La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 24/06/25
G. La vie de château Avant d’entrer dans la salle des festivités elle referme les zips pour que Jean soit privé de vue. Elle lui dit d’une voix douce « La dernière fois j’ai senti ta crainte, mais finalement tout s’est bien passé.  Maintenant tu as confiance en moi ! » Jean, répond d’une voix étouffée par le masque « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Alors détend-toi et suis le mouvement. Si nécessaire Martin t’aidera ! N’est-ce pas Martin ? » Martin – « Oui Maîtresse ! »  Sabine entre en tirant fièrement ses deux soumis. Un homme habillé comme un maître d’hôtel, veste queue de pie plastron blancs, nœud papillon et gants blancs, s’avance vers eux. Sabine s’arrête, martin chuchote stop pour que Jean comprenne qu’il doit également s’arrêter. L’homme – « Bonjour Madame, je suis Bartholomeus le maître de cérémonie ! »  Il s’incline et fait un baise main à Sabine puis ajoute « Vous avez une préférence pour le placement ? » Elle est contente d’avoir le choix et jette son dévolu sur une table en bout de rangée du premier rang où Jean et Martin pourront s’agenouiller à côté d’elle et demande qu’on lui apporte deux coussins. Elle s’assied et fait mettre ses soumis à genou sur les cousins. Petit à petit la salle se remplit de participants, maître avec soumise, maître avec soumis, maîtresse avec soumis, maîtresse avec soumise et même maîtresse avec soumise et soumis, mais personne qu’elle connait. Mais c’est la première fois qu’elle participe à une grande réunion et les seules personnes qu’elle connait sont celles qui sont venues à l’inauguration de son donjon invitées par Vanessa. Bartholomeus revient et pose un une affichette sur laquelle est écrit Maîtresse Sabine. Sabine – « Comment savez-vous qui je suis ? » Bartholomeus – « Il me semble l’avoir lu sur le dos de ces messieurs. Je vous envoie quelqu’un pour vous servir boissons et nourriture. Vous préférez un serveur ou une serveuse ? » Sabine – « comme vous pouvez le voir, côté mâle je ce qu’il faut, je préfèrerais une serveuse ! » Bartholomeus – « Bien Madame ! » Sabine décide d’ouvrir les zips des yeux et de la bouche sur la cagoule de Jean et en même temps Vanessa arrive. Elle vêtue en noir de la tête aux pieds avec un chapeau comme celui de Zorro, un boléro sur les épaules, une jupe en cuir échancrée sur le côté qui laisse entrevoir des cuissardes cloutées. Jean pense qu’il ne lui manque plus que le fouet et il est éberlué lorsqu’il voit qu’elle porte un ceinturon sur lequel sont accrochés, du côté droit un long fouet enroulé et du côté gauche un martinet en cuir. Il se dit qu’elle n’est quand même pas venue sur le dos de Tornado, le célèbre cheval de Zorro. Les deux amies s’asseyent, Vanessa ignore les hommes mais il est vrai que ce ne sont que des soumis, des esclaves qui ne méritent aucune attention. Vanessa à Sabine – « Çà ne te déranges pas si je m’installe à ta table ? Je ne vais pas prendre une table pour moi toute seule et tu sais que je dois participer régulièrement à l’atelier flagellation ! » Sabine – « Tu plaisantes ? au contraire, ça me fait super plaisir ! » Une femme aux cheveux châtains mi-longs qui ne doit pas être majeure depuis très longtemps approche et dit « Soumise Chloé pour vous servir Mesdames ! » Sa tenue est identique à celle de la personne qui les a accompagnés jusqu’à la chambre mais avec un petit tablier blanc attaché à la taille et un petit plateau argenté accroché aux anneaux de ses tétons par des chaînettes. Sabine – « est-ce qu’il y a du champagne ? » Chloé – « Oui Madame ! » Sabine – « Apporte-nous deux flûtes. Dépêche-toi ! » Chloé – « Bien Madame ! » Puis Sabine à Vanessa – « Tu as vu des gens que tu connais ? » Vanessa – « Oui mais je ne les apprécie pas tous. Par-contre je vois qu’il y a Maître Keane et soumise Janey. Son vrai prénom à lui c’est Robert mais bon, pour un dominateur c’est pas terrible et sa soumise c’est Jeanne. Ils sont mariés mais, contrairement à Martin et toi, ils se sont rencontrés sur un site de rencontre BDSM avant de se marier. Ils ont fait deux cérémonies, une avec la famille et les amis vanilles et une entre amis kinks. C’est Bartholomeus qui les a unis et inutile de te dire que les tenues de mariage étaient différentes de celles du mariage vanille. Elle portait juste un voile, un collier en cuir, un porte jarretelles et des bas, le tout en blanc, mariage oblige, et rien d’autre. Je peux te les présenter ! » Sabine – « Ils habitent loin ? » Vanessa – « pas très loin, ils sont de la région ! » Sabine – « D’accord, comme ça je pourrai les inviter à la prochaine séance dans mon donjon ! » Chloé revient avec les flûtes de champagne posées sur le plateau. Elle s’incline pour permettre à Sabine et Vanessa d’attraper les verres. Ensuite elle se positionne à un endroit où elle peut voir son secteur de servitude, qu’elle partage avec un bel homme noir vêtu d’un simple short long et ferré aux pieds et aux mains comme aux heures sombres de l’esclavage. Tous deux sont en posture d’attente et doivent répondre à la moindre sollicitation des convives. Bartholomeus s’avance au milieu de la salle et demande l’attention de l’assistance et le silence s’installe peu à peu. « Bienvenue à toutes et à tous. Je tiens à vous remercier d’être venus si nombreux, d’ailleurs je crois savoir que nous avons battu le record de participation. Dans un instant vous allez défiler afin de vous présenter, sauf ceux qui n’ont pas souhaiter participer à ce défiler. Pour les autres, ils viendront à mon appel. Je précise que l’ordre de passage est aléatoire et ne tient pas compte d’un quelconque critère. Mais avant de commencer accueillons, sous vos applaudissements nourris, nos hôtes Madame la Marquise et Monsieur le Marquis ! » İls apparaissent de derrière un rideau rouge tendu entre deux colonnes et s’avancent de concert vers Bartholomeus en remerciant la foule par des hochements de la tête. Lui, est grand avec un visage émacié, entouré de cheveux longs grisonnants, paraissant quinquagénaire. İl est habillé tout en cuir noir, débardeur, longs poignets de force, pantalon, santiags et des tatouages comme ceux que l’on voit souvent sur les militaires. Elle lui arrive à l’épaule, un peu boulotte avec une poitrine généreuse, des cheveux noirs avec des mèches auburn et porte une longue robe voile vert pastel. Bartholomeus – « Un petit mot à l’attention de nos amis ? Le Marquis – « Même si Bartholomeus l’a déjà dit, nous vous souhaitons la bienvenue et nous vous remercions d’être venus si nombreux. Cette dixième rencontre annuelle promet d’être mémorable et ce sera grâce à vous car, si nous nous occupons de l’organisation, c’est vous qui faites le spectacle. Je voudrais aussi remercier les personnes qui vont animer les différents ateliers qui se déroulent dans les salles du rez-de-chaussée sauf l’atelier attelage qui se trouve dans les anciennes écuries. Pour vous y rendre il suffit de suivre le balisage. Encore merci et amusez-vous bien. Je rends la parole à notre maître de cérémonie Monsieur Bartholomeus ! » il s’en suit une nouvelle salve d’applaudissements. Bartholomeus – « Merci, merci pour votre accueil ! » Puis s’adressant aux participants « Je vous rappelle que si vous souhaitez à boire et à manger nos soumises et soumis sont là pour vous servir. Et maintenant place au défiler. Vous avez votre numéro de passage inscrit au dos de votre affichette, cela vous permettra de vous préparer si nécessaire. Et ceux qui vont avoir la lourde tâche de commencer sont Maître Landix et soumise Breizhadix, venez par ma gauche, vous allez jusqu’au fond de la salle ensuite vous pourrez regagner votre place ou aller où vous voulez. Mesdames et Messieurs Maître Landix et soumise Breizhadix ! » Sabine se penche vers Jean « Aucune de tes connaissances en vue ? » Jean – « Non Maîtresse ! » Sabine – « Alors bas les masques ! » Elle lui enlève son masque, met un collier en cuir qu’elle sort d’un petit sac à la place et raccroche la laisse. Vanessa – « Tu as besoin de ton sac ? » Sabine – « Non. Pourquoi ? » Vanessa – « J’ai un casier qui ferme à clé dans mon atelier, tu pourras le récupérer quand tu voudras ! » Sabine – « J’ai le numéro 25 on a le temps ! » Vanessa – « Oui, mais il y a des gens qui vont se disperser un peu partout et je dois être présente dans mon atelier à ce moment-là. Quand vous êtes passés venez me voir il y a un buffet, on pourra manger ensemble ! » Elle se lève, dit bon courage à Jean sans oublier le surnom qu’elle lui a donné « Petit chou » puis sort discrètement de la salle en emportant le sac de Sabine tout en faisant un signe à Keane et Janey pour leur faire comprendre qu’il fallait qu’ils viennent la voir. Keane fait un signe de la tête pour montrer qu’il a compris. En attendant son tour Sabine regarde défiler les autres. Elle a un stylo et un calepin où elle inscrit les noms des personnes qui l’intéressent et elle verra plus tard si elle peut en inviter certains chez elle. Elle a également commandé une flûte de champagne pour elle et un verre d’au fraîche pour Jean et Martin car elle ne veut pas qu’ils défilent avec la gorge sèche. Jean observe avec attention le comportement des personnes qui défilent afin d’en apprendre le plus possible. Cette fois c’est à eux de défiler, Sabine rattache leur main qu’elle avait libérée pour qu’ils puissent boire et ils s’avancent devant l’assemblée. Elle s’arrête de temps en temps leur donne l’ordre de se mettre de chaque côté d’elle, de mettre un genou à terre et de baisser la tête en signe d’hommage et de soumission. Ensuite ils sortent pour aller rejoindre Vanessa. Cette dernière est seule dans la salle flagellation ne train de tapoter sur son téléphone portable. Sabine – « Eh bien, la maîtresse fouetteuse n’a pas de clients ? » Vanessa – « Non. Heureusement on va pouvoir aller manger un morceau. Je suis affamée ! Le buffet est juste à côté ! » Sabine détache les mains de ses soumis pour qu’ils puissent se servir à manger, leur désigne une table ou ils devront s’asseoir tandis que Vanessa et elle mangeront à une autre table. Une fois attablés Martin demande à Jean ce qu’il pense de ce début de programme. Jean – « Pour l’instant il ne s’est pas passé grand-chose mais je suppose que ça va venir. Par contre je suis étonné qu’il y ait autant de monde ! » Martin – « Mais toi, comment tu te sens ? » Jean – « D’avoir vu d’autres personnes passer avant nous m’a un peu rassuré, mais j’avoue que j’avais un peu honte d’être exhibé devant tous ces gens que je ne connais pas ! » Martin – « Tu aurais préféré être devant des gens que tu connais ? » Jean – « Pas des gens que je connais à mon travail, mes voisins, les commerçants de mon quartier, mais des gens que je connais dans le milieu BDSM, oui ! » Martin – « Et tu connais combien de gens dans le milieu BDSM ? » Jean – « Que trois, je sais ça fait peu ! » Martin – « Tu sais, c’est la première fois que je défile devant des inconnus. Je n’en ramenais pas large non plus mais je suis fier de l’avoir fait et j’en ai même pris du plaisir. Dans ma tête je leur disais – Vous voyez je suis soumis à Maîtresse Sabine et j’en suis heureux – et puis tous ceux qui sont ici le sont pour la même chose. Un jour j’aimerais le faire devant des gens qui ne sont pas pratiquants du BDSM ! » Jean – « Tu as raison. İl faut que je me conditionne et que je me concentre sur ce que j’ai à faire sans à priori ! » Martin – « Tu n’as pas fantasmes ? » Jean – « Je ne sais pas si ce sont des fantasmes mais j’ai envie de tester certaines situations ou d’aller plus loin dans d’autres. Mais je préfère que ce soit en petit comité ! » Martin – « Oui, bon, on verra bien ce que Sabine nous a concocté surtout avec la complicité de son amie qui est une sacrée vicieuse ! » Jean – « Attention elles arrivent ! » Sabine – « Aller debout, on y va ! » Elle leur refixe les mains à la ceinture ventrale, attrape les laisses et tout le monde retourne vers l’atelier tenu par Vanessa.
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Par : le 24/06/25
  Retour de Notre bulle du 20 juin…C’est sur cette photo que J’ai d’abord envie d’écrire Mon Loup si Tu veux bien.   J’y vois l’abandon, Mon abandon. Je pensais que Ma semaine de vacances M’avait permis de prendre du recul sur certaines choses. J’avais juste envie d’être gaie, joyeuse, de profiter de Nous sans penser à tout le reste. J’ai toujours un peu d’appréhension sur la réaction de Mon corps aux impacts. Comme une peur de ne plus aimer autant. Mais J’avais pu constater les dernières fois que ça revenait sans difficulté. Donc Je n’étais pas inquiète, plutôt détendue et très impatiente de Te retrouver. J’étais bien dans ce début de soirée. La sortie au Centre Pompidou avait été vraiment agréable. Déambuler ensemble au milieu des œuvres. Se toucher, reprendre contact, se retrouver doucement. Puis le resto comme Je les aime : simple, très bon, une belle terrasse, une discussion agréable, fluide. Une bulle magique.  Ce moment devant la cathédrale ensuite. Au milieu de la foule, enlacés, comme s’il n’y avait que Nous, que Tes mains sur Moi, que Ton dos contre Moi…que Toi, et Moi, et Nos envies, Nos besoins d’être ensemble. Notre connexion physique retrouvée.   Et puis…Je ne sais pas. De retour à l’appart, Je ne suis pas là, pas vraiment. Dans Mon brouillard là haut, pas dans Mon corps. Pas avec Toi. J’ai essayé de raccrocher, de revenir là…impossible. Je ne sais même plus exactement ce que Tu M’as dit quand Tu as réalisé que ça n’allait pas. Ce qui est sûr c’est que Tu l’as verbalisé avant Moi…comme toujours. J’avais besoin de lâcher, malgré Moi, toute cette pression, toutes ces difficultés…Je ne voulais pas parasiter Notre moment…Mon corps en a décidé autrement.   Tu as pris le temps de Me forcer à sortir tout ça de Moi, d’accepter de ne pas M’en vouloir, de prendre aussi cette place de Dhom auprès de Moi : prendre en charge pas que les côtés faciles. Pas que les côtés plaisir, amusement.   Cette photo, le lendemain, illustre ça : le dépassement de ce moment qui aurait pu être bloquant. Ta compréhension, Ton accompagnement de chaque moment, de chaque difficulté rencontrée, Ton envie de dépasser cela ensemble, à deux. Et Mon acceptation de Te donner aussi cette clé là, d'accepter de ne pas toujours être performante, d’être dans le down malgré Mes efforts et Mes envies. Ne pas toujours être au top peut sembler simple, dérisoire ou évident aux yeux de certains. Mais on partage tellement peu de moments physiques que c’est difficile d’accepter de ne pas être au top ce jour-là, de le gâcher d’une certaine façon. Mais finalement, ça ouvre sur d’autres liens, d’autres connexions, vers une compréhension et une complicité encore plus fortes.  Et cette photo est parfaite pour ça : Je Me laisse aller et Tu es là.   #photoperso   
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Par : le 24/06/25
F.  Samedi ç’à me dit Ce samedi annonce un week-end ennuyeux. Jean regarde par la fenêtre qui déverse un flot de larmes s’écoulant lentement le long de la vitre pour finir par disparaître en laissant la place aux suivantes. L’horizon lui rappelle ce poème de Charles Baudelaire « Brumes et pluies » qui fait partie du recueil « Les fleurs du mal » et récite la première strophe. Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue, Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue D’envelopper ainsi mon cœur et mon cerveau D’un linceul vaporeux et d’un brumeux tombeau. Il fait le lien avec ces dominatrices qu’on aime et loue de prendre possession de notre corps et de notre âme en nous enveloppant à la fois de douceur et de douleur. Soudain il se souvient que ce week-end il y a des sports mécaniques, et vu le mauvais temps, il va passer tout ce temps devant son poste de télévision. Lundi, Jean part pour le travail, Le ciel est bleu, le soleil est radieux et Jean fredonne la chanson de Claude François  – Le lundi au soleil –, il pense aux lignes du programme informatique qui lui posent problème, il va probablement devoir vérifier l’algorithme. Bref, après ces deux semaines intenses en découvertes et émotions insoupçonnées, sa vie a repris un cours normal, il n’oublie pas ce qui est prévu le samedi prochain mais le voit un peu comme s’il était prévu une soirée cinéma entre potes. Des potes ? Il en a peu et ils sont tous éloignés géographiquement et il ne cherche pas à se lier d’amitié avec ses collègues de travail car il ne veut pas mélanger sa vie professionnelle et sa vie personnelle, mais cela ne le dérange car, depuis son divorce suivit d’un changement de travail et de région, il est plutôt du genre solitaire. Finalement, le fait d’avoir rencontré Sabine et Martin ainsi que Vanessa et, peut-être bientôt, d’autres personnes partageant une même passion va donner un autre sens à sa vie. Mardi, il reçoit un texto de Sabine Toujours ok pour samedi ? il répond Oui bien sûr et dans la foulée il reçoit un nouveau texto Ok alors rdv chez moi samedi à 10h00. Jean commence à bien connaître Sabine et il sait qu’il a intérêt à être à l’heure. Les jours qui suivent il se concentre sur son travail car il a encore des pages et des pages de code à écrire pour faire fonctionner la partie du logiciel qu’on lui a confiée. C’est vendredi soir et c’est après être rentré chez lui qu’il se dit que le lendemain va encore être un jour plein de découvertes et de surprises. La première surprises sera ce que Sabine a prévu pour lui. D’abord la tenue mais certainement aussi quelques surprises sorties de son imagination machiavélique.   Samedi matin 8h00, le réveil sonne. Jean se dit qu’il a bien fait d’activer la sonnerie car il dormait à poings fermés. Il arrête cette horrible série de bips et se lève aussitôt de peur de se rendormir. Il boit un café et va dans la salle de bain. Il se rase le visage de près car il ne sait pas à quelle heure les festivités vont se terminer et il ne veut pas avoir le poil hirsute en cours de soirée. Il décide aussi de se raser le pubis car il se souvient que quand Sabine lui avait mis la cage de chasteté des poils s’étaient coincés dans le système de fermeture et se sont arrachés et ensuite avec le frottement il avait eu des irritations. Il ne sait pas si elle va encore l’encager mais il vaut mieux prévenir que guérir. Donc il va sous la douche avec mousse et rasoir, il se rase avec minutie évitant de se couper puis prend une douche. Il enfile un caleçon et met un costume car on ne va pas au château du marquis habillé en jean et blouson, par contre il ne met pas de cravate. Après tout Sabine ne lui a pas parlé de dress code. Il regarde l’heure, il est bientôt 9h30, Il avale un autre café en vitesse et part. Il arrive à l’heure, Martin lui dit de mettre sa voiture dans le garage et qu’il l’attend. Les deux hommes se disent bonjour et Martin demande à Jean de monter à l’avant côté passager et que Sabine ne va pas tarder à arriver et s’assoie derrière le volant. En effet Sabine arrive avec un grand sac de voyage à la main, le pose sur la banquette arrière et s’assied derrière Martin et précise qu’il y a deux heures de route pour aller au château et qu’elle veut arriver parmi les premiers pour avoir le choix de la place. En cours de route ils parlent de banalités puis Sabine demande à Jean s’il n’est pas trop anxieux et il répond par la négative. Sabine – « Aujourd’hui tu vas découvrir ce qui, pour toi, sera un nouveau monde que tu pourras observer mais aussi dans lequel tu devras t’intégrer et prouver que tu es un bon soumis si tu veux influer sur ma décision ! » Jean ne dit mot, Il sent le regard insistant de Sabine sonder son cerveau, comme si elle entrait dans sa tête pour aller manipuler ses neurones, l’amenant au bord de l’évanouissement. Voyant qu’il est tout pâle elle lui caresse la joue avec le dos de sa main et lui dit « Ne t’inquiète pas je suis sûre que tout va bien se passer ! » Le reste du trajet se passe en silence. Sabine jubile de l’emprise qu’elle a sur Jean qui petit à petit reprend des couleurs. Martin empreinte une petite route, après deux ou trois kilomètres la voiture traverse un pont en pierre, où deux véhicules ne peuvent pas se croiser, qui enjambe un cours d’eau puis quelques centaines de mettre plus loin entre dans un bois. La route de vient de plus en plus pentue et serpente entre les arbres lorsque Jean aperçoit à travers une trouée de la forêt un château fort sur un piton rocheux à flanc de colline. Jean s’attendait à un château style XVIIème ou XVIIIème siècle, se trouve en contrebas d’un château médiéval. Ils passent sous un grand porche et pénètrent dans une cour pavée, un homme en habit de laquais anachronique avec le lieu leur fait signe de s’approcher. Il demande poliment le nom des arrivants, regarde la liste sur sa tablette, acquiesce et leur dit d’avancer jusqu’au tapis rouge déroulé devant l’entrée du bâtiment principal. Il y a des échafaudages positionnés à différents endroits et Jean se dit que la rénovation et l’entretien doivent coûter une petite fortune. Deux hommes en costume contemporain se tiennent devant une grande double porte en bois aux lourdes ferrures. L’un d’eux accoure pendant que les occupants du véhicule en descendent, Martin remet les clés de la voiture à l’homme, Jean propose à Sabine de prendre le sac de voyage mais elle refuse de lui confier. L’autre homme ouvre la porte et les invite à entrer dans un corridor. Une jeune femme avec de longs cheveux blonds tressés en queue de cheval, vêtue d’un corset qui met sa poitrine aux tétons annelés en valeur et retient des bas noirs grâce à ses jarretelles les accueille avec déférence et les invite à la suivre. Elle ne porte pas de dessous et Jean constate qu’elle a également des anneaux au sexe. Sabine demande à Jean de passer en premier puis c’est au tour de Martin et elle en dernier. Ils la suivent dans un escalier en colimaçon tout en pierres de taille mais Jean a les yeux rivés sur la croupe de leur guide dont les fesses aux formes parfaites se dandines au rythme des marches. Ils arrivent sur un palier et la jeune femme leur montre la porte de droite et dit que c’est derrière cette porte que les cérémonies ont lieu et que de l’autre côté en prenant le couloir il y a les salles d’ateliers. Jean remarque que le couloir est éclairé par des flambeaux accrochés au mur et inclinés, avec des lampes électriques en forme de flamme. Ils gravissent encore les escaliers éclairés par les mêmes flambeaux, ce qu’il n’avait pas vu avant tellement il était hypnotisé par le fessier de la jeune femme et arrivés à l’étage elle leur montre leur chambre et prend congé. La chambre est spacieuse Il y a un grand lit à baldaquin avec des peaux de bêtes autour, une table de nuit et un fauteuil de chaque côté mais, le lit a beau être grand Jean se dit qu’il n’est pas possible d’y dormir à trois, il voit une autre porte et pense que ce doit être sa chambre. Il y a aussi un bureau écritoire et deux fauteuils, une grande armoire rustique, Sabine met le sac à l’intérieur, en sort un autre sac plus petit puis ferme l’armoire avec une clé qu’elle garde dans la main et dit « Je vais voir la Marquise, pendant ce temps vous faites une toilette complète ! » puis elle sort. Martin à jean – « Elle a pris le sac avec ses affaires, elle a dû aller dans la chambre de Vanessa pour se préparer. Viens je t’explique ! » Il ouvre la porte, allume la lumière, Jean voit que c’est un coin toilette, donc ce n’est pas sa chambre. Martin – « Lavabo, douche et dans le coin il y a un bidet et les wc. La toilette complète c’est ce que tu as fait le premier soir au donjon. Le bidet est muni d’un flexible au bout duquel tu vas fixer une canule jetable, il y en a dans cette boite et là sur le mur tu as un robinet gradué, c’est pour régler la température à trente-six degré qui est celle du corps. Tu laisses couler le temps d’évacuer l’eau froide, le débit est préréglé pour éviter une surpression qui poserait problème. Lorsque tu as fini tu remets la canule dans son emballage et hop, poubelle. C’est bon ? » jean opine et Martin passe en premier pendant que Jean attend dans la chambre en admirant le paysage sauvage qui entoure le château. Au bout d’un moment il ressort avec pour tout vêtement une serviette de bain autour de la taille et Jean va à son tour dans le coin toilette. Lorsqu’il sort, lui aussi avec sa serviette autour de la taille, Martin regarde également le paysage et dit « Tu as vu la petite cascade là-bas ? Et puis là il y a un rapace ! » Jean – « Vous êtes déjà venus ici ? » Martin – « C’est ici que nous avons été formés. Une relation D/S, pour être harmonieuse, fait appel à différents codes que nous ne connaissions pas. Passer du fantasme à la réalité n’est pas une chose simple. Nos débuts ont été compliqués, on ne se comprenait pas. Puis, sur les conseils de Vanessa, je crois, Sabine a eu une formation ici auprès du Marquis et de la Marquise. Le Marquis forme les dominateurs et la Marquise forme les dominatrices. İls forment également les personnes soumises et ont aussi leurs propres soumis et soumises, celle qui nous a accompagnés ici doit en faire partie. Ensuite nous sommes venus tous les deux pour mettre en pratique ce que Sabine avait appris et notre relation a pris une autre dimension. Par contre c’est la première fois que nous participons à une telle réunion à laquelle participent même des personnes venues de l’étranger ! » La porte s’ouvre et Sabine entre et demande « C’est bon ? Vous avez terminé ? » Ils se retournent, elle porte une combinaison noire en latex, la fermeture zip entrouverte laissant entrevoir le haut de ses lobes mammaires, de longs gants en latex rouge, elle est perchée sur des talons aiguilles rouges tellement hauts que les cigognes d’Alsace en pâliraient de jalousie. Ses longs cheveux noirs sont tirés en arrière, maintenus par un anneau doré pour les faire retomber en queue de cheval qui descend jusqu’au milieu du dos et couronnés par un diadème du même ton. Un maquillage qui agrandit ses yeux et lui donne un air tellement sévère que même le plus grand tyran de la planète ramperait à ses pieds. Les deux bougres en ont le souffle coupé, même Martin ne l’avait jamais vue comme ça. Sabine – « Je vous ai posé une question ! » Martin bredouille « Oui Maîtresse ! » et Jean l’imite aussitôt. Sabine – « Alors inspection ! » Martin enlève sa serviette, la jette plus loin et prend la position, suivi par Jean. Elle ouvre l’armoire, sort des gants de chirurgien du sac, elle les enfile et les lubrifie puis va se positionner derrière eux. Elle introduit ses majeurs en même temps dans le rectum de ses deux soumis qui sursautent en même temps, elle fait quelques allers et retours tout en s’amusant à bouger le doigt et remonter ses bras ce qui les fait mettre sur la pointe des pieds et pousser de petits râles, elle frémit de plaisir. Elle retire ses doigts d’un coup sec, observe les gants et dit « C’est bon, vous pouvez m’enlever ces gants et les jeter ! » Elle se dirige vers l’armoire, sort le sac et le pose sur le lit. Elle prend la cage de chasteté de Jean et remet son sexe en prison, ensuite elle lui tend le slip spécial acheté chez Nanette pour qu’il l’enfile et met l’oiseau de son mari également en cage, elle les regarde, et narquoise, elle dit en se moquant d’eux « Zut, j’ai oublié les os de seiche ! » elle a envie de les tripoter histoire de réveiller les bébêtes mais elle s’abstient, elle a de nombreuses heures pour s’amuser avec eux devant toute l’assistance. Ensuite elle leur tend des bottines en tissu noir à laçage avec des semelles épaisses qu’ils s’empressent de chausser. « Ce n’est pas fini » dit-elle et elle sort deux ceintures abdominales en cuir munies d’anneaux qu’elle ajuste sur chacun d’eux, elle leur pose des menottes assorties à la ceinture puis relie chaque menotte à la ceinture avec un tige d’environ 20 centimètres qui se terminent par des mousquetons.                Elle fait quelques pas en arrière se met à rire « On dirait deux frères jumeaux ! Mais ce n’est pas tout ! » Elle est comme une petite fille qui joue à la poupée. Elle pose un collier avec une laisse à Martin et sort une cagoule en cuir avec des zips au niveau des yeux et de la bouche, elle l’enfile sur la tête de Jean, l’ajuste, serre les lacets qui sont à l’arrière et fait un nœud puis attache la laisse à l’anneau qui se trouve à l’avant au-dessous du menton puis dit à Jean « J’ai décidé de te mettre une cagoule afin qu’on ne te reconnaisse pas dans le cas où il y aurait des personnes de ta boite présentes. Je sais qu’il n’y a pas longtemps que tu as été embauché et je ne veux pas que tu ais des problèmes ! » Jean - plein de gratitude « Merci Maîtresse ! » Enfin elle sort un feutre spécial tatouages et leur demande de se mettre de dos sur lesquels elle écrit Propriété de Maîtresse Sabine. Des fois que quelqu’un veuille lui en voler un. Elle vérifie que les zips des yeux sont bien ouverts sur le masque de Jean car elle ne veut pas qu’il chute dans les escaliers puis elle attrape les laisses avec sa main gauche et ils sortent de la chambre, Sabine passant en premier.
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Par : le 23/06/25
-Valeri, votre épouse est perse, que diriez vous de quelques jours de vacances avec elle en Iran ?  - Vous ne manquez pas d'humour camarade Président.  J'accepte avec plaisir. - Toutes les instructions sont dans cette enveloppe.  Tenez moi au courant.  Le vol pour Téhéran se fait dans le jet privé de la redoutable milice Stalin. Le général Valeri, en plus de son épouse, la sublime Roxane, emmène avec lui du lourd. Un commando d'élite équipé du dernier matériel de la guerre du XXIe siècle et aussi quelques tout nouveaux robots de combat.  Il est aussitôt conduit vers une base secrète située sous une montagne, près de la capitale. Tout est très calme et climatisé. Un monde irréel, totalement futuriste, presque comme une base lunaire ou martienne. Il est reçu par le général Tarash.  - Bienvenue Général Valeri. Notre plan fonctionne. Bibi s'énerve et a réussi à forcer la main de Donald.  -j'ai une malette pour vous. Un cadeau de notre camarade Président.  Nul doute que vous allez en faire un bon usage.  -  Venez, je vais vous faire visiter et vous montrer vos quartiers.  Pendant la visite, Roxane est époustouflée.  Elle ignorait que son pays avait une telle avance technologique.  Le soir, dans la chambre, taillée à même le granit, elle se love dans les bras de son époux.  -Pourquoi m'as tu caché tout cela ?  -Rien ne devait filtrer. Bibi à mordu à l'hameçon. Cette guerre ne fait que commencer. Mais oublions cela. Sers moi une vodka bien glacée. J'ai très envie de toi.  - Ce qui me gêne ce sont ces deux robots androïdes devant la porte. Il voient et enregistrent tout.  - Ah, Michka et Grichka....mais j'ai prévu une surprise pour toi. Tu sais...je les commande par la pensée.  Michka et Grichka empoignent Roxane.  -Meux que des liens , tu ne trouves pas ?  Valeri sort son couteau commando et coupe en deux la robe de sa femme. Elle est nue. Offerte. Les yeux brillants.  La bouche humide.  -tu ne vas pas me faire enculer par un robot tout de même.   - non mais il vont s'occuper de toi pendant que je bois ma vodka.  Roxane se retrouve cul nu sur les genoux de Michka et reçoit une superbe fessée.  Elle a beau être maso, elle gemit.  Ce con d'androide ne fait pas semblant. Roxane hurle à présent. C'est Grichka qui lui triture la chatte, le clito et les tetons. Elle jouit et ruisselle.  - plus les robots, viens  prend moi, je n'en peux plus. Defonce moi.  Valeri ne se fait pas prier. Il sort son gros pieu et defonce d'un coup le cul somptueux de sa femme.  Puis il sort son tel et prend une photo.  -Tu es trop belle avec ton cul tout rouge et qui dégouline de sperme. J'en envoie une à Bibi, et une autre à l'extraterrestre Elon. Sur ma ligne directe sécurisée.   - et tu leur joint un commentaire ?  - ce n'est pas nécessaire. Ils se feront eux même leurs propres commentaires.           
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Par : le 21/06/25
Cela s'impose toujours à moi alors que je fais d'abord tout autre chose. Déjà mes vêtements sont par terre, ma culotte sur les chevilles. Il faut que j'aille les voir. Je les range dans un de mes placards de ma salle de bain. Ils sont de tailles, d'épaisseurs, de diamètres et de formes différentes. Avec des bouts d'abord faciles à introduire, ils vont s'élargissant en circonférence. j'aime le premier contact visqueux sur mes doigts du lubrifiant qui prépare mon anus, mon trou se forme et se dessine de mieux en mieux,  je le contemple souvant dans le miroir, petite fente molle en étoile. Je sens que je bande dedans. C'est un afflux de sang qui fait battre à l'intérieur mes parois sensibles. Se réveille alors ce que nous les travestis appelons en rêve éveillé:  une chatte,  éldorado de chair perlant de rosée. Je ne me masturbe plus que comme une fille, les sensations se sont réfugiées sur toute la partie du gland, réagissant et vivant désormais exactement comme un clitoris. Je le malaxe entre mes doigt dans un mouvement circulaire, en salivant d'envie sur mon écran d'ordinateur, devant des vidéos de salopes suspendues et balancées dans un garage, les mains attachées dans le dos, dilatée par des gros godes, le paddle du bear master frappant le trou qui s'ouvre, jusqu'à l'orgasme. Quand je jouis en regardant une bite bien large sur mon écran ma tête part en arrière, dans mon cul une onde, plusieurs ondes me pincent délicatement, le plaisir vient de cet endroit en arrière de mes fesses, dans la partie la plus mystérieuse de mon corps. Mon cul exulte, mon cul réagit comme s'il se dilatait lui-même, sans que rien ne vienne lui apprendre ou le forcer à s'ouvrir. Je reste ébahie devant des images du net, la crudité implacable des scènes pornographiques me fascine. Une croupe posée au bord d'un tabouret de bar dévoile une moule de trav, une moule déssinée en abricot qui s'étale, s'exposant elle -même, comme si elle voulait aspirer tout ce qu'il y a autour, tandis que les testicules par l'exigence de la position se retouvent tirées en arrière et que la petite hampe à peine érectile va droit vers le sol. La moule de la sissy en lèvres disjointes est dehors, elle prend l'air, s'expose à la vue. La croupe est haute par le cambrure qu'impose l'assise au maximum du bord du tabouret. Une paume peut venir plaquer la chair par en dessous, la palper pour évaluer sa forme et sa texture, comme on tâte un fruit à l'étalage au soleil de midi. L'ambiance est feutrée les hommes sirotent leur coktail. Il y en a toujours un, le plus obscène, qui aime se servir sans demander, qui a reluqué d'abord en disant à l'oreille de son pote des choses que personnellement j'aime entendre, quand je me sens dans cet état où je veux que mon cul ne soit plus à moi mais à celui-là justement, physiquement quelquonque, mais trapus, bedonnants mais costaud, se foutant royalement de la dictature contre le poil, pour laisser comme un jardin abandonné ses couilles hirsutes se recouvrir de noirs et gris, avec un supplément à la base de sa grosse queue, bite bleue veineuse, rose musclée,  avec cette petite inclinaison vers la gauche ou vers la droite et cette légère différence d'épaisseur au bon endroit. Une bite lourde, invasive, capable de forcer le fond pour gagner encore de l'espace, pour inviter la femelle à se distendre encore. Il faut qu'elle soit accueillante pour le mâle qui sait sans violence obtenir d'elle le territoire dont il a besoin, collant fortement son gland dur pour forcer l'ouverture du fond, tout au fond d'une chienne rendue chienne pas l'abstinence qu'on lui impose, avec sa petite cage qui réduit son petit bout et son érection. Le plaisir migre alors vers l'ampoule enrichie de terminaisons nerveuses. Trou qui apelle, qui espère, trou dilaté par ce qui s'est trouvé sous la main, trou béant qui transpire et mouille la chaise, la canapé, le drap du lit. Le soir avant de m'endormir  j'écarte doucement, je vérifie l'ouverture, je me rentre facilement un ou deux doigts. Quand je marche dans la rue je le sens, je sens que les bords de mes lèvres anales se frôlent. Je commence toujours par un gode plus fin alors qu'il est déjà assez imposant. Le premier instant où il vient buter contre le fond me donne une sensation d'excitation intense, j'ai de l'eau dans la bouche que je laisse couler sur ma poitrine. J'éffleure mes tétons et ça me vrille un peu la tête. Je ne peux m'empêcher de lorgner sur le deuxième qui a la forme bombée d'une bite de chien, avec une partie plus enflée. J'imagine parfois en me touchant toute excitée que j'en laisse un s'approcher, j'imagine le goût que doit avoir son bout rouge sortie d'un fourreau noir, j'imagine une langue deux fois plus grande que la mienne dans ma bouche et par derrière entre mes fesses, j'imagine la sauvagerie, la virulence des coups rapides et maladroitsla coulure après l'immobilité, la sortie qui libère le blanc onctueux, preuve que la femelle s'est laissée prendre malgré la crainte, curieuse de la sensation jamais connue avant, toujours fantasmée. j'en viens assez vite à chaque fois au plus gros gode. Je me dispose au dessus pour qu'il entre en moi en me faisant le moins mal possible, en respirant et en touchant ce qui est devenu un clito ultra sensible. Le bout m'ouvre déjà beaucoup rien qu'au commencement, je sens mes chairs s'écarter, je le ressors et ajoute de la matière liquide et transparente. Je le plante sur le mur de ma salle de bain vers le bas en me servant de l'effet ventouse, cela me permet de m'approcher et de positionner mon cul. En me regardant dans le miroir je me vois salope, il y a un moment que je n'ai pas joui et mon gland-clito me brûle de désir, je m'empale en abaissant mon point de gravité, le regard vers le sol. En accentuant ma cambrure je vais chercher le meilleur angle. Je sursaute un peu car une portion du morceau est rentré un peu brusquement, mais j'ai une telle sensation de remplissage que je sors la langue et pousse ma croupe en arrière pour en avoir plus.  je plains ceux qui ne savent pas qu'ils ont une chatte, une chatte qui ne demande qu'à s'épanouir, distendue par le désir. J'ai envie d'être ouverte, mon gode de 9 centimètre de diamètre ne rentre qu'à moitié. Par instant je me retire, il sort, et je sens pour quelques secondes que mon trou conserve sa petite béance. Je recommence et je vais jusqu'à essayer de m'assoir, c'est douloureux, mon trou ne sait pas comment se trouer plus, se trouer mieux, pour s'évaser, s'ammolir, s'avouer vaincu. J'ai envie d'avoir un cul de pute vaincu par le gros morceau, je me sens être une grosse pute déformée par le gode, je le ressors, je tiens mes tétons entre mes doigts. Je reprends le gode et le tiens à deux mains pour le rapprocher de mon visage et l'accueillir entier dans la bouche, comme je peux, pour voir à quel point mon trou doit s'écarter. Je me sens salope de sucer mon gode comme ça, sorti de ma chatte. Ça se voit voit dans le miroir que je suis une salope, tout le monde devrait le savoir, on devrait se passer le mot et frapper doucement à ma porte en sachant très bien que je vais ouvrir. Il coule de ma chatte le gel accumulé, j'y retourne, je pose le gros gode sur la cuvette fermée de wc, et je descend mon cul en me laissant un peu tomber. Avec le poid du corps cettte grosse bite s'enfonce, je voudrait m'assoir totalement relachée, mais c'est trop, j'ai peur de me déchirer. Je sens en même temps que j'ai très envie d'avoir une grosse chatte, alors je force mon fond, je le défonce un peu en haletant. Par instant j'ai des éclairs de pute en rut, je force d'un coup en me laissant tomber plus fort, presque entièrement, et j'attends. Je reste assise comme ça, alors que s'élargit douloureusement mon fond de cul. Mon cul a tellement envie. Je suis une salope, je le vois bien, je vois dans le miroir que j'ai des yeux de cochonne qui implore la bite.  Je voudrais que l'on me voit, que l'on entre et que l'on me surprenne au moment où je m'ouvre le cul en tirant la langue. Je voudrais que quelqu'un ou quelqu'une attrape le gros machin et me fouille le trou en me disant des choses. `Je voudrais qu'ils viennent souvent, tous les jours, pour que lorsque je marche dans la ville, dans le tram, sur le trottoir, ma chatte dans ma culotte soit molle,je sens alors les grosses lèvres de ma chatte éprouvée par la dilatation. J'imagine l'on me rapelle souvent que c'est l'heure, que c'est l'heure d'être une chienne béante, une chienne que l'on flaire et que l'on prend par besoin naturel, en journée dans la chaleur, derrière un buisson, derrière une dune, sur une aire de repos. Mon trou s'élargit et pendant qu'un monsieur fouille ma bouche avec sa langue j'ai des frissons, je tressaute, ma chatte s'ouvre et se contracte, je sens venir comme une vague, une crampe, une tension qui remonte en raclant mon trou, je jouis des seins, des hanches, je jouis des reins, mon cul a dijoncté, je ne sais plus où je suis, où je vais, je ne sais plus si la bite que j'ai dans la bouche a encore besoin d'y rester, je suis en train de me faire défoncer avec un gros gode en plein jour, sur le bas coté d'une route de campagne, j'entends des voiture qui passent et je jouis, les voitures passent et les gens à l'intérieur ont à peine le temps d'apercevoir une femelle à 4 pattes, godée sur le bord de la route par un homme déterminé, je jouis, et je ne sais pas quand cela va s'arrêter.
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Par : le 20/06/25
Bronco et Bianca – L’Exorcisme du Fouet Ils n’utilisaient plus de simples prières. Ils n’élevaient plus seulement la voix. Bronco et Bianca avaient compris que les démons d’aujourd’hui s’enracinent dans le désir. Ils se logent dans la honte, le plaisir caché, la peur de soi. Alors pour les déloger, il fallait descendre plus profond. Là où la religion n’ose pas regarder. Leur chambre d’exorcisme ressemblait à une cellule monastique croisée avec une geôle médiévale. Un lit de pierre nue. Des chaînes bénies à l’huile sainte. Des cordes tressées avec des psaumes écrits en latin du désert. Et au centre, une croix inversée, non pour blasphémer, mais pour rappeler que la descente est parfois le seul chemin vers la lumière. L’eau bénite, préparée selon le rituel des Chrétiens de la Première Heure, n’était pas tiède. Elle brûlait comme de l’acide sur la peau corrompue. Quand Bronco l’aspergeait sur un possédé, la chair grésillait, les veines saillaient, et les hurlements sortaient non pas de la bouche, mais du ventre même. Bianca, toujours en noir, corsetée de cuir, portait à la taille un fouet tressé de crins sacrés. Chaque coup qu’elle donnait était un verset. Chaque marque laissée, une strophe contre l’intrus. Elle ne frappait jamais au hasard. Elle frappait là où le démon se cachait. Sous l’omoplate gauche. À l’intérieur des cuisses. Entre les reins. Et parfois, doucement, sur la bouche, pour faire sortir ce qui se tait. Le rituel le plus terrible, ils l’appelaient l’Appel de l’Ange Noir. Cela commençait toujours par des gifles – nettes, rituelles, données avec la main ointe d’huile sacrée et de sang d’agneau noir. Puis venaient les mots interdits, soufflés à l’oreille du possédé. Pas des insultes. Des vérités. Des vérités que le démon avait peur d’entendre. Enfin, dans une ultime montée, Bronco et Bianca s’enlaçaient. Leur souffle devenait prière. Leurs corps, un exorcisme vivant. Et lorsque le mal ne pouvait plus se cacher, il jaillissait en criant, expulsé par la force du plaisir sublimé et de la douleur transcendée. Car dans leur monde, le corps n’est pas un obstacle au sacré. Il est le champ de bataille. Et parfois, il est l’arme elle-même. Ainsi vivent Bronco et Bianca. À la lisière du sacré et du charnel. Chasseurs de démons. Amants fous. Guerriers mystiques. Et lorsque les ténèbres viennent, ce n’est pas un prêtre en soutane qu’on appelle. C’est eux deux. Nus sous les cicatrices, enchaînés l’un à l’autre, et plus purs que tous les saints.
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Par : le 19/06/25
Pendant plus de dix ans, Cat et moi formions un couple banal, de ceux qui partagent une vie simple, sans hiérarchie, sans jeux de pouvoir. Hors de notre intimité, nous étions deux âmes qui s’aimaient, un duo ordinaire aux yeux du monde. Mais dès que les portes se fermaient, dès que nos corps se frôlaient, une autre danse prenait vie, un feu brut et intense. La domination s’est imposée dès nos premières étreintes, un besoin viscéral qui n’a cessé de croître, toujours plus sombre, toujours plus absolu. Nos jeux, cantonnés à la sphère sexuelle, étaient un exutoire, les cordes marquaient sa peau, mes ordres la faisaient ployer, ses gémissements résonnaient alors que je fermais les nipple clamps sur ses tétons, que ma main s’abattait sur ses fesses rougies, que je la prenais, sauvagement, jusqu’à ce que nous nous effondrions, brisés de plaisir.   Puis la trahison m’a frappé, brutale, comme un coup de poignard. Du jour au lendemain, Cat a renié nos pratiques, piétiné cette part de nous que je chérissais, et notre séparation, encore fraîche, a laissé un vide. Nous vivons toujours sous le même toit, et chaque jour est une épreuve. Croiser son regard, sentir sa présence, tout en sachant que ce lien unique est mort, me plonge dans les abîmes. Depuis plusieurs années, je suis hanté par ce vide, un tourment qui me ronge l’âme. Ce ne sont pas les circonstances qui me déchirent, mais la perte de ces moments où je dominais, où une soumise s’abandonnait sous mes mains, où cette intimité viscérale me faisait vibrer. Chaque instant sans ce contrôle, sans cette connexion, est une torture. Je revois ses poignets liés, ses yeux suppliants, son corps offert, et ces souvenirs me lacèrent comme une lame de rasoir. J’ai besoin de cette danse où je guide et elle se livre, où je domine et elle s’efface, où je la baise jusqu’à ce que nos âmes se consument, mais ce besoin est une plaie ouverte, un feu éteint qui continue de me brûler.   En pleine séparation, je suis un homme déchiré, prisonnier d’un passé qui me hante et d’un présent qui m’étouffe. La domination n’était pas un jeu, c’était mon essence, une langue que je parlais avec elle, et sans elle, je suis un maître sans royaume, un rigger sans cordes, un homme tourmenté par un désir qui ne trouve plus d’écho. Sa trahison a tranché net toute envie que j’avais d’elle, un couperet froid et définitif, malgré le regret lancinant des bons moments passés, ces instants de complicité et de plaisir qui, parfois, me reviennent encore comme un écho douloureux, et dans ce silence, je reste suspendu, incapable de clore ce chapitre qui continue de saigner.
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Par : le 18/06/25
Petit texte, inspiré, que j'ai écrit suite à une expérience.. Il y a comme ça des histoires que l'on a envie de mettre sur papier, ou clavier, d'autres que l'on garde secrètes, mais l'expérience de vie, est parfois comme l'art, on veut montrer certaines créations personnelles (un exutoire ?) et d'autre que l'on cache par pudeur... Voici un extrait de cette expérience :    J'avais reçu un message de Monsieur Karl, qui se présentait comme étant un homme d'un certain âge, à la retraite. Heureux époux de Madame Catherine, une belle femme d'un certain âge elle aussi, qui lui a avoué avoir des envies …différentes, nouvelles, fortes… Il en parlait crûment, laissant transpirer une certaine excitation à l'idée de raconter cela mais encore plus à l'imaginer devenir réalité. Il me parla de son épouse, au fil de nos échanges. De femme modèle, un brin bourgeoise, Catherine avait apprécié de quitter son univers professionnel qui l'obligeait à une posture, pour adopter une posture de vie plus... libérée va-t-on dire. Monsieur Karl me le précisait régulièrement, comme si cela le rassurait, attention elle n'est pas une salope. Mais si elle commence à se lâcher, elle peut être une vraie chienne. Chienne, le mot ne fut écrit qu'une fois, mais je ressentais une certaine portée de ce mot. Catherine aimait être possédée. Karl aimait la voir ainsi. Un vrai couple. Nos échanges furent assez longs car je dois l'avouer, je reçois souvent des messages de couples qui veulent que madame soit dressée. Un petit coup vite fait, comme je dis, soumise de 5 à 7. Ce n'est pas mon credo, j'avoue aimer ce qui est long, dure, s'intensifie plutôt qu’une passade. Donc souvent je ne donne pas suite. J'ai bien quelques relations avec des couples ou monsieur veut que je prenne madame en photo, cela je l'accorde, mais au nom de l’art.…et de mon plaisir purement contemplatif. Bref... monsieur Karl ne lâche pas, ne veut pas renoncer, me raconte son quotidien, mails après mail... Il me raconte ses journées de plaisir avec madame, car oui couple retraité mais absolument pas sexuellement parlant. Mais voilà... c'est du sexe. Amoureux mais du sexe... Catherine en veut plus mais il est vrai qu'elle ne sait pas comment exprimer les choses...son désir profond. Monsieur Karl insiste, raconte, et souhaite que je prenne madame en main. Que je la dresse et que j'en fasse mon objet de plaisir. Je suis difficile à convaincre. Mais j'aime les jeux psychologiques, et j'aime les esprits torturés. Nous avons un échange téléphonique, j'entends Madame Catherine, je l'écoute, attentivement... j'entends son esprit me parler, j'entends les labyrinthes de ses désirs. Elle transpire l'envie, le désir. Je le sens. Je dois vous le dire j'ai un atout... j'ai un métier qui demande de la psychologie...et je m'exerce quotidiennement à l'art de la complexité humaine... alors c'est pour moi une seconde nature que de décortiquer un mot, un souffle, une inspiration ou une attente... Et madame Catherine attend, depuis un moment, que quelqu'un la prenne, la possède. Madame Catherine me témoigne de son envie, de son approbation, de son consentement... Je lui explique en détail mon fonctionnement, ma façon de penser, de faire...elle dit oui, a tout Bien. Madame Catherine est d'accord. Monsieur Karl a envie. Bien. Mais...il me manque quelque chose. Je dois le dire, chères lectrices ou lecteur. Je n'ai plus 20 ans... Des femmes j'en ai eu, oh pas une quantité gastronomique, mais suffisamment pour ne plus être un affamé, pour ne pas chercher juste un plaisir... Je suis dans une recherche de quelque chose de plus subtil, de plus cérébral... Bref...ce petit couple a envie... Nous cessons l'appel téléphonique après avoir dit " je vais voir quand je peux me libérer, je suis assez pris je ne promets donc rien" Ils acquiescent, il ne pouvait en être autrement. Beaucoup de couples se seraient tourné vers un autre homme, je le sais, nous sommes dans une société de consommation, les gens ne cherchent pas forcément quelque chose de spécial, mais souvent, simplement à faire, à vivre une expérience... Je me dis au fond de moi que c'est ce qu'il va se passer. Les jours passent, et un jour en fin de journée je reçois ce message : "Catherine veut s'offrir à vous, rien qu'à vous. Elle en a envie. Elle se mettra à disposition dans notre garage qui sera aménagé pour votre venue. Le garage sera fermé de l'extérieur, j’enfermerai personnellement Catherine à double tour . La clef sera sur la porte, vous aurez la liberté de venir, et de disposer de Catherine comme vous le souhaitez et le temps que vous le souhaiterez. Je serai absent, vous laissant notre maison si vous désirez en profiter. Une bouteille de ce que vous appréciez particulièrement sera à votre disposition. Nous attendons simplement vos disponibilités. Bien à vous. Karl" Ce message m'a bien plu. Catherine à disposition. Le temps que je veux. Comme je veux. J'accepte et leur donne ma disponibilité. Pas plusieurs, une seule. Je serai disponible à ce moment-là, vous l'êtes aussi c'est bien, sinon... Ils se rendent disponibles. je n’en attendais pas moins. Catherine m'envoie un message me demandant si je souhaite une tenue particulière. Non, rien. Vos talons madame et rien d'autre. Elle me répond en acquiesçant. Quelques consignes sont passées et le rendez-vous est pris. Le jour arriva. J'arrive à la maison, belle demeure, feutrée, une ambiance agréable... érotique. Je me rends au garage, je vois la clef dans la serrure...je vérifie, effectivement la porte est bien fermée à clef. Je tourne la clef, et ouvre la porte. Je vois une pièce plutôt vide avec ce que j'avais demandé. A savoir un canapé. Je vois au milieu de la pièce une femme à genoux, en talons et nue. Je m'approche de Catherine, arrivée à sa hauteur, j'attrape sa chevelure et tire la tête en arrière. Je l'admire car oui elle est une belle femme mais j'observe surtout ses yeux, son regard. Je lui propose de se lever, par un geste ferme. Je lui propose je dirais plutôt que tenant sa crinière d'une main ferme, je la fais se lever. Elle a un beau corps, des seins imposant au regard de la finesse de son corps. Je tourne autour d'elle, comme un chasseur tournant autour de sa proie. Elle a un fessier accueillant, des fesses rondes. Je caresse son corps, ses fesses, pour en ressentir la douceur, je passe devant ses seins, que je caresse délicatement, faisant pointer un téton... Je le vois durcir, pointer Je le pince délicatement, commençant aussi à serrer ce sein. Je vois son regard qui change, ses joues rougissent. Elle ferme les yeux. Je descends ma main entre ses cuisses. Je les écarte délicatement pour glisser un doigt entre ses lèvres, puis glisser un deuxième doigt. Je veux d'abord vérifier qu'elle est bien rasée. Cela faisait partie de la première consigne. Puis je constate qu'elle mouille. Mes doigts glissent dans sa chatte trempée. Déjà... De l'autre main je caresse le deuxième sein Je caresse d'abord le téton pour en faire sa connaissance, puis je le pince, délicatement, pour finir par une petite torsion qui fait plier Catherine. Je sens son odeur de femelle qui se dissipe dans l'air. Cette envie qu'elle a, les effluves de sa chatte trempée... Elle sent fort, de manière animale. Je retire mes doigts...et les glisse dans sa bouche en lui disant : nettoie. Elle lèche mes doigts, les suce, les nettoie... Je m'assois dans le fauteuil, et lui demande de tourner sur elle-même, pour l'admirer. Je la regarde, observe, chaque detail de son corps, je prends mon temps durant cette contemplation, j'aime prendre mon temps.. Je devine à sa cambrure la position qu'elle doit apprécier. Je devine à la forme de sa bouche et de ses lèvres qu'elle doit aimer sucer. Je devine aux courbures de son corps qu'elle est une aire de jeux très intéressante. Sers-moi à boire lui dis-je. Elle me sert un verre...que je déguste doucement. Je lui fais signe de se mettre à genoux à mes pieds. Je passe ma main dans ses cheveux, en appreciant la douceur, mais la maintenant, fermement... Le dressage de Madame Catherine peut débuter...  
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Par : le 17/06/25
Bonjour, Il fait chaud le soir dans notre Toscane rurale....29 °hier soir à 19h30.. Donc, en rentrant du bureau, des bureaux, à poil tous les trois et baignade ! Aucun voisin à moins de deux kilomètres, on est peinards ! J'avais juste oublié un détail : mon épouse et moi avons perdu au poker Dimanche, et nous sommes bouclés. Line, notre amie, a pris un malin plaisir à m'encager ( une cage longue, bien difficile à porter ), et à boucler ma Dame des deux anneaux qu'elle a aux petites lèvres.... Rires de nous voir équipés de nos cadenas, elle n'a pas hésité à s'allonger sur un transat , et se donner du plaisir en exagérant un peu les cris, quand même.... Grosse frustration pour nous deux ! Ma Dame sera libérée demain, moi .... Samedi ! La bourique !
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Par : le 17/06/25
Quand ce qui était le plus enfoui dans la beauté de ces paysages, ce que j'avais distingué toute entière, préféré toute ma sensibilié, commençait à m'échapper, à me fuir, pour n'avoir pu aimer qu'en des instants fugaces tout ce que m'apportait cette clarté, je ne la possedai jamais tout entière car elle ressemblait trop à la vie. Tandis que Charlotte dans sa démarche nonchalante laissait dorer ses jambes, je jetais sur elle des regards d'admiration non dénués de désir, auxquels elle répondait coquettement par un long sourire. Le jour découpait l'espace en pans de lumière et d'ombres suivant l'orientation des ruelles si étroites qu'il avait fallu les doter de sens unique. Les maisons étaient ocres, blanches, jaunes ou carrément rouges, les volets d'un bleu délavé par le soleil ou la pluie. Avec le bleu léger du ciel, c'étaient les couleurs de la palette grecque tant aimée de Charlotte, une harmonie instinctive qui l'enthousiasmait. Six ans à peine ! Tout cela semble loin. Souvent des images me reviennent. Chaudes, épicées, elles se superposent aux visages et au corps. Les amantes que j'évoque m'apparaissent alors dans l'éclairage violent de leur autre vie, celle ardente du lit, de la volupté et des étreintes. Ces souvenirs familiers me sont devenus aussi étrangers que la mémoire d'anciens accès de folie. Pourtant un rien les ressuscite: un mot, une anecdote, un parfum. Aussitôt s'éveille et s'anime alors le théâtre de la jouissance, de l'extase. C'était une île sous l'archipel des étoiles. Le matelas posé à même le sol sur la terrasse chaulée semblait dériver dans la nuit obscure de Pátmos. La douce brise de mer tiède comme une haleine étreignait un figuier dans un bruit de papier froissé, diffusant une odeur sucrée. Le ronflement du propriétaire s'accordait aux stridulations des grillons. Dans le lointain, par vagues, parvenait le crincrin d'un bouzouki. Le corps hâlé de Charlotte semblait aussi un îlot; majestueux, longiligne et hiératique comme un kouros de Náxos, il paraissait tombé d'une autre planète sur ce matelas mité. Aucun luxe ne pouvait rivaliser avec la splendeur qu'offrait ce dénuement. Quel lit de duvet, quelle suite royale des palaces de la place Syndagma, de l'hôtel d'Angleterre ou du King George, pouvait dispenser de la magnificence d'un plafond aussi somptueux que cette voûte étoilée ? Que de péripéties, d'efforts, de fatigues, devenus subitement lointains, nous avaient jetées dans cet asile sans murs, sans fenêtres et sans toit. C'était le charme de ces voyages d'île en île où les bateaux se délestent de leurs lots de passagers abandonnés sur le port; à eux de se dénicher un gîte au hasard de la chance. Plus de chambre à l'hôtel, ni chez l'habitant, alors on trouve refuge n'importe où, sur le parvis d'une église, sur les marches d'un escalier. Cette fois, faute de mieux, on m'avait proposé ce toit en terrasse où le propriétaire devait venir chercher un peu de fraîcheur par les nuits de canicule. Ni la couverture râpeuse qui sent le bouc, ni le matelas en crin, ni les oreillers confectionnés avec des sacs de voyage enveloppés dans des foulards ne font obstacle à la féerie de la nuit grecque. Charlotte acceptait sans rechigner ces vicissitudes du voyage. À la palpitation des étoiles éclairant le temps immobile des sphères répondait le frémissement des corps. J'étreignais Charlotte, j'embrassai son ventre avec le sentiment de saisir cet instant, de le fixer, de l'immortaliser.   À l'emplacement de la porte, je distinguais un vague flou venant de l'escalier. Comment avais-je pu laissé ouvert ? Je me levai sans allumer, je reconnus l'emplacement de la table et du fauteuil, et trouva, en effet, la porte entrouverte. Je la fermai, et regagnai mon lit où une main se posa sur mon bras, une autre sur ma bouche, étouffant le cri qu'elle aurait dû pousser. À la petitesse et à la douceur de la main, il ne pouvait s'agir que d'une femme déjà sous le drap, nue et fraîche. La main restait plaquée sur mes lèvres. Je l'écartai avec douceur. J'étais depuis longtemps insoucieuse que Charlotte m'eût désirée avec tant de passion, si forte que je ne pouvais me figurer alors qu'elle ne s'en délivrât jamais et que seul le destin capricieux de l'existence me semblait capable d'aplanir pour elle le chemin, entièrement tracé, de sa vie. Il n'était pas nécessaire que cette femme me fût fidèle, il suffisait seulement que pour une raison quelconque, elle fût radieuse, lors d'une promenade par exemple, et eût paru s'y amuser. Quand je voulus alors toucher le corps allongé près de moi, deux mains nerveuses happèrent et lièrent mes poignets avec tant de force que je m'étendis sur le dos. Je l'avais compris: pas un mot ne devait passer nos lèvres. Nos mains se séparèrent et je plaquai ses bras le long de son corps. Une ou deux minutes passèrent ainsi. Mais l'ombre s'assura de son obéissance et je la déshabillai avec des gestes précautionneux, qu'elle aida en se cabrant légèrement et en se redressant. Ma bouche explora son visage, ses yeux, l'arête du nez, frôla ses lèvres, caressa son cou, ses seins, descendant le long de son corps pour l'atteindre à l'endroit où la tension était déjà si forte qu'elle retenait, dents serrées, son plaisir pour qu'il dure indéfiniment, toute la nuit. Une grande quiétude l'envahit. Alors, elle se mit à penser à autre chose: au bain dans le bassin de la cascade du Centaure, à ma silhouette découpée sous la robe par la lumière de la fenêtre. Enfin, il ne fut plus possible de penser à rien et elle s'abandonna. Plus tard, sans que j'eus osé la prendre dans mes bras pour lui dire ma reconnaissance, la légère forme se glissa hors du lit, ramassa son déshabillé qu'elle avait dû laisser tomber avant de me surprendre. La porte s'ouvrit sans grincer et je crus voir une silhouette sur le palier, mais déjà elle était loin, partie sur ses pieds nus, plus légère qu'un chat, et la maison geignit de nouveau, s'étirant dans la nuit. Si je ne m'étais pas retrouvée nue, mon désir calmé, j'aurais juré que la scène relevait du rêve. Il fallait l'accepter ainsi: plaisir sans nom, sans visage, plaisir né des obsessions de l'île depuis des siècles. Son corps apaisé gardait la trace d'une bouche fraîche, fleur veloutée promenée sur ses lèvres, sa poitrine et son ventre, tendresse d'une esclave qui ne pensait qu'à la volupté de sa Maîtresse, magie qui effaçait tout ce que j'avais connu et connaîtrais. Elle me punissait. Ou elle désirait être seule pour réfléchir. Je l'acceptais sans mélancolie, craigant d'aborder le jour les interrogations que la nuit, dans son indulgence permettait. Contre toute attente, elle se ravisa tout d'un coup et me rejoignit en silence dans les draps et ma volupté.   Ce que je détenais entre mes bras, ce n'était plus seulement elle, son monde de refus obstiné, son orgueil aristocratique, mais la nuit intense et lumineuse, cette paix de l'éternité des planètes. Le plaisir me rejeta dans un bonheur profond. Je ne m'éveillai que sous la lumière stridente du jour qui, dès l'aube, lançait ses feux. Une violence aussi brutale que doit l'être la naissance qui nous projette sans ménagement dans la vie. Je maudissais ce soleil assassin, tentant vainement d'enfouir mes yeux sous la couverture à l'odeur de bouc. Le paysage des maisons cubiques d'un blanc étincelant qui s'étageaient au-dessus de la mer me fit oublier la mauvaise humeur d'une nuit écourtée. Des autocars vétustes et brinquebalants transbahutaient les touristes dans des nuages de poussière. Une eau claire, translucide, réparait les dégâts de la nuit. Nous étions jeunes et amoureuses. Au retour de la plage, j'échangeai notre toit contre une soupente aux portes et aux solives peintes dans un vert cru. Nous dînerions dans une taverne enfumée, parfumée par l'odeur des souvlakis, d'une salade de tomates, de feta, de brochettes, en buvant du demestica, un vin blanc un peu râpeux. Et demain ? Demain, un autre bateau nous emporterait ailleurs. Notre sac sur l'épaule, nous subirions le supplice de ces périples sur des navires à bout de souffle. Tantôt étouffant de chaleur dans des cabines sans aération, tantôt allongées contre des bouées de sauvetage dans les courants d'air des coursives humides d'embruns. Où irions-nous ? À Lesbos, à Skiatos, à Skyros, dans l'île des chevaux sauvages, d'Achille et de Rupert Brooke ? Je me souviens à Skyros d'une chambre haute et sonore des bruits de la ruelle maculée de ce crottin des petits chevaux qu'on laissait sur le sol blanchi comme s'ils provenaient des entrailles sacrées de Pégase. Des ânes faisaient racler leurs sabots d'un air humble et triste, écrasés sous le faix, chargés non pas de la légende mais des contingences du monde. La chambre meublée de chaises noires caractéristiques de l'île était couverte de plats en faïence. La propriétaire, méfiante, s'en revenait de traire ses chèvres et d'ausculter ses fromages, parfumée de leurs fragrances sauvages, regardait nos allées et venues avec un œil aiguisé de suspicion comme si l'une et l'autre, nous allions lui dérober ses trésors. Que de soleils roulèrent ainsi. Chaque jour l'astre éclairait une île nouvelle, semblable à la précédente. Les jours de la Grèce semblaient s'égrener comme les perles des chapelets que les popes barbus triturent de manière compulsive. Charlotte aimait ses paysages pelés, arides. La poussière des chemin ne lui faisait pas peur. Elle ne manifestait aucun regret devant la perte de son confort. Cette forme de macération qui la coupait de ses habitudes et de ses privilèges, lui montrait le saphisme comme un nouveau continent. Un continent intense tout en lumières et en ombres, éclairé par la volupté et nullement assombri par la culpabilité. L'amour n'avait pas de frontières. Nous protégions ainsi notre amour hors des sentiers battus, dans des lieux magiques qui nous apportaient leurs sortilèges. En marge de la société, condamné à l'errance, ce fruit défendu loin de nous chasser du paradis semblait le susciter chaque fois sous nos pas. Mais la passion saphique qui fuit la routine où s'enlise et se renforce l'amour pot-au-feu n'a qu'un ennemi, le temps. Ce temps, il est comme la vie, on a l'impression quand on la possède qu'on la gardera toujours. Ce n'est qu'au bord de la perdre qu'on s'aperçoit combien elle était précieuse. Mais il est trop tard. Nous étions deux jeunes femmes, innocentes et amoureuses.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/06/25
Bronco est né avec un don ou une malédiction. Il voit les démons.  Sa vie est un cauchemard. Ce monde est infesté de démons. Ils sont partout. Tout petit, il a du fuir sa famille. Il erre dans la ville la nuit pour voler sa pitance et se cache le jour. Si lui voit les démons, l'inverse est pire encore. Il est traqué.  Quelle ville horrible infestée par tous ces démons maléfiques. Ils sont partout. Sa vie est un enfer. Et puis un jour Bronco tombe sur Bianca, la belle, la douce. Elle n'a que huit ans,  lui a peine six, mais elle a su le trouver dans le trou sous des vieux cartons où il se cachait. Elle a pris sa main et lui a simplement dit: " viens". Et Bronco a suivi. Il savait que Bianca n'était pas infestée.   Elle l'a conduit vers une secte étrange, nommée "les chrétiens de la première heure". Aucun n'était infesté.  Là, Bronco a pu apprendre à lire, à écrire et il s'est montré exceptionnellement doué.  Arrivé en âge,  il a épousé la sublime Bianca. Un amour total, un bonheur comme il ne pensait pas qu'il pouvait exister. La secte s'est vite rendu compte que Bronco était un exorciste, le meilleur d'entre eux.  Laissez moi vous raconter une séance. Vous trouverez des liens avec les pratiques bdsm. Bronco à été appelé pour sauver une jeune femme possédée par bien des démons et qui ne pense qu'à forniquer. Il ne prend jamais de bible ou de croix avec lui. Juste une petite bouteille d'eau bénite par lui même. La jeune femme des qu'elle le voit lui montre sa chatte et lui dit: " viens, baise moi" . Bronco lève sa main et lui dit en araméen, il n'exorcise que dans cette langue, " au nom du Christ, je chasse les démons qui sont en toi." La jeune femme est prise de convulsions. Elle écarte les lèvres de sa chatte. " bourre moi, connard,  serais tu pédophile ? " . Bronco sort sa bouteille d'eau bénite et commence par l'asperger. Chaque goutte qui tombe sur la peau de la jeune femme semble comme provoquer d'horribles brûlures. Elle devient comme folle. " arrête ou je vais devoir te violer" .  Bronco continue. Il lance ses mains avec des paroles en araméen vers la jeune femme comme autant de gifles puissantes. Et les démons sortent . Bronco les chasse et les expulse tous.  La jeune femme giflee et brûlée à l'eau bénite dort paisiblement à présent. Bronco pose sa main sur son front et dit une prière, toujours en araméen. Elle dort en paix. Bronco s'en va comme une ombre. Il sait que les démons qu'il vient de chasser ne sont pas loin. Ils rôdent à la recherche d'une nouvelle proie. 
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Par : le 16/06/25
E.  Débriefing Le jeudi s’est déroulé normalement pour Jean, à part les questions de ses collègues surpris de le voir venir au travail en pantalon de ville pendant plusieurs jours au lieu de son jean traditionnel qui lui posent des questions comme « Tu as rencontré une nana ? », « Ton lave-linge est en panne ?  « Tu as pris du poids, tu ne rentres plus dans tes jeans ? » auxquelles il répond « Oh ! Je m’habille comme je veux, ok ! ». Et c’est passablement énervé qu’il rentre chez lui le soir. Il se sert un pastis, met de la musique et commence une grille de sudoku pour se détendre. Son pastis et sa grille de sudoku terminés il est vingt heures trente et il se dirige vers la cuisine pour se préparer à manger lorsque son téléphone portable bipe pour annoncer la réception d’un SMS. Il ignore son téléphone, se disant qu’il aura le temps de le lire en mangeant. Au bout d’un moment il revient avec son plateau repas, le pose sur la table basse du salon et va chercher son téléphone. C’est un message de Sabine - Rendez-vous demain soir chez moi à 19h00 sois à l’heure ! Comme d’habitude elle ne donne pas de motif, mais peu importe il ira et sera à l’heure. Au jour et à l’heure dits Jean se présente devant le portail de la propriété et appuie sur le bouton de la sonnette. C’est Martin qui lui répond « On t’attend au donjon, tu connais le chemin. Je t‘ouvre le portail. Tu peux te garer dans le garage ! » Jean avance dans l’allée et se demande ce qui va lui arriver, il gare sa voiture et monte jusqu’au donjon. Il découvre cette pièce et son aménagement qu’il avait à peine entre-aperçu la dernière fois entre le moment où Sabine lui avait enlevé le bandeau pour l’amener dans sa chambre. Sabine et Martin sont assis au fond de la salle dans les fauteuils qui font face au canapé qui se trouve en-dessous du grand miroir couvre une grande partie du mur. Sabine – « Bonsoir Jean. Viens t’asseoir sur le canapé ! » Il s’assied sur le bord du canapé, comme s’il était pressé de partir, ce qui surprend Sabine qui lui demande « Ça ne va pas ? Je te sens tendu ! » Jean – « Si, si ça va ! » Il a oublié de prononcer la marque de respect comme s’il avait oublié qu’il joue encore le rôle de soumis mais Sabine ne relève pas cet oubli. Elle y reviendra plus tard si nécessaire. Sabine – « Alors assied toi confortablement. À moins qu’il y ait quelque chose qui te gêne ! » Jean qui comprend de quoi elle veut parler – « Non je m’y habitue petit à petit ! » Sabine – « Et tu aimes bien ? » Jean – « Ç’est contraignant mais pas désagréable ! » Sabine – « Pas désagréable. Ç’est à dire ? » il devient tout rouge et jette un regard vers Martin qui lui fait un signe d’approbation avec la tête. Jean – « Ça me rappelle que c’est vous qui me l’imposez ! » sabine – « Et c’est ça qui n’est pas désagréable ? » Jean – « Oui. Ç’est même agréable ! » et il regarde à nouveau vers Martin. Sabine – « Arrête de regarder vers Martin. Ç’est une histoire entre toi et moi. Entre Martin et moi c’est une autre histoire ! Je souhaite qu’il soit présent car nous n’avons rien à nous cacher mais je peux lui demander de partir ! » Jean se souvient de la conversation qu’il a eu avec Martin et, un peu plus rassuré il répond par la négative. Sabine – « Bien. Alors faisons le point sur le week-end dernier. Qu’est-ce qui t’a plu, qui t’a déplu, qu’a tu ressentis ? » Jean – « Ç’est difficile à dire car pour moi tout était nouveau et ce que j’ai ressenti sur le moment ne reflète pas obligatoirement ce que je ressentirai la prochaine fois ! » Sabine – « Tu peux être plus précis ? Nous sommes entre-nous, personne ne te jugera !» Elle cherche à faire en sorte qu’il s’exprime pleinement, qu’il se libère du carcan de morale qui l’a accompagné toute sa vie, quitte à alterner ces questions ouvertes avec des questions fermées dont la réponse sera « oui » ou « non ». jean – « Justement cette semaine j’ai réfléchi à tout ce qui s’est passé, analysé chaque situation et sur le moment je pensais être certain de savoir ce que j’avais apprécié ou pas mais maintenant je n’en suis plus aussi sûr ! » Sabine – « Le bandeau sur les yeux ? » Jean – « C’est intrigant parce que le ressenti n’est qu’auditif mais surtout tactile et c’est aussi décevant parce que l’idée que je me suis faite ne reflète pas obligatoirement la réalité. Sincèrement j’ai préféré quand vous me l’avez enlevé ! » Sabine – « Et si tu étais privé de la vue et de l’ouïe pour n’avoir que le ressenti tactile ? » Jean – « C’est à essayer ! » Sabine – « Tu penses que tu aurais le choix ? » Jean – « Non bien sûr ! » Sabine – « Est-ce que cette première expérience t’a donné envie de continuer ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « Tu en es vraiment certain ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « Bien, je te souhaite de trouver celle qui saura réaliser ton souhait. Ah ! Vanessa m’a rendu la clé car elle est de garde ce week-end à l’hôpital. Elle est médecin ! » Elle pose la clé sur la table basse et ajoute « Prend la. Tu peux te libérer ! » Jean regarde la clé mais ne la saisit pas, il ne comprend pas, tant il était persuadé que Sabine allait continuer à le former, l’éduquer. Martin s’adressant à Sabine – « J’ai l’impression que ce n’est pas ce que souhaite Jean ! » Sabine – « Qu’est-ce que tu veux dire ? Je ne comprends pas ! » Le couple, complice, s’amuse avec Jean, il souffle le chaud et le froid. Martin – « Je pense qu’il ne veut pas de cette liberté que tu lui offres ! » Jean écoute ces échanges, il est content que Martin parle à sa place car, lui, n’ose pas s’exprimer de peur de se voir opposer un véto de la part de Sabine et espère que son mari va la convaincre de le garder comme soumis. Mais peut-être l’a-t-il déçue, peut-être même qu’il n’est pas le seul à avoir été testé et qu’il n’a pas été retenu car pas à la hauteur des attentes de Sabine. Sabine – « Tu penses qu’il souhaite que je sois sa Maîtresse attitrée ? » Martin – « Je le pense ! » Sabine – « Dans ce cas croit tu qu’il a conscience qu’il sort du jeu de rôle pour entrer dans un mode de vie ? » Martin s’adressant à Jean – « Tu en as conscience ? » Jean – « Oui j’en ai conscience ! » Martin – « Et tu y as bien réfléchi ? » Jean – « J’y ai réfléchi toute la semaine et je suis certain de ma décision ! » Sabine jubile, elle ne pensait pas que cela irait aussi vite, mais elle fait exprès de calmer le jeu en faisant croire qu’elle est un peu réticente et reprend la main sur la discussion en s’adressant à Jean « Tu sais tout de même que c’est moi qui décide de la suite à donner ? » Jean – « Oui bien sûr ! » Sabine – « Pour l’instant tu prends la clé, tu vas dans la salle de toilette pour enlever et nettoyer ta cage et après tu iras dans la salle d’attente jusqu’à ce que l’on vienne te chercher ! » Une fois que Jean s’est enfermé dans la salle d’eau Sabine et Martin recommencent leur conversation. Martin – « Alors, qu’est-ce que tu vas faire ? » Sabine – « Je vais le laisser mijoter toute la semaine, mais je vais déjà lui proposer de se joindre à nous pour aller à la grande réunion kink le week-end prochain. Je pense qu’il sera partant ! » Martin – « Il faut que tu prévoies des tenues spéciales ! » Sabine – « J’ai déjà ma petite idée mais j’irai voir Nanette qui pourra me conseiller, surtout que c’est elle qui gère la liste des participants et on fera aussi les tenues en fonction de ce critère ! » Martin – « C’est quoi ton idée ? » Sabine – « Tu crois que je vais te le dire ? Je te signale que tu seras aussi mon soumis de circonstance ! » Martin – « Comme vous voulez Maîtresse ! » Sabine – « Vas ouvrir à notre ami au lieu de dire des bêtises ! » Martin raccompagne Jean, l’invite à se rasseoir dans le canapé, dit qu’il va chercher à boire et sort de la pièce. Sabine fait mine de continuer de réfléchir et dit « Même si je ne suis pas défavorable à te prendre comme soumis attitré permanent, je n’ai pas pris de décision définitive. Il faut que je réfléchisse aux modalités, car tu aurais plus de contraintes qui ne doivent pas interférer avec tes propres contraintes professionnelles ou familiales si tu en as ! » Jean veux lui répondre mais Sabine l’interrompt « TTTTT ! Tais-toi. Je te ferai parvenir quelles seraient tes contraintes et ce sera à toi de voir si tu peux les assumer. On pourra en discuter cas par cas si certaines posent problème. En attendant je souhaite que tu nous accompagne à la grande réunion kink qui aura lieu au château du Marquis. Et oui, ça ne s’invente pas, même s’il n’a aucun lien de parenté avec Donatien De Sade. Comme ça tu pourras voir des choses que tu n'as jamais vues, entendre des choses que tu n’as jamais entendues, peut-être tester des choses que tu n’as pas encore testées. Bien sûr aux vues de tout le monde tu seras mon deuxième soumis puisque Martin est déjà connu comme étant le premier. Tu seras pourvu d’une tenue que j’aurais choisies et tu devras obéir à mes ordres qui, rassure-toi seront softs. Les autres participants seraient choqués de te voir en simple spectateur venu uniquement pour assouvir ses instincts voyeuristes. Je ne dis pas que de ton comportement dépendra ma décision, mais je ne dis pas non plus que cela ne l’influencera pas ! » Martin revient avec en seau à champagne et trois flûtes. « Champagne, ça vous convient ? » demande-t-il. Personne ne lui répond car trop absorbés par leur discussion, Martin remplit quand même les verres. Jean – « Kink, qu’est-ce que c’est ? » Sabine à Martin – « Explique lui ! » Martin – « kink désigne une relation qui n’est pas conventionnelle dite vanille. Le BDSM et le fétichisme font partie des relations kink mais il y en a d’autres que je suis incapable d’énumérer tant il y en a. Cette relation est basée sur un consentement mutuel, une bonne communication et des limites définies. Elle peut permettre d’augmenter progressivement la confiance, la complicité et l’intensité de la relation entre les partenaires. Elle peut être sensorielle ou psychologique et sans rapport sexuel. Il y des gens qui y incluent les homosexuels. Dans notre groupe les couples homosexuels ne sont pas considérés automatiquement comme kinkers car il y en a qui ont une relation tout à fait vanille et vivent comme un couple hétéro traditionnel ! » Sabine – « Alors ? » Jean – « Je viendrai, j’ai même hâte d’y être ! » Sabine – « Alors buvons à notre santé et vivement samedi prochain. Par contre ce soir on ne peut pas te garder avec nous car nous sommes invités chez des amis. Ils sont ennuyeux, lui et Martin vont parler de leurs exploits au golf et moi je vais entendre parler de froufrous, de problèmes d’enfants et de toilettage des chienchiens à mémère. Que du bonheur ! » Jean fini sa flûte et prend congé. Sur la route il repense à tout ce qui a été dit. Il sait que lors de cette soirée au château il devra être à la hauteur et il fera tout pour gagner la confiance de Sabine mais surtout son accord pour le prendre comme soumis. Il se met à rire, si quinze jours avant on lui avait dit qu’il rêverait d’être soumis à une femme, mariée, qui a au moins dix ans de plus que lui, il aurait tapoté sa tempe avec son index.
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