La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 22/06/20
Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait. Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse. Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ? Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime." Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac. Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse. Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle. Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait. Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait. Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée. Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire, le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle. Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels. Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée. Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou. Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe. Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur. Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance. Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet. Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/06/20
Juliette n'était pas du genre à accepter l'échec dans quelque domaine que ce soit surtout auprès des femmes. Elle avait le sens de la compétition, exacerbé par la pratique de l'équitation qu'elle pratiquait encore régulièrement. Rien ne lui plaisait plus que l'odeur des écuries, monter et démonter des barres en carrière au petit matin, s'endormir dans le van au retour d'un concours de saut d'obstacles. Elle avait fait la connaissance de Sarah dans un club. Depuis, elle n'avait qu'une idée en tête, la pousser à se soumettre totalement à elle, corps et âme. Elle était déjà son amante attitrée depuis leur rencontre. Sarah s'était révélée chaque nuit de leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes les femmes amoureuses ont le même âge, toutes deviennent des adolescentes exclusives, inquiètes, tourmentées. Sarah n'échappait pas à la règle. Mais cela ne déplaisait pas à Juliette. Elle était intelligente, sentimentale et charmante. Mais surtout, elle pressentait en elle, un réel potentiel de soumission. Guidée par la confiance qu'elle lui porterait, Juliette obtiendrait tout d'elle, la forcerait à concrétiser tout ce qu'elle désirerait, surtout ce qu'elle n'osait pas intimement s'avouer. Confiance aveugle indispensable pour Sarah lorsqu'un bandeau de velours ou un masque de cuir recouvrirait ses yeux, lors de séances de soumission, en des lieux et en présence d'inconnus. Les humiliations, les sévices sexuels et le fouet l'épanouiraient. Mais en respectant la sécurité. Tout être humain a ses limites, l'esclave a les siennes. Elles étaient devant une porte, à double battant, une antichambre étroite. Dans sa main, Juliette sentait les doigts anxieux de Sarah. Elle tremblait, non de froid, elle savait ce qui l'attendait de l'autre coté. Bientôt, elle connaitrait la révélation en pénétrant dans la cave du manoir. Un mélange de curiosité et d'angoisse surgissait en elle. L'inattendu est une arme de séduction. Le jeu des situations insolites l'excitait et le danger la grisait en la plongeant dans un état second où tout son être se sentait autoriser à se dédoubler, libérant ses pulsions refoulées. Elle portait une robe droite descendant sous le genou avec une fente arrière jusqu'aux reins, resserrée à la taille mais un peu lâche à la poitrine. Dessous, seulement une paire de bas noire tenue par un porte-jarretelle. Dans une des poches de sa Maîtresse, la laisse métallique qui lui était destinée lestait sa veste. Sarah frottait nerveusement ses cuisses et ses genoux les uns contre les autres faisant crisser ses bas. Elle semblait adorer l'appréhension qui précédait sa première mise à l'épreuve, excitée par la sensation d'être préparée ainsi à son sacrifice telle une vestale. Elle aurait seulement préféré être nue sous une longue cape. L’entrée passée, Juliette l'entraîna dans un petit salon dont l’un des murs était occupé par un grand miroir. Elle se glissa derrière elle, et souleva sa chevelure. Elle fit glisser la fermeture Éclair de sa robe de la nuque, jusqu’au bas de ses reins, dégageant ses épaules et sa poitrine. Son vêtement tomba à ses pieds. Elle ne portait plus que ses bas et une paire de talons hauts. Puis, elle dégrafa ses bas et les fit glisser le long de ses cuisses. Bientôt le porte-jarretelle rejoignit le reste de sa parure au sol. Juliette lui ôta ses chaussures. Elle était totalement nue. Juliette sortit de son sac un rosebud orné d'une couronne en rubis. Elle le prit dans ses doigts quelques instants pour le réchauffer. Sarah se pencha alors en avant en écartant ses fesses pour faciliter l'intromission. Il avait été décidé qu'elle serait privée de bâillon, pour l'entendre crier mais qu'en revanche un bandeau l'interdirait de voir ceux qui la fouetteraient ou ceux qui auraient envie de la posséder par tous les orifices naturels selon leur fantaisie. Sa Maîtresse lui enserra le cou d'un collier et lui passa à ses chevilles ainsi qu'à ses poignets des bracelets. Sarah se regarda furtivement dans le miroir avant que Juliette noue le bandeau sur son visage. Elle se trouva belle dans le secret de sa nudité et la noblesse du cuir. L'esclavage, c'est un peu comme l'amour, le vertige en plus. Le temps de réprimer son angoisse, la porte s'ouvrit. Elles reconnurent aussitôt Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu’à ses bottes en cuir. Juliette lui tendit sans hésiter la dragonne de sa laisse. Elle s'en saisit de ses mains gantées de cuir. - La nudité te va bien. Tu as un corps superbe, fait pour le sexe et pour le fouet. - Merci Madame, répondit Sarah. Elle ouvrit les deux battants et la guida vers son sacrifice; le lien pendait entre elles deux. Elle ne la tira pas, comme on mène un animal. Elle marchait derrière elle, les mains liées dans le dos, en se cambrant au maximum, projetant sa poitrine en faisant saillir ses reins. Attachée, mais libre, elle s'offrait. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs, l’attendait une croix de saint André. À coté d'elle se tenait une jeune fille brune aux cheveux très courts. - Je m’appelle Claire. - Et moi, Sarah, lui répondit-elle d’une voix respectueuse. - Nous allons beaucoup te faire souffrir. - Je sais que Juliette vous l’a demandé. - Madame a décidé: nous irons au bout de ce qu’elle a choisi pour vous, mais vous connaissez le code du safeword. - Je le connais et je suis prête. Claire lui entrava les chevilles et les poignets en fixant aux bracelets des cordes maintenus à la croix par des chaînes. Elle était écartelée, face à la salle plongée dans l'obscurité. Sarah savait que des yeux l'observaient, imaginant les tortures qu’ils aimeraient faire subir à sa fière poitrine, ou à son sexe ouvert. Mais seul, le regard de sa Maîtresse lui importait, en espérant qu'elle la trouve digne de lui appartenir. Atteindrait-elle le niveau de perfection qui sublimerait leur relation périlleuse. Il était essentiel pour elle de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne susciter aucun reproche, ou plus simplement par orgueil ou par fierté. Donner cet immense bonheur à la femme qu'elle aimait était une préoccupation majeure, bien plus que la concrétisation de ses fantasmes masochistes. L'une comme l'autre ne devaient pas se décevoir mais en respectant les limites à ne pas franchir. Sarah avait ses limites, l'esclave qu'elle allait devenir aurait les siennes. Juliette ne l'ignorait pas. Sur une table basse, un martinet à longues lanières en cuir, un fouet dont la mèche est tressé de deux cuirs différents, et une fine cravache. Claire prit le fouet, et lança son bras. La lanière s’enroula autour de sa taille et le serpent la mordit au centre de son ventre. Le coup fut doublé au même endroit par le martinet. Bientôt, ce fut le haut des cuisses qui attira l'attention. Jamais auparavant, ces parties de son corps n'avaient été touchées même par Juliette. Et quand les lanières s'attaquèrent à ses seins en lacérant leurs pointes, elle comprit qu'elle serait intégralement fouettée sauf au visage. Puis c’est le haut de ses cuisses qui fut l’objet de leurs attentions. En écho, les lanières atteignirent son pubis mais avec plus de délicatesse. Elle cria sa douleur, comme la femme qu'elle avait entendue dans le couloir. Elle aussi avait souffert, nue et crucifiée comme elle. Plus Claire frappait fort et plus Sarah s'offrait. Elle souffrait, mais elle dominait sa souffrance: le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait, la stigmatisait. Elle ressentait sa première jouissance cérébrale. Claire recommença méthodiquement à la flageller, lentement, alternant fouet et martinet, descendant et montant de ses épaules à ses cuisses, en quadrillant tout son corps, afin que les traces fussent nettes. La tête penchée sur le coté, elle pendait au bout de ses bras crucifiés. Bientôt, la croix qui la soutenait fut basculée vers l'avant parfaitement à l'horizontale. On lui ôta le rosebud puis une large olive métallique pénétra sans préparation son anus lui arrachant un cri de douleur. C'était un crochet anal. Claire attrapa le lien de sa chevelure et le passa dans l’anneau de métal, elle tira, cabrant sa tête en arrière. Une main adroite malaxa les pointes de ses seins pour les durcir avant de les prendre en étau par des pinces dentelées. Les deux mâchoires mordirent sa chair. Tout cela était nouveau pour elle, mais elle se montrait courageuse. Pas un instant, elle n'eut l'idée d'arrêter la séance en prononçant le code du safeword. Elle se découvrait plus masochiste qu'elle ne le pensait. Pour Claire, il était grand temps de franchir une nouvelle étape dans la séance. Ce furent les brûlures par une bougie. Les premières perles de cire brûlantes s'écrasèrent sur ses épaules. Bientôt les larmes de feu atteignirent ses seins zébrés par le fouet. Enfin la brûlure gagna son périnée entre les deux voies intimes. Dans son esprit échauffé par cette succession de peurs, de douleurs et de plaisirs entremêlés, des images fulgurantes de sacrifice déferlèrent en elle. Elle se surprit à chuchoter "merci" à chaque nouveau coup alors même que sa chair se déchirait et que son sang coulait. Elle allait gagner la considération de Juliette. Devenir esclave, digne de ce nom. C'était pour elle comme l'amour avec une excitation vertigineuse en plus. La fin de la soirée s'écoula comme dans un rêve. Après avoir ôté le crochet anal, on rétablit la croix de saint André à la verticale, pour la libérer de ses liens. Honteuse mais fière, elle avait joui des traitements infligés par la seule volonté de sa Maîtresse. Juliette la rejoignit, recouvra ses épaules d'une cape et l'embrassa. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 17 : Samedi 8 Samedi après-midi. J’arrive en même temps que s2 chez notre Maître. Nous sommes fébriles avec ce que nous devons annoncer à notre Maître. J’ai relu attentivement le contrat me liant à mon Maître que stipule "L’un ou l’autre des partenaires pourra le détruire et stoppera de ce fait l’engagement". J’ai contacté s2 et elle m’a confirmé que cette clause figure également dans son contrat. Nous nous sommes rencontrées dans la semaine et je lui ai annoncé le désir que j’avais de quitter mon Maître si elle en faisait autant. Je lui ai avoué que je l’aimais et nous sommes tombées d’accord pour rompre le contrat. Notre Maître nous accueille, il est habillé. Carole, habillée également, est assise dans un fauteuil. Je viens avec s2 embrasser les paumes de notre Maître. Il s’adresse à nous deux : - Restez habillées et asseyez-vous dans le canapé, j’ai des choses à vous dire. Nous ripostons : - Nous aussi, Maître. - Je vous écoute. Je prends la parole et explique à notre Maître la décision prise par s2 et moi. Il arbore un large sourire. Nous sommes soulagées. Il répond : - C’est parfait. Je vais me marier avec Carole et elle a exigé que je rompe avec mon passé de dominant. Elle veut que je lui sois fidèle. Nous pouvons donc considérer que les deux contrats que j’ai avec vous sont caducs. - Merci, Maître. Je m’appelle Jérôme. - Merci, Jérôme. - Merci, Florence et Laurence. Il s’approche de nous et nous embrasse amicalement. - Puis-je vous demander pourquoi vous avez pris cette décision simultanément ? - L’amour. - Je vois. S2 enlève son collier et je quitte mon boléro. Nous saluons Carole puis nous partons de chez Jérôme. Nous arrivons chez moi, à la fois désemparées de ne plus avoir de Maître et libres de nous aimer sans en référer à personne. J’ai vingt-deux ans, Laurence a dix-huit ans. Elle est étudiante, je vis seule et je suis indépendante financièrement. Laurence pourra venir chez moi quand je le voudrai. Nous projetons de nous présenter à nos parents respectifs. Nous avons envie de revendiquer notre bisexualité et notre amour. Laurence reste avec moi ce soir. Nous allons nous coucher dans le même lit. Mais notre amour ne changera pas la relation que nous avons, je resterai sa Maîtresse, elle restera ma soumise. Laurence m’appartient donc exclusivement.   FIN
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Par : le 14/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 16 : Dimanche 7 Dimanche après-midi. J’arrive chez mon Maître en même temps que s2. Nous allons embrasser les paumes des mains de notre Maître. Il nous dit de rester habillées. Nous partons en voiture vers une destination inconnue. Bientôt, nous arrivons dans un club. Au vestiaire, nous nous déshabillons complètement. Je garde néanmoins mon boléro et s2 son collier prolongé de la laisse. Notre Maître nous fait faire le tour des différentes pièces. Il nous donne ses recommandations : - A priori, vous ne devrez rien refuser, mais on ne sait jamais. Je vous surveillerai toutes les deux. S’il y a un problème, vous m’appelez. Nous répondons : - Bien, Maître. Où devons-nous aller ? - Où vous voulez, en attendant une invitation. - Bien, Maître. Notre Maître s’éloigne. S2 reste près de moi. Un homme s’approche de nous et prend s2 par sa laisse. Il l’emmène dans un recoin. Je les suis. Il ordonne à s2 de s’agenouiller devant lui et de le sucer. S2 prend une fesse de l’homme dans chaque main et l’attire vers elle. Pas de préliminaire, s2 pratique tout de suite une gorge profonde. L’homme gémit mais il prend son temps. S2 a très vite progressé dans l’art de la pipe. Enfin, l’homme jouit. S2 semble se régaler. S2 n’a pas le temps de se relever, un autre homme est devant et lui présente sa queue, s2 s’en empare et recommence une pipe. Assez rapidement, il éjacule. Un autre homme se présente, s2 fait sa troisième pipe, elle s’applique toujours autant. Elle reçoit un troisième jet de sperme. Elle peut enfin se relever. Elle m’adresse un sourire de connivence. Un homme se présente près de moi. Il m’ordonne de le suivre. Nous arrivons à une croix de Saint-André sur laquelle je suis attachée, dos accolé à la croix, pieds et poings liés, bras au-dessus du corps et les cuisses écartées. Je suis à la merci de tout le monde. Je remarque que mon Maître m’observe. L’homme qui m’a attachée prend un fouet. Il m’administre des coups sur les seins et le pubis. Puis, relâchant le fouet, il se présente devant moi. Il présente sa queue devant mon pubis et me pénètre. Je ne peux pas bouger, c’est l’homme qui effectue des va-et-vient pour bien me pénétrer, ce qui me provoque un orgasme. J’ai du plaisir à me faire prendre par un inconnu. Il finit par jouir en moi. Puis, surprise, c’est mon Maître qui s’approche. Et, directement, sa queue pénètre dans ma fente. Je pousse un cri, je suis heureuse. Un attroupement s’est créé autour de nous. Je connais la résistance de mon Maître, il me possède pendant une éternité provoquant encore deux orgasmes. Puis il éjacule. Je suis heureuse de recevoir son foutre. - Merci, Maître. Il me détache puis s’éloigne. Je déambule dans les différentes pièces. J’arrive près d’un mur où deux femmes sont en train de sucer des bites, les hommes se trouvant de l’autre côté du mur. Une des femmes ayant terminé sa pipe se relève, je prends sa place, je m’agenouille devant le glory-hole. Un pénis apparaît, je me le mets en bouche immédiatement. J’effectue des va-et-vient, je sens le sexe grossir dans ma bouche. L’homme jouit rapidement. J’ai le choix de recracher ou d’avaler. Mais j’ai bien été éduquée, j’avale. Je continue ma balade, je n’aperçois ni mon Maître ni s2. Un homme m’aborde. Il me dit ce qu’il attend de moi. Je suis d’accord. Nous allons dans un recoin, je m’appuis de mes mains sur le mur en me penchant. La verge de l’homme balaie la raie de mon cul puis pénètre peu à peu entre mes fesses. Cet homme sait vraiment s’y prendre, aucune brutalité pour s’insérer à moi. Il me ramone et je prends beaucoup de plaisir. L’homme jouit en moi et, en me quittant, me remercie. Je retrouve s2 en train de se faire prendre. Elle est gâtée, quatre hommes sont autour d’elle, elle a une queue dans le sexe, une autre dans le cul, une troisième dans la bouche et elle en branle une quatrième. Les quatre hommes ont l’air d’être ravis. Ils jouissent tout à tour, les trois premiers dans chacun des orifices de s2. Quant au quatrième, il asperge la figure et les cheveux de s2 qui reste au sol un bon moment. Mon Maître nous rejoint. S2 lui adresse la parole : - Merci, Maître pour cet après-midi. À mon tour, je remercie mon Maître. C’est le moment de partir. Nous repassons au vestiaire et nous rhabillons. Mon Maître me dépose en bas de chez moi. Je n’ai pas l’occasion d’embrasser s2 comme je l’aurais voulu. Je suis heureuse de mes expériences. Je retiens surtout que mon Maître m’a prise et m’a fait jouir comme je n’avais jamais joui. J’ai aimé aussi me faire prendre par des inconnus et surtout d’avoir sucé une queue d’un homme dont je ne voyais rien d’autre. Mais je suis de plus en plus attirée par s2. Il faudra que je trouve un moyen de la joindre et de nous retrouver toutes deux en l’absence du Maître. J’ai vraiment des idées coupables.
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Par : le 11/06/20
Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard. Déjà, le désir parcourait son corps. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 10/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 14 : Dimanche 6 Je me réveille, j’ai le sexe de mon Maître dans la bouche. Je me suis réveillée deux fois dans la nuit. Le sexe était sorti de ma bouche, j’ai tout de suite rectifié la position. Mon Maître se réveille. Je commence à le sucer mails il m’arrête : -    J’ai envie d’uriner. -    Moi aussi. Vas-y d’abord puis va dans le bas à douche, tu te mets à genoux et la bouche ouverte. Je sais ce qu’il veut. Après avoir satisfait mon besoin personnel, je prends la position adéquate. Mon Maître arrive, place son sexe entre mes lèvres et commence à uriner. Ce n’est pas un exercice facile, réceptionner le liquide et l’avaler. J’y arrive presque. Je ramasse avec mes doigts les gouttes sur mes seins puis je lèche mes doigts. Nous retournons dans la chambre et je continue ce que j’avais commencé. Mon Maitre ne bouge pas, il sait que je vais faire ce qu’il aime, lécher les bourses, gober les couilles, lécher le gland et, enfin, absorber la queue au maximum. Ma tête bouge verticalement. J’arrive à absorber la totalité du sexe, j’en aime le contact avec le fond de ma gorge. J’aime aussi recueillir la semence le plus profondément possible. Mon Maître m’a bien formée. Mon Maître a posé ses mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements. Je présume qu’une pipe est un grand bonheur pour l’homme, c’est aussi un grand bonheur pour la femme que de sentir dans sa bouche les sensations de son partenaire et, en particulier, suivre son orgasme. Mon Maître est très résistant dans cet exercice. Ma bouche continue de monter et de descendre sur le sexe. Et, puis, c’est l’étincelle, je reçois en cadeau un jet de liquide qui réjouit mas papilles. Je me délecte, je déguste et je finis par avaler. -    Merci, Maître. Nous nous levons et prenons notre petit-déjeuner. Je pense à s2 qui doit se morfondre dans la cave. Mon Maître me tend la clé : -    Va chercher s2. Je rentre dans la cave. S2 est assise sur le sol : -    Bonjour, madame. Je la prends par la laisse et l’emmène au salon. -    Bonjour, Maître. -    Va prendre une douche ! -    Oui, Maître. Mon Maître s’adresse à moi : -    Tu la reprends en main ! -    Oui, Maître. S2 revient toujours à quatre pattes. Je l’invite à venir se restaurer. Mais elle doit rester à terre. Elle a le droit de se servir de ses mains. Je lui jette un morceau de pain et dépose un bol de café sur le sol. Quand elle en a terminé, je la reprends par la laisse et l’emmène aux toilettes. Je défèque, je me relève, me tourne vers s2 : -    Je veux que ta langue remplace le papier hygiénique. Je veux avoir le rectum tout propre. On ne m’a jamais obligée à le faire mais je l’aurais fait pour plaire à mon Maître. S2 s’approche de moi, prend une fesse dans chaque main et sa langue commence à me lécher. Apparemment, elle a bien effectué son travail. Je vérifie avec du papier hygiénique, j’ai un cul tout propre. -    Va te rincer la bouche et rejoins-nous dans le salon. -    Oui, madame. S2 revient à quatre pattes dans le salon. Le Maître décide d’une sortie. S2 va garder son collier. Je garderai mon boléro. Nous nous habillons. S2 porte un teeshirt et une jupe, tout comme moi. Pas de soutien-gorge ou de culotte ni pour l’une ni pour l’autre. Je dois marcher devant avec s2, le Maître est à quelques pas derrière nous. S2 et moi-même nous devons nous tenir par la main, s’arrêter souvent pour s’embrasser à pleine bouche, puis nous rendre dans un parc où nous devons nous asseoir sur un banc, s’embrasser, nos jupes étant retroussées et laissant voir nos pubis. Nous nous rendons au marché, c’est la foule du dimanche matin. Nous suivons à la lettre les recommandations, nous nous tenons par la main, nous nous embrassons souvent. Nous constatons des réactions diverses, certaines très hostiles, d’autres plus égrillardes. Nous arrivons dans un parc et choisissons un banc. Nous nous embrassons, nos jupes sont relevées. Plusieurs hommes passent devant nous plusieurs fois, l’un d’entre eux s’assoit sur le banc d’en face et nos gesticulations lui plaisent. Deux hommes se présentent en nous proposant d’aller dans un hôtel, une femme nous injurie. Le Maître a suivi toute la scène et a même fait quelques photos. Il nous fait signe de le rejoindre. Il nous indique que nous allons nous rendre dans un restaurant. Le repas se passe bien. Notre Maître nous gâte. Il rappelle les rudiments de la tenue d’une soumise, les cuisses doivent être légèrement écartées, la jupe ne doit pas être rabaissée, quand la soumise se penche en avant, elle ne doit pas mettre la main sur le devant du teeshirt. Il nous rappelle que toute pudeur doit être exclue. Nous terminons le repas et rentrons. Tout de suite, nous nous déshabillons. Le Maître est nu, s2 garde son collier et sa laisse et j’ai toujours le boléro. Le Maître prend une corde et nous lie les pieds. Une autre corde nous relie sous les seins. Nous sommes s2 et moi dos à dos au milieu du salon. Le Maître s’empare du fouet et nous frappe tour à tour. Nous devons compter les coups et remercier à chaque fois. Le Maître a commencé par nos seins, il continue par le sexe, puis les cuisses. Il termine en donnant à chacune une bonne paire de gifles. Puis il nous laisse comme ça un bon moment. Nous commençons à nous ankyloser. Notre Maître vient nous délivrer. Nous nous retrouvons tous les trois sur le lit. Notre Maître m’ordonne de le sucer. Il met directement sa verge dans ma bouche. Il fait se positionner s2 devant lui. Puis quittant ma bouche, son sexe pénètre dans le cul de s2. Mon Maître s’adresse à moi : -    Va sucer s2 ! Je plaque ma bouche contre le pubis de s2 et ma langue atteint son clitoris. Je dois me cramponner à cause des mouvements du Maître dans le cul de s2. Elle a un orgasme. Est-ce que c’est le Maître ou bien moi qui en est la cause ? Certainement les deux. Nous continuons ainsi, s2 avec un sexe dans le cul et une langue dans le sexe. S2 a un second orgasme. Le Maître rugit, il vient de jouir, son sexe quitte le cul de s2, il distribue les rôles : s2 doit lui nettoyer le sexe avec sa langue et je dois aller récupérer son sperme. Tandis que s2 a pris en bouche le Maître pour nettoyer son sexe, je place ma bouche à l’entrée du cul de s2. Je lèche pour récupérer le précieux liquide. Une fois en bouche, je fais circuler le sperme pour bien le déguster et je déglutis. Le Maître a fait connaissance avec la bouche et l’anus de s2 mais pas avec son vagin. Le Maître s’adresse à ses deux soumises : -    Maintenant, vous partez. S1 garde le boléro et s2 garde le collier et la laisse. Rendez-vous samedi prochain. Nous répondons en chœur : -    Oui, Maître. Nous allons embrasser les paumes des mains de notre Maître. S2 ne sait pas comment me dire au revoir. Je lui dis d’embrasser mes pieds ce qu’elle fait. Nous nous rhabillons puis nous partons. J’ai passé avec mon Maître et s2 un excellent weekend. L’entente avec s2 est parfaite. Vivement samedi prochain !
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Par : le 09/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 13 : Samedi 6 Samedi après-midi. J’arrive chez mon Maître, il est habillé. Je me déshabille et vais lui baiser les paumes. Dans le salon une jeune femme nue est allongée sur le ventre, de tout son long. Ses bras et ses jambes sont écartés. Je ne vois pas sa figure, elle est blonde et a un magnifique fessier. Mon Maître s’adresse à moi : - C’est Laurence. Nous nous sommes contactés sur internet, c’est notre première rencontre. Elle vient juste d’avoir dix-huit ans et, ce qui est incroyable, elle m’a assuré être vierge devant et derrière et elle n’a jamais sucé. Je ne comprends pas pourquoi mon Maître me donne toutes ces explications. Il continue : - Nous venons de signer un contrat d’appartenance, elle n’a émis aucune restriction, elle est donc ma propriété exclusive. Je ne comprends toujours pas. Mon Maître poursuit : - J’ai donc maintenant deux soumises. Je dois donc établir une hiérarchie. J’ai décidé que tu seras soumise numéro 1, je t’appellerai s1 et Laurence sera soumise numéro 2, on l’appellera s2. Tu auras donc autorité sur s2, elle devra t’obéir. Je lui ai déjà expliqué le processus. - Elle est d’accord ? - Elle n’a aucun avis à formuler. Je vais donc te la confier. Je veux que tu la dépucèle devant et derrière et, quand je te le dirai, elle me sucera. Je veux aussi que tu lui fasses faire connaissance avec le fouet, la cravache ou ma ceinture. Pour le reste, tu fais comme tu le sens. - Mais, Maître, je ne pourrai pas ! - Tu le feras, je te l’ordonne ! - Bien, Maître. - Pour commencer tu vas quitter ton collier et lui passer autour du cou. Tu porteras le boléro qui est sur la chaise. Une soumise numéro 1 doit porter un vêtement léger. - Bien, Maître. Aura-t-elle le droit de jouir ? - Bien entendu, elle doit apprendre le plaisir. Par la suite, elle saura ce qu’elle perd en en étant privé. - Bien, Maître. Je quitte mon collier, je me baisse vers s2 et lui passe le collier autour du cou. Elle me dit : - Merci, madame. Je vois que mon Maître a bien commencé l’éducation de sa nouvelle soumise.et je suis étonnée de m’entendre appelée madame. Je revêts le boléro, symbole de ma promotion. Ce boléro me couvre les épaules et le dos, il s’arrête à la taille, il ne ferme pas laissant à découvert mes seins, mon ventre, mon pubis et mes fesses. Je vais essayer de faire pour le mieux, je suis maintenant à la fois soumise et dominante mais je suis avant tout la soumise de mon Maître qui me fait confiance. Je m’approche de s2 : - Debout ! Je découvre une belle jeune fille. Des seins assez volumineux et un pubis agrémenté de poils. Je regarde mon Maître qui me dit : - Elle a désobéi. - Maître, si vous avez ce qu’il faut, je la rase. Mon Maître part et revient avec de la mousse à raser et un rasoir. J’entraîne s2 sur la table. - Couches-toi sur le dos et écarte les cuisses. Je commence le rasage en faisant bien attention à ne pas couper la chair. J’ai réussi. Je peux admirer son pubis lisse. Mon Maître a filmé le rasage. - Et derrière, Maître ? - Oui. Je fais mettre s2 à plat ventre sur la table et je m’attaque aux poils de sa raie. Je fais attention, je réussis sans aucune entaille. Je lui fais lever les bras, les aisselles sont rasées. Je vérifie les cuisses et les jambes. Aucun poil. Mon Maître apprécie. Je fais remettre Laurence debout. - Tu te mets à quatre pattes ! - Oui, madame. En prenant la laisse je la fais déambuler. Je la fais se cambrer pour mettre en valeur son fessier. Ses seins ballotent de gauche à droite. J’ai une impression bizarre, je suis soumise et dominatrice. J’ai toujours été plus ou moins dominée, je ne pensai pas être un jour dominante. Je me sens à l’aise entre mon Maître et s2. Nous parcourons l’appartement puis nous arrivons dans la chambre. Le gode-ceinture repose sur le lit, il a été lubrifié ce sera mieux pour un double dépucelage. J’ai placé le gode sur mon ventre. Mon Maître nous a suivies et a commencé à filmer. - Mets-toi à genoux dans le lit ! - Oui, madame. Je me place devant s2 et lui présente le gode devant sa bouche. - Suce ! Elle n’a pas le temps de me remercier. Je lui enfonce le gode dans la bouche. Je procède progressivement et j’enfonce le gode de plus en plus. Elle se met à tousser. Je la laisse faire. - On recommence, tu dois t’habituer à avoir la bouche pleine. - Oui, madame. J’enfonce à nouveau le gode et, cette fois, elle résiste. - C’est bien, tu fais des progrès. - Merci, madame. Je la contourne et vérifie l’état de son vagin, il est sec. Avec mes mains, je la maintiens aux hanches, je place le gode devant son sexe et le gode entre dans son vagin. Je vais y aller progressivement. Je commence des va-et-vient puis le gode progresse. J’accélère le mouvement. Cette action me fait mouiller. Je jour un rôle de mâle et je réagis en femelle. Le gode entre maintenant complètement. S2 gémit puis jouit. Je continue de plus belle. Puis je me retire pour attaquer le second dépucelage. Le gode est à l’entrée de son cul. S2 se contracte, elle sait ce qui va lui arriver. - Détends-toi, laisses-toi faire. Je vais y aller doucement. - Oui, madame. Mes mains attrapent ses fesses et les écarte pour laisser la place au gode. Je le fais entrer très lentement, une première sodomie doit être réussie et c’est difficile de la subir. Le gode se fraie un chemin. La sodomisée se détend un peu. Le gode pénètre de plus en plus. Maintenant, s2 s’est relâchée et se laisse faire. Je poursuis encore un moment cette sodomie puis je retire le gode. Je contourne s2 et viens présenter le gode devant sa bouche. - Lèche et suce ! Elle a un mouvement de recul. Je sais que je lui impose un exercice difficile mais ça fait partie de l’éducation d’une soumise. J’attrape s2 derrière la tête et lui approche la bouche du gode. Doucement mais fermement ! Elle ouvre la bouche et sa langue commence à sucer le gode. - Nettoie-le bien ! Quand je vois qu’elle a bien léché le gode, je le lui enfonce à nouveau dans la bouche. - Tu ne devras plus avoir de réticence les prochaines fois. - Non, madame, je vous le promets. - Maintenant, couches-toi et attends. - Oui, madame. Mon Maître m’adresse la parole : - De quoi avais-tu peur ? Tu te débrouilles pas mal. - Merci, Maître. Voulez-vous qu’elle vous suce maintenant ? - Pas tout de suite. - S’il vous plaît, prêtez-moi votre ceinture. Mon Maître se défait de sa ceinture et me la tend. J’appelle s2. - Je croyais t’avoir dit de te déplacer à quatre pattes ! - Pardon, madame. - Tu seras punie. - Oui, madame. Aussitôt elle se met à quatre pattes. - Viens me lécher les pieds ! - Oui, madame. S2 commence à me lécher les pieds. - Mieux que ça et n’oublie pas de passer ta langue entre les orteils ! - Oui, madame. Elle s’applique, je suis satisfaite de ta prestation. - Mets-toi debout. Je vais te donner des coups de ceinture. Chaque coup devra être compté à haute voix et tu devras me remercier. Je commence les coups et me souvenant de ce qu’aime mon Maître, j’en donne vingt-cinq, cinq sur les fesses pour commencer, puis cinq sur le dos, cinq sur les seins, cinq sur le sexe et cinq sur les cuisses. Dès les premiers coups, mon Maître m’a dit de frapper plus fort. Quand j’ai terminé, je lui ordonne de se remettre à quatre pattes. Je vois mon Maître se déshabiller, son sexe est bien dressé. Je sais ce qu’il veut. J’attrape s2 par les cheveux et la traîne dans la chambre où elle a été doublement dépucelée. Mon Maître est couché sur le dos. Je m’adresse à s2 : - Je vais t’apprendre à sucer un homme. - Oui, madame. - Je serai à côté de toi pour te guider. Ton Maître voudra jouir dans ta bouche. Tu recueilleras son sperme. Tu n’arrêteras pas de sucer, c’est le Maître que se retirera. Tu montreras au Maître sa semence sur ta langue. Tu feras tourner le sperme dans ta bouche puis tu avaleras. Enfin, tu remercieras ton Maître. - Oui, madame. S2 se place la bouche vers le sexe de son Maître. - Tu commences par sucer les couilles puis tu les gobes. Attention à ne pas faire mal à ton Maître. S2 approche sa langue des couilles et commence à lécher. Puis elle les gobe l’une après l’autre. - Bien, maintenant, tu prends la queue en main et tu lèches le gland, tu lui donnes des petits baisers. Elle s’applique. Le sexe du Maître grossit. - Maintenant, tu mets le sexe dans ta bouche. Tu dois penser que c’est un sucre d’orge. Tu lèches et tu essaies de faire avancer le sexe dans ta bouche. Tu effectues des va-et-vient. Et tu lui caresse les couilles en même temps. Je vois sa bouche monter et descendre le long du sexe. Quand elle est au plus bas, ses lèvres touchent le pubis du Maître. - Quand le Maître éjaculera, il ne faudra pas reculer, il faut lui montrer que tu es heureuse de recevoir son sperme. Je sais que mon Maître est résistant. S2 continue ses mouvements de bouche. Pour le moment, elle réussit sa première pipe. Enfin, le Maître jouit dans la bouche de s2. S2 ne se retire pas, elle continue de sucer. Le Maître se retire, s2 ouvre sa bouche et tire la langue pleine de sperme, elle ferme la bouche, se délecte du sperme et finit par avaler. - Merci, Maître. J’encourage s2 : - C’est bien, tu as fait une belle pipe. - Merci, madame. Mon Maître se rajuste. Je m’adresse à s2 : - Maintenant, c’est à mon tour, tu vas me sucer. - Oui, madame. Je me couche sur le dos, les cuisses écartées. S2 se met en position, sa bouche effleure mon pubis, je place mes mains sur sa tête pour l’encourager. Je vois mon Maître en train de filmer. S2 s’enhardit. Sa langue est au contact de mon clitoris. Je suis comme électrisée. S2 continue, c’est délicieux ! J’ai rapidement un orgasme. Mais j’invite s2 à poursuivre, sa langue devient de plus en plus insidieuse. J’ai un second orgasme. Je demande à s2 d’arrêter. Je suis comblée. Mon Maître a dégotté une excellente recrue. Pendant un instant, je pense que je pourrais être évincée, mais non, mon Maître peut très bien avoir deux soumises. La présence de s2 me plaît et mon Maître fait ce qu’il veut. Mon Maître me demande si je veux rester avec lui pour la soirée et pour la nuit. J’accepte avec plaisir. - Et s2 ? - C’était prévu qu’elle reste. Il me propose de préparer le dîner avec lui. J’accepte. Je prends s2 avec la laisse, elle marche toujours à quatre pattes. Je lui dis de s’allonger au pied de la table. Mon Maître et moi nous nous activons. Mon Maître prend deux chopes dans lesquelles il urine. Il m’en tend une et appelle s2 pour lui donner l’autre. S2 s’assoit par terre et commence à déguster le contenu de sa chope. Je bois également la mienne. Mon Maître dresse la table avec seulement deux couverts, je vais donc manger en face de lui. Il remplit les assiettes en même temps qu’une écuelle remplie d’aliments pour chien qu’il dépose sur le sol. Il s’adresse à s2 : - Mange sans te servir de tes mains. - Oui, Maître. Nous commençons notre repas. La hiérarchie est établie. En tant que s1 je suis à la table du Maître et s2 mange sur le sol. Quand nous avons fini les repas, le Maître me demande de regarder si s2 a bien mangé. De petits résidus jonchent le sol. Je m’adresse à s2 : - Avale tous les morceaux que tu as laissés. - Oui, madame. Le repas terminé, le Maître s’adresse à s2 : - Va te nettoyer la bouche, débarrasse la table et rejoins-nous dans la chambre. Mon Maître me fait allonger sur le ventre, écarte mes jambes. Je le sens derrière moi, je sais ce qu’il veut. Son sexe me frôle la raie des fesses. Il m’a soulevée et il emprisonne mes seins qu’il pétrit et pince. Il me fait mal mais j’aime ça. Il me souffle à l’oreille : - Je te permets de jouir. Et, soudain, son sexe pénètre mon cul. Petite douleur qui précède le bonheur de sentir mon Maître en moi. S2 arrive à quatre pattes dans la chambre. Elle s’assoit à côté du lit où son Maître est dans s1. Mon Maître continue de me labourer. Il m’arrache un orgasme. Puis il jouit dans mon cul. - Merci, Maître. Mon Maître s’adresse à s2 : - Va lécher le cul de s1 pour récupérer mon foutre ! - Oui, Maître. S2 se place derrière moi et sa langue pénètre mon cul, elle le lèche pour récupérer le sperme de son Maître puis elle avale. - Merci, Maître. Merci, madame. Le Maître lui fait signe de venir nettoyer son sexe ce que s2 s’empresse de faire. - Merci, Maître. Il commence à se faire tard. Je me demande ce qu’a prévu mon Maître pour la nuit. Il me tend la laisse, ordonne à s2 de se mettre debout et nous partons tous les trois vers un escalier que je connais bien. Nous arrivons à la cave. Le Maître s’adresse à s2 : - Tu vas dormir là. S1viendra te chercher demain matin. Et nous laissons s2 dans la cave inconfortable où j’ai passé trente-six heures angoissantes. Nous remontons. Mon Maître m’ordonne d’aller me doucher. Puis il en fait autant. Je l’attends debout au salon. Il m’emmène dans la chambre. Il s’adresse à moi : - Viens ! Couches-toi. Il se place à mes côtés sur le dos. - Prend mon sexe dans ta bouche. Je veux que tu dormes comme ça. Tu ne me suces pas. - Bien, Maître. Je place son sexe dans ma bouche, la tête appuyée sur son ventre, il a une main protectrice sur ma tête, je suis heureuse. Je m’endors.
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Par : le 05/06/20
Chapitre 11 : Samedi 5 Samedi après-midi. J’arrive chez mon Maître. Je vais baiser les paumes de ses mains. Il s’adresse à moi : -    Aujourd’hui, on part en voiture. On ira dans un café. Tu dragueras un homme et tu l’emmèneras chez un de mes amis où tu feras l’amour avec lui. Il y a des caméras dans ce local et vous serez filmés. -    Oui, Maître, je peux vous poser une question ? -    Je t’écoute. -    Je devrai le faire payer ? Ce sera pour le faire chanter ? -    Pas du tout, tu es ma soumise, tu ne te prostitues pas, je veux simplement pouvoir te visionner en train de faire l’amour. Tu feras tout ce que vous avez envie de faire. Tu dois oublier que tu es filmée. Mon Maître m’ordonne d’enlever mon collier. -    Quand nous serons dans le bar, nous serons mari et femme. Exceptionnellement, tu me tutoieras. -    Je n’oserai pas, Maître. -    Tu le feras, c’est un ordre ! -    Bien, Maître. Nous partons donc tous les deux. Nous allons reconnaître le local de l’ami de mon Maître. Ce local comporte un canapé suivi par des caméras. Puis nous allons dans un bar. Mon Maître m’a confié les clés de ce local. Mon Maître me fait asseoir sur une banquette face à la salle. Il se place sur un côté de la table. -    Prend bien soin d’écarter les jambes. -    Oui, Maître. -    Quoi ? -    Oui, mon chéri. Nous commandons nos boissons. Mon Maître et moi entamons une discussion fictive. Un homme situé presqu’en face de moi me fixe et me sourit. Mon Maître s’en est aperçu. Il me chuchote : -    Réponds à son sourire et écarte les cuisses ! L’homme me fait un clin d’œil. Mon Maître me chuchote : -    Réponds mais il doit croire que je ne m’en aperçois pas. Le regard de l’homme se fait plus insistant. Mon Maître me dit : -    Maintenant, tu viens m’embrasser, tu t’en vas et tu fais signe à cet homme de te suivre. Je me lève et m’adresse à haute voix à mon Maître : -    Chéri, je te laisse. À tout-à-l ’heure. J’embrasse mon Maître sur la bouche, je sors du bar en faisant signe à l’homme d’en faire autant. L’homme me rejoint sur le trottoir. -    Bonjour, je suis Laurent. -    Bonjour, je suis Florence. Laurent est un bel homme, brun, les yeux marrons. Je le prends par la main : Je l’emmène au local. Arrivés, je vais m’asseoir sur le canapé. Laurent s’assoit à côté de moi m’attire et m’embrasse. J’aime le goût de sa bouche. Nos langues font connaissance. Nous nous levons, puis il commence de me déshabiller, le teeshirt d’abord, il n’est pas surpris, il avait vu que je n’avais pas de soutien-gorge, puis ma jupe, il est étonné de me voir sans sous-vêtement. Il me caresse les seins puis se penche pour les sucer. Je lui enlève sa veste puis sa chemise. Son torse est poilu. Je lui caresse la poitrine. Je lui enlève son pantalon puis son slip. Il enlève ses chaussures et ses chaussettes. Nous sommes enlacés. Je descends ma bouche sur sa poitrine, j’atteins son nombril. Je me mets à genoux et lui caresse les couilles. Ma bouche atteint son sexe que je commence à lécher. Sa queue prend une belle dimension, je prends en bouche ce sucre d’orge et commence des va-et-vient. Son sexe remplit bien ma bouche, je me délecte. Mais Laurent ne veut pas en rester là, il m’agrippe par les hanches, me renverse sur le canapé, m’écarte les cuisses et sa langue atteint mon clitoris. J’ai déjà beaucoup mouillé, il doit se régaler. Laurent est vraiment un as en cunnilingus. Il me fait jouir. Puis il se redresse, nos bouches se joignent et son sexe pénètre mon vagin. Que c’est bon ! Sa queue va et vient en moi, je suis comblée. Il est insatiable. J’ai l’impression que son sexe me transperce. Il me caresse les seins, je lui caresse le dos. Nous ne faisons qu’un. J’ai un nouvel orgasme. Puis mon amant se vide en moi. Quand il se relève ma bouche attrape son sexe encore vigoureux pour venir cueillir les dernières gouttes de sa semence. Il s’assoit sur le canapé, me fait venir à califourchon sur ses genoux. Je sens le sperme dégoulinant de mon sexe sur ses cuisses. Nos bouches sont unies, nos langues s’emmêlent. Apparemment mon amant récupère très vite, je sens son sexe sur mon ventre. Je me lève, du sperme coule sur ses cuisses que je me mets à lécher. Son sperme est parfumé. Je n’en laisse pas une goutte. Ma main se dirige vers son sexe et je commence à le branler puis, n’y tenant plus, j’ouvre la bouche et engloutit son sexe. Je suis gourmande, j’aime avoir son sexe en bouche. Puis j’arrête ma pipe m’appuis sur le canapé en tournant le dos à mon amant. Je suis penchée, l’invitation est très claire. Je lui laisse le choix de la porte d’entrée. Laurent se place derrière moi, son gland semble hésiter, haut ou bas. Enfin, il se décide pour le haut. Je sens un sexe pénétrer mon cul. Mon amant entre précautionneusement puis plus hardiment. Je suis remplie. Laurent caresse mes seins puis vient caresser mon bas-ventre. Je suis ravie. Mon amant me procure un orgasme. Il finit par s’épancher à moi. Je me retourne et ma langue vient nettoyer son sexe. Nous nous asseyons sur le canapé, fatigués et repus. Laurent me demande si on pourrait se revoir. J’hésite, ne sachant pas ce que voudra mon Maître. Je lui dis que ce sera difficile avec mon mari. Nous nous rhabillons. Il me griffonne son numéro de téléphone, nous échangeons un dernier baiser. Je rejoins mon Maître qui est resté à la même place dans le bar. Il me tend mon collier que je remets. -    Tout s’est bien passé ? -    Oui, Maître, je vous remercie. -    Tu t’es bien envoyée en l’air ? -    Oui. Le monsieur a demandé à me revoir. Je tends à mon Maître le papier où Laurent a écrit son numéro de téléphone. -    On verra. On retourne au local. Je veux voir tout de suite la vidéo. Nous sortons du bar et rejoignons le local. Mon Maître se déshabille et m’ordonne d’en faire autant. Il prend la télécommande en main. -    Pendant le visionnage tu me suceras. Pas de préliminaire. Tout de suite gorge profonde. -    Bien Maitre. Mon Maître s’assoit sur le canapé, je m’agenouille devant lui. La vidéo a débuté. Je prends le sexe de mon Maître en bouche directement en en absorbant le plus possible. Son sexe ne ressemble pas à celui de Laurent, il n’a pas le même goût non plus. Mon Maître s’adresse à moi : -    Ne bouge plus. Contente-toi de garder mon sexe dans ta bouche. Je suis dans l’incapacité de répondre. J’arrête tout mouvement. Le sexe de mon Maître rapetisse et grandit successivement dans ma bouche, certainement à la vue de ma scène d’amour avec Laurent. Je reste patiente en gardant ce sexe dans la bouche. Le temps me paraît arrêté. J’entends mon Maître poser la télécommande. Son bassin commence alors à osciller, son sexe grandit et il jouit dans ma bouche. Nous nous rhabillons et rejoignons la voiture et regagnons le domicile de mon Maître. Je dois me déshabiller/ -    Je suis content de toi, tu es une bonne baiseuse. -    Merci, Maître. -    Je garde cette vidéo, je la montrerai à des amis. Ils auront peut-être envie de te rencontrer. -    Comme vous voudrez, Maître. -    Va chercher la cravache ! J’ai droit à mes vingt-cinq coups que je compte et je n’oublie pas de remercier. -    Maintenant, tu dégages. À demain. Je vais baiser les paumes des mains de mon Maître, je me rhabille et m’en vais. Je suis satisfaite de ma journée. J’ai eu beaucoup de plaisir avec Laurent, j’ai donné satisfaction à mon Maître qui me fera peut-être faire connaissance avec d’autres partenaires. Vivement demain !
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Par : le 03/06/20
La réplique de Sarah était si choquante et, par contraste, elle l’avait énoncée d’une façon si sereine qu’elle me resta gravée longtemps à l’esprit. J’avais lointainement entendu évoquer ces ventes aux enchères d’esclaves mais je n’avais jamais vraiment cru à leur réalité. Ce qui me rappelait la menace de Sarah était de constater, chaque fois que je les retrouvais ensemble, que ce qui les liait ne me semblait plus être de l’ordre du désir ou de l’amour, mais du simple pouvoir de l’une sur l’autre. Les baisers, les caresses, tous les gestes délicats avaient disparu. Sarah avait la jouissance de Cléo comme on parle de la jouissance d’un bien, d’une maison, d’un objet. Elle en avait l’usage. Cette froideur, je l’identifiais dans les paroles et les gestes sans tendresse de Sarah, je la reconnaissais dans l’humilité presque exagérée de Cléo comme dans ce malaise qui flottait imperceptiblement en leur présence. Cléo passait ses nuits nue, à même le sol, menottée et tenue par une laisse au pied du lit de Sarah. D’après ce que j’en appris, son service consistait toujours à laver, épiler et habiller sa maîtresse ou à lui lécher l’entrejambe chaque fois que Sarah en ressentait le désir mais elle ne bénéficiait en retour d’aucune caresse ni récompense. Bien au contraire, les punitions tombaient à une fréquence redoublée. Plus les jours passaient et ma compassion envers Cléo s’affirmait. Les marques rouges sur ses fesses, ses seins ou son bas-ventre se renouvelaient assez vite pour ne jamais paraître s’effacer. Pourtant, si les claquements du fouet ne parvenaient au travers des cloisons, jamais je n’entendais Cléo se plaindre. Un soir, je pris Sarah à part et lui intimai de se tenir à ma disposition dans ma chambre, sitôt dîné. Elle s’exécuta. Une petite heure plus tard, je la découvris splendidement nue, auréolée de sa crinière rousse, cuisses entrouvertes et tête baissée. Elle me présenta le fouet. - J’imagine que vous allez en avoir besoin. Plutôt que je prendre l’objet, je saisis Sarah par le menton et la forçai à me regarder dans les yeux tandis que mon autre main empoignait vigoureusement son sexe. Aucune réaction de douleur ne la trahit. Stoïque, elle accepta sans la moindre faiblesse que je brutalise sa vulve, tout juste laissa-t-elle un peu de sa liqueur suinter entre mes doigts. - Je ne peux pas te le reprocher mais je te le dis tout de même. Tu es beaucoup trop dure avec Cléo. Elle a compris. Les punitions ne suffisent pas, une soumise doit également être récompensée si tu veux la corriger. - Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, c’est à moi de juger… La gifle qui s’abattit sur sa joue lui coupa le souffle. Elle m’écouta en ouvrant des yeux stupéfaits. jamais, je ne l’avais frappée au visage. - Je ne te demande pas ton avis, mais de m’écouter. Je n’attends pas seulement d'une soumise qu’elle soit à ma disposition et qu’elle m’obéisse, j’attends qu’elle se comporte de façon irréprochable envers les autres. Cela inclut Cléo, bien évidemment. Tu ne cherches qu’à te venger de l’affront qu’elle t’a fait. Pas à la dresser. À ce compte, Cléo reprendra vite sa liberté. Sarah hocha la tête. Une larme courut sur sa joue encore rosie par la gifle. Je lui menottai les poignets et l’attachai, les bras au dessus de la tête, à la chaîne fixée a une poutre, en veillant à ce qu’elle ne repose plus que sur la pointe des pieds. Le fouet claqua sur son flanc, s’écrasa sur ses seins, zébra ses fesses, sillonna ses cuisses, claqua sur son ventre, mordit sa vulve. Sarah se tordait en gémissant mais ma colère était loin d’être épuisée. Ce qui, sans doute, la sauva, fut, en dernier recours, d’implorer ma pitié. La sincérité de sa voix me bouleversa. Elle me parut alors si fragile que je laissai tomber le fouet, que je lui caressai lentement le dos et les fesses. Elle comprit et se cambra. Je la plaquai contre moi, de dos, la forçant à s'offrir en lui tirait les cheveux en arrière et simultanément lui enfonçai deux doigts dans l’anus. Je la travaillais ainsi plusieurs minutes, asservissant le mouvement de son corps à celui de ma main. Son corps ondulait, sa croupe s’ouvrait mais les ondes de plaisir qui remontaient au long de son ventre mourraient avant de la liquéfier. Elle ne céda que bien plus tard, alors que je m’épuisais, et c’est avec un long rauque qu’elle s’abandonna toute entière aux doigts qui la fouillaient. Une suite de secousses agitèrent son corps avant qu’elle ne s’affaisse, inerte. Je ne la détachai pas. Au moment où je quittai la chambre je l’entendis uriner sur elle. Les jours s’écoulèrent dans un climat de tension impossible à dénouer. Outre le conflit entre Sarah et Cléo, les problèmes au travail me minaient le moral. J’avais beau passer des coups d fil à longueur de journée, publier des offres, rien en venait. Les anciens collègues n’avaient rien à me sous-traiter, d’autres avaient changé de métier, les secrétaires faisaient barrage lorsque je tentais d’accéder à leur patron. Je pris l’habitude de prendre mon café le matin et lire le journal dans un bar tout proche pour échapper à l’atmosphère de la maison. cela faisait longtemps que je ne le fréquentais plus, depuis l’arrivée de Sarah du moins, et je fus heureux d’en retrouver l’ambiance. Les odeurs et les conversations était toujours les mêmes, le café n’avait pas changé de goût ni le patronne de brushing. C’est à ces petites choses que la vie tient. D’un commun accord, il fut décidé que chacun prendrait son week-end de son côté. Il ne faisait aucune doute que Cléo allait rejoindre sa nouvelle fiancée mais personne ne le lui demanda. Pour ma part, je me faisais le plus souvent inviter chez des amis afin de recréer un réseau social trop longtemps laissé en jachère. Quand à Sarah, elle restait à la maison. Pourtant, environ un mois plus tard, un samedi, Sarah m’annonça que se tenait le soir même une soirée, dans un certain lieu privé où nous devions nous rendre tous les trois. - Pour une vente aux enchères, précisa-t-elle. Au cours de la semaine, plusieurs courriers recommandés m’étaient parvenus, toujours avec les mêmes mauvaises nouvelles. Les clients me lâchaient les uns après les autres. ce ne pouvait-être l’effet du hasard. Un bruit avait couru, quelqu’un avait fait pression… - Vous voyez bien, Monsieur, nous avons besoin d’argent… - Tu lui en as parlé ? - Non, elle ne doit rien savoir. Combien vous faut-il ? - Beaucoup. - Elle vaut bien cela. Il nous fallu une petite heure de route pour atteindre une banlieue retirée de l’Est de Paris où nous découvrîmes après de longues recherches une villa moderniste, composées d’éléments de béton rectangulaires et peinte en blanc, avec de très larges baies vitrées qui donnaient l’impression de tout voir de l’extérieur. Un petit parc boisé la protégeait des regards trop curieux. Sarah passa un appel pour que la grille nous soit ouverte et, au moment de descendre de voiture, elle nous remis, à Cléo et moi, un masque. Cléo n’était vêtue que d’une longue robe dorée parfaitement transparente, sans aucun dessous, elle lui passa une laisse au collier. Il fallait suivre un long bassin éclairé pour atteindre l'entrée. Deux vigiles gardaient l'entrée. Thérèse leur présenta nos invitations. Elle semblait beaucoup tout à fait familière des lieux ou alors extraordinairement sûre d'elle-même. Nous fûmes dirigés vers une grande salle où quelques dizaines de chaises avaient installées face à une estrade en T dont la plus longue branche séparait l’auditoire en deux. Sarah disparut avec Cléo tandis que je m’installai au hasard. Il y avait bien déjà une trentaine de personnes, hommes et femmes, et la porte d’entrée ne cessait de s’ouvrir sur de nouveaux arrivants. Tous les visages étaient cachés. Parfois d’un simple loup, d’autres fois, d’un masque qui dissimulait entièrement le visage. Il était assez facile de distinguer les maîtres et maîtresses, les soumis ou soumises, les lesbiennes, les homosexuels de par leur simple tenue, même si, d’une façon générale, les femmes étaient tous assez peu vêtues. Sarah, revenant seule et s’asseyant à mes côtés, prit les devants, sachant mon ferme hostilité à son projet. - Monsieur, j’ai réfléchi à ce que vous m’avez dit et j’y adhère. Cléo ne va pas être vendue. Disons que je vais seulement la louer et dans des conditions très précises. Elle reviendra bientôt, je vous le promets. Rassuré, je déposais un baiser sur les lèvres de la belle rousse qui, en remerciement, se tourna vers moi avec un mouvement qui remonta suffisamment sa mini-jupe pour me laisser admirer l’anneau de son sexe. Vingt minutes plus tard, la salle était comble, un homme en smoking fit son apparition sur l’estrade et prit place derrière un pupitre. - Mesdames et messieurs, dit-il, je vous remercie d’être venus aussi nombreux à cette vente aux enchères. C’est une vente exceptionnelle, la première depuis un an, parce que nous avons tenus à vous présenter un lot de vingt-cinq esclaves mâles et femelles d’une très grande qualité. Ce sont tous des specimens particulièrement recherchés que nous destinons à un public qui en saura en apprécier la valeur. Vous connaissez tous le principe d’une vente aux enchères, je ne l’expliquerai donc pas. Le règlement devra se faire immédiatement et nous nous portons garants de la vente, comme toujours. Faites entrer le premier lot ! Deux solides gaillards firent leur apparition sur la droite, encadrant cinq esclaves mâles et femelles. Cléo n’en faisait pas partie. Tous les esclaves étaient couverts d’une longue tunique blanche et portait un collier au cou. Le premier fut avancé sur le devant de l’estrade et sa tunique fut dégrafée révélant un athlète d’une rare beauté. Il devait avoir une trentaine d’années, il était brun et son corps épilé disposait d’une robuste musculature. L’un des gardes le fit pivoter de façon à ce que l’on puisse l’admirer de dos comme de face puis il s’empara de sa verge et le branla vigoureusement afin que le public constate ses capacités. L’esclave ne sourcilla pas. Il fut ensuite poussé sur le catwalk pour défiler au milieu du public. Une femme leva la main. - Je vous en prie, madame, fit le commissaire priseur. La femme prit dans sa main les bourses du jeune homme, les cajola, les pressa, les serra augmentant l’érection d'une façon qui souleva un murmure d’admiration dans la salle. Plusieurs mains se dressèrent lorsque les enchères commencèrent et les chiffres valsèrent à une vitesse vertigineuse. Malheureusement pour elle, ce ne fut pas celle qui avait mis en valeur les capacités du garçon qui l’emporta mais un homme élégant qui se tenait à l’écart. Vint ensuite une jeune femme qui fut soumise au même rituel. C’était une beauté méditerranéenne tout à fait séduisante, avec une chevelure, des sourcils et des yeux très bruns, des seins très lourds, des hanches harmonieuses et un sexe très discret. Un acheteur voulut vérifier son étroitesse, on lui procura un godemichet de taille modeste, la fille, qui était trop étroite, se laissa sonder avec une bonne volonté qui, là-encore, conquit le public. Le premier lot partit rapidement à des prix raisonnables. Les acheteurs se réservaient pour la suite, les esclaves proposés étaient visiblement habitués à l’exercice ce qui laissait imaginer qu’ils avaient déjà plusieurs fois changé de mains.
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Par : le 03/06/20
Lorsqu'elle s'éveilla, le soleil déjà haut dans le ciel, s'était engouffré dans la chambre et la transformait peu à peu en étuve. Juliette rejeta les draps humides entortillés autour d'elle. Le radioréveil lui indiqua qu'il était plus de onze heures. Tout le monde avait dû partir au travail maintenant. Une journée comme les autres commençait dehors. Elle avait mal dormi. Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait été facile de couper court à cette relation de soumission et de poursuivre sa vie de femme d'affaires à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait, l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de l'abnégation. En s'habillant, toutes les bonnes résolutions de la nuit s'étaient envolées. Elle rendit les armes. Lorsqu'elle arriva à son bureau, Juliette portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins aux larges aréoles brunes; comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une paire de bas fins noirs, un porte-jarretelle de la même couleur, et un plug anal destiné à l'élargir. Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés. Laurence avait exigé d'elle qu'elle séduise Chloé, la jeune stagiaire que Juliette venait d'embaucher. Elle y parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Juliette, sous ses attitudes hautaines avait des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester. Juliette se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite, toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon; sportive elle avait gardé un corps ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Laurence souriante dans le hall qui discutait avec Chloé, un café à la main. - On va aller à ton bureau on a des choses à te dire. Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Juliette allait s'asseoir quand Laurence la stoppa. - Reste debout. - Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle. - C'est justement de ça que nous discutions avec Laurence, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent, tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope. - Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me semble... Alors, tu es à moi, point final. - Tu es une salope, dis-le. - Je... Je suis une salope. - Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ? - À toi de jouer, Chloé. Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Chloé étant à l'accueil, lui fit un clin d'oeil, Juliette détourna le regard faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau. - Oui entrez. Chloé entra et referma la porte. - Tu m'ignores ? - Non Chloé, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent. - Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Laurence ? - Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser, je ne voulais pas te vexer. - Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies. Chloé s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui mordit les lèvres. Juliette, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Chloé lui lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses. - Vas-y branle moi. Juliette était morte de peur et résista. - Tu veux que je te le dises plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ? Juliette céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices. - Plus vite, mieux que ça. Chloé, pendant ce temps malaxait la poitrine de Juliette, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la fourra sous son string. - Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme. Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Chloé lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en cuir du bureau, elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus de sa tête. - Vas-y suce moi, et fais le bien. Juliette lui suça le clitoris, Chloé s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup. - Suce moi le cul, Laurence m'a dit que tu le faisais bien. Pendant ce temps, Chloé se caressait le clitoris et Juliette, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes les deux puis Chloé se releva et se retourna vers elle. - Laurence avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ? - Maintenant, enlève tout ce qui te reste. Mets-toi toute nue, couche-toi à plat ventre, croise les chevilles et mets les mains dans le dos. Allez. Exécution. Tandis que, s'étant agenouillée, Juliette obéissait en silence, elle entendit Chloé sortir de son sac un objet qui tintait de façon métallique. - J'ai acheté quelque chose pour toi. Un beau jouet. Tu vas adorer, j'en suis sûre. Donne-moi tes bras. Deux claquements secs et les poignets de Juliette furent pris dans les collets d'une paire de menottes. Chloé la poussa à plat ventre, lui plia les jambes à l'équerre et emprisonna ses chevilles de la même manière. - Ce ne sont pas des menottes ordinaires, espèce de chienne. Tu vois, il y a quatres bracelets accrochés au même anneau. Voilà ce qui s'appelle être pieds et poings liés. Cela te plait ? Si je voulais, je pourrais être vraiment cruelle avec toi, Juliette. Contrainte ainsi, je saurais bien te faire hurler en te fouettant jusqu'au sang. Mais tu aimerais trop. Dans le fond, ça t'excite beaucoup d'être soumise ainsi. C'est parfait, tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble. Puis Chloé se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna pour contempler Juliette. Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vétue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'oeil, elle lui répondit par un petit sourire géné. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Chloé entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Juliette. - Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes. Juliette fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait classique sauf que Chloé lui avait interdit de porter un soutien-gorge, la poitrine de Juliette était ferme de sorte qu'on devinait bien les pointes à travers le chemisier, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait empêcher un balancement de ses seins. Cela ne dura pas longtemps, une habituée de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui demander l'heure, puis lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans l'écouteur. La femme qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, elle était séduisante, avec des cheveux coupés courts; elle commanda un café, puis souriante, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière très peu discrète sa poitrine entre sa veste entrouverte. Juliette rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à une inconnue. Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'inconnue sortit un mouchoir et s'essuya les lèvres, la poitrine de Juliette à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors prenant cela pour une invitation, elle s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille: - J'habite à côté, tu viens ? Elle entendit dans son écouteur: - Accepte et surtout, céde à toutes ses exigences. Retire discrètement ton plug anal et donne le moi. Je crois deviner ses fantasmes. Tu vas passer un bon moment avec elle. Elle aime l'anal et l'urolagnie. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/06/20
Myrna a été bien tronchée, elle a jouit et elle a cru. Ce style de connes croient toujours. Ou bien elles n'y croient pas. Mais lorsque la réalité les rattrape, il est trop tard. Après avoir été bien tronchée et avoir bien jouit, son amant a voulu lui donner une bonne fessée. Myrna ne voulait pas. Sauf qu'elle a eu le cul bien rouge. Puis son amant l'a laissée tomber quelque temps. Myrna a voulu le revoir, il avait laissé son tél en précisant: -n’appelle que si tu veux devenir mon esclave. Cette conne de Myrna a appelé en voulant se persuader que c'était un jeu. Son amant lui a dit: -tu es certaine de vouloir devenir mon esclave? Elle a répondu oui et a franchi la porte. Elle croyait que....mais non, il ne fallait pas croire. Depuis elle porte le collier, elle a été marqué au fer rouge et file droit sous les coups de cravache. Elle est la propriété de son Maitre qui en dispose comme il veut. Sa seule liberté elle la trouve dans son subspace, ce monde de silence intérieur. Là, elle peut méditer tant qu'elle veut. Plus elle doit obéir à son Maitre et plus elle se sent libre dans son intérieur, connu d'elle seule. Une illusion? Non, pas du tout. Là elle trouve ce qu'elle cherchait sans savoir, la paix dans une forme d'extase. Oui, elle jouit avec son Maitre, mais pas en surface, non, de façon très profonde, dans le grand silence de son être intérieur. Son esclavage est une forme de mystique. La morale de cette histoire c'est qu'il faut aller au bout de son désir. Au diable les sécurités.
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Par : le 03/06/20
Chapitre 10 : Dimanche 4 Dimanche. Je suis réveillée par le jour passant à travers le soupirail. Je me sens poisseuse, j’ai cette odeur d’urine qui m’entoure. Que va-t-il m’arriver aujourd’hui ? Et quand va-t-on me libérer ? La porte s’ouvre et mon tortionnaire arrive. Il est accompagné d’un autre homme. Ils sont tous deux masqués. - Lève-toi ! Je me lève. Mon geôlier me prend par le cou et me force à me pencher vers l’avant. Il se positionne devant moi : - Suce et avale ! Il a dégagé son sexe que je prends en bouche. Je sens l’autre homme derrière moi. Son sexe prend possession de mon vagin. Je suis ballotée entre ces deux hommes. En d’autres temps cette situation m’aurait provoqué un orgasme mais aujourd’hui je suis loin de prendre du plaisir dans ce double viol. Les deux hommes jouissent. Puis ils disparaissent. Je suis devenue une proie. Vais-je passer ma vie à subir ces sévices ? Mon géôlier revient avec une bouteille d’eau et un morceau de pain. - Bois et mange. L’homme me regarde manger, le pain est très sec. Puis je bois. L’homme prend la bouteille d’eau vide et sort de la cave. Je ne sais pas quelle heure il est. Je n’ai rien à faire, je ne peux rien faire, j’aimerais prendre une douche. Je me résous à me coucher sur le lit de camp et je songe à ma situation. Quel est le but de ce kidnapping ? Seulement, si je peux dire, pour me violer ? Et j’attends, j’attends …. Le temps passe. L’homme revient une nouvelle fois. - Mets-toi en position face au mur. Je sais ce qu’il veut. Il lui reste le choix de l’orifice. Il choisit mon cul où il entre d’un coup. Quand ces viols finiront-ils ? L’homme se soulage en moi et s’en va. Je suis à bout, physiquement et mentalement. Je m’assois par terre, face au mur, fatiguée. Puis, soudain, quelque chose me revient, je n’ai pas entendu la clé dans la serrure. J’ai peur d’un guet-apens. Je le lève et me dirige vers la porte, elle n’est pas verrouillée, je l’ouvre. La voie est libre ! J’arrive dans un couloir très sombre. Je fais quelques pas, trouve un escalier. Où vais-je déboucher ? Et puis, je suis entièrement nue ! Je monte les marches une à une. J’arrive à une porte. Je l’ouvre précautionneusement. Et là, surprise, j’arrive dans un salon que je connais bien, mon Maître, nu, est assis sur son fauteuil. - Tu es bien en retard, je t’attendais. Alors, tout le voile se déchire. C’est mon Maître, l’organisateur de mon enlèvement, le commanditaire de mes viols. Je cours vers lui : - Ça ne va pas, tu as perdu la tête, connard ! Mon Maître sourit et me dit très calmement : - Je ne te permets pas de me tutoyer et encore moins de m’injurier. Je te rappelle que tu es ma propriété. Viens à quatre pattes me saluer. Je mets à quatre pattes et vais déposer un baiser sur les paumes de mon Maître. - Pardon, Maître. Je m’effondre et me mets à pleurer. Mon Maître me place un pied sous le menton et me relève la tête. - Tu seras punie. - Oui, Maître. - Maintenant, tu te couches à mes pieds que tu vas lécher. Je m’exécute, Ma langue parcourt les pieds de mon Maître, je n’oublie pas de lécher entre les orteils. Mon Maître me donne un coup de pied dans les côtes. - Mets-toi debout, tu es répugnante, vas prendre une douche et remets ton collier. - Oui, Maître. J’arrive dans la salle de bain. Je médite sur les événements récents. Mon Maître a imaginé ce scénario, je n’ai jamais imaginé qu’il en était l’instigateur. Si seulement, j’y avais pensé ! Mais l’émotion aurait été moins forte ! Et dire que je lui en ai voulu ! Et je l’ai injurié ! Je prends la douche dont j’ai tant rêvé depuis hier. Je reviens au salon. Mon Maître m’attend, il brandit sa cravache. - Tu vas être punie. - Maître, me permettez-vous ? - Oui. - Je vous présente à nouveau mes excuses pour vous avoir agressée et je vous remercie de tout ce que vous avez fait pour moi depuis hier. - J’accepte tes excuses mais ne recommence jamais ! - Je vous le promets, Maître. Et les coups commencent. Il s’agit d’une punition, ils sont donc très appuyés, ça fait très mal mais je les ai mérités. Je n’oublie pas de décompter et de remercier mon Maître comme il se doit. Mon corps me fait mal mais je dois subir. Mon Maître retourne s’asseoir dans son fauteuil. - Tu te mets à quatre pattes, tu viens jusqu’à moi, tu vas me sucer ! Je m’avance vers lui. Je vais m’appliquer, me surpasser pour montrer à mon Maître toute ma gratitude. Je commence à happer les couillles pendant qu’une main commence une masturbation. Tenant son sexe dans la main, j’enveloppe le gland de mes lèvres, ma langue titille le méat, ma main continue la masturbation, Puis je commence à sucer le sexe, une main palpant les couilles. Je gobe de plus en plus profondément la queue de mon Maître, ma main descend vers ses fesses, il a compris ma manœuvre, il fait basculer son bassin. Mon majeur que j’ai pris le soin d’humifier prend position vers son cul. Puis j’enfonce progressivement mon doigt. J’ai envie de jouir mais je me retiens, je ne veux déplaire une fois de plus à mon Maître. Ma bouche est maintenant complètement investie. Je tiens doublement mon Maître, sa queue dans ma bouche et un doigt dans son cul. Mon Maître me caresse tendrement la tête, ça me donne des frissons ! Puis, dans une sorte de feulement, mon Maître se libère à longs jets tout au fond de ma gorge. Je retire mon doigt. Je fais naviguer le délicieux sperme dans ma bouche, je me régale puis j’avale. - Merci, Maître. Puis je porte le doigt qui a enculé mon Maître à la bouche pour en goûter toute la saveur. Je sais que mon Maître a été satisfait de ma prestation. Il m’a caressé les cheveux, c’est un signe ! - Maintenant, tu t’en vas. À samedi. - Oui, Maître. Je baise ses paumes, me relève, je me rhabille et m’en vais. Je pense à tout ce qui m’est arrivé ce weekend. Mon Maître a concocté un scénario sensationnel. J’ai cru être enlevée et violée mais il n’en était rien puisque mes pseudo-violeurs n’ont agi que pour le plaisir de mon Maître. Je me suis encore rapprochée de lui et suis plus que jamais prête à le servir.
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Par : le 02/06/20
Compagnes d'Aphrodite, responsables de sa toilette, réputées pour leur grâce et leur beauté, les trois Charites, en grec ancien ??????? / Khárites, eurent pour parent Zeus et Héra, ou Dionysos et Aphrodite, ou encore Apollon et Aeglé. C'étaient Euphrosyne, la courageuse; Thalie, la joyeuse et Aglaé, la brillante, également appelée Calé ou Pasithéa, représentées voilées ou complètement nues et enlacées, dansant ou se tenant par la main. Elles osèrent participer à un concours de beauté les opposant à la déesse de l'Amour, qui changea en vieille femme Aglaé qui avait emporté la palme. En Béotie, où elles étaient adorées sous la forme d'aérolithes ou de météorites, on célébrait des fêtes en leur honneur, des fêtes appelées les "Charisties". Pour les latins, elles étaient les Grâces. Ces déesses de la nature, qui personnifiaient les rayons solaires, favorisant la croissance de la végétation et le développement des fruits. Aux hommes, elles apportaient la joie, procuraient des menus plaisirs et égayaient la vie de société. Toutes différentes sont les trois filles que, d’après la Théogonie d’Hésiode, Zeus eut de sa quatrième compagne, l’Océanide Eurynomé: les trois Charites, du grec ???????, au singulier ?????, qui signifie exactement "grâce", beauté, charme, mais aussi le fait de chercher à faire plaisir, la bienveillance, le respect, la gratitude, bref, de belles et bonnes choses aux antipodes de la folie coupable symbolisée par les Erinyes, ou Grâces (GRATIAE) selon la terminologie latine. Elles sont nommées Aglaé (??????), Euphrosine (?????????) et Thalie (?????). Hésiode les fait demeurer avec les Muses, sur l’Olympe, en compagnie de Désir (Himéros). Toujours selon Hésiode, la plus jeune, Aglaé, était l’épouse d’Héphaïstos, le dieu boiteux, le génial forgeron. Dans un autre ouvrage d’Hésiode, les Travaux et les Jours, ce sont les Charites qui, accompagnées de Persuasion (?????, "Pitho"), parent de colliers Pandore, l’Ève grecque. La généalogie, le nombre et les noms de Grâces sont confirmés dans des textes de référence plus tardifs de la mythologie grecque: hymnes orphiques et Bibliothèque d’Apollodore. En revanche, Homère nous donne quelques informations, très fragmentaires et en contradiction avec la Théogonie, comme c’est assez souvent le cas: dans le chant 14 de l’Iliade, Héra promet de donner pour épouse l’une des plus jeunes Charites, Pasithéa, à Hypnos, le sommeil, s’il lui rend le service d’endormir Zeus. Héra a donc la possibilité d’accorder la main d’une Charite, ce qui, pour certains mythographes, signifie qu’elle est la mère des Charites. C’est du moins ainsi que l’a interprété un poète du sixième siècle après J.-C. Coluthos de Lycopolis, dont il ne nous reste qu’une "épopée courte", "l’Enlèvement d’Hélène". Toutefois, en tant que belle-mère des Charites et épouse du maître de l’Olympe, Héra possède des droits, et cette interprétation nous semble abusive. L’une des plus jeunes des Charites n’a pas beaucoup de sens si l’on admet qu’elles ne sont que trois. Homère pourrait entendre, sous le nom de Charites, un groupe de divinités mi-déesses, mi-nymphes, peut-être assez comparables aux Océanides ou aux Néréides. le nom de "Pasithéa" vient de "???", le tout, l’univers et ??? (théa), déesse, soit, déesse universelle, déesse dont l’empire s’étend sur tout, un nom qui ne peut s’appliquer, en toute logique, qu’à Aphrodite, puisque, en tant que déesse de l’amour et donc de la procréation, elle étend effectivement son empire sur tous les êtres vivants. Premier indice d’un lien puissant entre les Charites et Aphrodite. À l’inverse des Erinyes, ressorts essentiels des tragédies, les belles, douces et charmantes Charites sont des ornements de choix pour les poètes. Et on compte par dizaines les références aux Charites dans la poésie lyrique grecque, de Sappho à Callimaque. Dans la poésie, elles apparaissent comme proches des Heures (voir plus haut), et certains mythographes les ont assimilées, dans leurs fonctions de suivantes d’Aphrodite. Mais elles sont aussi les divinités de tout ce qui apporte la joie: la beauté, la parure, l’art, la musique, la danse, le chant, les fêtes et les rires. Elles sont proches d’Aphrodite, des Heures, mais aussi des Muses et d’Apollon, et même de sa chasseresse de soeur Artémis, d’Himéros ("désir"), d’Harmonie, fille d’Aphrodite et d’Arès. Pausanias parle également des représentations des Charites, en peinture comme en sculpture: initialement vêtues, les artistes les ont progressivement représentées nues. Plus tardivement, les Charites furent associées à Bacchus, notamment dans les Dionysiaques de Nonnus de Panopolis, poète du cinquième siècle après J.-C . Ce glissement de la retenue apollinienne aux excès bachiques, comme celui des Charites vêtues à des Charites nues qu’évoque Pausanias, étaient prévisibles et obéissent à la seconde loi de la thermodynamique, celle de l’accroissement du désordre. Le nom des Charites renvoie à l'idée du soleil. Si les Charites ont trouvé place dans le cortège de plusieurs grands dieux, c'est sans doute que ces dieux les ont supplantées là où elles étaient primitivement adorées comme forces primordiales. Bibliographie et références: - Apollodore, "Bibliothèque" - Diodore, "Bibliothèque historique" - Hérodote, "Histoires" - Hésiode, "Théogonie" - Pausanias, "Description de la Grèce" - Pindare, "Pythiques" - Pindare, "Odes et Fragments" - Plutarque, "De Musica" - Quintus de Smyrne, "Histoire de la Grèce" - Théophraste, "Histoire" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 9 : Samedi 4 Samedi. Je me rends chez mon Maître. Que m’aura-t-il préparé aujourd’hui ? J’ai toujours été surprise. Je sens un homme derrière moi. Il me stoppe et me place un mouchoir sous le nez …. Où suis-je ? Je suis ballotée, j’ai un bâillon sur la bouche et un bandeau sur les yeux. Je dois être dans le coffre d’une voiture. Que m’arrive-t-il ? La voiture s’arrête, j’entends le couvercle du coffre s’ouvrir et une main agrippe mon bras pour me faire sortir de ce coffre. Un homme me guide, il me semble que nous entrons dans une maison. L’homme me fait descendre des escaliers. Puis nous nous arrêtons. J’entends une clé dans une serrure et une porte qui s’ouvre. Nous reprenons notre marche et j’entends une porte se fermer puis nous nous arrêtons. On me retire mon bâillon et mon bandeau. J’ai en face de moi un homme cagoulé. Il s’adresse à moi : - Déshabille-toi complètement. Enlève ton collier ! Je ne bouge pas. Je reçois une belle paire de gifles. - Qu’est-ce que j’ai dit ? Cette fois, j’obtempère. - Ça ne sert à rien de crier. Personne ne peut t’entendre. L’homme récupère mes vêtements, ouvre la porte puis la referme. J’entends la clé dans la serrure. Je suis dans une cave dans laquelle il y a un lit de camp, une couverture et un pot de chambre. La lumière entre par un soupirail mais celui-ci est trop haut pour que je puisse l’atteindre. Je fais les cent pas dans cette cave. Pourquoi m’a-t-on enlevée ? Je n’ai pas d’argent et personne ne pourrait payer une rançon. Je me retiens de pleurer. Je m’assois sur le lit de camp et me place sous la couverture. Que va-t-il m’arriver ? Mon geôlier revient. Il a fermé la porte de la cave. - Lève-toi, tu t’appuies avec tes mains sur le mur et tu te penches ! Quand je suis appuyée sur le mur, l’homme s’approche de moi, avec ses mains sur mes hanches il rectifie ma position. Je suis sans défense. Pour m’échapper, il faudrait que je le neutralise et que je prenne les clés dans la poche. Il descend son pantalon et son caleçon et, d’un coup, sa queue entre dans mon vagin. - Ne bouge pas, me dit-il. Il me laboure puis finit par jouir. Il se retire, se rajuste et s’en va. Je suis blessée, humiliée. J’étais toujours consentante quand j’ai été prise. C’est un viol ! J’ai été violée ! Je me réfugie sur le lit de camp et me blottis sous la couverture. J’arrive quand même à dormir. Je suis réveillée à nouveau par un autre homme, il est planté devant moi, son pantalon et son caleçon à ses pieds. - Viens me sucer ! Je n’ai toujours pas le moyen de refuser. Je m’agenouille devant l’homme et prend en bouche son sexe. - Et tu ne recraches pas, tu avales ! L’homme me tient la tête, son sexe remplit ma bouche. Il finit par jouir. Puis il se rajuste et disparaît. Je reste pantoise. Je suis humiliée de subir tous ces événements. On ne m’a quand même pas kidnappée pour un coït et une fellation. Le soir arrive. Un homme m’apporte une bouteille d’eau et un sandwich. Je n’ai pas très faim mais je mange quand même. Puis je me couche et finis par m’endormir. Je suis réveillée par un bruit de serrure. Mon geôlier me fait reprendre la position que j’avais quand il m’a violée. Il baisse son pantalon et son caleçon. Je vais être violée une nouvelle fois. Mais il choisit mon autre orifice, ses mains écartent mes fesses et son sexe entre dans mon cul. Je suis encore une fois la victime de cet homme. Combien de fois vais-je devoir le subir ? Je l’entends rugir, il éjacule enfin en moi. Il se rajuste et s’en va. Je suis de nouveau enfermée. Je n’ai même pas la possibilité de me laver, j’ai l’impression d’avoir toujours un goût de sperme dans la bouche, j’ai du sperme dans le ventre et dans le cul. Je suis sale, je me sens sale. L’homme fait de nouveau irruption dans la cave. - Couches-toi par terre sur le dos, les bras le long du corps, tu ouvres la bouche et tu ne bouges pas sinon …. Je prends donc la position indiquée. L’homme ouvre sa braguette et se mat à uriner sur tout mon corps en privilégiant la tête. J’avale un peu d’urine. Mes cheveux sont mouillés. Puis l’homme s’en va. Je reste allongée sur le sol un long moment, hébétée. Je n’ai rien pour me sécher. Je sens l’urine odorante. Mais que me veut-on à la fin ? J’ai du mal à m’endormir.
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Par : le 31/05/20
Ma vie de soumise Chapitre 8 : Dimanche 3 Dimanche après-midi. J’arrive devant chez monsieur Pierre. Il vient m’ouvrir. Il est très élégant, cheveux blancs, yeux bleus : - Je suis Pierre, Enchanté. - Enchantée, monsieur. Je n’ai pas le temps de refermer ma bouche, il m’enlace, ses lèvres rejoignent les miennes, sa langue force l’entrée de ma bouche. Nous échangeons un long baiser. Je suis surprise, mon Maître ne m’a jamais embrassée. Pierre me prend par la main et m’entraîne vers la salle à manger. Un homme se lève. Pierre me dit : - Je te présente Jacques. - Enchantée, monsieur. Jacques est plus petit sur Pierre, il est légèrement bedonnant, les cheveux grisonnants. Il s’approche de moi, il m’enlace et ses lèvres rejoignent les miennes. Nos langues se rencontrent. Décidément, c’est un accueil curieux mais agréable. La table est encore occupée par des bouteilles et différentes pâtisseries. Pierre s’adresse à moi : - Tu vois, on en était au dessert. On va le partager avec toi. Les hommes vont s’asseoir. Pierre m’attire sur ses genoux. - Que veux-tu, ma beauté ? Je choisis un chou à la crème. Pierre le prend en main et le présente devant la bouche. - Garde tes mains dans le dos. J’avance la bouche et commence à lécher la crème. J’en ai plein les lèvres que Pierre vient lécher. Puis je continue à manger mon chou et à chaque bouchée, Pierre vient lécher ce que je n’ai pas avalé. Il s’adresse à moi : - Jacques n’en a pas profité. Nous allons continuer notre dessert. Déshabille-toi et enlève ton collier de chienne. Pendant que je me déshabille les deux hommes dégagent un coin de table qu’il revêt d’une nappe en papier. Pierre me fait allonger, sur le dos, sur cette nappe improvisée. - Écarte bien tes cuisses ! Ils répandent de la crème sur ma figure, mes seins, mon ventre, mon sexe. Et ils commencent à me lécher, Jacques s’occupe de mon visage et de mes seins, Pierre de mon ventre et de mon sexe. J’ai de drôles de sensations. Ces messieurs me dégustent. Je sens leurs langues surtout celle de Pierre à l’entrée de mon vagin. J’ai un orgasme. Ils continuent de me lécher. Quand mon corps est débarrassé de ces friandises, Pierre s’adresse à moi : - Tu vas aller prendre une douche. Ensuite, tu débarrasseras la table. Enfin, tu viendras nous rejoindre dans le salon. - Bien, monsieur. Je vais donc me doucher. Ensuite, je retourne vers la table pour la débarrasser, mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et rejoins ces messieurs au salon. Ils sont assis face à face, absorbés par une partie d’échecs. Pierre me demande : - Chérie, tu connais les échecs ? - Non, monsieur. - Viens t’asseoir sur mes genoux. Je vais m’asseoir sur les genoux de Pierre, il me tend ses lèvres, j’ouvre la bouche pour accueillir sa langue et je passe mes bras autour de son cou. Je sens un frémissement de son sexe à travers son pantalon. Pierre décolle sa bouche de la mienne pour jouer un coup sur la table d’échecs et, aussitôt, reprend ma bouche. Notre baiser est donc interminable. Puis, Jacques annonce : - Échec et mat. Pierre s’adresse à moi : - Va rejoindre Jacques, il t’a gagnée. Je vais m’asseoir sur les genoux de Jacques. Nos bouches s’ouvrent et s’unissent. Je l’enlace. Les deux hommes ont des goûts similaires, ils savent tous les deux si bien embrasser. Pierre se met debout et vient me prendre par la main. Il m’emmène devant un lit : - Couches-toi, ma beauté. Les deux hommes se déshabillent. Je les regarde. Belle prestance de Pierre. Jacques a un petit bidon mais reste séduisant. Tous deux ont un sexe attirant. Je vais me régaler. Ils me rejoignent dans le lit. Je suis couchée sur le dos. Jacques me chevauche au niveau du cou. Il me présente sa queue que je commence à téter. Quant à Pierre, sa verge a pris possession de mon vagin. Ma bouche et mon sexe sont remplis. Je fais une gorge profonde à Jacques. J’ai une vue sur sa bedaine. Pierre est très actif. Puis ils changent de position. Jacques m’attire sur lui et sa queue pénètre mon vagin. Je devine Pierre derrière moi. Son sexe frôle la raie de mes fesses puis sa verge pénètre mon anus. Je suis prise en sandwich par les deux hommes. Je n’avais jamais été doublement pénétrée, c’est une nouvelle sensation très agréable. Jacques a sa bouche collée à la mienne et Pierre m’embrasse dans le cou. J’ai un orgasme. Je suis aux anges, je voudrais que cet instant dure une éternité. Les deux hommes jouissent en moi. Ils se couchent sur le dos. Avec ma langue je vais nettoyer le sexe de Pierre puis celui de Jacques. Les deux hommes récupèrent. Je suis entre les deux et chacun a une main dans la mienne. Nous savourons ce moment de bonheur partagé. Pierre se lève, il prend dans le placard un bâillon et un bandeau qu’il me met. - Lève-toi ! Pierre me prend la main et me guide. - Reste là et attends ! Un moment se passe dans le calme. Puis Pierre m’ordonne de lever les bras. Soudain, je reçois un coup sur les fesses puis presque simultanément un coup sur les seins. Et les coups commencent à pleuvoir, je sens les morsures sur mon corps. Pierre s’adresse à moi : - Baisse tes bras. Vas-tu partager notre dîner ? Réponds en hochant la tête. Je hoche la tête en signe d’assentiment. L’un des deux hommes m’attrape par les cheveux et m’entraîne. J’entends une porte s’ouvrir. - Mets-toi à quatre pattes et avance. Puis j’entends une porte se fermer. Je dois être dans un placard. Je parviens à m’asseoir. Je reste ainsi pendant un temps qui me paraît interminable. J’entends la porte s’ouvrir. Pierre me dit de sortir. Il m’enlève le bâillon, le bandeau et les menottes. Il me dit : - Tu te mets à quatre pattes. Tu ne te relèveras qu’avec ma permission. Tu es notre chienne. - Oui, monsieur. - Tais-toi, une chienne ne parle pas. Il me remet mon collier et m’introduit un plug anal prolongé d’une queue d’animal. Il me conduit dans la salle à manger. - Nous allons prendre l’apéritif. Tu te placeras à nos pieds que tu lècheras. Les deux hommes vont s’asseoir à la table. Je vais jusqu’aux pieds de Pierre que je me mets à lécher en n’oubliant pas de passer la langue entre les orteils. Puis je fais la même chose aux pieds de Jacques. Ils se penchent quelquefois pour me caresser la tête. Je lèche alors leurs mains. Je me comporte comme la chienne que je suis. Ils se lèvent tous deux. Pierre pose une écuelle remplie d’eau sur le sol. Jacques pose à terre une assiette remplie de nourriture pour chien. Pierre me déclare : - Interdiction d’utiliser tes mains. Je lape l’eau et attrape un morceau de nourriture. Ce n’est pas facile. J’essaie de m’appliquer. Quand mon repas est terminé je retourne au pieds de mes maîtres. Pierre m’appelle : - Viens. J’approche à quatre pattes. Il me tend un carré de chocolat que j’attrape avec les dents. Puis je lèche la main de Pierre. Les hommes finissent leur repas. Je suis toujours aux pieds de l’un ou de l’autre. Pierre s’adresse à moi : - Va dans la salle de bain. Essuie-toi la bouche, enlève ta queue et ton collier. Tu redeviens notre femme. Et rejoins-nous dans la chambre. Quand je les rejoins, les deux hommes sont couchés sur le dos. - Viens nous sucer. Je m’allonge entre les deux hommes. Je commence par téter le gland de Pierre puis de Jacques. Puis j’entame une gorge profonde en alternance sur les deux hommes. Je me délecte de leurs sexes qui grossissent dans ma bouche. Puis Jacques change de position. Il se place derrière moi et sa verge pénètre mon cul. Belle sensation d’avoir la bouche et le cul occupés. J’ai un orgasme. Les deux papys jouissant à leur tour. Jacques se recouche sur le dos. Ma langue part à la recherche de sa verge pour la nettoyer. Pierre me dit alors que je peux partir. Je leur dis au revoir, je remets mon collier, reprend ma laisse, je me rhabille m’en vais. J’ai passé une excellente journée avec les deux papys. J’ai connu la double pénétration. J’attends avec impatience samedi prochain. Quelle surprise mon Maître m’aura-t-il préparée ?
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Par : le 30/05/20
Malgré le retour du beau temps, le retour à une vie plus ou moins normale, je sens que je ne suis plus moi même. Cette partie de moi qui m’a été arrachée a tout bouleversé. Ton regard, ta voix, ton odeur et ton corps hantent mes pensées dès mon réveil depuis bien trop longtemps. J’ai débuté une relation avec une femme, nous avons prit le temps de mettre les choses au clair, aucun engagement à long terme, de simples rencontres occasionnelles. C’est une femme splendide aux cheveux roux, très cultivée, de très bonne compagnie et je ne puis dire que nous ne partageons pas des moments fantastiques sous les draps. Hélas, au delà du plaisir physique de nos ébats, je ressens un manque de l’ordre du plaisir psychologique. En effet, nos partageons une relation plus traditionnelle elle et moi et je sens qu’au fond de moi la naturel revient au galop. Notre complicité, nos discussions, notre façon de nous amuser dans la chambre ou dans quelconque autre pièce ou lieu me manque. Tu voulais que je fasse de toi ma chose et j’y prenais un plaisir sur lequel je ne pourrais pas mettre de mot. Il me manque de ressentir ce frisson lorsque je commençais à mettre de côté qui nous étions au quotidien pour devenir le dominant qui est en moi et faire de toi ma chienne. Il me manque de te mettre ton collier, ta laisse et ton plug, de te voir à mes pieds, dans l’attente de mes ordres. Tu te livrais à moi, corps et âme. Nous avions tout deux envies de repousser nos limites un peu plus loin chaque jour, d’un simple regard on arrivait à se comprendre. Les marques laissées sur ton corps par le fouet ou bien ma paume, ton visage commençant à rougir lorsque je te saisissait par la gorge, ce regard défiant de soumise qui en veut toujours plus ou bien t’attacher et te voir à ma merci.. Tant de choses qui manquent à ma relation actuelle. Je suis déboussolé. Devrais-je essayer d’introduire le sujet malgré le fait que je trouve ma partenaire très (trop) rangée pour vouloir s’y prêter ? Après tout, lors de notre dernière rencontre elle m’a avoué avoir apprécié les débuts d’étranglements que j’ai réalisés lors de notre moment d’intimité. Mais je ne puis dire que je pense qu’elle ait envie de se traîner hors de la masse et de s’initier au rôle de soumise..
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Par : le 27/05/20
Ma vie de soumise Chapitre 5 : Samedi 2 Samedi après-midi. Je sonne à la porte de mon Maître. Il est nu. Je lui prends les mains et dépose un baiser sur chaque paume. Il m’ordonne de me déshabiller. Je n’ai plus sur moi que le collier de chienne et la laisse. Il va chercher une chope à bière dans lequel il urine. Il me tend la chope et me dit : - Régale-toi, n’en perds pas une goutte. - Bien Maître. Je n’ai jamais eu à boire de l’urine. Mon Maître m’observe, je ne dois pas lui montrer mon hésitation. Je porte la chope à mes lèvres et prend une gorgée. Mon Maître m’a dit de me régaler, je fais donc tourner le liquide dans ma bouche, je suis surprise, c’est assez bon. Puis j’avale. Ensuite, je bois gorgée par gorgée et déguste. Quand j’ai fini la chope je la tends à mon Maître. - Merci, Maître. Je suis satisfaite de ma prestation, je suis fière d’avoir servi mon Maître, j’ai goûté à son sperme et à son urine. Mon Maître m’ordonne une pipe. Il m’enfourne sa queue dans la bouche. Son pénis grossit. Mon Maître m’entraîne jusqu’à la table de la salle à manger et m’ordonne de m’y étendre sur le ventre. Mes fesses sont au bord de la table et mes jambes pendent. Il se place derrière moi, je suis impatiente de le recevoir. Quel orifice va-t-il choisir ? Il guide son sexe et l’enfonce entre mes fesses. J’ai toujours eu une réticence à me faire sodomiser mais, ici, je n’ai pas le choix. Mon Maître m’agrippe par les hanches et effectue des mouvements pour me pénétrer plus profondément. La douleur de l’intromission a fait place à du plaisir. Mais je ne dois pas jouir. Je me suis entraînée à ne pas jouir quand je me caresse, il s’agit cette fois de le réaliser avec mon Maître. Mon Maître est résistant. Il me laboure l’anus, me pénètre de plus en plus profondément. Je ne connaissais pas trop ce plaisir. Mon Maître me le fait connaître et apprécier. J’entends mon Maître grogner, il vient de jouir en moi. Il se retire. - Merci, Maître. - Tu me nettoies la queue avec ta langue. - Oui, Maître. Je me lève de la table et m’agenouille devant mon Maître. Ma bouche happe son sexe. Je passe ma langue pour le nettoyer. Je ressens un goût dans ma bouche, mélange de sperme et de mes sécrétions. Mon Maître aura beaucoup utilisé ma bouche. Je sens le sperme de mon Maître me dégouliner sur les cuisses. Je suis devenue encore plus chienne. Il m’a enculée et m’a obligée à lui nettoyer le sexe. Je suis humiliée mais, en même temps, heureuse de ce que je suis en train de devenir. Mon Maître m’ordonne de m’accroupir fesses sur les talons, les bras ballants et de l’attendre. J’attends de savoir ce que mon Maître voudra de moi. Mon Maître s’éloigne et regagne une autre pièce. Mon attente commence à durer mais je n’ai pas le droit de bouger. J’attends un très long moment. Je m’engourdis. Mon Maître revient enfin. - Lève-toi. Il m’entraîne dans la chambre. - Couches-toi sur le dos. - Bien, Maître. Mon Maître vient au-dessus de moi, il introduit sa queue dans ma bouche et commence des mouvements de va-et-vient que j’accompagne du mieux que je peux. Je constate une fois de plus qu’il est très résistant. Je pense qu’il arrête ses mouvements quand il sent qu’il va jouir. Va-t-il jouir dans ma bouche ? Brusquement, il se dégage de ma bouche et jouis sur mon visage. Je reçois du sperme sur les joues, les yeux et dans les cheveux. Je ne connaissais pas cette pratique qui m’a vraiment surprise. Mon Maître m’a inondé la tête. Mon Maître m’ordonne de me lever. Puis il va chercher un fouet. J’ai droit comme dimanche passé à vingt-cinq coups répartis sur le corps. Je décompte et remercie mon Maître. - Maintenant, tu t’en vas. Tu reviens demain à quatorze heures. - Oui, Maître. Je vais baiser les paumes de mon Maître. Je me rhabille et m’en vais. Je n’ai pas nettoyé mon visage et mes cheveux. On doit pouvoir voir les traces de sperme de mon Maître. Aujourd’hui, j’ai été à la hauteur dans la dégustation d’urine, pour me faire enculer, le nettoyage de sexe, l’attente accroupie, la pipe, la réception du sperme sur mon visage et pour les coups reçus. Mon Maître me fait progresser, je suis de plus en plus motivée. Je suis maintenant une chienne. Il m’a fait goûter à son sperme et à son urine. Je suis impatiente de les savourer à nouveau. Quand va-t-il me baiser ? Je ne me lave pas. Je dois avoir du sperme dans le cul. En me regardant dans une glace, je constate les traces de sperme sur ma figure et dans mes cheveux. Je décide de ne pas me laver et vais me coucher en étant imprégnée de mon Maître.
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Par : le 26/05/20
Jai 16 ans, je suis allée garder Francois-Xavier, ce petit bonhomme de sept ans a les oreillons. Son petit visage est tout gonflé sur le côté gauche, difforme. Il est très fatigué, et , pour une fois, va se coucher sans discuter. Ce n’est pas moi qui aurais dû venir le garder ce soir, mais maman n'a pas voulu que mon frère Pascal, qui a un an de plus que moi, risque d attraper les oreillons. Il ne les a jamais eus et à son âge ce peut être dangereux pour sa virilité, ou sa fertilité, vu que cela se déplace des oreilles vers les testicules, ou qu’elles sont aussi touchées. Je ne sais plus, je ne me rappelle plus les conséquences pour un jeune adulte mâle s'il est en contact avec cette maladie. Plus tard il y aura un vaccin, le ROR, mais ce sera pour la génération suivante. Il faudrait que je demande à un médecin maintenant que j’en ai dans mes relations. Je suis au lycée, en première scientifique au lycée pilote de Sèvres . Il a changé plusieurs fois d’appellation . Il est particulier, expérimental, international, certains cours sont donnés en anglais. Pour moi c’est juste le lycée du secteur. Je m’y rends avec mon deux-roues, 103 Peugeot orange. Rien de très original. Mais j’ai mon autonomie. C’est pour ça que je peux faire des baby-sittings dans ma commune. J’ai donc emporté mes devoirs à faire, probablement des maths, mais la soirée va être longue. Une fois terminés, je n’ai pas de livres et me dirige vers la bibliothèque en chêne aux lourdes portes vitrées. J’ai libre accès à la maison. Les propriétaires me connaissent, ainsi que mon frère, ce n’est pas la première fois que je viens, ils ont confiance et ne ferment rien à clef. J’aime lire. Je lis tout ce qui me tombe sous la main. Ma surprenante mémoire m empêche de lire plusieurs fois le même livre, contrairement à mes amies. Je me souviens déjà de toute l histoire dès les premières lignes relues. Cela se vérifiera tout au long de ma vie. Ce souvenir, j’ai 58 ans quand je le couche cette nuit sur le papier, ou plutôt sur l’écran de ma tablette. Et j’ai l’impression d’avoir lu cette histoire il y a quelques mois a peine. Je dois reconnaître que je me la suis ressassée bien des fois. Elle a été mon premier support masturbatoire et le seul pendant longtemps, toujours mon préféré, celui qui m’a révélé mon souhait le plus profond que je peux enfin vivre. Celui qui me montrai que j'étais soumise. Dans la bibliothèque, bien serrée entre d’autres livres, une petite revue en papier de moyenne qualité, format A5, semble m appeler . D’après plusieurs dominants à qui j’en ai parlé il s'agit de L’Union, mais le titre ne m’a pas marqué, contrairement au contenu. C’est l’histoire d’un couple. Maintenant je sais qu’il s agit dune relation DS, mais à l’époque, j’étais encore très innocente . Mon expérience se limitait à des baisers profonds et quelques caresses plus poussées. Je n’ai pas encore couché avec un garçon, ma mère me met une telle pression sur ma virginité, les risque de grossesse, les problèmes de la pilule. Bref, pas de relations sexuelles uniquement des flirts. La définition en est très simple « la main dans le machin, le machin dans la main , mais pas le machin dans le machin » .Oh j’ai vu, touché, palpé, et même sucé et léché, sans connaitre le nom de cette caresse buccale approfondie. Fellation et gorge profonde ne font pas partie de mon vocabulaire. Donc Monsieur a passé une annonce pour expliquer qu’il souhaite livrer son épouse à un couple pour le week-end, en sa présence mais au service de leurs hôtes. Ou il répond à une annonce qui demande une esclave.Il reçoit un appel téléphonique qui lui donne les premières consignes. --pas de douches ni de bains ni de toilettes intimes , Monsieur essuiera délicatement sa femme après ses passages aux toilettes, mais pas d eau ni de savon, --ce sera monsieur qui lui fera sa toilette au gant et savon sur le reste du corps mais ni douche ni bain -- pas de toilette non plus après les rapports sexuels, elle restera couchée de manière à garder le foutre dans sa chatte --on ne changera pas de culotte pendant la semaine qui précédera le rendez-vous, et il s agira d’une grande culotte en coton blanc , pas de culotte basse -- interdiction de se masturber mais bien évidemment Monsieur la prendra autant de fois que désirées --le vêtement porté le jour de la rencontre sera ample pour laisser accessible les fesses La date et le lieu sont fixés, les consignes répétées et la semaine passe ainsi. L esclave sent le foutre et la transpiration, sa culotte présente des tâches de différentes couleurs mêlées. Le rendez-vous est dans le parking d’une de ces nouvelles grandes surfaces qui commencent à s’ouvrir un peu partout en périphérie des villes. Il est très facile de se retrouver à l’ouverture ce samedi matin à 10h. Les deux couples sortent de la voiture. L’esclave porte une grande jupe rouge à ceinture élastique et un corsage bleu marine dont les deux boutons du haut ouverts laissent apparaître la dentelle du soutien-gorge de coton blanc. Les couples se rapprochent , les hommes se serrent la main , l’esclave baisse la tête et n’ose relever les yeux. L’autre femme s approche et glisse sa main dans la ceinture de la jupe, puis dans la culotte et va tripoter l’intimité de l’esclave qui rougit. C’est la première fois qu’une femme fouille dans sa culotte. L’odeur qui se dégage la fait rougir de honte. La domina lèche son doigt avec un sourire approbateur, et sort de sa poche un beau saucisson. --bien , dit-elle, assieds toi sur ce banc, remonte ta jupe, dégage ta culotte sur le côté, je vais introduire ce saucisson entre tes jambes ». L’esclave rougit encore, mais, après un regard inquiet vers son mari qui fronce les sourcils, elle s’empresse d’obéir. La domina la doigte un peu et introduit le saucisson puis remonte la culotte. Le vagin est tellement humide que le saucisson glisse vers le bas et fait une bosse dans la culotte. --nous allons faire quelques courses toutes les deux pendant que ces messieurs fument leurs cigarettes » Elle prend le bras de l’esclave et se dirige vers les boutiques. La marche n’est pas aisée. Le saucisson gêne quelque peu .A la pharmacie elle lui fait demander des préservatifs masculins et de la vaseline. A cette époque ce n’était pas en libre service, il fallait demander aux pharmaciens . Malgré la honte et ses joues rouges, les achats sont faits. Puis les quatre adultes montent dans la voiture du couple dominant pour rejoindre leur domicile pas vraiment éloigné. Ils arrivent devant une maison tout à fait ordinaire de banlieue. Une de celles de la reconstruction d’après-guerre qu’on retrouve partout France. Carrée, avec un petit jardin devant et un plus grand à l’arrière. On y entre après avoir monté un escalier d’un demi-étage qui donne sur un petit balcon. La porte franchie, tout le monde ôte la veste et se dirige vers le salon , sur la droite dans le couloir traversant. Et l’esclave se déshabille pendant que les autres la regardent. Des phrases moqueuses jaillissent , des sourires étirent les lèvres, les dominants semblent satisfaits. En culotte , le saucisson lui fait une drôle de bosse qui amuse la Maitresse. Elle croise ses mains pour cacher et maintenir sa lourde poitrine, mais un coup de badine surgi de nulle part lui fait rapidement étendre les bras le long du corps. Sur un claquement de doigts de son mari elle se précipite vers lui à quatre pattes, ses seins pendant telles de lourdes mamelles, et pose sa tête au sol, les mains croisées sur sa nuque. Elle redresse sa croupe et son mari se met accroupi sur ses talons pour lui ôter sa culotte et ainsi bien présenter l’intimité de son épouse au couple dominant, puis il s’éloigne pour s’assoir sur le tabouret que lui indique son hôte. Celui-ci se lève du canapé dans lequel il s’était assis et commence à tourner autour de l’esclave en la tapotant du pied. Elle ne bouge pas et reste silencieuse. Sa femme s’approche de lui et lui caresse l’entrejambe. Une belle érection tend la toile du pantalon et l’homme défait sa ceinture et ouvre sa braguette. L’esclave tirée par les cheveux se redresse et se retrouve à genoux devant lui . Elle ouvre la bouche et s’empare du sexe tendu pour une première fellation . Il tient sa femme par la taille et lui caresse la poitrine en l’embrassant. Il jouit assez vite et la femme agenouillée avale promptement le nectar qui jaillit. Puis il retourne se vautrer dans le canapé et laisse sa femme jouer . Elle utilise le saucisson dégoulinant de cyprine comme un gode dans tous les orifices de la femme qu’elle a fait remettre à quatre pattes. Elle prend une laisse et un collier et la fait déambuler dans le salon comme une chienne. Mes souvenirs sont un peu flous pour la suite. Assise dans le canapé du salon , ma main droite fouille dans ma culotte et j’ai du mal à tenir la revue de la gauche. Mes jambes se sont tout naturellement écartées et mon majeur joue avec mon clitoris. Je le connais bien bien que je ne sache pas son nom. Je sais les sensations qu’il m’offre quand je suis sur mon deux-roues. Il y a bien longtemps que j’ai découvert son pouvoir quand j’appuie dessus, ou que je le pince , ou avec l’eau de la douche que je règle assez fort quand je m’allonge les cuisses écartées au fond de la baignoire. Mais une scène remonte toujours à ma mémoire, ce sera elle mon principal support pour mes séances de plaisir solitaire. Le dominant est retourné sur le canapé, l’esclave à quatre pattes le suce de nouveau. Elle est nue , sa culotte a servi plusieurs fois pour la bâillonner et sa salive s’est mélangée aux autres sécrétions. Puis l’autre femme la fait se lever et la guide pour qu’elle vienne s’empaler sur le sexe tendu de l’homme assis. Elle lui tourne le dos et , les genoux pliés, on la penche en avant. Sa tête appuie sur le sol , ses mains s’agrippent à celles de son mari qui s’est approché. Ses cuisses sont manipulées pour être écartées au maximum. Sa rondelle est ainsi bien exposée. La domina attrape une baguette et donne un petit coup sec sur l’anus bien ouvert après les nombreuses sodomies subies. Par réflexe, tous les muscles se contractent. Puis elle se penche pour bien inspecter l’anneau. Elle observe le visage de son époux et redonne un petit coup sec. L’opération se répète, le rythme change, l’esclave pleure non de douleur mais de honte à cette inspection répétée. Le mari veut intervenir mais un coup de baguette sur sa tête le stoppe dans son élan. La jouissance du Maitre explose dans un cri. L’esclave est épuisée et glisse au sol. Son mari la prend pour aller l allonger sur une couverture près du radiateur. Elle ne pourra resservir de jouet qu’après un temps de repos et une collation. C’est comme une pompe à plaisir, le résultat de ces coups sur l’anus est fabuleux. Le vagin se contracte et se resserre sur le sexe du mâle qui la pénètre et il en retire un plaisir très fort. Mais cela épuise les esclaves, et il doit renouveler ses contacts. C’est pour ça qu’il passe des annonces régulièrement. Il trouve toujours de nouveaux hommes qui veulent prêter leurs femmes et regarder. J’entends la voiture arriver et m’empresse de ranger la revue à sa place . Mon grand pull tiré sur mon pantalon ne me trahira pas. Ce fût la toute première fois que je fus en contact avec un récit bdsm. Je le pris pour histoire vraie. Je lus d’autres témoignages dans d’autres numéros car ce n’était pas le seul que je trouvai chez ce couple de catholiques pratiquants dont je gardai l’enfant a plusieurs reprises . Jai lu par la suite de nombreux ouvrages, mais aucun n’a su retenir aussi longtemps mon attention. Ce récit peut vous paraître naïf mais il est sincère. Merci de m’avoir lue.
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Par : le 22/05/20
Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina. Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on usera et abusera, juste rien ! Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent son sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte. Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie. Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale. La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants. « Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant « Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traite avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent. Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté. Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché. Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel. Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie. Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina. -
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Par : le 21/05/20
La beauté de l'endroit semblait subjuger Charlotte. C'était une vaste cave voûtée aux murs de pierres apparentes. Des cierges ornaient chacun des angles, pendant que les flammes des longues bougies blanches tremblaient sur l'or des pierres centenaires en faisant surgir des ombres sinueuses et menaçantes; l'endroit paraissait avoir été conçu depuis la nuit des temps pour le plaisir et la souffrance, pour les rites les plus secrets, les messes noires et autres rituels sataniques. La lumière mordorée teintait sa peau, son corps nu se colorant de poudre d'or. Juliette lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes aux murs de pierre. Elle saisit ensuite ses poignets, qu'elle écarta en croix, comme ses cuisses, les emprisonnant dans des bracelets d'argent pendus à des fers fixés exactement à la clé de voûte. Charlotte désirait être fouettée, s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît, sa Maîtresse. Juliette commença par me caresser. Elle savait qu'en faisant cela, elle me donnait une chance de me faire oublier ma faute. Elle s'empara d'un martinet et commença à me travailler le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses des lanières avec des coups cruels et violents. Plus elle frappait fort et plus je m'offrais. Je n'éprouvais qu'un pincement aigu au moment où mes seins furent brutalement saisis par des pinces, puis je sentis les pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant. Chacun des mouvements que je faisais alors amplifait le balancement des pinces, provoquant une sensation effrayante d'arrachement. Je me souviens de ce moment précis où je fus mise à quatre pattes sur le sol au milieu de la cave. Juliette dont j'étais désormais l'esclave d'un soir fixa d'autres pinces sur les lèvres de mon sexe, en dessous de mon clitoris. Tout mon corps se balançait de façon obscène, tenaillé entre deux douleurs, partagée entre le désir de faire cesser mes souffrances et celui d'en augmenter l'intensité par mes balancements, pour satisfaire Juliette et mériter son pardon. J'observais avec orgueil la rotation des poids suspendus aux pinces attachées à mes seins, de droite à gauche et de gauche à droite. La douleur devenait intolérable, mais je devenais la spectatrice de cette douleur. Je souffrais, mais je dominais cette souffrance: le plaisir qui naissait en moi la dépassait, la stigmatisait. Pour marquer sa satisfaction, Juliette me désigna la croix de saint André où je fus attachée dans une position d'extrème écartèlement. Un inconnu s'approcha de moi, comme si je devenais digne de son intérêt. Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent écarquiller les yeux. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusquà ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche. Je me livrai au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré. Juliette me dit soudainement: - J'aimerais te fouetter jusqu'au sang. Je lui répondis que je lui appartenais. Dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient celles d'une tombe, l'inconnu me contemplait silencieusement et je m'aperçus qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles; Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse. Lorsque la pointe fut excitée, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt après, la seconde dans le mamelon du sein qui n'avait pas été caressé. D'autres aiguilles furent plantées tout autour des aréoles, quelques gouttes de sang vinrent ternir le métal que la lueur d'une ampoule faisait jusque-là scintiller. Mon martyre devint délicieux. Ainsi, j'étais devenue l'objet de plaisir de cette femme et de cet homme. Juliette parut subitement échauffée: elle s'approcha de moi et de me libéra de la croix de saint André. Avant même que je puisse savourer ce répit, on me porta sur une table où je fus allongée et solidement attachée. Je fus alors fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée comme une chose muette et offerte. L'inconnu qui violentait mes reins se retira brusquement pour forcer ma bouche. L'homme semblait apprécier et s'enfonçait dans ma gorge pendant que je le couvrais de salive; Juliette se plaça derrière moi et plongea ses doigts dans mon vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement ma vulve, remonta sur mon anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur ma croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Les lèvres forcées par le glaive charnel, je dus me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses. J’introduisis tant bien que mal un doigt dans la moiteur de ma voie la plus étroite pendant que Juliette continuait de me fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus"; je répondis d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant maintenant l'intérieur de mes cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière moi: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Je m’exécutais docilement alors qu’elle forçait mon anus en écartant mes fesses de ses doigts pour faciliter mon intoduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était des plus humiliantes; j'étais partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant. Mais ce ne furent que les préliminaires. Juliette me relèva en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache, j’enjambai maladroitement l'inconnu et m’accroupis dos à lui, tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Juliette maintint le sexe à la verticale et me força à descendre dessus en tirant sur mon collier. Ma croupe s’écrasa sur la pointe saillante; tous les invités se regroupèrent autour de la scène et je pus voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches; alors que je m'efforçai de garder l’équilibre, l'homme força à m’empaler sur son sexe; je tentai de résister, mais en vain; son membre surdimensionné défonça mes reins, distendant lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit, tout mon corps était perlé de sueur. Je luttais pour ne pas jouir; les invités nous regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle que j'offrais, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Juliette se dénuda alors et commença à se caresser tout en me fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de moi, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées; juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans mon ventre et irradia tout mon corps; parcourue de spasmes, je jouis en silence tout en éjaculant au visage de Juliette; mes jambes vacillèrent mais l'inconnu me tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais mon anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse; on entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour me regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir; plus loin un homme qui se masturbait en m'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Juliette, s’essuya le visage du revers de la main et lècha ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un sourire narquois. On m'ordonna de me mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave; une cravache noir me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un véritable rugissement; la rigidité du cuir enflammait mes reins et mon dos; les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir; une fois la fulgurante jouissance dissipée, j'osai implorer leur pitié; je venais de rompre le charme. Ils décidèrent de me faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Je fus à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ce que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Juliette qui m'installa. J'étais en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte, prête à être investie. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, ma bouche servant d'écrin; au même moment, un autre utilisait mon vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement mes reins, qui comme la totalité de mon corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qui se passait autour de moi. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra ma croupe; mon ventre se liquéfia. J'étais prise, on ravageait mes reins meurtris; épuisée, quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur mes épaules, l'homme se décolla de moi comme l'animal après la saillie. Après m'avoir conduite à la salle de bain où l'on me doucha, on me conduisit dans la chambre tapissée de toile de Jouy où je m'endormis. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/05/20
Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina. Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on use et abuse, juste rien ! Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent sont sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte. Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie. Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale. La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants. « Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant « Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traité avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent. Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté. Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché. Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel. Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie. Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina.
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Par : le 20/05/20
Je suis navrée pour les fautes commises non corrigées. Le violoncelle est si difficile comme instrument, il m'a complètement ensorcellée… J'ai trouvé cette photo sur ce site, j'avoue l'avoir piquée mais elle reste une des plus belles que j'ai pu voir. Le violoncelle étant mon instrument de musique favori.. J'ai été très inspirée aujourd'hui. ************************************************************************************************** Me voilà assiste sur mon canapé, j’écoute Nicola Porpula, Salve Regina in fa maggiore. Les musiques sacrées ont toujours eu cette grâce divine dont la voix des anges me transpercent. Je suis en train d’écrire comme la frénésie que ces notes me procurent un peu comme sur un clavier de piano. Je ne m’appartiens plus.. J’écris.. encore et encore. Il y a toujours eu ce compositeur qui pour moi a été touché par la grâce. Un prête un peu défroqué. Un homme capable de vous faire vibrer sur les quatre saisons tout au long de l’année. Vivaldi était un génie. La musique baroque a toujours fait partie de ma vie. Elle m’apaise tant. Voulez-vous me toucher un peu? je m'expose. Là, maintenant. J’en écoute, mon cœur s’envole, mon esprit s’égare, divague un peu comme une mélodie dont le flot traverse mon âme pour me cueillir à son passage. Elle peut me faire pleurer de beauté, de bonheur. J’en frisonne. La musique est comme un vêtement. La choisir en fonction de notre envie, de notre humeur. De la même manière que vous choisissez votre vêtement, le parfum, un éclairage.. tout a son importance. Le sens du détail. Certains n’y voient rien, dépourvue de toute intelligence émotionnelle, sans aucune saveur à vivre dans la simplicité. Parfois je les envies. Parfois, je me dis que mon hypersensibilité est ma bénédiction comme ma croix. Voir, ressentir ce que d’autres ne peuvent ressentir. Cette sensation pour les autres que je passe la barre haute. Il faut apprendre à jouer, à étudier, à comprendre, à vibrer et à respecter. La musique est un art impalpable capable de nous toucher et d’être partager dans tout le monde sans avoir à bouger ou à être dans un musée. Une seule musique et le lieu où vous êtes change. La vie c’est la manière dont on regarde les choses. Je me préparais pour le week end à ses côtés. La musique m’accompagnait. Je courais dans l’escalier de son immeuble. Mon cœur battait, j’étais essoufflée. Je voulais me jeter dans ses bras, me perdre, me retrouver. Quand il ouvrit la porte, j’entrais. Tout de suite, je tombais à ses pieds. Je lui avais demandé pour aujourd’hui s’il était possible d’être dans une ambiance baroque, j’en avais besoin. Il m’avait écouté. Philippe Jarousky.. mon chanteur favori. Un homme que j’ai eu la chance de rencontrer. Sa musique forcement me touche quand on se rend compte que l’artiste dégage tant de choses. Je l’avais rencontre à deux reprises. La première fois où je l’avais écouté. A baden Baden. Il a l’art de rendre la musique accessible, à même provoquer du rire sur scène. Oui la musique classique est aussi de la joie et du rire loin des carcans que certains se donnent. J’étais là à ses genoux. Je posais ma tête contre sa main. - C’est si bon de vous voir. Je n’en pouvais plus. - Il est bon de vous voir ma muse. - Puis-je aller me changer ? - Oui bien sur. J’avais décidé pour notre soirée de porter un sublime déshabillé de soie violette dont les manches longues arrivaient jusqu’à mes genoux. Il y avait de la dentelle noire. Il se fermait à la taille avec une ceinture intégrée. J’aimais le contact de la soie sur ma peau. Je sortais alors de la chambre. L’ambiance était feutrée. Le son du clavecin, du violoncelle donnait une ambiance impalpable, comme si nous étions transportés dans un autre temps. Je me plaçais alors à genoux sur mon cousin au centre de son salon. Je disposais mon déshabillé en corolle. Ma tête était baissée. Mes mais dans le dos. Je l’attendais. Je sentis alors le son de ses bas. Il était derrière moi, il effleura ma chevelure. Il tournait autour de moi. Il posa sa main sous mon menton et ma tête vers lui. On se regardait droit dans les yeux. Il descendait alors son autre mains sur mon sein droit. Il franchissait la douceur de la soie. Je vibrais. Quand il en prenait possession avec cette fermeté. Il m’embrassait en même temps, faisant ensuite de même avec le second. J’étais alors contre lui. Il travaillait mes seins à travers le tissus. Les malaxant, les sous pesant, tirant sur mes tétons avec ce que la soie lui permettait comme mouvement. Puis il rebaissa ma tête. Il partit se servir un verre et s’asseoir face à moi. Il m’observait. - Le violet est une couleur qui vous va à ravir. Vous êtes intemporelle. Vous me surprenez à chaque fois. - Levez vous et venez vers moi. Avec délicatesse je me levais pour aller à lui. J’étais debout face à lui. Il effleura alors mes jambes comme s’il touchait une toile dans la plus grande douceur voulant s’imprégner de mon essence. Il arriva jusqu’à la ceinture de mon déshabillé. Il me regardait dans les yeux tout en tirant dessus. Le nœud cédait. - Voilà qui est mieux… Mettez vos seins dehors. - Asseyez vous à mes pieds, je vous prie. - Tendez vos mains. Il prit une gorgée de son verre et le déposa dans mes mains. - Baissez votre tête et tenez mieux mon verre ! - Quand je vous vois ainsi, j’ai terriblement envie de vous punir. - Je.. - Ne dites rien je vous prie. Je ne vous pas vous entendre aujourd’hui. Vous allez subir, je vais vous donner, vous punir, vous prendre. Il se leva et défit mon déshabillé pour le faire tomber à mes fesses. Il parcourait ainsi ma cicatrice, elle faisait toute la longueur de mon dos. Il commença par me mordre dans le cou puis à m’embrasser avec passion tout en m’étranglant. Je gémissais. Il s’était levé. Je ne bougeais pas. Il me saisit les cheveux. Les peigna de ses mains. Il m’attacha alors les cheveux. Je sentais que notre séance, si je puis dire allait être différente. Quand je sentis alors le bout de la cravache sur mon dos, je sentis qu’il avait été sérieux. J’avais besoin que mes tensions soient apaisées. Il commença a cravacher mon dos. Les coups me faisaient du bien. La sensation n’était pas comme d’habitude. J’en avais envie. Ce besoin d’être punie comme il le disait. Il alternait douceur et fermeté. Je sentais les coups de cravache m’apportait cette douleur. Quand il stoppa, l’apaisement. - Vous voir ainsi tout à moi, à ma disposition. Vous aurez quelques marques. Celle de mon affection. Le bois du plancher craquait sur ses pas. Il était revenu avec un collier. - Il est tant ma chère, de vous sertir d’un collier. Votre cou est si délicat. J’aime votre port de tête. Vous serez sublime avec, quand je vous tiendrez à la laisse, vous faisant la plus belle des chiennes. Je me sentais si réservée quand il me complimentait ainsi. Une fois le collier mis en place, je le touchais. Il saisit alors les poignets. - A moi.. vous êtes à moi.. J’entendis alors le cliquetis du mousquetons de la laisse. Il alla s’asseoir et m’attira alors à lui. - Défaites moi je vous prie dit il en tenant la cravache. Doucement, j’enlevais ses chaussures, ses chaussettes., sa ceinture. Je déboutonnais son pantalon. Il m’aida à le glisser tout comme son caleçon. Il tenait fermement sa queue dans sa main. IL m’approcha alors en tirant sur la laisse à l’orée de son gland. Je le regardais avec dévotion. - Sortez votre langue. J’allais commencer à lécher. - Non.. je ne vous ai pas autoriser à lécher. Il tira alors sur la laisse et me maintenait la tête ainsi. Il mit alors ses deux mains sur ma tête et me pénétra sauvagement la bouche. - Hum.. ma petite chienne. Puis il me rejeta la tête au sol. Mes jambes étaient contre mes cuisses. Il posa alors son pied sur mon cou. - Qu’est ce que vous êtes ? - Je suis.. votre chienne.. Monsieur. - Oui, ma chienne. Il me fit alors marcher pour monter sur sa table. - Redressez vous. J’étais assise à genou face à lui. La chaine de ma laisse tomber entre mes seins. J’étais nue. Il me saisit alors par la bouche me forçant à ouvrir la bouche. IL y mis ses doigts. Il me scrutait l’intérieur de ma bouche. Il faisait des va et vient jusqu’au fond de ma gorge. Je le regardait avec des yeux soumis à ses envies. Dès que je l’ai regardé, il me gifla. Il recaressa ma joue.. je fermais les yeux. En les ouvrant et le regardant il me gifla une seconde fois. Je soupirais. Il me ressaisit par la gorge. - Tenez vous droite petite putain. - Donnez moi un chiffre entre 1 et 5. - 3, monsieur. Je souriais il me regarda à nouveau. Il me gifla sur la joue gauche. - 1. Commença t il à compter - 2 - 3. - Humm.. murmurai je. - Cela vous pose un problème. - Non.. Monsieur. - 4.. pour votre insolence. Avec sa main animale à me tenir le visage il me maintenait droite. Il s’approcha pour prendre possession de ma bouche. Je pinçais mes lèvres. Je le regardais droit dans les yeux comme une bonne petite chienne soumise attendant encore plus d’affection. Il saisit alors mes tétons . Il les pinça et les tourna. Je râlais de plaisir. Il tournait encore plus fort. Je baisais les yeux. - Regardez moi. Je soulevais ma poitrine encore plus fort tout en le regardant. Je supportais ses supplices pour mon éducation. Il les relacha puis recommenca. Tout en me regardant il gifla mon sein gauche.. Je prenais une respiration. Je haletai. Puis il gifla le sein droit. Il recommença. Je pinçais mes lèvres. Il y allais de plus en plus fort. - Taisez vous ! Puis il ressaisit mes tétons pour à nouveau les tourner. - Vous avez un problème dit il en tirant sur mes seins. - Non.. Monsieur murmurai je. Je le regardais apeurée mais demandeuse. - Qu’est ce que vous êtes ? - Je suis votre chienne Monsieur. - Mais encore ! - Je suis bonne à me faire fourrer la chatte, le cul et la bouche Monsieur. J’ai besoin d’être éduquée, dressée pour mon bien être. Je mérite tout ce que vous m’apportez. Il me gifla alors la joue et m’embrassa. Il saisit le gag ball. - Ouvrez votre bouche de putain. - Serrez. Une fois mis en place, Il se remit sur le canapé. il tira sur la laisse pour m’amener à lui. - Aimez vous la queue ? - Oui.. répondais je maladroitement, ma voix étouffée par le gag ball. - Ah oui vous aimez la queue. - Hum hum.. - Celle là ? me montra t il en tenant la sienne entre ses mains. - Hum hum - A quatre pattes ! - Donnez moi la cravache, dépêchez vous ! C’est là qu’il commença a me fesser les fesses. Il se leva et appuya sur ma tête. Je mettais mes avant bras contre la table. La cravache s’abattait encore et encore. Parfois il me caressait pour stopper le feu. Il tenait en même temps la laisse dans sa main. Il l’avait bien enroulé pour me faire comprendre combien il me tenait en laisse. Comment il était le Maître. IL passait la cravache entre mes fesses - Hum des fesses bien rouges ! - Avancez d’un pas - Allez.. Il tapotait alors sur ma petite chatte. Il posa alors devant moi un gode. - Maintenant vous allez sucer comme une bonne pute. Il appuya sur mon dos pour me faire comprendre que je devais bien l’avaler. - Je veux que vous le preniez bien profondément comme vous le faites avec ma queue. - Voilà C’est ça… Il tourna autours de moi et alla s’asseoir. - Regardez moi ! - Appliquez vous ! Il appuya sur ma tête pour me faire comprendre le rythme à avoir - Sucez !! - Voilà.. gardez là au fond de votre gorge de putain. - Humm.. vous bavez … Il releva ma tête et me regarda. Il me caressa la joue. Me gifla. Il tira sur ma queue de cheval et me remit en position. - Sucez ! Il me redressa nouveau en tirant par la queue de cheval et m’embrassa. - Déplacez le gode et mettez le dans votre chatte. Il se leva et me tenait bien fermement. - En haut. - En bas.. - En Haut - En bas Je suivais le rythme qui m’imposait. - Quelle bonne petite putain. Il se rassit en tenant la laisse et la cravache entre ses mains. Il me motivait en cravachant mes seins. - Voilà au fond maintenant. - Hummm… - Baisez vous.. allez.. baisez vous. - Oh… oh… - Baissez vous plus ! bien au fond !! Il me cravachait… - Cambrez vous. Il saisit ma gorge et me parlait. - Humm.. il est bon de vous voir ainsi empalez à vous baisez comme une chienne en chaleur. - Ohhhhhh… ohhhhhh…. Il me dévorait des yeux J’avais mes mains sur mes chevilles, je jouais avec le gode qui était dans ma chatte. Il veillait, m’éduquait. IL observait. Il me laissait alors ainsi en train de me baiser. - Je n’ai pas dit de vous arrêter ! - - Ohhhh… ohhh…. - Bonne chienne ! Il me gifla. - Vous faîtes trop de bruit. Il glissa alors sa queue dans ma bouche.. - Voilà qui est bien mieux. Il aimait posséder ma bouche. A nouveau avec frénésie il empoignait ma tête pour me prendre. Il glissait sa main sous ma gorge comme pour mieux m’utiliser. Quand il se retira, il me fit descendre de la table. Je marchais a ses cotés à quatre pattes. Il corrigeait ma démarche pour que je me cambre plus. Avec la cravache il me montra le cousin. - Ici. - Plus vite allez ! Je me retrouvais là à attendre ses ordres, haletante. Il s’agenouilla face à moi. Il prit ma tête entre ses mains et m’embrassa si tendrement. Il me fit comprendre de baisser ma tête puis il me fit comprendre que je devais me mettre sur le dos. - Relevez vos jambes je vous pris et écartez les biens. Il se mit au dessus de moi. Il saisit alors mes fesses et les releva. J’étais ainsi en chandelle. - Votre cul est une invitation au crime. Vous êtes une sublime chandelle qui apporte la chaleur à cette pièce. Il saisit alors une bougie. Doucement, il faisait couler la cire sur ma chatte mes fesses et mon auréole. Il le faisait en étant debout. Je ne ressentais alors que chaleur et plaisir. Tout était des plus supportable. Avec douceur avec la pulpe de ses doigts, il retirait la cire qui moulaient les lèvres de mon sexe. Il lécha ensuite ma chatte et commença à me doigter. Il allait profondément, à me rendre complètement folle.. -Ahhhhhhh… ahhhhh. Il y a allait frénétiquement, je n’arrivais à me contenir. Il m’achevait en aspirant mon clitoris. Puis il inséra un doigt dans mon cul et l’autre dans ma chatte. Un savant cocktail pour me faire défaillir. - Ohh.. Monsieur.. Encore .. Encore. - Vous aimez en avoir de partout petite catin. - Oui.. Monsieur j’aime quand vous me doigter de partout. - Je veux vous voir jouir, en mettre partout, douce fontaine à laquelle j’ai envie de m’abreuver. - Qu’est ce que vous mouillez. Regardez, j’en ai plein les doigts ! - Vous me rendez folle Monsieur. Vous me rendez si chienne. Il enfonça a nouveau ses doigts pour me faire couler fortement. Je sentis alors le liquide jaillir de ma chatte. - Humm.. voilà… - Tenez ! prenez bien ça…. Petite pute ! allez lâchez vous. Je jouissais au son de cette musique interne qui me faisait voyager dans les chemins pervers. J’entendis alors à nouveau les doux sons de la musique baroque quand il prit possession de mon cul sans aucun ménagement. Il était assis sur moi à me besogner comme la petite catin que j’étais. J’adorais cela. Me sentir prise de cette manière avec tant d’intensité. Mon loup était comme un fauve à lâcher les rennes, à conquérir mon cul. Il écarta alors mes fesses pour entrer tout doucement et ressortir. Je sentais la pression de ses mains sur mon fessiers. IL en profitait pour me claquer les fesses. Il m’enculait comme j’aimais. IL écartelait mon petit anus. Je le sentais serré, tenir sa queue comme pour le garder en moi. Ma jouissance m’avait rendue complètement docile et malléable à tout ce qu’il voulait. Il était le musicien j’étais sa partition. C’était lui qui me lisait, me jouait, me faisait jouer, me faisait chanter. Il jouit en me regardant sur mon anus. - Merci Monsieur de m’honorer autant. - Ne bougez pas, rester ainsi que je vous admire , vous ainsi si chiennement installée. Quand il revint, il me mit un bandeau sur les yeux. - Ecoutez juste la musique, laissez vous transporter me chuchota il . Il avait mis du Bach.. La Dolce Fiamma.. la douce Flamme.. tout un symbole. Je reconnais Philippe Jarrousky. Il savait comment non pas m’emmener au sommet mais vers ce paradis perdu qu’est le notre. Il s’était accroupi pour me murmurer cela au creux de l’oreille en tenant ma tête. Il avait son visage face au mien, tête à l’envers. Il déposa un baiser. Il fit glisser un bandeau en satin sur mes yeux pour m’ôter la vue. - Vous m’inspirez tant de choses m’avoua t il. - J’ai tellement envie de prendre soin de vous, comme ensuite vous faire subir les pires sévices. Votre regard, votre bouche.. vous tout simplement. Vous méritez tout cela. Avec soin, il fit la toilette de mon petit anus qu’il avait souillé. - Voilà ma petite chienne toute propre. Il mis mon déshabillé autours de ma taille afin qu’il tombe de manière négligé autours de moi. - Ma chienne dans la soie. - Ouvrez votre bouche. Il y glissa quelque chose de rond et métallique. Je reconnu ce que c’était. - Voilà, trempez le bien. Gardez le bien en bouche. Puis avec douceur, il me releva en le laissant dans ma bouche. - A genou… voilà… parfait. - De la tenue ! écartez moi vos cuisses. Je corrigeai naturellement ma posture. Je sentis alors qu’il passait des cordes au niveau de mes cuisses. - Relevez votre taille, sil vous plait. Je sentais alors son torse contre mon dos. J’aimais ce contact, cette chaleur. Je devinais durant quelques secondes qu'il me respirait. Il m’encordait alors les cuisses et les jambes ensemble . Sa passion artistique pour le Shibari lui donnait une vision esthétique à faire des tableaux. Ensuite il passait la corde au niveau de ma taille pour me faire comme une culotte en corde. Il serra bien. - Ecartez bien vos fesses pour me présenter votre anus. J’agrippais alors mes fesses et j’écartais au mieux mes fesses. Il prit alors le crochet anal et le mit à l’entrée de mon auréole. Naturelllement, je sentis que je devais alors m’empaler dessus. Je devinais qu’il le regardait disparaître dans mon anus. Il l’attacha alors à mon collier pour tendre la corde. - Votre anus est si délicat. On a envie qu’il reste si serré et j’ai tellement envie de le défoncer, de l’agrandir pour qu’il soit si béant. Ma douce chienne. Je souris en pinçant mes lèvres. J’aimais quand il pouvait faire preuve de douceur et à la fois être aussi cru. Je ne prenais pas cela pour de la vulgarité. Dans ces moments là, pas du tout. Il me respectait. Nous nous étions simplement trouvé. - Donnez moi votre main je vous prie. Il était face à moi. Il la saisit. Il l’encordait. Il avait saisi je devinais un petit escabeau. Il montait dessus et fixa alors ma main à un crochet fixé au plafond. Ma main était tendu au dessus de ma tête, attachée. Il saisit alors les cordes de ma taille. Ils fit partir les bout pour les attacher à ma main.. Je me demandais ce qu’il était en train de faire. Je ne faisais que ressentir. Ma poitrine se soulevait . Toujours aucun mot échangé. Soudain il me parcourait avec quelque chose de si doux dans le dos. J’en avais la cher de poule. Au bout de quelques minutes, cette douceur s’était transformée en quelque chose d’humide. IL dessinait alors sur ma peau au creux de mon dos juste au dessus de mes salières de vénus. Il m’était compliqué de deviner ce qu’il faisait, je me laissais complètement oublier, à vivre ce érotisme si intense. On ne se parlait pas on ressentait. La musique me transportait. La manière dont il m’encordait me berçait. Et là il me dessinait comme un compositeur écrit sa musique sur sa partition. Il m’abandonna ainsi. Je me sentais complètement à nue. Impuissante. Et pourtant je le sentais il était là. Soudain, il prit ma main libre. Il la tendait. Nos doigts s’entrecroisaient. Il était devant moi. Je sentais son souffle dans le creux de mon épaule. Il ôta alors mon bandeau. La pièce était éclairée uniquement à la bougie. Il prit alors sa télécommande de musique et choisi une musique. Je reconnais Brookyn Duo.. la musique de Nothing Else Matter. J’entendis alors les premières notes du son du piano.. des notes graves, simples. Il prit alors la badine dans sa main… Il jouait de mon corps sur les sons de la musique quand le violoncelle jouait.. Puis il mis alors la badine dans ma main. Il la plaça. - J’ai trouvé mon instrument de musique pour jouer ma partition. Je le regardais alors en pleurant. Comment pouvons nous appelez cela ? un état d’esprit fusionnel ? Il commença alors à me photographier Il me servit un verre. - Je veux t’immortaliser. Tu es juste si magnifique. Il reposa ensuite l’appareil à mes pieds pour se blottir contre moi puis posa alors sa tête sur mes jambes, enveloppé à moité dans mon déshabillé de soie. Abandonné.
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Par : le 20/05/20
L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte; il lui semblait sacrilège que sa maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand les lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage; elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent; elle sentit durcir et se dresser le membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu la quitta d'un brusque arrachement et lui aussi cria. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taile. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler; c'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée; elle s'approcha d'elle, la coucha sur un lit, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Charlotte ne sentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne, son corps partait à la dérive. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. Elle fut mise à nue et attachée sur la croix de Saint André. Elle reconnut immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put connaître le visage des autres invités de cette soirée mémorable. Elle découvrit ainsi que Laurence était une superbe jeune femme brune aux yeux clairs, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait; elle fut mise à nouveau dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses orifices ouverts, Xavier exhibait devant elle son sexe congestionné qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais Xavier, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu; ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Laurence dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut annoncé à son grand soulagement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/05/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue. Je me suis mise à ressentir ces émotions quand je finis d'écrire qui m'emmènent dans les abymes de mon cœur. Vers la fin de ma nouvelle, Lana Del Rey, dans sa version longue de Ride m'a happé. Le pouvoir de la musique est si intense. Chaque nouvelle est ressentie, vécue dans ma tête. Je me sens si libre de vivre ma sensibilité dans mes écrits. ******************************************************************************************************* « Vous devriez recevoir aujourd’hui un petit cadeau pour notre prochaine entrevue. Je sais combien vous êtes joueuse. Jusqu’où iriez-vous ? » Je souris en lisant son message Whatsapp.. Je me demandais à quoi il faisait allusion. Telle une gamine, j’allais ouvrir ma boite aux lettres à peine le facteur passé. En effet un colis à mon attention. Il était relativement petit.. Vous imaginez bien ma réaction à l’ouvrir sans aucune patience. Je me disais toujours combien ces petits colis étaient emballés à croire qu’il faut utiliser de pleins d’ustensiles pour les ouvrir.. Enfin.. arrivant à mes fins, je découvris dans le colis un string avec des franges et des perles.. Ces perles étant cette ficelle qui passeraient sur mon sexe et entre mes fesses. « Hum cher Monsieur, merci pour ce délicieux cadeaux. Vous savez combien j’adore les perles.. » « Oui, je le sais ma belle demoiselle. RDV avec ce soir. Venez parer de vos plus belles perles et soyez fatale et glamour, comme toujours ». Mes perles.. J’adorais les perles. J’aimais celles qui avaient une histoire une vie. L’année dernière, j’avais acheté des boucles d’oreilles en perles anciennes. Je n'avais pas d'argent sur moi. e. Elles n’étaient pas totalement blanches mais légèrement nacrées or. Malheureusement je n'avais pas d'argent sur moi. Nous échangions toutes les deux pour la première et elle me dit : Prenez les et envoyez moi un chèque". Une telle confiance. Puis elle m'invita à découvrir ses créations unique. En voyant l’exposition de cette artiste lorraine, reconnue pour son talent, je vis un collier, ce collier.Il s’appelait « Le collier d’Emilie du Châtelet aux trois perles en forme de poires ». Rapidement, avec Joëlle Capdevieille, nous nous rendions compte que notre rencontre était une simple évidence, comme ce collier qui était fait pour moi. Elle avait façonnée ce collier à partir de perles anciennes dans le prolongement des brodeuses perleuses de Luneville et d’éléments anciens. J’aimais l’histoire, l’art.. et en m’intéressant à Emilie du Châtelet, l’évidence était là… Un sublime cadeau pour mes 40 ans Ce soir là pour rencontrer Monsieur, j'étais prise d'une certaine nostalgie. Je me parais d’un corset bleu avec des éclats de strass et de la dentelle. Je mettais une jupe que j’utilisais pour mes effeuillages. Il n’y a aucune fermeture éclair. Elle était fixée au dos par un nœud savant où il suffisait juste de le défaire. L’avant arrivait sous le genoux et l’arrière en forme au niveau de mes chevilles donnant un look à la Dita Von Teese. D’ailleurs je souriais souvent car c’est le surnom que l’on me donne souvent. Il paraît que je lui ressemble.. ou plutôt qu’elle me ressemble. Je me sentais belle, il me rendait belle. La beauté pour moi réside dans le fait de se sentir bien. Nous passons notre vie à vouloir paraître alors qu’au fond notre beauté vient de nos actes et dans le fait de se sentir bien, libre et en accord avec soi. Une partie de moi a toujours eu cette ambivalence entre me sentir sure de moi et belle et de l’autre être ma pire ennemie. Cette qui s’affable des pires mots pour mes maux. Le poids sociétal nous obligeant à vivre dans des carcans. Au fond, plus j’avance en âge et plus je me dis que l’on attache de l’importance aux choses sur lesquelles nous n’avons pas forcement de pouvoir. Celle de ce que pensent les autre. Au fond.. quoi que ce que l’on peut faire, on ne plaira jamais à tout le monde. Avec lui, je lâchais prise car il m’amenait cette vibration, cette odeur de printemps, cette douce brise qui me caresse et me rend encore plus heureuse de ces moments parfaits. Lorsqu’il me vit, il se tue. Puis se reprenant il me dit - Vous êtes juste.. renversante ! - Je vous remercie, vous aussi mon cher Il connaissait mon goût pour les années 1900/1920. Il était habillé dans ce style chic des hommes à la peaky Blinder. J’adorais ! J’aurai pu lui sauter dessus et le dévorer… un moment d’égarement me direz vous ? Où était ma place.. simplement avec lui. Il me tendait alors sa main. Je la lui donnais. Il m’amena à lui pour m’étreindre. - Alors prête pour le jeu ma chère ? - Hum.. Oui, d’ailleurs vous m’avez bien rendu curieuse. Quel jeu ? - Allez vous asseoir sur le canapé je vous prie. Il passa dernière le canapé en effleurant mes épaules. Je me tenais droite, le corset me contraignant à un maintien. Il se dirigea vers son bar. Il saisit alors un verre à Martini. Je reconnu alors la bouteille d’un alcool que j’apprécie. Du Vermouth Antica Carpano. Je salivais déjà. - Vous m’honorez lui dis-je ? - Je voulais vous faire plaisir dit-il avec son plus gros sourire. Je veux vous saouler. Vous allez perdre ma chère.. - Vous voulez me saouler ? moi ? alors à quoi allons-nous jouer ? - Au strip poker ! - Ah, je vois, dans tous les cas je suis gagnante. Il me tendit mon verre de Vermouth Antica Carpano, servit frais avec une rondelle d’orange. La perfection ! Les perles de mon string me faisait mouiller terriblement. Parfois elles me pinçaient. C’était terrible ! J’imaginais qu’il savait tout cela. J’avais du mal à tenir en place car c’était presque incommodant En fond sonore, ces musiques que nous affectionnons très jazzy. Cette fois il m’avait laissé les commandes de l’ambiance sonore..Kovacs… La voix de cette chanteuse me faisait penser à ces chanteuses qui font les musiques de James Bond dont je suis fan. Je Buvais mon verre. Je me levais, prenant mes aises. La tension s’installait doucement. Je posais alors mon verre sur la table basse. Je lui tendais ma main. ‘- Dansons. Ma main dans la sienne, mon visage au creux de son cou. - Ce n’est pas l’alcool qui va m’enivrer, c’est Vous Monsieur. - Vous allez me faire perdre toute décence en allant sur les chemins de perditions. Il passait sa main dans mes cheveux et les tira en arrière. Je lui offrais mon cou. Je déposa un baiser à hauteur de mon entre-sein puis avec sa langue remonta, en passant sur ma glotte, mon menton et pour enfin venir me mordre la lèvre. - Je vous interdis de me troubler ainsi ! - Prenez votre verre, allons jouer. Il avait préparé une table avec un chandelier avec au moins une 20aines de chandelles. Il était magnifique de couleur or. Un tapis de jeux.. des jetons de poker et bien sur le jeu. Je suis tout sauf une bonne joueuse. Peut être aurai je la chance de la débutante. Au fond de moi de toute manière, je ne voulais pas gagner pour qu’il s’occupe de moi mais de l’autre, je ne voulais pas le laisser gagner. J’avais ce côté femme enfant que j’aimais ressortir par moment. - Prêt pour votre défaite lui dis-je sous le ton de la plaisanterie. - Je pense ma chère que vous allez bientôt payer votre insolence affichée depuis tout à l’heure. Regardez ce qu’il vous attend. Il m’indiquait du regard la commode sur laquelle je voyais tant de choses déposées… Un silence s’installa. Le jeu débuta. Il m’expliquait à nouveau brièvement les règles. A vrai dire, je n’allais en faire à ma tête. - Perdu ma chère.. comme c’est bien triste. Tout en me regardant… - Enlevez moi corset je vous prie et buvez ! Je me levais. Je lui tournais le dos. Doucement je saisis les lacets de mon corsets pour défaire le nœuds. Habillement, je desserrais les liens. Je m’approchais alors de lui. Un à un j’otais les rivets à l’avant de mon corset. IL n’en ratait pas une miette. Je fis tomber le corset à mes pieds. - Restez ici. - Hum ces marques de votre corset sur votre peau.. - Allez vous rasseoir. A la seconde partie, contre toute attente, je remportais la partie ! J’allais commencer à choisir ce que j’allais lui demander quand il me regarda… - Non non, petite chienne… Il faut rester à votre place ma chère.. Je vous laisse choisir quel vêtement ôter.Je souris. - Quel homme vil vous faîtes. Je décidais alors d’ôter la jupe. Tout doucement. Je voulais qu’il voit combien son cadeau me faisait de l’effet. - Mains sur la table, cambrez vous. Il s’était levé. Il passa ses mains sur mes fesses puis ensuite sur mes seins. Il les prit bien fermement. Je sentis ses doigts passer sur ma chatte. - Hum ces perles… vous les portez divinement. Vous êtes si ruisselante.. Je vois qu’elles vous en font de l’effet. Soudain il baissa le string. Il saisit la badine. - Je ne veux pas vous entendre ! 5 coups. Vous allez les compter. Vous pensiez que j’allais laisser passer vos prises de liberté, aussi agréable soient elles. - Non.. Monsieur, je suis désolée.. - Ne le soyez pas, j’aime quand vous êtes ainsi, mais je dois vous punir quand même. Je tendais alors mes fesses. Il me donna le premier coup. - Wouahh.. criai-je de stupéfaction. Merci… Monsieur.. Il plaça ensuite la badine pour choisir où il allait frapper. - Merci.. Monsieur C’était au même endroit. Chaque coup avec eu son effet. Je sentais mes fesses bien chaudes. Il glissa à nouveau ses doigts. - Je vois que ça ne vous a pas calmé.. vous êtes encore bien trempée. Il me servit un autre verre. - Pour calmer votre douleur. A la partie suivante, je me concentrais alors pour gagner même si les règles c’était lui qui les fixait. A ma grande surprise je gagnais encore. - Vous avez la main chanceuse. Maintenant que vous êtes sans vêtement, vous devez choisir un accessoire. Je lui montrais alors un gode. - Bon choix Mademoiselle Lane. Vous allez vous empalez dessus sur la chaise. Il s’agissait d’un gode avec ventouse. - Vous allez me mettre dans votre petite chatte. Pendant la prochaine partie vous vous baiserez dessus tout en jouant. Je vous veux concentrée. Comment être concentrée dans ce moment là. J’essayai tant bien que mal de me concentrer mais c’était impossible. Je perdis la partie suivante. - Mettez vous les pinces à seins je vous prie. Je les prenais dans les mains. Il avaient mis de nouvelles avec des petites clochettes. - Allez serrez les bien fort ! Je le regardais. Je serrais. Il était pervers. - Encore ! - Allez faîtes de la musique en vous baisant. Il me regardait alors le gode dans ma chatte à regarder tout en entendant les clochettes faire leur petits sons. - Suffit maintenant ! Son sourire charmant melé à son regard pervers, je sentais que les choses allaient s’intensifier. Il stoppa alors la partie. - Mains dans le dos maintenant. Il prit alors une bougie. Il commença doucement à faire couler la cire sur mes seins. Il avait mis une certaine hauteur ce qui rendait la chose pas trop brulante. - Baisez vous maintenant. Je sentais la différence de chaleur de la cire avec les vas et vient. - Hummm… Que de doux sons.. vous aimez ? - Oui.. Monsieur… Il reposa alors la bougie. Il alla se servir un nouveau verre et se rassit. - Venez me sucer maintenant. Il ouvrit sa braguette, puis sortie son sexe. - Non sous la table, comme une bonne chienne. J’allais alors sous la table. Je prenais son sexe dans ma bouche. Je le dégustais comme il dégustait alors son verre. Il tapota alors sur ma tête. - Brave chienne ! c’est bien continue. Je m’appliquais à ma tâche. J’aimais son sexe. J’aimais le manger, l’engoutir. Soudain il appuya ma tête pour prendre les rennes. - Pas bouger.. gardez la bien en bouche quitte à vous étouffer. Je bavais. - Une petite bourgeoise soumise… Dépravée.. j’aime ça ! vous avec vos petits bijoux et votre air de sainte nitouche qui demande qu’à se faire baiser. - Oui.. Monsieur j’ai envie de me faire baiser. - Ah oui vous voulez vous faire baiser ? Il me saisit par les cheveux. Il était face à moi. Il me força à m’empaler sur sa queue. - Avec vos perles de putain, vous êtes une chienne de luxe. Il prit alors mes fesses bien en main et me força a bien m’empaler sur lui, à ce que je sente sa queue au fond de la chatte à bien sentir ses coups de bite. Mes seins valsaient, les pinces sonnaient.. Il me défoncait si fortement. Soudain il mit un doigt de chacun de ses mains dans mon cul.. -Oh…. Oh… Il me gifla et serrra ma gueule avec sa main.. Puis reviens tout en me claquant les fesses. Je n’arrivais plus à penser, je ne pensais qu’à m’empaler sur sa queue. - Hum… Hummm. Vous n’avez que ce que vous méritez. Mes mains étaient dans le dos. Il les tenaient tout en continuant à me prendre ainsi. Quand il arrêta, il me demanda d’aller à ma place. J’allais alors sur mon cousin au milieu du salon. Quand il revint, il m’attacha poignet et cheville ensemble. Je n’avais aucun échappatoire. - Je ne veux pas vous entendre.. Il m’avait mise sur le dos. Je le vis saisir un martinet aux lanières longues. Il le passait sur mon corps, il s’amusait à faire un peu de vent au dessus de moi. Mes yeux étaient apeurés… Il insista alors sur ma chatte. Je criai.. - Vous me voyez obligé de vous réduire au silence. Il allait chercher le gag ball. - Hum, à ma merci.. vous aimez être à ma merci, non ? Il me regardait droit dans les yeux, agenouillé. Martinet en main. Il était doux. Il retira alors mes pinces à seins. Il passait le martinet encore dessus. Je tentais d’échapper son coup. Il me retourna alors sur le ventre. Ma tête était au sol, mes fesses relevées prête à attendre. Ils me fouettait le dos, les fesses et sans trop de force l’entrejambe. Je criais dans mon bâillon. Quand il stoppa, il me retira le bâillon. - Je.. - Non non.. interdiction de parler. Si je vous l’enlève c’est pour combler votre trou à bite. Il me remit alors sur le dos. Il s’assit sur moi. J’étais totalement à sa merci. Il prenait ma tête dans ses mains. Il s’astiquait avec son jouet.. ma bouche. Je l’entendais râler son plaisir. Il Dirigeait au mieux sa queue dans ma bouche, je ne pouvais rien faire. - Bonne petite chienne. Il me faisait manger ses couilles. Je ne voyais que cela. J’étais son petit objet sexuel. Son membre était bien dressé. Il releva mes fesses et me pénétra le fion. - Hum.. j’aime vous enculer ainsi à froid. Sentir votre petite rondelle céder et voir votre regard de stupéfaction me rend complètement fou. J’allais répondre quand il me remis le gag ball. Il me pilonnait encore et encore. Il me retourna et cette fois changea sa position. Il était debout écartant mes fesses, dos à moi. Cette position me rendait folle, complètement putain, chienne et j’adorais cela. Doucement, il entra, puis ressorta. Il écartait deplus belles mes fesses. Et il resta là à regarder. A regarder mon trou ouvert après ses assauts. Il prit alors mon string et s’amusa à introduire les perles dans mon cul.. - Oh je pense qu’il faut plus pour vous fourrer au mieux. Il revena avec un gode qui se gonflait. - Je veux que votre cul soit bien ouvert. On va y travailler. Je me sentais si excitée. Il me mit en place et commença par le gonfler une première fois, puis une seconde. Il s’amusait à me fourrer au mieux avec. Il continuait à le faire grossir au point qu’il n’arrivait plus trop à le rentrer et le sortir. - Votre chatte est si trempée ma chère… Je ne vais pas la laisser délaisser ains. Il me caressa le clitoris tout en y fourrant 3 doigts. - J’aime vous voir ainsi contrainte, fourrée et doigtée. Il s’arrêta d’un seul coup. Il admirait alors son travail. Allongée et gondée, contrainte. - Je vais vous laisser un peu, votre cul ainsi. Il faisait un peu de rangement, en ne prêtant que peu d’attention. Il reçu alors un appel téléphonique. Je me sentais vexée. Il m’observait en étant assis. Je me dandinais de cette position qui commençaient à se faire longue. Mon regard se faisait suppliant. - Hum, oui ce soir, on peut dire que je suis veinard. Depuis peu j’ai un nouvel animal de compagnie. Je suis en plein dressage… Il se releva et sortit de la pièce. Quand il revient, il m’ôta les liens et le gode. Il me tira alors par les cheveux. Et me fît marcher à quatre pattes contre lui. - Allez montez comme une bonne petite chienne. Il me fit mettre à genou sur le canapé, les bras sur le dossier. - Cambrez vous mieux que ça. Il caressait mon dos, mes cheveux. Il les rassembla pour les prendre en main. - Vous êtes si belle, si princesse et chienne à la fois. J’ai tellement envie de vous faire de choses bien vilaines et perverses. Il me relevait en tenant mes cheveux pour mettre son bras contre ma gorge. Son souffle si chaud. Il m’embrassait passionnément le cou jusqu’à le mordre. Il me pénétra alors doucement. A ce moment là c’était si bestial et sensuel. Nous étions alors àl’unission. IL me faisait l’amour avec passion sauvage. Le loup était sorti, il possédait sa louve. Tout mon corps frémissait. Il ne bougeait plus, me laissons prendre le contrôle à aller et venir contre lui, son sexe appelant si chaudement ma chatte. J’aimais longuement, entrer et sortir. M’empaler ensuite pour l’engouffrer au fond de mon sexe. Je bougeais les fesses, me déhanchais. Il m’agrippait les cheveux, les seins. Le temps s’était complètement arrêté. Il me jeta alors la tête contre l’assise du canapé. Il lécha mon anus. Il y introduisit un doigt puis un autre. - Encore, Monsieur, Encore.. J’avais si soif de lui. Il me rendait si chienne. Il me doigtait avec quatre doigts. - Humm .. hum.. je soupirais encore et encore. Je sentais son souffle d’excitation. Je devinais son sexe fièrement dressé attendant de prendre la place de ses doigts. - Prenez moi.. je ne tiens plus.. Il ne fit rien. Il me caressait le clitoris. Cela me rendait complètement folle. Je m’ouvrais encore et encore. Je me sentais à vouloir plus, tout naturellement. IL ne fit rien. Il me prit à nouveau par mon petit trou. Il tenait mes fesses de chaque côté. J’aimais quand il me baisait ainsi. Je sentais doucement aussi son abandon dans le contrôle qu’il a tout le temps dans ces moments là. C’est dans cet abandon où nous existons, il est nu, prêt à jouir. Il ne se retenait plus. Je sentis ses coups se saccader annonçant son plaisir. Il se jeta ensuite sur moi. A ce moment, j’entendis Lana Del Rey, ride dans sa version longue.. Cette musique me plongea alors dans une atmosphère de ce moment parfait. Il me protégeait avec son corps de cette chaleur. Je voulais rester ainsi lovée. Son sexe était encore en moi. Son cœur battait contre mon dos.. Boum Boum.. Boum Boum.. je le sentais fort. je voulais que ce moment ne s’arrête jamais. Doucement je sentis son cœur ralentir.. ralentir. Il me tenait par les poignets me faisant sentir sienne. Il ne disait aucun mot. Nous étions nus sur le canapé, allongés. Lui sur moi m'enveloppant. Jamais je n’avais ressenti une si belle symbiose. Il était mon loup,. Avec lui je pouvais me sentir tout affronter, tout subir, tout ressentir.. Peut être suis-je folle d’éprouver cela cela mais au fond, l’instant présent il faut savoir le savourer. La louve était réveillée, lui était là à se reposer sur elle. Je prendrais soin de lui comme il prend soin de moi.
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Par : le 15/05/20
Nous sommes restés un long moment ainsi, lui sur moi, moi à ma place, sous lui. Puis Maxime s’est relevé, m’a libérée de mes liens. Il m’a retiré les pinces, les aiguilles, jouant avec les pointes de mes tétons, pour y faire re-circuler le sang. Le réveil de mes terminaisons nerveuses a fait revenir la douleur, et le plaisir. Il ne m’a pas enlevé mon collier, mais ordonné de le suivre. Nous nous sommes rendus dans la pièce dédiée à « l’usage intensif de mon corps ». Là, il m’a suspendue par les poignets, écarté les chevilles au maximum au moyen de la barre, avant de s’éloigner de quelques pas, pour contempler son œuvre, moi, totalement à sa merci. Je savais déjà ce qui allait suivre, avant même qu’il ne prenne le fouet que je lui avait offert et qu’il m’avait fait découvrir. Il est ensuite revenu vers moi, approchant le fouet de mes lèvres, pour que je l’embrasse, avant d’en subir la morsure dans mes chairs. Après m’être conformée à ce rituel que nous avions institué, il m’a souri, caressé le visage, me rappelant comme à chaque fois qu’à tout moment je pourrais mettre fin à mon supplice, en prononçant les mots convenus, mais que tant que je ne le prononcerai pas, il serait seul juge de continuer ou d’arrêter. J’ai acquiescé de la tête. Il s’est éloigné de quelques pas, a fait claquer le fouet, histoire de bien le prendre en mains. Sa queue était à nouveau raide. J’ai serré les dents. Les premiers coups ont été pour mes seins. Je n’ai pu m’empêcher de gémir, et les larmes ont coulé. Puis ça a été mes cuisses, mon ventre, mes seins à nouveau, en alternance, pour finir par mon sexe. Chaque coup m’arrachait un cri, mais je tenais bon. Et nous savions tous deux que je ne prononcerais pas les mots qui l’obligeraient à arrêter. Après une dizaine de coups, les endorphines ont fait leur effet. Maxime continuait de frapper, mais je ne ressentais plus la douleur. Et je mouillais de ces coups qui me lacéraient les chairs, jouissant d’offrir à mon Maitre la souffrance de ce corps qui lui appartenait. Quand Maxime s’est arrêté, il m’a fallu plusieurs minutes pour reprendre mes esprits, redevenir moi-même. Il m’a détaché, soutenant mon corps douloureux, strié des marques du fouet. Sa queue raide ne laissait aucun doute quant à son excitation. Je me suis agenouillée pour l’embrasser, lui témoigner moi aussi de ce désir que j’éprouvais, cette envie qu’il jouisse à nouveau de moi. Il m’a ordonné de me retourner, de lui présenter ma croupe, m’a prise par les épaules et s’est enfoncé en moi. Son excitation cette fois-ci était telle qu’il n’a pu se retenir longtemps avant de se vider dans mes reins. Comme je peinais à me tenir debout, il m’a prise dans ses bras, m’a portée jusqu’au lit pour m’y allonger doucement puis il a été chercher un baume cicatrisant pour l’appliquer sur mon corps douloureux. Il m’a embrassée tendrement, avant que nous ne nous endormions ainsi, moi lovée dans ses bras, calmée, heureuse de sentir la chaleur de son corps pendant que dehors la pluie continuait de tomber. _________________ Près d’un semaine s’est écoulée depuis. Les marques sur mon corps commencent à s’estomper. Mais chaque fois que je les contemple je suis fière de lui avoir prouvé que je lui appartenais, que j’étais son esclave.
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Par : le 13/05/20
J’aime les orages, la pluie qui tambourine sur les toits, la terrasse. C’est comme si la violence des éléments résonnait en moi, renforçait encore cette tension animale que je porte en moi, interagissait avec mon désir de subir cette autre violence, celle de mon Maitre. Maxime le sait, il l’a découvert il y a longtemps déjà. Samedi soir, après le dîner, une fois que tous deux nous ayons vidés nos verres, il m’a dit de me préparer et de mettre mon collier d’acier. Lorsque je l’ai rejoint, après m’être douchée, le collier autour du cou, nue, le corps encore humide et parfaitement lisse, à l’exception de cette toison sombre sur mon pubis qu’il a toujours voulu que je préserve, il avait débarrassé la table et se tenait debout dans la pièce, attendant son esclave. Sans un mot, je suis venue m’agenouiller à ses pieds. J’ai caressé, embrassé, reniflé, léché l’emplacement de son sexe, pour faire ce que j’ai appris, lui prouver ma dévotion, mon désir de lui et faire monter son désir à lui. Il n’a pas fallu longtemps pour que je sente sa queue se raidir, durcir, se tendre sous l’étoffe de son pantalon. Il m’a prise par les cheveux, me forçant à me relever. Instinctivement, je me suis collée contre lui, frottant mon sexe déjà humide contre son entrejambe, femelle en chaleur, tremblante de désir pour son Mâle. Il m’a forcée à relever la tête, à croiser son regard, m’a longuement embrassée, avant de m’ordonner de le déshabiller à son tour. J’ai commencé par lui retirer sa chemise, embrassant, léchant son torse viril, faisant durcir ses tétons avec ma bouche, tout en continuant cette danse lascive qui l’excite tant, jouant de mon bas ventre pour me frotter à lui. Je me suis laissée glisser le long de lui, jusqu’à être à nouveau à ses pieds, pour dégrafer sa ceinture, faire tomber son pantalon, embrasser, lécher, renifler son boxer, exciter du bout de la langue son gland humide. Quand il a jugé que je lui avais suffisamment prouvé mon désir de lui, il m’a entraînée dans la chambre, pour m’attacher sur le lit. Comme toujours, avant de soumettre mon corps à sa violence, il a commencé par m’embrasser longuement, me caresser, me parcourir de sa bouche. Le calme avant la tempête, comme pour me rassurer, me dire avec son corps de ne pas m’inquiéter. Il a allumé des bougies. Puis ça a été la douleur, celle de mes tétons transpercés d’une aiguille, des pinces qu’il y a fixées, de la cravache qui s’est abattue sur eux, sur mon ventre, sur mon sexe. Ensuite, se sont rajoutées d’autres pinces encore, fixées cette fois à mes grandes lèvres, reliées par une chaînette à celles qui ornaient déjà mes seins, et la cravache à nouveau. Et pour finir la brûlure de la cire, répandue sur mon corps, ma poitrine, mon sexe, pendant que le sien se dressait, fier, arrogant, triomphant au dessus de moi. Maxime s’est ensuite installé à califourchon sur mes seins douloureux. Il m’a relevé la tête. Il a approché sa queue de ma bouche. Le moment que j’espérais, que j’attendais. Je n’avais envie que d’une chose, lui. Son sexe. Je lui ai léché les couilles, je les ai prises en bouche. Elles étaient dure, comme le reste. J’ai parcouru sa queue de ma langue, j’ai longuement léché son gland humide, avant qu’il ne m’enfonce son membre dans la bouche. Tout en me maintenant la tête à demi relevée, il a commencé à me défoncer la gorge, s’interrompant parfois l’espace d’un instant, le temps pour moi de reprendre mon souffle, de me permettre de lécher cette queue qui me pilonnait sans pitié. Avant de recommencer. Jusqu’au moment où il n’a plus pu se retenir et où le foutre à giclé, me remplissant la bouche de sa liqueur sacrée pour que je la boive jusqu’à la dernière goutte. Maxime est ensuite ressorti de moi, me laissant nettoyer de la langue son sexe encore raide, avant de s’allonger, écrasant mon corps sous le poids du sien. Pour l’homme, jouir d’une femme est une activité physique à part entière. Elle le laisse généralement épuisé quand la tension portée à son paroxysme lorsque le foutre jaillit retombe brusquement.
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Par : le 13/05/20
Comme à mon habitude, désolée pour les éventuelles fautes. Je n'ai pu me relire.. je suis en plein service :) ********************************************************************************************************** - Hum tu es parfaite. Il avait inspecté ma tenue de soubrette. - Relève tes cheveux. Tenant mes cheveux dans mes mains il me mit alors mon collier. Je me tenais à genou tandis qu’il était derrière moi. Il ferma mon collier avec le cadenas, puis il me caressa le visage tout en me faisant basculer la tête en arrière. Il glissa son pouce dans ma bouche pour l’entre-ouvrir. Naturellement j’ouvrais ma bouche pour lécher son doigt. J’aimais sentir ses mains sur mon visage, toute cette douceur qu’il me donnait. - Relève toi. Il se mit face à moi. - Ce soir, tu seras la domestique qui est à mon service. Je reçois des amis. Tu répondras à chacune de leurs envies. J’autoriserai au non. Compris ? - Oui Monsieur. - Si quelque chose ne va pas, tu sais quoi faire ou dire. Je hochais la tête. Il m’excitait. Il se montrait si bienveillant. Me sentir si protéger, qu’il avait le parfait contrôle me rassurait complètement pour lâcher prise. Pour en arriver là, nous avons pris notre temps. Le temps de s’apprivoiser, de se construire. Ce nous où chacun est tout entier avec ses multiples visages. J’avais tant aimé quand nous échangions sur ce site internet qu’il prenne le temps.. le temps de savoir qui je suis. A l’instar de tous ces hommes qui veulent sans rien donner, pensant que cela vient tout seul, il s’intéressait à qui j’étais. Comprendre mon parcours, mes blessures, mes joies. Il voulait connaître tous les contours de mon esprit. C’était sa vision de la domination. Comprendre, Contrôler, Maîtriser, S’élever. Combien d’hommes avant lui ont voulu m’avoir juste parce qu’il lisait le mot soumise. Ëtre soumise par désir est une force de caractère. C’est de donner, d’offrir à un homme ce que j’ai de plus précieux et de lui dire.. prend soin de moi. Se mettre à nu sans artifice, avouer qui nous sommes avec nos envies des plus douces au plus perverses, d’ôter le poids de notre éducation, de notre culture où l’on donne le pouvoir à ces chaînes invisible d’être libre. La soumission me donne ma liberté d’être. L’homme a qui j’offre ma soumission me traite comme l’humain que je suis au plus profond. Quelle bonheur que d’être totalement moi. Ce n’est pas juste des plans de baise facile comme certains se pensent à croire. A s’improviser pseudo-dominant alors qu’ils ne connaissent même pas le mot respect. A renoncer si facilement quand tout se passe pas comme il veut. Je suis fatiguée de tout cela. Les vrais dominants sont rares. La sonnette retentit. J’allais ouvrir. - Bonjour Madame, Monsieur. Monsieur s’était rapproché. Ah bonjour Carla, bonjour David. - Vous pouvez donné vos affaires à ma domestique. Elle est là pour que vous soyez au mieux ce soir. N’hésitez pas à me faire part de ce que vous souhaitez. - Oh voilà qui est parfait. Ils me tendaient leurs vestes. Ils s’installèrent au salon. Une autre sonnette retentit. Cette fois c’est lui qui ouvrit la porte. - Oh Fred ! bienvenue je t’en prie. Donne tes affaires à ma domestique. Et rejoins nous dans le salon. Carla et David son déjà là. Nous attendons encore Isabelle. Elle ne devrait tarder. A peine eut il dit cela que l’on sonna nouveau. J’ouvris. - Bonjour Madame X… - Bonjour ma belle petite chienne. En entra en mettant sa main sur mon entrejambe. - Débarasse moi s il te plaît. - Oui Madame. Elle se dirigeait dans le salon, je la suivais. A ma grande surprise, tous les convives étaient masqués. Ils était tous assis. Monsieur sur son fauteuil chesterfield, Carla et David sur le canapé et Madame X sur un pouf en cuir. - Lane, servez nous quelque rafraichissement. - Oui, Monsieur. Je m’amusais à jouer ce rôle. - Parlez nous un peu de votre domestique dit alors Fred. - Eh bien, elle est sous mes ordres depuis quelques mois déjà. Elle a son caractère. Elle peut être bornée, fière. Son esprit est vif, ce que j’adore. Comme toute bonne domestique, elle répond à tous mes désirs. Elle prend un grand plaisir à m’obéir. Quand elle ne l’est pas, obéissante je veux dire, je sévis. - ON te jalouse E. Nous aimerions bien en avoir une comme ça mais à vrai dire, on n’a jamais eu de domestique. - Oh mais c’est quelque chose à tester dit Madame X.. Un homme ou une femme qui vous obéit, qui répond à la moindre de vos exigences. Faut juste savoir les rendre bien docile. Il faut les éduquer. C’est un travail, une responsabilité. - Oui, ça en est une dit Monsieur. Nous avons fixé des règles et des limites à ne pas franchir. C’est indispensable. - Et donc elle fait tout ce que tu lui demandes dit Fred ? - Oui. - Va y montre nous. - Lane, venez vous mettre à mes pieds je vous prie. Je m’avançais alors vers lui. Tous les regards étaient braqués sur moi. Je vis le regard de Carla, une femme blonde, pulpeuse, me regarder tout en se pinçant les lèvres. Elle semblait timide. Je me mis alors à ses pieds. Il claqua alors des doigts. Je baissais ma tête. - Waouh quelle éducation dit Fred. - Carla aussi, je l’éduque dit David. - C’est bon Lane, relève toi. - J’aimerai bien voir son petit fessier dit Fred. - Lane, allez contre la cheminée. Cambrez vous et lever votre jupe s’il vous plaît. - Oui.. Monsieur. Mon cœur palpitait. Je m’exécutais. J’étais ainsi contre la cheminée, jupe relevée. - Puis je dit Fred ? - Oui, bien sur. Il passa alors sa main sur mes fesses comme s’il caressait la porcelaine d’un vase. - Quel putain de cul ! Il claqua alors mes fesses et me dit à l’oreille. - Hum, je vais bien te tringler après dit il en prenant de pleine main mes seins. Il alla se rassoir. - Je peux dit David ? - Oui, je t’en prie. - Carla, lève toi et va la toucher je te prie. Elle se leva et se dirigea alors vers moi. - Baise lui ses pieds s’il te plait. Je la vis se mettre à mes pieds et me les embrasser. Je me sentais si gênée.. - Hum quelle brave petite chienne dit alors Madame X. - Retire lui sa culotte. Elle saisit alors ma culotte et l’abaissa. - Comment est elle ? sa culotte ? - Elle est trempée.. Monsieur. - En voilà une soirée prometteuse. - Tout le monde sourit. - Passons à table dit Monsieur. Je servais les plats de chaque convive. Je sentais leur main s’attarder sur moi. Des petites mains baladeuses. Au milieu du dîner Carla avait disparu. Son Maitre lui avait ordonné d’etre sous la table. Elle était en train de lécher Madame X. - Quelle chanceuse Isabelle.. Je suis jaloux dit Fred. - Lane, venez astiquer Fred sous la table je vous prie. - Bien Monsieur. Je me glissais alors à mon tour sous la table. Je le vis alors défaire son pantalon. Son sexe était en érection. Je m’approchais pour le prendre dans ma bouche. - Hummm.. waouh… Il me caressait les cheveux. Malgré son audace verbale, il était doux. Il me regardait assis de sa chaine.. - Quelle suceuse. - Oui je sais dit Monsieur.. Elle a un talent inné pour ça. - Suffit dit Alors Madame X à Carla. - Lane, viens là. Je passais sous la table pour aller vers Madame X. Je me frayais un passage à travers les pieds des convives. Madame X était en bout de table. Monsieur a sa doite. - Tiens bois. Elle me tendit alors un verre de champagne. Hum du champagne. Elle me prit alors par les cheveux et me força à me relever. - Pousse les assiettes. Elle me jeta alors sur le table et introduisit alors deux doigts dans ma chatte tout en me maintenant les cheveux fermement. Je prenais alors un plaisir immense. J’étais en confiance Monsieur a mes cotés. C’est là que lui aussi me tendait un verre de champagne. - Allez buvez Mademoiselle Lane. - Quel charmant spectacle dit alors Fred. Puis elle me releva et me claqua les fesses. - Débarassez maintenant Mademoiselle Lane. Je commençais à enlever les assiettes quand soudain David me saisit par les poignets pour me mettre sur ses genoux. IL me maintenait droite en mettant son bras autours de mon cou. - Carla, ote lui son chemisier je te prie. Je sentais la poigne dans son bras. La pression sur ma gorge m’excitait. Elle ouvrait un à un mes boutons. Elle libéra alors mes seins. - Caresse lui les seins. Elle commença avec ses mains douces à me caresser les seins. Il prit alors de mains fermes mes seins pour les lui présenter. - Dévore les, aspire les. Je le voyais frémir à cette idée. Sa langue douce sur mes seins. Une réelle douceur. Lui sa fermeté me rendait docile. Puis il me jeta au sol. Je me relevais pour ensuite terminer ma tache. La table était presque vide. Il ne restait que les verres. - Montez sur la table ma chère Mademoiselle Lane dit Monsieur. - - Voici notre désert Mesdames et Messieurs. Vous pouvez la baiser, la doigter, faire ce qui vous plait. J’étais alors sur la table, à quatre pattes. Madame X face à moi. Elle me saisit à nouveau par les cheveux et enfonça quelques doigts dans ma bouche. Je sentis quelqu’un me tirer les tétons. Je sentais d’autres mains me parcourirent le corps. - Oohhhh… hummm.. Je hâletais comme une petite chienne en chaleur. Je sentis des doigts s’enfoncer dans mon cul. - Humm quel petit fion de salope. Quand soudain, je sentis quelque chose s’intérer dans ma chatte. C’était un gode fixée à un balai. Monsieur avait détourné l’objet. Il s’amusait ainsi à me pénétrer la chatte avec. - Hum vous aimez ça Mademoiselle Lane.. - Oui.. Monsieur J’aime ça. - Qu’aimez vous ? - Que vous me fourrez la chatte, Merci Monsieur. - Juste ça ? - Que vous m’offrez tant de plaisir Monsieur. Il se montrait alors encore plus frénétiques à me baiser la chatte avec. Soudain, David m’ordonna de me mettre sur le dos, jambes écartées. Carla s’était empalé sur lui. - Va y prends ton dessert. Elle plaça ses mains sur mon entrecuisse. Elle ecarta mes lèvres . Doucement elle commença à aspirer mon petit clitoris. Elle avait une langue terrible. Je sentais sa langue mettre une certaine pression quand son maitre lui donnait un coup dans sa chatte. C’est là que Fred me saisit les bras pour les placer au dessus de ma tête. Il les maintenait ainsi. - Allez petite pute, fais toi bien lécher… oui… oui… me murmerait il à l’oreille. J’aimais être contrainte, retenue par des bras puissants. - A mon tour dit Madame X. - Tiens la bien fermement cette petite chienne. - David, tiens moi sa jambe bien en l’air.. Carla tiens l’autre s’il te plait. - Voyons où tu en es dans ton éducation anale. Je me tortillais. David me tenait bien solidement. Je sentais qu’il aimait que je me débatte. Monsieur s’était assis. Je tournais alors la tête pour le regarder droit dans les yeux. Il me souriait avec douceur, ce sourire qui signifiait, prends du plaisir. David et Carla me caressait l’entre cuisse puis ensuite les saisit bien fermement afin que je ne puisse plus bouger. - Tenez la bien cette pouliche.. L’autre fois, elle a adoré se faire mettre par un étalon. - Ta gueule petite trainée. Fred me mit alors sa main sur ma bouche. - Humm tu es si excitante et ta peau si douce.. Quel plaisir de voir une chienne dépravée. Ne t’inquiète pas, tu ne peux pas t’échapper, j’y vaille. Elle enfonça alors un doigt dans mon petit fion. Doucement elle le tourna. Puis doucement un second.. Elle prenait son temps, si douce, tout en me caressant le clitoris… Quand elle mit le troisième doigt., je commençais à bouger. Etais ce du plaisir de la douleur ? un peu des deux je dois dire. - Regarde toi, tu t’ouvres, doucement. Elle commença un travail de va et vient pour ensuite me chercher toujours plus loin en profondeur. - C’est bon hein ? Je ne pouvais répondre, mes bruits me plaisir se perdant dans la main de Fred. - Fourrez lui un quatrième doigt Madame X dit alors Monsieur. Je sentis alors un quatrième doigt me pénétrer. Elle tourna avec sa main pour m’élargie. Que le petit cercle de mon cul s’écartèle. - Voila ma belle regarde quatre doigts.. Petite chienne. Elle s’amusait à les sortir et à les rentrer. En long, en large, en travers. Elle me fouillait. - Elle est bien ouverte Monsieur, prête pour être baiser. - Oh Parfait Madame X. Fred je t’en prie.. Monsieur avait remplacé Fred. J’aimais sentir sa chaleur, sa respiration. Fred souleva alors mon fessier pour me mettre bien au rebord. Carla et David m’avait laché les cuisses. J’étais l’objet de toutes les attentions. C’est là qu’il me prit sechement. Il râlait son plaisir avec des sons qui étaient très bestial. Tel un conquérant savourant sa prise. J’entendais ses couilles buter contre moi. Mon Maitre me parlait à l’oreille. - Alors tu as aimé qu’on te fouille le cul. - Oui, Monsieur, j’ai adoré ça. - Tu aimes que Madame X s’occupe de toi ainsi. - Oui Monsieur.. - Humm ma petite chienne. J’aime te voir tringler ainsi, si comblée. J’aime quand tu t’abandonnes ainsi. Il me caressait alors la joue et continuait à me parler avec douceur. Fred,quand à lui n’était pas dans la douceur. Il me baisait tout simplement. Mes seins volaient très fortement, tellement ses coups était violent. - Tiens… - Tiens… Rapidement, il ota son préservatif. David offrait bouche de Carla. Il la tenait bien par les cheveux. - C’est ça ouvre ta bouche bien grande.. Il éjacula dans sa bouche. Elle n’en ratait pas une lampée. Puis il lui caressa la tête en lui disant que c’était une bonne chienne nettoyeuse. Monsieur me libéra les bras. Madame X était retourné dans le salon. - Viens Ici ma petite chienne. Viens t’empaler. Je m’avançais alors vers elle. Je m’empalais alors la chatte sur son gode ceinture. Elle prenait mes seins dans ses mains et les embrassait. - Allez mieux que ça. Elle me gifla puis me pinça les seins. Pendant que je me baisa avec le gode, elle me pinçait fortement mes tétons. - Hum que quel tableau dit Fred… - Oui j’ai de la chance, elle est une vraie chienne dans l’âme. Mon Maitre s’était relevé. Il relevait alors mes cheveux pour les tenir. Il me leva et me força à poser ma chatte sur les lèvres de Carla. Elle sortait déjà sa langue. Elle me bouffait complètement la chatte. Elle était toute frénétique. Elle lapait, attrapait, pénétrait ma chatte et mon anus. Mon maitre me poussa en avant. Il regardait Carla s’occuper de moi, tout comme Madame X d’ailleurs. Mon maitre s’était mis au dessus et me prit alors par le cul. - Oh mais quel tableau dit Madame X, je regrette d’être venue sans ma petite licorne ( voir nouvelle La sellerie). Quand il en eut marre mon Maitre me releva. Il me mit à ses genoux, tête contre ses cuisses. - Regarde là.. regarde là comme elle se fait bien prendre. David l’avait remonté un peu, sa tête était dans le vide. Fred lui prenait la bouche. IL s’enfonçait encore et encore. David éjacula alors sur sa petite chatte. Quelques minutes après Fred éjacula encore… dans sa bouche. Madame X se leva. Elle prit une cuillère à soupe et ramassa le sperme. Elle nourrissait à la cuillère Carla. Je sentais mon Maitre attentif à mes réactions. Il savait que c’était là ma limite que je n’arrivais pas à franchir. C’est là qu’il me dit . - Tu es la plus parfaite à mes yeux. Monsieur servit du champagne à tout le monde. J’étais à ses pieds, choyée. Carla, elle était en train de lécher Madame X. Ne pas parler, ne pas réfléchir, juste prendre, apprécier et être entre ses mains.. libre à travers lui.. la plus belle des sensations.
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Par : le 13/05/20
Il fallait bien qu’un jour, le cours de notre vie simple et heureuse heurte un écueil. Au début de l’été, je reçus coup sur coups trois lettres recommandées de clients qui mettaient un terme à leurs contrats. Devant mes difficultés financières, Cléo prit l’initiative de rechercher un emploi. Grâce à mon carnet d’adresses, elle trouva vite à se faire embaucher comme serveuse dans un bar de nuit de Montparnasse. Elle ne s’absentait que trois nuits par semaine, du vendredi au dimanche, mais ce petit salaire supplémentaire arrangeait considérablement les choses. Un mois plus tard, au coeur de l’été, à la recherche de nouveau clients, je pris rendez-vous avec le patron de ce bar de nuit. Je connaissais ce garçon depuis le lycée et j’avais entièrement confiance en lui. Il hésitait à me confier sa comptabilité, en raison de la santé financière fragile de son établissement mais il était débordé par des contraintes bureaucratiques auxquelles il ne comprenait pas grand-chose. Je montais à Paris en milieu d’après-midi et nous passâmes deux bonnes heures, dans son bureau au dessus-du bar, à examiner ses comptes. Je lui proposais le forfait le plus ridiculement bas que j’étais en mesure de lui offrir sans perdre moi-même de l’argent. Paul - c’était son prénom - ne voulut pas s’engager sans consulter son associé mais il me laissa de bons espoirs. J’allais le saluer quand il m’arrêta. - Elle est mignonne, la petite que tu m’as envoyé… - Cléo ? Oui, elle est charmante. - Comment la connais-tu ? - C’est l’amie d’une amie… - Ah !… - Qu’y a-t-il ? - Rien de particulier sinon qu’elle a débauché mon autre serveuse et qu’à elles deux, elles forment un joli couple mais pas vraiment une équipe de collègues. Le travail s’en ressent. - Ah ! - Il est quelle heure ?… Elles doivent être arrivées pour préparer la salle. Tiens, regarde. Paul me fit signe de le suivre jusqu’à une ouverture qui donnait au-dessus de la salle du bar. Le temps que je m’accoutume à la pénombre et je distinguai, blotties dans un angle, deux jeunes femmes enlacées. Cléo était parfaitement reconnaissable, de dos, avec ses longs cheveux et ses jolies fesses bombées. L’autre serveuse, au style garçonne, était également délicieuse. Cléo avait une main glissée dans son jean’s et la besognait avec ardeur. L’effet de ses caresses se lisait dans l’attitude de son amie dont les yeux clos et les ondulations du bassin ne pouvaient faire illusion. - Moi, je m’en fiche, il n’y a pas encore de client, mais quand le bar est plein, j’aime bien que ça tourne ! maugréa Paul. - Je vais m’occuper du problème, fais-moi confiance, lui répondis-je en lui serrant a main. Le retour fut particulièrement pénible. Le dilemme qui m’attendait se posait en termes simples : raconter à Sarah ce que j’avais appris, ou ne pas le faire afin de préserver la paix de notre petit trio. Je pris le parti d’amener Cléo à se confesser plutôt que de la dénoncer. Je conservai donc mon secret jusqu’à tard, le lendemain matin. Sarah s’occupait des plantations, dans le jardin, lorsque je pus prendre à part la jolie cachottière, toute ensommeillée encore, qui sortait de sa chambre seulement vêtue d'un de mes vieux hauts de pyjama. - Cléo, pourrais-je te dire un mot ? - Bien sûr, monsieur. Elle me suivit dans mon bureau, une expression inquiète au visage. - Ah, Cléo. Dis-moi… quand comptais-tu parler à Sarah de ta petite amie ? - Comment cela ? - Je vous ai vues toutes les deux hier, vous embrasser. C’était dans le bar où tu travailles, avant l’ouverture. Son visage s’empourpra. Elle chercha ses mots, commença certainement à inventer un mensonge, je ne lui en laissai pas le temps : - Tu trompes Sarah. Je n’ai aucune raison de ne pas l'informer, mais je détesterai d’avoir à jouer ce rôle. Aussi, je te donne cinq minutes pour aller lui avouer toi-même ce que tu lui caches. - Merci, monsieur, fit Cléo en esquissant une génuflexion. Je la vis descendre dans le jardin et approcher sa maîtresse d’un pas mal assuré. Je devinai le début de la conversation à leurs gestes et leurs attitudes. Sarah était choquée, Cléo minorait vraisemblablement les faits ou les dépeignait d’une façon qui atténuait sa responsabilité. J’avais imaginé que Sarah se mettrait en colère. Cela n’arriva pas. À ma grande surprise, au contraire, elle caressa longuement les cheveux de Cléo et versa une larme. Puis repoussant Cléo qui voulait l’embrasser, elle la laissa sur place et se réfugia dans ma chambre. C’est là que je la retrouvai. - Cléo me trompe ! lança-t-elle avec rage. - Es-tu certaine ? - Elle vient de me l’avouer la petite catin ! - Viens là… Sarah se blottit dans mes bras et cacha son visage pour que je ne la voie pas pleurer. - Pourquoi a-t-elle fait cela ? - Il n’y a jamais de raison à ce genre de situation. Les choses arrivent parce qu’elles arrivent. - Que me conseillez-vous de faire, monsieur ? - Aime-la… et punis-la, pour elle, les deux vont de pair. Cléo s’était cloîtrée dans la chambre qu’elle partageait avec Sarah tandis que celle-ci vaquait dans le jardin. Je la vis démonter les deux balançoires pour ne conserver que les montants auquel elle fixa des chaînes. Lorsque cela fût en place, elle s’installa dans un transat pour admirer son oeuvre. Son calme laissait deviner sa détermination. Je n’avais aucune idée de ses projets mais elle n’en varierait pas. Le dîner achevé et sans dire le moindre mot, Sarah passa une laisse au collier de Cléo et l’entraîna dehors. Elle l’attacha par des menottes et des chevillères aux chaînes installées un peu plus tôt aux montants de l’ancienne balançoire, de façon à ce qu’elle y soit retenue, bras et les jambes largement écartés mais sans que la position soit immédiatement inconfortable. Elle lui banda les yeux et l’abandonna ainsi, sans un mot, à la nuit qui tombait. Je ne lui posai aucune question. Elle s’enferma à clef dans sa chambre. Avant de gagner la mienne je fis un tour le jardin. L’air était encore chaud. Le corps pâle de Cléo se découpait dans l’obscurité, à peine éclairé par la lueur de la véranda. Elle ne bougeait pas. Je contournais le portique pour observer son visage. Le yeux masqués par le bandeau, elle respirait doucement, ses lèvres entrouvertes semblaient dans l'attente d'un baiser. J’avais évidemment pitié d’elle mais ce sentiment ne se distinguait pas complètement de l’envie que provoquait ce corps si naturellement désirable et dont l’attrait était singulièrement accru par les entraves qui l’offraient sans résistance. - Monsieur ? demanda Cloé. - Oui ? - Pourriez-vous ne pas me regarder ? - Et pourquoi donc ? - Il faut que… que j’urine… - Si Sarah avait voulu préserver ton intimité, tu ne serais pas pendue là ! Une succession de râles et de froissements de broussailles attira mon attention vers le fond du jardin. Une bagarre de chats sans doute. Un filet d’urine claire jaillit du bas-ventre de Cléo. Elle fit des efforts inutiles pour contrôler le jet mais, en écartant les genoux, elle parvint à ne pas se trop se souiller. Cette situation, tout à fait humiliante pour elle, me parut au contraire touchante. Surmontant mon envie de la prendre, je rentrai aussitôt me coucher. Cléo passa ainsi toute la nuit à la clarté des étoiles. Ce furent ses petits cris qui me tirèrent du lit, au matin. Imaginant qu’elle devait être frigorifiée ou blessée d’une quelconque façon, je dégringolais l’escalier. Le spectacle qui m’attendait était bien loin de cela. Sarah était simplement en train d’asperger au jet d’eau froide une Cléo toujours solidement tenue écartée aux portique. Lasse de se tordre en tous sens pour éviter l’eau froide, Cléo finit par abandonner tout résistance et se livra à ce lavage rigoureux qui, bien évidement, s’attarda sur ses parties intimes. Sarah s’empara ensuite d’un gros savon de Marseille et d’une brosse de crin dont elle usa pour récurer sans ménagement la belle. Celle-ci se contorsionnait sous la rugosité du brossage et sa peau rougissait des griffures du crin. Sarah épargna néanmoins son entrejambe à laquelle elle se contenta d’administrer de solides claques qui arrachèrent des hoquets à sa victime. Lorsqu'elle se fut lassée, Sarah arracha le bandeau qui aveuglait Cloé et l’embrassa à pleine bouche avant de la délivrer. Plus tard, lorsque je lui demandais ce qu’elle comptait faire de Cloé, elle posa sur moi son regard le plus impassible pour me répondre d'un ton froid : - Je ne sais pas… la vendre, sans doute.
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Par : le 11/05/20
Je suis à nouveau désolée pour ces éventuelles fautes que j'ai commise. Je ne me suis pas relue.. J'étais retenue attachée au lit. ********************************************************************************************************* Voilà plus d’une demi heure qu’il m’avait contrainte à rester dans le salon avec interdiction de venir le déranger. A peine rentrée dans son appartement, il avait m’avait collée contre le mur et me serrant la gorge. Il m’avait relevée la jupe pour y fourrer sa main à travers ma petite culotte. - Hum.. je voulais voir si e fait de voir ton dominant te faisait mouillée ma petite chienne.. Il inséra quelques doigts pour me fouiller - Tu aimes ça que je te doigte. Je prenais tellement de plaisir quand il était ainsi que j’en fermais les yeux. - Regarde moi petite chienne. J’ouvrai les yeux, il me regardait droit dans les yeux. Il me pénétrait de plus en plus fort. - A genou. - Dis bonjour à ton Maître comme il se doit. Il appuyait sur ma tête pour m’inviter à lui baiser les pieds. Assiste sur mes jambes, je me recroquevillais pour honorer mon maitre. Je lui baisais alors les pieds - C’est bien ma petite.. continue. Sors moi ta petite langue. Je léchais alors ses pieds. Je sentais son regard sur moi à observer tous mes faits et mes gestes. Cela me rendait folle d’être ainsi à ses pieds. Il me stoppa en appuyant son pied sur mes cervicales. - Brave chienne. Suffit. Il s’abaissa. Il me prit par les cheveux et me releva la tête en arrière. - Tu as été bien vilaine tout à l’heure quand je t’ai appelé. Je n’apprécie pas le ton que tu as pris avec moi. Il me tira alors par les cheveux et me jeta sur le canapé. Il me saisi la gueule avec sa main et la serra bien fermement. - Tu sais que je vais devoir te punir. - Je.. Oui Monsieur. - Baisse tes yeux, je ne t’autorise plus à me regarder. Je ne veux même pas t’entendre. Il saisit le gag ball. - Ouvre ta gueule. Une fois bien positionné il le sangla bien serré. Il me caressait alors le visage puis me gifla tout en me resaisissant à nouveau par la gorge. Il serra, serra. - Oui tu vas être bien punie ma petite. Je souriais. Il me retourna comme une poupée de chiffon. Il déboutonna ma robe pour me la mettre sur la taille et ôta mon soutien gorge. IL me para de bracelets à mes poignets et à mes chevilles. . Il tira alors fermement sur les tétons - Voilà de quoi te maintenir comme il faut. Il me sangla un collier de maintien si serrait qu’il m’étranglait doucement. Il attacha mes poignets dans le dos. Il me releva en me tirant par le bras. Il me força a être sur mes jambes, le dos courbé. IL appuyait bien fermement dessus. - Interdiction de bouger de là. Il me claqua les fesses et me laissa ainsi. Le temps passait. Mes jambes commençaient à être bien douloureuses. Je me sentais alors délaissée. Je changeais alors de position pour me soulager. Il était dans sa chambre. J’entendais parfois ses pas pour me remettre ensuite en position. Je savais que j’allais être punie pour mon ton désinvolte de cette après midi. J’étais relativement énervée. Je lui ai répondu en haussant le ton sans réussir à me calmer. Le temps passait. Quand je l'entendis au loin. - Viens maintenant. Mes genoux étaient en souffrance. un peu endoloris. Je me relevais avec difficultés les bras attachées. En arrivant à sa chambre. Je toquais alors à sa porte. Un long silence.. puis une seconde fois. - Entre. J’ouvrai la porte avec mes mains en me tournant. Sans trop faire de bruit, je pénétrais dans la chambre. Il était posé sur son lit avec son ordinateur. Je me mis à genou devant lui. Il m’ignorait pendant quelques secondes. - Tiens voilà mon petit trou à bites qui rentre. - Tu sais ce que cela signifie ? Je le regardais en baissant les yeux. Il se leva de son lit et retira mon gag ball. Il me caressait le visage. - Brave petite chienne. J’aimais sa caresse. Je me disais qu’il était d’une telle clémence. - Releve toi…Viens par ici.. - Viens là… Je m’étais rapprochée du lit. Il était assis face a moi. Il me caressa mes seins, les gifla.. puis à nouveau les caressa. Il prit mes tétons entre ses doigts et les pressa. - Tu sais ce qui arrive aux filles qui sont très vilaines. - On.. les punit Monsieur. - Oui, on les punit.. et je vais te punir comme il se doit. Il ouvrit le tiroir de son chevet et sortie des pinces à tétons. Il prit en premier mon téton droit. - Je ne veux rien entendre compris ! Je montrais en silence mon mécontentement.. Puis il fit de même avec mon téton droit.. Il sous pesa mes seins et s’amusa un peu avec. Mes tétons étaient reliées pour une chaine. - Je ne sais pas encore quel poids je vais mettre sur cette chaine. Je le regardais d’un regard suppliant. Mais je méritais cette punition… J’étais des plus dociles. - Allez bouge moi un peu tes seins.. Je me dandinais pour faire valser un peu mes seins. Je sentais les poids des pinces sur mes tétons.. IL ne ratait pas une pointe du spectacle. - Non non, on ne grimace pas.. J’essayais de ne pas faire de grimaces malgré ma douleur. Il mis sa main sur mon ventre pour me stopper. - Prête mon petit trou à bites ? - Oui.. Monsieur. - Tourne toi. Il détacha mes poignets tout en les tenant bien serrés dans ma main. - Voilà.. respire maintenant. Il avait enlevé le collier de maintien. Je respirais à nouveau correctement. Cela m’avait rendu bien docile, bien calmée. Puis il détacha mes poignets. - Voila.. dit il en me massant les bras. - Merci.. Monsieur. - Mains dans le dos !! Il me caressa la gorge et me recoiffa ave douceur. Puis il me gifla. - Tu as aimé m’attendre petite chienne ? - Oui.. Monsieur. Il dirigea sa main vers ma culotte . - Oh mais quelle humidité. - Pas autorisée a bouger… ? - Oui, Monsieur.. - Obligée d’attendre ? Il continue à caresser mon entrejambe. - Oui, Monsieur, - A être punie ? - Oui Monsieur. - A avoir ta petite culotte bien trempée. - Oui.. Monsieur. - Ta petite chatte parle pour toi.. Mes doigts sont remplis de ta mouille. - Ta petite chatte est aussi contente que toi de me retrouver, on dirait. - Oui.. monsieur. - Attendant d’être utilisée toute la journée ? Dans un souffle je répondais. - Oui Monsieur. - C’est ça ta réponse ? Il me gifla tout en m’enfonçant un doigt dans la chatte - Oui Monsieur, j’ai attendu toute la journée pour que Monsieur m’utilise et utilise ma chatte et mes autres trous. Il me caressa doucement la joue. - Voilà C’est bien mieux. Une réponse bien formulée. - Allez ouvre ta bouche. Il passa ses doigts dans ma bouche pour que je les lui nettoie. Il mit un doigt dedans. - Allez suce bien petite salope. Je suçais alors avec délectation son doigt. Puis il fit ainsi l’ensemble de ses doigts. - Bien… voilà Doucement !!! - Allez sur les genou, ventre contre le lit.. que je puisse regarder ton petit cul précieux de princesse.. Il prit alors la culotte en une seule main pour bien me la mettre au niveau de la raie. Il s’amusait ensuite à tirer sur le tissu.. - Oh.. si humide. Je talais de plaisir. - Tu aimes ça ? - Oh oui Monsieur…. Il descendit soudainement ma culotte pour la faire tomber à mes genoux.. - Garde bien tes cuisses ouvertes pour qu’elle tienne ainsi.. Il prit de pleine main mes fesses avec ses mains. Il les caressait, les palpait, les griffait. - On va travailler à l’amélioration de ton comportement de putain. - Humm Oui Monsieur… - Tu vas être parfaite pour me satisfaire ? - Oh .. hum.. oui monsieur, répondais je alors qu’il me caressait les cheveux. J’appréciais toutes ces attentions.. c’était si délicat. - Pour devenir bien éduquée ? - Hum.. Oui Monsieur.. - Bien docile ? - Hum.. Ouiii Monsieur . Ma voix était comme un murmure sensuel. - Juste comme j’aime ? - Oui.. Monsieur.. Il me caressait à nouveau les fesses. Quand soudain il me les claqua si fortement. Puis il les malaxaient à nouveau pour ensuite mieux me fesser. - Tu sais des fesses si blanches c’est interdit ? Il me fessa à nouveau, encore et encore puis pour me soulageait me malaxait encore fortement les fesses, puis il les écartait.. - Oh regarde moi ça.. qu’’est ce donc ? - Le fion de votre petite chienne Monsieur. - Oui.. le fion de ma petite chienne. - Oh mais qu’est ce que cette chatte dégoulinante.. - Petite gloutonne.. tu veux te faire fourrer aussi bien le cul que la chatte… - Hum.. oui Monsieur… Il me caressa à nouveau doucement le dos, le visage, les cheveux. J’étais aux anges. Puis soudain il me fessait à nouveau de plus belle. - Allez sur le lit. Mets toi bien au fond. Il me calla dans des coussins. - Enleve ta culotte Il attacha mes poignets de chaque coté à une chaine qui elle était reliée à un anneau fixée sur une longue barre au mur faisant la largeur du lit. Puis il positionna mon cul pour ensuite m’ouvrir les cuisses comme une barre d’écartement et les enchaina de la même manière a chaque anneau de cette barre. Maintenant, il est temps de te corriger comme il se doit. Il mis dans ma bouche un bâillon relativement épais et mou. Mes jambes ainsi écartées, mes poignets attachés également de chaque coté. Il avait un accès à tout mon corps. Ma chatte était exposée tout comme mon petit fion. Il prit alors sa cravache. Il commença par mettre quelques petits coups dessus. Je criais tout en serrant des dents le bâillon. Je ne pouvais pas fermer mes jambes. J’étais là faite pour subir ma punition si méritée. - Oh regarde moi ces petites lèvres qui sont déjà si gonflées… Il la cravachait encore ainsi que mon entrecuisse. Puis pour calmer le feu il me caressa… J’étais alors toute trempée. - Laisse moi te décorer un peu. Il prit alors des pinces à linge. Il commença à en mettre une au niveau intérieur de mes bras. Puis une seconde juste à coté. Il fit de même à l’autre bras. - Hum si j’en mettais sur tes seins. Je grossissais des yeux. Ils sont déjà si fragiles.. Il prit alors la pince pour la diriger sur mes seins tout en me regardant. Je râlais en faisant non de la tête. C’est là qui la fixait au dessus de mon sein a la jonction avec mon aisselle. - La nature aime l’équilibre. Il fit de même de l’autre coté. Je commençais à lever les yeux au ciel pour contrôler ma douleur. Mes yeux commençaient à s’humidifier. Me surprenant il plaça alors une pince sous chacun de mes tétons. Je hurlais. - Crois tu que je puisse en remettre quelque part ? Je ne pouvais répondre mais mon regard suppliait non.. Après tout avais je le choix ? il me punissait. Il reprit la cravache et me donna encore un coup sur la chatte me faisant pleurer. - Tout doux… il me caressait alors le visage et cessa mes larmes avec ses doigts. Il mit à ma hauteur une autre pince. Il me dit au creux de mon cou.. - Je t’avais dit qu’un jour nous travaillerons les pinces.. sur ta chatte. Je vais commencer par les grosses lèvres. Il saisit une de mes grosses lèvres et y plaça doucement la pince. De même de l’autre. Puis il écarta les pinces pour mieux écartées ma petite chatte. - Hum comme tu es bien décorée… - La prochaine fois, je t'écarterai la chatte avec les pinces que j'attacherais. et je te doigterais ainsi puis te prendrait la chatte. Il reprit sa cravache en la passant sur les pinces pour les bouger. J’avais mal, mes yeux étaient toujours larmoyant et sa voix douce me rassurait. - Alors où dois je concentrer ma cravache ? Il tapotait doucement avec sur chacun des endroits où il avait mis des pinces ? - Les seins je crois c’est ce que tu préfères. Je pleurais, je faisais non de la tête. Je mettais ma tête en arrière pour me concentrer sur autre chose et ne plus penser à cette douleur que je voulais maitriser. Je pensai à ses caresses. - Je veux te voir couiner comme une petite chienne ce soir. Ce sera la plus douces des musiques pour mes oreilles me dit il d’une infinie tendresse en cessant à nouveau mes larmes. Il me torturait ainsi avec sa cravache. Je mordais de plus en plus dans mon bâillon. - Allez repire.. inspire.. calme toi. Sa voix me guidait m’amenant sur les chemins du plaisir. Je savais que la douleur allait être un réel plaisir. Je ne m’attendais pas à cette fermeté qu’il avait ce soir. - Tu vois où t’as conduite ton insubordination. Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même. Puis il continua de plus belles a faire semblant aussi à me donner des coups forts qui se terminaient par des caresses de cravaches. Puis il reprenait sa torture. Comment pouvait il être si pervers et sadique et un visage si doux et une voix si angélique. Il me caressait à nouveau les cheveux. - Humm tu es si belle quand tu es punie.. Je le regardais droit dans les yeux avec ce regard invoquant son indulgence. - Crois tu que tu peux m’adoucir avec ce regard de chienne implorante ? Il me remit alors un coup sur une de mes pinces à sein. - Ne crois pas ça ! bien au contraire, je serais pire. - Mais j’adore car ça te rend encore plus sexy et désirable. Puis avec douceur il enleva chacune de mes pinces en commençant par les bras. J’en avais oublié leur pincement. Les enlever laissa place à un picotement qu’il calma en me caressant . Il était redevenue tout doux… - J’y suis allée fort. C’était pour ton bien. Que tu comprennes. Comprends tu ? Je hochais de la tête… une affirmation. Je sais que ma punition était bien méritée. C’était la pire punition qu’il m’avait donné. Chaque pince enlevée était un soulagement, mais je craignais toujours les tétons et ma petite chatte. Quand il les enleva au niveau de mes tétons, il y déposa sa bouche pour les cajoler de sa bouche. Je chavirais. Quand il se pencha sur la chatte, il les retira rapidement. Je hurlais. Encore une fois, il me replaçait à ma place. Il prit un miroir qu’il plaçait face a mon sexe. - Je veux que tu puisses voir.. Je voyais ma chatte complètement trempée. Malgré tout ce par quoi je suis passée. La douleur a laissé l’excitation me pénétrait comme si je voulais qu’on m’absoudre de mes péchés.. - Je veux que tu regarde comment je te doigte, comment je te fais juter petite fontaine. Il commençait par mettre un doigt. Il s’amusait à le tourner. - Un doigt, ce n’est rien pour ta gourmande de chatte. Il en rajouta un second à son majeur déjà enfoncé. - Humm comme tu es trempée.. c’est si bon.. De l’autre il me caressait le clitoris. Il en rajouta un troisième. Je sentais à l’intérieur de ma chatte le mouvement de ses doigts. - Je t’interdis de jouir petite putain. Il me torturait à contrôler ainsi mon désir. Oh quatre doigts.. regarde ça. Je voyais dans le miroir ses doigts s’engouffrer dans mon intimité. Il tournait sa main paume vers le lit, puis paume vers le plafond. Soudain, il tentait d’engouffrer son pouce. - Tu es un peu étroite ma petite chienne. Il poussa aussi fort que possible. - Regarde .. regarde on y est presque !!! Je hurlais.. puis il retira alors son petit doigt et son pouce et entreprit de me baiser avec. - Allez lâche toi.. petite chienne.. lâche toi. Il me dit cela en me giflant si fortement. Puis quand je commençais à gicler, il me serra le cou. Je giclais de partout. Je me sentais toujours honteuse. - Oui allez.. tiens prends ça.. - Allez putainnnnnnn… Il me tenait par la chattte bien fermement. Il passa sur mon visage ses doigts bien trempés. - T’es qu’une putain Il me détacha. Et m’ôta le bâillon. - Allez va retourner faire ta pénitence petite chienne. Tu ne mérites pas que je t’honore de ma queue. Mais sache que tu es déjà sur le bon chemin de ta repentance. - Je vous remercie.. Monsieur. Il me tira par les cheveux pour me sortir de sa chambre. Je comprenais que je ne dormirais pas avec lui. Il me jeta dans la pièce où il aimait me jetait quand je n'étais pas sage. Il m'enchaina alors à mon lit pour éviter que je ne m'aventure dans d'autres pièces…
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Par : le 10/05/20
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, .. je ne suis pas relue... J'étais en selle. ***************************************************************************************************************** ll posa sa main sur ma cuisse. - Je suis si heureux de t’emmener en sortie. Il agrippa ma cuisse puis remonter sa main sur ma chatte pour la pincer. - Hum tu mouilles déjà, petite coquine que tu es. Je souris avec ce regard intense qui en disait long. - Je t’emmène dans un endroit que tu vas apprécier. Je sais que tu aimes les animaux. - Vous savez toujours me faire plaisir je me réjouis. Un indice sur le lieu. - Eh bien, tu pourras faire une belle promenade avec eux.. - Je ne vois vraiment pas. Il mit le clignotant pour prendre une toute petite route . Nous arrivions vers un sublime lieu. Un petit château que j’en perdais mes mots. - Waouh comme c’est magnifique. - Ca l’est. J’ai trouvé le bon moment pour t’emmener ici. C’est un lieu qui est dédié aux jeux. Le propriétaire est une connaissance qui peut mettre à disposition certaines parties pour s’adonner aux sévices les plus… Il ne termina pas sa phrase. Je trépignais de découvrir ce lieu. A son habitude, il avait toujours cette galanterie à me traiter comme une princesse ( qu’il adorait ensuite dépravée comme il se doit bien sûr). Il m’ouvrit la porte. L’entrée se faisait par une porte sompteuse en bois sculpté où une tête de lion tenait un heurtoir. La porte s’ouvrit. - Bienvenu cher Monsieur. Un homme d’une cinquantaine d’année ouvrit la porte. Il était relativement petit et simple. - Monsieur S. J’ai une réservation pour cette après midi. - Ah oui, je vois. L’autre convive est déjà arrivé. Je vous demande de mettre vos téléphones dans cette boite. Nous souhaitons une discrétion totale sur notre lieu. Nous mettons à votre disposition tout le nécessaire pour la protection des éventuels accessoires que vous souhaiterez utiliser. - Oui bien sur, cela va de soi. Je vous remercie pour votre agréable accueil cher Monsieur. Je le regardais dans les yeux. - L’autre convive ? - Tu n’as pas besoin d’en savoir plus, juste à te taire à partir de maintenant et écouter. Tu vas passer j’en suis certain un agréable moment ma petite chienne dit il en me tenant par les fesses. - Par ici, cher Monsieur. L’homme lui indiqua le chemin vers une petite pièce pour déposer nos affaires. - Parfait. Monsieur s’entretenait avec l’homme loin de mes oreilles indiscrètes. - Allez viens, faisons un tour. Le parc a l’air superbe. - Oh oui j’adore merci Monsieur. Il me prit par la main et nous faisons un tour dans le parc de ce sublime château. Non loin je vis une dépendance. Nous nous dirigions vers elle. Une écurie. Il me dirigea vers elle. En voyant le premier box, je ne pue m’empêcher de caresser le premier cheval.. il y avait une rangée de 6/7 box. En passant au troisième, je vis ce dernier bien différent des autres. - Entre. Je le regardais, surprise. C’est là qu’il décrocha des bracelets pour ensuite me lier les mains.. Puis il me les attacha à un système de poulie me les faisant remonter au dessus de ma tête. J’étais presque sur la pointe des pieds. Il s’était mis derrière moi me tenant par le cou, me le faisant basculer en arrière. - Hum.. ma douce petite pouliche. Je crois que tu n’auras plus besoin de tes vêtements. Il tira sur la fermeture éclaire arrière de ma robe bustier. Elle tomba au sol. Il s’amusait à me faire tournoyer tout en me claqua bien les fesses. Sans aucun ménagement il descendit ma culotte et la laisser à mes chevilles. - Commençons ton débourrage ma petite pouliche. Je souriais jusqu’au moment où je le vis avec un long fouet. Il vit mes yeux grandir en me le passant devant les yeux. Je me débattais. Je criais, je ne voulais pas de ça. Mes jambes tentaient une évasion impossible. Soudain j’entendis le son du fouet claquer dans le vide. Je sursautais. Puis une seconde… et une troisième. Il me saisit par les cheveux en les tirant en arrière. - Tout doux ma belle… Crois tu que j’allais te fouetter malgré mon envie terrible de te marquer.. Mais j’aime te voir sursauter sur le fil. Le son du fouet éveille les sens. A réveiller les tensions nerveuses. Maintenant je sais que j’ai toute ton attention. Ma respiration était forte. - Oh Monsieur, bonjour ! La voix d’une femme, celle de Madame X. - Bonjour à vous Madame X. - Je suis ravie que nous nous retrouvions dans ce lieu plein de vices. Je vois que votre pouliche est presque prête à se faire débourrer. Mon étalon lui est fin prêt. Elle était habillée en tenue de cavalière. Elle avait un pantalon, des bottes, une cravache. Elle était très belle ainsi. Elle tenait un homme avec une longue. IL était habillée avec un pantalon noir moulant et par le haut un harnais en cuir mettant en avant son torse complètement épilée. Au niveau de son sexe, un gode ceinture avait été rajouté. Il était énorme. - Je connais votre expérience en matière d’éducation d’équidés. Je vous laisse vous occuper de cette jeune pouliche. Elle n’a bien sur jamais été monter. Elle pénétra dans le box. Elle attacha son soumis à un anneau. Il était à quatre pattes. Je voyais que ce gode qui le membrait comme un étalon. Elle l’avait mis également une queue de cheval ainsi que des mords. Elle lui caressa le dos et lui tapota le cul en partant. - Sage ! Elle se dirigea vers moi avec un sourire très vicieux. - Regardons cette belle pouliche. Tu m’avais manqué. J’ai fait part à mon propriétaire de toutes mes envies à ton sujet. Je lui ai dis que mon étalon recherchait une pouliche. Faisons toi belle pour lui… Elle me caressa avec sa cravache pour me faire redresser la tête. Elle parcourra ensuite mon corps. - Ecarte tes jambes. Elle frotta la cravache sur ma chatte puis y donner un coup. Je ne pue m’empêcher de les refermer. Elle commença ensuite à bien me cravacher sur le corps un peu partout. J’étais en train de danser sous ses coups. Soudain, elle s’était mise face à moi et avais pris les tétons. Elle les pressa tout en les tira à elle. Naturellement j’avançais vers elle.. Je couinais doucement.. - Allons te parer. Elle me mit un gode dans la bouche. - Humidifie ça bien. - Mieux que ça !! Elle l’enfonça bien au fond de ma gorge. - Cambre ta croupe. J’essayais tant bien que mal de me cambrer. - Monsieur, pourriez vous écarter les fesses de votre pouliche. - Mais avec plaisir Madame X. Il écartait mon cul sans aucun ménagement. Elle introduisait alors le gode dans mon cul. Une queue de cheval bien fournie en sortait. - Tu es très belle ainsi Lane. Elle avait apporté un harnais splendide. Elle me le fit passer par la tête. Les lanières en cuir faisait ressortir mes seins. Il y avait différents anneaux d’où partaient des lanières mettant en avant le corps. ? Elle passa ensuite le harnais au niveau de mon sexe. La lanière était réglable et se divisait en deux parties. Mes lèvres lisses étaient alors encerclées. Le harnais devait se fermer par l’arrière. Elle passa alors la queue de cheval ce qui le fit se relever. Puis avec délectation, elle s’amusa à bien relever le tout pour augmenter la tension au niveau de mon sexe et de mon petit cul. - Hum, elle pourra bientôt concourir pour le prix élégance mon cher.. - Oui, je crois..en effet. Elle me tira les cheveux en arrière puis me mis un mors dans la bouche. - Tout doux.. tout doux. - Les pouliches n’aiment pas qu’on leur mette des mords et bien ajuster ensuite ton licole.. Il faudra bien le serré sinon elles s’amusent parfois à l’enlever. Elle le serra en effet bien fermement.. Il y avait de part et d’autres des anneaux. Une seconde partie au mort était une lanière passant autours de mon front et au niveau de mes yeux des œillères. - Voilà faisons passer sa crinière par là. Voilà je peux le fermer. Reste ensuite le collier de maintien. Voilà.. Elle s’éloigna satisfaite. Mon maitre me sourit. Elle tata l’enjambe de son soumis. - Hum alors on est excité. Oh ca bande bien. Puis elle le cravacha. Tu as envie de monter cette pouliche hein ? Il hénissait comme pour montrer son intérêt. Nous allons pouvoir l’emmener au manège. Ah j’oublais de quoi faire marcher notre pouliche. - Monsieur, je vous prie de la détacher. - Allez met ces chaussures. Il s’agissait de cuissardes vernies noires. - Je vais vous montrer comment on dresse. Vous pourrez ainsi répéter ces mouvements régulièrement pour la préparer à un concours. Elle me sangla les bras dans le dos ainsi que les poignets. Il me saisit par le licole. Je ne pouvais plus parler. Elle avait pris son soumis également par le licole. Il marchait droit. Il était relativement grand. Je dirais 1m85, pas trop fin. On devinait qu’il prenait soin de lui. Je ne pouvais voir son visage qui était cagoulé. Nous arrivions dans la manège. Elle nous attachons son soumis et moi à une longue . Elle tenait dans sa main un fouet léger destiné au dressage des cheveux. Elle nous ordonna de marcher en levant bien les jambes. - Je vous veux coordonner. Aller en avant. - C’est bien.. continuez… Elle s’amusait à donner des coups en l’air avec sa perche. - Maintenant au trot allez.. Elle fouetta mes fesses.. Elle faisait ce petit son de bouche qu’on fait quand on voit les chevaux ou qu’on veut les faires avancer. Son soumis lui ne suivait pas trop le mouvement. Elle le fouetta avec une telle force qu’il se mit bien au trop comme il le fallait. Nous faisions plusieurs exercices pour travailler à notre démarche. J’apercevais mon maitre assis en train d’observer mon dressage. - Lane, plus de grâce. - Voilà c’est bien. Elle tira sur les longes pour les raccourir et nous rapprocher. - Allez suivez-moi.. il faut vous trouver la bonne selle. Nous nous dirigions vers une salle de donjon revisitée avec un univers équestre. Sur le mur était accrochée des selles décoratives. Ca sentait le cuir. Au mur était accrochait plusieurs martinets, des fouets et autres ustensiles. Au milieu de cette place deux chevalets, destiné à y mettre des selles ou ce que vous voulez bien imaginer. Ici on pouvait s’autoriser toute fantaisie. On voyait également des anneaux au sol. Des chaines , des barres d’écartements. C’était un réel paradis que d’avoir l’honneur d’être dans un lieu comme celui-ci. Il y avait un banc relativement haut. Elle ordonna a son soumis de s’y allonger sur le dos. - Je vais faire de toi une jolie licorne. Je suis certaine que tu vas apprécier. Un animal si rare. - Merci Maitresse essaya t il de dire. Elle enleva son mords et lui mis un baillon avec une queue dessus. Elle me fixa alors des rennes à mon baillon au niveau des anneaux. - Toi, viens ici. Empale toi dessus. Elle me tira et me forca a bien m’empaler. - Baise toi allez. Je ne pouvais pas parler, je bavais doucement. Elle s’amusait à cravacher les couilles de son soumis pendant ce temps là.. - Allez à quatre pattes Pouliche. Elle sorta le mors de ma bouche. - Prends le sexe dans la bouche. Elle me tendit alors le gode relativement volumineux afin que je le prenne en bouche. Elle m’empoigna par les cheveux et me força a bien le prendre.. - Allez applique toi, mouille le bien. J’avais du mal tellement il était gros. Elle releva alors ma queue de cheval au niveau de mes fesses et me cravacha à mon tour. - Encercle la bien fort avec tes pattes ma licorne et baise lui bien sa chatte avec ton dard. - Il va te montrer comment on baise bien. C’est un excellent étalon. Putain mais applique toi avec ce gode. T’es qu’une pétasse. Elle me maintenait la tête dessus. Je bavais à presque ne plus respirer ensuite. Elle me releva ; Je sentais la licorne me pilonner avec sa bouche. Il me maintenait bien fermement. Madame releva a nouveau ma queue de cheval et écarta mon fessier. - Allez active toi ma licorne.. Hummm cette pouliche remplit par le cul et par chatte.. un gode dans la bouche… T’es une bonne petite putain dit elle en me tapotant bravement sur les fesses. - Suffit Licorne. Elle me redressa par les cheveux et tant bien que m’avança vers la queue de l’étalon. - Tourne toi. Elle tena le gode dans sa main. Allez.. Dans ta chatte. Je faisais les gros yeux. - Je ne te demande pas ton avis. Elle avait saisi un martinet. J’obtempérais. Avec mon gode dans le cul, il m’était difficile de mettre ce gode dans la chatte. Il m’écartelait. Elle écarta bien mon entrecuisse. - Tu vois ça rentre. Elle me gifla et me remis le mords en bouche. - Allez chevauche Elle retira le gode du soumis. - Sors ta langue Licorne. - Lèche, nettoie ta maitresse. Elle saisit alors les rennes pour me rapprocher d’elle. Elle me gifla les seins, elle les pinçait. - Leche mieux que ça Licorne si tu veux une belle récompense. J’entendais sa langue laper le sexe et le cul de Madame. Elle bougeait son bassin de manière à se faire plaisir. - Suffit… Elle redescendit. - Range ta langue. Plus bougé. Elle m’aida à descendre et me fit mettre à quatre pattes. - Bon choisissons la bonne selle. Elle fit mine de réfléchir.. Ah voila.. Elle prit alors une selle qui était accrochée au mur et la posa sur mon dos et la sangla. Je sentais les étrier tomber de coté. - Alors Monsieur, comment trouvez vous votre pouliche ? elle s’est déjà fait fourré sans trop objecter et là, elle accepte la selle sans rechigner.. - Humm.. cela donne envie de se saisir des rennes et de bien la chevaucher. Mais je vous en prie, c’est vous l’éducatrice. Je vous laisse le soin de vous en occuper. - Je vous remercie cher Monsieur. Avec un tel spécimen croyez moi, je m’en occupe avec douceur et fermeté. Elle grimpa alors sur la selle, prit les rennes en main. - Allez hum.. avance.. Elle fit mine de me chevaucher avec ma selle. J’avançais alors à quatre pattes, elle sur mon dos. - Stop ! Reste bien comme ça, bien cambrer. Elle saisit son soumis par le licole. Elle fit de même avec lui. Une bonne selle également pour lui. Elle se promena avec lui le chevauchant sans aucun état d’ame et le cravachant si fortement. Il semblait avoir besoin d’une grande discipline. Quand il arrivait à ma hauteur elle descendit de sa selle. - Oh mais regarde qui nous retrouvons… Va y sens la. Il venait alors vers moi pour me sentir de partout, il se frottait contre moi. - Je vais vous laisser. Toi Galope bien sa chatte. Je veux l’entendre bien hennir. Ne lui accorde aucun répit. Tu as le droit de la maltraiter si besoin. Elle se retira et alla s’asseoir à coté de mon Maitre. - Il est toujours plaisant de voir comment les animaux baisent entre eux dit elle à Monsieur. - Allez Lane, Cambre toi bien, me dit mon Maitre avec une voix rieuse. Je sentis alors le soumis commencer à mettre le gode dans ma chatte. Il l’enfonçait doucement puis le retirer doucement. Il écartait bien mes fesses pour j’imagine regarder comme il rentrait dedans. Puis soudainement il m’agrippa par les seins et me chevaucha si fortement. - Allez prend les rennes, bien au fond je t’ai dit ! Il prit alors les rennes pour me cambrer. Je bavais. Je le sentais si fermement dans ma chatte… Il y avait une telle frénésie. - Lane, fais toi bien baiser comme une bonne pouliche. J’aime te regarder te faire prendre ainsi. Une pouliche de compétition.. Il s’était approché de moi.. Il me caressait le dos, comme pour me rassurer. Il prit alors mon sein droit dans ses mains.. - Hum regarde comme il valse au rythme de ta cavalcade.. Il s’approcha alors de mon cul. Le soumis se stoppa. Il retira alors le gode de mon cul. - Leche son cul dit sa Maitresse. Mon Maitre écarta mes fesses et ne ratait pas une miette de ce soumis en train de me lécher le cul. - Je t’autorise à la pénétrer avec ta langue et à te nourrir de sa cyprine. Vu comme elle bave. Ce sera ta récompense. Je sentais sa langue rentrer doucement dans mon anus. IL se délectait. Il me bouffait littéralement la chatte et le cul. - Hum, c’est un excelllent nettoyeur ma chère. Il la lave correctement. - Oui en effet c’est un bon nettoyeur et un excellent cireur de pompe. Vous savez combien j’aime l’hygiène et la propreté. - Voyez ce que ça donne deux chevaux qui se retrouvent.. intenable.. ils ne pensent qu’à baiser. - Continuons à profiter de ce spectacle. - J’aime quand ma pouliche exhibe ses attribus. Je pense qu’il faudrait travailler sa chatte et son fion davantage pour accueillir au mieux la queue de votre étalon. - Oui je conviens. Elle avait du mal tout à l’heure. - Suffit maintenant. Elle écarta l’étalon de mon cul. Elle nous enleva la selle. Elle retira alors le code ceinture de son soumis et ouvrit la braguette. Elle le branla doucement. JE voyais les yeux du soumis s’égarer avec cette caresse. Tu as bien mérité ta récompense. Elle va aussi te nettoyer… Elle me releva et me mit le ventre contre le chevalet. Elle m’attacha les chevilles avec les anneaux au sol tout comme mes poignets. Elle attacha ensuite ma queue de cheval a ma taille. Ma bouche était ainsi bien maintenu relevé. - Ouvre ta bouche, sors la langue.. Elle inspecta l’intérieur de ma bouche. - Viens là toi. - Mets ta queue dans sa bouche. - Allez baise moi sa bouche. Tu peux lui faire ce qu’il te plait. IL mit alors sa main au niveau de ma gorge. Avec mes oeilleres, j’avais une vue imprenable sur ses couilles et queue. Il avait un sexe d’une si grande taille. Il m’enfourna puis saisit les rennes et les ramenait vers lui pour me donner le rythme.. Je l’entendais râler de plaisir. Quand je sentis les doigts de Madame pénétrer mon petit fion, je fondis de bonheur. C’était si.. intense. Elle y metta deux doigts de chaque mains pour écarter mon fion. Mon maître s’était rapproché. - Lane, tu n’es pas encore assez ouverte… Il me morda la fesse et inséra un doigt entre les doigts de Madame. - Oh j’ai une idée Monsieur.. si nous la doigtions ensemble ? Elle décida de s’occuper alors de ma petite chatte. D’abord elle la lécha.. - Hum quelle cyprine délicieuse. Je suis sure que mon étalon l’a bien apprécié. Avec son savoir faire elle me caressait tout en commençant à me pénéter la chatte. Elle faisait des mouvement circulaires.. - Tu es déjà bien ouverte petite pute. Elle tournoyait doucement. Mon maitre observait Madame qui allait probablement me fister la chatte. - HUmmm… Quatre doigts.. petite gourmande…. Comme tu mouilles… - Bite en bouche dit elle… ne bouge plus. C’est là qu’elle commença à me fister. Elle commençait à bien enfoncer sa main et à me marteller la chatte. Je sentais la queue pénétrer jusqu’à ma gorge. J’avais tant de mal à me contenir. Je voulais me défaire de cette queue. - Laisse la respirer et replonge à nouveau sans bouger. - Tu n’as pas intérêt à le mordre. Elle s’était redressé et me baiser avec son petit poing dans ma chatte. - Prends bien ça dans ta putain de chatte de salope Elle faisait des va et vient si fort.. Je sentis alors mon maitre me mettre des doigts dans mon cul. Je n’aurai pu dire combien. Je me sentais comme cette jument qui est fatiguée après une longue chevauchée. Quand elle ressortit son poing, je pleurais. Je ne savais même pas pourquoi. - Arrête de sucer maintenant. - Détache là dit elle au soumis. Le soumis me détacha. - Retourne toi. Allez plus vite.. C’est bien de prendre son plaisir pour se faire baiser mais un peu d’écoute serait la meilleure des reconnaissances. Elle me tira par les cheveux. - Ecarte des cuisses. J’étais a moitié allongée sur le chevalet. Mon maitre était derrière moi. Il ne tenait dans ses bras. Il me mordait le cou. - Hum j’espère que tu prends du plaisir ma belle. Tu es si belle ainsi. - Toi mets toi à genou. Il s’était mis à genou. - Ouvre ta gueule et sors ta langue. Elle prit possession alors de ma chatte et avec un doigté merveilleux me rendait complètement folle. Mon maitre me baillonna la bouche de sa main tout en pressant contre lui avec son bras plié autours de mon cou. - Allez jute petite salope. Tiens.. regarde moi ça… - Regarde comme tu gicles ma petite pute. Tout mon corps tremblait. J’avais des spasmes. Le soumis ne perdit aucune goutte de ma jouissance. Allez leche bien le sol, je ne veux pas que tu laisses le nectar perdu. - Oh merci Maitresse… - Tu le mérites tu as été bien sage. - Allons remettre la pouliche au box. Mon maitre me prit alors par la longue tout en me caressant le dos. Madame était si stricte. - Petite ingrate, tu as pris du plaisir, sans que mon étalon ne puisse lui en prendre. Elle me jeta alors dans le box. Elle enleva alors mon harnais. J’étais complètement nue. Elle me prit par la gueule et me jeta sur le ventre au sol sur la paille. - Etalon, je te laisse cette pouliche. Tu peux en faire ce que tu veux durant 10 Min. - Oh merci Maitresse pour ce présent. - Je te laisse avec ta queue de cheval qui te gode si bien ton fion. Il s’était mis à ses pieds pour les embrasser. - C’est bon arrête. Elle le rejeta à coup de cravache. Elle posa son pied sur mon dos. - Tu la prendras uniquement par le cul ou la bouche. Sa chatte est bien sensible maintenant. Ils sortaient tous les deux du box et le refermait. Ils étaient là à observer. - Oh regardez mon cher. L’étalon semble vouloir prendre la pouliche. - On dirait qu’elle n’est pas d’accord. Je me débattais mais le soumis me pris les mais dans le dos. Il les attacha. IIl se saissit d’une sangle accrochée et la passa sous ma taille. L écarta mon cul et y glissa sa queue. Il s’empara de la sangle de sa coté. Il réhaussa ainsi mon cul. Il ne me parlait pas, je sentais juste son souffle d’étalon en chaleur. Il me martelait fortement le fion.. Il avait une telle endurance. Il ne tenue pas longtemps. Il éjacula sur mes fesses. Il se releva. Je le vis aller vers l’entrée du box à quatre box. - Releve toi. - Hum tu l’as bien baisé.. - Lane, tu es une sacrée pouliche. Je pense que dans le monde équestre, tu vas faire une entrée fracassante. Trouver des étalons à ta hauteur.. Mais il y a encore du travail… Il me laissa ainsi dans la paille. Je sentis des personnes passées pour me regarder étendue nue dans le box. - Est elle à disposition ? - Non elle ne l’est pas pour le moment. - Ah vous en êtes le propriétaire ? - Oui en effet. - Pourriez nous avoir vos coordonnées, j’organise prochainement un concours.. - Avec plaisir… Il revint me chercher au bout d’un moment. J’étais si fatiguée, si écartelée… Je remis ma robe avec bien des difficultés, mes bras endoloris. Chatte à l’air et salie par ce sperme sur mes fesses. - Demain, nous reprendrons ces exercices. Nous allons avoir un concours à préparer…
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Par : le 09/05/20
Désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'ai préféré ouvrir une bouteille de champagne.. ************************************************************************************************* Cheveux au vent, je conduisais mon cabriolet. Une Z3 couleur vert anglais. J’adorais le coté rétro qu’elle avait. Il aimait me voir conduire. Main sur le volant. Un accès parfait à toutes ses caresses. Nous partions en week end au Luxembourg pour son anniversaire. J’avais pris le soin de tout organiser pour le surprendre, que nous passions du bon temps. Il ne faisait pas trop chaud c’était si agréable. Nous empruntions toutes les petites routes. J’avais réservé un hôtel spa en pleine nature, invitant à une détente totale. Cela faisait 1h30 que nous roulions. Nous étions partis en fin de matinée de Strasbourg. Au feeling de mon humeur, en passant dans cette forêt, je me suis dis voilà un endroit parfait pour mon pique nique. J’humais cet air si agréable sentant la nature. C’était si agréable. Seul les oiseaux se faisaient entendre. Je lui souriais. - Ne bougez pas dis-je d’un regard bien complice. - Non, je ne bouge pas, je te laisse faire. J’allais lui ouvrir la portière avec mon coté espiègle. - Après vous Monsieur. En sortant de la voiture, il me claqua avec affection mes petites fesses. J’ouvrais alors le coffre. J’avais tout préparé avec minutie.. Le vieux panier en osier, de vrais couverts, des assiettes en porcelaine, mes verres à vins et mes coupes de champagne. Il m’était d’ailleurs inconcevable, comme lui d’ailleurs, de boire de si bonnes choses dans des verres de merde. J’étalais alors la nappe blanche rayée de bleue, j’y déposais de cousins. J’installait une petite table que je recouvrais également d’une nappe blanche. Un Pique nique chic ! Je voyais son regard amusé. - As-tu besoin d’aide ? - Non , je vous remercie. C’est très gentil à vous mais vous me connaissez dans ces moments là. Je veux que tout soit parfait, surtout quand il s’agit de vous. - Tu es adorable ma petite Nina. C’était le diminutif qu’il m’avait donné. Celui de mon véritable prénom. J’étais à quatre pattes en train de bien tout disposer pour ne mettre aucune saleté. J’avais oté mes petites chaussures. Ma petite robe légère se retrouva sur mes fesses. La brise s’était amusée à la faire valsée. D’un d’air timide je la rabattais. - Oh, tu étais très bien avec ta robe sur la taille riait il Il me taquinait toujours car j’étais tellement concentrée et maladroite quand je voulais tout mettre en place. Il comprenait que c’était un exécutoire pour moi. Lui indiquant par la main sa place. - Monsieur.. votre table est prête. Me permettez vous de vous servir du champagne ? - Oui, bien volontiers. Je me saisis de la bouteille que j’avais mis bien au frais dans un sac prévu à cet effet et les bons pains de glaces. Champenoise d’origine, on va dire que j’ai une aisance naturelle à les ouvrir. Je laissais le bouchon cédé. Nous le regardions ensemble s’envoler. Je le servais puis j’en profitais pour me servir aussi. C’était dans ces moments où j’aimais ces instants où nous échangions de tout, nous débattions.. et le coté soumise était en général mis de coté. Même si.. je ne pouvais m’empêcher de le vouvoyer. J’avais préparé un bons plateaux de charcuteries et de fromages que j’avais sélectionné avec soin. IL méritait ce qu’il y avait de mieux. - Je te félicite pour tout ce que tu as préparé. Tu es vraiment douée ! J’adore. Merci. Il m’avait rapproché de lui pour m’embrasser tendrement tout en maintenant une petite tension en s’agrippant par mes cheveux. Ce champagne était si bon.. un repas au champagne. Voilà que la bouteille se finissait. - Viens là… IL tenait la bouteille dans ses mains et la posa à coté de lui. J’aimerai qu’on mémorise au mieux cette délicieuse bouteille. Il commença à mettre la bouteille à nue. - Empale toi dessus, je te prie. Je le regardais, tout en rougissant. - Par le cul, je précise ! Pas besoin de lever ta petite robe. Je me retrouvais alors debout. IL tenait la bouteille pour ne pas qu’elle tombe. J’installais mon anus sur le goulot de la bouteille. Je poussais un petit cri. - Allez enfonce le bien. Je sentais doucement le bout de la bouteille s’insérer en moi. - Hum tu peux mieux faire.. allez encore. Je l’écoutais, je forçais davantage la bouteille. - Maintenant baise toi avec. Il me regardait alors faire des va et viens. - Stop ! plus bougé. IL souleva ma robe pour s’assurer que la bouteille était bien au fond. - Garde ta robe sur la taille et caresse toi. Tout en le fixant, j’aventurai mes doigts sur mon clitoris. Je n’aimais pas me caresser devant qui que ce soit. IL le savait. Je pense qu’il me punaisait des libertés que j’avais prise . - En voilà une bonne petite chienne. Tu aimes avoir le cul bien rempli.. Regarde moi ! J’avais baissé les yeux. Je les relevai - Oui, monsieur j’aime avoir le cul bien rempli. Allez à quatre pattes, bouteille au cul. Il s’était alors relevé. - Hum quel magnifique porte bouteille. Avec son pied, il appuyait la bouteille par le culot pour mieux me l’enfoncer. - Allez continue de te baiser.. Je continuais les va et va. A chaque fois il poussait davantage. J’avais du mal. - Tête au sol. Il tenait son verre de champagne dans les mains.. c’était un détail que j’avais retenu. J’entendais qu’il le posa sur la table. Il prit la bouteille entre les mains. Il commença a la sortir.. - Hum, j’aime quand tu t’ouvres ainsi… Ecarte bien tes fesses. J’obtempérais pour lui présenter mon cul. Il me glissa à nouveau la bouteille dans le fion. - Tu aimes te faire prendre ainsi ? - Oui .. Monsieur. - Je me doute bien. Regarde moi tu bas de mouille. Il retira la bouteille et la présenta à ma tête. Il posa le doigt en me regarda : - Voilà jusqu’où elle est rentrée petite salope. J’espère que nous pourrons mieux faire la prochaine fois. Hum en voilà un bon début de week end. Il replaça la bouteille. Reste comme ça ! Au bout de quelques temps. - Relève toi et range tout. Ensuite tu iras te cambrer sur le capot de ta voiture. Je m’exécutais. Une fois en place, il défit sa ceinture. - Pas un bruit, compris. Je baissais la tête.. - Oui Monsieur. Il me donna la fessée avec sa ceinture. Elle avait le don de laisser de sacrées marques. Ces coups étaient parfois des plus doux, parfois des plus cinglants. Il m’apaisait aussi en passant sa main pour me les cajoler. Il me passa la ceinture autours de mon cou et s’assura de bien le serré pour me dresser comme il le faut. Je sentais son souffle et son excitation. Sa queue était son gonfler. En pleine frénésie IL jeta mon ventre contre le capot. Il avait pris mes bras et s’en servi pour me prendre encore plus profondément. Il râlait de prendre son pied. C’était si animal. Il repris alors la ceinture et m’étrangla avec pendant qu’il jouissait bien au fond de mon cul. - Petite putain. Tu rouleras ainsi… Allez en voiture. J’étais complètement sonné par l’assaut qu’il avait eu à l’égard de mon cul. J’avais perdu de ma superbe. - Donne moi les clés. Je vais conduire. A l’arrivée à l’hotel, notre chambre était assez spacieuse avec des poutres apparentes. J’aimais sélectionner des hotels laissant place aux jeux.. Il avait toute une valise avec ce qu’il faut pour nous adonner à nos jeux. - Va te laver m’ordonna t il. J’allais à la douche. Je le sentis alors venir derrière moi. Je me déshabillais. Il me saisit par les cheveux et me poussa sous la douche me forçant à m’agenouiller. Il avait enclenché la douche. IL me plaqua alors contre le mur en me tenant les bras au dessus de la tête. IL me baisa la bouche. Il aimait me la faire garder bien au fond. Il pinça alors mon nez pour me faire ouvrir mieux la bouche. Soudain, il me prit par la gorge et y aller sans aucun ménagement. Il me releva. Je le regardais droit dans les yeux avec un sourire satisfaite. Il me gifla. - Baisse tes yeux. Je remis alors ma tête en place et je le regardais - Baisse tes yeux, petite salope. Il me regifla. Il me tena la gueule avec sa main. Il me redressait j’étais sur la pointe des pieds. - Tu sais ce qu’on fait aux petites putains ? Il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il me doigtait bien intensément. - Tu en as besoin, n’est ce pas. Tu aimes être doigtée ? Je baissais le regard. - Réponds moi. Il tenait toujours fermement ma bouche.. - Oui Monsieur j’aime être doigtée.. - Bien… Il s’était alors agenouillée. Il plaça au mieux son bras en dessous. - Allez empale bien. Il m’avait présenté 4 doigts ; J’adorais le sentir ainsi ça me rendait complèment folle. Il repris rapidement le contrôle. Savamment doigtée il jouait avec ma chatte puis il commença à la fistée. Je ne pue m’empêcher d’hurler.. J’étais alors empalée sur son bras.. - Regarde ça… sale putain.. Quand il ressortit sa main. J’étais alors vidée.. - Allez lave toi. Prépare toi pour le diner. Je prenais ma bouche. Quand je ressortis, je vis alors des boules de geischa posées sur le lavabo. Je m’employais à les mettre dans ma chatte. Cela me stressait déjà car quand je mouille déjà tant, j’avais peur de les perdre en marchant. Nous allions au restaurant de l’hôtel. L’ambiance était bien feutrée c’était si agréable. - Tu nous a organisé un superbe week end. - Je vous remercie. - Maintenant tu vas aller à la chambre. Tu vas faire couler un bain chaud et tu m’attendras nue comme il se doit. - Oui Monsieur. Je sortais alors de table pour me diriger vers la chambre. Il y avait une sublime baignoire avec pattes de lion. Je tournais les robinet. Je testais l’eau pour m’assurer que la température était agréable. Il revenait après 20 min. Je me demandais ce qu’il avait fait. J’étais à coté du lit a genou, les mains ouvertes. L’attendant. - Enlève moi les chaussures je te prie. Il s’était assis sur le lit. Avec mes mains je m’avançais pour retirer les lacets. - Non défaits les avec ta bouche . - Oui.. monsieur.. Avec mes dents je me saisis des lacets pour tenter de les défaire, mais je n’y arrivais pas. - Espèce de conne, incapable d’enlever correctement un lacet… - Lèche les chaussures je te prie dit il en claquant des doigts. Je me baisais pour bien lui lécher les chaussures. Il observait pour s’assurer que j’effectue au mieux ma table. - Bien , retire les chaussures et mes chaussettes. - Défais mon pantalon. - Déboutonne ma chemise. - Enlève mon boxer. Une fois ma tache accomplie, je me remise à genou à attendre ce qu’il voulait. Il s’était levée en allant vers ses affaires. Il me montra mon collier. Il me le mit. Comme a son habitude il le serra bien fortement. Il y mis la laisse puis me tenant à court il se rapprocha de moi pour me pincer à nouveau les lèvres. Il me posa des bracelets au niveau de mes poignets, de mes chevilles. - Mets tes bras au dessus de ta tête. Je m’exécutais quand je vis qu’il sortait les pinces à tétons. Il me vit alors faire les gros yeux. - Oh oui je vais bien m’occuper du travail de tes seins et de tes petits tétons fragiles. Il y déposa des pinces et s’amusa à y attacher des petites sonnettes. - Allez petit quatre pattes, on avance. Il me faisait alors marcher dans la chambre pour ensuite me conduire jusqu’à la salle de bain. - Bouge pas. Il revint alors avec un gode ventouse et un gros plug. C’est à ce moment là que je perdis mes boules de geisha ; J’étais honteuse. - Je reconnais bien ma petite chienne qui ne sait pas se contenir. Il posa l’énorme plug au sol et colla l'autre au carrelage un peu plus loin. Il mit alors la laisse dans mes mains. - Garde la bien ainsi en présentation. Tu resteras à genou le plug dans ton cul. - Oui, Maitre. Il se glissa alors dans le bain avec le verre qu’il s’était préparé. Il saisit la laisse pour ne pas que je parte. - Allez baise toi comme tu sais si bien le faire. Encore une fois je m’éxécutais. - Tu n’es pas assez bruyante, mets y plus de puissance, de force que tes sonnettes montre combien tu t’atèles à ta tache. - Voilà c’est mieux… Il souriait et profiter de son bain. - Suffit maintenant. - Retourne toi, gode toi la bouche et présente moi ton petit cul élargi. - Humm .. tu es très belle tu sais, ainsi. Il me tenait toujours par la laisse. - Merci.. Monsieur.. - De rien petite putain. Au bout d’un moment, il sortit de son bain. - Viens me sécher. Je le séchais aussi bien que je pouvais profitant de son corps que j’adorais. Je m’étais alors agenouillée tenant par mes mains sa cuisse. JE me blottissais contre lui. IL me caressait les cheveux.. en signe d’affection.. Il ressaisit ma laisse. - Allez gode en bouche. Suce le comme si c’était ma bite. Quand je reviens, je veux quetu les toujours en gueule tu penses que c’est possible ? Je bougeais de la tête en faisait une affirmation. Il ressortit me laissant ainsi. - Bien, tu n’as pas bougé. C’est parfait. Je n’ai pas entendu tes petites clochettes. Allez viens. Il avait installé des cordes. Il m’attacha les bras dans le dos à hauteur des coudes puis des poignets. Il la tendit en la passant sur la poutre. J’étais alors ainsi mains et bras attachés partant par l’arrière. Une position relativement inconfortable qui me faisait me pencher en avant. - Mords. IL me présenta le gag ball. - Voilà.. une belle posture. Prête à se faire enculer. Il passa sa main sur ma chatte.. Ah oui.. bien trempée… Il avait dans ma main sa badine. Il la passa entre mes jambes pour me forcer à les écarter. - Tu vas compter. 1… difficilement prononçable. Le premier coup s’abattit sur mes cuisses. 2.. Toujours sur mes cuisses mais un peu plus haut. Il faisait monter la tension me caressant avec ou parfois faisant mine de me frapper. 3… .. Sur la naissance de mon cul. 4.. Sur mes fesses 5.. Sur mes fesses. 6.. Sur mes fesses. Je hurlais à travers le gagball .. Ils s’approcha pour me calmer. - Chut… ce n’est que le début. 7.. sur mes cuisses. Je les refermais. - Ecarte tes cuisses de putain. 8… Il me remit un coup au même endroit. - Voilà de jolies petites marques bien rouges. Tu es ma petite œuvre d’art. - Regarde ce que j’ai pour toi.. IL me montra des pinces pour mes lèvres.. Je me dandinais.. jamais il ne m’en avait posé. J’étais sensible. - Je vais te laisser le choix.. Soit c’est les pinces sur ta chatte ou du poids sur des seins.. Je te laisse réfléchir. Je ne savais pas quoi choisir.. sensible de partout. - Je vois que tu n’arrives pas. D’accord.. Tes petites lèvres. Je fis mine que non… - Be voilà, ce n’est pas compliqué de faire un choix. Tu devrais me remercier d’être si indulgent avec toi. - Merci.. Monsieur. IL retira les petites clochettes et y fixa des poids. - Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas lourds me murmura t il. Je mordais dans mon gag ball à en baver. De sa main, il m’enleva ce filet. - Et ça bave. Bon maintenant que vais-je faire ? Est-ce que je te laisse ainsi ? Est-ce que je te baise ? ou est ce que je te doigte.. - Hum je vais te baisser. Je crois que c’est ça qui va te faire bouger au mieux tes seins histoire que tu ne prennes pas des aises par rapport à mon indulgence. Il me prit alors par la taille et me baissa en premier lieu ma chatte. Mes seins bougeaient tant. Je voyais les poids se balader. Tout en me baissant il me claqua les fesses. - Mais je crois que le trou que je préfère c’est ton fion de salope. Il plaça son gland dans mon cul et me pilonna. Un coup.. puis un autre.. puis encore un autre bien au fond. Il prenait totalement possession de mon cul. Il éjacula . IL se retira. Il écarta mes fesses. - Je veux te voir suinter du cul avec mon foutre. Mon petit sac à foutre. Il s’installait alors sur le fauteuil et me laissa ainsi… Mon cul allait se remplir au fil de la soirée.
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Par : le 07/05/20
Je suis désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'avais une envie folle de chamallow.. ******************************************************************************************************* Je sortais d’une bonne douche bien chaude. Mes muscles étaient tout dépendu. Cela m’a fait fait un bien énorme après cette longue journée. En ouvrant la porte de la salle de bain, il était là face à moi. Le regard tout rêveur, un petit sourire. Il mis sa main sur ma joue et me caressa. Je lovais mon visage contre lui. Il me tira par la main et me conduisait dans sa chambre. - Mets toi sur le lit ma petite renarde. Je le regardais, j’aimais quand il m’appelait ainsi. Cela laissait présager de doux moments quand il employait ce surnom. Je laissais tomber ma serviette au sol. Je m’avançais alors vers le lit. Je montais dessus. Une fois bien installée, je me dandinais les fesses comme pour une invitation. J’avais mis ma tête contre le lit tout en le regardant avec grand désir. Je l’invitais à vouloir jouer avec moi.. presque suppliante. J’esquissai ce sourire sur mes lèvres.. - Je vois que tu es d’humeur joueuse.. cela tombe bien. J’ai un petit cadeau pour toi. Je souriais. - Mets toi à quatre pattes.. Il s’avança vers le lit et s’assit à coté de moi. Il posa le paquet devant moi. C’était une boite fermée par un ruban. - Je veux que tu l’ouvres avec tes dents ou ta bouche. Applique toi ! Presque félinement, je me cambrais pour m’amuser avec ce ruban. Je le saisissais d’une extrémité avec ma bouche. Et je tirait doucement dessus. Il me restait à faire de même de l’autre. Je me déplaçais alors sur le lit et je défis l’autre extrémité. Avec mes dents, je tentais de défaire le nœud. Je le regardais alors avec ce regard qui nécessite de l’aide. - Oh tu as besoin d’aide. Je hochais la tête en faisant mine d’avoir l’intellect proche de celui d’un enfant qui a besoin de soutien. - Attend je vais t’aider. .. voilà. Allez continue. Avec le bout de mon nez je tentais d’ouvrir la boite, le couvercle tomba légèrement. Je le poussais alors tout doucement à nouveau avec mon nez. - Brave petite fit-il en me caressant la tête.. C’est bien. Voyons un peu ce que cache ce petit papier.. Attend je te le défais. C’est là que je vis une sublime queue de renard. Mes yeux brillaient. Il tapait sur ses genoux m’invitant à m’y installer. Tout en marchant à quatre pattes sur le lit, je passais au dessus de ses jambes pour lui présenter mes fesses. Il commença par me caresser les fesses. Il aimait un plaisir à les griffer, les mordre . C’était pour moi mon loup Alpha. Je continuai à bouger mes petites fesses quémandant encore davantage.. - Tout doux ma belle… IL écarta doucement mes fesses puis commença à balader ses doigts avec douceur sur ma chatte. - Redresse toi. Il me tenait alors par le coup et appuya sur mon dos afin que je me cambre. Naturellement j’avais ouvert ma bouche pour en sortir ma langue. - Hum bonne petite salope.. dit il en me fouillant avec un doigt la chatte. Il avait saisit le rosebud surlequel était fixée la queue de renard. Il l’humidifia en l’introduisant dans ma bouche. - Descends au pied.. Présente moi ton cul..allez. Je ne disais rien, j’étais excitée à l’idée de jouer à la petite renarde en essayant d’en prendre toute l’attitude. Je pris cette position où je présente mon cul à Monsieur. Tête au sol, cul relevé. - Humm que tu es excitante ainsi.. On va bien jouer ensemble.. ma petite renarde. IL placa le rosebud au début de mon anus. Il le poussa doucement jusqu’à ce que mon fion cède. Il s’assura qu’il était bien en place. Le jeu allait commencer. - Allez redresse toi que je te mette tes petites oreilles de renarde… Je savais quel était mon rôle ce soir. C’était tellement amusant et plaisant de jouer ce rôle de renarde. Ce coté intelligent, craintif, joueur.. c’est un animal que j’ai toujours aimé. - Voilà…. dit il d'une voix satisfait. Puis il me mit mon collier. Je commençais alors à marcher avec fierté avec ma queue de renard tout en me dandinant et le regardant. Il m’observait à l’affut de mes réactions. Je fis mine de vouloir sortir de la chambre. - Stop, viens là… Mais je n’écoutais pas je jouais à ce petit animal sauvage à apprivoiser. Il se leva et à ma hauteur, attacha la laisse. - Voilà, maintenant tu ne peux plus partir. Je forçais à vouloir marcher dans la direction inverse de la sienne en tirant sur ma laisse. J’éméttais un petit son d’animal appeuré qui a été mis en captivité. - Viens là, regarde la petite friandise que j’ai pour toi.. Je me fis alors un peu plus docile à dresser mes petites oreilles, si intéressée par la nourriture qu’il me montrait. Fièrement à quatre pattes, tête droite pour être belle et recevoir ma récompense. - Pas bougé. Il approchait avec sa main cette friandise… je devinais que c’était un Chamallow… j’adorais les bonbons, un péché mignon très utile pour attraper les petites renardes fuyardes. C’est alors que je commençais à tourner sur moi, à poser mes mains sur ses jambes en jouant de mes bras comme si c’était les pattes d’un renard. - Sage dit il en levant la main. Je le regardais droit dans les yeux continuant mon manège. Il me parlait avec un ton rassurant pour que j’obeisse. Puis doucement, je me calmais. Je m’étais assise sur les genoux, les deux mains sur ses jambes. Je ne bougeais plus je le regardais. Doucement il approchait le chamallow vers ma bouche. J’ouvrais ma gueule pour le saisir. Je sautais pour le récupérer. Il le retira avec rapidité. - Je vois que tu n’as pas encore les bonnes manières. On recommence. Doucement ! Je voyais le chamallow à nouveau revenir vers moi et à nouveau je fis mine de vouloir le voler de sa main. Une petite renarde bien joueuse que je suis. A nouveau il retira sa main. - Tu attends dit il en levant le doigt. Cette fois il rapprochait le chamallow de ma bouche. J’attendais. Je louchais dessus. - Maintenant ! Je mordis à pleine dent, dévorant cette friandise qu’il m’offrait. Il s’agenouilla et me caressa les cheveux. - C’est bien.. C’est bien, tu vois.. tu apprends vite… Allez viens. IL me fit marcher à la laisse. J’avançais quand il stoppa. Je continuais.. Je m’étranglais. Je revenais alors dans sa direction. Il le fit à plusieurs reprises. C’est alors que je compris que je devais marcher à son pied. Dès que je le voyais s’arrêter je m’assayais, le regardant dans les yeux. Il me tendait alors un autre chamallow - C’est bien.. brave petite. Il se dirigea alors sur le lit. Il me fit monter dessus. Je me mettais bien au milieu, je sautillais avec mes deux bras avant, faisant mine d’etre heureuse de voir mon maitre. Je venais me frotter contre lui. Assis sur le lit, il le laissait cette liberté c’est là que je posa ma tête sur ses cuisses. On se regardait si intensément. C’était si sensuel, si érotique. J’étais sur le dos, ma tête sur ses cuisses. Je faisais mine de bouger ma tête comme le ferait un animal qui apprécie les caresses. Il me caressait les cheveux, mes petites oreilles. Puis commença par me caresser les seins. Ses mains se balladaient. Je souriais de bonheur. Mes bras étaient à moitié replié. Parfois j’en tendais un pour lui toucher la joue et y laisser ma patte. Il me saisit alors le poignet. - Non.. non… C’est là que je sortis ma langue pour lui montrer mon envie de jouer. Je me blottissais contre lui. Ce jeu était ce qui me fallait à ce moment présent. Il me retourna puis à nouveau je sentais qu’il voulait s’attarder sur le cul de son petit animal. - Voyons ça… quelle douce petite fourrure. Encore une fois, je faisais ces petits sons comme pour simuler celui d’un animal qui attendait plus. Il souleva alors ma queue. Il tapota alors ma petite chatte. C’est alors que je voulu descendre. Il me remis à quatre pattes et enchaina la laisse au lit. Il releva à nouveau ma petite queue de renarde qu’il déposa sur mon dos. Quelle douceur sur la peau. J’en frissonnais. Il se leva et alla à son tiroir. Il en sorti la cravache. Je couinais tout doucement en le regardant avec ce regard de petit animal effrayé. Je tentais de me défaire de l’emprise de ma laisse en tirant dessus. Quand soudain, le premier coup de cravache arriva sur ma croupe. Je couinais. Il avait saisi la queue de renard maintenant en main pour me maintenir par le cul. IL plaçait la cravache pour me la faire sentir. Il l’éloignait et frappa à nouveau. Je tirais à nouveau. Puis il faisait plusieurs petits coups sur la crache au niveau de ma chatte. Cela me calma directement.. Il repris alors les rênnes de la laisse. IL plaça la cravache dans ma bouche. - Voilà. Garde ! tu gardes ! D’une main pleine de désir, il souleva ma queue et fourra la sienne dans ma chatte. Il attrapa alors les extrémités de la cravache pour me redresser. Il me chevauchait la chatte. La chatte de cette petite renarde qui couinait ne comprenant pas ce qui lui arrive. Elle s’accouplait se laissant aller à la frénésie de cette queue qui la remplissait, la pilonnait, la bourrait si profondément. Cette renarde compris toute l’attention que son propriétaire avait à son égard. Je couinais, émettant toujours plus de son… Il tenait la cravache comme si c’était les mords d’un cheval. Chaque coup de queue était de plus en plus violent. Puis il me prit alors par l’oreille et dans un état complètement sauvage releva bien mon cul. IL était debout et me prenait ainsi à nouveau par la chatte. Une renarde bonne à la baise. Il me tenait par les mamelles. Il me poussa alors contre le sol pour me mettre ensuite sur le dos. Naturellement, je mis mes bras comme celle d’un chien qui se met sur le dos. Il me tendit alors un nouveau chamallow.. Je sortais ma langue pour en profiter. Je commençais à savourer cette friandise quand il engouffra sa queue sans que j’ai finis de le manger. Il exaltait. - Quelle bonne petite renarde.. allez bouffe la bien.. - - Sors ta petite langue. Il me fit alors lecher ses couilles. Je lapais… je lapais .. heureuse de tous ces sévices, supplices ou plaisirs.. je le désirais tant. J’aimais sa perversité. Des deux je ne savais pas lequel l’était le plus ;. Mais au fond ? on s’en fout ! Je le regardais, il me regardait. J’avais ce regard lubrique qui disait ;. Encore.. encore… Il m’arreta dans mon élan puis me laissa ainsi au sol. Je me remis alors naturellement sur mes pattes à attendre quoi faire. Il avait sorti une chaine qu’il fixa autours de ma taille et m’enchaina au lit. - Repose toi maintenant ! Je le haïssais à ce moment là de me laisser dans ma frustration. J’avais couru à quatre pattes vers lui, stoppée dans mon élan par la chaîne. Je tirai dessus, jouant le jeu d’un animal voyant son maitre partir. Je commençais à pleurer à la mort comme un animal abandonné le ferait. Quand il revint, quelques minutes après. Je le voyais qu’il avait cédé.. Je lui faisais la fête en me dandinant le cul. Je me mettais bien fièrement pour avoir ma friandise. Sauf qu’au lieu d’avoir ma friandise il me musela la gueule avec un gag ball. La petite renarde était alors obligée d’attendre ainsi enchainée au lit, ne pouvant émettre le moindre son. IL était sorti de la chambre. Je tournais en rond, puis naturellement je m’étais allongée. JE m’étais mise en boule comme à mon habitude. Je m’étais endormie. EN me réveillant, je le vis qu’il me regardait. Il m’avait découverte. C’était probablement cela qui m’avait réveillé. J’en avais la chair de poule. IL me tira alors vers le pied pour m’amener au bout du lit tout en empoignant le second. J’étais alors sur le ventre les pieds posés au sol. Il retira alors la queue de renard. - J’ai une bien meilleure queue pour toi. Toujours sans pouvoir dire mot, je sentis sa bite s’engouffrer dans l’antre de mon anus. Il m’empoigna les cheveux les tournant autours de sa main. - Petite… putainnnn… Il m’arrachait presque les cheveux. Tant de sauvagerie à me prendre d’assaut ainsi. J’étais encore sous le poids de mon réveil. - Allez glappis.. glappis Je glapissais à travers mon baillon. Puis il m’avança sur le lit. - Ecarte ton cul. J’écartais mon cul. A nouveau il s’enfouissait dedans. Il plongea ma tête contre le matelas. - Mais regardez moi ce cul.. comme il est bien ouvert ! Il me tenait les fesses bien écartée pour voir comment mon fion était élargie. IL aimait le voir bien ouvert. Il replonga dedans. Il saisit ma tete qu’il martelait avec force contre le matelas. - Voilà comment on baise une renarde. A nouveau il me tourna sur mon flanc. Passa son bras autours de ma gorge pour me plaquer contre lui. Il prit sa queue et me la fourra dans ma chatte. Je me prenais des gifles, entre deux moments où il me malmenait les seins. Ma jambe était levée pour mieux me faire prendre. Je criais alors mon plaisir d’être prise ainsi. IL m’embrassa. Puis il repassa sa queue dans mon cul. Il serra fortement son bras sur ma gorge. Je ne m’appartenais plus tellement cela me rendait folle. Il éjacula dans mon cul. Une fois qu’il se retira il y mis la queue de renard. Je m’endormais alors dans ses bras. Epuisée.
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Par : le 07/05/20
’ai écrit ce texte sur Portishead – Over. Je suis naturellement désolée pour les fautes qui doivent se faire présente au fil de mon excitation quand j’écris. Je ne me relis pas, je suis désolée, je suis en salle d’attente. *************************************************************************************************** - Deshabille toi. Son regard était sévère mais ses gestes m’indiquaient aussi que j’étais entre de bonnes mains. Je portais ce collier qu’il avait gravé et que je chérissais. J’étais nue. Nous étions dans un club en Allemagne où des pièces dédiées à des fantasmes permettaient les extravagances pervers d’être réalisées. Je ne savais pas ce qui m’attendais. Son imagination était débordante. Il pouvait être sensuelle, doux puis parfois bien plus intransigeant. J’aimais cette alternance dans notre vision de cet univers qui nous est si cher. Savoir se mettre à nue, oser tout dire, tout ce que nous avons dans la tête. AU fond n’est ce pas ce qui fait qu’une relation fonctionne ? La sincérité et la franchise sont les maîtres mot. Naturellement, il s’était imposé à moi. Je sentais cette maîtrise, cette bienveillance et son infini respect pour le don que je lui faisais. Ma soumission. IL y avait cette femme forte, têtue et très fière. Elle avait un coté fleur bleue et romantique. Celle qui aime être rassurée, cajolée, désirée et aimée. De l’autre, il y avait cette femme plus sombre qui depuis son adolescence ressentait au fond de ces entrailles ce besoin d’abandon. Très jeune, j’ai du affronté, comme tout le monde, des moments compliquées. C’est ce qui nous construit. J’ai rapidement su que je ne pouvais compter que sur moi-même. M’abandonner à un homme, complètement à nue et à ses pieds, c’est l’ultime quête. La forteresse que j’ai construite est forte. J’attendais qu’il vienne simplement y pénétrer en étant lui, en me respectant sans à avoir à utiliser mes armes pour me protéger. Parfois j’allais vers les mauvaises personnes, parfois je voulais sincèrement accordée ma confiance. Mais les actes parlent toujours plus que les mots. Combien d’hommes (comme de femmes aussi) mentent et se mentent à eux même. La franchise c’est laisser l’autre libre de ses choix. Malheureusement, le besoin de posséder l’autre au détriment de ses sentiments est malheureusement légion. Ne parlons pas de ces fantasmeurs pendant qu’une femme soumise c’est un peu celle qui accepte tout avec n’importe qui. Ca me fait sourire. Messieurs, être dominant c’est un état d’esprit, c’est en vous. Alors à ceux qui s’improvise dominant en se disant qu’une soumise va tout accepter juste comme ça par improvisation me fait simplement.. rire. Manquant le plus souvent de charisme, d’imagination. Mais je l’ai rencontré.. enfin. Le temps a été un tel luxe qui m’a apporté mon Saint Graal. IL était à mon service et moi au sien. L’un sans l’autre ne peut exister. Ce soir, il m’impressionnait encore une fois par cette aura qu’il dégageait . Celui qui me traitait comme sa princesse et sa chienne. Être chienne c’est pour moi révéler ce coté animal loin des codification sociétale, c’est pousser ses retranchements et s’assumer pleinement. Quoi de plus merveilleux que d’avoir ce guide qui m’épaule, me cajole, me corrige, me caresse et me rassure. Un lien si fort. Il me tenait par ma laisse. Fièrement dressée sur mes talons. - Viens me dit-il. Nous dehambulions dans ce couloir pour arriver à cette porte. - A genou, ma belle. Il toqua. La porte s’ouvrit. Un homme habillé en blouse et avec un masque ouvra. - Bonsoir Docteur. Je vous amène en consultation ma petite chienne. Je souhaite faire une vérification complète de son état. - Comment s’appelle votre chienne ? - Lane. - Des antécédents ? - Oui des problèmes de dos. IL faut donc être prudent. - D’accord, donnez la moi, je vais la mettre en cage en attendant. - Voilà je vous la confie. - Merci, je vous appelle quand la consultation commence. L’homme me caressa les cheveux. - Voilà tout doux ma belle. Nous allons te mettre en cage pour éviter que tu ailles fouiner partout. Il ouvrir la porte d’une cage. - Allez rentre.. n’ai pas peur.. Il m’avait retiré la laisse qu’il posa au dessus de la cage. Je passais mon premier bras, puis le second. Ma tête pénétrait dans cette cage. Je mettais alors ma main sur celle-ci comme pour chercher quelque chose qui allait me rassurer. Il était sorti de la pièce et avait tout refermé, me laissant ainsi dans le noir. Je perdais la notion du temps La lumière s’alluma. J’étais un peu aveuglée. Je prenais mon regard de petite chienne apeurée. Je vis les ombres s’approcher de moi. Je reconnu distinctement mon Maître puis l’autre homme, que j’appellerai Le Docteur. Le docteur ouvrit la cage. IL tenait dans sa main la laisse. Je ne voulais pas sortir, peur de savoir ce qui allait se passer. - Allez sors, viens dit il. - Allez sors Lane.. dit Monsieur. Je sortais alors ma gueule dehors. IL m’attacha à la laisse. - Venez me suivre Monsieur, allons examiner cette petite chienne. Je marchais à quatre patte, le docteur marchait relativement vite. La laisse était bien tendue. Mon Maitre me donna un coup de pied aux fesses. - Arrête de trainer la patte. J’adorais me fondre dans mon personnage de petite chienne. Je commençais à lâcher prise, excitée par l’inconnu, par ce moment présent. Le docteur tapota sur la table qui se présentait devant moi. - Allez grimpe.. viens. - Avec mon attitude de chienne racée je montais alors sur la table. - Voila la laisse, tenez la bien fermement que je l’examine. Nous allons déjà voir l’état générale du corps et vérifier que ses mamelles sont biens. Mon maitre enroula la laisse autours de sa main. Il maintenait cette tension pour que je sois bien présentable, dressée. Je sentais la main de ce docteur se poser sur le bas de mon dos en appuyant légèrement dessus afin que je me cambre. - Bon inspectons ces mamelles. Il commençait par palper mon sein droit et gauche, imitant les gestes techniques. - Petits mais bien en forme. Je vais procéder à la palpation afin de m’assurer que nous n’avons pas de tumeurs. Il compressait mes seins, les malaxait. - Hum parfait, rien à dire. Je vais maintenant m’assurer que ses mamelles sont disponibles à la suscion en cas d’une éventuelle utilisation à venir. Il plaça alors des titres tétons de manière mécanique. Des gestes bien précis, sans aucun état d’âme. - Voilà parfait. J’émettais un son d’inconfort. Le docteur me caressait à nouveau la tête, mon maitre me tenait encore plus fermement. - Calme toi, me douce chienne. Laisse toi osculter. Sa voix douce et chaude me rassurait. Le fait qu’il soit là me rassurer. Je vis alors le docteur s’approcher avec un écarteur buccal. Je rechignais ne voulant me laisser faire. Monsieur me prit alors par la gueule pour me maintenir la tête. Le docteur plaça alors l’appareil dans ma bouche. Je ne bougeais pas. Doucement il ecarta, puis écarta encore pour ouvrir bien grand ma bouche. Ma mâchoire me faisait mal. Je n’aimais pas cela mais d’être ainsi exposée me rendait malgré moi folle. Devant moi le docteur mis des gants qu’il fit claquer devant moi. IL prit une lampe et regarda l’intérieur de ma bouche. Il jouait son rôle à la perfection. Il introduisa son doigt dans ma gueule puis regarda ma gorge. - Hum parfait tout ça. Un bon degré d’ouverture, pas de problème à signaler. - Hum j’en suis ravie docteur répondit Monsieur. - Oh vous avez une bien belle race de chienne. Elle semble plein de tempérament mais elle est un bon modèle pour l’accouplement. Enfin de ce que je peux voir. - Oui, j’avoue. Elle a de très bonne pré-dispositions. - Bon maintenant, allons vérifier que tout est bon au niveau de ses orifices génitaux. Pouvez vous lui tenir la tête contre la plaque s’il vous plait. En général elles n’apprécient pas. Mon maitre appuya sur mon cou pour que je colle mon visage contre la place. IL tenait fermement mon cou avec sa main pour m’immobiliser mais aussi ma laisse. La chaleur de ses mains contre cette table d’examen était d’un doux réconfort. - Je vais procéder à un lavement anal Cela lui fera le plus grand bien. Parfois les propriétaires oublie d’en pratiquer. Cela évite de mauvaises surprises dit il en riant. Il avait saisit une sorte de sonde qui était rattaché à une poche sur une tige métallique. - Tenez bien votre chienne. JE vais maintenant lui insérer cette sonde dans son anus. IL écartait bien mes fesses de manière médical puis y introduisa la sonde. - Voilà. IL s’arrangeait ensuite pour que le produit pénétre bien. Cette sensation était bizzare. Dans ma tête, je me disais mais comment il va faire après pour retirer tout cela. J’allais me sentir complètement humiliée. J’avais du mal au bout d’un moment de ressentir mon cul aussi rempli. - Parfait. Monsieur pouvez-vous me tendre la bassine. - Volontiers. Tenez. - Maintenant tu vas pisser par le cul petite chienne. Soulage toi. Rejette bien tout. - Vous pouvez la redresser pour l’accompagner à cet exercice. Le docteur tenait la bassine attendant que je libère le liquide. Mon maitre me faisait tenir a quatre pattes. - Allez pisse me dit il au creux de l’oreille. Soulage toi. Soudain, je sentis le liquide sortir par mon anus. J’entendais le son du jet atterrir dans la bassine. - Allez encore.. voilà.. continue dit le docteur. Il saisit alors une serviette et me sécha les fesses. - Voila, notre premier phase d’examen est maintenant terminé. Pour la seconde phase, je vais appeler mon assistante. Elle a l’art et la manière de faire les examens plus profond que moi. IL avait rabaissé la table pour me faire descendre. On me dirigea alors vers un fauteuil de gynécoloque. Mon maitre m’avait redressé afin que je puisse y prendre place. - Placez ses pattes de part et d’autres. Nous allons l’immobiliser pour la suite. Je me retrouvais ainsi attachée les jambes écartées. On m’avait également sanglées les bras afin que je ne puisse plus bouger. Le docteur m’avait parfaitement positionnée les fesses bien au bord. Vulve exposée pour l’étude comme mon petit anus. - Nous allons la museler, vous comprenez. - Oui parfaitement, allez y. - Pouvez vous aller vous asseoir Monsieur et laisser mon assistante faire. Je vis alors l’assistante entrer. Vetue tout en blanc, elle portait également un masque. Je ne voyais que son regard bleu. Elle avait quelques rondeurs. Elle me faisait à toutes ces infirmières qui ont ce coté rude. - Helena, pouvez vous faire les examens profonds. - Oui bien sur Docteur. Mon maitre était assis sur le coté à quelques metres. Je le regardais. IL me regardait. J’imaginais son excitation à me voir ainsi attachée pour subir cette examination. Elle me mit un baton dans la bouche rattacher par des fers au bout et le serra. Elle fit rouler un tabouret. Saisis des gants. - Bon examinons cette chatte. Elle mis un doigt. - Aucune sensibilité ni douleur. Bonne réaction au stimuli Docteur. Je vais maintenant m’assurer que tout va bien. - Speculum. - Voilà ma chère. Avec un savoir faire, elle plaça le speculum dans ma chatte. Puis comme une orfèvre, elle le faisait s’ouvrir. Ce n’était pas agréable. - Lane, calme toi, dit mon maitre au loin. Je la vis avec une lampe regarder l’intérieur de ma vulve. - Vulve en parfait état. Rien à signaler. Toujours bonne pour utilisation. - Voulez vous voir Monsieur ? Je le vis sourire. - Oui avec plaisir. - Regardez tout est parfait. Il s’était abaisée pour me regarder bien en profondeur. J’étais complètement excitée. - Bonne réaction au stimuli. La chienne mouille correctement. Elle retira le speculum. Elle humidifia correctement mon sexe en utilisant ma mouille. C’est là que je la vis se saisir d’un appareil à ventouse qu’elle colla sur mon clitoris et ma chatte. Elle commença a presser la pompe. Je sentais mes lèvres, comme pour mes tétons grossir, être aspirer. - Voila. Parfait. Les lèvres sont parfaitement collé. J’étais ainsi avec les seins aspirés et la chatte également. C’était une sensation qui me rendait folle. Celle où mon maitre me laissait à des mains expertes. J’étais qu’il me regarde, qu’il m’exhibe ainsi. Je me sentais complètement défaillir. C’était si bon. Le docteur s’avança vers moi et me retira alors les tire-tétons puis me pris par les tétons et les tira bien fermement. - Ces tétons sont maintenant bien sensibles à la stimulation. Voilà .. C’est parfait. L’assistante commença doucement à appuyer sur la pompe pour libérer ma chatte de cette pression divine, pour me libérer. Je sentais les lèvres énormes gonflées aussi par le désir. C’était divin. Elle me caressait avec un savoir faire le clitoris et les lèvres. C’était si bon de se faire caresser ainsi. Elle commença alors à y fourrer ses doigts. - Tout doux petite chienne, nous allons bien te stimuler pour ta saillie. Je mordais alors dans mon baillon. Je regardais mon maitre. Il s’était levée. - Puis-je vous regarder comment vous la stimuler ? - Oui, bien sur Monsieur. - J’introduis en premier lieu un ou plusieurs doigts. Cela dépend de la chienne. Ensuite, je tourne doucement ma main. Nos examens précédent favorise la dilatation. Je ralais, les yeux complètement apeurés. Je sentais sa main en effet voulant me pénétrer. Elle plaça sa main sur mon ventre puis descendit pour me caresser le clitoris. - Calme toi.. calme toi.. Mon maitre s’était approchée de moi. Il me parlait à l’oreille. - Tu es une bonne petite chienne. Tu es des plus excitantes ainsi. J’aime savoir qu’on va bien te dilater. Je sais que tu adores ça. Je fermais les yeux comme si j’avais cette honte de l’avouer mais il le savait, il me connaissait. Il me caressait pendant qu’elle me fistait la chatte. - Voilà j’y suis. Encore un petit effort. Voilà… va y ma belle. Dilate toi.. - Cher Monsieur elle se dilate parfaitement. ON pourrait presque encore en ajouter ? - Ah oui dit il ? - Oui, elle a de bonnes dispositions même si elle est un peu étroite. - Alors faites, poursuivez l’exercice. Elle retira son poing. Je la vis joindre ses mains et intoduits 8 doigs dans ma chatte.Puis doucement elle est ecarta. - La chatte de votre chienne est à présent bien béante. Le docteur était là, il regarda. - Allez y, lechez pour la soulager. Je vous y autorise. - Oh merci Monsieur, répondit elle au docteur. C’est là qu’elle commença un cunnilingus si intense tout en me doigtant. - Hum, elle est si dégoullinante cette chienne. Elle m’aspira de partout. Mon maitre était à coté de moi. - C’est bon hein ? - Je fermais les yeux en guiche de réponse.. - Je t’autorise à jouir si jamais cela venait. Je commençais à trembler submerger par tous ces stimulis. Le docteur regardait aussi. Elle commença aussi en même temps à me doigter le cul et l’honora aussi en le lécher. C’était si bon. J’en m’enivrais de cette situation. Il était bon de ne pouvoir rien controlé. Soudain la oix du docteur m’arracha à ma torpeur. - Vas y tu peux aussi la baiser par la chatte si tu le désires. - Oh merci Maitre, lui dit elle. Elle s’empara du gode ceinture et me pénétra la chatte. Elle me baisait comme un homme. Mon Maitre n’en ratait pas une miette. Il adora me voir prise par d’autres. - Voilà. Elle est maintenant prête pour la saillie comme vous l’avez demandé Monsieur. C’est là qu’il s’adressa à nouveau à moi. - Je ne vais pas bouger, je vais te regarder te faire prendre par la chatte et le cul. Il va y en avoir un certain nombre d’hommes mais aussi des femmes. Cette idée m’effrayait, m’excitait, je ne savais pas quoi dire. Une fois de plus il y mettait la juste dose en restant à mes cotés. A ne pas sentir honteuse de prendre ce plaisir sans lui. - Nous allons bander les yeux de la chienne. Cela va la stimuler . ON m’ota la vue. Il était toujours là. Je sentais sa présence et leurs présences. A regarder. Je sentis alors un sexe s’introduire en moi par la chatte. Il y allait avec une certaine douceur, tout en me caressant les seins. Rapidement, je sentis qu’il avait éjaculer. Puis un second.. cette fois, Il commença par m’introduire des doigts dans ma chatte tout en y tenant ensuite sa queue. C’était une sensation étrange. - Par le cul, entendis-je. Baisez la par le cul dit mon maitre. Je sentis alors une queue rentrée par mon anus, avec une douceur.. tout en me caressant le clitoris. Je compris alors que c’était une femme. Puis d’un sec elle commença un long va et vient. - Tiens prends ça dans ton cul, sale chienne entendis-je. Elle me tenait par les jambes comme un homme ferait pour me baiser. Puis avec ses mains elle claqua mes seins, puis s’en empara les serrant fermement pour me donner un coup bien profond et y rester. Je serrais les dents. J’étais dans un état à ne plus vouloir compter, juste à être utilisée. Ma chatte ne cessait de couler de mouille. Puis je sentis une langue me lécher tout en jouant de doigts dans mon cul.. - Hum quelle bonne mouille dit elle.. Je sentis en même temps des doigts me tirer les tétons mais pas ceux de mon Maitre. IL m’avait offerte à me repousser complètement. Je sentais chaque coups de queue, de langues, dans ma chatte, dans mon cul.. je ne m’appartenais plus. J’étais alors épuisée. C’est là qu’il retira le baillon. Il m’embrasse avec une infinie tendresse. Je sentais les lèvres de ma chatte complètement irritée. ON me désangla. Je retrouvais alors une forme de liberté. IL m’avait prise dans ses bras. Je m’y réfugié comme pour y retrouver une chaleur réconfortante. La chienne avait laissé place à la princesse. - As-tu aimé ? Dans un murmure, j’osai à peine affirmer que j’avais totalement adoré. J'entendis alors le docteur dire. Voilà mes préconisations post saillie : du repos en cage.
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Par : le 06/05/20
Ma vie de soumise Chapitre 2 : Vendredi 1 Vendredi soir. Nous reprenons contact. Je suis fébrile. - Comment es-tu habillée ? - Jupe et teeshirt. - Déshabille-toi. À l’avenir, tu devras être nue pour me parler. - Oui. Je me déshabille. Il veut savoir si je me suis caressée. Je réponds par l’affirmative. Nous discutons de choses et d’autres. - J’aimerais te rencontrer. - Pourquoi pas ? - Tu es libre demain après-midi ? - Oui. - On va se rencontrer dans un café pour discuter. - Oui. Il m’indique le lieu et l’heure du rendez-vous. - Comment seras-tu habillée ? - Je ne sais pas. - Tu dois porter un teeshirt et une jupe. J’ai horreur des pantalons. - Très bien. - Alors, à demain. Nous nous disons au revoir. Chapitre 3 : Samedi 1 Samedi après-midi. J’arrive au café choisi par mon correspondant. Il est assis à une table, sur une banquette, je me dirige vers lui. Il me fait signe de m’asseoir sur la chaise en face de lui. Il est tel que je l’ai vu sur la photo. Il me dévisage. Sous son regard, j’ai l’impression d’être nue. Le garçon s’approche. Jérôme, sans me consulter, commande deux cafés. Il s’adresse à moi : - Enlève ton soutien-gorge. Je rougis. - Ici ? - Non, tu vas dans les toilettes. En revenant, tu porteras ton soutien-gorge dans la main et tu me l’apporteras. - Oui. - Oui, qui ? - ? - Maître. - Oui, Maître. Je me rends aux toilettes, retire mon soutien-gorge. L’épreuve commence, je traverse la salle mon soutien-gorge à la main et l’apporte à mon Maître qui le place sur la banquette à côté de lui. Je suis rouge de honte. Nous buvons notre café. - Tu portes une culotte ? - Oui, Maître. - Va l’enlever. - Oui, Maître. Et une seconde épreuve commence. Je vais aux toilettes, quitte ma culotte et revient l’apporter à mon Maître qui le dépose à côté de mon soutien-gorge. Je sens les regards des consommateurs converger vers moi, je suis honteuse. - Viens t’asseoir à côté de moi. - Oui, Maître. Je viens m’asseoir à côté de lui. Il relève ma jupe, me palpe les cuisses. Sa main vient se plaquer sur mon sexe, il doit s’apercevoir que je suis mouillée. Quand il retire sa main je rabats ma jupe et croise les jambes. Il rectifie aussitôt : - Tu ne dois jamais rabattre ta jupe et tu dois tenir tes cuisses écartées. - Mais on va voir que je n’ai pas de culotte. - Et alors ? Tu n’as pas à t’en préoccuper. - Oui, Maître. Il règle l’écartement de mes cuisses. Il m’ordonne de me pencher en avant, ce que je fais. - Tu as retenu ton teeshirt avec une main. Tu ne dois pas le faire. - Mais on va voir mes seins. - Et alors ? Tu dois perdre ta pudeur. - Oui, Maître. Mon Maître pose une main sur ma cuisse. Et il me donne ses instructions : - Tu ne dois plus porter de sous-vêtements. - Mais on va voir que je n’ai pas de soutien-gorge. - Tu assumeras. Tu dois porter une jupe ou une robe. S’il fait frais, tu pourras porter des bas à auto maintien. Tu dois retenir qu’en toute circonstance tu dois porter le moins d’habits possible. J’ai constaté que ton sexe porte des poils. Tu devras t’épiler ou te raser. - Oui, Maître. - Tu m’as dit que tu n’avales pas. Si je choisis une pipe, tu dois accepter que je jouisse dans ta bouche et tu dois avaler. Quand tu as avalé, tu dois me remercier. - Oui, Maître. - Tu dois m’être fidèle. Je garderai ma liberté. - Oui, Maître. - As-tu des tabous ? - Non, Maître. - Alors, je pourrai tout exiger de toi. - Oui, Maître. Mon Maître sort un contrat d’appartenance en deux exemplaires. Nous signons tous les deux. Ce contrat stipule les conditions de la relation Dominant / soumise. À la rubrique des restrictions que je pourrais émettre j’ai écrit "néant". J’appartiens donc à mon Maître, je n’ai plus aucune liberté de pensée, mon corps est sa propriété exclusive. J’accepterai toutes les pratiques même dégradantes ou humiliantes. Mon Maître me fixe rendez-vous chez lui pour demain dimanche à quinze heures. Il me rappelle que je ne devrai pas m’être maquillée, ne pas porter de bijou et ne pas m’être parfumée. - On va aller aux toilettes et tu me suceras. - Oui, Maître. Mon maître empoche mon soutien-gorge et ma culotte. Nous allons aux toilettes hommes. Mon Maître ouvre sa braguette et dégage la queue de son caleçon. Son sexe est complètement épilé. - Mets-toi à genoux. Tu commences par lécher et gober mes couilles. - Oui, Maître. Je m’agenouille et ma bouche s’occupe de ses bourses. Son sexe grossit. - Lèche-moi le gland. Ma langue va et vient sur le gland de mon Maître. Son sexe grossit encore. - Prend ma queue en bouche. J’ouvre ma bouche et absorbe sa queue. Ma bouche est remplie. Je manque d’étouffer, le sexe venant buter au fond de ma gorge. - Caresse-moi les couilles. Ma main commence une caresse. Mon Maître a une main derrière ma nuque m’obligeant à lui gober entièrement le sexe. Mon Maître est résistant. La pipe semble durer une éternité. Enfin, il éjacule dans ma gorge. - Ouvre ta bouche, je veux voir mon sperme sur ta langue. J’ouvre la bouche et tire la langue. - C’est bien. Fais tourner ma semence dans ta bouche, régale-toi et avale. Je garde le sperme dans ma bouche, c’est une première pour moi. J’en apprécie le goût et j’avale. Je vais me relever mais mon Maître arrête mon mouvement de la main gauche et m’administre une paire de gifles de sa main droite. Je suis étonnée. - Tu as oublié quelque chose. Et, soudain, je me rappelle une de ses instructions. - Merci, Maître. Je peux enfin me relever. Mon Maître s’adresse à moi. - Maintenant, dégage. À demain. Nous sortons des toilettes. J’ai encore le goût de sperme dans la bouche, je sens encore la paire de gifles. Mon Maître m’a humiliée. Mais c’est ce que j’étais venue chercher. Je vais me préparer pour demain. Je désire vraiment satisfaire pleinement mon Maître. Chapitre 4 : Dimanche 1 Dimanche après-midi. Je me rends chez mon Maître. J’espère ne rien avoir oublié dans ma préparation. Je me suis rasée la veille devant et derrière. Pas de parfum, pas de maquillage, pas de bijou. Je suis vêtue d’un teeshirt et d’une jupe, je n’ai pas de sous-vêtement. Quant aux chaussures, j’hésite, je n’ai pas d’instruction. Je sonne à la porte. Mon Maître vient m’ouvrir. Je ne sais quelle attitude adopter. Il s’adresse à moi : - Quand tu arrives tu me prends les mains, tu donnes un baiser dans chaque paume. Tu fais de même quand tu repars. - Bien, Maître. Je lui prends les mains et applique un baiser sur chaque paume. - Déshabille-toi. - Oui, Maître. Je m’exécute. Mon Maître tourne autour de moi. Il m’examine. - Belle bête. - Merci, Maître. Il me touche le bas-ventre puis écarte mes fesses. - Plus de poil, c’est bien. - Merci, Maître. Mon Maître me passe un collier autour du cou. Ce collier est prolongé par une laisse. - Voilà, tu es ma chienne. - Oui, Maître. Mon Maître m’indique ses dernières recommandations. Je n’ai le droit de parler que pour répondre à ses questions, décompter les coups et le remercier à chaque coup ou à chaque éjaculation ou jet d’urine. Mon Maître m’interdit tout orgasme sauf autorisation spéciale de sa part. Mon Maître prend la laisse dans sa main, il m’emmène et je le suis. Nous arrivons dans sa chambre. Une femme nue est allongée sur le lit. Mon Maître me fait asseoir sur le sol au pied du lit. Il saisit une chaîne qu’il passe autour du pied du lit. Les menottes qu’il me passe sont attachées à la chaine. Puis mon Maître me lie les chevilles. Je ne peux plus bouger. Mon Maître se déshabille et rejoint la femme sur le lit. Ils s’enlacent et d’embrassent. La main de la femme atteint le sexe de l’homme qu’elle commence à caresser puis sa bouche remplace sa main. Elle s’active, j’entends des bruits de succion. Mon Maître attrape la femme par les hanches et la fait le chevaucher sur ses épaules. Les lèvres de mon Maître atteignent le sexe de la femme et il commence un cunnilingus. La femme émet des gémissements, son corps est animé de soubresauts, elle a un orgasme puis un autre. Je suis humiliée, mon Maître fait l’amour avec une femme mais ne s’occupe pas de moi. J’étais venue pour qu’il m’accorde son attention et je n’ai rien. Mais les mouvements des deux amants à côté de moi me mettent en émoi. Je fais attention à ne faire aucun bruit et surtout à ne pas jouir. Mon sexe est trempé. Maintenant, mon Maître a placé la femme à califourchon sur lui, sa queue a investi le sexe de la femme. Celle-ci monte et descend autour de la verge qui l’investit. Mon Maître fait bien l’amour, j’imagine que je suis à la place de la femme. Je reviens à la réalité. Jusqu’à maintenant mon Maître ne s’est introduit que dans ma bouche. Quand me fera-t-il l’amour ? La femme a un orgasme. Je crois que mon Maître vient de jouir. La femme vient aussitôt placer sa bouche sur le sexe de mon Maître et l’engloutit. Mon Maître caresse les cheveux de la femme. Est-elle son épouse ? Mon Maître m’avait pourtant assuré être célibataire. Où est-ce une conquête ? Dans tous les cas, ils ont l’air de s’aimer, leurs gestes sont tendres, cette femme n’est pas sa soumise. Mon Maître s’approche de moi et vient me détacher. Il me fait mettre debout. Il passe sa main sur mon sexe et a l’air d’être satisfait de l’avoir trouvé trempé. La femme ne me quitte pas des yeux. Mon Maître ouvre le placard et en ressort une cravache. Il me fait appuyer les mains sur un montant du lit, je suis ainsi penchée. Il m’assène cinq coups sur les fesses. Je pense à compter chaque coup et à le remercier. J’ai ensuite cinq coups sur les cuisses puis cinq coups dans le dos. Je dois maintenant me tenir debout face à lui. Cinq coups sur les seins, cinq coups sur le ventre. J’ai donc compté jusqu’à vingt-cinq et autant de remerciements. Il m’a vraiment fait mal mais il s’est quand même occupé de moi. - Tu vas garder le collier et la laisse. - Tout le temps, Maître ? - Le plus souvent possible. Tu peux t’en dispenser au travail ou quand ça peut te gêner. Mais tu devras porter collier et laisse quand on aura rendez-vous. - Bien, Maître. - Maintenant tu te rhabilles et tu t’en vas. Je m’approche de mon Maître et dépose un baiser sur chacune de ses paumes. Je me rhabille et m’en vais. Mon Maître n’a encore honorée que ma bouche. Il s’intéresse à moi, sa cravache en est le témoin. Je suis quand même déçue puis je me souviens de ce qu’il m’avait dit, une soumise n’a rien à attendre de son Maître, un Maître peut tout exiger de sa soumise. La soumise doit penser uniquement au plaisir de son Maître. Alors, si cet après-midi, il a fait l’amour devant moi avec une autre femme et s’il m’a battue, c’était pour son plaisir et pour m’humilier. Je commence à comprendre les mécanismes de la soumission. Je suis soumise, je l’ai choisi, je dois donc assumer. En rentrant chez moi, je décide de garder le collier autour du cou et de rester nue. Je resterai ainsi fidèle à l’esprit de mon Maître. J’enlèverai le collier demain pour aller travailler. Quand je me couche je suis hantée par mon Maître. Je me caresse en pensant à lui. Je lui dédie mes orgasmes. mence à sucer le sexe, une main palpant les couilles. Je gobe de plus en plus profondément la queue de mon Maître, ma main descend vers ses fesses, il a compris ma manœuvre, il fait basculer son bassin. Mon majeur que j’ai pris le soin d’humifier prend position vers son cul. Puis j’enfonce progressivement mon doigt. J’ai envie de jouir mais je me retiens, je ne veux déplaire une fois de plus à mon Maître. Ma bouche est maintenant complètement investie. Je tiens doublement mon Maître, sa queue dans ma bouche et un doigt dans son cul. Mon Maître me caresse tendrement la tête, ça me donne des frissons ! Puis, dans une sorte de feulement, mon Maître se libère à longs jets tout au fond de ma gorge. Je retire mon doigt. Je fais naviguer le délicieux sperme dans ma bouche, je me régale puis j’avale. - Merci, Maître. Puis je porte le doigt qui a enculé mon Maître à la bouche pour en goûter toute la saveur. Je sais que mon Maître a été satisfait de ma prestation. Il m’a caressé les cheveux, c’est un signe ! - Maintenant, tu t’en vas. À samedi. - Oui, Maître. Je baise ses paumes, me relève, je me rhabille et m’en vais. Je pense à tout ce qui m’est arrivé ce weekend. Mon Maître a concocté un scénario sensationnel. J’ai cru être enlevée et violée mais il n’en était rien puisque mes pseudo-violeurs n’ont agi que pour le plaisir de mon Maître. Je me suis encore rapprochée de lui et suis plus que jamais prête à le servir. À suivre ….
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Par : le 06/05/20
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, Je suis désolée de ne pas me relire, je suis allée accueillir l'invitée. *********************************************************************************************** La nuit tombait. Ce soir, nous recevions. Il ne voulait pas m’en dire davantage. Il m’avait ordonné de préparer l’apéritif afin de recevoir comme il se doit. Il m’avait imposé de porter un serre taille et ce rehausse sein. Il avait pris ce plaisir a bien le serré pour galber au mieux ma taille. - Ce soir, tu ne te changes pas. Tu restes ainsi. Viens ici. Au pied. Je m’étais naturellement mise à ces pieds. Il mis mes cheveux de coté - Regarde, j’ai fait gravé ton collier.. Cette attention délicate faisait que c’était mon collier. J’y était très sensible. J’étais à lui et il me le montrait. Il me le mit comme un homme offre parfois un bijou à une femme. Il me releva et me retourna. Nous étions face au miroir lui dans mon dos. Sa main s’aventura sur mon cou pour ensuite caresser mes seins. - Humm tu ne peux t’empêcher de pointer, petite cochonne.. me murmura t il.. Je le regardais à travers ce miroir d’un sourire complice. - Non.. Monsieur, en effet.. - Voyons l’état de ta petite chatte… Oh mais elle est toute en émoi.. c’est parfait. File au salon et met toi à genou à coté de mon fauteuil. Tête baissée, bien droite et tes jambes écartées. Je me faisais une joie de lui obéir. A chaque fois qu’il préparait une soirée, il savait toujours repousser mes limites. Je me demandais qui allait venir ce soir. IL passa dans le salon à coté de moi. Il m’appuya à nouveau la tête. - Bonne chienne. Soudainement, la sonnette retenti. - Bonsoir mon cher ami. - Bonsoir Madame X. Quel plaisir de vous recevoir après tout ce temps. Laissez moi vous débarrasser. - Merci à vous. - Je vous en prie par ici. - Quel magnifique appartement vous avez et toujours un goût exquis. Oh mais que vois-je ici ? votre animal domestique ? Au son de la voix de cette femme, je n’avais qu’une envie relever la tête pour la voir. C’était la première fois de ma vie que je voyais une Maîtresse. Cette envie m’avait toujours fait fantasmer, sans pour autant me sentir bisexuelle. Je n’avais jamais désirée une femme bien que parfois je trouvais certaines femmes avec ce coté très sensuelle. Je sentais qu’il allait me pousser dans mes retranchements. C’est là que je sentis sa main passée dans mes cheveux. - Quelle douce chevelure de chienne. - Eh bien alors, Lane, on ne dit pas merci ? - Merci.. Madame.. - De rien, petite chienne. Mes cheveux tombaient sur mon visage, je ne pouvais l’apercevoir mais j’aperçu ses chaussures. Elle portait de sublimes escarpins fins avec une plateforme légère. Je devinais une femme de goût . Sa voir était presque douce et très agréable. - Je vous en prie prendez place. Visiblement il avait indiqué la destination du fauteuil là où il m’avait fait m’asseoir. Elle s’installa confortablement. Il lui offrit un verre. Je les entendais échanger des banalités. Au bout de quelques minutes, elle s’amusa à me caresser à nouveau les cheveux. - C’est tellement agréable d’avoir un animal de compagnie.. Puis-je ? - Oh mais bien sur Madame X, elle est à votre entière disposition. Attention parfois ma chienne a un peu de mordant, elle est un peu effrontée, mais elle reste bien obéissante à son maître. - Mets toi face à moi me dit il. J’avançais alors à quatre pattes pour me mettre face à elle pour me mettre à nouveau à genou, tête baissée. - As-tu un elastique ? tu es bien négligée d’avoir tes cheveux détachées. J’aime voir les regards des petites chiennes. - Je… Non Madame, je n’en ai pas. - Voilà qui est bien fâcheux. - Attentez, tenez. - Retourne toi. - Bien…. Petite chienne. Elle me caressait les cheveux. Elle avait les mains si douces. Elle m’attacha les cheveux avec une queue de cheval. Elle portait une tenue stricte . Un chemisée avec une jupe fendue. des bas coutures. Elle était magnifique. - Allez retourne toi. Elle me leva le menton. - Ah mais que tu es toute jolie… Des yeux noisettes qu’on a envie de dévorer. Une bouche pulpeuse pleine de promesse. - Ouvre ta bouche et sors moi ta petite langue. Elle inséra son doigt mais toute sa main. - Oh mais je vois que tu as de l’entrainement . Elle stoppa direct puis commenca à aller vers mes seins. - Oh une petite poitrine en forme de pomme. Et ces tétons si délicats.. des auréoles superbes.. Monsieur votre chienne est exquise. Je vais me faire un plaisir de la soumettre comme il se doit. - Cela me ravit et cela ravit ma chienne. - - je la trouve bien insolence. Je lui fais des compliments, je viens à elle, et elle daigne nous remercier… Elle me tenait par la queue de cheval me mettant la tête en arrière. - Petite ingrate que tu es ! - Merci.. Madame.. Je vous remercie d’être venue vous occuper de moi. Je vous remercie pour vos compliments à mon égard. - Au sol, petite salope ! - Nettoie mes chaussures avec ta langue. J’y allais doucement. Je sortais le bout de ma langue pour commencer ma tache. - Je t’ai dis sors ta putain de langue et nettoie correctement. Je sentais sa voix si autoritaire que naturellement je me mis à lecher ses escparins. - Bien.. Elle se leva en tenant bien ma laisse. Elle appuya son talon sur mon dos tout en tirant bien sur ma lêve pour me redresser la tête. - Allez viens sur moi. Elle m’amena au centre du salon pour me placer face à mon maitre. Il me regardait droit dans les yeux avec ce sourire pervers. J’étais ainsi à quatre pattes au centre du salon. Elle passa ses jambes de par et d’autres de ma tête pour la coincer avec sévérité. Elle s’était alors penchée pour me claquer le fessier. - Brave petite chienne. Elle écarta mes fesses et passa son doigts avec délicatesse sur mon fion. - Oh mais quel petit trou qui se présente à moi.. Je me demande bien ce que ce trou peut engouffrer. Puis elle s’ota, me remise bien droite… Mon maitre avait disposée sur la table un grand nombre d’objets source de plaisirs, de punitions. Elle s’était saisi de deux martinets aux lanières longues. - A quatre pattes, jambes bien écartées. - Tu appelles cela bien écartées ? Elle me fouetta sur les cuisses. J’’ouvrais bien mes jambes je me cambrai aussi afin qu’elle soit des plus douces mais aussi pour montrer mes petits trous de chienne. Comme une danse, elle me fouttait les fesses, le dos, les cuisses. Je regardais mon maitre droit dans les yeux. Il souriait à me voir subir ces flagellations pendant que je retenais mes cris. Elle caressa mon entrejambe en faisant plusieurs aller retour. - Brave petite chienne qui mouille. Va sur la table, mets toi sur le dos. Nous allons inspecter la capacités de tes orifices.. de tous tes orifices. Elle m’attacha mes poignets. Puis avec des contraintes, m’attacha les cuisses et les chevilles pour avoir un meilleur accès à mes trous de salope, comme elle le disait. Elle s’était installé au dessus de moi, j’avais une vue sur son sexe. Jamais de ma vie je n’avais été aussi proche du sexe d’une femme. - Allez sors ta petite langue lapeuse. Elle me forçait à la regarder dans les yeux tout en me tenant par la tête. Elle releva sa jupe à la taille laissant dévoilé son porte jaretelle. Elle ne portait aucune culotte. - Regarde moi je t’ai dit. Elle commençait des mouvements de va et vient au niveau de son anus. - J’aime qu’une chienne me nettoie. Allez applique toi.. Ma langue sortie, elle l’utilisait pour nettoyer au mieux son anus quand elle s’assit complètement sur moi en en regardant. - En voilà une charmante vue. Elle me tenait fortement la tete pour m’utiliser comme son petit jouet de plaisir. - Suffit maintenant ! tu en as eu assez. Elle saisit alors un baîllon dont sortis un gode. Je ne m’étais jamais sentie aussi humilié de ma vie. Je lançais un regard à mon maître qui s’était rapproché . Il était juste derrière moi. Il s’était accroupie. - Tu es un superbe sextoy… J’avais envie de râler ou de protester mais il fallait reconnaître que j’étais complètement excitée d’être à la merci de cette femme et de voir mon maître me regardait. Je voulais être sa fierté, la meilleure des chiennes. Elle me caressait le corps de ces douces mains. Elle avait saisi des pinces à tétons. Elle s’amusait à les triturer entre ses doigts, puis à les prendre en bouche. Elle les mordiallait, les aspirait. Puis de ses deux mains elle les faisait se grandir. Elle y mettait une force malgré ces mains toute petite. Je voyais dans son regard cette maîtrise et son intransigeance. Probablement ce qui plaisait à mon maitre pour m’offrir à elle. - Regarde moi. Je la voyais mettre les pinces japonaises. J’étais si sensible de mes tétons. Je sentais la douleur m’envahir et je faisais tout pour me concentrer sur ce qui allait se passer. Elle s’était agenouillée… - Allons te préparer, regardons ce que nous allons entrer là-dessus. Elle commença par me lécher la chatte en écartant bien mes lèvres et en sucant mon clitoris. C’était la première fois qu’une femme me léchait. C’était si etrange, si doux avec cette petite langue. Je prenais ce plaisir qu’elle me donnait . Mon maitre ne ratait pas une miette. - Alors, petite chienne, c’est bon de se faire lécher ainsi. - … oui, Monsieur. Un oui monsieur difficilement audible avec mon baillon. Il m’avait relevé la tête en tirant sur mes cheveux. - Regarde toi, petite putain. - Oui regarde, je vais y insérer ma petite main dans ta chatte de chienne en chaleur. Je sentis alors le dos de sa main s’humidifier contre ma chatte pleine de mouille. Il fallait reconnaître que j’étais dans un tel état. J’avais oui, envie de me faire prendre de partout. C’est là que je sentis ses doigts me chercher comme mon maitre le faisait. Sa main était bien plus fine. - Voilà petite trainée. Regarde moi ça !!! regarde comme tu vas te faire baiser par un poing. Sa main était rentrée. Je sentais ses va et viens. C’était une sensation si particulière. Elle y allait doucement. Elle me baisa en allant bien au fond… C’est là qu’elle inséra de son autre main un doigt dans mon cul. - Ton Maître m’a fait la confidence qu’il t’avait déjà bien travaillé le fion. Je veux le voir bien béant. Je veux t evoir ouverte. Tu comprends, petite chienne. Je la regardais… Je hochais la tête avec une certaine crainte. Tout en ayant sa main dans mon con, elle commença le travail de mon fion. Elle y mis un second doigts… - Oh mais quelle gourmande. Ça rentre.. si facilement. Je ne tenais plus, je ne pouvais crier. Mon maitre me tenait dans ses bras, forçant à regarder cette maitresse me faire un traitement adapté à ma condition. IL me tenait par le cou pour bien me maintenir. - Voilà.. humm.. quelle putain… quel gouffre… on sent que tu t’es fais souvent fourré, écartelé. Regardez moi ça… - Tu vois ma petite chienne, fister par tes deux trous de salope ! me dit mon maitre. Elle me regardait droit dans les yeux et y mettait toutes son énergie pour me baiser de ses poings. Elle y mettait une telle frénésie comme pour me punir d’être une vraie trainée. JE tentais de me débattre. Mon maitre serra davantage mon cou. J’étais au paradis. Je défaillais. Je sentais des tremblement au niveau de mes cuisses. Je ne répondais plus de rien. Elle sorta sa main de ma chatte et la tapota.. - Voilà… hummm.. ce petit trou… qui va garder la trace du passage de ma main… Elle ota doucement sa main. - Oh quelle ouverture… son fion est aussi béant de sa chatte de pute cher Monsieur. Voulez vous regarder ? - Mais je compte ne pas en rater une miette. C’est là qu’il s’était dégagé de moi et se mit face à moi, observant mes trous. - Quel beau travail ma chère. Ouverte comme j’aime. - C’est une bonne chienne que vous avez. Nous pourrons, je pense travailler davantage ses capacités si cela vous tente. Elle s’approcha de moi et me parla à l’oreille. - Tu es faite pour être punie d’etre une chienne. Regarde ce que tu nous obliges à te faire.. Elle souleva les pinces à tétons et les tira vers les hauts. Mon cri s’étouffa dans le baillon. Puis doucement elle me caressa le visage, les cheveux.. Elle me déposa un baiser sur la joue. C’est là qu’elle se releva et s’installa sur ma bouche. Elle s’empala sur le gode. Elle se sodomisa. Je sentais alors sa frénésie. De l’autre, mon maitre me sodomisa aussi. C’était une situation si particulière pour moi. J’aimais être à leur disposition, leur objet sexuel dont il pouvait abuser. Je sentais mon maitre me prendre le cul tout en insérant des doigts dans ma chatte. Madame x prenez son pied tout en tournant aussi sur le gode inséré bien au fond. Elle chevauchait. Elle s’amusait avec la chaine à tétons. Tout valsait en moi. Mes seins, ma tête, mon cul. Je sentais des coups de par et d’autres. - Salope ! petite pute.. dis mon maitre. - Baisez la bien Monsieur, elle est maintenu si béante de ses trous. Il va falloir s’occuper de sa petite gueule. J’y ai décelé un certain potentiel. D’un grand râle il s’arreta. Elle continuait. Je me sentais si honteuse d’être dans cette situation. Quand elle s’arrêta, elle me claqua la joue.. - Quel bon petit jouet. Elle me retira alors le baillon puis m’embrassa en me mordant la lèvre. Elle me libéra les cuisses. Elle me releva et en jeta au sol. - A genou. Allez plus vite. Baisse la tête. Elle marcha vers la taille. Elle se mit à ma hauteur et me montra un gode d’une taille certaine.. Un gode ceinture. - Regarde ce que tu vas te prendre dans ta chatte et dans ton petit cul, dans ta gueule de pute. J’ai bien travaillé ces petits trous. Demande moi de te baiser. Mon maitre avait saisi la cravache. Il releva mon menton voyant que je tardais à répondre. Elle s’était mise à ma hauteur et me serra de sa main ma gueule. - Allez réponds petite salope. - Madame, je vous en prie, baisez-moi.. - Tu veux que je te baise ? tu veux que je te baise par où ? - Madame, baisez moi par la chatte. - Humm, je ne sais pas.. je crois que je vais surtout m’occuper de ton fion de salope. Un moment de silence, je baisais le regard pour ensuite la regarder dans les yeux. - Merci Madame…. Doucement, elle retira les pinces. Je hurlais de douleurs. Puis d’une douceur apaisante elle les pris dans ses mains et les lécha. Ce redresse sein te va à ravir petite chienne. Présentée, je m’en suis délectée mais je préfère une chienne nue. - Ote moi ça. J’otais alors mon redresse sein puis doucement mon corset. - Oh quelle belle marque.. Je vois qu’il était bien serrée pour te contenir. - Oui.. Madame… Elle appuya ma tête pour la jeter au sol. - Cambre bien ton cul merde ! Elle me griffa les fesses. - Voilà une bonne position de petite trainée.. Dis moi ce que tu es ? - Madame, je suis une petite trainée. - Et que fait on aux petites trainées ? - On les baise Madame.. on les baise. - Oh pas que cela petite chienne. ON les bourre, on les utilise, on les punit… - Ecarte ton cul ! - Ecarte le bien.. - Oui.. Madame. J’étais tête au sol, de mes mains j’écartais bien mes fesses pour lui offrir mon fion. - Parfaite position de pute. - Oui, une bonne pute dit mon Maitre. - Lane, je veux t’entendre couiner comme une chienne. - Oui.. Monsieur… La taille du code m’avait fait frémir. Elle le mit à l’orée de mon cul. - Oh mon dieu.. ça rentre, ça rentre.. regardez moi ça. Je vais te démonter petite pute. - Merci madame de vouloir me démonter comme je le mérite. - Elle mit le gode bien profondément puis commença sa chevauchée. Elle me montait si fermement.. - Petite pute.. allez cherche à bien te la mettre bien au fond.. - Voilà.. Je vis alors la chaussures de mon maitre face à moi. - Sors ta petite langue de putain dit elle; Je m’exécutais.. Il se mit à se servir de ma langue pour nettoyer ses chaussures. - Elle est multiusage.. Je sentais Madame me labourer les entrailles. J’étais réduite à être un objet ce soir. Mon maitre était d’une telle intransigeance. Cela m’attristait mais de l’autre, je me surpassais, j’éprouvais de nouvelles sensations. Il savait me sortir de ma zone de confort. - Une bonne cireuse de pompe dit elle. Mon maître se saisit de ma queue de cheval et me mit à quatre pattes. - Ouvre ta gueule. Jamais on m’avait bourrée de cette manière. Elle me saisit les extrémités de ma bouche avec ces doigts. Elle était plus exigeante. - Monsieur, que diriez vous de lui fourrer cette bouche ? - En voilà une excellente idée mais demandons à notre petite chienne.. Je n’osais plus rien faire, mes yeux se baissait faisant office de réponse. Elle lui offrait ma gueule. Il mis son sexe dans ma bouche. Elle me tenait alors par la laisse, mon maitre par la queue de cheval. J’étais soumise à leurs tentations les plus perverses. Elle me claquait les jambes. Elle s’amusa de la cravache pour me chevaucher comme si j’étais une jument. - Suce correctement petite pute. Il me donnait la marche à suivre par la tête. Il me tenait la gorge et s’était enfoncé bien au fond. Je bavais… - Oh mais regardez moi cette salope. Elle bave de partout ! par la chatte, par la gueule. Dit elle. Il se retira d’un seul coup. J’étais alletante voulant reprendre mon souffle. Elle sortit le gode de mon cul. Et chacun se stoppa. Mon maitre était allé s’asseoir le fauteuil et elle sur le canapé. Elle tenait le gode comme une bite. Elle me l’exbitait au loin. Elle en retira le préservatif qu’elle avait mis dessus. - Allez viens chercher ton jouet petite chienne… Avec ma démarche de petite chienne, je m’avancais vers elle. - Leche mon anus . Elle tenait le gode dans sa main pour me donner un meilleur accès à son anus. Ma langue tournait autours de son auréole. - Allez viens t’empaler dessus. Je m’étais alors levée, mise à califourchon sur elle. Elle ecarta mes fesses. - Voilà.. C’est bien petite putain… Allez chevauche ! Hu Dada ! Elle me forçait à l’avoir bien profondément tout en me claquant les fesses afin que je bouge mon bassin d’avant en arrière.. Elle s’agrippa ensuite par mes seins. Elle les pressait si fortement, les gilait, elle le giflla aussi fortement. - Petite pute. Dis moi que tu es une petite pute. - Oui.. Madame je suis une petite pute. Elle continua a me gifler de partout. Puis elle remis ses mains sur mes fesses et me demanda d’aller de haut en bas. - Allez bouge mieux que ça. - Stoppe maintenant. Ecarte ton cul. C’est là que je sentis mon maitre derrière moi. Il me saisit par la gorge me forçant à me cambrer. Elle écartait bien mes fesses. - Allez quémande ! - Monsieur.. je vous en supplie, enculez moi. Il me prit avec violence. Prise en double pénétrations, c’était d’une telle intensité. Je sentais mon maitre frénétique. Je reconnaissais ses coups de queue qui prédissent sa jouissance. IL juta alors dans mon cul. - Garde cette semence petite pute, me dit il. Madame se stoppa . - Au pied. Elle retira alors son gode ceinture. - Allez viens me finir petite catin. Déboutonne mon chemisier. Je me sentais interdite. Je sentais le foutre de mon maitre couler par mon fion si détendu. Avec douceur, j'enlevais les boutons de son chemisier. - Belle gueule de pute tu as.. Allez suce, tête! - hum voilà petite chienne.. encore.. Ta bouche est un réel délice… Je la sentais soupirer de plaisir. Je prenais ses seins dans mes mains pour mieux ensuite porter ses tétons à ma bouche. Elle mis sa main sur ma tête et me força à aller à son entrejambe; - Lèche et Doigte moi. Allez ! Je n’avais jamais fait cela de ma vie. Je sentais mon maitre en train de m’oberser. Je le faisais pour lui, pour lui montrer ma gratitude. - Humm que tu lèches bien petite pute. C’est une première il parait ? dit elle comme un murmure d'abandon - Oui.. Madame.. Elle sentait ma timidité. - Tu ne vas pouvoir que progresser mais c’est déjà bien prometteur. Elle sera ma tête entre ses jambes. Je la sentis se contracter… prise d’un spasme.. - Humm bonne petite chienne. Allez au panier…
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Par : le 06/05/20
Encore une fois, désolée pour les fautes, je ne me suis pas relue. Une envie folle de chantilly. ******************************************************************************************************* Je consultais mon téléphone. J’attendais de ces nouvelles. Je ne quittais pas mon téléphone telle une adolescente. Quand soudain je vis sur son message Whattsapp : « RDV ce soir 21h. Je serai devant chez toi. TU porteras ta longue robe noire sans fermeture éclair et escarpins haut noirs vernis les plus hauts que tu as. Tu porteras tes longs gants noirs. Tu mettras en haut cet harnais que je t’ai offert pour te mettre en valeur. Je veux que tu portes aussi une culotte ouverte au niveau de tes trous. Tu porteras ce porte jarretelle harnais également. Je te veux en bois noirs résille couture. Rouge à lèvre rouge et un maquillage outrancier. Sois élégante ». Les dernières semaines ont été assez longues. Il était pas mal en déplacement. Notre relation était si intense que je ressentais ce manque. Le manque de sa peau, de son odeur, de sa présence, de ses mains sur moi.. mais il veillait toujours à ne jamais me laisser sans nouvelle. Il me disait qu’un homme qui respecte une femme, une soumise, ne la laisse jamais sans laisser ne serait qu’un message. D’autant que cela s’écrit en peu de temps. J’aimais les défis qu’il me lançait. On aimait se nourrir l’un de l’autre. J’aimais ressentir sa présence, obéir à ses requêtes. Parfois elle me font râler, parfois me donne le sourire.. et parfois je prend cette initiative l’imaginant au travail à recevoir des photos des plus coquines que j’aime prendre avec tout le sens artistique dont je sais faire preuve. Comme je n’avais pas eu de ses nouvelles hier soir, je m’étais amusée à mettre en valeur une photo de ma petite chatte dont les perles de mon string disparaissaient doucement entre mes lèvres.. D’ailleurs quel string, à vous faire mouiller comme une chienne ! pour lui rappeler le dernier défi qu’il m’avait demandé. C’était du Lundi à Mercredi de jouer à la cam girl. Il aimait mon côté à aimer m’exhiber à vouloir chauffer ces messieurs qu’il aurait choisi sans avoir à les voir. J’aimais ne pas les voir mais exciter comme si je l’éxcitais lui. IL m’avait crée un compte skype qu’il contrôlait. Il me disait quand me connecter, quelle tenue, quoi faire tout en restant à chaque fois masquée. La première fois où je me suis mise devant la webcam de mon ordinateur mon cœur battait. J’avais mis ce masque en dentelle, mes lèvres rouges. Il m’avait ordonné : « tu porteras ton rehausse sein, un nœud papillon en cristal, celui que j’aime bien. Tu porteras ton string en perle dont les petites grandes tombent sur tes fesses. Tu te connecteras à 22h30 précise. Je te laisse jouer sans montrer tes trous de putain. Tu auras 10 min pour la session. Tu m’enverras une photo de ta tenue pour validation ». Comme convenu je lui envoyais une photo de moi avec ce regard de petite chienne innocente. « Tu es parfaite. Amuse toi bien. » A l’heure précise j’avais accepté cet appel vidéo où je pouvais me voir sans voir mon interlocuteur. Il avait la possibilité de m’écrire pour me demander ce qu’il voulait. Le bouton vert de la webcam s’alluma. Je savais que quelqu’un me matait. C’est là que je prie des positions des plus glamour à jouer avec cette plume d’autruche verte que j’avais eu en plus de mes éventails géants. Je jouais avec elle sur mon corps, sur mon cou et sur mes seins. Cela les faisait pointer. Je prenais ces poses sensuelles sans jamais tomber dans la vulgarité. Le voyeur ne me fit aucun commentaire, j’étais presque limite déçue. . Le lendemain, même horaire, il m’avait ordonné de mettre ma guépière Noir et blanche inspirée par Louboutin avec porte jaretelle, avec mon deshabillé noir transparent et aux manches en plumes d’autruches avec des escarpins vernis noirs. Je devais bien me coiffer et obéir à ses demandes sans avoir à montrer comme toujours mes petits trous. Bien sur je serais comme toujours masquée. J’envoyais encore la photo demandée et il m’avait dit : « Humm tu es juste bonne à être baisée, tu es sublime ». J’acceptais à nouveau l’appel. Toujours sans voir mon interlocuteur qu’il avait sélectionné, ce dernier me donna des ordres. - Mets toi à quatre pattes et avance vers la caméra. Joue avec ta petite langue. Je m’amusais à faire la petite chatte qui avance à quatre pattes. Je fis mine de passer ma langue sur mes lèvres avec une certaine langueur.. puis je prie la mousse chantilly que j’avais mis à coté. Je glissais mon doigt dessus que j’apportais à ma bouche. Je donnais des coups de langue. - Humm, encore… écrit il. - Je te lécherai bien la chatte avec cette chantilly.. humm… Les 10 min passaient relativement vite. Le lendemain, il m’avait demandé de mettre un corset avec mon porte jarretelle à franche. Tu porteras un collier bien serré. Interdiction de montrer ta chatte et ton cul. Je mis alors mon sublime corset bleu et mis le porte jarretelle qu’il voulait. Je mis ce collier à strass. Je cherchais un accessoire inspirant et je prie alors ma cravache à strass. IL valida ma tenue. La webcam s’alluma dès que j’avais accepté la mise en ligne. Je me tenais assise sur mon fauteuil crapaud les jambes écartées. Avec la cravache je m’amusais à la passer sur mon corps. Je m’amusai à la mettre à ma bouche et d’avancer vers la webcam et de la lâcher, faisons mine de l’apporter à mon maitre pour qu’il me cravache. - Quelle belle petite chienne. Monte sur le fauteuil et montre moi tes petite fesse. Dandine toi ! Je m’attelais à ces désirs comme s’il venait de mon Maître. Je ne voulais pas le décevoir. Je revenais doucement pour voir ce qu’il avait écrit. - Suce le manche de ta crache… Je m’exécutais.. Puis je vis les 10 min passer.. je coupais. Le lendemains je reçus les félications de mon Maître. « tu as été parfaite.. tu les as parfaitement bien chauffé. Je suis fière de ta créativité et de toi. » Je me préparais pour la soirée. J’avais suivi l’ensemble de ces instructions à la lettre. Il était arrivé à l’heure, il m’avait demandé de ne pas sortir, il voulait m’inspecter. - Bonsoir Mademoiselle Lane. Quel bonheur de vous voir. - Humm c’est si bon de vous voir Monsieur. Il mit sa main sur ma joue et je ne pouvais m’empêcher d’embrasser la paume de sa main. Il me prit par la main pour m’emmener dans le salon. - Agenouille toi. J’étais devant lui à genou. Le regardant. J’étais très excitée. - Approche. Je me mis à quatre pattes pour avancer vers lui. C’est là qu’il me mit le collier. Il le serra fortement. Il tira sur l’anneau où il comptait attacher la laisse. - Tu es ma merveilleuse putain. Ce soir, je te veux docile. Je n’accepterais aucune effronterie. Me comprends tu ? - Je le regardais et je hochais de la tête. - Retourne toi. IL me tenait par la laisse bien fermement. - Oh tu sais mieux te cambrer que cela !. Il remonta ma robe sur ma taille et passa à califourchon au dessus de moi. Ses deux mains s’abattirent sur chacune de mes fesses. - Humm Ce cul … il lui manque quelque chose… Soudainement, je sentis qu’il m’enfonçait un rosebud assez gros dans mon cul. - Voila, un peu de rouge à ce petit cul pour être raccord avec tes lèvres pour donner l’illusion de savoir que ta bouche et ton petit cul soit prêt pour te remplir. Je me sentais rougissante. - Allez relève toi. Il me prit par la laisse, j’étais derrière lui. J’avais peur qu’on me voit ainsi parer. Il me fit monter à l’arrière de sa voiture. - Je vais te bander les yeux. Tu vas rester allonger sur la banquette. J’aimais quand il me faisait perdre tout sens d’orientation. Il mit de la musique classique qui avait le don de me mettre dans ces ambiances chics que j’affectionnais. - Ce soir je t’amène à une soirée très select. Sache que tu ne risques rien. Si tu ne te sens pas bien, tu n’auras qu’à utiliser notre saveword. Compris. - Oui.. Monsieur. La voiture se gara. Le moteur se coupa. Je n’avais aucune idée d’où nous étions. Il ouvrit la portière arrière. Mes mains cherchait sa main. Je me remettais totalement à lui. Je m’offrait à lui littéralement. - Doucement, je te guide, tu ne risques rien. Nous allons pas marcher bien longtemps. Tiens toi à moi. Tu ne vas pas tomber.. Sa voix me rassurait tant. Je n’avais pas peur avec lui. Je me sentais tant en sécurité. C’est là que j’entendis une sonnette retentir. La porte s’ouvrait. Il me tenait par la laisse. J’essayais d’etre droite en marchant derrière lui. J’entendais une musique très sensuelle portishead, massive attaque, une musique si inspirante. - Je vous présente Mademoiselle Lane. J’imagine que vous la reconnaissez. Elle vous a bien chauffé cette semaine. Je vous remercie d’avoir suivi mes directives. Ce soir, vous pourrez disposez d’elle. Je travaille depuis quelques temps ces petits trous que je vous présenterai d’ici quelques instants. C’est une vraie petite salope, une chienne en chaleur. Il serra la laisse bien courte et murmura au creux de mon oreille : - Ote ta robe, tu n’en auras plus besoin. Sache que tout ce qui se passera se fera en rapport protégé. Je me sentais si excitée et à la fois peureuse. Il allait m’offrir à ces hommes. Cela m’avait toujours excitée mais jamais de mon coté je ne voudrais le partager. Plusieurs fois des hommes que j’avais connu avait envie de me voir faire prendre par d’autres hommes.. - Allez exécute toi. C’est là que je commençais à enlever ma robe tout d’abord en défaisant une bretelle puis l’autre. Elle tomba rapidement à mes pieds. Il me fit avancer d’un pas en sentant la cravache sur mes fesses. - A genou ! - Puis-je, entendais-je. - Mais oui, je vous la laisse la promener. Tenez la cravache, parfois elle est rebelle. Je sentais qu’il passait ma laisse. L’homme me tenait bien fermement et me fit faire un tour dans cette pièce où je ne vovais pas faire grand-chose. Pour m'encourager il me cravachait. - Messieurs, je vous laisse tâter ma chienne. On me redressa. J’étais ainsi debout. Je sentis la cravache sous mon menton. - Ecarte tes jambes, entendis-je.. tout en tapant sur l'intérieur de mes cuisses avec la cravache. - Ecoute Lane., écoute ces messieurs et obéis leur comme si ces ordres étaient de moi. - Oui… oui Monsieur. J’écartais alors mes jambes. Je sentis alors un homme me saisir les seins, tout en étant derrière moi pour me redresser. Il dirigea ensuite ses doigts dans ma bouche - Allez suce, tu m’as bien chauffé avec cette cravache que tu suçais divinement. Voyons voir ce que tu fais avec mes doigts. Un autre s’était saisi de mes tétons et les tiraient pour les dresser. C’est là que je sentis des mains s’attarder sur ma petite chatte pour y introduire un doigt.. - Oh Messieurs, regardez, elle mouille déjà cette petite salope. Il me tira par la laisse et me fit monter sur une table tasse. Il appuya sur ma taille pour bien me cambrer et offrir, j’imagine une vie obcène sur mes attributs. Un des hommes plaça plusieurs doigts dans ma bouche. Il me tenait par la gorge. - Rohhh, elle tousse… ce n’est pas ce qu’on m’a dit.. sur tes talents bucals. IL paraient que tu aimes sucer. Est-ce le cas. J’étais honteuse… - Oui.. Monsieur, j’aime sucer.. - Oh Messieurs, regarder cette petite chatte ! On me fouillaient déjà la chatte. Je mouillais déjà. Cette situation à la fois humiliante me rendait folle. Je savais qu’il surveillait, qu’il regarfait. - Je vous en prie Messieurs, n’hésitez pas à l’utilisation, elle est à vous. Elle adore se faire prendre. D’ailleurs laissez moi vous présenter une chose dont je suis fière. Son fion. Je sentis alors que ces mains se posaient sur moi. Cela me calmait, me rassurait. - Tête au sol ! - Je vous présente un sublime garage à bites. Cela quelques temps que je le travaille. Je vous conseille de bien vous occuper de ses orifices, vous avez le droit de la fesser, de la baiser par la chatte, par le cul, par la bouche.. un, deux ou trois trous à la fois. Je vous guiderai pour l’honorer comme elle me mérite. Avant toute envie, merci de m’en faire part afin que j’organise notre séance au mieux. Tout ce qu’elle subira devra passer avec mon approbation. Suis clair Messieurs ? Ils les avaient laisser un peu faire au début mais il prenait comme toujours le contrôle de la situation. Cela m’avait encore une fois de plus bien rassurée. Il écartait alors mes fesses - Messieurs, qui veut avoir l’honneur de lui retirer son bijou ? Tous crièrent en même temps.. - Vous. Je commençais tout doucement à faire des distinctions sur ces partenaires inconnus . Je sentis alors une main saisir le rosebud et prendre un plaisir à le retirer. - Hum, regarder ce petit fion qui cède… - Puis y introduire mon doigt, Monsieur ? - Oui, vous pouvez la fouiller, pour cela pas besoin de mon autorisation. Elle aime être doigter, fouiller. Je suis sure que Mademoiselle le confirmera.. Je baissais alors la tête.. - Allez réponds ! - Oui.. Messieurs, j’aime quand on me fouille la chatte le fion et la bouche. C’est là, que je sentis une main me prendre la bouche, et deux mains distinctes me fouiller la chatte et mon petit anus. - Hum ça rentre comme dans du beurre. J’étais muselée par ces doigts inquisiteur. - Présentez votre queue à l’entrée de sa bouche. C'est là que j'entendis un bruit qui me faisait penser à une bombe chantilly. - Lane, sors ta langue pour honorer le présent que je te fais. Je m’exécutais à sortir ma petite langue de chienne. C’est là que je sentis le bout du gland de cet inconnu de la chantilly dessus. Soudain, j’entendis la voix de mon Maître. - Mademoiselle est une grande gourmande, aimant la chantilly régalons la. - Introduisez bien votre gland au fond. C’est là que je sentis mon Maitre me saisir la gorge comme pour faire passer la pilulle. - Allez y,bien profondément. Baisez moi ça correctement. Je me sentais interdite.. Je subissais l’assaut de mon Maitre, de ses mains, de ces queues. C’est là, qu’il appuya ma tête afin d’englober totalement cette queue à m’étouffer. - Brave petite pute, me dit il. De l’autre, je sentais ses doigts me baiser. Un des hommes étaient là en train de me tenir les seins. - Hum Monsieur, son cul a l’air son bon. Puis-je ? - Non pas maintenant mais baissez là par la chatte. Tenez sa laisse. J’étais alors pilonner par la chatte. Les mains de mon maitre ont été alors remplacer par celle de l’homme qui dirigeait ma tête comme une poupée masturbatrice de queue. Je sentais chaque buttée. Chaque coup. Je sentis alors des mains écarter mes fesses. - Allez y, mettez y quelques doigts qu’elle ressentent la sensation d’être prise d’un peu partout. Je vous laisse deviner le tableau. C’est là que tout se stoppa. Un des hommes me tira pour les cheveux pour me jeta sur le canapé. Mon maitre me dit - Allonge toi sur le dos, écarte bien tes jambes en l’air. Ecarte bien ta chatte et ton cul qu’on puisse bien voir ce qu’on va pénétrer. La position n’était pas des plus confortable je commençais à protester. C’est là qu’il me gifla. On saisit mes bras par l’arrière et on m’attacha les bras. J’imagine qu’on les avait attacher à l’arrière du canapé. Je sentais alors mes chevilles encerclés par des liens. J’étais ainsi complètement écartée. - Regardez messieurs comme ça dégouille.. Je sentis alors une langue parcourir ma chatte. - Messieurs, je vous propose de l’ouvrir davantage, de travailler chacun de ses orifices. Qu’en pensez-vous. Je sentis alors un jouet me pénétrer. Cela devait être un jouet dont chacun des bouts étaient destinés à entrer dans chacun de mes orifices. Je commençais à crier. Un des hommes me baillonna de sa main. - Humm quelle bonne pute. - Elle est magnifique cher Monsieur votre chienne. - Oui, je sais, mais elle est aussi bien lubrique. Mon maitre libéra mes trous.. - Tu n’est pas encore assez ouverte pour te faire bien baiser. - Vous, écartelez là. Je sentis alors des doigts me fourrer. Il n’avait pas le tact de mon maitre. Je me dandinais. Il me gifla. - Allez pousse, prends ces doigts, petite putain. Mon maitre était venu probablement derrière moi et me parler au creux de l’oreille - Si tu voyais comment tu es si belle. Une si belle chienne qui va se faire sauter comme une putain. Maintenant tu vas demander, non supplier qu’on me sodomise. Je ravalais la salive. - Messieurs, je vous en prie, prenez moi par le cul. - Messieurs, voyons qui a le meilleur des attributs pour comber ma chienne… - Vous. - Pendant ce temps là, Lane tu branleras de chacune de tes mains ces queues. Rapidement, je sentis les deux queues se mettre dans ma main. Je sentais leur main maltraiter aussi mes seins. L’autre qui allait prendre possession de mon cul l’avait bien avancer. Je sentais qu’il plaçait son gland. - Allez Lane, quémande ! - Je vous en prie, Monsieur, Sodomisez moi maintenant. Il passa alors sa queue sur ma chatte, puis je sentis sa va tomber sur mon fion. IL pressa alors son gland et me pénétra d’un coup sec me faisant couiner. Je pensais à caresser les queues. J’entendais leur rale de plaisirs. - Plus vite petite chienne - Voilà, prends bien ça dans ton cul. - Petite salope. Je ne savais plus quoi penser. Je savais juste que j’étais offerte, offerte aux plaisirs de ces hommes venus pour me baiser. L’homme me tenait bien par les cuisses. Je sentais sa puissance me buter encore et encore. Je sentais mes seins valser dans tous les sens.. enfin ce n’était pas quand les deux autres ne les malaxaient pas. - Défonce la bien, fais la bien couiner.. - Messieurs, je vous propose de la détacher, allons vers le lit . Qu’en pensez vous ? - Hum excellente idée.. Je sentais leurs bites gonflées par le désir. ON me détacha. Puis mon maitre me prit par la laisse. - Allez à quatre pattes, petite chienne. Remercie ces messieurs de s’occuper de toi. - Messieurs, je vous remercie de vous occuper de moi. J’avançais à tâtons avec une démarche féline. C’est là que je sentis un matelas posé au sol. Il me fit monter dessus. - Relève bien ton cul. Mon maitre avait mis son pied sur mon cou pour m’immobiliser. - Demande à ce qu’on baise. Je ne répondais pas assez fortement qu’il me claqua les fesses. - Messieurs, je vous en prie, baisez moi. - Allez y messieurs, baisez la correctement. Je les sentis à tour me rôle me prendre comme une chienne, uniquement par le fion. Le dernier écarta bien mon fion avec de part et d’autres deux doigts puis me pénétra avec sa queue. J’imagine que mon maitre n’en rater pas une miette. - Allez bourrez la.. bourrez la bien cette chienne. Je hurlais, je ne me retenais plus.. C’était d’une telle intensité. - Elle prend chette putain. - Régale toi ma petite chienne.. fais toi bien prendre le cul.. Il ota son pied et me releva en souleva la laisse. J’étais à quatre patte. - Vous, allongez- vous. - Allez empale toi Lane sur ce dard. - Bouge mieux que ça aller !! Brutalement, l’homme saisit mes fesses me souleva et me baisa ainsi. Je criais, je hurlais. - Vous , baisez lui la bouche. C’est là qu’avec une frénésie ma bouche fut alors remplie. C’était fort - Mais quelle putain… - Maintenant Lane, tu vas découvrir ce que c’est que de se faire prendre par une bite dans la chatte et l’autre dans le cul… Chacun bougeant.. Te voir museler par une autre bite dans ta bouche à pipre. J’étais là prise de partout. Je profitais d’une accalmie buccale pour hurler de plaisir. - Allez prend ton pied petite pute. Celui sur qui j’étais me serrais fortement. L’autre me claquait les fesses. Je sentais à nouveau cette bite me baiser la bouche. J’étais une poupée complètement épuisée. Je me sentais dilatée de partout et humiliée d’avoir pris ce plaisir. - Hum petite chienne, tu as aimé te faire fourrer comme ca. Dans un soupir, je hochais la tête. Mes lèvres commençaient à être gonflées, presque douloureuses. Mon fion était douloureux. - Couche toi sur le sol. - Messieurs, je vous autorise à vous branler et à éjaculer sur ces seins . Je fermais les yeux complètement épuisée. A tour de rôle, il me tenait par la laisse à se mastuber au dessus de moi et à jouir sur mes seins. - Quelle putain ! Petite chienne, tu as aimé ça te faire défoncer. Tu peux remercier ton maitre d’avoir organiser cela pour toi. - Allez remercie-le. - Merci.. Monsieur, d’avoir organiser cela pour moi. - Messieurs pensez-vous qu’elle soit assez méritante pour qu’on la fasse jouir ? C’est là qu’on des hommes me releva. J’étais un peu sonné. Je titubais tellement j’avais été assaillis. Ne pas voir me désorientais complètement. On me fit m’asseoir sur un des hommes. Il me tenait bien fermement par la gorge tout en mettant sa main sur la bouche. Cela m’excitait. J’étais souillée de leurs spermes. Qu’allaient ils faire ? Un des hommes tenait mes jambes tendues vers le haut. C’est là que je sentis des doigts me prendre la chatte à faire des va et vient. C’était mon Maitre.. - Lane, je veux te voir jouir, je veux que tu nous inonde de ton plaisir. J’étais aux anges. Entravée ainsi, à la merci de ces hommes mais c’est lui qui avait le droit sur mon plaisir. Il savait comment me faire jouir. L’homme qui me maintenant me disait : - Allez jouis petite pute.. jouis.. - Oh mais c’est qu’elle en met partout cette chienne. Il caressait en même temps mon clitoris.. Une vague m’envahit. Mon corps ne répondait plus de rien. L’homme me maintenait fermement, il m’étranglait. Cela avait le don de me rendre encore plus folle. Une fois ma jouissance eu, ils me jettèrent sur le canapé, comme une poupée usagée. Ils me laissaient ainsi. - Allez messieurs allons prendre un verre. Je les entendais parler à mon sujet. - Quelle bonne putain, vous avez . A recommencer quand vous voulez ; - Sa bouche est un réelle enchantement.. vraiment. Vous l’avez bien dressée. - Son fion est des plus agréable. Au bout d’un moment, j’entendis des pas revenir vers moi. J’étais là, usée, abusée. - Allez, Lane, remercie encore des messieurs avant qu’on parte. - Messieurs, je vous remercie de m’avoir baiser par tous les trous. - Brave petite chienne dit l’un en tapotant ma joue - A une prochaine fois. Dit un autre en me claquant la fesse - Bonne putain dit un autre en tirant sur ma laisse et en me rejetant . Doucement au bout de quelques minutes, je sentis une main douce se poser sur ma joue. Il me releva et me guida. J’entendis le doux bruit d’une douche. - Rien ne vaut une douche pour se détendre. Il me jeta sous la douche avec ma lingerie et m’enchaina. Il savonna fermement en insistant sur mes seins , ma chatte et mon cul. J’étais alors épuisée. Je me jetais alors dans ses bras. IL me retira alors le bandeau. J’avais du mal à les ouvrir, légèrement aveuglée. La douche était des plus fabuleuses, elle était à l’italienne. L’eau perlait comme si c’était de la pluie. C’était une bénédiction sur chacune des parties de mon corps. Il me serrait alors contre lui en me caressant le dos. Tu as été merveilleuse ce soir. J’ai tant aimé te voir prendre ton pied ainsi. Tu étais belle. Nous nous caressions mutuellement sous l’eau. Il était d’une telle douceur. Il enleva ma lingerie qui était toute trempée mais j’en avais que faire. Il sorta puis me pris la main. - Ne bouge pas, je vais te sécher Il ouvrit le draps de bain, je mis mon dos contre lui. Il rabattait les pans du draps sur moi et me sécha. Puis doucement, il s’attarda ensuite sur mes mollets et pris un à un mes pieds pour les sécher. Mes cheveux étaient encore trempée. Il me mit un peignoir qui était à disposition, bien trop grand pour moi. Je mettais mes cheveux dans une serviette. Je profitais des produits à dispositions pour me démaquiller. Il me prit par la main. - Viens ma princesse. J’entendais la pluie dehors, cela me berçait. - Je t’ai apporté quelques affaires pour que tu sois à ton aise. Je me mis alors sur le lit avec le peignoir, il me parlait tout en caressant mon visage, je fermais les yeux doucement. A moitié endormie, je le sentais s’occuper de moi, je le laissais faire. J’étais sur mon flanc droit, il s’était mis derrière moi m’enveloppant de tout son corps et posant sa main sur la mienne en entrelaçant nos doigts fermement …
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