguant une silhouette assise sur le banc de pierre, à l’abris de la frondaison agitée de rares soubresauts. Une silhouette qu’il aurait pu reconnaitre dans les ténèbres les plus épaisses. En proie aux tourments de ses contradiction et d’une indignité gonflante au cœur de sa poitrine, il se risqua à une salutation étouffée au cœur de la nuit. — Bonsoir Élisabeth. La jeune femme ne releva pas le nez de sa lecture, impassible et sans la moindre réaction devant l’intrusion de ce perturbateur nocturne. Sans doute dissimulait-elle la colère que la pleutrerie du Comte avait générée en elle. En fait, elle enrageait intérieurement, elle se sentait trahie par cette fuite, elle le méprisait, il n’était donc pas différent des autres. Comment avait-elle pu commettre une si terrible méprise ? Elle avait pourtant cru déceler en lui un je ne sais quoi de différent, une sensibilité inédite, rien, il n’en était rien, juste un de ces être immonde guidé par son membre qui dés lors qu’il se gonflait le vidait de la moindre parcelle d’intelligence et de courtoisie. Un mufle, ni plus ni moins. Et ces bottes, ce cadeau, pourquoi les lui avait-il offertes ? Un gage pour une faveur ? Elle le vomissait de tout son être. Penaud le Comte restait là, planté comme un arbuste face à la belle liseuse, contrit par sa culpabilité. Il n’osait pas le moindre mot, conscient que rien ne pouvait vraiment pardonner sa lâcheté. — Vous devriez rentrer Monsieur le Comte, vos dorures se languissent de vous. — Je vous demande pardon Élisabeth, lâcha-t-il dans un murmure étouffé par les larmes qui semblaient vouloir noyer sa gorge. — Vous pardonner ? De quoi ? D’être un homme ? Vous ne pouvez malheureusement pas échapper à ce que vous êtes. J’ai eu tort d’imaginer le contraire. — Pardonnez-moi, je ne voulais pas, bredouilla le Comte. — Vous ne vouliez pas quoi, au juste ? Être un couard ? Le Comte se tut, perclus de dépit. Au fond de lui il commençait à réaliser que loin d’avoir protégé ses titres et son rang, il commençait à réaliser qu’il avait s’était renié lui-même, qu’il s’était trahi et qu’au-delà il avait manqué à ses devoirs envers celle qu’il aimait pourtant du plus profond de son cœur. Une inexplicable colère le gagnait, à se haïr. Il aimait Élisabeth, chaque partie de son corps le lui hurlait, et le risque de la perdre lui paraissait désormais incommensurable devant les quolibets auxquels il s’exposait. La honte avait changé de cible. — Obtiendrais-je un jour votre pardon ? annona-t-il d’une voix étranglée. Élisabeth déposa enfin son livre à son côté, pages ouvertes à même la pierre froide et humide de la nuit. Elle se leva lentement pour se dresser face au jeune homme et planter son regard sombre dans les yeux de son obligé. La faible lueur de la bougie vacillante sous sa cloche ne parvenait pas à atténuer la puissance qui traversait le jeune Comte. Les traits de la vigneronne étaient durs, réprobateurs et fier, insoutenables au pauvre nobliau. Il baissa les yeux légèrement. L’expression de la jeune femme se fit plus sévère encore, et elle pointa son index vers le sol. Le Comte sentit immédiatement un invisible poids s’abattre sur ses épaules, une charge insupportable, harassante, il pliait sous le poids des reproches de sa dulcinée, son corps lui échappait et semblait s’affaisser, presque à se fissurer. — A genoux ! Il s’exécuta, comme s’il s’effondrait lentement. Le sol était froid et légèrement graissé des pluies de la veille, les herbes badigeonnaient ses bas, les imprégnant de leur humidité, poisseuse et mêlée de terre noire. Il n’osait plus affronter son regard, pas même regarder le bas de ses jupes, comme devant un interdit quasi religieux. D’un pas ferme elle posa fermement son chausson sur l’entrejambe du Comte le faisant presque sursauter. Elle pouvait presque sentir le frisson d’effroi qui parcourait l’échine du jeune homme alors qu’un tourbillon de puissance envahissait ses entrailles. Elle en vibrait d’un plaisir ruisselant entre ses cuisses. Sa colère se laissait presque attendrir par la beauté de sa chose à ses pieds. Avait-il jamais été aussi beau que dans cette repentance expiatrice. Mais il devait entendre la leçon, elle ne pouvait laver l’affront à si peu de frais. Elle pressa plus fort sur le sexe de son esclave. Il grimaça, de douleur, presque à laisser poindre une larme salée au coin de ses yeux fermement serrés, comme les poings d’un enfant orgueilleux que l’on punit. Combien de temps affirma-t-elle son pouvoir sur lui ? Elle-même ne saurait le dire, tant elle se repaissait de ce spectacle aussi excitant qu’enivrant. Tout avait disparu autour d’eux, le doux parfum des feuilles de chênes au sol et la saveur acide de l’humus humide s’étaient évaporés pour laisser parler sa puissance. Force brute qui se déchainait et brulait dans son ventre faisant fondre son sexe désormais huileux d’excitation. Relâchant légèrement sa pression, elle s’avança au-dessus de lui, le contraignant à se retenir de ses mains pour ne pas tomber à la renverse, puis elle releva son jupon, lentement se délectant des yeux humides du jeune homme désormais aimanté à son intimité encore dissimulée sous l’étoffe. Elle dévoila enfin son mont de vénus, paré de son épaisse fourrure brune, brillante de mouille qui étincelait sous la lueur de la bougie. Le regard du Comte traduisait un émerveillement coupable devant ce spectacle à l’inédite beauté. Il était comme hypnotisé par ce bijou sacré dévoilant à peine ses courbes charnues et gonflées sous leur couverture de pelage humide et luisant, aux gourmandes effluves acres. Il aurait sans doute voulu le laper et se délecter de l’exquise liqueur, mais elle l’en priva, apposant avec autorité sa main sur le front l’homme, le plaçant ainsi juste sous son entrejambe à peine assez éloigné pour se voir envahit de ses senteurs de salées. Dévorée par sa soif de transgression, elle s’abandonna à ses démons, contracta son périnée et libéra un flot doré sur le visage de son jouet. Le jet d’urine frappait avec violence contre son nez et ses joues rosies, puis dévalait sa poitrine imprégnant sa chemise de ses marques animales. Elle aurait voulu gémir de plaisir, mais elle refusait de lui accorder cette joie, elle voulait l’humilier, le marquer jusque dans sa chair. Il fallait qu’il comprenne la force avec laquelle elle le dépossédait des dernières bribes de sa liberté, s’en emparant férocement et sans ménagement, ni remord. Il lui appartenait. L’interminable miction prenait fin, encore quelques gouttes par poussées spasmiques, Élisabeth frôlait une jouissance qu’elle se refusait à lui offrir. Elle se libérait, enfin. Par cet acte elle lavait son honneur en le souillant, grisée des émotions qui la débordait complétement. D’un geste violent elle rabattit le visage du Comte vers le sol, et le lâcha net. Puis elle s’accroupit face à lui. — Avez-vous bien compris votre leçon ? questionna-t-elle pleine de morgue. — Oui, murmura-t-il. — Oui qui ? Insista-t-elle comme habitée par une incroyable rage de sévérité. — Oui Maitresse, concéda-t-il, au sommet de sa honte. Élisabeth saisi une poignée de terre et lui badigeonna le visage de cette ultime souillure, lui maintenant fermement le regard vers le sol de l’autre main. Puis elle se releva lentement. — Vous saurez maintenant ce qu’est la honte, cher ami, ajouta-t-elle méprisante avant de se rassoir, ramasser son livre, et reprendre tranquillement sa lecture. Le Comte éberlué n’émettait plus le moindre mouvement, osant à peine respirer envahit de l’odeur acre de l’urine dans laquelle il baignait jusque sous ses vêtements. — Vous pouvez disposer, ajouta-t-elle enfin, sans avoir même levé le nez de son ouvrage. Elle ne le fit que pour le regarder s’éloigner et s’en retourner vers la grande maison, contrit par son humiliation. Elle eut un léger sourire attendri. Elle l’aimait.
396 vues 2 aime
Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments. Mon fantasme (mardi 05 octobre 2021 12:55) : Deadalus- Chapitre 3 - Asylum MODIFIER SUPPRIMER A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments.
542 vues 2 aime
Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Azekel - RItual spirtit :https://youtu.be/fhI5T_NKYxc A vous qui lisez mes textes, que je prends le temps d'écrire, soyez adorable de laisser un avis, un commentaire, une suggestion... ******************************************************************************** Je fermais les yeux, je pensais à ce gode me pénétrant, à mon corps à sa disposition. Je ne pouvais bouger. Où était-il? Je sentis ce courant d’air. La pulpe de ses doigts caressant mon visage s’aventurant sur mon cou. Il sera son étreinte, je lâchais prise fermant les yeux pour savourer chaque seconde. Il serra mon visage et m’embrassa la joue avec une infinie tendresse. Les doigts de son autre main pénétraient outrageusement ma bouche. - C’est bon n’est ce pas ma petite chienne ? - Oui, monsieur, empêchée de parler par mon bâillon. Il ôta ce dernier puis avec langueur, défit mes liens. Je sentais son odeur, sa peau me frôler. attisant les sensations. Il stoppa la pénétration que je subissais au niveau de ma chatte. - Relevez-vous. Il me soutenait Mes talons hauts me donnaient de l'élégance mais la réalité me rattrapait. J’en profitais pour me blottir à lui malgré sa froideur apparente, j’aimais chacune de ses facettes. Il avait toujours ce geste doux au bon moment. Ce sentiment que rien ne pouvait m’arriver de mal en sa présence. Il m’accompagna pour me mettre à califourchon sur un meuble que je devinais être une sorte de cheval d’arçon, qui avait sur les cotés des rebords pour y déposer mes jambes. Je sentais le cuir sur mon sexe, mees genoux étaient au bord, tout comme mes fesses. Fermement il prit mes poignets et les attacha dans le dos. Il ne parlait pas, mais toujours le jeu des sens, le toucher, les odeurs. Tout était en éveil, comme jamais. - Redressez vos épaules s’il vous plait, tenez vous droite ! Durant cette semaine où vous serez ici, je veux que vous vous rappeliez ce que je vais vous dire. - Oui.. Monsieur. - Premièrement, le code d’urgence : RED. - Oui, Monsieur. Merci. - La seconde - De me faire confiance, je serai toujours à vos cotés. Tout est sous mon contrôle. - Oui... Monsieur. - Troisièmement, vos sens. - Mes sens ? Il caressa ma joue. - Oui vos sens. Vos sens vous conduiront au lâcher prise. Ressentez. Les odeurs, les sons, regardez, imaginez, gouter. Libérez vous de votre morale qui n’a lieu d’être ici. Aucun jugement alors ressentez et libérez vous! Puis marquant une pause, il continua - Quatrièmement, ne fuyez pas vos envies. - Que voulez-vous dire ? - Vous verrez bien. Acceptez vos envies, vos désirs. Ne les freinez pas à réfléchir, à vous tourmenter comme vous savez si bien le faire. Soyez vous! Ne pensez pas, ne pensez pas à ce que je peux penser de vous. Vous savez combien vous m'êtes précieuse, unique et mienne. - Hummmm… - Maintenant nous allons jouer à un petit jeu. - Messieurs entrez. Soudainement je sursautais, que faisait-il ? - Nous allons voir si ma chienne sait me reconnaitre. Nous sommes 3 ma chère. A vous de me choisir pour votre soirée ou non? - Je suis attachée Monsieur, comment pourrais-je vous reconnaitre sans pouvoir utiliser mes mains. - Utilisez vos sens ma chère. Pourquoi me choisir? Mais pour rendre le jeu plus pimenté, nous portons tous le même parfum. Je connais votre attrait à mon odeur. - Que se passe-t-il, si je ne vous choisis pas ? - Eh bien je vous regarderai avec cet homme, comment il s’occupe de vous. Je rougissais, coupable presque en avance si je choisissais mal. Il caressait délicatement mes seins. - Profitez ma chère. Laissez vous aller. Découvrez ce dont vous êtes capable. Je serai toujours là. - Mais, je - Arrêtez maintenant de vouloir contrôler ! Soyez soumise. Je prends le contrôle sur vous. Profitez ! - Messieurs, elle est à nous. Je sentis une première main venir me caresser. Ma bouche s’entreouvrait, des mains d’une douceur caressant mon sein gauche. J’en frissonnais. Cette main parcourait avec légèreté ma poitrine puis la fermeté saisissait mes seins. De l’autre, je sentis soudainement une plume effleurer ma peau au creux de mes reins, remonter sur mon omoplate. Cette zone qui était si érogène et qui me rendait folle. Cela ne pouvait être que lui ! Je tentais de deviner, démêler qui était qui. Puis au bout de quelques secondes, je sentis la morsure du martinet s’abattre sur mes seins, mon ventre, mes cuisses. Surprise. Je gémissais., la brulure s’emparant de moi. Elle laissa la place à une sensation que je n’avais jamais ressentie. Les griffes. Les doigts portaient une bague avec des griffes au bout des doigts. Elle passait sur mon pubis remontant sur mes seins, les griffant légèrement. Je sentais l’homme derrière moi me tenir de son autre main pour me plaquer à lui. C’était d’une telle sensualité. Ma poitrine de soulever, symptôme de mon désir. Au bout de quelques secondes, je sentis une chose froide effleurer ma joue, s’introduire dans ma bouche. Je compris que c’était un plug. Il s’amusait à le mettre au niveau des lèvres de mon sexe, à faire des petits va et viens. Je gémissais de plaisir. Il saisit ma queue de cheval pour me redresser, puis avec dureté, prit mon téton en main pour les pincer bien fermement. Encore une fois, je gémissais encore et encore. Ma surprise fut quand je sentis la froideur du glaçon remplacer le pincement. Je ne savais plus à quel saint me vouer, mes sens étaient perdus, tout se mélanger. Je tentais de trouver une logique, mais je ne devais pas. C’est ce que je compris à ce moment là. Je ne distinguait plus rien. Je ne devais pas penser à mon choix mais à mes envies et me laisser aller. Quand une main saisit mon menton pour m’ouvrir la bouche, je sursautai. Naturellement, je sortis ma langue. Drôle de sensation, cette roue à pic roulant et roulant avec la juste mesure., descendante sur mon corps. Je pinçais mes lèvres quand je sentis une mains se poser sur ma cuisse gauche à deux doigts de mon sexe. Je voulais plus. Il aventura un doigt dans ma bouche pour que je le suce. J’ouvrais ma bouche à ces plaisirs, demandeuse et soupirante. Ma langue attendant, je sentis un liquide se déposer, c’était le goût velours du miel. Puis le coup de grâce fut de sentir la douceur de ces deux mains caressant le contour de mon visage. - Je vous veux. Je veux celui-ci. - Tu as bien choisi ma chienne. - Je… J’ai bien choisi vous Monsieur ? - Quoi que vous auriez choisi, vous auriez fait le bon choix. Je vais vous garder les yeux bandés. Vous ne saurez qu’à la fin qui vous avez choisi. Nous allons expérimentés des choses , vous poussez à vous dépassez, à faire des choses que nous n'avons jamais expérimentées. Etes vous prête ? - Oui Monsieur.. Je sentis à nouveau ses mains douces sur mon visage plaquant son front contre le mien. - Qu’allons nous faire Monsieur ? - Nous allons jouer avec votre corps dit il en s'emparant de mon téton gauche puis en caressant de ses mains ma poitrine, prenant de pleine main mes seins pour mes malaxer. - Vous allez être docile ? m’écouter ? - Oui.. Monsieur. Son doigt releva mon menton. - C’est bien ma petite chienne. Nous allons voir ça. Il murmura à mon oreille. - Si vous ne m’appelez pas Monsieur, vous serez puni dit-il en claquant fermement ma fesse gauche. - Si vous n’obéissez pas, vous serez punie dit il en claquant l’autre tout aussi fermement - Oui Monsieur c’est clair. Il passa à nouveau son doigt sous mon menton pour redresser mon visage et m’embrasser. Il saisit ma queue de cheval et tira mes cheveux en arrière. Sa bouche prit possession de mon cou, de mes seins. C’était si intense. Je chavirais. De nouvelles sensations. Etait-ce lui ? Je me devais d’arrêter de penser, de culpabiliser. Je sentais que ce n'était pas sa manière de s'occuper de moi et pourtant il me parlait. Il lécha mon sein gauche, le susurra tout en caressant l’autre. Je gémissais. - Oui c’est bon petite chienne. Puis il claqua mon sein pour me faire comprendre ma condition. Il s’occupa du second en alternant douceur, coups de langue, baisers et malmenage de mes seins. Il les gifla doucement, puis plus rudement pour mieux les embrasser pour les apaiser. - Quelle belle poitrine ! Encore ? - Oui Monsieur, encore. Il continuait à s’occuper de mes seins. Il frôla mon pubis avec le bout de ces doigts. Je me dandinais sur ce cheval d’arçon, je ne tenais plus en place. Je voulais qu’il me touche de partout. Je sentais ma mouille baver sur le cuir. - S’il vous plait Monsieur, S’il vous plait, touchez -moi. - Non non.. pas si vite ma belle dit il en posant son doigt sur ma bouche. Avant que j’aille plus bas, je vais vous préparer davantage. Je sentais ses pas puis ce fût les lanières du martinet caresant mon sein gauche de bas en haut, passer derrière ma nuque pour faire la même chose avec mon sein droit. Je soupirais, presque souriante, reconnaissante. Il s’approcha de mon cou l'embrassant, le mordant, sa langue aspirant ma peau. Je sentais son souffle plein de désir et d’excitation. Tout en continuant à me rendre folle , il commença à me donner des coups légers de martinet sur les seins tout en passant parfois sa main pour les réconforter, les sous peser. Il se plaça juste derrière moi et redressa ma tête en me maitrisant avec ses doigts sous la mâchoire pour la plaquer contre son ventre. - Encore Monsieur, Encore, je vous en prie. Il me rendait complètement folle. Il me flagella encore… - Comme ça ? - Ohhhh…ohhhh.. Oui monsieur. Son visage rester collé au mien à me tenir fermement le visage contre lui. Sa main serrait mon cou. Je me sentais littéralement possédée à accepter tout ce qu’il voulait faire de moi. Il relâcha son étreinte et commença à me flageller les cuisses, le ventre le dos, mes jambes. Je tentais de me défaire de cela, mais rien à faire, ses coups étaient bien intenses. Reprenant sa place derrière moi. Il passa les lanières du martinet autours de mon cou et m’étrangla doucement pour me redresser. - Droite, tenez vous droite au lieu de vous dandiner comme une petite chienne sans prestance! Je hochais la tête à l’affirmative ; - C’est mieux ma petite chienne, beaucoup mieux. Il passa ses doigts sur mon pubis . Je mouillais terriblement. - Vous voulez plus ? - Oui. Monsieur, quémandais-je dans un souffle d’excitation. - Bonne petite chienne. - J’ai quelque chose pour toi. J'entendis qu'il ôtait son pantalon. Il me poussa vers l’avant. Mon cul était au bord et ma tête à l'autre bout. J’ouvrais ma bouche, sortait ma langue. Je sentis alors le bout de son gland sur mes lèvres, les caresser, s'engouffrer puis repartir, revenir, repartir. Il se jouait de moi. A me voir salivante à l’idée de m’occuper de sa queue. - Croyez-vous la mériter ? - Je… ouiii Monsieur, s’il vous plait. - Demandez moi mieux que cela. - Je vous en prie Monsieur, je veux votre queue. Je veux l’honorer. - Tellement mieux dit-il en appuyant sur ma tête pour me baisser et me mettre à hauteur de sa queue. Je ne tenais plus. Il me retenait par la queue de cheval. En attente. - Ouvrez votre bouche, sortez votre langue comme une petite salope sait le faire. Puis il s’engouffra dans ma bouche, me tenant par la tête, m’imposant son rythme, me baisant la bouche profondément et en douceur. - Gardez la bien au fond. Soudainement, je sentis un doigt saisir mon anus. Je sursautais. Je compris… Je compris qu’il était peut être deux.. ou trois et qu’aucun était parti. Seul mon maitre me parlait depuis le début. Il sortait de ma bouche, je salivais. - Donnez moi plus, s’il vous plait. A nouveau il appuya sur ma tête , me baisant cette fois ci fermement puis à nouveau garda ma tête appuyer fermement contre lui. C’est à ce moment là qu’il ôta mon bandeau. Le doigt dans mon anus se faisait inquisiteur, je mouillais tellement. Je n’osais pas ouvrir les yeux. Je sentis alors deux autres doigts me prendre le cul et commencer à me dilater pendant que je suçais. Mais qui me dilatait? qui suçais-je? Tout ce que je sais c’est que j’étais au nirvana du plaisir. Il m’avait dit de ne pas réfléchir. Pas de jugement et pourquoi j'osais pas ouvrir mes yeux? ce poids de toujours vouloir réfléchir. Les coups de doigts dans mon cul donnait le rythme. tenant mes mains ligotées. Il écartait bien mon inter-fessier pour mieux me dilater et faire que la queue de cet homme s'engouffre bien au fond. - Bonne petite putain… c’est si bon de te dilater et de te voir être prise par la bouche…. Défoncez lui bien sa bouche, elle ne mérite que ça et ne veut que ça ! N'est ce pas ma petite chienne? Je ne pouvais même pas répondre. Je ne pouvais même plus réfléchir. Je n’avais toujours pas ouvert mes yeux pour savoir qui était qui. - Retournons la sur le dos. Il me détachait les mains. Monsieur me saisit les mains pour les maintenir au dessus de ma tête fermement. . - Ouvrez-vos yeux ! Son regard était plongé dans le mien. Je sentis alors une paire de main écarter mes cuisses. - Ecartez mieux vos cuisses voyons ! Je le regardais, presque pudique. - Arrêtez de faire votre timide, comportez vous en chienne que vous êtes. Vous la voulez cette queue ? cette langue dans votre chatte ! - Je.. Oui Monsieur. Oui je la veux. - Mieux que ça. - Oui Monsieur, je veux cette langue, cette queue dans ma chatte. - Hummmmm… Il m’embrassa, tout en me tenant fermement. L’autre homme ne disait rien. Il releva ma tête par ma queue de cheval. - Je veux que vous regardiez comment il vous prend, comment il va vous lécher, vous baisez. Je vous l’ai dit.. de nouvelles sensations ! Libérez-vous. REGARDEZ LE! L’homme positionna sa queue sur ma chatte et me giflait avec, tout en s'amusant à l’enduire avec ma mouille. - Mes trous sont à vous Monsieur, prenez moi, s’il vous plait. - Allez-y prenez là ! maintenant. Il plongea son regard dans le mien tant que je sentais cette queue m’envahir. Il saisit mes cuisses pour me rapprocher à lui et me prendre plus profondément. - Vos pupilles, vous adorez ça ! n’est ce pas me dit Monsieur. - Je… - Avouez !!! - Oui.. Monsieur, j’adore ça. - Qu’adorez vous ? - Être prise, ainsi, d’avoir d’autres partenaires. - D’être baisée, gâtée de cette manière. - Oui.. Monsieur.. - Maintenant regardez le vous prendre . Mon regard se plongea dans le regard bleu de cet homme. Il avait un corps magnifique, des yeux bleus pénétrant. Une forme d’intransigeance. Il se déchaina à gifler mes seins, les prendre de pleine main. Il me dominait. Monsieur me dit à l’oreille - Nous allons devoir vous punir la chatte maintenant ! debout - Mais pourquoi ? - Pourquoi ? parce vous avez résisté à lâcher prise. - Debout, allez ! Je me relevais, j’étais assise sur le cheval d’arçon. Monsieur tendit une cravache à cet homme. - Je vous laisse la laisse, faite en bonne usage. - Mademoiselle, obéissez lui ! Il partit s’asseoir. Je le suivais du regard. J’étais relevée, toujours assise sur le cheval d’arçon. - Ouvrez votre bouche dit la voix suave de cet homme. Il introduisit plusieurs doigts dans ma bouche, allant au plus profond, à me faire tousser. Il plaça la cravache sous mon mento et de l’autre mis sa main sur mon sexe. - Ta chatte mérite plus de punitions… - Oui… Monsieur répondais-je soupirante - Allez lève toi, lève toi, plus vite. - Oui.. monsieur. - Tourne toi ! - Mains sur le cheval d’arçon, et tends tes fesses. Il donna un coup de cravache sec sur mon postérieur. - Mieux que ça ! Je regardais mon maitre avec son sourire satisfait. Il commença à me cravacher. Il força à écarter mes cuisses avec le bout de la cravache. Ses coups était parfait secs, violents, souvent au même endroits; Ses mains soulageait aussi la brûlure. Parfois il me faisait attendre la peur du coup suivant qui ne venait pas. - Ecartez vos fesses maintenant ! Je mis mes mains sur mes fesses pour lui exhiber mon petit trou. Mon maitre me regarder ainsi, punie par un autre. Je prenais du plaisir, presque honteusement. Je culpabilisais, car je ne supportais pas qu’une autre femme l’approche, et là , je faisais ce que je ne voulais pas qu’il me fasse subir. Je sentis alors sa langue passer sur mon petit trou puis donner ensuite un bon coup de cravache, qui me fit me redresser. Il appuya sur mon dos pour me remettre en place. Il replaça sa queue à l’entrée de ma chatte. - Merci.. Monsieur.. merci. Il caressa mon dos avec la cravache faisant de doux va et viens. Sa main prenant à chaque fois le plaisir de saisir ma queue de cheval pour mieux me cambrer. Il me pénétra. - HUmmm hummm c’est si bon, encore encore murmurai-je. Cette fois ci, sa main se mit autours de mon cou, me redressant davantage .Il m’embrassa si sensuellement, son souffle noyé par le désir. - Je n’en ai pas fini de m’occuper de toi !... Il me claqua les fesses. - Reste ainsi. . Je vis qu’il prit quelque chose en main sans voir ce que c’était. - Ouvrez ta bouche. Il y plaça comme un mors de cheval avec deux rennes sur les cotés. Il me redressa tout en me tenant fermement par la bouche contre lui. Je sentais tout son corps derrière moi. Il me redressa pour me présenter à nouveau à mon maitre. J’étais leur objet. - Voici votre chienne Monsieur. Regardez combien elle est docile. - Oui je le vois. J’aime la voir ainsi. Il s’assit sur le bord du cheval d’arçon là . Cela faisait comme une chaise, un fauteuil. - Allez viens t’asseoir sur ma queue. Choisis ton trou. Ma chatte souffrait d’avoir été si prise. Je n’avais pas le choix, que de choisir mon petit trou. - Prenez-moi s’il vous plait par le cul, Monsieur. J’étais face à mon Maitre, Ce dernier rapprocha sa chaise pour se placer face à moi, plus près encore. Je le regardais tandis que cet homme me prenait par le cul. Tout doucement. - Allez tout doux, belle jument.. Empale toi.. voilà.. doucement. Je pleurnichais à l’idée d’être vue ainsi, de sentir cette queue ouvrir mon cul. Mon maitre s’était redressé. Il caressait ma poitrine. Il se releva et me caressa le visage. Puis, il me murmura. - Fais toi bien prendre le cul ma chienne. Je suis fière de toi. L’homme me laissa prendre mon rythme pour ma sodomie. Je montais, descendais, montait descendait. Lui me tenait par les rennes. Au bout de quelques minutes, il les lâcha pour mettre sa main sur mes hanches et me guider, à ce que je m’empale plus profondément. Il appuyait sur mes épaules pour ensuite me garder bien au fond. Il jouait avec sa queue en étant assis. . - Allez déhanche toi, montre moi comment tu es chienne. Je ne m’appartenait plus quand il mit sa main sur mon clitoris pour m’exciter davantage. Son autre main, sur mes seins, puis prenant fermement mon sein gauche. - Tu aimes ça être baisée ainsi ? - Oui… Monsieur tentai- je de répondre. Il me redressa pour me plaquer contre lui et soulever mes jambes. Il reprenait le contrôle. Ses coups de queues étaient si violent. Je ne cessais de gémir encore et encore. - Redresse toi. Mes seins virvoltaient. - Regarde moi m'ordonna mon Maitre - Quelle bonne petite putain vous faites. L’homme saisit mes poignets et mis mes bras en arrière me forçant à me pencher en avant vers mon maitre. Il me pilonnait fortement. Mes seins valsaient encore et encore. Il plongea son regard dans le mien. - Défoncez lui bien son petit fion. - Je prends mon pieds avec les bonnes petites salopes comme elle lui répondait-il. - Allez relève toi m’ordonna-il. Il était épuisé, je sentais son souffle. Il ôta mes mors. Il me saisit par le cou avec sa main, j'étais sa poupée. Il plaquait mon visage contre le sien, tout en m’embrassant avec une infinie sensualité. - Tu as aimé que je te baise ? - Oui.. Monsieur… - Tu en veux encore ? - Oui.. Monsieur.. Je relevais mes mains pour le caresser. Lui en profita pour s’attarder sur mes seins. - Assieds toi ! m'ordonna t-il en caressant mon sexe. J’obéissais laissant mon fessier sur le cheval d’arçon et les pieds sur le repose jambes. - Oh oui Monsieur, j’aime vos doigts.. - Oui me murmura-t-il au creux de l’oreille. Oui je sais que tu les aimes. Il activa la masturbation sur mon clitoris tout en me tenant fermement le cou. Je n’en pouvais plus. Je m’abandonnais complètement. Sans ménagement, il écarta davantage mes cuisses et pris possession de ma chatte en me pénétrant de plusieurs doigts. - Regarde ton Maitre, pendant que je te doigte. Je défaillais complètement, j’étais au bord des larmes tellement ses doigts savaient parfaitement ce qu’il fallait faire. Je n’arrivais plus à me retenir. Il me prit dans ses bras au moment où je jouissais. Je hurlais ma délivrance. J’étais épuisée. - Chut… voilà… viens contre moi… Mon maitre se releva et s’approcha de moi. Il m’embrassa. - Tu es si belle dans la jouissance, dans l’abandon. - Je… Je… vous remercie.. Monsieur de me faire vivre tout cela confessais-je. J’étais épuisée, je n’arrivais presque plus à parler. - Je vous la laisse pour la nuit dit -il à l'homme. - Quant à vous, Vous me rapporterez tout demain par écrit de votre nuit Il m’embrassa sur le front et me laissa entre ses mains…
690 vues 6 aime
Par : le 05/10/21
Je m’appelle Caro la domina, mon ami a toujours aimé que je lui mettre un doigt dans le cul pendant la fellation et nous avons testé le gode ceinture. C’est quelque chose qui lui plaît énormément et qui me donne également du plaisir. Ce que je ne savais pas, c’est qu’il avait envie d’essayer avec une vraie bite. Il me l’a confié il y a peu de temps après avoir lu une histoire sur le net. Alors j’ai décidé de lui faire une petite surprise. C’était un mardi. Je lui ai envoyé un texto en lui disant de rentrer tôt ce soir et que j’avais une surprise pour lui. Il a essayé de savoir, mais je ne lui ai rien dit. Jusque-là il n’a toujours pas eu de soupçon, car c’est ce que je lui demande de faire lorsque j’ai prévu une soirée avec le gode ceinture. Sauf que ce soir-là allait être différent ! Il était dans le lit et de se préparer lorsqu’on a sonné à la porte. Il était très déçu et a voulu y aller, mais c’est moi qui me suis levée. J’ai accueilli un homme avec lequel j’avais discuté au téléphone et en ligne. Je lui ai expliqué que c’était uniquement pour mon ami et pas pour moi. Je lui ai demandé d’être direct et de l’enculer. Une fois qu’il avait terminé, il jetait sa capote et partait. Tout était prévu. Je suis arrivée dans la chambre et mon ami était en train de se masturber. Il a vu l’homme débarquer et s’est senti très mal. Je lui ai expliqué que cet homme était venu exprès pour lui faire le cul. Alors je me suis allongée sur le lit en position demie assise les cuisses écartées. J’ai demandé à mon mari de venir me bouffer la chatte en position de levrette. L’homme s’est déshabillé et a commencé à se mettre en érection. Il a branlé mon mari et lui a sucé la bite tout en lui malaxant l’anus. Mon ami me regardait en gémissant. Puis l’homme a enfilé un préservatif et a présenté son gland devant le petit trou de mon ami. Il s’est enfoncé en lui et il a été ainsi dépucelé du cul. Le mec est allé très profondément en lui ! Il limait la rondelle pendant un bon moment avant de jouir. Comme convenu, il est parti en mettant une claque sur les fesses mon mari. Mon mari continuait de me bouffer la chatte et je suis passée derrière lui avec le gode ceinture pour prendre le relais et le faire jouir du cul. Comme tout ça lui a plu, je lui ai proposé d’aller plus loin en invitant plus d’hommes. C’est exactement ce qui s’est passé trois semaines plus tard. J’ai réussi à trouver deux hommes prêts à faire le cul de mon ami sans s’occuper de moi. Nous avons adopté la même technique, ils sont passés l’un après l’autre dans son trou du cul. Il y a un moment où je me suis même mise sur la chaise pour les regarder faire. Le premier homme était allongé sur le dos et mon mari était en position de 69. Ils se suçaient la bite tous les deux pendant que le deuxième lui défonçait le cul. Ils ont changé de position, mais au final, c’est toujours mon soumis qui se faisait défoncer la rondelle. Je me caressais en même temps. Depuis ce jour, de temps en temps, sans qu’il ne s’y attende, des inconnus passent à la maison pour l’enculer. Je n’ai plus besoin de lui demander de se préparer, il le fait tous les jours dans l’espoir que moi ou des inconnus venons l’enculer.
415 vues 7 aime
Par : le 05/10/21
Vous voulez entrer dans l'ambiance de ma nouvelle. Voici sur quoi j'ai écris : Massive Attack - Butterfly caught. https://youtu.be/g45PgMJMqLY ********************************************************************** Deadalus - Signature - Chapitre 1 Je n’attendais qu’une chose. Mes vacances ! J’étais chargée émotionnellement. Un trop plein où je vis tout intensément. Le bonheur à 200%, la joie à 200%, le désir à 200%... mais la mélancolie, la tristesse de manière identique. Ce mode de vie où tout est sinusoïdale. Monsieur, lui savait me canaliser, il acceptait de me prendre comme j’étais. Il savait me rassurer, me booster, me recadrer, ce dont j’avais besoin. Cet alpha avait une telle exigence mais surtout avec lui-même. Aujourd’hui, je suis fatiguée. J’avais toujours cette peur incroyable de l’abandon. A toujours tester des limites pour voir si je comptais. Je pouvais lâcher prise en étant totalement moi. Cette connexion unique et magique. Il avait organisé mes vacances, tout en restant mystérieux. Je ne savais pas ce que nous allions faire. Je rentrais du travail. Je relevais mon courrier. Une lettre bien atypique. D’un papier noir légèrement satiné, si doux au toucher avec juste mon adresse et un logo D. . J’étais bien intriguée. Avec hâte, je rentrais dans ma maison pour m’empresser de l’ouvrir. Coupe-papier en main, je sortais le carton d’invitation que je devinais. Le papier également doux au toucher semblait bien précieux. Toujours ce Logo en en filigrane composé d’une forme de labyrinthe de couleur Or. Et le nom. Deadalus. Qu’étais-ce ? « Vous êtes conviée à venir vous perdre dans le labyrinthe des plaisirs ».. Samedi 02 Octobre à 17h. Des coordonnées GPS, un plan, et un numéro de téléphone à appeler en cas de besoin. Aucune autre explication. C’était bien étrange. J’étais curieuse, comme une enfant voulant découvrir son cadeau avant l’heure. Lui.. il ne me disait rien sur nos vacances. « Tu verras ». Malgré mon insistance, il arrivait à tout contrôler, maitre du jeu. Je regardais sur google, je ne trouvais rien sur ce lieu, sauf les informations mythologiques ou d’artistiques. Je ne pourrais le voir que demain, ce samedi 02 Octobre. Il était dans l’impossibilité de partir avec moi. J’avais réceptionné un colis directement au travail. Un sublime carton blanc satiné, avec un nœud, avait intrigué mes collègues de travail. Il savait que cela allait provoquer des bavardages. - Mais qu’est ce que c’est ? ouvre le… ne cessaient de me demander mes collègues voulant satisfaire leur vilaine curiosité, mais j’avais gardé les choses pour moi. L’heure de partir était arrivée, à peine dans la voiture, je prenais sur moi pour savourer le moment où j’ouvrirais ce colis si précieux. Doucement, je défis le nœud rouge, je descellais les points de colle pour découvrir une lettre.. Je me sentais gâtée. Une lettre. J’aimais cette manière d’antan à écrire encore des lettres. Ce temps qu’on s’accordait, à éviter cette routine, cette immédiateté des SMS ou autre échange whatsapp, qui enlevait souvent bien la saveur du désir. Là il ne faisait que le rendre exponentiel. Prenant la lettre dans mes mains je lisais : « Mademoiselle Lane » Il est temps pour vous de vous libérer de votre quotidien. Je vous emmène dans un lieu où vices et plaisirs seront là pour vous faire lâcher prise. Vous avez reçu le carton d’invitation de Deadalus. Vous allez suivre toutes les instructions suivantes : vous porterez uniquement ce qu’il y a dans ce carton. Vous n’aurez que comme seul choix un manteau long pour vous couvrir, rien d’autre. Vous vous parerez de magnifiques talons rouge vernis que j’affectionne. Rouge à lèvre rouge, cheveux attachés en queue de cheval haute. Vous serez sublime. Laissez vous surprendre. La sonnette marquera le début de votre abandon. Monsieur. Je sentis une vague de désir m’envahir à ce moment précis. Je n’osais imaginer ce qu’il avait prévu. Il avait une telle capacité à orchestrer des choses d’une main de maître. Jamais de faux pas. Il me protégeait, il veillait sur moi mais savait aussi me sortir de ma zone de confort pour m’assumer et nous faire plaisir à tous les deux. Dans le carton, un ensemble de lingerie fait de dentelle, de lacets, un harnais. Un sublime porte jarretelle avec des petites franges tombant sur mes fesses, une culotte fendue laissant un accès libre à ma chatte, à mon petit cul. Je savais ce qu’il allait m’attendre, mais pour une semaine, qu’allais-je être ? qu’avez-vous prévu de faire de moi ?. Vous vous demandez, moi aussi. Je ne pouvais rien contrôler. J’étais destabilisée. Je prie la direction de l’adresse, à 3h de route de chez moi. J’avais peur de me faire arrêter ou contrôler. Même si je portais ce manteau, je sentais les frissons me parcourir. Je sentais sa présence, son emprise. Je ne pensais qu’à lui, à ses mains sur moi, sa voix, son souffle dans mon cou. Ce besoin terrible de m’abandonner à lui. Je ne pouvais lutter. Pouvez-vous lutter à qui vous êtes ? Je me retrouvais dans une zone industrielle. Pour des raisons confidentielles, je ne peux indiquer aucune informations sur le lieu. Le lieu était quelque peu lugubre, il semblait presque abandonné. On devinait la période de faste de ce lieu passé. Un des bâtiments avait des carreaux cassés, le chemin de fer semblait passer ici Jadis. La pleine période industrielle. J’avais indiqué les coordonnées GPS. Un sentiment de peur, d’excitation. Et si je faisais une mauvaise rencontre ?. Mon cœur palpitait terriblement. Je respirais fortement. Je ne me sentais pas rassurée. Au loin je vis une maison faisant presque peur, cette sensation où vous allez vous faire dévorer si vous entrez dedans. Une porte noire, deux lampadaires. Etait- ce là ? Pas de voitures aux alentours. C’était bien étrange. Je décidais de me garer. Sortant d’un pas craintif, je m’avançais vers cette porte. C’est là que je vis une sonnette avec l’inscription : D. Je compris alors que j’étais au bon endroit. Ma main tremblante, je sonnais. J’entendis des mouvements métalliques. La porte s’ouvrait. La porte était si épaisse, je n’en revenais pas. On aurait dit une porte de coffre fort. Je vis une femme sublime ouvrir. Une grande femme élancée, fine, cheveux noirs habillée d’une robe fourreau noire stricte laissant apparaitre son soutien gorge. Elle avait une poitrine généreuse. Des yeux de biches.. Elle arborait un rouge à lèvre rouge. La nature l’avait bien gâtée. - Bienvenue à Deadalus. Vous devez être Mademoiselle Lane. - Je.. oui Je suis Mademoiselle Lane. - Parfait ! Vous allez me donner vos affaires, vos clés de voiture et téléphone. - Je… - Ce n’est pas une requête, mais un ordre. Sans broncher, je tentais mes affaires et mes clés de voiture. - Nous allons nous charger d’installer vos affaires dans votre chambre. Mickaël va enlever votre voiture et la mettre en sécurité. - D’accord. Je me sentais quelque peu déconcertée par ce lieu. L’entrée où une lumière rouge feutrait l'atmophère. Il y avait une sorte d’alcôve , sorte de préambule. La jeune femme se tourna et m’indiqua : - Veillez me suivre je vous prie. Elle avait une allure incroyable inspirant une forme de respect. Ses longues jambes, ses bas coutures et des talons vertigineux. Le lieu était éclairé par des torches laissant planés une forme de mystère. Je devinais des portes cachées, j’entendais des soupirs, des cris et parfois du calme. Au bout du couloirs, un ascenseur. Au mur des cages pour humain. Nous passions devant un homme emprisonné, nu et bâillonné. Plus loin, les jambes écartées d’une femme sortant du mur, chevilles attachées au mur, laissant à disposition sa chatte et son cul. L’inscription : « A disposition ». Je n’osais pas parler, intimidée. Nous descendions dans un sous-sol. Le silence planait. En sortant de l’ascenseur un dédale de tunnels, sombre, de canalisation. Je devinais différentes pièces en marchant. Une lumière vive cette fois-ci m’aveugler. - Entrez. Je m’avançais dans une pièce incroyable. Le sol était couvert d’une moquette rouge opéra. Un sublime bureau en bois de rose, un canapé chesterfield, une cheminée. Il y régnait une atmosphère incroyable. On entendit une musique où le son n’était ni trop fort, ni pas assez. Au mur différentes objets : martinets, gode, cagoule, cravache et des accessoires dont je ne connaissais pas l’utilité. Elle se dirigea derrière le bureau. - Mademoiselle Lane. Deadalus est un lieu confidentiel accessible uniquement à nos membres. Je vais vous faire signer un contrat avec une close où vous ne devrez jamais parler de ce lieu à qui que ce soit. Est-ce bien compris ? - Je… oui je comprends. Je suis juste encore surprise par ce lieu. - Je comprends me dit-elle froidement. - Nous prenons ici votre sécurité et la notre très au sérieux. Vous vous abandonnez à nous sous la bienveillance de votre propriétaire Monsieur. A ces mots là, je sentis le désir m’envahir. Qu’avait-il programmé? Quand le verrai-je ? - Merci de votre collaboration. Maintenant nous avons des instructions à votre sujet. Ôtez votre manteau je vous prie. - Quoi ? maintenant ? - vous devez comprendre que je me substitue à votre Maître, mes ordres émanent de lui. Vous ne devez parler que si je vous y autorise. Est-ce clair Mademoiselle Lane? Je hôchais la tête par l’affirmative, intimidée. Je laissais alors glisser mon manteau au sol me dévoilant à cette femme. Elle tourna autours de son bureau pour se mettre face à moi. - Tenez-vous droite ! Je me redressais. Je lui obéissais naturellement malgré moi. Elle inspirait tant cette autorité. Ses mains parcouraient mon visage, ses doigts me caressait. - Sublimes lèvres. Ce rouge donnent envie qu’on s’en occupe. Parfaite.. vous êtes. Elle tournaient autours de moi. - Je vous invite à bien redresser vos épaules pour mieux exhiber vos seins. D’une main ferme elle tira sur mes épaules . - Voilà qui est bien mieux Mademoiselle Lane! Tournoyant toujours autours de moi, elle plongeait son regard dans le mien. Elle défit mon soutien gorge, elle caressa mes seins puis mes tétons. Elle les saisit fermement, les pinça. - Hum parfaitement dressés. Puis elle les gifla alternant pincement et giflfes à me faire gémir. - Chut.... Baissez votre culotte et maintenait à hauteur de vos genoux. Je m'exécutais, laissant la culotte à hauteur de mes genoux. J'écartais mes jambes pour accéder à sa demande. Elle passa alors sa main sur mon pubis. - Hum Lisse, parfait. Voilà j’ai terminé l’inventaire. Je vais maintenant vous faire signer un second contrat. Restez ainsi petite chienne. Elle se posa dans le fauteuil du bureau et composa un numéro. - Oui elle est face à moi. Je vous confirme que votre chienne s’est présentée comme convenu. Elle a bien suivi vos instructions. Je lui ai ôté son soutien gorge et sa culotte. Son sexe est doux et lisse. Elle est juste face à moi la culotte baissée sur ces genoux. Voulez-vous une photo.? Pendant qu'elle parlait elle avait saisi son téléphone pour me prendre en photo. - Oui Monsieur, elle semble bien excitée. Je vais lui faire signer le contrat maintenant. Je n’entendais pas sa voix.. mais je devinais l’issue de cette conversation.. Elle me tendit un questionnaire à remplir. - Vous allez indiquer ce qui convient, ce qui ne convient pas. Vous trouverez les informations liées à l’inconfort, aux urgences. Sachez que quoi qu’ils arrivent nous disposons des ressources nécessaires à votre bien être. Médecin, Kiné, dentiste. Nous avons un vaste réseau pour que votre séjour parmi nous se passe au mieux. A partir du moment où vous signez, nous sommes en charge de vous pour une semaine. - D’accord.. Je commençais à lire le début du questionnaire. Il y avait différentes questions avec les mentions : déjà vécu, a aimé, pas aimé, souhaite vivre cela, l’intensité du choix de la douleurs.. cela allait de la pratique de la sodomie, au fist, au doigtage, à l’utilisation d’appareils godes, fouet, cravaches, en passant si je voulais avoir plusieurs partenaires ou non.. je n’en revenais pas. 10 pages à remplir. Une introspection où je me livrais totalement. Je ne pouvais qu’y répondre honnêtement. Je savais qu’il était ici, qu’il m’attendait. - Vous avez terminé ? - Presque oui. Je n’ai pas encore rempli le dernier item. - Ce n’est pas bien grave. Vous allez maintenant me lire à haute voix chaque chose écrite. Je vais vous enregistrer. Je salivais de peur. Elle me regardait. Je tenais mes feuilles devant moi à dire à une inconnue tout sur ma sexualité. Mais n’étais-je pas dans le bon lieu ? Deadalus.. le labyrinthe pour arriver à lâcher prise. J’avais toujours eu du mal à assumer de dire les choses, l’écrit était plus simple pour moi. Une grande réserve, honte à m’assumer. Mais là pas de jugement, je le sentais. Partie 1 : les accessoires : Il s’agissait de faire le point sur tout ce que j’aimais, ce qui m’effraient, ce que j’avais testé ou non … Elle me regardait me faisait répéter. Où j'aimais être cravachée par exemple, si j'aimais être plugée ou si j'aimais qu'on me pompe les tétons et pleins d'autres possiblités... Partie 2 : les sens. Je lui faisais part que j’étais très sensible aux sons, aux odeurs, à la voix. En même temps pour une hypersensible. J’adorais qu’on m’occulte la vue. Cela me permettait bizzaremment d’assumer qui j’étais. Je ne saurais l’expliquer. J'aimais qu'on me parle, j'avais besoin de cela. Partie 3 : la gestion de la douleur. Nous parlions de l’intensité. Jusqu’au je voulais aller. Monsieur savait que j’aimais la douleur mais pas à haute dose comme certain(e)s pouvaient aimer.. Tout était surtout cérébral, et cet état de transe où on lâcher prise nous fait accepter plus de choses qu’en temps normal. Partie 4 Les mises en situations. Je devais dévoiler ce qui m’excitait, mes désirs les plus sombres. Je lui faisais part aussi de ma peur de réaliser certains fantasmes de peur de ne pas les assumer. Que certains doivent rester à l’état de fantasme. Nous passions en revue, la pluralité, le fantasme de la petite écolière, le kidnapping, le viol simulé, l’exhibition, le partage, le gang-bang… et ce n’était que le début. Partie 5 Mes limites. Mon dos, mon opération me limitaient dans certains mouvements positions. Pas de sperme dans ma bouche. Pas de scatophilie, de sang, urophilie, zoophilie. Tout était clair. Son interrogatoire avait duré plus de 2 heures. Elles prenaient des notes, ne disaient rien. - Maintenant vous allez signer ce document. Si vous ne souhaitez pas le signer, nous arrêtons là et vous repartez chez vous. Je, soussignée, Mademoiselle Lane, offre ma soumission à Monsieur et accepte que Deadalus m’amène dans un labyrinthe de plaisirs. J’accepte d’être esclave, de subir les châtiments, punissions et jouissances. Durant 7 jours, je serai une esclave de Deadalus. J’avalais ma salive prenant le temps d’une seconde de réflexion. Mon excitation était au plus fort. Je signais. Elle prit alors le contrat dans ses mains et le plaça dans un porte document. - Allez cherchez le plateau qui se trouve sur la table là bas sans faire tomber votre culotte. Je m’avançais ainsi, frissonnante. Je prie dans mes mains la plateau en argent. - Revenez ici. Présentez moi ce plateau comme une bonne esclave sait le faire. Je baissais le regard me replaçant au milieu de la pièce face au bureau. Elle avait les fesses posées sur le bureau. - Redressez vos épaules. Soyez fière de qui vous êtes ! Faites que votre poitrine soit bien dressée ! Regardez devant vous ! Elle se leva vers moi. Je la regardais. - Regardez devant vous. Nous allons vous parer maintenant. Sur la plateau, des bracelets, un collier, un cadenas, une laisse, un bandeau. Un à un elle prit les bracelets en cuir pour les positionner autours de mes chevilles, de mes poignets. Elle prenait soin à prendre son temps, effleurer ma peau. Elle était dans mon dos. Je sentais son souffle au niveau de mon épaule droite. Elle prit en main mes deux seins puis s’aventura sur le plateau pour saisir le collier. Elle s’amusa à mettre le collier à hauteur de mes yeux, pour que je puisse lire une inscription. - Esclave LANE, propriété de Monsieur G. Mon cœur battait à la chamade. Je sentis sa rudesse quand elle entoura mon cou fermement. Elle saisit ensuite le cadenas. J’entendis la cliquetis. J’étais maintenant son esclave. Elle se plaça face à moi. - Parfaite. Elle plaça alors mon contrat signé sur le plateau. Elle me montra la clé du cadenas et la posa dans un écrin de velours sur mon plateau. Je suivais chacun de ses mouvements du regard. - Regardez devant vous ! Dois je vous reprendre avec fermeté ? - Je… non .. Madame. - Parfait. Elle saisit le bandeau en dentelle. Le plaçait sur mes yeux. Je pouvais légèrement entrevoir les formes, mais sans tout voir correctement. - Maintenant je vais m’assurer que vous êtes prête à la présentation. - Entre-ouvrez vos lèvres. Elle me remaquilla les lèvres. Me repoudra le visage et s’assura que j’étais présentable à Monsieur. Elle passa sa main au niveau de ma chatte. - Humm légèrement humide. Laisser tomber votre culotte. Je vais maintenant vous emmener. Je ferai le point à votre Maitre pour savoir ce qu’on va faire de vous. Si vous faites tomber votre plateau, vous serez punie. Elle accrocha la laisse au collier. J’avançais avec un pas peu certain lentement. - Allez pressez vous! J’entendis une porte s’ouvrir. Elle m’avança, je devinais uniquement quelques lumières rouge et dorée. Ma poitrine se soulevait d’appréhension et d’excitation mêlée. - Ne bougez plus ! Elle replaça ma queue de cheval dans le dos et s’éclipsait. Ma laisse pendante entre mes seins. Je n’osais pas bouger pour être curieuse. Je me laissais doucement aller à me faire surprendre. Il avait organisé cela pour moi. J’avais du mal à tenir la position sans bouger. Je sentais mon dos avoir quelques douleurs. Soudainement, je le sentis. Il avait passé pris ma queue de cheval pour la placer sur le côté. Je sentis alors son souffle pendant qu’il plaçait ses mains autours de mon bras. Il ne disait pas un seul mot. Doucement ses mains montaient vers ma nuque. Sa respiration me canalisait. Je devinais son envie de m’embrasser sans le faire. D’une main ferme il saisit ma queue de cheval tirant ma tête en arrière. Elle se posa contre son torse. Ce contact me rendit folle, sereine. Sentir sa chaleur, son contact était mon repère. - Que me présentez-vous sur ce plateau ? Sa voix était ferme, intransigeante. - Je vous présente, mon contrat Monsieur, ainsi que la clé de mon collier.. Monsieur. - Humm votre contrat ? dites moi en plus. - Je.. je vous offre ma soumission Monsieur. J’ai répondu au questionnaire. - Humm je vais me faire un plaisir de le lire pour voir ce que ma petite chienne a écrit. Il saisit alors la boite contenant la clé. Toujours en me tenant fermement par les cheveux, il passa sa main sur mon cou pour l’enlacer. - Prête à être mon esclave ? - Oui… Monsieur. Sans crier garde, il me donna un coup derrière les genoux pour me mettre à genoux, tout en m’aidant à ne pas me faire mal. - Voici la position que je préfère, vous, à mes pieds !. La plateau était tombé. Au bout de quelques secondes, il revint. Il saisit alors la laisse, la tenant courte. Je sentais qu’il me regardait. - Ouvrez votre bouche. Je sentis qu’il y plaça un bâton. Il me fit marcher ainsi à côté de lui. Je ne sais pas où nous allions. Mes mains sentirent comme une sorte de coussin. Il me positionna dessus. Il me força à me redresser par la laisse pour me rendre droite. - Ecartez vos cuisses et placer vos mains dessus, paume vers le haut. Je m’exécutais. - Voilà qui est parfait. Je sentis alors son corps derrière moi. Sa main plongeante au creux de ma poitrine, prenant possession de ce qui lui appartenait. Ses deux mains s’en occupait fermement. Il remontait ses mains à nouveau vers mon visage. Je cherchais son affection, je tendais mon visage dans sa main, comme une chatte recherchant ses câlins. Il repassa devant moi, je sentais alors sa jambe et son pied se positionner sur la chatte. Il tira ma tête vers lui pour plaquer mon visage sur son entrejambe. Je sentais son désir. - Ouvrez votre bouche. Il prit avec douceur le bâton. Il s’amusa à le passer sur mon ventre, remontant ainsi et relevant mes seins, puis les écrasant fermement. Un léger cri de douleur s’échappa, puis il remonta jusqu’à ma gorge. - Vous êtes à moi. Il saisit mon cou et me posa vers l’avant sans ménagement. Ma joue collée au sol. La laisse tomba au sol, il marcha dessus pour me faire rester ainsi. Son autre main m’encourageant avec ce bâton qui n’était rien d’autres qu’une cravache. - Bonne petite chienne. Montrez- moi comment une esclave exprime son affection ? Je savais ce qui m’attendait, ce qu’il voulait. Je résistais. - Vous ne savez pas ? dit il en tirant avec son pied sur la laisse me ramener devant son autre pied. La cravache parcourait mon dos terminant sa course sur ma joue, mes lèvres. Avec rébellion, je mordais le bout de la cravache. - Humm rebelle.. D’accord. Votre punition ne sera que plus rude et vous le savez. Mes fesses tendues, mon cul offert à ses caprices, il assena un coup de cravache sur mon fessier, puis un autre. Mes fesses se dandinaient pour tenter de se dérober. Rien n’y faisait il continuait. Je sentis la chaleur m’envahir. Il passait alors le manche de la cravache au niveau de mon inter fessier pour atteindre la chatte. Il donna un coup ni trop fort ni pas assez. - Le prochain sera rude pour vous. Je vous laisse le choix . Il se replaça à nouveau face à moi. Lâchant la laisse de son pied. Je me redressais naturellement pour commencer à embrasser ses chaussures. - Hummm… Je continuai à embrasser l’autre également. - Parfait. Maintenant, vous allez les cirer avec votre mouille. Redressez vous. J’obéissais. Il prit alors la laisse et l’enroula autours de sa main pour me tenir fermement. Je sentis sa chaussure se placer contre mon sexe par l’arrière. - Allez y frottez vous ! Je faisais des vas et vient avec mon sexe sur sa chaussure. Indéniablement je mouillais terriblement. Il changea ensuite de chaussure. - Bonne chienne ! dit-il en me caressant la tête. Il s’arrêta. - Suffit maintenant. Il me promena à nouveau en laisse. - Tendez vos mains. Il me guida jusqu'à ce que je sente un gode. . J'en sentis la fraicheur dans mes mains. - Maintenant vous allez vous entrainez à bien sucer. Allez prenez le en bouche et sucez comme si c'était moi. Il appuya sur ma tête pour que ma bouche s'empale dessus. Il me fit faire des mouvements de va et vient. - Voilà comme ça bonne petite chienne. Appliquez vous! Il me laissait ainsi à sucer ce gode. Je sentais qu'il m'observait. Au bout de quelques minutes il me dit - Je veux que vous vous empaliez correctement sur ce gode maintenant que vous l'avez bien réchauffer. Il m'aida à m'asseoir sur ce que je devinais être une chaise. - Introduisez le dans votre con je vous prie. Doucement je m’empalais dessus. - C’est bon n’est ce pas ? - Humm.. oui Monsieur… - Je m'en doutais. Je vais vous mettre un bâillon. Ouvrez votre bouche. Il me mit ce bâillon sans aucun ménagement. Il y avait un anneau, offrant ma gueule à ses doigts, sa queue. . Il me poussa contre le dos de la chaise sans ménagement. Il enchaina mon collier à la chaise. Il prit mes mains pour en faire de même et les tenir écarter en croix. Au bout de quelques minutes je sentis les vas et viens du gode me prendre. Il semblait avoir une télécommande pour s’amuser. La bave commençait à parler de ma bouche. Il me laissa ainsi dans l'inconnu ne sachant pas où j'allais. Je venais juste d’arriver..
542 vues 10 aime
Par : le 05/10/21
362 - 2 - Atlanta. Je bois encore une bière, on se rhabille et on s’en va. Je somnole dans la voiture, tandis qu’elle me répète à quel point je lui plais. Oui, j’ai bien compris, là... On arrive à Atlanta, putain, ça c’est une ville ! Surtout pour une fille de Ploucland comme moi... On arrive dans le centre. Elle me donne encore quelques conseils et son numéro de téléphone, puis ajoute : — Tu m’appelles et je viendrai où que tu sois. Cool... Elle me donne aussi 100 $. Encore mieux, je double ma fortune. Je la remercie et je l'embrasse... Oh, elle a l’odeur de ma chatte... C’est mignon. Je sors de la voiture. Elle agite la main, oui, bye, bye... J’achète le journal d’Atlanta pour voir les offres d’emplois... Une carte de la ville m’indique que je suis à côté de l’aquarium d’Atlanta, le plus grand du monde... Là, je serai au frais et à l’ombre. Je pourrai lire les annonces en compagnie des requins-baleines. Oui, il y en a ! Je décide d’y aller et je me retrouve devant un immense bâtiment. Je fais la file devant un guichet. La fille me dit : — C’est 50 $. Ils sont fous ? C’est le quart de tout l’argent que je possède. Je réponds : — Mais, c’est énorme ! — C’est le plus grand aquarium du monde, Mademoiselle. Il y a des murmures dans la file derrière moi, bon, ce sera sans moi, je m’en vais. J’aperçois le Centennial Olympic Park. J’espère que là, ce sera gratuit... J’achète un coca, un paquet de chips et je vais m’installer à l’ombre d’un banian (c’est indiqué sur le tronc). Je l’ai déjà dit, pour diverses raisons dont je parlerai pas, mes études ont été courtes. N’ayant aucun diplôme, je commence par éliminer tous les emplois où il en faut... Il me reste serveuse ou vendeuse, ce sont des boulots fatigants et mal payés. Merde ! Les dernières annonces sont plus intéressantes : "Cherchons danseuses, même débutantes – gros gains". Ah ouais, voilà ce qu’il me faut. Mais, il y a plusieurs petites annonces pour des danseuses et des strip-teaseuses. Comment en sélectionner une plutôt qu’une autre ? Demander à un flic ? Peut-être. Et là, j’ai une idée : demander à un chauffeur de taxi. Ils doivent déposer des clients dans ce genre de boîtes et connaître celles qui sont les mieux. Retour dans le Centre, jusqu’à ce que je trouve un taxi. Après être montée dans la voiture, je lui dis : — Vous pourriez me donner un conseil ? Je suis danseuse et je voudrais me présenter dans la meilleure boîte d’Atlanta. Le gros chauffeur se retourne, très intéressé. Il me demande : — Des boîtes de strip-teases ? — Oui... — Montre-moi tes nichons et je te conduis jusqu’au meilleur établissement sans te faire payer. Je lève mon tee-shirt jusqu’au menton et je me cambre un peu. Quelques passants sont surpris ! Le chauffeur siffle, puis annonce : — C’est partiiii... Ça commence pas mal du tout, cette nouvelle vie. Mon instit' m’embrasse le minou et ça me rapporte 100 $, puis un chauffeur de taxi me renseigne et ne me fait rien payer, simplement parce que je lui ai montré mes nichons. J’aurais dû essayer avec la caissière de l’aquarium ! Le chauffeur me demande : — Tu viens de la campagne ? — Oui de Notasulga. Ça s’entend ? Il rigole avant de répondre : — Ouais, mais c’est mignon. La course ne dure pas longtemps, il s’arrête en face d’un établissement qui ne joue pas dans la discrétion. Il y a du néon, des photos de filles et il s’appelle "House of pussies." (La maison des chattes). Le chauffeur me dit : — C’est ici. On est Ponce de Leon avenue, retiens-le. — Oui, merci monsieur. — Tu seras sûrement engagée. Je viendrai te voir. — Avec plaisir. Surtout s’il me met des billets dans mon string... — Allez, bonne chance petite. — Merci pour tout... à bientôt. Sur la façade de la boîte, il est indiqué "Des filles dansent pour vous toute la nuit." C’est fermé, mais il y a de la lumière et je vois un écriteau : "De 20 h à 4 h du matin". Merde, il est 19 h. Je frappe à la porte. Un jeune homme arrive et, derrière la vitre, il tape du doigt sur sa montre. En langage des signes, ça veut dire "Reviens plus tard, ce n’est pas encore ouvert, belle étrangère." Alors je fais ce qui a marché avec le chauffeur de taxi : je lève mon tee-shirt et je secoue un peu mes nénés en levant mes bras au-dessus de la tête. En clair : "Je viens me présenter comme danseuse, beau jeune homme.". Ça marche ici aussi ! Il ouvre la porte en disant : — Tu veux te présenter pour danser ? — Oui, M’sieur. — Moi c’est Johnny. Tu peux attendre les patrons ici, mais tu m’aides. — D’accord, merci. Après être entrée, je lui dis : — Vous croyez qu’ils m’engageront ? — Retourne-toi. Je lui montre mes fesses, il dit : — Ce serait une grosse connerie de ne pas le faire. J’adore Atlanta ! À l’intérieur, c’est très tape-à-l’œil, mais ça me plaît. Il y a pas mal de tables, certaines avec une barre au milieu. Johnny m’explique que c’est pour le pool dance, les filles qui se tortillent en se tenant à ces barres. Il y a aussi une assez grande scène et plusieurs petites. Il me dit ce que je dois faire, mettre les chaises autour des tables, puis des menus de boissons. On parle. C’est un étudiant qui travaille ici pendant les week-ends. Je lui demande : — C’est aussi toi qui nettoies  ? — Pour le moment, oui, mais à la prochaine vente, ils vont acheter deux esclaves pour le sale boulot. Ouch ! Mon bas-ventre se crispe. J’imagine qu’une esclave ne nettoie pas bien une toilette. Sa patronne lui frotte le nez sur une tache qu’elle a laissée, puis la fouette. Je sors de ma rêverie car un couple entre dans le bar : un homme d’une cinquantaine d’années, grand, costaud, noir de cheveux avec une petite moustache, accompagné par une nana qui pourrait être sa petite fille. Jolie, certes, mais pas sympa non plus. Elle dit à Johnny : — On ne te paye pas pour faire venir tes petites amies ! Je réponds vite avant lui : — C’est ma faute Mademoiselle, je... — Madame, pas Mademoiselle ! Et ce n’est pas à toi que je m’adressais. Quelle garce ! Je veux mon instit' ! Restant très calme, Johnny répond : — Elle m’a montré ses seins et je me suis dit qu’elle vous plairait. Elle me jette un regard un peu méprisant, avant de me dire : — Déshabille-toi. Yes !  Quand ils me verront à poils, ils m’engageront. Sauf que... je ne suis pas sûre de vouloir travailler pour eux. J’enlève mon jean, mon tee-shirt et mes baskets. Je serais mieux en hauts talons, bien sûr. Elle dit : µViens voir la fille, Minou. µOui, Poussin, j'arrive. "Minou" se pointe. C'est mon deuxième minou de la journée, mais celui-ci est nettement moins sympa. Il dit : — Belle fille... Johnny, mets de la country. — Oui, M’sieur Enzo. Enzo, c’est mieux que Minou. Bon, je ne sais pas danser... à part sur de la country. Il me manque des bottes pour faire claquer les talons. Tant pis, je m’y mets quand même. La country à poil, c’est spécial ! Je croise d’abord les jambes, les mains tenant ma ceinture... que je n’ai pas ! Je démarre en tournant sur moi même et en soulevant un chapeau... que je n’ai pas non plus. C’est trop bête, je m’arrête pour leur dire : — Ça ne me dérange pas de danser à poils, mais il me faut un stetson, une ceinture et surtout des bottes. Je pense "Et si ça vous plaît pas, j’irai ailleurs". Enzo-Minou dit à Poussin : — Elle est belle et elle danse pas mal. Tu la veux ? Le poussin hésite, puis il dit : — Oui, on pourra en faire quelque chose... Elle a de belles fesses. — C’est vrai, et des beaux seins aussi. — Mais il faudra la faire toiletter un peu, car sa chatte, c’est la forêt vierge. — OK, on fera ça. Eh ! Je suis là, j’entends tout, vous pouvez me parler ! Enzo me dit : — Tu viens de la campagne ? Je réponds en accentuant mon accent : — Yep m’sieur, j’viens direc' de Notasulga. Ça fait rire Minou, Johnny et même Poussin. Celle-ci me dit : — On va te prendre une semaine à l’essai, mais s’il y a un truc qui cloche, genre tu as tué quelqu’un dans ton bled ou tu as fait un casse, dis-le maintenant car on finira bien par le savoir. Elle est folle ! Je réponds : — Non, Madame, j’ai tué personne... — Tu as 18 ans ? — Oui, depuis aujourd’hui. — Tes papiers sont en règle ? — Bien sûr. Elle se tourne vers lui en disant : — C’est une plouc, mais vraiment belle. — On la prend, Kate. Ah, poussin s’appelle Kate. Celle-ci répond : — D’accord. Puis, à moi : — Viens dans le bureau. — Merci Madame, je peux me rhabiller ? — C’est pas nécessaire. Ah, encore une chose, tu es d’accord pour te faire coiffer et épiler ? — Oui... bien sûr. — Et puis tes mains ne sont pas soignées, tes ongles sont cassés et sales. Quant à tes pieds, je préfère ne pas les regarder de près. Je lui balancerai bien ledit pied dans la figure, comme réponse... mais c’est vrai qu’à Notasulga, on n’est pas très soignés. Je prends mes vêtements pour la suivre dans un petit bureau. Après lui avoir donné mes papiers, elle remplit un contrat que je signe après l’avoir lu rapidement. De toute façon, je ne compte pas passer ma vie ici. Kate me dit : — Tu veux commencer ce soir ? Elle est plus sympa depuis que j’ai signé ce contrat. Je réponds : — Oui, Madame... On va dans une grande pièce très éclairée. Une dizaine de filles se coiffent et se maquillent. En fait, il y en a exactement neuf, toutes avec des beaux seins.. Elles lancent en chœur : — Bonsoir Madame ! — Salut les filles, voici une nouvelle. Elles me regardent et disent : — Elle a des poils, Madame ! — Elle est belle... C’est évidemment la dernière qui a parlé que je trouve la plus sympa. Kate lui dit : — Jill, trouve-lui le costume de cowgirl et un string propre. — Il est au linge, Madame... je vais le chercher. Les filles s’habillent. Normal, puisque leur boulot, c’est... se déshabiller. Elles ont chacune un déguisement différent : pirate, bonne sœur, danseuse du ventre, clown, policière, écolière, Superwoman, soldat... Jill revient avec mon déguisement. Elle-même est habillée en... femme d’affaires : tailleur noir mais minijupe, talons hauts, lunette... Moi, je m'habille en cowgirl pas très fraîche : jupe ample qui arrive au-dessus du genou et qui s’envole quand on tourne, chemise à carreaux qui sent la sueur, foulard, ceinture et bottes courtes... Sur la tête, un stetson et un string propre entre les fesses. C’est comme à la fête du village de Notasulga, sauf que là-bas, la jupe est plus longue et la culotte beaucoup plus grande. Madame me dit : — On t’apprendra le pole dance... Tu devras aussi danser sur les tables des gens qui te choisiront et te déshabiller en les prévenant que c’est ton premier jour. À un moment, on mettra de la country pour que tu ailles plutôt danser sur la grande scène. Elle dit à toutes : — On y va, les filles. Nous nous rendons dans la salle. Il y a déjà quelques clients. Me mettre nue ne me pose pas de problème, vous vous en êtes peut-être rendu compte... Par contre, danser sur une table ou sur une des scènes, j’ai le trac... Je prends la main de Jill, celle qui m’a trouvée belle, pour lui demander : — Tu m’aides un peu, hein ? — C’est pas difficile, il suffit de te mettre à poil sur leurs tables, ils ne peuvent pas te toucher. Aaah ? Ils payent juste pour voir... Elle ajoute : — Tu peux accepter des rendez-vous, mais surtout, tu le dis à Madame. Elle sait tout. — Merci, tu es chou...   A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.   Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
622 vues 6 aime
Par : le 05/10/21
La journée avance et Maîtresse Célia profite longuement de mes massages. J’en ai les mains douloureuses et je verrais d’un bon œil un changement d’activité. Maîtresse Célia m’a sans doute entendu car elle me demande de la rechausser. Je le fais avec délicatesse même si ce n’est pas mon fort. Maîtresse Célia se lève et me demande de déplacer le banc d’auscultation jusqu’au centre de la pièce. Pendant ce temps, elle sort quelques cordes d’un grand buffet. Appuyé contre le banc, elle m’enserre complètement le torse jusqu’au bas des reins puis m’intime de m’allonger à plat ventre sur le banc. Avec une nouvelle corde. Elle prends mon ceinturage en plusieurs points, passe la corde sur une poulie au-dessus du banc puis la relit à une boucle que je n’avais pas remarqué dans le mur. En tirant fortement, je me sans décoller légèrement du banc. Me tirant les bras vers l’arrière, elle me bonde les avants bras l’un contre l’autre et les relis également à la corde centrale Utilisant une corde comme un mord Elle me tire la tête en arrière . Il ne lui reste plus qu’à faire une petite mise en scène pour garder un souvenir de son bondage. Elle allume quelques grosses bougies qu’elle glisse sous mon corps. Je commence à ressentir une grosse chaleur. Maîtresse me fait tourner pour m’immobiliser dans la pose qui lui convient le mieux. Éteignant les spots principaux, je ne distingue plus que des lueurs chancelantes venant des flammes des bougies. Cette ambiance convient sans doute à Maîtresse car elle a pris son téléphone et prends un tas de clichés. Je peux également admirer son œuvre à travers un grand miroir presque devant mon champs de vision. C’est jolie mais je commence sérieusement à souffrir car les cordes m’entrent dans les chairs Pour sa part, Maîtresse ne semble pas pressée de me libérer. Après le shooting photo, elle me fait tournée plus ou moins vite au bout de cette corde. Les bougies ont bien fondues, Maîtresse les prends et les vident sur mon corps. Je sens couler la cire sur mes côtes, mon sexe, ma raie ce qui lui donne une nouvelle idée. Elle va chercher un gros plug avec un cœur rose bien brillant comme base. Après l’avoir lubrifié, elle me l’enfile d’un coup sec, si l’on peut dire, dans l’anus. Je n’ai même pas eu le temps de crier ce qui ne m’était pas vraiment permis avec le mord que j’avais entre les mâchoires. Elle veut sans doute le sceller, car elle me verse une belle coulée de cire dans ma raie, me brûlant encore un peu plus. Maîtresse me fait virevolter et capte encore quelques images avec son téléphone. Je suis complètement à sa merci sans possibilité de bouger un cils, ni d’émettre le moindre son. Maîtresse replace les bougies sous mon corps. Un petit sourire sadique me fait bien comprendre qu’elle n’en a pas fini. Glissant ses mains sous mon torse, elle me pince les tétons m’arrachant quand même des gémissements. Elle se munie de pinces japonaise avec des poids reliés à une chaînette qu’elle me fixe sur les tétons. La douleur est vive bien qu’elle s’estompe assez rapidement. Maintenant Maîtresse décide de me débarrasser de la cire avec son martinet en cuir. Les parties de peau que les cordes ne protègent pas subissent un fouettage en règle avec à la clé de belle traces rouges Nouveau shooting photo qui me semble durer une éternité. Enfin, Maîtresse me libère les tétons pour une nouvelle vive douleur qui se dissipe quand le sang a repris sa place. Elle rapproche le banc sous mon corps et je sens que le supplice va bientôt prendre fin. Enfin presque, car mon poids a serré fortement les nœuds. Après m’avoir redescendu sur le banc, Maîtresse commence à défaire avec difficulté tous les nœuds de son bondage. Aïe, je n’avais pas imaginé qu’elle en avait fait autant. Enfin, mes membres retrouvent une relative liberté car ils sont tellement endoloris qu’ils mettent quelques temps à retrouver une douce mobilité. Maîtresse me libère les bras puis je torse me permettant de m’asseoir sur le bord du banc puis de retrouver le sol avec mes pieds. L’équilibre suivra avec un petit temps de retard. A sa mine réjouis, je vois que Maîtresse a appréciée. Elle a sans doute une bonne connaissance de ma souffrance car Maîtresse me demande de ramper et d’embrasser ses pieds profitant de ma position pour me gratter les cheveux. Je le prends pour un compliment et je récupère un peu d’énergie Me remettant ma laisse et l’attachant au banc, Maîtresse Célia s’éloigne tranquillement d’une élégante démarche. «Allan viendra te chercher pour te remettre en cellule, peut-être à bientôt. Passe une bonne nuit» «Merci Maîtresse» A suivre ... En marge de cette fiction, je dédie ce texte à Ma Maîtresse qui a su me faire aimer les cordes
784 vues 7 aime
Par : le 05/10/21
Le texte ci-dessous a été rédigé à la demande de ce dom, pour avoir un retour à froid de la soirée 48h après. Attention, ça pique un peu les yeux. *************************************************************************************** Je commence à avoir faim, il doit être 21h ou 22h, et vous ne parlez pas de diner. Beaucoup de jeu avec mon sexe, j’aime le bruit des gants que j’entends dans mon dos, délicieuse introduction à la suite, je commence à fatiguer un peu d’être à quatre pattes, le ventre vide. Vous me pénétrez, et jouez avec mon anus, très réactif comme d’habitude. Une sodomie aussi, je sais que vous aimez ça, c’est la marque d’un Maitre et ça me convient. Par contre, j’ai craint que le lavement ne vous convienne pas, qu’il y ait des traces. Vous constatez que mon anus est sensible, et c’est bien agréable. J’aime me caresser tout en étant sodomisée. Mon sexe fatigue, avec toutes ces sollicitations. Diner à 22h30, ou je me frotte contre vous, apparemment vous appréciez. En posant une main sur votre épaule, je me rends compte que votre musculature est impressionnante de fermeté. Rien ne bouge. A l'âge que vous avez, ça en dit long sur les activités physiques que vous avez du avoir, à l'armée. Et encore une fois, ça me rassure aussi. On dirait que le diner vous convient, je vous suce, j’aime ça. J’aurai bien aimé me faire prendre dans la cuisine, en levrette debout. De la moutarde sur mon sexe, c'est nouveau, je ne connaissais pas. Ca pique un peu, mon corps a été bien assez sollicité déjà, vu ma fatigue. Je demande à passer aux toilettes, Vous m'y amenez en me conduisant par les seins, ça fait hyper mal, je commence à attendre ma limite. Et à vous craindre. Je me disais que la douleur pouvait arriver à n’importe quel moment, et que ça serait au-delà du désagréable. Ça serait du vraiment douloureux. A chaque fois. Et que c’était le jeu. Que j’essaierai de jouer. Montée au premier étage où la partie moins drôle a commencé. Je sentais une sorte d’acharnement à pratiquer, mais dans quel but ? Expérimenter comment mon corps réagit à la douleur ? Surement. Chaque orgasme s’est payé au prix d’une certaine douleur, je sais que la limite est fine entre les deux. Vous avez respecté mon souhait, préservatifs, lubrifiant, tout était prévu. Tentative de fist, à la main, puis avec bouteille remplie d’eau chaude : inventif ça, je retiens. Mais ......pas mieux. Ça fait mal, ça doit toucher le col de l’utérus, les grandes lèvres hypertendues, rien de bien plaisant pour moi, l’impression d’être dans la technique, pas dans une relation. Par contre, mon anus bien lubrifié, pour ne pas abimer la muqueuse. C’est bien. J’entends « je vais te défoncer ma salope » et j’aime ça, mais la douleur avait déjà pris le dessus, dommage ……. A la fin, vous me dites que j’avais les yeux verts, signe de jouissance intense. Je n’ai pas compris comment c’est arrivé …… je ressentais de la douleur et très peu de plaisir. Ça m’a questionné sur ce qui s’était passé, ce que j’ai ressenti, si vous avez vraiment vu cela. Je commence à fatiguer vraiment, à éviter les impacts sur mon sexe, mais plus assez d’énergie pour m’opposer à vous. Alors, je vous laisse me frapper et j’ai mal. Je me dis que ça s’arrêtera à un moment, je capitule. Je respire, et rentre en moi. Je reste, pour constater si quelque chose de spécial se passe, si j’allais ressentir des choses inconnues. De la pure curiosité. Je ne demande pas qu’on s’arrête, pas sure que ça soit admis. Vos doigts dans mon sexe, à régulièrement éviter mon point G, un peu frustrant à force, ça fait partie du jeu. Pas de jouissance comme femme fontaine, peut-être réservé à ma vie vanille, pourtant j’adore jouir comme ça, me sentir me lâcher totalement ; j’étais déçue de ne pas vous l’offrir. Après avoir joui, j’ai eu ma crise habituelle de froid. Ça vous a déstabilisé, il est vrai que je n’ai pas pensé à en parler. Ça ne se commande pas, se produit souvent quand je me caresse seule chez moi, c’est le lot des hypersensibles. Vous êtes étonné de ma vitesse de récupération….. mon entrainement d’hypersensible aussi, pas trop le choix pour avoir une vie quasi-normale. **************************************************************************************** Episode 3, et fin à venir.
1000 vues 11 aime
Par : le 05/10/21
Chapitre Premier Mon enfance Je suis né fils unique d'une mère vendeuse et d'un père arbitre. Mon père est décédé lorsque j'étais bébé. J'ai grandi seul. Je n'ai pas été à l'école maternelle mais je savais déjà lire à mon entrée en CP. Dès le premier jour des brutes m'ont pris pour cible. Coups, humiliations, brimades. Leur harcèlement est vite devenu quotidien. Ils m'ont par exemple interdit les toilettes. Du coup je me suis fait dessus en pleine classe. Je n'avais pas d'ami. Personne ne voulant être pris pour cible. Le personnel scolaire n'a rien fait, même alerté, trop soucieux de maintenir l'ordre apparent. Un élève en tape un autre, mais les deux doivent s'excuser. Ces violences "scolaires" ont duré des années... En parallèle je passais mon temps dans la nature, car j'avais la chance de vivre au bord d'une rivière, mais dans un logement en préfabriqué. Ma mère a adopté une minette qui s'est avérée être enceinte. Un jour, après une journée au parc j'ai assisté à la naissance des petits chatons. Blanco le petit blanc et tigré, Florette la tigrée, Pépette avec sa tâche orange sur le front, et Néné le petit dernier, typé main coon. Mais on ne pouvait pas tous les garder. Il a fallut faire un choix. J'ai gardé Néné. Je crois que sans lui, sans mes moments seuls dans la nature, je me serai tué. J'ai fuis l'école par tout les moyens. Éteindre le réveil de ma mère, feindre d'être malade, jeter mon cartable dans la rivière... À force d'absentéisme, j'ai eu droit aux éducateurs, aux psys, car bien sûr le problème venait de moi n'est-ce pas. Je ne parlais pas, je ne voulais pas en parler. À quoi bon. Chaque fois que j'avais parlé c'était pire, j'étais une balance. Le ce1, la visite au parc zoologique, être poussé sur les cages ou les enclos des animaux... Ah la classe de mer du ce2, les randonnées à vélo, l'animateur pédophile venant vérifier sous les douches qu'on se lavait bien, qui nous faisait nous décalotter devant lui tout en gardant une main dans sa poche... La violence sans échappatoire. Même la nuit dans le dortoir. J'ai craqué. De nouveau les psys. Tout les vendredi, un vsl m'emmenait au cmp du coin pour voir une psy... J'étais content car je quittait la classe plus tôt. Cm1. Les choses se passaient un peu mieux grâce au changement de cour, les brutes ayant redoublé (classe de rattrapage mais on s'en fout) . Classe de nature. Séjour en forêt de Tronçais. Les violences reprennent. Un autre animateur (pédophile lui aussi ?) s'amuse à nous surveiller sous les douches. Sinon comment saurait-il que je l'ai prise en maillot de bain ?! Cm2 collection des cartes dragon ball, j'arrive à me faire des amis par ce biais mais les brutes reviennent à la charge. Je tiens bon. Premier de la classe toute l'année avec une moyenne toujours au dessus de 9/10. 6eme. Les brutes se donnent-elles le mot ? Les violences et les brimades reprennent malgré le passage au collège. Ils me renversent des poubelles dessus et me disent que je pue. Je craque. Je refuse de retourner en classe. Le "cap ados" youpi, encore des éducateurs à la con. Un gamin est victime de violences, soyons durs avec lui, ça va l'aider. Je passe en 5eme malgré mon absentéisme en partie grâce à mes évaluations à l'entrée en 6eme qui faisaient partie des meilleurs du collège. Je change de collège. St Joseph. Un collège de culs bénis où certains profs ouvrent la classe par un "je vous salut Marie" collectif. On m'assaille de questions. Je viens d'où ? Je connais machin ou bidule ? Pourquoi j'ai changé de collège ? Les brutes se parlent c'est obligé. Je reste seul dans la cour. Il faut dire que je suis le chouchou de la prof de maths dure et sévère que tout le monde déteste, depuis que j'ai trouvé une solution alternative à un problème de maths que personne n'a trouvé. Je ne l'ai pas fait exprès, je n'ai juste pas vu la solution la plus simple. Brutalités, "jeux" du "tu sursautes je te frappe", jeu du foulard mais sans foulard, juste l'étranglement... Absentéisme encore. J'ai raté plus de la moitié de l'année. Mais j'ai le niveau pour passer en 4eme. Youpi. Meilleur classe. Je me fais quelques copains mais je n'arrive pas à leur parler de mes problèmes avec les brutes... Mais au moins, on partage le trajet du matin et du soir. C'est déjà ça. Un groupe se moque de moi en utilisant une fille, on me sert la main à coup de mollars... Absentéisme de nouveau. Cette fois, on m'envoie en HP. Je découvre la captivité. J'ai une chambre à moi, mais pas mes affaires ni mon chat. Je suis seul parmi des inconnus. Le premier repas du soir, on a glissé des aiguilles dans mon orange. Super. Le soir on me force à me coucher en pyjama, j'avais l'habitude de me coucher tout habillé... Le lendemain je découvre la routine des douches, du petit déjeuner, et des activités... Je reste seul autant que je peux. Je me réfugie dans des livres pour échapper aux activités de groupe. Seul point positif du séjour, ma première petite amie. "Mélissa" (faux prénom) Là bas pour une tentative de suicide après un viol... Elle aussi plutôt solitaire et plus intelligente que la moyenne. J'arrive à décrocher une permission de sortie, on peut donc aller se promener dans le parc et en ville... Et se tripoter quelque peu. Cela dure un temps. Mais elle quitte les lieux, moi pas. Fin de l'histoire. Merde. "Appartement thérapeutique" et classe de 3eme. Je ne peux toujours pas rentrer chez moi, même si j'ai quelques permissions... Je vais à "la villa" en dehors de l'hôpital et au collège du coin... Je ne connais personne. Je reste isolé. Je deviens victime de ceux avec qui j'essaie de me lier. Moqueries diverses. Je tiens bon. Mais je finis par craquer après un déjeuner à la cantine où l'on s'est moqué de moi tout en me piquant toute ma nourriture. Heureusement c'est le week-end. Je rentre. Le lundi matin, le vsl vient me chercher. Une fois à la villa où je dois récupérer quelques affaires laissées dans le cagibi arrière (les résidants n'ont pas les clés et il n'y a personne le lundi matin, on dépose nos affaires et récupère nos sacs de cours dans un cagibi.) je vais en cours normalement. On me claque volontairement une grosse porte à ressort en plein visage. Direction l'infirmerie. En fin de journée, j'apprends que je ne pourrai pas passer Noël chez moi. Je retournerai donc au pavillon de soin. Je trouve cela injuste. J'ai fait tout ce qu'on m'a demandé, j'ai encaissé, et là on m'annonce ça comme si c'était normal. J'ai l'impression d'avoir été roulé. Le week-end suivant, je refuse d'y retourner... Négociations, allers et retours... Je me retrouve au pavillon. Prisonnier. Sans droit de sortie. Je m'enfuis une première fois. On vient me chercher chez moi. Hôpital, sédatif. Je m'enfuis une seconde fois, toujours en passant par la fenêtre pour aller prendre le train sans ticket. On me rattrape une fois, une autre non. Une autre fois je décide de faire du stop et de partir plus tôt pour éviter d'être rattrapé. Je pète également le boitier du store en arrachant les câbles pour le garder ouvert. J'ai volé une poignée pour ouvrir la fenêtre dont les butées en plastique que j'avais fait sauter avaient été remplacées par des butées en métal. On m'a pris mes vêtements, mais j'en avais caché au cas où. Un t-shirt dans le traversin, un pantalon et des chaussures dans le radiateur, mon manteau derrière l'armoire... Ce sera la dernière fois. Plus question d'être prisonnier. Les psys sont super compétents quand-même... Un gamin victime de violences s'isole ? Menaces et contraintes le convaincront d'être plus sociable ! Cette fois on me fout la paix. Le juge décide d'une mesure en milieu ouvert. J'irai donc voir un éducateur de la pjj... Et un psy... Une fois par semaine jusqu'à mes 18ans. Vous ne m'en voudrez pas, j'ai pris quelques raccourcis et laissé de côté certains détails: les assistantes sociales, mon partage de chambre double avec un pote que je m'étais fait au pavillon, les "diagnostics" des psys, les tests de personnalité, le séjour en montagne, les penchants de "Mélissa", le fait d'avoir dit merde au directeur de l'école primaire le jour de l'inscription, les résidents de la villa, les médocs,...etc Mais vous avez les grandes lignes. Je fais encore des cauchemars de cette captivité... J'ai toujours encaissé la violence. Je ne l'ai jamais rendue. J'aurais pu. J'aurais dû. Mais je ne l'ai jamais fait. Je trouvais plus important de rester moi-même, quitte à encaisser. D'une certaine manière je n'ai pas varié d'un iota. Je continue à agir ainsi lorsque je me prends des tsunamis de merde dans les commentaires... Mais passons. Si je livre cela c'est juste dans l'espoir d'être mieux compris. Pour celles et ceux qui seraient tentés de mettre ma parole en doute, je possède une copie de mon dossier médical de l'époque et je n'hésiterai pas à en publier quelques pages si nécessaire pour vous remettre à votre place. Donc vos commentaires de merde vous pouvez vous les carrer bien profond jusqu'à ce qu'ils vous ressortent par la bouche. ___________________________________________________________________________________________________ Chapitre deux. "Mes blessures" Ce que j'ai vécu n'a pas été sans conséquences sur moi, ma vie, mon rapport aux autres. Que l'on appelle cela agoraphobie, phobie sociale, ou plus simplement peur des autres, peu importe, j'en souffrais. Je me suis socialisé seul, par les vide-greniers. Au début je n'étais même plus capable de demander un prix sans angoisse. Même dire bonjour me demandait un effort, un calcul. La solitude était devenu autant un refuge qu'une prison... D'ailleurs même aujourd'hui j'ai toujours du mal à me lier aux autres, à me laisser approcher. Parloire peut en témoigner, lui et linsoumise ayant fait un pas vers moi à un moment, j'ai, par réflexe, fait un pas en arrière... D'ailleurs linsoumise a été perspicace lorsqu'elle m'a demandé si le portrait que je faisais d'une soumise sur une publication n'était pas le mien... Il le fut. Les vide-greniers m'ont offert un cadre pour amorcer des conversations. Négocier m'a permis de m'affirmer, et chaque fois que je faisais bien les choses, j'obtenais une récompense pour ancrer ces efforts en moi en termes positifs de plaisir. Cela m'a permis d'avancer quelque peu dans ma vie. J'ai fait des stages, des formations, des petits boulots, de vendeur de jouets (histoire de me forcer aux contacts humains), à céramiste... Avant de trouver ma voie. Parallèlement j'ai troqué la pratique du jeet kun do du temps de "la villa" pour celle du qi-gong. Je n'ai jamais aimé la violence, mais les arts martiaux m'ont toujours plu. La maîtrise des gestes, des rythmes, des mouvements synchronisés, des réflexes, trouver la force dans la maîtrise de soi et de l'adversaire, garder ce contrôle en permanence... Longtemps j'ai aimé les femmes de loin, sans oser m'approcher d'elles, par peur du rejet, peur de devoir raconter mon histoire, confier mes failles, être incompris, être blessé de nouveau... J'ai connu quelques déboires sentimentaux, des râteaux, des trahisons, des mensonges, des incompréhensions, des espoirs déçus. J'ai perdu le peu d'amis que j'avais réussi à me faire, à cause d'une manipulatrice qui a cherché à m'isoler pour mieux se jouer de moi. J'ai vu clair dans son jeu mais pas eux... Un jour j'ai rencontré "Lucie" (encore un faux prénom). On s'est cogné la tête en ramassant le doudou d'un bébé qui était tombé d'une poussette... Une personne que j'ai perdu, trop vite et brutalement. Elle avait su m'apprivoiser, elle l'avait voulu, souhaité, avait lutté pour être avec moi, s'acharnant à être toujours présente et aux petits soins pour moi... Comme si elle avait lu en moi les souffrances de mon passé et essayait de les effacer... Mais la vie est une saloperie qui ne dure pas. C'était fini. Un putain d'accident et c'était fini. Plus de rire, plus de joie, plus de regard dans lequel me perdre, plus de souffle doux et chaud, plus de mains délicates s'agrippant à moi comme pour ne jamais me lâcher. Rien que l'absence. Et les tours que nous joue notre cerveau en pareil cas. On s'attend à la voir, à la trouver, on croit l'entendre, mais non. Elle n'est plus là. Nos automatismes nous crient qu'elle est là, qu'elle doit être là, mais elle n'y est plus. On le sait. Il ne reste qu'un parfum, le souvenir d'une caresse qui nous hante, la solitude et les larmes. Elle m'a sauvé. Lorsque peu de temps après, Néné, mon chat, est lui aussi décédé, à vingt et un ans, et dans mes bras, j'ai failli sombrer définitivement. Ce petit chou, qui avait perdu une patte suite à la consultation de vétérinaires incompétents ayant pris une tumeur pour un hématome avant de daigner l'opérer, plusieurs semaines plus tard... une convalescence difficile où j'ai vu l'état de sa patte se dégrader... Et ces connards qui me disaient de suivre le traitement jusqu'au bout... Comme si leur pommade allait ramener sa patte à la vie... Car je le sentais qu'elle était morte... Amputation à l'épaule. Il ne pouvait plus me grimper sur le dos comme avant mais il était toujours là, toujours égal à lui-même... Il est resté avec moi autant qu'il a pu. Je l'ai enterré moi-même, et je suis resté planté là comme un con. Ce n'était pas un chat, c'était mon ami, mon frère. "Lucie" m'a encore sauvé. C'est elle qui m'a offert le premier livre de Michel Onfray que j'ai lu. Le traité d'Athéologie. Sans ces lectures, je n'aurais jamais pu supporter leur disparition à tout les deux, je n'aurais pas pu mettre des mots sur mes souffrances, ni m'assumer complètement et me reconstruire... J'aurais voulu développé davantage certains points mais je n'en ai pas la force, alors vous me pardonnerez d'avoir quelque peu survolé. J'ai déjà assez versé de larmes en rédigeant ces deux premières parties, j'essaierais d'être plus joyeux pour la suite. _______________________________________________________________________________________________________ Chapitre trois. Ma reconstruction. Plusieurs ouvrages m'ont soutenus au fil du temps... Mais aucun ne m'a autant marqué et n'a constitué un tournant dans ma vie autant que le traité d'Athéologie de Michel Onfray. Ce livre ainsi que la contre-histoire de la philosophie du même auteur, m'ont permis de me reconstruire. Ce penseur m'a rendu à moi-même, à la vérité qui était la mienne lorsque j'étais enfant, en effaçant toutes les conneries auxquelles j'avais pu adhérer par désespoir. (ésotérisme, religion, spiritualismes divers) Il m'a remis les pieds sur terre, ramené à la raison et d'une certaine manière je lui dois d'être l'homme que je suis. Au sens où la force qui me permet de m'exprimer ainsi, je la lui dois. Il m'a appris à être un homme, à rester debout, fier, droit, fidèle à la raison, à la vérité, à la transparence, fort jusque dans la faiblesse, et conscient de l'être. Lorsque j'ai découvert sa pensée, j'ai d'abord rongé mon frein. Je voyais bien qu'il avait raison mais je ne comprenais pas vraiment pourquoi ni comment. Et ça m'agaçait qu'il n'explique pas tout, qu'il manque quelque chose et qu'il soit si bienveillant alors qu'il me donnait tort sur toute la ligne... Je n'avais pas encore compris que c'était nécessaire pour engendrer des disciples autonomes et laisser les gens libres de choisir la vérité par eux-mêmes, sans chercher à leur imposer. Bref, j'ai fait un choix. Et ce choix était une promesse. Celle qu'en le suivant, en mettant mes pas dans les siens, je finirai par comprendre. Il m'a fallu être patient, prendre le temps de bien faire la part des choses. J'ai répété sans comprendre, comme on répète un mouvement d'art martial, pour l'intégrer jusqu'à ce qu'il devienne un réflexe, et puis j'ai cherché à comprendre ce réflexe, à le décrire, et j'ai tout compris. C'était si simple. Ce fut comme une seconde enfance, j'ai redécouvert le monde, tout me semblant neuf et resplendissant. Plus un non-dit ne m'échappait, plus un silence, pas le moindre soupçon d'une bribe de sous-entendu... C'est comme si mon cerveau était devenu un feu d'artifice. Comme si il tournait enfin avec le bon logiciel. Je me suis affirmé. Et j'ai bientôt constaté à quel point j'avais évolué en me confrontant aux autres... Le temps des souffrances est revenu. Celui de l'incompréhension et du rejet aussi mais je m'en foutais. Je n'étais plus seul... Et j'appartenais désormais à une lignée philosophique, historiquement minoritaire mais plus nécessaire que jamais. Je savais qui j'étais, le pourquoi et le comment... Je pouvais enfin être heureux, épanoui, libéré d'un combat que je n'avais plus à mener seul... Ironie du sort, j'ai digéré notre mortalité pleine et entière avant que la mort ne frappe, mais cela n'enlève rien à la douleur. Cette nouvelle vitalité, cette vivacité mentale s'est étiolée. Je suis de nouveau resté seul avec moi-même. Jusqu'à ce que l'envie de revivre ce bonheur ne prenne le dessus sur la peine. J'ai décidé de me reprendre en main physiquement. Je me suis mis à la musculation, au régime, et j'ai perdu 45 kg dont 10 le premier mois où j'avais supprimé tout les sucres et produits transformés... J'étais mentalement et physiquement apte. J'ai donc commencé mes recherches... _____________________________________________________________________________________________________ Chapitre 4. Ma recherche. Si vous m'avez lu jusque ici, vous comprenez mieux à présent les raisons de ma recherche, mes besoins, mes lacunes et mes déceptions. L'inconditionnalité, l'asymétrie, la subordination, le contrôle, l'aspect formel de la relation, la distance dans l'intimité, tout cela relève pour moi du besoin de rendre la confiance inutile, de construire une sécurité affective sur des certitudes dépassant les affects. Car j'ai beau avoir bien évolué, il reste en moi une difficulté à me croire digne d'être aimé, en paradoxe avec une certaine idée de ma valeur personnelle, le tout sur fond de peur du rejet... Je cherche également la facilité, car j'ai connu assez de difficultés à mon goût. Certaines personnes trouveront peut-être que je n'ai pas l'étoffe d'un dominant, que je ne suis pas un "mâle alpha", pas assez "viril" ou je ne sais quoi, en fait je m'en fouts complètement. La force de caractère n'a pas besoin d'être ostentatoire pour exister, et encore moins de se plier à une reconnaissance extérieure. De fait, les relations vanilles ne peuvent pas m'apporter ce dont j'ai besoin. Le cadre, la certitude, le contrôle... Certains m'ont "invité" à la soumission. Chose impossible. Pas question pour moi de revivre les humiliations et douleurs de mon passé sous quelque forme que ce soit. J'en parle justement pour ne plus avoir à en parler... La domination est faite pour moi, dans sa forme la plus radicale. D'une certaine façon, je dois aux mauvais comportements que j'ai croisé d'en avoir pris pleinement conscience... C'est une esclave qu'il me faut. Une femme à l'appartenance INCONDITIONNELLE, à la soumission absolue, à la présence permanente, à la subordination sans faille, une relation asymétrique pleinement consentie et assumée. Une femme qui accepte de ne jamais me juger, de toujours être mienne, de toujours me servir, de toujours se plier à ma volonté... D'aucun(e)s pourraient croire que je recherche une vengeance, mais il n'en est rien. Je réponds simplement aux besoins qui sont les miens, la possession, le pouvoir, la mise à l'épreuve de cette possession et de ce pouvoir... Est-ce un simple fantasme ? Non. La seule chose qui fait de ma recherche un fantasme est de ne pas encore avoir trouvé celle qui en fera une réalité... Les sentiments sont pour beaucoup une idée que l'on se fait sur les choses. Aimer quelqu'un c'est parfois croire le connaître, le comprendre, l'apprécier... Mais il suffit de se tromper sur la personne pour que la relation ne soit que du vent. Ce n'est pas le cas d'une relation de servitude formelle, les choses sont claires, définies, les certitudes sont établies. Dans ce type de relation, il n'y a pas de place pour les affects sinon comme conséquence de la satisfaction que la relation nous apporte. Car cet engagement dépasse la variabilité d'une émotion. S'attacher à l'autre pour ce que cette personne nous apporte est sain. S'attacher à crédit et réclamer son dû présumé ensuite ne l'est pas. Si la relation que je cherche relève du fantasme, alors combien de relations, pourtant vécues, relèvent-elles de la fabulation partagée ?! Je souhaite une appartenance clairement définie, entière, absolue, idéalement définitive. Je ne m'attarde pas sur les notions de respect, de consentement et autres bases implicites, justement parce qu'elles sont implicitement contenues dans ma proposition. De même que le fait de contracter d'égal à égale. Quel besoin de constamment réinventer la roue ? Je cherche une volontaire pour m'appartenir, m'abdiquer toute liberté, toute volonté, tout amour-propre, toute souveraineté individuelle. Je ne force personne. Je cherche une femme qui veut cela, qui désire cette vie, cette sécurité de n'être plus qu'une chose entre mes mains, ce plaisir d'être asservie et sans liberté, sans responsabilité. Je cherche une femme qui prenne cette décision de s'offrir à moi, de m'appartenir, volontairement, de manière lucide, cérébrale et viscérale, pour satisfaire son propre besoin. En cela il ne s'agit pas d'une négociation, ni d'un jeu de séduction impliquant des masques et des simulacres, soit elle le veut, soit elle ne le veut pas. Cette approche formelle exclue les émotions versatiles, les revirements, l'instabilité. Elle suppose un choix entier et réfléchi, intellectuellement posé. Car c'est un choix sans condition, un choix entier. Il ne s'agit pas d'une soumission aveugle, de confiance, d'amour, d'emprise affective abolissant le discernement mais bien d'une décision pure et simple, prise en conscience. Car une fois cette décision prise, on ne revient pas en arrière. Il n'est pas question de se rendre compte que la personne est différente de ce que l'on croyait, que ses exigences différent d'un cahier des charges préétabli et d'en venir à un changement affectif qui annulerait tout sous prétexte que la personne serait une personne réelle, avec ses défauts, ses failles, ses lacunes et non le fantasme que l'on avait construit dessus. Le sérieux que cela implique dépasse le sérieux des sentiments amoureux. Ce n'est clairement pas fait pour des personnes émotionnellement immatures. On ne change pas d'avis, on ne se soumet pas selon son bon vouloir de l'instant, on décide d'être une esclave, on renonce donc à l'égalité, à la symétrie, à la réciprocité, à la liberté. On troque tout cela contre la certitude de sa condition, l'appartenance, la fin de toute responsabilité, l'épanouissement dans la servitude pleine et entière. Une esclave ne peut pas jouer, ne peut pas tricher, ne peut pas faire semblant. Elle peut aimer son maître mais ne peut pas se soumettre par amour car alors elle serait soumise à ses affectes et non à son maître. Une esclave s'offre en pleine et entière servitude à son maître. C'est lui qui est le centre de leur relation, sa satisfaction, sa volonté, ses caprices, ses affects à lui et à lui seul. L'esclave n'a pas l'arrogance de se prendre pour le centre de leur relation, elle n'a pas l'orgueil de réclamer quoi que ce soit en échange de sa servitude. Sa nature l'appelle. Elle la veut. Elle est reconnaissante envers son maître de lui offrir cette place à ses pieds qui satisfait à tout ses besoins. L'esclave n'est pas une enfant capricieuse. L'esclave ne veut pas être courtisée, elle veut être asservie... C'est après plusieurs mauvaises réactions irl, dont un incident roccambolesque impliquant une jeune femme trop curieuse, un coffre à jouets ouvert dans mon dos, un délire paranoïaque et des fonctionnaires au demeurant fort sympathiques, que j'ai entrepris mes recherches en ligne. Hors la plupart des femmes que j'ai croisé sur le net ne veulent pas se soumettre réellement et sans réserve. Elles veulent seulement jouer les soumises ou les esclaves, mais toujours garder le contrôle, conserver le pouvoir, et semblent ne rechercher qu'un dominant de façade, simple perroquet de leurs propres désirs. "Je veux ça, dis moi de vouloir ça." Il s'agit au mieux d'une théâtralité érotique, au pire d'une hypocrisie maladive. Car elles se placent au centre de la relation, comme du moindre échange, ne manifestant aucune humilité, aucune modestie, ni même une quelconque réciprocité... J'ai donc assez mal vécu ces années de recherches... Et ne parlons pas des commentaires moisis et autres procès d'intentions laissés sur mes différentes publications, qui n'ont pas manqué de me rappeler de mauvais souvenirs... Enfin bref. J'essaierai dans la prochaine et dernière partie de résumer mes griefs contre ces personnes de manière claire et mesurée, je pense l'avoir déjà fait, mais je conçois que mes propos aient pu être mal compris. _________________________________ Chapitre 5 Mes griefs. Commençons par définir ce qu'est une généralisation. Je propose ici une vue d'ensemble de mauvais comportements et l'analyse que j'en fais. Il s'agit d'une description ciblée de ces mauvais comportements. Il ne s'agit pas d'une description normative. Donc si tu ne te reconnais pas dans cette description, c'est qu'elle ne te concerne pas, que tu fais partie des exceptions. Je part du principe que tu es intelligente et que tu peux comprendre que je ne vais pas préciser à chaque fois qu'il s'agit de certaines femmes, donc pas de toutes, qu'il y a des exceptions etc... Je ne suis pas un politicien, on est pas au pays des bisounours, tu n'es pas une enfant, je n'ai pas de compte à te rendre donc je m'exprime librement. Ce que je reproche à la majorité des femmes que j'ai croisé en ligne, est finalement très simple. Au nom de ce qu'il existe des délinquants relationnels, elles le deviennent à leur tour. Au nom de l'existence de ces délinquants, elles piétinent toutes les valeurs qu'elles défendent ou utilisent pour se défendre. Le respect, l'égalité... Tout se retrouve inversé au nom d'une présomption de culpabilité des hommes, y compris l'asymétrie recherchée dans une relation D/s... Ces femmes agissent comme si elles avaient tout les droits et les hommes tout les devoirs, suivant une définition de la soumission à géométrie variable. Un coup les efforts reviennent à la personne soumise, un autre, ils reviennent à la personne dominante, selon ce qui avantage ou non ces femmes. Qu'elles soient vanilles, dominas ou "soumises"/"esclaves", elles agissent ainsi de la même façon. Les vanilles vont prétendre être dans une relation d'égaux, mais on sait que le plus souvent il n'en est rien. Le premier pas et les efforts de séduction revenant plutôt aux hommes... Les dominas veulent que les efforts reviennent aux soumis, là c'est cohérent. Les "soumises"/"esclaves" veulent que les efforts reviennent aux dominants, transformés en courtisans... Mais le pire c'est que l'on se retrouve très vite accusé de tout ce que nous serions en droit de leur reprocher. Une inversion accusatoire généralisée qui ressemble à une stratégie de victimisation préméditée, une manipulation destinée à resquiller sur l'égalité pour obtenir des privilèges et refuser d'échanger d'égale à égal, de désir à désir, de payer le prix des plaisirs de la soumission à un maître, la soumission effective. _Refus de l'égalité: face à la discussion, à la complexité, au vécu, à la morale (victimisation, présomption de culpabilité des hommes, procès d'intentions, présomption d'une supériorité morale des femmes, morale moralisatrice moralisée (incapacité éthique, refus de toute mise en perspective de la morale présumée morale), aux conditions réciproques (on a droit au minimum alors qu'elles les multiplient), à la cohérence, aux contradictions, aux sentiments (mélodrame permanent, scènes pour un rien, pour un mot, pour un silence, pour quelque chose que l'on a pas deviné. pathos. Sentimentalisme mièvre, niais, naïf, puéril et démesuré), aux mots (à leur surinterprétation), aux droits et devoirs (tout les efforts sont pour nous), à la responsabilité, à l'individualité, à l'altérité sexuée (moralisation de la masculinité, devoir de se plier aux fonctionnements "féminins"), à la sexualité, aux désirs (une femme peut déclarer ses désirs d'asservir un homme, un homme ne peut pas ouvertement désirer asservir une femme, pourtant là pour ça, sans se prendre des jugements moralisateurs, car son approche serait trop sexuelle.), à la critique (si on les critique on est un méchant, bouh pas bien ! On a pas le droit de les mettre en cause.), à l'éthique, à la réflexion, aux préjugés (elles ont le droit d'en avoir et l'on doit s'y plier, s'en défendre sans s'y opposer, montrer pattes blanches, mais pas l'inverse...), au respect (on doit tout accepter et la fermer alors qu'elles se permettent tout), à la domination, à la soumission, à l'insatisfaction (elles ne tolèrent aucune frustration émotionnelle, aucune vexation de leur égo, mais refusent qu'on ne tolèrent guère notre frustration sexuelle), à la rencontre, à la relation, à la rupture, au temps et moyens investis, à l'erreur, à la faute présumée, à la possibilité laissée de s'expliquer, à la perfection (comparé à un idéal ou aux autres, l'abondance de prétendants leur montant à la tête)... Nous serions tous atteint du même "mâle", le manque de sérieux... Mais pas elles, même si on constate l'inverse... Car si les hommes les quittent ce n'est évidemment pas leur faute... En gagner un par leur soumission pleine et entière ? Non, à leur yeux leur soumission est une récompense qui se gagne, se mérite et non possiblement le prix d'un homme... Si elles sont seules ce n'est pas leur faute non plus. Même lorsque des dizaines d'hommes ne demandent qu'à faire leur bonheur... Elles ne font pas les difficiles, ne sont pas "chiantes", incohérentes, indécises, tatillonnes, susceptibles, narcissiques, puériles... Non, sûrement pas. C'est la faute des hommes. Des méchants et vilains hommes aux vilains désirs, tous hargneux et frustrés par magie... Sauf que même si elles ont raison sur la frustration de certains hommes, et ses conséquences, cette frustration ne tombe pas du ciel. La responsabilité de ces femmes dans cette frustration est clairement en cause. Ce qui est pour le moins absurde si l'on considère qu'elles se frustrent souvent elles-mêmes au passage... Ce qui explique certains de leurs comportements. Paranoïa: Tout les hommes ont des désirs sexuels et sont donc des prédateurs en puissance... Mais pas question de les satisfaire pour autant, ah ben non, ça les calmerait et du coup elles n'auraient plus d'excuse pour être aussi coincées... Oh surprise, la résolution de ce qu'elles définissent comme un problème, la frustration des hommes et ses conséquences, se trouve entre leurs mains... ou cuisses. Sans leur peur du sexe, on serait tous et toutes plus épanoui(e)s. Les faits divers ? Sérieusement, imaginez un violeur, hypothétiquement embusqué ici, qui tomberait sur une femme volontaire pour lui obéir, totalement et radicalement, comment ferait-il pour la violer ?! Cette peur ne tient que sur la réserve portée sur la soumission. Tu ne refuses pas la soumission par peur de te faire violer, tu as peur de te faire violer parce que tu refuses la soumission pleine et entière. Bon nombre de ces femmes finissent elles-mêmes frustrées, avec toutes les conséquences psychologiques bien connues... Dépit, mépris, déni... D'où peut-être les idéologies sexistes se cachant derrière un féminisme d'apparat pour mieux criminaliser les hommes dans leur être et désirs... Et la réclamation d'un nouveau traitement différencié car sexiste. Les nouveaux privilèges allant aux femmes coincées n'ayant pas intégré la libération sexuelle sinon comme liberté amoureuse... Renoncement à une sexualité épanouie par dépit, mépris envers celles et ceux qui l'ont ou la veulent encore, déni de cette perspective libidinale via une "objectivation" idéologique salissant l'épanouissement sexuel et toute sexualité pleinement jubilatoire, toute satisfaction libidinale individuelle, déculpabilisée, sereine et heureuse... Incapacité à envisager la sexualité autrement que sous l'angle hypocrite de la romance vanille religieuse... Sont-elles donc amoureuses de leurs vibromasseurs ? Il faut le croire. Pourtant un homme ne mérite-t-il pas plus de partager leurs plaisirs qu'un morceau de plastique ? Mais ces femmes parient toujours sur le pire, comme si il était toujours certains... Je me focalise sur les femmes mais j'ai perçu les mêmes problèmes avec la sexualité chez des hommes au travers de leurs commentaires... _______________ Bref, je pense avoir suffisamment démontré mon sérieux. J'ai fais tout mon possible. J'ai défini ma recherche au travers de multiples publications, j'ai montré mon visage, j'ai publié mon numéro de téléphone, investit des milliers d'euros dans du matériel neuf pour des questions d'hygiène, j'ai raconté ma vie... Que puis-je faire de plus ? Que devrais-je faire de plus ? Mériter votre soumission ? Mériter de vous satisfaire ? Asymétrie ! Pourquoi penses-tu mériter ma domination sans avoir rien fait ? Pourquoi penses-tu mériter de me satisfaire ? Pourquoi penses-tu une relation sur le thème du mérite ? Pourquoi te prendre pour une récompense ? Tu viens chercher ta satisfaction, comme moi je viens chercher la mienne. Pourquoi devrais-je t'offrir autre chose que la tienne en échange de la mienne ? Pourquoi opposer une résistance à ta propre satisfaction ? Pourquoi ne pas gagner un homme, sa fidélité, son attachement, par ta soumission si c'est ce qu'il recherche, si c'est le prix de son cœur ? J'ai mis mon vécu de côté, mes mauvaises expériences de recherches, mes analyses, j'ai donné une véritable chance à chacune de mes interlocutrices, certaines sont devenues des amies avec qui je discute de temps à autre, parce qu'on ne voulait pas la même chose. Dans ces cas là c'est normal que ça ne fonctionne pas. Mais trop souvent l'hypocrisie triomphe, les mots perdent leur sens et l'on ne peut plus se fier à ce qui est exprimé. C'est là l'origine de ma colère, le temps que j'ai donné pour "construire la confiance" n'a jamais servi à construire quoi que ce soit. Il m'a été volé, je n'ai rien reçu en retour. Si je m'attarde sur le négatif, c'est dans un soucis de comprendre, d'expliquer, de digérer ces déceptions, mais également de produire un tri préalable en exprimant ce qui m'exaspère. Voilà, j'espère ne pas avoir été trop long. Je vous remercie de m'avoir lu jusqu'ici. Peut-être à bientôt sur une autre publication.
549 vues 4 aime
Par : le 02/10/21
Le jour de la rencontre est là Je descends l’escalier de la demeure medievale lilloise pour ouvrir la porte en bois massif Tu t’avances légèrement maquillee souriante et je devine dans tes yeux la surprise : alors qu’enfin tu pensais me voir cette fois c’est moi qui porte un masque de cuir ! ( ma soumise: je suis prête et ne pense rien avoir oubliée. Je veux contenter mon Maitre de toutes les manières possibles… Je suis devant le 50… mon Maitre viens m’ouvrir. Quelques secondes d’attente qui me paraissent être des heures. Enfin! Je le découvre, légèrement masqué mais quand même! J’aime ce que je vois: un homme grisonnant, souriant et directif, de très beaux yeux et un charme a en faire pâlir plus d’une! ) Tu ne dis rien et me suis dans l’ escalier qui mène à l’appartement (Ma soumise: je découvre ce lieu cet accès grandiose, puis la porte… j’entre, curieuse et intimidée. ) Une fois entrés je te débarrasse de tes affaires Je caresse ton visage puis place le collier en cuir ainsi que les menottes séparées à tes poignets Je t’attache debout lentement les bras et jambes en croix Ainsi immobilisée tu es à ma merci ! (Ma soumise : mon Maître m’equipe d’accessoires, collier menottes…) Mes mains courent sur ton corps quand soudain elles s’agrippent à ta robe légère Fermement j’arrache méthodiquement le tissu Puis dégrafe ton soutien-gorge Mes doigts glissent des seins le long de tes flancs pour descendre ta culotte à mi cuisses Ton excitation est telle qu’un filet de mouille s’étire de ta chatte jusqu’à l’entrejambe de ta culotte (Mon Maitre m’attache, écartelée…. Puis me déshabille d’un coup sec: tous les boutons de ma robe volent en éclats! Ma culotte sur les genoux, je mouille et sent mon fluide qui dégouline entre mes cuisses.. ) j’opte pour le paddle qui s’abat méthodiquement sur la chair nue de tes fesses de tes cuisses te faisant pousser un cri pour chaque coup qui marque de rouge ton épiderme (Ma soumise : J’ai chaud et me sens pleine…. J’ai le cerveau en fusion et les fesses rougies. Je me laisse guider et diriger par mon Maitre. Mon corps lui appartient) Tu n’invoques pas « citron » le safeword mais au contraire me remercie Je glisse deux doigts dans ta chatte ruisselante et j’accompagne la montée du plaisir de frappes avec le paddle jusqu’à ton premier orgasme violent (Ma soumise : la chaleur et les picotements m’envahissent. Je jouis si fort qu’un coup de fatigue me saisit)
752 vues 6 aime
Par : le 30/09/21
Après des semaines de communications téléphoniques et d'appels visio ..... EN-FIN, la rencontre arrive. Je précise aussi que je ne suis nullement traumatisée par ce qui s'est passé ce soir-là. Au point que je la partage. C'était une expérience. Le texte ci-dessous a été rédigé à la demande de ce dom, pour avoir un retour à froid de la soirée 48h après. *************************************************************************************** Mercredi soir. J’arrive au château avec un peu d’appréhension pour mon retard, car vous êtes militaire. Et aussi, pour le lavement que j’ai fait avant, je ne sais pas si je vais devoir aller aux toilettes ou pas, c’est déstabilisant, c’est mon premier lavement. Jolie tenue, chemisette et style classique pour vous. J’embrasse votre main à genoux, comme convenu. Comment tout cela va-t-il tourner ? Est-ce que je vais découvrir un monde inconnu, des plaisirs inconnus ….. à voir. Tour de la maison, je sens votre poigne rapidement, dès que je monte une marche de trop sur l’escalier. Je me dis que ça ne doit pas être facile de s’opposer à vous, et quelque part ça me rassure. Je vais probablement pouvoir me lâcher un peu. Jolie propriété, vos informations historiques sont intéressantes aussi, et je profite de la marche pour vous observer. Pas une once de doute ou de détente dans cette démarche. Un homme qui sait ce qu’il veut, et qui l’aura, quand et où il le souhaite. Apéritif à l’intérieur. J’apprécie que vous me demandiez si je crains les moustiques, j’aurai préféré en extérieur mais ma peau l’aurait payé très cher. Il faut que je me déshabille, pour vous, je n’ai pas l’habitude de faire ça pour un Maitre. C’est drôle de se faire observer, sans une once de frémissement. Je comprendrais plus tard que vous exprimez peu de choses, en mots ou en gestes. Difficile pour moi de « lire » et de savoir quand vous prenez du plaisir. A moins que le plaisir soit uniquement d’obéir à vos ordres ….. sans chercher de connexion. Apéritif moi nue, nous papotons de tout et de rien, avec du champagne. C’est bien plaisant. J’embrasse vos chaussures puis vos pieds nus, des ongles taillés auraient été mieux accueillis je crois. Puis déshabillage, c’est étonnant de voir votre sexe qui ne réagit pas à mes caresses diverses, assez déstabilisant aussi. Du plaisir avec mon cul vers vous, j’aime bien me caresser mais d’une main, je manque de tomber. Vous me commandez de me caresser, et de jouir, ce que je fais. Je ne sais pas si cela vous convient ou pas, je ne vous vois pas et ne vous ressens pas non plus. Par contre, je remarque qu’il n’y a pas de caresses sur mon corps, uniquement sexe et seins. Début du « travail mammaire », comme vous l’appelez. Apparemment mes seins ne sont pas très sensibles, alors chaque travail se fera avec beaucoup de force, et donc de douleur pour moi. C’est fort, ça pince et ça fait mal. Je sais que vous avez dans l’idée de me faire jouir par les seins. Une fessée aussi, et je fonds en larmes de douleur. Pas l’habitude d’avoir mal comme ça, un peu oui, mais là c’est carrément déplaisant et je n’ai pas dans l’idée de dire « je suis cap », vous le savez. Une fois que je suis en larmes, de façon très surprenante, vous me prenez contre vous et j’entends le mot « câlin », « donne-moi ta douleur », ça ne résonne pas en moi, et ne vous ressemble pas non plus. Alors je me blottis pour avoir un peu de réconfort, ce qui ne dure pas car apparemment cela ne vous convient pas, c’est « trop vanille ».
1.3000 vues 19 aime
Par : le 30/09/21
Te voilà partie en week-end avec ton amie qui conduit une petite voiture. c'est une jolie brune d'un mètre 68 environ un tout petit peu plus grande que toi, un peu plus âgée d’un an ou deux l'ambiance est bonne vous discutez écoutez de la musique quand soudain le GPS se trompe et vous dirige sur une petite route de campagne mais l'humeur aidant vous décidez de poursuivre la route. la nuit tombe l’orage gronde soudain la voiture tombe en panne . rien autour de vous sinon la nuit sombre pas de réseau non plus c'est très embêtant mais vous apercevez de petites lumières diffuses d'une maison ou plutôt une demeure et vous décidez d'aller demander de l'aide . la pluie tombe soudain drue et vous voilà trompées sur le perron de la maison vous sonnez une ou deux minutes plus tard la porte s’ouvre une femme d'une quarantaine d'années grande et belle vous accueille et après lui avoir raconté votre aventure elle vous demande de vous installer dans le salon vous apporte des boissons chaudes. vous êtes fatigués est buvez avec plaisir le breuvage. Une torpeur s’empare de voux deux et vous sombrez dans le sommeil. • Tu te réveilles enfin doucement un peu groggy, la pièce est sombre tu devines la lueur des bougies et les paroles diffuses de plusieurs personnes. Effarée tu te rends compte de ta nudité mais surtout des entraves aux chevilles et poignets et en tournant la tête sur ta gauche tu apercois ton amie dans les mêmes conditions Vous êtes toutes deux sidérées surtout quand la femme de l’entrée vous montre le document que vous avez signé toutes les deux dans lequel vous acceptez de vous soumettre durant cette soirée en échange de l’aide et de l’hospitalité de vos hôtes Abasourdies vos regards se croisent et acceptez la proposition. La musique douce envahit la salle, un homme vous dirige vers 2 roues une affichant des numéros et l’autre des symboles Vous êtes devant les symboles et regardes ton amie nue si desirable et impuissante devant les chiffres Deux hommes déshabillent votre hôtesse encore plus belle dénudée sur ses talons aiguilles ils l’amènent devant une table l’obligent à se pencher puis Luis attachent les chevilles aux deux pieds de la table et les bras sont étirés pour la maintenir pliee fesses pointées vers l’assistance composée d’hommes et femmes nus et masqués On vous intime l’ordre de tourner les roues La tienne indique une longue badine tandis que l’autre indique 20 Une femme s’approche se saisissant d’un bâton fin et long puis vous entendez le sifflet de la badine fendant l’air et s’abattre sur les fesses, une marque rouge zèbre la chair dans un cri étouffé et là vous comprenez le jeu Les coups s’abattent lentement les marques augmentent et la femme ne peut plus retenir ses cris et ses pleurs tout en décomptant les coups Vous regardez votre amie et vos regards sont emplis de désarroi et de peur imaginant subir le même sort Le femme est détachée son visage inondé de larmes mais elle s’approche de son bourreau l’embrasse à pleine bouche et la remercie... La femme s’approche de vous et vous demande de choisir sexe ou sado Refusant les coups vous optez pour sexe ne sachant pas à quoi cela vous expose La femme va oser la même question à votre amie, si elle donne la même réponse se sera sexe sinon l’inverse de vos choix ....vous tremblez à l’idée d’etre fouetter au sang mais votre amie a choisi sexe également La femme vous met face à face et vous demande de jouer ensemble Vous hésitez autant l’une que l’autre quand l’hôtesse vient vous susurrer à l’oreille le risque du fouet Ta main saisit le sein de ton amie qui le yeux éberlués par l’audace autant que la crainte se saisit du tien Tu ne réfléchis plus et passant tes bras au dessus de sa tête l’embrasses timidement au début puis avec fougue quand ton amie se livre enfin Vos mains jouent avec vos chairs vos bouches s’enivrent de la peau de l’autre et sans résistance ni même réfléchir votre amie s’allonge sur le dos et vous vous positionnez en 69 Vos langues lèchent vos boutons et vos doigts fouillent vos grottes Votre amie se livre totalement à vos caresses Vous vous apercevez au dernier moment que les hommes vous rejoignent quand tu aperçois un sexe épais tendu pénétrer ton amie au même moment que tu sens une queue t’ouvrir et s’enfoncer en toi Ils jouissent en vous libérant des jets brûlants de sperme puis un autre emmanche ton amie et un 2eme pour toi les mains pétrissent vos hanches d’autres plus fines jouent avec vos seins pinçant vos tétons sous vos râles Vous êtes toutes les deux dans un état second quand les jambes de ton amie sont tirées en arrière dévoilant son œillet Une verge en erecttion investit le cul de ton amie dont le cri étouffé et ses mains crispées sur vos cuisses indiquent la douleur de l’intrusion mais tu n’as pas le temps de réfléchir que ton fondement est investi aussi Soudain ton amie crie sa jouissance Les hommes se suivent maintenant chez elle chez toi dans vos vagins vos anus Vos orgasmes s’enchaînent Le calme revient peu à peu Quand la maîtresse de maison pousse vos têtes vers vos grottes et vous demande de les nettoyer Vous léchez tout le foutre qui ruisselle des orifices déclenchant de nouveaux orgasmes La fatigue la peur rétrospective et tous ces coits ont raison de vous et vous sombrez tête bêche dans le sommeil
530 vues 4 aime
Par : le 29/09/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 402 - Séance XX Sujet : Digréssion - Voyage à Madrid. Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - photo du net Ce voyage à Madrid 🤩🤩🤩🤩🤩 C’est le voyage le plus excitant et ludique que nous avons fait. Envie de me toucher à chaque relecture. Couleurs, maître, larmes, vanille, émotions… un « Nous » Parfait ! … Tu avais programmé cette date depuis longtemps. J’attendais sur l’aire d’autoroute. Ce samedi, en fin de matinée. Comme prévu. Mon enfant entre de bonnes mains. Libre comme l’air. Et chaude surtout. Très chaude. L’heure des retrouvailles avec mon maitre avait sonnée. Au début pourtant, j’avais très mal vécu ce long mois d'abstinence. Mais comme tu l’avais dit, finalement beaucoup de bénéfices pour mon corps et mes esprits. Pour ma vie aussi. Je comprends désormais les bienfaits de la frustration. J’ai reposé les pieds sur terre. Je savoure pleinement la réalité extraordinaire et précieuse de ce que je vis grâce à toi. De t’avoir dans ma vie aussi.:heart_eyes: ... C'est le jour J. Je suis excitée comme jamais. Putain ! Le manque de mon maitre est à son paroxysme. Mes entrailles cuisent à feu vif. Depuis la confirmation de notre rendez-vous, mon ventre subit de violents spasmes de désir. Des pensées lubriques m’habitent en permanence. Mon visage a besoin de ta main. De tes caresses. De tes gifles aussi. Et surtout. Il me manque quelques coups. Quelques traces de toi. Quelques marques de mon appartenance. Mon vagin est incontrôlable et appelle ta queue. Mon anus aussi. Ma bouche aussi. Tous mes trous. Et je fais les cent pas sur le parking. A chaque pas, le simple frottement de mes dessous me torture. Avec plaisir. Avec mon sac à dos. Plus l’habitude de faire le Backpaker à mon âge ! Tu me surprendras toujours !? Je ne connais rien de tes projets. Sauf pour la culotte que tu m’as demandé de porter. Chose curieuse et rare. Les dessous me sont habituellement interdits en ta présence. A moins que ce soit pour me les faire abandonner à la table d’un café avec un petit mot. :smile: J’attends. Mon téléphone sonne. Tu es déjà là. Tu m’observes me tortiller. Dans le bus, là-bas. Tu m’ordonnes de monter. Tu as pris place au fond. Les deux derniers rangs sont inoccupés. Destination Madrid ! Madrid ? En bus ?! Huit heures de route ! Sérieux ? Huit heures avec toi… :stuck_out_tongue: Long voyage ! Bon !? Plus je m’approche de toi, plus je suis paralysé par l’émotion. Je m’assois à tes côtés. Ou je m’effondre. Je ne sais pas. Retournée. Ton bras s’ouvre à moi. En silence. Tu m’accueilles. Tu m’enlaces. Étreinte, je pose ma joue sur le haut de ton torse. Te respire. Quel bonheur ! … Nous restons comme ça un long moment. Sans mots. Puis ma tête se relève. Nos lèvres s’embrassent comme les adolescents sur les bancs publics. … Plus tard les enlacements ont apaisé nos corps et nos âmes. Nous discutons beaucoup sur le bonheur d’être ensemble à cet instant. Tout au moins, j’essaie... Mon corps est bouillant, et mon langage troublé. Tu es vraiment là ! Je te touche pour être sûre. « Nous avons rendez-vous à Madrid ce soir. Je veux te présenter un grand maitre, que l’on ne voit pas souvent dans sa vie » A chaque remarque de ce genre, mes entrailles se nouent et mon souffle se coupe. Nouveau défi. Nouvelle étape dans mon éducation. Je grimpe dans les tours. Zone rouge ! Évidement je mouille… … À deux heures de la destination, pause pour tout le monde ! Nous descendons à la station grignoter un bout. Mes yeux te dévorent. J’ai as faim. Je meurs de faim. Tu le sais. Tu le vois. J’agonise. Attendre si longtemps. Mes yeux disent : « Ce n’est pas humain ! Je suis D/S pas SM ! Je suis soumise, mais pas masochiste… ! » Toi, ton sandwich à la main. Impassible et compatissant. « Hum…Tu veux ton dessert, c’est ça… ? » Spontanément : « Oui mon Chéri ! » Puis « Oui Monsieur. S’il vous plait Monsieur » Tu me regardes encore. Plus de compassion. Les yeux qui me font peur. Quand je vais prendre. Les yeux du lion. Que j’adore. Quel regard. Putain. Tu vas prendre Mia ! Je le lis dans tes yeux. Tu finis ton sandwich tranquillement. Lentement. Puis d’un geste, tu me traines avec fermeté derrière un gros camion. Me plaques sur sa remorque. Saisis mes cheveux, lèves ma jupe, écartes ma culotte et me pénètres profondément. D’un coup. Putain que c’est bon ! Inattendu. Suspect. Tu appuis fort ton bassin sur mes fesses pour toucher le fond et tape. Je gémis longuement. Puis sors. Je geins. Snif. Snif. Snif. Putain !…Triste ! Je savais bien que c’était louche. Tu me retournes et te branles devant moi. Je salive. Je m’agenouille, naturellement. A peine ma bouche effleure ton gland. Tes doigts pincent mon téton et me relèvent contre mon grès. J’adore que tu tires sur mes tétons. Tu m’interdis de m’agenouiller et me force à regarder ta queue la bave aux lèvres. « Ouvres le garde-manger !» L’œil espiègle, je souris. Je baisse ma culotte en tenant ma robe relevée. Tu l’inondes de ton sperme. Je me nourris de l’expression de ton visage alors que tu salis ma culotte. …..Hummmm…c’est bon ça. Délicieux de te voir jouir. T’entendre respirer. Je la remonte vite sur ma chatte. Surtout ne rien perdre. Je sens ta chaleur. Je suis trempée et salie de toi. …..Hummmm… ! Cela a beaucoup, beaucoup d’effet sur mon coquillage. Personne ne lui a donné de chaleur depuis si longtemps. Tes doigts claquent et montrent le sol. Je m’agenouille. Enfin à ma place. Tu laisses ma bouche remplir sa fonction et te nettoyer parfaitement. Le chauffeur du camion nous regarde dans son rétro. Il semble aimer le spectacle. Pas vu celui-là ! Toi tu l’as vu. Je le sais. Tes yeux me disent que cela t’a plu de te faire nettoyer la queue devant lui. Moi aussi ! « Vite...le bus !» Merci maitre. Et merci pour ma chatte. En partant, je salue le chauffeur. Lui fais un très grand sourire. Une goutte de sperme au creux de mes lèvres que je lèche avec ma langue en le regardant. Je ris. L’arrière-gout de ton sperme commence à me transporter. … Je te sentirai sur mon sexe jusqu’à Madrid. Et ce fut bon. Tellement bon. Quel bonheur de sentir mon clitoris nager dans ton liquide. D’abord chaud, puis tiède, puis froid. C’est déjà ça. Je respire. Mais cette compassion ne te ressemble pas. Soit la présence du chauffeur t’a donné envie exhiber ta petite chienne, soit ce soir je vais en prendre pour mon compte. J’ai un peu peur. De temps en temps, je glisse ma main dans ma culotte, pour me nourrir. Porte mes doigts à ma bouche. Garder le gout de ton sperme…. Me rassurer. En te regardant, les yeux souriants et coquins. Cette indécence que tu adores et qui te fait bander. Je suis heureuse quand je te fais bander. Je me sens bien quand je vois la bosse sur ton pantalon. …. Nous arrivons à Madrid. Nous sommes déposés à l’entrée d’une zone périphérique, mi- hôtelière, mi- industrielle. « Mi Quérida, aujourd’hui, il n’y aura de maitre que moi et un autre, plus grand que moi, et beaucoup de spectateurs » Mes yeux se perdent au milieu de rien. Loin des choses qui me rassurent. Je suis aussi anxieuse qu’excitée par ce qui m’attends. « Soit rassurée, je suis là et le resterai, contre toi. Au moment où tu jouiras sous son doigt, je serai là aussi. Fais-moi confiance et laisse-toi être. Laisse-nous être, et tu t’en souviendras toute ta vie. » J’ai encore plus peur. Je suis terrorisée. Au milieu d’une zone industrielle. Mon cou nu. Il ne saurait rester nu. Pitié. Vite. Tu l’as senti. Je reçois mon collier. Enfin. Dans la rue. L’anxiété disparaît. Ma tête se relève. Mes épaules et ma poitrine aussi. Je me sens fière. Porter mon collier dans la rue ! …Hummmmmm…. Seule l’excitation reste. Toi, me regardant dans les yeux : « Me fais tu confiance Mia ?» « Oui maitre, je vous fais confiance » Tu souris de l’effet magique que le port du collier à sur moi. « Alors porte ce collier avec toutes la distinction et la fierté dont tu es capable et que tu me dois. Moi, je ne serai fier de toi que si tu te laisses être-là, dans toute ton entièreté. Saches qu’il me fut très difficile d’obtenir l’entrée au temple. Et que j’ai dû m’organiser à la dernière minute pour la logistique. C’est pourquoi le voyage en bus. Maintenant, nous n’avons pas une minute à perdre. Il va de soi que tu devras écouter et obéir sans discuter. » « Oui monsieur » … A pieds, nous nous rendons à notre hôtel. Prenons possession de notre chambre. « Je dois te préparer, douche-toi et Pronto ! » Je suis un peu essoufflée. Déboussolée. Ce scenario ne nous ressemble tellement pas. Ne te ressemble pas du tout. Rencontrer un grand maitre non plus. Ai-je trop grandi ? Es-tu dans le doute ? J’ai peur. As-tu besoin d’aide pour m’éduquer ? T’ai-je mis en difficulté ? Qu’est-ce que c’est un grand maitre d’abord ? Toi : « J’attends ! » Moi : « Oui monsieur. » J’obéis et m’exécute sans réfléchir. Me douche à la vitesse de l’éclair. Juste le temps de soupirer de ne plus avoir ton sperme sur ma chatte. Je sors nue et toute propre. Mon regard : Mes trous sont à votre disposition monsieur ! Je vais enfin être utile. Utilisée. Usée. Comme vous savez si bien le faire. M’user longuement par tous les trous. Les papillons dans le ventre. Je me trémousse comme c’est mon devoir. Curieuse sensation. Depuis ton fauteuil, tes yeux ne me regardent pas comme d’habitude. Tu m’admires sans artifice. M’admires mais je ne vois pas ton désir. Pourtant ma posture et parfaite. Ai-je fait une bêtise ? Pourtant je sens la fierté que je sois tienne. Ton état émotionnel aussi. Je porte avec attention le nom et le collier que tu m’as donné. Ton regard est différent. Quelque cloche vraiment. Je te connais inébranlable. Le grand maitre te bouscule à ce point ? Qu’est-ce que ça va être pour moi ? Je suis nue, les tripes serrées. Dans l’attente de tes mots. Tu m’admires encore un peu. Puis tu reprends tes esprits. « Respires Mia» Je m’exécute. Tu m’assois sur le lit et t’agenouilles. Écartes mes cuisses en grand. Et jette ta bouche sur mon sexe. Me dégustes avec appétit. Puis me dévores. Je m’accroche aux draps. Tu me bouffes. Longtemps. Je ne jouis pas. Pas sans ta permission. C’est dur…C’est bon. C’est trop dur… C’est trop bon. Mais ta permission ne vient pas. Ta langue arrête de me torturer. Ouf. Monsieur peut jouir quand il le souhaite, mais moi je dois attendre sa permission. C’est la chose la plus excitante...rester dans le désir...pour toi…toujours prête. Mon clitoris est prêt à exploser. Je respire profondément. Je suis en feu. Ma chatte « est » le feu. Prête à être forgée. A servir d’enclume. Comme tu veux. … Une boule s’enfonce lentement. Ma chatte s’ouvre. La boule glisse. …hummm... Puis une deuxième. Elles ne sont pas trop lourdes. Puis le Plug. La sensation du métal. Il m’ouvre le cul pour toi. La ficelle est plus longue qu’à l’habitude. Tu me montres la plaque métallique gravée à ton nom. Au bout de la ficelle. Ficelle que tu glisses entre mes fesses. Avec un tour sur le plug. Tu me passes une nouvelle culotte. Une culotte ? Pourquoi renfermer ma chatte ? Danger ! Incendie possible ! Il ne faut pas faire ça ! Grrr. Mon visage reste impassible. La plaque dépasse sur l’arrière, par-dessus la ceinture de ma culotte. Au-dessus de la raie de mes fesses. « Mets ta robe et ces baskets, nous sommes pile à l’heure » Je suis surprise. Dans la penderie, la robe, courte, décolletée avec le dos nu. Des baskets ? Et pourquoi cette culotte ? Surement les instructions du grand maitre !? Pas de question. Je passe la robe. Je te sens tendu. Au bout de la ficelle, la plaque pendouille au bas de l’échancrure, à l’extérieur de ma robe. Dans le miroir je me vois porter ton nom. Profond sentiment de fierté. Puis un joli bracelet orné d’un triskèle acier. Ce n’est pas bon. Trop d’attention. Trop vite. Dans tes gestes. Dans tes yeux. Ça cloche. J’ai très très très peur. "Elle est en retard...Il faut que ton maitre se détende..." Qui ça elle ? On attend une « elle » ? Tripes nouées. Gros nœud. Mon regard profond sur ta bosse. Pas d’instructions. Je tente. Cherchant ta permission du regard, je m’agenouille timidement. Tu te places naturellement dans le fauteuil. Et acquiesces. Enfin ! Un mois et huit heures ! Mes genoux se posent au sol. Je défais rapidement ta braguette, et enveloppe ton sexe d’un geste avec ma bouche. Mon refuge. Ça va mieux. Mon ventre s’apaise. Puis je corrige ma posture pour tes yeux. Générosité improbable. Pourquoi ? Jusqu’à ce que ton gland me caresse le fond de la gorge. Je suis bien. A genoux. La bouche remplie. A ma place. J’attends. Quelques secondes. Que tu respires profondément. Pour nous deux. Je me sens en sécurité. « Toc toc » …une voie sexy et festive... « Hola ! estoy aqui ! » Et merde. J’ai faim moi. J’ai faim tout de suite. Faut que je bouffe ta queue bien plus que ça ! Maintenant ! Que je me nourrisse. Toi : « Ouvre la porte à Esméralda, en tenant ta robe pour que l’on voit bien ta chatte, puis accueilles la comme il se doit, et reviens à ta place » J’adore recevoir tes ordres. Obéir en silence. Hummm … je suis super excitée 🤩 ! Enfin, je suis capable de faire quelque chose d’excitant avec plaisirs. Mais comment je vais vivre de te partager ? J’ai peur. Je suis excitée. J’ai peur. Je suis excitée. Je bug. Redémarrage du système : Obeir. « Oui Monsieur » J’ouvre. Ça me retourne. On se regarde. On se sourit 😉. Pas besoin de mots. « Entra por favor !», Esméralda rentre. Elle porte aussi un joli collier. Arc en ciel dans les vêtements, à moitié hippie. A moitié diablesse aussi, dans la coiffure avec ses cornes réalistes mais très sexy. ??? Un gros sac dans une main et une cravache dans l’autre. Un personnage de manga Sm. Toi, avenant avec elle : « Bonjour Esmeralada. Asseyez-vous. Ma soumise va d’abord finir ce qu’elle a commencé, puis je la mettrai à votre disposition. » Elle, avec le sourire : « Prenez votre temps monsieur, je prépare mes instruments » Et me revoilà à genoux. Je tremble. J’ai peur. Ma chatte coule. Vite, ton sexe, pour me calmer. Et non. Tu mets d’abord tes doigts dans ma bouche. Au fond, jusqu’à provoquer des nausées. C’est rassurant ce viol de ma bouche. Puis ta queue bien raide qui rentre jusqu’à m’étouffer. Je ressens ta domination. J’oublie « l’autre » et tout le reste. Je sens que je dégouline… je me touche … uhmmm effectivement ça mouille… Je me penche en te suçant et baisse ma culotte. Me touche. « Suce ! Cesse de te toucher ! » J’adore vraiment quand tu me donne des ordres. En public en plus ! ...hummmmm… J’écarte un peu plus mes jambes pour m’exhiber. Mes reins se cambrent. Mes fesses s’ouvrent. Montrer à quel point je suis excitée. Pour la rendre jalouse ? Pour l’exciter… ? Je sens mon plug à chaque mouvement. Je sens aussi ton sexe se contracter. Trop rapide. Tu maitrises parfaitement tes orgasmes et choisi les moments où ils doivent être. Elle ne peut pas te faire cet effet. Quelque chose cloche et recloche. Ça me bouscule à l’intérieur. Tu as « choisi » de jouir maintenant. Pourquoi ? Tu exploses dans ma bouche. Grâce à tes saccades, une bonne giclée s’échappe sur ma joue. Génial ! Que c’est bonnnn ! Te sentir sur mon visage. …hummmm… Je te regarde, les yeux remplis de joie. Je recule mon visage et te branle pour t’apaiser. Ma bouche pleine de ton jus grande ouverte. Le regard en coin vers Esméralda. Elle nous regarde. Elle est en appétit, je le sens. Elle se tortille sur sa chaise. Les jambes serrées. On ne me la fait pas à moi ! Je vois bien qu’elle a faim ! Peur. Toi : « Avales » Ouf. Je me redresse en veillant à ma posture pour tes yeux. Ma bouche se ferme. Mon regard droit dans les yeux d’Esméralda. Le bruit de ma déglutition. En plusieurs fois pour te déguster. Mes yeux narquois, moqueurs et malicieux. Les siens envieux. Mon soupir coca-cola frais. Mon sourire de satisfaction. Toi : « Ce n’est pas très avenant ce regard Mia. Presque irrespectueux envers notre invité. Cela ne se fait pas ». Je prends conscience. Effectivement. Peut-être ai-je été cruelle. Alors qu’elle est seule avec son collier. Irrespectueuse. Moi : « Oui monsieur, je mérite d’être punie » Toi : « Baisses ta culotte jusqu’aux genoux, tiens ta jupe relevée et penches toi » Tu regardes d’Esméralda dans les yeux, puis fixe sa cravache. « Donnez-lui ce qu’elle mérite ». Tu prends ton livre et détournes le regard. Le bruit de ses talons. Les caresses du cuir. Sa main qui malaxe mes fesses. Puis les coups. Les fesses qui piquent. Mon cul qui chauffe. Ma sensation d’appartenance à mon maitre. Pas un bruit ne sort de ma bouche, comme je l’ai appris. Douleurs et silence. Juste quelques gémissements. Mon anus et mon vagin se contractent. Appellent à être remplis. Toi : « Merci. Vérifiez que son éducation a porté ses fruits, que ses orifices sont bien à disposition. Si tel est le cas, disposez d’elle à votre convenance et faites ce pourquoi vous êtes venue » Pas prévu ça ! Je suis en orbite, dans l’espace. Entre peur, excitations, désir et inquiétude. Je re-bug. Je sens la rougeur chauffer mes fesses. Pas le temps de réfléchir. Deux doigts fins s’enfoncent dans ma chatte. Poussent mes boules au fond et me fouillent. La ficelle accrochée au plug le fait aussi bouger dans mon cul. Je suis trempée. Ça coule. Ma chatte bave. Deux autres astiquent mon clitoris avec la délicatesse d’une femme. Puis la main se retire et se présente à mon maitre. Gluante de moi. Tu approuves d’un hochement de tête et détournes à nouveau les yeux sur ton livre. Esméralda me regarde du haut de ses talons. Me souris d’un air narquois. A son tour. Présente ses doigts devant ma bouche que j’ouvre en grand. Elle y met ses doigts salis de moi. Je les nettoie consciencieusement avec ma langue. Ses yeux dans les miens. Je ne sens pas sa vengeance. Mais je me sens quand même un peu humiliée. Bon, je l’ai bien mérité. Je sens le pardon dans ses yeux. Elle écarte un peu les jambes, puis baisse le haut de son corps vers moi. D’un geste d’une élégance rare. Ses fesses à portée de ta main. Sa cambrure à portée de tes yeux. Elle pose ses lèvres sur les miennes puis m’embrasse. Tendrement. J’aime le baiser des femmes. Longuement. Je mouille. Je ne sais pas pourquoi. Tu passes ta main sous sa robe et caresses négligemment ses fesses. Puis torture son clitoris. Elle continu de m’embrasser. Langoureusement. Putain ! Je sens ta main sur sa chatte dans ses baisers. Tes doigts qui la fouille. Elle me mange la bouche. Ta voix : « N’oubliez pas l’heure mademoiselle. » Elle retire ses lèvres et regarde sa montre. « Oui monsieur. » Elle se baisse à nouveau et me saisit le visage par le menton. Puis tourne ma tête, et d’un geste lape la giclée de ton sperme sur ma joue. Me fais un sourire en coin. La salope ! Puta ! Tu sais quelle punition cela est pour moi. Son regard dans le mien. Elle me fait un clin d’œil. J’ai bien senti sa vengeance ! Pile là ou ça fait mal ! Arrrrrrrrrrrrrrrg ! Je la deteste ! Grosse pulsion de lui sauter dessus et de fourrer ma langue dans sa bouche pour récupérer mon bien ! Mais dans ton regard … « Tu fais moins la maline maintenant ! Que cela te serve de leçon !» Dans le mien… « Oui monsieur… » Elle me tend la main, prend la mienne et m’amène au petit bureau. M’assois et ouvre sa mallette. Pleine de …pinceaux… ! ? "Esméralda va te préparer pour le grand maitre. Laisse-toi faire et aide là". Esméralda s'affaire à mon maquillage et commence par mes lèvres. Aux couleurs de l’arc-en-ciel. Puis mes yeux, violet et rose. Une demi-heure. Mes joues grisées. Une perruque…Bleue… Bleue… ! ? Des diamants et paillettes brillantes collés sur mon visage. Un vrai plaisir que de me laisser maquiller par Esméralda... pour toi... pour lui... ? Pour vous... je ne sais pas... Je me laisse faire pour Toi... tu décides toujours le bien pour moi. Le grand maitre doit être quelqu’un de très important. Une heure. Je m’occupe discrètement. Je te regarde lire en contractant ma chatte pour jouer avec mes boules. Quelques déhanchés discrets pour sentir mon plug. Tu es beau dans ton fauteuil. Dans le miroir le travail d’Esméralda est un chef d’œuvre. Mais je ne suis plus humaine. Je ne suis pas maquillée comme une femme. Je suis peinte. Je suis un objet. Un bel objet. Notre grand maître appréciera surement. Je remercie chaleureusement Esméralda. Tu ôtes mon collier. Nooooon ! Pourquoi ! J’ai déjà été suffisamment punie… ? Puis un autre arrive autour de mon cou. Pas de cuir, un tissu avec des Leds qui clignotent … !!?! ? Une laisse fluo ? Accordé à mon maquillage, ma perruque, ma robe et mes baskets. Trippes nouée, chatte trempée, laché de vachettes dans mes entrailles ! Défis Gogo Danseuse en club BDSM ? Tes instructions tombent : « Tu garderas ces lunettes noires enveloppantes et ce casque avec de la musique à fond jusqu'à ce que j’en décide autrement. En sortant de l'hôtel, dans la voiture et à l'accueil de la soirée. Jusqu'à ce que j’en décide autrement. » Tu t'habilles avec un pantalon en cuir noir, une chemise blanche entrouverte. Un collier croix et bois, un canotier sur la tête. Pourquoi ce collier ? Cette croix...? Gothique... Jamais je ne t’ai vu comme ça. Cela me déstabilise beaucoup. Je ne comprend pas. Je suis complètement perdue. Complètement. Lâcher prise. Il me faut lâcher prise. Je respire. Je regarde mon tatouage avec mon numéro de série et le nom de mon propriétaire. J’essaie de me rassurer. Je te sens ému et excité. Que t’arrive-il ? « Les rencontres avec les grands maitres me déstabilisent toujours un peu, dis-tu en souriant » Tu n’imagines pas pour moi qui n’en est jamais rencontré ! Ça bouillonne fort dans mon ventre. Les vachettes me piétinent l’intérieur. Toi, d’une voix douce : « Tu « n’est » pas encore avec moi ...mais c’est pour bientôt ...ne sois pas inquiète tu es sanguine ...il ne te faudra qu’une seconde. » Esméralda nous presse, nous sommes en retard. Nous partons. Je n’ai d’autre choix que de suivre. Dans l’ascenseur ces lunettes noir affreuses se posent sur moi. Suis dans le noir, je ne vois plus rien du tout. Puis le casque. La musique forte dans les oreilles. Pas facile de marcher comme ça. Heureusement ta main autour de ma taille. Qui me guide, comme toujours. Une petite tension sur la ficelle me rappelle à l’ordre par moment. Je relève mes épaules. Ma posture… je sais… Ce n’est pas facile. Tu es exigeant ! Mais je te dois d’être parfaite. A travers le mouvement, coupée de la vue et de l’ouïe, je commence à « lâcher prise ». Perdre pieds. Complètement. Je ne sens même plus les boules. Ni mon plug Ma respiration s’accélère. Mon cœur se serre. Sortir de l'hôtel. Des pas jusqu'à la voiture. La voiture qui roule vite. Qui tourne, retourne et me brusque. Descendre. Marcher encore. Je m'accroche à ton bras. Marcher encore. Nous entrons quelque part. De l’écho. Des sensations de métal partout autour de toi. Il résonne même dans mes pas. Des corps qui se serrent contre nous. J’attends. J’avance. J’attends. J’avance. Je suis à nouveau bousculée par des corps. Marcher encore. S’arrêter. Repartir. Une odeur collective de sueur. Un peu glauque. Très glauque. Sordide. Une discothèque échangiste ? Bizarre. Ce n’est pas nous. Je marche. Je m'arrête. Enfin. On ne bouge plus. Je sens que le parcours est terminé. Mon cœur cogne dans ma poitrine. Je ne suis pas sûr qu’il va tenir. Les gens tout autour de moi qui nous oppresse. Comme une esclave avant la vente, dans le chariot. Je me souviens ta lecture des chroniques de Gor. Tu m’avais déjà parler du marché aux esclaves. Très très peur. Ma ficelle se tend. Je sens que tu l’accroches à ta ceinture. Quelle fierté et quelle excitation d’être accrochée à ta ceinture. Je suis ligotée à mon maitre. Par la chatte. Et par le cul. J’adore ! Tes bras m’enlacent. Tu Serres mon dos contre ton torse. Tu respires profondément sur ma nuque. Un verre en plastique se pose sur mes lèvres. Ça c’est encore moins toi. Du plastique !? Ça craint ! J’avale une gorgée. Du champagne ! Hummm…. Loin dans le casque « Avales tout » Je bois tout le verre. Tu fais exprès de lever trop vite. Le champagne coule sur mon décolleté. Ou suis-je pour que tu m’exhibes et gaspille le champagne sur mon corps si vite ? C’est bon. J’ai trop chaud. Ça me fait du bien. A travers mon casque à peine entrouvert … fort : ..."Et tu là Mia ?" "Si Senior" De profondes basses à l’extérieur se mélangent à la musique de mon casque. Cognent sur ma poitrine. Je sens mon petit corps sous tension. Étreinte par mon maitre en public. Objet d’art. Je me sens belle comme dans un rêve. Comme Alice au pays des merveilles. Ton Alice...mais là, Alice… elle arrive plus à respirer ! Et soudain, plus de musique à l’extérieur. Le silence. Plus de basses qui vibrent. Un long silence. Aucune vibration. Juste des corps autour de moi. « ... je tremble Monsieur...prenez moi la main ». Je ne contrôle plus rien..🙃...mon cœur va bien finir par exploser...😬….tu me tues… Loin dans mon casque : « Je suis là. Mia, maintenant tu dois être mienne sans compromis ». Je sens ton bassin descendre un petit peu. Ta queue bien raide qui se cale entre mes fesses à travers nos vêtements et me rassure. Je ne sais pas ce qui se passe mais ça t’excite. Je me cambre et sors ma poitrine. Être parfaite pour toi. A l’aveugle. Ma ficelle se tend. La boule force sur ma chatte et le plug sur mon cul. Humm..que c’est bon. Dans mon casque entrouvert, ta voie me transperce : « Je vais libérer tes sens. Ton ouïe et tes yeux. Tu accepteras le plaisir du grand maitre parce que je te l’ordonne. Il te fera jouir alors que tu seras contre moi. … Il arrive … Il est là. Respires profondément et « Laisse le nous "être" » Si j’avais assez envie je crois que je me ferais pipi dessus ! Je vais me laisser faire...tu vas être fier de moi, promis... Obéissance totale des maintenant 😌🙏. Tu retires totalement mon casque. Un violon acoustique joue fort. Ma musique. Ma musique ? Tu me serres un peu plus. Des corps me touchent. Mes lunettes disparaissent. « Ouvre les yeux » J’ouvre les yeux. Le noir complet dans cette salle. Quelques secondes pendant lesquelles mon cœur se serre. Se serre et se serre encore…le temps que je comprenne. Lumières éblouissantes dans les yeux. Putain ! « Hiro de puta » … Tu avais raison … Une seconde ! ... pas plus ! Mes larmes coulent à flot. Ta bouche les boit. S’en délecte. Sur ma joue. Je ne peux que t’aimer 💕. L’amour si puissant de ma soumission. L’amour si puissant de ta domination. L'amour BDSM que rien n'égale. Cette foule autour de nous. D’autres femmes aussi belles que moi. D’autres garçons aussi. Je ne me l’attendais pas celui-là... !!! Les basses se réveillent, cognent fort et m’achèvent. Me tuent. Les 10 premières minutes nous seront trop émus. Sans mots. Sans mouvement. Être ici. « Être » ensemble. Comme nous l’avions rêvé Juste les basses qui raisonnent dans nos corps. Puis les dix suivantes, la transe du « nous » dominera et nous ne descendrons plus. Nos corps se frotterons dans un orgasme frénétique infini. Je te sentirai ton emprise dans ma chatte et dans mon cul à chaque mouvement. Quand j’entendrai "résistance de l'amour", mes yeux couleront encore. Rien n’a pu me ramener à la réalité. « L’étant » de nous ce soir, comme l’une des plus hautes émotions jamais ressenties. Ma musique préférée, un peu d’alcool, du sexe et surtout un concert ensemble. Lâché prise totale. Intégral. Téléportation sur mars. « Hijo de puta ! » Tu avais dit… « La récompense de mon travail pendant ce long mois et le reste » ! Je croyais simplement à une petite soirée ! Mais là ! Putain ! J’ai le cœur qui va exploser ! Pour moi, pour toi, pour nous. Un concert ensemble 💕 💕 💕. Putain. 🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩 Merci Maitre. Vous savez ce que vous m’avez fait vivre ce jour-là. J’ai envie de vous demander comment vous faite pour m’amener toujours plus haut. Je ne veux pas savoir. Continuez. Dirigez-moi. Menez-moi. Emmenez-moi. Je vous remercie. Infiniment, infiniment, merci. Je vous dois tout ce que je suis et sachez que j’en ai conscience. Merci. J’en ai le ventre qui explose, rien qu’à l’écrire.
550 vues 17 aime
Par : le 29/09/21
Si fort ce sentiment A l'instant même où vos mots Se sont entrelacés aux miens Si naturellement, une évidence. Et sans même se rendre compte A quel point, il était facile De se parler, de se comprendre Si naturellement, avec confiance. Je me suis laissée emporter Par votre rigueur, votre honnêteté Sans aucune crainte, ni inquiétude Si naturellement, avec aisance Et lorsque mes yeux se posent sur Vous Vous faites naître un sourire sur mes lèvres Alors je sais que nous serons toujours Si naturellement une évidence. Le 27 09 2021
219 vues 2 aime