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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Cette semaine a été assez stressante pour toi, mon Monsieur. Je savais que quand ça irait mieux tu auras besoin que je m'occupe de toi. Et je me suis pas trompés. Un matin, après s'être réveiller. Nous nous sommes fait un câlin. D'humeur joueuse je commence à te provoquer. Je te maintien les bras, te pince. Tu riposte et me dit que c'est toi qui domine. On continue alors se jeux. Et petit à petit tu te laisse faire. Et tu me laisse jouer avec toi. Alors je commence à te mordre et à te griffer. Tu gémit sous mon joug. J'ai bien envie de te frustrer. Je viens te bander les yeux. Et tu a bien sûr interdictions de me toucher. Je caresses ton corps en évitant soigneusement ton sexe. Je le frôle. J'approche ma bouche pour que tu puisses sentir mon souffle sur ton sexe. Du pré sperme coule le long de ton sexe ce qui montre ton excitation. Je positionnement mon doigt juste au dessus de ton pénis. Tu essaye comme tu peux d'atteindre mon doigt que j'éloigne un peu plus à chaque fois. Après t'avoir bien frustré. J'ai bien envie de te torturé physiquement. D'une main je caresses ton corps et de l'autre j'assène des petits coups à tes couilles. Je vais crescendo et tes cris aussi. Quand je sens que je vais juste à la limite j'arrête pour venir caresser et apaisé ta douleur. Une fois redescendue je sert fort tes couilles . Puis je recommence les coups. De temps en temps mon autre main vient t'étrangler pour te faire taire. Tu essaye de crier mais tu ne peux même pas respirer. Que je te vois partir alors je m'arrête pour venir te caresser et t'apaiser. Je décide ensuite de jouer avec mes pieds. Alors je me lève sur le lit. Je m'appuis contre le mur puis vient caresser ton corps avec mes pieds. Ta respiration se fait haletante. Tu attends avec impatience ce que je vais faire. Je lève mon pied pour ensuite le positionner au niveau de ton cou. J'appuie juste légèrement pour te montrer ma position supérieur. Ensuite je retire mon pied et je m'élance pour te mettre un coup dans les couilles. Tu émets un cris de surprise et de douleur. Puis je t'assène plein de petits coups rapides. Ta respiration se fait de plus en plus rapide. L'envie monte de plus en plus en toi. Puis soudain j'arrête. Pour venir caresser tes couilles. Je sens que tu n'attends qu'une chose c'est que je joue avec toi Je t'observe avec envie. J'ai envie de te manger. Tu es totalement détendu. Tu as entièrement confiance en moi. Je viens effleuré son corps. Je pars de ta joue pour aller à son sexe. Tu me supplie de te faire du bien. Tu l'a mériter alors je viens doucement caresser son sexe. Tu souffle de plaisir. Puis j'empoigne fermement ton sexe pour ensuite faire des aller retour. J'augmente le rythme et quand je sens que tu monte j'arrête. Tu geins et me supplie de continuer. Mais moi j'ai pas finie de jouer. J'enduis mon doigt de lubrifiant. Et je viens jouer avec tes fesses. Tu me dit que tu ne souhaite pas être pénétrer mais que je peux jouer avec ton œillets. Alors je viens doucement le caresser tout en caressant ton sexe. Je te dit "tu es tellement excité que ton cul est ouvert comme une salope". Tu rougis de honte. Je viens te claquer les cuisses puis caresser tes couilles. Pour ensuite te branler. Je fait monter ton plaisir pour à nouveau arrêter. Je retire ma main de tes fesses et je prend ta main pour te montrer mon désir pour toi. Je mouille tellement que ma culotte est trempé. Je retire ma culotte. Puis j'utilise ta main comme d'un sex-toy. Je me branle avec tes doigts. Je joue avec eux jusqu'à avoir un orgasme sur ceux-ci. Alors je retire ta main. Tu me soupir que tu veux me prendre. Mais tu ne l'as pas encore mériter. Je monte sur toi pour frotter mon sexe contre le tien. Je commence à être moi aussi bien frustré de ne pas me faire baisser. Je rentre ton sexe juste à l'entrée. Tu continue de me supplier de te laisser faire. Alors je te retire ton bandeau et je viens à ton oreille lui chuchote "Je te laisse faire" tout en pénétrant sa bite a l'intérieur de moi. Tu soupir de plaisir et tu te laisse faire. Je te dit " bha alors on a plus envie de me prendre ?" C'est alors que tu pose tes mains sur mon bassin pour imposer ton rythme. J'essaye de te reprendre le contrôle en te prenant les mains. C'est alors que tu me dit " trop tard. C'est à moi de jouer." Tu te retire. Me retourne et me prend a 4 patte. Pour ensuite jouir en moi. Nous nous écroulons tous les deux sur le lit heureux
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Charlotte déverrouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la chambre était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, elle la taraudait et ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en vivant ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la chambre. Une clé tourna dans la serrure et la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha sur le lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, sans la comprendre. Désormais, il n'y aurait plus de temps mort, de rémission. Celle qu'elle attendait, était déjà présente, déjà Maîtresse. Charlotte la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention à ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur toute prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle obéissait aux ordres de Juliette comme à des ordres en tant que tels, et lui était reconnaissante qu'elle les lui donne. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte, en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. Accueillie dans la pénombre fraîche du salon par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, les "Trois Gymnopédies" de Satie. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Ce que l'inconnue exigeait d'elle, Charlotte le voulait aussitôt, parce qu'elle le lui demandait, aussi par respect et admiration. Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Son corps supplie, toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts, ta joue sur mon épaule, mes mains ont fermé alors les crochets. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie d'arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore. Tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude. Tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant alors à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu deviens pourpre, et en même temps que tu rougis, tu es ridicule de rougir. Tant de pudeur chez une fille complaisante. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse et fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte fut éblouissante de félicité. Tel l'envol gracieux d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, elle s'abandonna sans pâlir, corps et âme, à la bouleversante incantation sacrée du rite célébré du plaisir des chairs. Elle entendrait, encore une fois bientôt Juliette, étendue à coté d'elle, respirer dans la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Son récit : Semaine 25 Récits écrit par ses soins, mon ex petite soumise, si jeune, si bonne élève en apprentissage de la GP.
Sur mes ordres, elle suivit son auto-formation, et assez médusée, incrédule, s'appliqua après avoir regardé quelques vidéos de gorges profondes que je lui imposais, car pour elle ce monde n'était pas possible, et mesura en solo sa progression. Avec quelques exercices imposés au quotidien, avec en exemple l'introduction de ses doigts, 2 au départ, puis trois, puis, bien plus difficile, en sextoy de taille correct, elle finit après quelques mois à me prendre dans l'intégralité; délicieuse, délicate, machine...
"... J'arrive bientôt chez mon maître, l’adrénaline augmente. Je suis en voiture, je m'arrête à l'entrée de chez lui pour réaliser ce qu'il m'a demandé de faire. Je retire mon string pour l'enfoncer dans mon vagin. Ce n'est pas si facile que ça, mais le voici en place, enfin... Je repars et arrive chez lui. Je marche jusqu'à la porte d'entrée. La sensation est un peu étrange, mais au fur et à mesure des pas, je m'y habitue. Je frappe, il me dis d'entrer.
Je dépose mon sac à main puis je le découvre, près de la salle de bain, avec seule tenue son boxer, il sort tout juste de sa douche. Il me rejoint, nous nous embrassons délicieusement. Nos mains caressent le corps de l'autre. Il passe une main sous ma robe pour vérifier que je n'ai pas fauté. Je caresse son sexe déjà dur, retire son boxer, puis je me met à genoux pour commencer à l'engloutir. il décide de se mettre à son aise et s'assoit dans un fauteuil. Je continue donc à le sucer et à lui montrer ma progression pour la gorge profonde. Il se relève puis me demande de m'asseoir à mon tour dans le fauteuil, les jambes relevées et posées sur les accoudoirs. Il peut enfin découvrir le joli spectacle de la dentelle bleu qui dépasse de mon vagin. Il admire, prend quelques photos puis vient près de moi pour m'embrasser, caresser mon clito, y passer sa langue, enfoncer un doigt parmi la dentelle. Je le suce à nouveau, il s'enfonce parfois pour vérifier ma progression dans ma gorge. Il me demande de m'allonger sur le dos sur le fauteuil, les jambes et le cou posés sur les accoudoirs. Il enfonce son sexe dans ma bouche et à l'entrée de ma gorge. C'est difficile, les larmes montent. Il part dehors puis à un moment, il revient avec un fouet d’attelage, il le pose puis revient à mes côtés. Il se rend compte que je ne lui ai pas demandé mon collier. Je vais donc être une nouvelle fois punie.
Nous allons dans la chambre, il m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Il sort de la pièce un moment. Je sais ce qu'il est parti chercher. L'heure de ma 1ere punition arrive. Je l'entend revenir puis les 1ers coups se font sentir sur mes fesses. Chaque coups de fouet me fait sursauter et me coupe la respiration. C'est une douleur excitante. Il s'arrête au moment ou la douleur devient un peu plus difficile. Je sais que la punition n'est pas terminée. Il me demande de mettre un foulard sur mes yeux puis il attache mes poignets à mes chevilles. Ainsi je suis à lui. Je sais exactement ce qu'il va se passer. Il me place, mon visage au bord du lit. Puis s'enfonce dans ma bouche et au bord de ma gorge. C'est difficile. Puis à un moment, son gland passe la glotte puis je sens son gland au fond de ma gorge. Les larmes coulent, il se retire puis me prend dans ses bras. Sans le comprendre, il me pénètre puis s'enfonce bien profond d'un coup. Je jouis de suite. Chaque coups de reins est délicieux et chaque fois que son gland est au plus profond de mon être, je jouis, 11 fois il me semble. Nous reprenons nos esprit dans les bras l'un de l'autre.
Nous nous retrouvons dans la salle pour boire un verre. On s'embrasse puis mon maître me fait reculer jusqu'à arriver au niveau du fauteuil. Il me tourne, me cambre sur le fauteuil. Il me pénètre ainsi, ses coups de rein sont une merveille, par moment mes pieds ne touchent plus le sol, je jouie . Je m’allonge sur le fauteuil ou il me sodomise. Le sentir entrer à cet endroit est délicieux. La position n'étant pas très pratique, je m'installe sur la table. Il me sodomise à nouveau. Je pousse des cris de plaisir, nous jouissons ensemble.
L'heure du déjeuner est arrivée, nous prenons le temps de manger, de discuter…. A la fin de ce déjeuner, je suis debout à la porte, j'admire son extérieur si paisible. Et là, le maître me demande de me pincer un téton. J’exécute, je pince de plus en plus fort à sa demande. Il les pince de lui-même puis s'arrête et comme si de rien n'était nous allons boire notre thé et discuter.
Nous nous mettons au lit pour une petite sieste… au réveil, il part dans une autre pièce, mais avant il me demande de me caresser, d'enfoncer mes doigts en moi. Je le fais et lorsqu'il revient, il me regarde, se caresse…. Il vient près de moi pour que je puisse le sucer pendant que je continue d'activer mes doigts. Nous nous mettons en position 69. Sentir la langue de mon maître est tellement bonne que cela fait monter mon désir. J'essaie la gorge profonde de moi-même mais j'ai beaucoup de mal. Le maître décide donc de me le faire. Il me met de nouveau le visage au bord du lit puis il commence. C'est difficile mais son gland entre dans ma gorge, je le sens faire quelques vas et viens puis se retire. Il me récompense en me pénétrant. C'est si bon de le sentir me remplir après un tel effort. Je jouis de nouveau plusieurs fois. Une petite pose s'impose.
Je commence à le sucer, il durcit au contact de ma langue, puis en position 69 de nouveau. Je fais entrer petit à petit un peu plus son sexe dans ma gorge puis le voilà au fond, sans que le maître ai forcé. Je fais quelques légers vas et viens puis me retire. Le maître me pénètre en levrette, ses coups de reins me font sortir des cris. Je jouis, il continue ses coups de reins puis il se retire, je le prends en bouche puis me il fait don de son nectar. J'avale jusqu'à sa dernière goûte, dans un état second, tremblante, fiévreuse .
Une journée avec des difficultés est passée, mais qui m’aura donner beaucoup de jouissance. Je suis fière de ma progression et remercie mon maître d'en être mon guide.
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C'était pour nous transgresser un vrai tabou, et dans l'idée que nous nous en faisions nous mettre un peu en danger (à la genese de l'idée) que d'envisager de tester le fouet. La pratique est sulfureuse mais lors de notre expérience de béotiens, nous l'avons vécu comme un moyen terriblement sensuel et érotique qui nous a fait découvrir de nouvelles sensations.
Qu'est ce qui nous titillait dans le fouet ?
Pour nous, c'etait un moyen d'ajouter un élément de domination et de contrôle dans nos rapports sexuels. Nous avons été surpris de découvrir sur les forums que d'autres s'y adonner simplement pour ajouter de l'intensité et de l'excitation à leurs expériences sexuelles sans aucune arrière pensée D/s ou SM. Même avec bien des précautions, le fouet fait mal. Je crois que c'est cette douleur qui m'a donné beaucoup de plaisir (j'étais celle qui était fouettée).
Quelle que soit vos, motivations si vous tentez l'expérience, il me semble important de garder deux choses à l'esprit avant d'utiliser un fouet : la sécurité et le consentement. Le fouet n'est érotique pour les deux partenaires seulement si les deux partenaires sont d'accord pour explorer cette pratique. La pratique n'est pas neutre donc ne vous lancer pas à fouetter votre partenaire où à vous laisser fouetter si vous n'êtes pas totalement sûr(e) d'en avoir envie. Vous devez vraiment en discuter au préalable, pour être sûrs de ce que vous souhaitez faire et établir des limites claires. Une fois que vous serez l'un et l'autre certain de voulour vous lancer, viendra le moment absolument nécessaire d'examiner avec minutie les protocoles pour sécuriser l'expérience.
LA SECURTE AVANT TOUT !!!
Utilisés correctement, les fouets peuvent être de délicieux outils de perversité. Cependant, l'utilisation du fouet comporte des risques qu'il ne faut pas néglifer. Pour réduire ces risques, consultez les specialistes, sur ce site ou sur Fetlife.
Nous avons retenus ces principaux conseils :
- Établissez des règles et des limites claires avant le début du jeu. Cela permet de s'assurer que tout le monde est sur la même longueur d'onde et sait à quoi s'attendre.
- Choississez un fouet qui soit cohérent avec votre expertise de cette pratique. Si vous débutez choisissez un fouet qui ne risque pas de blesser en profondeur. Privilégiez le daim, le cuir ou le nylon. Évitez d'utiliser des fouets avec des picots ou autre qui mal utilisé peuvent aboutir à des blessures profondes.
- Échauffez-vous avant de jouer en pratiquant des frappes sur vous-même ou sur un oreiller. Vous pourrez ainsi vous faire une idée du niveau de force que vous devez utiliser et de la réaction de votre partenaire.
- Lorsque vous frappez votre partenaire, visez toujours les zones charnues comme les fesses, les seins ou les cuisses. Évitez les zones telles que la colonne vertébrale, les reins ou la gorge, car elles peuvent causer des blessures graves.
- Soyez attentif au langage corporel et à ce que votre partenaire peut vous dire pendant le jeu (et prevoyez un safeword). Si votre partenaire semble mal à l'aise ou utilise son mot de sécurité, arrêtez immédiatement et faites le point.
- L'après-jeu est tout aussi important que les préliminaires ! Prenez le temps, une fois le jeu terminé, de vous caliner et de "redescendre" progressivement.
Conclusion :
Lorsqu'ils sont utilisés de manière sûre et consensuelle, les fouets peuvent ajouter un élément de piment et d'aventure à toute relation. Si vous souhaitez essayer le fouet, veillez à communiquer franchement avec votre partenaire sur vos intérêts et vos désirs au préalable. En fixant des limites claires, vous vous assurez que chacun est à l'aise et en sécurité pendant le jeu.
Et consultez des spécialistes (nous n'en sommes pas) si vous souhaitez explorer l'utilisation du fouet en profondeur.
Prudence. Prudence. Prudence :)
(photo du net)
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Juliette ramena Charlotte à Paris une semaine avant la fin de septembre. Les anneaux qui trouaient le lobe droit de ses grandes lèvres ne la faisaient plus souffrir. Les marques imprimées par le cuir du fouet lors de la dernière séance étaient creusées dans sa chair comme par une gouge, hautes de plusieurs centimètres. Quand elle se présenta à la porte, Charlotte se sentait nerveuse. Sa Maîtresse lui avait ordonné de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle, tout s'écroulait. Elle ne savait plus. Aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête. Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit. Elle serait alors rendue plus profondément esclave. L'idée de voir son corps si fragile labouré par le fouet, son ventre étroit écartelé, la bouche pure hurlante, et des larmes collées à ses joues, avait été un mois plus tôt soulevée d'horreur, Charlotte en fut alors heureuse. Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour, mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait, mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Charlotte se sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Juliette ne manquait pas de critiquer cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué. En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se dirigea vers Charlotte en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment. La jeune fille surprise et épouvantée recula en un éclair, protégeant son visage rougi de ses deux mains. - Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. - Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - As-tu retiré ton plug anal ? - Oui - Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible. Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. - Oui, oui ne vous énervez pas. Charlotte se rappela que Juliette, le premier soir de leur rencontre, avait fait de même. Après tout, elle n'était plus à elle. Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. - OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite. - Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé. Ce qui d'elle était le moins à elle, était toujours son étroit pertuis qui pouvait si bien servir pour ainsi dire en dehors d'elle. Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Charlotte avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta, ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté. "– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal". Elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle lui ordonna de ne pas bouger en lui saisissant ses lèvres. L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche. Elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte songeait que le mot s'ouvrir à quelqu'un, qui veut dire se confier, n'avait pour elle qu'un seul sens, littéral, physique, et d'ailleurs toujours absolu. Car elle s'ouvrait en effet de toutes les parts de son corps qui pouvaient l'être, il lui semblait que c'était sa raison d'être. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, l'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui l'encouragerait. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus. La chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Il allait de soi qu'elle serait ainsi à sa disposition, et se mettre nue devant cette femme qui ne lui parlait pas et la regardait à peine, lui semblait aussi redoutable que d'être mise à nue constamment devant les amies de Juliette. L'inconnue admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Encore un nouveau gage d'abandon. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux femmes. Il était étrange que Charlotte en fut comblée. Pourtant, elle l'était. Elle se prêtait ainsi à ce que l'inconnue lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore, lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage. Le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant. La décharge fut intense et l'orgasme violent. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance envahir Charlotte par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se fendirent en obéissant. Charlotte desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois. Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Charlotte était suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant. - Je suis donc anale ... soupira-t-elle. - En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue. - Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette. - Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Il y a des gens classes, comme je pensais. Il y a aussi deux actrices que je reconnais... et puis des esclaves pas maquillées et avec les cheveux tirés. On va s'asseoir dans un divan... Une servante vient aussitôt me proposer du champagne. Tandis que je bois avec classe, mon pote John me dit :
— J'ai pensé que tu aimerais assister à la punition de ces filles...
— Oh oui... m'sieur... euh... John. Ce sont des esclaves qui ont fait une bêtise ?
— Non, pas du tout. Ce sont des étudiantes en droit qui ont fait un site qui me dérange beaucoup. Alors, on va les punir un peu. Celles qui vont faire amende honorable en seront quittes pour avoir passé un moment un peu désagréable, celles qui persisteront dans leurs erreurs seront vendues comme esclaves à Djibouti ou à Shanghai... quelque part loin !
— Super idée...
Je vous rappelle que ces filles attaquent les États-Unis à travers notre Président... Il ajoute :
— On les fait mariner un peu. La peur de la punition à venir est déjà une punition.
Quel homme raffiné... C'est un peu cruel, mais ces filles l'ont cherché... Je réponds :
— Elles n'ont que ce qu'elles méritent.
— Viens, je voudrais te parler en privé...
Oui, mais moi, je voudrais voir les filles fouettées... mais bon, qu'elles attendent... On va au 3e et dernier étage de l'hôtel. Je me doute qu'il en veut à ma vertu... Mais tirer un coup, je ne dis jamais non, surtout au Président...
Je me déshabille. Quand je suis nue, je le regarde... Il est toujours habillé... Et alors, on fait quoi ? Il me dit :
— J'aimerais te voir avec un homme... Tu serais d'accord ?
— Ben... oui.
— J'arrive.
Il sort et revient quelques minutes plus tard avec un grand mec costaud. Belle gueule de baroudeur... mon genre. Le mec me sourit et se déshabille... Ouaouh ! Il est musclé et il a une bite qui vise déjà ma chatte. John me dit :
— Suce-le.
Alors là, c'est pas de refus. Je mets à genoux et je commence par embrasser le bout mouillé de sa bite, ses couilles gonflées, les poils du pubis... Le Président vient tout près regarder ma langue tourner autour du gland du costaud... Il me dit :
— Je voudrais te voir lui lécher le...
Il cale. Aller, accouche ! Je lui propose :
— Le trou du cul ?
— Ouiii...
Il est ravi. Je commence à le trouver un peu spécial, le Président. Le costaud se met à quatre pattes et moi, je me mets à genoux derrière lui. J'écarte ses fesses musclées avec les mains.
Il a une odeur de transpiration mélangée à un parfum pour homme, une odeur plaisante. Le Président vient à nouveau regarder de tout près. Tu veux du spectacle ? OK. Je lèche l'anus du gars et y enfonce même la langue. Il me dit :
— Tu aimes faire ça...
— Oui m'sieur... euh, oui John.
— Tu as envie de te faire baiser ?
— Grave : je suis toute mouillée.
— Allez-y.
Le costaud se relève et me prend dans ses bras aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie. Il me met sur le lit, se couche sur moi et m'enfonce 25 cm de sexe dur dans la chatte. Aïe ! Non mais dis donc, toi, je ne connais même pas ton prénom ! Heureusement que je suis une fille accueillante. Je vois plus au moins le Président derrière le cul du gars observer nos sexes aller venir l'un dans l'autre. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ce sexe violant ma chatte à grands coups de reins... Je gémis... et je dis les trucs que les filles disent quand elles se font tringler, genre :
— Ah oui... je te sens bien... c'est booonnn... plus foooort...
Je croise mes chevilles sur ses reins pour qu'il me pénètre encore plus profondément. Pas longtemps, car je sens mon vagin se crisper sur le sexe qui le transperce et...
— Oh ouiiii... je jouuuuis...
Ah putain de merde, c'est bon...
Quelques coups de reins de plus et mon baiseur jouit aussi, inondant ma chatte de son sperme... Il grogne un peu en jouissant. Je veux le garder en moi, mais il me dit à l'oreille :
— C'est au tour du Président...
Oh ! Il va me baiser ? Non, dès que le sexe de mon partenaire quitte mon vagin, le Président colle sa bouche et il aspire le sperme qui est en moi. Je me demande si tous les Présidents font ça ! Le Président de la 2e puissance mondiale suce ma chatte pleine de sperme. C'est un peu surprenant, non ? Si c'est le genre d'apéro qu'il aime, ça ne me dérange pas. Au contraire, je ne devrai pas me laver. Quand il a fini de boire son apéro à ma chatte, on se rassied... Le costaud va dans la salle de bain. Il y a un silence, faut que je trouve quelque chose à dire... Ah oui :
— J'ai adoré cette petite partie à trois, John.
— Moi aussi, ma chère Ashley, moi aussi. C'était un peu spécial.
— Non, non, ça me plaît.
— On pourrait dire que j'ai des goûts un peu... spéciaux...
— Vous savez, moi j'aime lécher Summer quand elle vient de faire pipi...
Je dis ça pour le rassurer. Il continue :
— Des méchantes langues disent que je suis gay...
Tu m'étonnes !!
— Alors... il faut que je trouve une femme très belle et aussi très compréhensive au sujet de mes goûts....
Il ne va quand même pas...
— Alors Ashley, veux-tu m'épouser ?
C'est rien, je vais me réveiller ! Figurez-vous que je rêve que le Président des USA veut m'épouser ! Dingue non ? Dans mon rêve, je réponds :
— Avec grand plaisir.
Si je ne rêve pas, c'est juste une farce, genre caméra cachée. Il me dit :
— On descend, je vais annoncer la nouvelle à nos amis.
Bien sûr. Je joue le jeu... Je remets ma robe transparente. En bas, Summer est là et elle discute avec Monsieur Sam. Le Président annonce :
— Une grande nouvelle, mes amis : Ashley et moi, nous allons nous marier.
Tout le monde vient nous féliciter... Je vais près de Summer et je lui dis tout bas :
— On se fout de moi, hein ?
— Non, il a besoin d'une épouse charismatique et qui, accessoirement, couche avec n'importe qui...
— Eh, tu exagères !
— Tu as oublié qu'on s'est rencontré au "House of Pussies".
— Pardon, mais, c'est que... je suis perdue... et... snif...
— Ah, ne te mets pas à pleurer ! Tu acceptes et si un jour tu en as marre, tu divorces et tu auras une énorme pension alimentaire.
Avec elle, c'est aussi simple que ça ! Je la regarde et elle me dit :
— Ferme la bouche !
Je la ferme... Je m'imagine à Paris reçue par la nouvelle Présidente... J'irai manger au sommet de la tour Eiffel et puis aux Folies Bergères.... Il y a deux choses que je veux garder : Summer et la maison de Malibu. Oui, Summer, c'est une addiction. Mon futur mari vient me dire :
— Ma chérie, si on châtiait ces petites garces ?
— Excellente idée, John.
Il m'appelle "ma chérie" ! Le Président !! Je commence à y croire un peu.
En ce qui concerne les filles, je regrette qu'elles soient bâillonnées... J'aime entendre les cris et les supplications des filles fouettées. Quatre gardes que je connais viennent se mettre derrière les filles, armés d'un fouet. Je les ai déjà vus à l'œuvre, ils sont très adroits. Le Président dit :
— Vingt coups, ensuite on leur demandera leurs impressions.
C'est pas beaucoup. Un signe de tête du Président et les trois lanières des fouets viennent claquer sur les fesses des filles. Elles font :
— Mmmffffmmmma !
Je sais ce que ça veut dire "Aaaaiiieee!!! Ça fait maaal..."
Elles sont aussi douillettes que des esclaves. Les quatre gardes ont dû répéter, car ils nous font quasiment un ballet : les fouets qui sifflent dans l'air, le bruit mat quand ils zèbrent les fesses des filles... les cris étouffés. C'est beau.
J'ai un petit problème : regarder les filles fouettées, ça m'excite, je vais mouiller ma robe transparente. Les gardes repeignent les fesses des filles en rouge... Le haut des cuisses, aussi. Je pense qu'elles vont faire "kaï kaï" quand elles vont s'asseoir, les prochains jours... Ils s'arrêtent ! Oh déjà ? Ils enlèvent les bâillons. Là, je les entends enfin pleurer et gémir... Quelles moules ! Quand elles sont calmées, mon fiancé... va devant elles. Il parle bas, comme quelqu'un qui est habitué à ce que tout le monde l'écoute avec attention. Il leur dit :
— Je trouve votre site très bien, mais pas la cause que vous défendez. Si vous êtes prête à travailler pour moi, vous aurez beaucoup d'avantages. Dans le cas contraire...
Les filles sont là, les fesses en l'air et bien rouges. Elles doivent relever la tête pour le voir... Une belle brune dit d'une petite voix enrouée :
— Nous irons en prison ?
— Non, vous serez vendue dans un bordel de Tombouctou.
Une blonde répond très vite :
— Moi, j'accepte Monsieur le Président,
À tour de rôle, les trois autres acceptent. Et voilà, on leur tape un peu sur les fesses et elles renient leurs idées ! On les détache et elles se mettent debout, les jambes tremblantes, les fesses et les yeux rouges. Faudrait les envoyer chez Madame Stone, là elles feraient vraiment connaissance avec le fouet. Le Président leur dit :
— Vous allez signer quelques papiers et on vous reconduira chez vous...
Elles bredouillent un truc du genre :
— Oui, Monsieur le Président...
Ensuite, on discute du mariage. On va s'asseoir avec Monsieur Sam, Madame Wolf et sa chérie, Sara, je crois. Il y a aussi un homme aux cheveux gris. Le Président me dit :
— Tu es décidée à devenir mon épouse ?
En fait, non, pas du tout, mais je veux devenir la Première Dame des États-Unis, alors je réponds :
— Absolument, cher John.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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La chambre, par le pâle clair de lune éclairée,
Elle soumise par l’art des cordes est entravée,
Sur le parquet en levrette, magnifique djembé.
Fessées suivi d’encourageant gémissements,
En silence, claqua plusieurs fois sèchement
Savoureux châtiments emplit de sensualité.
Sa lune pleine, rouge, excitée, brûlée de désir,
Effervescence, flots de liqueur, parfum de plaisir.
Et dans la clarté obscure, alanguie sur le sol,
Sans un mot, dénoue les nœuds et cajole....
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Quand j'étais plus jeune, je fantasmais déjà sur le fait d'être enfermée dans une cage. L'idée d'être complètement impuissante et à la merci de quelqu'un d'autre (homme ou femme, ca n'était à l'époque pas un paramètre pour moi) était terriblement excitant. En vieillissant, ce fantasme est devenu de plus en plus fréquents. Je ne peux pas m'empêcher d'avoir envie de la sensation d'être piégée et vulnérable, je le vis un peu dans mes relations de soumission (qui reste assez softs), mais nous ne disposons pas de cage, et pour être tout à fait franche, j'imagine mal proposer à mon compagnon d'acheter une cage...
Bref, en ce moment je m'interroge sur la raison pour laquelle l'idée d'être enfermée dans une cage m'excite tellement.
Il y a sans doute plusieurs raisons pour lesquelles l'idée d'être mise en cage m'excite. Tout d'abord, c'est le fait de savoir que je serais complètement impuissante et à la merci de quelqu'un d'autre. Cette personne aurait un contrôle total sur moi et pourrait faire ce qu'elle veut de moi. D'ailleurs, quand j'y réfléchis, je crois que l'expérience n'aurait de sens que si je vis ce fantasme avec une autre personne que mon conjoint.
Les cages étant généralement associées aux prisons ou aux animaux, l'idée d'y être enfermée sent le souffre. Etre une chienne ? Etre à la merci d'un maton ou d'une geôlière (ah l'uniforme....).
Enfin, il y a l'aspect physique de l'expérience. Lorsque vous êtes confiné dans un petit espace, votre corps devient plus conscient de ce qui l'entoure et chaque petit mouvement prend une nouvelle signification. Le moindre frôlement du bout des doigts peut vous donner des frissons. D'une certaine manière, le fait d'être enfermée doit exacerber tous vos sens, je crois, et rend le moindre geste (comme respirer) incroyablement érotique.
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Il me suffit de penser au bondage, sans même le vivre pour entrer dans une profonde excitation. Quand je pense au bondage, ce sont avant tout les sensations qui me font fantasmer. Les liens serrés autour de mes poignets, de mes chevilles ou qui enserrent ma poitrine. Je pense à ce que je ressent quand la corde rugueuse frotte contre ma peau nue. Le contrôle que mon Maître exerce sur moi. C'est cela que j'aime dans le bondage : les sensations.
J'aime me sentir attachée (j'aime aussi d'ailleurs être enchaînée). J'aime savoir que je ne suis pas libre de partir ou de faire ce que je veux. Je ne me qualifie pas comme une soumise mais je sens bien que la sensation de la contrainte m'excite terriblement. Je suis entièrement à la merci de mon partenaire quand il m'attache et cela me procure un sentiment intense de bien-être. C'est une sensation unique que je ne peux ressent en nulle autres circonstances.
Les liens qui me maintiennent captives me donnent l'impression d'être des plus vulnérable et cela ajoute une vraie dose d'excitation quand Il me possède sexuellement. Je sais que mon partenaire peut me faire ce qu'il veut, et cette idée me plaît beaucoup. C'est pour cette raison que je fantasme souvent sur le fait d'être pris au piège des cordes et de ne pas pouvoir m'échapper. Cela me fait mouiller terriblement.
Le bondage est une pratique sexuelle (oui, je le considère comme une pratique à part entière) qui me procure beaucoup de plaisir car elle est pour moi basée sur les sensations qui s'emparent de moi quand il m'encorde, quand les noeuds se font et se défont. J'aime tant cette sensation de me liée et à la merci de mon partenaire, car cela ajoute un frisson d'excitation à toutes nos pratiques (qui ne sont pas spécialement SM d'ailleurs). Il y a une charge cérébrale intense dans "mon bondage à moi"...
Mon amant n'est pas un grand spécialiste du bondage, et a découvert cette activité en même temps que moi. Un jour, je pense que je m'en remettrai à un maître shibari pour aller un peu plus loin, notamment explorer les sensations des suspensions. Mais cela ne se fera pas tant que je serai en couple, et comme je n'envisage pas un seul instant de le quitter ...
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Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer
son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins
débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux.
Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à
espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de
ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout
était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention.
Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du
mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André
et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir
détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour
la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices.
L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long
de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse,
qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite
qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse
fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des
lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent
brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres
la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait,
sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se dégorgea. Dans un éclair, Charlotte se
vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain
l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint
la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre
totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir
contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme.
Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus
de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle
s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne.
Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même
si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit.
On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine
de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite,
qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale.
Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit
avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues
assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve
en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on
l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle
crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair.
Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière,
à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement
sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup,
elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer
encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans
doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait
appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui
commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi
par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait
être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités.
Juliette la sentait raidie sous sa langue. Elle allait la faire crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détente d'un seul
coup. Le plaisir qu'elle prenait à la voir haleter sous ses caresses, et ses yeux se fermer, à faire dresser la pointe
de ses seins sous ses dents, à s'enfoncer en elle en lui fouillant le ventre et les reins de ses mains, et la sentir se
resserrer autour de ses doigts en l'entendant gémir ou crier lui faisait tourner la tête. Charlotte le devinait-elle ?
Alors elle prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur
ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura
bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle.
Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes
fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet
étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle.
Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante
douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse
d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été
contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu
qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un
raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à
tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son
entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux
doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme
fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé
avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse,
elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les
invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au
bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin
aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa
vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la
jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire.
Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à
laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu.
Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout
de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on
fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Très fâchés du manque d'obéissance de Léa, les Maîtres lui ont "offert" un stage de 2 mois, chez Maîtresse Sylvia.
Voilà Léa de retour à la maison, un changement énorme. La première chose que j'ai vu à sa descente de voiture, c'est qu'elle était rasée, la boule à zéro, ensuite, elle s'est mise nue comme c'est de coutume ici, ses fesses et ses cuisses étaient zébrées de coups de baguette, certaines étaient bien rouges d'autres virées au brun chocolat donc plus anciennes.
Sans que personne ne lui demande elle s'est mise à genoux face contre le sol, au pieds des Maîtres , on étaient tous sans voix, elle a du prendre cher durant ce stage...
À genoux dans un coin du salon je regardais son anus, gonflé, bien rouge, les lévres de sa vulve un peu bleu gris et jaune par endroits, Jérôme caressait sa fente avec la cravache, Léa sanglotait presque sans bruit, Sylvia la Maîtresse du stage lui claque les fesses avec sa ceinture en hurlant:
"Et maintenant tu dis quoi à tes Maîtres vénérés?"
Sans relever la tête, toute tremblante, Léa murmure:
"Pardon Maîtres je serais toujours obéissante à tout vos désirs" Un monstre coup de ceinture s'abat à nouveau sur ses fesses et Maîtresse Sylvia hurle:
"Parle plus fort tes Maîtres n'ont pas entendu"
Léa répète en pleurant et encore et encore, chaque fois la pointe de la ceinture laisse une marque, qui gonfle et devient cramoisie. Éric lui ordonne de relever la tête mais toujours à genoux, il lui met un collier en acier au cou, ferme à clé et ce que je n'aurais jamais imaginé, il casse la clé dans la serrure en disant sale pute tu crèveras avec ce collier et tu vas obéir, appliquer les règles de ton contrat à la lettre. À chaudes larmes Léa accepte de dire:
"Oui Maîtres je vous le jure"
Je suis tellement surprit de la situation, que je ne vois pas le geste de Jérôme, immédiatement la cravache s'abat sur moi pour me rappeler à l'ordre. Je dois mettre Léa à la chaine, au pied du lit des Maîtres.
Je suis encore tout retourné mais aussi un peu satisfait car j'en ai reçu beaucoup à cause de sa désobéissance chronique, j'imaginais pas un retour dans ces conditions...
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Tout à coup, je la regardais avec une sorte d'épouvante: ce qui s'était accompli dans cet être dont j'avais
tant envie m'apparaissait effroyable. Ce corps fragile, ses craintes, ses imaginations, c'était tout le bonheur
du monde à notre usage personnel. Son passé et le mien me faisaient peur. Mais ce qu'il y a de plus cruel
dans les sentiments violents, c'est qu'on y aime ce qu'on aime pas. On y adore jusqu'aux défauts, jusqu'aux
abominations, on s'y attache à ce qui fait de plus mal. Tout ce que je détestais en elle était sans prix pour moi.
Et mon seul bonheur, c'était le plaisir même; le mien, le sien, tous ces plaisirs du monde, camouflés la plupart
du temps sous de fugaces désirs, des amours passagères, des illusions d'un moment. Nous avions du mal à
parler. Il y avait un silence entre nous, fait de nos fautes et de nos remords. L'éclatement et l'évidence des
amours partagées, la simplicité qui jette les corps l'un vers les autres. Ce monde ambigu où les choses
s'interprètent et où nous leur prêtons un sens qui est rarement le sens, c'était l'insoutenable légèreté du
bonheur où le temps et l'espace n'étaient plus neutres dans l'amour et la soumission. Ils se chargeaient de nos
espoirs et de nos attentes, et le monde entier se couvrait ainsi d'un réseau de signes qui lui donnait un sens
parfois absurde. Si tout était là, la vérité serait à la portée de tous, à la merci d'un miracle, mais on ne peut
n'allumer que la moitié d'un soleil quand le feu est aux poudres. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir
parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes,
on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là.
Elles se chamaillèrent un peu, tendrement ironiques, désireuses de faire durer encore cette exquise camaraderie
amoureuse qui retient les amants fougueux au bord du lit où ils s'affrontent alors avec une ardeur presque hostile.
Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre
sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant la main dans ses cheveux, elle posa ses
lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement avant de l'embrasser de plus en plus
passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit lentement ses mains dans son dos,
et la plaqua contre elle. Debout sur la terrasse, assourdies par le bruit des vagues, elles se laissèrent gagner par
un désir grandissant. Charlotte s'écarta de Juliette, la prenant par la main, l'entraîna vers la chambre. Ensuite, elle
s'écarta d'elle. La lumière de l'aube inondait la pièce, jetant des ombres sur les murs. N'hésitant qu'une fraction de
seconde avant de se retourner vers elle, elle commença à se déshabiller. Charlotte fit un geste pour fermer la porte
de la chambre, mais elle secoua la tête. Elle voulait la voir, cette fois-ci, et elle voulait qu'elle la voit. Charlotte voulait
que Juliette sache qu'elle était avec elle et non avec une autre. Lentement, très lentement, elle ôta ses vêtements.
Son chemisier, son jean. Bientôt, elle fut nue. Elle ne la quittait pas des yeux, les lèvres légèrement entrouvertes.
Le soleil et le sel de la mer avaient hâler son corps. Il venait d'ailleurs, de l'océan. Il émergeait des eaux profondes,
tout luisant de ce sucre étrange cher à Hemingway. C'était la fleur du sel. Puis Juliette s'approcha de Charlotte et
posa ses mains sur ses seins, ses épaules, ses bras, la caressant doucement comme si elle voulait graver à jamais
dans sa mémoire le souvenir de sa peau. Elles firent l'amour fiévreusement, accrochées désespérément l'une à
l'autre, avec une passion comme elles n'en avaient jamais connue, toutes les deux douloureusement attentive au
plaisir de l'autre. Comme si elles eu avaient peur de ce que l'avenir leur réservait, elles se vouèrent à l'adoration de
leurs corps avec une intensité qui marquerait à jamais leur mémoire. Elles jouirent ensemble, Charlotte renversa
la tête en arrière et cria sans la moindre retenue. Puis assise sur le lit, la tête de Charlotte sur ses genoux, Juliette
lui caressa les cheveux, doucement, régulièrement, en écoutant sa respiration se faire de plus en plus profonde.
Elle sauta sur cette occasion de rien du tout pour briser l'engourdissement qui l'amollissait dans cette douce chaleur.
Soudain, les lèvres de Juliette exigèrent un maintenant plein d'abandon. La communion ne put être plus totale. Elle lui
prit la tête entre ses deux mains et lui entrouvrit la bouche pour l'embrasser. Si fort elle suffoqua qu'elle aurait glissé si
elle ne l'eût retenue. Elle ne comprit pas pourquoi un tel trouble, une telle angoisse lui serraient la gorge, car enfin, que
pouvait-elle avoir à redouter de Juliette qu'elle n'eût déjà éprouvé ? Elle la pria de se mettre à genoux, la regarda sans
un mot lui obéir. Elle avait l'habitude de son silence, comme elle avait l'habitude d'attendre les décisions de son plaisir.
Désormais la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée
d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, et qu'elle avait pressenti sans la comprendre. Désormais, il n'y
aurait plus de rémission. Puis elle prit conscience soudain que ce qu'en fait elle attendait, dans ce silence, dans cette
lumière de l'aube, et ne s'avouait pas, c'est que Juliette lui fit signe et lui ordonnât de la caresser. Elle était au-dessus
d'elle, un pied et de part et d'autre de sa taille, et Charlotte voyait, dans le pont que formaient ses jambes brunes, les
lanières du martinet qu'elle tenait à la main. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passa de
la droite à la gauche, s'arrêta et reprit aussitôt. Elle se débattit de toutes ses forces. Elle ne voulait pas supplier, elle ne
voulait pas demander grâce. Mais Juliette entendait l'amener à merci. Charlotte aima le supplice pourvu qu'il fut long et
surtout cruel. La façon dont elle fut fouettée, comme la posture où elle avait été liée n'avaient pas non plus d'autre but.
Dans cette chaude pénombre où ne pénétrait aucun bruit, elle eut vite fait de perdre totalement le compte du temps.
Les gémissements de la jeune femme jaillirent maintenant assez forts et sous le coup de spasmes. Ce fut une plainte
continue qui ne trahissait pas une grande douleur, qui espérait même un paroxysme où le cri devenait sauvage et délirant.
Ces spasmes secouèrent tout le corps en se reproduisant de minute en minute, faisant craquer et se tendre le ventre et
les cuisses de Charlotte, chaque coup, le laissant exténué après chaque attaque. Juliette écouta ces appels étrangers
auxquels tout le corps de la jeune femme répondait. Elle était vide d'idées. Elle eut seulement conscience que bientôt le
soir allait tomber, qu'elle était seule avec Charlotte. L'allégresse se communiqua à sa vieille passion et elle songea à sa
solitude. Il lui sembla que c'était pour racheter quelque chose. Vivre pleinement sa sexualité, si l'on sort tant soit peu des
sentiers battus et sillonnés par les autres, est un luxe qui n'est pas accordé à tous. Cette misère sexuelle la confortait
dans son choix. Le masochisme est un art, une philosophie et un espace culturel. Il lui suffisait d'un psyché. Avec humilité,
elle se regarda dans le miroir, et songea qu'on ne pouvait lui apporter, si l'on ne pouvait en tirer de honte, lui offrir qu'un
parterre d'hortensia, parce que leurs pétales bleus lui rappelaient un soir d'été heureux à Sauzon à Belle île en Mer.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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