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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Un Week-end très spécial
Chapitre 1 l’arrivée
Ma Maitresse m’a envoyé chez une amie qui va « prendre soin de moi ».
J’arrive donc chez Dame Anna qui me fait me déshabiller, mettre une cage de chasteté et 2 bracelets Elle me met ensuite mon collier que je lui présente à genoux et m’enfile un gode queue dans le cul.
Vêtu d’un simple imperméable, nous descendons au parking où je monte dans sa voiture.
Après un temps certain, Elle s’arrête sur un parking apparemment peu fréquenté, me demande de mettre un masque de chien, de sortir nu de la voiture et de me diriger pieds nus vers son coffre où je me retrouve prestement enfermé pour les derniers kilomètres qui nous séparent du but . Effectivement après quelques minutes , je sens que la voiture s’est engagé sur un chemin de terre et pui s s’arrête . Sans doute le parking et la libération de ce coffre où je commence à faire de la claustrophobie.
Mais j’entends sa portière se refermer et ses pas s’éloigner. Le silence.
Me voici seul, livré à moi-même et j’ai du mal à réprimer mon angoisse. Le noir et le manque d’air m’oppressent. De longues minutes s’écoulent. J’entends une voiture qui s’arrête à coté de nous, des voix, apparemment un couple , mais je me retiens de me manifester . A nouveau le silence.
Puis le coffre s’ouvre :
« sors de là , chien » Devant moi un homme qui est visiblement un employé de la maison ayant reçu des instructions très nettes quant au « bagage » à prendre dans le coffre .
Dès que je suis debout, il m’attache les 2 mains dans le dos et fixe une laisse sur mon collier. Je dois le suivre, pieds nus sur un sol caillouteux avant de rejoindre une allée bétonnée et de rentrer dans un genre d’hotel. Là il m’attache par les mais dans le dos à un comptoir de sorte que je me présente face à l’entrée, dos au comptoir. Après m’avoir ordonné de ne pas bouger, il me met un bandeau sur les yeux.
Je me laisse faire bien sur comme Dame Anna me l’a ordonné mais je me dis que nous ne devons pas être dans un endroit ordinaire. Un hotel ou ne maison d’hôte BDSM , peut être simplement libertine , ou peut-être les deux ?
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Je suis à toi.
Mon corps est à toi.
Mes trous sont à toi.
J'aime le savoir et que tu le saches aussi.
Mais la vie a ses contraintes, il y a le boulot, le tien, le mien, le quotidien qui font que je ne puis être à toi toujours, tout le temps.
Nue, offerte, disponible pour toi.
Alors, souvent, quand nous sortons ensemble, pour dîner, aller au théâtre, au ciné, voire déjeuner chez mes parents, j'aime à "m'équiper" de ces instruments qui me le rappellent.
Ou les porter parfois quand tu n'es pas là, quand je bosse, lors de rendez-vous avec des clients.
Parce qu'ils n'ont pas seulement leur utilité lorsque c'est toi qui me le impose, quand c'est toi qui t'en sert.
Que ce n'est pas uniquement par plaisir que je les porte, même si ça ne me déplait pas :smile:.
Mais aussi pour me rappeler que même dans mes actes de la vie courante, "normale", je demeure "à toi".
_______________
Les autres n'ont pas à le savoir, ça ne regarde que nous.
Mais toi tu le sais, et j'aime que tu le saches, parce que ça t'excite de le savoir.
Et répondre à ton désir de me posséder répond en retour à mon envie de l'être par toi.
Et seulement par toi :smile:.
Alors, oui, ces instruments de contrainte, ces instruments symboles, j'aime aussi les porter dans la vie courante.
Pour me rappeler que je suis à toi.
Toujours.
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La pièce est terriblement sombre. Seul une veilleuse au plafond diffuse une lumière blafarde.
Je m’approche à 4 pattes de la gamelle d’Allan. La bouillie n’est pas très appétissante mais c’est mangeable et puis mon estomac vide crie famine.
J’ai soif et je lape l’offrande de Maîtresse Célia avec réticence au début, puis le goût assez délicat aidant, je reviens boire avec plus d’entrain. Mieux vaut s’habituer rapidement si je ne veux pas me déshydrater avant la fin des jeux.
Rassasié, je vais m’occuper de ma couche mais surprise, j’arrive bien à saisir la couverture laissée par Allan mais la chaîne trop courte m’interdit de m’allonger sur la couche.
Je n’ai que la solution de m’envelopper dans la couverture et de m’allonger à même le sol. La nuit risque d’être longue !
Rapidement je suis éveillé par le froid du sol. Je ne peux que me lever et marcher pour me réchauffer. Le cliquetis de la chaîne rythme mon exercice. Après un petit quart d’heure, je tente un nouveau sommeil. C’est seulement une forte envie d’uriner qui vient interrompre mes rêves.
Je ne peux uriner que dans cette gamelle comme l’a exigé Maîtresse Célia. Ma pisse vient se mélanger au reste de son urine. La gamelle est maintenant bien pleine.
Plus grande envie de dormir. Le temps s’égrène lentement jusqu’à cinq heures.
Je m’assoupis, le bruit de la porte me sort de ma torpeur. C’est toujours Allan qui me drive.
Je lui montre qu’il m’est impossible de m’allonger sur la couche mais cela ne l’émeut pas plus que ça.
Allan remplace vite la chaîne par une laisse à gros maillons argentés. Il me tend des bracelets de cuir que je m’empresse de mettre à mes poignets et mes chevilles. Les bracelets sont reliés par des chaînettes courtes qui me contraignent dans mes déplacements.
Nous n’avons pas encore quitté la cellule. Allan en profite pour me faire un descriptif des lieux. C’est une ancienne champignonnière aux multiples tunnels. Ils en ont équipés quelques uns en logement avec donjon, cuisine, salon parfaitement équipés pour tous les petites misères de la pratique SM. Habituellement, ils les louent à des clients fortunés. C’est pour cela que je n’aurais que peu de contact avec les autres soumis.
Je me retrouve sous la table de la cuisine et ma gamelle est déjà là. Aucun doute, c’est toujours l’urine de ma nuit agrémentée d’un pain qui a du être sec avant de tremper ici.
- «Dépêche de finir ton petit déjeuner, il faut encore faire ta toilette et te préparer pour ta première Maîtresse. Si tu veux avoir une chance avec elle, il te faut être présentable»
Allan me tire avec la laisse en me laissant à genoux et toujours entravé pieds et mains, alors c’est compliqué. Je me retrouve dans une sorte de grande douche à l’Italienne. Allan a saisi une lance et dirige un fort jet d’eau froide contre moi. Je suis saisi, grelottant et écraser dans l’angle de la douche tant le jet est puissant.
Allan me relève brutalement. Je suis bleu et je tremble mais les serviettes sont en option ici et je sécherais sur place. Il me retourne et m’accroupis de force, le cul bien relevé. Il m’enfile un tuyau dans l’anus pour un lavement profond. Allan reprends le gros jet pour me nettoyer et évacuer mon lavement dans un petit caniveau. C’est toujours aussi froid. Allan me fait allonger sur une table métallique aussi froide que l’eau. Sur le dos il m’examine et malgré mon épilation, il me rasera encore un peu plus et m’installe une cage de chasteté avec des piquants qui ne m’annonce rien de bon en cas d’érection. Il me retourne sur la table, continue d’enlever tous les poils visibles. Après cela, il m’enfile un plug de bonne taille dans mon cul. La douleur est là car il ne s’embarrasse pas de lubrifier mon petit trou.
Il se fait tard et Allan s’empresse de me tirer dans le salon où trône sur un mur une grande croix de Saint André.
Il m’attache poignet s et chevilles, me passe un bâillon boule qu’il serre tellement qu’il m’est même difficile d’exprimer le moindre grognement.
Allan s’en va en me souhaitant , sourire au lèvres, une bonne journée.
- «Ta Maîtresse du jour va arriver»
Il s’éclipse rapidement me laissant planté là sans pouvoir bouger. Le temps me semble une éternité. Mais bientôt, une jeune fille vêtue d’un vinyle rouge brillant et de talons qui prolonge de belle jambes très fines. Au premier regard elle m’apparaît fragile mais j’apprendrais vite que c’est moi qui casserais le premier.
- «Humm, tu es le premier candidat alors je crois que je vais bien me défouler» me lance-t-elle»
Je lui fais face sur la croix et je la vois prendre un fouet noir très fin. Elle me tourne autour en me passant le fouet sur mon corps pour une caresse d’échauffement. En s’éloignant un peu elle commence par quelques coups qui me cinglent le ventre, le pubis, les cuisses mais je la sens encore se retenir un peu. A chaque coup, un cri étouffé tente de traverser le bâillon boule.
Abandonnant son fouet, elle prend une roulette et me laboure le ventre, passe sur ma cage en piquant mon sexe, mes testicules et l’intérieur de mes cuisses. Je me tortille pour lui échapper mais la croix me retiens fermement. Excédée par mes mouvements désordonnés, je reçois un grand coup de pied dans mes couilles. Je ne serais pas attaché, je me roulerais de douleur à ces pieds.
Satisfaite de son effet, elle me détache, me fait me retourner et me rattache sur la croix face au mur.
Je sens de nouveau la roulette me labourer le dos puis ces griffes m’arrachent des cris de douleurs qui restent prisonniers de mon bâillon.
Maîtresse m’ayant arraché suffisamment de peau, elle reprend son fouet. Je reçois une vingtaine de coups partant du côté droit puis autant du côté gauche. Mon dos doit être bien zébré maintenant.
Finalement, malgré sa jeunesse, cette jeune Maîtresse est déjà bien expérimentée et très sadique.
Elle me détache de la croix et je glisse au sol comme une vulgaire serpillière. Le fouet m’a lessivé mais il a donné beaucoup d’entrain à Maîtresse et en plus, il lui a ouvert l’appétit.
Elle m’indique où trouver une assiette de tapas et un tonic que je m’empresse de lui apporter. Je me retrouve à 4 pattes devant elle et c’est moi qui lui servirai de table. Je me tiens le plus droit possible et Maîtresse vient piquer fort ces tapas avec une fourchette qui me rentre dans la chair. Je sens bien son plaisir m’irriguer quand elle revient piquer un tapas et une bonne partie de mon dos. Je viens seulement de bouger un petit peu et je reçois une grosse gifle qui claque sur ma joue, et un crachat au visage pour rabattre ma fierté. Je resterais parfaitement immobile jusqu’à la fin de son repas malgré la tasse de café brûlante qu’elle se sert sur mes reins. Maîtresse allume une cigarette en consultant sa messagerie de téléphone.
- «ouvre la bouche, relève la tête»
Je suis maintenant son cendrier moi qui ne fume jamais.
Le repas de Maîtresse s’achève. Elle étend ses fines jambe sur moi et se détend en appelant ces amies.
- «J’ai une belle lope à mes pieds» dira-t-elle à l’une d’entre elles. Tu pourras l’utiliser si je retiens sa candidature mais je vais encore m’en occuper quelques jours avant de faire mon choix.
Cela me promet donc encore d’intenses moments avec elle. L’après-midi risque d’être douloureux…..
A suivre ....
Tout est fiction, aucun fantasme, seulement le plaisir d’écrire en me servant de mon vécu et de mes lectures.
Je le dédicace à ma Maîtresse qui nourrit mon inspiration de grands et beaux souvenirs
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Dans une vie, il y a des rencontres ou une rencontre que l'on oublie pas ou ne peux pas oublier, celle qui marque une vie entière ou une partie de la vie.
Celle que l'on garde dans l'écrin de son coeur.
Cela peut être une personne qui a cru en nous, qui nous a aidé à grandir, à se construire.
Parfois, il y a des jamais, et puis parce que c'est lui, on s'abandonne ..
Parce que la confiance et le respect sont là.
Parce que la dialogue et la complicité sont là.
L'épanouissement est important
Il faut vivre les instants présents
Quelque fois le puits, ou le tunnel et puis la lumière au bout du chemin bien que parfois l'on croit que tout est noir ou gris, et une personne t'aide, tu fais surface, tu affrontes les épreuves, tu te sens pousser des ailes portés par certains sentiments divers.
Tu as cette force de caractère, je le sais, bien que tu caches ta sensibilité
Ton coeur n'est pas de pierre.
Il y a des paroles qui blessent à petit feu, des paroles que l'on te martèlent comme si tu n'étais pas capable de comprendre, paroles culpabilisantes, paroles sous la colère, sous l'impulsivité, paroles que l'on regrette.
Bien que certaines sont la vérité, nul n'est parfait.
Des phrases que l'on garde en soi, pour toi une première fois dans l'amour. le vrai comme tu dis, ou pour toute une vie, on le croit parfois, ou aimerait le croire et puis les aléas, la maladie, et autre chose font que parfois, la distance se fait, reste le tendresse et rappel de certaines choses vécues en commun, on se soutient comme l'on peut.
Inutile de faire changer la personne c'est peine perdue, et c'est bien ainsi, nous ne sommes pas des robots.
Certaines paroles que personne ne te dira.
Qui touchent ton âme et au delà, on s'en souvient toujours, elle imprime parfois une vie
Le passé est le passé, il faut avancer et ne pas regarder derrière, facile me diras tu ?
On ne peut revenir en arrière, il faut continuer et se dire que ce que l'on a vécu était beau, sans rancune et haine. Savoir se dire les mots, pas facile quelque fois, quand la personne n'est pas enclin au dialogue, on aime savoir cela permet de comprendre, on retient les erreurs ou autre. On apprend toujours des ses erreurs ...
Les hommes parfois des couards ...
Il prennent la fuite en avant, évitant le dialogue.
Les pleurs sont salvateurs et quelque fois le trop plein qui déborde par l'émotion, le chagrin, la déception etc ..
Il faut savoir couper la branche quand elle fait mal ou pourrie
A quoi bon continuer quand l'amour n'est plus, à vouloir garder amitié comme pas mal de jeunes disent ...C'est la fin de l'histoire, il faut tourner la page, refermer le livre ou la porte
Quand on a vécu quelque chose de beau, se contenter du médiocre, non
On ne retient pas la personne qui veut partir, qui décide de partir, mots inutiles, vides de sens, ou chantage quelque fois ..
La vie et ses choix à faire, toujours une question de choix, on écoute son coeur, son intuition
Avec des si ... comme tu le dis si bien, on avance pas, garde en toi ces beaux souvenirs, entretient les dans l'écrin de ton coeur si cela te permet d'atténuer ta peine.
Cela te grandit, après la pluie, le soleil..
Dans une histoire terminée, on n'en ressort pas indemne reste des traces, des souvenirs, des rires, sourires partagés.
Reste positive, tu es mure pour ton age, c'est l'apanage des jeunes filles par rapport aux jeunes hommes.
Il ne faut jamais se forcer, agir avec son coeur, et ne rien demander, je sais que tu es ainsi.
Dis toi que la personne qui t'aime ou t'estime si elle est sincère, elle t'apprécie comme tu es, en ton entier et pas une partie de toi.
J'apprécie ta positive attitude et j'aime à dire, il faut savoir se relever.
21 07 2011
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Le temps s'écoule tranquillement, rigoureusement
Je pense à Lui
Les jours passent mais rien ne change, malheureusement
Je n'attends que Lui
Mon coeur ne s'égare pas dans les tentations
Je ne veux que Lui
Mon corps réclame le sien, douloureusement
Me perdre en Lui
La punition s'impose, le silence depuis des mois
Il m'aime et je l'exaspère, il ne sait que faire de moi
Ce que je peux lui dire, il s'en moque...
Rien n'y fait, il n'a plus confiance en moi
Besoin de lui dire ou m'abstenir de ne rien dire
En fait, me taire et garder mon sourire
05 08 2020
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Nous entrons dans l'air de l'oubli
De nouveau, il faut s'éloigner
Distantes ainsi nos vies
Fragiles comme des toiles d'araignées
Je ne suis pas triste et vous non plus
L'heure n'est pas venue de pleurer
A l'instant même où vous m'avez plu
Je savais que l'on serait séparés
Vous emporterez mon baiser
Un zeste d'odeurs évanouies
Aux veines bleues de mon poignet
Et vous en souviendrez la nuit
La chair pétrie d'obstination
Je persisterai de vous aimer
Patience et résignation
En jours, en semaines, en années
Ce n'est pas une rupture, un éloignement, sans assurance quant aux retrouvailles,
Patience oui résignation non (sauf dans le sens accepter ce qu'on ne peut de toute façon pas changer)
Patience et résignation valent mieux que renoncement et détachement
Déterminée, je le suis, patiente et impatiente je l'avoue, je garde l'espoir, par bêtise ou aveuglement.
Je ne connais pas l'échéance, sourire...
Ce que je sais c'est que cela ne durera pas
Je sais cela depuis le début de notre relation, nous avons été sincères sur nos vies de famille respectives.
Votre parcours n'est pas le même que le mien, et nous ne pouvons-nous rencontrer que rarement depuis quelque temps
Peut-être est-ce le secret de notre passion ...
aout 2013
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Ça y est, Madame Lóng a déteint sur elle... Je m’assieds pour prendre ses pieds sur mes genoux. Ils sont beaux mais sales, puisqu’on marche pieds nus...
Elle bâille à nouveau et dit :
— D’abord, regardez bien ces écriteaux.
Elle nous montre une série de messages "Danger ! Stop !" "You risk your life !" Je vois le genre, l’équivalent de "Achtung minen !"
— Si on les dépasse, notre collier explose. Qu’ils disent...
Ouch ! Je ne prendrai pas le risque. Elle continue :
— On est en face de l’île d’Hainan. L’usine est un partenariat entre la Corée, la Chine et la France. Actuellement, le grand patron est Coréen. Il y a un endroit pour le personnel en civil et les ouvriers de 1re classe. On doit arriver à être acceptées à l’intérieur et gagner de l’argent pour Lóng. Si on sait s’y prendre, on pourra même se faire offrir des verres, mais la priorité, c’est rapporter de l’argent.
— Julien peut venir aussi ?
— Bien sûr, il va plaire aux mecs. Ah oui, cette nuit, on va remercier le garde, toi et moi. Madame Lóng est d’accord.
J’ai toujours ses pieds entre les mains. Elle me dit en riant :
— On dirait que ça ne te déplaît pas de me masser les pieds.
Je rougis un peu. Elle ajoute :
— Allez, on part.
Nous marchons dans les couloirs et puis on arrive devant une porte au-dessus de laquelle il y a des idéogrammes et d’autres signes, peut-être en coréen. Des deux côtés de la porte, il y a des gardiens. Deux grands mecs impressionnants ! On leur fait le salut réglementaire à 45°. Je me cacherais bien derrière Ailla, et Julien sans doute derrière moi. Le plus impressionnant nous dit :
— Le bar est interdit aux tenues orange ! Déguerpissez !
Ailla répond :
— On vient vous distraire...
Celui qui a un tatouage d’araignée dans le cou répond :
— Alors vas-y, amuse-nous.
Ailla prend un peu de recul et dit :
— Messieurs, j’ai l’honneur de vous présenter la fille qui a le plus beau cul du monde, elle !
Elle me désigne. Moi ? C’est gentil, mais un tout petit exagéré.
— Quant à moi, j’ai une chatte de feu. Et enfin, ce jeune homme...
Elle montre Julien.
— ... il a le plus petit sexe du monde. Vous voulez voir ces merveilles de la nature ?
Elle raconte n’importe quoi, mais ça a l’air d’amuser les deux gardes. Un couple en civil a assisté à la scène depuis le couloir. L’homme s’approche et lui dit :
— Oui, on veut voir.
Les gardes s’inclinent devant lui. Ailla nous regarde en disant :
— Chers partenaires, je compte jusqu’à trois. Un, deux...
À trois, on se déshabille. Oui, même Julien a compris. Moi, je me retourne et je me cambre, tandis qu’Ailla exhibe fièrement la flamme roux-auburn qui garnit son pubis et Julien sa mini bite et ses mini couilles.
Un silence... et puis... l’homme se marre, les gardes aussi. Ouf ! Ailla les a fait rire avec rien. L’homme lui dit :
— Si je comprends bien, tout ce qui est intéressant est sous vos vêtements.
— Oui Monsieur, mais on a d’autres qualités.
— Je n’en doute pas, vous pouvez entrer... mais sans vêtements.
Oh ? Je regarde mieux l’homme. C’est un Chinois d’une quarantaine d’années, sa compagne doit être Thaïe et elle est toute jeune. Ailla lui répond :
— Merci beaucoup, Monsieur.
Elle retire son pantalon qui est déjà sur ses pieds, puis son tee-shirt... Julien et moi, on fait la même chose. Ailla lui demande :
— On peut vous accompagner, Monsieur ?
— Ça ne plairait pas à ma compagne, mais je vais vous faire entrer.
Il donne un billet à chacun des gardes, qui se confondent en remerciements. On entre à leur suite. Ce n’est pas que je sois spécialement pudique, mais c’est quand même un tout petit peu embarrassant, entrer à poil dans un endroit public. Il y a de l’ambiance dans la salle, de la musique, des odeurs d’alcool, des gens qui dansent... Ça fait du bien. Il y a déjà des filles nues dans la salle et des gens qui flirtent. Dans le fond, on voit une porte avec des idéogrammes chinois et coréen sur un grand panneau. Avec un marqueur à alcool, quelqu’un a écrit en dessous "sex room". Je suppose qu’on peut flirter dans le bar, mais que pour baiser, il faut aller dans cette "sex room". Tout le monde nous regarde. Il faut dire qu’on est belles et exotiques, heureusement que nous avons au moins ça. Je remarque avec un soupçon de jalousie que beaucoup d’hommes regardent Julien. Ailla nous dit :
— On prend chacun une rangée et on s’incline devant chaque table en disant « J’ai une langue douce et agile ».
Oui mais oh, elle décide tout, même de ce qu’on doit dire ! Bah, ça ou autre chose.... On se sépare et je vois qu’un homme fait déjà signe à Julien. Qu’est-ce qu’ils ont tous avec Julien ? Je vois Ailla disparaître sous une table. Et moi ? Je suis une Rom, c’est ça ? On me rejette ici, comme on est rejetés dans tous les pays par lesquels on passe.... On se croirait en 1942, quand mon peuple était traqué.
— Samia, pitié, va te proposer en souriant au lieu de te lamenter sur ton sort !
— Oui la Voix, tu as raison.
Je m’ébroue pour chasser ces idées noires, ça fait bouger mes seins. Je vais à la première table devant moi. Il y a quatre ouvrières de première classe qui boivent un verre et discutent. Je m’incline en disant :
— Pardon de vous interrompre. J’ai la langue douce et agile, essayez-moi... en échange d’un peu d’argent.
Elles m’observent, puis parlent entre elles. La plus grosse me dit :
— Nous quatre, 50 yuans (+/– 5 euros).
Ouch ! Ça ne doit pas faire beaucoup, mais je n’ai pas le choix. Je remercie en m’inclinant. La plus jolie me dit :
— Commence par moi.
Dommage, j’aurais bien aimé finir par elle. Tandis que je me faufile sous la table, elle se soulève et baisse son pantalon en ajoutant :
— Enlève-le.
J’obéis et je le lui donne. Elle met un pied sur la cuisse de sa voisine et sa chatte est toute à moi. Elle ne s’attendait sans doute pas à se faire lécher, du coup, elle a oublié de se laver. Alors, qu’est-ce que je préfère : lécher une chatte qui sent les crustacés oubliés dehors par temps de canicule ou tirer une charrette de lin, sous le fouet ? J’embrasse sa chatte à pleine bouche, parce que le fouet, je vais essayer de l’éviter. De plus, si j’arrive à faire roucouler ces femmes, j’aurai d’autres amateurs. Je la lèche avec... ardeur. J’imagine que c’est Ailla, ça m’aide. J’enfonce ma langue dans son vagin, je lèche son anus, puis je me concentre sur le clito. Je l’embrasse, le suce, ma langue tourne autour de lui. La fille se cambre pour mieux s’offrir à mes lèvres et à ma langue. Je sens son plaisir arriver, tandis qu’elle me caresse la tête. Ça y est, elle bouge la jambe qui était sur sa voisine et serre mon visage entre ses cuisses. Elle mouille ma figure de son plaisir. D’accord, ça fait roman pour jeunes filles, mais c’est effectivement ce qui se passe...
Je passe aux suivantes, qui sont à peu près propres. La plus jolie est donc la moins soignée. Je ne vais pas décrire les trois autres chattes, d’autant que je les lèche de la même façon. Quand on est à genoux sous une table, le nez dans une chatte, il n’y a pas la place pour beaucoup de fantaisies...
Enfin, la dernière mouille mon visage, comme vous savez.
Je sors de sous la table. Mon royaume pour un linge humide et parfumé, afin de me rafraîchir la figure. La plus jolie me tend un billet de 50 yuans, je m’incline en disant :
— Merci beaucoup de l’honneur que vous m’avez fait en me laissant vous lécher et merci pour cet argent.
En pensée, j’ajoute "Et la prochaine fois, lave-toi, sale fille !"
La plus grosse me demande :
— Tu travailles pour qui ?
— Madame Lóng, Madame.
— Alors il va te falloir gagner nettement plus. Ah, ton amie t’appelle.
— Merci, Mesdames. J’espère....
Ailla crie :
— Rapplique, Samia !
Je la rejoins. Elle discute avec un homme en civil à côté du bar. Elle m’explique :
— Ce Monsieur est le gérant de cet établissement, il nous propose de danser sur le bar. On aura la moitié des gains et ensuite, on trouvera plus facilement des clients.
Elle appelle Julien qui sort de sous une table. Il a eu quatre clients. Sans doute des éjaculateurs tardifs ! Elle lui annonce :
— On va danser sur le bar.
— Oui, Ailla.
Le gérant parle avec la barmaid, qui débarrasse un coin du bar. Ensuite, elle met une musique rapide, genre disco. On monte sur un tabouret puis sur le bar. Les spectateurs doivent avoir une vue imprenable sur notre intimité. Il y en a qui sifflent déjà. Cool... n’oubliez pas le fric, les gars. On danse en balançant nos seins et nos fesses et Julien sa minuscule bite. Nous le prenons entre nous. On danse comme ça un moment, puis on refait face aux spectateurs. Quelqu’un dit quelque chose en chinois, puis un autre en anglais :
— Regardez le gamin, il bande.
Les spectateurs sont ravis, ils crient, rigolent et se moquent de lui. Le pauvre... Non, je rigole. Enfin, pour autant qu’on puisse rigoler ici. Ailla me chuchote :
— On va faire semblant d’avoir peur de sa bite.
Pas évident, en dansant. On se recule en prenant un air effrayé devant son tout petit engin, qui ne ferait pas de mal à une souris femelle, ou mâle, d’ailleurs. Les spectateurs sont ravis. L’un deux nous dit :
— Il pourrait vous baiser une narine.
Pas faux ! Ailla a une nouvelle idée :
— On se tient par les épaules et on danse le french cancan.
D’accord c’est tout à fait ridicule de faire ça sur une musique disco, mais ça marche, des petits billets atterrissent sur le bar. Il faut dire qu’ils voient en gros plan ma chatte épilée, la chatte rousse d’Ailla ainsi que le petit service 3 pièces de mon époux... La barmaid diminue le son. Ouf ! Nous sommes épuisés et en sueur. On salue en se tenant par la main, comme au théâtre. Le gérant nous dit :
— Allez dans la salle, vous aurez des clients. La barmaid garde votre part de l’argent gagné.
Eh ! C’est notre argent ! Mais bon, on la ferme, que peut-on faire d’autre ? Nous avons des clients, c’est vrai. Ailla et moi, on est appelées par des hommes et Julien... par des hommes aussi. Comme pour lécher une chatte, une fellation sous une table ne permet pas beaucoup de fantaisie. On suce, tout en masturbant et puis on avale et on reçoit des billets... J’en ai une petite poignée dans ma main moite.
Ça n’a l’air de rien, mais danser, sucer... c’est fatigant. Je suis toute contente lorsque je vois Ailla et Julien discuter avec Madame Lóng. Je les rejoins pour donner le petit paquet de billets. Elle prend l’argent et s’en va sans un mot. Elle est redevenue muette. Ailla râle :
— Quelle sale garce, on n’a même pas de quoi se payer un verre ! Je vais arranger ça.
Elle s’approche du gérant pour l’embobiner. Elle lui montre les touffes de poils de ses aisselles en disant quelque chose qui le fait rire. Cette fille est un génie. Je ne comprends pas comment elle se retrouve ici. Le gérant lui caresse les fesses. Elle le fait rire à nouveau, puis revient pour nous annoncer :
— On a droit à deux verres chacune et un truc à manger...
Je ne peux pas m’empêcher de lui dire :
— Ailla, tu es un génie !
— Si c’était vrai, je ne serais pas ici.
Elle n’a pas tort... On va chercher des boissons au bar. La barmaid nous sert quatre verres en précisant que c’est du Nuomijin, un vin de riz.
Ailla et Julien demandent des chips et moi, un bâton de chocolat. La barmaid nous donne la bouteille, ce qui fait six verres en tout. Elle nous dit :
— Vous avez 15 minutes, on ferme à 10 h.
On boit, on mange... Ça fait trop de bien d’avoir des choses délicieuses en bouche, plutôt que du sperme.
À suivre.
Un grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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J'ai raconté ici ma première expérience avec Stéphanie, ma première domina. Une grande femme d'1m85, blonde, cheveux aux carré, dotée d'un corps magnifique. Depuis, nous avons joué de temps en temps et nous restons en contact. Mais depuis 2 mois, je vis une relation extrêmement troublande avec Claudia (Claude de son vrai nom). C'est un trans opéré en haut et en bas. Notre rencontre fût assez glauque, une plage échangiste de la région où elle m'a abordé au millieu des pins "pour me sucer". Claudia, ma trans domina, est un homme à la base de 38 ans. Il y a 10 ans elle s'est fait opérée et est devenue la femme d'aujourd'hui, sublime transsexuelle. C'est un petit bout de femme d'1m65, la poitrine "généreuse", un corps de Betty Boop, de belles fesses féminines, mais les hanches ne sont pas dessinées, ça reste un corps d'homme. L'ensemble reste trés féminin, c'est à s'y méprendre. Une jolie petite femme cheveux mi longs chatain clair aux yeux bleux et un visage d'ange, hyper féminin. Depuis 2 mois, nous nous voyons régullièrement, passons des semaines ensemble . Sexuellement, le seul problème, c'est sa chatte. Visuellement on est trés proche d'une chatte réelle, sauf qu'il n'y a aucune lubrification. Comme je suis un grand amateur du cunnilingus, il me manque ce goût unique qui fait mon bonheur, celui de la cyprine. Nectar ultime de la femme qui m'emporte telle une drogue quand mon visage s'innonde de ce met délicieux. Je suis bouleversé par Claudia, car nous avons des sentiments mutuels et partagés. Je ne me sens pas homo quand je lui fais l'amour ou quand je lui dit "je t'aime". A mes yeux , c'est une femme. Elle est pleine de tendresse, d'affection, d'intensité sexuelle ...bref, c'est pour moi la femme parfaite, mais c'est un homme. Et c'est ce qui la bouleverse à elle aussi. Elle me confiait que j'étais le premier homme à ne voir que la femme en elle. Le fait de la tenir par la main ou par la taille en public, elle se sent femme. Je l'ai présenté à mes amis, à ma famille, personne ne se doute de sa véritable identité. Je l'ai présenté à des collègues de travail (milieu trés masculin, brutal, plein de testostérone), et ça m'a fait sourire les commentaires aprés la première rencontre "elle est super bonne, tu dois bien t'amuser"..si ils savaient..LOL !. Sexuellement, avec Claudia, ma domina trans, c'est du "VANILLE, PLUS PLUS". Comme elle connaît parfaitement le corps de l'homme, autant dire que ce ne sont pas des fellations mais bel et bien l'hymne à l'amour d'une bouche sur le sexe d'un homme. Jamais rien connu de comparable. Des orgasmes de folies qu'elle m'offre à chaque fois. "je te suce comme je t'aime" voilà ses mots, et c'est grandiose. Parfois elle vient titiller ma prostate avec ses doigts de fée . Et comme elle est dotée d'une prostate aussi, elle sait me carresser comme aucune domina ne l'a jamais fait, un paradis. Je ne compte pas les orgasmes que j'ai connu rien qu'avec ses doigts, sans me toucher le sexe...pure folie. Mais Claudia n'a jamais voulu utiliser un gode ceinture avec moi . "je suis devenue une femme, c'est pour me comporter comme une femme, pas pour sodomiser un homme". Ce sont ses mots, et je les ai compris et acceptés. Il y a peu, Stephanie m'a recontacté, ma première Domina. J'en avais parlé à Claudia, je lui avais dit que je pratiquai le SM. Claudia a voulue rencontrer Stéphanie. Ce fût fait, elles se sont trés bien entendue, et elles connaissent toutes deux la réalité sur l'autre. Le jour de mon anniversaire, Claudia m'a organisé une soirée, avec Stéphanie, sans me prévenir. Nous étions en train de prendre l'apéritif, le soir avec Claudia, et la sonnerie a retentie. "Voilà ma surprise", et elle a ouvert la porte. Stéphanie est entrée, toujours aussi phénoménale physiquement, et elle portait la jolie robe moulante qu'elle avait lors de notre premier rendez vous. J'ai compris que j'allais être mangé tout cru par ces deux femmes. On a pris un apéritif, et elles m'ont annoncé la couleur. Comme je ne pratique plus la soumissions depuis que j'ai rencontré Claudia, elles m'ont annoncé que je serais " l'homme objet" de la soirée, qu'elles allaient s'occuper de moi . Pas de fouets, pas de violences, mais au programme, pince à tétons, pinces sur le corps, et beaucoup, beaucoup de tendresse. J'ai eu du mal à comprendre comment elles allaient procéder, mais je me suis laissé porté. Sur le canapé, je fût envahi de caresses, des gestes tendres, mais sans équivoque. l'une passait parfois derrière le canapé, me serrant doucement par le coup pour m'embrasser, pendant que l'autre me caressait le sexe à travers le pantalon. Plus d'une heure de ce petit jeu, puis Claudia bascula le canapé en lit. Là ce fût le début de l'aphotéose. Elles me déshabillèrent avec douceur, me prodiguant carresses et baisers pendant que l'autre me mettait les pinces à tétons. Elles échangèrent leurs places plusieurs fois, l'une dans la douceur pendant que l'autre me mettait des pinces sur tout le corps, chacune leur tour. J'étais à leur merci, l'homme objet parfait, complètement passif, je me laissais porter par le désir de ces deux femmes. Puis elle m'attachèrent les mains au canapé, j'étais sur le dos, je devenais le jouet . Là, Stéphanie s'assis sur mon visage. Claudia me dit "je t'offre ce breuvage, lêche la jusqu'à ce quelle jouisse, nourrit toi mon amour". Ce fût un vrai bonheur, Stéphanie frottait son hymen sur mon visage pendant que ma langue cherchait à s'abreuver de chaque goutte de sa cyprine délicieuse. En même temps, elle tirait sur les pinces un peu partout sur mon corps. Brûlures délicieuses qui faisaient tendre mon sexe avec une intensité peu commune. Puis j'ai senti les doigts de ma petite fée s'offrir la voie de mon anus. J'étais complètement déboussolé. Je me délectais de la chatte et de l'anus de Stéphanie, pendant que Claudia me pénétrait avec ses doigts pour me carresser ma prostate. Je n'ai pas tenu plus d'une minute, ce fût l'explosion, l'orgasme de folie. J'en avais mal à la tête tellement c'était puissant. Elle me détachèrent, et se sont collées contre moi, nue toutes les deux. Un vrai bonheur. Elles m'enlevaient les pinces en tirant un peu dessus... histoire de bien me faire monter en pression, mais m'innondaient de carresses et de baisers en même temps... A ma grande surprise, une deuxième érection arriva au bout de 15 mn de ce doux suplice. Elle se sont redressée toutes deux , se sont regardées d'un air malicieux et Claudia a dit " on recommence", elles ont éclatées de rires, se sont embrassées, se sont caressées leur poitrines et m'ont rattaché. Claudia a demandé à Stéphanie de se mettre sur moi, de se faire pénétrer pour qu'elle mouille sur mon sexe, elle voulait se faire pénetrer elle aussi aprés, connaître cette sensation de la cyprine sur ma bite dans sa chatte. Alors Stéphanie s'assis sur mon sexe, elle bougeait dans tout les sens. Sensation que j'avais oublié d'une chatte chaude et humide, un vrai délice. Pendant ce temps, Claudia me titillait la prostate avec douceur et fermeté. Puis Stéphanie se coucha complètement sur moi, cambrant ses fesses et demanda à Claudia de s'occuper aussi de son anus. Elle s'éxécuta avec plaisir. Je sentais Stéphanie apprécier la carresse anale. Sensation folle de prendre une femme et de sentir nos anus se faire carresser par une autre. Instant doux et délicieux. Je sentais la cyprine couler sur ma verge, j'avais oublié cette sensation merveilleuse. Stéphanie se releva doucement, elle se retourna vers Claudia et dit "à toi maintenant". Là, Claudia s'empalla sur mon sexe, et j'avoue que ce fût une sensation unique et trés agréable. Ce sexe qui d'habitude doit être lubrifié artificiellement, c'est empallé avec une naturelle douceur. Magnifique. Stépanie, pendant ce temps, s'est équipée d'un straponme. la fête allait commencer. Elle est revenue avec du lubrifiant. J'étais allongé, attaché par les mains, elle me releva les jambes, me mis du lubrifiant dans l'anus, et commença à me pénétrer. Ce ne fut pas trés facile car mon anus s'est un peu refermé depuis 2 mois de non pénétration, mais elle y arriva rapidement. Là mon souffle commençait à accélérer. J'avais un peu mal, mais j'ai connu bien pire (LOL). Stéphanie carressa l'anus de Claudia, lui mis du lubrifiant à elle aussi, et elle la pris par l'anus à elle aussi. La scène m'exitait tellement, voir la complicité entre les deux, que j'allais exploser. Mais j'ai réussi à contrôler à ma grande surprise. Claudia ne tardit pas à jouir (oui, elle ne jouit que par l'anus, ça ne surprendra personne). Elle s'écroula sur moi, en sueur, les yeux pleins d'extase, me serra contre elle , m'embrassa. Je sentais ses mains glisser entre ses cuisses. Elle repoussa le gode ceinture pour introduire mon sexe dans son anus; Elle demanda à Stéphanie de venir en moi avec le gode ceinture; Là ce fût terrible pour moi. Première fois que je sodomisais une femme (enfin disons ça comme ça) tout en me faisant sodomiser par une autre femme. ça n'a pas duré trés longtemps, tout au plus quelques minutes. l'orgasme fût tel que j'ai crié. Malgré ma réaction, elles ont continué à me pénétrer doucement, Claudia faisant de grand mouvement avec son bassin de manière à ce que mon gland soit complètement écrasé dans son anus, je n'en pouvais plus . A ce petit jeu qui n'a pas dû durer plus de trente secondes, j'ai eu un deuxième orgasme sans pour autant avoir éjaculé. Mon corps était raidit comme une planche, mes jambes tremblaient , comme tétanisées. Elles se sont retirées toutes les deux, m'ont détaché, essuyé mon corps plein de sueur. Elles m'ont essuyé le sexe avec des lingettes, j'étais complètement KO. je ne pouvais plus bouger, je voulais juste me mettre sur le coté et dormir tellement j'étais épuisé, tétanisé. Elles sont allé se doucher toutes les deux. J'entendais leur fou rires, et elles se carresaient sous la douche, mais je ne pouvais plus bouger. Au bout de 20 Mn elles sont revenues, toutes fraîches, m'ont pris par la main et m'ont mis sous la douche. j'ai eu droit à une douche à 4 mains, des caresses toutes douces, des baisers, beaucoup de tendresse. Nous avons repris un apéritif ensemble , avons mangé et discuté. Nous avons passé la nuit ensemble, à 3 dans le même lit. Ce fût magique. Depuis, je sais une chose. Au delà du fait que Claudia soit un trans, c'est une femme extraordinaire. Nous savons que notre relation ne durera pas. mais les sentiments sont vrais, réels, et nous nous apportons chacun quelque chose qui nous sera utile dans notre vie future. J'ai adoré être un homme objet, et je sais aujourd'hui que je ne serais plus jamais un soumis. C'est terminé pour moi les domina, par contre j'offrirai encore mon anus, ça c'est certain. Mais à une femme, pas une domina; Par contre, je dominerai encore, mais d'une manière plus douce, plus intense dans les carresses, ça je continuerai...Merci la vie , merci pour les rencontres que j'ai faites, merci pour cette rencontre bouleversante d'une femme-homme qui a plus de féminité en elle que la majorité des femmes que j'ai rencontré dans le passé.
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Mia O. Propriété de Maitre G.
Carnet de soumise. Extrait
J 002 - Séance 00
Sujet : Naissance - réponse: master's side
Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - illustration du net
…
Mia.
Je suis arrivé là.
Sur les hauteurs.
Au bord de la mer.
Un détour dans mon voyage.
Loin de toi.
Ces terres sont d’anciens marécages.
Édouard 1er, roi d’Angleterre, les a acheté en 1284 pour y bâtir un petit fort.
J’y ai posé ma roulotte, juste à côté.
Près d’autres voyageurs.
Ma cigarette allumée, mon visage face au vent de la mer, les yeux fermés.
Le vent a soufflé fort.
Les yeux fermés, il m’a transporté au fond du campement.
Dans la vielle roulotte.
De bois et de fer.
Celle de la diseuse de Bonne aventure.
Un parchemin vierge et quelques crayons gras sur la table.
Elle resta sans me regarder, sans me dire bonjour.
Le regard absent.
Elle dit :
« Assieds-toi voyageur !»
« Que veux-tu ? »
Surpris.
Sans dire un mot, je m’assis.
Puis lui demandai :
« La gitane andalouse…………..…que disait son regard ? »
Elle prit une grande inspiration.
Ferma les yeux.
Longtemps.
Les ouvrit et commença à dessiner.
Elle me répondit :
« Quand tu l’as croisé pour la première fois il était méfiant.
Il était celui du jasmin qui voit des cactus partout !
La peur du Biznaga.
Il était distant.
Presque méprisant.
Qu’est-ce que c’est que ce bonhomme ?
Pour la protéger, Il cachait ce qu’il voyait à l’âme du corps qui le porte.
Ensuite tu l’as servi.
L’as respectée.
Lui as montré l’attention que tu portes à l’autre.
Il s’est senti en confiance.
Il t’a montré à l’âme qui le porte.
Lui et son âme ont accepté de jouer avec toi comme le chat joue avec la souris.
Tu as excité sa curiosité.
Puis il t’a vu vivre la musique.
Comme on regarde le danseur de flamenco.
Il a vu ton duende.
Comme disait Federico Garcia Lorca, Il a vu celui qui chemine sur l’eau et à l’intérieur d’une flamme.
Son âme lui a dit qu’elle voyait ton monde.
Qu’elle voulait y rentrer.
Mais ces yeux avaient peur.
Ils ont fait confiance à l’âme.
Son âme a lu en toi.
Vous avez dansé.
Alors Il se sont fermés, pour que l’âme te voit sans filtres.
C’est là que tu as pu, à ton tour, lire son âme.
Tu t’es glissé en elle.
Tu l’as goûtée.
Tu l’as trouvée bonne.
Elle a eu peur.
Ça faisait longtemps qu’on ne l’avait pas touchée cette âme !
Puis tu l’as respectée.
Tu t’es écarté pour lui montrer que tes doigts n’était pas un geste charnel.
Mais un geste d’amour.
L’amour du maître.
Que tu étais un fauve aussi.
Mais que tu cherchais une lionne.
Pas une proie.
Que tu n’avais pas faim.
Ses yeux se sont ouverts.
Le regard a fait les yeux noirs.
Il n’a pas compris.
Mais l’âme du corps qui le porte, elle, a compris.
Elle avait rencontré quelqu’un qui pouvait rentrer en elle.
Avec amour et sincérité.
Sans risque, et sans danger.
Qui pouvait la comprendre et l’accepter sans la juger.
Et l’aimer pour ce qu’elle était.
La guider aussi.
Avec sagesse.
La sagesse du lion.
Tu t’es assis à côté d’elle et lui as pris la main.
Son âme a dit à son regard de ne pas avoir peur.
Que cela paraissait impossible mais que c’était possible.
Qu’il fallait absolument vivre ça.
Elle a pris le contrôle du regard.
Depuis ce moment-là son regard est l’expression de son âme.
Il répète tout ce qu’elle dit.
Depuis ce moment-là, lui et l’âme du corps qui les porte, disent qu’ils veulent que vos âmes se mêlent.
Elle t’a suivi dehors pour ça.
Tu l’as pénétrée.
Là son regard disait à quel point elle ne comprenait pas.
Mais aussi que c’était bon d’être mêlé à toi.
Comme toi, elle aurait voulu que tu restes au fond d’elle.
Pour l’éternité.
Plus tard dans ton rêve tu étais à Malaga.
Dans une cave.
De pierre et de fer.
Près d’une mecedora, elle s’est agenouillée.
Son regard t’a dit que son âme veut t’appartenir.
Que son âme veut que tu la possèdes.
Qu’elle soit tienne.
Dans ce rêve, tu l’as appelé « Mia ».
Mais tu n’as pas encore fait ce rêve.
Sois patient.
Voilà ce que disait le regard de la gitane andalouse jeune homme.
…
En même temps qu’elle parlait, elle dessinait.
Elle roula le parchemin et me le tendis.
« Pars maintenant »
L’embrun de la mer sur mon visage m’a ramené devant ma roulotte.
Ma cigarette était terminée
J’ai aimé fermer les yeux et penser à toi Mia.
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Mia O. Propriété de Maitre G.
Carnet de soumise. Extrait
J 000 - Séance 00
Sujet : Naissance - submissive's side
Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Photo du net
…
Aujourd’hui je me rends là-bas autrement 😚
Grâce à lui.
Mais ce jour-là.
A contre cœur.
Deux heures de route pour un anniversaire.
Dans cette ville maudite pour moi.
Les 50 ans d’une collègue de travail.
Exceptionnellement mon « grand patron » sera là aussi.
Venu de loin pour cette occasion.
J’aime beaucoup mon grand patron.
Il a toujours été présent pour moi.
Amicalement.
Ma copine est quelqu’un de sympa.
Mais pas assez proche pour que je me désiste au dernier moment.
Quelle Galère.
Pourquoi j’ai dit oui ???
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pffffffff…
Parce que c’était écrit…parce qu’on ne peut pas lutter contre le destin.
Je suis vraiment trop gentille.
Et le destin m’a fait un vrai cadeau.
…
Vingt-heures.
Même pas envie d’être là.
Que des inconnus.
Pas encore assez forte pour affronter des gens.
Être agréable comme le gens l’attendent de moi.
Une bonne copine, c’est tout.
Je ne connais pas vraiment les autres.
A part un ou deux.
Des collègues de travail qui gardent beaucoup de distance avec moi.
Être veuve est très handicapant.
Les gens ne savent pas comment vous aborder.
C’est incroyable !
Et insupportable aussi.
Je sens que je vais m’ennuyer sévère.
Ça va être long, très long…je vais me coucher dès que je peux.
Je suis trop gentille.
J’aurais dû m’écouter et prendre un hôtel.
Tout ça pour faire plaisir !
Je dois apprendre à dire non !
Mais qu’est-ce que je fais là ?
Et puis c’est quoi ce type ?
Première personne avec qui j’échange après le magicien.
Un copain de la copine qui ne travaille pas avec nous.
Un mec qui parle beaucoup.
Trop sociable pour moi.
Je n’ai pas envie de parler, ni de connaître personne.
A part ma copine, lui ne connaît personne du tout.
Comme moi.
Un autre invité par compromis.
Pourquoi il me parle ?
Je vais être obligée de lui répondre…
Non…tactique « je bouge » … changement de groupe.
Je ne suis pas capable de rentrer dans une discussion, ni parler de moi.
Je ne veux rien partager, je suis fermée au monde entier.
Quelques mots.
Quelques cigarettes.
Encore lui !
On est plus de cinquante ce soir.
Mais pourquoi il me parle ?
Ma copine a dû lui dire de s’occuper de moi.
Ça me fait chier grave.
…
Finalement il m’amuse.
Je commence à le trouver sympa.
Très sympa même.
Je suis invitée et je dois bien me comporter.
On va juste passer le temps avec diplomatie.
Après tout, amusons-nous !
Qu’est-ce qui m’arrive ?
Pourquoi envie de m’amuser ?
Très longtemps que je ne me suis pas amusée.
…
Vingt-et-une heures.
Et paf, assis à côté de moi. 😂😂😂
Tout le repas.
Ça me fait rire comment il me tourne autour.
Par fatalité ou stratagème, je ne sais pas.
Stratagème c’est sur 😜 !
…
Je suis transparente.
Il est payé pour me parler, je ne peux intéresser personne.
Un coup de ma copine !?
…
Finalement, il va rendre ma soirée agréable.
Très agréable.
À moi, mais aussi aux convives qui sont à table avec nous.
Continuons de jouer alors.
Ça m’occupe !
Puis il me prend ma bague et ma montre.
D’un simple petit jeu, il ôte tous mes boucliers.
Toutes mes armes.
Je ne pourrais pas m’échapper.
Une technique de lycéen, et qui marche toujours !
…
Mon accent espagnol à l’air de lui faire de l’effet.
Encore une fois.
Ça me blase.
Tout le monde me dit que je fais penser à Victoria Abril.
Jamais su si c’était l’accent ou le sex-appeal.
Je n’avais plus de sex-appeal.
Totalement frigide.
Pas grave.
Tout se déroule normalement.
Je comprends bien l’envie de me dire ça.
Les français aiment beaucoup Victoria.
Je ne peux rien faire avec mon accent.
…
Puis les petites attentions.
Sa façon de me parler est gentille.
La chaise qu’il glisse pour que je m’assois.
Même si je ne veux pas l’avouer, j’adore profondément.
Tous ce qui me plait arrive comme servi par un galant homme prévoyant.
Il est génial.
Son sourire, comme il bouge, comme il parle, c’est tellement bizarre…
J’ai l’impression qu’il me plait depuis cet instant.
Un vrai bon moment à table.
Je ne pouvais pas manger.
Lui oui.
Il disait que j’étais un petit oiseau 😅.
Il se lève plusieurs fois pour le vin. 😉👌
Il a vite compris que la petite bourgeoise voulait du vin blanc frais, alors on va la gâter…
Pourquoi ?
Pour me séduire ?
En fait il ne cherche pas à me séduire.
Il cherche quoi à ce moment ?
Rien.
Il est juste bien éduqué.
Raffiné.
Mais il est intouchable.
Totalement.
Les mots des autres ne changent absolument rien à ce qu’il est.
Ricochent.
Il « est » juste lui.
Imposant.
Il s’assure avec attention que le vin est à température pour moi.
Parfait !
Ça fait vraiment plaisir.
Ces attentions me touchent.
Oui ça me touche beaucoup.
Un petit sentiment de bien-être.
Loin de ma vie, de ma vraie vie, loin de chez moi et de mes galères.
Une belle parenthèse 😌.
Bon, c’est quand même moi qui commande !
Eh oui, dans le sens ou ça commence là et ça s’arrête là, à la fin de la soirée.
En plus il est marié.
J’étais déçue quand il me l’a dit.
Très clairement.
Pourquoi être déçue ?
Je croyais quoi moi?
Un prince charmant, libre pour moi ?
Je suis et serai toujours innocente et romantique.
Tout va bien.
Encore mieux.
Pas de danger.
Aucun risque de tomber amoureuse.
Le seul risque est qu’il me vole ma montre et ma bague.
Ma bague.
Dernier cadeau de mon compagnon décédé.
Elle finit par être perdue ce soir-là.
Je ne lui ai rien dit.
Je ne me suis jamais fâché.
Comme si je voyais dans ce hasard un signe du destin.
La fin d’une histoire.
Le destin a utilisé cet homme pour perdre ma bague.
Pour me faire comprendre quelque chose.
…
Vingt-deux heures trente.
Spectacle de magie.
Je suis appelée à participer avec le magicien 😅.
Évidemment.
Tout ce que je n’aime pas…peur du ridicule.
Puis je m’assois pour regarder le spectacle.
Ma chaise a été préparée par lui.
J’espère l’avoir remercié et lui avoir donné un de mes meilleurs sourires.
Je ne sais plus.
Ma chaise à côté de la sienne.
En sécurité.
En temps normal j’aurais dit :
«Oooh, il ne faudrait pas qu’il me colle trop celui-là ! »
Et non.
Ça me faisait plaisir d’être accompagnée par ce gentleman 🌟
On était bien ensemble.
Comme d’hab.
Nous sommes toujours bien ensemble.
C’est comme ça.
J’attrape une cigarette.
Pas le temps de l’allumer.
La flamme est devant moi.
Le cendrier aussi.
Une canette de coca vide.
Tenue exactement où il faut pour que je m’en serve sans autre effort que déplier le bras.
Pire que ça, il allumait les clopes par deux.
Jusqu’au moment, plus tard dans la soirée, ou je lui ai dit que je ne pouvais pas le suivre.
Pas fumer comme lui.
Il est parfait.
Comme s’il voyait l’avenir.
Eh, peut-être le voyait-il déjà.
Mais que pouvait-il voir ?
C’est ma fragilité qui l’a séduit ?
Moi je sentais sa protection.
C’est lui qui a fait cette bulle autour de nous.
… un vrai Ange gardien 😇 ?
Plus tard je comprendrais que c’est là, dans sa bulle, sous sa coupe que je suis née.
Me servir de cette façon gênante.
Je ne suis plus habituée à être la princesse.
Servir pour se faire servir ?
Plus tard ?
Dans le temps à venir ?
Dans notre futur passé, dans notre futur présent et dans notre futur futur ?
Aujourd’hui, j’espère bien le servir longtemps.
Il aime ça et moi aussi.
Quelle chance ☺️ !
Bizarre ?
Non, simplement un mâle qui sent une femelle un peu faible, donc proie facile, pour une soirée ?
Il a dû penser « celle-ci je vais me la faire ! »
Un homme ça reste un homme, même si lui, c’est aussi un Ange 😜
Vingt-trois heures trente.
Ça danse un peu.
Heureusement les vins font leur effet.
Carpe Diem alors 😜.
Cela rend supportable cette mauvaise musique.
Je ne me rappelle plus la musique.
Juste lui existe.
J’eu un regard très complice avec mon patron.
Il ne comprenait pas notre proximité.
Mais les personnes intelligentes comprennent vite.
Il me sourit.
« Cette musique m’ennuie, viens, nous allons écouter la mienne »
J’ai adoré ce moment !
Partir derrière, tous les deux.
Comme des adolescents.
Seuls.
Me voilà de l’autre côté de la maison, à écouter de la musique sur un smartphone.
Tomorrowland en live… Armin…
Il doit penser : très prévisible cette femme, une de plus dans ma collection !
Qu’est-ce que je fais là ?
Pourquoi je l’ai suivi ?
Parce que j’en ’avais envie.
Vraiment.
Envie d’échanger avec cet inconnu un peu plus tranquillement.
Et paf.
Premier son.
La musique que j’aurais voulu entendre si on me l’avait demandé.
Ma musique …il est mon mec idéal !
Sa musique
Notre musique.
Magique…il me montre ce que je veux voir ou écouter… sans rien lui avoir dit.
Aujourd’hui c’est la même chose, ce que je rêvais il me l’apporte sur un plateau.
Son regard fasciné par le son.
Et le mien par l’ovni devant moi.
Je ne voulais plus fermer les yeux.
Pas perdre une seconde de sa compagnie.
Et nous deux au milieu de rien, qui nous ne connaissions pas il y a 3 heures.
A l’écart de la fête.
Oubliant le reste des invités…rien à cirer.
Je suis à l’abri dans sa bulle.
Incroyable, mais il me plaisait déjà.
Plus de patati patata.
Un langage soutenu.
Plus de superficialité.
Juste de la sincérité, de la profondeur.
Quelle merveilleuse soirée finalement.
Et lui qui me parle de l’âme de notre musique.
De son âme.
Je ne comprends pas
De la mienne.
Encore moins.
Je n’ai pas d’âme !
Qu’est-ce que c’est l’âme ?
Pas de sentiments non plus.
Je ne sais plus pleurer depuis longtemps et ça me fait de la peine.
Pour moi les larmes, c’est de l’émotion.
Si je ne pleure pas ce n’est pas un bon signe.
L’âme ?
Sérieusement ?
N’importe quoi ce qu’il raconte.
Je veux juste le regarder.
L’écouter, entendre sa voix.
Observer son sourire et sa personnalité.
Il me demande si je le « sens ».
En regardant son ventre.
Je ne comprends pas.
En regardant le mien.
Encore moins.
Ou je vais là ?
Je ne sais pas, mais j’y vais.
Je suis un peu effrayée.
Amusée.
Mais bousculée aussi.
Je ne comprends pas ce qu’il me dit, mais ces mots raisonnent en moi.
Indépendamment de ma volonté, il se passe quelque chose dans mon ventre.
Pas de papillon non…
Quelque chose me pénètre.
Je ne comprends ce qu’il me dit.
Je sens ce qu’il me dit dans mon ventre.
J’arrive à m’approcher de son cou et à lui dire :
« Tu es une bonne personne »
Je ne risquais pas grand-chose avec cette phrase.
Mais c’est la phrase qui est sortie.
Sans réfléchir.
Comment lui dire que j’avais envie de l’embrasser sur le cou.
De de le mordre.
De le bouffer.
Je me sens lionne.
Ça ne se fait pas… comment aurait-il réagit ?
Ben non, il ne « va pas se la faire celle-là ».
Il s’en fout.
Mon appétit s’aiguise.
Pourquoi je ne fuis pas le danger.
Je n’ai jamais eu peur de personne.
Je suis juste surprise qu’une étincelle ou un flirt puisse exister entre nous.
Et pourtant je me serais marié avec lui ce jour-là si j’avais pu !
Je suis toute passion ❤️🔥😅 !
L’alcool m’aurait ôté toute forme d’instinct de survie ?
Non, au contraire, je me suis accrochée à la vie.
L’alcool aide à se détendre oui, mais pas à faire des choses à contrecœur.
Je n’ai rien fait à contrecœur, je me rappelle de tout …ou presque 😅 .
…
Une heure du matin.
…
Deux heures du matin.
…
On ne voit pas le temps passer.
Cinq ou six heures que nous sommes ensemble au milieu de cinquante personne.
Dans sa bulle.
A l’abri.
C’est ça qui est vraiment magique.
Je dois avouer que finalement, il m’a plût dès le début.
Une aura puissante.
Juste le son de sa voix, un regard et plus rien n’existe autour.
Je veux que le temps s’arrête.
Que cette soirée ne se termine jamais.
…
Puis nous revenons avec ce qui est devenu « les autres ».
Nous dansons.
Un homme qui danse !
Mon rêve !!!
Il s’approche.
Uhmmm …c’est bon ça, je me sens bien.
J’adore être vivante !
Dans mon élément, la nuit, la piste de danse, et un petit peu d’alcool.
De toute façon je suis dans ma combinaison pantalon intégrale inviolable hypersécu.
Je pensais éventuellement à un bisou en partant….
Pas à ce qui allait m’arriver.
Mais tous ses gestes me plaisent.
Putain, il me plaît, ce con !
Au fond de moi « Hijo de puta !»
En espagnol, cette expression n’est pas aussi péjorative qu’en France.
Comme « Putain !», mais dirigé vers quelqu’un.
Il me plait vraiment.
En plus, pas de risque de main baladeuse grâce à ma combinaison de protection.
Juste une petite fente dans le dos.
Pas d’issue pour lui …hihihi !
J’ondule.
J’ai hâte qu’il me touche.
Au moins les cheveux.
Les mains.
Les bras.
N’importe.
Se toucher.
J’ai envie de lui.
Je vis la musique.
Heureusement qu’elle m’apaise.
Comme lui.
Il est parfait.
Comme lui ?
Oui il aime la musique 😍.
Ses yeux se ferment et s’ouvrent.
Il ne s’est pas approché.
Il danse !
Il ne me fait pas attention comme un homme le devrait !
Pas un homme ?
Il me séduit comme ça.
Je sais qu’il me regarde.
Il ne prendrait pas son temps comme ça s’il voyait de la concurrence autour.
Pas un chasseur celui-là !
Ou si… ? Un chasseur instinctif ?
Un loup peut être…oui, surement un loup avec ce regard… !
Il attend.
Il attend quoi ?
Juste quelques sourires.
On croise quelques regards profonds.
Très profonds.
Tellement fort le lien.
Un inconnu se sent obligé de me prévenir du danger :
« …Attention…il veut s’accoupler …»
Moi pas répondu.
Juste un sourire de remerciement.
Au fond de moi je ne rêve pas.
Au fond de moi, confirmation que peut être moi, j’ai envie, et que ça ne me fait pas peur.
Quelques temps plus tard, à force d’attendre, je me mets dos à lui.
Je me suis laissé aller…tant pis.
Tant mieux !
Nos corps se rapprochent.
Est-ce moi qui recule ?
Oui.
Est-ce lui qui se colle ?
Oui (auto-déculpabilisation, si si, il se colle, j’en suis sûre…)
Soudain son torse contre mes épaules.
Mon Dieu… enfin 😛 !
Nos bassins s’accordent.
C’est magique.
Ses mains sur mes hanches.
Je pourrais mourir, demain, après cette soirée 🤩.
Je vais exploser.
Je m’effondre sur lui.
Et pourquoi pas ?
Finalement je veux être dans ses bras plus que rien au monde ❤️.
Pourquoi ce lâcher prise ?
Parce que la nature est forte et que je suis un animal, tout simplement.
Je suis basique, c’est comme ça.
Nos âmes et nos corps veulent s’approcher.
Pourquoi ma tête se pose sur son épaule ?
Je veux être à lui.
Je le sais.
J’ai ce besoin en moi mais je ne sais pas comment ça s’appelle.
La naissance de quelque chose ?
J’ai envie de m’effondrer d’émotion dans ses bras.
Mon front contre son cou.
Je me love sur lui.
Et je danse.
La musique est le fils conducteur de notre jeu.
Sa main se pose sur mon ventre.
Mon dos posé sur son torse.
Je ne veux plus bouger.
« Montre-moi !»
On doit être un peu ivre tous les deux !
Oui, sûrement.
Que veut-il avec mon ventre ?
Je ne comprends pas ce qu’il veut.
Pas encore.
Je m’en fous, je danse !
Depuis un moment je ne danse que pour lui... je veux le séduire…instinctivement.
C’est moi la garce ;)
Sa main rentre lentement par la fente arrière au dos de ma combinaison.
Je sens cette sensation de bonheur…je me donne…je veux qu’il me possède.
Elle fait le tour de moi, par l’intérieur, comme une couleuvre et se pose à nouveau sur mon ventre.
Sur ma peau.
Je suis paralysée de bonheur.
Il me plaque contre lui.
Mes yeux se ferment.
Tendrement.
Sa main caresse mon âme.
Quelle douceur infinie.
Pas un geste de défense ?
Certainement pas ! Défendre de quoi ?
De la gentillesse un peu coquine… ?
Allons ! Je suis beaucoup plus ouverte que ça !
Je continu de me lover sur lui.
C’est mon corps qui parle.
Pourquoi ?
Parce que son corps me parle aussi, et parce que j’ai laissé mon âme parler.
Sa main sur mon ventre.
C’est très charnel et romantique.
Chose impossible, on dirait de l’amour.
Nous sommes bien.
Il n’y personne d’autre dans cette soirée.
Nous, au milieu de tous les autres.
Sa main est sous ma combinaison de protection !
Alerte ! Danger ! Danger ! Danger ! Danger !
J’ai bien entendu la sirène.
😂😂😂
Mais il ne se passe rien en moi.
Si !
Je danse.
On va faire languir le plaisir.
Je ferme les yeux.
J’ouvre les yeux.
Trop tard.
Le temps d’un battement de paupière sa main et dans ma culotte.
Sur ma chatte.
Je ferme les yeux.
Moi au milieu de tous mes collègues de travail.
Danser avec une main dans ma culotte.
Malgré ma combinaison de sécurité.
Et là, une seule envie.
Qu’il continu.
Exactement !
Qu’il continu !
Son doigt caresse mon clitoris.
A peine le temps de quelques allers-retours.
Je suis vivante ? Comment est-ce possible ?
Quelques allers-retours, le temps que je me tortille.
Que mon cul appui sur son bassin.
Que mon cul cherche sa queue.
Mes gestes sont juste ceux d’une femelle.
Je me frotte comme une chienne.
Pas longtemps.
La seconde qui suit.
Son doigt rentre dans ma chatte.
… il va vite !
Avec délicatesse et fermeté.
C’est bon ça !
C’est merveilleux.
Bien profond.
Je suis possédée.
Il est sûr de lui.
J’aime ça.
Putain ! J’aime ça!
N’importe quoi !
C’est quoi ce bordel !
Un éclair de lucidité.
J’ai plus de quarante-cinq ans.
Je suis au milieu de mes collègues à danser avec un doigt dans la chatte.
Sérieux !
Même pas le temps de me demander ce que je dois faire.
Cela n’a pas durer une minute.
Sa main sort de ma combinaison puis se pose sur mon épaule.
Il me retourne face à lui.
Me repousse vers l’arrière.
Me fixe profondément dans les yeux.
Très profondément.
Dominant.
La morsure.
Il me montre le doigt qu’il a mis dans ma chatte.
Le porte à sa bouche et le suce.
Le regard transperçant.
Le regard du lion.
En fait ce n’est pas moi qui m’amuse.
Je ne l’ai pas vu venir.
C’est lui le félin.
Un félin calme.
Posé.
Puissant.
En me regardant dans les yeux :
« Vas discuter avec tes copines maintenant ! »
Il me tue, je ne peux pas bouger.
Je le laisse me tuer.
C’est trop tard.
La morsure du fauve.
Je ne pourrais pas m’échapper.
Je ne le veux pas non plus.
Surtout pas.
Je comprendrais plus tard qu’il m’imposa de donner le change à mes collègues.
Que le « nous » ne nuise pas à mon image professionnelle.
Sa bienveillance.
Mais sur l’instant, je lui fis le pire regard.
Totalement noir.
Celui de l’andalouse en colère.
Mon sang.
« Hijo de puta !»
« Hijo de puta !»
« Hijo de puta !»
Me rejeter vers l’arrière !
Moi !
Comme ça !
Après m’avoir mis la main dans la culotte !
Dans ma chatte !
Mais mon regard devant le sien.
Mon regard devant le sien…
Mon regard n’eut d’autre réaction que de plier.
Plier.
Plier est le mot juste.
Instinctivement.
Baisser les yeux.
Et obéir.
Vouloir cela.
Obéir.
Se soumettre à lui.
Se soumettre comme le croyant devant dieu.
M’humilier devant lui comme le croyant s’humilie devant dieu lorsqu’il s’agenouille.
Instinctivement.
…
Moi.
Et patati et patata avec les convives … avec le feu dans ma culotte et mes tripes qui font n’importe quoi.
Lui.
Qui danse seul, sans me regarder une seule fois.
Et cela dure.
Et je bouillonne.
Ouragan à l' intérieur.
…
Quatre heures du matin.
Fin de soirée.
Discuter avec mon grand patron à six ou sept dans les canapés extérieurs.
La musique s’arrête.
Comme par magie, il réapparaît.
Il s’assoit dans le fauteuil à côté de moi.
Discrètement, caché par un grand accoudoir, sa main prend la mienne.
Ses doigts croisent les miens.
Je sens sa protection.
Je ne suis plus désarmée.
Il serre ma main.
Fort.
Mon cœur se serre.
Longtemps.
J’entends les collègues parler.
Au loin.
Qui s’éloignent.
Je ne suis pas là.
Longtemps.
Il serre fort ma main.
Jusqu'à ce que mon cœur s’arrête.
Et je sens.
Je sens.
Le sien bat pour nous deux.
Putain !
Je suis plus sur terre !
Je plane total !
Je suis en orbite !
…
Six heures du mat.
Tout le monde est parti.
Reste moi, lui, et ma copine chez qui je dors.
Impossible de se séparer.
Je ne veux plus jamais me séparer de lui.
Je le raccompagne à sa voiture.
Je suis un pot de colle.
J’aime être son pot de colle.
Un dimanche matin.
Personne.
Le bruit des oiseaux.
L’aube.
Dans la rue.
Je me glisse sur le siège arrière.
Je présente mon arrière train en gémissant, comme une femelle.
Généreusement, il me baise un peu sur les sièges arrière.
Je veux être sienne.
Qu’il me possède.
Que c’est bon.
Délicieux moment.
Je le suce un peu.
Je n’ai jamais eu envie sucer des queues.
Cela n'a jamais fait partie de moi.
Pourtant j’en ai envie.
J’en ai besoin.
Pourquoi ?
Je le suce un peu plus.
Plus tard je comprendrai que je ne savais pas faire.
Quand il m’aurait appris.
Mais c’était tellement bon.
Je trouve du plaisir.
Je veux qu’il aime que je le suce.
Qu’est-ce qui me prend ?
Je m’applique.
Il jouit.
Je lui fais du bien.
Je suis contente
Je suis salie de lui.
Normalement je déteste ça.
Vomitif.
Mais non.
Je suis contente d’être salie par lui.
Et puis son arrière-gout salé....
Pourquoi ?
J’ai lui ai servi à quelque chose.
Pourquoi est-ce si important pour moi qu’il jouisse ?
De lui être « utile » ?
Qu’est-ce qui me prend là ?
Je dois partir.
J’ai la route à faire dans 3 heures.
Fatiguée.
Je retourne à la maison.
Je me couche.
Puis je l’entends revenir.
Ça me fait rire, le petit voleur qui se faufile par-dessus le portail.
Et là, il me baise.
Pour de bon.
Bien profond.
Me rebaise.
Je ne dirai pas le mot baiser.
C’est trop tard.
Une petite amitié, ou complicité s’est installée.
C’est plus beau que baiser.
Baiser quand même.
Quand je me suis empalée sur lui.
C’était une nécessité physique.
Après l’excitation de l’avoir sucé de mon mieux.
Il mérite ça et tout ce qu’il voudra !?!?
Putain mais qu’est-ce qui m’arrive ?
Au futur ???
Non pas de futur entre nous.
Sans amour, donc baiser.
Que peut-il y avoir d’autre ?
Plus tard je comprendrais.
Il me sert fort dans ses bras.
Jeune homme ce n’est pas baiser ça !?
C’est faire l’amour.
Pourquoi me serres tu comme ça ?
Et il continu.
Vas-y !
Baises-moi encore.
Baises-moi.
« Hijo de puta ».
Que c’est bon ...
Pourquoi me serres tu comme ça ?
« Hijo de puta ».
C’est trop bon!
C’est surtout trop.
Je suis déstabilisée.
Puis il part.
Tremblements de terre dans mes entrailles !
Puis revient.
Par la fenêtre.
Me rebaise et me rebaise encore.
M’use la chatte.
Je suis une enclume.
Être son objet.
Utilises -moi !
Putain que c’est bon.
Il rugit fort.
Putain de lion !
…
Neuf heures trente.
Il part.
Je lui donne mon portable.
Comme on vend son âme au diable.
Mon diable.
Mon Maître.
Il me regarde.
Mon regard plie.
D'instinct.
Avec un soulagement.
Un sentiment de satisfaction.
De profonde fierté.
De liberté aussi. Et surtout.
Un sentiment d’appartenance.
La morsure du lion.
Ma soumission est née.
Ce jour-là.
Je l’aime depuis ce jour-là.
Je suis sa lionne.
Et je me donne à lui, je suis à lui, et je lui dois ma vie entière.
Me sens à lui.
Mon corps et mon âme.
Depuis ce jour-là.
Grâce à lui, je SUIS aujourd’hui ❤️
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La discipline, ce n'est pas juste des coup et des punition. La discipline, c'est la construction d'un moule pour changer une personne. Mais attention, il ne s'agit pas de n'importe quel moule. C'est un moule de l'esprit.
1- Bien choisir les règles : Le choix des règle est essentiel, en choisissant les bonnes règles, on peut avoir un impacte considérable avec très peu de règles. Par exemple, si je veux amener quelqu'un à être de nature docile, je peux lui fixer comme règle de toujours baisser la tête. A la fin de la journée il aura mal au cou... Ce n'est pas une bonne règle car elle n'utilise pas la structure de l'esprit. Je pourrai aussi lui demander de ne jamais donner son avis sur rien. Ainsi, ne pouvant donner son avis, il ne pourrait plus que se laisser entraîner par celui des autres et s’habituerait à tout accepter et à suivre ce qu'on lui demande. Évidemment cela peut sembler très amorale, ce n'est qu'un exemple, tout dépend de ce que l'on cherche.
2- L'effet papillon : dans le point 1-, j'ai donner un exemple de règle négative. On enlève quelque chose. L’intérêt d'enlever quelque chose, c'est de libérer une pare de l'esprit de la personne pour qu'elle puisse la réinvestir autre pare. Seulement voila, il est très difficile de contrôler où cette pare de l'esprit sera réinvestie. Il faut donc bien connaître la personne pour estimer ce qui va se passer. La plupart du temps elle réinvesti cette pare là ou c'était prévue. D'autre fois, il faut faire des réajustements.
3- Les réajustements : on peut faire une succession de règle négatives pour peu à peu obliger la personne à se réinvestir dans la direction choisi. c'est la méthode la plus simple à mettre en place et aussi la moins bonne... On peut aussi placé la personne dans un environnement qui agira sur son subconscient pour la pousser à s'investir dans la direction voulue. Par exemple, une femme artiste danseuse que l'on voudrait sublimé dans son art. On l'enfermerai, on la forcerai à vivre nue et on la placerai dans une école de danse, pleine de référence sur les mures et avec un grand miroir, on lui donnerai un accès illimité à la musique... Il est aussi possible de créer des règles positives (c'est un peu comme ça que marche la politesse pour rechercher la vertus). En gros, on dirait à la personne de faire certaines choses à certains moment, cela la conduirait comme une plante sur un tuteur a grandir dans la direction voulu.
4- La crédibilité des règles : pour que ça marche, il faut que les règles soient crédibles. Pour qu'une règle soit crédible, on peut s'appuyer sur deux ressors. L'engagement et le behaviorisme. L'engagement, c'est avoir tellement fait d'effort pour suivre une règle qu'on aurait l'impression d'avoir fait tout ces efforts pour rien si on arrêtait de la respecter. Il faut donc pousser le(la) soumis(e) au début à fournir tout ces efforts sans jamais s'éloigner des règles, après, l'engagement prend le relais. Le behaviorisme est beaucoup plus archaïque et couteus, on punie les eccart, on récompense les succès. Pour qu'il fonctionne, la punission doit être suffisamment désagréable voir traumatisante pour que l'on préfère respecter les règles la fois d'après. C'est une méthode dure et destructive mais qui donne une discipline d'une autre nature.
5- Gérer la chute : en fonction de la méthode choisi en (4-), les chutes sont différentes. Si c'est l'engagement qui a était utilisé, une seule dérogation à la règle peut tout ruiner. La personne est déprimé, elle se culpabilise et renonce a sa discipline comme pour se punir elle même. Bref il faut réagir vite et la réimposer tout de suite. Si c'est la méthode behavioriste qui a été utilisé, le dérogement à la règle ne sera pas aussi catastrophique, la punission suffira. Bref, vous l'avez compris, la technique behavioriste est plus coûteuse, destructive et nécessite un meilleur suivi que celle de l'engagement, mais elle donne aussi une discipline beaucoup plus robuste si on assure son suivi.
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Je m’appelle Amanda, j’ai 32 ans. 1m75 pour 68 kilos, un bon 95d et des fesses bien fermes. Mon petit truc en plus ? Et bien c’est ce que j’ai entre les jambes. Une grosse et belle queue de 20 cm. Et oui, je suis transsexuelle. Depuis que je suis née je me suis toujours sentie femme et il y a cinq ans, grâce à la chirurgie j’ai pu prendre l’apparence de ce que au fond de moi j’ai toujours été. Si entre les jambes je ne me suis pas faites opérer c’est parce que niveau sexe c’est beaucoup plus amusant d’avoir un corps de femme et un sexe d’homme. Au lit je pratique à peu près tout, mais j’ai une petite préférence pour les hommes, j’adore m’occuper de leur petit trou. Mon terrain de chasse c’est internet. On y trouve plein de personnes frustrées qui ont envie de nouvelles expériences. La plupart de mes partenaires sont des hommes qui n’osent pas avouer à leur femme qu’ils ont envie de se faire sodomiser.
Aujourd’hui je vais vous parler de Bruneau. il n’avait jamais avoué à sa femme sa bisexualité qu’il avait pendant longtemps refoulé. Mais ces derniers temps, il se sentait de plus en plus attiré par les hommes et nos longues conversations virtuelles l’ont incité à tenter l’aventure.
Nous nous sommes installés dans le salon où je lui ai servis un verre. Il était très nerveux, comme une vierge sentant son dépucelage proche. Nous avons un peu discuté de tout et de rien, j’essayais de le mettre à l’aise et puis j’en ai eu marre d’attendre et je suis passée à l’action. Je me suis agenouillée devant lui et avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, je lui ai défais son pantalon. J’ai saisi sa queue qui était déjà dure et j’ai commencé à la caresser. Il a durci entre mes doigts et je l’ai fait glisser entre mes lèvres. Bruneau s’est décrispé peu à peu pendant que ma langue découvrait son engin. Pendant que je le suçais j’ai commencé à me caresser. Je bandais déjà dure et je n’avais qu’une hâte, enfoncer ma queue bien au fond de son cul.
Quand je l’ai senti prêt, je lui ai demandé de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes. Complètement détendu il s’est exécuté. Ses fesses frétillaient d’excitation. Je me suis mise nue moi aussi et me suis mise en position derrière lui. J’ai attrapé le lubrifiant et j’en ai étalé sur son anus. Doucement, j’ai plongé mon pouce dans son trou tout serré. Je l’ai fait aller et venir et lorsqu’il a été plus ouvert, j’y ai ajouté deux doigts. Je préparais le terrain et faisais tournoyer mes doigts dans son cul. Il adorait ça et poussait de petits gémissements ce qui m’incitait à continuer. Et puis j’ai retiré mes doigts, j’ai généreusement lubrifié ma queue et d’un lent coup de rein je l’ai fait disparaître entre ses fesses. Au début il a eu mal, je l’ai senti parce qu’il s’est crispé, j’adore cela les soumets de les dépuceler, mais plus j’allais et venais dans son anus, plus il prenait de plaisir. Quand il a été bien habitué à mon calibre, je l’ai sodomisé plus fort et plus vite jusqu’à ce que mes coups de queue fassent claquer ses fesses contre moi. L’une de mes mains a glissé sur son ventre et j’ai astiqué son sexe tendu tout en continuant à lui éclater la rondelle. Il criait de plaisir, il me disait «Encules moi. C’est trop bon de sentir ta queue dans mon cul ». Ce qui m’encourageait à accélérer encore. Et puis tout à coup son sexe a gonflé entre mes doigts et il a giclé. Il était temps qu’il s’occupe de moi.
J’ai laissé quelques minutes à Bruneau pour qu’il reprenne ses esprits, puis je me suis allongé. Ma queue était tendu et j’ai attrapé la tête de mon partenaire pour la guider jusqu’à elle. Il l’a léché sur toutes la longueur et s’est attardé sur mes bourses encore pleines qu’il a aspiré dans sa bouche puis il a commencé à me sucer tout en promenant l’une de ses mains sur ma poitrine.
Au début il était maladroit, c’était la première fois qu’il avait une queue dans la bouche mais il était si gourmand que très vite il a trouvé son rythme. Ses lèvres montaient et descendaient sur ma bite qu’il faisait glisser jusque dans sa gorge et c’était trop bon, si bon que je n’ai pas pu me contenir longtemps et que j’ai déchargé dans sa bouche mais j’avais un préservatif.
Messieurs, si vous avez envie de sodomie et bien faites-vous plaisir. Et si vous n’êtes pas célibataire et que vous ne voulez pas tromper votre partenaire et bien les godes et les plugs sont faits pour vous ! Mais bon rien ne vaut une vraie queue !
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