La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 21/04/25
Elle est moi. Elle était de nature calme, On la disait déstabilisante par cette attitude, car elle pouvait être très calme et douce tout en étant autoritaire. Pouvant être tendre, mais aussi ferme et autoritaire, touchant même au sadisme lorsque qu'elle avait envie de marquer. Lorsque vous la croisiez simplement, elle était ange, pourtant le feu était bien présent en elle, mais elle avait choisie d'attendre après s’être cherchée longtemps, Attendre la bonne personne. Que ce ne soit plus une aventure, une séance, un jeu. Elle ne jouait plus. Elle voulait sa moitié opposée, celle qui serait marquée, à la fois par son amour, sa tendresse, et par ses marques à vifs. Elle ne voulait plus se justifier, car elle savait où elle allait. Il faudrait l'accepter et oser franchir cette porte sans crainte qu'elle, elle n'ose pas. Tout était là, elle avait prévenue pourtant il y a longtemps, que ce volcan dormait en elle, Elle était déstabilisante en effet. Elle attendait maintenant que cette moitié la voit et s'agenouille enfin la reconnaissant comme Telle, avec sa personnalité particulière qui lui appartenait. Et elle ne changerait pas, elle resterait calme, ferme, pure, tendre, dure, et volcan se réveillant...Je ne changerais pas !   Je me suis découverte très jeune, avec le livre de Vivant Lanon. Je me voyais être celle qui le faisait naître. Et chaque fois qui'il l'adorait, je me surprenais à le vouloir. Je ne voulais pas finir ce livre dont je n'apprécie pas la fin (je n'en dirais pas plus pour qui souhaiterait lire ce livre). Je voulais Mon Vivant ! Alors je me suis vite connectée sur mon Minitel à la recherche de mon Vivant. J'ai vécue des aventures à tâtons, pour vivre une histoire de six mois, magnifique. Mais ayant été jeune maman à 21 ans, puis 26 ans, j'ai tout plaqué pour m'occuper de mes 3 louveteaux. Je me suis mise à l'écart pour devenir une bonne petite Vanille. Mais je me suis perdue, je ne trouvais plus ma place. J'ai sacrifiée (à tort ou à raison) ma vie de femme bdsm jusqu'à récemment fin décembre 2024. Mes enfants sont grands maintenant, et malgré le fait que mes derniers vivent encore sous mon toit, je peux enfin vivre pour moi et mon futur de femme. Deux mois d'aventures à me (re) chercher, pour finir à comprendre ce qui brûle en moi. Je ne suis pas une expert, je ne suis pas une séance, je suis moi ! Voulant vivre une belle histoire (car à mes yeux elle le sera) avec un seul homme.   Oui je m'étais plongée dans mes abysses, je m'étais perdue. Je m'étais noyée lentement. Personne ne le voyait, Montrer ce qui plaisait au monde, tout allait bien, mais au fond il n'y avait plus rien. Le temps s'arrêtait durant des heures, perdue, seule dans mes silences. Revenir à la vie le temps de faire semblant, puis replonger l'instant suivant. J'allais bien, j'étais si loin... J'ai vécue tant d'histoire qui finissaient mal à l'évidence. Normal, je n'étais pas à ma place. Puis il m'a fallu un dernier électrochoc ! Dernière souffrance ultime pour comprendre. Comprendre que j'avais toujours vécue pour les autres. Mais moi dans tout cela ? Je suis alors partie 3 jours seule face à la mer, face à moi même, face à ce silence où j'aime me plonger pour me vider, et ainsi mieux remonter. Je suis rentrée et j'ai enfin compris, que la vie Vanille ne me convenait pas/plus. Et j'ai choisie de revivre, d'être enfin moi ! Me voici maintenant préférant restée seule jusqu'au jour où je trouverais celui qui sans rien me demander en échange, sans rien dire m'acceptera telle que je suis. En attendant, je parcours le mur, en silence. Il se peut qu'un jour quelqu'un(e) y perçoive le son qui en ressort. Alors en attendant tranquillement, me voilà ici, me livrant à vous, à tâtons, au grès de quelques lignes, de textes, de photos.  
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Par : le 21/04/25
Je tiens une page sur un réseau social où je partage des photos explicites des actes sexuels avec ma compagne, des actes intimes, crues, sans filtre. Dominateur dans l’âme, je n’imaginais pas qu’un échange virtuel pourrait me bouleverser si profondément. Pourtant, Darkness, une présence magnétique rencontrée dans cet espace numérique, devient une obsession qui redéfinit mon être. Voici le récit incandescent de ma première expérience virtuelle, où je suis à la fois un maître comblé et un homme possédé par une soumise qui envahit mon esprit. Sur cette plateforme, mes publications dévoilent les moments intenses partagés avec ma compagne, des instantanés personnels, jamais empruntés ailleurs, toujours ancrés dans notre réalité. Darkness, une énigme envoûtante, m’envoie un jour un message qui fait basculer mon monde : « Vos photos me consument… Je veux vous appartenir. » Ces mots, audacieux et directs, transpercent mon armure. Nos échanges s’embrasent, glissant vers une danse torride de sexe et de domination. À travers mes images, elle discerne ma nature dominatrice et, de sa propre initiative, s’offre comme ma soumise, prête à se plier à mes désirs les plus sombres. Nos conversations deviennent des rituels électrisants, chaque message chargé d’une intensité brute. Sans corps à toucher, je sculpte son esprit avec des mots, et elle répond avec une ferveur qui me désarme. « Je veux être votre soumise parfaite, brisez-moi », déclare-t-elle une nuit, ses mots trempés de désir. Une autre fois, elle avoue : « Vos photos me font mouiller, je suis votre jouet à détruire. » Plus tard, elle ajoute : « Possédez-moi, je me donne à vous, je vous supplie. » Ces déclarations crues, entre autres, puissantes, attisent un incendie en moi. Nos échanges prennent une tournure encore plus intime. Je lui donne des ordres précis, des scénarios où elle doit exécuter mes désirs et m’envoyer des photos prouvant son obéissance. Ces images, témoignages de son abandon, me procurent un plaisir indescriptible, un frisson de maîtrise qui me transporte. Mais elles me déchirent aussi, car nous savons tous deux qu’une rencontre physique n’aura jamais lieu, rendant chaque moment à la fois exquis et douloureux. En tant que dominateur, je m’épanouis dans cette dynamique. Sa capacité à s’abandonner, à repousser ses limites sous mes directives, me remplit d’une satisfaction profonde. Elle est une flamme que j’attise, une muse qui sublime mes désirs. Pourtant, l’impact de ce lien virtuel me prend de court. Je ne pensais pas qu’une connexion numérique pouvait nous frapper si violemment. Chaque échange creuse une empreinte dans mon âme, et je me surprends à guetter ses messages avec une avidité que je ne contrôle pas. Mais sous la façade de mon contrôle, une vérité s’impose. Darkness, par sa présence, tisse une toile autour de moi. Je guide nos échanges, mais ses mots « Je suis vôtre, détruisez-moi, je veux être votre tout » s’infiltrent dans mes silences. Elle envahit mes pensées, son essence comme une drogue dont je ne peux me défaire. Cette aventure virtuelle, que je croyais maîtriser, m’engloutit. Je commande ses désirs, mais elle, sans le savoir, me possède. Elle est dans chaque recoin de mon esprit, et je n’avais pas anticipé une telle emprise. Cette rencontre avec Darkness me brise. Ce n’était qu’un clic, une étincelle née de mes photos intimes sur une plateforme de désirs crus, mais elle renverse tout. Elle est une soumise qui magnifie ma domination, une partenaire dont l’audace et l’abandon suscitent une admiration sans bornes. Mais son pouvoir sur moi est écrasant. Je suis possédé, désemparé, consumé par une obsession qui me laisse sans défense. Mes nuits sont hantées par ses mots, ses photos, ses preuves d’obéissance, et mes jours sont dévorés par l’absence d’un futur où nous pourrions nous toucher. Chaque ordre que je lui donne, chaque image qu’elle m’envoie, renforce mon emprise sur elle, mais creuse aussi le vide en moi, car nous ne nous verrons jamais. Je suis le maître, mais je suis son captif, enchaîné par une soumise que je n’ai touchée que par des mots. Dans cette danse de pouvoir et de reddition, Darkness m’a anéanti. Elle est mon œuvre, mais je suis son esclave, errant dans l’ombre de son emprise, incapable de m’en libérer. Wolf. Photo généré par IA.
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Par : le 21/04/25
Bonjour, Bien évidemment , à jour particulier, jeu particulier.... Avant l'apéritif , les Dames de la maison , rentrant du tennis, avaient envie de s'amuser.... " Ça te dis ?....juste un petit jeu !....tu pourras faire ce que tu veux ensuite ! " Je suis toujours partant, moi ! " Alors , mets toi tout nu ...on t'enlève ta cage..." Je suis bouclé depuis plusieurs jours .... forcément, l'émoi se voit . " A quatre pattes sur le table de salon !...et laisse toi faire ! " ...ma Dame.... Mes testicules sont tirées vers l'arrière , un Humbler en bois m'est vissé par Line.... ça tire.... mais pas de bondage.... " Allez ! ...pour Pâques ! " Des coups de cravache , pas forts , me sont donnés sur ce qui dépasse...les œufs....pas forts au début ! Les derniers sont bien " appuyés " .... Les testicules bien sensibles , ma Dame m'ordonne de remettre ma cage., j'obéis....et elle me la boucle . " C'était juste pour ce moment !.... Merci !  Tu es très bien , encagé.....tu peux te rhabiller ! " Le tout en 30 minutes maxi..... J'aurais ma revanche.... j'espère..... On a " brunché" , elles sont redescendues au tennis.  
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Par : le 21/04/25
De toutes les artères qui étranglent l'enclos, la rue de Monceau jouit d'un statut particulier. Son nom de baptême est un symbole. Elle a le rôle-titre. Nul n'y habite par hasard. Proust ne s'y était pas trompé. Quand elle relevait par instants les yeux de son travail, elle apercevait, venue des jardins du Parc Monceau, la lumière assourdie, élégiaque, des fins de journée, et ces quelques instants de beauté volés au temps social suffisait alors à son contentement. Ce jour-là, Charlotte portait un tailleur gris anthracite croisé, une jupe au dessus des genoux, un chemisier blanc classique et des chaussures à talons hauts. La quarantaine arrivant, elle avait su conserver une silhouette jeune car mince de taille, les fesses musclées et une poitrine ferme, elle faisait beaucoup de sport mais son chignon et son regard froncé dénaturaient son épanouissement. Dirigeant une agence de communication et de publicité, en femme d'affaires avertie, elle était très exigeante avec son entourage professionnel. Elle vivait dans le luxe, mais elle ressentait au fond d'elle-même, un profond vide affectif. Peut-être que le hasard de cette rencontre avec Juliette lui permettrait-il d'égayer son quotidien, et de réaliser un fantasme secret et prégnant, jusqu'à ce jour irréalisé. Ses bureaux se trouvaient au premier étage d'un ancien immeuble rénové de l'avenue Gabriel qui lui appartenait, elle avait trois employés, un comptable, Charles, une secrétaire, Marion et une jeune et ravissante stagiaire Aurore. Tous trois travaillaient silencieusement, dans leur bureau. L'ambiance était studieuse et feutrée. Dans son bureau, Charlotte, malgré la charge de travail, de nombreux contrats à finaliser, était songeuse. Aucune nouvelle de son amie, elles avaient pourtant échangé leurs numéros de portable, mais celui de Juliette ne répondait jamais, alors elle s'était résignée à tourner la page sans pour autant selon ses consignes avoir eu de relations avec un homme. Personnellement, elle préférait entretenir avec une femme une relation basée sur une relation de soumission car au fond d'elle-même, elle se savait masochiste. Il était essentiel pour elle de pouvoir se donner sans réserve, par fierté et sans doute par orgueil.    Il lui arrivait très souvent de douter et de s'interroger. Serait-elle à la hauteur de cette femme fantasque qui ne donnait plus de nouvelles. Mais ce jour là, il était près de midi, lorsque son téléphone sonna, elle le saisit et lu le nom de l'appelant, de l'appelante plutôt, car l'écran affichait Juliette. Un délicieux frisson mêlé d'appréhension l'envahit. "- Juliette, enfin... Je désespérais que tu m'appelles. - Eh bien, tu vois, tout arrive. - Je t'ai téléphoné je ne sais combien de fois, pourquoi ne répondais-tu pas ? - Ai-je des comptes à te rendre ? - Heu... Non. - Te souviens-tu de notre dernière conversation ? - Oui parfaitement, j'ai chaque mot en tête. - Tu es toujours dans les mêmes dispositions ? " Charlotte avala sa salive avec difficulté, avant de répondre timidement:"- Oui. - Alors redis-moi ce que tu m'a dis". Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait été facile de couper court à cette conversation et plutôt que de s'engager dans une aventure tordue, elle était tentée de poursuivre sa vie de femme à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait, l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de la soumission. "- Je t'ai dit que je t'appartenais et que je ne voulais que toi, que j'étais disponible pour toi seule. - Ok, alors tu te prépares et tu viens au 18, rue du Bouquet-de-Longchamp , troisième étage, la porte sera ouverte. - Tout de suite ? - Tu es complètement folle ou quoi ?". La rue Bouquet se trouvait dans le vieux quartier de l'ancien village de Chaillot, l'immeuble était immémorial mais de caractère, elle monta les étages, la porte était ouverte, elle pénétra dans la pièce sombre. Elle avait si peur qu'elle se mit à trembler. Son cœur battait si fort et sa respiration se fit plus haletante. Mais elle avait décidé d'aller jusqu'au bout de ses fantasmes. Une femme soumise s'entend à mille choses qui nous échappent.    Elle attendit un long moment, un quart d'heure ou plus, dans un état d'angoisse et d'excitation extrême. Elle se doutait de l'issue, mais au contraire de la contrarier, elle semblait résignée et sereine. Elle n'ignorait pas que ces séances faisaient partie de son éducation. Juliette était assise sur un canapé, les jambes croisées, elle avait changé de coiffure, ses cheveux étaient très courts maintenant, elle portait une jupe courte noire en cuir; sa tenue, la lumière tamisée, on ne distinguait que ses yeux lumineux comme ceux d'une chatte dans la nuit. "- Assieds toi". Sans un mot, Charlotte s'exécuta. "- Je t'avais dit de ne pas te faire baiser par un homme, tu l'as fait ? - Oui, je te le promets. - C'est bien, mais je me renseignerai, à partir de maintenant, ce jour et cette heure tu m'appartiens on est d'accord ? - Oui. - Attention, si tu te rebelles, je saurais te remettre au pli, c'est à prendre ou à laisser, tu as réfléchi à tout ça ?". Charlotte tremblait tellement maintenant qu'elle ne pouvait empêcher le saccadement de ses mains. "- Je ne changerai pas d'avis. - Je veux l'obéissance, la fidélité, tu devras satisfaire tous mes désirs et mes caprices sexuels, as-tu compris ? - Euh... Oui". Juliette resta assise et écarta les cuisses, sous sa jupe en cuir, elle était nue. "- Bon, maintenant, tu vas me bouffer la chatte et tu te casses sans rien dire". Charlotte s'approcha silencieusement, se mit à quatre pattes et fourra sa langue dans son sexe la tournant consciencieusement puis la rentrant au plus profond, le nez enfoncé dans le fin duvet, ça dura peu de temps, Juliette poussa un cri puissant, puis elle la repoussa vivement du revers de la main. "- C'est bon, je crois que je vais faire de toi une vraie salope. Maintenant, va-t'en". Sans dire un mot car respectant son ordre elle prit son sac et s'éclipsa à pas feutrés. Dés qu'elle fut chez elle, elle prit une douche et se caressa, elle fermait les yeux en levant la tête. Elle sentit un orgasme arriver. Elle avait accepté une soumission totale. Trois jours passèrent sans que Juliette ne se manifesta. La tension ne cessait de monter. Charlotte s'impatientait mais elle avait conscience que son bonheur avait été de trouver une Maîtresse à sa mesure, qui attendait tout ce qu'elle pouvait précisément lui offrir. Son masochisme grandissant, elle s'agaçait chaque jour davantage de ne pas être maltraitée et surtout fouettée, afin de se libérer et de jouir de la douleur imposée en se résignant à son état et en ne gâchant pas en bagatelle un temps qui pourrait être donné aux plaisirs de la souffrance.    Son tropisme mélancolique expliquait le dialogue avec l'invisible auquel elle semblait parfois se vouer durant de longs moments de solitude, enfermée dans son bureau. La pression intense que Juliette exerçait sur elle la conduisait parfois à remettre sa personnalité en question et à s'interroger sur elle-même. Charlotte était occupée, en rendez-vous, quand le lundi matin, le téléphone de son bureau sonna, il était 11h15, énervée, elle prit l'appel. "- Donne-moi ton adresse, je vais te rendre visite. - Mais, c'est que je suis très occupée. - Tu discutes ? - Pardon, 51 avenue Victor Hugo. "- OK j'arrive". Lorsqu'on lui annonça son arrivée, Charlotte se dirigea avec angoisse vers la porte d'entrée, Juliette était là, un sourire malicieux aux lèvres, la main appuyée sur la cloison. Étonnamment, elle était plutôt classe avec cette petite robe courte et légère aux couleurs vives, elle avait mit des talons hauts et portait un trois-quarts bleu marine. Cette jeune femme sombre dégageait à ce moment là un charme certain, ces habits masquaient sa grande minceur. Le hall d'entrée moderne possédait une grande baie vitrée; au bureau d'accueil, Marion tenait le standard, puis elles pénétrèrent dans le bureau général où travaillaient Aurore et Charles, enfin elle lui fit visiter son bureau extrêmement luxueux, fauteuils et canapé Knoll en cuir, et meubles contemporains. "-Tu me présentes à ton personnel ?". C'est ce qu'elle fit. Juliette, enfin partie, Charlotte fut rassurée car avec elle on ne savait jamais ce qui pouvait arriver. Une heure plus tard, elle reçu un texto. "Viens chez moi ce soir à 20 heures, pas à 20h01 ou à 19h59. Tu amèneras un gode pas trop gros." Elle arriva devant la porte de Juliette à 19h50 mais resta sur le palier, attendant qu'il soit 20 heures pile pour sonner. Avant cela, gênée, elle avait trouvé un sex-shop et acheté ce gode sous les regards narquois et amusés des clients car elle portait des lunettes de soleil. Elle dissimulait mal sa gêne de fréquenter un tel endroit.   Même si parfois, c'est si facile de demeurer isolé au sein d'une foule affairée. Alors, il suffit de se faire intérieurement un rempart de sa solitude pour que cette position s'affiche naturellement et repousse tout envahisseur. Allait-elle se trouver seule ? Seule à elle-même ? Non, elle ne pouvait pas. Elle n'avait pas le droit de lui faire cela. Elle ne méritait pas de rester seule. Ses jambes commençaient à trembler. Autour d'elle, tout s'écroulait. À 20 heures pile, elle sonna. C'est ouvert entendit-elle. Doucement elle pénétra dans l'appartement, Juliette était assise sur le canapé, détendue, souriante, une cigarette à la main, elle lui dit: "- C'est classe chez toi mais ton argent, je m'en moque, ce qui m'intéresse, c'est de te transformer en véritable salope, et que tu deviennes ma pute, mon esclave sexuel". Charlotte demeura muette, ne sachant quoi répondre, elle avait envie de partir en courant mais, déjà, elle mouillait. "- Déshabilles-toi totalement". Elle se déshabilla rapidement puis se tint debout, les mains croisées sur son pubis, attendant de nouvelles directives. Juliette se leva, se dirigea vers elle en la fixant du regard, Charlotte baissa les yeux devant celle qui aurait pu être sa fille mais qui la dominait. Arrivée près d'elle, Juliette brusquement la gifla violemment, Charlotte recula protégeant son visage rougi de ses mains. "- Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. "- Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - Maintenant, enfonce-toi bien le gode dans le cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible". Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. "- Oui, oui ne t'énerve pas". Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, elle n'en n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. -"OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras tu t'y habitueras. Les passants dans la rue ne le remarqueront même pas".   Au vrai, ce que l'on prenait pour une froide mise à distance, n'était qu'une réserve due à la circonstance. Car elle savait qu'un jour, elle serait infibulée pour porter des anneaux et que la culotte la plus légère deviendrait rapidement insupportable, irriterait sa chair et lui ferait endurer les pires tourments. "- Bon, tu vas commencer par me faire un cunnilingus, comme une salope en t'appliquant, tu es devenue une experte maintenant. Après, ce sera au tour de mon anus". Charlotte s'exécuta et pendant qu'elle avait la tête fourrée entre les cuisses de la Domina, elle trembla en écoutant: "- Maintenant relève toi, écoute ce que je vais te dire, je veux que tu séduises ta stagiaire, comment s'appelle-t-elle déjà ? - Aurore. - Ah oui, c'est ça, Aurore, alors tu vas la séduire, je te donne une semaine, je vais revenir te voir mercredi prochain, quand je reviendrai, je veux que cela soit fait et je veux que tu te montres obéissante avec elle comme avec moi, sinon tu prendras la raclée de ta vie". Charlotte avait les yeux baissés, des larmes commençaient à couler sur ses joues, elle n'osa pas répondre mais acquiesça de la tête. Le lendemain à 14 heures puisque Aurore ne travaillait que les après-midi, gênée, elle lui demanda de la suivre dans son bureau. "- Aurore, j'ai décidé de vous donner une prime. - Ah bon ? Je ne m'attendais pas à cela, mais merci beaucoup, Madame. Elle était étonnée car sa patronne était du style à n'être jamais satisfaite de son personnel. - Oui, je trouve votre travail excellent et je veux vous remercier, heu... Vous êtes heureuse de travailler ici ? - Oui, Madame. - Je vous en prie, Aurore, appelez moi, Charlotte, j'aimerais que nous devenions amies". Le lendemain, la stagiaire gênée au début, était maintenant détendue. "- Aurore, j'aimerais vous inviter à dîner ce soir, votre mari accepterait ? - Je ne suis pas mariée, Madame. - Appelez moi Charlotte, je vous en prie". Le soir même elle vint la chercher chez elle à vingt-heures, comme convenu, elle l'attendait en bas dans la voiture. Quand Aurore arriva vêtue d'une robe bleu ciel très sage, une veste bleue marine sur les épaules car la nuit était fraîche, Charlotte sortit pour lui ouvrir la portière, la stagiaire la regardait décidément de plus en plus interloquée. Elle ne comprenait pas où sa patronne voulait en venir.   Le temps passait et allait vers son accomplissement. Il lui semblait impossible de renoncer. Elle se mit alors à réfléchir. Peut-être avait-elle tort de refuser un ordre aussi facile, une simple invitation à dîner. Elle se sentit rassurée. Charlotte avait choisi un restaurant réputé, étoilé au guide Michelin. La soirée se passa agréablement, elle était pleine de petites attentions, lui servant le vin, étant à l'écoute de sa conversation, la complimentant pour diverses raisons. Aurore, qui sous ses aspects réservés, était une jeune fille très fine d'esprit. Elle avait bien compris le jeu de sa patronne, pourquoi du jour au lendemain celle qui était si désagréable, s'efforçait de lui être sympathique et devenait si attentionnée, c'était plus qu'étrange, d'autant que Charlotte n'avait rien à attendre d'elle, comme stagiaire elle n'avait pas de compétences particulières et avait une vie somme toute banale, la seule chose qui pouvait expliquer ce comportement, c'est qu'elle devait être lesbienne et qu'elle la draguait tout simplement. Sa réflexion fut rapide, Aurore ne se sentait pas spécialement attirée par les femmes mais c'était une fille qui avait eu de nombreuses aventures malgré qu'elle n'ait que dix-neuf ans, elle était plutôt libertine, elle décida donc de profiter de la situation qui s'offrait à elle car elle voulait avoir un vrai contrat de travail après son stage et sans aucun doute beaucoup d'autres avantages. -" Je ne suis pas mariée, Charlotte". Elles étaient en voiture sur le chemin du retour quand Aurore aventura sa main sur la cuisse de sa patronne. Troublée, Charlotte ne réagit pas, alors elle la laissa durant tout le trajet, lui caresser doucement la cuisse, puis arrivées en bas de son immeuble elle la tutoya. "-Tu viens prendre un verre ? - Euh... Oui, avec plaisir". Pendant qu'elles montaient l'escalier les idées tourbillonnaient dans la tête de Charlotte: que faisait-elle encore ? Elle avait le sentiment de s'enfoncer dans un jeu qu'elle estimait pervers. Ne serait-elle pas accusée à tort d'harcèlement sexuel ? Jusqu'où tout cela la mènerait-elle ? "- Tu prends un whisky ? - Oui merci. - Cinq minutes je reviens". Lorsque Aurore revint, elle avait passé un peignoir en soie noir, elle s'assit à côté de Charlotte et sans lui demander la permission, l'embrassa sur la bouche, Charlotte se laissa faire passivement, puis Aurore se leva et fit tomber son peignoir dévoilant sa nudité, elle était mate de peau, fine et grande, une poitrine de statue grecque, de taille moyenne et très ferme. Elle avait défait sa queue de cheval et ses cheveux châtain clair couraient sur ses épaules. Elle éteignit la lumière puis entreprit de la déshabiller lentement comme si elle n'avait jamais fait que ça puis elle lui prit la main et l'amena dans la chambre, elles se mirent en position de soixante-neuf. Charlotte était maintenant experte de sa langue et la fit jouir trois fois alors qu'elle même n'arriva pas à l'orgasme." - Tu n'as pas joui, ça me gène mais tu sais pour moi, c'est la première fois, alors je ne m'y prends pas très bien. - Non, ne t'inquiètes pas, je jouis rarement mais le plus important pour moi, c'est de te satisfaire". Aurait-ce été pour elle une preuve d'amour sublime ?   Peut-être son orgueil était-il, en vérité, plus fort que son attirance physique ? Elle nourrissait d'amers regrets et de sombres repentirs. Charlotte fut dévorée de remords jusqu'au soir. Une idée traversa la tête d'Aurore, Charlotte ne voulait que faire jouir sa partenaire sans s'occuper de son plaisir à elle ? Non seulement, c'était une lesbienne, se dit-elle, mais en plus elle aimait être dominée, elle eu un léger sourire au coin des lèvres, elle aimait ça, elle allait être servie. Et puis de toute façon que risquait-elle ? Rien. "- Va dans ma chambre, tu prends le gode dans le tiroir de la table de nuit que je viens d'acheter, fais vite. Le désarroi de Charlotte était visible, comment lui parlait-elle, cette petite stagiaire qui hier encore tremblait devant elle; elle ruminait intérieurement mais était obligée de respecter les consignes de Juliette. Elle alla donc sans rien dire dans la chambre et ramena ce gode qui était de grosse taille. "- Maintenant, accroupis-toi, mets-toi le gode dans la bouche et tu le suces, pendant ce temps tu te masturbes, on va voir si tu jouis". Sans dire un mot elle s'exécuta. Aurore s'était assise sur le bord du lit et jouissait du spectacle, le regard amusé; cette aventure commençait à lui plaire. "- Plus profond le gode, je vais t'apprendre à bien sucer toi, au fond tu es une sacrée salope". Contre son gré, Charlotte, sentit monter en elle un orgasme puissant, elle ne put contenir un râle profond et long qui se termina par un petit cri aigu. Aurore eut un petit rire moqueur. "- Et bien toi dis donc, sous tes airs de mijaurée, tu es une vraie salope". Le lendemain matin, lorsqu'elle arriva au bureau, elle était vêtue de son tailleur bleu-marine très classique, jupe au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons. Aurore, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'œil, elle lui répondit par un petit sourire gêné. Cinq minutes plus tard on tapait à son bureau, sans attendre de réponse, Aurore entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur le coin du bureau. "- Tu as mis une jupe c'est bien, mais tu es trop sérieuse, tu dois être un peu plus sexy, dégrafe un bouton de ton chemisier, il est fermé trop haut". Sans répondre, Charlotte s’exécuta, essayant d'afficher un sourire complice de circonstance mais n'arrivant pas à dissimuler son embarras. "- Fais voir ? Ouais c'est mieux... Bof". Elle s'approcha d'elle, lui dégrafa elle-même un bouton de plus et écarta son col, laissant apparaître les larges aréoles de de ses seins, à la limite supérieure de son soutien-gorge en dentelles blanches. "- Voilà, c'est beaucoup mieux, reste comme ça toute la journée même pour tes rendez-vous, compris ? Je te surveille. Demain je veux que tu viennes encore plus sexy. Tu mettras un soutien-gorge balconnet transparent, et dorénavant tu ne porteras plus jamais de tanga ou de string. Je veux te savoir nue et offerte à tout moment. Derrière ton bureau, tu ne croiseras plus jamais les jambes, non plus". Charlotte décida avec honte mais secrètement avec bonheur de se soumettre totalement à Aurore et à Juliette. De retour chez sa Maîtresse, celle-ci décida d'essayer un certain nombre d'objets. Elle se servit d'elle et usa de son corps dans toutes les positions. Enfin, afin de rompre la mainmise usurpée d'Aurore, elle sangla fermement ses poignets à l'aide d'une fine cordelette qui lui entaillait la peau, la suspendit face à un large miroir mural, refletant sa nudité et la flagella à toute volée. Quand la nuit tomba, Juliette décida de l'attacher sur le dos, nue, à même le sol, les bras étirés et les cuisses écartées. Prise de sommeil, Charlotte s'endormit alors dans le froid.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.  
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Par : le 21/04/25
Vanessa, toujours agenouillée aux pieds de David, avait du mal à contrôler ses émotions. L’atmosphère était à la fois détendue et solennelle. Vanessa le ressentait dans toutes les fibres de son corps.  Bien que la soirée ne lui soit pas réservée, elle était à présent au centre de toutes les attentions. Elle ressentait une grande nervosité en elle. Frank s’approcha du centre de la terrasse, son verre de champagne à la main, et reprit la parole : « À présent que nous sommes tous réunis, permettez-moi de vous présenter les couples ici présents. Venez chers amis. » Vanessa sentit la main de David se poser sur son épaule et la presser légèrement. Elle leva son regard vers David et vit le sourire radieux et bienveillant qui barrait son visage. Il l’invita à se relever d’un simple mouvement de main. Elle se releva alors avec grâce, bien que son corps était sujet à un léger tremblement. Sa main dans celle de David, elle se sentit ancrée, guidée, soutenue. Ils suivirent Frank, leurs verres de champagne en main. « Voici tout d’abord Maître Djibril et sa délicieuse soumise Jade ». Maître Djibril était un homme d'une quarantaine d'années, originaire d'Afrique de l'Ouest, comme Vanessa l’apprendrait plus tard dans la soirée. Son visage, aux traits forts et réguliers, était éclairé par des yeux sombres et profonds. Il portait une barbe de trois jours et avait les cheveux coupés très courts. Il était tout de beige vêtu : des rivieras beige, un pantalon en lin beige parfaitement ajusté qu’une chemise en lin beige ouverte sur son torse imberbe et musclé surmontait. Sa carrure imposante imposait le respect dès le premier regard. Très massif, il avait l’allure d’un joueur de football américain. Son torse large et ses épaules puissantes semblaient être taillés dans du marbre. Sa peau d’ébène luisait légèrement sous les derniers rayons du soleil couchant, accentuant encore la vigueur et la puissance tranquilles qu'il dégageait naturellement. À ses côtés, Jade, sa soumise, incarnait l'image même de la délicatesse. D’origine asiatique, semblait avoir un âge similaire à son Maitre. Elle était petite, voire menue et d’une finesse presque irréelle. Si Maitre Djibril devait très clairement mesurer dans les 1.90m et peser son quintal, Jade ne devait pas dépasser le 1.60m et les 50kg. Sa silhouette gracile contrastait avec la robustesse imposante de Djibril. Jade portait des talons noirs très élégants avec une chaîne en or à chaque cheville. Fendue jusqu’à la hanche, son élégante robe de soie noire révélait ses jambes fines et graciles. Un collier de soumise en or jaune, fin et délicatement ciselé, épousait avec grâce la courbe de son cou. Il était orné en son centre d’un petit pendentif en forme de lotus. Sur le bord du collier était inscrit «  従順なジェイド». Le visage de Jade était d'une délicatesse exquise, fait de traits fins et réguliers. Ses lèvres fines, délicatement dessinées, étaient rehaussées d'un rouge vif éclatant qui tranchait sensuellement avec sa peau de porcelaine. Ses yeux légèrement en amande, d’un brun profond, semblaient exprimer à la fois une douceur infinie et une dévotion silencieuse. Ses cheveux noirs étaient attachés en une tresse souple qui retombait sur son épaule. David et Djibril se prirent dans les bras l’un de l’autre. De toute évidence, ils se connaissaient bien se dit  en elle-même Vanessa. « Quel plaisir de te revoir mon ami ! » s’exclama Djibril dans un immense sourire qui fit se dévoiler des dents d’un blanc éclatant. « Tu t’es fait rare ces derniers temps ! Tu nous as manqué ! ». Tournant son visage vers Vanessa tout en continuant à parler à David « Mais je ne peux que mieux comprendre désormais pourquoi lorsque je découvre la perle étincelante qui t’accompagne … » Vanessa sentit son visage rougir sous le compliment chaleureux de Maître Djibril. Ne sachant comment se comporter, elle sourit et inclina poliment la tête en direction de Maître Djibril. A la pression bienveillante de la main de David dans la sienne et à l’attitude identique de Jade vis-à-vis de David, elle comprit qu’elle n’avait pas commis de faute et sentit un grand soulagement l’envahir. « Merci mon ami, » répondit David en riant doucement et en enlaçant plus fermement la main de Vanessa dans la sienne, tout en faisant tinter sa flute de champagne avec celle de Djibril. « Je suis bien heureux en effet d’avoir rencontré Vanessa. Elle me comble en tous points. Mais je constate que Jade est de plus en plus superbe ! » poursuivit David dans un sourire, tout en tendant son verre vers la soumise de Maitre Djibril. Maitre Djibril fit de même avec Vanessa. Ce fut ensuite au tour de Jade de tendre son verre vers Vanessa. Elle s’approcha d’elle et déposa un doux baiser sur sa joue en disant « Bienvenue Vanessa » dans un large sourire. Vanessa sentit une onde de chaleur la parcourir, alors que toute émue, elle rendait ce baiser sur la joue de Jade. « Oui, nous sommes enchantés de faire votre connaissance, Vanessa » enchérit Maitre Djibril, tout serrant contre lui Jade qui se lova instantanément telle une chatte contre son torse accueillant. « Bienvenue parmi nous ! Nous imaginons fort bien comment cette première soirée doit quelque peu vous intimider. Mais n’ayez crainte : vous êtes ici avec des amis. Et, si David le permet bien sûr …» continua Maître Djibril tout en portant son regard vers David, « …Jade sera à votre disposition, belle Vanessa, pour vous guider et vous rassurer lorsque votre Maitre ne sera pas à vos côtés ce soir ». « Grand merci mon ami » répondit David. « Vanessa est en effet quelque peu nerveuse ; bien que je doive souligner le courage et l’abnégation incroyables dont elle fait preuve pour une jeune Novice » continua-t-il avec un sourire bienveillant et admirateur à l’attention de Vanessa. « J’accepte donc avec joie et je vous remercie par avance Jade » conclut-il. « Ce sera un réel plaisir pour moi, Maître David » répondit Jade tout en prenant tendrement la main de Vanessa. « Merci beaucoup à vous » répondit Vanessa, la voix pleine d’émotions et le corps frissonnant à la douceur de la main de Jade dans la sienne. Elle percevait dans ce couple une force immense, un équilibre intense entre la domination protectrice de Djibril et la soumission douce et assumée de Jade. Cela résonnait profondément en elle. Un modèle d'abandon et de confiance, à la fois magnifié par leur différence de gabarit, mais aussi clairement symbole d’une complémentarité et d’une harmonie évidentes. Et par-dessus tout, elle ressentait une immense bienveillance qui émanait d’eux. Frank qui regardait la scène avec bienveillance les interrompit. « Je vois que tout se passe bien entre vous mais je vous les enlève juste quelques minutes pour continuer les présentations » dit-il dans un éclat de rire, tout en mettant ses bras autour des épaules de David et Vanessa et en les entrainant un peu plus loin sur la terrasse. Il les emmena vers deux couples en train de discuter dans les canapés accueillant autour de la large table basse en verre où scintillaient quelques flûtes de champagne. À leur approche, la conversation cessa naturellement et les regards se tournèrent vers eux. « Permettez-moi de vous présenter Maître William et sa soumise Élise, » annonça Frank. Maître William se leva aussitôt pour les accueillir. C'était un homme grand et svelte, à l’élégance naturelle. La cinquantaine raffinée, il portait un costume bleu nuit et une chemise blanche à col mao. Ses cheveux poivre et sel étaient légèrement ondulés. Son regard, d'un bleu clair et perçant, respirait l'autorité douce mais incontestable. A ses pieds, toujours agenouillée sur un large coussin, se tenait sa soumise Elise qui leva les yeux vers Vanessa avec un sourire chaleureux. Élise était une femme d’une beauté gironde classique : blonde cendrée, ses cheveux rassemblés dans un chignon bas très classe laissaient échapper quelques mèches rebelles sur ses tempes. La cinquantaine superbe, elle avait des yeux magnifiques de couleur grise que dissimulait à peine une paire de lunettes rondes très aérienne. Sa peau légèrement dorée tranchait avec sa robe de mousseline blanche qui dévoilait ses épaules nues et ses bras délicats et laissait deviner une poitrine opulente et un fessier spectaculaire. À son cou, un collier de cuir blanc finement ouvragé portait un petit pendentif en argent en forme de clé. Alors que Vanessa s’inclinait respectueusement, Maître William fit un pas vers elle. « C’est un honneur de vous rencontrer, Vanessa, » déclara-t-il d’une voix posée et grave. « Maître David est un homme que nous estimons beaucoup ici. Sachez que vous êtes d’ores et déjà parmi des amis. » Élise, sa soumise, se leva doucement de son coussin et s’approcha à son tour. Sa démarche était souple, presque féline, toute en retenue et en grâce. Avec un sourire doux, elle prit délicatement la main gauche de Vanessa dans les siennes et, se penchant légèrement, effleura sa joue d’un baiser léger et respectueux. « Bienvenue parmi nous, chère sœur, » lui murmura Élise. Vanessa, bouleversée par tant de gentillesse et de respect, sentit ses joues s’enflammer à nouveau. Ses doigts tremblaient légèrement dans ceux d’Élise, mais elle trouva la force de sourire en retour, émue aux larmes par cet accueil qu’elle n’aurait jamais osé imaginer. « Merci … merci beaucoup… » réussit-elle à articuler d’une voix un peu tremblante. Elle jeta un rapide regard vers David, qui lui répondit d’un sourire approbateur, empli de fierté. Élise resserra brièvement sa prise sur les mains de Vanessa, comme pour lui transmettre un peu de sa sérénité, avant de se retirer doucement pour revenir s’agenouiller à la droite de Maître William. Frank, qui n’avait pas perdu une miette de l’échange, continua « Et voici Maitre Yannis et sa soumise Alice ». Maitre Yannis était un homme dans la quarantaine. Rasé de près, il avait la peau mate les cheveux noirs, coupés courts. Il portait un pantalon de costume gris anthracite et une chemise blanche entrouverte, laissant entrevoir la naissance d'un torse musclé. Son regard, brun et intense, respirait une autorité douce, presque protectrice, mais non moins affirmée. Un fin collier d’or brillait discrètement autour de son cou. Il serra chaleureusement la main de David et fit un baise-main à Vanessa suivi d’un « Bienvenue Novice Vanessa ». À ses côtés, sa soumise Alice s’inclina élégamment devant David, et adressa à Vanessa un sourire doux, illuminant son visage. Alice était d’une beauté bouleversante. Bien plus jeune que son Maitre, elle devait à peine avoir trente ans et était de taille moyenne. Les traits fins et délicats de son visage étaient mis en valeur par un maquillage subtil : ses lèvres pleines, peintes d'un rouge framboise satiné, et ses grands yeux verts bordés de cils épais captivèrent instantanément Vanessa. Sa longue chevelure châtain clair tombait en vagues souples sur ses épaules nues, caressant sa courte robe de satin jaune qui épousait ses courbes avec sensualité. Sur le haut de sa poitrine, qu’on devinait être pleine, un élégant tatouage d’une tête de tigre rugissant ajoutait à sa beauté mystérieuse. De toute évidence Alice prenait grand soin de son allure comme en témoignaient également ses ongles parfaitement manucurés. Vanessa ne fut pas sans noter le collier d’Alice : en cuir noir verni, il portait en son centre une discrète plaque d’argent sur laquelle était gravé ces mots si puissamment évocateurs : « Librement Dévouée ». . « Nous sommes enchantés de faire votre connaissance, Novice Vanessa, » poursuivit Yannis avec un sourire chaleureux, avant de tendre son verre de champagne pour trinquer. Alice, d’un geste fluide et gracieux, tendit également sa flûte, puis s’approcha pour déposer un léger baiser sur la joue de Vanessa, son parfum subtil enveloppant la jeune femme d’une aura de délicatesse. Vanessa sentit son cœur s’accélérer devant tant de douceur et d'acceptation. À chaque rencontre, elle percevait un peu plus la force des liens unissant ces couples, et combien, au-delà des rôles affichés, régnaient ici la confiance, la tendresse et un respect profond. Elle répondit au geste d’Alice par un sourire ému et s’inclina respectueusement vers Maître Yannis et sa soumise, comme elle avait vu faire Jade et Élise auparavant. Le regard approbateur de David et la pression douce de sa main sur le bas de son dos la rassurèrent aussitôt : elle apprenait vite. Frank, visiblement heureux de l’ambiance qui régnait, ponctua les échanges d’un nouveau rire joyeux : « David, mon ami, je crois bien que ta belle novice fait déjà l’unanimité ! » Tous les Maîtres et soumises présents opinèrent de la tête ou adressèrent à Vanessa des regards bienveillants, certains même des sourires discrets. Le cœur gonflé d’émotions contradictoires — fierté, reconnaissance, mais fébrilité et nervosité aussi — Vanessa sentit les larmes lui monter aux yeux, mais parvint à les retenir. Elle serra un peu plus fort la main de David dans la sienne, murmurant d’une voix à peine audible à David : « Merci, mon Maitre... Merci pour tout... » « Venez les amis que je vous présente notre merveilleuse Clara » poursuivit Frank. Il s’interrompit soudain. « Ah … non … je pense que cela attendra un peu » dit-il dans un sourire. Tous se tournèrent alors dans la direction où Frank portait son regard amusé. A l’entrée de la terrasse, abritée sous la pergola, une scène d’un érotisme torride s’offrait à eux.  Maitresse Clara était installée sur un large fauteuil de velours pourpre, les jambes écartées avec une majestueuse nonchalance. D’une beauté glaciale et magnétique, Clara devait avoir dans la quarantaine. Grande, élancée, elle avait une silhouette sculpturale sublimée par une combinaison en cuir noir et parée de moultes attaches en acier qui était parfaitement ajustée. Son entrejambes et sa poitrine étaient apparentes dans une indécence affolante. Ses cheveux blond platine, coupés dans un carré court et structuré, encadraient un visage aux traits nets, presque aristocratiques. Ses yeux d’un intense bleu acier, dominaient la scène avec une assurance absolue. À ses pieds, dans une posture d'adoration et de soumission totales, se tenait son soumis : Tom. Nu, à l’exception d’un collier d’acier poli autour du cou auquel était attaché une laisse métallique que tenait fermement Maitresse Clara, il était agenouillé entre ses jambes. Agé d’une vingtaine d’années, Tom était totalement imberbe et avait les cheveux rasé. Sur sa fesse droite on distinguait une suite de chiffres tatoués dont Vanessa ne saisissait pas pour l’heure la signification. Visiblement totalement concentré sur l’ouvrage délicat qu’il accomplissait, Tom semblait totalement insensible au fait d’être exhibé dans cette position en public. Le visage plongé dans l’intimité de sa Maîtresse, il lui offrait avec ferveur et dévotion ce plaisir avec des gestes lents et précis. Maitresse Clara, le dos appuyé contre le fauteuil, effleurait tout à tour distraitement ou plus fermement les cheveux de son soumis de ses doigts gantés de cuir. Elle savourait cet instant avec un calme souverain. Par moment, un frémissement agitait la courbe de ses lèvres fines et rouges carmin, un gémissement s’échappait de sa bouche gourmande, témoignant de l'effet produit par les attentions de Tom. Vanessa, qui découvrait une telle scène pour la toute première fois de sa vie, était figée sur place, les yeux écarquillés. Jamais elle n’aurait cru pouvoir assister à un tel spectacle en public. Loin d’être choquée, elle ressentait une vague puissante d’émotions confuses : une profonde admiration, un émoi physique irrésistible et une étrange envie de comprendre cette complicité, cette osmose qui transparaissaient entre Clara et Tom et qui leurs permettaient de se conduire ainsi.   (A suivre) Illustration: image du net
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Par : le 20/04/25
Brat, ça fait un moment qu’On en parle tous les deux. Je ne suis toujours pas sûre de bien cerner Ta notion, Ta définition. Je vois sur les sites des caractères brat : ces personnes cherchent, provoquent ..Je n’ai pas l'impression de le faire à la même échelle, dans la même optique. Pas grave, Je vais aller chercher Ma définition.   Pour Moi, Je suis joueuse. Je taquine, Je cherche du répondant. Je cherche à voir si la personne en face a de l’humour, de l’intelligence, de l’auto-dérision, En fait, ça permet de tester plein de choses…de l’Autre. Je cherche à savoir qui Tu es. Si Je valide qui Tu seras pour Moi.   Et puis la relation avance, Notre relation. Où cette notion n’a pas tout à fait la même signification.  Alors oui, J’ai testé ce que J’ai dit précédemment. On a surtout eu des discussions franches et sincères sur un certain nombre de choses qui M’ont permis de valider tous Mes indispensables.    Et alors c’est maintenant que la Brat prend vraiment sa place. La Brat teste, cherche…des limites. Celles de L’Autre. Les Tiennes. Celles de Mon Dominant. La Brat que Je suis cherche les failles, cherche l’incohérence dans l’armure du Loup. Pourquoi Je Te cherche ? Je le sais très bien…J’ai besoin de valider que Tu as les capacités de Me retenir, de Me contenir, que Tu sais faire et que Tu sauras faire le moment venu où il ne faudra vraiment pas déconner. Et celle qui risque de déconner, c’est Moi. Car ce sont Mes limites que Je cherche. Je sais pertinemment que “trop loin” est une notion floue et obscure qui M’attire. Mais que “plus loin” est Mon horizon. Pourquoi, pour qui ? un jour peut être chercher à comprendre. Pour le moment,Je m’en fous, Je veux juste y aller.   Alors Je Te teste, Je joue…plus ou moins fortement, plus ou moins clairement (même à Mes propres yeux). Je vérifie que rien ne bouge. Je cherche des bornes, des limites. J’ai besoin de sentir, de (re)valider Ta place, et par ricochet, la Mienne. Régulièrement. L’équilibre du mélange des genres est là aussi très subtil dans ce qu’On a choisi ensemble : D vs S, imposer vs accepter…mais il faut ajouter Aimer à cela : Aimer et Imposer vs Aimer et Accepter. On n’est pas sortis du sable pour les déséquilibres dans l’équilibre…sourire.    
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Par : le 20/04/25
Le jardin était calme, baigné d’une lumière douce, irréelle. Le grand pin, taillé à la main depuis des décennies, étendait ses bras tordus comme une divinité végétale figée dans une posture de domination. C’était là, à l’ombre de cet arbre discipliné par des décennies de soin et de contrainte, que le Maître l’attendait. Elle s’agenouilla devant lui, nue, offerte, déjà tremblante. Le sol de gravier mordait sa peau, et cette morsure annonçait la suite. Rien ne serait doux aujourd’hui, c’était un jour de marquage. Il ne dit rien, Il n’en avait pas besoin. Son regard suffisait à l’ouvrir de l’intérieur, à disséquer ses résistances. Il tourna lentement autour d’elle, canne de bambou à la main. Un outil, une extension de sa volonté. Le premier coup claqua sans prévenir; Net, cruel, parfaitement maîtrisé. Elle vacilla, mais ne cria pas. Elle savait, elle voulait. Chaque ligne rouge tracée sur sa peau n’était pas une blessure, c’était une écriture. Il écrivait sur elle comme sur un parchemin vivant, avec l’encre du feu. Il la fit se pencher vers l’avant, attachant ses poignets derrière son dos, puis tirant une corde jusqu’à une branche basse du bonsaï, l’obligeant à se cambrer. Il admira un instant la courbe de son dos, la rondeur offerte de ses fesses marquées, l’écartement forcé de ses cuisses. Une nouvelle corde glissa entre ses lèvres intimes, la sciant lentement, marquant la moindre vibration. Il ajouta les pinces sur ses seins, serrées jusqu’à la douleur. Elle haletait, gorge serrée, le regard noyé de soumission. Puis le bâillon. Une boule de bois, dure, glissée entre ses lèvres. Le silence du jardin fut remplacé par celui, plus profond encore, de sa soumission muette. Il la prit alors, sans prévenir, brutalement. Une poussée jusqu’au fond de sa gorge intime, sans préliminaires, sans ménagement. Il la baisait comme on conquiert un territoire, impitoyable, les mains serrant ses hanches, la canne s’abattant en rythme sur ses fesses entre deux coups de reins. Chaque va-et-vient faisait tinter les pinces, chaque cri étouffé vibrait jusqu’à ses os. Il la pénétrait, la frappait, la tenait ouverte et vulnérable, son sexe gonflé d’envie, ses chairs rouges, humides, brillantes d’un mélange de plaisir et de supplice. Quand il s’arrêta enfin, ce ne fut que pour s’accroupir devant elle, lentement, et retirer les pinces une à une, la faisant jouir de douleur à chaque arrachement. Son corps convulsait, l’orgasme mêlé à la brûlure. Elle ne savait plus si elle hurlait ou priait. Puis il la renversa au sol, la maintenant là, souillée, tremblante, la gorge pleine de salive et de larmes, et éjacula sur son ventre, marquant sa peau d’un dernier sceau, comme on signe une œuvre d’art. Le Maître la contempla un instant. Le vent agitait doucement les aiguilles de l’arbre. Le monde était paisible, comme après une tempête. "Tu es à moi, dit-il enfin. Et tu es parfaite."
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Par : le 19/04/25
Ce n'est pas assez dire que Charlotte avait rejoint les bas-fonds. Elle n'était plus qu'un être vidé et sans voix et il lui semblait qu'elle aurait pu continuer sa déchéance jusque tard dans la nuit. Elle avait eu toute la journée pour lutter contre un flot contraire à la morale, laissant ainsi son corps se répandre dans les cloaques de l'immoralité. Elle avait perdu le regard effarouché de la femme pudibonde qui dissimulait par excès de scrupules des appâts qu'elle jugeait indécents. Au bord de l'épuisement et sans jamais protester, elle ne vivait que pour servir de réceptacle à la semence des hommes et elle avait l'air d'être heureuse de cotoyer le néant. Juliette avait le secret de lui donner du plaisir, en inventant toujours quelques manières à lui trouver les heures moins longues, comme s'il s'agissait d'un jeu. On ne dit pas ces choses-là. On n'imagine pas l'effort que doit parfois fournir une femme dégoûtée. C'était le mot qu'elle employait à dessein non sans l'avoir longuement ruminé, pesé, mûri, pour évoquer cette peau et cette odeur qui lui étaient imposées tous les soirs. La jeune femme n'aimait rien tant qu'être surprise. Il faut préméditer l'imprévu avec suffisament de génie pour que cela paraisse naturel. Pourtant elle prit l'ascenseur, les paumes moites, le cœur battant à tout rompre. Pour accompagner son string, elle s'était offert un soutien-gorge très pigeonnant, dont le voile léger couvrait à peine ses seins. Et la caresse de son corsage sur leur pointes dressées ajoutait encore à son excitation. Un porte-jarretelles assorti et une paire de bas noire. Tout ce qui restait à savoir, c'était le rôle qu'elle allait jouer, l'assistante ou la soumise ? À cette perspective, un désir violent assaillit ses reins. Au creux de ses cuisses, la dentelle du string était déjà humide. Des réactions dont Juliette ne saurait rien. Ses doigts serrèrent la poignée. Les pensées se bousculaient dans son esprit, de plus en plus confuses. Peu importaient les risques. Elle s'aimait trop en femme audacieuse pour s'arrêter en si bon chemin. Pensait-elle à elle au moins ? Sa Maîtresse était passionnée et ne vivait que pour sa passion: le sadomasochisme. Cette philosophie représentait à ses yeux un mode de vie idéal. Elle adorait alterner les douleurs et les langueurs, les délices et les supplices. Charlotte est très masochiste. Juliette peut tout obtenir d'elle, la forcer, concrétiser tous ses fantasmes. Un mélange de curiosité et de détresse surgissait en elle mais le jeu des situations insolite l'excitait trop pour se dérober. Ce soir, elle s'offrirait en esclave sexuel docile et insatiable. À peine la porte franchie, une voix lui ordonna de se présenter, ce qu'elle fit instantanément. Pour que tous les spectateurs puissent apprécier son obéissance, elle se retourna lentement. Des voix emplissaient l'espace sans qu'elle fût capable de dire à combien de personnes elles appartenaient. Six ou huit, peut-être davantage. Un doigt força brusquement ses reins avec violence. Surprise par la douleur, elle réagit avec insolence en tentant d'échapper à l'index qui continuait à vouloir s'insinuer en elle. Celui qui la violait ainsi, sans préparation la menaçait durement. Les hommes en face de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, le reflet voluptueux des jarretelles. Les bottes en cuir affinaient sa silhouette. Insensiblement, elle écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet.. Elle suivait derrière les cils baissés leur impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, au-dessous, son sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. Elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. À nouveau, on lui demanda alors de se tourner. Face à ses dénégations, elle insistait, et le regard humide, Charlotte remeria sa Maîtresse, tandis qu'un inconnu manifesta sa dureté.   Elle savait comme nulle autre faire en sorte que le grain du temps soit dans le grain des mots. Mais où pouvait-elle bien être ? Jamais plus intensément que dans ces moments-là, elle ne mesurait à quel point l'un lui faisait tolérer l'autre. Jamais autant qu'auprès d'elle elle ne s'était autant sentie hardie de corps. Elle lui avait permis de célébrer son assujettissement triomphant et sa passion dévorante. Quand elle en prenait conscience avec une acuité particulière, et que le sentiment amoureux était exalté par la plus vive émotion de l'instant présent, elle pensait à Juliette et la remerciait. Un long silence suivit. À nouveau, ses reins furent violentés, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, son anus fut frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. La soirée avait commencé. Subitement, elle se dégagea, se tourna; il la plaqua face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses reins; elle goûta la sensation de cette chair conquérante et raidie; lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui pinçant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son entrecuisse. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui torturait les mamelons. Charlotte se complut alors à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Rien ne l'arrêterait dans son désir d'abnégation. Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche. Elle suça avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la gorge; elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la succion. Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de plus. Avec grand effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif des invités. Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui enveloppèrent la colonne de chair; les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à cœur à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre sur un lit de fer. On la déshabilla totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle était offerte à des inconnus. Charlotte allait être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique. On la cingla brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas lui faire mal, il voulait l'amener à ce degré d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de cette Vénus callipyge, et de vouloir ainsi s'approcher d'un tel but était un réel vice.   Qu'elle fût infatigable et endurante ou seulement obéissante, ce que les hommes ignoraient, en lui faisant trouver ennuyeuse les postures classiques de l'amour, sa Maîtresse lui avait appris à y mettre de la noblesse et du raffinement. Et tous les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia la chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées. Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, et quand elle ne put plus résister, elle céda; tel un pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence retomba et Charlotte, les yeux clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement. Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir. Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident; elle s'y attendait pourtant, haletante, les tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était enfoncé; sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité; il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le silence dans la salle sous le regard satisfait des invités. Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta alors sans peine un second membre qui la pénétra profondément entre ses reins; le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler. Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée et coupable. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans une chambre et on l’étendit sur un lit. Charlotte avait été encore une fois, méritante, docile et obéissante. Elle ferma les yeux et s'endormit.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/04/25
Je surprends ma belle-mère.   J’ai surpris ma belle-mère en train de se faire sauter dans le salon. Elle était affalée sur le canapé et je voyais de dos le type qu’elle avait invité. Il avait passé ses bras sous ses genoux, elle avait les jambes et les pieds qui ballotaient en l’air. Lui il avait baissé son pantalon. Je voyais son cul qu’il s’agitait, il la défonçait  et elle gémissait. À un moment, elle s’est couchée sur le côté, et elle m’a vue. J’étais tétanisée. J’avais enfoncé ma main dans le pantalon en pilou de mon pyjama. J’avais mes doigts dans ma chatte trempées. Je me caressais pour me faire jouir comme une bête. Elle m’a vue, elle m’a regardée dans les yeux. Elle m’a fait un clin d’œil. Et elle s’est mise à gémir tout en me regardant. À ce moment-là ça a été plus fort que moi, j’ai joui et j’ai failli crier. Je suis vite partie honteuse me coucher. Impossible de m’endormir. J’ai entendu le type qui partait et ma belle-mère à la salle de bain en train de se brosser les dents. On habite un petit deux-pièces. Et quand ma belle-mère vient chez nous, elle dort sur le canapé et si son fils n’est pas là, elle vient dormir avec moi. J’étais seule dans mon lit. Au bout d’un moment elle est arrivée. Elle a dit « il fait froid » Et j’ai vu qu’elle était nue. Elle s’est glissée sous la couette et a dit en riant « Je ne sais pas ce que j’ai fait de ma chemise de nuit ». Elle est venu6 se blottir contre moi et elle m’a demandé « tu as joui? ». Je n’osais pas répondre. Elle m’a redemandé « tu as joui? ». J’ai bégayé un « oui ». Elle a dit en riant « moi aussi ». Et elle a ajouté « viens on se caresse chacune mutuellement ». Je ne savais pas quoi faire. Je n’ai rien dit. Elle a pris ma main et l’a fourré entre ses cuisses. Elles étaient mouillées. Et aussitôt elle a glissé sa main dans mon pantalon. Elle m’a caressée ma chatte qui a aussitôt explosé. Elle m’a ordonné « Caresse-moi » et je l’ai caressée, elle s’est mise à crier et elle a joui comme une folle. J’avais trop honte. Je me suis dit que j’étais une salope.
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Par : le 18/04/25
Bonsoir, J'avais 6 jours de cage à faire : tenu ! Tout à l'heure , tous rentrés de nos activités , les Dames me convoquent au salon : " Baisse ton pantalon , ton caleçon , fait voir ! " Je suis encagé depuis Samedi.... " Ta cage te fais ça mal ? " " Non ! " " Elle te gène ? " ".....non...." " Donc on te la laisse ! " " Jusqu'à ? " " Ce qu'on te l'enlève....on verra ! " Deux femmes joueuses....c'est parfois pas simple !  Mais pas désagréable non plus....
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Par : le 18/04/25
La pièce est silencieuse, à part le cliquetis métallique des chaînes qui dansent doucement au gré de ses mouvements contraints. Elle est là, suspendue, offerte, vulnérable. Ses poignets solidement attachés au-dessus de sa tête, son torse entièrement exposé à ma volonté. Elle frissonne. De froid ? D’anticipation ? De crainte ? Peut-être tout à la fois. Mais elle est là. Pour moi. Par choix. Et cela, plus que tout, éveille en moi un désir presque cruel de la pousser au bord, de faire de sa douleur un poème. Je m’approche lentement, caressant son flanc du bout des doigts. "Tu sais pourquoi on est là, ma douce ? Pour voir jusqu’où tu peux t’offrir… jusqu’à quel point ton amour pour moi se manifeste dans tes cris." Mes doigts remontent jusqu’à ses seins, je les effleure à peine, comme un souffle. Elle ferme les yeux. Je pince un téton, doucement d’abord… puis plus fort. Un petit couinement s’échappe de ses lèvres. "Chut… Respire. Je suis là." Je prends une pince et la fixe sur le premier téton, lentement, presque avec tendresse. Elle grimace, gémit. Ses jambes tremblent. Je l’embrasse sur la joue. "Tu es magnifique quand tu souffres pour moi." Je m’attarde sur l’autre sein, le caressant, le massant, puis le pinçant de plus en plus fort jusqu’à ce que sa respiration s’accélère. Je souris. Puis je pose la deuxième pince, plus serrée encore. Elle crie, mais ce n’est pas une plainte, c’est une offrande. Je prends une chaîne, j’y accroche deux petits poids. Je les suspends délicatement à chaque pince. Les tétons sont étirés, gonflés, rouges. Sublimes. "Tu es ma fleur en feu, mon trésor sous tension." Je m’agenouille devant elle, caressant sa cuisse, murmurant contre sa peau brûlante. "Je t’aime, tu sais… Mais mon amour a des crocs." Je me relève. Et d’un coup sec du doigt, je fais balancer les poids. Elle hurle. Je la prends dans mes bras, malgré les chaînes, je l’enlace comme je peux. "Donne-moi tout. C’est là que je t’aime le plus. Quand tu es forte, même dans tes larmes." Je reste là, contre elle, l’embrassant dans le cou, murmurant des mots tendres, pendant que ses tétons martyrisés pulsent de douleur et de dévotion. Je vois ses jambes qui tremblent davantage maintenant. Chaque balancement des poids tire un peu plus sur ses tétons. Chaque minute passée ainsi grave ma marque plus profondément en elle. Et pourtant… je sens qu’elle en veut plus. Qu’elle le redoute, oui mais qu’elle le désire aussi. Ce mélange délicieux de peur et d’abandon. Je souris. Et je vais lui donner exactement ça. Je me saisis d’un petit martinet. Pas pour la marquer, non. Juste pour réveiller. Pour réveiller sa peau, pour amplifier la tension. Les lanières claquent contre sa poitrine, pas fort au début, puis un peu plus à chaque coup. Les pinces vibrent avec chaque impact, la douleur se diffuse. Elle gémit, se tend, essaie de reculer mais ses chaînes ne lui laissent aucun répit. "Tiens bon, ma belle. Tu es exactement où tu dois être." Je fais claquer les lanières autour de ses tétons, alternant rythmes et intensité, jusqu’à ce qu’elle halète, perdue entre la souffrance et l’extase. Ses cuisses sont trempées, son dos cambré, sa bouche entrouverte. Je détache les poids. Elle crie. Ce n’est pas le soulagement, non. C’est la douleur vive, celle du sang qui revient, celle qui brûle, qui électrise. Je retire les pinces ensuite, d’un coup sec, et là, son cri est presque un sanglot. Elle tremble de la tête aux pieds. Je la soutiens tout de suite, la serre contre moi, lui embrasse les cheveux, son front, ses paupières. "Chuuut… c’est fini. Tu as été parfaite. Mon trésor. Mon héroïne." Je la détache lentement, la porte jusqu’à un matelas posé non loin, déjà prêt avec des coussins et une couverture douce. Je la pose contre moi, sa tête sur mon torse, ses larmes mêlées à mon souffle. Je la berce. Longtemps. Je lui caresse les cheveux, les épaules, je couvre son corps meurtri de baisers tendres. "Tu es en sécurité. Je suis fier de toi. Tu m’as tout donné. Et je te tiens, maintenant." Je masse doucement ses seins, appliquant un baume apaisant, sans brusquerie. Mes gestes sont lents, dévoués, enveloppés de silence. Elle respire doucement, petit à petit, son corps se relâche. Elle revient à elle, apaisée. Je la serre un peu plus fort, mon menton posé sur le sommet de sa tête. "Je t’aime. Même dans ta douleur. Surtout dans ta force."
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Par : le 18/04/25
Je vous présente ici une nouvelle variante d'un jeu que j'avais établis pour une de mes soumises. Profitez en et amusez vous. N'hésitez pas à partager vos expériences. NB : Par la même occasion si une soumise timide n'oses pas se lancer, n'hésites pas à venir m'en parler en privé. 🎴 "Péché par Carte" – par Mr Djey. Règle d’or : Ce jeu est pour les soumises qui aiment obéir sans poser de question, et pour les Maîtres qui veulent posséder sans interruption. 🔥 PRÉPARATION : Matériel : 1 jeu de cartes complet (52 cartes + 2 jokers) 1 sextoy vibrant,  1 plug anal, 1 gode 1 miroir 2 pinces ou bougies Ta soumise, à genoux, nue, offerte : cheveux tirés, cuisses écartées, regard baissé. 🖤 FONCTIONNEMENT : Chaque carte correspond à un ordre immédiat. Le jeu est rapide, brut, sale, direct. Pas de longue introduction, le Maître contrôle, la soumise exécute. On tire 10 cartes maximum. Après chaque carte, pas de pause, sauf si le Maître l’ordonne. ♠️ SIGNIFICATION DES COULEURS : ♠️ Pique : Douleur Pince, claque, cire chaude ou morsure. Nombre = intensité ou durée (secondes ou coups). ♦️ Carreau : Exhibition Devant un miroir, caméra ou une photo. Doigter, lécher, ou jouer. Nombre = temps d’exhibition (secondes ou minutes selon la carte). ♥️ Cœur : Plaisir Masturbation, vibration, ou godage. Nombre = durée OU profondeur. ♣️ Trèfle : Sodomie Doigter anal, plug ou gode. Nombre = doigts, coups ou secondes de va-et-vient. 🃏 SPÉCIALES : Joker noir : Le Maître choisit un défi interdit jusqu’ici, qu’elle n’a jamais osé. Joker rouge : La soumise peut supplier pour un fantasme honteux. Mais si elle rougit ou hésite, ce sera refusé… et puni. 👁️ RÈGLES SIMPLES MAIS STRICTES : Pas de discussion. La soumise obéit, ou elle est punie. Si deux cartes de la même couleur sortent à la suite, elle doit se filmer ou se regarder faire dans le miroir, yeux ouverts. Chaque tâche non exécutée double la suivante. Ex. : elle saute un 4 de trèfle ? Le suivant comptera pour 8. Aucune serviette. Les fluides restent sur la peau. À la 10ᵉ carte, si la soumise n’a pas joui, elle doit mendier pour jouir — en décrivant comment elle veut jouir, et en demandant la permission à voix haute. 🎯 BUT : Pour le Maître : contrôle total, pulsion brute, soumission réelle et immédiate. Pour la soumise : perte de repère, immersion, humiliation érotique, et plaisir dans la transgression. 💬 CONCLUSION : Fin du jeu = le Maître décide. Il regarde sa soumise, la juge du regard, puis décide si elle mérite une récompense… ou un collier plus serré.
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