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Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 23 : CLOÉ rencontre les handballeuses.
Extraits »… Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien…. Elle se rue sur la gamelle d’eau….C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle… Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle… La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre pattes ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public…. »
Cloé est un peu dépitée. Elle n’a plus de nouvelles de Sophie. Celle-ci ne répond plus au téléphone.
Cloé qui a de la suite dans les idées décide de pister Sophie.
Elle sait que Sophie s’entraine avec l’équipe de handball le soir au gymnase.
Ce soir-là elle entre dans le gymnase et va s’assoir sur les gradins en attendant de voir les joueuses.
Celles-ci arrivent mais pas de Sophie.
Cloé décide d’attendre et la fin de l’entrainement approche quand morgane la cheffe des handballeuses aperçoit Cloé dans son coin.
Elle jauge Cloé qui lui semble bien foutue.
Celle-ci la toise du regard.
Morgane se dit qu’elle lui ferait bien le coup des jeunettes.
Elle doit être canon à poil. Elle décide d’aller la voir de près.
Cloé voit cette géante s’approcher d’elle. Elle l’imagine à la place de Sophie.
Morgane lui demande ce qu’elle fait là. Cloé lui dit qu’elle est une copine de Sophie et qu’elle la cherche.
Morgane lui répond qu’elle ne sait pas où se trouve Sophie mais que si Cloé cherche une sportive elle peut lui en montrer.
Cloé a un sourire carnassier. Oui elle cherche une costaude pour m’amuser avec elle.
Morgane est tout à coup intéressée. Elle hésite à appeler les autres car elle n’est pas sure de garder la donzelle pour elle le soir.
Elle lui propose de se retrouver après l’entrainement à la sortie du gymnase. Cloé accepte.
A la fin de l’entrainement morgane est chaude elle se voit bien forcer cette pimbeche à lui obéir sexuellement.
Cloé est tout sourire. Elle propose à morgane de la suivre pour aller prendre un verre chez elle.
Morgane est ferrée. Elle suit la voiture de Cloé jusqu’à la propriété de cette dernière.
Morgane est sidérée par le luxe de la propriété de Cloé.
Celle-ci la prend par la main et lui fait faire le tour du propriétaire.
Morgane est admirative et elles se retrouvent dans un salon ou Cloé leur sert deux verres d’un cocktail très relevé.
Morgane est aux anges et va pour se jeter sur Cloé quand celle-ci lui dit.
Attend on va aller au sous-sol tu vas voir ma salle de sport tu vas kiffer.
Morgane hésite elle culbuterait bien la donzelle maintenant mais elle est quand même curieuse de voir la salle de sport.
Morgane émet un sifflement admiratif devant les accessoires de la salle de sport.
Cloé lui fait le tour du propriétaire.
Elle propose à morgane de tester les différents agrès.
Arrivées aux espaliers Cloé demande à morgane de se mettre dos aux espaliers et de se tenir par les mains le plus haut possible.
Elle caresse le ventre de morgane en même temps.
Celle-ci commence à être sérieusement excitée et fait ce que Cloé demande.
Je peux te bander les yeux dit celle-ci en caressant les seins de morgane.
Vas-y. Cloé lui met un bandeau tout en se frottant à Morgane.
Un dernier truc et je m’occupe de toi dit Cloé.
Morgane attend.
Elle sent que Cloé monte sur un tabouret juste à côté d’elle.
Morgane se dit je suis trop grande pour elle avec mes 1m85.
À ce moment elle sent simultanément deux objets métalliques contre ses poignets.
Avant qu’elle comprenne les menottes se sont refermées. Elle veut lâcher la barre de l’espalier et baisser ses bras.
La chaine qui relie les menottes passe autour de la barre et elle ne peut pas baisser les bras.
Détache moi connasse crie-t-elle.
Cloé lui répond tu rigoles on va passer du bon temps nous deux.
Morgane essaye à l’aveugle de donner un coup de pied vers Cloé. Son pied rencontre le vide. Elle recommence.
Une menotte se referme sur sa cheville au moment où elle veut reculer le pied. Puis elle sent que sa jambe est tirée sur le côté.
Elle résiste mais peu à peu Cloé gagne du terrain.
Au bout de quelques minutes la jambe de morgane est tendue sur sa droite.
Elle est en équilibre sur sa jambe gauche quand soudain une deuxième menotte se referme sur sa cheville droite. La jambe est tirée au maximum et maintenant le poids de morgane repose sur les menottes des poignets.
C’est trop douloureux et elle se maintient à une barre d’espalier avec ses mains.
Un collier est passé autour de son cou. Elle rue mais a peu d’espace pour ça.
Le collier est tiré des deux côtés et finalement elle a le cou immobilisé.
Elle sent deux mains s’affairer sur ses cheveux. Cloé lui fait une queue de cheval.
La queue de cheval est tirée vers le haut et fixée à l’espalier.
Morgane est complémentent immobilisée.
Une pince à linge est fixée sur son nez.
Elle doit respirer par la bouche.
Cloé dit alors. Maintenant je vais te mettre un bâillon tu vas ouvrir grand la bouche ou tu ne respireras plus.
Morgane hurle et ferme obstinément la bouche mais elle doit respirer et petit à petit le bâillon boule s’insère dans sa bouche.
Au moment où elle va suffoquer elle ouvre grand la bouche pour aspirer de l’air. Le bâillon pénètre de force et est solidement attaché.
Elle croit qu’elle va mourir asphyxiée mais la pince à linge est ôtée.
Elle peut enfin reprendre péniblement son souffle.
Cloé lui enlève le bandeau.
Tu vois qu’on peut s’amuser toutes les deux ici.
Morgane jette un regard venimeux. Voyons si c’est joli en dessous dit Cloé.
Elle sort de la pièce et revient avec un cutter.
Morgane panique.
T’inquiète pas je ne vais pas gâcher la marchandise dit Cloé en souriant. Elle taillade les vêtements de morgane qui en quelques minutes est nue comme un ver.
Bon début dit Cloé.
Elle relâche un peu la tension des cordes qui immobilisent se jambes et morgane peut enfin se reposer sur ses jambes.
Bon il est tard on se reverra demain. En attendant mon retour fait de beaux rêves.
Elle quitte la pièce en éteignant l’éclairage.
Morgane panique elle est immobilisée come une conne chez une folle et n’a pas l’intention de passer la nuit ici…
La lumière s’allume.
Cloé entre dans la pièce et lance un joyeux salut ma chérie bien dormi.
Morgane enrage. Elle est lessivée et à une envie de pisser pas possible.
Cloé voit qu’elle se tortille. Elle sort de la pièce et revient avec un petit pot et le place entre les jambes de morgane.
Vas-y dit-elle si tu pisses par terre tu vas le regretter.
Morgane qui n’en peut plus se laisse aller à sa plus grande honte.
Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien.
Morgane rue mais ça ne sert pas à grand-chose.
Cloé sort de la pièce et revient avec du matériel.
Morgane voit avec crainte que c’est du matériel bdsm.
Au bout de quelques minutes elle est à quatre pattes. Trois barres d’écartement l’empêche de se relever de ruer ou de lever les bras.
Elle peut juste marcher à quatre pattes avec très peu d’amplitude.
Cloé a accroché une laisse au collier et lui dit. Maintenant la douche et le petit dej tu dois savoir faim.
Morgane râle mais les coups de fouets ne sont pas retenus et les fesses violacées elle finit par accompagner Cloé comme un petit toutou.
Elle entre à quatre pattes dans la douche italienne et Cloé la frictionne vigoureusement. Son sexe n’est pas épargné.
Puis sans la sécher Cloé la conduit jusqu’à la cuisine.
Là, une gamelle pour chien est posée dans un coin. Une gamelle d’eau est juste à côté.
Je vais t’enlever le bâillon si tu ne parles et ne crie pas sinon c’est le fouet et pas de petit déj et bien sûr je remets le bâillon.
Morgane ne dit rien mais lorsque Cloé lui ôte le bâillon elle se met à crier salope détache moi tout de suite.
Les coups pleuvent sur tout le corps et le bâillon est replacé.
Cloé attache la laisse à un radiateur et prend son petit dej en regardant distraitement Morgane.
Tu es vraiment bien foutue dit-elle on va passer du bon temps ensemble. Ton corps est fait pour être enchainé tu feras une esclave superbe.
Morgane l’ignore mais la faim et surtout la soif commencent à la tenailler. Cloé quitte la cuisine et laisse morgane seule à quelques centimètres de l’eau et de ce qui semble être des flocons d’avoine.
Quelques minutes après Cloé passe la tête par la cuisine et dit. Je sors à plus tard ma chérie.
Morgane est désespérée. Elle finit par s’endormir sur le carrelage. Finalement c‘est plus agréable que d’essayer de dormir contre l’espalier.
Un bruit et c’est Cloé qui s’annonce.
C’est moi ma chérie tu as bien réfléchit. Il va être midi.
Si tu veux manger et boire il faut me promettre d’être sage.
Morgane la regarde méprisante. Alors ? reprend Cloé.
La soif est trop forte et morgane hoche la tête.
Le bâillon est enlevé.
Cloé lui dit en même temps tu ne parles que si je t’en donne l’ordre.
Morgane opine. Elle se rue sur la gamelle d’eau.
C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée.
Cloé met de la nourriture da sa gamelle. Ça se présente sous forme de bouchées.
Morgane finit par manger et terminer la gamelle.
Maintenant je veux te voir de près et bien exposée dit cloé
Elle détache la laisse et emmène morgane derrière elle. Celle-ci doit s’évertuer pour suivre le rythme.
Arrivées dans le salon Cloé fait coucher morgane sur le dos sur la table du salon.
Morgane doit faire des contorsions dans tous les sens pour y arriver, motivée par les coups de fouets qui pleuvent. Elle est déjà bien marquée.
Etape par étape Cloé lui attache les bras et les jambes aux pieds de la table.
Elle attache aussi les genoux pour lui faire écarter les jambes.
Enfin elle attache la queue de cheval et morgane a la tête immobilisée et ne peut que regarder le plafond.
Cloé admire son œuvre. Tu es vraiment musclée.
Tu as bien fait de me convaincre de t’inviter.
En même temps elle fouille le sexe de morgane sans ménagement.
Il faudra qu’on fasse une épilation définie dit-elle.
Elle pince le bout des seins de morgane suffisamment fort pour que celle-ci geigne.
Bon on va voir si tu es bonne dit Cloé. Elle lèche le sexe de morgane qui se contracte.
Voyant ce refus Cloé va chercher un vibromasseur et le pose sur le clitoris de morgane. Celle-ci essaye de ne pas penser aux vibrations qui excitent son clitoris mais lorsque Cloé insère un gros gode et lui fait faire des va et vient morgane sent de la chaleur monter de ses reins contre toute attente.
Son souffle devient plus fort et Cloé le remarque.
Elle continue le travail et finalement morgane ne peut s’empêcher de succomber à un orgasme.
Bien ma chérie tu me plais. Dit Cloé qui n’arrête pas pour autant de fouiller morgane.
Celle-ci sent que ça repart. Puis après un temps infini pour morgane qui est en feu Cloé lui applique sur la bouche un bâillon qui possède un mini gode qui se met dans la bouche et un joli gode qui se dresse droit au-dessus du visage de morgane.
Cloé scotche le vibro en fonctionnement sur la cuisse de morgane la tête du vibro bien positionnée sur le clitoris et vient chevaucher le gode sur la tête de morgane.
Elle dit aujourd’hui tu n’as pas le droit de me brouter mais t’inquiètes pas tu te rattraperas.
Après un bon moment Cloé se retire. Mais elle laisse le vibro agacer morgane qui sent qu’une nouvelle fois elle va partir.
J’ai changé les piles ne t’inquiètes pas ça va tenir encore au moins une heure.
A toute ma chérie et elle quitte le salon laissant Morgane le gode toujours érigé sur sa tête et le vibro en fonctionnement.
Un peu plus tard Cloé revient.
Bon tu es pas mal mais il faut que je te vois bien debout.
Tu vas faire une belle statue dans l’entrée.
Elle libère en partie morgane qui se retrouve bientôt les mains menottées dans le dos la laisse du collier accrochée à une rambarde d’escalier.
Elle doit se tenir debout presque sur la pointe des pieds la tête face à l’entrée.
Très bien lui dit Cloé tu feras sensation lorsque des invités viendront ici. Morgane est figée c’est quoi ce délire se demande-t-elle.
Le repas du soir est plus tranquille. Morgane mange dans sa gamelle et Cloé n’a pas beaucoup d’occasions de manier le fouet.
Il est l’heure de dormir dit Cloé.
Elle met un deuxième collier à morgane. C’est un collier anti-aboiement très efficace et ne t’avises pas de parler ou crier car ça frite pas mal car il est programmé sur apprentissage dit Cloé.
Elle emmène morgane toujours à quatre pattes dehors. Vers une grande niche à chien.
Dans la niche il y a une couverture et Cloé attache le collier de morgane à une chaine reliée à un solide piquet elle sécurise le tout avec un cadenas.
Bonne nuit ma chérie demain on commence le sport.
Morgane est désespérée elle se demande comment elle va sortir de là. Elle finit par s’endormir après avoir pisser comme une chienne.
Le lendemain morgane fait la connaissance de la carriole et aidée par des coups de fouets non simulés elle promène Cloé pendant plus d’une heure.
Ensuite elle est promenée dans différents endroit de la maison et Cloé s’en sert comme déco.
Debout, à genou, les jambes écartées à l’extrême dans des positions suggestives qui amusent Cloé au plus haut point. Le repas de midi se passe sans coups de fouet.
L’après-midi morgane est amenée dans la salle de sport.
Cloé lui explique. Je veux que tu gardes la forme et même que tu sois plus musclée.
Pour ça j’ai programmé les matériels. Tu dois réaliser les nombre de répétitions qui sont programmées sur chaque appareil.
Lorsque tu auras fini tu te mettras ici.
Elle lui montre un point au centre de la pièce.
Et tu te mettras ça.
Elle montre un ensemble de quatre menottes qu’elle lui fixe aux poignets et chevilles. Elle défait le reste des liens sauf le collier anti aboiements.
N’essaye pas de sortir la porte est blindée. Si tu fais bien tes exercices tu pourras manger ce soir sinon c’est un coup de fouet par répétition manquante sur chaque appareil.
Si tu ne remets pas ça elle montre les menottes je ne t’ouvre pas la porte. Cloé lui souhaite un bon entrainement et quitte la pièce.
Quelques secondes après un clic se fait entendre les quatre menottes se sont déverrouillées certainement pilotées à distance.
Morgane est enfin libre.
Elle se rue vers la porte pour tenter la résistance.
Rien n’y fait.
Alors elle décide de tout casser pour essayer de trouver une barre de fer ou quelque chose d’équivalent pour défoncer la porte.
Elle va vers les appareils et détruit tout ce qu’elle peut.
Pendant deux minutes elle massacre deux appareils et va vers le troisième quand la lumière s’éteint.
Presqu’aussitôt le courant est coupé dans les appareils.
Elle est dans le noir absolu.
Elle cherche à tâtons les appareils suivants mais elle prend conscience de l’inutilité de ses actions.
Elle s’assoit en tailleur et attend.
Elle attend pendant des heures et aucun bruit ne se fait entendre.
Elle commence à avoir soif et à être fatiguée .elle s’endort sur le sol.
Elle dort mal et quand elle se réveille sa gorge est sèche comme un parchemin.
Toujours aucun bruit. Elle crie pour se faire entendre et insulte autant qu’elle peut Cloé en lui promettant mille morts quand elle la rattrapera.
Le temps passe très lentement elle a l’impression d’être là depuis des jours.
Elle ne veut pas mourir de soif et appelle Cloé.
Ok je me calme j’ai soif s’il te plait.
Une voix se fait entendre derrière la porte.
Tu boiras quand tu auras mis tes menottes.
La lumière s’allume. Morgane va tambouriner à la porte et essaye vainement de la défoncer. Rien n’y fait.
Elle veut bluffer et fait semblant de verrouiller les menottes et crie ça y est j’ai mis les menottes.
Pas de réponses.
Une bonne heure passe morgane ne tient plus de soif et de rage.
Elle finit par fermer les menottes.
Aussitôt la porte s’ouvre.
Cloé entre le visage mauvais, le fouet à la main.
Elle fouette longtemps morgane qui se tortille comme un ver pour essayer vainement d’esquiver les coups.
La douleur est intense et des stries rouges et bleues sillonnent son corps.
Piété dit-elle en pleurant.
Cloé s’arrête et met la laisse à morgane. Elle la tire sans ménagement vers la sortie. Direction la cuisine.
Cloé laisse morgane boire dans la gamelle. Elle lape consciencieusement pendant 10mn et à la langue en feu de faire ce geste inhabituel.
Cloé lui donne un coup de fouet. Ça suffit crie t’elle et elle la tire vers le salon ou une croix de saint André a été installée.
C’est pour toi dit Cloé. En quelque minutes morgane est écartelée sur la croix. Sa queue de cheval est accrochée en hauteur et morgane ne peut faire quasiment aucun mouvement à part bouger les yeux.
Tu vas rester là jusqu’à la remise en état de la salle de sport. Ça devrait durer huit jours dit Cloé. Morgane est trop faible pour réagir.
Elle n’est décrochée que pour une douche quotidienne et un passage aux toilettes. Cloé la nourrit à la main et lui donne à boire de la même façon.
Au bout de trois jours morgane est désespérée elle a mal partout et Cloé la frappe chaque fois qu’elle passe par là.
Alors que Cloé passe, morgane lui fait signe qu’elle veut lui parler. Cloé éteint le collier anti aboiements et lui dit tu as dix secondes. Morgane bredouille. C’est trop je t’en supplie arrête la croix je te promets de ne plus rien casser et de me taire même sans collier.
Cloé a un sourire carnassier. Et qu’est ce qui me dit que tu vas tenir parole. Je le jure dit morgane. Cloé rallume le collier et s’en va morgane pleure de dépit elle n’en peut plus.
Dix minutes plus tard Cloé repasse.
On va faire un essai.
Tu fais tout ce que je te dis et je réduis ta peine sur la croix.
Morgane essaye de hocher la tête autant qu’elle peut.
Cinq minutes plus tard elle est à quatre pattes avec les trois barres d’écartement limitant ses gestes.
Cloé est assise en face d’elle sur le canapé.
Pour commencer tu vas venir me bouffer la chatte dit Cloé.
Morgane hésite une fraction de seconde mais se décide vite Cloé serait capable de changer d’avis.
Elle essaye de bien faire même s’il elle n’a pas l’habitude. Cloé la flatte avec ses mains. Bonne petite esclave enfin tu te mets au travail.
Après un long temps morgane doit maintenant embrasser les seins de Cloé qui s’est mis nue. Les pieds les fesses le cul tout y passe. Morgane fait de son mieux.
Le repas du soir est calme alors qu’elle s’attend à rejoindre sa niche morgane est remmenée dans le salon par Cloé. Elle change de liens. Maintenant morgane a juste les mains menottées dans le dos. En plus du collier et de la laisse.
Cloé met de la musique.
Tu vas danser pour moi dit Cloé. Comme une danseuse de peep show.
Ça ne dit rien à morgane. Danses comme si tu voulais baiser comme une grosse pute dit Cloé.
Morgane essaie de faire une danse suggestive mais le résultat amuse plutôt Cloé.
Au bout de 10 minutes celle-ci lui dit d’arrêter le massacre et la fait mettre à genou à ses pieds.
Cloé appuie sur un bouton et un tableau mural se surélève pour laisser place à une télévision. Prend en de la graine dit Cloé et elle lance la lecture d’une prestation de gogo danseuses. Morgane regarde avec un maximum d’attention.
Tous les soirs tu t’entraineras à ça et tu me feras une petite démo dit Cloé.
Morgane opine du chef sans quitter l’écran des yeux. Les trémoussements s de la fille de la télé finissent par l’exciter.
Cloé est aussi excitée.
Cette nuit-là se passe dans le lit de Cloé.
Morgane est écartelée sur le dos et Cloé la chevauche sauvagement.
Alternant les facesitting avec des coups de gode ceinture.
Les deux filles y trouvent leur compte. C’est la première fois depuis longtemps que morgane s’endort sans être malheureuse.
Le lendemain les entrainements reprennent.
Une heure de carriole une demi-heure de marche dans la piscine et les répétitions dans la salle de gym l’heure du repas est vite atteinte.
Un soir sur deux se passe dans la chambre de Cloé.
Les après-midis sont consacrées à l’éducation musicale de morgane et à des tests de bondage décoratifs qui passionne Cloé.
Morgane prend toutes les positions jusqu’aux plus salaces sans rechigner. Elle en a pris son parti et attend sa chance de pouvoir renverser les choses. De 17 à 18h30 retour dans la salle de gym pour faire des séries.
Petit à petit morgane se doute que Cloé lui fait ingérer des aliments qui donneraient une attaque à un contrôleur anti dopage.
Elle prend du muscle partout et sa silhouette commence à ressembler à une body buldeuse. Ça ne lui déplaît pas forcement même si elle trouve que sa poitrine devient trop petite par rapport au reste.
Malgré tout Cloé est très sévère et manie toujours le fouet à la moindre occasion.
Cloé aussi trouve que la poitrine de morgane est le petit bémol de son corps d’amazone.
Elle prend contact avec des connaissances peu recommandables et obtient ce qu’elle voulait. Un jour elle dit à morgane qu’elles vont sortir.
Morgane est étonnée.
On va dans une clinique pour te faire une poitrine de ouf dit Cloé.
Morgane est effrayée. Je te préviens ils sont un peu roumains et ne poseront pas de questions s’ils te voient ligotées comme un saucisson.
J’ai payé une blinde pour ton opération. Ne me fait pas regretter.
En effet morgane voyage dans le coffre de Cloé et est prise en charge par des gens masqués qui ne posent aucune question.
Un chirurgien vient la regarder et la palper il fait des croquis et montre des projections de la poitrine future à Cloé sans jamais adresser la parole à morgane ou lui montrer de croquis.
L’opération se passe et le lendemain morgane est effarée de voir deux ballons de foot trôner sous des bandages à la place de sa poitrine.
Elle passe quelques jours dans la clinique. Les bandages sont enlevé elle n’a pas de miroir et ne peut pas baisser la tête mais elle comprend qu’elle a une masse énorme sur ses pectoraux.
Retour à la maison de Cloé.
Cloé l’accompagne jusqu’à une chambre avec un grand lit à baldaquin.
Cloé installe morgane sur le lit en prenant bien soin de lui attacher les quatre membres aux montants métalliques et solides du baldaquin.
Pendant quelques jours Cloé est aux petits soins pour morgane.
Au bout d’une bonne semaine Cloé décide que morgane est suffisamment rétablie pour reprendre leurs activités.
Elle attache les mains dans le dos de morgane et avec la laisse reliée au collier elle la fait venir dans une salle de bain munie d’un miroir en pied.
Morgane est sidérée et perplexe.
Elle constate que sa nouvelle poitrine est énorme ferme très haute et ses tétons pointent directement vers l’avant.
Elle se dit qu’elle pourrait poser deux verres de cocktail dessus sans que ça ne bouge. Lorsqu’elle marche les seins ballottent à peine.
Elle est oblige de cambrer la poitrine pour pallier le déséquilibre nouveau ce qui fait encore plus jaillir sa poitrine agressive.
Cloé est très contente. Tu vois encore un peu de muscle et tu seras parfaite.
Les entrainements reprennent. Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle.
Cloé multiplie les séances de poses dans toutes les positions et avec une imagination débordante sur les liens. A chaque fois elle prend des photos et bientôt les murs du salon sont ornés de nombreuses photos de grande taille en noir et blanc présentant morgane dans des positions de soumission ou de défi.
Morgane est un peu fière même si elle cherche toujours le moyen d’échapper à cette furie. Mais Cloé est particulièrement vigilante et aucune occasion ne s’est présentée.
Un tatoueur vient un matin et lui tatoue « trophée de chasse de Cloé » sur le pubis.
Un matin en suivant Cloé dans le salon elle y voit une grande cage pour animaux dans laquelle Cloé la fait entrer
. Une fois la porte de la cage refermée Cloé lui enlèves ses liens à travers les grillages.
La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large.
Elle tient tout juste à quatre patte ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible.
Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas.
L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 22: Cloé rencontre martine.
Extraits »… Son cœur bat à toute allure. C’est une occasion de clouer le bec à martine et Anna mais en même temps c’est faire acte de soumission à Cloé. Les regards des filles sont attirés par la porte d’entrée qui s’ouvre. Vanessa apparait timidement dans l’encadrement de la porte et n’ose plus bouger…. Martine demande à Anna de se mettre à côté de Vanessa et les deux maitresses se congratulent d’avoir de si belles esclaves. Echauffées elles montrent leur entrejambes aux esclaves qui se précipitent pour les lécher. … »
Anna et Vanessa se sont beaucoup rapprochées.
A peu près du même âge elles se ressemblent et on les prend volontiers pour des sœurs.
Elles ont aussi un point commun elles aiment être soumises à une femme.
Mais ça seule Anna le sait.
Vanessa n’est pas au courant.
Maintenant elles ne se quittent quasiment plus sauf quand Anna va rendre visite à sa copine Martine.
La soirée chez Cloé a été reportée et Vanessa ne sait pas si elle doit être soulagée ou pas.
Elle a beaucoup réfléchi à la proposition de Cloé et d’un côté ça l’excite énormément et de l’autre elle est effrayée de se montrée en situation de soumise devant une quinzaine de personnes.
Elle n’est pas sure que Sophie réponde à l’invitation de Cloé.
Même si connaissant maintenant le gout de l’exhibition de Sophie elle se doute que ça doit travailler Sophie.
Magalie a parlé de Cloé à martine qui est très intéressée par le lien entre Cloé et Vanessa.
Elle est aussi curieuse de voir cette athlète, Sophie, qui a tant marqué Magalie et Anna.
Cloé reprend contact avec Vanessa sans parler de la semaine torride.
Elle est toute mielleuse et Vanessa se laisse tenter de la revoir.
Il n’est plus question du rapport de domination même si au fond d’elle-même elle en rêve la nuit et se réveille dans un état inconvenant.
Anna parle souvent de sa copine Vanessa à martine.
Celle-ci lui dit un jour on devrait inviter ta copine Vanessa à la maison.
Anna sait que ça signifie qu’elle reçoive Vanessa nue sous la coupe de martine en arborant sa position inscrite sur un de ses seins.
Elle y réfléchit.
Elle a bien vu Vanessa dans la même position chez Cloé.
Elle ne trouve pas cela utile mais martine curieuse la relance quelques jours plus tard en lui disant qu’elles pourraient inviter Cloé en même temps car martine aimerait bien la connaitre.
Anna tergiverse et dit que Cloé et Vanessa ne se fréquentent plus maintenant.
Vanessa a fini par accepter de revoir Cloé en ville.
Elles se donnent rendez-vous dans un bar du centre-ville et sont sincèrement heureuses de se revoir.
Elles ne parlent pas du passé mais elles se donnent la main quand elles sortent du café pour se promener en ville.
Elles croisent Anna qui marche en discutant avec une grande femme.
Vanessa fait mine de ne pas les voir mais Cloé reconnait Anna et la hèle.
Les présentations sont faites.
Martine est heureuse de rencontrer Cloé et lui dit.
Finalement elles se promènent ensembles Cloé et martine discutant à bâton rompu de tout et de rien.
Au moment de se séparer Martine lance une invitation aux deux filles.
Vanessa et Anna sont perplexes mais Cloé trouve là une occasion supplémentaire de revoir Vanessa et accepte pour les deux avec joie. Une date est prise.
Anna dort mal cette nuit-là.
Elle va devoir se dévoiler devant Vanessa et surtout Cloé qui a toujours ce regard impérieux qui lui fait perdre ses moyens.
Martine est intraitable. Anna se doute que Martine veut frimer devant Cloé.
Tant pis elle fera contre mauvaise fortune bon cœur et montrera à ses amatrices une vraie soumise.
Le soir de l’invitation Cloé et Vanessa retrouvent Anna pour aller ensemble chez martine Vanessa a insisté pour que Anna les accompagne. Elle a un peu peur de rester seule avec Cloé.
Elles arrivent devant la maison de martine qui les attend sur le perron.
Elle les fait entrer et les accompagne dans le salon.
Cloé et Vanessa sont étonnées qu’Anna ne suive pas et interrogent martine du regard.
Celle-ci sourit et leur dit de ne pas s’inquiéter car Anna se refait une beauté.
Les filles sont perplexes mais suivent martine jusqu’au canapé.
Martine entame la conversation. Je suis heureuse de vous rencontrer Vanessa car je sais que tu es très copine avec Anna et ça me fait plaisir et Cloé car Magalie m’a beaucoup parlé de vous.
Cloé esquisse un sourire carnassier.
Effectivement j’ai contribué au bon fonctionnement de la boutique de Magalie et ça a été terriblement utile.
Vanessa rougit comme une pivoine.
Martine lève la tête et dit vous prendrez bien un verre.
Les filles acquiescent.
Martine hausse un peu la voix et dit Anna tu vas nous servir l’apéritif.
La porte de l’entrée s’ouvre et Anna apparait nue avec un collier de cuir auquel pend une laisse. Elle a un bijou clipé sur le sein droit et sur le gauche est clipée une étiquette.
Les filles peuvent lire l’étiquette quand Anna passe à côté d’elles.
Anna s’arrête devant les filles et les regarde.
Les filles sont estomaquées Vanessa est ébahie.
Cloé reprend vite consistance. Bravo martine ton esclave est magnifique il faut que tu me racontes.
Martine jubile et leur dit qu’Anna n’a pas le droit de parler sans autorisation et propose un martini aux filles.
Amènes nous quatre martinis dit-elle à Anna qui s’empresse de se diriger vers la cuisine.
Martine est sommée de questions par Cloé qui veut tout savoir et qui la félicite en permanence.
Vanessa reste interdite. Elle se fait toute petite.
Anna revient avec un plateau contenant trois verres et un bol.
Les filles prennent un verre et Anna pose le bol par terre et se met à genou aux pieds de martine.
Cloé n’en revient pas.
Vanessa commence à être énervée de voir que Cloé est subjuguée par Anna.
Je peux faire aussi bien se dit-elle.
La discussion est enthousiaste entre martine et Cloé mais Vanessa ne pipe mot.
Cloé se penche alors vers elle et lui dit au creux de l’oreille. Si tu veux je t’ai apporté quelque chose plus adapté pour la soirée et elle lui donne les clés de la voiture.
Vanessa se demande ce qui ne va pas dans sa tenue.
Cloé lui dit doucement : C’est dans le coffre.
Vanessa curieuse et contente de quitter provisoirement les lieux prend les clés et s’excuse auprès de martine qui est intriguée.
Une fois Vanessa partie martine dit à Cloé que Vanessa est vraiment très jolie et on doit craquer facilement pour elle.
Cloé confirme et pose encore des questions sur le lien entre martine et Anna.
Celle-ci met une musique langoureuse et montre le coin du salon réservé à Anna.
Celle-ci se lève et va danser très langoureusement.
Cloé est interdite.
Une grande chaleur lui monte de son bas ventre.
Anna vient embrasser Cloé dit martine. Anna se précipite et ambrasse fougueusement Cloé qui est totalement allumée.
Vanessa est dans l’entrée et regarde le contenu du sac de Cloé.
C’est son harnais qui a fait tant d’effet, un collier de cuir assorti ,une laisse, une petite cravache et une petite boite qu’elle ouvre intriguée.
Deux grandes créoles en or jaune et plusieurs anneaux en or composent la boite.
Elle comprend que les anneaux sont pour ses piercings où les bijoux provisoires sont toujours installés.
Son cœur bat à toute allure. C’est une occasion de clouer le bec à martine et Anna mais en même temps c’est faire acte de soumission à Cloé.
Elle entend la musique à coté et ça la décide.
Les regards des filles sont attirés par la porte d’entrée qui s’ouvre.
Vanessa apparait timidement dans l’encadrement de la porte et n’ose plus bouger.
Anna stoppe sa danse et martine reste coite.
Cloé est aux anges. Elle a gagné.
Elle avait pris ce sac dans le cas bien incertain ou elle reprendrait le dessus sur Vanessa après la soirée mais là c’est gagné sur toute la ligne.
Cloé lui dit d’avancer et de se montrer à martine.
Vanessa avance. Dans les mains elle a une petite cravache.
Cloé lui montre ses pieds et Vanessa se met à genou a ses pied en tendant la cravache.
Cloé s’en saisi et là martine félicite à son tour Cloé pour son esclave magnifique tellement belle.
Elle est hypnotisée par les piercings.
Anna a repris la danse mais le cœur n’y est plus. Elle ne savait pas pour les piercings de Vanessa et les trouve merveilleux.
Ils ressortent magnifiquement sur le corps laiteux de Vanessa.
Celle-ci gonfle sa poitrine a perdu sa timidité et elle irradie de bonheur.
Martine demande à Anna de se mettre à coté de Vanessa et les deux maitresses se congratulent d’avoir de si belles esclaves.
Echauffées elles montrent leur entrejambes aux esclaves qui se précipitent pour les lécher.
Après quelque moment Cloé et martine échangent leurs esclaves pour comparer leurs talents.
Les deux petites donnent le meilleur d’elles même.
Puis martine et Cloé sont repues et demandent à Anna et Vanessa de se finir entre elles.
Sur le tapis du salon les deux créatures de rêve fondent l’une dans l’autre elles donnent le maximum pour plaire à leurs maitresses.
Elles se caressent s’embrassent se lèchent. Anna ne peut s’empêcher de jouer avec les anneaux de Vanessa et peu voir de près qu’elle en est blindée sur le sexe.
Six anneaux qui s’entrechoquent tout autour de du réceptacle à plaisir.
Elles ne voient pas le temps passer et pendant plus d’une heure elles se font l’amour comme des folles hypnotisant les deux maitresses qui ne parlent plus.
Cloé prend une carte de visite dans son sac et la donne à martine. C’est celle de la spécialiste des piercings.
Martine la remercie.
Les deux chattes sont repues et désormais se caressent doucement.
Cloé et martine les font revenir pour s’occuper d’elles.
Les deux filles arrivent en parfaite synchro et commencent à lécher langoureusement les maitresses.
Cloé entre deux orgasmes parle de sa réception fun à martine en lui disant qu’elle est invitée avec Anna.
Martine lui répond que le deal avec Anna s’arrête à la porte des lieux.
Cloé à un sourire entendu et réitère l’invitation pour martine et Anna.
Elle souhaite aussi inviter Magalie et ses deux acolytes qui l’ont impressionné.
Martine comprend qu’exhiber les deux porte chibres serait un plus pour Cloé.
Néanmoins elle promet de réfléchir à l’invitation.
La soirée se passe merveilleusement et il est temps de se quitter Vanessa fait comprendre à Anna qu’elle doit les accompagner. Elle a un peu peur de Cloé.
Anna est d’accord et Martine qui a compris leur souhaite un bon retour.
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elle ne comprend pas pourquoi elle est la seule à avoir subi un tel traitement indigne et obscène.
les autres esclaves sont nues ,elles exhibent d’elles-mêmes leurs intimités aux nombreux futur acheteurs
venue tâter la marchandise . natacha est sur un présentoir en ces poignets sont enchaînés à ces chevilles.
le cul en l’air tourné vers la foule. elle ne peut rien cacher, le cul ouvert, son anus brun est bien mise en valeur,
sa chatte offerte est trempée par une masturbation forte rapide et violente, appliquer en public par le vendeur sur le produit pour le mettre en valeur.
elle a vu les gros godes arrivés
pourquoi ce traitement humiliant, elle comprit bien vite, ces hommes par leurs conversations perverses voulaient tester
les capacités de cette esclave pour mieux en faire une offre pour la vente aux enchères.
après l’avoir bien branlé ,le sexe était prêt pour une introduction de gode surdimentionné.
on sait qu’elle en avale de très volumineux son record est sept centimètres de diamètre .cette chienne peut faire mieux
(voir sur la présentation le gros gode que natacha s’enfile souvent)
on peut voir la réaction de sa chatte à ce nouvel ami. elle pourra sans aucun doute en absorbé bien plus large.
d’autres s’occupent de son cul après quelques godes son oeillet était jugé trop étroit,
pour en apprécier son élasticité on lui fista le cul plusieurs fois en bougeant bien les doigts à l’intérieur .
esclave réagi fortement à la douleur et à l’humiliation de cet acte dégradant par des cries étouffés par le gode qu’elle avait dans la bouche.
ce sont plus des grognements des bruits de sucions obscènes parfaitement bandant à entendre.
chacun voulait tâter et tester cette marchandise . il y avait une trentaine d’hommes tous ne pouvait mette
leurs mains dans son cul. son trou était trop serré, il y aura certainement du travail à faire dessus
ce qui lui donne une décote . en gorge profonde natacha a une note un peu prêt potable.
on lui fait sucer un bel engin, il y a dessus des marques chiffrées pour pouvoir juger de la profondeur absorbée .elle peut aller jusqu’à neuf
mais au dela, elle vomit . son exhibition a duré des heures, à part ces cries au fist anal subit de force, elle n’a pas trop réagi à cette dégradation et
c’est laissé faire comme une bonne esclave peut être par peur, mais aussi une jouissance certaine que cette salope ne peut cacher
par une abondante couler de cyprine . elle avait honte, mais son sexe trempé trahissait son plaisir inavoué .
pour les futurs acheteurs s’était une bonne chose .une esclave qui joui fait une bonne salope
dessin réalisé au crayon graphique sur un format 21x29.7
pour en savoir et en voir plus sur natacha et mes dessin mon site .http://dessindenu.onlc.fr/
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 21 : CLOÉ
Extraits « … Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. … Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse… Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré…. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile…»
Samedi matin après le petit déjeuner Sophie que Vanessa colle toujours décide que les filles vont prendre une douche.
Elles entrent ensemble dans la douche et Sophie se fait laver et lécher longuement par Vanessa.
Puis après s’être habillée Sophie emmène Vanessa jusqu’au garage ou elle lui dit de monter à l’arrière de sa voiture et de se baisser.
Vanessa panique. Elle va m’emmener où ? Mais elle obtempère craignant une raclée.
Le voyage est court.
Vanessa ne voit rien. Lorsque la voiture s’arrête Sophie ouvre une vitre et dit à Vanessa tu restes dans la voiture jusqu’à ce que je te siffle.
Puis elle sort.
Cloé accueille Sophie c’est une grande femme musclée très fliquée qui vit dans une magnifique villa isolée avec une grand piscine.
Deux couples sont au bord de la piscine.
Cloé voit que Sophie est radieuse.
Alors c’est quoi ta surprise demande Cloé.
Sophie lui dit : J’ai une petite chienne adorable.
Ha : dit Cloé visiblement déçue et tu l’as ramenée.
Sophie lui dit : oui. Tu vas la voir.
Sophie siffle. Aussitôt Vanessa sort de la voiture et vient se positionner à moins d’un mètre de Sophie.
Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie.
Alors qu’est-ce que tu en penses demande Sophie.
Je n’en reviens pas : Dit Cloé. Tu t’appelles comment demande telle à Vanessa.
Vanessa regarde Sophie qui opine. Vanessa : répond-elle.
Les deux couples se sont rapprochés. Les deux hommes ne peuvent cacher leur émotion avec leur maillot de bain.
Cloé dit : hé bien Vanessa, tu fais de l’effet. Mais que fais-tu comme ça ? Je suis ma maitresse : répond Vanessa. Je ne dois pas la quitter de plus d’un mètre.
Sophie exulte.
Cloé est épatée. La journée se passe lentement.
Finalement Sophie fait des jaloux.
Surtout quand elle dit à Vanessa de la satisfaire sur un transat le long de la piscine.
Cloé enrage à l’intérieur. Mais fait bonne figure.
Après le repas du soir Cloé propose de faire un poker comme d’habitude mais propose que les mises soient relevées.
Tout le monde acquiesce et ils se mettent autour de la table dans le salon dédié aux jeux.
Après plus d’une heure il ne reste plus à la table que Sophie et Cloé.
Les deux couples se sont installés sur les canapés et regardent les joueuses même si les regards sont attirés par la blonde nue qui se tient debout derrière Sophie.
Cloé a un tas de billets devant elle alors que Sophie n’en possède plus qu’une petite poignée.
Le dénouement est proche. Sophie retourne ses cartes.
Elle a un full aux as par les rois.
Cloé fait une petite grimace.
Sophie fait tapis.
Cloé hésite puis suit.
Cloé demande à Sophie si elle veut miser plus. Sophie dit qu’elle n’a plus rien sur elle.
Cloé lui dit à voix basse il te reste Vanessa. Tu peux me la jouer contre tout mon pot.
Sophie ouvre de grands yeux et va pour dire non quand Cloé avance son tas de billets et rajoute une liasse sur le tout.
Sophie se dit que l’occasion de faire un paquet de fric est trop bonne et dit : C’est quoi les conditions.
Cloé répond. Tu me la laisse jusqu’à la fin du Weekend si je gagne.
Si tu Gagnes tu empoches le tapis.
Sophie accepte avec un sourire carnassier et abat ses cartes.
Cloé hésite un peu et étale un carré de dix.
Sophie est effarée.
Cloé a un sourire carnassier et fait signe à Vanessa de venir derrière elle. Vanessa ne sait quoi faire et regarde Sophie.
Celle-ci lui fait signe d’aller derrière Cloé.
Sophie reste assise et se demande ce qui lui arrive.
Les deux couples sont épatés de voir cette belle esclave changer de main.
Mais Cloé n’en a pas fini. Tu peux te refaire si tu veux lui dit-elle.
Sophie la regarde étonnée et montre ses mains vides.
On peut faire quitte ou double. Je remets en jeu le fric et Vanessa et toi tu te mets en jeu.
Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse.
Les couples se lèvent et se rapprochent de la table.
Si je gagne tu fais tout ce que je veux dit Cloé.
Sophie ne digère pas d’avoir perdu Vanessa et veut se refaire. Jusqu’à la fin du weekend dit-elle.
Oui dit Cloé. En un coup dit elle et elle brasse les cartes. Sophie distribue. Trois cartes demande Cloé Sophie respire elle a deux paires. Une carte dit-elle.
La tension est à son comble. Les deux couple se sont rapprochés jusqu’au bord de la table. Tout le monde retient son souffle. Vanessa se demande comment ça va finir.
Cloé étale ses cartes. Brelan de neufs dit-elle pas très heureuse.
Sophie blanchit et montre se deux paires.
Un long moment se passe .le temps que Sophie digère ce qui se passe.
Debout lui dit Cloé Sophie hésite mais elle ne peut pas renier sa parole.
Elle se lève. Approche esclave lui dit Cloé. Elle approche de Cloé.
A poil lui dit-elle sèchement. Sophie regarde autour d’elle six paires d’yeux la dévisagent.
Elle redresse la tête et se déshabille entièrement.
Cloé lui dit attend là.
Elle se lève et emmène Vanessa avec elle.
Elle revient quelques instants plus tard avec une paire de menottes et un foulard.
Tourne-toi dit-elle.
Sophie se retourne et sent qu’on lui met les menottes dans le dos et le foulard est noué sur ses yeux. Elle ne voit plus rien
La chaleur est montée en flèche dans le salon.
Cloé s’adresse alors aux deux couples.
Elle est à vous faites ce que vous voulez mais ne me l’abimez pas.
D’abord interloquées les couples se rapprochent de Sophie.
Une main se pose sur un sein de Sophie puis une autre puis une main fouille son entrejambe.
On la force à baisser son torse vers l’avant.
Elle sent un sexe érigé butter contre sa bouche. Elle suce la bite pendant qu’une deuxième bite se présente par derrière.
Elle reçoit quelques petites claques sur les fesses et les seins pendant que les hommes la besogne. Elle entend Cloé lui dire.
Tu nous avais dit que tu allais nous faire une surprise c’est réussi.
Cloé s’assoit sur un canapé elle fait mettre Vanessa à genou et lui indique sa chatte. Vanessa s’exécute.
Au moins celle-là ne tape pas se dit-elle.
Pendant un temps infini Sophie est baisé par tous les bouts.
Elle suce de la bite de la chatte et même du cul.
Ses seins son douloureux à force d’être pincés pétris et malaxés.
Elle entend une voix dire on va prendre un bain de minuit.
Une main lui tint un téton et le pince en la faisant avancer.
Elle est amenée au bord de la piscine.
Puis on la laisse. Elle entend les rires et les bruits aquatiques. Après un temps qui lui parait infini elle sent que le bain est terminé.
Elle entend une voix dire on la garde jusqu’à deux heures du mat et on vous l’amène.
Top là répond une voix. La nuit de Sophie est mouvementée. Elle finit par s’endormir au pied d’un lit toujours avec son foulard autour des yeux.
Vanessa s’acquitte avec conscience de sa tâche.
Cloé est douce ce qui surprend avec son corps très musclé.
Elle est très belle et totalement épilée. Vanessa est presque jalouse.
Cloé finit par se lever et l’emmène à sa suite jusqu’à la chambre.
Là les rôles s’inversent un peu et Vanessa sent que la dure Cloé du poker fait place à une femme docile qui se plie en quatre pour lui faire plaisir.
Vanessa passe une super nuit en se disant que si elle devenait lesbienne se serait avec Cloé.
Le lendemain matin les deux filles se réveillent dans les bras l’une de l’autre. Elles font l’amour gentiment comme deux chattes avides de caresses. Puis elles se décident à se lever et aller prendre un petit déjeuner.
En arrivant dans la cuisine elles voient un papier sur la table.
Les deux couples sont partis de bonne heure et ne voulaient pas les réveiller.
Pour Cloé un petit PS précise que l’esclave est dans la salle de bains principale.
Intriguées elles se rendent dans la salle de bain sou Sophie toujours les mains menottées dans le dos est attachée par une cordelette au radiateur sèche serviette.
Cloé est la première à réagir.
Bon esclave je vais te détacher et après t’être douchée tu viendras nous servir un petit déjeuner sur la table près de la piscine.
Sophie a un œil noir mais ne dit rien.
Cloé la libère et avec Vanessa elles se rendent près de la piscine.
Là Cloé demande à Vanessa quel est le deal avec Sophie.
Vanessa raconte tout depuis les coups jusqu’à la semaine qu’elles doivent passer ensemble. Cloé est choquée mais une lueur de tueuse passe dans ses yeux.
Tu me dis qu’elle est libre toute la semaine.
Oui répond Vanessa.
Dommage que je ne possède pas d’autres accessoires que cette vieille paire de menottes dit Cloé songeuse.
Vanessa lui dit la copine de mon amie vend de tels accessoires dommage.
Cloé demande : tu crois qu’elle pourrait nous dépanner.
Vanessa hésite puis à la pensée de voir le corps musclé de Sophie avec un bondage bien serré la chauffe un peu.
D’accord je l’appelle. Elle appelle Anna qui promet d’appeler Magalie.
Magalie est surprise par l’appel d’Anna mais se laisse convaincre.
Elle promet de passer dans la matinée avec ce qu’elle a.
Sophie apporte le petit déjeuner. Conformément aux ordres de Cloé elle assiste à genou au repas des deux filles.
Puis la sonnette d’entrée retentit. Cloé va ouvrir à Magalie qui a le coffre plein de gadgets.
Cloé est enthousiasmée et achète la quasi-totalité des accessoires de Magalie.
Les accessoires sont amenés jusqu’à la table près de la piscine. Sophie qui n’a rien vu doit se coucher sur le ventre et écarter les bras et les jambes.
Cloé et Vanessa se demandent par quoi commencer. Magalie et Anna sont venues avec elles pour les conseiller.
Sur les conseils de Magalie Sophie reçoit un gros bâillon boule rouge qui lui distend la mâchoire rendant son air dur encore plus sauvage.
Un corset de vinyle est ajusté à sa taille. Les lacets sont fortement serrés et la taille de Sophie est soulignée rendant son haut musclé encore plus impressionnant. Ses seins reposent sur le haut du corset et sont littéralement jetés en avant. Un lourd collier de cuir muni de plusieurs anneaux est mis autour de son cou.
Vanessa fait une queue de cheval à Sophie.
Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête.
Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques.
Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse.
Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré.
Elle roule des yeux furibonds mais ne peut pas empêcher l’action.
Les filles se reculent pour voir l’effet. Des pinces à tétons sont appliquées sur la poitrine déjà tendue de Sophie.
Cloé enthousiasmée fait des photos souvenirs.
Laissant Sophie piaffer dans sa tenue les filles consultent les catalogues de Magalie.
Celle-ci propose une tenue de soubrette qui fait l’unanimité.
Elle promet la livraison pour mercredi.
Cloé cède.
Puis les filles se lancent dans le shibari.
Encordé de partout le corps puissant de Sophie se prête à merveilles aux cordes qui soulignent tous ses muscles.
Il ne manque qu’un peu d’huile pour faire briller le corps de Sophie.
Nouvelle séance photo.
Puis Cloé se souvient qu’elle a dans une remise la carriole en osier que ses parents attelaient à un petit poney lorsqu’elle était petite.
Laissant Sophie encordée et attachée à un lampadaire les quatre filles vont jusqu’à la remise.
Magalie regarde dans ses catalogues les harnais de cuir qui pourraient être compatibles avec la carriole.
Elle montre des équipements à Cloé qui commande immédiatement.
Quelques autres gadgets son commandés.
Magalie notant la plastique avantageuse de Vanessa qui est toujours nue propose quelques articles à Cloé qui interroge Vanessa du regard. Celle-ci impressionnée opine du chef et les accessoires sont achetés.
Enfin Magalie et Anna se retirent laissant Cloé et Vanessa avec leur nouveau jouet humain.
C’est l’heure du repas. Sophie toujours encordée et muni de son gros collier de cuir fait le service. Les filles mangent de bon cœur.
Après le déjeuner c’est au tour de Vanessa d’être habillée.
Sur les indications de Magalie Vanessa arbore un harnais en cuir qui souligne sa fine silhouette. Ses seins sont ornés d’anneaux dorés .
Cloé lui fait une queue de cheval qui monte très haut derrière la tête.
A ses poignets et ses chevilles des bracelets dorés sont en harmonie avec les anneaux de ses seins.
Deux grandes créoles dorées pendent à ses oreilles.
Cloé est soufflée par le sex-appeal de Vanessa.
Sophie qui est à genou les bras menottés dans le dos est sidérée.
Machinalement elle fait les va et vient verticaux que Cloé lui a ordonné sur un gode de bonne taille.
Vanessa est aux anges.
Elle voit l’effet qu’elle fait aux deux filles et est presque désolée qu’il n y ai pas plus de spectateurs.
L’après-midi se passe autour de la piscine. Cloé et Vanessa se prélassent dans les transats alors que Sophie agenouillée et menottée passe de l’une à l’autre à leur demande pour prodiguer des caresses buccales sans se faire prier.
Le repas du soir se termine.
Sophie fait la vaisselle et vient s’agenouiller devant Cloé.
Sophie demande à Cloé. Bon j’ai tenu ma parole j’ai été ton esclave ce weekend end. Tu peux me libérer maintenant.
Cloé se penche vers elle et l’embrasse.
Tu as été magnifique. Tu es née pour être esclave.
C’est dommage de devoir habiller ton corps d’amazone tellement il est plus beau nu ou bondé.
Sophie accepte le compliment mais regarde Cloé avec insistance.
Cette dernière lui remet un bâillon boule bien serré et accroche une chaine au collier qui n’a pas quitté Sophie.
Elle emmène Sophie dans le salon où Elle accroche l’extrémité de la chaine à un énorme radiateur en fonte.
Tu es trop belle pour être libérée comme ça.
J’ai décidé de te garder comme esclave plusieurs jours jusqu’à ce que je décide de te libérer.
Sophie rue et se débat ses yeux furibonds lancent de éclairs elle émet des borborygmes à travers son bâillon.
Cloé sort un petite cravache et donne un coup sur les fesses de Sophie qui sursaute mais revient à la charge.
Cloé manie la cravache. Tant que tu ne te calmes pas tu en recevras dit-elle. Sophie revient plusieurs fois à la charge mais les coups maintenant bien portés commencent à lui rougir la peau.
Voyant l’inutilité de ses ruades elle finit par se calmer.
Cloé la félicite et lui dit de baiser ses pieds.
Sophie hésite mais un coup de cravache la décide.
Cloé lui dit maintenant je vais t’enlever le bâillon mais si tu dis un mot cravache et bâillon pour la nuit.
Sophie lance un regard noir. Mais lorsque Cloé lui enlève le bâillon elle ne dit rien.
Maintenant tu peux m’embrasser les pieds dit Cloé.
Sophie hésite mais finit par embrasser les pieds de Cloé. Au bout de quelques minutes Cloé lui dit plus haut.
Sophie lui lèche les mollets puis les cuisses. Puis s’enhardit vers l’entrejambe de Cloé. Qui s’ouvre un peu.
Sophie passe sa frustration sur la chatte de Cloé qu’elle lèche avec avidité.
Cette nui là les trois filles sont dans le même lit.
Mercredi dans la matinée Magalie arrive avec des colis.
Sophie attend auprès de la piscine.
Elle est à genou un manche à balai dans le dos passe par la saignée des coudes qui sont solidement attachés au manche.
Sa queue de cheval est liée au manche par un cordon en cuir très tendu qui l’oblige à tenir sa tête le plus en arrière possible.
Un lien part du milieu du manche et est attaché à un anneau qui sert habituellement pour tenir la bâche hivernale de la piscine. Elle porte le bâillon boule rouge.
Magalie apprécie le spectacle et facilite Cloé pour la présentation de Sophie.
Sophie endure la posture douloureuse mais est très fière de plaire à la spécialiste. Elle s’efforce de rester complétement immobile.
Les colis sont déballés et Vanessa va chercher la carriole qui a été dépoussiérée et graissée dans la remise.
Sophie voit arriver la carriole avec un peu d’appréhension. Ce n’est quand même pas pour moi. Elles me prennent pour un cheval.
Magalie et Cloé font lever Sophie et l’équipent du harnais de ponygirl. Les lanières de cuir sont ajustés sur tout son corps elle doit mettre des bottines noires qui lui semblent très confortable même si le talon très surélevé lui donne l’impression d’être sur la pointe des pieds.
Un mors en cuir remplace le bâillon boule.
Puis elle est attelée à la carriole.
Là elle veut protester mais les trois filles utilisant les rênes et tirant sur les lanières finissent par l’atteler.
Les brancards de la carriole sont ajustés au niveau de sa taille et désormais elle ne peut pas bouger sans bouger la carriole.
Cloé tient les longues rênes à la main et les rênes son reliées aux deux côté du mors.
Elle tire sur les rênes ce qui tire la tête de Sophie qui refuse de bouger.
Cloé prend lors un fouet de cocher des mains de Magalie et lui fait claquer le fouet sur les fesses.
La douleur est supportable mais Sophie sait que Cloé ne cèdera pas.
Rechignant elle avance et la carriole s‘ébranle. C’est plus facile que prévu pour Sophie elle s’attendait à plus de résistance. La carriole n’a que deux roues comme un petit sulky et le siège double est en osier.
Cloé passe les rênes au-dessus de la tête de Sophie et va s’installer sur le siège.
Une fois installée elle dit aller hue !
Sophie ne bouge pas mais un claquement de fouet au-dessus de sa tête la force à avancer.
Elle va tout droit ne sachant pas où aller.
Au bout de quelques mètres le mors est tiré sur la gauche.
Elle comprend et se dirige vers la gauche.
Cloé jubile et lui fait faire des changements de direction pour finalement revenir devant Magalie et Vanessa qui sont impressionnées.
C’est une bonne bête leur dit Cloé. Maintenant on va voir ce qu’elle a dans le ventre.
Et elle fait repartir Sophie. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile. Néanmoins elle fait de son mieux.
Après quelques minutes de train d’enfer Cloé la fait ralentir.
Maintenant Sophie trotte en maitrisant bien son souffle.
Cloé l’arrête près des filles qui chacune leur tour font une promenade plus calme avec Sophie.
Au bout de près d’une heure Sophie est harassée elle ruisselle de sueur et n’en peut plus.
Cloé décide que la séance a assez duré et qu’elle recommencera chaque matin pour permettre à Sophie de garder la forme.
Sophie est dételée ses lanières sont retirées mais elle garde les mains menottées dans son dos. Les filles la dirigent vers la piscine.
Sophie reprend son souffle et attend alors que les filles déballent le costume de soubrette. Vanessa est presque vexée que le costume soit plus aux mensurations de Sophie qu’aux siennes.
Elle aurait bien joué ce rôle mais ne dit rien.
Cloé lui demande de doucher Sophie et Vanessa tirant Sophie par la laisse amène celle-ci sous la pomme de douche extérieure de la piscine et la lave consciencieusement.
Sophie ronronne sous le lavage de Vanessa qui ressemble plus à des caresses qu’a autre chose. Elle se laisse faire docilement.
Magalie montre alors à Cloé un carton contenant une tenue de soubrette à la taille de Vanessa. On ne sait jamais dit-elle. Cloé est ravie.
Sophie séchée, les filles lui font essayer la tenue de soubrette.
Ça lui va bien mais Sophie est trop musclée pour la tenue. Ses formes ne sont pas mises en valeur.
Magalie sort alors un paquet qui fait bruit métallique. Un harnais de chaines de grosse maille avec des bracelets métalliques brillant est testé sur Sophie.
Elle est splendide on dirait une combattante des arènes romaines.
Les chaines sur son corps musclé font ressortir une impression de puissance contrôlée incroyable. Les filles sont admiratives.
Deux petites chainettes partent des mamelons pour rejoindre le collier du cou en haut et deux autres vont jusqu’à l’entrejambe de Sophie ou elles sont tenus par des pinces aux grandes lèvres de Sophie.
Elle se dresse fièrement devant les trois filles voyant l’effet qu’elle leur fait.
Elle-même mouille abondamment et ça n’a pas échappé aux filles qui lui ont mis les pinces.
Vanessa est remuée mais toujours un peu jalouse que Sophie attire tous les regards.
Cloé se tourne vers elle et en souriant lui montre le paquet que Vanessa n’a pas encore vu. Elle va voir le paquet et comprend.
Ce midi c’est toi qui fais le repas dit Cloé.
Vanessa prend le paquet et file avec vers la cuisine.
Magalie et Cloé tournent autour de Sophie qui se pavane inconsciemment.
Sous prétexte de vérifier la bonne tenue des chaines les mains s’égarent de plus en plus sur la peau de Sophie.
Quand Vanessa transformée revient avec un plateau contenant un apéritif et des accompagnements elle voit les deux filles autour de Sophie la pelotant et l’embrassant et Sophie qui ronronne de plaisir
Magalie Cloé et Sophie regarde la nouvelle venue. Vanessa est superbe.
Elle a un petit tablier qui ne cache que le nombril, un porte jarretelles auquel sont accrochés des bas résille du plus bel effet. Des escarpins avec de talons de 25 cm de haut qui la force à se tenir sur la pointe des pieds.
Ses chevilles son menottées l’une à l’autre ne laissant que quelques centimètres de libres pour qu’elle fasse de tout petit pas.
Un collier autour du cou duquel patent deux chainettes qui sont clipées sur les seins.
Les poignets sont menottés l’un à l’autre et une barre passe dans son dos et passe dans la saignée de ses coudes ne lui laissant qu’une minuscule amplitude de mouvement.
Elle tient un plateau sur lequel sont placés deux verres et entre les verres les clés de ses menottes.
Elle ne peut s’empêcher d’avoir un regard envieux vers Sophie même si elle voit qu’elle-même fait de l’effet aux trois filles.
Cloé lui dit approche ! Vanessa tout sourire approche.
A genou ! ordonne Cloé. Le sourire disparait.
Elle s’agenouille avec difficulté en tenant toujours le plateau devant elle.
Cloé prend les clés et les jette dans la pelouse.
Puis elle prend les deux verres et en donne un à Magalie.
Pose ce plateau et embrasse mes pieds dit-elle. Vanessa rougit mais s’exécute immédiatement.
Cloé s’empare du petit fouet de cocher et lui donne trois coups sur les fesses.
Vanessa a les larmes aux yeux mais continue à lécher les pieds de Cloé.
Tu vas nous servir à table et après la vaisselle tu reviendras ici et tu te mettras dans cette position jusqu’à mon retour.
Vanessa opine en continuant à lécher.
Aller lèves toi et vas-y. Vanessa se tortille pour se relever et part à tous petits pas vers la maison.
Cloé et Magalie boivent leurs verres en devisant sur la grâce féline de Sophie.
Celle-ci est aux anges.
En plus la petite peste en a pris pour son grade.
On y va finit par dire Cloé elle prend la laisse et entraine Sophie derrière elle.
Le repas est bon. Vanessa les yeux rouges sert le mieux possible. Elle nourrit Sophie à la fourchette car Sophie est toujours menottées par derrière.
A la fin du repas Vanessa fait la vaisselle puis sort de la maison pour se diriger vers la piscine.
Magalie prend congé des filles en félicitant Cloé pour ses gouts et Sophie pour son superbe corps. Cloé remercie Magalie pour les accessoires et la raccompagne.
Restée seule avec Sophie elle lui demande si elle ne lui en veut pas trop de l’avoir mise en esclave au-delà du pari.
Sophie réfléchit et dit qu’elle lui en veut quand même. Cloé lui propose alors de la libérer. Sophie réfléchit et dit si tu veux on peut continuer encore un peu.
Cloé reste silencieuse. Il lui semblait bien que Sophie kifait certains moments de sa situation mais au point t’en redemander.
D’accord répond-elle. Tu vas manger sévère.
Sophie fait sa bravache. Pourquoi tu as d’autres idées pour moi.
Cloé réfléchit à toute allure. Oui mais ça va être plus hard.
Sophie ne répond rien mais une grosse chaleur vient de son bas ventre.
En attendant tu vas venir me brouter la chatte dit Cloé de but en blanc.
Tu m’as bien chauffée tout à l’heure ma petite pouliche.
Sophie vient lentement s’agenouiller la tête dans les cuisses de Cloé.
Vanessa enrage. Elle n’a aucune idée du temps qu’elle a passé la tête contre le carrelage de la piscine.
Cloé l’a oublié.
Tout ça pour cette mastoc qui parade comme un cheval de cirque.
Elle ne peut cependant pas s’empêcher de revoir le corps musclé de Sophie tirer avec ardeur la carriole et suivre ses mouvements de poignets sur les rênes.
Dominer cette amazone lui a fait prendre un pied pas possible.
Cloé arrive tranquillement.
Vanessa ne bouge pas d’un iota.
Cloé s’assoit sur un transat et regarde Vanessa qui ne bouge toujours pas et n’ose pas regarder de son côté.
Viens là dit Cloé. Vanessa s’approche d’elle en restant sur ses genoux.
Alors on est jalouse de Sophie dit Cloé.
Vanessa ne répond pas. Une petite claque sur les fesses et Cloé dit j’attends ta réponse.
Oui dit Cloé elle est trop belle et vous n’aviez d’yeux que pour elle.
Je ne t’appartiens pas dit Cloé par contre toi tu m’appartiens.
Vanessa ne répond rien Cloé dit .On dit oui maitresse. Oui maitresse répond Vanessa un peu soulagée d’intéresser enfin Cloé.
Bon va chercher tes clés dans la pelouse. Après tu me rejoindras on a du travail pour faire le grand jeu à Sophie.
Vanessa se demande ce que c’est que ce grand jeu mais va, toujours à genou, dans la pelouse vers l’endroit où se trouvent les clés.
Quand Vanessa revient après avoir retrouvé les clés elle rencontre Cloé qui lui dit de la suivre.
Elles descendent dans le sous-sol que Vanessa ne soupçonnait pas.
Une porte dérobée s’ouvre sur un escalier qui mène à un couloir possédant plusieurs portes.
Cloé ouvre l’une d’entre elle. Elle donne sur une salle de sport bien équipée. Tapis, rameurs, espaliers barres fixes etc.
Mais elle ne jette pas un œil à tout ça car Sophie ruisselante de sueur est suspendue par les mains à une barre de traction.
Elle touche le sol à l’extrême pointe de ses pieds mais ne peut pas se reposer dessus.
Elle doit se maintenir à la seule force des bras.
Deux pinces mordent ses tétons et une chainette est tendue entre les tétons et la barre.
Sophie ne peut pas lâcher au risque de s’arracher les tétons déjà bien irrités par la tension extrême.
Sophie est extrêmement concentrée et Vanessa ressent la douleur qu’elle doit supporter.
Ca n’est plus soft mais là c’est difficile à voir.
Cloé fait le tour de Sophie.
Celle-ci n’a pas de bâillon.
Cloé dit qui commande ici.
Sophie répond c’est Cloé.
Cloé lui donne un coup de cravache. Maitresse Cloé.
Maitresse Cloé se reprend Sophie.
Et qui est une esclave obéissante.
C’est moi maitresse Cloé répond Sophie.
Bien dit cette dernière. Maintenant on va jouer à un jeu toutes les trois.
Elle enlève les pinces au grand soulagement de Sophie et de Vanessa qui est subjuguée.
Puis Cloé menottes les mains de Sophie dans le dos et fait pareil avec Vanessa qui ne veut pas subir les foudres de Cloé et reste silencieuse.
Cloé les met face à face sur le tapis central qui doit faire 10M2 voilà celle qui met l’autre hors du tapis a gagné.
La perdante aura un gage qui durera tant que je l’aurai décidé. Vanessa est affolée. Sophie est bien plus costaude qu’elle. Sophie la regarde durement.
A mon top. Allez !
Sophie se rue vers Vanessa qui parvient à esquiver le choc frontal.
Pendant quelques secondes Vanessa parvient à éviter Sophie comme un toréador avec un taureau.
Cependant Sophie finit par l’acculer dans un coin du tapis et l’éjecte durement.
Vanessa tombe sans se faire mal.
L’impact du corps de Sophie lancé l’a déjà bien meurtrie.
Perdu lui lance Cloé. A partir de maintenant je veux que tu me broute le minou en permanence quoi que je fasse même si je bouge. Sinon c’est la cravache.
Vanessa ne réfléchit pas et vient se mettre à genoux devant Cloé et lui embrasse goulûment la chatte.
Bien dit Cloé. Et toi Sophie on n’en a pas fini.
La soirée est difficile pour Sophie qui doit subir des écartèlements mises en tension et coups de fouets jusqu’à ce que Cloé soit fatiguée.
Vanessa toujours à quatre pattes ou à genou se colle en permanence à Cloé pour la brouter.
Finalement Cloé va se coucher.
Sophie est attachée en croix face au lit de Cloé.
Ça ne va pas être facile de dormir pourtant elle est rompue.
Vanessa colle toujours Cloé et se couche sur le ventre la tête entre les cuisses de Cloé son gage n’étant toujours pas levé.
Magalie a promis à Cloé de trouver une idée plus hard pour ses esclaves.
Celle-ci l’a appelé hier soir entre deux séances. Malheureusement elle n’a pas vraiment d’idée.
A ce moment-là elle jette un œil à Tristan qui lui fait sa gâterie orale du petit déj le sexe toujours dans sa cage.
Claire se pointe à ce moment avec Frédérique.
Un éclair traverse Magalie et si on lâchait nos deux bites ambulantes sur les esclaves bien entravées.
Ça pourrait être valable. Elle en parle à claire qui est ok Tristan ne dit rien mais jubile ça fait 4 jours qu’il n’a pas pu ne serait-ce que bander il est prêt à tout.
Cloé est ravie de l’appel de Magalie. Elle les attend à la maison.
Joyeuse elle harnache Sophie qui a les yeux rougis par le manque de sommeil et la peau commence à être multicolore avec les coups qu’elle a reçu.
Ses seins sont particulièrement sensibles après la torture d’hier soir.
Vanessa les a accompagnées jusqu’à la remise car elle est toujours gagée.
Cloé lui dit que le gage est suspendu pour la promenade mais attache la laisse qui équipe désormais Vanessa à la carriole.
Elles partent en promenade équestre.
Cloé est très dure avec Sophie. Elle la pousse à bout et les coups de fouets fusent.
Après une demi-heure alors que Sophie peine à tenir debout la promenade s’arrête Sophie est dételée déharnachée et conduite à la pomme de douche ou elle est fixée pas la laisse le temps qu’elle arrête de suer avant d’être lavée.
Vanessa a repris son gage.
Magalie s’annonce et Cloé va à sa rencontre.
Magalie descend de la voiture avec deux hommes ou plutôt un homme et une grande femme qui sont nus tous les deux.
Cloé pensait que Magalie apporterait deux portes chibres bien montés.
Elle est un peu déçue. Quand la grande fille se retourne vers Cloé celle-ci a un choc.
Cette fille arbore un énorme chibre tendu qui contraste avec sa poitrine opulente.
En plus des grands bijoux de seins et de nez sont son unique tenue.
Cloé rêve de voir Sophie avec de tels bijoux.
L’homme qui est aussi nu est un grand gaillard qui arbore aussi un chibre énorme.
Tout cela laisse Cloé rêveuse.
Elle n’aurait rien contre une partie à quatre avec les trois personnes qu’elle a en face d’elle.
Alors qu’en penses-tu. dit Magalie. Cloé la félicite et s’approche pour voir les portes chibres de près.
Formidable dit-elle. On va préparer les filles.
Sophie est lavée séchée et emmenée dans le salon.
Là Cloé l’attache à quatre pattes au milieu de la pièce.
Les trois barres d’écartement aux pieds et mains et une reliant le tout l’empêchent de faire tout mouvement.
Sa queue de cheval est tirée par un cordon qui l’oblige à se cambrer et la tête est à la verticale.
Elle n’est pas bâillonnée mais a un écarteur de bouche qui l’oblige à avoir la bouche béante.
Elle a une cagoule aveuglante.
Vanessa est toujours dans l’entrejambe de Cloé.
Une fois Sophie préparée les deux garçons font leur entrée .Ils ont pour ordre de ne pas être tendres avec Sophie.
Soudain ils se déchainent.
Sophie prend deux claques sur les joues et une énorme bite pénètre sa bouche.
Suce la bien lui dit Cloé. Sophie s’exécute.
Une claque sur les fesses la fait sursauter elle sent aussitôt un gourdin palpitant la prendre par derrière.
Pendant une demi-heure elle est prise par devant derrière elle craint pour son cul mais elle sent qu’on lui insère du lubrifiant avant qu’elle soit littéralement défoncée par un des hommes.
Vanessa entend mais ne peut pas voir ce qui se passe elle est toujours en train de brouter Cloé qui mouille come une fontaine.
Puis à un moment Cloé repousse Vanessa et dit aux deux hommes c’est son tour maintenant.
Vanessa se retourne et est effarée. Au début elle ne voit que les bites monstrueuses puis elle a le temps de voir que Frédérique a tous les attributs d’une femme avant d’être forcée dans la bouche et dans la chatte.
Soit à la hauteur Vanessa di Cloé
Vanessa y met tout son cœur même si les assauts sont incroyables.
Elle ne sait plus si c’est la douleur ou le plaisir mais finalement elle ne peut plus compter ses orgasmes et le nombre de décharges des deux gaillards infatigables.
Enfin la ruée se calme.
Vanessa s’écroule par terre mais est rappelle à l’ordre par Cloé et elle retourne lui bouter la chatte à quatre pattes.
Sophie est lessivée.
Elle a mal partout mais en même temps elle n’a jamais sautant joui de sa vie. Et elle se sent bien attachée comme ça devant un paquet de monde.
Cloé annonce la fin. Voilà les filles votre temps d’esclave est bientôt finit. Allez-vous laver et vous mettre en tenue pour nous faire un bon repas. La dernière épreuve sera après le repas.
Vanessa détache Sophie et elles vont ensembles vers la salle de bains. Au passage Sophie voit enfin ses bourreaux. Elle est stupéfaite par l’apparence de Frédéric et ses bijoux de corps qui la font rêver.
Le repas se passe dans la salle à manger. Vanessa à revêtue son costume de soubrette et Sophie ses chaines d’esclave gladiatrice. Tristan est subjugué par ce bel animal.
Après le repas Magalie et ses deux acolytes se retirent après avoir promis à Cloé de se revoir plus souvent.
Les trois filles se retrouvent seules. Cloé les invite à enlever leur tenue ce qu’elles font un peu à regret même si les dernières heures ont été particulièrement plus dures que ce qu’elles auraient pu penser.
Cloé leur dit qu’une véritable esclave doit arborer en permanence les signes de sa condition. Et c’est le dernier test qu’elle veut leur faire passer si elles l’acceptent. Les deux filles se regardent sans comprendre.
A ce moment-là Cloé va vers la porte de la maison et revient avec une femme qui tient une grosse mallette du genre mallette médicale.
C’est une pro du piercing dit-elle en présentant la femme. Les filles commencent à comprendre.
Alors une volontaire dit Cloé. Les filles hésitent se regardent. Dans leur tête elles voient le corps orné de Frédérique. Toujours bravache Sophie saute le pas et dit moi.
La femme l’invite à se coucher sur une table. Sophie fait la fière mais se demande si c’est bien raisonnable. Le regard envieux de Vanessa la décide définitivement. Elle se couche.
Une demi-heure plus tard elle a les seins et le nez percés. C’est douloureux mais elle en a vu d’autres. Elle va pour se relever mais la femme la retient et s’approche son sexe.
Sophie panique un peu mais le regard de Vanessa suffit à la calmer.
Son clitoris est maintenant percé et ses deux grandes lèvres aussi. Des bijoux provisoires sont insérés dans les piercings. Cloé est aux anges. Sophie se relève et toise Vanessa. Elle souffre mais ne veut pas le montrer.
La femme regarde Vanessa qui semble se recroqueviller. La femme va refermer sa mallette quand Vanessa se jette à l’eau. Et sous le regard enjoué de Cloé monte sur la table.
Elle possède maintenant les mêmes attributs que Sophie.
Les larmes coulent de ses yeux mais elle reste fière.
La femme donne alors les consignes pour les cicatrisations et se retire.
Cloé est particulièrement fière de son dressage.
Elle prend les filles dans ses bras et les félicite.
Je fais une grande réception dans quinze jours. Il y aura un quinzaine d’invité.
Je serais ravi de pouvoir montrer mes magnifiques esclaves ce jour-là.
Sophie et Vanessa ne répondent pas.
Elle s’imaginent parées de beaux bijoux en or et avec leur tenue préférée se pavane devant un parterre épaté.
On en reparle leur dit Cloé et elle ouvre une bouteille de champagne pour clore cette semaine de folie.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 20 : Anna rencontre l’équipe de handball féminine.
Extraits »… Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna. Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre… La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute. Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand. … Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds… «
Quelques mois après sa mésaventure Anna se décide à remonter la pente.
Elle fait un peu de sport. Le soir avec deux filles qu’elle a rencontré elles vont au gymnase pour faire un peu de gymnastique.
Anna excelle aux agrès. En général lorsqu’elles sortent de la douche l’équipe féminine de handball entre pour venir s’entrainer avant la fermeture du gymnase.
Ces filles impressionnent Anna car ce sont des costaudes. Fortes musclées et pas trop féminines.
Elles ne se parlent pas juste un signe de tête pour dire bonsoir.
Ce jour-là Anna se retrouve seule au gymnase. Elle va quand même se défouler et après une bonne suée elle va vers les vestiaires. Elle se déshabille et va prendre sa douche.
Comme elle est seule elle ne prend pas soin d’enfermer ses habits dans un casier.
Lorsqu’elle sort de la douche elle se dirige vers l’endroit où se trouvait son sac.
Le sac n’est pas là.
Nue avec juste une serviette elle commence à chercher son sac quand soudain l’équipe de hand apparait.
Elle salue comme d’habitude les filles mais celles-ci ne font pas mine de partir s’échauffer.
Elles la matent visiblement.
Mal à l’aise Anna se fait toute petite.
L’une des filles, un vrai garçon manqué, la hèle. Alors mon cœur on a perdu quelque chose.
Anna dit qu’elle ne trouve plus son sac avec ses habits.
Les filles s’esclaffent.
La grand fille s’approche d’Anna et dit. Tu n’as pas besoin d’habit avec un petit cul comme ça.
Avant qu’Anna n’ai compris la fille attrapent un coin de la serviette et la tire brutalement. Anna se retrouve nue face aux filles.
Les sifflets fusent. Anna se cache les seins et le sexe avec les bras.
Les filles se rapprochent. Deux d’entre elles attrapent chacune un bras d’Anna et la force à les écarter.
Elle est exposée aux regards qui s’allument peu à peu.
Mais c’est qu’elle est appétissante dit l’une.
La cheffe approche d’ana et lui attrape le sexe avec la main. Celle-ci crie mais une grosse main la bâillonne.
Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna.
Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre.
. Tu dois être un bon coup dit la cheffe et elle commence à essayer de faire mettre Anna à genou.
Celle-ci résiste mais la cheffe reçoit du renfort et Anna se retrouve vite à terre.
La cheffe enlève on short et sa culotte et approche son sexe de la tête d’Anna.
Aller montre nous comment tu broute ma belle.
Son visage est projeté de force dans l’entrejambe de la cheffe.
Elle garde la bouche fermée. Une main pince son sein et la douleur devient insupportable. Suce et ça s’arrête entend-elle dire.
Elle ouvre la bouche et embrasse la chatte. Le pincement se réduit.
Anna sent qu’on lui lie les bras dans le dos. Puis un lacet est mis autour de son cou.
Les filles s’écartent pour regarder Anna. Elle est à genou et n’ose pas bouger.
La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute.
Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand.
Elle est attachée couchée sur un banc.
Les filles commencent à jouer.
A chaque tir réussi une fille vient se faire lécher par Anna.
Certaines préfèrent brouter Anna ou la caresser.
Au bout d’une demi-heure la cheffe regarde sa montre et dit. Il reste un quart d’heure. Celle qui met le plus de but gagne le trophée.
Un quart d’heure plus tard une fille très jolie mais hyper musclée rugit de joie.
Elle vient détacher Anna du banc en gardant les mains liées et le lacet autour du cou.
Les filles applaudissent. Puis elles vont se doucher.
La gagnante emmène Anna avec elle sous la douche et la savonne méticuleusement puis la sèche.
Les filles se rhabillent et une à un quittent le gymnase.
La gagnante Olga rhabille Anna mais ne la détache pas.
Elle lui bâillonne la bouche avec un tee shirt et la traine derrière elle vers la sortie.
Anna se dit qu’on va les voir.
Dehors c’est déjà la nuit il est tard et les deux filles arrivent jusqu’à la voiture d’Olga sans être vues.
Anna est montée dans la voiture couchée en travers de la banquette arrière.
Voyage.
La voiture s’arrête Anna entend une porte de garage automatique qui s’ouvre la voiture entre dans le garage.
Anna est sortie de la voiture et tirée pas la laisse emmenée dans un petit salon.
Olga la déshabille et commence à lui faire l’amour maladroitement sans la détacher.
Anna plaint cette fille qui est si gauche. Elle ne doit pas souvent conclure se dit-elle.
Elle a presque pitié et petit à petit elle prend les choses en mains même si celles-ci sont toujours attachées.
La fille est aux anges. Anna a l’impression que la fille est à son premier flirt.
La fille l’emmène ensuite dans sa chambre ou elle couche Anna contre elle.
Elle n’a pas parlé depuis le départ du gymnase.
La fille s’endort. Anna a remarqué qu’un de ses liens devenait lâche.
Elle s’escrime dessus et bientôt elle libère sa main. La fille dort toujours. Anna se libère entièrement et regarde le visage angélique de la fille endormie.
Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds.
Elle attache ensuite les brins libres qui vont des poignets jusqu’aux pieds du lit. Elle ne tend pas les liens pour ne pas réveiller la fille. Puis c’est au tour des pieds.
Elle termine le deuxième quand la fille fait un geste en dormant un lien se tend et immédiatement la fille se réveille.
Anna fonce au lien d’un poignet et tire de toutes ses forces pour le tendre.
La fille rugit et se débat elle a une force herculéenne.
Anna réussi quand même son coup elle va de l’autre côté et tend le deuxième lien.
La fille rue se cabre et se débat comme une furie mais toujours en silence.
Les deux bras sont totalement immobilisés.
Anna entreprend de tendre les liens des jambes il lui faut 10 mn pour y arriver en profitant des moments ou la fille reprend son souffle.
La fille est écartelée. Anna est ruisselante de sueur. Le combat a été dantesque.
La fille la regarde sans ciller.
Anna lui dit alors tu vois ce n’est pas cool de faire ça à une inconnue.
La fille la regarde toujours sans parler.
Anna met sa main sur un sein de la fille pas de réaction Anna caresse le corps musculeux. La fille la regarde toujours fixement. Anna s’enhardit et approche de l’entrejambe.
Elle sent que la fille se crispe légèrement Anna met la main sur le sexe.
La fille laisse échapper un soupir. Anna y va franco et caresse le sexe. La fille halète un peu.
Anna la pétrit carrément et la fille tortille comme une furie.
Anna arrête et approche ses mains du cou et du visage de la géante qu’elle caresse.
La géante gémit et cherche les caresses.
Anna se met à cheval sur le corps athlétique au niveau du nombril de la fille. Celle-ci la regarde fixement. Anna remonte petit à petit elle a l’impression que le fille se tortille pour aider la lente reptation.
Enfin le sexe d’Anna est au niveau de la bouche de la fille.
Celle-ci respire fort et doucement pose sa bouche sur le sexe d’Anna.
Anna lui caresse le visage. La géante ouvre alors la bouche et suce maladroitement le sexe d’Anna .elle lui dit : Doucement on a le temps.
Lèche profondément et n’oublie pas ça elle met le doigt sur son clitoris.
Obéissante la fille fait ce que lui demande Anna. Pendant près d’une demi-heure Anna se fait brouter par la fille.
Anna jouit plusieurs fois et sent que la fille est à chaque fois au bord de l’orgasme.
Il est tard Anna lui dit maintenant je vais te libérer mais tu me laisse t’attacher les mains dans le dos on dormira ensemble ce soir il est trop tard pour que je rentre.
Un hochement de tête.
Anna met son plan en œuvre et vient se pelotonner contre les seins de la fille qui semble aux anges.
Plusieurs fois dans la nuit la fille l’embrasse comme elle peut. Anna se décide à se remettre à califourchon sur la fille qui aussitôt la broute avec la plus grand attention.
Anna la masturbe avec la main la fille gémit et se laisse aller.
Au réveil Anna voit que la fille la regarde en adoration.
Anna l’embrasse la fille réagit fougueusement.
Anna la détache et la fille la serre dans ses bras. Elles prennent un petit déjeuner ensemble. Au moment où Anna va partir la fille lui souffle tout bas revient s’il te plait.
Deux jours plus tard Anna retourne au gymnase ou elle revoit ses amies.
Elles font leur gym et en sortant de la douche elles voient arriver les handballeuses.
Certaines pouffent en regardant Anna mais lorsque la géante leur parle à voix basse les rires se figent net.
Les amies d’Anna sont impressionnées par les carrures des handballeuses. Elles plaisantent entre elles et Vanessa une petite blonde dit. Ça doit faire drôle de se faire choper par ces filles.
Michelle la brunette regarde les athlètes , songeuse.
Vous voulez voir ce que ça donne leur dit Anna.
Ses amies gloussent. Tu crois qu’elles nous sauteraient dessus comme ça ?
Vous voulez ou pas demande Anna.
Les filles la regardent étonnées. Tu crois que ça nous fait peur. Tu te trompes.
Anna leur dit on n’a qu’à essayer.
Ses amies la regardent rêveuses.
Tu saurais les décider toi Anna. Ok dit Anna préparez-vous à une sacrée expérience.
Puis elle se dirige vers la cheffe des handballeuses.
Bonjour dit-elle. Mes amies pensent que vous n’oseriez jamais vous en prendre à elles. La cheffe la dévisage. Et toi tu en reveux.
Anna n’a pas le temps de répondre que la géante s’approche et dit. Je l’ai gagnée elle est à moi. Et elle passe sa ceinture autour du cou d’Anna en lui faisant des gros yeux.
Anna comprend qu’elle veut donner le change et se laisse faire.
Il nous reste les deux autres dit la cheffe et elle se dirige vers Michelle et Vanessa qui commencent à flipper.
Le team suit la cheffe et en quelques secondes Michèle et Vanessa sont nues pelotées attachées et obligées de lécher des sexes impatients.
Anna sur la demande de la géante s’est déshabillée et se laisse promener tirée par son collier improvisé.
Les victimes sont amenées dans les gradins elles font les fières mais se font quand même toute petites.
Le challenge recommence. A la fin de la séance les deux gagnantes se mettent à califourchon sur leurs victimes sanglées sur les gradins.
Elles font de leur mieux pour satisfaire leurs propriétaires.
Les autres filles partent peu à peu.
Anna part avec la géante. Elles passent une nuit heureuse Anna commandant et la géante entravée réalisant tous les désirs d’Anna.
Le surlendemain Anna retourne au gymnase.
Elle croise Michèle qui lui raconte sa soirée lesbienne involontaire.
Elle ne garde pas un mauvais souvenir mais ça n’est pas sa tasse de thé
Vanessa n’est pas là. Lorsque les handballeuses arrivent Anna pose la question à la géante. Il n’est rien arrivé à Vanessa ?
La géante perplexe se dirige vers Sophie, celle qui avait « gagné» Vanessa.
Celle-ci sourit et lui dit qu’elle est chez elle et que tout va bien. Elle vient voir Anna et lui propose de venir voir Vanessa
. Anna qui commence à être inquiète accepte de voir Vanessa pour se rassurer.
Sophie lui donne son adresse et lui dit qu’elle peut passer ce soir elle verra Vanessa.
Le soir venu Anna accompagnée de Michelle se rend chez Sophie.
Celle-ci les reçoit cordialement et leur indique que Vanessa est là car elle devait garder le jouet de Sophie au chaud pendant l’entrainement.
Les filles sont intriguées. Sophie les mène dans sa chambre qui est vide. Puis Sophie ouvre la porte de sa garde-robe.
Là, à genou, les mains liées dans le dos se trouve Vanessa qui les regarde en clignant des yeux.
Une corde va du tour de son cou jusqu’à la barre horizontale sur laquelle on pend les habits.
Les genoux sont légèrement écartés et les filles peuvent voir que Vanessa est empalée sur un gode.
Sophie lui dit de dire bonjour à ses amies. Vanessa leur dit un bonjour timide.
Sophie lui dit. Montre-nous comment tu réchauffes mon jouet.
Vanessa commence alors des mouvements de haut en bas sur le gode.
Les filles n’en croient pas leurs yeux.
Sophie toute fière annonce qu’elle a passé un pacte avec Vanessa qui restera avec elle une semaine avant la reprise de ses cours.
Vanessa acquiesce du chef.
Bon alors si tout va bien on va vous laisser tranquille dit Anna.
Sophie les raccompagne jusqu’à la sortie de la maison puis revient vers Vanessa.
Bien ma belle tu as bien fait de faire ce que je t’ai dit sinon tu aurais reçu une raclée d’enfer.
Vanessa se recroqueville dans son cagibi.
Aller souris moi dit Sophie. Vanessa sort un petit sourire contraint.
Bon je vais te libérer un peu mais tu ne t’éloigne pas de plus d’un mètre de moi ou que j’aille dit Sophie. Vanessa opine. Oui maitresse on dit. Oui maitresse dit Vanessa.
Sophie la détache. Bien entendu tu restes nue et tu portes ce beau collier pour chien que je t’ai acheté à l’animalerie du coin.
Vanessa se laisse mettre le collier et suit Sophie comme un toutou.
Elle passe la soirée à chercher sans cesse d’être à moins d’un mètre de Sophie. Pour finir elle se colle à elle en permanence.
Ce soir-là elle est attachée au pied du lit de Sophie qui lui promet une promenade le lendemain.
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La fessée peut être aussi punitive , par des claque sèche mais aussi la fessée , si douce si forte reçue ou donnée ..installer sur mes cuisses ..
Mes mains qui prennes possession de ces fesses offertes .. des mains caressantes qui claquent d’abords doucement , de plus en plus forts , s’arrêtant , pour caresser des fesses qui deviennent de plus en plus chaudes ..
Entendre des gémissements , des cris , des Madame encore , je vous en prie ..
Recommencer , le /la sentir se trémousser , être au bord de la jouissance ,
Caresser cette chaleur appuyer ou les traces des doigts sont la ..
Voir ses fesses prendre une belle couleur de feu
les sensations sont fortes des deux côtés ..
Il ou elle jouira , de cette fessée que je donne toujours avec plaisir ..
La /le consoler ensuite de cette forte émotion et recommencer encore ..
Lady H
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Aveux d'aiguilles.
Quelle heure pouvait-il être ? Le rideau ne laissait deviner aucun jour, un bruit à l'étage de temps à autre. Madame avait pris soin de l'avertir de toute la déplaisance de quelque cri qui soit, et combien il serait vain.
Un épais collier de chien fixée au cadre métallique entravait tout mouvement de la tête . Pieds et mains étaient immobilisés pareillement et rattachés au lit ; un harnais maintenait son entrejambe ouvert, son cul offert, macérant .
Il essayait d 'émerger de son état vaseux, de reprendre pied. Il lui apparaissait de plus en plus que l'aspirine qu'il avait bue avant de s'endormir, juste après la fin d'un de ses plaisirs , n'en était pas vraiment une.
Depuis combien de temps était-il resté couché là ? De minuit à maintenant? Deux minutes ? Un instant ?
Il se revoyait pousser la porte après avoir sonné à l'interphone. « Vous êtes ponctuel, j'apprécie. » . A demi-allongée sur l'ottomane, elle laissait pendre sa longue main, indolente, posée sur l'accoudoir. « A genoux je vous prie. ».A ses doigts, quelques bagues; il les devinait dans la pénombre . Il trouvait leurs feux envoûtants et le lui avait dit. Elle avait souri.
Les mots de sa toute première lettre, celle qui avait retenue son attention , lui revenait en mémoire. » Il n'est de sombre objet de désir que d'obéir à votre fol empire. Vous, jouant de ce corps rampant, esclave de sa jouissance, tout à vous. Vous, désireuse d'éteindre tout orgueil, ... /.... »
Elle prenait grand plaisir à le prendre au piège de ses mots « Qu'en savez- vous de ce qui me plaît ? Ne seriez-vous pas en train de me suggérer et les questions et les réponses ? ».
Lui, de se troubler, ne savait plus que dire. Elle, petit sourire au coin des lèvres, goûtait de le mettre mal à l'aise. « Vos phrases sont maniérées. Aucune spontanéité n'en ressort, je suis un peu déçue. Vous êtes surtout esclave de vous-même. De vouloir tant vous contrôler, vous êtes autant perdu que perclus. » Je vais m'employer à vous défaire de cela...
Plus tard, nu, dans cette pièce de la cave où il n'était jamais descendu qu'avec un foulard sur les yeux, il lui revint, sentant son souffle , avoir osé fixer un instant son regard. Dans ses yeux e cristal, il devina immédiatement le faux pas . Elle lui saisit le visage et, enfonçant ses ongles dans ses joues jusqu'au sang, elle le força à plier.
Au sol s'ensuivirent les sifflements du jonc, sentence, claquements secs, cris retenus, silence, ….latence.
« Vos mains, je ne vous le redirai pas. ». Un bâillon mit un terme aux cris qu'elle ne parvenait à faire taire.
« Dix de plus si vous continuez votre cirque. » n'avait suffi.
Elle entreprit dès lors de l'attacher sur ce qui tenait lieu de lit.
De le goder, de le fouir consciencieusement, l'amusait. Sans jamais cesser de le faire glisser, elle tournait l'accessoire, gagnait en profondeur; elle le maniait lentement d'un geste sûr. Elle en jouait selon les gémissements de sa « chose ». Elle se piqua au jeu d'en rajouter un second, de taille plus modeste. Les reins de la « chose » baignaient désormais dans le gel et le foutre, sur ce film plastique jeté sur ce matelas taché et défoncé .
Arrivée à ses fins, elle regarda son œuvre qui haletait, se tortillait dans son inconfort, son trou distendu, visage crispé. Au moindre petit mouvement, on entendait la peau poisseuse coller au plastique.
Il n'avait encore lâché prise, elle attendait qu'il s'abandonne, qu'il arrête de réfléchir, qu'il se donne, qu'il sombre au-delà de ce qu'il avait imaginé. La confiance , voilà ce qu'elle voulait, qu'il s'en remette à elle sans gamberger, qu'il se perde.
Elle le tenait.
Madame en vint à ce qu'elle projetait pour lui, depuis quelques jours ; ce qu'elle s' était bien gardée de lui dire. D'une petite boite en nacre, elle sortit deux aiguilles creuses, assez grosses, proche d'une allumette. En soi, les aiguilles n'effrayaient pas le garçon attaché plus que ça , mais voyant leur taille, il ne put retenir un geste de recul. Du dos de sa main, elle lui caressa doucement la joue.
Après le froid et l'odeur entêtante de l'alcool sur le téton, la rentrer ne fut pas le plus dur ; faire ressortir l'aiguille s'avéra autrement plus sensible. Il la sentait avancer dans la chair, millimètre par millimètre. La plasticité de la peau exigea d'appuyer à revers pour traverser l'aréole.
En ville, les perceurs allaient vite; elle, au contraire, s'attachait à progresser tout doucement, avec des petits mouvements oscillants pour aviver la douleur. Rassurante mais ferme, elle s'appliquait à moduler l'intensité de l'élancement .
Sa tête bourdonnait, sa bouche était sèche .Madame veillera plus tard à pallier cette gêne à sa manière. Le souffle de plus en plus court; il cherchait à se contrôler, à endurer mais, il se sentait perdre pied inexorablement. Si près de cette pointe biseautée et du visage détendu de cette femme, son cœur s'affolait. Quelques gouttes de sang perlèrent, puis un filet corail descendit son torse. Elle, concentrée, l'observant à la dérobée ; lui un peu pâle, en sueur....
Du fait de ce bâillon particulier à l'odeur si musquée qui occupait sa bouche, il peinait à respirer. Il n'était plus qu'un corps à disposition. Madame saisit un anneau épais de trois bons centimètres de diamètre qu'elle glissa dans le creux de l'aiguille qu'elle fit glisser en retour, Son pouls s'emballa de plus belle. La pose du second anneau le lança encore plus. Elle se repaissait de sa lenteur et des déglutitions de l'homme épris d'elle .
La douleur n'est en rien une science exacte. La douleur de ce soir-là n'avait rien de commun avec celle, habituelle, qu'il lui arrivait de se donner, pour voir : les gros hameçons dont il polissait l'ardillon, des aiguilles de seringues qu'il était allé acheter dans un magasin pharmaceutique. « Vous êtes de profession médicale ?Laissez-nous vos coordonnées professionnelles, nous avons des offres promotionnelles régulièrement ... » lui avait proposé la vendeuse . Les 2 boîtes de 100 ne passaient pas inaperçues... Embarassé, il lui fallut très vite trouver quoi répondre …
Les lèvres, le gland , le nombril ou les seins, …il testait, ...se testait, appréciait la douleur, se concentrait sur son geste...
Seul, ce faisant, il ne dépendait de personne, ce n'était qu'un petit exercice de maîtrise de soi qui avait commencé jeune. Bien sûr, ses limites ne manquaient pas de le rappeler à l'ordre s'il les outrepassait. Il avait failli certaines fois tourner de l'oeil. Le sang, le sien, ne l'avait jamais effrayé ; depuis toujours il admirait l'intensité de ce rouge . Point commun avec le foutre il poissait et collait.
De savoir jusqu'où la douleur, ou bien la répugnance, mêlée à la jouissance brouillait les perceptions l'avait toujours travaillé. Pour autant, la répugnance ne fonctionnait pas comme la douleur ….qui crispe, qui chauffe, qui porte au cœur ; elle est plus cérébrale..autre.
Ce qui le faisait fantasmer, ...non sans une certaine appréhension, c'était d'abolir son libre-arbitre. Se déprendre complètement de soi-même.... Mais surtout, qu' une femme le dépossède de sa volonté, une femme qui aurait tout pouvoir sur lui.... à qui il s'en remettrait. N'avoir à contrôler que ce qu'elle exigerait.....
Pourquoi une femme ? Il lui arrivait plus rarement d'imaginer un homme.Il trouvait les femmes plus douées pour humilier et jouer avec les temps : tension, rupture, accelerando ….afin de ruiner toute attente. Il prenait conscience que la soumission lui importait plus qu'il ne le pensait....et il comprenait que seule l'expérience de la réalité le mettait au pied du mur. Avec elles, il repoussait ses limites ; s'il lâchait son safeword « kadish », c'était aux confins de lui-même.
La chair prise comme lâcher-prise.
Avoir mal est immédiat, irraisonnable ; un « ici et maintenant » réel, incontournable, insistant! ...
Jouir vous emportait ailleurs, hors du temps, irréel... Le mixte des deux avait toujours attisé sa curiosité ; il le voyait comme une présence-absence impossible à définir, une sensation indicible. Le degré suprême étant la peur d'avoir mal; la crainte...
Après l'avoir annelé aux seins , elle s'enquit d'orner son entrejambe d'une guiche conséquente. Le visage blême et toujours bâillonné, il s'efforçait en vain de calmer sa respiration, tout en goûtant l'avance de l'aiguille qui glissait dans ses chairs entre l'anus et le sexe....Dans un état flottant....il s'abîmait dans le regard tranquille de la femme aux aiguilles.
Retrouvant vaguement ses sens, seul, il somnolait. Toujours menotté à ce cadre de lit, impossible de se retourner. Il ne l'entendit pas rentrer. Une porte accédait semble-t-il à l'arrière.
Sans un mot,, une main se posa sur sa nuque , l'autre descendit, caressant sa poitrine.
Elle fit bouger délicatement chacun des deux anneaux.
« Regarde, tu es à moi. »
Son visage quiet rayonnait …
Son plaisir était le leur.
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Comment je fis connaissance d'Huguette
Ma méthode de drague infaillible avait fonctionné au delà de mes espérances ce jour là. Alors que j'errais sur un site de Tchat, l'esprit vide mais les couilles pleines, je suis contacté par une quasi voisine. J'aurais peut-être du me méfier quand, à mon «bonjour» elle a répondu par «tu me plais», et à mon « comment ça va?», elle avait répondu par son numéro de portable. Mais bon mon charisme transpirait sous chacun de mes mots, donc rien d'étonnant. Et un Maître de ma trempe ne pouvait se laisser déstabiliser comme ça; j'enchaînai en lui proposant de se voir autour d'un café, ce à quoi elle rétorqua «vient plutôt me fouetter et me faire tout ce que tu veux à 14h chez moi». J'aurais presque pu être frustré devant tant de facilité si je n'y étais habitué; j'étais d'autre part tellement en manque que je n'en demandai pas davantage.
C'est très surfait la mauvaise réputation des quartier nord de la ville me dis-je; j'avais pu arriver jusqu'au pied de la tour de 14 étages sans me faire caillasser une seule fois. Evidemment les gaillards dans la cage d'escalier me regardaient d'un sale air (pas celui de la peur en tous cas) alors que je cherchais le nom sur les sonnettes...Voilà Huguette M. 12ème étage. Je pris volontiers l'escalier quand les loubards m'expliquèrent clairement que l'ascenseur était réservé.
Lorsque la porte s'ouvrit , je compris pourquoi ma charmante néo-soumise ne sortait pas de chez elle; elle ne passait plus par la porte depuis plusieurs années. Loin de moi l'idée de critiquer son physique, être à ma hauteur n'était évidemment à portée du commun des mortels. Je la suivi dans le salon; sa démarche de canard, déplaçant une masse imposante à chaque pas me donnait le mal de mer. Elle se laissa tomber lourdement sur un canapé qui demandait grâce une nouvelle fois. Ses ex-cheveux blonds, mi-longs, n'avaient pas vu le coiffeur depuis une éternité; le shampooing non plus. Leur couleur grisâtre prouvait qu'elle n'avait pas menti en disant être naturelle. Elle était habillée simplement, d'une robe dont le tissus me disait quelque chose… Mais oui , les rideaux de mamie! Même couleur, quasiment la même coupe aussi (sauf qu'il manquait les anneaux en haut). En revanche, soit elle avait mauvaise mémoire soit elle avait menti sciemment en indiquant son âge, qu'à mon humble avis elle avait du sous-estimer d'une bonne quinzaine d'année.
L'air était irrespirable; certes les auréoles de transpiration sous les aisselles de ma belle n'arrangeaient rien, mais ce mélange de tabac froid et de chien mouillé (mort depuis 8 jours _ Renaud, nouvel épisode culturel) se révélait suffoquant. Impossible d'ouvrir les fenêtres malgré ma diplomate suggestion («quelle chaleur…») à cause du bruit: entre la gare de triage à 77m, la rocade à peine plus éloignée, et les avions décollant toutes les 2mn15, nous ne nous entendrions plus parler . Bon, d'un autre coté, pour ce que nous avions à nous dire... Son premier pet me donna l'occasion de respirer un peu d'air frais. Grande Dame elle s'en excusa évoquant des problèmes gastriques récurrents. En me rapprochant d'elle je me dis qu'au moins cela couvrirait l'haleine de coyote de ma belle.
Il fallu quinze bonne minutes pour parvenir à ôter la robe de la dame. Certes elle était moulante (mais tous les vêtements avec elle l'étaient forcément), mais la transpiration n'aidait pas. Enfin nue, je découvris avec plaisir ses bas résilles. Certes les mollets de la dame équivalaient à mon tour de taille, mais au moins je voyais là un effort. En m'approchant, je désenchantai en découvrant qu'il ne s'agissait que de ses varices. Son coté naturel se voyait aussi avec sa toison, jamais taillée; j'envisageai un instant de la raser, ce pourrait être un jeu sympa , mais renonçai pour 2 raisons : j'avais oublié mon taille-haie dans le garage, et je n'aurais pas le temps ensuite de passer à la déchetterie.
Je la positionnai à 4 pattes au sol (ce qui releva par moment de la manutention) et entrepris de la fesser; première claque sur l'auguste fessier: l'onde de choc se propagea jusqu'au cuir chevelu! Seconde sur l'autre fesse… re-Tsunami. Impressionnant. Vu le manque de résultat , je décidai d'utiliser la cravache. A ma grande surprise, quasiment pas un bruit ne se fit entendre quand celle ci s'enfonça dans la chair molle et flasque. Pas davantage de réaction de la dame. Je renonçai, épuisé au bout de 10 minutes sans la moindre réaction de celle-ci, supposant que les centres nerveux étaient enfouis trop profondément pour être atteints.
Bon au moins, j'allais enfin pouvoir me soulager; j'avais initialement décidé de sodomiser sans plus de manière ma nouvelle complice (sa bonne éducation empêche l'auteur d'écrire cette expression en 2 mots). Mais arrivé en position je dus bien se rendre à l'évidence que pour y parvenir , ( et malgré une taille éminemment respectable… ) il m'aurait fallu un sexe plus long d'au moins 30 cm. Peu importe , loin de me démonter, je fis le tour pour atteindre sa bouche; arrivé épuisé de l'autre coté, je remarquai non sans déplaisir que la belle déposait son dentier avant d'entamer une inoubliable fellation. Inoubliable pour elle surtout qui semblait ne pas avoir pratiqué depuis un certain temps.
Devant la magie de cet instant , plus rien ne comptait. Même les 12 étages à re-descendre à pied, même le racket honteux dont je fus victime arrivé dans le Hall, même les 2 pneus crevés à changer sur la voiture avant de repartir… Parfois , la vie est belle.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 19 : Claire et Magalie cohabitent.
Extraits « … Magalie reste bouche bée. Elle a devant elle une belle fille qui est montée comme un cheval et qui bande comme un taureau. De son côté Tristan qui est à genou attaché les mains dans le dos ne peut détacher son regard de Frédérique. Sa bite tente de passer au travers de sa cage. … Pendant ce temps sur un geste de claire Frédérique arrive derrière Tristan et l’encule profondément. … claire le fait se placer face à la tête de Tristan qui voit une énorme bite se colle à sa boucher. Suce-la ! Commande Magalie. Tristan s’exécute. C’est la première fois qu’il suce une bite… »
Quelques jour après le rapt Anna se remet bien elle remercie sans cesse ses amis.
Claire a raconté toute l’histoire de Frédérique et se décide enfin à la montrer à ses amies.
Elle prend rendez-vous un soir avec Magalie.
martine et Anna sont inséparables et ne bougent plus de chez martine.
La rencontre se passe dans l’appartement de Magalie.
Lorsque claire entre Magalie la reçoit avec effusion. Elle est scotchée par la bimbo qui accompagne claire et qui à peine entrée dans l’appartement enlève son par-dessus.
Elle n’a rien dessous. Magalie reste bouche bée.
Elle a devant elle une belle fille qui est montée comme un cheval et qui bande comme un taureau.
De son côté Tristan qui est à genou attaché les mains dans le dos ne peut détacher son regard de Frédérique.
Sa bite tente de passer au travers de sa cage.
Voyant qu’il souffre Magalie lui retire exceptionnellement la cage et aussitôt le chibre de Tristan prend des proportions identiques à celles de Frédérique.
Les filles sourient. Avec ses deux étalons on va passer du bon temps.
Elles sont émoustillées.
Claire raconte la soumission totale de Frédérique et le actions qu’on peut lui faire faire avec juste un geste de la main.
Magalie veut voir.
Frédérique danse de façon suggestive puis vient bouffer l’entrejambe de Magalie qui se rend compte de la dextérité de sa langue.
Puis voyant l’état de Tristan claire fait un geste et Frédérique va sucer goulument Tristan.
Celui-ci trop excité et surpris ne peut se retenir et jouit dans la bouche de Frédérique.
Magalie enrage. Tu n’aurais pas dû te lâcher comme ça dit-elle à Tristan qui se recroqueville.
Quelle punition je vais t’affliger maintenant.
Claire excitée ne perd pas une miette. Elle glisse un mot dans l’oreille de Magalie.
Bonne idée dit celle-ci. Aidée de claire elle attache Tristan sur la table du salon sur le ventre.
Il est ainsi à quatre pattes et son derrière et offert.
Magalie vient en face de lui et lui montre son entrejambes.
Il la lèche.
Pendant ce temps sur un geste de claire Frédérique arrive derrière Tristan et l’encule profondément.
Heureusement Magalie a donné à claire un flacon de lubrifiant qu’elle a copieusement répandu sur le chibre de Frédérique.
Tristan la bouche collée à la chatte de Magalie se plaint doucement.
Frédérique le ramone avec vigueur puis plus lentement sur un ordre de claire.
Magalie se retire et propose à claire de la remplacer.
Magalie peut contempler le tableau de Tristan se faisant ramoner par une bimbo endurante.
Magalie se rapproche de claire qui ne veut pas quitter sa position si intéressant.
Elles parlent entre elles alors que Frédérique continue de pilonner et que Tristan qui a cessé de gémir commence à retrouver une érection de bonne taille.
Puis sur un ordre de claire qui est satisfaite Frédérique se retire de Tristan.
Un ordre de claire et Frédérique va dans la salle de bains nettoyer son chibre toujours tendu. Frédérique revient et claire le fait se placer face à la tête de Tristan qui voit une énorme bite se colle à sa boucher.
Suce-la ! Commande Magalie.
Tristan s’exécute. C’est la première fois qu’il suce une bite. Finalement ce n’est pas si mal.
Les présentations ayant été faites les filles vont s’assoir sur le canapé.
Tristan qui a été libéré et Frédérique sont à genou devant elles.
Claire raconte à Magalie que ça commence à lui couter cher. Magalie fait la même constatation,
Tristan est toujours au chômage. La conversation tourne autour des économies qu’elles pourraient faire. Puis l’idée d’une colocation vient à Magalie. Elles pourraient prendre un plus grand appartement et s’installer toutes les deux avec leurs esclaves dans l’appartement.
Les abonnements assurance et autres seraient divisé par deux et le loyer d’un grand appartement est moins cher que celui de deux petits.
Elles se décident et trinquent à leur future cohabitation en buvant un verre et en se faisant brouter par les esclaves.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE DIX HUIT : Anna récidive.
Extraits « … De son cotés elle fait tout pour leur plaire : elle danse, suce, s’offre et prend toutes les positions souhaitées. Ses trois orifices connaissent intimement chaque garçon… Tu feras une bonne pute pour notre squat dit le deuxième. Elle veut crier mais le troisième larron qui l’a contourné lui passe un grand sac par-dessus la tête… Elle pleure mais se tait. Un des gars visiblement échauffé par les coups lui colle son chibre aux lèvres. Désemparée elle suce le membre. Voilà ton chez toi pour une petite semaine lui dit un des gars. Ensuite c’est le mac et le tapin pour toi. On devrait palper un bon paquet pour toi…. »
Lorsqu’elle rentre chez elle Anna est tourneboulée.
Elle n’a jamais été autant heureuse que lors de ces 24h00 incroyables.
Elle ne peut plus compter le nombre d’orgasme mais ça lui a beaucoup plus d’être à la merci de ses garçons. Elle s’est sentie chienne et aurait voulu que ce moment dure éternellement
. Elle a l’impression de trahir martine mais elles ne sortent pas ensembles elles jouent juste un jeu de soumission très agréable.
Maintenant elle pense que malheureusement ce genre d’aventure ne risque pas de lui arriver de nouveau. Et ça la chagrine un peu.
Quelques temps plus tard un samedi après-midi un sms la surprend il provient de tom qui a certainement fouillé dans son portable quand elle était prise en main. Une onde de chaleur irradie depuis son bas ventre. Elle lit le sms.
Dessus un simple : je garde la maison de martine jusqu’à demain midi. Pas d’invitations rien de plus. Elle hésite. Petit con tu crois que je vais te refaire l’esclave de toi et ta bande de potes.
Quelques minutes après cependant elle est en route vers la maison de Martine. La journée se déroule comme un rêve les garçons adorent la voir attachée et la malmène gentiment. Ils voient qu’elle adore ça.
De son cotés elle fait tout pour leur plaire : elle danse, suce, s’offre et prend toutes les positions souhaitées. Ses trois orifices connaissent intimement chaque garçon.
Le lendemain matin elle rentre extenuée mais béate chez elle.
Deux semaines plus tard nouveau SMS. Elle se précipite. Elle arrive se met en tenue d’esclave et pénètre dans la pièce.
Tom est là mais elle ne reconnait pas les trois garçons qui l’accompagnent. Ils sont louches et elle sent qu’il n’y a pas l’ambiance potache de l’autre jour.
Tom parait très réservé mais les trois autres garçons se ruent sur elle et elle est pelotée tâtée fouillée et ne tarde pas à être l’objet des assauts de trois bites de tailles respectables.
Elle se dit qu’ils sont mieux montés que les copains de tom.
L’un deux la sodomise et là elle peut confirmer que ça n’est pas du petit calibre.
Petit à petit cependant elle se laisse portée par la séance de sexe et bientôt elle oublie le malaise qui l’a pris en rentrant.
Après deux heures d’orgie sexuelle les trois garçons s’écartent pour faire un conciliabule.
Elle se rend alors compte que tom n’a pas participé et parait gêné.
Les garçons ont terminés leur aparté et se rapprochent d’elle.
Tu sais que tu as un cul d’enfer dit le premier.
Tu feras une bonne pute pour notre squat dit le deuxième. Elle veut crier mais le troisième larron qui l’a contourné lui passe un grand sac par-dessus la tête.
Elle se débat autant qu’elle peut mais ligotée comme elle est-elle ne fait pas le poids contre les trois gaillards.
Très rapidement elle entre complétement dans le sac et le noir arrive quand ils ferment le sac avec elle dedans.
Elle entend l’un des trois dire à tom. Voilà tes trois mille balles elle les vaut bien. On va en profiter quelque temps et après on la vendra à un mac qui en fera une bonne tapineuse.
Anna se débat dans le sac et des coups pleuvent à travers la toile
Ta gueule putasse sinon on te bastonne vraiment.
Si tu aimes les coups tu vas être servie. Encore que ce ne sera rien par rapport au mac à qui on va te vendre.
Anna est paniquée mais ne bouge plus.
Et toi Tom tu fermes bien ta gueule sinon tu ne passeras pas la semaine.
Elle sent qu’on la porte comme un sac de pomme terre. Elle est mise dans un coffre qui pue l’essence et la voiture démarre.
Quelques minutes plus tard elle est sortie du coffre le sac est hissé sur une épaule elle est transportée on ne sait où.
Le sac est jeté par terre. Elle sait qu’elle doit être couverte de bleus.
Le sac est ouvert elle regarde autour d’elle.
Elle est dans une pièce miteuse sans fenêtre et un matelas pourri git par terre. Il y a une espèce de petit échafaudage sur le côté.
Elle est sortie du sac et amenée près de l’échafaudage. Ses poignets sont libérés mais se retrouvent attachés à une barre horizontale en haut de la structure.
Ils lui font reculer le corps au maximum et une barre d’échafaudage est placée devant son bassin.
Ses jambes sont écartées et elles sont attachées à un élément de la structure.
Le bas de son corps est vertical mais au-dessus du bassin elle est plié contre la barre et est forcée à se tenir horizontale.
Une corde est passée autour de son cou accrochée en bas et elle ne peut que garder sa tête à hauteur de son bassin.
On lui tire les bras en arrière et elle sent une barre, peut être un manche à balai, venir dans son dos horizontalement. cette barre qui passe sous les omoplates est attachée en haut des épaules.
Ses mains sont tirées vers le haut et attachée en hauteur.
Elle et pliée en deux les bras tendus derrière elle tirés par un corde vers le haut. Elle ne peut ni lever ni baisser la tête.
Cette position est douloureuse. Elle veut crier mais prend une claque phénoménale qui lui laisse un gout de sang dans la bouche et un uppercut dans le ventre qui lui coupe le souffle.
Elle n’arrive pas à respirer et croit qu’elle va mourir là.
Un deuxième énorme claque fait voler sa tête sur le côté et lui remet le réflexe de respirer.
Elle entend tu fermes ta gueule salope ou on va te faire vraiment mal.
Elle pleure mais se tait. Un des gars visiblement échauffé par les coups lui colle son chibre aux lèvres.
Désemparée elle suce le membre.
Voilà ton chez toi pour une petite semaine lui dit un des gars. Ensuite c’est le mac et le tapin pour toi. On devrait palper un bon paquet pour toi.
Anna panique elle croit qu’elle va mourir. En plus elle n’a prévenu personne de son déplacement. Elle s’évanouie.
Martine est rentrée et tom l’a accueillie. Il était pale et n’a pas chercher à la draguer.
Ca l’étonne. Elle se dit qu’il a surement été largué par sa copine.
Je vais bien voir. Et quand tom est parti elle va récupérer la mini camera espion qu’elle a mis pour filmer le salon.
Elle veut voir si les ébats des jeunes ne sont compatibles avec le prêt de la maison elle a peur qu’il fasse venir des mineures.
Elle lance la caméra. D’abord tom puis trois mecs patibulaires entrent dans la pièce.
L’un deux à un grand sac de jute vide qu’il planque derrière un fauteuil.
Le temps passe et leur regard est attiré vers l’entrée.
Elle ne voit pas ce qui les intrigue mais elle les voit se précipiter vers l’entrée.
Puis effarée elle voie les gars conduire Anna ligotée au centre du salon.
La suite est cauchemardesque mais le paroxysme est atteint quand Anna est kidnappée et frappée par les gaillards.
Elle voit l’échange d’argent et tom qui reste seul avec l’argent.
Elle est affolée. Elle appelle claire et Magalie et leur raconte ce qu’elle a vu.
Les filles lui promettent de rappliquer aussitôt. Le temps que les filles arrivent elle enregistre le film sur le pc et peut ce coup-ci entendre les paroles.
Elle est effondrée.
Magalie et claire arrivent Tristan les accompagne.
Ils n’osent pas appeler les flics ils ont peur que ce soit fatal pour Anna.
Tristan propose de joindre tom et de le faire parler.
Magalie appelle tom et lui raconte qu’elle a un petit problème à la maison et lui demande de la rejoindre tout de suite. Trois minutes pu tard tom arrive piteux.
Tristan lui décoche un coup de poing magistral qui met quasiment ko le gamin.
Elle est où dit-il en levant la main. Tom se déballonne dit qu’elle est provisoirement dans un squat et que dans quelques jours elle va être récupérée par un mac.
Tristan demande si tom sait où se trouve le squat.
Il confirme.
Ils veulent y aller tout de suite mais tom leur dit que les kidnappeurs ont des armes.
Les filles sont désespérées. Tristan seul à garder son calme demande à tom s’il y a moyen de la délivrer sans être vu.
Il répond : pas aujourd’hui car ils sont tous là. Mais cette nuit ils ont prévu un cambriolage chez un rupin et entre 3 et 4 heures du mat le squat devrait être désert.
Tom dit qu’il pense savoir les conduire jusqu’à la pièce qui a été aménagée pour Anna.
Tristan lui lâche un coup de poing.
Salopard lui dit-il tu l’as vendue pour trois mille balles.
Tom est effondré.
Si on n’y arrive pas je te fais la peau dit Tristan.
Tom se recroqueville.
Les filles sont soufflées par le comportement de Tristan qui a pris la tête du groupe.
L’attente jusqu’à 3h00 est interminable. Ils s’imaginent les sévices que doit subir Anna et rongent leurs freins.
Les filles regardent tom avec une haine affichée.
Claire se dit qu’il mériterait de rencontrer la tigresse si on ne le tue pas avant.
2h50 ils ont garé la voiture à trois cent mètre du squat et Tristan Magalie et tom se dirigent discrètement vers le squat.
Claire retient martine dans la voiture. Elle lui dit qu’elle ne saura pas se retenir si elle voit Anna. La discrétion est vitale pour eux.
Heureusement tom connait un chemin détourné discret pour arriver près du squat.
Ils se font presque repérés quand une voiture quitte discrètement le squat. Les trois salauds sont dedans.
Ils vont faire le coup dit tom. Ils attendent une quinzaine de minutes puis entrent dans le squat par une fenêtre éventrée.
Tom leur dit qu’il y a des zonards dans le squat mais heureusement ceux qui avaient des chiens sont partis la semaine dernière.
La progression dans le squat est longue mais ils prennent le maximum de précautions.
Ils arrivent devant une porte fermée par une chaine close par un énorme cadenas.
C’est là dit tom.
Les filles sont désemparées.
Tristan retourne en arrière et fouille le squat.
Il revient quelques minutes plus tard avec une barre de fer.
Après quelques minutes de lutte bruyante le cadenas cède.
Ils peuvent ouvrir la porte le spectacle est terrible dans la lueur de la seule torche allumée. Anna git toujours enchevêtrée dans la structure métallique. Son visage et son corps sont tuméfiés. Les filles retiennent cri car elles pensent qu’Anna est morte.
Tristan se précipite prend le pouls d’Anna.
Elle est vivante dit-il soulagé.
En quelques secondes, aidé de tom il libère Anna qui ne réagit pas.
Tom et Tristan la portent pour reprendre le chemin du retour en priant pour que les bruits n’aient réveillé personne.
Quelques minutes après ils quittent le squat.
Magalie appelle claire qui approche la voiture à un point convenu.
Ils montent dans la voiture en couchant Anna sur les genoux des filles. Martine pleure éperdument.
Ils ne vont pas chez martine mais directement chez Magalie.
Là ils allongent Anna sur un lit et ils essayent de soigner ses hématomes.
Heureusement elle n’a rien de cassé. Elle avait trop de valeur marchande pour être abimée.
Martine pleure et tom pleure aussi dans son coin. Ils vont me tuer répète-t-il.
Effectivement c’est le premier suspect que les truands viendront chercher.
Laissant tom seul dans un coin les quatre se concertent.
Si ils trouvent tom on est foutu dit Tristan.
Même s’il se rend aux flics ils finiront par l’avoir. Il faut qu’il disparaisse.
Claire dit soudain tout bas : je sais quoi faire.
Ils la regardent étonnés. En quelques mots elle raconte son deal involontaire avec la tigresse.
Il ne lui reste qu’une semaine et elle a peur pour sa vie.
Ils se concertent.
Sans la camera espion Anna serait dans un état bien pire que la mort et ce petit batard dépenserait son fric dans des jeux de console.
La décision est prise Tristan va parler à tom il lui dit qu’ils peuvent le faire disparaitre de la circulation et que les truands ne le trouveront jamais.
L’Esperance fait relever le visage de tom.
Mais il y aura un prix à payer dit Tristan. Tout plutôt qu’être chopper par ses malades dit tom. Son destin est scellé.
Ils passent tous la nuit chez Magalie. Personne ne dort.
Anna délire mais sa respiration et son pouls vont bien.
Le matin se lève et dès qu’ils trouvent l’heure convenable claire appelle la tigresse.
Celle-ci est ravie. Elle les attend sans délais.
Une fois le téléphone raccroché la tigresse sourit. J’avais peur d’avoir gâché de la marchandise en tuant ces trois cambrioleurs cette nuit mais le destin me remercie en m’amenant un gamin à éduquer.
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C'est fini. J'en ai marre! Je décide d'absolument tout supprimer. Il ne restait déjà plus rien de nos discussions par messagerie puisqu'Elle avait déjà tout supprimer, mais là il faut en finir. Il faut tourner la page. Après 1 mois de total silence de mon ex-Dom.
Tête baissée, je branche mon disque dur externe, saisi le dossier avec photos, identifiant du jeux vidéo, quelques screenshots de nos premières discussions déjà très dominées par Elle. Ces discussions me font revivre les prémices d'une relation qui me marquera à vie. Que penses-je? Stop, arrêter cette pensée. Passer à autres choses. Etre mentalement fort. Motivé.
Je glisse le dossier du disque de l'ordinateur dans la corbeille. Idem avec le dossier sur le disque dur. Je réfléchie encore à ce qui me pourrait me lier à Elle. Ha oui ! j'ai envoyé un email à l'entreprise du jeux vidéo pour savoir s'il pouvait casser notre lien d'amitié virtuel (que j'avais volontairement abondamment approvisionné ridiculement, presque 100 fois les moyennes d'amitiés et j'avais payé pour cela). Je supprime ces emails aussi (les reçus, les envoyés, la corbeille, tout ! tout ! tout!). Je vide ma corbeille et me dit, "enfin, c'est fini, je ne vais pouvoir tourner la page".
Il s'en suit un sentiment de liberté, d'une pensée absente, comme une méditation permanente, un soulagement salvateur. Samedi, dimanche, je me sens revivre, libre.
La semaine se passe bien, je commence le lundi avec le sourire. Il fait beau, le soleil s'est enfin décidé à pointer son nez.
Mardi, des pensées reviennent. Elles reviennent plus fortes encore. Jusqu'au moment où je me rappelle nos premiers échanges: "у тебя есть русские друзья?" - As-tu des amis Russes m'avait-Elle demandé. J'avais répondu oui, quelques un. Et je savais qu'une était vraiment fiable
Pourquoi ? pourquoi? pourquoi? m'avait-Elle posée cette question alors que nous nous connaissions depuis quelques jours seulement?
Je me dis : "peut-être pour maintenant, peut-être qu'elle savait que notre différence de culture ne pouvait être que suturer par un ami". Tu dois en avoir le coeur net. "Contacte la, tu n'as rien à perdre. Cela te confortera dans tes idées". Je lui envoi un imessage le mardi soir, 22:45. mercredi: pas de réponse. Je me dis mince. Le même jour, je réinstalle Telegram pour une autre raison et vois son nom. Je lui envoi un message. Mince, elle ne réponds pas, l'accusé de réception indiquant reçu mais pas lu...
Jeudi, Mince, elle ne se souvient pas de moi! Deux ans déjà que l'on s'est rencontré. Quelques photos et le contexte de notre rencontre; Ca y est elle se souvient. Elle m'avait dit "if one day you need something in Russia, you can contact me" Si un jour tu as besoin de quelque chose en Russie, tu peux me contacter. Et c'était exactement ce que j'avais besoin. L'avis d'une amie Russe, connaissant les manières européennes. Je lui explique par un message ma situation. Elle me donne rendez-vous téléphonique samedi matin de 7h30 à 9h00 pour mieux comprendre. "qu'est-ce qu'ils sont précis en Russie!" me dis-je.
Après une soirée avec une ex-copine pas revue depuis 2 ans, relation pas bien terminée, pendant laquelle nous avons fini au champagne jusqu'à 3h de matin, je me décide d'appeler à 7h30 pétante. Ca sonne, ça sonne... et ça résonnait aussi dans ma tête...
"Hello Lara, How are you? :) "
Je lui raconte absolument toute l'histoire, le fait que mon ex-Dom était la Boss dans notre relation. Je ne sais pas si elle a bien compris mais je l'ai dit plusieurs fois. Elle est très attentive, à l'écoute, n'intervient pas mais pose des questions de précisions ou de reformulations.
Elle intervient :"Forget Her, you lost her for ever" "oublie La, tu l'as perdu à jamais" dit-elle d'un ton froid et d'une assurance profonde sans le moindre doute.
Mon coeur se serre, mais je comprends. je reprends mes esprits
Lara me pose des questions, je réponds franchement, honnêtement.
" I would be FURIOUS" J'aurais été FURIEUSE me crie-t-elle nerveusement, prise par l'émotion.
Non, mince, non, ce n'est pas possible. C'est exactement les mêmes réactions que mon Ex-dom.
Non, non, non ce n'est pas possible, j'ai tout faux.
Lara conclue "you've been bad and she did good". "tu as été mauvais et elle a fait bien"
"you're reaction is weak, like a bastard. We called European men as pederaste".
"ta réaction est faible, comme un traître. On appelle les hommes européen pédéraste".
Je m'écroule subitement. Non, Comment ais-je pu faire faux.
Je réfléchi: "je dois m'excuser... je Lui dois de vraies excuses. Des excuses à la hauteur de notre relation"
Comment vais-je faire, je ne peux plus lui parler et je n'ai que son nom prénom et lieu de vie: Moscou.
Il est 8h55 et j'ai encore 5 minutes de discussion avec elle.
La suite dans un prochain épisode.
Tout ce que est écrit au-dessus est réel.
Merci pour votre lecture et commentaires constructifs les bienvenues.
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Une chaude matinée d'été.
Elle prend son sac de plage, ses huiles bronzantes, un roman, de l'eau.
Elle ressent plein d'envies au creux de son ventre, ce matin là.
Un lieu naturiste lui a été indiqué, sur les bords de Loire. Pas trop fréquenté.
Personne lorsqu'elle pose sa serviette, une petite plage de galets paisible au demeurant, la Loire très basse à cet endroit sur un fond sablonneux envahissant tout le lit du fleuve.
Elle s'installe, retire sa robe et sa lingerie, et s'allonge, nue. Le seul instant d'abandon total, le corps libéré accueillant la chaleur du soleil . Elle respire doucement, n'écoutant plus que le chant des oiseaux, le murmure de l'eau, le bruissement du vent dans les arbres...
Elle choisit un lait solaire dont elle s'enduit délicatement, le visage, le cou, les seins, les bras, le ventre, l'intérieur des cuisses, les jambes. Son imagination l'entraine sur des sentiers de désirs, pervers à souhait, sens interdits souvent, elle ondule en rêvant de mains sur elle....
Un bruit. Un bruit de pas sur le gravier. Elle ne bouge pas mais reste attentive.
Les pas s'approchent, puis une voix la saluant. Deux hommes en maillot sont près d'elle, ils cherchent un lieu tranquille où ils pourront bronzer nus.
La conversation banale s'engage, ils sont avenants et plutôt séduisants.
Elle s'est retournée à leur arrivée et expose ses fesses blanches et son dos au soleil. Un des hommes lui propose de protéger sa peau claire, et commence doucement à la masser de crème solaire. Ils échangent sur la tranquillité de cet endroit, l'autre homme assis près d'elle, lui pose des tas de questions sur les lieux à visiter.
Elle ressent un bien-être grisant l'envahir sous les mains expertes du premier homme, qui s'applique à ne laisser aucune zone de sa peau sans protection.
Il effleure, puis masse, détend ses muscles crispés, pétrissage fin et délicat d'un corps en attente.
Elle répond aux questions avec plus de difficultés, sa voix s'entrecoupe de soupirs, sa respiration hésitante la trahissant de plus en plus.
Les mains glissent sur ses fesses, les écartent, les rapprochent, puis descendent entre ses cuisses.
Elle se laisse faire, son corps réclamant ces caresses de plus en plus intimes. Une joie profonde s'insinue en elle, un appétit charnel tend son ventre et son sexe. Elle sait qu'elle commence à mouiller, impudique aveu de ses désirs.
L'homme l'incite alors à se retourner, et la sentant hésitante malgré tout, il entraine son corps dans ce mouvement.
Il reprend ses massages en protégeant le visage puis la gorge, les épaules, il contourne les seins, les presse, les palpe, en étire les pointes, puis les resserre l'un contre l'autre.
Une excitation sourde la saisit lorsqu'il pince ses mamelons et les roule entre le pouce et l'index. Elle gémit plus fort.
Elle a refermé les yeux, offrant son corps à ces caresses, elle veut juste jouir de ces instants, elle veut prendre le plaisir comme il vient, indécent, animal, un plaisir chaud montant en elle.
Elle a vu l'érection des deux hommes, mais elle ne les touche pas. Pas encore.
Elle veut profiter, elle d'abord.
Invitant le second à se joindre aux caresses, elle tremble sous ce contact à 4 mains.
Les mains pétrissent son ventre rebondi, malaxant sa peau chaude, puis descendent sur ses cuisses qu'elle écarte aussitôt. Les doigts lissent sa légère pilosité, et pianotent sur ses lèvres humides. Ils s'en emparent, les étirent, les font rouler entre leurs doigts.
Elle vit ces caresses au plus profond de son corps, les anticipe, les espère, les souhaite plus intimes encore, les appelle en gémissant et en coulant....
Son clitoris saillant est massé délicatement, puis humidifié par les gouttes de salive qu'un des hommes laisse intentionnellement tomber. Ce contact troublant l'excite plus encore.
Les doigts poursuivent leur exploration, plus aucun mot n'est prononcé, juste les respirations, les soupirs, les halètements, le vent chaud.....
Les doigts ouvrent sa fente, tout doucement, cueillant son abondante cyprine. Un doigt se promène sur sa fente béante, s'imprègne de ce désir trempé pour masser son entre-fesses palpitant.
Le doigt appuie et force doucement l'entrée étroite, il s'insinue, trempé de mouille et d'huile solaire, il pénètre et sodomise enfin.
Elle est envahie d'une chaleur indécente, elle se veut emplie, pleine, prise....
Deux doigts s'enfoncent alors dans sa fente, la possédant, la visitant, soulevant son bassin sous le plaisir provoqué.
Plus encore, le contact des doigts dans son ventre à travers la fine paroi les séparant, l'excite terriblement.
Une sorte de danse entre les doigts de ces hommes et son corps, elle sent le plaisir chaud monter au creux de ses cuisses tremblantes. Entre les contractions de son corps et le relâchement absolu de son ventre, elle grogne de cette jouissance bestiale qui la saisit, et hurle de ce feu en explosant sous leurs doigts.
Le bassin toujours tendu, elle réclame alors le plaisir de ces hommes et leur ordonne de se masturber sur ses seins gonflés.
Vite et fort. Sans aucune retenue.
Elle veut les voir jouir, là maintenant, leurs doigts la branlant encore et encore, les siens pressant leurs bourses pour en ressentir toutes les contractions de vidange.
Ils restèrent plusieurs minutes sans parler, sans bouger, dans cet état presque craintif de ne plus jamais revivre un tel plaisir .
Le plaisir du plaisir.
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Bonjour,
Je m'appelle Ahsan, homme de 33 ans de l'Ile de la Réunion.
Ancien Balnéolais (92) je souhaite partager avec vous mon expérience.
Je tiens tout d'abord à m'excuser pour mes fautes d'orthographes ou syntaxes (je suis anglophone).
Je ne saurais dire d'où me viens cette envie d'être fésser et de corriger mais ma 1ère expérience était innoubliable.
J'était alors étudiant, fantasmant sur ma prof (Mme. M.S) une jolie femme brune, mince toujours bien habillée. Je passais mes nuits à rêver qu'elle me prenne sur ses genoux et qu'elle m'administre la fessée.
J'ai donc commencé à publier des annonces afin de trouver une partenaire pour passer de bons moments cuisants mais en vain...
Je ne sais pas si j'étais trop jeune, ou mon métissage faisait peur (je suis indien à la peau très claire, plutôt mignon d'après mes copines de classes).
Je n'ai donc pas trouvé de partenaires en ligne.
Je n'étais pourtant pas de nature timide, j'aimais le contact avec les gens mais mes recherches n'ont malheureusement pas portés leurs fruits.
Entendre le mot fessée ou voir une scène de fessée provoquait (maintenant aussi) une forte excitation en moi.
Un soir j'ai décidé de prendre les choses en mains.
J'ai pris dans mon tirroir ma brosse à cheveux, je me suis allongé sur le lit en boxer et j'ai commencer à m'auto-fesser (self spanking) !
J'imaginais que la correction était administrée par ma prof, je n'avais jamais eu une érection aussi dure.
J'ai continuer à me fesser (j'avais autant mal au bras qu'aux fesses) mais le plaisir que je ressentais était indescriptible.
J'ai posé ma brosse pour baisser mon boxer, lentement, délicatement comme une fésseuse qui prendrait plaisir à déculotter son soumis.
J'étais cul nu ! j'ai repris la brosse et j'ai continuer à m'offrir ce plaisir...
Je n'ai pas pu résister plus, je me suis retourné !
Je n'oublierai jamais cet instant ou mes fesses encores chaudes ont touché le lit.
Je me suis soulagé avec ma main, l'ejaculation fût intense, le sperme avait atteint le haut de mon torse.
J'était aux anges...
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 17: claire se venge.
Extrait » La tigresse le regarde d’un air carnassier. Elle lui dit voyons mon beau qu’est ce qu’on peut faire de toi. Il ne comprend pas. Tu ferais une parfaite soubrette lui dit la tigresse les choses ne plaisent plus à Fréderic qui veut traiter la tigresse de folle. Le premier mot qu’il tente de prononcer lui envoie une décharge électrique formidable. Ça vient du collier. »..
Fréderic s’est installé chez claire il devient de plus en plus ignoble et quand claire veut le menace de le virer de son appartement il la frappe violement.
Maintenant il prend l’habitude de la frapper et Claire est dépassée par les évènements. Elle ne sait plus comment faire et se rend chez Magalie pour y raconter Son drame à chaudes larmes. Magalie voyant les bleus sur la peau de Claire est outrée et lui dit de porter plainte à la police.
Claire lui dit qu’elle n’ose pas car il a menacé de faire de sa vie un enfer si elle portait plainte.
En plus il a des copains d’un genre très douteux qui pourraient lui faire du mal si Fréderic était mis en tôle.
Magalie réfléchit un bon moment et se rappelle des mots de la tigresse qui a affirmé qu’elle pourrait les aider avec les mecs.
Elle propose à claire d’aller lui en parler.
Le lendemain elles sont chez la tigresse qui les a invités dès qu’elle fut mise au courant de l’affaire.
Elle se fait forte de ramener cette brute à la raison.
Hésitante claire avec les encouragements de Magalie finit par accepter l’aide de la tigresse.
Celle-ci leur dit qu’il suffit de lui amener Fréderic à la maison et quelle prendra les choses en main.
Un rendez-vous est pris.
Fréderic accepte tout se suite de venir avec claire prendre un verre chez un copine. Il est à l’affut de coups d’un soir et on ne sait jamais la fameuse hôtesse pourrait se révéler potable.
Ce soir-là ils arrivent devant la belle maison et sont accueillis chaleureusement par la tigresse.
Virginie ne paraitra pas ce jour-là.
Fréderic, mufle, trouve la tigresse à son gout et pendant la conversation lui lance des allusions à peine dissimulées.
Il s’enhardit voyant que la tigresse semble apprécier sa drague.
Après quelques verres la tigresse propose de faire un petit jeu.
Fréderic se dit que ça va se terminer en partie à trois et ça commence à l’échauffer sérieusement.
La tigresse dit : Bon ça va commencer : Frédéric laisse-moi t’installer ça elle montre un collier épais à Frédéric.
Il remarque avec un sourire le tutoiement il pense si ça peut lui faire plaisir pas de problèmes du moment que je la défonce tout à l’heure.
Elle met le collier un clic se fait entendre. Le petit cadenas empêchant l’ouverture du collier est en place.
La tigresse lui prend la main et l’emmène dans un endroit dégagé au centre du salon face au canapé sur lequel la tigresse va se rassoir aux cotés de claire qui est livide.
Fréderic sent que ça va commencer par un strip devant les filles et il s’apprête à les satisfaire.
La tigresse dit à claire alors on est d’accord.
Claire hésite ; le regarde et laisse échapper un petit oui de sa bouche.
Fréderic ne comprend pas. La tigresse le regarde d’un air carnassier.
Elle lui dit voyons mon beau qu’est ce qu’on peut faire de toi.
Il ne comprend pas.
Tu ferais une parfaite soubrette lui dit la tigresse. Les choses ne plaisent plus à Fréderic qui veut traiter la tigresse de folle.
Le premier mot qu’il tente de prononcer lui envoie une décharge électrique formidable.
Ça vient du collier.
Interdit il regarde les deux femmes.
La tigresse lui dit à partir de maintenant tu n’as plus le droit de parler ça nous fera des vacances.
Il retente de la traiter de folle mais ses mots restent dans sa gorge après une décharge qui le laisse sonné.
Il reprend ses esprits et veut se précipiter vers la tigresse.
Elle appuie sur une touche de la télécommande et aussitôt une violente décharge le foudroie.
Il est sonné quelques secondes et veut repartir mais une nouvelle décharge lui coupe le souffle et il tombe par terre.
Tu ne dois pas bouger tant que je ne t’autorise pas dit la tigresse montrant la télécommande.
Maintenant relève toi elle fait mine d’appuyer sur la touche et il se lève prestement.
Et reste sur place.
Bien dit la tigresse tu commences à comprendre.
Déshabille-toi que je puisse t’étudier dit-elle.
Il la défie du regard. Nouvelle décharge. Il s’exécute.
Sur les ordres de la tigresse il tourne sur lui-même elle le jauge et semble apprécier.
La tigresse demande à claire de se déshabiller celle-ci s’exécute et le corps nu de sa copine commence à exciter Fréderic qui commence à bander.
Claire va vers lui et lui fait une fellation le membre de Frédéric est désormais tendu.
Claire se recule pour que la tigresse puisse jauger.
Tu es bien monté comme promis dit-elle on devrait pouvoir faire quelque chose de toi.
Il fulmine. La tigresse donne des menottes à Claire et lui dit de les passer à Fréderic. Il veut résister mais une décharge l’assomme de nouveau.
Il se laisser menotter et bientôt une laisse est accrochée au collier et des menottes munies d’une courte chainette entre elles sont mises à se pieds.
Il reste interdit sur place à se demande que faire.
La tigresse s’approche de lui et lui montre une photo représentant une femme prosternée aux pieds d’une personne.
Tu as bien vu. Désormais tu devras te prosterner comme ça quand tu seras en ma présence sauf lorsque je t’ordonnerai autre chose.
Il la regarde en pensant tu rêves ma vielle.
Elle le fixe quelques secondes et lui indique le sol de la main.
Tu rêves pense-t-il quand un décharge le fait faire un cabriole involontaire.
Putain ça secoue. il se met en position. La tigresse approche. Ta langue sur ma chaussure dit-elle il s’exécute.
La tigresse se recule et va se rassoir près de Claire.
Je sens qu’on va bien s’amuser.
Elle ressert un verre à claire et à elle-même. Elles boivent silencieusement leur verre.
Fréderic ne bouge pas d’un cil. Bien ma chère dit la tigresse tu peux y aller je m’occupe du reste et claire prend congé en jetant un dernier œil à Frédéric.
La tigresse revient près de Fréderic avec une craie trace un cercle minuscule autour de lui.
Il est tard je vais aller me coucher. Toi tu restes là.
Garde la position et n’essaie pas de quitter ce cercle. Sinon le collier te rappela l’obéissance.
Elle appuie sur un bouton de la télécommande et le collier émet une petite vibration.
Bonne nuit ton chéri dit-elle.
Elle quitte le salon et éteint la lumière.
Il reprend ses esprits et relève la tête une décharge le foudroie il rebaisse la tête. Le collier se remet à ronronner doucement.
Avec ses mains dans le dos il ne peut pas essayer d’ôter ce putain de collier. Rien à faire c’est quoi ce bordel et cette malade se dit il et cette salope de Claire est partie en le laissant avec cette dingue.
Cette nuit-là il ne trouve pas le sommeil.
Le jour se lève. La tigresse apparait dans le salon .
Bien dormi mon petit esclave dit-elle. Il n’ose plus bouger.
Debout dit-elle. Il se lève et la toise.
Elle s’approche de lui et empoigne la laisse et le tire derrière elle.
Elle a une petite cravache dans l’autre main il hésite à quitter le cercle.
Un coup de cravache le fait avancer.
Il la suit jusqu’au sous-sol.
Elle le fait entrer dans une pièce basse de plafond. Au centre de la pièce une grand table avec aux quatre coins des menottes. Sous la table un pot de chambre et un bol rempli d’eau.
Il a soif et faim. Elle lui montre du doigt le petit cercle.
Il regard le cercle sans comprendre. Décharge.
Il se précipite pour se mettre en position de soumission la tête baissée au sol elle vient derrière lu et ôte la laisse et les menottes dans son dos. Elle recule d’un pas hors du petit cercle.
Il veut lui sauter dessus mais dès qu’il franchi la limite du cercle une décharge le foudroie.
Il revient dans le cercle.
Bien tu comprends lentement mais ça vient dit-elle.
N’oublies pas quand je rentre dans cette pièce reprends bien ta position.
Quand je serais partie tu pourras te déplacer dans ce cercle.
Elle montre le cercle de trois mètres de diamètre.
Au fait habitue-toi à manger et boire sans les mains.
Sur ce elle quitte la pièce.
Il se précipite vers le bol qu’il prend dans les mains et veut le lever.
Décharge.
Il lâche le bol qui ne s’est heureusement pas renversé.
Il se met à quatre pattes et lape de l’eau. La faim le tenaille.
Un moment après la porte s’entrebâille. Quelques secondes se passent il se demande pourquoi quand une illumination lui vient il va vite se mettre en position dans le petit cercle.
La tigresse entre.
Elle a une gamelle dans les mains et la pose dans le grand cercle. Bon appétit. Demain on attaque les choses sérieuses.
Elle part et il se précipite vers la gamelle et mange à quatre pattes.
Plus tard la lumière s’éteint il s’allonge sur la table et dort enfin.
La lumière s’allume. Il se réveille. Doucement la porte s’entrouvre. Il se précipite dans le petit cercle.
La tigresse entre.
Elle lui dit de se relever et de s’installer sur la table. il s’exécute.
Elle lui dit de verrouiller les menottes.
Une courte hésitation elle approche son doigt de la télécommande.
Il verrouille rapidement les menottes.
Elle s’approche lui malaxe le sexe le prend par la mâchoire et inspecte son visage, pince sa peau pour voir s’il a de la graisse.
Une vrai maquignonne. Elle sourit et dit une belle soubrette tu peux me croire.
Elle s’en va.
Une femme masquée entre dans la pièce elle a une grand mallette.
Elle sort du matériel et commence une séance d’épilation définitive au laser. Une demi-heure après elle part. Elle reviendra dans l’après-midi.
Le temps passe. Les portions de nourritures sont très réduites et Fréderic sent qu’il perd du poids.
Bizarrement il sent que quelque chose cloche au niveau des seins. Ils sont sensibles et on dirait qu’ils grossissent.
Maintenant Fréderic est intégralement imberbe. Seuls ses cheveux ont été épargnés.
Ses seins continuent à pousser c’est quoi ce truc se demande t’il.
Un matin la femme masquée revient et lui applique un piercing au nez aux seins et au sexe qui est maintenant orné d’un anneau identique à ceux des seins et du nez.
La tigresse soigne ses cicatrices et peu à peu la douleur s’estompe.
Les cicatrices sont guéries la tigresse lui met à la place des anneaux provisoires des lourds anneaux en or.
Elle le félicite pour sa poitrine en lui disant que les hormones qu’il avale depuis le début font leur office.
Un matin elle lui installe la laisse les menottes dans le dos et l’emmène à l’étage supérieur.
Elle l’emmène dans la salle de bains ou il voit dans le miroir un être androgyne qui a sa tête. Très aminci arborant une petite paire de seins il a conservé son sexe qui parait énorme par rapport au reste du corps.
Il apprend des tours avec sa maitresse ; s’exhiber, servir une boisson lui bouffer la chatte … Le soir il dort dans le lit de la maitresse les bras menottés dans le dos les jambes écartelées au bas du lit et le visage dans l’entrejambe de sa maitresse.
Il la satisfait chaque nuit et la réveille chaque matin avec sa bouche qui peu à peu acquiert de la maitrise.
Il porte en permanence un plug annal.
Il a commencé avec un petit modèle et peu à peu a encaissé des gabarits supérieurs.
Désormais il porte un plug qui fait cinq centimètres de diamètres. Il ne peut pas s’assoir mais n’en a jamais l’occasion.
Ses cheveux ont poussés et la tigresse lui fait une queue de cheval chaque jour.
Un matin elle lui annonce qu’ils vont faire un voyage en Roumanie. Le voyage en mini van se passe bien.
Ils arrivent dans une clinique ou un homme les reçoit.
Il étudie sa poitrine son visage et réalise des croquis avec la tigresse.
Après plusieurs heures de palabres les deux semblent tomber d’accord.
Fréderic est conduit en salle d’opération il se réveille avec des douleurs aux seins au visage et aux hanches.
Il peut voir que sa poitrine a pris une dimension impressionnante.
Quelques jours plus tard on lui enlève les pansements. Il ne peut pas voir son visage mais ses yeux lui semblent s’ouvrir différemment son nez et ses pommettes le font toujours souffrir.
Ils quittent la clinique et rentrent en France.
Arrivés dans la maison de la tigresse, elle le conduit dans la salle de bains ou elle le maquille consciencieusement.
Puis elle le met face au miroir qui lui renvoie le visage et le corps d’un inconnue très mince belle avec les yeux en amandes un petit nez retroussé une belle poitrine et de longs cheveux blonds avec une queue de cheval qui lui donne un air d’ado.
Des hanches épanouies et un gros sexe à la place du pubis. Il comprend que c’est bien lui cette bimbo.
Désormais il porte un anneau aux couilles qui sont nettement détachées de sa bite.
Un jour. Sa maitresse reçoit des amis hommes et femmes. Il est présenté et apprend à satisfaire autant les hommes que les femmes il apprend à sucer une bite et à se faire enculer. Le long apprentissage de port de plug lui permet d’encaisser des bites de toute taille.
Un matin il reconnait claire parmi les invitées de sa maitresse.
Claire est estomaquée elle n’arrive pas à croire que cette bimbo soumise avec une bite énorme soit bien le Fréderic qu’elle a amené un an plus tôt chez la tigresse pour que celle-ci lui donne une leçon.
La tigresse demande à claire ce qu’elle en pense.
Claire ne sait que dire.
Félicitations vous êtes vraiment une reine dans le domaine.
La tigresse reçoit avec grâce les compliments et fait une démonstration de ce qui peut être fait avec Frédérique.
Il ou bien elle on ne sait plus exécute tous les ordres avec grâce célérité et adresse.
Son chibre disproportionné fait fantasmer claire qui s’imagine faisant l’amour avec Frédérique dans toutes les positions.
Elle se dit que Magalie et martine seraient jalouses d’elle si elle avait un esclave comme ça à la maison.
La beauté et la grâce d’Anna avec une bite semblable à celle de Tristan et si ça n’a pas changé de ce côté-là une endurance à toute épreuve.
Frédérique a repris la position de soumission sur un geste de la tigresse.
Celle-ci explique maintenant les gestes à claire.
Celle-ci se demande à quoi ça pourrait servir car Frédérique ne lui appartient plus.
A la fin de la soirée elle va prendre congé de la tigresse quand celle-ci lui dit : maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu le récupères quand ?
Le tutoiement et le ton effraient claire qui ne s’attendait pas à ça.
Mais je ne pensais pas le récupérer répond-elle.
La tigresse lui dit. Tu m’as demandé de le dresser c’est fait.
J’ai même apporté des améliorations comme tu vois. Claire s’imagine maintenant avec son esclave et ça la chauffe dans le bas ventre.
Je pense que tu peux la récupérer demain je l’habillerais et je te donnerai des consignes importantes.
Claire voie qu’elle n’a pas trop le choix et opine.
Le lendemain elle est reçue par la tigresse.
Frédérique est en position de soumise mais ce coup-ci elle est habillée de façon outrageusement provocante.
Claire est subjuguée et se demande ce qu’elle va pouvoir faire avec.
La tigresse lui donne une boite contenant de pilules.
Tient il faut qu’elle avale une pilule par jour c’est ce qui la maintien en asservissement. Claire comprend enfin comment fait la tigresse.
Cette dernière lui dit que tant qu’elle prendra les pilules Frédérique restera comme elle est mais si les pilules s’arrêtent l’ancien Fréderic remontera à la surface et ça pourrait ne pas être bon.
Claire prend les pilules.
La tigresse lui dit je t’en fournirais deux fois par an c’est cher mais efficace.
Claire la remercie. Maintenant dit la tigresse en la regardant fixement il faut penser au paiement car toute peine mérite salaire.
Claire est paniquée. Elle n’aura jamais les moyens de payer il doit en avoir pour des dizaines de milliers d’euros.
La tigresse lui sourit.
Ne panique pas je ne demande pas d’argent.
Claire se calme mais se demande comment veux la faire payer la tigresse.
Cette dernière dit j’ai une commande d’un Client étranger.
Il est jaloux de son voisin qui m’a racheté virginie.
La panique de claire monte en flèche. Elle ne veut pas devenir l’esclave d’un étranger.
La tigresse sourit. Tu ne feras pas l’affaire car il veut un male.
La panique de claire ne retombe pas.
La tigresse lui dit voilà il te suffit de me ramener un male comme Fréderic.
Claire est livide. Elle se demande mais comment je vais trouver un mec comme ça.
La tigresse lui dit. Tu as trois mois pour me le ramener si tu ne remplis pas ta part du contrat tu le regretteras amèrement je pense.
Claire reste stupéfaite.
La tigresse lui dit : bon je te souhaite un bon retour et beaucoup de bonheur avec Frédérique. Tu verras qu’elle n’a rien perdu avec sa queue.
Puis elle fait se relever Frédérique et lui dit voici ta nouvelle maitresse.
Maintenant tu seras son esclave.
Frédérique vient se mettre en position de soumission devant claire.
Celle-ci d’une voix blanche lui dit relève toi et suit moi.
La tigresse lui fait un dernier geste de la main et rentre dans sa maison. Claire est paniquée.
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Dominatrices et soumises inattendues.
CHAPITRE 16 : Tristan triche.et paye les conséquences.
Extraits : » Tristan qui n’aura pas le temps de manger doit y mettre les bouchées doubles pour visiter toutes les chattes et satisfaire les quatre filles. Sa cage de chasteté bien en place et ses mains liées ne lui laissent que la bouche pour œuvrer. Il a désormais acquit une grande dextérité… Magalie enrage. Elle en parle le lendemain à claire qui lui dit fais le sucer un homme en se faisant enculer par un autre pour le punir… »
Magalie est toujours sidérée pas sa visite chez la tigresse doit en parler à quelqu’un.
Elle pense à ses amies et les invite un soir chez elle. Ce soir-là claire, martine Anne et Magalie devisent alors que Tristan est prosterné nu aux pieds de Magalie.
Elle leur fait le résumé de ce qu’elle a vu et ses copines sont stupéfaites.
Anna semble prendre ça de haut mais martine et surtout Claire qui est loin de ce monde-là sont subjuguées.
Elles insistent pour pouvoir voir ça de leurs propres yeux.
Magalie hésite puis promet qu’elle va rappeler la tigresse pour lui demander si elles peuvent venir admirer son travail sur virginie.
Après l’apéritif elles se désolent de n’avoir qu’un esclave male à leur pied et Tristan qui n’aura pas le temps de manger doit y mettre les bouchées doubles pour visiter toutes les chattes et satisfaire les quatre filles.
Sa cage de chasteté bien en place et ses mains liées ne lui laissent que la bouche pour œuvrer. Il a désormais acquit une grande dextérité pour la plus grande fierté de Magalie.
Magalie promet de rappeler la tigresse mais n’ose pas mettre le projet à exécution.
Quelques jours plus tard les quatre filles sont réunies chez Magalie.
Claire annonce fièrement qu’elle a ferré Frédéric, un mec super bien foutu et particulièrement bien monté.
Les filles gloussent et lui disent de le mater comme Tristan pour qu’il ait du renfort.
Son seul problème dit claire c’est qu’il est chômeur.
Un peu fainéant sur les bords et tout est à faire en éducation sexuelle car il est plutôt expéditif et peu concerné par le plaisir des femmes autant dire que pour les préliminaires il est loin du compte.
Les filles jubilent.
Martine lui dit de le mater comme Magalie a fait avec Tristan qui est devenu un expert dans la partie.
Claire promet de leur présenter mais pas chez Magalie ni chez martine car il pourrait être choqué par Tristan et Anna.
Ce soir-là chacune rêve différemment d’un étalon bien monté et des choses qu’on pourrait lui faire faire.
Effectivement quelques temps après Frédéric se montre aussi mufle qu’il est beau et bien bâti. Chacune s’imagine le contenu du slip en se remémorant les descriptions faites par claire.
Entre temps Magalie se décide à prendre contact la tigresse qui est flattée de pouvoir exhiber son esclave devant la fille notamment devant Martine qui lui a tapé dans l’œil.
Une date est convenue pour la visite.
Fatalité ou loi des séries Tristan a perdu son emploi et ne se sort pas les doigts du cul pour retrouver sur du travail.
Magalie enrage. Il zone à la maison et semble se contenter de son sort. Même si la cage de chasteté limite ses activités sexuelles actives.
Un soir les quatre amies se rendent chez la tigresse.
Elles arrivent devant la porte et sont un peu anxieuses.
La tigresse leur ouvre et le petit manège de présentation de virginie se reproduit.
Magalie a beau connaitre elle est fascinée par la beauté et la soumission de cette grande femme qui s’exhibe sans pudeur il va sans dire que les autres filles ont le souffle coupé.
Claire a les yeux qui brillent, jalouse du corps sculptural qui est face à elle.
Martine n’en croit pas ses yeux et fantasme sérieusement sur ce corps.
Anna est complétement subjuguée elle ne peut détacher ses yeux de virginie et sa main prend celle de martine.
La tigresse voit le geste elle dit aux filles alors qu’en pensez-vous allez y touchez ça vaut le coup.
Les filles s’exécutent rêveuses.
La tigresse s’approche d’Anna et lui prend la menton dans les mains. Anna est tétanisée.
La tigresse s’adresse à martine. Si tu veux je peux en faire quelque chose pour toi.
Martine ne sait que dire et Anna devient cramoisie mais ne se recule pas.
La tigresse continue. Elle est magnifique mais on peut améliorer ça et la rendre beaucoup plus docile.
Magalie dit non ça ira bien comme ça laissez-nous Anna comme elle est.
La tigresse lâche Anna qui demeure rêveuse. Puis les femmes prennent un verre et c’est l’occasion de voir virginie œuvrer.
La tigresse fait faire des « tours « à virginie qui tour à tour s’exhibe et s’offre aux filles.
La conversation tourne autour du dressage.
Intéressées Magalie et claire rêvent de rendre leurs males aussi soumis que ça.
La tigresse, fine mouche, oriente le sujet et finalement le comportement des deux garçons est abordé.
Il leur faudrait un petit passage chez moi pour les dresser dit la tigresse.
D’abord Frédéric puis Tristan qui doit être déjà sur la bonne voie.
Les filles rient mais au fond de leur esprit elles voient les deux garçons réaliser les tours de virginie et plus encore avec leurs queues.
La soirée s’avance et les filles abasourdies par ce qu’elles ont vu rentrent chez elles en discutant à bâton rompu.
Anna est la plus réservée savoir que la tigresse la démasquée en si peu de temps la gêne mais l’a aussi fortement perturbée. Elle repense aux seins magnifiques et si excitants de virginie.
Elle aurait pu sauter dessus et les lécher sans jamais s’arrêter.
Martine lui tient la main pour la rassurer.
Claire songe à un Frédéric soumis la satisfaisant sexuellement chaque minute de la journée et exécutant tous ses désirs.
Magalie se dit qu’il ne faut pas trop fréquenter cette femme qui doit être dangereuse.
En rentrant telle constate que Tristan n’a pas bougé de la journée elle râle et lui dit qu’il vient de prendre trois jours de retard pour sa jouissance.
Il apparait désespéré mais semble vite s’en contrefoutre.
Magalie enrage. Elle en parle le lendemain à claire qui lui dit fais le sucer un homme en se faisant enculer par un autre pour le punir.
Si tu veux j’ai un ancien jules bien pourvu qui aime bien les parties à trois surtout avec des hommes passifs. Je suis sûre que la cage de Tristan l’excitera encore plus.
Magalie prend ça à la rigolade mais les jours qui suivent Tristan ne fait aucun effort pour retrouver du taf et leurs finances commencent à en pâtir.
Elle le menace de lui donner une punition terrible. Il prend ça par-dessus la jambe.
Elle appelle claire qui l’invite à la maison en même temps que son ex copain.
Son air Bad boy plait à Magalie et sa musculature de docker devrait faire honte à Tristan.
Apres plusieurs whiskys elles décident. Le lendemain soir il viendra chez elle.
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Avec l’aide de quelques amis, j’avais organisé une soirée très chaude pour ma femme, sous le signe de la pluralité masculine comme d’habitude, vu que ma chérie adore le sexe et n’en a jamais assez… Nous avons donc organisé un gang-bang avec la participation de neuf hommes triés sur le volet qui, bien sûr, étaient montés comme il se doit. En outre, tous ces messieurs étaient très endurants. Nous avions rendez-vous à 20 h 30 dans une maison spécialement conçue pour ce genre de soirées.
Nath s’était habillée sexy et très léger, comme d’habitude pour ce genre de sortie, avec de la lingerie provocante. Une fois arrivés devant la maison, nous avons été accueillis par deux amis, qui ont fait les présentations d’usage. Avec Nath, nous sommes ensuite allés prendre un verre et fumer une cigarette dans la cuisine. D’un coup, trois hommes sont entrés. Ils ont abordé Nath devant moi. Je dois bien l’avouer, cela m’excitait à fond. Ça ne faisait pas cinq minutes que Nath discutait avec eux, et je voyais déjà leurs mains courir sur le corps de ma miss. Moi, pendant ce temps-là, je n’en perdais pas une miette. Mon sexe durcissait dans mon jean qui se déformait. En même pas dix minutes, ma chérie s’est retrouvée en string et seins nus en plein milieu de la cuisine. L’un des hommes a pris Nath par la main et l’a emmenée dans le salon, où se trouvait une grande banquette. Il l’a installée dessus, et a attendu que tous nos amis soient là.
En un rien de temps, Nath s’est retrouvée entourée des neuf hommes qui ont profité de son corps. Elle a été caressée, léchée, embrassée par toutes ces mains, par toutes ces bouches. Je l’entendais gémir de plus en plus fort. Quand je me suis rapproché, j’ai vu ma femme qui se faisait enfoncer des doigts dans chaque trou. Elle se trouvait les jambes écartées, avec deux doigts dans la chatte, trois dans le cul, une bite dans chaque main et une autre, énorme, dans la bouche. Nath se faisait défoncer par tous les orifices, je voyais les phalanges lui éclater le trou du cul, et sa bouche complètement déformée par ce sexe géant. À un moment, Nath s’est retournée sur la banquette. Là, un mec avec un sexe comme je n’en avais jamais vu, épais et très courbé, le lui a enfoncé dans le cul pendant qu’elle continuait à lécher le gros membre de l’autre type.
Elle s’est fait sodomiser énergiquement. D’un coup, celui qu’elle avait en bouche a lâché son sperme au fond de sa gorge. Elle a tout avalé. Un autre est venu prendre la place de la bite ramollie dans la bouche chaude de ma mie, et puis un deuxième. Nath a tenté de pomper les deux en même temps, mais c’était un peu maladroit, d’autant qu’elle était toujours en train de se faire défoncer le cul. A un moment, l’homme s’est retiré de son petit trou et a ôté son préservatif pour se vider les couilles sur le visage de ma chérie. Puis, un cinquième a pris sa bite en main et s’est présenté à l’entrée de la chatte béante de ma miss, qui coulait de plaisir et d’envie. Il est entré d’un seul coup, sans ménagement, et s’est mis à la baiser avec force, à lui donner de grands coups pour s’enfoncer le plus loin possible. Pendant ce temps-là, Nath était toujours occupée à sucer les deux sexes qu’elle avait en bouche, et ils se sont tous les deux vidés, à quelques secondes près, eux aussi sur son visage.
Il était tapissé de sperme, ça lui coulait jusque dans le cou. Ensuite deux autres sexes sont venus se présenter à sa bouche, les glands s’entrechoquaient contre ses dents, et ma petite Nath les suçait avec ardeur. L’un des deux hommes s’est enfoncé jusqu’à sa glotte pour lui décharger son sperme au fond de la gorge pendant qu’elle se faisait toujours labourer. L’homme qui la baisait s’est retiré pour lui jouir sur le minou.
Après ce début de soirée qui promettait beaucoup de sexe, nous avons pris une pause pour boire un verre et se décontracter. Mais le répit fut de courte durée. Encore une fois, Nath a été sollicitée par tous ces sexes qui en redemandaient. Mais, bien sûr, ma miss était parfaitement ok pour prendre à nouveau du plaisir et jouir encore et encore.
Eh oui ça, c’est Miss, elle n’en a jamais assez, c’est une gourmande. Je ne vous raconte pas la suite, car ce serait beaucoup trop long. Mais je peux vous dire que la soirée a duré jusqu’à 5 heures du matin, et que Nath s’est fait baiser par tous les trous, et que plus d’un homme lui a joui dessus, dedans, elle a même eu droit à une très longue double pénétration.
Enfin, pour clôturer notre fiesta, je lui ai fait une sodomie d’enfer.
Moi, son mari, je n’en pouvais plus de regarder sans toucher… Alors, je lui ai tout simplement défoncé son petit cul en lui donnant une fessée magistrale. Notre future soirée sera encore plus chaude, vu que son prochain gang-bang se fera avec un autre couple et plus d’une dizaine d’hommes, que j’espère tous très bien membrés et très endurants.
Source : union
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Ma voix intérieure, qui me remonte souvent les bretelles, croit que je suis capable de tout, ben, non. J'ai des limites, des tabous... L'inceste par exemple. Bon d'accord, j'ai couché avec mon beau-père lors de ma nuit de noces, mais c'est pas de l'inceste, ça. C'est courant qu'un homme s'envoie sa belle-fille. Allez, avouez que vous aussi... Mais ici, c'est père et fils, donc là, je ne suis plus d'accord. Je lui dis tout bas :
— Non, désolée, c'est un inceste...
— Oh mon Dieu, je t'ai choquée, petite Rom ?
— Oui, "Monsieur" ! Et, puis je n'ai pas honte d'être Rom et d'ailleurs...
Il me coupe :
— Fais-le et tu auras une montre Cartier. Une vraie, celle en or.
S'il croit m'acheter avec une montre, même Cartier, même en or, il se trompe ! Mais j'y pense, l'inceste c'est s'il sodomisait son fils, pas s'il se fait embrasser.
— Pas embrasser, Samia, lécher le trou du cul.
Oui, ça, c'est ma salope de petite voix intérieure qui la ramène.
Elle a facile, elle, puisqu’elle n'a même pas de poignet. J'hésite... quelques secondes, puis je dis à mon beau père :
— Allez hop ! Sur le dos, les pattes en l'air, "Monsieur".
Il se couche et moi je m'assieds sur son visage, il a le nez entre mes fesses et la langue sur ma chatte. Je replie bien ses jambes et je crie :
— Julien, viens lécher !
Oh que ça ne lui plaît pas. Il marmonne des « Oui, mais c'est mon père... l'église condamne... et d'ailleurs, la loi aussi... »
Vous y croyez ? Non ? Vous avez raison : Julien vient se mettre à genoux entre les jambes repliées et embrasse l'anus de son père à pleine bouche. Quelle salope ! J'aurais voulu qu'il hésite... Non, on dirait que pour lui c'est tout à fait normal de lécher l'anus de papa ! Je plaque mes mains sur les fesses de mon beau père pour bien les écarter, en disant à Julien :
— Enfonce ta langue à fond.
Arrêtez de pousser des gémissements scandalisés, c'est pour une Cartier en or ! De l'autre coté, vers ma chatte, mon beau-père est moins... circonspect (vu l'endroit) que le gros et il me lèche de bon coeur, atteignant avec sa langue des endroits qui n'ont jamais vu la bite de son fils. Vous me suivez toujours ?
Depuis ma chatte, mon beau-père me dit :
— Attends, avant de me sucer !
Tant mieux. Il ne faut pas que je m'envoie en l'air trop vite. Parce que oui, bien sûr, je fais ça pour la Cartier en or, mais je dois avouer que voir Julien lécher le cul de son père, ça m'excite grave. Entendons-nous, ce n'est pas parce qu'un homme lèche le cul d'un autre homme, ça je m'en fous, mais parce que c'est mon mari... qui lèche le cul de son père. Inconsciemment, je dois avoir un vieux compte à régler avec les maris... Et si on inversait la situation ? Si on m'obligeait à lécher mon père ? Je m'imagine avec papa, on est nus... j'ai la joue sur son ventre et je joue avec... Oh ! Putain ! Mes oreilles deviennent rouges, le bout de mes seins durcit, mon vagin et mon anus se crispent et je jouis sur le visage de mon beau-père.
Voilà, ça, c'est fait. Il a dû s'apercevoir que je jouissais, vu l'humidité. Et en effet, il me dit :
— Petite salope, ça t'excite de voir ça, hein ? Allez, lèche-moi !
Eh, oh ! Il n'y a pas marqué pute sur mon front ! Si ?
Je regarde Julien qui est en dessous de moi et je lui tends la bite de son père. Hop ! Ni vu connu, une bouche c'est une bouche. Et puis, c'est normal qu'un fils fasse plaisir à son père, non ? C'est dans la Bible d'ailleurs : tes pères et mères honoreras.
— Oh toi, Samia, si Jean Paul II (on est en 1982) lit ça, tu vas te faire fouetter en place publique !
Oui, c'est ma voix intérieure. Parfois, j'ai l'impression qu'elle picole !
Je continue : quel plus beau moyen d'honorer son père que de lui lécher le cul puis de sucer sa bite ? J'adore le spectacle. Je me tortille un peu sur le visage du père, mais il ne daigne pas sortir quelques centimètres de langue, tout occupé qu'il est de se faire sucer par moi... enfin, c'est ce qu'il pense, l'ahuri. Julien est nul dans plein de domaines, mais quand il s'agit de sucer un mec, il fait ça super bien. Champion de fellation, le petit ! Et l'autre sous mon cul qui s'imagine que c'est moi...
Je joue quand même un peu avec le feu, il ne faut pas que ça dure trop longtemps. On va accélérer les choses. J'entoure les couilles de mon beau-père de la main et je les malaxe un peu... Il aime ça... Encore quelques minutes et j'entends des petits cris rauques venant de sous mes fesses, tandis que Julien déglutit le sperme de son père.
— Samia !!
Oui, tu as raison la Voix, c'est dégoûtant. De plus, c'est traître de ma part, mais j'aime trop voir Julien avaler de possibles petits frères et soeurs, si vous voyez ce que je veux dire... Quand il a tout gobé, je lui fais signe de la main de reculer, puis je me relève en disant :
— J'ai tout avalé, Monsieur.
Mon ahuri de beau père me caresse la joue en disant :
— Tu as au moins une qualité : tu es une super suceuse.
— Merci, Monsieur, c'est la moindre des choses, vous êtes si généreux.
Ben oui, j'oublie pas ma Cartier... en or. Ce spectacle m'a mis un peu le feu au cul. Je regarde les autres. Ils ont tous baisé et beaucoup bu. Lisa me regarde avec des grands yeux. Oui, elle sait qu'ils sont père et fils. Je lui fais un clin d'oeil et elle se marre silencieusement.
Le gros ours somnole dans un fauteuil, gavé de pâtisseries. Les autres Malais sont bien bourrés... Alors il reste... Lisa. Je lui dis :
— Un p'tit 69, ma belle ?
— Avec plaisir.
J'ai besoin d'alliées à l'usine et quoi de mieux qu'un 69 pour créé des liens ? Demandez à votre femme quand elle rentre d'une soi-disant réunion Tupperware (on est en 1982).
— Samia ! Tu crois que les lecteurs vont apprécier que tu prennes leurs femmes pour des salopes !
La femme, c'est cool, la Voix. J'aurais pu dire « Demandez à votre mère ou à votre fille... »
— Au secours ! Je veux sortir de ce corps !
— Mais non, ça t'excite aussi.
— Oui, mais j'ai hoooonte ! Allez, continue.
Lisa me dit :
— Tu sais, ma chatte a beaucoup servi, tu ne veux pas que je te lèche ??
— Ouiiiii...
Je m'assieds dans un fauteuil, une jambe sur un accoudoir, la chatte offerte. Lisa vient s'agenouiller et sa bouche est comme une ventouse qui se colle à mon petit bouton ou comme une arapède collée à son rocher, c'est plus joli... Oh ! Mais qu'est-ce qu'elle me fait, là ? Sa petite langue pénètre partout : mon vagin, mon anus, même un tout petit peu dans mon méat. Quelle championne ! Je lui caresse la tête en disant :
— Oh oui, ma belle, c'est bon... j'aime ta langue, elle va partout... Oh oui, là, suce-moi... oh c'est bon...
Mes commentaires ont réveillé les Malais et même mon beau-père ainsi que Julien... Ils sont tous autour de moi à regarder Lisa me lécher la chatte du clito à l'anus et à m'écouter roucouler les trucs qu'on dit quand on va jouir, genre :
— Oh oui, c'est bon... j'aime ta langue, je t'aime... je vais jouir sur ton visage... Je veux t'épouser....
J'entends gémir Julien, qu'est-ce qui lui prend ? Ah, c'est un Malais qui s'est mis derrière lui pour l'enculer. Un peu de tenue, merde, je vais le punir, lui enfoncer un concombre dans le cul !
Aïe ! L'image d'un gros concombre dans le cul de Julien, c'est trop, elle fait déborder mes sécrétions et se tordre mon vagin... Je crie :
— Oh ouiiii Lisaaaaa... je jouiiiiissss...
Ppppfff, je redescends sur terre... super pied... grâce à elle. C'est cool, les repas d'affaires. Lisa se redresse, je la prends par le menton pour l'embrasser. D'abord pour la remercier et ensuite parce que j'aime sentir mon odeur sur son visage. Les spectateurs applaudissent ! On doit saluer ?
Le Malais qui enculait Julien a fini... Bon, tout le monde est satisfait de nos prestations ? On dirait... Mon beau père demande au gros ours :
— Vous êtes content des filles, cher ami ?
— Tout à fait et j'ai vraiment envie de signer avec vous. On en reparle demain.
On se rhabille tous... Les Malais rentrent à leur hôtel... et nous chez nous.
***
Le lendemain, j'ai usine. Je devrais rester chez moi quand je suis rentrée aussi tard d'un rendez-vous... d'affaires. Je suis à l'usine vers 10 h et je vais directement voir Monsieur Max, vous savez, le délégué syndical... J'ai une petite robe blanche imprimée de fleurs rose et bleu. C'est frais, printanier, ça convient très bien à une jeune fille presque pure... Je dis presque, parce que la jeune fille n'a pas mis de culotte. Je me dirige vers l'atelier où il travaille. Il est occupé à viser un truc. Je lui dis :
— Bonjour Monsieur Desallié, je...
— Un moment, je suis occupé.
— Je peux revenir si vous....
— Non ! Tu attends et en silence.
Les ouvriers gloussent un peu. Non, mais qu'est-ce qui lui arrive, à ce con ? Il se prend pour qui ? Ah, oui, pour le délégué syndical ! Celui qui peut bloquer l'usine. J'attends... sûrement 10 minutes. C'est long... Les ouvriers se sont rapprochés pour admirer la scène... Pffff, quel connard?! Enfin, il repose son tournevis et me regarde en demandant :
— À quelle heure es-tu arrivée à l'usine ?
— À 10 h, mais...
— Mais rien. Quand je suis là, je veux te voir ici à 8 h 30'. Si c'est plus tard, tu seras punie.
Il est fou, je vais lui répondre que... Mais je n'ai pas le temps. Il me tend une enveloppe en disant :
— Tu vas à l'atelier 4, tu cherches Jérôme G et tu lui donnes cette enveloppe. Il te dira ce que tu dois faire.
— Mais...
— Pas de "mais", obéis...
Je suis tellement surprise par son attitude, alors que je m'attendais à... un contact un peu intime, que j'obéis et puis, j'ai pas vraiment le choix !
Je vais à l'atelier 4, je demande Jérôme et je lui donne l'enveloppe en disant :
— Monsieur Desallié m'a dit de vous apporter ça et d'attendre votre réponse.
Il déchire l'enveloppe et lit. Je le regarde. Il peut avoir une cinquante d'années, il est grand et maigre avec des lunettes aux verres épais. Il est également chauve sur le dessus du crâne, sauf une longue mèche blond sale à qui il fait faire des zigzags sur le haut de sa tête. Après avoir lu la lettre, il me la tend. Je lis ce texte infâme :
« Mon cher cousin, je te souhaite un excellent anniversaire. Cette année, le patron se soucie enfin de ses ouvriers. Il m'a chargé de te donner un cadeau qui te ferait plaisir. Voici celui que j'ai choisi : suis cette gamine dans les toilettes, fais-toi sucer et baise-la si tu veux. Ton cousin Max.
PS pour Samia :
Jérôme est mon cousin. Traite-le bien, à moins que tu n'aies envie d'un conflit social ! »
Ça, c'est du chantage, non ? Qu'il aille se faire foutre lui et son cousin ! Je ne vais certainement pas sucer ce type ! Un des ouvriers me donne un conseil :
— À ta place, je ne contrarierais pas Max, petite !
Petite ? Mais je suis un des cadres de la société, je... Ils se sont tous rapprochés de moi. J'ai l'impression d'être tombée dans une déchirure spatio-temporelle : ça ne peut pas se passer dans la vraie vie, un truc aussi tordu ! Tout le monde me regarde, vous connaissez le cliché "la tension est palpable" ? Ici c'est exactement ça... alors je dis à Jérôme :
— Je... euh... Bon anniversaire, Monsieur Jérôme, si je peux faire quelque chose pour vous être agréable...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Mes livres non sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Petit retour en arrière
31 décembre 2019
C’est la première fois que mon mari ne sera pas présent pour la nouvelle année
Connaissant mes intentions, il en est déjà mort de rire
Je passe la soirée avec mon Maître, je me prépare…
Une belle jupe longue, un haut saillant qui met mes atouts en valeur, un maquillage un peu discret, que je recommence plusieurs fois, comme souvent.
Puis, le must du must héhé…
Je ferme les yeux en souriant, attendant impatiemment qu’il vienne me chercher afin que je puisse assouvir un vieux rêve.
Le voilà, il arrive enfin
Galant, il m’ouvre la portière, je m’installe, il la referme, s’assied derrière son volant, et comme à son habitude, attache ma ceinture.
Je le regarde faire en gardant un air amusée, il me sourit puis démarre, le chemin n’est pas long, ce qui a été long pour moi, c’est de trouver le bon jour, le bon moment pour réaliser enfin ce délire que je m’étais promis.
Arrivés devant son garage, je lui annonce sereinement en gardant ce même sourire
« Je vais faire pipi dans ta merco »
Il change de couleur et me dit sèchement « non ! »
Gentiment je lui réponds " si, si "
Je sens son agacement et me répète de manière plus directe « NON !!! Arrête ça tout de suite !!! Pas question !!!»
Et moi, timidement « trop tard c’est fait »
Il gare la voiture dans le garage, sa mâchoire est fermée, ses yeux sont noirs, il vient rapidement m’ouvrir la portière m’extrait de la voiture d’un air furieux, puis, regarde l’état de son siège, rien, il est aussi propre qu’en partant de chez lui, il ne comprend pas, me regarde d’un air questionneur, je souris à nouveau et relève ma jupe
Eeeeeeh oui, j’avais mis une couche, mais j’ai fait pipi dans sa merco maline la renarde hé hé
…Retourne fièrement dans son terrier…
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Elle pénétra sa demeure.
Chaque porte-fenêtre était condamnée par de grands volets blancs laqués.
Chacun scellé par un cadenas d'or.
Elle était là, piégée dans son temple, une brise cavalant à l'échine.
Elle sentait poindre cette délicieuse inquiétude de l'épiderme aux aguets.
Sa chair ondulait du dedans.
- Es-tu vraiment sorcier ? Demanda-t-elle
- Je suis ton intime grimoire.. S'amusa-t-il.
Il imposait de ces regards malicieux qui inspiraient qu'on s'y soumette.
- On dit que tu te changes en bête, en femme ;
en toute créature que ta fantaisie convoque..
- Suis-moi ! Répondit sobrement Akenos.
D'entrée de jeu, Sofya découvrit son boudoir.
Elle ne voyait que le lit, le grand lit qui semblait les attendre.
Elle s'allongea bien vite sur le flanc, sous le règne d'un parfait silence..
Sofya sentit bientôt le poids du corps d'Akenos creuser l'épaisseur du pageot.
Il était venu se poster derrière elle sans un mot ; tout près..
Le silence implacable trahissait la respiration de Sofya ;
son impatiente, son désir et sa peur.
Son coeur cognait à fendre-sein.
Akenos porta sa main à l'épaule de Sofya qui retint son souffle.
Il fit glisser lentement la tunique le long de son bras et laissa la belle ainsi,
quelques instants distendus.
Tel une caresse de plume échappée du bercement des pesanteurs,
il déposa très doucement un baiser délicat sur son épaule douce.
Elle n'en pouvait plus de retenir son souffle, elle souhaitait le laisser galoper..
Akenos embrassa son encolure.
Il semblait disperser ses baisers comme autant de pierres dessinant un parcours
dont il faudrait -tôt ou tard- revenir sans trop d'encombres..
A présent, Sofya sentait le visage du garçon proche du sien.
Elle voulait être la proie dont on se saisit, qu'on traine jusqu'à la tanière.
Elle rêvait de se faire dépecer ; qu'un homme possédé par une ferveur reptilienne du fond des âges, la dévore tout entière…
Elle lâcha un soupir de langueur, largua ses amarres au long cours..
Akenos la retourna brutalement.
Elle ferma aussitôt les yeux.
Elle sentit le visage de l'amant qui s'approchait tandis qu'elle détournait le sien.
Sofya prenait plaisir à se défendre. C'était un apéritif de circonstance
avant l'exultation de sa défaite annoncée.
Il l'embrassa aux entournures puis descendit sur son sein gauche.
C'était le plus sensible des deux ; le plus doux, le plus dense, le plus débraillé ;
Sofya avait pour elle l'insolente fraicheur, l'irrésistible outrage de la fleur de l'âge.
Ses seins si pleins, si ronds, semblaient éclore de sa tunique comme autant d'audaces, comme autant d'hypnoses rendues à la voute céleste.
Le cratère de son volcan se trouvait à présent dans une bouche pleine de lave !
Akenos faisait tournoyait sa langue de vipère tandis que ses doigts ondulaient
sous l'arc infiniment doux du sein de la belle..
Son esprit flambait déjà comme une étable sèche dans un été torride.
Brusquement, une parcelle du vêtement de Sofya céda comme peau-morte:
Akenos venait de déchirer l'étoffe d'un geste violent.
Sofya gisait, le poitrail à l'air.
Elle était l'agneau du sacrifice sur l'autel du mâle.
Elle entrouvrit les yeux et fit la moue.
Sa bouche esquissait des non-dits:
Qu'attends-tu ? Dévaste-moi ! Prends-moi sauvagement, de toute ta fougue !
Crache-moi tes vices !!
Akenos -féroce- plaqua sa bouche sur ses lèvres fiévreuses.
Elle le repoussait en vain du plaisir de sentir son torse imposer son poids,
sa force et sa loi.
L'ivresse montait en elle. Chaque baiser fougueux était une gorgée d'alcool ;
de ces alcools intenses qu'on distille entre amants parmi les herbes folles.
Sofya sentait ses cuisses goutteler :
elle n'avait jamais vu de sexe d'homme autrement qu'en mosaïques parmi les arabesques du palais.
A présent elle désirait ardemment sentir la chaleur d'un sexe mâle contre sa
cuisse,
contre son ventre,
contre son sein..
Elle flairait les vapeurs nouvelles émaner d'Akenos.
Elle voulait garder cette odeur, ce parfum exquis et rance sur le buvard de sa peau.
Sofya voulait gouter à cette peau d'homme dans la force de l'âge, cette peau tannée par endroits.
Elle voulait boire de ce vin bien mûr alors elle dégrafa la tunique du prince de sa main fredonnante ..
Elle découvrit, fascinée, ses épaules tachetées de morsures solaires.
Tandis que la femme venait faire éclore sa main sur le torse de l'homme,
Akenos sentit sa poitrine s'irradier de lumière.
Tout sorcier qu'il était, le grand, le zélé Akenos se trouvait à son tour
sous le joug d'un exquis sortilège..
Sofya découvrit son torse tel un paysage sauvage parsemé de fine toison.
La demoiselle plongea chichement sa tête en avant pour lui déposer son baiser.
A cet instant, elle sentit le corps d'Akenos à la merci de ses lèvres humides.
A présent elle souhaitait follement s'emparer de sa virilité.
Sofya voyait la forme lourde épouser l'étoffe du fuseau ;
le sexe d'Akenos semblait à peine contenu par un cordon.
Et tandis qu'elle butinait son torse, Sofya tira d'une main discrète sur ce ruban d'offrande.
Le pantalon glissa sur les cuisses de l'homme.
Elle ne s'attarda pas sur la surprise de cette chose qu'elle pouvait désormais contempler.
Sofya saisit le sexe du sorcier et entama un lent, un très lent va-et-vient..
La lenteur était sa profession de foi voluptueuse.
Elle voulait contempler la lumière grimper peu à peu dans le corps de cet homme ;
la voir déborder des remparts et jaillir de toutes parts.
Un climax absolu au pic de l'instant.
Soudain, la nymphe cessa d'empoigner son homme pour se hisser au bas du lit.
Elle se trouvait à présent truffe à truffe avec la queue de l'animal.
Son regard était traversé de malice et d'effroi :
elle découvrait - oh délice ! - qu'elle aimait goûter à ce genre de peur.
Akenos, quant à lui, semblait fébrile, hésitant :
sa verge pointait désormais au visage de sa muse.
Sofyia semblait s'amuser de cette posture. A présent, elle dévisageait Akenos avec un petit sourire
qui traduisant autant de gêne que de désir.
Elle entrouvrit la bouche en guise d'invitation sauvage.
Dans le silence implacable, Akenos caressa le visage de sa reine avec son pénis.
La belle ferma les yeux,.. puis les rouvrit. La liqueur séminale d'Akenos s'était déposée par endroit sur son visage.
Elle se mit à froncer les sourcils, plaçant ses lèvres en ventouse sur les trajectoires de sa verge: Elle voulait goûter cette substance.
Il plaça son gland sur les lèvres de la furieuse qui, spontanément, y passa la langue.
Akenos sentit des oiseaux électriques lui piquer la tête.
Le regard de Sofya s'encombrait désormais d'orages menaçants.
- Qu'attends-tu pour me violer la bouche ? -
Akenos pénétra consciencieusement sa jolie petite gueule vicieuse.
Il n'avait pas imaginé un instant que les choses se dérouleraient de la sorte.
Sofya inclinait la tête pour inciter le bougre à lui déformer les joues.
Akenos prit alors conscience que le chasseur qu'il était s'apprêtait à muter en proie.
Il ne souhaitait pas plus longtemps tordre le cou à sa légende:
ses instinct guerriers remontèrent bientôt des tréfonds de sa matrice.
Celle là même héritée de la très longue lignée de ses ancêtres.
Une envie irrépressible de s'enfoncer plus profondément dans sa gorge le saisit.
Plus il s'aventurait dans la bouche de sa muse plus elle plissait ses paupières fardées d'une extase troublante..
Elle laissa doucement glisser un main vers sa vulve. Akenos la surprit en flagrant délice.
Sur le vif du vit, il cessa ses va-et-vient, s'extirpa de sa bouche et la tira à l'autre bout du lit.
Il descendit à terre tel un serpent fluide qui glisserait d'un coussin jusqu'au sol.
La petite garce enjouée prit appui sur ses coudes histoire de pister son partenaire.
C'est alors qu'elle sentit un corps humide remonter tour à tour chacune des commissures de son entrecuisse.
Akenos lui offrit un petit intermède pour caresser de sa joue ses cuisses dodues et douces.
Sofya se surprit à couiner comme une chienne ; elle crispait la trogne.
Haletante, la petit canine attendait la morsure du maitre.
Le gaillard plaça tout le plat de sa langue sur le bouton de rose et remonta son large pinceau jusqu'au mont de Venus.
Elle reçut cette étreinte de loup d'un vertige violent.
La langue D'Akenos découvrit le petit coquillage de son jardin secret.
Il s'amusa à le happer, à le pointer et l'essorer, tandis qu'un de ses doigts s'occupait insidieusement de sa pourpre serrure.
Akenos se plaisait à tourner sa langue dans le sens inverse de l'aiguille de son doigt.
Il s'excitait d'imaginer la belle perdant tout repère, abandonnée toute entière à ses sens affolés.
Il plaquait désormais son doigt contre sa parois interne, frottant lentement sa revanche lubrique.
La femelle en chaleur lâcha une exclamation.
Elle était devenue la grand-voile infiniment tendue d'un drakkar claquant dans la tempête.
Akenos pénétra Sofya de toute la longueur de sa langue, la fouillant comme un damné.
La belle n'en pouvant plus, son sexe explosa comme une fontaine dont on aurait sabré la tour.
Akenos se retrouva brusquement le visage inondé de son breuvage intime.
Possédée par l'ivresse qui venait de jaillir de sa lune, Sofya l'interpella.
- Alors sorcier, est-ce donc la première fois que tu goûtes à l'eau d'une femme-fontaine ?
Elle s'était soudain redressée, lui attrapant vigoureusement la chevelure
et l'invitant à boire le filet de mouille qui s'écoulait encore de sa chatte.
Akenos fut frappé d'un coup d'adrénaline aux tempes en recevant cette mixture en bouche.
Sofya tanguait, bienheureuse, toute possédée de son ivresse.
La lionne ébouriffée posa son pied nu sur le torse du chasseur..
Ce dernier contemplait son petit bracelet de cheville qui tintait d'une douce lumière.
D'un coup Sofya projeta l'homme au sol ; il gisait désormais de tout son long.
Elle descendit sur lui imperceptiblement, tel un tapis de fumée, et hissa son visage jusqu'au sien ;
elle le dévisageait.
Akenos sentait à présent sa vulve de silvidre lui taquiner la verge.
Sofyia souriait. Elle se mit à lécher son héros. La petite peste ronronnait, grognait de plaisir..
Elle caressa de sa langue fouineuse l'oreille d'Akenos, puis, comme une panthère docile, s'empara de sa lèvre inférieure entre ses babines..
Amoureusement, les yeux mi-clos, elle suçait sa bouche comme une languette sucrée.
Bientôt, il ferma les yeux et se laissa glisser dans cette lagune: l'instant s'étira délicieusement en frôlement de langues: Akenos, à son tour, léchait les lèves de Sofya qui souriait de plus belle..
Elle se redressa doucement, en silence.
Lui, sous elle, contemplait sa chevelure qui rebiffait, ses tétons qui pointaient, sa bouche béante superbement lascive.. Il caressait les hanches de sa petite jument racée ; aimait soyer du doigt l'orée de sa raie, revêche au toucher.
Akenos palpitait de la voir s'asseoir là maintenant sur lui; de pénétrer ses méandres, Sofya savourait sa montée de sève, la houle dans le yeux de son homme..
- Traverse-moi ! dit-elle..
Elle se mit à répéter ces mots, decrescendo, à l'infini ; à se draper dans leur écho.
Traverse-moi traverse-moi traverse-moi..
Sofya passa son bras à rebrousse-corps -sous elle- pour s'emparer du membre viril et le placer au mieux à l'entrée de sa vulve.
Alors qu'Akenos se décidait promptement à redresser ses hanches, Sofya descendit les siennes.
D'une main puissante, il chargea son épaule pour qu'elle s'abatte sur son gun.
Akenos risqua la pulpe d'un doigt sur sa rustine plissée visant à lui décontracter le con.
Son vit entra d'un coup en elle. Il rencontra à mi-chemin une paroi qui l'empêchait d'aller planter plus haut son drapeau.
Empressée, Sofya lui lança un regard consentant.
Akenos -chichement- traversa la fleur de Sofya qui dès lors, se cramponnait à lui de tous ses muscles.
La belle fronça légèrement ses sourcils, restant un instant en suspens à le dévisager.
Sofya releva doucement sa croupe ; Akenos décela un filet de sang sur sa verge.
L'ingénue passa lentement une main sur le mont de Venus ; Ses doigts si délicats s'en trouvèrent ensanglantés.
De cela elle semblait étrangement satisfaite. La demoiselle redescendit sa croupe sur la queue d'Akenos,
entamant une danse des plus con-sciencieuses.
Sofya était en re-con-naissance, dans tous les sens du terme.
- Dans toute l'essence du derme -
Ses hanches dessinaient à présent des volutes, une danse aux cerceaux.
Son sang s'écoulait de plus belle de sa membrane, éclaboussant le corps d'Akenos.
La demoiselle paraissait ravie du spectacle. Elle se mit à donner des coups de hanches de plus en plus secs contre le ventre du gaillard.
Le sang giclait partout : sur le sol immaculé, les jambes d'Akenos, sur chaque carcasse d'amant pourrissant dans l'âpre vérité des sous-sol voraces.
Elle remonta son con au sommet de sa verge, à l'affut désormais des assauts du sorcier.
Il lui attrapa les hanches et, affectueusement, pilonna son éminence charnue.
Sofya chérissait cette impression de s'ouvrir, d'éclore de l'intérieur.
La petite fleur qu'elle avait perdue semblait renaitre partout en elle.
Etre femme, sans doute, c'était cela: se voir tout à tour éclore puis pulvérisée puis éclore de plus belle.
Combien de vies possédait-on ainsi se demanda-t-elle, avant de venir téter le sein d'Akenos.
Ce dernier semblait bien apprécier son art combinatoire des stimulis.
Elle se redressa et plaça sa main sur le visage de cet homme répandu qui, du sol, contemplait la grâce géométrique de sa pilosité pubienne.
Sofya signifia qu'elle reprenait les rennes de son grand canasson pour mener à bien le bouquet final.
Et de redoubler ses mouvements de bassin autant qu'elle déchiffrait les sensations d'Akenos sur son visage.
Sa main descendit dans la bouche du guerrier tandis que ce dernier malaxait les seins de sa belle.
Bientôt, la jolie se trouvait à l'unisson du bellâtre dans l'avènement de la jouissance.
Akenos jaillit en elle -avec elle- dans le grand fracas d'un orgasme simultané.
Sofya sentit son amant se répandre en semence et saccades.
Les spasmes de sa foune aiguisaient ceux de la lance du troupier qui sursautait de son épileptique jouissance.
Une bain chaud semblait à présent couler dans le cerveau de ce gros tigre d'Akenos, quant à Sofya, elle avait des larmes de joie qui ruisselaient sur son petit minois.
Elle descendit se blottir contre son homme-édredon. Elle raffolait sans fin de caresser sa peau.
Il était sa contrée mystérieuse, son damier, son domaine, son désert d'or de jade et de safran.
Akenos s'enroulait amoureusement au cou de sa reine. Une odeur insensée grimpait à chaque mur : telle une tenture; telle une fiévreuse alchimie d'âme et de chair.
Sofya -groguie- ne voulait pas pour autant voir son homme s'assagir de si tôt.
Elle profita de l'abandon d'Akenos à son plaisir, pour s'extraire lentement de lui.
Du lait de son homme coulait de son vagin: le fourreau de Sofya baptisait l'épée d'Akenos de sa propre gerbe de miel.
Tel un reflux de marée, Sofya rebroussa aux jambes du prince.
Akenos sentit une sensation vive au sommet de son pic qui ne manqua pas de réveiller quelques braises folâtres.
Il redressa la tête pour contempler la belle qui lui léchait son bien.
Habitée d'une troublante ferveur, Sofya se badigeonnait les lèvres de son foutre. Elle relevait sa langue pour recevoir sa dose homéopathique de semence. La belle succube raffolait de sentir sa chair absorber les fluides du mâle.
Sa langue vint signer à feu et à sang ce passage à la postérité de leurs postérieurs:
Akenos sentit Sofya furieusement affairée à lui lécher son myosotis de dunes.
Elle lui glissa un doigt comme une missive et, de son autre main, le branla frénétiquement dans sa bouche.
Akenos -surpris- fit entendre son râle. Sofya s'arrêta un instant pour cligner ses jolis yeux de fouine.
Akenos lui chopa la tête dans un réflexe félin. Elle résistait en souriant. Il la força de plus belle.
Sofya serrait ses lèvres sur la pine du mâle histoire qu'il se consacre à lui baiser la bouche.
Elle le fixait, s'amusait d'entrainer Akenos sur ce terrain salace. .
Sofya se redressa nette.
- Lève toi ! Lui lança-t-elle avec autorité.
Akenos se redressa, piqué par ce ton qu'elle avait.
Elle le projeta alors contre le mur.
Le lascar, à son tour, l'attrapa par le collet et la mit de force à genoux.
Il plaça sa queue entre ses crocs de chienne avide et l'enfonça profondément.
La petite salope se félicitait intérieurement de la férocité naissante d'Akenos.
Le pervers la laissa reprendre sa respiration.
C'est alors que, du coin de l'oeil, elle aperçut des huiles précieuses placées soigneusement en rang sur une étagère.
Akenos suivit son regard.
Sofya s'était déjà redressée pour décapsuler une des bouteilles et se la verser sur le corps.
Elle se laissa pétrir les seins par son amant.
Sublimée de ce vernis nouveau, Sofya lui adressa un regard de feu.
Elle s'accroupit, attrapa sa bite et la plaça entre ses seins qu'elle compressa fermement.
Elle le branlait souplement de ses superbes mamelles.
La sauvageonne s'interrompit un instant pour verser la bouteille dans sa paume avec laquelle elle entreprit de malaxer la verge.
Ses doigts de femme badigeonnés s'aventurèrent alors obscurément vers son arrière train.
Akenos frappa la visage de la fille avec sa queue tandis qu'elle se doigtait la raie de sa main huileuse.
- ttention au tapis tout de même ! se permit Akenos.
- punis-moi ! rétorqua Sofya.
Toujours accroupie, elle se mit à uriner sur le kashmir..
Il la propulsa en arrière et vînt sur elle;
la bascula de sorte que les chevilles de la meuf se calent de part et d'autre de ses épaules.
Le sexe huileux d'Akenos glissa dans le cul de Sofya : Il s'étonna de ce rectum qui épousait si bien sa queue.
Alors qu'il caressait ses entrailles, Sofya le gifla puis lui cracha violemment au visage.
- plus fort que ça chacal !
Il l'attrapa au cou comme pour l'étrangler et commença à lui prodiguer une série de violentes fessées avec ses reins .
Elle l'encourageait de tout son coeur, de tout le coeur de son cul, en vocalises lubriques.
Le “barbarian” stoppa net sa progression et se retira.
Sofya se redressa pour protester.
C'est alors qu'Akenos la retourna pour la choper en levrette.
Il la saisit par la crinière et vint percuter sèchement son derrière, avec un rythme martial.
Plus il la baisait plus elle ruisselait de mouille et de ce sperme qu'elle contenait encore.
Au dernier coup de trique, elle urina sur lui.
Akenos se dégagea de son bouquet fleuri. L'arrière train de la belle ruisselait de fluides.
Sofya apercevait son superbe cul dans le grand miroir qui semblait dressé pour elle.
Pisse, mouille, sang, foutre, transpiration et huiles..
Akenos passa sa queue sur la raie de Sofya pour récolter sa propre semence puis entreprit de souiller les aréoles de la belle.
Son pénis battait encore la chamade; tous ses réseaux veineux étaient tendus comme des arcs.
Pris à son tour d'un élan de fantaisie décadente, il lui pissa au cou.
Sofya plaça sa bouche sur la trajectoire du jet en guise d'ultime fusée pour le bouquet final .
Enfin, les deux basculèrent chacun sur le flanc, absolument repus.
Akenos contemplait le dos de Sofya. Il le trouvait étrangement expressif ; poétique ; émouvant.
Il la caressa longuement dans le silence serein.
- Je crois que je vais nous faire couler un bain, qu'en dis-tu ?
Elle se mit à rire et vient l'embrasser sur la joue d'un baiser languissant et généreux.
Il n'aimait rien d'avantage que ces baisers là, des papillons de sourires en plein soleil.
Sofya bondit la première vers la salle de bain, puis après quelques mystérieux instants reparut.
Akenos gisait toujours au sol.
- Tu m'as bien ramoné les entrailles, ça mérite un petit cadeau ! Lança soudainement Sofya.
Elle s'accroupit vers lui et le jeune homme découvrit avec stupeur qu'elle déféquait.
Il esquiva partiellement l'assaut de la belle, troublé un bref instant par le spectacle irrésistible de son cul en seize neuvième.
Sofya passa son pied nue sur le visage d'Akenos.
- Allez, tu vas goûter ça !
Akenos se redressa violemment.
Il s'était assoupi dans son bain.
Sofya était en train de lui lécher l'orteil.
- Comme au bon vieux temps, doux chéri ! Tu t'étais endormi dis-moi ?
Akenos contemplait son épouse.
Ils avaient décidé de fêter dignement leur vingtième année de mariage.
- Te souviens-tu de la première fois où nous avons fait l'amour ? Demanda Sofya..
Ca me parcourt, encore vois-tu ! Ajouta-t-elle.
- Et bien figure-toi que je viens de faire une rêverie assez salace à l'instant même !..
- Noooon ?
- Si si !
Ils rièrent ensemble de bon coeur.
Akenos plongea délicatement ses doigts champouineux dans la chevelure de sa femme.
Elle ferma les yeux pour se concentrer sur ses mains qui, tant d'années durant, n'avaient jamais rien perdues
de leur ferveur..
Elle se tourna légèrement vers lui.
Il l'embrassa avec passion.
Tout en éprouvant le baiser d'Akenos, Sofya caressa le sexe de son homme qui ne tarda pas à se raidir.
Elle sortit alors du bain, et disparut dans le corridor.
Akenos, perplexe sortit à son tour de l'eau.
En arrivant dans son salon il découvrit avec stupéfaction une multitude de femmes dispersées ça et là, sur son lit, sur ses chaises, sur son bureau..
Jadis, Akenos se faisait passer pour un sorcier dans l'idée d'attirer les femmes.
Il s'était fait prendre à son propre jeu en rencontrant Sofya, véritable sorcière quant à elle, de par sa descendance.
- Sofya, mon amour, n'aurais-tu pas transformé à mon insu notre baignoire en marmite à sortilèges ?.
- Les huiles parfumées ont parfois des vertus cachées ! Lui répondit-elle, amusée.
- Quelle belle idée de cadeau nous fais-tu là petite voyeuse !
Akenos semblait évoluer désormais dans une sorte de rêverie hallucinée.
Alors qu'il s'apprêtait à niquer, sous les yeux voraces de sa femme, la plantureuse rouquine qui s'épanchait sur son bureau, il s'aperçut que les demoiselles qui trônaient sagement dans son salon avaient, chacune, quelque chose de Sofya .
Quelque chose de ses seins, de ses yeux, de ses jambes…
Chacune d'entre elles se dirigea vers Akenos.
En tête de cortège, la rouquine en robe noire s'approcha de lui, un sourire en coin.
Ses opales aux grands cils semblaient lui sourire. Mais c'est d'un coup de genoux dans les parties qu'elle le salua.
Les demoiselles entrainèrent leur esclave au sol.
Chacune jeta son dévolu sur chaque extrémité de son corps:
Tandis qu'une fille l'embrassait à pleine bouche, une autre lui suçait le sein, une autre encore lui léchait la queue et le cul.
Akenos scrutait la jolie blonde qui gobait son orteil lorsqu'on vint s'asseoir sur son visage.
Quand on interrogeait Sofya sur sa faculté à prendre toutes sortes de formes féminines, il lui était arrivé de déclarer qu'il
s'agissait en réalité de ses soeurs illégitimes.
Ses parents s'était unis dans un hôpital qui soignait la nymphomanie.ainsi que quelques cas isolés de cannibalisme.
On ne l'avait jamais crue.
A grand tord.
Akenos lança son regard en direction des portes fenêtres.
Chacune des femmes stoppa sa besogne, agitant sous ses yeux une petite clef en or qu'elles avalèrent tour à tour.
Akenos se tourna alors vers sa femme qui lui déclara calmement.
- Tu ne croyais pas que j'allais te laisser crever de ton cancer sans rien faire, tout de même ?
J'en conviens, je te présente mes soeurs un peu tardivement..
Je n'ai plus de frère.
Selon notre tradition millénaire, nous avons été tenues de les dévorer pour récupérer leur énergie vitale déclinante.
Akenos resta interdit à ces mots.
Sofya poursuivit.
- Chéri, c'était une idée très romantique de projeter de te faire brûler sur un bûcher face à la mer.
Seulement voilà:
Très solennellement je t'annonce que chacune de mes soeurs va te faire un enfant, t'épuiser à la baise et te dévorer.
L'heure à sonné, c'est ton ultime orgie.
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Au fond de Vos yeux, mon regard j'aime plonger
Bâillonnée avec la vision de Vous poser sur moi
Chaque moment passé avec Vous est une joie
Dans l'iris de Votre âme, je me suis abandonnée
Enserrant mon cou, ce collier redouté et porté avec fierté
Frissons d'excitation quand Vos mains me touchent
Gardien de mon intégrité, et douce est Votre bouche
Hommage à Vous Mon Maître qui m'amenez à me libérer
Il y a parfois par les aléas de la vie, des imprévues
Je découvre avec Vous des sensations inconnues
Kyrielle de maux colore ma peau d'une parure nacarat
Laissant sous la lanière du cuir des marques incarnats
Mon Maître, Vous savez me rassurer avec bienveillance
Notre lien précieux, délice de notre commune attirance
Oublier mes peurs de ces blessures enfantines infligées
Pour avec Vous, accomplir enfin certains actes refoulés
Qu'importe le temps, vivons les instants présents
Respect mutuel, entre nous tout est transparent
Sentir les pulsations de mon cœur, moi votre soumise
Timbre de Votre voix, Vos gestes qui s'harmonisent
Un bonheur de Vous appartenir au gré des saisons
Vous devant qui je m'incline, offrant ma soumission
Week-end où le silence et l'attente sont de raison
X sont ces jeux à deux où perlent Notre passion
Y a-t-il plus beau son que celui gémissant (au)
Zénith de volupté de deux adultes consentants
Le 23 mai 2012
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24 mois se sont écoulés depuis Notre première rencontre.
24 mois de respect, d'écoute, d'attention, de complicité, de plaisirs partagés.
24 mois que nos regards se sont croisés, que la confiance est installée.
Vous avez su m'apprivoiser.
Vous avez su m'interpeler.
Vous avez su me révéler.
Vous avez su asseoir Votre emprise.
Vous avez su entendre mes doutes et mes peurs.
Vous avez su me faire grandir sans me meurtrir.
Vous que j'ai tant attendu.
Marquée de Votre signature.
Confiance totale en Vous.
Votre collier ornant mon cou.
Fait de moi votre soumise.
En ce symbole de l'appartenance.
Ma soumission est faite d'évolution, de dépassement, de découvertes.
Vous servir, Vous obéir, respecter Vos consignes, Vous faire honneur est un bonheur.
Par nombre de ressenti, d'émotion, de sensations, de pleurs quelque fois.
Par le trop plein qui déborde, parce qu'une lutte intérieure a été livré.
Par ce lien qui nous unit comme une évidence.
Parce que c'est Vous qui avez les clefs.
De mon corps, de mon âme, et celle de mon cœur.
L'exaltation des sens, l'essence de votre parfum de peau.
Ma progression avec Vous en cette place à Vos pieds.
A Vous je suis attachée, à Vous je me soumets.
Avec Vous des frissons et quand survient la jouissance.
Votre main sur ma bouche pour étouffer mes cris.
Vous Mon Maitre Vous m'amener, Vous m'éduquez.
Par Votre maitrise et la connaissance de moi.
Qui me permet d'avancer bien plus loin que j'aurais pu l'imaginer.
Votre attention, Votre ouverture d'esprit.
Et le temps surtout qu'il faut pour construire une saine relation D/s.
Sans omettre le dialogue sincère qui est la base de la construction.
Avec Vous, je ne me perds pas, je garde ma spontanéité.
Le 23 mars 2012
Ajout de Mon Maitre
Un hiver long, froid et ennuyeux. Puis tout à coup quelques mots échangés, un parking réchauffé par les premiers rayons d’un printemps naissant. Deux regards qui se rencontrent, profonds et francs, deux regards qui disent déjà oui avant même les premiers mots. Un bout de route en toute quiétude, un repas pour échanger nos souhaits, nos envies, puis en toute confiance un premier abandon. Ainsi tout commença, ainsi tout s’accomplit durablement, deux ans déjà.
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La copine d'Huguette
Encouragé par mes deux premiers succès, ne voulant pas gâcher des dons évidents, je me remis à l'ouvrage. J'appelai Huguette pour la revoir, toujours sous le charme. Elle n'était plus libre me confia-t-elle, avait déménagé, n'était plus intéressée par le BDSM, et n'avait rien ressenti – de quelconque façon à ses dires – lors de notre rencontre. Si je n'avais su lire entre les lignes j'aurais naïvement pensé qu'elle m'évitait ou avait été déçue. Ma grande expérience de la psychologie féminine me fit heureusement deviner, que, probablement par peur de tomber follement amoureuse, elle préférait une vaine fuite. Je dis vaine, car évidemment, je ne voyais pas comment son esprit eût pu se détacher de moi. Pas plus que son corps qui devait m'appeler chaque nuit . Gentleman, je n'insistai pas, la laissant toute à la pudeur de ses sentiments. Juste avant de me raccrocher au nez (assurément pour cause de forfait dépassé – tiens au fait c'est moi qui l'appelais …), elle me donna le numéro d'une amie, qui, disait-elle pourrait être intéressée, elle ( je cite ). Ah ces femmes , quels bijoux… Elle avait été si enthousiasmée qu'elle n'avait pu s'empêcher d'en parler à sa copine. Bon Prince je décidai de l'appeler . Evidemment cette dernière fut emballée et me donna rencart le jour même.
Lorsque j'entrai dans le café, je la reconnu immédiatement. Sa paire de Rangers , son pantalon treillis très en vogue chez les femmes à cette époque me plurent immédiatement; je devinai vite qu'il s'agissait de masquer maladroitement sa fragilité, sa féminité… Et ce ne sont pas ses cheveux hirsutes et son maquillage outrancier qui allaient me faire changer d'avis. Pas plus que ses 15 bons centimètres de plus que moi, ni ses épaules de déménageur. Je mis sur le compte du tabac (elle écrasa son cigare dans le cendrier à mon arrivée en me dévisageant …) sa voix grave .
_ Bonjour Madame, je …
_ 'sied toi!
Quelle économie de mot, et quelle concision; j'en était admiratif! Je saisis au vol cette invitation et pris place face à elle.
_ alors c'est toi qui voulait dominer Huguette?
Force était de constater que ma réputation m'avait précédé; je conçu une certaine gène (humilité quand tu nous tiens) devant ce compliment déguisé. Toujours cette subtilité du langage féminin…
_ moi aussi j'aime la fessée...
lâcha-t-elle en même temps qu'un rot qui fit se retourner même les plus habitués des lieux. Elle reposa sa bière en s'essuyant sensuellement les lèvres d'un revers de la main.
_ ...mais je préfère la cravache, mon pêché mignon!
J'étais sous le charme, nos goûts correspondaient à merveille. Savait-elle qu'elle était déjà perdue corps et âme?
Son regard et un signe du menton m'indiquèrent la porte des toilettes où elle avait visiblement l'intention de me suivre; évidemment l'endroit n'était pas aussi romantique que j'aurais pu le souhaiter, mais son envie, son impatience eurent raison de ma pseudo réticence. En outre elle venait de me confier qu'elle avait tout ce qu'il fallait avec elle, dans son sac. Vraiment bien organisée cette charmante jeune femme, avoisinant les 70, 75 ans. Elle avait certainement tout prévu la coquine. J'en étais à bénir ma bonne fortune lorsque j'entendis la voix de ma belle à travers la porte:
_ J'espère que t'a remis du PQ Pierrot , sinon je m'essuie sur les murs !
Les rires gras de l'assemblée me transportaient; elle savait y faire pour donner le change, et mine de crayon, me rejoindre. La porte s'ouvrit; elle était encore plus grande que je ne croyais.
A peine entrée elle ouvrit sans un mot la porte des WC femme et me poussa dedans. Impatience quand tu nous tiens… De son sac elle sortit une magnifique cravache noire, un modèle assez court, avec un large embout en cuir.
_ Baisse ton pantalon!
J'en étais gêné! Voulait-elle passer à une gâterie tout de suite? C'eût été gâcher, je ne l'avais même pas encore fessée. Je fus rassuré quand elle me fit appuyer au mur, pantalon sur les talons; dans cette pause noble j'entendis (et surtout sentis!) le sifflement de la cravache s'abattre sur mon arrière train! Elle voulait vraisemblablement vérifier son bon fonctionnement avant de me la tendre. Visiblement dans le doute, elle vérifia une bonne trentaine de fois l'outil sur la partie la plus charnue de mon individu. Etrangement , dansant d'un pied sur l'autre, j'avais de moins en moins envie de la dominer. J'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas trop. Je sentais à son souffle court qu'elle fatiguait; cela m'arrangeait un peu à vrai dire… Quand elle eu fini, elle claqua la porte et sorti, me laissant le soin, me précisa-t-elle, de régler ses «4 bières descendues en t'attendant plus la tournée générale» qu'elle allait mettre sur mon compte. Je remontai sans hâte et avec une infinie délicatesse mon pantalon dont il me sembla soudainement que la matière était proche du gant de crin.
Décidément ma carrière de dominateur se poursuivait aussi fort qu'elle avait démarré; j'en concevais une légitime fièrté , bien décidé à ne pas m'arrêter en si bon chemin. Quand tout vous sourit dans la vie , quelle extase ..
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Si tu t'offres à moi ?
Je veux et j'exige que tes paroles s'accordent en genre et en nombre avec tes actes.
Que tes gestes soient mesurés.
Que tes pensées soient douces et fertiles.
Si tu t'offres à moi ?
Tu dois faire en sorte que je comprenne tes envies.
Tu ne dois pas me faire languir inutilement.
Tu dois m'expliquer quelles sont tes attentes.
Tu ne dois pas me dire que... Puis me laisser croire que...
Tu peux t'affirmer avec moi.
Puisque je te donnerai toujours raison.
Si tu t'offres à moi ?
C'est par passion, avec passion et pour de la passion.
Si tu t'offres à moi !!?
Ne joue pas ce jeu puéril...
Lâche prise et soit docile.
Pour que je sois maître de ce temps ;
Tu dois me permettre de t'assoir sur mes envies.
Parce que c'est là que je grandis, que je m'allonge;
Et que je t'offre...
Le désir et la passion.
Maître Lasky
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Narcisse et moi... Une vieille, longue et profonde histoire d'amour !
Je ne veux pas raconter ma vie ni avoir l'air de m'en inventée une.
J'aime à donner des précisions.
Perversité et narcissisme.
Et non ma spécialité n'est pas de faire culpabiliser mon autre.
Il est vrai que faire entendre une vérité peut parfois, souvent, choqué.
Une inversion des rôles ou une aversion pour ce qu'on ne comprend pas.
Statuer, tirés des conclusions hâtives.
Comme pour se libérer d'une entrave.
Soumis(e), dominé, face à plus caractérielle que soi.
Sans avoir pris le soin de donner quelque simple directive,
les règles du jeu.
Et dire de l'autre... Le rendre coupable, être victime.
Dans bien des circonstances certains/certaines mériteraient un châtiment.
Au-delà de la simple punition.
Dans le quotidien ce jeu de domination et de soumission,
ces gens sadiques et les autres masochistes.
Jusque dans l'intimité avec une vanille qui s'approche et qui s'accroche.
Autant de participant qui s'ignore.
Dans le quotidien... tous les jours on joue ce jeu.
Et il ne fait que commencer.
Alors que les rapports sociaux s'effondrent et doivent être refondés.
L'amour, la haine, la sexualité et le déni de ce qu'on est.
Des hommes et des femmes en mal d'un rapport libidinal exacerbé.
Le jeu de la vie, le jeu de la société.
Maître Lasky
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