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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Que faire lorsqu'on est loin de l'objet de son désir ? Comment pratiquer une relation D/s à distance ?
Dans cet article, je vais répondre à quelques questions que vous vous posez certainement. Je vais commencer par analyser les besoins de chacun et comment y répondre au mieux. Et oui, dans une relation D/s chacun a un rôle à jouer. Accepter ce rôle, c'est s'engager dans une relation qui apporte bien plus que du plaisir sexuel. Je ne vais pas vous livrer un guide pratique à suivre pas-à-pas vu que chaque relation est différente. Par contre, je vais vous aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête et le corps des protagonistes. Et cela vous permettra de mieux vivre votre relation à distance.
1 - Chacun ses besoins !
Que l'on soit le D ou le s de la relation D/s, le S ou le M du mot SM, l'exhibitionniste ou le voyeur, chacun a des désirs différents. On en connaît la plupart, on s'imagine les autres mais quoi qu'il en soit, les voir en vidéo sur le net ou imaginer la scène nous met en émoi. Si certains signes physiques sont immédiatement reconnaissables (bander ou mouiller), c'est parfois plus discret et subtil, comme le fait de se mordre la lèvre inférieure.
Mais attention, une excitation ne signifie pas forcément que l'on a le désir de concrétiser cette pratique. On peut être excité à regarder une personne attachée, suspendue dans le vide alors qu'on est soi-même sujet au vertige. On peut se masturber devant des vidéos de couples "jouant" avec des aiguilles et en avoir un peur bleue au point de s'évanouir à la vue d'un vaccin anti-CoVid.
Il ne faut pas confondre fantasme, désir et envie. Je vais simplifier à l'extrême alors inutile de venir lancer un troll sur l'emploi que je fais de ces trois mots, on s'en fout, ce n'est pas le sujet de l'article. Et comme je n'ai pas la prétention de savoir parler français mieux que vous, je vais utiliser des gros copier-coller du dictionnaire de l'Académie Française.
- Le fantasme : Issu de la psychanalyse de Freud, c'est une construction imaginaire, consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s'y met en scène, d'exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse. Le mot clé, c'est imaginaire. Ce n'est pas réel ! C'est comme un rêve, éveillé ou pas. On s'imagine dans une situation et le cerveau sachant très mal faire la différence entre le réel et l'imaginaire, prend son pied comme si on vivait vraiment la situation. Et comme ça vient de Freud, le fantasme a forcément une connotation sexuelle. Le fantasme : c'est sexuel et dans la tête. (Non, c'est pas une fellation !!!)
- Le désir : C'est l'aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente. L'aspiration instinctive de l'être à combler le sentiment d'un manque, d'une incomplétude. Tendance consciente de l'être vers un objet ou un acte déterminé qui comble une aspiration profonde (bonne ou mauvaise) de l'âme, du cœur ou de l'esprit. Instinct physique qui pousse l'homme au plaisir sexuel, aux satisfactions des ardeurs de l'amour; convoitise qui pousse à la possession charnelle. Ici, on se rend compte que l'on sort de l'imaginaire pour y associer la notion de manque et surtout le besoin de le combler. Le désir : c'est le besoin de combler un manque sexuel.
- L'envie : Petit filet de peau à la racine des ongles (si, si, c'est dans le dico). Plus sérieusement, l'envie est un besoin, désir plus ou moins violent. C'est éprouver le désir sexuel pour une personne. Le désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Dans l'envie apparaît la notion d'appropriation, de propriété et aussi une notion péjorative, celle de faire du mal à quelqu'un. L'envie : c'est le besoin de prendre du plaisir.
Au final, une relation D/s, ce sont d'abord des fantasmes. Quelque chose qu'on a en soi et qui demande à s'exprimer. Puis on se focalise sur ses désirs, on cherche à combler un manque et on finit par éprouver du plaisir et avoir l'envie d'en avoir toujours plus.
Et cette définition s'applique pour les deux parties, que l'on donne ou reçoive, que l'on prenne ou subisse, que l'on s'offre ou reçoive. Nous n'avons pas les mêmes besoins que les vanilles. Nous avons d'autres fantasmes, d'autres désirs et d'autres envies. Nous cherchons à répondre à d'autres besoins. Et pourtant il y a un besoin commun dans tout ça : celui d'être en accord avec soi-même.
2 - Les inconvénients de la distance
Il y a plein de choses totalement impossibles à distance : attacher, fesser et tout simplement, le contact physique. C'est particulièrement ennuyeux pour une soumise qui aime se laisser aller. Elle peut attendre tant qu'elle veut à côté de sa corde, elle ne va pas s'attacher toute seule ! Mais le pire reste tout de même le manque de proximité.
La seule présence de son Maître rend la soumise docile. Son aura se manifeste par sa présence physique à proximité de sa soumise. Il est là et occupe un espace, à une distance socialement inacceptable pour toute autre personne. Il est là à portée de main, il est visible, son odeur est perceptible, sa voix relaie ses ordres. Ce n'est pas un fantasme, il est là, en chair et en os.
Où est le plaisir de la caresse sensuelle, du claquement sec du fouet contre la peau, le contact de la peau, la souplesse d'une paire de fesses qu'une main raide vient frapper ? Où est la chaleur du ventre de ma partenaire, qui réchauffe mes cuisses quand je lui donne une fessée ? Où est la joie d'être chatouillée par une plume et de ne pas savoir la direction qu'elle va prendre ?
Et puis, c'est affreusement impersonnel. Il manque le regard. Les yeux en disent bien plus long que n'importe quel roman quand on parle des choses du cœur. Ils sont le reflet de l'âme, dit-on. Une larme chaude fait basculer le monde durant une session intense.
Bref, la distance, c'est nul, on ne peut rien faire. Il manque tout ce qui fait une relation D/s. Il n'y a ni proximité ni toucher. L'abandon et la surprise sont aux abonnés absents, quand c'est pas les parties prenantes qui ont toujours la mauvaise idée de passer sous un tunnel au mauvais moment (surtout avec l'internet fixe de la maison).
Et pourtant malgré tous ces inconvénients, on peut initier une relation à distance avant de la concrétiser par une rencontre. Ou maintenir une relation en cas d'éloignement temporaire pour raison professionnelle, par exemple. Ou même s'en contenter car elle apporte juste ce qu'il faut à notre vie.
3 - Faire de la distance un atout
J'ai déjà entendu que "de nos jours, dominer à distance, c'est facile : une application d'appel vidéo et c'est parti, mon kiki !" C'est con, mais c'est vrai. Ce n'est pas la distance qui va faire qu'une relation est pourrie, c'est le manque de communication. Et de nos jours, grâce à internet, la communication est immédiate. Vous vous rappelez que dans ma première partie, je vous ai dit que le cerveau avait du mal à faire la différence entre le réel et l'imaginaire ? Et si on en faisait un as dans notre manche ?
a - Démarrer ou poursuivre une relation à distance
Quand on débute, la distance, c'est super sécurisant ! On peut rester anonyme, ne jamais montrer sa tête, se cacher derrière un pseudo : "Maître Dominant" ou "Soumise Obéissante". C'est très pratique pour changer de sexe sans avoir à subir ni l'opération ni les frais qui en découlent. Et c'est ultra sécurisant, vu qu'une simple pression sur le bouton off met fin à toute conversation un peu trop chiante. Ca permet de discuter avec des fous ou des gens biens et d'avoir le temps de se rendre compte s'ils sont de la 1ère ou 2ème catégorie avant de penser caresser l'espoir d'une hypothétique rencontre. Et oui, la distance : c'est la sécurité ultime !
Et c'est aussi le meilleur moyen de découvrir quelque chose de nouveau. Que l'on soit dans une relation depuis 30 ans ou complétement novice, il y a toujours une pratique que l'on ne connaît pas, mais que l'on désire essayer. On a fantasmé beaucoup dessus et maintenant, il est temps de passer à l'acte. Ou plutôt de se renseigner avant de prendre une telle décision et ne pas la prendre à la légère. La distance, ça permet d'aller à son rythme, de s'apprivoiser et de se rassurer.
Attention, il faut savoir ce que votre partenaire désire profondément. En apparence, c'est facile, surtout quand on lit un profil ou une annonce. Mais en fait pas du tout. Examinons un échange de message avec une soumise qui aime être insultée et humiliée :
- "Salut sale chienne, prosterne-toi devant ton Maître"
- "Va chier connard, chuis pas ta pute !"
Et oui, elles sont loin mes premières expériences, mais je m'en rappelle encore ;-) Pendant longtemps, j'ai ressassé cet échec cuisant sans comprendre : je l'ai insultée et humiliée direct ! Qu'est-ce qu'elle voulait de plus ? Simplement qu'elle légitime la personne qui la rabaisse.
b - La valeur variable de l'engagement
La distance permet la consommation de masse et éviter l'attachement. On peut se trouver un partenaire pour une session rapide en quelques minutes sur certains sites de chat spécialisés. Deux ou trois ordres et deux orgasmes plus tard, on se quitte bons amis et on se promet de recommencer, en sachant pertinemment que non. Ben ouais, physiquement c'est pas mon genre mais pour dépanner, ça le fait. Et bien entendu, une relation à distance, ça permet d'éviter l'adultère tout en ayant une vie sexuelle épanouie !
Obéir à quelqu'un qui n'est pas là, c'est avoir la volonté de lui obéir. Car il ne faut pas se leurrer : la soumise est bien consciente que le dominant ne peut pas se lever, l'attraper par les cheveux et la forcer à quoi que ce soit. La soumise obéit donc à son besoin de soumission. C'est la réponse à un désir. Cela vient combler un manque. Dès lors, il n'est pas étonnant qu'elle accepte de faire des choses aussi dégradantes ou aussi douloureuses pour son Maître. Qui lui assouvit son envie de dominer.
La fessée a distance c'est complètement absurde quand on y pense. Se taper dessus, soi-même, pour se punir de n'avoir pas respectée une règle édictée par quelqu'un qui n'est pas présent... bienvenue dans le monde de Pierre Dac (ou des Monty Python pour ceux qui ne connaissent pas leur mentor). Et pourtant, dans presque toutes les religions, il y a des exemples d'auto flagellation pour expier ses fautes devant sa divinité. Serait-ce une marque de soumission ultime ?
c - Comment faire durer une relation à distance : Parlez-vous !
Dans notre monde de télécommunication instantanée, on a la possibilité de se parler à l'autre bout de la planète... et pourtant, les échanges sont souvent stériles. Un D ou un s, c'est une personne ! Et il n'y en n'a pas deux identiques sur la planète. Même les jumeaux ont des goûts différents ! Dès lors, on ne doit avoir aucune certitude envers sa partenaire. Et puis les gens ont des humeurs en fonction du pied par lequel on se lève. Je peux avoir une envie terrible de fellation le lundi mais pas le mardi.
La communication, c'est la base. Il faut se comprendre mutuellement pour que ça marche. Prendre des décisions pour sa soumise, c'est bien mais prendre de bonnes décisions qui vont la faire progresser, c'est mieux. Par exemple : la priver de dessert, c'est utile. Elle déteste le fait de ne pas pouvoir manger son délicieux gâteau mais dans le fond, elle sait que c'est pour son bien et le fera avec plaisir et surtout avec fierté. Et l'obliger à faire des choses qu'elle affectionne particulièrement, c'est la cerise sur le gâteau. Imaginez maintenant l'effet d'un ordre comme : obligée de se masturber tous les soirs à 22h17 !
Pour que ça marche, il faut pouvoir apporter à l'autre ce que personne d'autre ne lui apporte. Et pour cela il n'y a pas de secret, il faut connaître l'autre comme sa poche, mieux que cette personne ne se connaît elle-même. La communication est le seul moyen d'apprendre à se connaître, de s'apprivoiser et de gagner sa confiance.
Cette analyse de la relation D/s à distance m'a permis de montrer qu'elle répond essentiellement aux besoins des protagonistes, aussi différents soient-ils. Et que si la distance peut-être vue comme un inconvénient majeur, elle peut également devenir un atout par la sécurité qu'elle apporte, par l'intensité de l'engagement qu'elle engendre et par les infinies possibilités de communiquer qui existent aujourd'hui.
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1- je viens d'une famille catholique croyante.
2- très jeune ma maman au fort caractère avait un malin plaisir à me rabaisser et m'humilier aussi bien devant la famille que des inconnus elle fait une différence entre moi et mon frère, je l'ai très mal vécu j'ai une jeunesse compliqué.
3- quand j'étais enfant j'étais hyperactif agité , je ne pouvais pas tenir en place toujours à faire des bêtises 😂😂.
4- j'étais un enfant timide caché dans l'ombre discret j'observai ce qui se passait autour de moi sans un mot.
5- j'avais également un pépé qui avait un comportement inapproprié dans ces mots dans ces gestes c'était un homme qui me faisait très peur ,alcoolique infidèle et je pense même pédophile, mais je n'ai jamais pu le prouver verbalement.
6- après avoir passé mon CAP/ BEP dans la restauration je me suis engagé à 18 ans dans l'armée de terre où j'ai servi mon pays pendant 11 ans, j'ai également participer au conflit au Kosovo principalement dans l'est lugoslavie pendant un an avec les casques bleus.
7- je n'ai jamais été dans les relations dit vanille pour ma part j'ai toujours eu une forte attirance pour le BDSM et les relations DS , ma première partenaire je l'ai rencontré au sein de l'armée de terre elle était sergent-chef et moi un simple caporal , c'est elle qui m'a fait découvrir ce milieu si particulier et si envoûtant une fois qu'on y rentre ,elle était ma soumise pendant 2 ans nous avons vécu un moment appréciable où je l'ai apprivoisé de jour en jour, c'est elle qui me commandait au travail et pas dans l'intimité sourire ...
8- pour moi les relations DS ont toujours été des moments de partage de complicité de respect pour avancer main dans la main ensemble dans la même direction, j'ai toujours été très respectueux de la gent féminine.
9- je suis un homme plein de qualités drôle attentionné fidèle sincère d'une grande franchise et une grande sincérité je suis également une personne avec qui on peut discuter de tout et de rien ouvert à beaucoup de choses mais également serviable gentil avec un très grand cœur .
10- j'aime la nature, les animaux les balades, mais galement les repas entre amis le bowling le billard ou simplement aller boire un verre dans un bar ou bien au restaurant .
11 - je m'intègre facilement dans les discussions et les dialogues qui peuvent être intéressante sur tout sujet, je reste ouvert au dialogue même si j'ai ce petit côté timide par moment je me livre pas facilement mais une fois que la confiance d'installer les choses sont plus simple et plus fluide.
12- je suis un homme têtu, j'ai également du caractère je dis ce que je pense mais toujours avec raffinement, j'ai un sale caractère que j'assume pleinement mais je sais me remettre en question quand c'est nécessaire et reconnaître mes torts quand je me trompe, mets dame si vous savez me prendreme je serai doux comme un agneau ou alors une tornade 😂😂😂.
13- j'aime l'autodérision la simplicité dès mots avec raffinement et élégance.
14 - par la suite j'ai rencontré ma compagne ma partenaire mon tous dans une relation DS , nous étions ensemble 6 ans, mais malheureusement la vie a fait que je lui ai repris mon collier tout simplement, parce que elle était tombée enceinte et que elle a avorter derrière mon dos et m'a trompé à plusieurs reprises avec d'autres dominants , cela je l'ai appris bien plus tard par la suite j'ai été brisé mon cœur détruit il m'a fallu du temps pour me remettre et passer à autre chose.
15- à 40 ans j'ai perdu ma chienne suite à un accident de voiture là aussi j'ai été meurtri accabler de la perte de ma chienne fana que j'aimais énormément là aussi je m'en suis voulu pendant longtemps aujourd'hui ça va mieux mais je pense toujours beaucoup à elle.
16- j'ai beau être un dominant je reste avant toute chose un homme avec des valeurs qui sont importante à mes yeux je suis connu par ma prestance et mon respect de la gente féminine mais également de ma droiture.
17- je déteste l'injustice le manque de respect qu'on peut apporter à toute personne ,les jugements et la méchanceté gratuite.
18 - je suis très sensible aux mots et aux échanges que je peux avoir avec des personnes sur le site...
19 - les demoiselles et les dames qui sont sur le site reste avant toute chose à mes yeux des personnes avant d'avoir un certain statut ,il est important de bien comprendre que le BDSM n'est pas juste un milieu particulier mais bien des relations humaine avant toute chose, ce n'est pas juste une histoire de fesses c'est bien plus fort que ça ,les liens qui se tissent dans la relation entre un homme et une femme se rejoigne comme deux âmes perdues et qui ne font qu'un dans la relation l'amour le partage est essentiel pour pouvoir avancer main dans la main dans la même direction...
20- j'aime sentir ma partenaire entre mes mains nos regards plongeant dans le désir la complicité et le partage, si vous avez l'occasion de regarder mon profil avec attention vous verrez que j'aime la sensualité l'élégance et le raffinement dans ce type de relation .
23 - le dominant a un rôle primordial pour la sécurité et le bien-être de sa partenaire, avoir la capacité de réaliser avec elle tous ses envies et ses fantasmes les plus fous, qu'elle puisse se sentir en sécurité avec un homme bienveillant qui pourra lui donner l'envie de se livrer entièrement et offrir sa dévotion, parce que il ne faut pas oublier une femme qui offre sa dévotion c'est un cadeau qu'elle nous font et sans elle nous sommes rien il faut pas oublier aussi que c'est la soumise qui choisit son dominant et non le contraire.
24 - la soumise exécute les ordres de son homme pour lui faire plaisir en tout lieu et à n'importe quel moment mais reste libre d'accepter ou refuser, elles ne sont pas comme les esclaves elles ont leur libre arbitre c'est pour ça que le dialogue et l'échange est très important.
25 - le dominant ne doit pas être égoïste il doit apporter beaucoup de choses à sa partenaire et son plaisir et aussi importante que celui de son homme .
26 - on pourrait penser par ce portrait que je ne suis pas un vrai dominant ne vous fiez pas aux apparences ce n'est pas parce que nous sommes bienveillant à l'écoute avec nos soumise que je ne peux pas être ferme et directive une main de fer dans un gant de velours tout simplement..
27 j'aime sentir le désir et l'envie de pouvoir se livrer entièrement entre mes mains avec un regard malicieux coquin qui nous donneront tous les deux envie d'approfondir les choses...
28 après cette séparation qui a duré 6 ans j'ai fait des rencontres fort sympathique aussi bien des soumises que des switch et même une fois une dominatrice quand j'étais beaucoup plus jeune, j'ai également lier d'amitié avec des personnes des couples très intéressantes aussi bien.dans la vie de tous les jours que sur le site avec des affinités appréciable et très agréable je pense qu'il se reconnaîtront sourire .
29 - voilà esclave x défi relevé j'espère que tu prendras plaisir à me lire en vous souhaitant à toutes et à tous une belle soirée....
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Pearl est restée au même endroit, les mains croisées et les yeux baissés. Elle est belle : beaux seins, beau cul, longues cuisses, chatte épilée. Alan la rappelle à l’ordre :
— Demande à Mademoiselle Ashley ce qu’elle veut.
Elle se lève vient aussitôt s’incliner devant moi, en disant :
— Que désirez-vous, Mademoiselle ?
— Des œufs au bacon, du pain, du beurre et du café.
— Certainement Mademoiselle, je vais tout préparer.
Elle entre dans la maison. Je dis aux autres :
— Je ne sais pas s’il y a tout ça...
Wendy, la plus jeune des femmes, répond :
— S’il manque quelque chose, elle sera punie.
Oh, putain ! Une esclave qu’on peut punir sans raison, je trouve ça... trop injuste. Mais en même temps, c’est très troublant. Alan me dit :
— Tu as le droit de la punir et même de la fouetter, mais on ne laisse pas de marques qui durent longtemps ni de blessures. C’est contre-productif et puis je veux pouvoir la revendre un bon prix, si j’ai besoin d’argent.
Puis il explique aux trois autres, à mon sujet :
— Ruby et Enzo trouvent qu’elle est spécialement belle.
Il se tourne vers moi en disant :
— Déshabille-toi, qu’ils puissent juger.
Je ne demande pas mieux, je suis la seule habillée ici avec le jeune homme. L’instant d’après, je suis toute nue, tournant sur moi-même.
Ils me font tous des compliments, trop belle, sublime....
À ce moment-là, Pearl arrive avec un plateau. Elle attend qu’on lui dise quelque chose. Ce n’est sans doute pas ce qu’elle devrait faire, parce qu’Emily lui dit sèchement :
— Pose ça sur la table, espèce de gourde !
— Oui, pardon Madame.
Elle dépose le plateau. Il y a du café et deux œufs, ce qui est conforme à ce que j’ai demandé, mais avec ça, seulement des beignets et des biscuits. Je m’assieds à la table. Pearl vient se mettre à genoux à côté de moi, en disant :
— Pardon pour le pain et le bacon, Mademoiselle Ashley.
Elle se baisse et embrasse mes chevilles. J’adore... Alan me dit :
— Si tu veux, tu peux l’envoyer chercher le fouet pour la punir.
Même si j’ai vraiment envie de... sentir ce que ça fait, j’attendrai qu’elle ait fait une véritable bêtise pour la punir. Sa peur et sa soumission me suffisent... pour le moment. Je lui dis :
— C’est bon, je ne te punirai pas cette fois-ci.
Elle bredouille des :
— Merci, merci Mademoiselle Ashley.
Les autres me regardent en souriant... Emily me dit :
— Quand tu en as envie, ce n’est pas nécessaire d’avoir un motif.
— Oui, j’essaierai, je ne l’ai jamais fait
— Tu as raison... Elle sait que tu le feras, mais ni quand, ni comment. C’est comme ça qu’on rend les esclaves soumises.
Ma chatte a un... spasme. J’adore ces nouvelles lois. Alan me dit :
— Je dois te déposer chez le coiffeur et l’esthéticienne.
— Je voudrais d’abord me laver...
— Ils le feront au salon de beauté.
J’embrasse les filles, puis Bobby. Il me tend un dessin en disant :
— C’est pour toi.
Oh ! C’est moi toute nue à cheval sur Pearl... C’est super bien fait, je suis trop belle en dessin. Bon, dans la vie aussi... Je lui dis :
— Tu dessines trop bien... Si tu pouvais le scanner et me l’imprimer...
— Non, tu peux l’avoir.
— Merci, c’est super gentil !
Je l’embrasse à nouveau, mais sur la bouche cette fois.
Alan me montre les toilettes... Ensuite, je vais vite dans la chambre, glisser le dessin dans mes affaires. Je passe mon jean et un tee-shirt avant de le rejoindre dehors. Comme il fait plus de 30°, pas besoin de mettre une veste. Je monte sur la moto et colle mes seins contre son dos, les bras autour de sa taille. Je me demande pourquoi il ne m’a pas encore baisée... Il ne serait pas gay, des fois ? Je glisse mes mains plus bas pour vérifier s’il y a du matos. Ah oui, il a l’air bien pourvu. Il me demande :
— Tu as l’intention de t’agripper à ma bite ?
— Je peux ?
Il rigole avant de répondre :
— T’as tellement envie de te faire baiser ?
— Par vous, oui...
— Je m’occuperai de toi, ma belle.
J’ai hâte de le sentir en moi. Les baisers de Pearl sur mes chevilles m’ont vraiment émoustillée. Il démarre... Je regarde autour de nous. Arrivés en ville, je suis surprise de voir l’animation, au fur et à mesure qu’on s’approche du Centre. On ne passe pas inaperçus, les gens admirent ce costaud et sa gracieuse compagne collée à lui.
Il me dépose chez le coiffeur. C’est un beau salon en plein centre. Dans ce cadre très élégant, je suis vêtue d’un jean déchiré et pas très propre et d’un tee-shirt qui ne vaut guère mieux. Aux pieds, j’ai des sandales. Je me sens comme une souillon au bal de la cour. Je dis à la fille qui vient à ma rencontre :
— Je viens de la part de Ruby du club... euh...
Difficile de dire "House of pussies". Elle me répond aussitôt :
— On vous attendait, suivez-moi, mademoiselle.
Elle m’installe dans un fauteuil et rapidement, je suis entourée de trois filles. Une pour les cheveux, les deux autres pour les mains et les pieds. Celle qui s’occupe de mes pieds amène un bassin avec de l’eau tiède en disant :
— Si vous voulez tremper vos pieds, Mademoiselle...
Oui, ça vaut mieux. Il est classe, le salon, je n’ai droit à aucune réflexion, parce que... comment dire ? À Notasulga, je n’avais pas le droit de me doucher tous les jours. À partir d’aujourd’hui, je serai plus soignée. C’est super agréable, ces filles qui s’occupent de moi. Après avoir lavé mes cheveux, la fille me demande :
— Vous venez d’arriver à Atlanta ?
— Oui, depuis quelques jours. Je viens de Notasulga.
— Moi de Calhoun, pas loin de chez vous.
Elle est sympa et on est du même coin. Je lui dis :
— Vous avez sans doute entendu parler des esclaves.
— Oui, c’est nouveau. La patronne va en acheter pour faire le sale boulot. Ça va nous soulager.
Les deux autres filles sont d’accord. On est enfin revenu au temps de l’esclavage. On discute, je suis bien... Au bout d’une bonne demi-heure, mes ongles des mains et des pieds sont impeccables et recouverts d’un joli vernis. Je félicite les filles.
Deux heures plus tard, celle qui m’a coiffée retourne mon fauteuil et je me retrouve en face d’une fille ravissante : moi ! Je sais, on ne peut pas dire ça de soi-même. Mais si c’est vrai ? La preuve ? Les filles du salon et même les clientes me le disent : « Qu’est-ce que vous êtes belle ! »
Celle qui m’a coiffée me donne l’adresse du salon de beauté, c’est dans le quartier. Je vais jusque-là en me faisant draguer encore plus que d’habitude. Là aussi, on m’attend. Une jeune femme se présente :
— Bonjour Mademoiselle Ashley. Je m’appelle Éva, c’est moi qui vais m’occuper de vous.
Nous allons dans une cabine, elle me dit :
— Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table.
C’est vite fait et je me sens mieux, sans mes vêtements. Je m’allonge sur la table. La fille me dit :
— Vous pourriez lever les bras ?
Elle rit un peu avant de dire :
— Oh ! mais c’est la jungle là !
Je lui répondrais bien : « Le Seigneur a fait les femmes comme ça », mais bon, c’est un argument qui est devenu difficile à défendre. Elle ajoute :
— On va arranger ça.
Elle m’épile les aisselles, puis les jambes. Ce n’est pas une partie de plaisir, je dois serrer les dents pour ne pas crier. Elle me dit :
— Ce sera moins douloureux la prochaine fois.
Tant mieux ! Dès que mes aisselles et mes jambes sont aussi lisses que des savons mouillés, elle me fait un toilettage de la chatte, en épilant même les poils qui tentent de s’évader vers les cuisses et le nombril. Pauvres petits poils... Elle me fait une belle chatte toilettée. Lorsque c’est fini, elle me dit :
— Mademoiselle Ruby a apporté ces vêtements pour vous.
Aah ? Il s’agit d’une jupe assez courte, d’un chemisier, d’un string et d’une paire de chaussures, pointure 38. Ce sont de jolis vêtements blancs, même les chaussures.
Je remercie toutes les filles avant de sortir de l’institut de beauté. J’ai un peu de mal à marcher avec des chaussures à hauts talons.... Je reviendrai me faire coiffer et épiler, surtout si ça fait moins mal la deuxième fois, comme elle me l’a promis. Dans le centre, je pensais m’y retrouver facilement, mais ce n’est pas le cas. Voyant un policer, je lui demande :
— Pardon Monsieur, je dois aller avenue Ponce de quelque chose...
— Ponce de Leon ?
— Oui, c’est ça.
— Tu travailles au club "House of pussies" ?
Après avoir un peu hésité, je réponds :
— Oui, depuis deux jours.
— Je viendrai te voir, tu es super belle...
— C’est gentil.
Il m’explique le trajet. Je me rends compte que mes rapports avec les hommes se simplifient de plus en plus. J’arrive tard au club. Ce n’est pas encore ouvert, mais toutes les filles sont déjà là en petites tenues. Je toque à la porte, Johnny vient me dire :
— On ouvre dans 10 minutes, ma jolie.
— C’est moi Johnny, Ashley.
— Oh mon Dieu, qu’est-ce que ça te change !
J’entre... Au début, les filles ne me reconnaissent pas non plus, puis l’une d’elles dit :
— C’est Ashley ?
J’entends une autre dire :
— Elle est vraiment belle...
À suivre.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler.
Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune.
- Bonjour, ais-je dis timidement.
-Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ?
- Xavier
-Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie.
Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte.
- Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes.
J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation.
Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi.
La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite.
Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc.
Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue.
- C'est bien, vous êtes efficace à ce que je vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête.
Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté :
- Allez ! Plus vite que ça !
Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles.
- Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné.
Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse.
D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques".
- Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis.
- Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ?
C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte...
A suivre...
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Pour certains, le bdsm n’a rien à voir le sexe.
Pire, les deux seraient antinomiques.
Mais les règles, les codes, les normes n’ont jamais été mon truc.
Et je ne conçois pas la relation à mon Maître sans le sexe.
_______________
N’en déplaise à Freud, je n’ai jamais vécu comme un traumatisme de n’avoir pas de queue.
J’aime me savoir avec une bouche, un cul, une chatte.
Tous ces orifices qui constituent « son » territoire,
comme autant de compléments indispensables à ce que lui a entre les jambes.
Cet instrument dont je ne pourrais me passer
puisqu’il lui sert à me prendre, me posséder, me faire vibrer.
Tout en jouissant de moi.
______________
Oui, j’aime le cul, me faire baiser.
Ce moment que je vis comme l’aboutissement, le final échevelé de nos séances, du feu d’artifice de gestes, mots, sensations et sentiments qui a précédé.
Quand l’excitation, la tension accumulée, la mienne, la sienne doivent trouver leur exutoire.
Qui passe par moi et le jaillissement de son foutre.
En moi.
J’aime le moment où son plaisir se manifeste physiquement.
Cet instant qui me prouve que j’ai été à la hauteur de ce qu'il est en droit d'attendre de moi.
Quand le plaisir, chez lui, chez moi, atteint son paroxysme.
Et où je me sens pleinement à lui puisqu’il est en moi pour se répandre en moi.
Faisant de son plaisir, de sa semence, de ce concentré de lui une partie de moi.
Et puis j’aime aussi le temps qui suit.
Quand il s’effondre sur moi,
Épuisé, vidé, libéré de toute sa tension accumulée.
Pour me laisser m’occuper autrement de sa queue désormais au repos.
L’embrasser, la lécher, recueillir sur elle les dernières goutes de son plaisir.
Avant que des échanges plus tendres ne prennent le relais.
Ses mots, les miens.
Et que je m’endors dans ses bras.
Ou lui dans les miens.
A moins que son désir ne renaisse
et que tout recommence :smile:
_______________
Alors, oui, définitivement, j’aime le cul et me faire baiser.
Et j’en ai besoin.
Peu importe lequel de mes orifices il décidera d’utiliser.
L’un ou l’autre, l’un puis un autre ou les autres, dans l’ordre qu’il voudra.
En fonction du moment, de son envie, du sens qu’il veut donner à son acte.
Puisque c’est lui qui décide.
Puisqu’il est mon Maître.
Et que tous lui appartiennent.
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Tes yeux fulminent, les tendons de ton cou saillent tant ils sont contractés et ta bouche est tordue en un rictus tandis que les insultent fusent en dehors d’elle. « Connasse » est la pire insulte pour ma sensibilité personnelle. La connasse, celle qui fait chier, pas celle qui excite comme la salope. La connasse ne peut pas être aimée d’aucune façon. Et ce ton qui profère ces insultes, qui hante et réveille en sursaut mes assoupissements le soir encore. Chaque onde haïssante de ce son me traverse comme des pointes sous ton regard glacé de haine.
Tétanisée par la peur et l’incompréhension, le cerveau complétement vide, mes yeux te contemplent hébétés ce qui attise ta colère, ta violence. Je tente de me recroqueviller, baisse les yeux, voudrais disparaitre, juste me rouler en boule sur un coin du carrelage et poser mon visage sur sa surface glacée et y laisser couler mes larmes. Je n’attends que le temps béni où je pourrais enfin le faire quand tu te seras lassé de mon absence de réaction.
Mais loin de te lasser, tu es bien lancé, tu t’approches brutalement et m’arrache le bras droit, que je tords nerveusement dans mon bras gauche, en le tirant vers toi et en m’invectivant.
« Réagis au moins ! J’en peux plus... T’aimes ça hein me faire monter, tu veux me faire péter la pile c’est ça !? T’es une CONNASSE. »
Je pleurs, je supplie : « mais non, je t’assure, j’ai pas fait exprès… »
Lui : « tu le comprends au moins que je suis pas méchant, que c’est pour ton bien. C’est toi qui me pousse à me comporter comme un tyran en agissant comme une gamine. Tu le comprends ? »
Et en martelant ces 3 derniers mots il secoue violemment mon bras qu’il serre toujours. Le rappel de la sensation de ce bras bloqué et douloureux me fait reprendre un peu mes esprits et dans un vain espoir puéril je me débats pour tenter de récupérer difficilement mon bras de cet étau avec un reniflement de colère. Mais il le maintient serré et m’oblige à le regarder dans les yeux en agrippant mon menton de son autre main : « Est-ce que tu comprends, [E-li-sa-beth] ? » prononce t-il lentement les yeux rivés au fond des miens. Au fond de moi l’excitation se répand sous son regard qui me remplit.
[Mon vrai prénom me fend comme un long fouet qui s’abat. Il ne l’utilise jamais au quotidien, nous avons nos surnoms. Je me sens pétrifiée par ce son inentendu depuis longtemps. Mes yeux deviennent ceux de mes 8 ans, la voix qui prononce ce prénom devient celle de ma mère. Je suis glacée de honte.]
Je ne suis pas d’accord, je n’ai rien fait, c’est pas de ma faute, tout mon cerveau rationnel se révolte comme un poulain qui se cabre mais, calmée, je m’exécute, mon corps tendu se relâchant avec mollesse : « oui je comprends. » « Regarde-moi ! -il agrippe plus fermement mon menton- Qu’est-ce que tu comprends, E-li-za-beth ? » Je répète bêtement et docilement les arguments qu’il m’a présentés furieux peu avant, tandis que mon cerveau continue à refuser de se plier.
Que ne voudrais-je être fessée solidement rivée à tes genoux, que tu m’assènes les gifles que je mérite, sentir tes mains m’étrangler et ton souffle emplir ma gorge dans un baiser haineux. Que n’aimerais-je sentir une torture physique accompagner les douleurs de l’âme et de l’esprit, conforter celles du cœur ? Pour qu’il y ait le double dialogue, verbe et acte, qui conduit à la jouissance et à l’apaisement des corps et des esprits.
Mais la sensation de devoir plier, admettre, sans même passer par un débat des corps, est si dégradante intellectuellement que je commence à me sentir excitée malgré ma détresse. Foulant ma révolte de mes propres pieds, je la brise du mieux que je peux pour tenter de te calmer. Mon excitation me rappelle que non, je resterais frustrée comme toutes ces années, comme si je ne méritais même pas d’être une chienne à ton service, et la honte que j’en ressens m’inonde le bas ventre de plus belle dans une onde d’excitation fulgurante.
Tu t’éloignes dans une autre pièce pour tenter de te calmer et je profite de ce moment où tu ne me vois pas pour enfin me laisser tomber en boule sur le carrelage. La sensation d’être à ma place me réconforte tandis que l’onde de chaleur dans mon bassin grossit et que celui-ci commence à onduler instinctivement. Mais me rappelant ma condition de celle qui ne suscite même pas l’envie d’être utilisée, je cesse de moi-même pour me priver de ce soulagement que je ne mérite pas. Une vague de honte m’enveloppe, accentuant mon excitation. Je ferme les yeux et m’endors dedans.
Moralité : Est-ce que, THEORIQUEMENT, une abstinence totale (AUCUN contact) et prolongée (sur plusieurs mois/années), qui serait forcée, non désirée, est-elle l’archétype du fantasme ultime pour une soumise obsédée par la frustration, le tease and deny, le contrôle des orgasmes… ?
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Cela fait des mois que le Straship a quitté Mars, la planète froide et rouillée et fait route vers Jupiter et ensuite Saturne et ses innombrables lunes. A bord Big Jhonny, le colosse texan, toujours avec son chapeau de cow boy sur tête, passe son temps, il en a beaucoup pour ce voyage qui va durer des années, à tringler ses trois femelles. De belles américaines aux gros seins laiteux, aux fesses larges, comme il les aime. Pour Big Jhonny, les droits des femelles sont inexistants, elles n'ont que des devoirs. C'est sa seule règle à bord et lui, le pacha a tous les droits. Au moins les choses sont claires et il sait donner des ordres. Ses trois superbes femmes bossent sans arrêt. Entre les serres pour faire pousser des salades et autres légumes, le ménage, l'entretien du vaisseau, elles n'arrêtent pas. Big Jhonny, lui ne fout rien, il reste au poste de pilotage et regarde les étoiles et chaque fois qu'il veut se défouler un peu, il va en tringler une dans un coin, à tour de rôle, sans en privilégier aucune. C'est après la ceinture d'astéroïdes que les mauvaises nouvelles sont arrivées aussi soudainement qu'un essaim de frelons sur un figuier bien mur.
Vous vous souvenez que lors de la traque et mise hors d'état de nuire de Ben Laden, dans tous les papiers et ordinateurs retrouvés dans sa cache à Heyrat, les Seals avaient découvert toutes sortes de documents et plans secrets d'attaques. Parmi eux un plan surprenant contre la France pour provoquer sa ruine. Ce pays très endetté, avec ses millions de fonctionnaires, ses taux d'impositions anormalement élevés pouvait faire l'objet d'une attaque pour l'étrangler financièrement. Dégrader sa note, faire monter les taux d'emprunts, ....un scénario repris par des gros prédateurs de la finance qui ont vu l'occasion de faire un gros coup. Sauf que le poisson à avaler était trop gros et le raid s'est vite transformé en catastrophe financière mondiale. il s'en est suivi partout de forts troubles sociaux et sur le terreau des faillites en cascade la montée des totalitarismes. La guerre comme solution? Encore une très mauvaise idée car l'ours russe a réagi dès qu'il s'est senti menacé et en quelques minutes 99% de l'humanité avait rejoint le territoire des ombres nucléaires. Sauf que personne ne fut à l'abri. Les machines et leurs intelligences artificielles prirent le contrôle complet de la planète et jugèrent que l'espèce humaine était une catastrophe ambulante et qu'il fallait l'éradiquer complètement. Ce qui fut vite fait, y compris dans les stations spatiales et sur les bases lunaires. Restait Mars et le Starship en route vers Jupiter à présent. Joe qui commandait la base martienne eut quelques mois pour se préparer à l'arrivée des terminators. Juste le temps de se trouver un lac souterain, de couper toutes les communications et d'envoyer toutes les machines à la ferraille. Un quasi retour vers 1800, sans radios ni rien d'électronique. Un black out complet. Big Jhonny ne pouvait pas faire de même, le Starship était un nid d'espions pour les machines et il en avait besoin pour survivre dans le vide sidéral. Heureusement, il avait une confiance absolue dans ses trois femelles dévouées.
Ils prirent le temps de tout couper, d'éliminer toute source de signal entrant ou sortant vers la Terre. Ils prirent le temps de désactiver tous les robots intelligents, tous les automatismes sophistiqués, tous les ordinateurs et autres objets munis de puces. Plus rien, une bonne navigation aux étoiles, comme jadis les marins sur les vastes océans. Cela Big Jhonny savait faire. Il gardait toujours son colt à la ceinture pour loger une balle dans tout mécanisme douteux. Non mais, c'était pas des putains de machines qui allaient faire la loi à bord. Il jugea bon de modifier discrètement son plan de vol pour brouiller toutes les pistes.
Heureusement il existait des échantillons de sperme et des ovocytes congelés à bord. De quoi repeupler une petite colonie. Il fallait trouver un refuge sur. D'abord refaire le plein sur Titan. Puis explorer les lunes de Saturne. Il trouva son bonheur sur une grosse patate de glace et de roches avec quelques lacs gelés de méthane. Juste assez de gravité pour être bien. Il repéra une faille dans la croute de glace et y posa son vaisseau délicatement. Une immense grotte lui offrit un refuge . Ils échappaient provisoirement à tous les repérages. La grotte fut fermée, une atmosphère respirable crée. Les trois femelles de Big Jhonny en firent vite un somptueux palais entièrement vert et agréable à l'intérieur. De la Terre ils ne savaient plus rien. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants....Rires.
La morale de cette histoire c'est que femelle bien tringlée est toujours reconnaissante et très dévouée.
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Lucas était le prototype même du petit coq prétentieux que les Devil's Sisters, un gang de jeunes femmes gynarchistes et dominantes, surveillaient depuis longtemps dans l'espoir d'avoir une occasion de s'emparer de lui et de pouvoir lui faire définitivement ravaler sa fierté de mâle arrogant. Le destin, fort solidaire avec les potentiels tyrans, s'acoquina avec les cruelles demoiselles pour piéger le pathétique damoiseau. Le pauvre, qui arrondissait ses fins de mois en se faisant parfois livreur de pizzas en soirée, eut le malheur un jour de se voir commander une funeste napolitaine par une enjôleuse voix féminine qui, malicieusement, lui demanda d'effectuer sa livraison à une adresse qui n’était autre que celle de l'antre diaboliquement équipée de la revancharde sororité. Il n’eut même pas le temps de sortir sa pizza du sac de livraison, peut importait d'ailleurs car les filles étaient affamées de bien d'autres choses, qu’il se retrouva à imiter un x majuscule sur une croix de Saint-André sur laquelle les filles l'avaient entravé. Sans un mot d'explication, elles se mirent à le gifler sauvagement pendant de longues minutes, jusqu’à ce que ses joues prennent la même appétissante couleur que la sauce tomate qui garnissait sa maintenant froide napolitaine. À tour de rôle, elles commencèrent alors à cracher au visage du malheureux, qui tentait lamentablement de se débattre sur son instrument de supplice et qui, après avoir longuement invectivé et protesté, maintenant suppliait et chouinait comme un ado brutalisé par ses pairs. Les jeunes Walkyries se raclaient profondément la gorge avant chaque projection, visaient avec délectation et se gargarisaient de joie et d'ironie à la vue de leur salive dégoulinant sur le visage de Lucas, dévalant telle une humide stalactite en bas de son nez pour venir détremper sa chemise, au son humiliant de nombreux commentaires ironiques. Après une demi-heure de ce gluant prologue, une des joyeusee amazones sortit un cutter de sa poche et entreprit lentement de mettre à nu leur victime, en taillant et déchirant ses vêtements avec une lenteur calculée mais une violence certaine, sous les moqueries de ses consœurs. Elle prit soin de s'attarder particulièrement longuement sur la destruction de la dernière pièce, le mignon petit slip blanc qui faisait office de dernier rempart de son intimité. D'abord deux ronds découpés à l’arrière pour dévoiler les deux blanches hémisphères d'une lune qui tressaillait de honte, deux coups précis pour cisailler la petite ficelle qui masquait encore la raie, puis deux autres sur les côtés de l’élastique pour faire choir entièrement le tissu aux chevilles. – Oh, mais qu'est-ce donc que ce petit colimaçon ? On ne le voit pas bien, caché qu'il est dans les fougères, je vais débroussailler un peu le terrain afin de mieux pouvoir l'observer, commenta-t-elle. Et, suprême humiliation, elles se joignirent toutes à l’opération qui consistait à totalement épiler le petit appareil qui pendouillait entre ses jambes tremblotantes. Il fut d'ailleurs ainsi rasé des pieds à la tête, de sorte que plus le moindre poil ne puisse venir rappeler une quelconque ébauche de virilité. C'est à chaudes larmes qu'il pleurait maintenant, sous les flashs des photos sous toutes les coutures que les diablesses s'amusaient maintenant à prendre de lui dans cette situation avec leur portable. Afin de terminer en beauté leur œuvre et la soirée, elles finirent par le ligoter sur une table et garnirent sa bouche d'un Spider-Gag bien enfoncé et écarté au maximum, et purent ainsi parachever l’humiliante leçon en forçant Lucas à avaler diverses substances qu'il n'aurait pour rien au monde accepté d'ingurgiter de son plein gré, et que je vous laisse entrevoir au bon vouloir de votre pire imagination. Dès le lendemain, ce ne fut plus qu'en baissant les yeux, que l'ancien coquelet fier comme Artaban arpentait les rues de sa cité.
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Je dois passer ma rage.
Je suis carrément une vraie coincée intransigeante et sans pitié en matière de consentement.
Je bouillonne de rage concernant beaucoup de stéréotypes sur la virilité et les relations hommes-femmes.
Je viens de visionner ''pour relaxer'' Book Club.
C'est un film qui se veut léger et qui a peut-être réussi.
Cependant j'ai fait l'erreur de l'écouter en compagnie d'un apprenti Dominant.
Je préfère en général savourer mes plaisirs seules ou avec mes soumis et je me souviens, maintenant, froidement pourquoi...
Voyez-vous je serais normalement passée facilement par-dessus le personnage joué par Andy Garcia.
C'est un film. Quand on regarde un film seule avec soi-même on sait pertinemment nos propres opinions. Un film qui n'y adhère pas ne nous fait pas hérisser. Parfois le film nous sert à affiner nos opinions ou les découvrir.
Cependant, quand on est avec d'autres... Leurs opinions peuvent entrer en collision avec les nôtres.
Voyez-vous, seule, je me serais dit que je trouvais ce personnage comme étant un exemple d'une génération où le consentement n'est pas central.
Et c'est tout.
J'aurais apprécié ce film.
Il n'y a pas d'abus à proprement parler.
Rien de criminel.
Autres générations, autres moeurs, les choses évoluent.
Mais....Ce qui fait que je suis en rage c'est quand... quelqu'un qui occupe ma position auprès d'une jeune femme que justement j'aime suffisamment pour m'en inquiéter, éprouve presqu'une admiration pour ce comportement qui me semble d'un autre temps!
Il y a là ce qui devrait être considéré comme à la limite d'être un chacal, il me semble.
Alors, mes chers, je suis désolée, avec les confinements et le covid, je n'ai pas de soumis sous la main.
Je passes sur (mais j'espère davantage avec) vous mes nerfs!
(après une absence prolongée qui plus est!)
Chose qui me fâche:
Que la culture d'être un vrai homme à la Harrison Ford ait réussi à conquérir des Doms qui, même une fois dans notre communauté, ne réalisent pas le sacré du consentement et de l'espace personnel.
Le vrai triomphe est celui d'avoir une femme qui tend d'elle-même vers soi, que l'on a inspiré à venir vers nos inclinaisons. N'est-ce pas ça que fait un artiste qui plus est?
Ce n'est pas de la convaincre assez pour entrer dans la pièce, puis refermer la porte derrière elle pour qu'elle ne quitte pas notre initiative.
Inspirer le mouvement chez l'autre, pas le limiter... (Du moins hihi! pas tout de suite! :wink: )
Pardon, je m'emporte.
J'avoues me servir de cet article à deux fins qui peut-être, ne sont pas les plus nobles:
Pour me défouler.
Pour quérir des gens qui eux valorisent es valeurs qui sont mes fondements afin de rétablir ma foi qui vient d'être égratignée (et pas dans le bon sens :unamused: )
Pour partager ces valeurs.
(tiens il y avait 3 raisons. :smile: )
Bon!
J'ai fini!
Bonne nuit merveilleuse communauté! :innocent::heartpulse::sparkles:
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Rien n’est à préserver et rien n’est à détruire.
Mais se réinventer pour de nouveau construire.
Se servir du passé pour protéger notre avenir.
Inonder notre vie de bonheur à ne plus en tarir.
Les douleurs font aussi parties des souvenirs.
Car ce sont elles aussi qui nous ont fait grandir.
Les peurs font douter, mais l’amour ne doit périr.
Car sans lui, sans elle, rien ne m’inspire.
L’idéal est utopique, mais rêver est un élixir.
Je ne veux pas être la seule à y croire, j’ai trop à offrir.
Juste trouver celle * qui ne veut plus s’interdire.
Et vivre, sans rien changer l’un de l’autre mais devenir.
Ne pas prendre mais donner, de murmures en soupirs.
S’étreindre sans éteindre cette étincelle qui respire.
Profiter de chaque instant, le meilleur comme le pire.
Ne plus rester enfermée, et se laisser envahir...
Le 24 10 2021
Celle pour la Personne.
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Ma ceinture
Ma ceinture serrée au maximum,
Rend le chenapan bien gentilhomme,
Le souffle court et la taille sous pression,
Signes d'une intransigeante possession,
Pour souffrir dans le bruit du silence,
A côté d'elle en toute abstinence,
Et l'accompagner dans son sommeil,
Sans réponse à "tu dors ?" à l'oreille,
Sait elle que cette lanière de cuir,
Tout en empêchant l'esclave de fuir,
Pénètre mon corps et mon âme,
Tel les rimes de mon slam,
Et que cette boucle douce ou cruelle,
Rend mon amour surnaturel,
Serre moi la taille jusqu'à l'infini,
Car ainsi toujours nous serons en symphonie.
Chat à Angèle Miaou le 21/10/2021 💕
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C'était en 2012.
j'ai rencontre un Maitre sur le net qui proposait de rencontrer sa copine soumise.
je lui envoie un mail et sans hesitation il accepte ! RDV dans 15jours
je lui envoie mon envie: rencontrer sa soumise, les yeux bandés alors qu'il est a qqes metres de nous.
le RDV est fixé dans le parc de Vaugrenier, pres d'antibes un soir vers 19h30
le soir venu, je me gare au fond d'une allée et j'attend. qqes minutes plus tard, un gros 4x4 se gare derriere mois et en sort un homme. on se salue et rapidement me dit que sa soumise m'attend.
je rentre dans son 4x4: sa soumise est assise les yx bandés et porte un long manteau.
je lui demande d'ouvrir son manteau pour la voir :elle est nue sous le manteau. juste des bas et talons aiguilles.
je lui caresse les seins, la chatte. elle ne se refuse pas et mordille ses lèvres.
En accord avec son maitre, celui-ci lui a laisse une lettre. je lui enleve son bandeau mais elle n'a pas le droit de me regarder.
elle lit la lettre: elle doit se donner a moi sans retenue, obeir a mes ordres.
je lui remet son bandeau et comme convenu avec son maitre, je lui enfile sa laisse et je l'entraine dehors pour qu'il puisse prendre des photos. Il mitraille.
je la balade dans le parc et ensuite l'appuie sur le capot du 4x4: je la fesse, lui caresse les fesses, la doigte et ensuite je la fouette. son maitre prend les photos puis apres qqes minutes, je la ramene a l'arriere de la voiture tjrs yx bandés (balade un peu perilleuse, ne pouvant pas voir et en talons).
Je lui donne l'ordre d'enlever son manteau.
elle se deshabille completement, et s'allonge.
Je la regarde, tellement féminine , sexy ainsi. Je lui dis à quel point elle est belle. Elle sourit gênée.
Je pose mes mains sur ses cuisses, ses bas, remonte sur son ventre et ses seins qui pointent fièrement. Sa peau est douce. Elle sent bon...
Doucement je reviens vers sa charte lisse, parfaite. Et je m'y introduis : un doigt, deux doigts, trois doigts.
je la doigte de plus en plus vite pour qu'elle prenne son plaisir: j'aime entendre les femmes gémir, se tortiller...
Après qqes minutes ainsi, elle est entièrement trempée. Sa ciprine coule entre ses jambes.
Doucement je remonte ma main humide le long de son corps jusqu'à sa bouche. Et lui donne mes doigts humides à lécher. Elle les avale sans hésiter, sans perdre un instant.
Je la regarde sucer, lécher mes doigts...
Je me penche vers elle et je gobe ses seins. Je lèche son corps, sa peau...
puis je lui ordonne de se retourner, et je joue avec son plug: elle aime visiblement.
qqes fessees lui coupent la respiration mais elle aime, moi aussi.
Je lui retire tout doucement ce bijou de soumission et ses fesses sont libérées... Elle sursaute à l'extraction de celui-ci.
Je lui écarte ses deux belles fesses et admire le spectacle.
Puis je lui ordonne de remettre son plug. Je veux la voir s'introduire ce bijou devant moi.
Je n'ai pas le droit de la pénétrer en accord avec son maître, mais qu'elle le fasse pour moi n'est pas interdit ;-)
Enfin je la remets devant moi. je deboutonne mon pantalon et lui ordonne de me sucer: elle obeit avec appetit. elle garde mon sexe en bouche, quelle douce langue ! Elle s'active entre profondeur et baiser de ses lèvres.
Au bout de qqes minutes je jouis mais pas dans sa bouche (volonté de son maitre).
puis je lui ordonne de me sucer les couilles: elle a du mal a rester sur mes couilles car elle remonte pour prendre les dernieres gouttes de sperme. visiblement elle en raffole alors que je ne lui ai pas demande !!
puis je la redresse et continue de la caresser. enfin son maitre vient frapper a la porte du 4x4 pour finir la seance.
Je sors et discute avec lui: un homme charmant.
puis je remonte dans ma voiture et pars. elle ne m'aura pas vu une seule fois: j'adore savoir qu'elle se demandera toujours qui a pu profiter d'elle et quel homme elle a sucé.
Une superbe seance avec une femme a la peau douce, une bouche humide et accueillante et un maitre fort sympathique.
J'apprendrai plus tard de sa part qu'elle fut surexcitée ensuite...
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