La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 17/08/21
"Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, si bien que le ventre et le devant des cuisses, avaient leurs part presque autant que les reins. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang." Histoire d'O Comment le châtiment de la flagellation a pris sa place dans l'alchimie érotique de la partition des plaisirs ? De la naissance de la littérature "flagellante", à la multiplicité des études réalisées, en s'intéressant à la psychiatrie des perversions, le goût du fouet s'est imposé comme objet spécifique, autonome de la sexualité dans l'univers du sadomasochisme. La ritualisation attachée à ce châtiment, célébrant la pureté des sensations extrêmes, la recherche de la cruauté et de la douleur, fait de lui, lors d'une séance S/M, dans cet art subtil et cérébral, une étape incontournable vers la jouissance sublimée. Défini comme un acte consistant à cingler le corps humain avec un fouet, des lanières, ou une tige souple, le terme revêt une multiplicité de significations, religieuse, érotique, et disciplinaire, s'inscrivant dans un champ sémantique où sa compréhension sexuelle est pourvue de symboles, dans l'évocation imaginaire, de la verge au flagelle. Elle fut tout d'abord dans la religion une incarnation, utilisée comme un moyen de faire pénitence, telle une expiation de ses propres péchés, parfois même ceux des autres, et se pratique encore, aujourd'hui couramment dans certains ordres religieux ultra-catholiques. Dans l'histoire, la flagellation précédant la crucifixion était un préliminaire à la condamnation. Le nombre de coups portés très élevé pouvait alors conduire ni plus, ni moins, à la mort du supplicié. Elle fut utilisée par nombre de civilisations, encore employée aujourd'hui dans certains pays, comme ceux appliquant entre autres, la loi islamique, la charia. Les Romains l'employaient comme châtiment corporel; la fustigation était une peine appliquée aux citoyens ou aux affranchis jugée moins infamante, que la la flagellation appliquée avec un fouet, le flagellum, réservée aux esclaves, dépourvus de citoyenneté, ayant commis des actes criminels, précédant dans la majorité des cas, la peine de mort. Aux XVIIIème et au XIXème siècles, la bastonnade réalisée avec une corde goudronnée, était une punition fréquemment pratiquée dans les bagnes avant l'abolition de l'esclavage. En France, la flagellation dans le système pénal fut prohibée en 1830, lors de l'avènement du Roi Louis Philippe. La dernière flagellation publique, fut administrée, sous Louis XVI, en 1786 à l'encontre de la Comtesse de La Motte, pour sa participation, dans l'affaire retentissante du collier de la Reine Marie-Antoinette. De nos jours, la flagellation demeure une sanction pénale encore appliquée en Arabie Saoudite et en Iran. En Littérature, l'œuvre du Marquis de Sade, dans "Justine ou les Malheurs de la vertu" (1791) décrit, comme nous l'avons évoqué, au cours d'un précédent article, de nombreuses scènes de flagellation. "Thérèse philosophe", ouvrage moins réputé, attribué à Jean-Baptiste Boyer d'Argens (1748) y fait largement écho. Sous l'Empire, l'actrice Émilie Contat, très courtisée à l'époque, vendait ses charmes en fouettant ses amants masochistes. Le sombre et intrigant, ministre de la Police de Napoléon, Joseph Fouché, fut le plus célèbre de ses clients, en fréquentant assidûment son boudoir. Dans la littérature érotique, ce sont les œuvres de Von Sacher-Masoch, et les études de Von Krafft-Ebing, fondateurs respectivement des concepts du "sadisme" et du "sadomasochisme" qui marquèrent les esprits. "La Vénus à la fourrure" de Leopold von Sacher-Masoch, parue en 1870 fait figure de roman novateur. les personnages Wanda et Séverin puisant dans la flagellation, leur source quotidienne de leurs jeux sexuels. La flagellation chez Pierre Mac Orlan (1882-1970),auteur prolixe d'ouvrages érotiques, est largement présente. Dans "La Comtesse au fouet, belle et terrible", "Les Aventures amoureuses de Mademoiselle de Sommerange", ou "Mademoiselle de Mustelle et ses amies." ,enfin dans "Roman pervers d'une fillette élégante et vicieuse", récit de l'apprentissage cruel dans l'asservissement sexuel d'une très jeune fille. De même, on retrouve des scènes de flagellation, chez Apollinaire dans "Les Onze Mille Verges" (1907) chez Pierre Louys en 1926,dans "Trois filles de leurs mère." Le roman "Histoire d'O" (1954), étudié précédemment, comporte de nombreuses scènes de flagellation. Plus proche de nous, la romancière, Eva Delambre, dans "Devenir Sienne" (2013),fait du fouet l'instrument de prédilection, de Maître Hantz. Il en est de même dans "Turbulences" (2019),son dernier ouvrage. "Les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un mois. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir." Le Lien, récit de Vanessa Duriès. (1993) Diversifiée dans sa ritualisation, sa gestuelle et son symbolisme, très présente dans l'univers du BDSM, la flagellation se définit aujourd'hui, comme une pratique autonome, de la recherche de la jouissance. "Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent mordre violemment les lèvres, jusqu'à ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche". Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/08/21
Marianne est assise sur son canapé. Elle porte une robe légère. Ses pieds sont posés sur le dos nu de Sylvain qui se tient à 4 pattes entre le canapé et la table basse. Il ne porte qu’un collier autour de son cou accroché à une laisse qui pendouille ainsi qu’une cagoule en cuir avec fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il porte également une cage de chasteté. Marianne consulte son téléphone tout en bougeant ses pieds, s’amusant à les glisser le long du corps de Sylvain. Elle le sait chatouilleux et s’amuse de ses réactions quand elle touche un point sensible. Il se contient comme il peut tandis qu’elle inspecte les surfaces de son corps en cherchant à le faire craquer. Il pousse des petits cris de panique et se contorsionne quand elle approche d’un point sensible, ce qui la pousse à explorer plus en détail cette région avec son pied. Sylvain se met à gémir sous les doigts de pied de Marianne qui arbore un sourire sadique. Sylvain tente de bouger son corps pour éviter les chatouilles en gémissant. - Non, non non dit-il - Comment ça « non » ? dit Marianne sévère mais amusée - C’est trop dur Maîtresse, répond-il Elle donne un coup de pied sur son flanc, ce qui le déstabilise et pousse son autre flanc contre la table basse. - Aie, dit Sylvain Elle pose vigoureusement son pied sur sa tête encagoulée et le pousse face contre sol. Il s’affale au sol et ne bouge plus. - Lève tes fesses, ordonne-t-elle en prenant sa cravache. Il lève doucement ses fesses tandis que son visage reste collé au sol sur le côté sous le pied de Marianne qui l’écrase de toutes ses forces. - Plus haut, ordonne-t-elle en donnant des petits coups de cravache sur ses cuisses. - Aie, aie, oui Maîtresse, dit-il en relevant ses fesses. - Bien, dit-elle en souriant. Elle fait passer la cravache sur ses fesses, puis sur son dos. Sa peau frémit au passage de la cravache. Il respire fort. Elle l’observe amusée. - Tu es bien ? lui demande-t-elle d’un ton sarcastique - Et bien ce n’est pas ma position préférée mais je m’en accommode Maîtresse, répond Sylvain Clac fait la cravache en contact de ses fesses. - Aie gémit-t-il - JE…dit Marianne en donnant un coup de cravache sur ses fesses. - JE…répète Sylvain - NE… clac - NE…. - GEMIRAI…clac ….PAS…clac…EN…clac…PRESENCE…clac…DE…clac….MA…clac…MAITRESSE…clac…ADOREE…clac - gémirai pas en présence de ma Maîtresse vénérée dit rapidement Sylvain. Elle donne un coup de cravache plus fort sur ses fesses. - AIEEEEEUUUU….Mais c’est pas juste Maîtresse, gémit Sylvain - Tu t’es trompé, dit Marianne en le fouettant à nouveau - AIEEUUUU, Non Maîtresse, j’ai répété ce que vous avez dit se défend Sylvain - Tu oses remettre en doute ce que je dis ? demande-t-elle - Euh….Non Maîtresse, murmure Sylvain Elle glisse sa main entre ses cuisses et attrape ses testicules. - Ouh la la, réagit Sylvain avec effroi. - Ca chatouille ? demande Marianne en souriant. - Oui…On peut dire ça Maîtresse, répond Sylvain. Elle serre un peu ses testicules dans sa main. - OH OH Pitié Maîtresse, crie-t-il - Alors tu disais ? Demande-t-elle avec douceur - Que je me suis trompé Maîtresse, répond Sylvain - Tu dis ça uniquement pour que je lâche tes boules, dit-elle - euh…oui Maîtresse, je l’avoue…J’ai peur pour mes boules, dit-il Marianne se met à rire. Puis elle s’arrête et regarde son visage collé au sol. Elle bouge son pied pour atteindre sa bouche. Sylvain tire la langue pour lécher la plante de son pied avec délicatesse. Elle le regarde en souriant puis elle prend la laisse et retire son pied. - Redresse toi. Mets toi à genoux, dit-elle en tirant sur la laisse. Sylvain se redresse et se met à genoux face à Marianne. Elle approche son visage du sien, pose ses main sur le cuir de sa cagoule, glisse ses doigts dans sa bouche. Sylvain lèche ses doigts et ne peut empêcher un râle de plaisir. Elle retire ses doigts. Ils se regardent dans les yeux. - J’ai dit « Maîtresse adorée » pas « Maîtresse vénérée », dit-elle Le regard de Sylvain montre qu’il réfléchit ce qui fait rire Marianne. - Oui vous avez raison Maîtresse, dit Sylvain. - Et ? demande-t-elle - Et bien, j’ai pris quelques libertés créatives Maîtresse, explique-t-il, car la vérité c’est que je vous vénère ce qui va bien au delà de l’adoration…. Elle l’écoute avec curiosité en tenant fermement la laisse. - Bien sûr Maîtresse c’est une interprétation personnelle et je suis prêt à argumenter… - En fait tu t’es trompé ? Demande-t-elle - ….Oui j’avoue Maîtresse, je me suis trompé, répond Sylvain - Et là tu tentes de te rattraper en me baratinant ? demande-t-elle - Euh…Oui Maîtresse c’est vrai, c’est du gros baratin. Elle sourit. - Tourne-toi, dit-elle en tirant sur la laisse. Il se retourne est s’assoit au sol entre les jambes de Marianne. Elle pose ses pieds sur ses cuisses et approche sa bouche de son oreille. - Sage..susurre-t-elle à son oreille Puis elle referme la fermeture au niveau de sa bouche et dépose ses lèvre sur le cuir de sa cagoule. Sylvain profite du moindre contact physique avec elle. Il reste silencieux. Puis elle prend la télécommande et allume la télévision. - Je vais regarder un épisode de la série que tu aimes tant, dit-elle avec sarcasme. - mmmmhmmhmmhmhm On peut voir l’effroi dans le regard de Sylvain. (à suivre)
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Par : le 13/08/21
Le vin et le chocolat, ça m’a fait du bien, un rayon de soleil dans une nuit noire. Il n’y a qu’une chose de positive dans cette affreuse punition que nous inflige mon beau père... c’est Ailla. Elle est belle et intelligente et elle sent bon. Je sais bien qu'elle ne doit pas être facile à vivre, mais c’est elle, le vrai rayon de soleil. Et puis, j’ai un plan. Pas un plan foireux comme le casse, un plan qui va nous sauver. Sainte Sara veille sur nous, pauvres Roms rejetés de partout et... — Samia ! — Oui, la Voix, mais j’ai pas le moral... Bon, j’ai Ailla, le vin, le chocolat... Un peu avant 22 h, les gens quittent le bar. On se rhabille et on s’en va aussi. Ailla sait où sont nos chambres... enfin, nos chambres, c’est une façon de parler. On dort dans le dortoir n° 8. Dans cette très grande pièce, il y a des rangées de minces matelas posés directement sur le sol et dans un coin, un tas de couvertures crasseuses. La salle de bains et les toilettes consistent en quelques seaux. Bonjour l’hygiène et les odeurs. Il y a heureusement une grande fenêtre ouverte, je vois même la lune... Ailla sait aussi qui est le chef de cette chambre. Madame Lóng dirige tout le groupe, mais chaque chambre a une dure à cuire qui fait la loi. Ailla est un génie, je crois l’avoir déjà dit. Elle va s’incliner devant une grosse Chinoise. Elle lui parle et la fait rire ! Cette fille est... — SAMIA ! — Oui, d’accord la Voix. Je disais qu’elle la fait rire et la Chinoise lui caresse même la hanche et les fesses. Elle ne va quand même pas passer la nuit là ? Non, heureusement, elle revient vers nous. Intriguée, je lui demande : — Et alors ? — Je te dirai ça demain, je suis crevée. Elle se couche sur un des matelas en ajoutant : — Va chercher des couvertures. — Il n’en reste que deux, les filles ne vont pas me laisser les prendre. — VAS-Y ! — Oui... On me donne quand même les deux dernières couvertures, mais c’est peu pour trois personnes. En me couchant, je demande à Ailla : — Je peux me mettre contre toi ? — Oouiii.... Maintenant, tais-toi. Julien se couche lui aussi derrière moi et il me colle. Je le laisse faire, pour une fois. *** Au milieu de la nuit, on est réveillés par la lumière du plafonnier et une voix qui crie un truc en chinois. En fait, ce n’est pas le milieu de la nuit, mais l’aube. Il doit être horriblement tôt. Je vais vite faire la file pour pouvoir m’asseoir sur un des seaux. C’est pressé. Ailla me dit : — Laisse tomber, on peut aller ailleurs. Comment elle sait ça ? Cette fille est... non, j’ai rien dit ! On sort dans une cour qui donne sur un champ, il y a plusieurs tranchées et des filles qui se soulagent, pantalons baissés. Et le papier pour s’essuyer ? Et la douche ? De là, on va manger du riz collant avec un peu de légumes et des bananes mi-jaunes, mi-noires. Ensuite, on doit toutes se mettre en rang dans une autre cour. Là, tous ceux qui ne sont pas en orange viennent faire leur marché. D’abord, les gens en civil. Un homme fait signe à Julien et il part avec lui.     Puis un couple vient nous observer. L’homme dit : — Elles sont spectaculaires ! La femme répond : — Oui, mais elles puent, il faudrait les laver et leur donner un uniforme propre. La faute à qui si on pue ? Le même homme dit à un des gardes qui nous surveille : — On prend ces deux-là. Le garde s’incline en disant : — Très bon choix, Monsieur. On suit le couple jusqu’à une salle de douche. La femme nous dit : — Lavez-vous soigneusement et vite ! Ailla et moi, on se savonne mutuellement. J’aimerais me frotter à elle, mais c’est impossible avec cette femme qui nous surveille. Quand on est lavées et rincées, elle nous donne une serviette propre pour nous essuyer. Ensuite, l’homme revient avec deux uniformes propres. On suit ce couple jusqu’à l’entrée de l’usine, la vraie, la grande. Derrière un comptoir, il y a deux filles en tailleur noir, sûrement des Thaïs, à nouveau. L’homme leur dit : — C’est elles qui vont rester à l’entrée pour accueillir les gens et prendre les bagages. Elles doivent vous obéir, sinon, il faut les punir. Charmant ! Moi qui pensais qu’on allait devoir coudre dans un atelier... Les filles parlent entre elles, puis l’une d’elles nous annonce : — Je vais montrer à ma collègue comment vous punir. Penchez-vous en avant. Je m’exclame : — Mais on n’a rien fait ! — Obéissez ! Bon, on se penche, la fille prend une canne en bambou et elle me donne cinq coups sur les fesses, heureusement sans me faire baisser mon pantalon. Ça fait quand même vraiment mal, ce bambou, je crie à chaque coup. L’autre fille s’exerce sur les fesses de Ailla qui reste stoïque et ne crie pas, évidemment... La fille qui m’a frappée me dit : — Quand des visiteurs arrivent en voiture, vous devez vite leur ouvrir la portière, les saluer et prendre leurs bagages. Chaque fois que vous ne le ferez pas bien, ce sera cinq coups sur les fesses. Compris ? Ailla et moi on répond : — Oui Mademoiselle. On passe l’heure suivante à courir quand il y a une voiture et à s’incliner devant ceux qui en sortent. On se prend chacune encore 5 coups de canne sur les fesses. Pourquoi ? La fille qui ne savait pas comment frapper nous le dit : — Ça, c’est sans raison. À part que c’est amusant. N’est-ce pas ? — Oui Mademoiselle Grrrrr ! Et puis... une grosse voiture arrive, je cours ouvrir la portière côté passager et il en sort... Satan ! Non, pire que ça, mon beau père ! Il est accompagné d’une jolie brune sexy. Il me demande : — Qu’est-ce que tu fais là, toi ? Tu devrais être dans un atelier aux ordres des ouvrières. Je vais m’en occuper. Ma Voix intérieure a beau me hurler "Ta gueule !", je réplique : — Je suis ici parce qu’un psychopathe m’y a envoyée. Il sourit... Aïe, aïe, aïe... Cette expression me rappelle de très mauvais souvenirs, qu’est-ce que j’ai fait ! Il me répond : — Tu n’as pas envie d’une semaine de vacances avec ton mari ? À la campagne, par exemple. Ça te plairait ? Cette fois-ci, je me tais. Sa copine lui demande : — C’est quoi cette folle, darling ? Darling (!!) répond : — Son mari et elle travaillent pour moi. Ils ont essayé de voler la paye des ouvriers, alors je les ai envoyés ici, plutôt qu’en prison. — Tu as trop bon cœur, darling. Bon cœur ! Oui, autant qu’un tigre affamé ! Quand il parle aux hôtesses, je l’entends dire : — On va venir chercher la brune, la rousse peut continuer à travailler. — Certainement, Monsieur. Profondes courbettes des deux hôtesses. On ne vient pas me chercher tout de suite. J’ai le temps d’expliquer mon plan à Ailla. Les hôtesses ont beau crier et me donner des coups sur les fesses, je ne sens rien ou presque. Je lui répète plusieurs fois de suite, en finissant par lui demander : — Tu as tout retenu ? — Tout, Samia. Un garde arrive. Il me passe un collier autour du cou. Plus exactement un épais cercle en fer avec une chaîne comme laisse. Ailla me dit : — Tiens bon ! — Ouiiii... Le garde tire sur ma chaîne. On sort de l’usine pour nous diriger vers une camionnette. Il me tire à l’intérieur du véhicule et attache ma chaîne à un anneau au plafond. Je suis obligée de rester debout. Julien est là, il me fait un signe de tête "Ça va ?", je réponds de la même façon "Impec !" Il y a deux Occidentales attachées de la même façon. On roule pendant une petite heure, debout, se cognant les unes aux autres dans les tournants. Par le pare-brise, je vois qu’on arrive devant une forêt de bambous géants. Lorsqu’on y pénètre, je m’aperçois que cette forêt n’est qu’une ceinture de bambous cachant une haute palissade, surmontée de fils de fer barbelés. C’est une prison ! Deux gardes ouvrent une grande porte et on se dirige vers de vieux bâtiments... Autour de nous, des champs s’étendent à perte de vue. Un peu partout, il y a des gens qui travaillent. Les femmes et les hommes sont nus, à part un collier en fer, des sandales et un très grand chapeau conique, sans doute en paille. Ce serait une scène... bucolique, s’il n’y avait des gardes qui encouragent les prisonniers en leur donnant des coups de cannes en bambous sur le dos, les fesses et les jambes ! Je remarque que les gardes ne sont pas Chinois, mais Occidentaux. C’est le cas du garde blond qui vient détacher nos chaînes et nous fait descendre de la camionnette. Julien vient près de moi. Le garde appelle une jeune Chinoise – nue, évidemment – pour lui dire : — Donne-leur de l’eau. La fille s’incline en répondant : — Oui, Maître. Ah, carrément ! La fille se plie encore en deux, puis va nous chercher deux bouteilles d’eau qu’elle dépose à nos pieds. Le garde nous jette : — Buvez. Beaucoup ! On lui obéit, ça fait du bien, surtout qu’il fait vraiment chaud. Quand tout le monde s’est désaltéré, le garde nous annonce : — Vous allez rencontrer vos Maîtres. Quand ils seront à dix pas, vous vous mettrez à genoux, puis vous poserez vos fronts sur le sol, mains croisées sur les reins. Faites-le ! On se met tous en position, le garde passe derrière nous et... — Aïe !! Il vient de me donner un coup de canne en bambou sur les fesses en disant : — Cambre-toi plus ! — Aïe !! Nouveau coup sur mes fesses ! — Mieux que ça, je veux voir ton trou du cul ! Les deux filles et Julien se prennent aussi deux ou trois coups de canne. Il nous dit : — Debout et vous avez bien compris, à dix pas. On attend au soleil... Je passe mes mains sur mes fesses et je sens les deux boursouflures laissées par la canne. Enfin, nos maîtres arrivent... Un gros Chinois d’une cinquantaine d’années et une adolescente fluette, également chinoise et... habillée. Ils sont suivis par deux filles nues qui tiennent chacune un parasol pour protéger les Maîtres du soleil. Deux autres filles portent un lourd fauteuil. Dès qu’ils sont à ce que j’estime être dix pas, je me mets à genoux, puis je pose le front sur le sol. Julien et les filles font la même chose. Je suis incapable de voir ce qui se passe, je dirais que l’homme s’est écroulé dans le fauteuil et la jeune fille fait le tour de notre petit groupe prosterné. Elle s’arrête derrière moi et elle me donne un petit coup de pied dans les fesses en disant : — Samia ? — Oui Maîtresse. Pas facile de parler avec la bouche presque contre le sol. Elle tâte mes fesses du bout du pied en disant : — Tu as un beau cul... À côté de toi, c’est ton mari ? — Oui Maîtresse. — Vous êtes aussi bien assortis qu’une grenouille et un lapin. Pourquoi l’as-tu épousé ? Je lui réponds la vérité : — Par intérêt, Maîtresse, son père est riche et il faisait tout ce que je voulais. A suivre. Un tout grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 11/08/21
« Lorsque nous monterons vers la pièce, sans un mot de notre part, tu te déshabilleras, lentement car je sais que tu porteras une jolie tenue. Nous te dirons ce que tu laisses et ce que tu enlèves. Tu te positionneras à genoux, face à nous, comme tu sais le faire. Et lorsque nous nous approcherons de toi, tu relèveras tes cheveux pour aider au passage de ton collier ».    Voici dont leurs mots avant notre échange, notre séance, notre moment… Mon moment de lâcher-prise.    Suivie de mes Dhoms, je monte ces marches une à une… en silence.  J’entre dans la pièce et me met à ma place, au milieu de celle-ci.  Une fois installés en face de moi, je commence à me déshabiller.  J’enlève cette petite robe en filet noire, elle est très sexy, j’aime la porter lorsque je me rends dans un club libertin.  Avec celle-ci je ne portais qu’un cache-sexe, des bas autoportants ainsi que mes bottes en cuir noires.  Ce que j’ai gardé.    Comme il me l’a été demandé, je me suis mise à genoux et j’ai relevé mes cheveux. Mon Dhom, m’a posé mon collier de notre séance et l’a cadenassé comme il a fait pour les attaches de mes chevilles et mes poignets.     Pendant ce temps ma Dom me regardait, assise dans le fauteuil face à moi, son beau sourire aux lèvres.  « Tu sais ce qu’on attend de toi ? » Je les regarde tous les deux, elle, avec ses magnifiques cuissardes, j’avais compris… Il y a un an, je refusais de le faire, il y a un an je ne comprenais pas, il y a un an je n’étais pas prête…  Toujours à genoux, les bras derrière le dos, je me penche et embrasse ses pieds, je veux me relever mon Dhom d’un ton sévère : « Tu peux mieux faire! » et j’ai recommencé, plus lentement et en m’attardant sur les deux pieds de ma Dom.    Au milieu de cette pièce, une chaine traverse le plafond, ils m’y attachent les bras et les cheveux à celles-ci et terminent par me relier les pieds ensemble.  Voilà…  Je suis leur…. Telle une soumise pour leurs Dhoms, prête à tous les sévices, prête à être malmenée pour leurs bons plaisirs… Pour mes bons plaisirs.    Ils connaissent mes doux travers et ne doutent pas de ce que j’aime.  Ils commencent doucement, des petits pincements, des coups de cravache, …  Mmm j’aime !   Ils continuent en me fouettant…  ensemble ! Elle derrière s’occupant de malmener mon dos et mes fesses avec ses accessoires et lui devant moi avec un martinet dans chaque main me fouettant les seins du bas vers le haut comme s’il jonglait avec des balles et que jamais il n’en perdait une !    Les claquements des martinets se font ressentir sur tout mon corps à chaque fois que ceux-ci atteignent ma peau, j’ai mal ! J’aime ça !   Douleur-plaisir, plaisir-douleur, mon cœur/corps sont partagés… Et puis, pourquoi choisir quand je peux avoir les deux !    Mon « SafeWord » est disponible à tout moment mais avec mes Dhoms, je n’en ai point besoin, ils me connaissent pour savoir quant arrêter. De toute façon, je ne l’utiliserai pas…     Ils me malmènent un peu, beaucoup, passionnant! Des gouttes perlent le long de mes joues, ils s’arrêtent, me prennent dans leurs bras…  Après quelques minutes des larmes, des rires, des sourires : « On continue ? ».  Moi : « oui » *sourire*  Et on recommence, encore et encore…  Pour en arriver au fouet…. le fouet ! Celui que je reconnais au son qu’il produit, à la douleur qu’il me procure et aux marques qu’il me laisse sur la peau, oui ce fouet… Je ne peux m’en passer et je ne veux m’en passer, ils le savent bien…    Le corps marqués et douloureux de plaisir, ils me détachent les bras et les cheveux.  « Mets-toi à genoux, penches toi en avant et lèves bien tes fesses ». J’obéis.  Sous le regard de ma Dom, mon Dhom prend la canne.  Ah là là cette canne, je m’en souviens lors de notre dernière séance… elle fait mal, très mal… mais je m’en sens capable.  Lors de nos derniers messages, je n’ai pas manqué d’être insolente avec mon Dhom, à se demander pour quelle raison… Ce, en quoi il m’a promis 35 coups de canne et où j’ai répondu : « Oui Monsieur ».  Le jour même, il en a rajouté 5 car j’ai manqué de politesse…  Me voilà dans cette position à attendre mes 40 coups de canne…  « Comptes les à voix haute ». « 1, 2, 3,….10 »… J’ai mal ! Il me demande : « On continue ? », je lui réponds : « Oui Monsieur ».  « 11, 12 , 13, 25 »… Je souffre, je sanglote mais c’est hors de question que je lâche! « On continue ? »   D’une petite voix : « Oui Monsieur, 26, 27, 28, 29, … » je pleure, la douleur est intense « 30, 31, …35 ».  Ils me relèvent pour enlever mes attachent et là je dis tout en reniflant : « Et les 5 coups de canne pour mon manque de politesse ?  « Ah tu les réclames en plus, mets-toi à genoux ! ».  J’obéis  « 36, 37, 38, 39, 40. » Je fonds en larme ! Le moment tant attendu, le voilà enfin ! MON lâcher-prise.   Me voilà couchée à terre, dans les bras bienveillants de mes Dhoms et moi en pleurs, en train de verser toutes les larmes de mon corps, mon corps malmené de plaisir. 
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Par : le 05/08/21
Un Week-end très spécial Chapitre 1 l’arrivée Ma Maitresse m’a envoyé chez une amie qui va « prendre soin de moi ». J’arrive donc chez Dame Anna qui me fait me déshabiller, mettre une cage de chasteté et 2 bracelets Elle me met ensuite mon collier que je lui présente à genoux et m’enfile un gode queue dans le cul. Vêtu d’un simple imperméable, nous descendons au parking où je monte dans sa voiture. Après un temps certain, Elle s’arrête sur un parking apparemment peu fréquenté, me demande de mettre un masque de chien, de sortir nu de la voiture et de me diriger pieds nus vers son coffre où je me retrouve prestement enfermé pour les derniers kilomètres qui nous séparent du but . Effectivement après quelques minutes , je sens que la voiture s’est engagé sur un chemin de terre et pui s s’arrête . Sans doute le parking et la libération de ce coffre où je commence à faire de la claustrophobie. Mais j’entends sa portière se refermer et ses pas s’éloigner. Le silence. Me voici seul, livré à moi-même et j’ai du mal à réprimer mon angoisse. Le noir et le manque d’air m’oppressent. De longues minutes s’écoulent. J’entends une voiture qui s’arrête à coté de nous, des voix, apparemment un couple , mais je me retiens de me manifester . A nouveau le silence. Puis le coffre s’ouvre : « sors de là , chien » Devant moi un homme qui est visiblement un employé de la maison ayant reçu des instructions très nettes quant au « bagage » à prendre dans le coffre . Dès que je suis debout, il m’attache les 2 mains dans le dos et fixe une laisse sur mon collier. Je dois le suivre, pieds nus sur un sol caillouteux avant de rejoindre une allée bétonnée et de rentrer dans un genre d’hotel. Là il m’attache par les mais dans le dos à un comptoir de sorte que je me présente face à l’entrée, dos au comptoir. Après m’avoir ordonné de ne pas bouger, il me met un bandeau sur les yeux. Je me laisse faire bien sur comme Dame Anna me l’a ordonné mais je me dis que nous ne devons pas être dans un endroit ordinaire. Un hotel ou ne maison d’hôte BDSM , peut être simplement libertine , ou peut-être les deux ?
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Par : le 02/08/21
Ça y est, Madame Lóng a déteint sur elle... Je m’assieds pour prendre ses pieds sur mes genoux. Ils sont beaux mais sales, puisqu’on marche pieds nus... Elle bâille à nouveau et dit : — D’abord, regardez bien ces écriteaux. Elle nous montre une série de messages "Danger ! Stop !" "You risk your life !" Je vois le genre, l’équivalent de "Achtung minen !" — Si on les dépasse, notre collier explose. Qu’ils disent... Ouch ! Je ne prendrai pas le risque. Elle continue : — On est en face de l’île d’Hainan. L’usine est un partenariat entre la Corée, la Chine et la France. Actuellement, le grand patron est Coréen. Il y a un endroit pour le personnel en civil et les ouvriers de 1re classe. On doit arriver à être acceptées à l’intérieur et gagner de l’argent pour Lóng. Si on sait s’y prendre, on pourra même se faire offrir des verres, mais la priorité, c’est rapporter de l’argent. — Julien peut venir aussi ? — Bien sûr, il va plaire aux mecs. Ah oui, cette nuit, on va remercier le garde, toi et moi. Madame Lóng est d’accord. J’ai toujours ses pieds entre les mains. Elle me dit en riant : — On dirait que ça ne te déplaît pas de me masser les pieds. Je rougis un peu. Elle ajoute : — Allez, on part. Nous marchons dans les couloirs et puis on arrive devant une porte au-dessus de laquelle il y a des idéogrammes et d’autres signes, peut-être en coréen. Des deux côtés de la porte, il y a des gardiens. Deux grands mecs impressionnants ! On leur fait le salut réglementaire à 45°. Je me cacherais bien derrière Ailla, et Julien sans doute derrière moi. Le plus impressionnant nous dit : — Le bar est interdit aux tenues orange ! Déguerpissez ! Ailla répond : — On vient vous distraire... Celui qui a un tatouage d’araignée dans le cou répond : — Alors vas-y, amuse-nous. Ailla prend un peu de recul et dit : — Messieurs, j’ai l’honneur de vous présenter la fille qui a le plus beau cul du monde, elle ! Elle me désigne. Moi ? C’est gentil, mais un tout petit exagéré. — Quant à moi, j’ai une chatte de feu. Et enfin, ce jeune homme... Elle montre Julien. — ... il a le plus petit sexe du monde. Vous voulez voir ces merveilles de la nature ? Elle raconte n’importe quoi, mais ça a l’air d’amuser les deux gardes. Un couple en civil a assisté à la scène depuis le couloir. L’homme s’approche et lui dit : — Oui, on veut voir. Les gardes s’inclinent devant lui. Ailla nous regarde en disant : — Chers partenaires, je compte jusqu’à trois. Un, deux... À trois, on se déshabille. Oui, même Julien a compris. Moi, je me retourne et je me cambre, tandis qu’Ailla exhibe fièrement la flamme roux-auburn qui garnit son pubis et Julien sa mini bite et ses mini couilles.  Un silence... et puis... l’homme se marre, les gardes aussi. Ouf ! Ailla les a fait rire avec rien. L’homme lui dit : — Si je comprends bien, tout ce qui est intéressant est sous vos vêtements. — Oui Monsieur, mais on a d’autres qualités. — Je n’en doute pas, vous pouvez entrer... mais sans vêtements. Oh ? Je regarde mieux l’homme. C’est un Chinois d’une quarantaine d’années, sa compagne doit être Thaïe et elle est toute jeune. Ailla lui répond : — Merci beaucoup, Monsieur. Elle retire son pantalon qui est déjà sur ses pieds, puis son tee-shirt... Julien et moi, on fait la même chose. Ailla lui demande : — On peut vous accompagner, Monsieur ? — Ça ne plairait pas à ma compagne, mais je vais vous faire entrer. Il donne un billet à chacun des gardes, qui se confondent en remerciements. On entre à leur suite. Ce n’est pas que je sois spécialement pudique, mais c’est quand même un tout petit peu embarrassant, entrer à poil dans un endroit public. Il y a de l’ambiance dans la salle, de la musique, des odeurs d’alcool, des gens qui dansent... Ça fait du bien. Il y a déjà des filles nues dans la salle et des gens qui flirtent. Dans le fond, on voit une porte avec des idéogrammes chinois et coréen sur un grand panneau. Avec un marqueur à alcool, quelqu’un a écrit en dessous "sex room". Je suppose qu’on peut flirter dans le bar, mais que pour baiser, il faut aller dans cette "sex room". Tout le monde nous regarde. Il faut dire qu’on est belles et exotiques, heureusement que nous avons au moins ça. Je remarque avec un soupçon de jalousie que beaucoup d’hommes regardent Julien. Ailla nous dit : — On prend chacun une rangée et on s’incline devant chaque table en disant « J’ai une langue douce et agile ». Oui mais oh, elle décide tout, même de ce qu’on doit dire ! Bah, ça ou autre chose.... On se sépare et je vois qu’un homme fait déjà signe à Julien. Qu’est-ce qu’ils ont tous avec Julien ? Je vois Ailla disparaître sous une table. Et moi ? Je suis une Rom, c’est ça ? On me rejette ici, comme on est rejetés dans tous les pays par lesquels on passe.... On se croirait en 1942, quand mon peuple était traqué. — Samia, pitié, va te proposer en souriant au lieu de te lamenter sur ton sort ! — Oui la Voix, tu as raison. Je m’ébroue pour chasser ces idées noires, ça fait bouger mes seins. Je vais à la première table devant moi. Il y a quatre ouvrières de première classe qui boivent un verre et discutent. Je m’incline en disant : — Pardon de vous interrompre. J’ai la langue douce et agile, essayez-moi... en échange d’un peu d’argent. Elles m’observent, puis parlent entre elles. La plus grosse me dit : — Nous quatre, 50 yuans (+/– 5 euros). Ouch ! Ça ne doit pas faire beaucoup, mais je n’ai pas le choix. Je remercie en m’inclinant. La plus jolie me dit : — Commence par moi. Dommage, j’aurais bien aimé finir par elle. Tandis que je me faufile sous la table, elle se soulève et baisse son pantalon en ajoutant : — Enlève-le. J’obéis et je le lui donne. Elle met un pied sur la cuisse de sa voisine et sa chatte est toute à moi. Elle ne s’attendait sans doute pas à se faire lécher, du coup, elle a oublié de se laver. Alors, qu’est-ce que je préfère : lécher une chatte qui sent les crustacés oubliés dehors par temps de canicule ou tirer une charrette de lin, sous le fouet ? J’embrasse sa chatte à pleine bouche, parce que le fouet, je vais essayer de l’éviter. De plus, si j’arrive à faire roucouler ces femmes, j’aurai d’autres amateurs. Je la lèche avec... ardeur. J’imagine que c’est Ailla, ça m’aide. J’enfonce ma langue dans son vagin, je lèche son anus, puis je me concentre sur le clito. Je l’embrasse, le suce, ma langue tourne autour de lui. La fille se cambre pour mieux s’offrir à mes lèvres et à ma langue. Je sens son plaisir arriver, tandis qu’elle me caresse la tête. Ça y est, elle bouge la jambe qui était sur sa voisine et serre mon visage entre ses cuisses. Elle mouille ma figure de son plaisir. D’accord, ça fait roman pour jeunes filles, mais c’est effectivement ce qui se passe...   Je passe aux suivantes, qui sont à peu près propres. La plus jolie est donc la moins soignée. Je ne vais pas décrire les trois autres chattes, d’autant que je les lèche de la même façon. Quand on est à genoux sous une table, le nez dans une chatte, il n’y a pas la place pour beaucoup de fantaisies... Enfin, la dernière mouille mon visage, comme vous savez. Je sors de sous la table. Mon royaume pour un linge humide et parfumé, afin de me rafraîchir la figure. La plus jolie me tend un billet de 50 yuans, je m’incline en disant : — Merci beaucoup de l’honneur que vous m’avez fait en me laissant vous lécher et merci pour cet argent. En pensée, j’ajoute "Et la prochaine fois, lave-toi, sale fille !" La plus grosse me demande : — Tu travailles pour qui ? — Madame Lóng, Madame. — Alors il va te falloir gagner nettement plus. Ah, ton amie t’appelle. — Merci, Mesdames. J’espère.... Ailla crie : — Rapplique, Samia ! Je la rejoins. Elle discute avec un homme en civil à côté du bar. Elle m’explique : — Ce Monsieur est le gérant de cet établissement, il nous propose de danser sur le bar. On aura la moitié des gains et ensuite, on trouvera plus facilement des clients. Elle appelle Julien qui sort de sous une table. Il a eu quatre clients. Sans doute des éjaculateurs tardifs ! Elle lui annonce : — On va danser sur le bar. — Oui, Ailla. Le gérant parle avec la barmaid, qui débarrasse un coin du bar. Ensuite, elle met une musique rapide, genre disco. On monte sur un tabouret puis sur le bar. Les spectateurs doivent avoir une vue imprenable sur notre intimité. Il y en a qui sifflent déjà. Cool... n’oubliez pas le fric, les gars. On danse en balançant nos seins et nos fesses et Julien sa minuscule bite. Nous le prenons entre nous. On danse comme ça un moment, puis on refait face aux spectateurs. Quelqu’un dit quelque chose en chinois, puis un autre en anglais : — Regardez le gamin, il bande. Les spectateurs sont ravis, ils crient, rigolent et se moquent de lui. Le pauvre... Non, je rigole. Enfin, pour autant qu’on puisse rigoler ici. Ailla me chuchote : — On va faire semblant d’avoir peur de sa bite. Pas évident, en dansant. On se recule en prenant un air effrayé devant son  tout petit engin, qui ne ferait pas de mal à une souris femelle, ou mâle, d’ailleurs. Les spectateurs sont ravis. L’un deux nous dit : — Il pourrait vous baiser une narine. Pas faux ! Ailla a une nouvelle idée : — On se tient par les épaules et on danse le french cancan. D’accord c’est tout à fait ridicule de faire ça sur une musique disco, mais ça marche, des petits billets atterrissent sur le bar. Il faut dire qu’ils voient en gros plan ma chatte épilée, la chatte rousse d’Ailla ainsi que le petit service 3 pièces de mon époux... La barmaid diminue le son. Ouf ! Nous sommes épuisés et en sueur. On salue en se tenant par la main, comme au théâtre. Le gérant nous dit : — Allez dans la salle, vous aurez des clients. La barmaid garde votre part de l’argent gagné. Eh ! C’est notre argent ! Mais bon, on la ferme, que peut-on faire d’autre ? Nous avons des clients, c’est vrai. Ailla et moi, on est appelées par des hommes et Julien... par des hommes aussi. Comme pour lécher une chatte, une fellation sous une table ne permet pas beaucoup de fantaisie. On suce, tout en masturbant et puis on avale et on reçoit des billets... J’en ai une petite poignée dans ma main moite. Ça n’a l’air de rien, mais danser, sucer... c’est fatigant. Je suis toute contente lorsque je vois Ailla et Julien discuter avec Madame Lóng. Je les rejoins pour donner le petit paquet de billets. Elle prend l’argent et s’en va sans un mot. Elle est redevenue muette. Ailla râle : — Quelle sale garce, on n’a même pas de quoi se payer un verre ! Je vais arranger ça. Elle s’approche du gérant pour l’embobiner. Elle lui montre les touffes de poils de ses aisselles en disant quelque chose qui le fait rire. Cette fille est un génie. Je ne comprends pas comment elle se retrouve ici. Le gérant lui caresse les fesses. Elle le fait rire à nouveau, puis revient pour nous annoncer : — On a droit à deux verres chacune et un truc à manger... Je ne peux pas m’empêcher de lui dire : — Ailla, tu es un génie ! — Si c’était vrai, je ne serais pas ici. Elle n’a pas tort... On va chercher des boissons au bar. La barmaid nous sert quatre verres en précisant que c’est du Nuomijin, un vin de riz. Ailla et Julien demandent des chips et moi, un bâton de chocolat. La barmaid nous donne la bouteille, ce qui fait six verres en tout. Elle nous dit : — Vous avez 15 minutes, on ferme à 10 h. On boit, on mange... Ça fait trop de bien d’avoir des choses délicieuses en bouche, plutôt que du sperme. À suivre. Un grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins.  Nos livres illustrés sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 26/07/21
On a l'air de vouloir les différents types de dom. Je ne peux pas faire çà car je suis moi même dom. Mais je peux au moins vous parler des différents type de pulsion que j'ai pue ressentir quand je pratiquai. 1- Le fétichisme : La femme et l'homme sont beaux. Ils sont beau physiquement. Leurs formes sont parfaites, courbes, riches et érotiques. Leurs façon de bouger aussi, leur système nerveux, leurs émotions, les idées pure et délirantes qui les traversent quand on les stimule assez. On peut avoir envie de les posséder, de les collectionner et de les sublimer par le bondage. Les cordes se marie très bien avec les formes féminines. Les contrastes que l'on peut faire entre leur fragilité et un environnement dure sont enivrants. Les hommes sont symétriques et carrés, vigoureux, en lignes ils ont l'air parfait et on peut projeter sur eux les fantasme de puissance les plus inavoué. On a parfois envie d'instrumentaliser la femme et l'homme, en faire une statue, une œuvre d'art qu'on aimerait immobiliser et conserver indéfiniment. 2- Le possessif : La plupart des hommes ont eu des manques maternels ou bien de grandes frustration sexuel à leur adolescence. Pour cause, il leur manquait une ressource, la femme. Qu'il y a t il de plus rassurant pour un homme que d'avoir un harem? De posséder des femmes? La garanti de ne plus jamais subir le manque. On a envie de prendre la soumise, de la marquer au fer rouge avec nos initiale, de lui faire comprendre qu'elle est à nous pour toujours. On veut lui préparer une chambre, un collier, un cadenas, une chaîne, des règles d'étiquettes pour qu'elle reste toujours à sa place soumise à nos cotés. On la veut tout le temps disponible, entièrement nue. On veut pouvoir l’attraper par les cheveu et la jeter sur la table avant de la prendre par devant ou par derrière sans somation. On veut l'attraper par la cheville quand elle dort ou lui mettre directement la bite dans la bouche. L'homme on veut l'habiller, le mettre dans l'uniforme de son empire, on veut qu'il soit prés a mourir pour ses ordres, on veut qu'il nous doivent tout et qu'il ne soit rien sans nous. 3-Le contrôle : N'avez vous jamais était blessé par une femme qui vous humilie ou un homme qui vous abandonne? Ha le contrôle, la garanti de ne plus être déçut. Un bracelet à chaque main et à chaque cheville, des cadenas de partout et une seul clé autour de votre coup. Votre soumis(e) qui vous supplie de l'autoriser à aller uriner et vous qui reflechissez en le(la) fixant pendant ses plaintes. Le(la) nourrir à la cuillère les bras attaché dans le dos. Le(la) pluger tout les soir avant de lui ouvrir la porte de sa cage pour qu'il(elle) rentre dormir dedans. Enfermé elle (il) attendra que vous veniez lui ouvrir pour l'en ressortir. La(le) voir tendre ses mains pour qu'on les enchaînes à chaque fois qu'on le demande. Baisser la tête et découvrir son cou pour qu'on y place le collier avant la promenade. Apporter la cravache avec les yeux brillants, effrayé et désolé avant de découvrir ses fesses pour être punie. Le(la voir) trembler et sursauter à chaque coup et exiger qu'il(elle) compte. L'écouter remercier à la fin. 4-Le sadisme : te voila nue et fière devant moi, les bras attaché, les jambes qui tremblent légèrement. La nuit va être très longue. j'aime entendre tes cries a chaque coup, j’aime que tu essais de m'échapper sans y parvenir et que je te fouette encore plus fort. A la fin, je vois le violet sur tes fesse et je me rend compte de l'amplitude des souffrance que je t'ai infligé. Je te voit tremblotant(e), et j'ai envie de te mettre des claques parce que ça m’excite encore plus. Cela ne fait que monter, je sais qu'il y a des limites à ce que tu peux endurer mais je n'arrive plus à les sentir, il m'en faut toujours plus et toujours plus cruel. 5-L'empathie : J'aime la pureté de tes émotions par ce que moi je ne peux pas être pure. J'aimes voir disparaître ton humanité quand je te retire ta dignité car je sent la mienne disparaître en même temps. Quand tu n'est plus qu'un animal lubrique dépassé par ses propres pulsions j'ai l'impression d'être un chien qui renifle le cul d'une chienne. Comme les choses peuvent être simple pour les soumis(e) et comme c'est agréable d'être soit même sans avoir a regarder derrière soit.
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Par : le 25/07/21
Sur ce site très SM, une annonce attire mon attention : « recherchons partenaires pour jeux d’adultes consentants». Rien de plus mais suffisant pour éveiller ma curiosité, suivait un numéro de téléphone de mobile suisse. Je décidais donc d’assouvir ma curiosité et j’appelais sans attendre ce fameux «Natel». Une voix d’homme me répond ; elle est douce et suave. Après les présentations d’usages, il m’explique qu’il est chargé par sa Maîtresse, qui est aussi son épouse, d’organiser un jeu où trois de leur amies Dominantes pourront tester et choisir leur soumis. L’homme me demande de l’appeler Allan à partir de maintenant. Je n’en saurais pas plus aujourd’hui C’est un concours version télé-réalité. Aucune sélection ne sera faite. Ils ont décidé de s’en remettre au hasard et les six premiers candidats seront retenues. Toutefois, je dois remplir tout un tableau des pratiques SM où je dois indiquer mon niveau sur une échelle de 0 à 5. Ce sera mon seul engagement écrit acceptant par avance les pratiques énumérées à l’exception de celle que je note «0». Impatient, je renvoie mon engagement par mail. En accusé de réception, Je reçois une date à partir de laquelle je devrais être à leur disposition deux semaines complètes. Le point de rendez-vous me sera seulement communiqué deux jours avant le début de la sélection. L’attente est longue et mon excitation grandit proportionnellement aux jours qui passent me rapprochant de cette aventure mystérieuse. J-2 arrive enfin et je reçois cette invitation tant attendue. Je dois me présenter à la porte d’un hangar à flan de colline à 16 heures, ni avant, ni après. Aucun retard ne sera toléré. Encore deux jours à patienter. Pas besoin de vous dire que mon excitation était à son comble A l’heure dite, je me présentait devant le hangar qui semblait s’enfoncer dans la colline. C’était de lourdes portes métalliques. L’une d’elle coulissa dans un grand fracas et j’entendis une voie féminine m’invitant sèchement à entrer. La porte se referma derrière moi et je me retrouvais dans la pénombre. C’était impressionnant, comme si je quittais ce monde. Pas le temps de gamberger. «Mets toi à poil et les mains contre le mur. Je suis Maîtresse Célia et j’ai demandé à Allan de préparer ce jeu mais maintenant tu m’obéis» Je m’empresse de poser mes vêtements mais sans doute pas assez vite car je reçois un cinglant coup de fouet sur mon dos. - Allez, presses-toi, on ne va passer la journée ici - Oui, Maîtresse Et je m’empresse de me mettre face au mur. Je sens quelqu’un s’approcher, me passer un bandeau sur les yeux et m’attacher un collier autour du cou. Je leur appartiens déjà et plus moyen de reculer. Ma curiosité prends le dessus et tout mon être accepte cette prise de pouvoir. Au collier est bien vite attachée une laisse. Elle se tend immédiatement et je suis mon hôte privé de tout repère. - STOP, ne bouge plus, on va t’examiner. Si tu n’est pas impeccable, tu repars immédiatement. Je dois présenter ma plante des pieds, mes mains. L’on me fait tourner sur moi-même et je sens une main saisir mes testicules et les tirer brutalement vers le sol. Je serre les dents mais aucun son ne sort de ma bouche. - A genoux, mains au sol, présente nous ton petit cul m’ordonne Maîtresse Célia Un gel coule sur ma raie et je sens des doigts fouiller mon intimité. Elle en profite pour me donner une forte claque sur mes fesses en ressortant ces doigts - Redresses toi. L’impression est correcte mais attention au moindre écart, c’est dehors. - Oui Maîtresse - Maintenant, on va t’expliquer comment cela va se passer. - Tu es le dernier arrivé, cinq autres soumis sont déjà en cage. - Ce soir, nous allons surtout tester ta motivation et ton envie de soumission. A partir de demain, trois Maîtresses auront la journée pour se faire une opinion en vous testant à leur bon vouloir. Tu ne connaîtras pas leur nom et tu devras les appeler Maîtresse tout simplement. Je ne connais pas leur envie donc ce sera surprise pour tout le monde. Nous sommes suffisamment bien équipé ici et tu pourras crier tant que tu veux, nous serons 30 mètres sous terre. Vos Maîtresses auront le choix de prendre 1 ou/et 2 soumis à la journée et cela durera 9 jours. Elle pourront vous accorder jusqu’à une journée de repos par tranche de trois jours mais dans ce cas vous restez au cachot et je ne sais pas si tu auras vraiment envie de te reposer ! - Allan va te conduire à ta cellule. Tu pourras retirer ton bandeau et tu m’attendras à genoux, front contre terre et mains au sol devant toi. Mon collier me tire en avant et l’on peut dire que je suis Allan aveuglément. Au fur et à mesure de notre progression, je sens de plus en plus de fraîcheur probablement le signe que nous nous enfonçons sous terre. J’entends une porte métallique grinçée et la tension de la laisse cesse. La porte s’est refermée. Allan me conseille de ne pas tarder à prendre ma position d’attente. Je me débarrasse de mon bandeau. La cellule est très sombre et il me faut quelques minutes avant que ma vue ne distingue des murs noirs équipés d’anneaux auxquels sont attachées des chaînes. Le sol est en pierre froide et je commence même à grelotter. Je ne découvrirais le mobilier qu’un peu plus tard car je me mets immédiatement dans la position souhaitée par Maîtresse Célia. Bien m’en pris car j’entends la porte s’ouvrir et les jambes de Maîtresse Célia viennent taper mes côtes sans ménagement. - Ce soir, je vais me faire plaisir avant de te laisser à mes amies. Allez bouge-toi un peu et vient nettoyer mes talons. - Oui, Maîtresses Je m’empresse de lui obéir et je lèche consciencieusement ces chaussures. Elles sont assez terreuse et j’ai du mal à leur rendre leur éclat mais Maîtresse Célia semble satisfaite. Elle me pousse avec ces talons pointus qui s’enfonce dans ma chair et je bascule sur le dos. S’étant déchaussé, elle m’enfonce ces orteils dans la bouche. Ils ont un goût de transpiration mais je fais attention à lui faciliter l’accès à ma bouche. Après ce traitement, elle me fera me lever et m’approcher du mur. Elle m’attache par mon collier à une des chaînes que j’avais repérée. En me poussant contre le mur, elle m’attache les bras et les chevilles bien écartés dans des anneaux métalliques. Le contact d’une cravache sous mes testicules ne laisse pas de doute pour la suite du scénario. Elle me détend habillement en me frôlant avec l’extrémité de cuir plat de la cravache. Je me détend et je reçois un grand coup sur les fesses qui me fait tressaillir. Les coups s’enchaîne sur mon dos. Variant les plaisirs, Maîtresse Célia me tapote les testicules. C’est douloureux. Je me tortille mais les anneaux d’attaches me maintiennent fermement à sa merci. Je capitule et demande pitié ce qui n’a aucun effet sur elle. La douleur devient terrible et je pends lamentablement sur les anneaux. Elle me détache et me retourne. Dos au mur et de nouveau prisonnier, la cravache me cingle le ventre, les tétons et le sexe. La douleur reprend toujours plus vive. Mes gémissements finissent par déclencher un emballement terrible de Maîtresse Célia. A ce moment mes certitudes vacillent. Ai-je bien fait d’accepter ce jeu ? De toute façon, il n’est plus possible de revenir en arrière alors autant faire bonne figure et satisfaire Maîtresse Célia. Le temps s’est arrêté et il m’est difficile de déterminer combien aura duré mon supplice. Maîtresse Célia me détache et je m’effondre sur le sol froid. Je n’ai pas vraiment le temps de récupérer qu’elle demande mon attention pour me donner ses instructions pour la nuit qui vient. Elle me montre une couche dans un coin de la cellule. - Tu dormiras là. Si Allan ne l’a pas oublié, tu dois avoir une couverture. Je remarque aussi 2 gamelles en aluminium. - Allan viendra te verser ton repas dans l’une d’elle. Pour la boisson, je vais te gâter Sur ce bon mot, Maîtresse Célia s’accroupit au-dessus de la gamelle, écarte son string et la remplit de son urine. - Voilà un nectar divin, ne le gâche pas. Si tu as encore soif, tu n’auras qu’à la remplir avec ta propre urine. A partir de maintenant ce sera ton unique boisson. - Sur ce je te laisse, demain réveil à 5 heures, petit déjeuner et toilettes. A son sourire narquois, je devine que ce ne sera pas de l’hôtellerie de luxe. A peine maîtresse Célia partit, Allan vient me verser une bouillie dans ma gamelle. - Bon appétit, sois en forme demain. Et sur ce, il s’éclipse discrètement et referme la lourde porte métallique à double tour. A suivre …. Ce texte n'est qu'une fiction sortie de mon imagination. Je ne rajouterais donc pas la phrase fatidique "Toutes ressemblances...etc"
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Par : le 24/07/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 663 - Séance XX Sujet : Je veux, je voudrais, je suis. Expression libre Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Dessin perso … Monsieur. Je dois vous remercier solennellement. Merci de me nourrir de vos mots. De m’exciter juste à vous lire 😍. Chaque jour, chaque nuit … Juste entendre votre voix Je me transporte. Vos mots sont sacrés. Quelques lignes. Vous me manquez, et je vis dans cette belle attente et ce désir permanent. Je suis souvent dans le nous. Dans la chambre d’hôtel à quatre pattes, à votre disposition, comme une simple pute. Une simple pute, Sí, mais votre pute, personnelle, à vous, et mon salaire est de vous satisfaire. Cela me conforte dans le plaisir d’être votre esclave. Je suis payée pour satisfaire les besoins du client, que vous choisissez pour moi. Vous pouvez décidez si, et à qui vous voulez me louer, me prêter, ou si vous souhaitez m’utiliser pour votre usage personnel. Monsieur, Je vis pour vous exclusivement, juste pour vous satisfaire. Mon âme et mon corps vous appartiennent. Et s’il le faut, rien ne pourrait me fait plus plaisir que de me prostituer pour vous. Un pas de plus dans le nous et une preuve de mon amour et du don de moi pour vous. Ma décision d’être votre esclave serai ainsi actée et gravée sur mon âme. Je désire être exploitée par, et pour vous. Je vous donnerai mes salaires à genoux et des larmes de bonheur couleront sur mes joues. Prêtez-moi si cela vous plait. Même si j’ai bien entendu que cela n’apporterait rien ni à mon éducation, ni à vos besoins. Que cela ne vous intéresse pas. Juste sachez que je suis à vous. Corps et âme. Je suis votre pute à vous Monsieur. C’est pour satisfaire vos caprices, envies, et besoins, que je suis là. Je ne compte plus. Dans ma vie, seul votre bien-être à de l’importance. C’est ce qui me rend heureuse, pleine et libre. Mes larmes dues à votre absence physique sont versées en silence ♥️. La souffrance va de pair avec l’amour et la dévotion. Je vis avec plaisir d’être un simple objet. J’adore profondément être votre table ou votre sac à sperme. La fierté de vous lécher les pieds devant vos invités. 💋 Je vous remercie de dilater mon vagin jusqu’à pouvoir mettre un autre sexe. J’attends avec impatience le moment que vous aurez choisi pour faire de même avec mon anus. J’aimerais être dilatée à votre taille. En permanence. Lors de cet usage de mes reins, je sentirais mieux votre domination et votre emprise sur mon âme. Même avec la satisfaction d’être transportée par le plaisir d’être usée, comme un objet, je vous promets de rester alerte et conserverai en toutes circonstances une posture élégante pour satisfaire vos yeux. Je veux être parfaite à vos yeux Monsieur 🙏 Et mon anus accueillera chaleureusement votre queue autant de temps et de fois que nécessaire. Ehhh oui, je serai à vous, esclave. J’aime être utilisée et usée par vous. Je vais dilater mon anus en votre absence pour faciliter votre entrée, quand l’envie vous prends. Le jour ou la nuit. Aux moindres claquements de vos doigts. Merci beaucoup de me réveiller la nuit et de me rappeler ma condition d’esclave. Je vais caresser mon clito et fouiller mon vagin à chaque fois que je vous lis ou que je vous écris. J’attendrai vos gifles, de fortes gifles, qui me déstabilisent et qui me font voler en quelques secondes. Monsieur, je rêve de recevoir à nouveau des giclées de sperme sur mon visage. Quand l’envie vous prend, tirez-moi fort sur les cheveux, lâchez-vous. Ma bouche attend être utilisée comme mon vagin et mon anus. J’adore être asphyxiée et respirer juste à travers vous. J’adore toucher mon cou et sentir votre verge à l’intérieur de ma gorge avec ma main. Au fond. J’ai besoin d’apprendre à vous faire des meilleures pipes. Je veux vous satisfaire mieux, je veux souffrir. Je veux les nausées, les bruits du viol, ma gorge de plus en plus profonde, les larmes et la salive 👅. A peine quelques secondes de répit et je veux que mon apprentissage recommence, que vous enfoncez votre sexe le plus profond possible, que je ne respire plus que par vous monsieur. Vous pourrez sortir de ma bouche. Je serais haletante à genoux 🧎‍♀️ Vous pourrez coller fortement votre beau sexe en érection sur mon visage. J’adore quand vous me frappez le visage lors des séances de gorge profonde. Mes joues attendent des coups de queue et des gifles. Votre sexe rentre à nouveau au fond de ma gorge, pas de pitié, je suis juste un orifice. Je veux être un orifice dénué d’humanité. Juste un trou. Ça sera long et ça sera bon ! Je veux, avec le temps, prendre pleine conscience de n’être qu’un objet. Votre objet. Que vous vous serviez de moi exclusivement pour votre satisfaction me rend heureuse. Savoir que je serai fouettée chaque jour de mon éducation est une fierté. Comme O, dans les histoires d’O. Je suis heureuse d’être votre soumise baisée et dilatée. Mes fesses attendent d’être roses ou rouges. J’aime le bruit de la cravache qui me marque, et surtout le picotement dans les fesses avec votre main, votre force et votre vitesse. Voir mon envie de me faire fesser, encore et encore, fait briller vos yeux. J’adore vos yeux qui brillent. J’aime être ce morceau de chair sur lequel vous voulez vous lâcher 😌 Je suis heureuse d’être votre soumise, baisée par tous les orifices et bien dilatée pour les besoins de mon Maître. Plus je me donne à vous, plus vous êtes content de moi. Plus je me donne à vous, plus je suis contente de moi. Heureuse. Mon seul devoir est de vous satisfaire Monsieur. Je suis nue en ce moment, juste avec mon collier et des pinces sur mes seins. J’ai besoin de ressentir de la douleur pour vous appartenir encore plus. Merci beaucoup de marquer mes jambes, mes fesses et mon dos. J’aimerais tellement porter une morsure sur mes seins. 🤩 La marque de vos dents sur mes seins blancs et turgescents. Puis m’exposer au soleil, en public, marquée de vous. Me sentir utilisée sans retenue me donne un sentiment d’accomplissement vital. Je suis très bien 🤩 Ma fonction principale le matin est de vous sucer, vous branler, jusqu’à vous réveiller. Lécher mes doigts pleins de sperme, vous lécher l’entrejambe et l’anus. Vous accompagnez aux toilettes avec votre bijou dans ma main. Vous sucer pour enlever la dernière goutte de pipi. Préparez votre café et vous le servir. Rester à vos pieds le temps de votre petit déjeuner. Habillée comme une soubrette, une servante. Je veux que vous aimiez quand je suis en servante, avec mes seins à l’extérieur, à disposition. Vous les pincerez à chaque fois que mes tétons ne pointeront pas assez. Quand ils ne sont pas à votre goût vous verserez une goutte de café chaud. Brûlure et silence. C’est mon éducation 😌 J’adore les bougies…vous le savez. Je veux être une bonne soumise. Je dois par tous les moyens, en mettant notamment mes trous à disposition, et plus généralement par mon obéissance absolue et mon apprentissage, vous permettre de « lâcher prise ». Parfois, je dormirai, pénétrée par vous, vôtre main sur mon sexe, mon clito bien gorge de sang, avec l’interdiction de bouger ou d’orgasmer. Mais souvent, je dormirai simplement contre vos pieds. Vous, assis sur le fauteuil du maitre. Pendant que vous dormez, les lèvres de ma chatte, ornées de leurs anneaux, seront fermées avec le cadenas portant vos initiales. Je veux voir votre plaisir, me sachant chienne et soumise à côté de vous, à vos pieds. Très envie d’orgasmer et frustrée par cette ceinture de chasteté, le cadenas ou votre main. Vos doigts me fouilleront de temps en temps, tard. Une grande satisfaction vous envahira… très lubrifiée votre soumise ! excitée et frustrée…pour vous et par vous. Mon Maître sera content de lui 💋. Tard dans la nuit, quand votre respiration changera et que vos corps et cerveau se répareront, je pourrais me frotter contre votre genou, votre jambe, vos poils. Lécher vos pieds et me masturber avec votre sexe dans ma bouche. Et pleurer, pleurer devant la beauté du moment 💓💓💓💓 Orgasmer sans votre permission m’est totalement interdit, estrictamente. Je suis votre esclave. Cette règle s’applique que vous dormiez ou non. Pas d’exception. Pour obtenir votre permission, vous devez être fier de moi. Et sentir aussi que je suis fière de moi. Ma prestation doit-être exceptionnellement satisfaisante. Pour ce faire, je veux et je dois être sûre et certaine d'avoir parfaitement rempli mon rôle d’aspirateur à bite et de sac de sperme. Que vos couilles soient parfaitement et totalement vidées. Lorsque vous serez épuisé de m’avoir usé, alors que vous vous endormez, je n’avalerai pas votre dernière éjaculation. Je la déposerai en grande partie près de votre gland, sur votre bas-ventre. En petite partie sur vos couilles, pour qu’elle coule sur votre anus. Comme vous m’en avez donner le droit, je profiterai de votre demi sommeil pour me faire plaisir… ;-) ♥️ 💓💓 Je frotterai mon visage sur vos couilles pleines de sperme et vous nettoierai l’anus avec ma langue comme une chienne assoiffée lèche sa gamelle. Je viendrai près de vous, sur le côté, en chien de fusil, et enlacerai votre jambe en posant ma chatte sur votre pied. Je vous sucerai lentement pour accompagner votre sommeil, la tête posée sur votre estomac. A chaque va et viens, je prendrai bien soin de prendre toute votre bite en bouche, jusqu’au fond de ma gorge. Dans le même temps, je frotterai mon visage contre votre ventre, pour qu’il soit bien sali de votre sperme….♥️♥️♥️ Je voudrais qu’il sèche vite et que mon visage reste collé à votre peau pour l’éternité 💓♥️💓 Ma bouche remplie et le visage collant, je pourrais me frotter sur le bas de votre jambe comme une chienne en chaleur mais avec la contrainte du cadenas. Alors, si mes trous sont restés parfaitement dilatés et à disposition, si vos couilles sont bien vides et moi bien usée, remplie et salie de votre sperme, je me donnerai entièrement jusqu'à ce que les mots esclave, pute, salope et chienne qualifie exactement mon comportement. Je voudrais que ce soit les conditions minimums pour déroger à la règle. Que je sois une bonne esclave, pute, salope et chienne. Que cela se voit et se sente. Si vous jugez ma prestation satisfaisante, alors votre main me tendra peut-être la clé. Je me sentirai au paroxysme du bonheur. Je me branlerai sur votre pied. De toute façon, me maintenir dans la frustration et aussi une récompense. 😍 Mais il me faudra être sûre vous dormiez profondément pour ne pas vous déranger. Et être rapide, car si je suis trop longue, je devrai d’abord vous vider à nouveau. Entretenir les couilles de mon Maitre bien vidées et une priorité bien plus importante que mon orgasme. Jouir et pleurer devant cette beauté ne m’est permis que la bouche pleine. Votre queue profondément en bouche, au chaud et protégée pendant votre sommeil. Si vous saviez à quel point j’attends ce moment. Pas pour jouir de la chatte, après deux ans d’éducation cela ne représente plus rien. Parce qu’avoir permission de jouir et le geste que j’attends. Il atteste de votre reconnaissance. Faire jouir mon âme. Vous me voyez enfin comme je veux être vue par vous, avec la fierté dans votre regard. Votre esclave, votre pute, votre salope et votre chienne. Votre objet. Votre soumise. Ce sera bon…♥️♥️♥️ Et là, l’orgasme de l’âme me terrassera, comme à chaque fois. Pendant votre sommeil, après mon orgasme, je vous nettoierai avec ma langue pour ne rien gaspiller et me nourrir. Je me reposerai uniquement le temps nécessaire pour être réutilisable. Mon repos terminé, je m’appliquerai immédiatement au respect de la règle d’entretenir les couilles de mon maitre bien vides. Donc dès que possible, je vous sucerai et branlerai à nouveau. Ma pulsion d’être « esclave pipi » est peut-être prématurée. Mais il me semble que de vous laisser vous occupez de ses basses et sales œuvres, est plutôt du ressort d’une esclave, donc à moi à le faire. Merci de me confier cette mission Monsieur, s’il vous plait, Je me sens assez mature pour m’en montrer digne. Monsieur, Je veux vous remercier chaque jour de ma vie, de pouvoir vivre dans le bonheur de vous servir. Grâce à vous je « suis » Putain « Je suis ! » Enfin Soumise Mia O. 😌 ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️
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Par : le 21/07/21
Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard et déjà, le désir parcourait son corps. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/07/21
Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait. Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse. Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ? Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime." Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac. Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse. Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle. Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait. Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait. Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée. Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire, le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle. Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels. Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée. Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou. Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe. Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur. Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance. Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet. Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 07/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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Par : le 24/06/21
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est encore noire, avant l'aube, Juliette réapparut. Rares sont les soirées où elle n'éprouve pas l'irrésistible plaisir de maltraiter et d'user de sa jeune soumise. Elle alluma la lumière de la salle de bains, en prenant soin de laisser la porte ouverte, faisant ainsi un halo de lumière sur le milieu du lit, à l'endroit où le corps de Charlotte, nu et attaché, déformait les draps de soie, recroquevillé et contrainte. Comme elle était couchée sur la droite, le visage vers le mur, les genoux un peu remontés, elle offrait au regard sa croupe hâlée sur la soie grise. Tremblante de froid, elle avait attendu sans mot dire. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et fouettée afin qu'elle fut prête. Juliette eut soin à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui maintenant en pleine lumière pour qu'elle pût la voir en détail. Sur son ventre lisse, le tatouage portait en toutes lettres qu'elle était sa propriété. Charlotte gémit plus d'une heure sous les caresses de sa maîtresse. Enfin les seins dressés, elle commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Toute la résistance et le timide refus de son appréhension avaient disparu. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses dents, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un seul coup, moite de plaisir. Juliette était aussi attirante et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait, qu'inlassable dans ses exigences. Ni le plaisir qu'elle avait pu prendre la nuit ni le choix qu'elle avait fait la veille n'influaient sur la décision. Charlotte serait offerte, dans les pires conditions auxquelles elle serait confrontée. Elle ne survivrait que pour elle. Qu'à être offerte elle dût gagner en dignité l'étonnait; c'est pourtant de dignité qu'il s'agissait; sa bouche refermée sur des sexes anonymes, les pointes de ses seins que des doigts constamment maltraitaient, et entre ses reins écartés le chemin le plus étroit, sentier commun labouré à plaisir, elle en était éclairée comme par le dedans. Se soumettre, désobéir, endurer, alternances délicates auxquelles elle ne voulait plus se dérober. L'abnégation d'elle même qu'elle conservait constamment présente. Elle avait compris qu'il ne s'agissait plus seulement d'amour mais d'obéissance. Le lendemain, elle fut mise à rude épreuve. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Juliette expliqua seulement aux hôtes invisibles que sa bouche, ses seins et particulièrement les orifices de son corps pouvaient être fouillés à leur gré. Des hommes s'approchèrent d'elle, brusquement des dizaines de doigts commencèrent à s'insinuer en elle, à la palper, à la dilater. Juliette interrompit la séance qui lui parut trop douce. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Dans cette position infamante, elle attendit quelques minutes avant que des sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer. Sans trahir un quelconque sentiment, elle était ravalée au rang d'objet, muet et servile. Elle fut fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée. Elle était devenue une chose offerte et béante. Puis elle fut ramenée dans le salon où les hommes attendaient déjà son retour. Les yeux de nouveau bandés, nue droite et fière, Juliette la guida vers le cercle d'hommes excités et ce fut elle qui s'agenouilla pour prendre leur verge dans sa bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur son visage ou sa poitrine offerte. Souillée de sperme et de sueur, on l'envoya se laver. La salle de bain était vaste et claire. Juliette la rejoignit pour assister à sa toilette intime. Elle était accompagnée de deux hommes. Avant qu'elle ait eu le temps de se doucher, ils urinèrent sur elle en l'éclaboussant chacun d'un jet dru et tiède. Elle tourna sur elle-même afin que chaque parcelle de son corps reçoive leur ondée. L'excitation qui en résulta donna l'envie d'offrir le spectacle de sa soumission. Elle fut contrainte de se mettre à quatre pattes et de s'exhiber sans aucune pudeur, accroissant ainsi l'exposition des orifices les plus intimes de son corps. Après un minutieux nettoyage, sa maîtresse lui ordonna de s'habiller pour aller dîner. Elles allèrent dans un club échangiste pour achever la soirée. Outre son harnais et une ceinture de chasteté, Charlotte portait un bustier en cuir, des bas noirs et une veste en soie de la même couleur laissant entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse donnait à sa tenue un bel effet. Juliette l'amena en laisse jusqu'au bar. Elle la fit monter sur une table haute où lui fût administrée une violente fessée qui empourpra ses reins; un esclave mâle fut requis pour lécher et apaiser sa croupe; on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche de façon à ce qu'elle soit offerte; un homme lui baisa la bouche, sa gorge lui servant d'écrin; excité par le spectacle de la fellation, un autre décida brusquement d'utiliser ses reins. Il s'enfonça en elle sans préliminaire pour faire mal. Comment éprouver la satisfaction insane d'offrir son corps ? La seule raison d'être de Charlotte est de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne rien regretter, pour ne susciter aucun reproche et par fierté et par orgueil. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/06/21
Le jour J était enfin arrivé, Paris gare de Lyon destination Montpellier. Après environ 3h30 de Tgv, j'arrivais dans cette très jolie ville du midi de la France. J'accoste un taxi et l'invite à me transporter à l'Hotel. J'ai comme le sentiment qu'il connait l'établissement et m'adresse un petit sourire moqueur. Je n'ose aller à l'accueil.... Un homme, la quarenteine me reçoit - Bonjour, votre nom s'il vous plait ? - Yann - Entendu, réservation 3 semaines, c'est votre première fois ! Veuillez déposer votre valise derrière le comptoir, durant votre séjour elle ne vous servira à rien. Déshabillez vous complètement. Mon coeur bat à cent à l'heure, je suis à peine arrivé, j'ai à peine prononcé trois mots, je suis déjà sous l'emprise de cet homme. Sans résistance, je retire mes vêtements. Sans pouvoir me contrôler, sans savoir pourquoi, une légère érection me comble de honte. - Bon on va pouvoir te poser ta cage,..., ici tu n'auras pas le droit de bander sans autorisation, mais bon, à présent j'ai l'habitude de m'occuper des petits branleurs de ton espèce. Sans avoir le temps de souffler, il me pose des menottes dans le dos, m'attrape par les couilles, m'attire dans une petite pièce voisine. Je reçois une gifle, ma bitte est plongée dans une espèce de saladier rempli d'eau gelée avec glaçons. Je débande très rapidement et mon sexe reprend la taille de celle qu'il avait quand j'étais petit enfant. Cet homme, m'informe être Leon, le concepteur de ma cage de chasteté.. Cette dernière m'est rapidement imposé et épouse parfaitement les courbes de mon pénis réduit au repos. Je n'ai jamais autant ressenti une honte pareille de ma vie. - Je termine quelques derniers réglages et te voilà encagé pour trois semaines minimum. Nous allons à présent rejoindre le bureau de la Directrice qui est aussi mon épouse. Suis moi. Entièrement nu, à peine arrivé depuis moins de 30 minutes, les mains attachés dans le dos, je suis celui qui m'a posé à l'instant une cage de chasteté. Après avoir traversé plusieurs couloirs, Leon frappe à une porte. - Entrez indiqua une voie féminine. - Ahhhh, voilà notre petit nouveau, ...., yann, c'est bien cela ? - oui en effet, je suis Yann de Paris et ... - Tout d'abord, jeune homme, ici, avec moi ce sera 'Madame' et tu ne parleras qu'après autorisation. Mort de honte, à poil devant cette parfaite inconnue, en cage, les mains dans le dos, je ne pouvais que répondre. - .... Oui Madame - Parfait !!!! Je suis Emmanuelle, l'épouse de Léon, j'ai hérité de cet établissement qui malheureusement a failli faire faillite. Un jour, avec mon époux nous avons décidé du concept de cet hôtel unique au monde. Ici les touristes masculins sont dans l'obligation de porter une cage de chasteté qui contrôle leurs sexualité et tout au long de votre séjour la nudité y est obligatoire. Certains, comme toi, viennent seules. D'autres passent leurs vacances avec leurs épouses mais doivent suivre le même règlement. Il existe trois types d'hommes ici. Le touriste, alors la seule règle infligée est la nudité et le port de la cage. Les soumis, en plus de devoir vivre nus et de la cage, ils doivent également m'obéir en tout. Et les esclaves, ces derniers sont alors assujettis à toutes les femmes qui résident à l'hôtel.Je t'invite à m'indiquer dès à présent à quelle caste tu souhaites appartenir. Ses yeux sont rivés sur moi et attendent une réponse. Je ne sais quoi dire, je n'ai jamais pensé à tout cela. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que mon sexe veut sortir de cette cage avec une naissante érection. J'espère que cette femme ne va pas s'en apercevoir. J'ai, il est vrai, toujours fantasmé sur la soumission. Aucun son ne sort de ma bouche. - Alors que décides tu ? On va pas y passer la nuit. Elle se saisit de mes testicules. - Répond de suite ou je t'arrache les couilles. - Arghhhhhhh, ....., C'est alors, sans même avoir réfléchis, que je lui avoue accepter être en plus d'être un touriste, devenir aussi son soumis. - Très bien, ainsi tu resteras parmi nous durant les trois prochaines semaines, mon époux a confisqué jusque là ta valise devenue inutile, tu devras vivre nu, en cage et surtout m'obéir durant ton séjour. Puisque tu as choisis la soumission, en plus de la cage, mon époux va te poser un collier. C'est ainsi, tenu en laisse, que Monsieur Leon m'emmena à ma chambre. Cette dernière était très simple. aucune armoire, je pus observer la présence de nombreux mousquetons aux murs. - Puisque tu as choisis la soumission, lorsque tu seras ici seul, afin d'être sur que tu ne puisses pas utiliser tes mains, la nuit, tu seras attaché. Pour tes besoins, je t'emmènerais aux toilettes. Tu prendras tes repas dans la salle réception et toujours accompagné d'une tiers personne. Il commence à se faire tard, je vais te préparer pour la nuit. En plus de Madame, tu me dois aussi entière obéissance. Je n'en croyais pas mes oreilles, en si peu de temps, j'étais déjà dressé. Monsieur Leon m'emmena aux toilettes et la mort dans l'âme je dus me soulager devant lui. Il m'emmena à la douche et cette fois j'eu les mains attachés sous la pomme. C'était la première fois qu'un homme s'occupa de ma toilette au moyen d'un gant savonneux. - Ici, ceux qui ont fait le choix d'être soumis, doivent également passer leurs nuits avec un plug. Pour ta première fois, je vais t'en placer le plus petit. Son doigt me farcit alors mon anus d'un gel, puis m'introduisa le soit disant plus petit plug de sa collection. Je fus alors couché, les mains attachés à la tête de mon lit, en cage de chasteté avec un plug dans mon cul jusque là encore vierge. -Dort bien, je viendrai te chercher à 8h pour ton petit déjeuner, bonne nuit yann !
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Par : le 24/06/21
Quel doux plaisir et quel satisfaction divine de voir une soumise naitre et prendre un collier. Elle si forte et indépendante de nature, une battante. Elle femme fatale, à en damner, faisant tourner bien des tète à tournoyer sa jupe immaculée sous les premiers rayons de soleil rendant fier son maitre. Qui aurai cru que cette chienne lubrique aurait pu accepter mon collier il y a quelques temps désormais ? Personne et pourtant ce fut une évidence lorsque nos regards se croisèrent. Une étreinte intense s’en suivit ou le maitre senti la femme forte qu’elle était glisser et renaitre en tant que chienne lubrique, dévouée, corps et âme au fur et à mesure des coups de rein qui la pilonnais, que les cris de plaisirs résonnèrent, que cette ceinture lui cinglait la croupe. Une croupe s’offrant encore plus à chacune de ces caresses de cuir. A ce moment-là elle comme moi savions que le contrat était scellé. Et que bien des plaisirs aller découler de son abandon, de sa renaissance.
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Par : le 20/06/21
Madame, que je n'ai toujours pas vue, mais dont je sais maintenant son pouvoir, ainsi les mains attachées dans le dos et reliées au collier, me fait tourner sur moi même, dans un sens, puis dans l'autre. Jusque là j'avais encore quelques repères, sur la configuration de la pièce ou nous sommes, mais maintenant, je ne sais plus. La peur me gagne, et l'excitation que je ressentait a disparue, comme mon érection, Soudain au travers du bandeau, je perçois des éclairs, on me photographie, sous tous les angles. Une main a saisie mon sexe flasque, honteux, pendant que les éclairs continuent, et retrousse le prépuce, un doigt passant sur le gland sans ménagement, douloureusement. les éclairs cessent, mais maintenant ce sont les deux mains qui s'occupent de mon sexe. Je sent qu'un lien se serre à sa racine, et je pense furtivement que j'ai eu une bonne idée de me faire épiler avant de venir. Les liens séparent mes bourses, et elles aussi, se retrouvent attachées. une traction sur ces liens m'oblige à avancer, me dirige, mon cerveau est focalisé sur mon sexe, douloureusement emprisonné, quand mes jambes heurtent ce que j'imagine être la table basse.La traction se relâche. Des doigts ouvrent ma bouche, remplacés rapidement par ce que j'imagine être un gode, qui commence un va et viens. Il va de plus en plus profondément, une main sur ma tete m'empochant de m'y soustraire. je bave, et j'ai des hauts le coeur a chaque fois qu'il touche le fond de ma gorge "bientôt, ce sera un vrais sexe d'homme que tu vas sucer".
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Par : le 20/06/21
La grosse Madame Wang nous dit : — Encore des Occidentales ! Pourquoi vous ne restez pas chez vous ? On a besoin ni de putes, ni de voleuses. Je lui dirais bien qu’on ne demanderait pas mieux de repartir chez nous, mais je n’ose pas. Les autres filles continuent à coudre à la machine ou à la main. Madame Wang nous donne un morceau de tissu assez rigide, une grosse aiguille et du fil épais en disant : — Brodez-moi un A. Moi, je sais coudre. Je suis une Rom et il m’est souvent arrivé de devoir recoudre des vêtements déchirés et même de ravauder les chaussettes de mon père avec un gros œuf en bois, comme dans l’ancien temps. Inge a l’air de se débrouiller aussi, par contre Giulia n’a jamais tenu une aiguille. Avant, il était le comte Julien de Préville et Monsieur avait des domestiques. Toutefois, broder un A ce n’est pas si facile que ça, quand on ne l’a jamais fait et mon A ne ressemble pas à grand-chose. Inge, c’est un peu mieux. En revanche, Giulia est nulle. On reçoit tous les trois des coups de baguette en bambou sur la paume des mains, c'est vraiment douloureux et n’améliore pas la dextérité... Ensuite, c’est des coups sur les mollets et on finit comme les autres filles par être à genoux sur notre banc, le pantalon sur les talons, les fesses en l’air... Madame Wang passe parmi les rangées, elle donne des conseils pour coudre, tout en caressant les derrières des filles qui savent coudre et en frappant sur le cul des filles qui ne savent pas. En fin de journée, on sait toutes plus on moins coudre à la main et à la machine. Madame Wang nous dit : — Je n’ai pas eu temps que de vous apprendre plus. Demain, les ouvrières qui vous choisiront vont continuer votre apprentissage... Elle passe derrière nous et ajoute : — Je me rends compte que je vous ai ménagées ! Vos grosses fesses d’Occidentales sont à peine marquées. Quelle sale garce ! Si je passe mes doigts sur mes fesses, je sens les marques en relief. Elle ajoute : — Maintenant, on va faire des tests de docilité. Il va falloir m’obéir à la seconde, sinon vous serez punies plus sévèrement... Pour commencer, je veux voir Giulia sur l’estrade. Elle obéit tout de suite, comme les autres elle a dû enlever son pantalon, mais sa pudeur est sauve grâce à son tee-shirt. Justement, Madame Wang lui dit : — Enlève le haut et croise les mains dans la nuque. Dès que c’est fait, la timide Giulia redevient Julien, un homme. Enfin, disons plutôt qu’il cesse d’être une femme. La grosse se met à rire avant de dire : — Mais qu’est-ce que c’est, ce petit machin qui pendouille en haut de tes cuisses ? Il répond : — C’est... mon sexe... Madame. — Ça, un sexe ? Mon neveu de 6 ans en a une plus grosse. Julien n’est pas con et il est champion pour se faire bien voir, il répond : — Il arrêté de grandir quand j'avais 5 ans, Madame. — D’accord, tu es un petit garçon, mais pourquoi es-tu avec les femmes, alors ? — Ce n’est pas moi qui... — Tu ne voudrais pas retrouver la virilité... de tes 5 ans ? Malgré mon stress, j’ai envie de rire. Julien répond : — Oui Madame, j’aimerais bien. — Parce qu’un petit garçon tout nu devant les filles, c’est pas convenable, même si ce sont des putes. Tiens, je t’ai apporté des vêtements. Habille-toi. Elle lui donne un sac. Julien en sort des vêtements et s’habille... en homme ? Pas vraiment. Il enfile d’abord une petite culotte avec des rangées d’oursons, puis une chemise blanche avec des manches courtes. Ensuite un pantalon qui s’arrête au-dessus de genou. Il est retenu par des bretelles avec également des petits ours, comme sur sa culotte. Il y a aussi un petit nœud papillon avec un élastique. Pour terminer, il enfile des chaussettes blanches montantes, des chaussettes noires et une petite casquette. Madame Wang lui dit : — Content d’être redevenu un petit garçon ? — Oui Madame. — Maintenant, tu vas t’asseoir par terre et jouer avec ce qu’il y a dans ce sac. Julien s’assied, puis sort des blocs, des animaux et des personnages en plastique. Il commence à jouer. Oh ! qu’il est mignon. Madame Wang lui dit : — Fais-moi un beau château, petit. — Oui Madame. — Bien... Les filles, enlevez votre tee-shirt et venez vous mettre autour de moi. On le fait immédiatement. C’est le genre qui sait se faire obéir à la seconde. Elle nous dit : — Maintenant, déshabillez-moi. On se regarde... Heureusement, une brune murmure : — Vous deux, les chaussures. Vous, le pantalon. Nous deux, le kimono. Madame Wang est grosse, je devrais même dire très grosse. C’est un sumo femelle dans un kimono de soie bleu plus très frais. Deux filles enlèvent péniblement la veste du kimono, deux autres à genoux baissent le pantalon, elle lève à peine les pieds pour le faire passer. En dessous, ses sous-vêtements essaient tant bien que mal de contenir la graisse qui a envie de s’étaler. Quand on enlève sa culotte qui monte jusqu’au-dessus du nombril, son ventre peut enfin prendre ses aises et il s’étale sur son pubis. On défait le soutien-gorge et ses mamelles prennent aussi la clé des champs et passent à l’étage en dessous. C’est... fascinant ! Elle dit à une fille : — Va chercher le matelas qui est dans cette armoire et mets-le ici. Elle désigne l’estrade. Ensuite, elle dit : — Qui a déjà couché avec une fille ? Hou là ! C’est sans doute pour la lécher. Sans réfléchir, je lève la main en disant : — Moi, Madame. — Et quelle est la fille qui te plaît le plus ? Si je dis elle, tout le monde va croire que je me fous d’elle et gare à mes fesses. Alors je dis la vérité en désignant une fille : — Ailla, la jolie rousse, Madame. Je désigne une ravissante fille, dont j’ai vu le nom sur le collier. Sa longue chevelure, les poils de ses aisselles et de son sexe sont comme des flammes, non pas roux, mais presque rouge... Elle a des yeux bleus, des seins en poires avec des bouts très pâles, une taille mince : une beauté ! Madame Wang dit : — Je vous ferai faire quelque chose en rapport avec vos talents. Elle se couche sur le matelas d’un mouvement souple. Je pensais qu’on devrait l’aider, mais non, elle est agile ! Elle se relève sur un coude, dans la pose d’une odalisque... d’une tonne et désigne deux filles en disant : — Vous deux, vous allez embrasser et lécher mes pieds... et vous sucerez mes orteils.   Ses pieds ne sont pas des plus appétissants. Est-ce que les filles vont refuser ? Oh non, elles obéissent immédiatement. Personne n’a envie de déplaire à une odalisque d’une tonne. Elle désigne deux autres filles en disant : — Vous deux, vous êtes mes bébés, donc vous allez me téter. Les filles obéissent. L’une d’elles se glisse sous son bras pour atteindre le sein qu’elle doit sucer et qui se balade plus bas. Il reste Inge, Ailla et moi. Moi, tout sauf lécher sa chatte. Sainte Sara, aidez-moi, même si vous m’avez laissée tomber ces derniers temps. Elle nous dit : — Poussez-vous toutes, pour que la suivante s'installe. Elle désigne Inge du doigt en disant : — Toi, la blonde, lèche-moi la chatte. Ouf ! Ce n’est pas moi ! Mais, bien qu’il soit marqué "pute" sur son tee-shirt, j’ai remarqué que Inge était une fille réservée, certainement pas une pute. Cependant, elle a suffisamment peur de cette femme pour se glisser entre ses cuisses épaisses. Elle colle sa bouche à la grosse vulve (oui, on ne peut pas parler de chatte dans son cas). Ces cinq filles minces qui s’affairent à lécher une grosse, on dirait des fourmis autour de leur énorme reine... Deux fourmis s’occupent de ses pieds, mais bien. Elles sont assises par terre et tiennent un pied à deux mains, en commençant par le couvrir de baisers puis en léchant les orteils. Les filles des nichons la tètent, comme deux jolis bébés qui seraient allaités par une grosse truie. Et Inge lui lèche la vulve... pauvre fille, elle va sentir la chatte négligée jusqu’à la fin des temps ! Il reste Ailla et moi. La grosse lui dit : — Toi, tu as l’air d’être la plus maligne. Vous allez vous mettre de chaque côté de mon visage et vous allez vous embrasser, flirter, baiser, le plus près possible de ma figure. Compris ? — Oui Madame. Et pourquoi ce serait elle, la plus maligne ? La plus décidée, je le reconnais, puisque c’est elle qui a dit comment déshabiller la grosse. Celle-ci ajoute : — Faites-moi mouiller, sinon, vous serez punies et j’ai pas mal d’imagination pour ça. Oh ! Je n’en doute pas ! Heureusement, cette fille me plaît vraiment. Elle me dit : — Mets-toi à genoux, tout contre le visage de Madame. Je fais ce qu’elle dit. Elle se met à genoux aussi. Sa touffe rousse est contre la joue de la grosse. Moi, je suis épilée... Elle m’enlace, nos seins se font des bisous. J’adore sentir la peau d’une fille pour la première fois contre la mienne. Comme il fait chaud, elle est moite, moi aussi, on mélange nos sueurs. Elle m’embrasse, je cède... oui, elle est le chef, mais un chef qui a la peau douce et qui sent la forêt et les animaux sauvages. Malgré le stress, je mouille. Nos langues font connaissance, ce n’est plus nos sueurs qu’on mélange, mais nos salives... Elle quitte ma bouche, un filet de salive tombe sur le visage de la grosse. Je lui demande : — Tu me permets d’embrasser tes aisselles ? Elle est surprise, mais lève les bras, deux flammes jaillissent de ses aisselles. Je fourre mon nez dedans... L’odeur est violente, mais ma chatte a un spasme de plaisir. Elle rit et me donne une claque sur la tête en disant : — Tu me chatouilles, sale petite bête. Oui, d’accord, je suis la sale petite bête qui aime sa maîtresse. On se caresse les seins, on se suce les bouts à tour de rôle. La grosse a l’air d’aimer, elle regarde intensément, tandis que les ouvrières s’activent sur son corps. Moi, tant de stimulations, j’aurais déjà joui... six fois ! Ailla me dit : — Je vais me mettre à quatre pattes au-dessus du visage de Madame Wang pour que tu me lèches... Quand elle est en position, je vois qu’elle a bien écarté ses cuisses pour que sa chatte soit très près des lèvres de la grosse. Ma partenaire me dit : — Commence par me lécher le trou du cul et mets beaucoup de salive. Aaah... bon. Oh oui, elle suppose que la grosse a envie de se faire arroser par ma salive et par ses sécrétions... Je me mets à quatre pattes et je fonce sur son anus, la langue en avant. D’accord, c’est spécial, mais j’aime son goût et son odeur. Je barbouille son cul de salive... La grosse est baptisée, là... Quand je lui ai bien débarbouillé l’anus, Ailla me dit : — La chatte maintenant. Je descends d’un cran et j’enfonce ma langue entre ses grandes lèvres... Oh ! C’est la mousson, là... La grosse pousse sur les fesses de ma rousse, de façon à ce que sa chatte soit très près de sa bouche. Pas facile de glisser ma langue, mais j’ai compris ce qu’elle aimait et à chaque fois que je lèche, je passe sur sa bouche et son nez pour la barbouiller de ma salive mélangée aux sécrétions de Mailla. La grosse jappe un peu. Manifestement, elle aime ça. Si ça se trouve, j’aurai un beau bulletin. Ailla apprécie aussi, elle se cambre vers ma langue... J’arrive à prendre son clito et à le sucer, tout ça à quelques centimètres de la bouche de la grosse. Pas facile, mais spectaculaire. Je suis sûre qu’on pourrait monter un numéro et se produire dans les plus grands music-halls. Ailla jouit, assez sobrement. De sous sa chatte, Madame Wang me dit : — Toi, dégage. Oh, t’es pas polie, toi ! Je bouge, elle prend Ailla par les hanches et l’assied carrément sur son visage. Là, elle se trémousse sur le visage de notre maîtresse. Qu’est-ce qu’elle est belle ! On dirait une mince et gracieuse Valkyrie rousse chevauchant un hippopotame.. Madame Wang jouit sans que je m'en rende bien compte. Elle s’ébroue et commence à se relever. On l’aide à remettre sa tunique en soie trop étroite. A suivre. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 20/06/21
L'initiation Chapitre 6 : Croisement   Le second Jack Daniels commençait à me faire oublier l'inconfort de la banquette aux formes torturées. J'aimais le bruit du glaçon que je faisais machinalement tourner dans mon verre. Mon regard comme celui du reste de la population masculine de l'assemblée avait du mal à se détacher de la créature assise nonchalamment sur le tabouret en cuir du bar. Elle n'était pas que sublimement belle. Elle n'était pas qu'un sosie de Monica Bellucci incarné. Elle ne portait pas qu'une vêtue tout droit sortie de mes fantasmes. Non, elle possédait une rarissime qualité: une classe folle. Beaucoup d'autres qu'elle n'auraient eu l'air que d'une fille de petite vertu dans cette tenue délicieusement indécente. Elle, c'était la sensualité faite femme, la définition même du sex-appeal. Et elle le savait.     Je l'avais remarquée dans la rue déjà, m'approchant de ce club parfaitement inconnu. De dos, sans la voir. Sa démarche de mannequin, assurée, naturelle malgré ses bottines noires aux talons largement plus hauts que la moyenne avaient captivé mon attention. Ses bas noirs à couture également. Ses longs cheveux de jay flottaient au gré de son pas chaloupé sur son trois quart sombre. Je bénis le ciel qu'elle aille, pour quelques secondes au moins dans la même direction que moi. Elle semblait marcher sur un fil, sachant en outre parfaitement où elle allait, d'un pas serein.     Les battements de mon muscle cardiaque se sont accélérés quand elle s'engagea sous le porche qu'un ami m'avait indiqué. « Tu verras, l'immeuble est banal. Le nouveau club installé au rez-de-chaussée et en partie au sous-sol beaucoup moins. L'entrée est non seulement hors de prix mais en outre la clientèle soigneusement sélectionnée ». De fait après avoir franchit le barrage du portier puis le seuil du lieu après qu'une hôtesse outrageusement décolletée m'eût délesté simultanément de ma veste et de quelques billets, j'avais eu l'impression de pénétrer le saint des saints. Dire que certains feignent de croire qu'un minimum d'argent ne fait pas le bonheur...    C'est l'infarctus cette fois que j'évitai de justesse lorsque l'inconnue confia devant moi son manteau au vestiaire. Un demi sourire qui n'était en rien de la gène mais plutôt un amusement devant l'air niais que je devais avoir éclaira son visage lorsque délestée de sa protection contre le froid elle m'apparut uniquement vêtue d'un corset en cuir noir, de gants qui lui remontaient au coude, et de bas de soie noirs -un trop rare délice à l'oeil- reliés à son corset par 3 jarretelles. Sa peau blanche, presque laiteuse tranchait avec le rouge et le noir d'un entrelacs de roses tatoué sur son épaule droite. Il rappelait le carmin qu'elle avait soigneusement appliqué sur ses lèvres fines. Un mélange incongru mais terriblement sensuel de blanche neige et de Mata Hari. A sa démarche souple et féline lorsque elle s'éloignait feignant d'ignorer l'incendie qu'elle venait d'allumer, j'aurais juré qu'elle avait fait de la danse. Chapitre 5: Le lieu du crime Après avoir visité le rez de chaussée doté outre un vaste espace bar et d'un coin salon, d'une petite piste de danse, je m'étais assis sur cette banquette traumatisante pour mon auguste fessier. J'aurais été incapable de l'approcher. Tétanisé sans doute par un enjeu qu'il me plaisait d'imaginer à la hauteur de sa plastique parfaite. L'idée d'une Monica Bellucci de 25 ans , bien que je fusse passablement peu doué pour ce jeu de d'attribuer un âge à autrui- me revenait à la vue de profil de son somptueux 95C. J'admirais ses bottines en cuir vernis, lacées sur le devant, mettant parfaitement en valeur ses jambes fines, élégamment gaînées de ces bas voiles qui s'assombrissent comme d'une jarretière au fur et à mesure que l'on approche du Saint Graal...  A la serveuse qui se déplaçait de table en table je commandai cet alcool comme pour me redonner contenance. Cette dernière pourtant fort jolie et sexy dans sa courte et décolletée robe ivoire était transparente. Les jambes de ma Diva retenaient toute mon attention ; fines mais musclées, délicatement galbée, comme j'adore. Elle était sportive, j'en étais convaincu. J'en étais là dans ma pseudo analyse Sherlock Holmesque lorsque qu'un indésirable visiblement moins sur la retenue que moi l'aborda. Je dis indésirable, pour moi cela va de soi, étant évident désormais que quiconque parlerait à la déesse deviendrait de fait mon ennemi mortel. Mon incongrue jalousie étant renforcée par le fait que le mâle tentant sa chance était élégant dans son costume sombre et plutôt bien fait de sa personne. Je ne saurai jamais ce qu'elle lui répondit mais les talons qu'il tourna rapidement eurent le mérite de me dessiner un sourire d'une oreille à l'autre.  Pendant la demi heure qui suivi une demi-douzaine de pourtant dignes représentants de l'espèce mâle tenta sa chance, tous sans le moindre succès. Le plus méritant du tenir à ses coté 5 minutes, dont les 3 dernières sans le moindre mot ni regard de la belle. Finalement le scénario m'amusait, un peu sadiquement je l'avoue. Assez lâchement également j'en conviens vu que je n'étais pas suffisamment suicidaire pour courir moi aussi au désastre. Une icône inaccessible sortie des magasines...  La situation semblait aussi amuser une femme à quelques mètres de moi. Sans grand intérêt à vrai dire ; des traits fins pourtant, mais les affres du temps qui ne nous épargnera pas non plus, l'avaient affublée de quelques rondeurs pas forcément disposées aux meilleurs endroits. Une opulente poitrine certes, mais une opulence disons un peu généralisée. Sa robe stricte, aux genoux, au col ras de son cou était certes classe mais pas franchement un appel au viol. Pourtant elle dégageait quelque chose d'attirant ; sur l'instant j'aurais néanmoins été incapable de dire quoi. Peut-être son chignon impeccablement tiré ; tout sur elle était parfaitement ordonné. Elle sirotait tranquillement un alcool blanc, une vodka peut-être.  Deux couples et quelques femmes seules commençaient à prendre possession de la piste de danse. Sur la banquette à quelques encablures, deux femmes goûtaient visiblement avec plaisir aux lèvres l'une de l'autre, sous l'oeil égrillard de leurs conjoints respectifs. Visiblement l'affaire fut rapidement conclue, l'un des hommes entraînant sa moitié vers un court couloir donnant sur des marches descendant à priori vers un sous-sol, suivi par l'autre couple se tenant par la taille. Dur statut que celui d'homme seul dans ces lieux. Certes je découvrais cet endroit récemment ouvert, mais ce genre de club ne m'était pas inconnu. Depuis une bonne dizaine d'années. Généralement je les fréquentais avec ma conquête du moment, parfois seul, avec des fortunes il faut bien l'avouer assez diverses. J'en étais là de mon apitoiement sur mon pauvre petit sort lorsque le fantasme incarné fit mouvement. Chapitre 4: L'allégeance Elle entama quelques pas sur la piste, jouant avec une barre de Lap Dance sous le regard à la fois agressif, exaspéré, désespéré et il faut l'avouer envieux des représentantes de la gente féminine présentes. Sentiments probablement accentués par la bave coulant aux commissures des lèvres des mâles présents, auxquels je ne faisait pas exception. Elle n'était donc pas que sublimement belle, son corps ondulant avec une grâce infinie. Danseuse disais-je ? Rapidement elle se dirigea vers cette femme proche de moi et s'agenouilla à ses pieds sans mot dire, tête baissée, semblant lui tendre son cou gracile. Sans même un rictus de victoire qui n'eut pourtant rien eu d'exagéré celle ci y fixa un collier métallique de soumise. Elle la regarda avec une visible tendresse , lui caressa la joue en lui murmurant quelque chose d'inaudible sous la musique de fond.  Certains mâles semblaient désespérés, d'autres rassurés quant à leur pouvoir de séduction en découvrant que dès le départ ils n'avaient pas l'once d'une chance. Cette attelage hétéroclite, la maîtresse devant probablement avoir l'âge de la mère de la soumise, la première avec un physique et une tenue relativement banale alors que la seconde mériterait de faire la couverture de Playboy pour les 1.000 prochaines années, étrangement me parut parfaitement assorti. Presque une évidence. Je les comprenais, toutes les deux. Leurs différences complémentaires sans doute ajoutaient la pointe pimentée qui plaçait de cette relation dans le haut du panier de mes fantasmes. J'étais pourtant totalement novice dans ce type de relation qui m'attirait beaucoup, essentiellement par son coté fétichiste. Ces tenues, matières avaient toujours provoqué sur moi des effets étranges... En l'absence d'internet à l'époque et son flot d'information, j'ignorais tout en revanche du coeur de cette connexion si particulière.  La jeune femme resta un moment ainsi, finissant par poser sa tête sur les cuisses de sa maîtresse qui ne semblait pas prête à galvauder la fin de son verre. Celle-ci ne se privait pas, en caressant les longs cheveux de jais de proie, d'observer son environnement, plus par curiosité que par provocation. Je crois que c'est cela qui me fit le plus d'effet. Sobre dans la victoire, la marque des grands. Les questions se bousculaient dans ma petite tête tandis que j'observais ostensiblement la superbe croupe, absolument pas protégée par son string noir. J'étais abasourdi par le fait qu'elles aient toutes les deux été capable de jouer, feignant de ne pas se connaître, devant cette assemblée plus que troublée. Bien vu, bien joué. J'arborais un inexplicable sourire, d'une encore moins explicable tendresse à leur égard. Alors que désirs ou jalousie était plutôt la norme alentours. Je ne remarquai le pourtant imposant sac posé à coté de la maîtresse que lorsque elle s'en saisit en se levant. Point besoin de laisse, sa soumise la suivit avec un plaisir non dissimulé, prenant le chemin des catacombes. J'étais précisément en train de me dire qu'il me fallait absolument visiter plus avant les lieux que plusieurs mâles visiblement prêts à échanger sans drame un statut d'acteur pour celui de voyeur (faute de grives...) me devancèrent, s'engouffrant à leur suite. Chienne de vie. Le passage opportun de la serveuse me décida à changer de fesse sur cette maudite banquette et à recommander la même chose.   Il me fallut un bon quart d'heure pour remettre mon cerveau à peu près en état de fonctionner quand le coup de grâce arriva. J'en était à regarder enfin les autres présentes et à me dire que finalement , certaines méritaient un certain intérêt pour ne pas dire un intérêt certain, que la maîtresse remonta seule. Et vint s'asseoir sans l'ombre d'une hésitation à mes cotés. Mon regard ahuri du l'amuser un instant. Que voulait-elle? Je ne l'avais pas vu me regarder auparavant. Elle ne se départit pas de son sérieux pour autant en me posant cette question hallucinante: serais-je capable de respecter ses consignes et de lui obéir absolument strictement, condition sine quanon pour entrer momentanément dans leur univers. Je ne m'entendis pas répondre, ou peut-être prit-elle mon étranglement pour acceptation, toujours est-il qu'elle me dit sur un ton qui n'appelait ni réponse ni discussion: « suis moi ». Chapitre 3: Hypnotique Dire que j'étais fier comme Artaban en passant devant mes congénères atterrés est un euphémisme. Déjà en descendant l'escalier je me faisais l'impression d'être l'Elu. J'étais pourtant bien trop stressé malgré une ridicule apparente décontraction pour me la péter un minimum. On a tous notre heure de gloire parait-il, la mienne était visiblement venue. Un petit hall en bas donnait sur plusieurs couloirs, chacun abritant des pièces différentes, comme à thème. En suivant cette femme qui en imposait et semblait connaître les lieux comme sa poche, nous passâmes devant une salle vidéo, un glorihole, et divers « coins câlins », certains occupés, d'autres non. Des gémissements de bon aloi parvenaient de certaines alcôves.  Je ne me demandai pas longtemps où m'emmenait la Maîtresse en avisant plusieurs types attendant devant une porte désespérément close.  Elle s'arrêta devant, la mer semblant s'ouvrir devant elle. Elle me fixa: « à partir de maintenant, pas un mot si je ne t'ai questionné, pas un geste que je ne t'aie ordonné; aucune seconde chance, une seule sanction, la porte. Suis-je claire? ». Le fait qu'elle m'ait dit cela devant ces types dont certains arboraient un rictus aussi moqueur que jaloux me déstabilisa, ce qui était assurément son second objectif. Et peu compliqué à atteindre en outre tellement je me sentais flotter hors de mon corps. Dans un effort surhumain, je parvins à articuler « parfaitement clair »; c'est non sans un sourire vengeur et inutile vers les mâles destinés à rester dehors que je pénétrai dans cette salle à sa suite. Lorsqu'elle referma derrière elle, j'eus le sentiment que l'on venait de me passer les menottes. Sa soumise était là, immobile, assise sur ses talons, mains sur les genoux au centre de la pièce. Elle ne me regarda même pas. Rejet, indifférence, dans sa bulle de soumission? Mon questionnement intérieur fut interrompu par un signe du doigt de la Maîtresse, me désignant visiblement ma place. J'avais juste eu le temps de voir un chevalet derrière la belle, une croix de St André au mur, un anneaux auquel pendait une solide corde accroché au plafond que la maîtresse répondit involontairement à ma question. «Sophie est punie; elle déteste être observée en séance, qui plus est par un homme, elle qui, comme moi est purement lesbienne. Ta présence est donc une partie de sa punition». Si j'avais jamais rêvé d'être un cadeau... Le coup de grâce fut «à poil» ; je mis un certain temps à comprendre qu'il m'était destiné. Comme cette femme diabolique lisait en moi comme dans un libre ouvert, elle simplifia ma réflexion et nettoya mon esprit des centaines d'idées qui s'y carambolaient: "je déteste attendre ou répéter; je te rappelle que tu as toujours le choix". Ce n'est pas une hypothétique carotte qui s'annonçait que la certitude qu'il n'y avait pas autre chose de plus intelligent à faire qui me poussa à m'exécuter gauchement. Choix rapidement fait et tout aussi vite exécuté. C'est donc en tenue d'Adam que je m'installai sur une sorte de pouf en cuir rouge. Surtout ne pas poser la moindre question quant à la raison de la punition de sa soumise. Au moins n'aurais je pas de mal à me taire, assurément aucun son n'aurait pu franchir la boule au fond de ma gorge. Au fait pourquoi ma nudité ? Instaurer une sorte d'équilibre entre sa soumise et moi ? Se rincer l'oeil (quel prétentieux...) ? Gêner encore plus sa divine complice ? Participer d'une façon ou d'une autre ? Elle ne voudrait quand même me dominer au si, elle m'aurait demandé mon avis. Au fait, j'étais en train de faire quoi là à part lui obéir ? Tranquillement la Maîtresse sortit une cravache, un single tail, un martinet de son mystérieux grand sac, ainsi que des pinces et quelques sex-toys, sans oublier d'autres objets dont j'ignorais autant l'existence que l'utilité. Une sorte de balais commença alors entre les deux femmes, parfaitement réglé, absolument silencieux. La jeune femme se leva; sa maîtresse passa derrière elle pour défaire son soutient-gorge que je n'avais pas vu: en cuir noir aussi, se fondant avec le corset. Deux merveilles apparurent alors, à peine troublés par la loi de la gravité. Il me vint à l'esprit une autre réponse potentielle à mon questionnement : observer avec certitude l'effet sur moi produit. Chapitre 2: Dans le vif du sujet Privilège de la jeunesse. Injustice de la nature penseront d'autres. La façon dont elle enleva son string sur l'ordre de sa Maîtresse, se baissant sans fléchir ses jambes, la croupe tendue en ma direction eu un effet comment dire, Eiffelesque? Les tétons de la soumise furent amoureusement caressés, gobés, suçotés; je compris rapidement que l'effet recherché était loin d'une d'une intention de douceur,  mais pragmatiquement de faciliter la pose d'imposantes pinces japonaises sur d'appétissants tétons roses dardés. Sophie ferma les yeux en se mordant les lèvres lorsque son sein droit fut ainsi décoré. Nul attendrissement en vue de la domina qui équilibra le tableau sur le téton gauche. Après une caresse sur la joue de sa soumise, elle joua douloureusement avec la chaînette les reliant. Elle semblait admirer elle aussi cette poitrine somptueuse dont elle comptait bien user et abuser. Une caresse sous le dessous du sein me donna l'impression qu'elle voulait le soupeser ainsi paré. Imposants, ronds mais d'une absolue fermeté, je me serais aisément vu y apporter mon estimation personnelle. Dont elle n'avait bien entendu cure. Tournant autour de sa proie, elle multipliait les caresses, sur la croupe, sur le pubis totalement glabre de la belle. Elle finit par s'agenouiller devant elle, et après avoir embrassé ce mont de vénus si pâle, elle fixa deux autres pinces, plus petites sur chacune des lèvres. Je crus voir sa langue pointer pour goûter le résultat de son travail. Depuis le départ aucun mot n'avait été échangé. Un frisson me parcouru lorsqu'elle se saisit du martinet, me regardant. Mon visage inquiet devait lui dire  « non pas moi, il y a erreur, je ne suis que spectateur ! Privilégié, certes mais... ». Elle installa sa soumise les mains posées sur le chevalet, croupe tendue, jambes légèrement écart; cette dernière avait pris la position rapidement, semblant la connaître parfaitement. La maîtresse se tenait dans le dos de la belle, de sorte que celle-ci ne devait pas savoir ce qui l'attendait. Elle fut vite au fait de son futur immédiat lorsqu'un premier coup, que je jugeai assez violent pour le novice que j'étais, lui cingla la croupe, laissant une trace rouge. Sa peau blanche et fine marquait très vite. Elle devint en quelques minutes cramoisie sous l'avalanche qui s'abattait sur elle:  pas de brutalité, mais de la régularité, de la sérénité, un objectif bien précis. J'étais impressionné, la Domina enfin dans son élément irradiait étrangement désormais. Le ballet souple et coordonné de ses gestes précis, les lanières virevoltantes, les bruits secs. La belle se tortillait de plus en plus, dansant d'une jambe sur l'autre. Jusqu'à ce qu'une plainte sortit de sa jolie bouche. Un dernier coup fut appliqué entre ses cuisses... lui arrachant un véritable cri de douleur cette fois. Je me disais que la maîtresse devait se rendre compte qu'elle était allée trop loin lorsqu'elle cessa pour se diriger vers ses « jouets ». Elle en revint en fait avec un bâillon boule noire qu'elle fixa tranquillement, sa soumise ouvrant la bouche toute grande pour lui faciliter la tâche. Sa docilité me stupéfiait. Sans doute un long dressage... Elle reprit le martinet et c'est le haut du dos de Sophie qui fut cette fois durement marqué. Sa précision était diabolique, ses gestes sûrs et appliqués. Je vis une larme couler doucement sur la joue de la belle. Je me faisais presque violence pour ne pas bouger. La Maîtresse l'avait vu également. Elle l'avait même sûrement deviné avant moi. Elle repassa devant sa soumise, la regarda un moment, comme pour la jauger, essuya sa larme d'un revers de la main en souriant. Sans me regarder, toujours les yeux plantés dans ceux de la belle,elle lança: « va me ranger ça -me tendant le martinet- et ramène moi la cravache ».  Un instant interdit, tant par le fait qu'elle n'en était visiblement qu'au début de son œuvre que par le fait qu'elle s'adresse à moi, je m'exécutai rapidement. J'étais partagé entre le souhait de voir s'interrompre le supplice de Sophie qui devait vraiment souffrir, et l'envie égoïste de continuer à découvrir un spectacle aussi excitant qu'inédit pour moi.  Elle jouait avec la cravache sur le corps de mon fantasme incarné comme un musicien avec son archet sur un violon. C'était beau, enivrant comme un Gevrey-Chambertin; j'avais la sensation qu'elle pouvait en tirer le son qu'elle voulait. Pour l'heure il s'agissait de gémissements de plaisirs, déformés par le bâillon, lorsque l'instrument caressais lentement une peau qui semblait si douce. Lorsqu'elle passa entre les magnifiques cuisses de la belle, l'instrument ressortit luisant... C'est alors que le premier coup laissa une courte traînée rouge sur la fesse de la belle. Chapitre premier: la révélation La bave qui coulait aux commissures de ses fines lèvres carmin tombait sur ses seins. Obscène et aimantant à la fois. Sa croupe se striait de traces rouges foncé qui s'entrecroisaient. Pourtant rien de vulgaire, comme si sa classe et sa beauté fussent inoxydables, peu importe la situation. Ce spectacle pourtant trash , inédit pour moi, sonnait comme une révélation, comme si quelque chose émergeait peu à peu du plus profond de mon être. Un verrou sur un couvercle depuis toujours fermé venait de sauter. Mon avenir était dans ce monde, sans grande certitude quant à ma place. Evidemment bien davantage de questions que de réponses, mais quel immense espace de découverte s'ouvrait...  La Maîtresse recula de quelques pas; elle semblait contempler son œuvre, son coté artiste sans doute. Son inflexibilité intimement lié à une visible énorme tendresse pour sa complice m'impressionnait autant que la docilité de celle-ci. Le courage aussi de cette dernière. Encore que je ne savais pas trop s'il fallait parler de courage si elle recherchait ces sensations. Mes idées s'entrechoquaient, mes certitudes tombaient les unes après les autres ; par exemple quant les pinces furent enlevées c'est à ce moment précis que Sophie semblait avoir le plus mal. Un murmure à son oreille, une caresse sur sa joue, un baiser furtif sur ses lèvres, et la voilà attachée sur le chevalet par une corde. Nœuds rudimentaires mais efficaces ; les chevilles et les poignets en bas, sa poitrine s'écrasait sur le cuir usé. Sa croupe insolemment tendue était un véritable appel au crime. L'impressionnant plug en plastique dur et transparent dont la domina se saisit me confirma qu'au moins cet avis était partagé... J'aurais donné n'importe quoi pour qu'elle me fît participer à ce qui aurait pu ressembler à la récompense de sa soumise après les jeux d'impact. Mais c'est elle-même qui caressait le petit trou de la belle qui semblait enfin se détendre. Ces gestes tendres, sensuels, contrastaient avec la taille de l'objet qu'elle avait lubrifié avant de commencer à l'introduire de le fondement de sa proie consentante. Cela ne rentrerait jamais... Si. Un baiser sur la fesse, des doigts qui frôlent les lèvres et voici que la soumise entamait une plainte déformée par la bâillon. Le plug fut ressorti et rentré plusieurs fois, à chaque fois plus facilement. Ce n'était visiblement pas une première. La Maîtresse, qui semblait m'avoir oublié, caressait la belle, trouvant rapidement son bouton d'amour avec lequel elle jouait. Comme tout à l'heure avec sa cravache, elle semblait utiliser un instrument de musique. Obtenant de jolis sons... Sophie n'avait depuis longtemps plus le droit de ne jouir qu'ainsi, l'anus rempli.  Le plus hallucinant peut-être était que tout semblait naturel, j'allais dire «normal» si je n'exécrais pas ce mot. Oui on pouvait être impitoyable et tendre, oui on pouvait faire mal et donner du plaisir en même temps, oui on pouvait avoir une grande distance hiérarchique et une énorme proximité intellectuelle et affective... Sentiment étrange de découvrir autant de mes « certitudes » aussi rapidement qu'évidemment balayées, définitivement sans doute. Ce fut le moment que choisit la Maîtresse pour débâillonner sa soumise, sans doute parce qu'elle aimait l'entendre jouir. Un god vibrant se joignit bientôt au plug inerte, se frôlant à travers une frêle parois. La dextérité manuelle de la domina faisant le reste, ce fut bientôt une véritable symphonie qui bientôt empli la pièce.  Sophie haletante, en sueur, fut vite emportée dans une tempête de jouissance que sa Maîtresse organisait avec dextérité. Cette dernière me fascinait, gardant toujours sa maîtrise de soi, ne montrant rien sur son visage. Ses gestes aussi inflexibles qu'attentifs et tendres parlaient pour elle. J'aurais juré qu'il y avait de l'amour entre elles. Un hurlement emplit soudain la pièce. J'avais je n'avais vu un orgasme aussi intense, dévastateur. Et ce n'était pas fini... Prologue: l'ouverture Préciser l'état physique de votre serviteur me semble totalement inutile. Les pensées en revanche parvenaient à la vitesse grand V à l'infime partie de mon cerveau encore capable d'un semblant de réflexion. La domina envisageait-elle me faire participer autrement qu'en voyeur? Une fellation se Sophie en guise de punition finale pour sa soumise me semblait de plus en plus une excellente idée. Probablement qu'en  me concentrant très fort, la transmission de pensée ferait le reste... J'avais encore un peu de travail avec de devenir un véritable jedi. Le calme revenait peu à peu dans la pièce. La belle semblait émerger d'un quasi état de transe tandis que sa maîtresse caressait amoureusement son dos, ses cheveux, ses seins, sa croupe meurtie. C'est à peu près au même moment  que ma lucidité revint. A cet instant précis je me sentis furieusement de trop, comme gêné d'être là. Comme si la scène devenait tout à coup trop intime. On changeait d'univers. Je ne voyais plus l'utilité d'une quelconque participation et était plein de reconnaissance pour cette maîtresse femme qui avait ouvert tant de portes en moi, fait sauter tant de verrous. Sans jamais s'occuper de moi pourtant. J'avais le sentiment d'avoir vécu un instant incroyablement privilégié.  Convaincu que je devais les laisser seules pour partager sans moi cette intimité, je me levai et remerciai avec sincérité ces deux femmes. Je leur était infiniment reconnaissant et  le leur dit. Ma meilleur récompense fut un même sourire éclairant leurs deux visages. La domina me raccompagna vers la porte, instant pour que je la franchisse mes vêtements à la main, nu comme un vers. Pour la refermer aussitôt derrière moi non sans m'avoir glissé qu'elle était certaine que nous nous reverrions... C'est à ce moment précis que je compris ce que signifiait vraiment marcher sans toucher le sol.
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Par : le 02/06/21
Un gros homme est assis derrière un bureau. Il remplit des documents. On le salue en inclinant le buste, puis... on attend... longtemps. Est-ce que ces uniformes rendent invisible ? Non, tout à coup, il nous rappelle à l’ordre : — Ne vous appuyez pas contre le mur et gardez toujours les yeux baissés. Bienvenue en Chine. Je ne l’avais pourtant regardé qu’un instant... J’ai juste remarqué qu’il ressemble à Bouddha... Mais il n’a pas le côté bienveillant et un peu dans la vape du vrai Bouddha. Au contraire, dans son large visage, ses yeux ressemblent à ceux d’une mygale qui aperçoit un gros criquet distrait. À part, que cet homme n’a que deux yeux et pas huit. Je regarde mes pieds... Je les aime bien, mais ils n’ont pas beaucoup de conversations. Pour le moment, ils se plaignent parce qu’ils n’ont pas de chaussures. Je bouge mon pied pour toucher le pied de Inge qui est à côté de moi... Elle répond à ma légère pression. On se réconforte un peu via nos pieds. Ils peuvent discuter entre eux... C’est le genre de bêtise qui fait passer le temps. Soudain, l’homme me demande : — Toi, la brune, quel est ton nom ? — Samia de Préville, Monsieur. Il donne un coup de baguette sur son bureau en disant : — Ton vrai nom !! Et quand je te parle, tu dois me regarder. Faudrait savoir ! Je réponds : — Samia Sgorski, Monsieur. — Approche ! Je vais près de lui et il vérifie si le numéro sur le collier est le même que sur ses listes. Il fait la même chose pour Giulia et pour Inge. Ensuite, il donne à chacune une feuille de papier sur laquelle il est écrit : ****** Règlement concernant les ouvrières de 3e classe ****** Durant mon séjour ici, je devrai obéir à tout le monde, sauf aux ouvriers et ouvrières de 3e classe, à moins qu’un chef en décide autrement. Je travaillerai toujours du mieux que je peux afin de contribuer à mon humble échelon à la grandeur et à la prospérité de la Société. Si je manque à mes devoirs d’ouvrière de 3e classe, je serai punie. Si je suis maladroite, je recevrai 5 coups de la canne en bambou sur la paume des mains. Si je n’obéis pas assez vite, 5 coups sur les plantes des pieds ou les mollets. Si je suis insolente ou désobéissante, 10 coups sur les fesses. *** Organigramme : Le directeur général 5 directeurs de secteurs 50 contremaîtres 100 chefs 500 ouvriers et ouvrières de première classe 1500 ouvriers et ouvrières de seconde classe 10 chiens de garde un certain nombre d’ouvrières de 3e classe. ***** D’abord, je constate qu’on n’est pas très haut dans la hiérarchie, peut-être juste au-dessus des rats et des cancrelats ! Ensuite, ma gorge et mon vagin se sont serrés à la lecture des punitions. Le gros nous dit : — Apprenez par cœur. Il est malade l’autre ? Comment il veut qu’on apprenne ça ?   Giulia et Inge sont déjà occupées à lire attentivement... Je commence à lire aussi. Dix minutes plus tard, il me dit : — Toi, récite le règlement. Je commence : — Durant mon séjour, je.... Merde, j’ai déjà un trou de mémoire. Il se tourne vers Inge en disant : — À toi. Elle a visiblement la trouille, peut-être même plus que nous, mais elle a retenu beaucoup plus que moi. Ensuite, c’est au tour de Giulia qui a retenu lui aussi beaucoup plus de texte. Il aurait pu faire moins bien que moi, on en reparlera. Le méchant Bouddha se lèche les babines et il nous dit d’un ton faussement attristé : — Je vais être obligé de vous punir, estimées ouvrières. C’est ça, fous-toi bien de nos gueules ! On devine tout de suite que punir, c’est sa passion ! Il ajoute : — Enlevez toutes votre pantalon. On se retrouve toutes les trois les fesses à l’air et serrées par l’appréhension. Il caresse celles de Inge, puis celles de Giulia, joue un instant avec son petit zizi, décidément... Puis il caresse les miennes... longuement.... Il nous dit : — Si vous n’acceptez pas la punition, ce sera un défaut d’obéissance et c’est beaucoup plus grave. J’appellerai des ouvrières pour vous tenir. Vous acceptez ? J’incline le buste en disant : — Oui, Monsieur. Les deux autres disent la même chose. Il faut essayer de faire ce qu’il veut. Il se tourne vers Inge en disant : — Couche-toi sur le ventre, les jambes serrées, les pieds bien parallèles au sol. Dès qu’elle est en position, il prend son fouet rigide pour lui caresser la plante des pieds en disant : — Le premier coup sera ici. Deux coups si tu restes en position, cinq ou dix si tu bouges. Il lève le fouet et l’abat au milieu des deux pieds de Inge. Elle pousse un cri et remue un peu les pieds mais reste en position. Le deuxième coup atterrit exactement sur la marque rouge laissée par le premier. Elle crie plus fort. Ses pieds s’agitent dans tous les sens mais elle reste toujours en position. Il lui dit : — Maintenant, près des orteils. Il frappe et une marque apparaît sur l’avant de son pied. Elle pousse un nouveau cri, puis un deuxième quand il refrappe au même endroit. Le gros a l’air de se délecter de ses cris. Il caresse les marques rouges sur ses pieds, tandis qu’elle gémit. Il lui dit : — Plus que deux, mais hélas, ce sera sur les talons, l’endroit le plus douloureux. Il se tourne vers nous en disant : — Tenez ses chevilles. Si vous vous la lâchez, ce sont vos pieds qui vont souffrir. On obéit, bien sûr. On maintient fermement ses chevilles en nous reculant pour le laisser frapper. Premier coup, qui atteint le centre du talon... suivi instantanément d’un cri aigu de la fille. Il explique : — Sur le talon, ça fait très mal parce que la douleur se répercute dans toute la jambe. On s’en fout, ignoble brute ! Deuxième coup juste sur le premier. Nouveau cri de Inge. Il dit : — Lâchez-la et aidez-la à se lever. On la remet sur ses pieds. Le simple contact de ses pieds sur le sol la fait crier à nouveau. Elle danse d’un pied sur l’autre sur ses plantes de pieds meurtries. Le gros nous dit : — J’aime voir cette petite danse. Bon, maintenant on va faire danser... toi. Il désigne Giulia et ajoute : — Ce sera les mollets. Tu peux danser aussi mais pas te déplacer. Il prend une chaise s’assied et frappe les mollets de Giulia. Là, elle crie bien et elle danse aussi. Son petit sexe danse dans tous les sens. Il se prend une vingtaine de coups sur les mollets qui deviennent tout rouges. Quand il s’arrête, Giulia continue à gémir. Le gros nous dit : — Quel cinéma pour une petite punition. Ce sont des corrections pour les enfants. Dans deux jours, il n’y aura plus rien ou presque... Bon, toi, viens te mettre en travers de mes genoux. Je vais être clément et te donner une fessée à la place du fouet. Et c’est mieux ? Sans doute, oui... Il rentre un peu son ventre pour que je m’allonge sur ses cuisses. Ensuite il me bloque en passant une de ses jambes au-dessus des miennes. Puis il prend mon poignet droit avec sa main gauche et le maintient sur mes reins. Je suis complètement immobilisée. Il caresse mes fesses en disant. — J’adore les grosses fesses des Occidentales. Ici, les filles ont des petits culs. Je m’en fous, je veux descendre !! Paf ! Je reçois une bonne claque sur les fesses et puis une autre, puis des dizaines d’autres. Il frappe fort, ça fait mal, je crie, je pleure, je supplie.... Enfin, il s’arrête essoufflé... Il me lâche pour m’annoncer : — Ooh, c’est pressé, là. Viens vite te mettre à genoux entre mes jambes, sinon je prends le fouet. J’obéis, les fesses en feu. Il a sorti son sexe de son pantalon et me le met dans la bouche. Mes joues sont pleines de larmes et mon nez coule. Il me dit : — Ne bouge pas !! On reste comme ça quelques minutes, puis il fait une grimace et jouit dans ma bouche. Je n’ose pas faire autrement qu’avaler le sperme de ce gros salopard ! Il me repousse, range son engin et nous dit : — Remettez vos pantalons, prenez les feuilles et allez à côté. Il me caresse encore le derrière en disant : — Tu es très agréable à fesser. Je renifle et réponds : — Merci, Monsieur. Il tombe amoureux de moi, il enlève mon collier, on s’évade, il me donne une fessée et je le tue. Ensuite, je prends le million de $ qu’il a dans une mallette et j’achète une villa en Thaïlande. Je récupère Giulia qui redevient mon domestique Julien. Le problème vient que ce n’est pas moi qui écris mon destin. La brute me pousse dans la pièce d’à côté en me tapotant les fesses. Il est obsédé ! On entre dans un immense atelier, il y a des dizaines, non des centaines d’ouvrières qui travaillent. Elles sont assises derrière une petite table. Certaines ont des machines à coudre, d’autres cousent à la main. Elles ont des uniformes bleus ou gris. Il y a aussi beaucoup de filles en orange dont certaines n’ont pas de pantalon, mais par contre des marques de fouet sur les fesses. L’enfer doit ressembler à ça, surtout quand on est en uniforme orange. Une grande femme mince en vêtements de ville vient vers nous. On salue en s’inclinant toutes les trois. Elle non, je suppose qu’on ne salue ni les chiens de garde ni les ouvrières de 3e classe... Elle regarde un papier et nous dit : — Giulia, Inge et Samia. On s’incline à nouveau en répondant : — Oui, Madame. — Je suis Madame Liu. Vous êtes des ouvrières de 3e classe, c’est-à-dire qu’on peut vous demander n’importe quel travail. Vous allez avoir 3 jours d’écolage, on vous apprendra à coudre et à obéir à n’importe quel ordre. Suivez-moi. Toutes les ouvrières qui sont debout saluent. On passe dans un autre atelier, semblable à celui-ci. Enfin, tout au bout, il y a deux portes, au-dessus desquelles il y a des idéogrammes chinois et il est écrit, sur l’un « Cours accéléré d’anglais » et sur l’autre, « Formation accélérée d’ouvrières de 3e classe ». C'est dans cette pièce-là, qu'on entre. Des filles en orange sont assises par deux derrière une table, sur des bancs. Il y en a qui n’ont également pas de pantalon. Certaines sont assises comme ça sur le banc, d’autres sont à genoux. Toutes les filles se lèvent et s’inclinent sauf celles qui sont agenouillées. La femme qui s’y trouve est une très grosse matrone d’une cinquantaine d’années avec une longue tresse noire. Madame Liu lui dit : — Trois nouvelles pour vous, Madame Wang. — Merci Madame Liu, vous êtes très aimable. Elles sont très polies, on se croirait à la cour d’Angleterre, sauf que là, on ne fouette pas les filles... Enfin, je suppose. Madame Liu s’en va tandis que Madame Wang nous dit : — Asseyez-vous sur les deux bancs du fond... Voici comment ça se passe : une erreur et vous enlevez votre pantalon, une deuxième erreur, vous vous mettez à genoux sur le banc pour travailler penchée. Une troisième erreur, c’est le fouet ou toutes punitions que j’aurai décidées. C’est clair ? Toutes les trois, on répond : — Oui, Madame. Elle ajoute : — On fait de la couture, ensuite vous aurez un cours... d’obéissance. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search   Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 02/06/21
Mes debuts dans la Domination avec Miss Pestouille Une journée  pas comme les autres écrite à quatre mains Beau souvenir Nous devons nous voir avec Miss Pestouille     Moi : Je suis dans le train. Je reçois un texto de la Miss Pestouille qui a loupé son train. Pffff,  Je ne suis pas étonnée,  elle va me faire attendre ENCORE UNE FOIS!!! Je lui promets une fessée, encore une. Je patiente en faisant les magasins et en la maudissant. Elle arrive vers moi, enfin!!! Toute mimi, en jupe, comme je lui ai demandé. La jupe est bien courte, on voit la lisière de ses bas....  Elle : (ben oui, quoi, jamais fichue d'être à l'heure, je sais, pardon ma Dame, mais je me suis dejà excusée plein de fois... comment ça, j'ai toujours des bonnes excuses?  mais non c'est pas pour avoir des fessées en rab... :p Elle :  cela faisait deux semaines que nous avions envisagées de nous voir, cela faisait un bon moment. ça nous changerait chacune les idées, on se fait toujours de ces parties de rigolade! nous deux dans un magasin bdsm, je me rappelle encore de la première chez D., on s'était faites repérées et disputées car ma Dame posait pour des photos salaces (avec le plus gros gode du rayon, impressionnant, c'est qui la gourmande?   et aussi elle essayait des martinets sur moi, me faisant cirer de... surprise, et bien rire un dom qui assistait à celà . je pensais venir en tenue décontractée, mais en discutant la veille avec ma Dame, elle m'interdit le jean :(, jupe obligatoire. En même temps, je lui ai confié vouloir un serre taille et quelques achats, un corset peut etre, si j'ai un coup de coeur! -après une nuit courte et agitée, ben oui, j'avais le trac, elle me fait un de ces effets, ma Dame! ça et les discussions sur le minou au soir, avec quelques filles, Msr L... toujours aussi agréable euh ronchon, K qui reclamait des photos, alors qu'Il ne veut meme pas faire honneur aux enchères!!  ;) et s'invitait presque au dejeuner, pour finir par se défiler (Il a affreusement peur du Maitre de ma Dame, je vois pas pourquoi!).  j'étais toute excitée moi. Lever difficile, je me suis préparée non sans mal, distraite par ma Dame qui me salue et papote sur le net. je me suis faite toute belle, vu que je La rencontrais de nouveau!!! lisse, crèmée, dessous sexy, ma jupe et mes bas, un pj, un top assorti, hésitant entre escarpins et bottes, je mets les dernières et emporte les autres! je fus chargée comme une bourrique, qu'elle blonde, ah non, la blonde c'est ma Dame, pardon faut pas que je dise cela :) ça m'a fait tout drole, frissonnant a un moment, on aurait cru que je me préparais pour aller voir mon Maitre, ben non marre des doms, qui tiennent pas le choc, je préfère me consacrer à ma Dame pour qui j'ai eu un vrai coup de coeur. l'heure tournant, je suis partie à la hâté, oubliant mon tel, pffff... j'arrive a la gare, le train part devant moi... aie, je m'étais promise de pas être en retard cette fois!) je préviens ma Dame et prend le suivant, pour enfin la rejoindre, toute embarrassée mais ravie. Qu'est ce que je vais encore ramasser^! Enfin, je la retrouve, la salue, l'embrasse. Ses levres me frolent , Ouf! j'ai cru que j'allais devoir m'excuser a genoux en public, mais elle a trop faim, elle m'en fait grâce... vite il faut contenter Madame. En marchant, ma jupe me pose souci, la doublure remonte, j'essaie maladroitement et genée, dans la rue, d'y remèdier. Dame Hydréane, ni une ni deux, passe sa main sous ma jupe pour tirer sur la doublure, oui tu parles. me voila surprise, toute rougissante! Moi : j'adore tu rougis si facillement Pestouille ...   Nous allons déjeuner dans une brasserie sympa où le serveur nous drague, nous disant qu'il nous a vues arriver , que l'on était classe ( ba oui les soumises sont classes, il croit quoi celui la). - Oui enfin surtout ma Dame, trop élégante et sexy, avec sa robe boutonnée de bas en haut, qui remonte quand elle marche, devoilant ses magnifiques jambes. Elle est toute appretée, faisant très naturelle en même temps, juste ce qu'il faut, très attirante, il a raison ce serveur^^ mais grrrr, pas touche! deja que je partage Madame avec Msr S ****** faut pas abuser! nous discutons de tout et de rien, confidences entre filles... dejeuner bref mais bon, Madame dit qu'on a pas que ça a faire, des achats surtout!  je suis, je n'ose La contredire.  Moi : Direction le magasin M. (merci le GPS intregré dans le téléphone de Pestouille qui nous a beaucoup aidées)...  - Elle : et oui, Madame a un sens de l'orientation aussi aiguisé que le mien, donc ni une ni deux, nous sommes arrivées au magasin repèré par ma Dame, après quelques détours. je regarde au passage les vitrines, les robes, mais d'un ton ferme, Madame me rappelle qu'on est pas venues pour cela, qu'il faut se hater, je ne la savais pas si autoritaire!!! j'en frémis encore^^ Moi : Nous nous glissons dans le magasin, qui est assez classe, il y a peu de" jouets " , certains en vitrine. Les murs sont en vielles pierres. nous regardons, touchons et admirons tout. Mais la ou j'emmène ma petite Pestouille c'est au sous-sol ... - Elle : j'étais déja venue, ma Dame me montre les engins de torture (roulette pleine de pics, baguettes et autres), qui la tentent ; non pitié, je la supplie du regard de ne pas essayer ceux là sur moi, cette fois en plein milieu de la boutique, ouf elle renonce quand nous trouvons au sous sol ce qui m'interressait. j'ai bien essayé de La conseiller en matière d'intruments pour chatier son taquin de Maitre, mais elle ne veut pas ..  Moi : Nous tombons sur les serre-tailles que Pestouille recherche... elle en trouve un qui lui plait, mais doit l'essayer! direction les cabines d'essayage... Elle : je me la joue discrète, furete, regarde, il y a tant de choses à voir, tentantes et quelques modèles qui me plaisent, certains peu abordables dommage. mais ma Dame en trouve un sobre, qui me plait beaucoup. Elle interpelle la vendeuse, alors que je file en cabine. ou je commence seule à me devetir. la vendeuse demande si elle doit aider, je decline l'offre car....   Moi : Evidemment, je rentre dans la cabine avec elle, pas question de la laisser seule, elle serait perdue sans moi^^ et mon Maître m'avait ordonné de l'aider ^^ je me suis pliée avec plaisir à Ses ordres......... Elle :  j'ai pas eu le temps de dire ouf que nous voilà a deux dans la cabine, je continue à enlever le haut, un peu embarrassée et essaie de mettre ce fichu machin sublime. "Bah faut enlever ta jupe pour l'essayer!" me dit-Elle... euh oui Ma Dame, bon me voilà en dessous.  Moi : Déshabillage de la belle. Oups, mince, elle est jolie en dessous noir et porte jarretelle assorti (je me pose la question si c'est pour moi qu'elle a mis ça).... Elle : -oh merki, encore a rougir, et oui en réel, je suis bien plus timorée et là, Madame est bien plus devergondée, qui aurait cru... oui c'est pour elle euhhhh et pour me sentir aussi bien, attirante.  Cette idée évoquée en plaisantant me tentait bien, excitante situation qui ne m'est pas commune!   Moi  : Je l'aide, non sans plaisir, à mettre le serre taille.. evidement que le frole et la pince , elle rougit encore ... Elle : aieeeeeeeeeeeeee! mais comment il se met ce truc, je me suis coincée la peau, pis y a des attaches qui partent en haut quand j'essaie de mettre celles du bas, et encore on a pas resserré! ah faut enlever le soutien gorge? bon en temps normal oui mais la bon, et puis non hé, la vendeuse elle vient pas s'en meler, bientot elles vont ouvrir le rideau. Il me faut essayer deux tailles différentes et voila Madame et le vendeuse qui s'affairent a me trouver le bon. Pas de corset dans le même genre dommage...  Moi : Il  faut être deux pour le mettre, personne ne Me dira le contraire. (voire trois !)  Je frôle sa douce peau... Hum, Je serre fort le cordon.... - Elle (mais euh je peux plus respirer, oui c'est joli, ça fait la taille fine, mais euh c'est toujours aussi serré, ah ouf, ça se détend a force de le mettre ok!)  Moi :  Hum sa taille est vraiment cambrée, elle est vraiment belle ainsi.. oups claque sur ses fesses, Je ne peux m’empêcher...  Elle : rhooo mais pas ici, remarque depuis le temps que j'attends Ses fameuses fessées, après Son entrainement par un certain Maitre S.  Mouais, un peut plus fort , ça m'étonne pas, vu le pas pro-fesseur^^ Moi : On ajuste le serre taille, ça lui va bien Je trouve, il lui manque le collier.... Je prends des photos d'elle,  normal non , je la trouve trés belle avec ses seins qui ressortent .. Elle : merci Ma Dame, je suis ecarlate déjà, Vous en rajoutez, c'est fait exprès ou quoi? ??? Ah oui, le collier, la laisse aussi pour pas que je me perde dans le métro ou les rues du quartier en cherchant les boutiques^^ Moi : si tu me le demande pourquoi pas charmante Pestouille ... Elle : me fait me devetir peu a peu, je sens Son regard sur moi, puis Elle me touche, m'effleure, replace ce serre taille, quant à mes seins , Madame les prends dans ses mains pour les remonter .., redescend, le centre par rapport a mes fesses... Ses gestes assurés, sensuels, me donnent soudain très chaud, je risque pas d'attrapper froid, je suis toute tendue et emoustillée, quand elle sort de la cabine, le souffle un peu mais regrette déjà qu'elle se soit éloignée. je dois me rhabiller, Elle m'aide a défaire le vetement, Ses mains comme Sa vois sont douces, sauf quand elle monte le ton. Son rire, si cristallin me transporte... quoi des photos? oui je Lui appartiens, Elle a le droit sauf de les montrer à n'importe qui .. nous choisissons de faire d'autres en boutiques avant de succomber devant ce modèle et je me rhabille pendant que ma Dame le remet en place  Moi : Nous repartons d'abord, sans rien, décidées à voir le magasin dont MONSIEUR L .. nous a parlé.... Nous marchons un moment, cherchons le magasin des yeux : pas de magasin à l'adresse indiquée!!!  MERCI MONSIEUR LE DINOSAURE , le magasin est fermé!!!  Je maudis L... et promets de le fouetter à la premiere occasion.. vous n'aurez pas les photos pour cela! Elle : ah j'aime quand ma Dame exerce son courroux sur quelqu'un d'autre, ça va morfler, le fouet en plus^^ mais Il va pas supporter à son age, Madame... Que nous avons marché et monté d'escalier, épuisant, mais ça fait de jolies jambes il parait... très déçues de trouver une vitrine vide, maudit soit ce Msr L. notre vengeance sera terrible... Moi : Nous traversons Paris pour un autre magasin , où j'avais vu des corsets et serre tailles vers Pigalle. Coup pour rien car ils n'ont plus ce que l'on cherchait, mais J'ai quand meme pris un palabe et en  ai donné quelques coups sur les fesses rebondies de la pestouille ..  qui a eu les yeux qui brillaient!  Je sais qu'elle aime ça et son air quand elle m'appele Ma Dame ne me trompe pas..... Cher lecteur, Je ne peux vous dire ce qui s'en est suivi mais c'etait divin. Elle : je ne connais pas ce quartier, pas très bien fréquenté, elle est folle ma Dame, mais avec quel pervers Ma Dame à t'elle osé y aller , je me doute de qui , ça m'étonne pas, ma pauvre Dame ^^ Elle me montre un hammam libertin qu'elle apprécie beaucoup, toute émue, elle est si touchante et si belle, je l'admire tant... Quel courage de subir ce pervers , vraiment. le lieu a l'air a l'interieur très joliment agencé et l'ambiance, agréable. C'est très chaud, il parait. j'avais défié ma Dame qui disait qu'elle m'y ferait entrer, alors que je n'ai pas très envie, ne me sentant pas très a l'aise dans ce genre de lieu, mais Elle n'a pas osé, par manque de temps paraiit il. la boutique recèle d'autres trésors mais pas ce qu'on desirait trouver... peu importe, ma Dame et moi sortons et reprenons les transports! Elle doit partir donc je La laisse tristement s'en aller et suis bien décidée a aller retrouver ce modèle vu et essayé, qu'elle a touché de ses mains, frolant mon dos, mes fesses, qui lui a devoilé mes formes, cette fois^^   Elle : chacune est rentrée, sagement, et nous voilà des souvenirs plein la tête, eclats de rire, vives émotions, que de rouge aux joues et vagues de chaleur pour moi^^ Moi : nous ne nous reverrons pas de suite, mais j'en ai deja très envie. gardons pour nous les choses plus intimes.. Lady H et MissPestouille ...
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Par : le 01/06/21
L’attente et le temps ont des vertus sur un soumis que la plupart des sévices ne peuvent qu’affleurer. C’est en tout cas ce que professaient mes premiers Maîtres. A leur service, je m’étais découvert des capacités insoupçonnées à rester à genou, accroupi, ou à rentrer serré dans la petite cage grillagée qu’ils me destinaient. Je devais leur être soumis depuis un peu plus d’un an. Étudiant, je passais la plupart de mes week-end chez eux, dans leur villa. Mes Maîtres n’étaient pas totalement débutants, ils avaient eu une soumise avant. Mais, ils aimaient à le répéter, j’étais leur “seconde création”. Ils voyaient d’ailleurs ce que nous vivions comme une sorte d’expérience artistique. Une sorte de happening dans la durée. J’étais la glaise et ils me sculptaient. J’adorais cette idée qu’en les servant, je devenais leur œuvre d’art. A chaque séjour chez eux, je m'apprêtais à découvrir quelle nouvelle idée de tourment ils avaient imaginé et, souvent, je découvrais combien mon imagination était limitée. Comme d’habitude, ils m’avaient récupéré en gare vêtu légèrement, et comme à chaque fois une halte entre la gare et leur villa avait permis que je termine le chemin nu, dans le coffre, une chaîne cadenassée au cou. La position était inconfortable: sous moi une roue de secours dont le métal brûlait ma peau et le caoutchouc la râpais venait ajouter à la chaleur étouffante de la fin d’été de la Côte d’Azur. Je n’étais pas lié, donc j’y recherchais vainement une position la moins inconfortable possible dans les cahots. Ce trajet, d’un quart d’heure peut être, était un sas qui me faisait passer d’humain soumis à jouet sans volonté propre. J’en sortit dans le garage et repris ma position d’attente appuyé sur le véhicule, membres écarté. Je devinais une agitation à l’extérieur sur la terrasse qui m’indiquait la présence de convives. Mais le temps d’apprécier la situation ne m’est pas laissé. Madame prends la chaîne autour de mon cou comme une poignée et me tire à sa suite. Je suis plié en deux, tête au niveau de sa taille, à moitié étranglé et je peine à suivre son pas. Mon champ visuel est réduit au carreaux et aux séduisants mollets de ma Maîtresse. Nous traversons la maison et allons vers la terrasse. Je ne sais pas combien de personnes sont autour de la table, je ne le saurais pas. Madame tire la chaîne qui enserre mon cou vers le haut. Je dois me mettre sur la pointe des pieds face au crépi pour suivre. Elle clippe un mousqueton et je me retrouve coincé: si je descends de la pointe des pieds les maillons viennent tirer douloureusement contre ma mâchoire. Autour de moi, des bruits de table, de discussion, quelques claquements de gifle ou fessées. Personne ne semble avoir remarqué mon arrivée. La chaîne est si tendue que si j’écarte la tête du mur, si je la tourne de côté, je perds de précieux millimètres qui accroissent la pression sur ma nuque et la mâchoire. Je vois quelques bribes en vision périphérique, mais aucun détail. De toute façon, l'inconfort de ma situation accapare toute mon attention. Je sens une main sur mes bourses. Quelqu’un les tire vers le bas, impossible de compenser en suivant des cuisses. La personne s’amuse à malaxer mes testicules, à les tirer. On m’y passe un parachute de cuir. Je sens son intérieur tapissé de petits piquants. Je ne connais pas encore l’instrument, mais j'appréhende les poids qui vont tirer dessus. J’avais raison, la personne qui joue de moi lâche brutalement un poids et j’ai d’abord l’impression que mes testicules vont s’arracher avant de sentir la piqûre de cent aiguilles autour du paquet. Malgré ma volonté de faire honneur à mes maîtres, un cri m’échappe et j’agite inutilement mes mains autour de moi comme pour me retenir à l’air. L’assistance s’en amuse. On commente sur mon côté douillet, je suis mortifié de ne pas avoir fait honneur à mes propriétaires. J’identifie à l’odeur la nouvelle présence derrière mon dos. Monsieur se saisit de mes poignets et guide mes mains au-dessus de ma tête. Je suis le mouvement sans résister. Avec un cordon mes deux coudes sont croisés, puis liés l’un à l’autre derrière ma nuque. La position presse ma tête vers le mur, tire douloureusement mes épaules et expose mon corps. Monsieur aime m’infliger cette posture à la fois simple et exigeante et qui enlève toute protection au corps. De contraignante, ma position devient vraiment douloureuse. Une main inconnue affleure mon dos. Je frissonne. Elle est remplacée par la brûlure de lanières de martinet. La surprise passée, ce n’est pas trop dur. Les coups tombent dru mais le martinet n’est pas trop méchant, même avec quelques mois d’expérience je les endure sans mal. En revanche, je dois contracter tous mes muscles pour éviter de bouger. Chaque mouvement fait balancer le poid qui tire sur mes couilles et glisse les gros maillons contre mon cou. Quelqu’un essaie de donner de la cravache sur mes testicules. Les coups me font peur, mais la plupart atterrissent sur le cuir du parachute ou les chaînettes des poids. Un ou deux touchent et me font crier. On me met un linge en bouche, un torchon ou une serviette. Je suis rempli de tissu et mes cris sont étouffés. Plusieurs se succèdent à jouer de moi et mon endurance est mise à rude épreuve. Dans les moments de pause, mes mollets tremblants de tétanie me tourmentent, ma nuque est raide et douloureuse, ma mâchoire meurtrie des frottements contre la chaîne. Mes mains sont gourdes d’être restées si longtemps au-dessus de ma tête. Je sens un corps chaud contre le mien, avant même qu’elle ne parle je reconnais ma Maîtresse. L’odeur, le toucher. Elle est très douce, chatte contre mes muscles tendus. Ses doigts sont caressants et ses ongles affleurent mon torse me donnant des frissons. “Je veux te faire crier, tu me donnerais ça ?” Elle connaît la réponse, je sais. Je suis à bout, mais je veux la satisfaire, je veux qu’elle fasse de moi, de ce corps son jouet, son plaisir. Elle me scrute en silence, toujours caressante. J 'hoche plus ou moins ma tête contrainte. Elle sautille joyeusement, “merci”, et m’embrasse en haut de la colonne avant de s’écarter. Le premier coup me fait bondir, oubliant la chaîne. Je connais cette morsure. C’est un martinet que j’ai tressé à la demande de mes Maîtres. Court, fait de cordelette synthétique noire terminée avec trois nœuds sur chacune des six queues. Ils m’avaient demandé de fabriquer un martinet qui me fasse peur, je m’étais surpassé. Cette cochonnerie était une horreur donc je n’avais testé l’efficacité qu’une paire de fois. Madame continue avec enthousiasme. Ses coups sont réguliers, tombant sur tout mon corps. Elle attend une ou deux secondes entre chaque coup pour me regarder encaisser. Je crie dans le baillon. Elle est enthousiaste, et accompagne la flagellation d’encouragement à danser d’un ton joyeux. J’ai l’impression que ma peau éclate en multiple endroits à chaque impact. Je ne sais plus ce que je fais, je lutte contre les liens, je sautille, je m’étouffe. Mais le supplice continue. Une crampe vient prendre mon mollet. Mais le supplice continue. A un moment, je pends au bout de la chaîne, ne luttant plus. Madame est collée contre moi, câline et me murmure “merci, merci”. Je n’arrive pas à interrompre mes sanglots. Monsieur vient aider Madame. Ensemble, ils détachent mes bras qui tombent sans force. La chaîne est détachée et sans leur soutien je m’écroulerai. Ils m’allongent au sol et me retirent le bâillon. Je sanglote encore. Ils me donnent un jus de fruit à boire avec une paille. Madame me parle doucement, me remercie. Mes mains reviennent à elles et piquent désagréablement. Je reprends un peu de vigueur. Je constate que mon corps est moucheté des traces du martinet, mais je ne vois qu’une ou deux petites plaies. Ce constat me rassure un peu. “Tu vas continuer” dit elle gentiment mais d’un ton sans appel. J’acquiesce silencieusement. Madame s’assoit sur une des chaises, écarte les jambes. Elle ne porte rien sous sa robe courte. J’obéis à l’appel sans qu’elle aie à formuler d’ordre. Tôt elle m’a entraîné à la satisfaire et je m’y emploie avec enthousiasme. Mon cou est raide, dur de l’immobilité subie. Mais j’y trouve une motivation supplémentaire à mon effort. Elle est très excitée, et elle vient vite plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. Monsieur est à coté, sexe sortit. Elle le branle et elle relève ma tête vers sa verge alors qu’il jouit après elle. J’en attrape le plus possible au vol. La encore, je connais mon role et j’embouche le sexe qui débande pour le nettoyer de ma langue et mes lèvres. Autour de nous une paire de convives applaudit. Une femme demande si je peux la nettoyer, et Madame m’y enjoint. Son sexe est poisseux de foutre et je le lape propre. Excitée par le traitement, elle jouit dans ma bouche. Les invités sont moins nombreux que je ne croyais, deux couples en plus de mes Maîtres. Un des couples, la cinquantaine, est clairement purement dominant et est accompagné d’une soumise qui malgré sa quarantaine affiche un corps superbe. Le second couple dont j’ai servit la femme est un peu plus jeunes, la même trentaine que mes Maitres sans dout. Madame me récupère et je finis la soirée à ses côtés. Elle encourage des ébats, me fait lécher les bourses et la verge de son cavalier pendant qu’elle s’offre à une sodomie. Je termine la soirée à quatre pattes servant de support à la soumise que Monsieur couvre de cire. Les convives partent, je suis épuisé, agenouillé au pied de ma Maîtresse. Monsieur revient et me flatte de sa main sur le crâne “tu as été bien”. Je me sens très fier de les avoir honorés. “Nous avons prévu une autre surprise pour toi” me dit-il. Je reste silencieux sachant qu’en général leurs surprises sont éprouvantes. Je rentre dans la villa suivant sa traction sur mon collier de chaîne. Monsieur s'arrête à l’angle du couloir. “Voilà” Je ne comprends pas. “Voilà ton nouveau coin de nuit” Les briques nues rejoignent un sol de dalles roses en terre cuite. Je ne vois pas trop en quoi c’est aménagé. “Tu vas voir, ne bouge pas” Je reste assis sur place pendant qu’il s’absente. Il revient avec une sorte de muselière de cuir. Il me l’enfile. La chose me couvre du menton à sous le nez avec une excroissance qui entre dans ma bouche. Ce n’est pas inconfortable, mais je ne peux ni ouvrir ni fermer ma mâchoire. Il y’a un côté protecteur dans la pression du demi masque, mais je reste perplexe de la suite. Monsieur prends mes cheveux en main et guide ma tête vers le sol. A peut être 20cm du sol, un anneau fait saillie du mur. Jumeau de l’instrument de supplice du début de soirée, il permet d’y accrocher l’anneau qui fait saillie de devant ma muselière. Monsieur clipse un cadenas entre les deux et fait un pas en arrière. Madame nous a rejoint et c’est elle qui parle en premier. “Ah tu as découvert ton petit coin. Je suis certaine que tu vas en apprécier la perversité.” Les quelques secondes m’ont permis de tester les mouvements possibles: impossible de poser la tête à terre, impossible de s’adosser au mur. Même si mes mains et mes jambes sont libres, je suis coincé face au mur. Mes Maîtres me laissent. Ils débarrassent, rangent. Ma position est franchement inconfortable, mais surement, ils vont me détacher pour me faire dormir au pied du lit. C’est la soumise, que je croyais partie, qui m’apporte une couverture. Madame repasse, “Ah Marie a pris soin de toi. Pense bien à nous, c’est elle qui est dans notre chambre cette nuit”. Je ressens un pic de jalousie féroce qui doit se voir dans mon regard. Madame caresse ma joue, “Tu souffres pour ton Maître et moi. C’est pour t’apprendre la patience, et aussi pour le plaisir que nous avons à te savoir là. Profites-en, cette nuit, tu peux te faire jouir autant que tu veux.” Je suis perdu un instant entre plaisir, désir de plaire, frustration, jalousie. Mais surtout je me retrouve seul, dans le noir, dans une position qui empèche tout sommeil récupérateur et les moustiques pour seule compagnie. Malgré l’inconfort et la fatigue, ma plus grande frustration est que le bruit des grillons couvre les ébats que je devine derrière la porte close au bout du couloir. C’est en l’imaginant que je me fais jouir.
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Par : le 23/05/21
Dans la vie, on dirait qu'il y a des périodes positives et puis d'autres qui le sont nettement moins. Dans le jet, qui nous amène en Chine, je me doute que tout ne va pas être rose, loin de là, mais je suis tenace et j'ai un plan. — Encore ! Oui la Voix, encore un plan... Pas pour tout de suite, mais dans quelques semaines, on s'évadera. Je regarde les lignes de ma main et je vois un grand changement pour bientôt. Vous n'y croyez pas ? Vous avez tort : la chiromancie est une science, pour nous, les Roms. On voyage avec mon beau-père et des cadres de la société. J'ai essayé de lui parler, mais il m'a coupé la parole : — Ton complice et toi, vous êtes punis, tu pourras me parler dans 3 mois. Ce genre de phrase n'incite pas à poursuivre la discussion... On reçoit à boire et à manger et c'est déjà ça. Julien me confie tout bas : — J'ai peur, Samia. Je lui montre la paume de ma paume pour lui expliquer notre avenir. Il me croit, lui. On somnole, puis je m'endors carrément. *** On atterrit dans un aéroport régional. Certainement pas celui de Pékin ou d'une grande ville. En descendant du jet, je me dis qu'on doit être dans le sud de la Chine, étant donné la chaleur. Les formalités douanières sont rapidement expédiées, on dirait que mon beau-père est "personna grata" ici. Il montre nos passeports, c’est curieux parce que je n'en avais pas ! Des Chinois nous attendent : il y a des poignées de mains et des courbettes, sauf pour nous. Ils parlent tous anglais, coup de chance. Mon beau-père nous désigne en disant : — Ce sont les petits voleurs dont je vous ai parlé. Sourires entendus des Chinois, ils voient très bien. Un gros homme ricane en me regardant et dit : — Non allons les rééduquer. Oh que ça ne sent pas bon ! Je me demande à quelle sauce soja nous allons être mangés. Des voitures nous attendent. Julien et moi on est seuls dans une voiture avec deux hommes qui sont nettement moins souriants que ceux qui ont accueilli mon beau-père. Julien doit monter à côté du conducteur, tandis que je suis à l'arrière avec un autre homme. On quitte la ville. Il y a des champs mais aussi une végétation tropicale et puis il fait chaud... L'homme avec qui je suis se tourne vers moi, plonge la main dans mon décolleté et caresse mes seins moites en disant dans un anglais approximatif : — Vous, les femmes occidentales, vous avez une seule qualité : des beaux seins ! C'est un peu restrictif, non ? Je réponds : — Merci, monsieur. Qu'est-ce qu'on va nous faire ? — Ouvrières de 3e classe. — C'est dur Monsieur ? — Vous êtes punies ! Ouais... On pénètre dans une vraie forêt de bambous, j'apprécierais si je n'avais pas une boule au ventre. Je regarde vite la paume de ma main, le changement positif est toujours là, écrit dans ma paume, ouf ! On roule un moment entre les bambous géants et on arrive devant l'usine. C'est un immense bâtiment à un étage. Il y a une entrée, entourée de parterres de jolies fleurs. J'aperçois mon beau-père qui monte les quelques marches avec ses collaborateurs. Je voudrais aussi prendre la grande entrée, mais au lieu de ça, on doit entrer par une petite porte. On arrive dans un grand bureau, une dizaine d'hommes et de femmes y travaillent. Il y a parfois un homme ou une femme devant leurs bureaux. Une Occidentale est nue et elle a l'air aussi mal à l'aise que moi. Le garde nous dit : — Attendez derrière la fille. Derrière le bureau, il y a un Chinois qui pourrait jouer les méchants dans un James Bond. Il interroge la fille en anglais... Je n'écoute pas, trop occupée à rêver de mon évasion. Enfin, à notre évasion... L'interrogatoire de la fille se termine, le méchant la fait venir près de lui et il écrit une série de chiffres et de lettres sur sa cuisse, sans doute son numéro d'identification. C'est à nous, il dit : — Donnez-moi vos papiers. On lui donne nos passeports. Il regarde nos noms, vérifie dans une liste puis il a un petit rire grinçant et il dit quelque chose en chinois. Aussitôt, tout le monde nous regarde. On va les intéresser de plus en plus, car l'homme nous dit : — Déshabillez-vous et déposez vos vêtements et bijoux ici. Il nous montre une boîte en carton. J'enlève mes vêtements, mes bagues et mes chaînes, j'ai le cœur gros, car j'aime mes bijoux. Nus, on est de nouveau le centre d'intérêt, surtout Giulia redevenue Julien. L'homme se lève et du doigt, il fait bouger rapidement le sexe de Julien en disant "ding, ding, ding". Ça fait rire tout le monde. Quelques-uns doivent dire un truc comique, tout le monde rit à nouveau, sauf nous ! L'homme écrit aussi une suite de chiffres et de lettres sur nos cuisses, puis il nous dit aussi : — Allez dans le local 4. On entre dans une autre grande pièce. La fille qui était devant nous est là. Elle attend, appuyée contre un mur. Il y a une Chinoise assise derrière un bureau et un homme occupé à assembler des pièces de métal. On attend longtemps, sans oser se plaindre ni même parler. Je touche la main de la fille qui fait une légère pression sur ma main. Un tout petit peu de réconfort. C'est une jolie blonde mince, peut être une Danoise ou une Suédoise. Enfin, l'homme dit quelque chose à la femme. Celle-ci se tourne vers nous en disant : — Inge, Samia, Giulia, venez ici, devant moi. On obéit et elle dit à la blonde : — Inge, tu es condamnée à 6 mois de travaux d'utilité publique, pour prostitution. L'homme va derrière elle et il referme un collier autour de son cou. Ensuite, c'est à moi : — Samia, tu es condamnée à 3 mois pour vol. Puis, c'est le tour de Giulia. Le collier est froid, mais léger. Je regarde ce qui est marqué sur celui de la fille : Inge, puis son matricule. La femme nous dit : — Vous garderez ce collier durant toute la durée de votre peine. Essayer de l'enlever est fortement déconseillé. Elle me regarde et ajoute : — Il permet de vous localiser où que vous soyez, tu comprends ce que ça veut dire ? — Oui, Madame. M'en fous, mon évasion est écrite dans la paume de ma main. La femme ouvre une porte et nous dit : — Allez vous faire photographier. On entre dans une petite pièce. Il y a un gros homme qui lit un magazine assis dans un fauteuil. Il se lève et prend une longue baguette de bambou. Mais on n'a rien fait ! Il nous dit : — Il faudra être très obéissants, sinon... Il fait siffler le bambou dans l'air. On a bien compris, là. Il nous examine et il a l'air très intéressé par Julien. Il lui dit : — Mets-toi devant ce mur blanc. Quand Julien est en place, il l'examine soigneusement, caresse ses fesses puis son ventre. Il s'arrête sur son sexe et il fait le même geste que la femme tout à l'heure "ding, ding, ding", en le tripotant. Mon mari se tortille un peu, ah, elle sait y faire, la petite salope. L'homme lui dit : — Faut qu'on le voie un peu sur les photos. Je vais arranger ça. Il se met à genoux et embrasse le minuscule service trois-pièces de Julien. J'espère que tous les Chinois ne sont pas devenus gay, car je compte sur mon physique pour m'échapper d'ici. Le Chinois lui caresse les fesses en même temps... Cette petite salope gémit et se fait aller et venir dans la bouche de l'homme. Je le connais bien et je vois quand il est prêt de jouir. Voilà, ça y est, il pousse des petits cris tandis que le Chinois déglutit. Soi-disant qu'il voulait qu'on voit le sexe sur les photos, maintenant qu'il a joui, il va avoir une bite de musaraigne pygmée !! Pardon, frère musaraigne, si ça se trouve vous en avez une énorme. Julien caresse la main du Chinois en disant : — Merci, Monsieur. C'est ça, lèche-lui le cul pendant que tu y es. Bon, réfléchis Samia. Si Julien plaît à ce point, c'est très intéressant pour ton plan. L'homme fait des photos de lui, de face de profil, à quatre pattes et même des gros plans de son sexe de musaraigne et de son anus. Ça sent la collection personnelle. Quand il a fini, c'est notre tour. Il nous dit : — Vous, vous poserez à deux. On se met devant le mur blanc. Il fait des photos de visages en passant de l'une à l'autre. Manifestement, il n'a pas de temps à perdre avec les filles. Il dit : — Tournez la tête à gauche. C'est le stress ou je ne sais pas quoi, mais je me trompe et Inge et moi, on se retrouve face à face, à la grande rage du Chinois qui prend son bambou et frappe mes mollets et mes cuisses. Sale brute ! Je pousse des cris en sautant sur place. Il me dit : — C'est pour te foutre de moi ? — Mais non, je vous jure, j'ai peur et... — À quatre pattes ! On se met aussitôt en position, l'une contre l'autre, ce qui vaut à chacune un coup de bambou sur les fesses, tandis qu'il crie : — Pas serrées, putains ! On se déplace et il fait des photos. — Écartez vos fesses. On le fait avec nos mains. Il hurle à nouveau : — C'est pas assez, vous vous foutez de moi ! Toi, écarte les fesses de ces putes. Julien vient se mettre à cheval sur mes reins et écarte bien mes fesses. Ensuite, il écarte les fesses de Inge. Le Chinois lui explique : — Tous les anus sont différents, c'est comme les empreintes digitales. Les vulves aussi, mais je ne les photographie pas : c'est trop dégoûtant. Seigneur, faites que ce soit le seul gay, ici. Il a fini et embrasse Julien sur la bouche. Il ouvre une porte et nous passons dans la pièce suivante. Sur un comptoir, il y a une série d'uniformes. Le magasinier est un mec pas mal du tout. Son œil s'allume quand il nous regarde. Ouf ! Un homme ! Je veux dire un vrai. Ayant vu les marques sur nos jambes, il dit en souriant : — Monsieur Li n'aime pas beaucoup les femmes. Je lui fais mon regard « Toi, tout ce que tu veux, quand tu veux » et j'ose lui dire : — Mais vous, vous les aimez, Monsieur ? — Moi, oui... — Mon amie et moi, on peut vous sucer à deux, ça va vous plaire... Il rit... hésite, puis répond : — Pourquoi pas. J'ai entendu que Inge est une pute. Une pute, ça sait sucer, non ? Je lui dis : — On le suce à deux ? — ... Euh... oui... On va se mettre à genoux devant le magasinier. Il écarte les cuisses pour nous faire une petite place. J'ouvre son pantalon et en sors des attributs d'homme, une belle bite, des couilles bien rebondies. Je tire sur la peau du sexe... et le lèche un moment, puis, je le passe à Inge qui a l'air tout intimidée. Elle lèche timidement, j'appuie sur sa tête pour enfoncer complètement le gland dans sa bouche, puis je le reprends dans la mienne, car elle est nulle. Si elle c'est une pute, moi je suis bonne sœur ! Je m'apprête à lui montrer ma technique pour sucer une bite, mais il me dit : — Tu fais ça bien, mais on continuera plus tard. On va être dérangés. Je retire ce que j'ai en bouche pour répondre : — Oui Monsieur, quand vous voulez. Je suis déçue... mais je pense que je lui plais quand même, surtout que deux filles nues arrivent dans la pièce. Il savait qu'elles allaient arriver. Il reprend son rôle de magasinier et nous donne des vêtements. Il s'agit d'uniforme en toile de couleur orange, comme dans les prisons américaines. Un pantalon qui s'arrête aux genoux, un tee-shirt et une petite veste. Dans le dos du tee-shirt et de la veste de Julien et moi, il est écrit « thief », « voleur » en anglais, plus des idéogrammes chinois. Pour Inge c'est « whore », pute. Et aux pieds ? Rien. Quand on est habillées, il nous indique une porte pour aller dans le local suivant. Il me sourit... Ouf ! Je plais toujours. À suivre Mes livres avec des centaines de dessins de Bruce Morgan, sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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Par : le 16/05/21
La porte se referma silencieusement derrière nous et nous nous trouvâmes plongés dans une pénombre dispensée par deux appliques se faisant face. Devant moi, une lourde tenture de velours rouge qu'une fille aux seins annelés tenait entrouverte pour nous laisser le passage. Je sentis alors mon ventre se nouer encore plus. Une crispation tellement intense qu'elle en était douloureuse. Pourtant ce n'était pas de l'appréhension à part, peut-être celle d'être incapable d'aller au bout de ce que nous avions décidé d'un commun accord. Non, je n'avais pas peur. Au contraire, c'était une sorte d'excitation d'une force incroyable qui prenait possession de tout mon être. J'aimais cette sensation, cette sorte de brûlure violente et sauvage. J'étais certaine que j'allais y puiser la force qui me permettrait de me dépasser et par la même occasion satisfaire Mon Maître. J'avais attendu depuis si longtemps ce moment qu'il avait volontairement retardé afin de me maintenir en état de frustration de plus en plus grand. Ce soir, grâce à lui, j'allais enfin pouvoir vivre l'un de mes plus forts fantasmes. Ce soir, je ne serai plus qu'une soumise exhibée par celui que je m'étais choisi comme Maître. Ce soir, j'allai lui offrir le contrôle total de mon corps. Ce soir, tant que je n'aurai pas prononcé le safe word, il pourra m'utiliser comme il l'entend. Ne plus avoir rien à décider, perdre le contrôle de soi-même, s'en remettre entièrement à son Maître pour ne plus faire qu'un avec Lui, c'était là que résidait le secret. Non, vraiment, je n'avais plus aucune crainte. L'amour qui nous liait et la confiance réciproque que nous avions l'un envers l'autre me garantissaient que cette soirée ne serait, au final, que plaisir et jouissance. C'est donc d'un pas assuré, confiante que Mon Maître fixa le mousqueton de la laisse à l'anneau de mon collier pour franchir la tenture derrière lui. Octobre 2015
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Par : le 16/05/21
Je suis décidée à tout quitter : l’usine, mon beau père, Max, le Nord, la France et même l’Europe. Je veux du soleil, du neuf, de l’excitant... mais je ne veux pas partir sans rien. Eh ! J’ai Julien à ma charge. Et puis, je les mets tous à l’amende. Depuis quelque temps, j’ai les yeux qui furètent et les oreilles qui traînent. Il m’est même arrivé de fouiller la corbeille à papier de mon beau- père... et puis, j’interroge discrètement des gens sûrs, comme Diesel. Je suis super bonne en espionnage et je dois le dire, Julien aussi. En nettoyant les toilettes, il a surpris des bribes de conversations. Tout mis ensemble, voici ce qui va se passer : vendredi après-midi, mon beau-père va recevoir de l’argent de provenance inconnue, qui ne fera que transiter un week-end dans l’usine. Lundi ou mardi, il partira en Chine avec un diplomate. Là, cet argent servira à construire une nouvelle usine. Mais, j’en ai décidé autrement : cet argent me servira à faire la fête aux îles Caïmans. Je suis une fille du voyage, et cette fois-ci, je vais partir loin. Dimanche 4 h du matin... Oh, et puis non, j’ai pas envie d’écrire ça, ce sont de trop mauvais souvenirs. Ma voix intérieure, me souffle "Un peu de courage Samia ! Écris, puis oublie !" Oui... c’est vrai. Dimanche, 4 h du matin, une voiture se gare en bordure d’un terrain vague... Deux ombres se glissent à travers la végétation, jusqu’à une brèche dans le mur, cachée par un buisson. Julien jouait ici quand il était petit, il connaît tous les recoins, toutes les cachettes... J’accélère. On entre dans l’usine et on va jusqu’au bureau de mon beau père. Julien connaît la combinaison et moi, je sais où il cache la clé. On ouvre le coffre et j’éclaire l’intérieur avec ma lame torche. Il y a un gros paquet emballé dans du papier brun : l’argent ! Et, il y a aussi un papier sur lequel il est marqué "Souriez, vous êtes filmés". La lumière inonde la pièce ! Julien et moi on se regarde comme deux imbéciles piégés ! Mon beau-père entre dans la pièce. Avec lui, il y a Max, Lisa, un homme en costume et deux gardes. Voilà, voilà... que dire de plus ? Que mon beau-père nous a fourrés à sec et bien profond ? Oui et franchement, ça fait mal. Pas à mon cul, mais à mon ego ! Je le prenais pour un gros pervers qui se faisait sucer par sa belle-fille et son fils, mais ce n’est pas que ça : c’est un gros pervers intelligent et machiavélique... Je réalise que tous ceux qui m’ont donné des renseignements sont ses complices ! Il a un grand sourire quand il m'explique : — Tu n’étais pas de taille, Samia. Tu es sûrement très bonne quand tu fais croire aux passants que tu peux lire l’avenir dans les lignes de leurs mains, mais tu aurais dû te contenter des quelques pièces qu’ils te refilaient. Un casse, tu n’es pas de taille. Ce n’est pas que je sois un grand stratège, c’est que tu es tellement prévisible. Si tu savais le nombre de gens qui m’ont dit que tu préparais quelque chose ! Je me mords mes lèvres pour ne pas pleurer. Je suis peut-être la reine des idiotes, mais j’ai encore un tout petit peu de fierté. Enfin, pour le moment. Il a un auditoire ! Il poursuit : — Tu sais, je ne t’ai jamais fait confiance. J’ai compris très vite que tu attendais le bon moment pour me voler. — Je n’ai fait qu’essayer, Monsieur. — C’est vrai, mais il y a le garde que vous avez assommé. — Quel garde ? C’est faux, vous essayez de... Mon beau-père se tourne vers l’homme en costume en disant : — Cher maître, vous voulez bien lui expliquer. — Oui... Je suis maître Delmol, huissier, et j’ai interrogé le garde. Il a expliqué vous avoir surpris tandis que vous vous faufiliez. À votre demande, votre mari, Julien de Préville, lui aurait donné un coup sur la tête et il s’est évanoui. Et puis, le revolver. Pas la peine de nier, de crier... mon beau-père nous baise une fois de plus, Julien et moi, mais cette fois-ci, ça fait vraiment très mal. Il ne me reste qu’à reconnaître ma défaite avec le plus de classe possible, disons deux millimètres de classe. Je lui dis : — Je ferai ce que vous voulez, Monsieur. — Je sais bien Samia. Tu vas signer les documents que maître Delmol a dans sa serviette. Julien aussi, bien sûr. L’homme en costume dépose des documents sur la table, une série pour moi, une série pour Julien. Il nous dit : — Un paraphe sur chaque feuille et sur la dernière page vous écrivez "Lu et approuvé", vous datez et vous signez. Je commence à lire mais mon beau père m’arrête : — On t’a dit de signer, pas de lire. — Pas question de signer sans savoir ce que c’est. Et "PAF", je prends une gifle qui claque bien sur ma joue ! C’est cette sale garce de Lisa. J’essaye de lui envoyer mon poing sur le nez, mais Max me maintient les poignets dans le dos. Lisa me prend par les cheveux et me donne encore 6 gifles, aller-retour. Je vois des étoiles et ça me calme. Je dois faire ce qu’ils veulent. Les joues en feu, je dis : — Je vais signer ! Max me lâche, je paraphe et je signe. C’est quoi ? Je reconnais peut-être avoir assassiné Kennedy ! Julien signe aussi. Mon beau-père me dit : — Bien... alors, on part en Chine après demain... Julien et toi, vous serez du voyage.  Tu aimes voyager, non ? — Oui Monsieur Il se fout de moi le sale rat ! Vous avez déjà été dans un train fantôme ? Vous êtes assis dans le train qui roule rapidement. Soudain, un truc horrible vous bondit dans la figure, puis un autre et encore un autre... Je suis dans un train fantôme ! Mon beau-père m’annonce : — En Chine, il y a une usine, construite avec de l’argent propre. Nous avons des condamnés à une peine légère. Ils y font un travail de substitution et comme ils ne sont pas payés, c'est intéressant. Julien et toi, vous y resterez trois mois. C’est mieux que quelques années de prison, non ? Comme j’ai les joues en feu et que je ne veux pas me faire gifler à nouveau, je réponds : — Oui Monsieur, c’est beaucoup mieux. — Bien. Mais je te conseille de continuer à être aussi... conciliante. C’est votre punition pour avoir essayé de nous voler... Avant le départ, vous allez passer deux jours à la disposition de Max et de Lisa. Les ouvriers et les ouvrières qui en ont envie pourront se distraire avec vous. Il se tourne vers Lisa et Max et leur dit : — Maintenant, emmenez-les loin de moi. Pour le moment, je ne peux plus voir ces ingrats ! Non, mais je rêve : nous, des ingrats ? Qu’il en trouve d’autres qui se dévouent autant pour sa saloperie d’usine ! J’ai quand même aidé à décrocher des gros contrats en suçant ses clients ! Max lui demande : — Carte blanche pour leur donner une petite leçon ? — Absolument. — Bien, à poil, les voleurs. C’est quand même dur à entendre. On se déshabille. Lisa sort de sa serviette deux morceaux de cordes et Max nous attache les mains derrière le dos. Je lui dis : — On ne va pas s’enfuir. — Je m’en doute, mais c’est symbolique. Tu comprends ? Lisa prend deux laisses, le genre pour molosse avec des colliers étrangleur. Max ajoute : — Ça aussi, c’est symbolique. Salaud ! Lisa prend la laisse de Julien et Max la mienne et on les suit jusque... dans le premier atelier, celui des hommes ! Alors là, on a un franc succès : rires, insultes, sifflets, la totale ! On fait le tour de l’atelier. Des mains calleuses me caressent et me pincent les fesses au passage. Julien s’en sort mieux, c’est tout à fait injuste ! Ensuite, on va dans l’atelier des femmes. On a tout autant de succès, sauf qu’elles sont pires que les hommes. Plusieurs d’entre elles me crachent à la figure. Le crachat coule sur ma joue, impossible de me  frotter avec les mains attachées. Une jolie brune bien vulgaire dit : — S’ils ont une laisse, ils devraient faire un tour comme des chiens. Vous ne trouvez pas, Monsieur Max ? — Bonne idée ! À quatre pattes, les voleurs. Ils défont nos liens et on doit se mettre à quatre pattes. C’est pas du tout que je sois pudique, mais être à quatre pattes au milieu de gens hostiles, on se sent vraiment vulnérables.   Des filles me crachent sur les fesses, ce qui est quand même mieux que dans la figure. Julien, on lui crache à peine dessus. Il y a autre chose : on n’est pas fait pour marcher à 4 pattes sur du béton. C’est de loin pire quand une fille demande : — Je peux la monter, Monsieur Max ? Quoi ??? Elle est folle ! Ce salaud répond : — Oui, ce sera marrant. NON ! La fille saute sur mon dos et elle me donne une claque sur les fesses en disant "hue !" Heureusement, elle est légère, parce que mes genoux sont de plus en plus douloureux. Une grosse femme relève sa jupe et enfourche Julien. On s’occupe aussi de lui ! Il y a une fameuse ambiance. Plusieurs filles font un tour sur mon dos et celui de Julien. C’est très pénible. Les femmes se bousculent pour mieux voir. L’une d’elles vient avec deux baguettes en bambou, dans le genre des tuteurs pour les plantes et on reçoit des coups sur les fesses pour nous faire avancer plus vite. Je suis sur le point de m’écrouler, advienne que pourra, quand Max dit : — Camarades, ils seront tous les deux à votre disposition dans le garage. Il vous suffira de faire un petit don pour le syndicat et vous pourrez vous faire lécher la chatte et tout ce que vous voulez. — Le trou du cul, Monsieur Max ? — Oui, bien sûr. Les ânes, allez vers le fond, c’est l’heure de retourner à l’écurie. Rires, applaudissements... La grosse descend de sa monture : Julien. La mienne descend aussi, ouf ! On peut enfin se remettre debout, péniblement. J’ai mal aux genoux, aux reins et aux fesses. Mais on peut marcher, quel confort ! Je dis à Lisa : — Je dois faire pipi, Madame. — Serre les fesses ! Sale garce, je voudrais qu’elle se noie dans sa graisse ! On va dans le garage. Il y a deux matelas par terre. On a installé deux rangées avec des cordes, comme devant les bureaux des aéroports. Il y a deux files devant les matelas. Une trentaine de personnes pour moi et une vingtaine pour Julien ! Je pensais qu’il n’y aurait que des hommes, mais il y a aussi des femmes. Il y a un grand panneau sur lequel on a écrit : « En échange d’un don pour la caisse d’entraide du Syndicat, amusez-vous avec le fils du patron et sa femme ». Ce Max est vraiment un mac ! Seule chose positive, ils nous enlèvent les colliers, les laisses et les liens qui enserraient nos poignets. On les masse comme dans les films policiers quand on enlève les menottes à quelqu’un. Lisa nous interpelle : — Vous faire baiser, c’est censé être une punition, sauf pour des petites salopes comme vous deux ! Elle se tourne vers Max en disant : — Tu leur expliques ? — Vas-y, tu fais ça bien. Elle lui sourit, ils sont mignons... comme des rats d’égouts vecteurs du choléra. La rate nous explique : — Pour que tout le monde passe, vous lécherez un homme ou une femme pendant qu’un homme vous baisera. Vous comprenez bien ? — Ui... ame... — Pardon ? J’ai pas bien compris. — Oui madame ! — Alors, pour vous inciter à sourire et à bien tortiller du cul, ce que les camarades aiment bien, j’ai apporté ça. Elle ouvre un sac en papier brun et en sort un martinet ! Un vrai, manche en bois, lanières de cuir. Elle nous explique : — C’est un souvenir, il pendait dans notre cuisine, accroché à un clou, et je vous garantis que mes sœurs et moi, on filait droit ! C’est peut-être pour ça qu’elle est si méchante... Elle poursuit : — Il faudra avaler le sperme que les camarades daigneront mettre dans vos bouches de faux jetons. Il faudra tout avaler, une goutte qui tombe, un coup de martinet. Max a sorti un carnet, il fait un petit calcul, puis nous donne le résultat : — Ça fera environ un demi-litre, pour chacun de vous... Ça ne fait pas beaucoup de calories, mais vous aurez du pain sec et de l’eau en plus. Maintenant, on va quand même un peu vous réchauffer les miches ! Mais pourquoi ? Lisa et Max tournent autour de nous... Lui pose la main sur mes fesses en expliquant à Lisa : — Tu sais, les martinets, c’est pour les enfants. Avec le cul qu’elle a... il faudrait un instrument plus solide. En disant ça, il me donne une bonne claque sur la fesse, puis ajoute : — Elle ne sentira rien. — Ah mais si, je te jure, ça fait mal ! Tu vas voir... Elle vient du côté de ma tête pour me dire : — Ton cul va me servir pour une démonstration. Et puis, ça amusera les camarades de te voir fessée. Pour commencer, tu vas te mettre à 4 pattes. Si tu restes en position, ce ne sera que 5 coups. Si tu fais la conne, on te maintiendra et ce sera 10 ! D’accord ? Va en enfer ! — Oui Madame. Max lui dit : — Je la connais, elle va nous casser les oreilles. Il faut lui mettre quelque chose dans la bouche ! Un chiffon... — J’ai mieux. Elle se trousse et enlève sa culotte. Elle me dit : — Ouvre bien la bouche. Elle m’enfonce sa culotte pas propre dans la bouche. Berk ! Ensuite, les lanières sifflent dans l’air sans me toucher. Elle me dit : — Tu as bien compris ? C'est cinq coups si tu restes en position. Je secoue la tête pour dire oui et là j'entends : "Sssswwwwiiitchh ! ". Je crie dans sa culotte, mais ça fait seulement : — Mmmmfffff !  Les lanières m’ont frappée en plein milieu des fesses, ça fait maaal ! "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmffff ! Maintenant, c’est à la base de mes fesses, donc je m’aplatis pour essayer de diminuer l’ampleur de mon derrière ! "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmfffff ! En plein milieu des cuisses ! Ouch !! Je fais un énorme effort pour rester dans la position. "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmfffff ! Juste sur le pli de mes fesses !!! Elle dit en rigolant : — Pendant quelques jours, tu penseras à moi quand tu t’assiéras ! Elle s’arrête et retire la culotte de ma bouche. Max lui dit : — N’oublie pas l’autre petite salope. — Non, non... Elle va devant Julien et lui dit : — Demande ? — Vous voulez bien me donner cinq coups de martinets, Madame Lisa, s’il vous plaît... Quelle moule ! Je l’entends crier cinq fois. Je vois les marques rouges sur ses fesses. Ce n’est que justice !! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 05/05/21
Événement pénible que cette pandémie avec ce maudit confinement qui l’accompagne. Le moral n’est pas au beau fixe. Mais Ma Maîtresse me fait quand même venir un après-midi. La joie m’envahit, je vais pouvoir être à ses pieds. Il n’est pas difficile de deviner le plaisir que Ma Maîtresse éprouve à retrouver son soumis car sans tarder Elle prend possession de mon corps. Elle me met à nu au propre comme au figuré. Je n’ai pas oublié mon collier mais Elle le réajuste. Je sais pourtant qu’Elle accorde une grande importance à la présentation. Je mets les bracelets de poignet et c’est encore Ma Maîtresse qui me les lie l’un à l’autre. J’ai peur qu’Elle se braque de devoir me reprendre si souvent mais la perspective de me frustrer la réjouit suffisamment pour échapper à ces foudres. Et pourtant, je n’échappe pas à la punition pour lui avoir proposé une photo perso trafiquée en rajoutant des marques sur mes fesses. Elle est tellement nature que ce genre de retouche ne peut que la contrarier. Quelle idiotie ! Je suis honteux. C’est avec la cravache que Maîtresse vient chercher un pardon que je tarde à lui donner. Ce n’est que par l’humiliation de ses crachats en pleine figure que je comprends enfin. «Ah quand même» soupire-t-Elle après que j’ai bredouillé «Pardon Maîtresse, je ne le referais plus jamais». Déjà mes fesses sont bien rougies ! La cravache est cinglante surtout sur mes cuisses et la punition est bien rentrée en moi. Ma Maîtresse ne me punit pas pour le plaisir. Elle préfère mon abandon par sa domination. Que je sois son jouet la comble bien plus que ces nécessaires punitions. Maîtresse sort ses cordes et m’attache à la rambarde de l’escalier. Un crochet anal lui sert de point de départ. Minutieusement, Elle tresse la corde entre mon corps et les montants en bois. Je sens monter son excitation mais Elle reste concentrée sur son bondage. Je fais de plus en plus corps avec le bois de l’escalier. Les mains au-dessus de la tête, Maîtresse termine par un mors de corde qu’Elle insert entre mes mâchoires. Je suis réduit au silence et totalement à sa merci. Ce n’est pas pour me déplaire. Je ressens parfaitement son plaisir montée par ses sourires, par ses questions auxquelles je ne peux répondre que par des grognements. Ma Maîtresse m’a demandé de lui apporter un objet de mon choix. Je lui proposais un long paddle en bois car, lui ayant présenté en photo, Elle m’avait dit bien l’aimer. Sur ce point pas d’erreur, ses impacts sur mes fesses m’en apportent la confirmation. Maîtresse est heureuse et elle arrive même à me faire rire entre les coups. Elle a pris le relais avec sa cravache qui atteint plus facilement les points sensibles de mon corps. La douleur augmente autant que le plaisir de Ma Maîtresse. Dans son excitation grandissante, elle me gratifie d’un beau sourire à travers les barreaux de la rambarde. Je fond littéralement de plaisir et j’essaye de lui renvoyer ce sourire tel un miroir. L’effet en est largement atténué par le mors de cordes. Je commence à piocher de plus en plus dans mes ressources, il me faut toute ma volonté pour ne pas sombrer et aussi cette envie de satisfaire Maîtresse qui est plus forte que tout. Maîtresse apprécie ma peau durcie par le paddle et la cravache. Elle me griffe le dos, me mord les flancs. Je la sens déjà tellement excitée que je suis presque surpris quand elle commence patiemment à défaire mes liens La pression retombe un peu. Je n’ai même pas le temps d’apprécier ma liberté de mouvement retrouvée que Maîtresse enchaîne par un nouveau bondage Elle m’attache les jambes, les poignets dans le dos et je me retrouve de nouveau à sa merci. C’est à genoux que je me présente difficilement face à Elle. Maîtresse me pose des pinces sur la pointe des tétons. Leur pose est malaisée car je n’ai pas de beaux gros seins féminins. Maîtresse les dominent néanmoins comme tout mon corps. La douleur s’estompe rapidement avec la privation de circulation sanguine. Elle m’arrache des gémissements que je ne peux cacher et son excitation reprend de plus belle. Maîtresse  tire la chaînette qui les relie, claque ses doigts et la cravache sur mes tétons hyper sensibles ; la douleur est vive. J'anticipe bêtement le  claquement suivant  en grimaçant. Maîtresse en rit et se moque : «Rnby, tu me fais quoi là à grimacer avant même que je te touche?  Tu me fais ta chochotte !». Waouh, je suis déjà ailleurs, manipulé comme une marionnette. Ma Maîtresse réussit malgré tout à m’arracher de nouveaux rires. Comment fait-Elle pour que ses supplices me paraissent si doux ? Elle est heureuse tout simplement. Je lui abandonne la maîtrise de mon corps. C’est à la fois stressant et valorisant. D’un côté ,je ne sais jamais où cela peut aller avec une telle imagination et de l’autre je satisfais ses désirs. Aujourd’hui son imagination est débordante. Maîtresse se détourne finalement de mes tétons et décide de me faire couler  en secouant ma cage qui devient vite étroite. Mes couilles se remplissent, Maîtresse les serre mais je ne pourrais gicler, la faute à tous ces supplices assurément. Finalement, Elle m’arrache les pinces sur mes tétons par des mouvements vifs et saccadés. Mes tétons sont de nouveau hyper douloureux en retrouvant la vie. Ils n’ont pas le temps de souffrir , Maîtresse me presse  les testicules puis donne  58 pichenettes comme le nombre de jours de chasteté du moment. Je chavire complètement, je n’en peux plu tellement la douleur est vive. Arrivé à ce stade, Ma Maîtresse est comblée, Elle vit ces instants passionnément. Je me sens vidé, pas loin de perdre pieds mais trop fier pour lui avouer ou trop envie de la satisfaire, je ne laisse rien paraître et finalement je reviens sur terre. Maîtresse m’amène contre la banquette, pose ses talons sur mon dos, prends la cravache et le paddle. Confortablement installée, Elle me fouette les fesses intensément tout en prenant grand plaisir à me forcer à tenir une conversation sensée. A chaque impact douloureux, ce sont des «Aïe» de plus en plus fréquents qui coupent mes phrases. Ma Maîtresse en sourit de bon cœur, Elle en profite pour accélérer les coups de cravaches avec force maintenant. La cravache claque sèchement sur ma peau rougie. L’excitation de Maîtresse est grandissante et encore plus forte quand j’implore sa pitié. Et pourtant le rythme ne faiblit pas, mes aïe de plus en plus bruyants ne laissent pas de doute sur mon ressenti. Maîtresse prend bien trop de plaisir pour s’arrêter là. Dans son emballement, Elle me retourne sans ménagement et me chevauche avec passion. Je ressens cette incroyable ivresse, comme une véritable transe et je ne veux surtout pas que cela s’arrête. Je suis son objet. Mes fesses deviennent sa planche de jouissance, Elle s’accroche sur mon dos en me griffant profondément. Son excitation est tellement communicative que je commence à gémir. Maîtresse m’intime le silence «tais-toi» car ces moments de passion lui appartiennent, même si Elle m’entraîne dans son sillage. Je serre des dents pour que cet emballement ne s’arrête jamais. Et puis Maîtresse lâche un grand soupir en s’abandonnant de tout son poids sur mon dos. L’émotion retombe et je n’ose pas bouger de peur d’interrompre ces moments de pur bonheur. Maîtresse se relève calmement. Mon cœur bat la chamade. J’ai atteint des sommets émotionnels par le simple fait de participer à l’excitation de Ma Maîtresse. Elle a une nouvelle fois obtenu mon total abandon. J’ai capitulé à ses pieds et je n’ai plus de force. Elle m’a tout pris et je n’ai surtout pas résisté. Ces heures ont été intenses et malheureusement l’horloge humaine va bien trop vite dans ces moments là. Je dois la quitter à contre cœur, tellement je suis comblé d’avoir vécu ces précieux instants et d’avoir servi ma sublime Maîtresse.
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Par : le 04/05/21
"tu es a moi pendant une semaine" "je déciderais de tout" La voix est douce et ferme à la fois, je n'entend que le bruissement de ses habits, ses mouvements. Mais mains sont saisies et réunies dans le dos, et un lien les fait se rejoindre, emprisonnées. Sans un mot, elles sont tirées vers le haut, obligeant ç me mettre debout, un pieds entre mes jambes m'obligent à les écarter. Un examen méticuleux de mon corps est réalisé.., rien n'est oublié. Fugitivement la pensée d'être en consultation chez le dermatologue me traverse l'esprit. la main qui m'explore le fait avec douceur et maitrise, ne laissant rien au hasard. l'autre main m'oblige à me pencher, afin de montrer mes fesses, et mon orifice. "je vais aimer cela" dit 'elle en me redressant. Trois doigts entre dans ma bouche, que je lèche pendant qu'ils font un va et vient, et qu'ils s'en vont. Une musique se fait entendre, d'empêchant d'entendre les mouvements autour de moi, et je reste ainsi, debout pour ce qui me semble une éternité. Je sent le froid du metal autour de mon cou, et celui ci est inséré, et je comprend que c'est un collier.il est réglé afin de ne pas être trop serré mais de ne pas laisser de jeux. Mes mains sont relevées et je sent qu'elle lui sont reliées.La position est inconfortable, mais pas douloureuse, elle m'oblige à être cambré, ce qu'un ongle parcourant mon échine souligne.
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Par : le 02/05/21
Il n'existe plus intense, plus belle émotion Que de vivre son premier abandon Ce jour de naissance - son 'moi' intime Qui fait de moi sa muse qui s'exprime Une belle découverte, un grand voyage Pour vivre mes émois tout en soie Pour le plus grandiose, ô subtil mariage De mes sens, de ma chair - en soi Il n'existe plus exquise, plus passionnée Que cette union en appartenance De ces deux âmes, deux corps comblés Unis par le lien confiance et connivence Un collier posé délicat et sensuel Sur la peau sensible d'une rebelle Délicieuse offrande - à Lui elle offrira Elle sa soumise, elle le lui dévouera Il n'existe plus intense - que son emprise Sur cette bourrique - ô elle soumise Pour son unique abandon - à son intimité Lui la sublime à ses pieds avec sincérité Le 13 février 2015 Pour Vous Mon Maître
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Par : le 02/05/21
Patricia regagna sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. Étendue nue sur le lit, elle avait seulement conservé son bustier en cuir noir qui enserrait sa taille. Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle bondit hors du lit et alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur attendait, tenant une corbeille de fleurs dans les bras. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un superbe bouquet de lys, une bouteille de champagne et un cadeau très soigneusement enrubanné. C'était agréable et inattendu et elle ne put s'empêcher d'être émue par ce geste si romantique de la part sans doute de l'inconnu, celui qui l'avait soumise la veille, lors de cette soirée mémorable. Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et ouvrit avec joie le paquet. Patricia ne fut pas étonnée de découvrir son contenu, un déshabillé en soie noire, un loup en velours de la même couleur et une paire de menottes. Elle saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute: "Cette soirée vous appartient. Portez le bandeau pour moi. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures". Un peu anxieuse, elle aima pourtant sa persévérance et sa fidélité dans le lien qui les unissait. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Patricia songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Patricia devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lys, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Patricia portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Les règles de leur jeu. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Patricia frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Patricia oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Un sourire sur son visage. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 25/04/21
Texte humouristique de ma première séance en tant que soumis. Il y a quelques années, aprés avoir été DOM, j'ai voulu tester le rôle de soumis. Je n'avais jamais pratiqué. Le plus extrême que je connaissais était des petits plugs dans mon petit anus si mignon, LOL, ou quelques massages de la prostate prodigués avec douceur et élégance (on parle du doigt qui vient vous titiller la prostate, pas des doigts qui font des va et viens pour vous sodomiser). Bref, vas y frappe, moi, fouette moi, attache moi, fait brûler ma peau pour faire monter ma transe, voilà où était mon désir. Je voulais connaître la violence sur moi, et qu'on soccupe un peu de mon petit anus qui se sentait seul. Je n'avais jamais pratiqué le god ceinture, je savais que j'y viendrais, mais il fallait y aller progressivement. A l'époque je ne connaissais que le god ceinture classique, celui qui était fixe sur une ceinture en cuir, je ne connaissais pas le straponme, le god que ces dames s'enfonce dans le vagin et qui leur dessine une verge à l'extérieur. Inscrit sur un site de rencontre célébre du monde vanille, ADOPTUNETORDUE, je discutais avec quelques femmes, mais rien qui ne m'interpelait. Puis un jour, un profil sans photo m'ajoute à son panier. Ce qui m'interpelait c'était sa taille 1m85. Je ne mesure que 1m75, qu'es ce qu'une grande gigasse vient s'intéresser à moi. Certe ma photo était sympa, mais je ressemblais plus à un repris de justice qu'autre chose. Nous avons commencé à discuter et elle était trés rigolote, trés fun, mais je n'avais pas de visage pour l'identifier. Alors j'ai décidé de commencer à la taquiner sur le conté SM, on avait déjà parlé sex ensemble . Pour tester, je lui ai dit "moi , j'aimerai bien me faire fesser par une grande femme comme toi, ça doit être fun". La elle m'a répondu "je suis un homme quand je baise" . Et elle m'a expliqué qu'elle aimait fister, doigter les hommes, les sodomiser etc etc... WWAAAOOOUUWW !! je tenais peut être ma maîtresse. Du coup on a échangé nos envies. Pour moi c'était clair : fouet, paddle, fessée, massage de la prostate, plug , sextoy de petit calibre mais je n'ai pas parlé de god ceinture. Du coup, elle m'a envoyé par mail sa photo; Elle n'était pas trés nette, mais on voyait une trés grande blonde aux cheveux au carré, avec un corps trés bien dessiné, de belles hanches et une belle poitrine. Mais c'était assez flou, j'avais un doute, ça ressemblait à un fake. Du coup nous nous sommes donnés rendez vous dans le bar d'un trés grand hotel à bordeaux (du même nom). Le vendredi du rendez vous, j'étais arrivé à l'avance. A l'entrée de l'hôtel, des majordomes m'indiquent le bar. Là, on ne rentre pas comme cela, un autre majordome me réceptionne et me propose une table. Trés bien placé, j'étais en face de l'entrée un peu décalé, je voyais toute la salle. J'avais indiqué que j'attendais une dame et je donnais mon nom au cas où elle me demanderait. Je lui envoyai un sms pour lui dire que j'étais arrivé et où j'étais. 5mn plus tard, je vois une espèce de créature gigantesque arriver. Plus haute que tout le monde, on ne voyait qu'elle. Je me suis dit "NON, c'est pas elle, c'est pas Stéphanie, elle est immense, mais c'est une bombe". Je me suis dit, non, ce n'est pas elle, je n'en croyais pas mes yeux, je me disais que j'avais été berné, je m'emballais juste sur une bombe. Puis le majordome avança dans la salle, suivit de cette femme. Tout le monde la regardait, et moi je regardais les gens, homme comme femme la regarder avec de grands yeux, mais je ne la voyais plus elle. J'observais les spectateurs, mais je ne voyais pas le spectacle. D'un coup , devant moi une masse sombre, le majordome était devant moi avec cette créature à coté de lui. Là j'ai senti des dizaines de paires d'yeux me scanner de haut en bas. Je me suis levé pour accueillir Stéphanie, elle était effectivement trés grande 1m85, mais en plus sur de trés hauts talons, hallucinante ; Elle était trés jolie, une femme de 42 ans, la peau sans rides, de jolis yeux noisettes et une coupe au carré blonde. Elle portait une robe trés moulante à fleurs, qui s'arrétait mi cuisse. On ne voyait que ses jambes trés bien dessinées , longues, trés longues, et son décolleté !!! . là aussi je crois que j'ai dû faire rire du monde. Debout, j'avais le visage à peine au dessus de ses seins et ils étaient..OUF!!! MAGNIFIQUES. J'ai eu un instant de blocage sur sa poitrine, mais trés rapide. Je passe toute la discussion que nous avons eu, mais elle m'a avoué qu'elle avait fait exprés de s'habiller comme ça, avec cette robe et ses talons haut, ça l'exitait de me gêner devant tout le monde. Aprés quelques verres et quelques patisseries, on a décidé d'aller s'amuser chez elle. En arrivant dans son appartement, elle m'a proposé d'aller me doucher. J'avais pris une douche avant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté, surement pour me faire redescendre de mon nuage. Quand j'ai eu terminé, il n'y avait pas de serviettes, je l'ai appelé pour le lui dire. Elle a ouvert la porte, j'étais nu sous la douche italienne. Elle avait tout prévu, le coup de la douche s'était pour qu'elle ai le temps de se changer. Elle avait un bustier noir qui soutenait sa poitrine tout en offrant la pointe de ses seins à la dégustation. Un string avec porte jarettelle noir aussi et des talons... j'étais tout petit, nu comme un vers, et elle m'a séché comme un enfant, en me mettant des petites tapes sur les fesses, elle commençait déjà son rôle. Là, elle me dit d'attendre dans la salle de bain. Elle est revenue avec une paire de menottes et un collier avec chaînes... Je bandais déjà comme un jeune adolescent ... Une foi les mains attachées dans le dos et le collier mis, j'ai eu droit à une petite séance de fessées debout avec quelques tapes sur mon sex. La maîtresse corrigeait le vilain petit garçon pour son érection.. Trés fun ,trés rigolo, et trés excitant !. Elle me tira dans sa chambre. je la suivais bien docilement, j'admirais ses fesses, justes sublimes, j'étais en plein rêve. Elle m'enleva les menottes et me mis à 4 pattes sur son lit, les fesses face à elle. Là elle me mit une bonne fessée. Puis, elle attrapa une cravache, me sortit du lit. Je me tenais debout devant elle, et elle commença à me cravacher doucement sur tout le corps en prenant soin d'y aller doucement sur mon sex. Mon corps commençait à chauffer doucement sous les coups. Puis elle pris un paddle et commença plus intensément à me frapper les fesses, les cuisses, l'entre cuisse et le dos. J'adorais. Elle commença à me pincer les tétons, de plus en plus fort, et de temps en temps elle me prenait la verge à pleine main pour me masturber un peu. Son visage était souriant, joyeux, rien de pervers, j'allait m'abandonner à elle complêtement, elle me donnait confiance. Aprés plus de 45 mn à me martiriser le corps, alternant coups et carresses sur le gland, elle se mit à genoux pour me sucer. J'étais aux anges, sa bouche m'aspirait le gland avec force, elle avalait ma verge dans sa plus grande partie avec une gourmandise indescriptible. Puis elle me dit "à moi maintenant, lêche moi". Elle s'allongea sur le lit, me tenant par la laisse et écarta ses cuisses pour enlever son string. J'étais à 4 pattes devant ma reine, je voyais sa poitrine dépasser du bustier, les tétons dressés, et elle m'offrait sa chatte toute épilée. Je ne me fis pas prier, je plongeais ma langue au fond de son hymen, je la pénétrais de ma langue. Sa chatte coulait de cyprine, je me noyais dedans, savourant chacune des odeurs intimes me parfumait le visage, je buvais sa cyprine, elle m'hallletait de sa chatte, j'étais au paradis. elle me dit "mais tu lêche divinement bien , continu je veux jouir". Excité par ses mots, je redoublais de voracité buccale, je happais, je lappais sa chatte, buvant le trop plein de sucs intimes pour ne pas en perdre une goutte. Puis elle m'appuya fortement la tête entre ses cuisses, elle s'est mise à gémir et à jouir en m'étouffant entre ses cuisses. Aprés cela, elle se leva. Elle ouvrit un tiroir duquel elle sortie un straponme mauve. Je n'en n'avais jamais vu. Je ne savais pas ce que c'était, je croyais que c'était juste un god classique. Là, debout face à moi, j'étais assis au bord du lit, je la vit s'enfoncer une partie dans sa chatte. Je me disais "merde, j'ai pas été bon, elle est obligée de se finir au god sans moi"; Puis elle attrapa un truc fait de lanières épaisse en cuir, et là je la regardais mettre ça comme une sorte de harnais qui venait soutenir le straponme comme un god ceinture classique..; HORREUR !! C'était un god ceinture, et je ne m'y étais pas préparé. Je ne sais pas comment j'ai fait, mais d'un bond , je suis passé d'assis sur le bord du lit contre bloqué contre la tête du lit, les yeux écarquillés. Là elle me regarda avec une regard plein d'incompréhension. Je luis dit "mais ça c'était pas prévu". Elle éclata de rires, elle avait compris le quiproquo. On discuta 2 mn puis je lui ai dit ok, on essaye. La pauvre, elle a mis tout le lubrifiant qu'elle pouvait dans mon anus et sur son god. J'étais à 4 pattes, elle essayait de m'ouvrir l'anus avec ses doigts, mais il était étroit à cette époque. Au bout de 5 mn, elle essaya de me pénétrer; Malheureusement, quand on est pas prêt psychologiquement, Mr ANUS refusait qu'elle me pénétre. Je l'entendait se positionner dans tout les sens, je sentais le bout du god essayer de rentrer en moi, mais il ne du pas faire plus de 2 ou 3 centimêtres en moi, ça voulait pas. Je l'entendais souffler comme un mâle en rut qui essaye de sodomiser une femme qui se refuse. Au bout de 10 mn, elle décida d'arêter avec le god ceinture. Elle se l'enleva, et commença à me mettre un doigt, puis 2 et elle me sodomisa avec ses deux ou trois doigts . Frustré de n'avoir pas pu le faire avec le god, elle me violenta l'anus au point que j'ai eu le trou du cul en feu pendant 3 jours !! LOL!. Une fois calmée, rassasiée de mon anus, on s'est mis en 69; Elle me demanda de lui lêcher l'anus pendant qu'elle me suçait. J'étais allongé sur le dos, elle sur moi, et je voyais ses jolies fesses et son joli anus qui était loin d'être vierge. Trop concentré sur cette vision de rêve, sur ma langue qui s'enfouissait en elle, j'ai éjaculé dans sa bouche sans le sentir, sans aucun orgasme, une première pour moi : éjaculer sans rien sentir, sans orgasme. Nous nous sommes arrété là dessus. Nous avons pris une douche et bu une bouteille de champagne. Cette femme était ma première DOMINA. Nous sommes restés en contact, mais n'habitant pas la région, elle ne vient ici que pour raison professionnelle dans un appartement de fonction. Nos rencontres se font rares, mais depuis je lui ai généreusement ouvert mon derrière dont elle s'occupe de la plus belle des façons. Je n'ai jamais eu l'envie de me mettre en couple avec une femme qui pratiquait le SM, mais avec elle, vu qu'elle switche parfois, ce serait juste GENIAL !!. Mais le coup du god ceinture et ma réaction appeuré reste un joke entre nous. Et quand elle sent que je vais me faire avoir professionnellement ou sentimentalement elle me dit "attention à la tête de lit", sous entendu, "tu va te faire enculer" LOL! Texte humouristique de ma première séance en tant que soumis. Il y a quelques années, aprés avoir été DOM, j'ai voulu tester le rôle de soumis. Je n'avais jamais pratiqué. Le plus extrême que je connaissais était des petits plugs dans mon petit anus si mignon, LOL, ou quelques massages de la prostate prodigués avec douceur et élégance (on parle du doigt qui vient vous titiller la prostate, pas des doigts qui font des va et viens pour vous sodomiser). Bref, vas y frappe, moi, fouette moi, attache moi, fait brûler ma peau pour faire monter ma transe, voilà où était mon désir. Je voulais connaître la violence sur moi, et qu'on soccupe un peu de mon petit anus qui se sentait seul. Je n'avais jamais pratiqué le god ceinture, je savais que j'y viendrais, mais il fallait y aller progressivement. A l'époque je ne connaissais que le god ceinture classique, celui qui était fixe sur une ceinture en cuir, je ne connaissais pas le straponme, le god que ces dames s'enfonce dans le vagin et qui leur dessine une verge à l'extérieur. Inscrit sur un site de rencontre célébre du monde vanille, ADOPTUNETORDUE, je discutais avec quelques femmes, mais rien qui ne m'interpelait. Puis un jour, un profil sans photo m'ajoute à son panier. Ce qui m'interpelait c'était sa taille 1m85. Je ne mesure que 1m75, qu'es ce qu'une grande gigasse vient s'intéresser à moi. Certe ma photo était sympa, mais je ressemblais plus à un repris de justice qu'autre chose. Nous avons commencé à discuter et elle était trés rigolote, trés fun, mais je n'avais pas de visage pour l'identifier. Alors j'ai décidé de commencer à la taquiner sur le conté SM, on avait déjà parlé sex ensemble . Pour tester, je lui ai dit "moi , j'aimerai bien me faire fesser par une grande femme comme toi, ça doit être fun". La elle m'a répondu "je suis un homme quand je baise" . Et elle m'a expliqué qu'elle aimait fister, doigter les hommes, les sodomiser etc etc... WWAAAOOOUUWW !! je tenais peut être ma maîtresse. Du coup on a échangé nos envies. Pour moi c'était clair : fouet, paddle, fessée, massage de la prostate, plug , sextoy de petit calibre mais je n'ai pas parlé de god ceinture. Du coup, elle m'a envoyé par mail sa photo; Elle n'était pas trés nette, mais on voyait une trés grande blonde aux cheveux au carré, avec un corps trés bien dessiné, de belles hanches et une belle poitrine. Mais c'était assez flou, j'avais un doute, ça ressemblait à un fake. Du coup nous nous sommes donnés rendez vous dans le bar d'un trés grand hotel à bordeaux (du même nom). Le vendredi du rendez vous, j'étais arrivé à l'avance. A l'entrée de l'hôtel, des majordomes m'indiquent le bar. Là, on ne rentre pas comme cela, un autre majordome me réceptionne et me propose une table. Trés bien placé, j'étais en face de l'entrée un peu décalé, je voyais toute la salle. J'avais indiqué que j'attendais une dame et je donnais mon nom au cas où elle me demanderait. Je lui envoyai un sms pour lui dire que j'étais arrivé et où j'étais. 5mn plus tard, je vois une espèce de créature gigantesque arriver. Plus haute que tout le monde, on ne voyait qu'elle. Je me suis dit "NON, c'est pas elle, c'est pas Stéphanie, elle est immense, mais c'est une bombe". Je me suis dit, non, ce n'est pas elle, je n'en croyais pas mes yeux, je me disais que j'avais été berné, je m'emballais juste sur une bombe. Puis le majordome avança dans la salle, suivit de cette femme. Tout le monde la regardait, et moi je regardais les gens, homme comme femme la regarder avec de grands yeux, mais je ne la voyais plus elle. J'observais les spectateurs, mais je ne voyais pas le spectacle. D'un coup , devant moi une masse sombre, le majordome était devant moi avec cette créature à coté de lui. Là j'ai senti des dizaines de paires d'yeux me scanner de haut en bas. Je me suis levé pour accueillir Stéphanie, elle était effectivement trés grande 1m85, mais en plus sur de trés hauts talons, hallucinante ; Elle était trés jolie, une femme de 42 ans, la peau sans rides, de jolis yeux noisettes et une coupe au carré blonde. Elle portait une robe trés moulante à fleurs, qui s'arrétait mi cuisse. On ne voyait que ses jambes trés bien dessinées , longues, trés longues, et son décolleté !!! . là aussi je crois que j'ai dû faire rire du monde. Debout, j'avais le visage à peine au dessus de ses seins et ils étaient..OUF!!! MAGNIFIQUES. J'ai eu un instant de blocage sur sa poitrine, mais trés rapide. Je passe toute la discussion que nous avons eu, mais elle m'a avoué qu'elle avait fait exprés de s'habiller comme ça, avec cette robe et ses talons haut, ça l'exitait de me gêner devant tout le monde. Aprés quelques verres et quelques patisseries, on a décidé d'aller s'amuser chez elle. En arrivant dans son appartement, elle m'a proposé d'aller me doucher. J'avais pris une douche avant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté, surement pour me faire redescendre de mon nuage. Quand j'ai eu terminé, il n'y avait pas de serviettes, je l'ai appelé pour le lui dire. Elle a ouvert la porte, j'étais nu sous la douche italienne. Elle avait tout prévu, le coup de la douche s'était pour qu'elle ai le temps de se changer. Elle avait un bustier noir qui soutenait sa poitrine tout en offrant la pointe de ses seins à la dégustation. Un string avec porte jarettelle noir aussi et des talons... j'étais tout petit, nu comme un vers, et elle m'a séché comme un enfant, en me mettant des petites tapes sur les fesses, elle commençait déjà son rôle. Là, elle me dit d'attendre dans la salle de bain. Elle est revenue avec une paire de menottes et un collier avec chaînes... Je bandais déjà comme un jeune adolescent ... Une foi les mains attachées dans le dos et le collier mis, j'ai eu droit à une petite séance de fessées debout avec quelques tapes sur mon sex. La maîtresse corrigeait le vilain petit garçon pour son érection.. Trés fun ,trés rigolo, et trés excitant !. Elle me tira dans sa chambre. je la suivais bien docilement, j'admirais ses fesses, justes sublimes, j'étais en plein rêve. Elle m'enleva les menottes et me mis à 4 pattes sur son lit, les fesses face à elle. Là elle me mit une bonne fessée. Puis, elle attrapa une cravache, me sortit du lit. Je me tenais debout devant elle, et elle commença à me cravacher doucement sur tout le corps en prenant soin d'y aller doucement sur mon sex. Mon corps commençait à chauffer doucement sous les coups. Puis elle pris un paddle et commença plus intensément à me frapper les fesses, les cuisses, l'entre cuisse et le dos. J'adorais. Elle commença à me pincer les tétons, de plus en plus fort, et de temps en temps elle me prenait la verge à pleine main pour me masturber un peu. Son visage était souriant, joyeux, rien de pervers, j'allait m'abandonner à elle complêtement, elle me donnait confiance. Aprés plus de 45 mn à me martiriser le corps, alternant coups et carresses sur le gland, elle se mit à genoux pour me sucer. J'étais aux anges, sa bouche m'aspirait le gland avec force, elle avalait ma verge dans sa plus grande partie avec une gourmandise indescriptible. Puis elle me dit "à moi maintenant, lêche moi". Elle s'allongea sur le lit, me tenant par la laisse et écarta ses cuisses pour enlever son string. J'étais à 4 pattes devant ma reine, je voyais sa poitrine dépasser du bustier, les tétons dressés, et elle m'offrait sa chatte toute épilée. Je ne me fis pas prier, je plongeais ma langue au fond de son hymen, je la pénétrais de ma langue. Sa chatte coulait de cyprine, je me noyais dedans, savourant chacune des odeurs intimes me parfumait le visage, je buvais sa cyprine, elle m'hallletait de sa chatte, j'étais au paradis. elle me dit "mais tu lêche divinement bien , continu je veux jouir". Excité par ses mots, je redoublais de voracité buccale, je happais, je lappais sa chatte, buvant le trop plein de sucs intimes pour ne pas en perdre une goutte. Puis elle m'appuya fortement la tête entre ses cuisses, elle s'est mise à gémir et à jouir en m'étouffant entre ses cuisses. Aprés cela, elle se leva. Elle ouvrit un tiroir duquel elle sortie un straponme mauve. Je n'en n'avais jamais vu. Je ne savais pas ce que c'était, je croyais que c'était juste un god classique. Là, debout face à moi, j'étais assis au bord du lit, je la vit s'enfoncer une partie dans sa chatte. Je me disais "merde, j'ai pas été bon, elle est obligée de se finir au god sans moi"; Puis elle attrapa un truc fait de lanières épaisse en cuir, et là je la regardais mettre ça comme une sorte de harnais qui venait soutenir le straponme comme un god ceinture classique..; HORREUR !! C'était un god ceinture, et je ne m'y étais pas préparé. Je ne sais pas comment j'ai fait, mais d'un bond , je suis passé d'assis sur le bord du lit contre bloqué contre la tête du lit, les yeux écarquillés. Là elle me regarda avec une regard plein d'incompréhension. Je luis dit "mais ça c'était pas prévu". Elle éclata de rires, elle avait compris le quiproquo. On discuta 2 mn puis je lui ai dit ok, on essaye. La pauvre, elle a mis tout le lubrifiant qu'elle pouvait dans mon anus et sur son god. J'étais à 4 pattes, elle essayait de m'ouvrir l'anus avec ses doigts, mais il était étroit à cette époque. Au bout de 5 mn, elle essaya de me pénétrer; Malheureusement, quand on est pas prêt psychologiquement, Mr ANUS refusait qu'elle me pénétre. Je l'entendait se positionner dans tout les sens, je sentais le bout du god essayer de rentrer en moi, mais il ne du pas faire plus de 2 ou 3 centimêtres en moi, ça voulait pas. Je l'entendais souffler comme un mâle en rut qui essaye de sodomiser une femme qui se refuse. Au bout de 10 mn, elle décida d'arêter avec le god ceinture. Elle se l'enleva, et commença à me mettre un doigt, puis 2 et elle me sodomisa avec ses deux ou trois doigts . Frustré de n'avoir pas pu le faire avec le god, elle me violenta l'anus au point que j'ai eu le trou du cul en feu pendant 3 jours !! LOL!. Une fois calmée, rassasiée de mon anus, on s'est mis en 69; Elle me demanda de lui lêcher l'anus pendant qu'elle me suçait. J'étais allongé sur le dos, elle sur moi, et je voyais ses jolies fesses et son joli anus qui était loin d'être vierge. Trop concentré sur cette vision de rêve, sur ma langue qui s'enfouissait en elle, j'ai éjaculé dans sa bouche sans le sentir, sans aucun orgasme, une première pour moi : éjaculer sans rien sentir, sans orgasme. Nous nous sommes arrété là dessus. Nous avons pris une douche et bu une bouteille de champagne. Cette femme était ma première DOMINA. Nous sommes restés en contact, mais n'habitant pas la région, elle ne vient ici que pour raison professionnelle dans un appartement de fonction. Nos rencontres se font rares, mais depuis je lui ai généreusement ouvert mon derrière dont elle s'occupe de la plus belle des façons. Je n'ai jamais eu l'envie de me mettre en couple avec une femme qui pratiquait le SM, mais avec elle, vu qu'elle switche parfois, ce serait juste GENIAL !!. Mais le coup du god ceinture et ma réaction appeuré reste un joke entre nous. Et quand elle sent que je vais me faire avoir professionnellement ou sentimentalement elle me dit "attention à la tête de lit", sous entendu, "tu va te faire enculer" LOL! Voir aussi Bandes Dessinées BDSM
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Par : le 18/04/21
Contrat d’esclavage la Maîtresse et son esclave Le soussigné … agissant librement et à cœur ouvert, demande à … qu’Elle accepte la soumission de ma volonté à la Sienne et qu’Elle me prenne sous Sa protection et sous Sa gouverne, afin que nous puissions croître en amour, confiance et respect mutuel. La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatibles avec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. A cette fin, je Lui offre l’usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec une humilité sincère que, en tant que ma Maîtresse, Elle accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de nos besoins sexuels, spirituels, émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera. De mon plein gré et mû par mon désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers la Femme que j’aime et que j’adore, je m’offre en esclavage à ma Maîtresse pour la période commençant le … et se terminant le … . Me considérant comme l’esclave à plein temps de ma Maîtresse durant la période ci-dessus mentionnée , je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres. Je demande qu’Elle me guide dans tout comportement sexuel, sensuel ou lié à une scène, avec ou sans Elle, de façon à ce que cela aide à mon épanouissement en tant que personne. Je demande à … , en tant que ma Maîtresse, qu’Elle utilise le pouvoir dont Elle est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu’Elle continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles. En retour j’accepte : 1. D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités. 2. De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité ou de honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités à La servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis. 3. D’entretenir une communication honnête et ouverte. 4. De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle. 5. De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne. 6. De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu’Elle est seul juge pour déterminer si et comment ils seront satisfaits. 7. De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positive et à atteindre des objectifs et espérances réalistes. 8. De travailler avec Elle pour devenir une personne heureuse et accomplie. 9. De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mes inquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs. Règles générales 1. L’esclave accepte d’obéir à sa Maîtresse à tous égards. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclave accepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu’Elle en respecte l’emploi. Si une situation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée. 2. L’esclave maintiendra son corps disponible pour sa Maîtresse à tous moments. 3. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d’autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. 4. L’esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Elle peut le punir sans raison si ce n’est Son propre plaisir. 5. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si Elle se fatigue du bruit qu’il fait, le bâillonne ou prenne d’autres mesures pour le réduire au silence. 6. L’esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu’Elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. Il formulera ses soucis d’une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte. 7. L’esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec amour et respect. Il s’adressera à Elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ». 8. La Maîtresse a le loisir d’offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement. 9. L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. 10. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et Celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. 11. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l’intervention d’une tierce personne. 12. La Maîtresse et l’esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu’à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus. 13. Il est permis à l’esclave de s’engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de la Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tous droits et privilèges appartiennent à la Maîtresse et Elle peut les exercer comme bon Lui semble. Règles de conduite en privé 1. Les jours où sa Maîtresse est à Son travail, l’esclave La saluera, portera Son collier, des entraves aux poignets et un chemisier appartenant à sa Maîtresse. Il ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission. 2. Les jours où la Maîtresse est à la maison, l’esclave portera ce qui est jugé adéquat par sa Maîtresse. Quand il se trouvera dans la même pièce que sa Maîtresse, l’esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où il se rend. Pendant les repas, l’esclave servira sa Maîtresse et s’assoira à Ses pieds pendant qu’Elle mange. 3. La nourriture de l’esclave sera fournie par la Maîtresse à Sa discrétion. 4. Quand il s’adressera à sa Maîtresse, ou quand Celle-ci lui parlera, l’esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera sa Maîtresse dans les yeux sauf en cas d’instructions contraires. Règles de conduite en public 1. En tout temps l’esclave se conduira d’une façon telle à ne pas attirer l’attention sur sa Maîtresse et sur lui-même. Il s’adressera à sa Maîtresse en l’appelant par Son nom seulement si l’usage de « Maîtresse » est non approprié. 2. L’esclave se conduira d’une manière déférente envers sa Maîtresse en public. 3. L’esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l’approbation de sa Maîtresse pour tout vêtement qu‘il souhaite porter en public. 4. Sauf stipulation contraire, l’esclave ne portera pas de sous-vêtements. Règles de conduite au travail 1. Aucun article du présent contrat n’a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l’esclave. 2. La Maîtresse souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu’il se conduise d’une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. 3. Durant ses périodes de travail, il est permis à l’esclave d’organiser ses rendez-vous, de s’habiller d’une manière convenable pour son travail et de quitter la maison si nécessaire. 4. Pendant ses périodes de travail, l’esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de sa Maîtresse. Consentement Ma soumission est faite en connaissance que rien ne me sera demandé qui pourrait m’avilir en tant que personne et que cela ne réduira en rien mes responsabilités à utiliser au mieux mes potentialités. Face à mes obligations professionnelles et familiales, rien ne sera exigé de moi qui puisse de quelle que manière que ce soit nuire à ma relation ou causer du tort à mes enfants, ni limiter mes devoirs de père. Ceci étant, moi, … demande instamment, avec lucidité et en en réalisant la pleine signification, tant explicite qu’implicite, que cette offre soit comprise dans l’esprit de confiance, d’attention, d’estime et de dévotion dans laquelle elle est donnée. Si l’un de nous devait se rendre compte que ses aspirations ne sont pas rencontrées par ce contrat ou trouve celui-ci trop contraignant ou qu’Elle/il souhaite pour toute autre raison annuler le présent contrat, chacun peut le faire en le notifiant verbalement à l’autre en concordance avec la nature consensuelle de cet accord. Nous comprenons l’un et l’autre qu’une annulation signifie une cessation du contrôle défini et impliqué dans le cadre de ce contrat et non une terminaison de notre relation en tant qu’amis et amants. En cas d’annulation, chacun accepte d’expliquer à l’autre ses raisons et d’évaluer ensemble nos besoins et notre situation d’une manière ouverte et affectueuse. Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l’amélioration dans nos vies. Acceptations Par ma signature ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus ainsi qu’à toutes autres que ma Maîtresse choisira d’ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée. J’offre mon consentement à ma soumission à … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour du mois de … de l’année …. Signature du soumis J’accepte le désir de Mon soumis de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de le discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté. J’offre Mon acceptation à la soumission de … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour de mois de … de l’année … . Signature de la Maîtresse
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Par : le 18/04/21
VOUS ETES NOVICE et CURIEUSE Vous aspirez à faire l’expérience de la soumission, ou vous venez peut être de franchir votre premier pas, qu’il soit concret ou symbolique, Vous souhaitez vous inscrire dans une relation à distance ou en réel… Vous être prête à chercher un Dominant, mais vous souhaitez vous sentir « sécurisée », pour vous éviter des rencontres infructueuses, décevantes ou plus franchement désagréables, voire, fracassantes ?! Je vous invite à prendre connaissance de ce petit guide méthodologique qui n’a aucune prétention, si ce n’est vous faire profiter de mon expérience et de mes réflexions personnelles de Dominant, en espérant que cela vous aidera à trouver quelques repères pour vous éviter quelques déconvenues et autres situations peu réjouissantes. PETIT PREMBULE En règle général, nous sommes toutes et tous plus ou moins en capacité de repérer ce qui nous convient et ce qui ne nous convient pas ! C’est du moins ce que nous avons tendance à croire fermement, pour la plupart d’entre nous. Seulement voilà, ce n’est pas toujours le cas ! En particulier dans le cadre de nos « choix relationnels » en général, car lorsque nous sommes portés par nos émotions, une certaine candeur, une méconnaissance de nous même, ou encore, par l'enthousiasme et l'empressement, il nous arrive d'être dans l'illusion de ce qui est bon pour nous ! C’est encore moins le cas, lorsqu’il s’agit de déterminer un niveau de compatibilité dans une dynamique relationnelle ouvrant à des repères tout à fait nouveaux, dans un contexte dont vous ignorez les codes et les applications, incluant un enjeu de séduction, ainsi que la perspective d’une forme de dépendance et d’iniquité ! Et ce, à plus forte raison lorsque l’on ne se connait pas soit même, que l’on ne parvient même pas encore à se projeter dans la peau d’une soumise, même si cela vous appelle et vous fait vibrer. Mais également, parce que vous pouvez être face à une personne tenant à peu près ce discours : « Écoute ma cocotte...je suis le mâle dominant et tout puissant, ton seul droit est de me dire « oui Maître » et de t’exécuter sans rechigner ni contester… il s’agit d’une règle universelle et c’est tout ce que tu as à savoir si tu veux être une vraie bonne soumise…» ! Comment reconnaître celui qui sera bon ou moins bon pour vous, lorsque vous ne connaissez pas le contexte environnemental et culturel D/s, ni celui ou celle que vous êtes et que vous seriez, en occupant un rôle inédit, qui vous expose, puisqu’il s’agit de vous abandonner et de lâcher prise corps et âme dans l’obéissance et la servitude ??? Et je ne vous parle même pas ici de toutes les pratiques pouvant vous amener à éprouver « l’humiliation », « la contrainte » et « la douleur », pour ne citer que ces 3 domaines ouvrant à des mises en situation diverses et variées. D’après mes observations, il suffit à une soumise novice, ou même plus expérimentée, d’être trop émotive, craintive et méfiante, de ne pas avoir suffisamment confiance en elle, ou encore, que ses ressentis et ses réflexions soient influencés par des préjugés, de mauvaises expériences, de vieilles croyances enfouies et plus ou moins inconscientes, pour qu’elle passe à côté d’une relation qui lui serait pourtant profitable. Quand on connait la difficulté de trouver « LA bonne personne », c’est une situation consternante ! Ma délicieuse protégée, Txoria swann, vous le confirmerait sans doute volontiers, au regard de son expérience personnelle !!! Sourire ! Ecoutons ce qu’elle a à dire sur le sujet : [« J’ai mis un orteil dans le monde nébuleux du BDSM à l’âge de 24 ans. J’en ai 39 aujourd’hui et (seulement) 3 Maîtres (dont mon merveilleux Monsieur Sitaêl) ont jalonné mon parcours de soumise au travers de relations intenses et suivies dans le temps. Il y a des périodes où je suis restée sans collier car je n’éprouvais plus d’envie ou bien encore parce que je ne trouvais pas LA personne qui correspondait à mes attentes. J’ai toujours été de nature méfiante et j’écoute mon intuition quand il s’agit de me livrer totalement à un homme. Je suis du genre à prendre BEAUCOUP de temps avant de m’engager et à dialoguer pendant des semaines avant d’envisager une rencontre. Monsieur Sitaël en sait quelque chose ! Il y a quelques années, il a dû faire preuve d’une infinie patience et tracer devant moi la voie de la confiance qu’il a toujours enteetenu !! Malgré mon attirance et ses efforts démonstratifs pour me rassurer, j’ai failli renoncer, portée par des croyances infondées, des peurs résultant de mes blessures et même par des complexes qui me faisaient me dire que je n’avais pas ce qu’il faut pour lui plaire et le satisfaire. Je n'aurais pas connu la référence du bonheur absolu si celui-ci ne m’avait pas habilement retenue par le col ! Pour autant, malgré mon bon sens et mes précautions, cela ne m’a pas empêché de faire face à des expériences décevantes et douloureuses avant de le rencontrer. Mais pour vraiment se connaître soi-même….ne faut-il pas en passer aussi par-là ?] (Txoria swann) Reprenons le cours de notre cheminement… Dans une toute autre mesure, pour ne pas dire « à l’inverse », je vois régulièrement nombre de candidates à la soumission se lancer aveuglément dans une relation, par excès de confiance, de naïveté, peut-être aussi anesthésiée par le sentiment flatteur d’être regardée, convoitée, choisie. Autrement dit, par méconnaissance et une certaine forme d’inconscience. Mais ne pas être d’une grande perspicacité ou une intellectuelle, ne vous prive pas de votre bon sens !!! On apprend à marcher en marchant ! Certes, cheminer, c’est tenter, expérimenter… En conséquence, se tromper, c’est gagner en expérience et en conscience ! Les erreurs sont même nécessaires selon moi, elles contribuent à notre enrichissement et nous donnent l’occasion de mieux nous connaître. Lorsque vous considérez avoir fait une erreur de jugement et d’appréciation par ignorance, il faut en tenir compte et vous pardonner, considérer cette expérience comme une étape bénéfique et passer à la suite. Mais il est des erreurs d’appréciation que l’on paie cher et même très cher…et dans ce domaine, certains acteurs que l’on peut croiser et côtoyer dans l’univers BDSM, sont de véritables spécialistes pour conduire une femme dans l’impasse et parfois même, dans les basfonds déstructurants de l’existence, alors que cette femme aspire courageusement à s’accomplir et s’élever dans le plaisir et la plénitude d’une soumission constructive, généreuse et libératoire. J’en viens donc au point principal de mon initiative. Selon votre nature, il est des situations et des individus qu’il faut savoir éviter !!! Je souhaite vous donner quelques clés pouvant vous aider à éviter de bien mauvaises expériences. ENTREE EN MATIERE Dans les premières heures d’un rapprochement relationnel entre Dominants et soumis (ses), j’ai observé que la question prépondérante et centrale que se pose généralement un(e) candidat(e) à la soumission, est de chercher à savoir « à quelle sauce il ou elle va être mangé(e) »…ce qui se traduit souvent par la formulation d’une question adressée à son interlocuteur, généralement assez proche de : « COMMENT allez-vous vous y prendre avec moi ? » Hors, il me semble que ce que vous cherchez à savoir d’essentiel au fond de vous, vous ne le trouverez pas là…car poser la question du COMMENT vous donnera des indications sur la manière de faire, sur la méthode, pour ceux qui en ont une, ou sur l’organisation et le fonctionnement de votre duo. « Quel Dominant/homme est-il ? De quoi est-il fait ? Est-il sérieux, capable et honnête dans son discours ? A-t-il une vraie démarche ? Il espère que je lui offre ma soumission mais lui…quels sont ses engagements ? » A l’aube d’une relation, voilà à mon sens, les vraies interrogations qui vous animent, me semble-t-il… Non ?? Mais comment vous assurer d’obtenir une « image claire », une réponse qui soit au plus près de la vérité !? Comment vous équiper d’un radar qui vous permettra de repérer la cohérence et les failles de votre interlocuteur et le bien-fondé de son discours et de ses intentions ? CONRETEMENT Je garanti à toute novice et prétendante à la recherche d’un partenaire Alpha, que le simple fait de lui poser la question du « QUOI et du POURQUOI », aura pour avantage immédiat de l’informer à la fois sur la consistance et la cohérence de son interlocuteur, en termes de conception, comme en termes de motivation et de personnalité ! Au lieu de chercher à savoir COMMENT, je vous invite donc à poser la question du « POURQUOI et du QUOI ». POURQUOI il/elle occupe cette fonction et sur QUOI il/elle fonde sa démarche et ses engagements de Dominant ! Cela aura pour grand avantage de mettre la lumière sur le sens et la cohérence de ce celui ou celle qui sera amené à conduire et animer cette relation et surtout, qui aura envers vous une responsabilité et un pouvoir….le pouvoir de vous épanouir, de vous décevoir, de vous abîmer et même de vous détruire ! Face à cette question, vous pourrez constater que certaines Dominants seront quelque peu déstabilisés, et même parfois désarçonnés, au point quelques fois de s’enflammer et de couper court à vos échanges, allant jusqu’à vous accuser dans certains cas, de vous montrer trop méfiante, indécise, « de chercher la petite bête », « de ne pas savoir ce que vous voulez »…, et ce, pour 2 raisons simples : 1/ Soit, celui ou celle qui se présente comme Dominant n’est peut-être pas encore tout à fait mure, très au clair avec le sens de sa propre démarche et ce qui la motive, et votre question va le/la renvoyer à ses propres incertitudes et inconnus, puisque sa démarche n’est pas encore élucidée, définie et structurée. 2/ Soit, votre interlocuteur(trice) n’est volontairement pas transparent(e) avec la réalité de son parcours, de ses intentions, de ses motivations, de ses capacités et de sa personnalité, de sa nature humaine, de son environnement social, familial, sentimental… Ceux qui réagiront à votre question avec virulence, sont pour la plupart, des Dominants autoproclamés, des affabulateurs, des illusionnistes, des imposteurs sans scrupules, des chasseurs de proies candides et naïves, des consommateurs sexuels, des frustrés maladifs et obsessionnels, de véritables pervers narcissiques égo centrés et manipulateurs… Reste donc à déterminer si c’est par simple manque de conscience et/ou d’expérience, ou si c’est déjà le signe évident que l’on cherche à vous dissimuler un manque de bienveillance et d’honnêteté ! Si vous obtenez une réponse argumentée, structurée, étayée à la question du « QUOI et du POURQUOI », c’est que votre interlocuteur a réfléchi et construit sa démarche, qu’il est en cohérence, en phase avec lui-même, indépendamment de son expérience, de ses tendances, de sa personnalité et de sa méthode. Un dominant peu expérimenté mais consciencieux, aura l’intelligence d’assumer son manque d’expérience et de vous en faire part. Si votre interlocuteur se montre muet, circonspect et fuyant, imprécis, ou qu’il manifeste un mouvement de recul, une forme de mécontentement, de colère, se retranchant derrière son statut sous couvert d’autoritarisme, c’est que vous avez touché son égo…son orgueil ! C’est que vous avez mis le doigt sur une faille…que vous avez ouvert la porte sur son incohérence et sans doute, sur des intentions et des prétentions édulcorées, illusoires et mensongères. Bien souvent, ceux qui ne sont dans cette attitude sont en fait des usurpateurs mobilisés par la soif de sexe et/ou de la promesse de jouir d’un pouvoir d’aliénation, sans effort ni justification… LES PROFILS TYPES DU DOMINANT TOXIQUE L’égaré: Il a vu la porte ouverte et il est entré ! Il peut vous donner le sentiment d’être séduisant et pertinent dans le rôle de Dominant, mais il est souvent englué et pas très heureux dans un contexte familial et sentimental qui le rend indécis et fuyant, non disposé à s’engager. Il n’est pas porté par la vocation de Dominant, mais par la parenthèse respirante que vous allez lui offrir. Sous couvert de culpabilité et de priorité, Il risque à tout moment et sans « crier gare », de s’en retourner à sa vie vanille. L’incompétent qui s’ignore Tout est dit dans la définition de ce profil ! Il n’a pas l’étoffe d’un Dominant qui vous accompagnera s dans le cadre d’un cheminement éducatif maîtrisé. Il saura apprécier votre dévouement, car puisque vous êtes à ses pieds, c’est que vous le reconnaissez légitime à exercer. Mais il vous donnera l’impression d’être l’objet d’expérimentations successives insuffisamment préparées ou contrôlées…sans but ni perspectives précises. Il va partir dans tous les sens…. Il peut être éduqué, tout à fait charmant et charmeur, être animé de bonnes intentions, mais sous couvert de maladresse et d’ignorance, on peut blesser durablement et profondément ! Sachant que ma protégée a connu ce genre d’individu, voyons ce qu’elle peut nous en dire à travers son témoignage : [« …Lors de ma toute première séance de soumission je me suis retrouvée obligée à servir d’urinoir… pratique qui n’avait JAMAIS été évoquée au préalable avec mon Dominant de l’époque qui me savait novice, pour laquelle je n’avais pas donné mon consentement, qui m’a dégoutée, choquée et que l’on m’a imposé sans que n’ai eu le temps de protester, saisie par l’effet de surprise et aussi (c’est triste à dire) par la peur de décevoir. (La peur de décevoir est un mécanisme puissant que certains savent exploiter et que d’autres cultivent sans rendre compte, sans en avoir conscience !) J’ai malgré tout poursuivi un long moment cette relation avant de m’apercevoir que cet homme entretenait une relation parallèle sérieuse avec une soumise… Ma vision des choses étant basée sur une notion de transparence, d’exclusivité et bien entendu de loyauté, ce mensonge a mis fin définitivement à notre relation. »] (Txoria swann) Le consommateur fantasmeur C’est un opportuniste essentiellement motivé par le sexe. A moins qu’il fantasme également le fait d’être un homme d’importance, enviable et envié, puisqu’il dispose du statut de Dominant, que votre présence vient légitimer. Il rêve et fantasme sa vie de manière basique, « Quel pied de disposer d’une femme qui ne veut et ne peut que me dire « oui » à tous mes fantasmes et mes envies… ». Il ne cherche pas une soumise à éduquer, mais une pute gratuite. Il aura tendance à vous dire ce que vous voulez entendre, pourvu qu’il puisse vous baiser et qu’il observe sa toute puissance et sa grandeur dans votre regard ! L’obsédé C’est un chasseur au sens littéral du terme. Il saura se camoufler pour revêtir l’apparence du Dominant rassurant, compétent et consciencieux. Développent souvent une compétence technique dans l’univers BDSM, et s’appuyant dessus pour vous émerveiller, il est insatiable, bonimenteur, dissimulateur et relativement égocentré. Souvent autoritariste graveleux, parfois charmeur affirmé et prétentieux et même BCBG discret et révérencieux… C’est un collectionneur dans l’autosatisfaction, ayant une haute estime de lui-même et gardant l’œil rivé sur son tableau de chasse. Votre appartenance et la dimension sexuelle de votre présence sont ses seules véritables motivations. Je vous propose de trouver ici le partage de Txoria swann : [« J’ai été soumise à un Maître qui disait m’aimer, qui me faisait miroiter que j’étais sa petite chose adorée, son trésor précieux, un Maître que j’admirais, qui s’occupait de moi divinement, qui m’a fait découvrir le shibari, qui ne cessait de me répéter que j’étais la seule, que je le comblais. Jusqu’au jour où, j’ai découvert que cet homme menait une véritable double vie et me cachait tout un pan de son existence. Il fréquentait activement les clubs dédiés le week-end, il avait d’autres soumises dans d’autres villes, d’autres pays… il était reçu régulièrement par des couples pour pratiquer le cucklod. Je suis tombée de très très haut face à ce manque cruel de transparence et j’ai mis des années à passer à autre chose. J’ai beaucoup souffert de cette trahison qui a laissé des traces profondes. Sans compter que cela aurait pu être bien pire puisqu’en toute confiance je pratiquais des rapports non protégés. Cela m’a énormément dégouté qu’un homme puisse mettre en danger la santé d’autrui, sujet que nous avions abordé tous les deux. Cette expérience douloureuse aura au moins eu le mérite de me faire réfléchir sur ce dont j’avais besoin dans une relation D/s et de mieux cerner mes attentes également. Ces blessures ont parfois rejailli très vivement dans ma vie de soumise et de femme, quand, de manière incontrôlée et injustifiée, je doute de Monsieur MyWay, par exemple… Il m’est arrivé d’avoir peur de revivre ce cauchemar, d’être roulée dans la farine. J’ai développé une forme de paranoïa…. Heureusement avec le temps, avec l’écoute et le travail d’accompagnement de Sitaeël, cela s'est estolpé. Après pareilles épreuves, le plus difficile est de donner à nouveau pleinement sa confiance. »] (Txoria swann ) Le pervers narcissique et manipulateur Véritable prédateur psychotique, il n’est pas très évident de le repérer, car il sait prendre un visage empathique, accueillant, rassurant et souriant…Sans nécessairement être brillant, il est souvent très intelligent, c’est d’ailleurs ce qui le rend dangereux. Pour autant, il est d’une grande pauvreté émotionnelle et spirituelle. Illusioniste hors parires, il peut vous donner le sentiment d’être porté par une démarche réfléchie et constructive. Il sait adapter son discours et son attitude lorsqu’il est en chasse, dans l’étape de séduction ! Sa perversité n’a rien de ludique, d’érotique ni de bienveillante, elle n’est pas orientée au service de votre plénitude, dans votre intérêt, mais dans le but de nourrir sa psychose maladive et obsessionnelle d’homme très égocentré. Son plaisir revêt un caractère véritablement maladif et souvent sadique. Il ne va pas vous élever, vous libérer et encore moins vous aimer, mais vous enfermer, vous aliéner et vous détruire et en tirer sa satisfaction. Il est schématique et cyclique, c’est-à-dire que lorsqu’il vous verra à terre, totalement aliénée, il vous dédaignera et vous dénigrera tout en s’assurant que vous restiez dans cet état et se remettra en chasse pour redéployer sa procédure machiavélique ailleurs.   EN TOUT ÉTAT DE CAUSE VOICI QUELQUES PETITES OBSERVATIONS et autres PRINCIPES À GARDER À L’ESPRIT Il incombe autant aux candidats à la soumission qu’aux Dominants, d’être en mesure de répondre à la question du QUOI et du POURQUOI. Si vous ne savez pas faire le point sur ce qui motive votre démarche, sur votre appel intime et personnel pour la soumission, vous allez airer, tâtonner, sans savoir QUI ou QUOI chercher, ni POURQUOI…et vous vous exposerez à de mauvaises et improductives rencontres. En outre, un Dominant digne de ce nom sera attaché à mesurer les raisons fondatrices qui vous poussent et vous motivent à vous exprimer dans l’abandon et le lâcher prise. Il sera à votre écoute…Sachez les identifier ! Faire le choix de la soumission, ce n’est pas « dire OUI » malgré soi, à quelqu’un qui ne le mérite pas ! Il n’y a pas de recettes….mais des tendances. Il n’y a donc pas une seule est unique manière de vivre et d’exprimer sa soumission… Il n’appartient donc qu’à vous de déterminer ce que vous voulez et ne voulez pas tout en gardant l’esprit ouvert et curieux. De même, il n’y a pas une seule et unique manière de conduire et mettre en œuvre une démarche de Domination… N’est pas Dominant qui le prétend…n’est pas soumise qui le veut ! Un parcours bien vécu, c’est un cheminement progressif, adaptée à votre personnalité, en termes de pratiques et d’intensité. Quel que soit son statut, Dominant ou soumise, chacun doit être capable de mener une démarche introspective, avec objectivité et lucidité, sans concession ni travestissement, sur ses envies et ses aspirations, sur ses qualités, ses atouts, ses contraintes, ses forces, ses faiblesses et ses failles, avant d’imaginer rencontrer la bonne personne ! Que l’on soit aspirant à la Domination ou à la soumission, pour trouver notre place et nous réaliser dans cet univers, la première rencontre à faire, c’est avec soi-même ! On apprend à marcher en marchant ! Un Dominant consciencieux, même s’il a la réputation d’être très exigent, stricte et sévère, est un Dominant attentif et altruiste, qui sera soucieux de votre bien être et qui n’est pas dénué d’humilité et de capacité à se remettre en question. A force d’expérience, un Dominant consciencieux pourra se distinguer et développer une véritable expertise dans un ou plusieurs domaines, qu’ils soient de nature technique (bondage, fouet, …) ou pédagogiques et méthodologiques (conduite du lâcher prise, travaille sur l’estime de soi, amener l’ouverture à de nouvelles pratiques,…). Un Dominant est aussi « un apprenant » et il ne doit pas l’oublier. Un Dominant ne doit son statut et son expérience qu’à celles et ceux qui le servent et l’ont servi !! Tachez de savoir sur quoi repose la conception et la motivation de votre interlocuteur. Avant de lui demander COMMENT il/elle envisage de s’y prendre, demandez-lui POURQUOI il/elle occupe cette fonction et sur QUOI il/elle fonde sa démarche et ses engagements de Dominant ! Si vous ne trouvez pas sur le descriptif de son profil la réponse à cette question, ce qui est très courant, demandez-lui de formaliser concrètement ses engagements personnels par écrit. Vous pourrez évaluer la conception, le sens et la motivation de votre interlocuteur en ayant la possibilité, si cela devenait nécessaire, de lui remettre ce document sous le nez pour lui faire remarquer un éventuel décalage entre son discours initial, ses intentions et la réalité. Si vous vous engagez dans une relation suivie et durable, cela sera un repère intéressant pour vous permettre de mesurer l’évolution de votre cheminement. Pour donner l’exemple, vous trouverez ici ce qui constitue le socle fondateur de ma propre gouvernance. Vous trouverez sur ce Forum de nombreux écrits sur le thème du CONTRAT et de l’acte d’engagement. Accessoirement, demandez-lui si il/elle a eu d’autres soumis(ses) à son service, si ces personnes sont présentes sur le site/Forum que vous fréquentez et si elles sont éventuellement joignables. Enfin, si vous aspirez à vous investir dans une relation construite, exclusive et durable, tâchez de garder à l’esprit ceci : Au motif d’obtenir ce qu’ils veulent (si tant est qu’ils le sachent véritablement ou qu’ils l’assument), beaucoup de ceux qui se revendiquent Dominant, s’inventent une vie, une personnalité, des compétences et une légitimité. A partir de là….vous pouvez être persuadée que tout ne sera que vitrine, mensonges, non-dits, faux semblant, manipulation et trahison. En cas de doute, écoutez votre instinct ! Si vous avez une forte tendance à la crédulité, à la naïveté, Si vous êtes muée par une charge émotionnelle traumatique relativement sévère, Si vous avez des troubles du comportement et de la personnalité, Ne vous aventurez pas, car vous serez une cible de choix pour les incompétents, les charlatans et les manipulateurs, qui ne vous épargneront pas ! Ou prenez la voix de la résilience… annoncez-vos singularités et vos fragilités à votre interlocuteur ! Sitaël
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Par : le 18/04/21
J'investis votre lit, audacieuse, câline Un bandeau signe ma soumission Le tissu en dentelle qui orne ma poitrine S'agite au rythme de mon excitation Dans ma position qui n'a plus rien d'humaine Je patiente en attendant votre venue Je vous espère tendre, vous me voulez chienne Consentante et soumise, sans retenue Pour sceller notre union intense et sincère J'ai attaché votre collier à mon cou Bien loin de m'avilir cet objet me rend fière Et libre d'assouvir vos désirs sous votre joug Je vous sens arriver par le bois qui craquelle Votre main se fait douce pour me caresser Sous vos doigts curieux, je me cambre, chancelle Gémissant quand votre paume vient me fesser. Entre mes cuisses offertes, vous vous posez cavalier Je me cabre et me cambre, je suis votre destrier Vous me tournez et cravachez ma croupe découverte J'exprime mon bonheur de vous être ainsi offerte L'échiquier de nos peaux conservera l'empreinte De ce moment passé de notre folle étreinte Je vous serai fidèle le temps de ma vie Me jouant des années et du temps qui nous fuit Le 2 juin 2014
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Par : le 18/04/21
Je suis nu au milieu de la pièce, avec mon collier, ma cage et un plug, comme tous les jours depuis un bon mois. Maîtresse a entre les mains une belle badine en rotin qu’on lui a présentée comme incassable. Je sens l’envie qu’elle a de vérifier. Et le test ne tarde pas. La badine virevolte dans l’air et s’abat sur mon corps. Maîtresse tourne autour de moi élégamment portée par la musique en visant mes fesses. Elle me chauffe, je ne le sais pas encore  mais Elle me prépare à  me surpasser. Elle va chercher son plaisir...   Le rythme s’élève progressivement . Je ne sais jamais où le rotin va  achever sa course. La douleur est fulgurante mais très éphémère. Seule la répétition devient insoutenable et pourtant je résiste. Je me dandine, je me tortille comme si je pouvais de la sorte lui échapper. Maîtresse m’a volontairement laissé libre de mes mouvements et se régale de me voir me recroqueviller ou tenter vainement d’esquiver le rotin. Dans un réflexe inutile, j'interpose mes mains sur mes fesses avec pour seul effet d'attirer la douleur sur mes doigts, aïe, aïe. Les tiges de rotin virevoltent de plus en plus vite, Maîtresse varie l’intensité, me fouette encore et encore. Le rotin se brise assez rapidement, Maîtresse y va de bon cœur, bien déterminée à aller au bout de son envie. Elle fait en sorte que j' encaisse. Les tiges cinglent progressivement de plus en plus fort. Des morceaux de rotin voltigent dans toute la pièce en se cassant sur mon cul et me tirant bien des grimaces qui excitent Maîtresse. La badine devient de plus en plus courte. Puis trop courte, ne reste plus que la poignée, les 3 tiges sont  entièrement  brisées.  Maîtresse en est ravie et très excitée. Tellement excitée qu'elle continue avec des triques de noisetiers qu’elle avait soigneusement préparées se doutant bien que le rotin ne lui résisterait pas longtemps. Elle me regarde avec son charmant sourire et me lance un irrésistible Encore ! Ce «encore» résonne si fort en moi. J’apprécie que Maîtresse prenne du plaisir, c'est ma motivation, je lui en servirais autant que je pourrais. De nouveau les tiges s’abattent sur mes fesses, mon ventre et mes cuisses. Maîtresse va se faire un plaisir de les réduire en miettes comme le rotin. Elle ne cesse de me répéter «Encore, oui tiens  encore» ,  «Encore,   continue allez encore», en s’emballant de plus belle. Je vois Maîtresse élever son plaisir proportionnellement aux marques qui me zèbrent tout le corps. J’atteins vite un lâcher-prise, une sorte d’état second qui m’échappe totalement. Je plonge au plus profond de moi pour endurer les baguettes de noisetier qui flagellent violemment ma peau déjà marquée par les coups de rotin...    Son bonheur m’irradie au même titre que la douleur. J’ai l’impression que Maîtresse n’a pas épargné un centimètre carré de ma peau. Je sens bien qu’elle est en train de réduire ma volonté de résister à néant mais un fantôme sorti de mon corps me dit «continue, tiens bon, Ta Maîtresse veut jouir de ta douleur. Toi tu n’es rien, tu ne comptes pas, regarde plutôt ce large sourire qui illumine Ta Maîtresse» Mes délires m’ont porté encore plus loin , les coups pleuvent sur moi, je ressens à nouveau le poids de la volonté de Maîtresse. Je tombe à genoux. Mais elle en veut  encore  plus. Elle m’arrachera bien des cris, mon corps capitule sous ses pieds, je sens les larmes montées. Je ne tiens plus, mais Maîtresse me pousse encore plus loin. Elle en retire tellement de jouissance. Je l’entends, elle me le dit, je suis fier mais la douleur me fait sortir des larmes qui surgissent du plus profond de mon corps. Maîtresse continue  de rompre ses branches  sur mon dos.  Le noisetier se brise comme fétu de paille. Il lui en reste encore suffisamment..  Maîtresse m'annonce alors la dernière ligne droite et va chercher les mots de mes maux. Elle  m' ordonne de ramper tout en continuant  de  me fouetter. Je me jette aussitôt à ses pieds et rampe en la suivant jusqu'à ce qu'elle m’arrache des pitiés sincères et répétées...    Enfin la fougue  de Maîtresse retombe,Je voudrais lui dire merci mais je n’ai pas la force mentale après avoir été si loin dans l’acceptation de sa domination. je n’ai plus de force tout court  et c’est à ce moment qu’elle m’offre un réconfort inespéré. Elle me cajole « c’est fini, c’est bien» en caressant mes cheveux.    Je m’écroule littéralement et je fond en larmes comme jamais. Mon cœur restera encore longtemps humide de toutes celles qui ne seront pas sorties de mes yeux.   Comme toujours, Maîtresse est prévenante, prends soin de son soumis ,l’éduque en le poussant à toujours plus se dépasser. A ce moment, j’ai compris pourquoi je voulais tant lui appartenir.  Elle a appuyé sur le bouton de l’ascenseur émotionnel, je suis monté très très haut   avant de redescendre les étages à une vitesse vertigineuse  et j’ai pleuré, une éternité il me semble...  J’ai atteint les sommets de la douleur, de l’acceptation. Mon corps flirtait avec le paroxysme de la résistance et alors qu’il n’espérait plus rien, Maîtresse a dressé un mur de tendresse où il s’est écrasé pour glisser à ses pieds...     Je me suis enfin redressé, j' ai vu ma Maîtresse  rayonnante, plus belle qu’un soleil d’été. Le résultat est immédiat, je retombe dans un bien-être oublié quelques instants auparavant... 
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