La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/12/15
Suite à la proposition de Lady Spencer je mets en ligne un article agrémenté d'un dessin En fait la question est : voilà une expérience que je ne connais pas réellement quel plaisir ou souffrance y a t'il à être Milké comme il est souhaité par certaine Maîtresse et quelle est la véritable différence avec l'orgasme avorté que j'ai subi pour le désir de ma Domina. Il y a un article sur le milkage très détaillé mais le retour des Dominas ou soumis seraient très apprécié Bien à vous tous Loic
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Par : le 13/12/15
Tu as accepté, pour lâcher prise. .. tester de nouvelles choses. .. je suis arrivée, tu m'as accueilli.... la porte s' est ouverte ... j'ai franchi le seuil, tu as refermé la porte. ... des bougies dans le salon, éclairent faiblement la pièce. .. je m'avance et m'installe dans un fauteuil, je t'observe. .. tu retires ta chemise et me rejoins à 4 pattes, lentement tu te rapproches de moi... t'agenouille à mes pieds. .. pose un baiser à mes pieds.... Je sors une corde, tu me tends tes bras. ..je les attache... tu t'allonges au sol...je me lève te contourne, glisse la pointe de ma chaussure ... une bougie. ..que j'allume, la flamme danse, la cire fond... devient liquide. ... tombe sur ton torse... ta respiration est calme. .. tu sembles t'appaiser....
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Par : le 08/12/15
Je suis arrivée, tu m'as bandé les yeux avec un tissu... le noir m'a entouré, j'ai écouté ta respiration. .. perçu tes mouvements... Debout immobile... L'appréhension se fait sentir. ... ta main qui effleure mes cheveux, retire la pince pour les détacher... j'attends. .. je sursaute quand tu viens déposer un baiser dans mon cou.... je sens ton corps derrière moi....tes mains détachent les boutons de ma chemise... Un doigt effleure le pourtour de ma lingerie. .. parcourant le galbe de mes seins.... ma jupe finit à mes pieds. ... j'attends le plus calmement possible.... anxieuse et impatiente de la suite.... tu t éloignes ... je ne sais comment me tenir, ni où mettre mes mains. .. ta main caresse mes fesses. ... claque. .. s' en empare. ... joue avec la dentelle de mon string. .. ton doigt glisse entre mes fesses, rejoint mon sexe, glisse entre mes lèvres, avant de disparaître... ton doigt effleure les lèvres de ma bouche qui s'ouvre. .. léche... tu te frottes contre moi... ta cuisse entre mes jambes... appuie sur mon sexe... s' en va... puis tu fais glisser mon string à mes pieds. .. tu prends mes mains et me demande d'avancer.... juste quelques pas avant de m'arrêter. ..et defaire glisser mon chemisier sur mon corps... il ne reste que mes bas et mon soutien george...tu me demandes de m'agenouiller... je m'exécute. ... et tu dégraffes mon soutif qui glisse sur mes bras... Quelque chose de doux et léger effleure ma peau.... je frissonne.... glisse dans mon dos... sur mes seins qui durcissent.... mon ventre....je m'allonge à ta demande. .. le sol est froid. .. c'est au tour de mon sexe....de sentir des caresses. ..mes cuisses s' ouvrent... mon corps se tend...
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Par : le 02/12/15
Versatile. Vers où Verre d'Ô. Ô et miel Eau d'ivresse. Oh my gode Gode in my ass Gode save my soul Saoûle de stupre Saoûle de caresses. Saoûle de toi Toi, toi, toi qui sais Vers où m'envoler
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Par : le 01/12/15
Curieux et bonhomme, il s'éveille et s'étire, se redresse doucement, risque un œil et prend de la hauteur. L'intrépide rêve de collines et des monts vertigineux qu'il escaladerait, de grottes humides à visiter. Il se hisse fièrement, développe toute sa longueur, hardi, tendu vers l'horizon doux et laiteux. Il relève sa tête glabre, rougissant sous l'éclat lunaire qui s'étale devant lui, l'âme aventurière et l'esprit vagabond. Il frétille, s'agite, humide de plaisir, gonflé d'orgueil, conscient de sa toute puissance, il avance frénétiquement vers des terres inconnues qu'il pense être le premier à pénétrer. Une larme d'émotion coule, un soubresaut comme un sanglot, il fonce sans hésitation, droit devant lui, comme guidé par une inspiration soudaine, un éblouissement ancestral. Mais au dernier moment il bifurque, change d'avis et d'espace, se dirige vers une langue rose et douce qui le cueille comme une fleur, aspirant et lissant, salivant et crachant, exultant devant sa posture ferme et douce, palpitante, vibrante quand brusquement, une poussée irrépressible l'arrache à lui-même dans une explosion à grands jets de foutre et d'étoiles.
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Par : le 30/11/15
la petite voulait être sodomisée ,les jambes bien écarté, son intimité exhibé, avec la marque de son maître sa rondelle défoncée, tout le pouvoir érotique du dessin repose sur le mouvement ,le gros plan et l’expression pour voir mes dessins érotiques http://dessindenu.onlc.fr/ .
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Par : le 30/11/15
Mes yeux exorbités se repaissent du spectacle de mes courbes dans le miroir : jupe retroussée jusqu'à la taille, culotte réduite à un mince tissu pénétrant les chairs douces et humides, jambes relevées et ouvertes, les talons en appui sur les montants moulurés encadrant ce reflet troublant. Cette image, double, qui se reflète, tu l'as souhaitée ainsi que son florilège indécent de caresses exigées, de pénétrations requises, d'orgasme contrôlé. Photos à l'appui. Pas de tricherie possible. Dire et montrer. Les godemiches et la cyprine. Seuls les rictus de jouissance et les gémissements resteront secrets. Mais tu les connais. Tu as mon regard dans le tien et mes bruits d'animal blessé dans ton oreille. Tu veux juste voir mon obéissance, ma soumission, minute après minute. Ma main sur mon sexe l'autre sur le déclencheur. J'avale un hoquet de plaisir en pensant à toi me regardant en quasi instantané. Espace aboli. Le plaisir fuse en numérique.
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Par : le 28/11/15
Parole de Feu "Expression extrême le branding n’est pas simplement une marque apposée, un produit de décoration, il est l’aboutissement d’une longue et profonde réflexion. C’est une implication totale physique et psychique où la douleur et la prise de risque inhérent à cette pratique ne doivent pas être pris à la légère. Il existe autour du marquage une sphère émotionnelle très particulière réservée aux initiés. Et en témoignage de cette émotion je ne peux résister à vous confier (avec son accord) le texte envoyé par F (aujourd'hui, Lady Spencer) et qui résume à lui seul ce que je vous souhaite dans votre expérience de feu." Marc Sainteul (Corpus Delicti)(2009) "Nous avons vécu ce marquage tous les deux , sans autre cérémonie que notre émotion partagée , immense , intense , profonde . Que ce moment fut extraordinaire et émouvant... La préparation tant matérielle que physique et surtout psychologique d' A fut assez longue pour obtenir une tension idéale maximum accompagnée de ce stress bienfaiteur et obligatoire dans le don de soi lors de cette épreuve. Ma préparation psychologique fut, pour moi, une source d'étonnement quant à mon pouvoir et ma puissance. Ne jamais oublier qu’un marquage, pratiqué par la ou le Dom, demande une force mentale et émotionnelle sans faille car l épreuve ne peut pas laisser indemne... Le marquage fut bref, ma main légère, précise, aucunement hésitante, et d’une assurance "amoureuse" ...brûler la peau de l homme que j'aime, lui arracher ce cri si important mais ne pas le faire souffrir... inutilement. Photos, soins immédiats post acte, surveillance de l état émotionnel d A... Et effondrement de la super Domina... larmes, larmes, larmes... Que cette charge émotionnelle fut douce à partager... La cicatrisation se passe parfaitement bien , la plaie ne nécessite plus de soins particuliers 15 jours après, la marque est belle, la couleur nacrée désirée ornera sa fesse dans quelques semaines." J'ai écrit ce récit en 2009 et si je le publie ici aujourd'hui, c'est pour connaitre vos avis, vos désirs, vos craintes sur ce type de marquage. L'avez-vous vécu et si oui, dans quelles conditions ? Ressentez-vous le désir ou le besoin de vivre cela ? Pourquoi ? Entre fantasme et réalité : quelles craintes vous empêchent de passer à l'acte ? Merci pour votre approche libre et sans jugement .
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Par : le 27/11/15
La machine Me sauve et me tue me berce, m'assiste et me perd m'invente des rêves insidieux qui m'éloignent un peu plus de la route de mes gênes La machine m'accouche et me tue joue avec mes illusions et mon réel trace des trajectoires fallacieuses ouvre des horizons virtuels La machine me dépasse me précède et me suit laisse des traces jusqu'au cœur de mes nuits dans mes tripes et dans mon cœur du haut de sa froide indifférence Filo (dessin de Nick Mason)
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Par : le 24/11/15
Clairière calme où ne sourd qu'un grondement lointain et ponctuel de moteur. La voiture s'arrête. Tu me demandes de me déshabiller. J'ai encore mes dessous mais tu me regardes avec insistance. Alors j'enlève rapidement ce qui me tient si peu de vêtement. Entièrement nue. Mais pas au soleil... La pluie tombe à grosses gouttes impassibles bruissant sur les vitres et le capot. Je regarde l'eau qui explose sur la surface transparente en minuscules flaques verticales puis dégouline le long de la paroi vitrée, comme des larmes démultipliées crachées par le ciel. Maussade, comme lui, et résignée, je m'apprête à affronter cette sortie inattendue. Nue sous la pluie. Mais j'ai gardé mes bottines, heureusement. «Tu vas jusqu'à l'arbre» ordonnes-tu. L'eau coule sur mes cils, m'aveuglant partiellement. J'avance droite, menton en avant, épaules en arrière. Il est sur mes talons, habillé, abrité sous son parapluie. Quel arbre? Le grand, large tronc, branches éparses et nombreuses feuilles qui ne me protègent pas du tout. L'eau glisse sur mes cheveux, mon visage, mon corps. Je frissonne un peu mais je n'ai pas vraiment froid. Pas encore. Il me demande d'écarter les cuisses et de lever les bras, en posant mes mains sur l'arbre. Seins et sexe à disposition. Triturée, fouillée, pincée, léchée, mordue... Le plaisir arrive, inexorablement et la cyprine se mêle à la pluie. Je laisse échapper soupirs et gémissements mais il m'intime l'ordre de me taire. Mon esprit s'échappe vers le haut de l'arbre, mon visage baissé pour le protéger de l'eau qui commence à se faire désagréablement froide. Je commence à grelotter et je tremble un peu. Je me fais intérieure, concentrée pour oublier cette humidité qui m'envahit. Je sens le contact de la cravache qui caresse plus qu'elle ne cingle. Qui passe entre mes cuisses, frôle et glisse, ennivre mon clitoris. Je me pâme. Il m'ordonne de ne pas bouger et de reprendre la position. Je l'imagine, je vois dans mon dos son regard lourd de désir, pervers ; je sais ses obsessions, ses plaisirs. Celui de me regarder immobile, offerte, indécente, jouisseuse. Il reste impassible. Et je me languis de davantage avec lui aujourd'hui...
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Par : le 24/11/15
Il est dangereux d’être femme, victime invisible d’exaction. Femmes en détresse, courbent l’échine. Femmes en souffrance, en violences conjugales (source ministère de l'Intérieur: 118 femmes sont mortes en 2014, victimes de leur conjoint ou "ex", soit presque une tous les trois jours en moyenne). Femme à protéger parfois même, de leur père, de leur parâtre, de leur oncle, de leur mari, de leur patron, etc…. Femmes séquestrées, abusées. Viol des femmes comme arme de guerre. Femmes en danger, instrumentalisées en ce monde de charia, de mafia. Toutes les religions ont une propension à vous considérer suivant la seule fonction procréatrice, femmes qui ne sont pas libres de leur corps. Femmes excisées, flamme de désirs éteints. Femmes répudiées, chassées de leur milieu familial, jetées à la rue, à l’incertitude. Femmes lapidées, déverrouillées de la vie. Femmes objets, marchandises de l'homme, femmes à canon de chair. Immondes mémoires du monde. Aux jeux charnels disgressifs, récession sous couvert d’évolution, épreuves et preuves. Valeur en tant que personne… bafouée. Qu’il doit être, parfois, difficile d’être femme. Le désir de pouvoir est souvent plus fort chez les hommes que la bonté. Il est bien connu que plus inconnue que l’homme inconnu est sa femme. Hommes, cessez de consumer votre vie en vanités. Femmes libérez-vous des serres du désespoir. 3919. La femme représente l’éternité de l’homme, sans elle point d’avenir possible et réciproquement. Femmes, je cède à votre con et concède ignorer les prétenchieuses.
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Par : le 22/11/15
dessin sado maso sur mesure et commandé pour illustré un texte sur un blog érotique «carola est là depuis plus d’une demi-heure, le cul en l’air contraint dans une pose où l’on ne voit que sa rondelle et son sexe offert à la vue et aux sévices de tout le monde .sa chatte trempée de son plaisir car de l’attente avec son cul exhibé comme ca carola imagine tout ce qu’elle devra subir elle sait déjà que les godes exposés à coté d’elle sont pour elle la taille impressionnante du plus gros la trouble et l’obsède .elle pense d’abord a sa rondelle écartelée et à la souffrance de la pénétration de cet engin et une fois son cul remplie et défoncé par les va et vient ???. carola aura d’abord le fouet ,puis viendra les godes du plus petit au plus gros dans son sexe d’abord dans son cul ensuite ,pour la préparer aux nombreux hommes qui viendront un a un la remplir dans le trous de leurs choix . elle jouira énormément»
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Par : le 22/11/15
ce texte n'est pas de ma plume, je ne connais pas le veritable auteur. texte trouvé sur facebook. Serais-tu prêtes à te donner... Te mettre à nu t'abandonner Serais-tu prêtes à n'exister... Que par ma propre volonté T'offrir et ne rien refuser... Ton âme m'en donner les clefs Ton corps m'en laisser le Maître... À mes désirs te soumettre.... Je deviendrai le Maître De ton corps de ton être... Tu pourrais me le soumettre Et moi me le permettre... Je deviendrai ton Maître Dans ton corps dans ton être Pour des envies à naître Où seul le plaisir est Maître... Serais-tu prête d'être l'objet De mes fantasmes les plus secrets Entre torture et volupté D'un lien qui pourrait t'attacher Soumise pour m'appartenir L'érotisme pour élixir Ton âme voudrait-elle se livrer Et ton corps se laisser dompter... Je deviendrai le Maître De ton corps de ton être... Tu pourrais me le soumettre Et moi me le permettre... Je deviendrai ton Maître Dans ton corps dans ton être Pour des envies à naître Où seul le plaisir est Maître...
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Par : le 22/11/15
Comprenez ce qui suit comme une information pouvant être utile et non comme une incrimination à quiconque. Toute personne a sur son image un droit exclusif et absolu et peut s'opposer à sa fixation, à sa reproduction ou à son utilisation. Attendu que reproduire sans autorisation adéquate la photographie d'une personne nue ou suggestivement déshabillée porte atteinte tant à son image qu'à sa vie privée. (C.Cass. Civ. 1, 17 septembre 2003, n°00-16849 ) Peu importe que son visage ne soit pas visible dès lors que l’identification peut résulter de la reproduction d’une partie du corps la rendant reconnaissable par un détail particulier ou si son corps associée à son environnement où elle réside, permettent son identification par des voisins ou des proches (TGI Paris, 6 juin 1984), y compris par très peu de proches (CA Aix en Provence, 21 octobre 2004, n°261645 ) Il est impératif donc d'obtenir le consentement de la personne photographiée. Il faut savoir qu'il n'y a point de consentement valable si le consentement a été donné par erreur ou s'il a été extorqué par violence (la contrainte physique ou psychologique ou chantage ou menace ou sur personne affaiblie: Cour de cassation, 3ème chambre civile, 19 février 1969) ou surpris par dol (obtenu par la ruse,ou le mensonge,ou tromperie, ou suivant informations ou engagement incomplets, ou sous l'emprise d'une addiction, ou avec l'aide d'un complice). Et la publication de la photo doit respecter la finalité de l'autorisation donnée par l'intéressé (C. Cass. Civ. 2, 23 septembre 2004, n°02-21193 ) Attention, le fait qu’une personne consente à être photographiée ne signifie pas forcement qu’elle consent, à ce que son image soit reproduite et publiée, notamment sur internet et même si tel était le cas, ladite personne peut s'opposer à toute divulgation ultérieure. Le non-respect de ces prescriptions est sanctionné par le code civil notamment pour le paiement de dommages et intérêts et également sur le fondement des articles 226-1 et 226-2 du Code pénal, qui sanctionne d’un an d’emprisonnement et 45000 euros d’amende le fait d’enregistrer ou de transmettre l’image d’une personne ou le fait de conserver, porter ou laisser porter à la connaissance du public. Sur le consentement et en complément, voir mon précédent article: http://www.bdsm.fr/blog/1488/la-question-du-consentement/
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Par : le 18/11/15
(je rappelle que je suis l'auteur de tous les articles que je publie) L'impossibilité d'être une femme mûre idéale, dans une société qui prône la jeunesse éternelle, est contestable. Les femmes de la période génaire (quadra-quinqua-sexa-septua-octo) ont bien raison de refuser de se laisser enfermer dans ces représentations. Elles ont également raison de continuer à s'affirmer comme épouse, compagne, maîtresse ou Dominante. Pour cette gente, les difficultés sexuelles ne sont pas corrélées au vieillissement biologique. Souvenez-vous de cette femme de 63 ans qui tenait son compagnon de 40 ans (interpellés un soir en plein centre-ville de Carcassonne) attaché à l’aide « d'une chaînette de 70 cm accrochée autour des testicules. Même si la beauté des femmes mures lie plus étroitement le corps et l’âme. Encore très en forme, elles revendiquent une sexualité active car le bonheur, l'équilibre, le partage sont dans le sexe. Le temps fait encore ses affaires de moments de tendresse, de plaisirs intacts. L’expérience est le fruit d’une plante mature et ses femmes, d'un âge certain, apprécient toujours le tumulte des rendez-vous interdits plutôt que la tiédeur d'un amour unique. C’est à l’aune de l’horizon temporel limité que doit être évaluée l’utilité du plaisir. Le fruit mûr est plus sucré et plus désaltérant. Ses propriétés aqueuses sont stimulante et vivifiante. Les femmes mûres détiennent cette naturelle réalité et comme dit voltaire la vérité est un fruit qui ne doit être cueilli que s'il est tout à fait mûr. Une belle maturité se mesure à l'aune des plaisirs charnels qui jalonnent la vie, ayant culbuté les belles années. Sexe génère du bonheur ! Ces femmes sont bien plus profondes qu’en ces temps. Femmes qui ont du vécu, qui ne se sont pas contentées du premier venu, ne se satisfont pas de la précipitation des puceaux. Esprits ludiques, les hommes ou/et les femme sont leurs playmobils d'amour. Elles savent jouer avec les sens de manière non conventionnelle.
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Par : le 15/11/15
Un de mes textes publiés ailleurs Une femme n'est pas qu'une petite chose gentille, tendre, ronronnant et ondulant comme un chaton pour plaire ! Et une femme dominante, quand elle ne se montre pas franchement autoritaire, est souvent sexy, désirable, et représente un défi, souvent la réalisation d'un fantasme lors d'un moment exceptionnel. La séduction : Une femme marche souvent aux coups de cœur. Mais parfois le gibier se fait rare. En période de disette, si elle découvre un homme qui peut être intéressant, faute de mieux, et dans le doute, elle ira l'étudier avec l'acuité d'un entomologiste passionné par son sujet. Les tests : Se montrer impolie, désagréable : (donc tester les limites), ou essayer de le mettre en colère Poser un lapin Tenter de rendre jaloux Elle parle de sexe directement, histoire de déstabiliser l'homme (eh non, chez une femme, parler sexe ce n'est pas faire des avances) Lui demander combien il gagne, quel auto il conduit : tester vos valeurs et/ou son porte-monnaie Lui demander s'il est gay : façon de découvrir si vous êtes à l'aise avec vous-même. Bon, le Monsieur a réussi les tests... Mais peut-être faut-il rajouter le fameux "je ne couche pas le 1er soir", délicate merveille de perversité féminine emballée sous un papier de soie de convenances ? La femme un chouia dominante a une caractéristique : elle prend le contrôle des choses, fermement, mais avec assez de subtilités que vous n'y verrez que du feu. C'est ce qui la différencie de la femme autoritaire. Elle prend les initiatives, elle sait ce qu'elle veut ! Mais enfin, ça y est, MONSIEUR est dans la place, enfin, dans la chambre de Madame (Enfin, ça, c'est s’il ne s'est pas fait violer avant !!!) Donc, assis du bout des fesses sur une courtepointe de boutis rose, un peu interloqué, il voit la dame de ses pensées présentes, câline mais déterminée, lui retirer ses vêtements. Détail significatif : elle laisse la cravate. Et voilà l'homme toutou d'un soir, assez décontenancé. Elle-même se charge de retirer ses vêtements, langoureusement. Vous tentez de la toucher, elle esquive gracieusement. L'homme se rend assez vite compte qu'il n'a plus qu'à abdiquer. Quel homme n'a pas rêvé, au moins une fois dans sa vie, de s'abandonner ? Et l'important, l'essentiel, le primordial, pour un homme, est de faire l'amour. Et tant que la femme n'essuie pas ses escarpins sur sa fierté comme sur un vulgaire paillasson, aucun risque qu'il se rebiffe! D'autant que la dame, sous ses façons autoritaires, ne lui veut que du bien : lui faire l'amour. Elle prend les initiatives des caresses, des baisers. Peut-être lui passera-elle des menottes fourrées aux poignets, pour le lier aux barres de cuivres de son lit, réalisant ainsi un de ses fantasmes secrets ? Ou pourquoi pas, prendra-t-elle peut-être l'initiative de le masser, jouant avec ses sens et ses zones érogènes ? Lui bandera-t’elle les yeux, vous faisant picorer des douceurs, avant d'offrir sa propre intimité à déguster dans un face-sitting ? Au terme des préliminaires, où Madame, par de savantes manipulations, de caresses avisées en fellations raffinées a mis en forme sa monture impatiente, dont le vit turgescent vibrant comme un ludion supplie désespérément qu'on daigne lui offrir un nid douillet ou une délivrance à son heureux calvaire, vient enfin l'instant T des chevauchées coquines. Une femme dominante, c'est une femme qui se place au dessus, et qui s'y maintient. Si elle est parvenue à attacher l'homme, aucun risque qu'il ne retourne la situation, au propre ou au figuré. Cela dit, sa situation à lui reste toutefois enviable! Nombreuses sont les positions possibles et délicieuses. Elles offrent également moins de risques d'éjaculations prématurées, et la possibilité pour la femme de stimuler à loisir son clitoris. Les inconvénients : Le risque un poil accru de fracture pénienne, incident toutefois rare, mais qui vous enverra derechef finir la soirée aux urgences. Mais revenons plutôt à nos amants ! Puisque Monsieur est sans défense, Madame peut décider d'explorer plus en avant. Un mini vibro posé sur des boules à l'écoute ou la rose de Monsieur peut être une sensation terriblement excitante! Madame peut aussi se révéler sacrément délurée, et profiter de son état de faiblesse momentané pour tenter des privautés parfaitement inconvenantes, et aller taquiner du doigt votre prostate. L'orgasme prostatique est souvent intense, et peut être multiple. Le 1er set joué, comment et pourquoi ne pas tenter d'enchaîner sur un second ? Ce qui est parfaitement possible si le Monsieur est en verve et spécialement excité. Il suffit parfois de discuter un peu d'inflation, pour que le tour soit joué...
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Par : le 13/11/15
Permettez-moi de connaitre vos aspirations, votre respiration. Que je m’abandonne à Vous pour un aller sans retour. Dans l’innocence de la nudité, je me donnerai à Vous en espérant que Vous m’accordiez le meilleur de Vous-même. En concession, posture du pénitent, instant solennel, j’attendrai d’être à Vous. Initiez-moi à vos desseins secrets. J’attends que Vous me dites « J’attends ! » Dominez-moi également avec votre cœur car je ne veux pas mourir de chagrin pour une Dominante sans âme. Votre présence me désarmera. Vos gestes me mettront en émoi Corps livré, Vous me posséderez. Pouvoir en ostensible impudeur. Vos désirs suffiront à me lier. Vous Vous égarerez sur moi, sans loi. Vous me contrôlerez, dirigerez suivant vos envies.... Montée d'adrénaline. Je serai mis à l’index, comme une invitation à l’obscénité poétique sublimée. Imagination créative pour assouvir votre impatiente passion. Ce sera le grand jeu des attractions universelles qui metta le feu aux joues… et ailleurs.
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Par : le 12/11/15
Maîtresse de vos plaisirs, gardienne de vos désirs en de jeux érotiques, Femme recelant de troubles intentions, acceptez de la rejoindre aux rives où l’âme flotte et vibre jusque dans vos cœurs. Elle consumera vos tiédeurs, Jusqu’au dernier frisson. Elle goûtera les plaisirs sacrés. Rétifs ou rétives nulle illusion, Elle vous fera fléchir. Cette splendide Cythérée asservira, sous ses lois, l’orgueil de votre raison. En état de vie d’oblation, par sa d'hommestication, vous vous donnerez à la Beauté, au temple de l’inconstance. Vous transcenderez vos appréhensions. Se livrer pour se délivrer, voyage dans l’inconnu du plus profond de soi et, peut être, au plus profond de soie. De sa main vénérée, cette sensuelle félinité régentera vos chavirements, hors du temps, dans le bleu de la nuit. Femme si sage, mettant en scène ses propres fantasmes suivant ses humeurs, le corps est son terrain de jeux. Nul propos trivial pour exprimer la permanence de votre faim. Elle est en capacité à mener votre coeur dans un abîme. En de patientes dérives, vous change en figurine. Emotions débordantes, membre furieux dardé, corps jaspé, mendiant le droit de suivre du regard son déhanché, vous rêverez à des instants improbables. En de sensuelles lubricités, nulle étreinte de feu au risque de s’y brûler. En des attitudes troublantes vous fera connaître la lucidité des rêves par la chasteté des distances. En positions des plus humiliantes, votre peur se transformera en chaleur torride qui irradira votre corps jusqu’à la jouissance…
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Par : le 10/11/15
Je suis tombé sur de mauvaises traductions des textes de Pink Floyd, alors j'ai décidé de les traduire moi-même. Sûrement peu de gens en France font réellement attention au sens des chansons même très connues qu'ils entendent en anglais, même s'ils en apprécient la musique. Dans le cas de Pink Floyd, l'aspect poétique, ou juste l'inspiration dans l'écriture, est particulièrement intéressant. L'auteur principal des textes du groupe fut Roger Waters, qui hélas prit la grosse tête à la fin des 70's et décida de dissoudre le groupe aux débuts des 80's, après l'album The Final Cut, suite logique et déplorable du génial The Wall. Cela n'empêcha pas le reste du groupe mené par David Gilmour (voix & guitare), de reformer le groupe sans lui quelques années plus tard, pour trois derniers albums studio, mais sans son génie torturé qui avait accouché dans les 70's de tant de concepts et textes dignes d'intérêt. Les textes notamment des albums ANIMALS (1977) et THE WALL (1979) sont très durs, cruels, symboliques, et j'irai même jusqu'à dire qu'ils ont un rapport avec le BDSM, au moins par la violence des désirs et frustrations, ainsi que des rapports de domination/soumission "ordinaires" présentés par ces œuvres de manière exacerbée. Mais d'abord de la poésie pure avec la traduction de la chanson ECHOES sur l'album MEDDLE : Echos Immobile, l'albatros surplombe les airs Et au creux des vagues déferlantes, Dans les dédales des récifs de corail, L'écho d'une marée lointaine Résonne à travers le sable Et tout est verdoyant, sous-marin Et personne ne nous a montré ce royaume Et personne ne sait où ni pourquoi Mais quelque chose remue et s'agite Et amorce son ascension vers la lumière Des étrangers passent dans la rue Par chance, deux regards se croisent Et je suis toi et je me vois en toi. Devrais-je te prendre par la main Et te guider à travers le royaume Et m'aider à comprendre de mon mieux ? Et personne ne nous demande de partir Et personne ne nous force à baisser les yeux Et personne ne parle ni même n'essaie Et personne ne vole autour du soleil Chaque jour sans nuage te guide vers mes yeux endormis, M'invitant et m'incitant à me lever. Et à travers cette fenêtre, Viennent sur leurs ailes de lumière, Un million d'ambassadeurs incandescents du matin. Et personne ne me chante de berceuse. Et personne ne me fait fermer les yeux. Alors j'ouvre grand la fenêtre Et je t'appelle par delà le ciel. Roger Waters (musique par David Gilmour & Rick Wright) Voici maintenant l'intégralité des paroles de l'album ANIMALS : ANIMAUX PINK FLOYD COCHONS VOLANTS - 1ère partie Si tu ne faisais pas attention à ce qui m'arrive Et si je ne me souciais pas de toi Nous zigzaguerions entre l'ennui et la souffrance En nous observant sous la pluie A se demander à qui la faute Tout en regardant les cochons volants. LES CHIENS Tu es peut-être fou, tu dois avoir un vrai besoin. Faut que tu dormes debout, et quand tu es dans la rue, Repère les proies faciles Les yeux fermés. Puis tu approches sans bruit, le vent dans le dos et hors de vue. Frappe au moment propice. Sans réfléchir. Après, tu peux travailler ton style. Aie la cravate du club et la poigne bien ferme, Le regard franc et le sourire facile. Tu dois gagner la confiance des gens à qui tu mens, Ainsi, dès qu'ils te tourneront le dos, Tu pourras mieux les poignarder. Assure toujours tes arrières. Tu sais que ça va se corser Se corser avec le temps. Et à la fin tu te casseras dans le sud, Te cacher la tête dans le sable. Juste un autre vieillard, Seul et crevant du cancer. Et quand tu perdras les pédales, Tu récolteras ce que tu as semé. Puis la peur grandira, Et le mauvais sang se glacera. Alors il sera trop tard pour se débarasser de ce fardeau. Toi qui en avais pourtant le besoin. Fais bon voyage, seul, Pendant ta descente aux enfers. Je dois admettre que je perds un peu les pédales. J'ai parfois l'impression de n'être qu'un pantin. Faut rester éveillé, essayer d'expulser ce malaise qui me ronge. Si je ne tiens plus sur mes jambes, Comment trouver mon propre chemin pour sortir de ce labyrinthe ? Sourd, muet et aveugle, tu prétends encore Que personne n'est indispensable et que nul n'a de véritable ami. Et il te semble que la meilleure chose à faire Serait d'isoler le vainqueur. Et y'a rien de neuf sous le soleil. Et tu es persuadé qu'en chaque homme il y a un tueur. Qui est né dans une maison pleine de souffrance. Qui a appris à ne pas cracher dans la soupe. Qui s'est fait dicter sa conduite. Qui s'est fait briser par le personnel qualifié. Qui s'est fait castrer par une laisse et une chaîne. Qui s'est fait encourager. Qui sortait de la masse. Qui était même étranger chez lui. Qui a été rabaissé plus bas que terre. Qu'on a retrouvé mort à côté du téléphone, Qu'on a entraîné vers le fond. LES PORCS(la bande des trois) Grosse pointure, gros porc qui se fait son cinéma ah ah Toi la grosse tête qui se fait son cinéma ah ah Quand tu poses la main sur ton cœur, Tu me fais bien marrer Presque autant qu'un clown. La tête dans l'abreuvoir, Disant "continue de t'enfoncer". Ton menton bien gras rappelle celui d'un porc. Qu'espères-tu trouver Dans le fin fond de la porcherie ? Tu me fais bien marrer. Mais en réalité tu es vraiment à pleurer. Terminus sale vermine qui se fait son cinéma ah ah Putain de vieille peau qui se fait son cinéma ah ah Tu irradies les éclats froids du verre brisé. Tu me fais bien marrer. Ca vaut presque un rire en coin. Tu aimes la sensation du métal. T'es de la bombe avec ta parure à chapeau. Et t'es mignon avec ton flingue à la main. Tu me fais bien marrer. Mais en réalité tu es vraiment à pleurer. Hé, la Whitehouse (1) qui se fait son cinéma ah ah Toi la fière vermine urbaine qui se fait son cinéma ah ah Tu essaies de foutre nos sentiments au placard. Tu es presque une bonne affaire. Les lèvres scellées, découragée, Te sens-tu trahie ? Tu dois vaincre le courant démoniaque. Et garder tout ça pour toi. Tu es presque une bonne affaire, Mary. Mais en réalité tu es vraiment à pleurer. MOUTON Tu passes gentiment ton temps dans les prés, Vaguement conscient du malaise qui plane. Tu devrais faire gaffe : Il se peut qu'il y ait des chiens dans le coin. J'ai regardé par-delà le Jourdain, et j'ai vu (2) Que les apparences sont parfois trompeuses. Qu'est ce que ça t'apporte de faire fi du danger ? Fidèle et soumis, tu suis le chef Jusqu'aux sentiers achalandés de la vallée d'acier. Quelle surprise ! La stupeur se lit dans tes yeux. Maintenant tout est réel. Non, ce n'est pas un cauchemar. Le Seigneur est mon berger, je ne saurais y manquer. Il me laisse me reposer dans le vert des prés (3) Il me conduit vers les eaux silencieuses De ses couteaux de lumière, il libèrera mon âme. (4) Il me pendit aux crochets de milieux haut-placés. Il m'a transformé en côtelettes d'agneau. Pour sûr, son pouvoir est immense et son désir profond. Quand viendra le jour où nous, les humbles, Par muette réflexion et grand dévouement, Nous aurons appris l'art du karaté, Voyez, nous nous soulèverons, Puis nous ferons chialer les cons. En bavardant et débitant des conneries Je lui suis soudain tombé surle paletot en hurlant... Vague après vague, les vengeurs fous Sortent gaiement de l'obscurité pour entrer dans le rêve. As-tu entendu les nouvelles ? Les chiens sont morts. Tu ferais mieux de rester chez toi Et faire comme on t'a dit. Ecarte-toi du chemin Si tu veux vivre vieux. COCHONS VOLANTS - 2ème partie Tu sais que je me soucie de ce que tu deviens, Et je sais que tu te soucies de moi, Alors je ne me sens pas seul, Ni entraîné vers le bas Maintenant que j'ai trouvé un endroit sûr Pour enterrer mes os. Et n'importe quel fou sait qu'un chien a besoin d'une maison, Un abri contre les cochons volants. Roger Waters/Pink Floyd (1) Il s'agit de Mary Whitehouse. Née le 13 juin 1910, elle était une militante pour le retour à l'ordre moral et l'éducation dure à l'anglaise. Elle fut professeur d'art jusqu'en 1953, dispensant à l'heure du déjeuner des cours d'éducation sexuelle fondée sur la chasteté avant le mariage et la fidélité ensuite. Elle était surnommée la "Madame propre" de la télévision britannique pour sa lutte contre le sexe et la violence sur les écrans. Elle fut ridiculisée dans une série télévisée de la BBC qui portait son nom, “l'expérience de Mary Whitehouse“. Elle a d'ailleurs accusé le directeur de la BBC, Hugue Greene, d'être à l'origine de la décadence de la société britannique. En 1965, elle crée l'Association nationale des spectateurs et auditeurs pour obtenir plus de contrôles des programmes et un renforcement de la législation permettant de poursuivre en justice les producteurs jugés "immoraux". Elle avait tenté, en vain, de faire interdire des films comme Orange mécanique ou Le dernier tango à Paris et s'était attaquée à des séries télé comme Benny Hill. On lui doit la loi sur la protection des enfants de 1978 après une campagne contre l'exploitation sexuelle des enfants. Elle dénonça sans relâche la "technique d'attaque au goutte à goutte" des valeurs chrétiennes qu'elle défend. Elle fut reçue par le pape en 1971. En 1980, elle a été élevée au rang de Commandant de l'Empire britannique, un titre prestigieux. Elle est morte le 23 Novembre 2001 à l'âge de 91 ans. (2) Référence biblique (3) C'est mot pour mot le début du Psaume 23 de la Bible (4) Dans le Psaume 23 toujours : "Il me conduit près des eaux immobiles, il sauva mon âme." THE WALL LE MUR In The Flesh ? En chair et en os ? Alors comme ça tu t'es dit que tu aimerais bien aller au spectacle Pour ressentir le doux frisson du fanatique en extase Quoi, quelque chose t'échappe mon petit ? Ce n'est pas ce à quoi tu t'attendais ? Si tu veux découvrir ce qu'il y a derrière ce regard froid Tu devras déchirer de tes ongles ce déguisement. The Thin Ice La fine couche de glace Maman aime son bébé Et papa l'aime aussi Et la mer peut te sembler chaude mon bébé Et le ciel te paraître bleu Ooooh bébé Ooooh mon tout petit bébé Oooooh bébé Si tu devais patiner Sur la fine couche de glace de la vie moderne Traînant derrière toi le reproche silencieux D'un million de regards remplis de larmes Ne t'étonne pas qu'une fissure dans la glace Apparaisse sous tes pieds Tu perds la tête et l'équilibre Et ta peur s'échappe derrière toi Tandis que tu t'agrippes à la fine couche de glace. Another Brick In The Wall, Part 1 Une brique de plus dans le Mur 1ère partie Papa s'est envolé de l'autre côté de l'océan Ne laissant derrière lui qu'un souvenir Un instantané dans l'album de famille Papa, qu'as-tu laissé d'autre pour moi ? Papa, que m'as-tu laissé ? Tout compte fait, ce n'était rien qu'une brique dans le mur Tout compte fait, ce n'était rien que des briques dans le mur. The Happiest Days of Our Lives Les plus belles années de nos vies «Toi! Oui toi, tiens-toi droit mon garçon!» Quand nous avions grandi et que nous allions à l'école Il y avait certains professeurs qui voulaient Blesser les enfants par tous les moyens possibles En tournant en dérision Tout ce que nous faisions Soulignant chaque faiblesse Que les gamins s'efforçaient pourtant de cacher Mais en ville, il était bien connu Qu'en rentrant chez eux le soir, leurs grosses Epouses névrosées les harcelaient Jusque dans les moindres détails de leur vie. Another Brick In The Wall, part 2 Une brique de plus dans le Mur 2ème partie Nous n'avons pas besoin d'éducation Nous n'avons pas besoin qu'on contrôle nos pensées Assez de ces sombres sarcasmes en classe Professeurs, laissez les enfants tranquilles Hé professeur ! laisse-nous tranquilles ! De toutes façons vous n'êtes qu'une brique de plus dans le mur. ( «Faux, Recommence !» «Si tu ne manges pas ta viande tu n'auras pas de dessert.» «Comment pourrais-tu avoir un dessert si tu ne manges pas ta viande ?» «Toi ! Oui toi derrière les parkings à vélos, tiens toi droit !» ) Mother Mère Mère, penses-tu qu'ils largueront la bombe ? Mère, penses-tu qu'ils aimeront cette chanson ? Mère, penses-tu qu'ils vont me briser les couilles ? Mère, devrais-je construire le mur ? Mère, devrais-je être candidat à la présidence ? Mère, devrais-je faire confiance au gouvernement ? Mère, m'enverront-ils en première ligne ? Oooh tout cela n'est-il qu'une perte de temps ? Chut mon bébé, ne pleure pas Maman va transformer tous tes cauchemars en réalité Maman va te refiler toutes ses peurs Maman va te garder bien au chaud sous son aile Elle ne te laissera pas partir, mais elle t'autorisera peut-être à chanter Maman gardera son bébé bien douillet au chaud Oooh mon bébé, Oooh mon bébé, Oooh mon bébé bien sûr que maman t'aidera à construire le mur Mère, penses-tu qu'elle est assez bien pour moi ? Mère, penses-tu qu'elle est dangereuse pour moi ? Mère, va-t-elle détruire ton petit garçon ? Ooooh Mère, va-t-elle me briser le cœur ? Chut mon bébé, ne pleure pas Maman vérifira toutes tes petites amies pour toi Maman n'en laissera passer aucune de pervertie Maman t'attendra jusqu'à ce que tu rentres Maman saura toujours où tu as été Maman gardera son bébé propre et en bonne santé Oooh mon bébé Oooh mon bébé Oooh mon bébé, tu seras toujours mon bébé à moi. Mère, fallait-il qu'il soit si haut ? Goobye Blue Sky Adieu Ciel Bleu Oooooooooooooooooooooooooooooh As-tu vu ces gens effrayés As-tu entendu les bombes tomber T'es-tu jamais demandé Pourquoi il fallait se mettre à l'abri Alors que la promesse d'un monde nouveau Pointait dans un beau ciel bleu ? Oooooooooooooooooooooooooooooh As-tu vu ces gens effrayés As-tu entendu les bombes tomber ? Les flammes sont toutes éteintes depuis longtemps, Mais la douleur persiste Adieu, ciel bleu Adieu, ciel bleu Adieu Adieu Empty Spaces Espaces Vides Qu'utiliserons-nous pour remplir les espaces vides Où rugissent les vagues de la faim Où nous parlions autrefois Comment vais-je remplir les derniers trous ? Comment vais-je terminer le mur ? Young Lust Désir* jeune Je suis nouveau par ici Etranger à cette ville Où sont les bons plans ? Qui va guider cet étranger ? Ooooh, il me faut une salope Ooooh, il me faut une petite salope Y a-t-il une femme dans ce bled paumé Qui me fera sentir que je suis un vrai mâle ? Ce réfugié du Rock & Roll ? Oooh, bébé libère moi Ooooh, il me faut une salope Ooooh, il me faut une petite salope. * (désir sexuel) One Of My Turns Une de mes crises Jour après jour, l'amour vire au gris Comme la peau d'un homme mourant Et nuit après nuit Nous faisons semblant que tout va bien Mais je suis devenu plus vieux, et Tu es devenue plus froide et Désormais, rien ne nous éclate plus vraiment. Et je sens Venir une de mes crises Je me sens Froid comme une lame de rasoir Serré comme un garot Sec comme un tambour funéraire Cours dans la chambre Sur la gauche il y a un étui Tu y trouveras ma gratte* préférée. Ne prends pas cet air effrayé C'est juste une phase passagère Un de mes mauvais jours. Tu veux regarder la télé ? Ou te glisser dans les draps ? Ou contempler l'autoroute silencieuse ? Tu veux quelque chose à manger ? Tu veux apprendre à voler ? Voudrais-tu me voir essayer ? Tu as envie d'appeler les flics ? Crois-tu qu'il est temps que j'arrête ? Pourquoi tu t'enfuis ? * "axe" signifie guitare en argot mais aussi hache Don't Leave Me Now Ne me quitte pas maintenant Ooooh chérie Ne me quitte pas maintenant Ne dis pas que c'est la fin du voyage Souviens-toi les fleurs que j'ai envoyées J'ai besoin de toi chérie Pour te passer à la moulinette devant mes amis Ooooh chérie Ne me quitte pas maintenant. Comment peux-tu partir Alors que tu sais à quel point j'ai besoin de toi ? Besoin de toi, besoin de toi Pour te réduire en bouillie le samedi soir Ooooh chérie, Ne me quitte pas maintenant Comment peux-tu me traiter comme ça ? Te débiner Ooooh chérie Pourquoi est-ce que tu t'enfuis ? Ooooh chérie Another Brick in the Wall, part 3 Une brique de plus dans le mur 3ème partie Je n'ai pas besoin de bras autour de moi Et je n'ai besoin d'aucune drogue pour me calmer J'ai vu l'inscription sur le mur Ne croyez pas que j'ai besoin de quoi que ce soit Non, ne croyez pas que j'ai besoin de quoi que ce soit Tout compte fait, ce n'était que des briques dans le mur Tout compte fait, vous n'étiez tous que des briques dans le mur Goodbye Cruel World Adieu Monde Cruel Adieu monde cruel Aujourd'hui je te quitte Adieu, adieu, adieu Adieu vous tous, rien de ce que vous pourrez dire Ne me fera changer d'avis Adieu Hey You Hé Toi Hé toi, là bas dans le froid En train de t'isoler, de devenir vieux Peux-tu me comprendre ? Hé toi, debout dans les couloirs Avec des fourmis dans les pieds et de fades sourires Peux-tu me comprendre ? Hé toi, ne les aide pas à éteindre la lumière N'abandonne pas sans combattre Hé toi, là bas livré à toi même Assis nu à coté du téléphone Voudrais-tu me toucher ? Hé toi, avec ton oreille collée au mur En train d'attendre que quelqu'un t'appelle Me toucherais-tu ? Hé toi, m'aiderais-tu à porter ce fardeau ? Ouvre ton cœur, je rentre à la maison ! Mais tout n'était qu'illusion Comme tu peux le voir, le mur était trop haut Il a eu beau essayer, il ne pouvait pas s'échapper Et les vers ont dévoré son cerveau. Hé toi, là-bas sur la route Toujours en train de faire ce qu'on te dit Peux-tu m'aider ? Hé toi, là bas derrière le mur En train de casser des bouteilles dans l'entrée Peux-tu m'aider ? Hé toi, ne me dis pas qu'il n'y a plus aucun espoir Ensemble nous tenons bon, divisés nous chutons. Is There Anybody Out There? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Nobody Home Personne à la maison J'ai un petit carnet noir avec mes poèmes J'ai un sac contenant une brosse à dent et un peigne Quand je suis un bon chien on me jette parfois un os J'ai des élastiques pour attacher mes chaussures (1) J'ai le blues des mains enflées J'ai le choix entre treize chaînes de merde à la télé (2) J'ai la lumière électrique Et j'ai un sixième sens J'ai d'extraordinaires pouvoirs d'observation Et c'est comme ça que je sais Quand j'essaie de t'avoir Au téléphone Qu'il n'y aura personne à la maison J'ai la permanente obligatoire à la Hendrix(3) Et les inévitables trous de boulettes Sur le devant de ma chemise en satin préférée. J'ai des taches de nicotine sur les doigts J'ai une cuillère en argent au bout d'une chaîne J'ai un piano à queue pour soutenir ma dépouille mortelle (4) J'ai le regard fixe d'un fou Et j'ai une furieuse envie de voler Mais je n'ai nulle part où aller Ooooh chérie Quand je décroche le téléphone Il n'y a jamais personne à la maison (5) J'ai une paire de chaussure Go-hill (6) Mais mes racines s'estompent (1) «Syd était la seule personne qui attachait ses chaussures avec un élastique, c'est de là que vient ce vers de la chanson.» Roger Waters. (2) Encore une référence probable à Syd Barrett dont un des passe-temps préféré est le zapping T.V. (3) Référence aux coupes de cheveux de Syd, la permanente afro de Jimi Hendrix fut à la mode même chez les blancs hippies au début des années 70. (4) Référence possible à Rick Wright. (5) Référence à la vie maritale de Roger qui s'effritait de plus en plus à cette époque. (6) Les Go-hill Boots étaient des chaussures avec des élastiques fabriquées par une boutique londonienne du même nom à la fin des années 60. Seulement quelques personnes en avaient, celles de Syd étaient jaunes. Vera Quelqu'un ici se souvient-il de Vera Lynn ? Souvenez vous, comme elle disait Qu'on se retrouverait Par une journée ensoleillée* Vera Vera Qu'es-tu devenue ? Est-ce que quelqu'un d'autre ici Ressent la même chose que moi ? * Référence à We'll Meet Again, une chanson de Vera Lynn. Voici un extrait des paroles : «We'll meet again We'll meet again, Don't know where, Don't know when But I know we'll meet again some sunny day» Bring The Boys Back Home Ramenez les gars à la maison Ramenez les gars à la maison Ramenez les gars à la maison Ne laissez pas les enfants livrés à eux-même Ramenez les gars à la maison Comfortably Numb Agréablement Engourdi Hé bonjour ? Il y a quelqu'un là-dedans ? Hoche la tête si tu m'entends Il y a quelqu'un à la maison ? Allons, voyons, Il parait que tu ne vas pas bien Je peux soulager ta douleur Et te remettre sur pied Détends-toi, Il me faut d'abord quelques renseignements Juste les symptômes de base Peux-tu me montrer où ça fait mal ? Je ne souffres pas, vous débloquez Un bateau au loin fait de la fumée Vos paroles n'arrivent que par vagues Vos lèvres remuent, mais je n'entends pas ce que vous dites Quand j'étais enfant j'ai eu une fièvre Mes mains étaient gonflées comme deux ballons Maintenant j'ai à nouveau cette sensation Je ne peux pas l'expliquer, et puis vous ne comprendriez pas Ce n'est pas vraiment moi Je suis devenu agréablement engourdi Ok, Juste une petite piqûre Il n'y aura plus de aaaaah ! Mais il est possible que tu te sentes un peu malade Tu peux te lever ? Je suis sûr que ça va aller, bien Ca te permettra de tenir jusqu'à la fin du spectacle Viens il est temps d'y aller Je ne souffres pas, vous débloquez Un bateau au loin fait de la fumée Vos paroles n'arrivent que par vagues Vos lèvres remuent, mais je n'entends pas ce que vous dites Quand j'étais enfant Une vision m'a traversé l'esprit Furtivement Je me suis retourné, mais elle avait disparu Je n'arrive pas à remettre la main dessus L'enfant a grandi, Le rêve est parti Et je suis devenu Agréablement engourdi. The Show Must Go On Le spectacle doit continuer Ooooh M'man Ooooh P'pa Le spectacle doit-il continuer ? Ooooh P'pa ramène-moi à la maison Ooooh M'man laisse-moi partir Il doit y avoir un malentendu Je n'avais pas l'intention de les laisser Prendre mon âme Suis-je trop vieux, est-ce trop tard ? Ooooh M'man Ooooh P'pa Où cette sensation est-elle partie ? Ooooh M'man Ooooh P'pa Vais-je me rappeler des chansons ? Le spectacle doit continuer In The Flesh En chair et en os Alors comme ça, Tu t'es dis Que tu aimerais bien Aller au spectacle Pour ressentir le doux frisson Du fanatique en extase ? J'ai de mauvaises nouvelles pour toi mon petit Pink ne va pas fort, il est resté à l'hôtel Et on nous a envoyés en remplacement Pour découvrir Vos vraies motivations. Y a-t-il des pédés dans la salle ce soir ? Alignez-les contre le mur! En voilà un dans le projecteur Il ne m'a pas l'air bien comme il faut Alignez-le contre le mur ! Celui-ci a l'air Juif Et celui-là est un nègre Qui a laissé entrer toute cette racaille ? Il y a un qui fume un joint et Un autre qui a des boutons Si ça ne tenait qu'à moi Je vous ferais tous descendre ! Run Like Hell Prends tes Jambes à ton cou Cours...cours...cours Tu ferais mieux de te déguiser avec Ton costume préféré Avec ta bouche cousue et tes Paupières descendues comme des stores Avec ton sourire vide Et ton cœur affamé Tu sens monter la bile remonter de ton passé coupable Avec tes nerfs à vif Quand la coquille se brise Et que les marteaux Tambourinent à ta porte Tu ferais mieux de déguerpir Tu ferais mieux de courir toute la journée et toute la nuit Et d'enfouir ta sale nature au plus profond de toi Et si tu sors ta copine ce soir Tu devrais garer la voiture bien à l'abri des regards Parce que si on te surprend sur le siège arrière En train d'essayer de la sauter On te renverra à ta mère Dans une boîte en carton T'as intérêt à déguerpir. Waiting For The Worms En attendant les vers Un, deux, trois, c'est parti ! Ooooh maintenant vous ne pouvez plus m'atteindre Ooooh malgré tous vos efforts. Adieu monde cruel, c'est fini Passez votre chemin Assis dans un bunker, ici, derrière mon mur J'attends l'arrivée des vers, l'arrivée des vers Dans l'isolement le plus complet, ici, derrière mon mur J'attends l'arrivée des vers, l'arrivée des vers (Nous [allons réussir] et nous allons nous réunir à l'extérieur de Brixton Town Hall où nous allons être...) J'attends d'éliminer les choses inutiles J'attends de nettoyer la ville J'attends de suivre les vers J'attends de mettre une chemise noire J'attends d'éliminer les faibles J'attends de briser leurs fenêtres Et d'enfoncer leurs portes J'attends la solution finale Pour durcir le mouvement J'attends de suivre les vers J'attends d'ouvrir les douches Et d'allumer les fours J'attends les pédés et les nègres Et les cocos et les Juifs J'attends de suivre les vers Voudrais-tu voir Britannia Régner à nouveau mon ami ? Il te suffit de suivre les vers Voudrais-tu renvoyer nos cousins de couleur Dans leur pays, mon ami ? Il te suffit de suivre les vers. Stop Stop J'veux rentrer chez moi Enlever cet uniforme Et quitter le spectacle Et j'attends dans cette cellule Parce qu'il faut que je sache : Ai-je vraiment été coupable pendant tout ce temps ? The Trial Le procès Bonjour, votre honneur le Ver Le Ministère Public va clairement démontrer Que le prévenu qui se tient devant vous A été pris en flagrant délit de manifestation de... sentiments ! Manifestation de sentiments de nature presque humaine C'est intolérable Appelez l'instituteur ! J'ai toujours dit qu'il tournerait mal Votre honneur Si on m'avait laissé faire à ma façon j'aurais pu Le façonner comme il faut Mais j'avais les mains liées Les cœurs brisés et les artistes L'ont laissé s'en tirer à bon compte Aujourd'hui, laissez-moi le marteler Cinglé... une araignée dans le plafond, je suis cinglé Ils ont dû me couper les couilles Appelez l'épouse de l'accusé ! Petite merde, t'es dedans jusqu'au cou maintenant. J'espère qu'ils jetteront la clé. Tu aurais dû me parler plus souvent L'as-tu fait ? Mais non évidemment, Tu n'en faisais qu'à ta tête. Au fait, as-tu brisé des foyers dernièrement ? Rien que cinq minutes, votre honneur le Ver, Laissez-moi seule avec lui. Bébéééé, Viens voir Maman mon bébé. Laisse moi te tenir dans mes bras. Monseigneur, je n'ai jamais souhaité le voir Dans le pétrin. Pourquoi a-t-il fallu qu'il me quitte ? Votre honneur le Ver, laissez moi le ramener à la maison. Cinglé, Complètement détraqué, je suis cinglé. Des barreaux à la fenêtre. Il devait pourtant bien y avoir une porte là, dans le mur, Quand je suis entré. Cinglé, complètement détraqué, il est cinglé Les témoignages devant la cour sont Irrécusables, il n'est pas nécessaire que Le jury se retire pour délibérer. Tout au long de ma carrière, Je n'ai jamais vu Quelqu'un qui mérite davantage La peine maximale prévue par la loi. La façon dont vous avez fait souffrir Votre exquise femme et votre mère Me donne envie de ...DÉFÉQUER ! Hé Juge, chie-lui dessus ! Puisque vous avez laissé entrevoir votre Crainte la plus vive, Je vous condamne à être exposé à vos semblables ! Abattez le mur ! Abattez le mur ! Abattez le mur ! Outside The Wall A l'extérieur du mur Seuls, ou par deux, Ceux qui t'aiment vraiment Font les cent pas de l'autre côté du mur. Certains main dans la main, D'autres regroupés en bandes, Les cœurs brisés et les artistes Font face. Et une fois qu'ils t'ont tout donné, Certains chancellent et puis tombent. Après tout ce n'est pas facile De faire battre son cœur contre le mur d'un pauvre taré. Roger Waters/Pink Floyd Traductions : Filo
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Par : le 09/11/15
Espèrer ou souhaiter ? Ce n’est pas qu’une question sémantique. Cette différence est importante…on ne peut se comprendre qu'en appréhendant cette nuance également par la syntaxe. L'un exprime une passivité ou une opinion alors que l'autre est un stimulus ou l'expression d'une volonté. La Maîtresse souhaite,le soumis espère (tout au moins dans son expression). Cependant, il convient de s'intéresser à la complétive. Souhaiter, commande le subjonctif et si espérer, employé à l'impératif, est suivi du subjonctif alors ce dernier à une valeur optative et devient donc synonyme de souhait. Quant à souhaiter et vouloir, le second est plus intense que le premier, plus exigeant. La distinction entre vouloir et désirer semble plus aisée car le désir est de l'ordre de l'émotionnel alors que vouloir en est dénué. Les mots ont un sens et si, lors d'un dialogue, un même vocable n'a pas la même signification pour une personne, alors cela peut conduire à de regrettables quiproquos ou incompréhensions. La relation s'en trouve altérer. Mais si ton interlocutrice (teur) s'en fout, alors pourquoi se masturber l'esprit!
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Par : le 09/11/15
Le fouet comme un appel sur mon corps Il caresse ma peau en ces diverses lanières Stoïque, puis me dandinant à ma manière Je relève une jambe quand le coup est fort Tantôt, il fouette le haut de mon dos Puis signe mon fessier de ces maux J'aime le bruit sourd de cet instrument Tout comme ses rapides claquements Etre attachée à la croix de Saint André Le parchemin de mon corps marqué De la morsure du fouet à sa signature Dessinant de multiples zébrures Sur mon épiderme continuez vos accords Jouez de nombreuses notes multicolores Imprimez y votre fin cracker Pour ma part, aucun joker Cingler ma poitrine de couleur nacarat Brûlures délicieuses virant à l'incarnat Cuisantes caresses du fouet enroulé Mes seins offerts à votre complicité Vos cadences se font rapprochées Vous savez ou vouloir m'amener J'ai confiance en votre maîtrise Je suis complice de votre emprise J'ai le pouvoir de tout arrêter Par un code que je peux donner Que nenni pour moi, je lui fais face Connaître à nouveau le subspace Le 8 novembre 2015 écrit pour Jean-Dan14
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Par : le 09/11/15
Le Loup court , il est si rapide , sa femelle court devant lui , essai de se cacher , le jeux commence derrière un grand arbre, elle se cache , mets la main sur sa bouche pour pas que le Loup entende sa respiration , elle aperçoit le loup , il c´est arrêter lui aussi .. Son cœur bat si vite , ses joues sont rouges , elle a défié, provoquer le Loup , c'est plus fort qu'elle .. Elle n'a pas peur . . Le Loup lève la tête renifle dans sa direction il sent sa femelle au abois , il aime l'avoir effrayer il aime se jeux aussi , elle se sauve , les ronces accrochent sa robe comme pour la ralentir .. Elle entends les pas du Loup pas loin d'elle .. Elle court se réfugier dans une grotte.. Le loup aperçoit juste un moment sa robe rouge , son sourire s'élargit , sa femelle est tombée dans son piège , il la voit rentrer dans son antre .. Il ne court plus , il imagine déjà se qu'il pourra lui faire subir .. Il casse une branche d'un noisetier , il c'est qu'elle le regardera avec des yeux innocent et plein d´envie , il la croquera la mettra a sa merci , il se délecte déjà de ses cris de ses supplications .. la femelle est dans la grotte se retournant de tous les coter cherchant une sortie .. La une ombre dans l'entrée , le Loup est la devant elle majestueux impressionnant .. Elle couvre de ses mains sa poitrine que sa robe déchirée laisse voir .. Le sourire carnassier du Loup ne la trompe pas, il approche elle recule la course est terminer pour elle , sa femelle a perdue mais le défi du regard , elle voit dans les mains du loup la branche du noisetier avec des feuilles. la branche siffle à son oreille , la branche déchire sa robe, il en reste que des lambeaux..... Elle ne recule pas , même si elle tremble, la morsure sur sa peau de la branche est terrible, , la branche s'abat sur son corps... laissant des traces rouge...... elle gémit et finit par crier, elle cri sur le Loup , oui encore , elle en veut plus . Le Loup aime voir sa femelle ainsi toute à lui , il la trouve belle dans ses instants la. Le loup lâche la branche, des ses doigts il suit les traces sur sa peau appui dessus pour faire gémir sa femelle. il s'approche plus près encore , ouvre la bouche et lui mords l'épaule, sa femelle gémit; il la mord plus fort, le plaisir les envahit tous les deux................ Si vous croiser le Loup , méfier vous le Loup sera toujours plus rapide que vous , il ne faut jamais défier le Loup qui rode, vous serez à lui ... Hydréane compteuse de loup .......
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Par : le 07/11/15
Sur le chemin de la vie, suffit d'un virage pour que la route prenne un tout autre sens, le demi tour est impossible, alors on évite les nids de poule comme on peut, on regarde son tableau de bord et espère ne voir aucun voyant s'allumer, surtout pas celui de l'essence de la vie. On croise des gens sur le bord de la route parfois on prend le temps de s'arrêter, parfois non, certaines s'installent sur les banquettes arrière, pour un bout de route, plus ou moins long, tout le monde ne peut pas voyager éternellement près de nous, même si on le voudrais. Sur le chemin de la vie, bien souvent on s'y perd. Mais suffit d'une personne pour retrouver son chemin...une seule...
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Par : le 07/11/15
Un début de soirée paisible, une ambiance reposante sous l'effet de la faible lumière dégagée par la petite lampe du salon, Ils sont tous deux allongés dans la longueur du canapé regardant la télé, lui un bras sous sa tête, l'autre parcourant du pouce le visage de sa Câline, c'est ainsi qui l'a nomme, elle plus basse entre ses jambes, la tête posée sur sa cuisse calme et sereine.Le silence entre eux à peine brisé lorsque d'une voix basse, elle lui demanda s'il voulait un chocolat chaud, il en voulait pas mais elle oui ! Alors elle se redresse et se lève du canapé volant un baiser à son homme au passage et se dirige vers la cuisine sous les yeux de Monsieur, ce qu'il voit luiplait, sa Câline qui ne porte qu'un tee-shirt, ces fesses nu mi-couverte par le tissu, il la regarde s'éloigner...enfin surtout son fessier...soyons honnête ...,levant les bras repliés derrière sa tête dans son parcours jusqu’à la cuisine s'étirant doucement, sa vison n'est qu'encore plus belle, lorsque le tee-shirt se soulève sous ses mouvements dévoilant ainsi ce qu'il avait osé cacher quelques secondes auparavant.Un léger sourire de satisfaction, ses yeux les accompagnent jusqu’à ce qu'elles disparaissent derrière les murs de la cuisine. Elle se prépare son chocolat sans trop se presser, le met à chauffer pendant qu'elle range, puis vient machinalement se poser dans le champs de la porte en attendant, ses yeux se posent d'abord sur la télé puis comme un doute furtif, regarde le canapé et...ah oui lui semblait bien...il n'y est plus.Son regard balaye la pièce et le découvre assis dans l'autre coin, dans son fauteuil, un coude posé sur les accoudoirs, le pouce sous le menton l'index posé sur ses lèvres , l'autre bras allongé sur l'accoudoir, sa main est dans le vide, ce qu'il y tiens... lui donne immédiatement des frissons de plaisir et ne peut s'empêcher d'afficher un léger sourire à la vue de ce collier, son collier, lié a la laisse entourer autour de sa main, la poignée pendante dans le vide, sans un mots, simplement un regard soutenue la fixant. Le ting du micro onde retentit la sortant de cette instant ou elle gravait en sa mémoire cette image, de son homme devenant maître, sa posture et le charisme qu'il dégageait putain qu'elle vision magnifique pour elle .Résisterait elle a l'appel du collier ? question aussi idiote qu'inutile...Elle s'avance alors vers lui doucement, marchant lentement, ses mains venant se tenir du bout des doigts derrière son dos, jusqu’à être devant lui, fixée dans ses yeux, ses mains se défont et vienne se poser chacune sur un accoudoir, les bras tendu, une jambe tendu l'autre légèrement plié, son dos courber, ses reins cassés dévoilent une fois de plus son fessier. Dernière posture de femme...première provocation de soumise... Ne lâchant pas son regard, il ouvre légèrement sa main libérant ainsi la lanière du collier ouvert puis lui passe autour du cou, prenant son temps, sa voixaussi ferme que douce lui énonce son ordre alors qui commence à boucler son collier.-Je ne veux pas t'entendre. - continuant de fermer le collier - Un mot, un son de ta part, et tout bascule - sa main se glisse dans sa chevelure, ses doigts s'y mêlant avant de se refermer sur ses mèches emprisonnées entre ses doigts - à toi de choisir, douceur ou violence.Pas un mots ne sort sa bouche et son regard provocateur se baisse répondant de lui même à son choix.Il baisse alors sa main l’entraînant à se mettre à genoux redressant lui même son dos du fond du fauteuil, son autre bras posé sur sa cuisse toujours la laisse a la main, elle n'oppose aucune résistance, offrant une fois de plus son corps aux mains de ce qu'il était à présent, son Maître.Il relâche alors sa chevelure, sa main se place sur la nuque, d'un geste délicat,lui donne une légère pression sur le coté, elle le connait bien pensez vous,elle pose ses mains, bras tendu au sol, se mettant à quatre pattes puis se tourne dos à lui, lui offrant ainsi la vue qu'il aime tant, il pose sa main sur sa fesse la caressant du bout des doigts, et appui légèrement dessus la faisant s’asseoir d'abord, sa main remonte dans un frôlement de peau le long de sa colonne et s'arrête à la base de son cou, sa main se pose, entourant avec un peu plus de fermeté sa nuque et la pousse à baisser son dos, nul besoin de forcer, nul besoin de mots, leur complicité est telle qu'elle sait exactement ce qu'il attend d'elle, son corps suivant son geste, sa poitrine posée sur ses cuisses, ses bras pliés au plus prés de sa tête, ses yeux se ferment dans un léger sourire.Il reste un instant à l'admirer dans cette pose, ses yeux recouvrant la moindre petite partie de son corps, sa main se refait légère et se glisse à nouveau le long de sa colonne s'arrêtant en son milieu, trois petits coups du bout de ses doigts sur sa peau puis continue sa descente jusqu’à ses reins dessinant les courbes de sa chute marquée.Elle étend donc ses bras devant elle avant de les ramener doucement derrière son dos comme il lui a été ordonné, ses mains tenant mutuellement ses bras, sa peau frissonnante, ses sens fébrile, sa respiration se fait un peu plus profonde alors que le parcours de la main de Monsieur en vient à caresser ses fesses, la main bien à plat, les serrant entre ses doigts de temps à autre, tout en gardant son pouce sur sa raie, ne forçant que légèrement le passage afin d'en marquer ses intentions futures. son regard se fait plus dur, plus intense, plus profond, continuant son aventure, sa main se niche entre ses cuisses, il écarte ses doigts et instinctivement elle en écarte un peu plus les cuisses, lui laissant libre accès à son appartenance, sa main se pose sur son sexe le caresse sans pour autant s'attarder sur les parties sensible, frôle son clito, puis l'entrée de son vaginquelques peu humide par la situation puis remonte encore emportant un peu de ce désir jusqu'à son anus exerçant qu'une très légère pression dessus, histoire d'attiser encore plus les sens de sa Câline.la laisse se met alors à se tendre... encore... un peu plus...amenant son corps à se redresser jusqu'à ce que ses bras butent sur le bord du fauteuil, sa main se posant sur son cou, son visage caressé par le pouce, pendant que l'autre main défait la laisse, l'emprise de sa main directement sur le collier il la dirige, la tournant, posant son dos sur sa jambe son autre main la libère de sa position à genoux tout en remontant le long de sa jambe glissant sur son genoux puis sa cuisse qu'il écarte contre le fauteuil.Son regard se posant sur son intimité, sa main toujours lié à son collier, son autre main ne s'attarde pas à rejoindre ce pourquoi il l'a guidée.Tout en restant assis il ballade sa main sur son sexe, glissant entre les lèvres, massant son bouton de plaisir dans de petits cercles parfois appuyés, parfois légers, elle se contrôle, maîtrise ses émotions sous l'ordre du silence...seule l'intensité de sa respiration ne peut se taire, se mord parfois la lèvre, compense ce manque par son corps qui ne peut s'empêcher de se tortiller... pour le moments discrètement, mais le désir monte de plus en plus, cela va devenir compliqué d'obéir, lui prend un malin plaisir à la faire monter encore et toujours un peu plus, baladant ses doigts de son clito a son anus sans jamais la pénétrer...pas encore...ca ne serait tarder, elle commence à ne plus tenir, un gémissement malgré elle s'échappe, une claque bien sèche sur l'intérieur de sa cuisse la rappelle à l'ordre, tout en calmant ses caresses afin de ne pas dépasser ses limites, car finalement a t il vraiment envie de la punir ou seulement profiter de l'instant...Il cesse ses caresses sans enlever sa main et relâche son collier pour poser sa main sa tête et la pose contre lui, puis ses lèvres se déposent dessus, son autre main se prépare...lui murmure qu'elle peut s'exprimer librement à présent, la dernière syllabe prononcer , il enfonce deux de ses doigts, au plus profond d'elle sans violence mais sans délicatesse non plus se stabilisant dans sa profondeur, un instant, le temps de l'entendre se libérer de sa frustration, un long soupir...profond et intense, ce qui engendre chez lui de la satisfaction exprimé par un sourire dissimulé sur ses lèvres toujours en contacte avec la douce chevelure de sa Câline.Laissant ses doigts bien en place, son pouce se pose sur son clito et reprends son massage, suivi de lent vas et vient de ses doigts en elle, sur toute la longueur de ses doigts presque à en sortir, accélérant peu à peu au fur et a mesure que sa Câline s'emballe et perd le contrôle de son être, son corps se tend prenant appui sur la cuisse qui lui soutient le dos, sa main se crispe entourant sa cheville, ses sens se perdent et son orgasme se fait sentir... plutôt entendre, envahissant tout son corps, électrisant ses sens dans sa millimètre de sa peau il continue ses mouvements avec la même intensité afin de prolonger son plaisir ralentissant au même rythme que son orgasme s'apaise.La laissant à peine le temps de redescendre, il l'aide à se relever et l'empale directement sur son sexe, son dos lui faisant face, pose sa main sur ce dernier et la couche sur ses jambes, puis lui saisie une hanche, plantant bien fermement ses doigts, appuyant au plus possible son bassin sur lui, afin que ces coups en elle soit bien ressenti, la main qui se trouvait sur son dos se baisse doucement passant sur ses reins puis sur sa fesse, qu'il caresse tendrement avant de lui assainir une claque bien sèche, recommençant ainsi a plusieurs reprise variant d'une fesse a l'autre mêlant caresses et fessées, elle n'en peux plus, son désir au paroxysme de son envie, elle se lâche, s'abandonnant aux gémissements, plus intense sous les claques, en réclamant encore...ce qu'il le ravi et accède à sa demande avec un plaisir non dissimulable, sa chienne est là... Ces fessées se font plus forte plus rapprochées, abandonnant peu à peu les moments de caresses entre deux claques, ses gémissements se font cris, entre douleur et plaisir, elle ne sait plus vraiment...Ses fesses rougissent de plus en plus et le plaisir de Monsieur en n'est que plus comblé, il cesse pourtant pour venir introduire son doigts dans son anus, travaillant ses parois afin de la dilater, à un rythme en totale opposition avec ceux de son sexe en elle, y'a t il d'autres mots que de dire qu'il la lime magistralement...de son sexe...de son doigt...se sentant lui même se perdre, il la soulève, assez pour la retirer de son sexe, assez pour lui prendre son cul, la pénétrant d'un trait, restant bien au fond d'elle, il se lève l'emportant avec lui et la retourne, debout jambes tendues, les mains posées sur les accoudoirs, il ne la ménage pas...non ...vraiment pas... ses hanches entre ses mains la tire vers lui alors qui avance en elle, leurs jambes se font fébriles, les gémissements et cris se percutant entre ces murs... instant fusionnel ... complice et intense ou deux êtres atteignent l'orgasme ensemble, son sperme se déversant en elle, il l'a pousse un peu en avant et pose son corps sur son dos, donnant un dernier coup de reins, leur respiration rapide et saccadé, il se retire puis tourne leur corps afin de se rasseoir dans le fauteuil, l'amenant sur ses genoux, il la sert dans ses bras, la câline et prennent le temps de récupérer, ensemble, en totale satisfaction et harmonie, dans de douces caresses.
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Par : le 07/11/15
Le petit matin pointe le bout de son nez, nos corps se mouvent sous la couverture, se cherchant, se frôlant, s’entremêlant, quelques baisers volés entre des mains voyageuses sur les courbes des corps, puis un sourire...il se sauve ! retirant la couette jusqu'au pied du lit découvrant moncorps si bien sous cette chaleur, oh il a osé !! le coussin en main en râlant son petit nom, il vole, mais il a eu le temps de s’échapper derrière la porteme narguant en plus d'un "trop tard !", grognant, je me redresse et rattrape ma précieuse, me repliant un peu sur moi même en frissonnant, prenant le temps de mettre en éveil mes sens. je l'entends se déplacer a travers les couloirs, retrace sont chemins dans ma tête connaissant bien évidement par cœur le moindre son que cette maison émetil va a la salle de bain...un sourire se dessine sur mes lèvres sous quelques pensées...pas catholique...les portes de la douche s'actionnant, je sais qu'il a fini...alors je me lève et me rends a la salle bain, passant doucement la porte, il est de dos, la serviette a la main, mes yeux se font lubrique croisant cette belle visionde son corps nu...je m'approche doucement me plaçant dans son dos, mes mains se posent d'abord sur son dos puis se glisse le long de ses hanches...taquinant son bas ventre. - Qu'est ce tu fais toi ? me dit il, question de forme, il se doute bien de mes attentions. sans un mots mes lèvres se posent d'abord sur sa peau, puis ma langue goûte sa peau encore humide pendant que mes mains se faufilent sur "l'interdit" parcourant sa longueur du bout des doigts alors que mon corps le pousse un peu le coinçant face a l’évier, ce qui le fait le rire - Mais t'as fini oui ?-Mmh...nan..dit elle dévorant son dos de baisers. Ses doigts finissent par se resserrer autour de son désir devenant ardant, il abandonne toute tentative de l’arrêter...étonnant hein...il pose ses mains sur les bords de l’évier, la laissant s'amuser avec son sexe a sa guise, totalement a sa merci, elle aime ça, ses mains s'affairant a le faire grimper..encore et encore...ses caresses se font douce, profonde, n'omettant aucune parcelle de sa peau, quelques va et vient le fait frémir, ses jambes se faisant tremblante, la tête baisser à regarder les gestes de sa douce, un sourire au lèvres, il en vient a passer une mains entre eux, la posant sur son intimité d'abord, puis jouant entre ses lèvres, titillant son plaisir, se contentant de passer sur son entrée et faire monterson désir, ce qui ne se fait bien évidement pas attendre, et voila leurs mains respectives s'activant ensemble dans un ballet de gestes sensuels, lui la pénétrant de son...ses doigts...elle continuant ses caresses et va et vient, leur respirations lentes et profonde se mêlant l'une a l'autre.A la hauteur de leur amour, ils ne font qu'un, jusqu’à ce que lui, se laissant aller au plaisir que sa douce lui offre.Elle fière de sa "connerie" en sourit sentant le jus de son homme de glisser sur sa main ralentissant doucement ses mouvements l'accompagnant dans son plaisir jusqu’à la fin...
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Par : le 07/11/15
Ici nous dérapons hors du bdsm et de son cadre (sain, sûr et consensuel). Il ne s'agit pas d'une fiction, il ne s'agit plus d'un jeu érotique, mais d'une relation très particulière où l'emprise s'est invitée dans la partie, reconnue et voulue, ou du moins acceptée, de part et d'autre, et où le sadisme et le masochisme ont cessé de rester strictement circonscrits dans les bornes des pratiques non dommageables pour l'esprit et le corps. ___________________ A ce stade, la docile, la soumise, tout en don, en début d'adoration, ne sait pas encore à quelle trame improbable elle a mêlé son fil, dans quelle pièce folle elle est appelée à jouer. Quel rôle lui est destiné ? Ecorchée ; sacrifiée ; rédemptrice ? Tout est déjà en place en elle (), bien avant de le rencontrer. Et c’est, degré après degré, station après station, une descente en , où il la guide, l'initié. En cadence, hypnotisée, elle danse, elle descend. Elle se sait déjà fascinée. Pourquoi la passion, la mort, la douleur psychique chantent-elles si haut si clair par ici. Qu’est-ce qui les réveille … ? Est-ce un piège mortel ? Imaginons quelque ombreux lieu reculé, loin du monde sensé, au-delà des conventions. Où la raison n’a plus tout-à-fait la première place, où les pulsions sont délibérément libérées : violence, passion, haine, cruauté, impérieuse volonté de dominer les corps les âmes, soumission consentie, résorption dans la plus pure adoration. Ecarlate jalousie, désir béant ou dressé au ciel. Les masques convenus arborés en société s’effritent, et avec eux le vernis civilisé qui nous sépare de l’instinct, de l’animalité. Que reste-t-il, que trouve-t-on en-dessous ; dans ce théâtre sans fard et sans poudre, quelles scènes se jouent ? Plongée dans l’inconscient, personnel, collectif, phylogénétique. Certains sombrent plus bas. Plus vite. Avec plus ou moins de délectation. En fonction de l’essence des êtres. Tu me hais, tu me brises, dans une agonie de souffrance. Je perçois sans effort les mécanismes. Je sais que je dois rester stable. Qu’il le faut. C’est la seule clef. J’ai de tous temps vénéré cette attitude très-héroïque qui consiste à courir au danger, refuser de combattre, envoyer voler armure et épée et se jeter en pâture pour se faire dévorer. Dans un râle d’agonie jouissive. Haine déferlante attaquant ma lumière, qui vacille et se remet vaguement à luire, tremblotante. J'en conçois une certaine fierté estomaquée. Mais... Je sais de ce jour qu'elle ne tiendra pas longtemps. Je profite de l'instant. J'attends. Il est mille fois plus puissant. Que peut – ma lumière ? Dans cet abîme. Une seconde. Une journée. Et pffuit. Adieu réflexe salvateur. Je me protège, pensé-je témérairement, en m’exposant : esprit au vent mauvais et cœur ouvert aux crocs. Je ne suis pas dupe de la précarité de mes défenses, s’il l’est. Je suis en veille. Je guette. La prochaine bourrasque. La tornade suivante. Je me doute que je n’ai encore rien vu. La question n’est pas Si … mais Quand ? Pour la mystique, l’herméneutique, je suis – petit Verseau, l’être angélique, Saint Luc du tétramorphe au front de toutes les églises. Versant sans effort sur le monde sa bonté. Rétif à toute règle. Enfant intrigué qui se cogne au Réel. Pour la mystique, l’herméneutique, il est – Saint Jean. Scorpion n’ayant nul frein à sa létalité. Ou Phénix transcendé, pleurant une larme de lait. Combien de combustions et de renaissances, de morts auto-infligées ? [center] C’est moi la première, qui me suis détournée. La gifle psychique, de toute violence, m’a ébranlée. En punition, la privation de sa tendresse. Je ne peux pas le supporter. Je me mure, m’emmure, me meurs... Je pars. Moi aussi je sais être dure et sombre, mur et ombre.
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Par : le 03/11/15
Ce soir là, on était tous bien décidé à sortir. Un nouveau bar venait d'ouvrir. Arrivée sur place, on s'attendait à voir plus de monde, mais on était une bonne vingtaine. Après 2 ou 3 h dans le bar, beaucoup partaient, couple plus posé et on se retrouva à peine une dizaine, au final, les personnes appris vite à se connaitre. Je discutais avec Louise, 19 ans en fac de droit, elle était très études et sage, parlait bien et pleine de cultures. -Tu devais être première de ta classe, non? Dis je en souriant. -Oui, au collège mais pas en fac. Comment tu as deviné? -Vu la culture que tu as, ça ce voit et même dans ton style réservé et sainte nitouche. Elle me regarda surprise. -Sainte nitouche? Tu ne me connais pas. -OK tu es coquine ... -Non... mais pas ça non plus... mais... le juste milieu. Enfin bref, je suis comme je suis. -Je déconnais, tu es toute rouge, par honte de parler de sexe? -Je te trouvais sympa mais tu es un obsèdé. Elle partie et nous ne somme pas revus avant un mois. Un concert en ville, dans un bar. -Salut Louise. -Salut -Désolé pour la dernière fois. Lui dis je, en lui tendant une bière. Pour me faire pardonner, bon concert. Et parti rejoindre le bar avec mes amis La soirée se poursuit et le concert s'achève. Louise me rejoint et me propose un verre. -Par contre ce sera chez moi, j'étais venu pour le groupe mais la fin de mois me permet pas de t'en payer un ici. -Ok, je te suis. Arrivée chez elle, c'était très cocooning, la porte qui donnait à ça chambre était ouverte et on pouvait voir un lit à barreau, tout était bien rangé. -Une bière? -Ouaip ça me va. La nuit continua à discuter, un moment d'inattention et je l'embrassa sur le canapé. Elle me repoussa. -Je suis une sainte nitouche, c'est vrai. Me dit elle, un peu gênée. Mais j'ai quand même envie de toi. -Alors tais toi. Elle faisait petite et légère dans mes bras. Je l'embrassa de nouveau et commenca à la déshabiller. Je retira son pull puis son débardeur et me fut surpris qu'elle porte de la lingerie fine. Elle commenca à dégrafer son soutien gorge et je la stoppa. -Laisse, tu l'enleverras quand je le déciderais. Une lueur brillait dans ses yeux et elle se laissa ôter son jeans, un magnifique shorty en dentelle me faisait saliver de plaisir. Je la souleva par les fesses et l'emmena dans sa chambre. -Maintenant déshabille moi. Elle retira ma chemise, puis ma ceinture et ouvrit ma braguette. -Met toi à genoux. Elle déboutonna le jeans qui laissa apparaitre un boxer gonflé entre les jambes. Enleva mon pantalon et passa sa main sur ma bosse. -Qui t'a dit de toucher. Lui dis je en retirant sa main.Tu es plus coquine que sainte nitouche et tu cache bien ton jeu. Debout! Elle se releva en ayant un petit réctus. -Je veux que tu me punisse. Je dégraffa son soutif en l'embrassant dans le cou, puis en le retirant, je descendis pour lecher ses seins. La poussa sur le lit et retira son shorty pour laisser apparaitre un minou lisse et déjà humide, je la lécha et delecta de son nectar, sa main passa dans mes cheveux au bout d'un moment. Je glissa deux doigts sans peine au fond de son vagin et me retira. -Ici c'est moi qui commande. -Je voulais juste te tenir la tête quand tu me lèche. Je la pris par les cheveux et sortir mon sexe du boxer. Elle me regarda en souriant et me dit -Tu veux que je la mettre dans ma bouche? Je veux la sucer. -Fais moi jouir. Elle la lecha de tout son long et l'avala, c'est va et viens s'accélèra. La bouche grande ouverte et ses raclements de gorge m'excitait de plus en plus. Je la stoppa et lui dit de se mettre à quatre pattes et me montrer ses fesses. Son cul était appétissant. Je donna quelques fessées et cracha à son anus. Mon membre s'enfonca au plus profond de son vagin et mon pouce titilla son anus, pour attraper ses fesses à deux mains, je lui dit de jouer avec son petit trou. Ses doigts s'activait dessus et ma bite pillonnait toujours sa chatte, son majeur se retrouva enfoncé dans son anus et je me retira. Je l'a pris par les cheveux et lui ordonna de sucer. Je me décharga dans sa bouche et elle ne perdit pas une goutte.
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Par : le 03/11/15
La langue française fait partie de mon métier, et je me retiens la plupart du temps sur internet, et en particulier ici, de les relever pour ne pas avoir l'air d'un chieur pointilleux. Mais voici un pense-bête qui pourra, je l'espère, en aider plus d'un (en supposant la patience de lire) : Quelques fautes qui se répandent de plus en plus : Les exceptions peu évidentes : L'usage du subjonctif devient peu à peu obsolète en français parlé, mais certaine expression l'ont conservé. encore faut-il l'utiliser correctement. Le subjonctif suit «avant» mais pas «après». Exemples : Il est sorti avant qu’on le lui ait pris - Il est sorti après qu’on le lui a pris. J’attends un moment avant qu’il l’ait dit - J’attends un moment après qu’il l’a dit. On n’écrit pas «ballade» avec deux L lorsqu’il s’agit d’une promenade, mais «balade» avec un seul L. Une ballade est une forme classique de poème chanté. Les manies langagières, fautes qui se répandent à cause du mimétisme : - «Bien évidemment» : un pléonasme snob de deux adverbes qui s’est hélas généralisé à cause de la télé. C’est comme si on disait «Bien bien sûr», ou «bien forcément». en revanche on peut dire «il est bien évident» car «évident» est un adjectif. - «Rajouter» au lieu d’«ajouter» : Pourquoi tout le monde place un R en plus, mystère (peut-être à cause de l’expression «Il en rajoute»), mais peu de gens actuellement utilisent le verbe «ajouter» correctement à notre époque. Si vous ne dites pas «Je reparle» au lieu de «Je parle», ne dites pas «Rajouter» au lieu d’«Ajouter» Les fautes dues au manque de lecture : On dit pas «Où c’est que» à la place de «Où» On ne dit pas «Je lui dis à elle» mais «Je lui dis» On ne dit pas «Il y a un an en arrière» mais «Il y a un an» On ne dit pas «Dans ma tête» lorsqu’on évoque une pensée du genre «Je me suis dit» On n’écrit pas «comme même» mais «quand même» On n’écrit pas «Un peu près» mais «à peu près» On n’écrit pas «Elle n’est pas prête de venir» mais «Elle n’est pas près de venir» (ou alors «prête à venir» ) «Palier» est un niveau dans les escaliers d’un bâtiment, et «Pallier» est un verbe. Le verbe «Pallier» ne s’emploie pas suivi d’un «à». Par exemple on ne dit pas «Il faudra pallier à ce manque» mais «Il faudra pallier ce manque». Confondre «ça» et «sa» ou «ce» et «se» : «Ça» et «ce» sont démonstratifs. «Ça» peut être remplacé par «cela» (il en est même sa contraction) Ex : «Ça va» ; «Il m’a dit ça» ; «Ça me prend parfois» ; «Je suis comme ça» «Ce» devient «cet» devant une voyelle et donne au féminin «cette» Ex : «Donne-moi ce verre et cette bouteille» ; «Ce visage me rappelle cet homme, mais pas cette femme». «Sa» est un prénom possessif féminin qui devient «son» au masculin. À la première personne il devient «ma» Ex : «Ça c’est sa voiture» = «Cela est son auto» (ma voiture, mon auto); «J’ai vu sa figure» = «J’ai vu son visage» (ma figure, mon visage) Confondre «Tous» et «Tout» : le nombre et l’ensemble Ex : «Ils m’ont tous pris» (partouze) - «Ils m’ont tout pris» (huissiers) Les pléonasmes les plus utilisés à notre époque : (vous en utilisez ! ) Marcher à pied Monter en haut Descendre en bas Sortir dehors Entrer dedans Rajouter (au lieu d'ajouter) (voir plus haut) Re-(verbe) encore Se dire (ou penser) dans sa tête (voir plus haut) Au jour d'aujourd'hui S'avérer vrai Tourner en rond Se brosser les cheveux Se moucher le nez Prédire (ou prévoir ou réserver) à l'avance Un bel avenir devant soi Un projet d'avenir Bien évidemment (voir plus haut) Il pleut dehors Solidaire les uns des autres Un court résumé Disperser ça et là Moi je Un bénévole volontaire Une fuite en avant Il y a un an en arrière (voir plus haut) Certains sont déjà entérinés par l'usage oral (notamment la télé et les politiques), à vous de ne pas faire les moutons, si vous aimez notre langue.
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Par : le 02/11/15
Elle a envie de te baiser... Rien de bien subtil, rien de hautement sensuel ou de très travaillé... Il paraît que ça change, pour une nana hein ? :D Elle a envie de te baiser jusqu'à la moelle ; pomper tout ton désir, sucer ton excitation. Tu serais complètement vulnérable, le sexe bandé et la langue pendante. Elle tiendrait tes couilles dans le creux de sa paume tout en te chuchotant des obscénités à l'oreille... "T'aimerais pouvoir me toucher aussi, hein ?" Elle se délecterait de tes gémissements, son excitation se nourrirait de la tienne… Au moindre grognement ou signe d’impatience, elle te claquerait sèchement les joues. Tu sucerais ses orteils un à un en la regardant dans les yeux. Elle savourerait la douce caresse de ta langue habile sur ses doigts de pied... Tu serais son adorable petit pantin suspendu au moindre ses gestes, ses mains martelant ton visage à l’unisson de tes variations d’humeur… A genoux, à 4 pattes, allongé ou debout, peu importe ; tu devras lui obéir. Elle te donnera des ordres, c'est sûr... Peut-être que tu devras garder des postures contraignantes juste pour son plaisir... Peut-être que tu devras lui montrer des choses très intimes... Ta gêne, ton inconfort et ton asservissement contraint l'exciteront d'avantage. Le chat joue avec sa proie. Elle glisserait des baisers tendres dans ton cou, tout en serrant tes couilles avec une intensité progressive : plus ses doigts se refermeraient sur tes bourses, plus ses caresses sur ton visage seraient douces. Elle dégoulinerait et tu devras laper dans sa main et sur ses doigts son excitation. Elle te ferait aboyer tout en tirant sur ton collier. Elle t’embrasserait possessivement en investissant ta bouche jusqu’au fond. Elle se frotterait sur ton corps comme bon lui semblerait ; tu seras son bel objet haletant de plaisir... Je vous regarderais en me caressant et tu sentirais la portée de mon regard sur vous deux… Viendrait le moment où son envie de toi prendrait le pas sur toutes les autres ; elle s’empalerait alors sur ton désir, amazone déchaînée tirant sur tes tétons déjà si sensibles, puis sur ta laisse en te léchant les lèvres. Je la rejoindrais en m’installant à califourchon sur ton visage ; ta langue, mon sexe, ses mains, mes seins, ton sexe et le sien…
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Par : le 02/11/15
JOUR 2 : Le tatouage J'ouvre les yeux. Il doit être encore tôt, mais je ne parviens plus à dormir. Tu dors encore. Je tourne en rond dans mon corps, dans ma tête. Je glisse un doigt dans ma fente. Mes règles ne sont pas revenues, tant mieux; mais je suis sèche, ça m'angoisse, cette journée m'angoisse, je crains tellement être en train de me laisser embarquer dans une histoire qui va finir par m'échapper, tant je donne tout de moi. J'ai peur de la mort du désir. J'ai peur de la réalité, au moment où elle va nous rattraper, où elle va me frapper. Tu bouges, te retournes, mon souffle s'arrête, écoute le tien. Savoir que tu vas te réveiller, bientôt, et que ta main, encore rêveuse, viendra se promener sur mon corps, m'apaise et m'émoustille. «Il est trop tard pour les croissants», dis-tu après que nous avons fait l'amour plusieurs fois, dès ton réveil. J'ai aimé te faire cette longue fellation, avec mon doigt dans ton cul qui me rappelais ma main entière d'une autre fois. Et ce moment où tu dis «Tu m'as trop excité, il faut que je te prenne». Quelle joie de te voir te redresser, me saisir, et ton sexe à vif me prendre encore, sans trop de ménagement, pour ton bon plaisir, dont j'ai rallumé la mèche, presque innocemment. Tu me prépares un café fumant. On se nourrit d'une salade assaisonnée d'accordéon diatonique. Tu visites tes mails, pendant que moi, je rumine mes appréhensions, et m'inquiète de l'heure qu'il est, et de ce qui m'attend, au crépuscule de cette journée. Attachée, tatouée, baisée, d'un seul et même élan. «On va faire un tour en ville?» Ok, il fait beau, le soleil perce les ruelles de mes pensées, disperse un peu mes doutes. Je regarde mon ombre marcher à tes côtés, qui avance, légère, insouciante, en égrainant derrière elle les réticences qu'il me reste encore. De retour chez toi, je file sous la douche, et me fait un lavement, faut croire que j'y prends goût. Je fais tout vite et bien, l'heure tourne, et tu me le rappelles. Tu me sembles un peu nerveux, peut-être crains-tu que je ne regrette... «Nous allons être en retard». En toute hâte, nous sortons, tu fermes la portes, et nous rejoignons le tram qui nous déposera non loin de l'atelier du tatoueur. «Nous descendrons à l'arrêt Aube rouge», me dis-tu. Je souris. Assise dans le tram qui nous emporte, mes pensées s'emballent, mon sexe s'échauffe, mais je n'en laisse rien paraître. Enfin c'est ce que je crois. Tu poses une main furtive sur ma cuisse. Le soleil chute dans le ciel, qui s'embrase derrière les nuages et les immeubles. Le nez collé à la vitre, je regarde l'immuable se produire. Nous descendons et rejoignons l'atelier de M., le tatoueur. Quand on entre, il est encore à l’œuvre, penché derrière un paravent, et j'aperçois les jambes nues d'une femme. Le bruit de sa machine me rentre dans les oreilles, entêtant. C'est un endroit clean, aseptisé, aux murs d'une blancheur un peu affligeante. Il apparaît de derrière le paravent, nous salue et nous propose de boire un coup en attendant qu'il termine. Je l'observe attentivement, pour ne rater aucune de ses expressions. D'apparence il n'est pas très grand, et est tatoué sur l'ensemble des bras. Il me paraît peut-être un peu gêné, peu loquace, et j'ai l'impression qu'il contrôle prudemment ce qui transparaît de lui. On s'assoie sur une banquette, tu me tends les recommandations d'après tatouage, que je lis de manière distraite, car j'aurai tout le temps de m'en soucier plus tard. Je feuillette le classeur à dessins que le tatoueur laisse à disposition. Je tourne les pages un peu frénétiquement, sans vraiment prendre le temps de m'arrêter sur les dessins, qui dans l'ensemble, ne me plaisent pas beaucoup. Sauf cette plume qui me reste en tête, avec ses tâches d'encre autours... Je tourne en rond, je suffoque presque, il faut que je sorte. «Je vais fumer une clope». Je sors, avec quelques scrupules de te laisser seul, à l'intérieur, à attendre. Je regarde le soleil s'éteindre, et les bagnoles qui tracent leur route, et s'en foutent bien de moi et de mes idées folles. Quand je rentre à nouveau dans l'atelier, la fille se rhabille pendant que le tatoueur nettoie son matos. Elle sort. Les rideaux tirés, on échange quelques paroles. «Je lui ai juste dit que tu étais ma soumise», m'avais-tu écrit lors de nos derniers échanges. Alors je me vois vue comme telle, par ce mec qui ne sait rien de moi, qui peut tout imaginer. Sachant cela, est-ce le mépris ou le respect qui habite les regards qu'il pose sur moi? Toi, je te sens dans l'attente, un peu circonspect de ce qui va arriver. Je reste en retrait pendant que vous décidez de la disposition du lit, et de ce qui convient pour m'attacher. Et puis tu viens vers moi «Déshabille-toi». J'ôte mes chaussures, mes vêtements, hormis ma culotte, je ne sais pas pourquoi je la garde, mais c'est avec délectation que tu passes ta main dessous et t'exclames, à l'attention de M.: «J'y crois pas comme elle mouille déjà...» J'aime cette main qui se donne le droit de venir me vérifier, de venir sentir l'état de mes émois, cette main, que jusque là je ne déçois pas. «Enlève ta culotte.» Je m'allonge sur le lit qui m'attend. Je tremble, nue. M. prépare son nécessaire, et moi j'écoute tout ce que je ne peux voir pendant que mes yeux courent en vain sur le plafond blanc, je te sens alors venir à mes côtés, et poser une main attentive sur moi. Tu m'observes, depuis ton surplomb. Je cherche dans ton regard une confiance à laquelle me raccrocher, la complicité qui nous fait être là, à ce moment précis. Ton sourire me caresse le corps. Tu attaches mes poignets au lit. Puis mes chevilles. M. approche la lampe et s'assoit à mes côtés. «Ça va?» J’acquiesce, d'un hochement de tête et d'un oui-oui, un peu trouble. De ses mains gantées il saisis mon bras et y applique une crème, puis le calque du dessin que je lui ai fait parvenir. Une petite étoile, empreinte de ce qui fait sens pour elle, à ce moment-là de sa courte existence. Il met son appareil en route, et minutieusement, commence à tatouer, à creuser ce sillon d'encre qui dès lors m'accompagnera, et me survivra. Tu regardes le dessin se former, petit à petit, en caressant mon corps nu, qui n'attend que ça pour se rassurer. La douleur que je ressens à l'intérieur de mon bras est vive par moment, mais mon esprit est appelé à te suivre dans tes indolences, qui m'emmènent jusqu'au creux de mon ventre. Tes doigts glissent le long de ma fente, s'y insinuent, s'y plaisent, en ressortent luisants, puis jouent avec mon clitoris, qui fait des bonds. Il y a un moment où je ne sais plus si c'est la douleur ou le plaisir qui me fait tressaillir. Je sens ma respiration comme prise en tenaille par des sensations contraires qui s'affrontent et qui communient en moi, en se nourrissant l'une de l'autre. M. m'observe de temps à autre, je me demande bien ce qu'il pense. Mais je serre les dents, je sens mon bras traversé par des milliers de picotements plus ou moins virulents, la douleur me pousse à m'absenter, à fermer les yeux. Tu enlèves ta main de mon sexe. «On dirait bien qu'elle ne mouille plus... c'est la douleur peut-être ». Je ne réponds rien mais n'en pense pas moins. Je me sens bien désolée de cette sécheresse soudaine qui m'accable, mais je me rends à l'évidence: je ne sais plus où donner de la tête, mes sens sont en déroute. Tu continues quand même à me caresser le corps, à te promener sur ma peau, pour y tracer les chemins sinueux de tes envies. M. se redresse. «Ça y est», dit-il en lâchant mon bras, qu'il tenait fermement jusque là. Je tourne la tête et parviens à voir mon étoile, fidèle, ancrée en moi. Je lui fais part de mon contentement, tu relèves la finesse des détails. Tu te penches sur moi et m'embrasses. «Elle est à toi, à présent», lui dis-tu simplement, avant de t'effacer. Dans mon crâne les secondes se disloquent et s'émiettent, mes pupilles s'éparpillent sur le plafond blanc. M. avance vers moi, je le regarde, et je ne sais pas trop ce que dit mon regard. Il me caresse, saisit mes seins, me pince les tétons. Sa main descend rapidement vers mon sexe, qu'il écarte et pénètre à loisir. Je n'ai plus dans mon champ de vision que son jean noir dont il rapproche la braguette de mon visage. Ma main encore attachée passe entre ses jambes et je lui caresse les couilles. Il défait sa ceinture et baisse son pantalon. «On va la détacher, dis-tu, ce sera mieux.» Je me frotte les articulations pour me désengourdir un peu. Il continue de visiter ma chatte, d'écarter les lèvres et de masser vigoureusement mon clitoris, qui se tord et gémit, pendant que je branle son sexe, mais qui reste encore petit et mou. Puis je le prends dans ma bouche, longtemps, il met du temps à bander. Je suis pleine d'angoisses, peut-être est-il mal à l'aise, ou alors c'est moi qui m'y prends mal, je ne sais pas. Mais je ne faiblis pas, et sa queue finit par gonfler et se durcir, petit à petit. A un moment je sens des vagues de plaisir m'envahir. Je renverses la tête dans ta direction, et te demandes: «Je peux jouir?» Tu réfléchis un instant. «Non, retiens-toi encore». Je me tords et ravale mes frissons. M. a l'air gêné et débande un peu. Mais il me demande de me relever. Ma tête tourne un peu, je me redresse, il m'écarte les jambes face à lui et me pénètre. C'est bon ce moment, c'est doux, mais peut-être même un peu trop doux, tu m'as habituée à plus d'engagement... Il me prend comme ça, je regarde ses yeux et son demi-sourire, impénétrables. Tu viens derrière moi et j'aime à ce moment te sentir te coller à mon dos, me soutenir, et voir tes mains presser mes seins, enserrer mon cou, rebondir sur mon ventre et atteindre mon sexe, dans lequel M. s'agite. Ensuite je me retrouve agenouillée face à lui, invitée à le sucer encore. Je m'applique longtemps, il pousse ma tête vers lui pour me dicter son rythme, je vois les tatouages qui lui couvrent le ventre, je lui caresse les cuisses, les fesses, tu prends des photos, ce sont des écritures qui sont tatouées, il me garde la tête maintenue contre lui, je suffoque, et je le suce encore, haletante, jusqu'à ce qu'il jouisse, et éjacule sur ma poitrine, dans mon cou. Moi je reste là, je reprends mon souffle, je le vois se masser le sexe, au dessus de moi, pour y verser encore la dernière goutte. Je lui souris peut-être, et me redresse doucement. Je me nettoie avec les mouchoirs qu'on me tend pendant qu'il se rembraille et que tu t'approches, une main sur mon épaule. Je n'attends pas que tu me dises de me rhabiller. J'y vais, et vois disparaître sous le tissu mon étoile, qui se cramponne, en proie à des eaux déjà tumultueuses, faudra qu'elle s'y fasse. On se salue, se remercie de cet échange, on se manifeste nos satisfactions respectives, cordialement. Et puis nous sortons. Trajet en sens inverse. De nuit. Dans le tram, tu me serres contre toi, me demandes si ça va, et t'excuses d'emblée de m'avoir privée de ma jouissance. «J'espérais qu'il continuerait à te toucher et que tu monterais encore...» C'est pas grave. C'est un peu dommage, oui, mais c'est pas grave. J'ai un peu regretté de t'avoir demandé, mais j'aime bien aussi jouer ce petit jeu. C'est un risque à prendre. Un de plus. Au sortir du tram j'ai la tête qui tourne, les jambes en coton. J'avance, je te suis, mais il arrive un moment où je ne te suis plus vraiment, je sens que d'un coup je fléchis, des bourdons plein la tête, je ne distingue plus rien d'autre que ce poteau rond auquel je m'accroche, avec ce qui me reste de clairvoyance. Je te sens venir contre moi. «Ça va?» Mon oui-oui est un peu illusoire. Nous nous dirigeons vers une supérette, tu me proposes une tartiflette, je te réponds par une bouteille de porto. *** Tu chantes, ta guitare sonne à mes côtés, les sonorités m'emportent, bercent mes peurs. Mes yeux se ferment pour mieux entendre. Et ma voix, timorée mais ravie de t'accompagner, murmure. ( à suivre)
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Par : le 28/10/15
Faits Divers - Boulogne En pleine journée, étrange mésaventure pour un jogger du bois de Boulogne (Extrait du quotidien "le libertin libéré") Hier matin un incident inédit est venu perturber le jogging d’un (malheureux ?) jeune homme. L’aventure nous a été rapportée par mademoiselle B. que nous avons pu rencontrer suite à sa déposition, certainement sans suite d’ailleurs, qu’elle fit au commissariat de la ville de Boulogne en périphérie immédiate de Paris. « Hier matin, je courrais comme chaque Dimanche autour du lac du bois de Boulogne. J’entretiens ma forme car je suis volleyeuse. J’ai d'abord dépassé un groupe de trois femmes, elles parlaient beaucoup et plutôt fort pour bien pouvoir courir, puis j’ai croisé un jeune homme en sens inverse, je me souviens m’être dit qu’il avait belle allure, je crois même que l’on a échangé un bref sourire. J’ai continué sur quelques foulées, et puis j’ai eu envie de le voir de dos, sans penser à plus, alors je me suis retourné au moment ou il croisait le groupe de femmes. Et alors que je m’attardais, je fus surprise de voir que les trois femmes, après avoir bien détaillé l’homme, se sont regardées et ont fait demi-tour en riant. Je pense qu’elles l’ont interpellé car il a ralenti et il s’est arrêté. L’ayant rejoint elles l’ont entouré et tout en continuant à rire elles l’ont poussé à l’eau ! Il a été bien surpris, mais elles l’ont aidé à sortir de l’eau et il n’avait pas l’air rancunier. Il semblait si doux le pauvre. Il aurait dû se méfier car alors qu’il tendait les mains pour remonter au bord l’une des femmes a sorti quelque chose de sa poche pendant que les deux autres lui ont saisi les poignets pour les lui tordre dans le dos. Un instant plus tard il était menotté ! » « Et vous ne vous êtes pas enfuie ? » « Ben non, elles ne s’occupaient pas du tout de moi et je m’étais mise derrière un arbre. Ensuite, heu… vous savez, si j’ai regardé c’est pour faire une déposition complète au commissariat hein ? » « Oui, oui, bien sûr, et ensuite ? » « Bon ensuite elles l’ont attaché à un arbre. Je ne sais pas d’où elles ont sorti la corde. Elles avaient l’air plutôt organisées, je crois » « C’était d’après vous une sorte de bande de malfaiteurs féminins ? » « Non, non, enfin oui peut-être. Mais elles avaient l’air de bien s’amuser surtout. Alors que lui s’inquiétait de plus en plus. Après elles ont commencé à le caresser de partout et à l’embrasser. Et elles le caressaient entre les jambes aussi. Elles se sont plus ou moins déshabillées, l’une d’elle s’est mise tout à fait nue, et elles l’ont déshabillé complètement. Elles ont arraché son tee-shirt et on baissé son pantalon. Et le plus étrange c’est que le jeune homme heu… avait une érection. Une belle érection même. Ensuite elles lui ont fait plein de choses incroyables, avec une branche qu’elles ont coupé d’un arbre à côté, puis elles ont utilisé son sexe à plein de choses. Enfin ça me gêne de dire tout cela. » « Je comprends très bien mademoiselle, mais encore ? Comprenez bien que nos lecteurs doivent être bien avertis de ce à quoi ils doivent échapper s’il leur arrivait pareille mésaventure. » « Oui bien sûr. Et bien elles l’ont fouetté sur tout le corps et sur le sexe aussi. Il aurait dû ne plus bander alors non ? Mais non, j’ai eu l’impression que c’était le contraire. Alors elles l’ont sucé longtemps et après elles ont placé leurs fesses face à son sexe et elles ...s’en sont servi. Enfin vous voyez ce que je veux dire. Elles continuaient à rire souvent et à commenter ce qu’elles faisaient. C’étaient certainement des folles vous comprenez ? » « Et comment tout cela c’est fini ? » « Et bien, je suis gênée… » « Vous pouvez parler sans crainte Mademoiselle, votre nom ne sera pas cité. » « Ah ! Et bien, à la fin, elles m’ont repéré bien sûr. Il faut dire que j’avais cherché à m’approcher un peu. Elles sont venues et m’ont tiré par le bras. J’ai eu très peur alors. Elles m’ont emmené auprès du malheureux et m’ont demandé si je voulais m’amuser un peu avec lui. J’étais horrifiée. Alors elles ont pris ma main et l’ont placée sur son sexe toujours dur et m’ont obligée à imprimer des mouvements. Il gémissait le pauvre. Et alors… heu… j’ai été obligée à commencer à embrasser son sexe. » « Elles vous ont forcé ? » « Non pas vraiment… Heu oui, oui, bien sûr ! Enfin, je me suis sentie obligée… moralement si je puis dire. Elles étaient autour de moi, et puis ce joli petit sexe, enfin pas si petit tout de même, il avait l’air de réclamer mes attentions, vous comprenez, et puisque j’y étais, autant faire de mon mieux non ? » « Oui, oui, bien sûr. Et ensuite ? » « Ensuite , je l’ai léché, délicatement. Alors qu’il était bien dur, sa peau était toute douce, je m’en souviens très bien. Il gémissait de plus en plus, alors je l’ai doucement pris dans ma bouche. J’étais à genou devant lui, alors cela m’a paru naturel. Puis j’ai imprimé des mouvements qui ont encore fait augmenter le volume de son sexe. Il bougeait pas mal parmi ses liens, ce qui fait qu’au bout d’un moment, il est sorti de ma bouche, mais je le tenais fermement de ma main. C’est alors qu’il a répandu plein de sperme sur mon tee-shirt. Je n’en avais jamais vu une telle quantité ! J’étais complètement trempée ! Alors elles ont eu l’air satisfaites et elles ont repris leurs menottes et sont reparties en courant. Je l’ai rapidement détaché, et lui ai proposé d’aller au commissariat. Mais il était bien trop timide et m’a dit que ce n’était pas la peine et qu’il était trop confus de ce qu’il lui était arrivé et du spectacle qu’il m’avait infligé. Il est parti sans en dire plus et je n’ai pu le retenir. Voilà c’est tout. » Aventure incroyable, ne trouvez-vous pas ? Si près de nos villes ! Reflet de notre civilisation décadente bannissant le respect des honnêtes gens. On ne soupçonne décidément pas la diversité des dangers qui menacent de simples adeptes de la course à pied ! De notre envoyé spécial Romain Leste lundi 26 octobre
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Par : le 27/10/15
Je suis assis devant une tasse de café , le regard dans le vide. L'esprit bien loin de là où est cette chaise. Je repense à l'instant où je passe la porte et la vérité qui vous rattrape pour vous éclater au visage. Une vague qui vient chambouler toutes vos certitudes. Je l'ai marquée au fer rouge alors que son passé n'est simple en aucune façon. Ce n'est pas d'avoir cessé de l'aimer, bien au contraire, juste le détournement sur une période de certains principes, et même si l'auto flagellation n'apporte rien, le miroir déforme votre gueule de salaud tout les matins. La terre tourne et une porte s'ouvre. Tout réapprendre, tout redécouvrir. La voila qui s'abandonne dans un cadre qui n'a aucune bordure. Elle se livre au voyage dans un monde inconnu. Son amour qui parle à cet instant est une offrande incroyable, presque difficile à recevoir tant la honte vous submerge, vous envahissant tout entier. Juste l'émotion de la demoiselle qui se découvre et qui vous éblouit. Cela aurait été plutôt à moi de devoir changer "pour des raisons conventionnelles" , mais, plutôt que de l'envisager, elle vient m'offrir de s'adapter… La séduire pour lui faire comprendre combien elle est belle dans mon regard qui l'enveloppe. Ces dames sont sans cesse dans cet insatiable besoin de puiser en notre source l'impérieuse nécessité de se rassurer. Lui apprendre à aimer les courbes de son corps pour qu'elle en perçoive la beauté dans le regard de l'autre. La mettre à nue et la sublimer. C'est par la magie des cordes qui viennent contraindre son corps, l' exhibant de telle sorte que les délices pervers viennent s'y nicher pour s'y laisser éclore. La petite fille pudique avec qui je grandis n'est plus; l'ingénue appartient au passé et mon Dieu qu'elle est belle la femme qui se révèle. Elle se laisse bercer au bord de l'eau, sous le joug protecteur des règles qui viennent, sur elle, si naturellement s'apposer, qu'elle semblait les attendre . Fier de l'avoir à mon bras, elle est exemplaire. L'éducation qu'elle a reçue souligne déjà son savoir vivre et se tenir! Je m'écarte un peu et la regarde intensément. Au delà de sa beauté et des nombreux désirs qu'elle m'éveille, j'observe les regards alentours qui se posent sur Ma Belle. Je me flatte de sentir poindre des envies discrètes pour certains et même des jalousies plus appuyées pour d'autres; sa douceur comme sa docilité sont miennes. Je profite d'elle, j' use d'elle et sans l'ombre d'un remord j'en abuse à ma guise ! Elle est mienne, mienne, mienne : quel bel écho…. Son épanouissement se traduit toujours par de si beaux sourires… C'est Allongé, et faute de pouvoir éterniser l'instant, que je les regarde, en admire la pureté pour alors sauvegarder dans mon esprit chaque instant. Dans les bras, l'une de l'autre, se troublant mutuellement, des baisers s'échangent et offrent tant d'envies puissantes. C'est une fusion profondément sensuelle dont la beauté est un régal à admirer. La complémentarité qui vient parfaire le tout. MaDame est rayonnante et la voilà comblée, je la sens apaisée par son état d'appartenance affirmée. A Elle maintenant de savourer chacun des instants comme ils viennent caresser nos plaisirs . Un beau chemin parcouru, dont je la remercie bien sur ! Mais là, je suis juste le cul sur ma chaise, mon plaisir est immense, un sourire un peu béat aux bords des lèvres, et je pense seulement qu'il nous reste encore tant et tant d'innombrables moments à vivre sur ce chemin dont nous sommes, en symbiose l'ombre indissociable de la lumière!
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Par : le 26/10/15
Guettez moi, guettez moi encore. Je vous suis pour des en-corps. Pour des satins ou des soies. A la sueur de mes émois. Guidez moi vers des accords. Comblez les désirs du corps. D'extase, gorgez mon plaisir. D'un supplice, frôlant le goût du cuir. Observez-en la posture. D'une chute de reins qui augure. A vos sens embrasez-les. Et de vos empreintes gravez-les. Attendez, attendez-moi encore. Plus intense, en-corps et plus fort. Gouttez en bien mes parcelles. De peau. Venez me sublimer rebelle. Le 26 octobre 2015
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Par : le 24/10/15
L'espace est infini, le temps est éternel... Un jour l'enfant n'en est plus un lorsqu'il croit comprendre cela. Je dis 'croit' car qui peut vraiment en appréhender la signification? La pierre d'achoppement de la foi, du moins de la croyance, n'est-elle pas à la limite du connu? Au delà il y a l'inconnu, ouvert aux supputations et délires divers... Mais l'éternité et l'infinitude vont encore plus loin, elles font partie, elles, de l'inconnaissable. Mais si vous demandez à un bouddhiste zen de vous parler de l'espace/temps, il risque de vous rire au nez. Car il ne s'encombre pas du ailleurs et du avant ou du après ; il n'observe pas le ici et le maintenant, il l'incarne. L'espace est le tout, et le temps n'existe pas. 'Mais et le présent alors? Le maintenant?' risquez-vous d'insister, comment le perçoit-il?. Il existe au Japon un célèbre recueil du XIe siècle intitulé konjaku monogatari shû, ce qui signifie 'Histoires qui sont maintenant du passé'. Le titre rassemble en un seul terme deux caractères : kon, (maintenant) et jaku (jadis), exprimant l'idée bouddhiste que le présent lui-même n'existe pas, entre le passé qui n'est plus et le futur qui n'est pas encore. Chaque histoire commence par la même expression : ima wa mukashi (maintenant c'est du passé) qu'on peut interpréter par l'idée que maintenant est déjà parti, déjà fondu dans le passé. Nul ne peut percevoir la nature dans sa totalité, ni les moindre détails d'un paysage ou, à fortiori la surface des astres lointains. De même le temps est inappréciable dans la durée, seul l'instant a une réalité. Mais, à un même instant donné en des lieux différents, peuvent se produire des événements simultanés. De sorte que l'instant nous échappe aussi, et rien ne sert de vouloir se l'approprier, ou même de le décrire. Il suffit juste de le vivre, de le déflorer, comme on pose un pas sur un terrain enneigé vierge. Ou plutôt sur le sable, l'empreinte étant aussitôt balayée par l'eau purificatrice. QUELQUE MAINTENANT Quelque maintenant s'épanche d'un regard, s'écoule le long d'une ridule, qu'il creuse, comme un sillon de larme entre un tic et un tac Un traître instant vous a ainsi pris par surprise sitôt dit, sitôt enfui, déjà dans l'abstraction d'un passé que vous n'osez encore admettre Un éphémère scintillement, au coin de votre œil, ou était-ce un fantôme ex nihilo qui a frôlé l'ennui de ce dimanche pourpre ? Dehors, un aboiement meuble le décor renforce le silence qui lui sert d'écrin alors qu'il n'est pourtant déjà plus du silence Étrange quiproquo subreptice, celui du temps qui passe en catimini infime basculement entre l'à venir et le déjà passé que vous appelez Maintenant Quelque maintenant caresse l'attente, l'expectative d'un espoir converti en déception par cette opération occulte et irrémédiable, un mécanisme furtif dont l'emprise vous dépasse. Au loin, ce sont à présent les cloches qui appellent les dévots avides leur intiment l'agenouillement afin d'emplir un peu leur incomplétude Entre un tic et un tac, le silence est aussi grand que l'univers Maintenant en est le centre. Filo
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Par : le 22/10/15
Bientôt bientôt de peau à fleur de mot à fleur donnée affleure la déraison en soupçon d'infinis épanchements et d'un reflet gracile argente tes cils en fait un horizon et je hume les inconséquences de tressaillements parfumés ose l'emblème fertile force les ténèbres de ton mystère réminiscence du premier geste pamoison de râles soupirés moisson d'étoiles partagées symbiose tu ris comme un cri dont l'écho endigue mon émoi les fluides se pâment répandent l'incontinence de l'âme instant d'oubli psychose fugace vie/mort ---------------- commence un nouveau regard
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Par : le 22/10/15
Mais la réalité n’est pas un film. Non. Terrible, elle est bien plus terrible la réalité que le plus terrible des films terriblement réalistes. Non, la pauvre Siann n’imaginait pas ce qui allait suivre. Elle n’imaginait pas que ce salopard de Zuip lui pisserait soudain dans la bouche, alors que, confortablement installée dans le canapé (et lui en face dans le fauteuil) en plein milieu de la conversation, il se lèverait, sortirait sa queue : – J’ai envie de pisser… dans ta bouche… maintenant… Maintenant. Là. Comme ça. Il pisse. Siann boit. A genoux. A ses pieds. La bouche prise par la queue dure : Siann boit. – Avale. Avale tout. N’en laisse pas échapper une goutte. … Bon… c’est raté : ça a débordé… y’en a sur le carrelage… même la courte jupe plissée noire de Siann y a eu droit… Pourtant, Zuip, sentant que la Siann n’en pouvant plus de boire, la bouche pleine de sa pisse, Zuip : s’est retenu de pisser… (incroyable ! roulements de tambour ! Zuip ! the Zuip ! non seulement bande et pisse… mais il sait : s’arrêter de pisser !... quand la bouche est pleine… et que le trop-plein risque… de déborder…) Trop tard ! Ça a coulé ! Salope de Siann ! Elle sera corrigée ! * Non, Siann n’imaginait pas qu’il viendrait la chercher avec une voiture qui n’est pas la sienne. Pour la mener dans une maison qui n’est pas la sienne… Elle n’imaginait pas ce we étrange, où elle serait recluse dans la chambre, dans l’attente… attendant qu’il revienne pour la fourrer : sa bouche, son cul… la flageller… encore… Revenant pour la prendre : l’enculer : jouir : se vider les couilles dans son cul. Enfin ! L’enculer et jouir d’elle soumise ! Enfin ! (j’écris… Siann est assise à mes côtés, là… lit ce que j’écris… me regarde à travers ses lunettes… terriblement mignonne avec ses lunettes, la Siann…) * Plus tard, un autre jour, autre moment : Ils écoutent de la zic (voir la liste des musiques à la fin du générique). Ils regardent des photos : les albums de Zuip : « seins », « chattes », « cuisses écartées », « croupes », « extrêmes », « marques », « en bouche »… Zuip évoque ses souvenirs… la musique baroque, la viole de gambe… Et alors qu’ils écoutent Nusrat Fateh Ali Khan https://www.youtube.com/watch?v=kLBFmA87tyg : « Entre tes ex- et tes présentes : c’est pas facile de trouver une place pour jouir », dit Siann… Pauvre Zuip ! qui n’arrive plus à faire jouir Siann… * Marquée. La femelle est marquée. C’est épouvantable ! Horrible ! La pauvre Siann ! Couverte de bleus, qu’elle est : les cuisses, les fesses… surtout les cuisses : couvertes de zones noires, grise, rouges, bleues, mauves, violettes… Et elle a les cuisses longues et joliment dessinés, sa Siann… Mais il suffit que Zuip la touche, la caresse un peu… et hop ! un nouveau bleu ! Bon… les caresses de Zuip… les caresses de Zuip sont fermes… et produisent d’étranges et beaux effets !... elle a de si belles cuisses, sa Siann ! Il est si tentant de la toucher, la caresser, l’empoigner, la presser, la serrer dans sa poigne : lui faire mal ! Il est si bandant de l’entendre crier de douleur ! – Ooohhh ! Philippe ! Tu me fais mal ! Ah ! Elle en voit de toutes les couleurs, la pauvre Siann ! Nan ! Zuip n’est pas un artiste !... un artiste du BDSM ?... certainement, sans doute : Zuip s’en fout ! Il baise Siann et la torture, l’encule et la fait souffrir : c’est l’essentiel. Et quand il l’empoigne vraiment, pince, tord, étire un téton (Siann a des petits seins, mais de jolis tétons dressés, épais, qui pointent… qui attirent les doigts : ) alors Siann crie, s’écrie : – Ooohhh ! Philippe !... Et Siann jouit. Oui. Siann jouit. Ça lui arrive aussi. (mais, chut… nous ne dirons pas tout…) * Oui, Siann jouit quand il la branle. Cogne sa chatte de ses doigts dans son con. Il y va fort ! Il baratte sa chatte ! Parce qu’il sent, sait qu’elle va jouir ! De ses doigts dans con. Avec violence ! Il la baise de ses doigts. Il la violente. Il lui travaille le con. Et Siann jouit ! Gicle ! Presque…. C’est tout comme… (nan : Siann n’est pas « fontaine » – (il s’y connaît, le bougre, en femmes-fontaine… et il sait : que Siann n’en est pas loin… ou presque…) Elle est trempée… ça ruisselle, ça coule… * Siann jouit quand il l’encule. Dans la salle de bains. Ça lui a pris : quand Siann se lave les dents, penchée sur le lavabo : ça lui a pris : l’enculer ! Là. Comme ça. (Siann est soumise : que cela soit dit : Zuip la prend : quand il en a envie : même après l’avoir baisée toute la nuit… Zuip la prend : parce que la voir soudain penchée, courbée, croupe offerte : impossible pour Zuip de ne pas la prendre ! Ne pas la prendre serait lui faire une offense ! pense Zuip qui…. Etc. Siann est soumise : Zuip se fait ses trous : chatte, cul, bouche : Zuip se fait ses trous. Et comme chatte et cul de Siann sont vraiment très proches… et que le cul de Siann est ouvert… trempé… : Zuip l’encule. (bon… Zuip n’est pas certain d’avoir voulu l’enculée… mais vue la position… et l’ouverture du cul de Siann… : Zuip l’encule !) – Oh ! Tu me défonces ! s’écrie soudain Siann ! (quelle vulgarité !) Oui : c’est avéré, certain : Zuip défonce le cul de Siann. Et Siann jouit. * Bon… On se calme… Le cul de Siann est rouge… il saigne même un peu… Le Salopard n’y va pas de queue… morte… Sans ménagement : il lui défonce le cul… et pas qu’une fois… Laissons reposer le cul de Siann… * Un soir… avant de s’endormir… : Zuip promène sur le dos de Siann (allongée, nue, sur le ventre, sur le lit) : le chat à 18 queues. Très joli martinet. Efficace. Du plus bel effet ! Mais Zuip sait Siann fatiguée, et il lui rend grâce : il honore sa beauté… et promène doucement les 18 lanières de ce terrible martinet… Il la travaille au corps… Doucement lentement. Il lui fait aimer, désirer les lanières… leur souplesse, leur douceur… Zuip est un manipulateur ! un salaud ! Il la prépare. Il la répare à recevoir. Il la prépare : à s’abandonner. Se donner sous les caresses. Traitresses. Les caresses. Zuip flagelle Siann. Précieusement, précisément. Longuement. Le dos de Siann est un objet précieux. Que Zuip caresse et cingle. Cingle. Encore. Vite. Les lanières tombent. Les lanières prennent Siann dans leur terrible douceur. Qui fait mal. Siann se donne. Sous les caresses des lanières de Zuip qui cinglent et saisissent et brûlent et mordent soudain sa peau. Et Zuip frappe vite. Trop vite. Ne la laisse pas respirer. Les lanières tombent. Et vrillent Siann au lit, sur le lit : elle voudrait s’incruster, disparaitre. Rester là. Elle est tellement bien. Elle aime tellement ça. Quand il la travaille avec ce « chat à 18 queues ». (dommage que ce pauvre Zuip n’ait pas réellement 18 queues ! Siann en rêve… elle vit dans un autre monde… Siann sourit…) * Tard dans la nuit… Un autre jour… une autre nuit… Alors que Siann dort tranquillement à ses côtés, Zuip se relève : impossible de dormir… (oui : Zuip a des soucis…) Zuip se relève avec des mots qui tournicotent dans sa tête… Alors… Dans le noir se lever… sortir sans bruit de la chambre… monter à l’étage… réveiller l’ordi… écrire : Avec dérision et désinvolture. – Tu vis tout dans la distance, dit Siann. – Oui. Depuis un certain temps, oui. Mais ça ne m’empêche pas de m’abandonner aussi parfois… * Zuip s’abandonne. Quand Siann le suce : Zuip s’abandonne. Car Siann est… une exceptionnelle pompeuse, suceuse, branleuse, lécheuse, amoureuse… de sa bite… … Toujours la bouche pleine de salive… Toujours la queue droite au milieu de sa bouche… (et non pas comme certaines qui glissent la tige le long de la joue…) Toujours lui travaillant avec dextérité, souplesse, finesse, doigté : les couilles… Toujours enfonçant sa queue, son gland : au fond de sa gorge !....... d’elle-même ! Si bien que : Point n’est besoin à Zuip d’appuyer sur le crâne de Siann pour la maintenir au fond : elle y reste d’elle-même… !!! Si bien que : Un certain soir (alors que Siann, amoureusement, goulument, voracement, le suce – un certain soir – alors que Zuip fourbu, allongé, couché, dans la nuit dans le noir du lit, pensait dormir… Siann le suce… si bien que) : Zuip ordonne : – Fais-toi vomir. (Zuip ordonne. Oui. Cela lui arrive parfois). Et Siann l’enfourne à fond. Jusqu’à s’en faire vomir… Nous n’en dirons pas plus… * Après… Siann s’essuie la bouche sur son tee-shirt de nuit… Après… Zuip embrasse la bouche de Siann… Après… Zuip se branle… en tenant serrée Siann dans ses bras… Après… Zuip jouit dans la bouche de Siann… Après… (tout cela est vraiment trop dégueulasse… trop tremblant… trop…) Après… Zuip a rarement aussi bien jouit… Au point que Siann n’a pas pu tout avaler… a dû laisser couler… (perdre son précieux foutre ? elle en sera corrigée !) * Après… plus tard… un autre jour : Zuip rase Siann. Ça le prend soudain. C’était prévu. Mais depuis deux jours qu’ils sont ensemble, Zuip n’a toujours pas rasé la chatte de Siann. Et puis soudain… après avoir joué avec la lame du cutter… après avoir promené plusieurs fois lentement longuement la pointe de la lame du cutter à l’intérieur de la cuisse droite de Siann… Zuip empoigne soudain le paquet de rasoirs jetables, l’ouvre (d’un coup de cutter !)… et rase Siann. – A sec ? s’en étonne Siann. Zuip sourit. Et la débarrasse de tous ses poils. Envolée, sa toison ! C’est la mise à nue ! (devant lui : Siann est toujours nue… ou débraillée : c’est comme ça : seulement vêtue de ses bas ou de hautes chaussettes noires – jusqu’au-dessus des genoux – porte-jarretelles (avec ou sans culotte) – chemisier blanc uni ou rayé bleu ciel) Devant lui : Siann est toujours nue : accessible : Siann fait sa pute. Remonte l’escalier devant lui en tortillant du cul : Zuip l’empoigne : comment résister ? * Oui : Zuip joue du cutter. Sur la peau de Siann. Sur la peau à l’intérieur de la cuisse droite de Siann (assise sur la chaise en paille, juste à côté de la table, juste après avoir écouté longuement plein de zics (voir la liste en générique de fin) : Zuip promène la pointe de la lame du cutter sur la peau de Siann. (un cutter tout neuf… acheté pour elle… dans le bazar de son quartier…) Zuip va la marquer… Et il promène la pointe. La passe et la repasse : au même endroit. Et la pointe griffe, accroche, déchire : l’épiderme. Siann saigne. Alors que tourne en boucle la vidéo de la dernière création artistique de l’ex-Maître de Siann… Zuip la marque. Il la travaille au cutter. L’intérieur de sa cuisse droite. Il la travaille : pour la marquer : pour la faire saigner. * Siann saigne. * Bon… Siann a ses règles… Pardon… : – Bon sang ! Siann a ses règles ! Il faudra faire avec… Et se rougir les doigts… la queue… Le sang… Le sang… * Eh oui, bien qu’elle ait dépassé la cinquantaine depuis peu : Siann saigne… (surtout vu les circonstances… que nous ne dirons pas : restons pudique, et gardons un peu de « privé ») : Siann a ses règles, Siann saigne. Et lorsque Zuip la doigte, la fiste : Siann saigne… et sort de son ventre sa main rouge et gluante de sang poisseux, rouge et gluant : – La main du boucher, dit Siann. * Après : il faut la faire redescendre, la Siann. Après Apocalypse now, c’est 2001 L’Odyssée de l’espace, et Retour vers le futur : ça tourne en boucle. Et après que Zuip l’ait fait jouir, mais combien de fois ?... Siann en pleure. * – Femelle qui vient de jouir !... Plusieurs fois !... filme Zuip. * Siann est très belle. (oui, je sais, je l’ai déjà dit, mais j’aime me répéter. – Et je suis objectif, dit Zuip). Siann est très belle, c’est entendu. Et lorsqu’elle chausse ses lunettes de vue, Zuip dit : – Tu feras une adorable grand-mère… Quel salaud, ce Zuip ! Et puis, plus tard, alors qu’ils regardent encore des photos : – J’aimerais te voir quand tu avais vingt ans. Tu devais être magnifique ! Quel salaud ! (bis) (oui : Zuip aime se répéter). * Musiques : Vincent Courtois Louis Sclavis Médéric Colligno Gianluigi Trovesi, Lucilla Galeazzi et L’Arpegiatta de Christina Pluhar, et Mario Beaco… Yo-yo Ma & Bobby Mc Ferrin & Aziza Mustafa Zadeh Elisabeth Schwarzkopf and Victoria de los Angeles, Camille & Natalie Dessay Marin Marais, le Dies Irae du Requiem de Mozart * Nourriture : Boudin noir, purée. Rôti de pintade farci à la strasbourgeoise (saucisses et choucroute), petits pois. Tranches de poitrine fumée grillées, posée sur : salade composée de : sucrine, tomate cœur de bœuf, tomates séchées à l’huile, lamelles de crottin de Chavignol, aneth, persil, jus de citron, huile d’olive, huile de noix, vinaigre de Xérès. Saucisses paysanne sur rattes du Touquet au four (huile d’olive, origan, gros gris sel de Guérande). Etc. * Boissons : Prosecco Sacchetto brut. Saumur « Saphir 2012» et « Chardonnay 2011» de chez Bouvet. Ze bulle Zéro pointé, cépage chenin, de Philippe et Françoise Gourdon. Cheverny blanc 2013 Domaine Maison. Côte de Provence du Domaine de La Moure. Beaujolais 2010 « L’Ancien » de Jean-Paul Brun. Jus de pamplemousse blanc. Jus de pamplemousse rosé. Jus d’orange. Rooibos du hammam du Palais des Thés. Café Lavazza pur arabica. * – J’ai envie de t’insulter ! crache Zuip à la gueule de Siann. * La flageller ! La flageller ! Il faut qu’elle soit flageller ! Et Zuip regrette. Etant donné les circonstances, ils n’ont pas pu : sortir, aller dans Paris, au sous-sol du BHV, rayon cordonnerie : acheter : quelques liens de cuir pour fabriquer : un martinet : afin que Siann, seule chez elle, puisse se flageller… * Bon… Siann a ses règles… Pardon… : – Bon sang ! Siann a ses règles ! Il faudra faire avec… Et se rougir les doigts… la queue… Le sang… Le sang… : (vidéo) : Siann : – Aaahhh !... Aaahhh ! Zuip dit : – On n’a pas idée d’enchaîner par-dessus une culotte… règle numéro un du BDSM … – Aaahhh !... Aaahhh ! gémit Siann… (car Zuip a enchaîné Siann : Trois tours de chaîne autour de son cou : 1 2 3 Zuip compte. Et la chaîne dans son dos descend Entoure la taille : enserrée serrée : elle en sera marquée Passe entre ses cuisses, dans sa chatte et entre ses fesses Si bien qu’ : Il suffit à Zuip de tirer la chaîne : Pour la faire gueuler. Et Zuip filme… avec son téléphone portable, Zuip filme… la pauvre Siann… allongée sur le canapé (blanc cuir trois places) Zuip filme la pauvre Siann qui souffre : (authentique dialogue) : – … tiens… elle a oublié qu’elle avait des… baguettes chinoises sur les seins… – N’appuie pas ! – … souffre… femme qui souffre… – Aaahhh !... Aaahhh ! gémit Siann… qui s’en mord la main de douleur… – Très belle !... Très belle femme qui souffre… ça j’le vends sur le net (Zuip parle de la vidéo) : les mecs, ils bandent ! les mecs, y m’paient en sperme ! (malgré la douleur, Siann arrive à en rire) – Il est con !... Et t’en fais quoi du sperme ? – Ah ! Bin, j’le vends à la banque du sperme ! J’me fais d’la tune !... – Aaahhh !... Siann crie ! Etc. * – Petit Zuip ! – Petite bite ! – Petit joueur ! – Et petit jouisseur ! (ils rient) * Bref… Ils s’amusent bien. Siann souffre… Et il leur arrive parfois de rire… Mais Siann souffre… * – Aaahhh !... Aaahhh !... – Femme en souffrance… – Aaahhh !... Siann crie. – Il faut que tu me les enlèves. Siann parle des deux baguettes chinoises, serrées à chaque extrémité par des élastiques et qui écrasent ses tétons… depuis de trop longues minutes… Siann souffre… – C’est bon, hein ?... dis… dis !... C’est atrocement bon !... dis : « c’est atrocement bon » ! – C’est atrocement bon ! dit Siann… parce que j’ai peur… – Salope !.. mais quelle salope !... quelle menteuse !... quelle chienne !... (ils rient) – … plus elle a mal, plus elle aime ça !... quand je vais les arracher d’un seul coup, tu vas voir ! – Non ! Tu peux pas faire ça !... j’ai peur !... * Un autre jour, un autre soir : Zuip pisse encore dans la bouche de Siann ! – Non ! Tu ne peux pas faire ça ! Tu ne le feras plus jamais ! Elle a osé le défier ! Résultat : Une large flaque sur le carrelage : cette fois-ci, Zuip ne s’est pas arrêté de pisser. Et Siann, quoiqu’assoiffée, n’a pas tout bu… * Cela n’a ni commencement ni fin. Les musiques se suivent. Les photos, les vidéos. Siann met sa main devant l’objectif. Zuip s’absente et revient. Il est là. (à suivre ?)
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