La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/08/13
Je suis une personne faisant aisément confiance, donnant ma confiance presque inconditionnellement. Si ma confiance est trahie, alors je la retire et pour toujours. Dans le monde vanille, je fais pleinement confiance dans les autres et je m'attends à la même chose een retour. À titre d'illustration, je suis membre de la communauté CouchSurfing, où les membres proposent de s'héberger gracieusement les uns les autres. J'ai ainsi accueilli des dizaines de personnes de tout pays, ce qui conduit à de riches échanges d'expériences. Dans le monde BDSM, je fais confiance de la même façon, mais je ne m'attends à recevoir la même confiance en retour. Celle-ci doit être méritée, elle n'est pas acquise. De mon point de vue, c'est parce que la confiance est très précieuse dans une relation BDSM, encore plus que dans une relation vanielle. Se sentir trahi peut avoir un impact profond pour une soumise. Gagner la confiance d'une soumise peut être un processus long et difficile. Si je me sens trahi dans une relation BDSM, je ne vais pas immédiatement retirer ma confiance comme dans une relation vanille. Tout d'abord, je vais essayer de comprendre ce qui s'était passé et tenter de reconstruire la confiance entre ma soumise et moi. Donc, étant dominant, je donne ma confiance à mes soumises, les respecte, comprends qu'elles peuvent avoir des doutes, des moments d'incertitude et des problèmes de confiance. C'est à moi de gagner leur confiance et de la mériter. Rien n'est gagné d'avance, rien n'est dû.
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Par : le 18/08/13
Voyageur intemporel je suis Dans ma je le vis Du temps qui passe, mais pas seulement Jamais je ne me ment Maître de mon destin , je ne le fuis Sachant toujours qui je suis Point de destinées Ne me mettront en difficulté De les surmonter Souvent je le ferai à pied De n en être jamais satisfait Un devoir je m en ferai De ce voyage sans fin Jamais n en connaitrai la faim Quand de pénible la fatigue deviendrai Des forces je récupèrerai Loin d être perdues mes illusions Toujours en mémoires me reviendront Dans les victoire je trouve ma force De celle qui me transporte La vie est belle Il faut savoir la vivre comme telle.
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Par : le 18/08/13
Dans une relation BDSM, celui qui détient le contrôle est le dominant mais celui qui détient le réel pouvoir est le soumis. Le contrôle est accordée par le soumis au dominant. C'est une délégation de pouvoir. C'est pourquoi il existe une relation de soumission : parce que les soumis laissent le dominant prendre le contrôle. Mais si le dominant va trop loin, le soumis peut révoquer cette délégation. C'est pourquoi celui qui a le pouvoir et bel et bien le soumis. Et non l'inverse comme j'ai souvent vu des "dominants" le penser. Cette délégation nécessite une mise en confiance. Cette confiance doit être méritée par le dominant. Elle n'est pas dûe.
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Par : le 18/08/13
Vous voici enfin arrivés Madame, au croisement de vos désirs les plus fous. D un coté , il y a cette sagesse qui vous rassure mais ne vous comble point. A droite un chemin qui certes ne vous est pas inconnu mais dont vous savez pertinement la difficulté qui vous y attend. A gauche enfin, ce petit chemin, étroit, très étroit et serpenté avec de grandes montées suivies de grandes descentes, qui vous emmenera vers l inconnu , vers ce monde nouveau qui vous attire tant , autant qu il vous effraie, celui dont vous ignorer tout. Vous semblez hésitante, perturbée entre vos désirs de partir à la découverte de ce nouveau monde qui semble être celui dans lequel vous devrez puiser jusque dans vos ressources cachées, si bien cachées que vous les aviez presque oublié. Mais la curiosité est là et le désir d avoir a se surpasser aussi. Car pour vous il n y a rien de plus excitant que celui de tutoyer les extremes , vos extremes. Vous sentir sur le fil du rasoir en permanence , vous y êtes habituée , et bien que cette situation d apparence si peu confortable semble vous convenir, vous n en êtes, toujours pas satisfaite. Certes vous en maîtrisez les rouages mais au fil du temps cela fini par créer un manque. Ce manque cruel de sensations nouvelles, de celles qui vous prennent aux tripes , qui dans ce mélange si particuler entre excitation et peur vous permet autant de vous surpasser que d aller au delà de vos extremes. Ces extremes qui sont l essence même de votre vie , de ceux qui vous transportent vers un plaisir incomparable que vous ne trouvez nulle par ailleurs. Pourtant vous le savez, d hésitations au fond de votre âme il n y en a point. Tout comme vous savez qu hésitante vous ne pourrez rester bien longtemps. Vous êtes tiraillée entre la peur de l inconnu et la peur de passer à coté, de passer tout près jusqu à presque toucher cet univers qui vous attire depuis toujours. Faire demi-tour jamais vous ne pourrez car vous n avez pas marché jusqu ici juste pour vous en donner l envie. Votre choix ancré au plus profond de votre être est déja fait. Il ne vous reste plus qu à l exprimer.
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Par : le 18/08/13
De votre regard si profondément ancré dans le mien, Je pu en déceler un grand bien. Sans ciller ne serait-ce qu une paupière Vos yeux sans cesse brillèrent Votre bouche si finement découpée Etait légèrement humectée De ce désir si voyant Durant un certain temps Vous me fîtes miroiter Me laissant bouche bée De baisser les yeux vous vouliez m indiquer Qu offerte, déjà vous l étiez Bouche légèrement entrouverte, apparaissante Votre langue sortis en reconnaissance La faisant délicatement tournoyer Je n en fût que plus excité Puis dans votre main entrouverte Votre adresse m était offerte M invitant à vous suivre Vous me fîtes un large sourire Sans même vous retourner De ne pas trainer vous me disiez Chez vous j arrivai très vite Sans même aller vite Doigt à peine sur la sonnette Que la porte était déjà ouverte Sans même un mot dire Enlacés , cela va sans dire De baisers nous nous couvrîmes Ma main déjà dans votre string Vous doigtant sans ménagement Dd un râle vous me fîtes part de votre contentement M invitant à poursuivre de fait Ce qui pourrait devenir sa fête La suite...... Beh je vous laisse l imaginer ... hé hé hé
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Par : le 18/08/13
L endroit rêvé enfin trouvé, bien intallés sous l ombre de ce bel arbre, la nappe posée sur un petit rocher plat , et alors que tu allais t assoir je te prie par la taille, te pressant contre moi, tout près puis t ai murmurer à l oreille qu avant de passer a table je voulais profiter de la belle lumière ambiante pour te prendre en photo et ce sous toutes les coutures, même nue..... surtout nue. Tu me regardais fixement dans les yeux ne sachant pas si je plaisantais ou pas. Finalement mon hochement de tête fini par te convaincre que l ayant décidé nous ne pourrions passer à table tant que je n aurais pas été rassasié Appareil photo en bandoulière , je m approchais de toi afin de te deshabiller, tout en t embrassant longuement afin de finir de faire tomber les dernières barrières qui te bloquaient encore. Une fois toute nue, resplendissante sous les rayons de soleil qui filtraient au travers du feuillage de l arbre je te demandais tout d abords de bien vouloir t allonger sur le dos de tout ton corps sur ces rochers ce qui te fît râler car selon tes dires la position n avait rien de très confortable, non sans humour je te dis de penser a la pureté de la photo qui avec une telle modèle ne pourrait faire que l admiration de tous, ton "ce que je ferai pas pour toi" accompagné d un sourire je le pris pour un grand oui et te poussais gentiment afin que tu prennes la pose, aussitôt redressée une fois la photo prise, je cassais ton élan car je n étais pas satisfait de cette photo , certes en couleur c est joli mais je décidais de partir pour une longue serie de nouvelles photos en noir et blanc et te priais donc de te rallonger. Là plus convaincu que jamais de que mon choix était le bon je te fît voir le résultat et devant ton approbation ,de toi même tu m empressa d en faire plein, des tonnes disais tu . Animée d un regain d enthousiasme que je n aurai imaginé , tu me demain de t en faire mais en couleur cette fois-ci, tu pris telle pose, puis une autre, toutes plus osées les unes que les autres, me mettant dans un émoi tel qu il m était déjà difficile de rester concentré ,puis tu grimpas dans l arbre afin que je puisse photographier ton sexe aussi lisse et aussi doux qu un galet , depuis le bas , n oublies pas de bien regler la profondeur de champs chéri me disais tu,humm ... puis tu me demandais de sortir mon gros zoom (sic) afin de ne rater aucun détail de ton anatomie... Au travers du zoom je voyais avec une infinie précision ton état d excitation qui me faisait zoomer plus que de raison et que j arrivais même à "piéger" au travers du feuillage , ce petit jeu dans l arbre dura un long et agréable moment (ce jour là restera en ma mémoire comme l un de ceux ou j ai du prendre le plus de photos) , une fois redescendue de ton arbre , sans plus attendre je te plaquais contre face contre lui, sans aucun ménagement, et te prenais là , te saisissant les cheveux pour te tirer la tête en arrière et de mon autre main te prenais à la gorge que je serrai fortement, mes vas et viens étaient rudes, tu gémissais. Bien que pris dans cette excitation si longuement contenue je ne voulais conclure ainsi, sans te prévenir je stoppais tout puis te saisissant par la crinière je t obligeais, de force à venir te pencher en avant sur l un des rochers couvert de petits glands piquants, tout en te maintenant fermement et bien qu essayant de te débattre tentant d échapper a cette torture je te maintenais dans cette position, appuyant même de tout mon corps sur le tien afin que tu ressentes bien la douleur liée à ta position, celle de soumise et en cet instant de chienne soumise qui sera prise comme telle, cette position et les conditions si particulières qui l accompagnais me procurèrent un état d excitation peu commun, toujours penchée en avant avec le poids de tout mon corps pressant sur elle j entrepris de l enculer et je lui en fît part, une main sur sa gorge, la serrant fort ,tout en lui relevant un peu le menton pour rendre sa position encore moins confortable, je la pénétrai sans préparation aucune et surtout sans ménagement et de mon autre main je lui enfonçais les doigts dans la bouche le plus profondément possibles... elle gémissait autant de douleur que de plaisir tant cette situation si inattendue l excitait, et malgré la position si douloureuse dans laquelle elle se trouvait elle commençait à manifester au travers de râles plus longs et plus forts l arrivée de son plaisir, ce qui me fît monter le mien. Dans un râle commun on explosait , à l image du final du feu d artifice du 14 juillet à Paris . grandiose , ce fût Grandiose, sublime.... inoubliable !!! Nous sommes restés longtemps ainsi sans bouger, profitant de chaque seconde de la lente descente du plaisir jusqu à retrouver un certain calme mais aussi ma respiration (..) puis je me relevais, l aidais a en faire autant pour l assoir délicatement sur un bout de rocher , el là je ne pu que contempler l étendue du "supplice" qui fût le sien durant ce moment de pure passion , de pure folie ou déchainés comme jamais nous avons atteints une certaine osmose. Sur son corps martyrisé il y avait des centaines de petits et gros glands piquants plantés dans sa chair, parfois même profondément, Ce spectacle, pourtant si cruel était emprunt d une beauté rare ,et délicatement, un à un je les retirais te couvrant aussitôt de petits baisers sensé t aider à te soigner plus rapidement . Que le temps te parût long avant que j en viennes à bout, et une fois fini je te serrai délicatement contre moi et t embrassais longuement. Une fois bien restaurés nous avons repris notre petite séance photo mais cette fois-ci juste du noir et blanc, nous concentrant plus sur le coté artistique qui permettrait de bien mettre en valeur ton corps endolori. Journée inoubliable, de celle qui restera à jamais gravé dans ma mémoire ...
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Par : le 18/08/13
Un petit baiser sur ton cou pour mieux te désirer Un petit baiser sur tes lèvres pour mieux t'aimer Un petit baiser sur ton front pour te comprendre Des caresses sur ton dos pour mieux te détendre Un petit baiser sur tes seins pour mieux te faire gémir Un petit baiser sur tes fesses pour mieux te faire rougir Un petit baiser sur ton clitoris pour te prendre Beaucoup de désir pour ainsi mieux te fendre Un petit baiser sur tes pieds pour mieux te vénérer Beaucoup d'amour pour ensemble nous souder Toute mon affection pour te garder Et des mots doux pour te rassurer
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Par : le 13/08/13
Que de plus beau souvenir que celui de votre lune De tant la regarder, j en serai presque passer pour un oiseau nocturne De son cratère, jamais n en fût rassasié Ni de ses formes à peine voilées Mes mains reconnaissantes lui seront Mais jamais ne suis allé tout au fond Ma langue experte en explora chaque recoin Vous n en demandiez pas moins Mon sexe brûlant de désir Vous faisais plaisir Votre sourire disparaissait Quand j allais et venais En douceur au début Puis sans aucune retenue De crier vous n échappa Quand le plaisir vous submergea
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Par : le 13/08/13
J'étais inspiré ce matin au réveil, allez savoir pourquoi... Je pensais le texte un peu plus long, mais en fait non. -------------------------------------------------------------------------------------- Il fait encore sombre.. Une de ces pénombres qui donne des idées folles. Elle est là, allongée, le visage serein et le souffle régulier. Il est là, éveillé, pris d'une folle envie de la posséder. Sa main suit la courbe du drap sur la peau nue de sa belle, et termine sa course sur ses cuisses. Il a envie d'elle, de la prendre telle une chienne... Ses lèvres effleurent le corps de cette femme qui le rend fou. Elle gémit, comme pour lutter contre cet intrus dans son sommeil, mais la raison est toute autre... Elle le veut, elle veut le sentir en elle. Ses caresse se font plus présentes.. Une main qui caresse ces seins, cette poitrine qui l'a toujours fait bander comme un cheval. Sa bouche ne tarde pas à remplacer sa main, et cette dernière disparait entre les cuisses de la belle. Il sait qu'elle ne dort plus, il l'a vu se mordiller la lèvre... Elle le veut, et il le sait.
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Par : le 13/08/13
La journée s annonçait radieuse, le soleil était déjà bien haut dans le ciel azuré, pas un nuage à l horizon, une légère brise adoucissait la chaleur ambiance. Tu étais ravissante dans ta jolie robe à fleurs, courte à souhait, comme j aime. Ton sourire éclairait ton doux visage , pendant que tu t affairais dans les derniers préparatifs de notre pic-nique estival, je t observais de loin déjà pris dans de légères pensées te concernant. Puis , chemin faisant ,notre discussion anodine laissait peu à peu la place à des mots coquins empreints d un désir mutuel. Tu me disais que c était une belle journée pour vivre de nouvelles expériences et que tu aimerais beaucoup que je te surprennes comme tu appréciais tant. Je te souriais, de ce sourire coquin que tu aimais tant car il laissait présager de futurs délices. Je m arrêtais près d un chemin et après avoir charger nos préparatifs , l appareil photo en bandoulière, nous nous sommes mis en marche. Je connaissais bien ce coin car j y étais déja souvent venu. Le départ fût difficile car le chemin montait beaucoup , la pente etait très accentuée, tu me maudissais , d abord en rigolant puis plus sérieusement tant l effort que tu devais fournir était important, je ralentis un peu et tendant ma main vers toi tu essayas de la saisir, mais je l esquivais pour venir saisir tes fesses que je palpais allègrement afin ,te disais-je de te motiver à avancer. Tes lamentations cessèrent tant le panorama qui s ouvrait à nos yeux ebahis nous coupa le souffle. Je t indiquais un endroit qui me parassait idéal , situé sous un gros arbre , quelques rochers disposés tout autour donnait à ce lieux un coté quelque peu mystérieux, dans une petite clairiëre qui dominait toute la vallée, de là on pouvait voir aussi bien le lac d Annecy que le début du lac du Bourget , la vue y était exceptionnelle et surtout nous y étions seuls. Un vrai petit coin de paradis ou tels Adam et Eve nous allions pouvoir explorer le coté extrème de notre sexualité débordante.
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Par : le 13/08/13
Plaisirs des sens que de se sentir sous l emprise d un esprit plus fort que le sien. Vous le sentez , aucune échappatoire possible . Et bien qu essayant de résister en vain, votre lutte, perdue d avance vous le savez, vous pousse vers de nouveaux horizons , de nouveaux espoirs. Il y a longtemps que vous attendiez cela , vous complaisant dans de furtives rencontres, de celles ou l on exige finalement que peu de vous, juste ce dont vous voulez bien montrer, donner. Mais votre vraie personnalité se trouve enfouie, au plus profond de votre être intérieur et ne demande qu à se libérer.... Enfin !! Cette libération , vous le savez , ne se fera pas sans mal car il vous faudra écarter de votre esprit vos peurs. De celles que l on finit par croire qu elles se sont effacées dans l oubli dans lequel on les y avait plongé. Ce retour à la réalité vous l appréhendez tant l afflux d adrénaline vous summerge. Mais ce qui aurait été impossible de réaliser seule, vous pouvez, sous la contrainte exercée , vous abandonner totalement, vous laissant guider, diriger afin de ressortir au grand jour tous ces secrets souvent inavouables . Votre désir si bien masqué n est en fait que la recherche d une sensation d appartenance totale, dans laquelle , plus nue que nue vous vous abandonnerez sans retenue aucune désormais aux plaisirs les plus subtils qui en découleront. Ma domination sur vous finira par s imposer d elle même tant votre désir d appartenance est fort. Je su réveiller en vous, de par mon esprit fort votre besoin de vous libérer de vos carcans jusqu ici si bien cachés et qui ne demandent qu à se donner-libérer telle une offrande envers celui qui en aura découvert leur cachette. Car de pouvoir jouir de vôtre moi profond, cela ne pouvait que se mériter.
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Par : le 12/08/13
Après quelques échanges presque anodins, le courant passa très vite entre nous , puis au fil de nos conversations nous nous sommes découverts des points communs.nous n étions qu au tout début de notre découverte mutuelle et pourtant, nous nous parlions au travers de mots postés par écrans interposés comme si l on se connaissait déjà. Très vite nous avons abordé de façon légère tout d abord puis plus sérieusement , mais en laissant tout de même volontairement des zones d ombres , les points clé , ceux dont l existance même de toute relation D/S feront la différence. Bien que voulant rester dans le vague , surtout ne pas trop en dire..... pas tout de suite .... Nous savions l un et l autre que nous avions non seulement le même intérêt pour ce mode de vie si particulier mais aussi la même vision de que les plaisirs futurs passeraient aussi par certaines souffrances, de celles qui savament administrées ne puvaient que conduire a repousser les limites du plaisir commun tant attendu. De ces souffrances futures je les avais esquivées, il sera bien temps de les détailler plus en profondeur, me concentrant plus sur votre personnalité, de ce que vous me dites mais aussi surtout de vos non-dit qui finalement m en apprendrons d avantage sur vous. Je me laisse bercer par votre belle écriture , ma curiosité d abord timide enfin réveillée je brûle d impatience de vous poser mille questions mais ne le fait pas, je veux faire durer ce moment le plus possible en vous laissant vous exprimer avec le talent qui est vôtre. Arriva le moment crucial de nos présentations respectives, exercice délicat et oh combien difficile dont pourtant vous en maîtrisez chaque mot, me laissant du coup à deux doigts de renoncer à la mienne mais devant vos encouragements je m y plie volontier. Vous êtes a n en pas douter une essence rare, de celle dont on est fier qu elle nous appatienne tout en sachant qu il nous faudra " lutter " pour la conserver. Votre esprit rebelle en envierai plus d un , quoi de plus satisfaisant que de batailler pour l emporter car " vaincre sans gloire n en vaut pas la peine " , il est fort et subtil mais ne demande qu à s abaisser afin de jouir enfin des fruits de votre soumission si durement gagnée. Vous êtes, je le pense, du même acabit que moi, méprisant la facilité dans laquelle beaucoup se complaisent, préférant tenter de déjouer les pièges tendus afin de vous affirmer guerrière. J apprécie a sa juste valeur votre comportement de future vaincue se débattant bien que sachant l issue de ce combat perdu d avance par vous. Je ne connais presque rien de vous et pourtant vous accaparez déjà mon esprit , j imagine de fait de nombreuses situations sinon délicates, du moins imprévues, voir surprenantes ! Mon esprit est en émoi , il bouillonne de mettre en pratique tout ce dont je rève de faire de vous.....avec vous . En aucun cas vous ne m êtes indifférente , bien au contraire. Les mails s en suivent avec toujours autant d intérêt que les messages, je sens poindre en vous quelques exigeances masquées , votre demande est bien réelle. Bien qu éloignés géographiquement l un de l autre je nous sens pourtant plus proches. De cette situation si particulière, pour le moment nous en parlons peu , vous la première, vous demandant même si cela ne serait pas un frein a une possible entente entre nous et si mes aspirations en la matière n en seraient pas affectées. Je perçois déjà non pas une peur mais bien une apréhension de votre part, que tout ceci s écroule avant même d avoir commencé et m empresse de vous rassurer... La distance n est pas incompatible avec la relation que nous voulons, elle la rend juste différente , combien de personnes vivant sous le même toit ne se parlent presque pas, voir ne partage plus rien si ce n est que l ennui ? Notre relation déjà bien différente de par son concept n en sera pas moins , du moins je l espère , intense et passionnante ! Pour pimenter un peu plus la chose, je décide de vous pousser dans vos derniers retranchements afin de tester votre capacité de réaction et là vous êtes allée au delà de mes espérances.......
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Par : le 09/08/13
( Je partage avec vous et avec son autorisation, un petit bout du bouquin d'une amie, elle ne s'y connais pas trop en BDSM mais elle a tenue a le mettre dans son histoire fantastique / érotique, je vous laisse donc lire et me donner votre avis qu'il sera retranscrit mot pour mot )— Tu es vraiment sûre de le vouloir... ? Demanda Till plus qu'inquiet. — Liebe... Je sais ce que tu es... Je sais comment se passe cette «cérémonie» et donc oui, je suis sûre et certaine de me lier à vie à toi, murmura-t-elle pour rassurer le démon. — Tu ignores tout de ce que je dois te faire... Il ne s'agit pas d'une simple cérémonie comme un mariage avec une signature de contrat. Il s'agit vraiment d'un... d'un rite charnel... Sadique... Violent... — Lindemann... Je suis sûre et certaine... Répéta-t-elle. — Je refuse de te faire du mal... Trembla Abigor. — Till... Je t'aime, tu le sais, et tu sais aussi que je ne suis pas éternelle. Je n'ai que 21 ans, certes, mais alors que toi tu ne changeras pas d'apparence, moi je grossirai, je serai laide et toute ridée, sans compter que j'aurai la peau qui pend... Super le mythe de la bombe sexuelle... Surtout que je le suis pas à la base alors... Argumenta-t-elle.Till ne pouvait que sourire. Elle était décidée à lui appartenir physiquement, mentalement et sexuellement. Il ne cachait pas qu'il était terrifié à l'idée de devoir lui faire ça, mais l'idée de lui faire l'excitait d'une certaine façon. Son instinct démon prenait de temps en temps le dessus, et malgré son rebut psychologique, Till ne pouvait retenir son excitation. — Till... Je serai tienne et je n'aurai aucun regret, sourit-elle en lui caressant le visage. — D'accord... Soupira-t-il mort de trouille. Suis-moi... Continua-t-il en lui prenant la main.Ils se regardèrent une dernière fois. Jennifer caressa tendrement sa main en lui adressant un magnifique sourire. Elle se posait souvent la question de savoir comment un si bel être avait pu tomber sous son charme, elle qui était si banale, sans «truc» particulier comme Pauline ou Sophie. Elle était une simple humaine, rien de plus, rien de moins, alors comment avait-il pu? — Jenny... Combien de fois je vais devoir te dire que l'amour ne se contrôle pas et que tu auras beau te transformer en sorcière, en gnome ou même en goule que je t'aimerai toujours. T'es très belle, superbe même, alors... CHUT! Fit le démon en posant son index sur les lèvres de sa belle.Elle voyait bien dans son regard qu'il l'aimait, qu'il était fou d'elle et surtout, qu'elle pourrait lui faire faire n'importe quoi. Elle devrait peut-être essayer après ça. Ils se sourirent, et descendirent directement en enfer. Le long couloir semblait interminable, il faisait noir, on ne voyait absolument rien. Mais comment faire pour se repérer là-dedans? La porte se referma, faisant sursauter la demoiselle qui se blottit immédiatement contre le torse brûlant de son homme. Le démon sourit, tourna sa main, paume vers le ciel, et fit apparaitre une flamme dans le creux de sa main. Elle dansait et virevoltait tel un petit rat de l'opéra. — Tes pouvoirs m'étonneront toujours Liebe, sourit-elle maintenant rassurée.Enfin... Presque... Lorsqu'elle s'aperçut que les murs étaient tous, sans exception, incrustée de cadavre frais, de squelette, que des bras sortaient de nulle part... Oh elle n'avait pas spécialement peur, pas encore du moins, mais elle avait perdu son assurance. — T'en fais pas, tu ne risques rien, sourit Till en la blottissant contre lui.Les deux amants avancèrent dans ce long couloir où seule la flamme de Till éclairait leurs pas. Plus ils avançaient et plus la température montait. Bientôt, une odeur de soufre prit d'assaut le nez de Jennifer et la demoiselle fut prise d'une grosse nausée. Au fond d'elle, elle angoissait terriblement de ce qu'il allait se passer, d'où elle allait et ce que Till ferait d'elle. Le démon ressentait bien ça, et il commençait vraiment à se demander si ce n'était pas une mauvaise idée. Les secondes passaient, le couloir n'en finissait pas. Jennifer resserrait et caressait la main de Till pour se rassurer. Le démon rassura sa belle, la blotti contre lui, lui embrassa le front en lui murmurant des mots doux et rassurant, mais rien n'y fais, son estomac était noué, l'angoisse la prenait, elle avait envie de pleurer, de dire à Till de faire demi-tour, qu'elle n'était pas prête pour pénétrer dans les enfers, mais une petite voix en elle lui disait de continuer, d'aller au bout de ce qu'elle faisait, qu'elle pouvait y arriver. Elle s'arrêta quelques secondes, prit une grande inspiration et souffla tout l'air qu'elle avait dans les poumons. — Tu es vraiment sûre... ? Questionna à nouveau Till.Elle lui lança un regard noir et Till leva les mains en l'air, histoire de dire qu'il se tait. Ils reprirent leur route et ce n'est que cinq minutes plus tard que le démon s'arrêta net. Que se passait-il? Y avait-il une attaque? Till prit une grande inspiration, se mit à pousser un grognement très rauque, sourd et puissant. Le démon serra les poings, deux cornes se mirent à pousser de part et d'autre de sa tête et bientôt, Till laissa la place à Abigor. Jennifer ne l'avait vu qu'une fois en démon, lorsqu'il lui avait montré sa véritable nature. Il l'impressionnait, et contrairement à ce qu'on pouvait penser, elle n'avait pas peur de lui, il l'intriguait. Le démon posa sa lourde main sur la porte et la fit voler en éclat. Jennifer ne put que se cacher pour ne pas recevoir un morceau de bois, mais aussitôt la porte explosée, Till repris sa forme humaine, regarda sa belle et sourit. — Tu étais obligée de faire exploser la porte? Tu pouvais pas l'ouvrir? Grogna-t-elle en se relevant. — Hmmmmmm... Non, c'est pas drôle sinon, et puis faut les faire bosser les esclaves, on ne les a pas faits prisonnier pour qu'ils restent croupir dans leur cellule, rit Till. — Liebe... Tu es ignoble... Soupira-t-elle, mais je t'aime comme ça.Le démon sourit et passa la porte en lui tenant la main.La chaleur était étouffante, l'odeur de soufre nauséabonde, les bruits de fers, de machines et de cris des esclaves et des chefs assourdissants. La belle regardait tout autour d'elle, complètement subjuguée par ce qui l'entourait. Les coups de fouet résonnaient partout, en haut, en bas, à droite, à gauche, l'un des esclaves chuta devant les yeux du couple. Jennifer se précipita et se pencha par-dessus la barrière et vit le gnome disparaitre dans la lave en fusion sous les rires des chefs. Bizarrement, elle n'était pas choquée de ce qu'il se passait, comme si tout cela était... Normal. Elle se retourna et fit face à un gnome qui la reniflait. Surprise, elle poussa un cri strident, faisant sursauter Till qui arriva au pas de course, attrapant le gnome par la gorge. — Maître, gémit la créature, vous avez donc une soumise. — T'ai-je ordonné de l'ouvrir? Vociféra le démon en resserrant sa main. — Mais maître, c'est du grand spectacle que vous aller nous offrir, continua le gnome en riant tout en posant son regard sur Jennifer. Sale soumise! Cria la créature en riant.Till avança vers la barrière où se trouvait sa belle, plaqua le gnome contre le bord et appuya, de toutes ses forces, jusqu'à ce que la tête se détache du corps. Il balança ensuite le corps dans la lave et garda la tête dans sa main. — Tu viens? Dit-il naturellement — Euh Till... Trembla-t-elle. — Oui? — Tu... C'est pas contre toi hein, mais... tu... Tu as une tête dans ta main... Répondit-elle en montrant la tête saignante.Till la regarda et rit en lui disant que c'est pour donner à Cerbère. Le sang de Jennifer ne fit qu'un tour. Elle déglutit et avança prudemment vers Till. Il n'était pas l'homme qu'elle connaissait. Il était cruel, sadique, mais... terriblement sexy et excitant. Il lui sourit avec amour et prit tendrement sa main. Ils continuèrent de marcher, de descendre toujours plus loin en enfer. On aurait pu croire que la chaleur serait insoutenable, bien au contraire, plus le couple descendait dans l'antre du diable, plus la température baissait. Jennifer ne pouvait s'empêcher de se dire que c'était très étrange, mais cela lui importait peu, elle pensait surtout à cette fameuse cérémonie. Tant de question qu'elle se posait, mais elle n'osait pas les poser à son homme, ne le reconnaissant plus à vrai dire, et pourtant, elle était encore plus folle de lui, il était tendre et doux avec elle, et pourtant si cruel et odieux avec les autres. Elle poussa un long soupir pour faire descendre la pression en elle. — Tu as peur? Demanda Till. — Pour tout dire, non je n'ai pas peur, je suis juste... Anxieuse de savoir comment tout cela va se passer, avoua-t-elle. — Tu seras avec d'autres soumise, elles t'expliqueront, répondit Till avec froideur. — Mais pourquoi des soumises? En quoi je serais comme elle? Répliqua l'humaine avec froideur. — Tu verras bien quand tu seras dans le truc. — Mais quel truc?! S'agaça Jennifer.Till ne répondit pas et avança, regardant droit devant lui. Il était si mystérieux. Pourquoi un tel changement de comportement? Telle était la question. Till n'était pas fou ni dupe, il savait et ressentait ce que sa belle avait et pensait, il avait honte de son comportement, mais pour le coup, il ne pouvait se contrôler, après tout, il était «chez lui» et son naturel ne pouvait qu'être présent.Le couple arriva devant une nouvelle porte, et Till hésitait entre la faire exploser de nouveau ou bien l'ouvrir tranquillement, comme une personne civilisée. Il opta pour une ouverture tranquille. Il prit la poignée de la porte, mais ne contrôlant pas sa force, lorsque Till l'ouvrit, la malheureuse lui resta dans la main. Till et Jennifer se regardèrent, cette dernière lui faisant les gros yeux. — Si tu veux qu'on habite ensemble, fais-moi penser à prendre un stock important de portes... Lança-t-elle blasée.Till lui sourit et se prosterna pour la laisser passer. Elle le remercia et passa devant le démon, l'attendant un peu plus loin, le temps qu'il remette la porte en place, puis il la rejoint. Ils marchèrent, encore et toujours, puis Till poussa une nouvelle porte et ils arrivèrent dans une salle, immense éclairée seulement par la lumière des flammes sur les torches. Les murs étaient des plus simples, de la lave solidifiée et sculptée, des figurines sorties directement du kamasutra trônaient partout dans la salle, différents gods et autres sextoys figuraient en tableaux, sculpture ou dessin. Il y avait une grande scène au milieu de cette pièce où se dressaient des barres pour les strip-teases et des cages. Jennifer était surprise de voir ça et se demandait ce qu'était cette pièce et à quoi elle pouvait servir. Elle n'avait jamais vu de telle salle à l'extérieur, même dans les salles de strip-teases. Intriguée, elle lâcha la main de Till et fit le tour de chaque table, chaque tableau, chaque sculpture, observant chaque dessin. Elle tomba sur l'un d'entre eux, très surprenant. Elle le regarda, l'admira et finit par admettre qu'il était très beau. Ce dessin représentait un acte sexuel entre un démon et une elfe. Ils étaient dans la position du loup, on pouvait lire sur le visage de l'elfe de la douleur, mais aussi beaucoup de plaisir, quant au démon, il semblait impassible. Les couleurs étaient principalement noir, rouge, bordeaux et bleu pour l'elfe. Jennifer reconnut un endroit de la salle et sembla surprise. Elle passa au dessin au dessin suivant qui représentait un autre démon avec une tête de chacal en train de se masturber. La taille du phallus lui paraissait disproportionnée. Elle se retourna vers Till et lui montra le tableau. Le démon s'approcha d'elle et regarda à son tour. — C'est sympa la déco, mais les proportions sont exagérées non? Demanda Jennifer. — Non, c'est bien sa vraie taille, expliqua Till très calme.Jennifer sursauta et regarda le dessin en le dévisageant. Till la regarda et fit un sourire en coin très amusé. — Ne t'inquiète pas, mon sexe n'est pas de cette taille là malheureusement, tu l'as constaté, sourit-il. — Quel dommage, j'aurai voulu savoir ce qu'on ressentait, taquina-t-elle. — Je peux vous le faire découvrir, fit une voix rauque derrière eux.Les amants se retournèrent et firent face au démon à tête de chacal. Jennifer rougit et était gênée de le voir. Il s'approcha d'eux et regarda Till, l'air sceptique. Ils se mirent à parler en hindi, et Jennifer se sentit bien seule à ce moment-là. — Abigor, on ne t'a pas vu en enfer depuis des siècles, cingla le chacal. — Je ne veux plus avoir à faire ici, répliqua Till sèchement. — Que viens-tu faire ici puisque tu nous renies? — Je viens pour le rituel de fusion, souffla Till. — Oh je vois, tu as trouvé une soumise, sourit le chacal en regardant Jennifer avec envie. — Fais gaffe! Je te rappelle que tu me dois le respect et donc celui de ma soumise. — Pour le moment, elle n'est rien à part une pauvre humaine qui vend son âme à un traitre!Till attrapa la gorge du chacal et l'empala sur un trident accroché au mur. Le chacal gémit de douleur puis se mit à rire alors que Jenny était pétrifiée devant l'excès de colère de Till et se demandait réellement s'il allait être aussi brutal dans ce rituel dont elle ignorait tout. Le démon à tête de chacal se mit à rire et s'extirpa de ce trident. — Je ne ferais rien à ta soumise. Quand veux-tu le faire ton rituel? — Ce soir! Tu envoies les invitations à tout le monde et je veux voir la salle remplie dans une heure maximum, imposa Abigor avec autorité.Le chacal soupira et se mit à grogner et aboyer avec force. Le silence fut maître après cela durant plusieurs secondes, puis un bruit de talons se fit retentir. Ils se retournèrent tous les trois et virent des femmes, au nombre de dix, toutes nues avec des talons aiguilles. Elles avaient la particularité de ne porter sur elles que des caches-tétons et une sorte de string ou la ficelle pénétrait l'intimité et les fesses. L'une d'entre elles n'était pas à l'aise. Elle semblait gênée par quelque chose, quelque chose qui la fit s'effondrer en poussant un gémissement puissant. — Quel orgasme ma belle, mais t'ai-je demandé de l'avoir? Demanda le chacal en s'approchant d'elle. Retourne dans la loge, je te punirais pour ça, ordonna-t-il.Elle fit demi-tour, toujours autant gênée tandis que les autres se tinrent en rang d'oignon devant Till et Jennifer. Il y avait des elfes, des démons, des humaines, et même un troll. — Je vous présente mes soumises, celle qui est partie est toute nouvelle, elle ne supporte pas encore tout ce que je peux lui faire, rit-il en embrassant un des elfes. Les filles je vous confie la demoiselle. Vous me la préparez comme il faut, je veux que dans une heure elle soit prête, ordonna-t-il.Les filles sourirent et tirèrent Jennifer par les mains en niquassant et se trémoussant. L'humaine ne pouvait que se demander ce qu'on lui réservait, mais de toute façon, elle n'avait plus le choix et ne pouvait pas reculer. Elle finit par disparaitre dans les coulisses, laissant Till et le chacal, seuls. Les deux démons se regardèrent — Tu as une tenue de prévue? Questionna le démon. — Oui, je sais quel est son fantasme vestimentaire, sourit Abigor. — Alors, viens avec moi que l'on puisse te préparer.Les deux hommes disparurent dans un recoin de la salle, cachée derrière un rideau noir et épais.À peine rentrées que les filles fermèrent la porte derrière elles, bandèrent les yeux de Jennifer en souriant et riant. Certaines se mirent à la déshabiller entièrement, d'autres l'épilaient, ou même encore lui vernissait les ongles. Une elfe glissa ses doigts sur les tétons de Jennifer pour les lui faire pointer, mais gêner, il n'y eut aucune réaction. Deux humaines poussèrent Jennifer et l'installèrent sur une chaise. Elle devait impérativement être maquillée et coiffée. La séance dura de longues heures et Jennifer n'avait pas ouvert une seule fois les yeux, même pour le maquillage. Elle ignorait pourquoi elle était nue, elle appréhendait beaucoup, mais au fond de ses entrailles, elle ressentait une certaine excitation, et dans sa tête, elle s'imaginait mille et une scènes sexuelles avec Till. Les filles ne cessaient de rire, de glousser et de se raconter leurs ébats avec leur maître. — Mais pourquoi les appelle-t-on des soumises et les hommes des maîtres? C'est un délire de démon ? Se questionna Jennifer très intriguée. Le silence fut soudain. Plus aucun son ne sortait de la bouche des filles. Que se passait-il? Jennifer ne voyait rien et elle ressentait un mélange d’excitation et de terreur. Des pas se firent entendre. Ils étaient lourds, lents et puissants, mais Jennifer aurait reconnu ces pas parmi des milliers. Ils se rapprochaient d'elle, bientôt seul son souffle pouvait se faire entendre. L'inconnu s'approcha de son oreille et respira lentement. Ce souffle... Des milliers de frissons parcoururent le corps de la belle. Elle sentit rapidement quelque chose autour de son cou, comme une sorte de collier en cuir et très large. Une légère pression sur sa nuque la fit frissonner à nouveau et elle n'avait pas d'autre choix que de suivre cet inconnu, inconnu qui ne l'était pas tant que ça. La porte s'ouvrit et un brouhaha intense se fit entendre, accompagné de musique dure, du bon vieux thrash métal. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, mais son instinct et son intrigue l'encourageait à le faire.L'inconnu, qui n'était autre que Till, tira Jennifer par une corde, relié à ce fameux collier qui avait en lui tout un symbole qu'il expliquerait à sa douce plus tard. D'un pas lent et décidé, il s'avança vers le centre de la scène, là où trônait la plus grande des cages. Les démons présents hurlaient et encourageaient Till. Abigor la fit entrer dans la cage avec brutalité, la bousculant presque. Il lui ordonna de monter sur de petite marche. Elle s’exécuta sans broncher, comme si c'était naturel pour elle. Une fois installée, Till lui attacha les mains de part et d'autre de la cage, puis remonta chacun de ses pieds pour les lui attachés également. Il mit un grand coup de pied pour enlever les marches. Elle se retrouva en suspension, simplement soutenue par ses attaches. La position excitait plus Jennifer qu'elle ne l'aurait pensé. Elle était totalement dans l'inconnu, aveugle et démunie, offrant son corps à un inconnu qui ne l'était pas, livré à lui, sans aucune limite. Till referma la cage et avança vers une petite table où se trouvait divers objets: Bougie, gods, cravache, pince-téton et intimité, glaçon, plug et boule de geisha. Il passa le bout de ses doigts sur chaque jouet puis regarda sa belle avec envie. Il ne pouvait pas le cacher, il avait une érection comme jamais il n'avait eu et il n'avait qu'une hâte: montrer à sa belle son costume. Il s'approcha des barreaux, passa ses bras au travers et dénoua le nœud du bandeau. — N'ouvre pas les yeux où tu auras à faire à moi, susurra-t-il dans son oreille.Curieuse et provocatrice, la demoiselle ouvrit un oeil. Grossière erreur! Till s'approcha de la cage et serra son visage entre ses doigts. Elle lui avait désobéi. — Regarde, mais tiens-toi prête à être punis pour m'avoir désobéis.Till se recula. Une corde descendit du plafond et Till l'attrapa, ordonnant à sa soumise d'ouvrir les yeux. Elle s’exécuta et son sang ne fit qu'un tour, son ventre fut envahi de papillon et elle sentait que son intimité devenait humide d'excitation. Son fantasme? L'habit marin. Till portait un pantalon blanc où son érection impressionnante se faisait voir, une chemisette blanche, une veste blanche et une casquette. Elle n'en pouvait plus, il l'excitait, elle ne prêta même pas attention aux démons qui les regardaient avec envie. Till lui sourit sadiquement et tira sur la corde. Plusieurs mètres cubes d'eau s’abattirent sur lui alors qu'il penchait la tête en arrière. L'eau transforma ses vêtements en simples tissus transparents. On pouvait remarquer la pilosité de Till, mais aussi ses tétons qui pointaient de désir, mais ce qu'on remarquait le plus, c'est bien le sexe de Till, large et grand, mais pas du même niveau que le dessin dans la salle. Jennifer tira sur ses liens, provoquant ainsi le démon qui s'approcha d'elle. Il lui remit son bandeau et l'embrassa en pinçant doucement son téton gauche. Elle se mordit la lèvre et tira sur ses liens. Il lui adressa une petite gifle en riant sournoisement, puis se recula pour être à la hauteur de la table où se trouvaient tous les jouets. Il les regarda un par un et fini par choisir les boules de geisha, prenant le tube de lubrifiant pour les recouvrir, même s'il n'y en avait plus besoin vu le liquide qui brillait et coulait entre les cuisses de sa belle déjà très excitée par la vue de son amant en marin. Il s'approcha d'elle, approcha sa tête de ses lèvres et lui mordit doucement le cou, glissant sur ses seins et ses tétons et il pénétra en elle une première boule. Jennifer sursauta et gémit de plus en plus fort au fur et à mesure que la boule entrait en elle. Il pénétra la seconde avec lenteur et en profita pour laisser ses doigts en elle. — Que... Que fais-tu...? Gémit-elle d'excitation — Vouvoie-moi! Ordonna-t-il avec sévérité. — Till... Je t'en p...Till saisit la cravache et la claqua sur ses fesses avec force, arrachant un cri de plaisir et de douleur. Elle sentait les boules bouger en elle, elles la gênaient, mais les vibrations qu'elles lui procuraient étaient tellement bonnes. Till pénétra à nouveau ses doigts en elle, jouant avec les boules et profitant de la situation pour appuyer sur le clitoris avec son pouce. Jennifer sentait la chaleur monter et devait avouer que les boules en elle lui faisaient plus d'effet qu'elle ne l'aurait imaginé. Abigor se décida enfin à enlever ses doigts et se dirigea vers la table, laissant quelques secondes de répit à sa douce qui ne cessait d'onduler son bassin, mais plus elle gesticulait, plus les boules de geisha frottaient l'une à l'autre, procurant un plaisir toujours plus puissant. Elle sentait l'orgasme arriver, elle ne pouvait le retenir. Jennifer se mit à hurler, bougeant dans tous les sens tant il était fort. Till se retourna, sourit et prit à nouveau la cravache. Il passa derrière elle et frappa fort. — T'ai-je ordonné d'avoir un orgasme? Grogna le démon en claqua à nouveau ses fesses. — N... Non, gémit-elle de plaisirLe voit sourire et revenir à la table. Il reposa la cravache et prit des pinces tétons et intimité. Jennifer ressentit une vive douleur aux tétons et hurla en se cambrant, faisant bouger les boules en elle. Puis les douleurs se firent ressentir sur ses lèvres intimes. Till s'amusa ensuite à lui mettre un baillon, prétextant en avoir marre de l'entendre hurler, profitant pour attacher ses seins et les faire ressortir. Il passa furtivement son doigt sur chaque téton dressé et pincé, la faisant hurler de plaisir. Au fond de lui, il n'aimait pas lui faire ça, mais son âme de démon était excitée par ça. Il voulait la faire jouir de douleur et de plaisir, qu'elle soit livrée à lui et rien qu'à lui, qu'elle soit en quelque sorte son jouet. Il prit ensuite le bac de glace et pinça deux glaçons qu'il posa directement sur les tétons, en les bougeant. Le corps de la belle se couvrit de frisson et elle gémit avec puissance tout en sursautant. Till prit ensuite d'autres glaçons et les pénétra en elle. Elle eut le souffle coupé tant c'était froid, et tout en jouant en elle avec les glaçons et les boules, Till s'empara de la bougie en riant sadiquement. Ce rire inquiétait la demoiselle et lorsque la cire brûlante entra en contact avec les tétons douloureux. Elle ne put retenir ses larmes tant la douleur et l'excitation étaient fortes. Il s'amusait à lui en mettre sur tout le corps, la faisant crier un peu plus à chaque fois. Il aimait ça, sa nature aimait ça, mais au fond de lui, il avait envie de son corps, de lui faire l'amour comme une reine, mais aussi brutalement comme le devait la tradition et le rituel. Il laissa les autres jouets de côté et la détacha. — Fais attention en descendant, murmura-t-il à son oreille.Elle se laissa glisser, tremblante sur ses jambes, au bord de l'orgasme. Il tira doucement sur la corde reliée au collier et la fit sortir. Chaque pas qu'elle faisait était une torture et elle comprenait maintenant ce qu'avait la soumise du chacal. Les boules ne cessaient de s'entrechoquer, de vibrer en elle, elle savait que l'orgasme n'était pas loin. Till colla le dos de sa belle à l'une des barres de la salle et lui attacha fermement les poignets à cette dernière. Elle cambra son dos sous la fraicheur de la barre et se mit à gémir fort en se débattant. Till venait de poser un vibro sur son clitoris, tenant de l'autre main un martinet qu'il claquait doucement sur les fesses de sa belle. Elle n'en pouvait plus. Ses jambes se dérobèrent sous la violence de l'orgasme. Till la retint, inquiet, mais il ne le montra pas. Il rattacha sa douce et retira d'un geste vif les boules, provoquant en elle des orgasmes multiples. Jennifer se laissa glisser le long de la barre, se retrouvant à genoux. Till retira ensuite toutes les pinces avec douceur, prenant tout son temps pour que le sang revienne bien comme il faut. Elle grimaça et gémit bruyamment. Till s'assura que tout allait bien puis prit le martinet et commença à fouetter doucement le ventre, les seins et l'intimité de sa belle. Elle ne pouvait pas bouger, juste se débattre, son corps était plein d'envie et d'excitation, toutes ses zones érogènes la faisaient souffrir le martyr, mais Dieu qu'elle aimait ça. Le seul truc que Till laissait c'était les liens autour de la poitrine de sa belle. Till sortit son impressionnant sexe, força Jennifer à ouvrir la bouche et le plaça directement à l'intérieur. Il ondulait d'abord lentement et avec douceur. Sa langue jouait autour du gland de Till. Elle jouait avec sa langue. Pour la première fois, Till se mit à gémir en ondulant son bassin. Subitement, il se mit à accélérer, laissant à peine le temps à sa maitresse de respirer, pénétrant entièrement son sexe dans sa bouche et en y restant quelques secondes. Chaque fois que Till se retirant, elle fut prise d'une quinte de toux. Till recommença plusieurs fois puis il la détacha. — Ton corps est mien... Je vais te faire jouir comme tu ne l'as jamais fait... Gémis Till.Till la tira par la laisse, la plaqua contre le mur en grognant à son oreille. Instinctivement, elle releva sa jambe, jambe que Till prit aussitôt dans sa main et pénétra en elle quatre de ses doigts, les bougeant rapidement en elle. Jennifer gémissait, toujours plus vite et toujours plus fort, c'est ce qu'elle attendait d'une certaine façon et ce que lui faisait Till à l'heure actuelle était tout simplement divin. Dès l'or où Abigor avait pénétré ses doigts dans l'humaine, les mâles s'étaient levés, hurlant, braillant et sifflant telle une horde d'animaux sauvages. On pouvait entendre «Vas-y! Baise-la! Soumets là!» ou bien encore «Domine-la Abigor! Fais-la mouiller comme jamais! Fais-la hurler!» La délicatesse des démons, pensa Jennifer en hurlant. Elle sentit les doigts de Till se plier. En effet, lé démon cherchait le point G de sa belle et il parcourait son vagin dans les moindres recoins tout en mordillant ses fesses et en les claquant de temps à autre. Abigor eut une idée. Sans crier garde, il pénétra entièrement son poing en elle, provoquant les hurlements de joie des spectateurs, ainsi que les hurlements de surprise de l'humaine. Quelle surprise! Mais quel bonheur et quel plaisir cette sensation. Elle n'avait jamais ressenti ça et ne pensait même pas que cela pouvait être possible. Elle avait la sensation d'être remplie. L'orgasme n'était encore pas loin et Till accélérait encore et toujours son poing. — Ti... Till... Gémit-elle. — Mon capitaine! Grogna le démon en accélérant. — Mon... Mon capitaine... Je t'en pris...Till attrapa la cravache et donna un coup sec sur les fesses déjà meurtries de sa bien-aimée. — Tu me vouvoies, je t'ai déjà dit! Fit Till avec autorité. — Mon capitaine... Je vous en prie... Je veux vous sentir... Gémit-elle. — Tu me veux? Tu veux mon corps? Mon sexe? — Oh oui mon capitaine...Till se redressa, plaqua plus sa belle en la maintenant contre le mur et pénétra avec fougue son sexe dans l'antre des désirs, leur arrachant un gémissement puissant, ainsi que les sifflements de la centaine de démons. Il était si puissant et sec, elle n'avait jamais vécu ça avec son démon, et elle se l'avouait, elle voulait recommencer. Les gémissements du démon se transformèrent en grognements rauques. Till n'en pouvait plus, dès lors qu'il avait ouvert son pantalon, il ne pensait plus qu'à ça, s'unir à elle, la transformer en démon par sa semence. Abigor alternait entre rapidité et violence et lenteur et douceur. Jennifer ne sentait plus son bassin tant elle avait été submergée par les multiples orgasmes et la puissance du démon et de l'acte en lui-même. Till se retira, retourna sa belle pour qu'elle lui fasse face. Il posta ses bras sous ses fesses, la souleva, la bloqua à nouveau contre le mur rugueux, posant sa main sur sa gorge et la pénétra à nouveau avec force, suçant ses tétons encore douloureux, arrachant un gémissement puissant à Jennifer. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, se laissant totalement faire. On aurait pu croire que Till n'avait aucun respect pour elle, qu'elle était un simple objet sexuel ou un «vide-couille» comme on le dit vulgairement, mais non. On pouvait vraiment ressentir le respect qu'a le démon pour elle. Après une ou deux minutes, Till se retira à nouveau, la fit glisser avec prudence et la força à se coucher sur le sol, écartant bien ses jambes et les repliant sur elle. Cette fois, il pénétra son sexe très doucement pour accélérer sans prévenir. Il prit une inclinaison et fit mouche. Il toucha le point G de Jennifer. Son souffle se coupa, son dos se cambra. Aucun son ne sortit de sa bouche. Elle n'en pouvait plus. Till avait toujours la main sur sa gorge et accélérait, encore et encore, en étant toujours plus puissant, plus sec. Till sentait qu'il allait atteindre apothéose. Alors, pour calmer sa pulsion, il ralentit et embrassa sa chère et tendre. Il se redressa après quelques secondes, il se retira, tira sur la laisse et lui mit une petite gifle. — A quatre pattes maintenant, ordonna-t-il — Oui mon capitaine, gémit-elle.Elle s'exécuta, et se mit à quatre pattes en cambrant son dos pour bien présenter son postérieur. Till ne se fit pas prier. Il appuya sur les omoplates de sa belle, s'accroupit en la bloquant fermement et la pénétra en étant toujours plus rapide. L'humaine n'en pouvait plus, elle était épuisée et avait perdu toute notion de temps, tout ce qu'elle savait c'était son plaisir et celui de Till. D'ailleurs, le démon se mit à grimacer et à souffler très fort. Il sentait que l'orgasme était là, qu'il allait bientôt la transformer en démon. Il fut pris d'une violente hésitation, un doute très important, il se demandait si elle allait le regretter, s'il était bien pour elle, s'il allait contrôler ses pulsions démoniaques. Il doutait de lui, pourtant il voulait tellement qu'elle vive à ses côtés à jamais, pour l'éternité. Il ne put répondre à ses questions. Till se cambra violemment, resserrant ses mains sur les parties charnues de Jennifer. Le cri qu'il sortit résonna dans tous les enfers, assourdissant tout le public de voyeur présent. Jennifer l'accompagna et hurla. Abigor répandit sa semence en elle, la brûlant en même temps. Il devait faire vite. Il prit un couteau et s'ouvrit le bras, laissant couler un peu de son sang dans la bouche de sa belle afin de finir la transformation. Le goût du sang ne lui plaisait guère et elle fut prise de nausée.Till se retira doucement d'elle et la regarda. Jennifer se retourna et resta allongée, incapable de se lever tant les orgasmes avaient été puissants. Tous les démons présents se levèrent et applaudir puis en un instant, tous disparurent, ne laissant plus que Till et Jennifer. Le démon la regarda tendrement et s'allongea à ses côtés en la blottissant contre son cœur et en lui caressant son ventre. L'humaine se retourna en grimaçant et se blottit en caressant tendrement son torse transpirant. — Pardonne-moi pour tout ce que je viens de te faire... Fit-il angoisser. — Till... T'excuse pas... Je crois que j'ai jamais autant ressenti de plaisir même si je ne suis que débutante, sourit-elle en lui embrassant le ne.Till regarda chaque parti de son corps qu'il avait torturé. Il retira les liens autour de la poitrine de sa dulcinée et se leva. — Liebe... S'inquiéta Jennifer. — Je reviens, je vais te nettoyer tout ça, une infection peut vite arriver, expliqua-t-il rassurant.Till referma la fermeture de son pantalon après avoir rentré son sexe dans son pantalon et il disparut quelques secondes à l'arrière de la scène pour revenir avec une boite de gant en latex, de la biseptine et une boite de gaze. Jennifer se redressa, curieuse de voir ce que Till faisait avec ça. Doucement, il appuya sur son buste pour la recoucher. — Que fais-tu...? Demanda-t-elle. — Je te soigne... Je n'ai pas très envie que ça s'infecte et... Que tu sois mal... Répondit le démon en soignant autour de son intimité et de ses tétons.Jennifer grimaça au contact de la gaze, mais elle était heureuse, il prenait soin d'elle. Till se mit à sursauter et avoir le souffle coupé. Jennifer se redressa paniqué et regarda Till. Il semblait en transe. Elle l'appelait encore et encore, mais il ne répondait pas. Ce qui paraissait quelques secondes pour le démon était en réalité plusieurs minutes. Lorsque Till revient à lui, épuisé. — Till?! Il s'est passé quoi? Paniqua-t-elle. — Euh... Je... Rien... Rien... Répondit-il choquéLes larmes lui montaient aux yeux et Jennifer le prit dans ses bras. Ce qu'il venait de voir était tout simplement... Superbe... Il n'aurait pu faire plus belle vision. Il enroula ses bras autour d'elle et la berça tendrement en caressant le creux de ses reins.
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Par : le 09/08/13
Cela faisait plusieurs mois que nous nous fréquentions et à force de patience et grace aux sentiments qui nous animaient nous avions doucement fait évoluer notre relation. Quelques mois auparavant, lorsque l on s étaient rencontrés, elle ne savait pas vraiment ce qu elle recherchait, tout juste était-elle capable de dire que ces jeux l attirait inexorablement et qu elle n envisageait pas de vivre pleinement sa sexualité sans qu ils ne soient présents. Quand à moi, j avais une idée plus claire de ce que j attendais de cette relation même si je ne l avais encore jamais vraiment expérimenté. Comme nous ne vivions pas encore ensemble l attention que je lui portait ne se traduisait pas forcément par un contact physique. Mais au fil des jours, mon emprise sur elle grandissait et bien que de l extérieur rien ne transparassait chacun de nous savait que c était bien moi qui tenais les rênes. Elle si dynamique. si indépendante s était laissée prendre dans mes filets et trouvait dans les quelques contraintes que je lui imposait un réel bien être qui transparaissait. Je n usais de mon autorité reconnue qu elle m autorisait qu avec parcimonie et justesse. Depuis quelques semaines elle ressentait me disait-elle le besoin de me céder encore plus le contrôle et de s abandonner totalement. Au fil des jours, semaines, j ai progressivement renforcer les règles et il était bien rare qu il se passe plus de deux jours sans que je la punisse, le plus souvent parce que d elle même elle transgressait les dites règles afin que je puisse " abuser " de mon autorité. Un soir, me trouvant dans mon bureau je l appelle , elle me rejoins la démarche mal assurée à cause des liens que j avais placé plus tôt sur ses chevilles , je l accueille sourire aux lèvres et l embrasse pendant que mes mains parcourent son corps, doucement , lentement , et je tapote gentiment sur ses fesses encore marquées par la correction infligée hier soir. Puis je lui demande de s assoir sur le bord du bureau et après lui avoir retiré ses liens je l attache aux pieds du bureau de manière à disposer d un accès direct à son intimité , ensuite je lui attache les poignets avant d étirer au maximum ses bras au dessus de la tête. Je la regarde , une fois encore totalement impuissante , offerte à mon regard , offerte tout simplement , situation que j apprécie énormément. Ensuite je place un bandeau sur ses yeux et décide de la laisser ainsi un certain temps puis je pars vers d autres occupations. De retour aussi discrètement que possible je vous administre un coup de martinet qui lui provoque un long gémissement... Je joue avec son corps alternant coups de martinet et caresses, mes mains glissent sur son corps et mes doigts finissent par pénétrer son intimité que je fouille sans retenue puis je les retirent afin de jouer avec ses petites lèvres que j étire doucement, je me baisse et bientôt ma langue rejoint mes doigts afin de goûter son fin nectar. Je sais comment l exciter et aussi identifier les signes précurseurs de sa jouissance , aussi d une voix ferme je lui demande de ne pas jouir sans mon autorisation préalable , elle acquiessa . Elle sait qu elle aura beau et se débattre autant que ses liens le lui permettront et de tout tenter pour m amadouer rien n y fera. Pour ajouter un petit plus à son supplice j enfonce lentement un oeuf vibrant télécommandé dans son vagin plus un plug anal de bonne taille dans son anus déjà détendu sous l effet de son plaisir et je reprend mes caresses tantôt buccales que manuelles tout en activant de manière progressive l oeuf vibrant qui dans un bruit de fond s anime en de légères vibrations. Son corps réagit immédiatement et ses gémissements se font de plus en plus présents , sonores et je sens son sexe se liquéfier sous mes doigts. Voulant faire durer encore plus son supplice je m arrête à chaque fois que je sens les prémices de son plaisir arriver, je fais une pause pour lui mettre des pinces sur ses tétons puis d une voix douce lui dit que cette fois-ci je l autorisais à prendre son plaisir sans retenue et surtout sans plus d interruptions .. Au fil des mois nous sommes allés très haut , très loin , explorant et repoussant sans cesse nos limites, sans retenue , sans tabous mais toujours dans la confiance réciproque et dans le dialogue et la communication qui ne nous ont jamais quitté. Mais un jour, entre la différence d âge qui nous opposait et la grande distance qui nous éloignait notre belle histoire a pris fin So
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Par : le 09/08/13
Bientôt cela va être l'anniversaire d'Amandine, celle qui fut pour moi cette première réelle personne avec qui j'ai partagé cette passion si profonde de façon suivi... A chaque année, je ne peux m'empêcher de penser à elle, il est vrai que pendant 3 à 4 ans que notre relation à durer, nous avons vécu de très très fort moment...riche tant en passion, qu'en émotion mais aussi en partage de chaque petites choses que la vie a pu nous offrir... Je me souviens souvent de son dernier anniversaire un peu comme si c'était hier ... Tout commença le matin...Amandine me laissait seul, devant se rendre à son travail de bon heure. Pour ma part je profitais un peu de ce temps de répit pour lui préparer une petite surprise pour la soirée.... Je lui préparais une petite lettre lui décrivant tout ce qu'elle devait faire dès son arrivée du travail. Je lui demandais dans cette lettre de revêtir les vêtements que je lui avais choisit, Pour les dessus : une jupe noir longue portefeuille un bustier Noir...un peu juste pour elle... Une paire de chaussure à talon aiguille Pour les dessous.... Des bas blancs Un sous-vêtement en dentelle blanc Puis de se maquiller d'une façon très spécifique... Les yeux bien marqués de noir se dessinant fortement et le dessous remontant après les yeux légèrement Les sourcils marqués et tirés vers le haut Les lèvres noires Les ongles tout aussi noirs Et pour finir...je lui demandais de ne pas porter de suite ce qui cacherait sa Fleur....mais elle devait avoir cela près à être remis en bonne place...et donc devait être juste au niveau de ses chevilles.... J'avais déposé l'ensemble du nécéssaire sur le lit....ils n'attendaient que le retour d'Amandine pour qu'elle les portes. J'avais passé toute la journée à préparer cette soirée...vers 18h je rentrais enfin à la maison, enfin à l'appartement d'Amandine... Lorsque j'ouvris la porte...Amandine était debout dans le salon, tête base, les mains dans le dos... Elle était vêtue exactement comme je lui avais demandé... Elle arborait fièrement cette tenue si délicate et attendait avec une grande impatience la suite des événements... Je passais à proximité d'Amandine...toujours sans avoir dit un mot... Puis je lui dis alors... « Vous êtes délicieusement parée...je vous en remercie » Lorsque que nous « jouions » nous usions toujours du vouvoiement...c'était entre nous comme un code...qui marquait le passage à notre relation des plus iques au monde des jeux des passions folles qui étaient aussi notre crédo ... et qui plus est marquait également un respect, et un cotés très mondain ... Je mirais pendant un temps cette belle créature qui d'Amandine était devenue cette Fleur de Nacre qui avait ma passion, mon dévouement pour la conduire par de-là les frontières du raisonnable. Je défis le bandeau qu'elle avait apposé pour d'abord mirer son regard si bien dessiné comme je l'avais désiré... mais aussi pour lui présenter son premier cadeau.... Je lui tendais alors un coffret rouge... Elle l'ouvrit délicatement... Au vue de son contenue, son visage s'illumina de milles feux...la boîte renfermait un superbe objet qui était sa convoitise avant même qu'elle ne fut mienne... et dont elle avait rêvée mainte fois... C'était un plug anal qui se terminait par un panache tel une queue de cheval...Amandine avait rêvée de pouvoir un jour participer à un Poney-girl...avec un tel objet en sa possession... Mais je lui réservais encore une autre surprise.... Je lui dis alors que ce cadeau n'était pas encore à porter...et je pris alors simplement soin de remettre délicatement le bandeau sur ses yeux.... Puis je lui demandais de mettre les mains derrière la tête, tendue... Elle sourit alors comprenant que ce petit geste n'avait qu'un but... Lorsque mis ses mains derrière la tête...de son bustier trop juste pour elle, sortit immanquablement ses monts si beau... La pointe sortant juste au dessus de cette étoffe si douce sur sa peau... Je m'approchais alors de son corps... J'embrassais son cou puis progressivement, je descendais entre sa vallée et ses monts, rejoignant ses pointes que je pris soin de faire poindre par d'adorable baisers tendre et quelques morsures... Puis je pris entre mes mains les hanches d'Amandine...puis une main vint prendre sa jambe...et je la mis sur le canapé... Bien sur sa robe fit entrevoir ses charmes et mon but fut volontairement de pouvoir entrevoir ce qu'elle avait de si précieux...
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Par : le 06/08/13
Le film est terminé depuis longtemps… La neige remplis leurs pupilles dilatés. Leurs regards se perdent, s’accrochent, se tiennent désespérément un instant et se perdent à nouveau. Pour toujours… Allongé sur le sol, il tire par automatisme sur le cône de papier. La cendre est tombée sur ses joues.. Elle fixe ce point rougeoyant à ces pieds. … C’est le signe qu’il respire : Ce point rouge dans la pénombre qui s’anime et meurt pour s’animer à nouveau. C’est le signe que son cœur bas, que son sang circule, coule dans ses artères, dans ses veines… Dans sa vie…Dans sa verge…. Dans sa verge… Dans sa verge… Dans Sa belle verge, Sa queue, Sa bite ! La Sienne ! A elle ! Comme mu par une force extérieur, elle regarde sa cuisse glissée doucement. Son pied prendre son envol, et venir se poser sur la branche de chaire. A son contact, l’arbre immobile semble reprendre vie…... Flash ! Une seconde, chaque détail de la pièce explose et lui brule les yeux qu’elles plissent : Lui, nu, sur le sol. Les pilules multicolores qui jonchent le sol, les cendriers renversés, les godes souillés, les bouteilles brisées, les fouets, les restes de pizza, les aiguilles encore figées dans ses tétons, sa culotte déchirée, se sang qui perle par endroit sur l’écorce déchirée … Et l’écran qui se met en veille… Ou peut-être n’a-t-il jamais été allumé. NOIR Juste le membre qu’elle sent sous son pied. L’arbre qui gémis au loin à son contact et sa rivière qui soudain gronde à nouveau en elle, encore plus fort, se gonfle, hurle, lui brule le ventre et jaillit d’entre ses cuisses ouvertes, l’inonde et la submerge. Envahi la pièce, le sentier, la foret… Les pilules qui flottes et danse avec les bouteilles vides… Le niveau monte, monte vite, trop vite !!! C’est un torrent de mouille qui va la noyer ! L’emporter ! Elle ne peut refermer ces cuisses, le flot est bien trop puissant ! il l’écartèle ! S’accrocher ! Vite ! A n’importe quoi !!! N’importe quoi qui flotte !!! A l’arbre ! à la branche ! Planté son trou sur cette bite et faire cesser le flot ! Elle lance son bassin vers le sol et s’empale littéralement… Mais l’arbre réagit peine ! Pourtant elle à tout sentie. Millimètre par millimètre. Elle a senti chaque veine, chaque aspérité lui remplir la chatte. Révulsant ses pupilles dans une vibration qui l’emporte là-haut. Tout là-haut ! Jusqu’à ce que la queue butte contre sa matrice. Que le frottement cesse. Alors un instant elle flotte dans les airs, loin, si haut. Le sexe écartelé sur sa queue. La sienne, en elle…. Et puis la chute ! Elle tombe, elle hurle ! Elle a envie, besoin, absolument, maintenant ! Dans un élan désespéré, elle lance ses bras au ciel. Le mouvement la soulève… Elle reprend son envole quand la hampe glisse à nouveau hors d’elle. Ses lèvres s’entrouvrent, la salive s’écoule. Le mouvement prend fin, la retombée l’empale a nouveau. Lui permet de voler encore un instant… Puis plus rien… Et l’arbre qui ne bouge pas… Il gémit, mais ne bouge pas ! « Bouge !!! », « bouge » , « Baise moi salope », « baise moi putain !!!! Ahhhhh !!! » Elle le gifle.. Un sursaut, un mouvement dans son ventre… un court envole… Elle serre son poing et frappe, un autre mouvement plus violent, elle s’envole à nouveau. Elle ne veut plus descendre ! Elle frappe, frappe et frappe encore. Chaque coup plus violent impose sa secousse plus violente encore… « Encore ! Encore ! T’arrête pas »… Comme si elle se parlait à elle-même, comme pour oublier l’insoutenable douleur dans ses phalanges, et les bruits des os qu’on frappe, des mâchoires qui s’entrechoquent, du nez qui se brise !! Elle est encore loin de jouir ! Et la musique envahi son crâne, un bit lourd qui la prend toute entière ! Elle frappe en rythme, chaque fois plus fort, chaque fois plus dure ! Des deux mains ! Partout ! il faut qu’il bouge ! Elle ne le peut pas ! Trop terrifier par sa mouille qui monte et va la noyer, par sa mouille et par le sang qui coule de l’arbre… Elle jette sa tête en arrière. Pour la maintenir hors du flot. La bouche grande ouverte pour avaler l’air vitale à son voyage. Jouir !! Jouir avant de mourir mais jouir ! « Encore bon dieu !! »… Mais il ne réagit plus ! Plus du tout ! Elle attrape les tessons de bouteille qui flottent dans le jus sanglant. Elle le frappe à nouveau ! il Bouge enfin !!! Enfin !!! Enfin !!! Bientôt ! Encore ! Maintenant !!! C’est sur ses propres cuisses qu’elle frappe à présent ! Pour les forcer à réagir ! A l’empalé !!! « Oui ! Oui ! Oui ! OUI !!!! Arhhhhhhhhhhh » Ca y est ! Enfin !!!! Elle s’est libérée !!! Elle flotte ! Dans l’arborescence secrète d’un arc en ciel qui lui cède le passage en souriant ! Elle n’a qu’à avancer le doigt pour toucher le vol des palombes et des cithares mélodieuses… Alors l’arc en ciel se déploie pour la prendre avec lui. L’immense porte des enfers s’ouvre devant elle et Satan se branle frénétiquement en hurlant de rire : - « welcom Lady ! » Quand les pompiers enfonceront la porte, elle laissera échapper dans un dernier soupir, le visage plaqué sur le masque de chair ensanglanté de son amant : « ………….Ne fermer pas la porte, je ne vais pas rester………………………………….. »
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Par : le 05/08/13
Suite de initiation a la promenade une fois arrivés sur l herbe, je vous demande de vos mettre a genoux ce qui ne fut pas aisé car vos mains toujours attachées dans le dos. redressez vous et tacher de maintenir cette position vous ai-je dit d un ton sec et pour être sur de ne plus entendre vos jérémiades je vous baillonne. je m approche très près de vous et vous sussure que jusqu a maintenant et contrairement a ce que vous pensiez cela avait été facile mais que là il allait vous falloir vous contrôler car de marcher à genoux le buste bien relever à l aveugle et les mains attachées dans le dos avec collier et laisse cela allait être une autre histoire.... et pour enfoncer le clou je vous dit en haussant la voix qu à chaque faux pas de votre part vous recevrez une punition, punition qui variera selon mes envies. A peine vous ai-je lancer allons y pour 500 m que déjà vous gémissez. Après a peine 20 mètres sans que j intervienne au niveau de la laisse vous vous relachez et poser votre postérieur sur vos talons tout en émettant des gémissements. je vous donne l ordre de continuer , vous vous redressez avec peine et comme remerciement d un coup, un seul je vous fouette les seins avec une petite branche ramassée plus tôt. vous laissez échapper un long cri qui n a comme réponse que chose promise chose due et qu à l avenir j ose espérer que vous ne nous ralentirez plus. Nous reprenons la marche et pour aller un peu plus vite et vous rendre la tâche encore plus difficile je décide de tirer sur la laisse par petits à coup , en même pas 5 m vous f trébuchez de nouveau ce qui m oblige de fait à vous punir de nouveau, vous êtes là ,la tête plongée en avant dans l herbe et votre postérieur légèrement relevé, je vous ordonne de ne pas bouger et vous administre rapidement deux gros coups de fouet sur votre postérieur avec la même branche que précedement. votre cri est encore plus fort et accentué et la douleur vous fait vous relever d un coup . Avec ma voix la plus douce je vous avertis que dorénavant les punitions iront crecendo et que vu la distance qu il nous reste à parcourir il voudrait mieux que vous vous concentriez un maximum, et pour vous motivez je me baisse pour vous caresser votre postérieur que j aime tant marquer de mon empreinte ,et vous embrasse doucement dans le cou. Bien que prévenue , vous ne parvenez que très peu a garder votre équilibre ce qui engendre de nouveaux ralentissements et donc de nouvelles punitions. Puis arrivés devant un cours d eau dont l origine du bruit ne vous avait pas échapper je vous permet une pause et vous allonge donc sur le dos, toujours ligotée mais vous enlève votre baillon afin de vous embrasser pour votre effort. Suite au prochain épisode
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Par : le 05/08/13
(Petite nouvelle sans prétention écrite à la va-vite, je corrigerai les fautes et la syntaxe plus tard, je suis fatigué asteure) C'était un jour de milieu de semaine, un jeudi je crois bien. Ce jour qui précédait la fin de semaine, qui annonçait un vendredi détendu pour pas mal de mes connaissances et un week-end de beuverie et de fête. L'automne s'était présenté, accompagné d'un petit vent discret. J'attendais à la lisière d'une forêt à côté de la frontière, sur le petit parking d'un bar. J'habitais une ville qui avait la particularité de compter quelques espaces verts et un accès à des forêts; ainsi qu'une situation géographique près de la Germanie, pays du latex et du fétichisme en général selon les stéréotypes en vigueur. Oui, j'attendais. Qui? Mystère... Au fond tout ce que je savais d'Elle c'est que c'était une fille, ou plutôt une jeune femme avec qui j'échangeai nos points de vue et nos désirs. Des points de vue sur les relations entre une Dominatrice et son soumis, des désirs charnels et psychologiques, des envies d'explorer de nouveaux horizons. Et vu que nous nous sommes rencontrés sur un forum consacré aux déviances, je suppose qu'Elle est au moins en grande partie sincère. Elle m'avait confié qu'elle ne savait pas trop si elle se sentait soumise ou Dominatrice, mais qu'elle adorait tout le côté vestimentaire de ce petit monde. Elle aimait particulièrement les corsets en vynil et le port du latex, malheureusement les occasions d'en porter était bien rares. Elle me confiait aussi qu'elle se sentait plus féminine, ses courbes étant mises en valeur avec une certaine classe. Personnellement, je ne connaissais pas grand chose, les possibilités de constater et de rencontrer d'autres amateurs fétichistes étant proche du vide absolu dans mon bout de terre. Je devais la rencontrer aujourd'hui, sur le parking de la forêt. Par sécurité nous avons décidé de nous croiser dans un lieu dit "public". Après tout elle n'était pas sensée me connaître. La sécurité avant tout. Ainsi je l'attendais, alors que le soleil entamait sa retraite. Une quinzaine de minutes avaient suivi mon arrivée. Puis je vis un petit roadster rouge entrer sur le petit parking, avec une jeune femme à la chevelure châtain-cuivrée, légèrement bouclée, mi longue. Ca lui donnait un petit côté dryade et princesse. Elle descendit de son automobile et me sourit. En effet , j'avais précisé que je viendrai avec un puissant destrier de fer des temps modernes; c'est ainsi que je désignais ma motocyclette. Avec mon cuir et mon casque noir, seul sur le parking, elle ne pouvait pas me rater. Elle avait la démarche assurée, de celles qui savaient où elles allaient, et portait une petite robe de couleur bordeau et des talons aiguilles de la même couleur. J'aimais le contraste qu'offrait ses vêtements et sa chevelure par rapport à son teint et sa peau pâle. Elle me rappelait une collègue à qui j'avais proposé un jour un rendez-vous et dont la réponse ne vint jamais... Soudain, je réalisais qu'il s'agissait de la même personne, la même grâce, le même air sûr et dominateur. Elle s'approcha de moi et me salua avec un petit sourire: "Alors petit mâle, on a perdu sa langue? Ou alors tu es encore plus idiot que d'habitude?" Je bafouillais quelques mots, comme un prêtre surpris dans une boutique érotique se justifiant. Voyant ma gêne et ma surprise, elle m'ordonna de la suivre dans le petit bar. Elle commanda un café noir pour elle et un jus de fruits pour moi et m'ordonna de régler d'avance la petite adition. L'établissement était presque vide, deux groupes de touristes Néerlandais et Suisses dégustaient quelques boissons et sandwiches. Nous nous étions installés dans un petit coin de la salle en forme de "L", avec un mur derrière moi. J'osais enfin lui parler et exprimer ma surprise. Sa réponse était accompagné d'un petit rire: "Mais tu crois que je ne t'ai pas percé à jour? Ta façon d'écrire tes messages, certaines descriptions... Tu es bien un mâle comme les autres, imbécile et incapable de produire la moindre once de subtilité et de raffinement! J'avais envie de voir si tu étais aussi pathétique qu'au travail. J'espérais qu'il y aurait quelque chose à récupérer...". Sur ces dernier mot le patron du bar apporta les boissons et s'en alla reprendre le cours de son match de football. Elle me fixait d'un air qui oscillait entre la déception et l'irritation. Je réussi enfin à aligner quelques mots: "Mais Elaine, je ne t'ai rien fait de mal, si c'est pour l'invitation, je voulais juste mieux te connaître." A peine j'eu fini ma phrase qu'elle me gifla. D'un petit mouvement sec et énergique. Curieusement la présence des touristes ou du patron du bar n'était pas ma priorité, j'avais surtout honte d'avoir eu la prétention de m'imaginer tout les deux marchant main dans la main. Oui je l'aimais, je voulais vivre pour elle, me consacrer à Son bonheur. Je désirais me consacrer à Son être tout entier. Mais au fond qu'avais-je à lui offrir? Si peu en réalité... Elle reprit la parole dans ces termes: "Tu voulais surtout me baiser, comme toutes les paires de couilles que je croise. Même si tu crois que être sincère dans tes sentiments, tu n'es qu'un homme, tu ne penses qu'avec ton petit bout de chair d'entre les jambes. Je veux maintenant voir jusqu'à où tu serais prêt à aller pour moi. Ta gentillesse et ta bonne volonté ne suffisent pas, et tu n'es certainement pas en mesure de m'offrir une vie de rêve! Mais je te laisse une chance de me prouver que je ne perds pas entièrement mon temps ici. Et surtout ne m'appelle plus par mon nom, je te l'interdis. Et sache que tu ne me baiseras jamais, c'est compris?" J'étais au bord des larmes, mais j'avais perdu tout fierté. Je ne pouvais que dire oui. Les yeux baissés devant Celle dont je n'avais plus le droit de prononcer le prénom. Je devais me soumettre à Elle. Lui montrer qu'elle était ma priorité, je me devais de satisfaire Ses moindres caprices. Elle se leva, et je m'apprêtais à la suivre. Elle me regarda d'un air fâché, rapprocha son visage du mien, et cracha sa désapprobation: "qui t'a dit de me suivre? Tu vas m'attendre quelques minutes et me rejoindre plus loin dans la forêt sur le banc." Elle désignait un petit endroit à deux cents mètres environ, il y avait effectivement une petite table en bois avec deux bancs. Le chemin était goudronné pour permettre le passage de certains véhicules, ce qui me rassurait par rapport aux talons d'Elaine. Elle me détestait peut être, mais je ne supporterai pas qu'il Lui arrive du mal. Je la rejoignis cinq minutes après. Je commençais à m'asseoir, mais Elle se leva brusquement et me gifla de nouveau. "Tu te mets à genoux! Tu voulais apprendre à me connaître? Et tu voulais rencontrer une Dominatrice? Et bien tu es servi! Mais je veux être sûre de ton engagement." Elle prit une petite pause alors que je m'agenouillais, les yeux baissés, et me souleva le menton de sa main. Elle reprit alors: "Veux-tu sincèrement devenir mon soumis et me prouver que tes sentiments sont un peu plus que le fruit pourri du travail de tes hormones? Réfléchis bien, car je te le rappelle, tu ne me possèderas pas, et je serai exigeante. Tu m'appartiendras. Si tu acceptes, dis-moi oui, et jure-moi d'être toujours sincère et de me traiter comme il se doit." Je sortis un petit "oui", et elle ajouta: "oui qui?" "Oui Madame! Oui je veux me soumettre à Vous, et Vous prouver la sincérité de mes sentiments!". Elaine, ou plutôt Dame Elaine, prit un air satisfait et m'adressa à nouveau la parole tout en se déchaussant. "Tu pourras m'appeler Maîtresse aussi. Ca me plait bien. Pour être sûr que tu as bien compris quelles sont nos places l'un envers l'autre, tu vas embrasser mes pieds. Simple tâche, si tu tiens vraiment à moi". J'embrassai donc ses pieds comme si c'était les choses les plus précieuses. En fait ça l'était effectivement, c'était les pieds de Dame Elaine, et les embrasser était la preuve de ma soumission. A ce moment-là j'embrassai et léchai ses pieds avec une grande passion. Elle me repoussa doucement avec l'un de ses pieds, et dit: "c'est bien, il y a peut être quelque chose à faire avec toi. Tu es désormais mon soumis, nous parlerons de notre contrat de Dominatrice et de soumis ce soir, je t'enverrai un message. Et je t'interdis de te masturber, je ne suis pas là pour te servir de fantasme sexuel après tout." Sur ces mots elle se leva et passa doucement sa main dans mes cheveux. Dame Elaine me parla avec une douceur qui contrastait avec le ton d'avant: "Je ferai de toi mon esclave docile, tu seras à moi, uniquement à moi. Et je ne te laisserai jamais partir."
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Par : le 31/07/13
Par une belle journée ensoleillée je vous invitais à aller faire un tour en voiture, a peine installée je vous bandais les yeux et vous demandais de ne poser aucune question. Bien entendu , au fil des minutes votre impatience se fît remarquer par quelques questions aussi innocentes qu inutiles . D une voix douce je vous répondis par un chuttt Patience Je vous sentais légèrement nerveuse et cela m amusa beaucoup. A l approche du lieu inconnu de vous je vous pris la main en vous sussurant que nous arrivions et vous demandais de bien vouloir rester dans la voiture et de ne surtout pas enlever votre bandeau. Une fois garé je descendis et fît le tour de la voiture afin de vous ouvrir la porte et vous aider à descendre , puis doucement, tout doucement , alternant petits baisers et caresses soft sur votre doux visage j entrepris de vous déshabiller vous laissant au final aussi nue qu un vers ne vous laissant même pas vos chaussures. Je vous fît tourner sur vous-même afin d apprécier une fois encore vos contours, puis je vous ordonnais de vous mettre à genoux devant moi. Une fois à genoux, je vous mis votre collier puis vous pris par la taille afin de vous relever et vous tournais et vous demandais de mettre vos mains derriere le dos pour vous passer les menottes. Enfin pour finir j attachais la laisse à votre collier. Vous étiez là, immobile me demandant qu elle allait être la suite et surtout ou nous étions, ce que à quoi je répondis par un on y va sans plus d explications. A peine passés quelques mètre que déja vous rouspétiez et rechignais a avancer davantage sous pretexte que de marcher pieds nus vous faisait mal, je vous priais d arrêter de gémir que nous allions arriver sur de l herbe et vous pinçait fortement les tétons afin de dissiper vos douleurs de pieds en changeant votre centre de douleur. La suite au prochain épisode
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Par : le 31/07/13
Elle dort à poings fermés. J’ai encore le temps… Comme chaque matin, je me suis extrait du lit en mesurant chaque geste. Ce n’est qu’une fois la porte de la chambre refermée que je relâche un peu mon attention. Je ne peux m’empêcher de sourire, c’est mon premier plaisir de la journée : Comme toujours, la poignée et la porte n’ont fait absolument aucun bruit. Je les démonte discrètement chaque mois pour les graisser. En semaine, je serais déjà sorti chercher des croissants frais et à 7h00, tout serais déjà prêt sur la table du salon. Elle n’aime pas déjeuner au lit . Mais nous sommes samedi, et il est presque 8h lorsque je sors. C’est toujours un moment critique. Il est possible qu’elle se réveille avant que je ne revienne. Oh, bien sûr, elle ne m’en tiendrait absolument pas rigueur. C’est juste moi qui serais déçu. Même si pour rien au monde je ne le lui montrerais. Je suis de retour à peine 15 minutes plus tard. Rien n’a bougé dans la maison. Ma Reine dort toujours. Le café est prêt dans la machine, j’ai pressé des oranges qui attendent au frais dans un verre parfaitement propre dans le frigo. J’ai vérifié la nappe immaculée. Second plaisir de la journée : Je suis prêt, tout est prêt… Il ne me reste plus qu’à attendre, dans le plus grand silence, guettant le bruit si ténu des draps qui se froisseront. Je suis assis à côté de la machine à café, les sens en éveils. 10h00… Le silence est absolu. J’ai appris avec le temps à différencier les bruits de notre lit. Je sais quand elle ne fait que se retourner ou quand elle se lève. 10h47… Le signe que j’attendais arrive : Je mets le café en route… 27 secondes interminables… C’est le moment que je ne maîtrise pas. Elle peut entrer trop vite dans la pièce et me trouver en mouvement. Or, c’est un tour de magie que je veux pour ma Reine… Ce matin encore, je le réussi. Quand elle entre, le café fumant est déjà servi, tout est parfais, et je suis installé dans le canapé en train de lire. J’ai fait très vite. Mon cœur bat un peu fort. Mais elle n’en verra rien… Troisième plaisir de la journée. - « Bonjours mon amour » - « Bonjour ma chérie, bien reposé ? » Elle s’installe et plonge ses lèvres dans son jus frais… - « Hum.. Hum » (ça veut dire oui !) elle le murmure en buvant. Elle aime le calme le matin. Je me lève donc. - « Je vais prendre ma douche ma chérie, à tout à l’heure ». Je lui dépose un baisé tendre sur le front, elle prend ma tête entre ses mains et dépose un baisé sur mes lèvres - « Merci » - « de rien ma belle, à tout de suite » J’ai le temps, inutile de me presser, Malgré tout, je prends une douche rapide et tiède. Je ne veux pas que la salle de bain soit pleine de buée. Je vérifie rapidement mon corps : L’épilation à la cire est très efficace, mais certains poils s’obstinent à ne pas pousser au même rythme que les autres. Rasé de près, parfumé, parfaitement épilé, je remets la salle de bain un place : Un drap de bain propre et doux posé sur le sèche serviette pour qu’il soit parfaitement chaud, et je change la serviette au pied de la douche. Elle ne prend que très rarement des bains. Et jamais le matin. Je m’habille et reviens dans le salon. Elle a fini de déjeunée et s’est installée dans le canapé. D’un coup d’œil, j’ai vu qu’elle avait ramassée et déposée dans l’évier sa tasse et son verre, le plateau est resté sur la table. A mon entrée, elle se tourne vers moi et me tend une main. Je souri et viens m’installé à côté d’elle. Elle me parle d’un film qui va sortir dans quelques semaines dont elle vient de voir la bande annonce à la tv. Puis elle me parle d’une de ces amis. J’ai retenu le nom du film, je le noterais plus tard et je vérifierais la date de sortie. Nous discutons un long moment. Je blague, écoute, m’intéresse vraiment. Je donne mon avis quand je sens qu’elle me le demande. En discutant, ses pieds nus sont venus sur mes cuisses. Je les masses doucement. C’est extrêmement naturel. Il est presque 13h quand elle se lève pour prendre sa douche. J’en profite pour ramasser le plateau et mettre la tasse et le verre dans le lave-vaisselle avant de préparer le repas. Une salade composée, avec une escalope de poulet que je passerais au grill au dernier moment, et une salade de fruit frais. C’est mon gros point faible, je suis un bien piètre cuisinier. J’ai beau m’acharner à faire des essaies, le plus souvent, c’est un échec. Heureusement pour moi, elle aime cuisiner ! Mais quand je peux, je le fais. J’ai deux projets de prêt pour cette après-midi : Une expo de sculpture en cuir ou un film que j’ai téléchargé (je sais, ce n’est pas légal !!). Il fait gris et froid, elle n’aura peut-être pas envie de sortir. Et pour ce soir, trois possibilités ! Ce n’est pas toujours autant bien sûr !) : L’un de mes amis m’a proposé d’aller boire un verre dans un club ou joue un groupe qui pourrais plaire à ma belle, un second film téléchargé (je sais ce n’est toujours pas légal) si elle a envie de cocooning, et enfin, restaurant qu’elle avait adorée et où nous ne sommes pas retourné depuis très longtemps. Le téléphone sonne : C’est sa sœur. La douche s’est tue, elle doit être en train de s’habiller. Je lui amène le téléphone et je sors. Elle vient me rejoindre toujours au téléphone. Elle n’est pas encore habillée et son peignoir entrouvert m’est un merveilleux spectacle. Je ne me lasse pas de son corps. Ne vous y trompez pas. Elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Et l’effet qu’elle me fait. L’ouverture de son peignoir n’est pas le fruit du hasard. Je ne suis pas le seul à faire attention à l’autre. Je comprends à la teneur de la conversation que je n’aurais pas besoin de mes projets : Sa sœur vient passer l’après-midi avec son mari et ses enfants. Mentalement, je passe en revue les placards de la cuisine : soda, gâteau, et s’ils restent ce soir, pates à la Carbonara (c’est l’un des rares plat que je maîtrise ! lol), vin blanc à mettre au frais. Dans l’après-midi, je servirais tout le monde, je mettrais deux machines à laver en route, puis au sèche-linge, je débarrasserais la table, servirais le café… Sans à aucun moment me couper vraiment des conversations, ou me départir d’un sourire. Alors qu’ils seront en pleine conversation, je m’éclipserais pour changer les draps et refaire le lit. Ils ne repartiront qu’à 1h du matin après une belle soirée très gaie et très arrosée ! Ma reine à un peu bu, elle semble fatiguée et se glisse avec bonheur dans les draps frais… Comme je pose ma main sur sa hanche, elle me tire vers elle et se blotti contre moi. je bande très fort, je veille à ce que ma queue ne la touche pas. Alors qu’elle semble s’endormir, sa main s’égare entre mes cuisses… Sans bouger, elle joue avec ma hampe, doucement… -« Bonne nuit mon amour »… -« Bonne nuit ma chérie » Et parce que ma Reine sait se laissé aller à ses envies, elle plaque ses fesses contre mon sexe tendu. Elle ondule doucement… Je l’embrasse délicatement dans le cou… Alors elle se retourne, m’embrasse à pleine bouche, me mord les lèvres et se plaque violement contre moi… C’est de l’homme dont elle a envie… Elle m’attire sur elle, ses cuisses se relèvent, ses chevilles s’enroulent derrière mon cou. « Baise-moi ! » Je la prends… J’entre d’un seul coup jusqu’à la garde et reste un instant planté à fond. Elle aime cet instant où elle se sent empli… Elle gémi, sa tête part en arrière, je la sens qui se plaque contre mon ventre… Avec force… Ses ongles s’enfoncent dans mes épaules, lacèrent ma peau… Et puis elle relâche l’étreinte et une danse infernale commence… Elle me gifle, me griffe, rugit… Alors qu’elle est toute proche, elle trouve la force de penser à moi : « Garde ton jus ! Tu m’entends ! Garde le que je puisse te traire demain ! » Je n’aurais pas trop de mal à me retenir… Elle jouit vite… Fort… Voir jouir ma Reine… Le plus beau des cadeaux… Et demain, peut être…. Elle trouvera le sommeil blottie dans mes bras, après de long baisés et autant de « je t’aime »…. Demain… vers 8h, je me réveillerais… Une question d’habitude… Et une nouvelle merveilleuse journée commencera….
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