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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Aujourd’hui, Maîtresse a envie de jouer avec mes tétons. A peine lui ai-je servi son café qu'ils étaient déjà pincés.
C'est la fin de matinée.
«Assieds toi là devant moi» me dit-elle en me désignant un tabouret au milieu du salon.
Je n’en mène pas large car Maîtresse a l’air bien motivé à me pousser dans mes derniers retranchements.
Elle avait déjà bien sensibilisé mes tétons avec les pinces. La moindre pichenette de sa part me fait sursauter de douleur et elle ne s’en prive pas.
Maîtresse aime que ses supplices soient esthétiques. Elle donne toujours un côté artistique à ses tourments.
Elle sort un fil jaune vif avec lequel elle entreprend d’emprisonner mes tétons. Malgré ma féminisation, ils ne sont pas très proéminents et ce n’est pas gagné.
Maîtresse est patiente alors avec dextérité, non sans tentatives infructueuses et douloureuses, elle arrive à ses fins.
Mes tétons finissent ficelés de jaune puis reliés entre eux par une boucle du plus belle effet.
Ensuite Maîtresse m’empoigne mes testicules. Elle les comprime fortement pour les lier avec le fils autour de ma cage. C’est à ce moment qu’une de mes boules lâche une petite goutte de sang, sans doute la conséquence de ma récente épilation.
Instantanément, une envie traverse l’esprit de Maîtresse. Son petit sourire sadique en dit long sur l’excitation qui l’envahit.
Elle se saisit d’une épingle et commence par picoter tout mon sexe à travers la cage, gland compris.
Je prend conscience de sa grande satisfaction quand elle me fait tressaillir à chaque piqûre. Je ne peux pas me retenir, la douleur est très électrique, je serre les dents.
Je me dandine, je gémis mais je ne peux pas lui échapper et je ne le souhaite pas, bien au contraire. J’irai jusqu’à m’évanouir de douleur à ses pieds si je pense qu’elle peut en jouir. Enfin, façon de parler, car Maîtresse de l'admettrait pas...
Son regard pétille à nouveau... Elle part chercher du désinfectant, du coton et tout son éventail d’aiguilles à tête colorée. Je n’ai jamais été épinglé de la sorte et l’appréhension me serre le cœur mais j’ai trop confiance en Ma Maîtresse pour avoir peur.
«As-tu une couleur préférée Rnby ?»
La tête rose que tient Maîtresse me plaît . C’est elle qui décide de toute façon alors ce seront toutes les roses .
1, 2, 3, 4 puis 5 aiguilles s'accrochent à la peau de mes couilles.
La douleur est vive. Elle se manifeste surtout au moment où l’aiguille perfore la peau, c’est court mais intense. Les contractions liées m’aident à appuyer à un bon rythme sur le déclencheur du téléphone que Maîtresse m'a fait tenir pour en avoir une photo souvenir.
Maîtresse se régale et l’écran du téléphone me renvoie l’image de mon sexe martyrisé. Elle met la pression sur mes boules avec ses chaussures et ses talons si proche. Heureusement pour moi, cette fois la cage m' offre une réelle protection contre l'écrasement car avec les épingles, ouille! ouille! ouille!
Le plaisir de Maîtresse monte par ma souffrance. Je lui appartiens sans aucune restriction et je ne veux pas la décevoir. Je résiste, et Maîtresse repousse mes limites encore un petit peu plus.
Le tableau arrive à sa fin.
L’enchevêtrement de ces aiguilles à tête rose satisfait Maîtresse. Il ne lui reste plus qu’à retirer tout cela, ravie d’avoir martyrisé son jouet.
Maîtresse dépose les aiguilles dans ma main qu’elle m’a demandé de tendre vers elle.
Je les regarde incrédule. Le dépassement de soi est là devant mes yeux. Cela suffit à mon bonheur
Merci Maîtresse
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CHAPITRE 40 : les limites de Martine
Victor contacte Laurent. Ils sont invités à participer à leur première soirée poker dans le club des dominants. C’est ce soir-là qu’ils seront présentés aux autres membres sous le parrainage de Victor et morgane.
Laurent est surexcité. Il contacte martine qui, bien que soucieuse pour Anna et Vanessa, se réjouit de cette invitation.
Au moins elle a des chances de voir les filles et pourra s’enquérir de leur sort.
Dans un premier temps ils comptent emmener les deux garçons soumis pour les accompagner.
Puis en discutant avec son ami Maurice, Laurent propose une autre solution : emmener Maeva et Gisèle comme esclaves.
Elles ne sont pas consultées car elles doivent obéir aux ordres de leurs maris mais de toute façon elles sont excitées de voir ce club même si apparemment elles risquent de servir de jouets sexuels pour beaucoup d’inconnus.
Ça ne leur déplait pas et pour Maëva c’est l’occasion d’échapper à Mitsuko qui a déjà trop abusée d’elle.
Le jour arrive enfin.
Tout excités laures et martine rejoignent Victor et morgane à l’entrée du bâtiment.
Ceux-ci les accueillent chaleureusement.
Ils ont emmenés Vanessa et Anna qui semblent fatalistes et pas aussi excitées que Maëva et Gisèle qui sont déjà émoustillées.
Ils pénètrent dans le club et Victor et morgane vont accrocher leurs deux esclaves à la barre prévue pour les soumis.
Laurent et martine doivent garder leurs soumises en laisse nues derrière eux.
Suivant Victor ils se rendent au centre de l’immense pièce près d’un ring qui interpelle martine et Laurent.
Là ils sont présentés à l’assemblée et font connaissance avec la crème des dominants. Ils ont beau avoir été briefés par morgane et Victor sur l’attitude à aborder, ils ont du mal à se sentir chez eux auprès de tous ces gens arrogants et fiers.
Néanmoins ils sont acceptés et peuvent aller mettre leurs soumises à la barre.
Puis ils sont invités à la table de poker de Victor et morgane et peuvent commencer à jouer.
Après quelques donnes ils sont rassurés et commencent à prendre du bon temps.
Ils s’aperçoivent en écoutant les conversations qu’ils sont encore de petits amateurs dans le dressage d’esclave.
Laurent ne perd pas une miette et se promet de mettre en pratique ce qu’il entend autour de lui.
Martine est plus réservée. Les petits jeux avec les filles sont bien suffisants.
D’ailleurs ses filles lui manquent.
Au moment de la pause elle veut prendre les filles mais malheureusement les deux nouvelles belles pouliches sont très demandées et elle ne pourra pas les avoir de la soirée.
Malgré tout elle croisera leur regard et y lira de la tristesse.
Maeva et Gisèle, nouvelles aussi sont prises en main souvent.
La soirée se passe.
Laurent apprécie de plus en plus et songe vraiment à progresser dans la domination.
Il se voit pavaner à égalité au milieu de tous ces dominants.
Mais dans son esprit martine disparait et est remplacée par Mitsuko qui aurait surement sa pleine place ici.
Martine de son côté est désespérée.
C’est trop pour elle et elle regrette de plus en plus amèrement d’avoir échangé les filles avec morgane. Elle se demande comment elle pourrait faire pour les récupérer.
Pendant que martine se lamente Anna et Vanessa ont été prises par un couple qui les a entrainées dans une des chambres.
Là, le couple les couche sur le grand lit tête bèche et l’une au-dessus de l’autre.
Celle du dessous sur le dos et celle du dessus sur le ventre.
Elles sont attachées avec des sangles serrées et ne semblent plus faire qu’un corps avec deux têtes et deux sexes collés.
L’homme se met à genou sur le lit et alternativement enfourne la bouche d’Anna puis le sexe de Vanessa.
Un deuxième homme fait son entrée dans la chambre et fait la même chose du côté de la bouche de Vanessa et du sexe d’Anna.
Une deuxième femme est rentrée et regarde la spectacle avec la première.
Les hommes s’ont endurants et l’assaut dure. Vanessa et ana à force d’être collées sont ruisselantes de sueur et fatiguent vite.
Enfin les hommes déchargent presqu‘en même temps dans la gorge des filles qui sont contraintes d’avaler la semence.
Les hommes les detachent et leur attachent les pieds à des chaines qui descendant du plafond. Leurs mains sont immobilisées dans le dos par des menottes.
Puis les femmes actionnent des mécanismes situés contre le mur et petit à petit les chaines sont attirées vers le haut.
Vanessa et Anna sont sur le point de tomber lorsque les deux hommes les prennent à bras le corps et les font basculer la tête en bas.
Les chaines continuent à monter et bientôt Vanessa et Anna se retrouvent pendues par les pieds au plafond.
Les femmes arrêtent le mécanisme et s’approchent des deux filles qui ont la tête à la hauteur du sexe des femmes.
Alors que Anna et vanesse imaginaient qu’elles allaient bouffer les sexes des femmes ces dernières sortent deux énormes godes de l’armoire.
Elles lèchent goulûment les sexes de Vanessa et Anna.
Celles-ci bien que gênées par la tête en bas se mettent rapidement à mouiller sous les coups de langues expertes.
Les deux godes sont insérés et quelques va et vient sont faits.
Laissant les godes en place les deux femmes Sortent des plugs vibrant de l’armoire.
Les plugs sont gros mais les filles sentent qu’elles pourront les accueillir sans mal.
Peu de temps après les plugs sont logés au fond du cul des filles et mis en action.
Parallèlement les deux godes se mettent aussi à vibrer. Les filles n’avaient pas remarqué qu’ils étaient motorisés.
Enfin les femmes rapprochent leurs sexes des bouches des filles et se font bouffer par ces dernières.
Pendant qu’elles s’activent les deux hommes qui ont récupérés enlèvent les menottes des filles et leur mettent une main sur leurs bites.
Les filles dociles entament une branlette coordonnée avec les gâteries qu’elles font aux femmes.
Après un temps qui semble infini aux filles les deux hommes bousculent les femmes et enfilent leurs chibres dans les bouches d’Anna et Vanessa qui reprennent une giclée de sperme.
Les deux couples libèrent les filles et leur promettent de les reprendre des qu’ils en auront l’occasion.
Extenuées Anna et vanesse sont remises à la barre mais quelques instants après elles sont de nouveau sollicitées par d’autres dominants.
Cette soirée-là elles ne comptent plus les passages dans les chambres et le nombre de personnes différentes qui ont bénéficiés de leur corps.
Maëva et Gisèle sont aussi prises simultanément.
D’abord par deux hommes qui les attachent à genou aux montants des baldaquins et qui les prennent par tous les orifices.
Puis par une femme immense qui se fait lécher sur tout le corps par les deux esclaves.
Enfin elles sont prises par un couple qui rivalise d’imagination pour bonder les deux femmes dans des positions plus humiliantes et difficiles à supporter les unes que les autres.
Elles finissent lessivées mais Maëva se dit que ce n’est rien à côté de ce qu’elle subit avec Mitsuko.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chap 39 : NADIA DESESPERE.
Noémie jubile elle a eu sa vengeance sur Cloé et aussi un peu sur Nadia.
Elle libère Cloé en lui rappelant qu’elle a tout filmé au cas où.
Au moment du départ Noémie incite Cloé à aller voir sous le tapis où dort habituellement Nadia. Elle ne précise pas que c’est elle qui a mis quelques épingles à cheveux sous le tapis.
Celle-ci la laisse partir libre. Noémie sait que maintenant elle et jean c’est du passé. Ça ne va pas être simple de retrouver un esclave domestique comme lui.
Cloé va voir sous le tapis de Nadia et trouve les épingles. Elle se dit que Nadia les a mises là pour tenter de forcer le cadenas de son collier. Cloé entre dans une colère froide. Elle va mater la grande black.
Nadia n comprend pas quand Cloé la menotte dans le dos et lui met un mono-gant qui lui interdit l’usage de ses mains. Puis elle lui met une cagoule aveuglante. Et fait venir jean.
Cloé dit aux deux : à partir de maintenant Nadia tu auras en permanence les bras liés dans le dos et la cagoule. Pour te nourrir, pour la toilette ou pour tout besoin impératif c’est jean qui s’en chargera. Nadia est effarée. Jean est surpris mais ne dit rien.
Cloé s’adresse à jean. Pourquoi n’est tu pas parti avec Noémie. Celui-ci lui répond qu’il se sent bien là et que ces besoins sont comblés entre la domination de Cloé et les partouzes avec ses invités.
Cloé lui demande s’il resterait s’il n’avait pas le collier. Jean lui répond par l’affirmative.
Cloé lui dit alors de façon à ce que Nadia écoute. Je t’enlève le collier et tu restes mon esclave mais tu pourras faire ce que tu veux avec Nadia sauf quand j’en aurai besoin.
Fais toi bien plaisir avec elle est n’aura pas son mot à dire.
A entendre ses mots jean est pris d’une érection qui dit long sur les idées qui le traversent.
Cloé a mis ses décisions en application.
Nadia est désormais dans le noir en permanence et elle n’a plus l’usage de ses bras et mains qui sont glissés dans un mono-gant verrouillé dans son dos.
Elle dépend totalement de Jean pour tous ses besoins et tous ses déplacements.
Il lui a mis une laisse au cou et elle le suit partout où il va.
C’est lui qui la nourrit à la main, la fait boire, lui fait sa toilette et l’emmène aux toilettes.
Elle est profondément humiliée.
Comme il a reçu l’autorisation de Cloé il en a fait aussi sa chose sexuelle.
Elle fait tout ce qu’il lui ordonne et ses appétits semblent grandis depuis qu’elle est impuissante.
Elle a l’impression de tomber folle et de n’être qu’une poupée gonflable pour un ado pervers.
Chaque matin elle se réveille avec la bite de jean dans la bouche.
La première chose qu’elle doit faire dès qu’elle entend le réveil est de mettre Jean en forme en le suçant avec application.
Il jouit rapidement et le premier repas de Nadia est une giclée de sperme.
Ensuite il la traine en laisse et va se préparer un petit déjeuner.
Il déjeune tranquillement et elle à genou à ses pieds doit garder la bouche ouverte pour qu’il y pose des aliments.
Parfois, quand il est en forme, il insère son chibre dans la bouche de Nadia qui doit le sucer jusqu’à la dernière goutte.
Il la fait boire exclusivement de l’eau et prépare le petit déjeuner de Cloé alors qu’elle est toujours à ses genoux.
Puis il met le petit déjeuner de Cloé sur un plateau et l’emmène dans la chambre de celle-ci.
Nadia le suit tirée pas la laisse comme un animal.
Après le petit déjeuner de Cloé, jean emmène Nadia dans la salle de bains ou il se lave et la lave consciencieusement.
Elle crève d’humiliation d’être traitée ainsi.
Toute la journée se passe ainsi.
Lorsque Cloé veut faire une ballade en carriole Nadia est attelée et marche toujours aveugle en suivant les ordres transmis par les rênes et le fouet.
Le soir elle a l’impression de ne jamais avoir décidé une seule chose dans sa journée.
Lorsque Cloé invite des amis, elle sert de jouet sexuel à disposition de chacun.
Elle n’a aucune idée de ceux qui la pelotent, la palpent, la sodomisent, la pénètrent, la frappent et toutes les choses qu’on peut faire sur un jouet particulièrement excitant.
Après plusieurs jours elle est à bout et se demande toujours ce qu’elle a pu faire pour que Cloé change d’attitude du jour au lendemain.
Jean kiffe sa vie. Il s’occupe des taches ménagères pour Cloé et se soumet à ses caprices, notamment lorsqu’il y a des invités, hommes comme femmes, qui savent qu’ils peuvent profiter de lui.
Mais surtout il a un jouet magnifique qui n’a aucun moyen de refuser d’obéir et qu’il peut humilier et sauter à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il aimerait que ce temps dure toujours.
Cloé de son côté n’a toujours pas digéré le départ de Noémie qui l’a bien refaite.
En plus, plus le temps passe et plus elle se demande si c’est bien Nadia qui a détourner des épingles qu’elle aurait caché sous son tapis servant de lit.
Peut-être a telle été injuste envers Nadia qui n’a pas eu le droit de se défendre.
Mais voir cette magnifique créature dépendant totalement des autres pour survivre lui fait chaque fois monter une grosse chaleur de son bas ventre.
A elle remet à plus tard un éventuel assouplissement des conditions de vie de Nadia.
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Chapitre 38 Noémie retrouve la liberté.
Extraits : »… Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave. Cloé lui crache dessus.… Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie…. Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande. Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres…. Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé. L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit… »
Le temps s’écoule doucement. Noémie commence à enrager d’être ainsi asservie à temps complet.
Elle ne sait pas comment se débarrasser de ce collier qui lui ôte tout espoir.
En plus elle ne peut pas compter sur jean qui a l’air de kiffer sa position d’esclave.
Elle a bien étudié le mécanisme du collier et le seul moyen est de trouver la clé du minuscule cadenas qui le verrouille ou de faire sauter le cadenas.
Un jour elle reprend espoir. Ce jour-là Cloé a décidé de se promener avec la carriole. C’est jean qui sera attelé.
Noémie aide Cloé à le harnacher.
Il est sanglé complétement et arbore une clochette accrochée au bout de son gland.
Il bande comme un taureau.
La mixture que lui a fait ingérer Cloé pour l’occasion fonctionne bien.
Cloé prend le fouet et dit à Noémie de l’attendre ici.
Noémie obtempère mais Cloé n’a pas réduit la zone d’évolution de Noémie qui s’aperçoit qu’elle peut se promener sur quelques mètres à l’intérieur de la remise.
Elle farfouille et trouve un coupe boulon rouillé sous un tas de bricoles.
Le cœur battant elle prend le coupe boulon et va le dissimuler dans la zone où elle est habituellement consignée lorsque Cloé fait de la carriole.
Elle ne pense pas que Cloé refera l’erreur et n’a pas assez préparé son coup pour tenter de fuir maintenant.
Cloé revient de sa ballade. Jean toujours le sexe brandit et tintinnabulant en permanence est en sueur mais parait ravi.
Noémie le dételle et ils suivent Cloé pour retourner vers la maison.
Trois jours plus tard une chance se présente pour Noémie.
Cloé a décidé que Nadia serait attelée à la carriole.
Noémie les accompagne et aide Cloé à harnacher Nadia.
Cloé, qui semble avoir un compte à régler avec Nadia, utilise le fouet plus que de besoin de Nadia doit trotter dès le départ.
Noémie pense que la séance va durer et dès que les filles sont hors de vue elle récupère le coupe boulon et tente de couper le cadenas de son collier.
Après quelques secondes le cadenas est coupé et Noémie pour la première fois depuis des semaines est libérée de ce carcan.
Elle se dirige rapidement vers la maison et retrouve jean qui est enfermé dans la cage en attendant le retour des filles.
Elle fait sauter le cadenas de la cage et celui du collier de jean.
Ils s’habillent comme ils peuvent et pensent à s’enfuir de la maison.
Mais Noémie réfléchit. Finalement ils se cachent au sous-sol en laissant un maximum d’indices laissant à penser qu’ils ont quittés la propriété.
Cloé a passé ses nerfs sur Nadia.
Celle-ci est zébrée de traces de coup de fouet et ruisselle de sueur.
Elle ne peut retenir ses larmes et regrette amèrement d’avoir tenté de prendre le dessus sur Cloé qu’elle prenait pour une faible.
Nadia ne voit pas l’avenir sous de bons augures.
Quand elles arrivent à l’endroit où devrait se trouver Noémie elles ont la surprise de voir qu’elle n’est plus là.
A sa place il y a le collier par terre.
Cloé entre dans une rage folle. Elle fouette Nadia pour qu’elle la tire jusqu’à la maison. Nadia court comme une folle.
Arrivée à la maison Cloé saute de la carriole et court jusqu’à la cage.
Jean n’est plus là.
La porte donnant vers la sortie de la propriété est ouverte et sans aucun doute le couple s’est enfuit. Cloé enrage.
Elle dételle Nadia sans dire un mot et conduit cette dernière sur la croix de saint André. Ou elle l’attache fermement. Nadia se tait et espère que Cloé finira par se calmer.
A sous-sol Noémie réfléchit à un plan pour se sortir de là.
Elle guette les bruits à l’étage.
Dans la soirée Cloé qui s’est un peu calmée détache Nadia et la fait mettre à genou avec les mains menottées dans le dos.
Cloé s’assoit sur le canapé et Nadia cherchant à lui plaire vient lécher son entrejambe.
Nadia y et tout son talent car elle sait que Cloé pourrait rentrer dans une rage folle à n’importe quel moment.
Cloé commence rapidement à haleter et Nadia redouble d’effort.
Ni l’une ni l‘autre ne voit Noémie et jean munis d’un grand sac enfourner la tête puis le haut du corps de Cloé dans le sac.
Celle-ci se débat mais les bras déjà entourés par le sac ne peuvent empêcher la corde munie d’un nœud coulant l’enserrer et l’immobiliser complétement.
Quelques minutes plus tard elle est entièrement ficelée, la tête toujours à l’intérieur du sac.
Enfin elle est poussée dans la cage par Noémie et jean. Nadia n’a pas bougé. Elle espère qu’elle va être libérée par le couple.
Un coup de cravache donné par Noémie modère son enthousiasme.
A nous de profiter dit Noémie.
Ce soir-là Nadia devient la soubrette du couple.
Elle fait le repas et vient s’agenouiller devant jean qui se fait enfin sucer par Nadia.
Noémie, elle se charge de mater Cloé qui est toujours en colère.
Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave.
Cloé lui crache dessus.
Nouvelle série de dix coups de cravache.
Cloé pleure trépigne mais ne cède pas.
Noémie lui insère un plug énorme dans le cul et relance une série de dix coups de cravache.
Cloé crie, hurle, pleure de dépit mais ne cède pas.
Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie.
Pour finir Noémie met une cagoule à Cloé.
Au-dessus de la cagoule il y a un anneau que Noémie accroche avec un cordon au haut du baldaquin pour empêcher Cloé de baisser la tête.
Celle-ci passe la nuit écartelée et ne peut pas dormir.
Lorsque le jour se lève jean accompagne Nadia qui doit préparer le petit déjeuner.
Cloé reçoit quelques coups de cravache et Noémie lui demande si elle a changé d’avis. Cloé gémit main secoue la tête négativement.
Très bien lui dit Noémie. On va voir ce que tu donnes avec la carriole.
Noémie va chercher son ancien collier et le met autour du cou de Cloé.
Elle y accroche un nouveau cadenas. Tu sais comment ça marche. Pas besoin de t’expliquer. Cloé la regarde férocement mais n’ose plus crier.
Noémie la décroche et l’emmène au bout d’une laisse. Cloé traine les pieds mais menottées dans le dos elle suit Noémie en silence.
Noémie harnache Cloé en serrant bien les sangles.
Une idée lui vient. Tu es cool comme ça. Je pense que ça fera beaucoup plaisir à tes amis de se faire promener par la petite jument Cloé.
Cloé la regarde horrifiée.
Noémie sourit. Ah oui je ne te l’ai pas dit mais tu as invités six personnes samedi pour passer tout le weekend. Et tu leur as promis des surprises bandantes. J’espère que tu seras à la hauteur. Cloé est désespérée.
Noémie rajoute et puis tu as déjà lancé d’autres invitations pour les weekends suivants.
Elle se laisse harnacher et avec l’aide de quelques coups de fouets elle se laisse driver par une Noémie triomphante.
Le reste de la semaine est génial pour Noémie.
Cloé a cesser de se rebeller et accepte petit à petit son sort.
Elle est totalement déstabilisée par le weekend qui arrive.
Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande.
Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres.
Ses journées sont passées dans la cage avec quelques interludes sexuels et une promenade quotidienne avec la carriole.
Le samedi tant redouté arrive. Elle est blanche quand Noémie lui annonce les noms des invités.
Jean ne partage pas l’enthousiasme de Noémie. Finalement ça lui plaisait de faire le bon petit esclave qui se faisait enfourné lors des visites d’amis de Cloé.
Il en parle à demi-mots à Cloé.
Celle-ci prend les choses en main et quand les invités arrivent ils ont le plaisir de voir trois corps nus promis à de belles aventures sexuelles.
Une femme noire magnifique avec un harnais rouge en cuir mettant en valeur ses formes voluptueuses.
Elle est à genou dans le salon à coté d’un homme harnaché de la même façon dans un harnais noir et une femme aussi harnachée et muni d’une cagoule qui lui cache le visage et ne laisse apparaitre que la bouche et le nez.
Elle est plongée dans le noir.
C’est Noémie qui les accueille en leur souhaitant la bienvenue de la part de Cloé.
Les trois couples sont un peu étonnés de ne pas voir Cloé mais leurs préoccupations vont surtout vers le trio appétissant qui semble les inviter au sexe débridé.
Les deux esclaves voyants préparent et servent le repas.
Puis après le repas Noémie propose aux couples de faire une sieste, chaque couple dans une chambre avec un esclave tiré au sort.
Cloé est tirée par un couple qu’elle connait sans plus.
L’homme est particulièrement excité et désireux de profiter de ce corps vulnérable.
Connaissant un peu la maison il recupère du materiel de bondage et Cloé se retrouve rapidement en position de grenouille renversée qui met en avant et à la disposition de tous son sexe et son cul.
L’homme l’embroche sans ménagement alors que la femme s’assoit sur la bouche de Cloé qui après deux claques sonores qui l’encouragent se met à la brouter avec application.
L’homme se retire juste avant t’éjaculer et décide de varier les positions.
Cloé est déliée, mise à quatre pattes au sol et doit jouer le petit chien ou plutôt la levrette car il l’a prend dans cette position par ses deux orifices proches.
Sa bouche est toujours monopolisée par le sexe mouillé de la femme.
L’homme lui malaxe férocement les seins qui deviennent très douloureux enfin il se retire brusquement et vient fourrer sa bite dans la bouche de Cloé ou il éjacule presqu’aussitôt la forçant à bien avaler tout le sperme.
A sa grande surprise Cloé mouille comme une folle.
Le fait d’être dans le noir et constamment surprise sexuellement l’excite de plus en plus.
Les trois couples se retrouvent dans le salon à l’heure indiquée par Noémie qui leur propose de s’initier à la conduite d’une carriole tirée par une pouliche.
Ils sont intéressés et suivent Noémie qui tire Cloé par la laisse.
Ils l’aident à atteler Cloé à la carriole et écoutent bien les consignes pour guider la petite jument.
Suivant les ordres de Noémie le guidage est accompagné de coups de fouet pour bien que la jument comprenne.
Un à un les invités s’initient au maniement de la carriole et n’hésitent pas à utiliser le fouet pour mettre Cloé dans le droit chemin.
Cloé doit avancer à l’aveugle et bien comprendre les tensions données aux rênes pour la faire tourner ou avancer. Ça finit par l’exciter prodigieusement.
L’après-midi est bien avancée quand Noémie décide d’arrêter les promenades.
Cloé est extenuée. Noémie propose d’aller la doucher avec la douche extérieure de la piscine.
Il fait relativement frais et la douche est glacée.
Cloé claque des dents quand Noémie estime que la petite pouliche est assez propre. Et remmène tout le monde à la maison.
Après le repas du soir Noémie propose une partie de poker.
Pendant qu’ils jouent, les trois esclaves à genou passent sous les tables et prodiguent des encouragements buccaux aux hommes comme aux femmes.
A la fin de la soirée les invités se partagent les esclaves pour la nuit.
Cloé est horrifiée de voir que c’est carole, sa meilleure amie, qui la récupère pour la nuit.
Alors qu’elle pensait à une nuit comparable à la sieste de l’après-midi elle a la surprise de voir son amie prendre les choses en main dès que la porte de la chambre est fermée.
Elle dit à son cavalier.
A poil et à genou tu n’as pas mérité cette petite salope
. L’homme ne dit rien mais se déshabille et se met à genou.
Carole prend des menottes dans l’armoire et un masque aveuglant.
Elle le menotte et lui met le masque.
Puis elle se retourne vers Cloé et dit. J‘espère que tu aimes bouffer de la chatte car tu vas être servie.
Elle couche Cloé sur le dos et la chevauche aussitôt.
Cloé est contrainte de brouter le sexe de sa meilleure copine.
Carole est insatiable.
Dans son coin l’homme bande comme un fou.
Carole a besoin de reprendre son souffle.
Elle donne l’ordre à Cloé d’aller sucer la bite turgescente. Cloé suce pendant quelques minutes et l’homme explose à longs jets de sperme. Elle avale tout avec difficultés.
Puis carole la repositionne et reprend sa cavalcade.
Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé.
L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit.
Le lendemain après le petit déjeuner servi par les trois esclaves les couples racontent leurs exploits. Carole ment effrontément pour ne pas dévaloriser son jules.
Noémie s’approche de Cloé et lui dit : Je compte leur faire une dernière surprise en leur montrant qui est cachée derrière cette cagoule.
Cloé qui était bien contente d’être restée incognito est effarée.
Noémie lui dit alors. Je ne le fait pas si on peut négocier un cessez le feu entre nous. Je te demande juste de me laisser libre et je te laisse Nadia et jean.
Cloé réfléchit à toute vitesse. Finalement elle ne s’en sortira pas si mal. Elle opine du chef.
Les invités, comblés, quittent la maison.
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Il existe des rencontres qui vous marquent à jamais le corps et l'esprit. Je me souviens de Laura, jeune femme de 28 ans, jolie espagnole d'origine, avec de jolis yeux noirs et une coupe de cheveux mi longs chatain foncé . Petit bout de femme d'1m60, mais aux formes généreuse et à la peau d'une douceur extrême. Dés que je suis entré dans la chambre, elle m'ordonna de me déshabiller. Je me tenais debout, face à elle, immobile et nu . Elle était vétue d'un bustier porte jaretelles et d'un string en latex rouge qui soulignait parfaitement ses jolies fesses fermes et rondes. Elle me posa de suite le collier autour de mon coup. Elle m'attacha les mains dans le dos avec ses menottes. "tu es un bon esclave, c'est bien, j'adore ça". Elle commença par prendre mon sexe dans ses mains, me masturbant doucement, mais s'arréta au bout de 10 secondes . "mais tu bandes? es ce que je t'ai donné l'autorisation?" , je lui répondit, docile, "non maitresse". Alors elle pris son martinet et commença à me fouetter le dos, les fesses, les cuisses. J'étais toujours debout, elle me tenait par la laisse du collier pendant qu'elle me fouettait. Elle m'ordonna d'écarter les cuisses tout en restant debout. Je m'exécutais. là, elle se mis à me fouetter par derrière jusque sur le sex. je sentais les lanières carresser mon anus, et venir éveiller mes testicules et mon gland. je me remis à bander trés fort. Elle se mis en colère. "tu n'obéis pas esclave". Alors elle me tira avec la laisse dans un coin de la pièce. Là, elle se mit face à moi, me tenant toujours par la laisse, et se mis à me fouetter le torse, le ventre, les cuisses et le sex. 20 minutes plus tard, elle m'ordonna de me mettre à 4 pattes sur le lit, l'anus face à elle. Elle continua à me fouetter les fesses et le dos, puis elle pris un paddle. Elle me massacra les fesses et les reins avec. "tu es un vilain esclave, tu n'obéis pas". Puis elle prit un plug qu'elle m'enfonça dans l'anus. elle commença quelques va et vient et s'arrêta quand elle vit que je commençais à aimer ça. "ce n'est pas bien, c'est ta maitresse qui doit prende du plaisir" me disait t'elle. Alors elle repris la laisse violemment et me tira hors du lit. Toujours à quattre pattes devant elle, elle m'ordonna de lui lêcher les pieds.... mais ça ne lui suffisait pas... elle continuait à me fouetter pendant celà. Puis elle tira mon visage en tendant la chaîne. Elle m'ordonna de lui enlever le string. je commençais à m'exécuter lorsque je pris une giffle violente dans la figure "mieux que ça esclave, soit plus doux"... alors je faisais doucement glilsser son string sur ses jolies cuisses. je voyais son hymen qui me paraissait délicieux. Ses lèvres étaient déjà humides, j'avait une envie intense de gouter aux saveurs intimes de ma maitresse... une fois le string enlevé, elle me dit "lêche moi la chatte esclave". Toujours à 4 pattes je m'exécutait, je lui obéissait. Le coup tordu en arrière, je m'abreuvait de sa cyprine qui coulait à flot dans ma bouche. Je lappais sa chatte comme si je n'avais pas bu depuis des mois. ma langue s'enfonçait au plus profond d'elle, et je continuais encore et encore. pendant plus de 15 mn je m'abreuvais à sa source intime, parfumant ma gorge de ses sécrétions dont je me délectait. Elle lâcha complètement le fouet, sa tête complètement penchée en arrière, elle jouissait sous mes caresses buccales; "tu lêches vraiment trés bien esclave, continu, j'adore". Ma maîtresse plaqua de plus en plus fort ma tête entre ses cuisses au point où je m'étouffais dans son hymen. ma machoire se tétanisait entre ses cuisses, je me noyais dans ses sucs paradisiaques. Elle se tourna et m'ordonna de lui lêcher les fesses. je m'exécutait bien docilement, comme l'esclave que j'étais. Puis elle se mis en colère, se retourna. j'étais encore à 4 pattes et me gifla plusieurs fois. "je t'avais dit de me lêcher les fesses, tu ne m'a pas lêcher le cul esclave, lêche moi le cul esclave". Et elle repris le martinet pour me punir. A 4 pattes face à elle, elle me fouetta le torse, me gifla encore plusieurs fois... Puis elle me représenta ses fesses, se pencha en avant, pris ma tête avec sa main et m'ordonna de lui lêcher l'anus. Je commençais à lapper son anus délicieux. ses parfums ennivrants m'enflammaient le visage. Ma langue docile entrait dans son merveilleux anus ... elle gémissait doucement "oui esclave, c'est bien ,continu comme ça, j'adore". Au bout de 10 mn, elle m'ordonna de me coucher sur le dos sur le lit en tirant la chaine. J'obéissais. elle enfila un straponme, , me releva les cuisses, et doucement, elle me pris l'anus. d'une douceur extrême mais autoritaire, je lui appartenais, elle me prenait, j'étais à elle et elle étais en moi. Ses coups de reins devanaient de plus en plus forts, de plus en plus puissant, Puis elle se coucha sur moi, torse contre torse, elle passa ses bras autour de ma tête, je sentais sa belle poitrine s'écraser contre la mienne. les mains toujours attachées dans le dos, elle continuait ses va et viens en moi, j'étais son esclave, sa chose , son jouet. Elle se mis à gémir, à me serrer de plus en plus fort contre elle, à m'écraser sous son poids, mes jambes autour de ses hanches elle me pénétrait d eplus en plus vite. puis d'un coup, elle se mit à crier, "oh je jouis, je jouis, je jouis" en me serrant de toute ses forces entre ses bras, callant son visage dans mon coup, je sentais son orgasme l'envahir. Son corps pris de soubressaut lui faisait faire des coups de reins puissants qui me brisaient l'anus, j'avais mal, mais j'étais heureux de voir ma jolie maîtresse jouir ainsi en moi, en me prenant. Au bout de plusieurs minutes, ainsi calés l'un dans l'autre, elle se mis à me carresser doucement le visage, à m'embrasser, elle venait de me baiser et d'en jouir. elle me détacha les menottes, m'enleva le collier. "reste allongé mon esclave d'amour". Puis elle se mis à m'embrasser, à me carresser doucement le corps. descendant son visage jusqu'à mon entrecuisse, elle pris mon sex dans sa bouche. Elle commença à me sucer avec force, me tenant fortement la verge. Il ne fallut pas plus de 2 minutes avant que je n'explose dans sa bouche. Elle recracha mon suc sur mon ventre, l'essuya, et m'embrassa une dernière fois. Nous sommes restés collés presque une heure les bras l'un dans l'autre..... c'était juste parfait, doux et dur à la fois, violent et respectueux...elle m'avait donné confiance en elle, je me suis complètement abandonné à elle à ses désirs, elle aurait put aller plus loin tellement j'étais en confiance avec elle; mais c'est parce que je savais qu'elle n'irait pas plus loin que j'avais confiance en elle et que je me suis abandonné à elle...ça s'appelle le respect dans la relation SM... et tout l'art de cette pratique est basé là dessus :le respect de l'autre. Ah mon dieu, quel regret de ne plus la voir ma jolie espagnole..mais quel bonheur de domina... j'ai vécu bien plus extrême, mais cette relation restera à jamais celle qui m'a le plus bouleversé car nous étions dans l'équilibre, le respect, et la confiance
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Si de nos jours encore, la jouissance sexuelle féminine demeure secrète, ne pouvant se circonscrire à un simple plaisir
physiologique, dans les études sur l’orgasme et la frigidité féminins, une fausse distinction est faite entre l’orgasme vaginal
et l’orgasme clitoridien. Les hommes ont en général défini la frigidité comme l’incapacité d’une femme à ressentir l’orgasme
vaginal. Or, la région vaginale n’est pas hautement sensitive et n’est pas conformée pour produire un orgasme. Le centre de
la sensibilité est le clitoris, l'équivalent féminin du pénis. L’importance de distinguer les diverses formes de jouissance pour
une femme lors du rapport sexuel, nous permet de mettre en évidence la complexité de sa conduite sexuelle en même
temps que l’impossibilité de faire de sa jouissance un stéréotype, même s’il s’agit d’un stéréotype très valorisant pour elle.
L’hypothèse d’une jouissance qui serait exclusivement féminine nous expose au risque de faire de celle-ci une sorte d’idéal,
de finalité à rejoindre, de norme en somme. Il y aurait d’un côté la bonne jouissance, la vraie, et de l’autre, des formes
inauthentiques ou autoérotiques. Si l’excitation sexuelle est manifeste chez la femme, comme chez l’homme d’ailleurs,
l’orgasme féminin ne se montre pas avec des signes aussi évidents que l’orgasme masculin, ce qui ne veut pas dire, bien
sûr, que pour l’homme le processus qui conduit à la jouissance sexuelle soit simple et mécanique. Que veut-on dire avec
le terme de jouissance sexuelle ? Jouissance physique et jouissance psychique sont à distinguer dans le rapport sexuel,
bien qu’elles puissent arriver en même temps, dans l’orgasme notamment. Orgasme qui n’est pas pourtant synonyme
d’éjaculation. Une éjaculation ne comporte pas forcément une jouissance psychique, et par conséquent, elle n'est pas
consubstantielle de l’orgasme. Le terme de jouissance psychique est sûrement insatisfaisant, il nous permet cependant de
marquer l’importance, pour les deux partenaires, de la rencontre au niveau des fantasmes, rencontre censée favoriser une
jouissance, notamment. La rencontre des fantasmes, rencontre qui n’est pas synonyme d’accord, d'harmonie ou de fusion,
est nécessaire pour qu’on puisse parler d’orgasme dans le rapport sexuel. L’orgasme n’est pas une jouissance pure, un
plaisir isolé du sujet, détaché de celui du partenaire. Il suppose le renoncement à une jouissance singulière, séparé de
celle de l’autre. Le coït n’est pas une action solitaire, comme la masturbation, mais un abandon de soi qui implique l’autre.
Au lieu que de montrer que la frigidité est due à des assertions erronées sur l’anatomie féminine, les psychanalystes ont
appelé frigidité un problème purement psychologique. Les femmes qui en souffraient étaient dirigées vers des sexologues
afin de tirer au clair leur problème, et celui-ci était alors généralement défini comme une incapacité d’accepter leur rôle de
femme. Les faits anatomiques et sexuels nous disent tout autre chose. S’il existe de nombreuses zones érogènes, il n’y en
a qu’une pour la jouissance, cette zone est le clitoris. Tous les orgasmes sont des extensions de la sensation à partir de
cette zone. Comme le clitoris n’est pas nécessairement assez stimulé dans les positions conventionnelles, nous demeurons
frigides. À côté de la stimulation physique qui, chez la plupart des gens, est la cause habituelle de l’orgasme, il existe une
stimulation qui passe d’abord par un processus mental. Certaines femmes, par exemple, parviennent à l’orgasme au moyen
d’images sexuelles ou de fétiches. Quoi qu’il en soit, même dans le cas où la stimulation est psychologique, l’orgasme n’en
est pas moins physique. Si donc la cause est psychologique, l’orgasme est physique, et se situe nécessairement au niveau
de l’organe équipé pour la jouissance sexuelle, le clitoris. Le degré d’intensité de l’expérience orgastique peut aussi varier,
parfois elle est plus localisée, parfois plus diffuse ou plus vive. Mais ce sont tous des orgasmes clitoridiens. Les hommes
éprouvent l’orgasme essentiellement par friction contre le vagin, et non la zone clitoridienne, qui est externe. Les femmes
ont donc été définies sexuellement en fonction de ce qui fait jouir les hommes. Leur physiologie n’a pas été proprement
analysée. On leur a collé le mythe de la femme émancipée avec son orgasme vaginal, un orgasme qui en fait n’existe pas.
Chez les analystes, le tort a été à l'origine de définir le plaisir féminin à partir du plaisir masculin, comme étant dépendant.
Il nous faut caractériser notre plaisir, tout en rejetant les idées normales de sexualité, et nous mettre à penser en fonction
d’une satisfaction sexuelle mutuelle. L’idée d’une satisfaction mutuelle est défendue dans les manuels conjugaux, mais non
poussée jusqu’à ses conséquences logiques. Pour commencer, si des positions données comme classiques ne dispensent
pas l’orgasme aux deux partenaires, nous devons exiger qu’elles ne soient plus tenues pour classiques. Alors, de nouvelles
techniques doivent être inventées afin de modifier cet aspect de notre exploitation sexuelle courante. Freud soutenait que
l’orgasme clitoridien était infantile et que, après la puberté, dans les rapports hétérosexuels, le centre de l’orgasme s’était
transféré au vagin. Le vagin, prétendait-on, était le lieu d’un orgasme parallèle, plus complet que le clitoris. De nombreux
travaux ont concouru à l’édification de cette théorie, bien peu a été fait pour en réfuter les présuppositions. Tout ce qu’il y
a de paternaliste et de craintif dans l’attitude de Freud à l’égard des femmes provient de leur manque de pénis. Mais c’est
seulement dans son essai "La psychologie féminine", qu’il exprime clairement. le mépris des femmes implicite dans toute
son œuvre. Il leur prescrit de renoncer à la vie de l’esprit, qui gêne leur fonction sexuelle. Quand le patient est un homme,
l’analyste s’attache à développer les capacités masculines mais si c’est une femme, la tâche consiste à la faire rester dans
les limites de sa sexualité. Le sentiment que les femmes étaient inférieures fut donc le fondement des théories de Freud sur
la sexualité féminine. On ne s’étonnera pas que Freud découvrît un épouvantable problème de frigidité chez les femmes.
Les soins d’un psychiatre étaient alors prescris. Le mal leur venait d’une incapacité à s’adapter à leur rôle naturel de femme.
L’explication était qu’une telle femme enviait les hommes, exprimant ainsi un refus de féminité. On diagnostiquait alors un
phénomène anti mâle. Il faut bien préciser que Freud ne fonda point sa théorie sur une étude de l’anatomie féminine, mais
sur sa propre conception de la femme comme appendice et inférieure de l’homme, et du rôle social et psychologique qui en
découle. Au cours de leurs tentatives pour résoudre le problème d’une frigidité massive, les freudiens se livrèrent à des
gymnastiques mentales très poussées. Marie Bonaparte, dans "De la sexualité de la femme", n’hésite pas à appeler la
chirurgie au secours des femmes pour les aider à rentrer dans le droit chemin. Ayant découvert un rapport curieux entre la
non-frigidité et la proximité du clitoris et du vagin, elle écrit: "Il m’apparut alors que, si chez certaines femmes ce fossé était
trop large, et la fixation sur le clitoris durcie, une réconciliation vagino-clitoridienne pouvait être effectuée par des moyens
chirurgicaux, pour le grand bien de la fonction érotique normale. Le professeur Halban de Vienne, chirurgien et biologiste,
se montra intéressé par cette question et mit au point une technique opératoire très simple. Les ligaments maintenant le
clitoris étaient coupés, le clitoris, conservant ses structures internes, était fixé plus bas, avec éventuellement une réduction
des petites lèvres." Mais le plus grand dommage n’était pas localisé du côté de la chirurgie où les freudiens se livraient à
d’absurdes tentatives pour changer l’anatomie féminine afin de la faire entrer de force dans leurs conceptions. Le dommage
était pour la santé mentale des femmes, qui ou bien s’accablaient elles-mêmes en secret ou bien se pressaient chez les
psychiatres, puis chez les chirurgiens en quête du fameux refoulement qui les excluait totalement de leur destin vaginal.
Preuve est faite qu'un certain paternalisme teinté d'une misogynie était encore de mise au tout début du XIXème siècle.
Le préliminaire est une notion créée pour le besoin mâle, mais tourne au désavantage de pas mal de femmes car, lorsque
sa partenaire est "chauffée", l’homme passe à la stimulation vaginale et la laisse à la fois excitée et insatisfaite. On savait
aussi que, durant les interventions chirurgicales à l’intérieur du vagin, l’anesthésie n’était pas nécessaire, ce qui montre bien
qu’en vérité le vagin n’est pas une région hautement sensitive. Aujourd’hui, avec le progrès de la science anatomique, et
le recul des idées sexistes, on est sorti de l’ignorance dans ce domaine. Cependant, pour des raisons sociales, ce savoir
n’a pas été popularisé. Nous vivons dans une société mâle, où le rôle des femmes demeure inchangé. Plutôt que de partir
de ce que les femmes devaient ressentir, il eût été plus logique de partir des faits anatomiques concernant le clitoris et le
vagin. Le clitoris est un pénis en plus petit, avec la différence que l’urètre n’y passe pas. Son érection est ainsi analogue à
l’érection mâle, et l’extrémité du clitoris a le même type de structure et de fonction que le gland. Le clitoris n’a donc d’autre
fonction que le plaisir sexuel. L'emploi du vagin est rattaché à la fonction de reproduction, principalement, la menstruation,
recevoir le pénis, garder la semence et le passage de l’enfant. Les petites lèvres peuvent infuser un orgasme clitoridien.
Et comme elles peuvent être stimulées durant le coït, cette stimulation a pu être interprétée comme un orgasme vaginal.
Ainsi, influencées par des thèses analytiques paternalistes, à la limite du sexisme et par méconnaissance de leur propre
corps, certaines femmes se conforment à l'idée qu’un orgasme ressenti durant le rapport normal est d’origine vaginale.
Cette confusion est due à deux facteurs, l’incapacité de localiser le centre de l’orgasme et le désir de ces femmes de faire
concorder leur expérience avec la conception mâle de la normalité sexuelle. Ce malentendu a de nombreuses causes.
D’abord, la femme, est soumise à une très forte pression de la part de l’homme, qui place souvent très haut ses propres
talents amoureux. Pour ne pas blesser sa vanité, la femme endosse le rôle qui lui est imparti et simule l’extase. D'autres
femmes, ayant constaté que l’acte sexuel était surtout satisfaisant pour l’homme, et le plaisir qu’une femme y pouvait
prendre un petit extra en supplément, ont peur de revendiquer le droit à un plaisir sexuel égal. D’autres, assez fermes
pour repousser l'aide d’un sexologue, refusent de reconnaître leur frigidité. Elles ne veulent pas se sentir en faute, mais,
ignorantes de leur propre physiologie, ne savent pas comment en sortir. Celles-là se trouvent dans un complet désarroi.
Sans verser dans la généralité qui est toujours caricaturale, force est de constater que depuis l'antiquité, les hommes ont
tendance à entretenir l'illusion de l'orgasme vaginal. Le meilleur stimulant pour le pénis est le vagin. Il fournit le frottement
et la lubrification nécessaires. Certains hommes considèrent en effet le clitoris comme une menace pour leur masculinité.
Si le clitoris détrône le vagin comme centre de la jouissance féminine, les hommes peuvent craindre alors de cesser d’être
sexuellement indispensables. On invoque en effet, comme motif de l’excision pratiquée au Moyen-Orient et en Afrique
subsaharienne, la nécessité de préserver les femmes de la perdition. En supprimant l’organe de l’orgasme, on est assuré
que ses débordements sexuels seront amoindris. Quand on sait combien les hommes considèrent leurs femmes comme
leur propriété, spécialement dans les nations où le poids de la tradition est grand, on commence à bien comprendre
pourquoi les hommes n’ont pas intérêt à laisser les femmes courir librement. À côté des raisons strictement anatomiques
qu’ont les femmes de chercher également d’autres femmes pour faire l’amour, il existe chez les hommes une crainte que
les femmes se mettent alors à rechercher, dans la compagnie des autres femmes, des relations complètes et réellement
humaines. La promotion de l’orgasme clitoridien serait ainsi une menace pour l’institution hétérosexuelle. En réalité, Il
n’existe pas une forme d’orgasme plus normale qu’une autre, finalement, ce qui devrait avoir de l’importance, c’est la seule
qualité du plaisir entre deux personnes consentantes, et non pas le moyen par lequel elles l’atteignent. D’ailleurs, ce n’est
pas parce qu’une femme jouit, même plusieurs fois, qu’elle est forcément satisfaite de sa relation sexuelle et amoureuse.
Bibliographie et références:
- Élisa Brune, "Le Secret des femmes"
- Odile Buisson, "Qui a peur du point G ?"
- Pierre Foldes, "Le mystère de l'orgasme féminin"
- Bernard Andrieu, "La peur de l'orgasme"
- Robert Muchembled, "L’orgasme féminin"
- Pascal de Sutter, "La mécanique sexuelle"
- Catherine Solano, "Le plaisir féminin"
- Thierry Lodé, "Histoire du plaisir
- Anne Koedt, "L'orgasme vaginal"
- Wilhelm Reich, "La fonction de l'orgasme"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 35 : SAUVETAGE INESPERE.
Extraits » …Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie…. Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent d’une bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche. Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie… »
Magalie reprend ses esprits. Elle est enfermée dans une cage et porte un collier qui ne lui augure rien de bon.
Face à elle, elle reconnait virginie qui la toise avec un regard pervers.
Tu te réveilles ma chérie.
Tant mieux car on va passer du bon temps toutes les trois.
Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie.
Le collier est accroché à un anneau fixé au sol.
La tigresse ne peut bouger la tête que de trois ou quatre centimètres.
Magalie veut demander à virginie pourquoi elle la traite comme ça.
Au premier mot une puissante décharge la terrasse.
Ça vient du collier. Virginie rit et lui explique le fonctionnement du collier.
Magalie fait un geste pour montrer qu’elle ne comprend pas.
Virginie lui rappelle que c’est elle qui l’a jetée dans les griffes de la tigresse.
Magalie montre qu’elle ne comprend rien.
Tu n’as pas besoin de comprendre. Maintenant tu es corps et âme à mon service comme une bonne petite esclave. Tu prendras exemple sur la tigresse qui a compris ou était son intérêt.
Magalie regarde incrédule virginie.
Celle-ci dit : Bon on va commencer ton éducation.
Déjà tu sais que tu ne dois jamais parler sans mon ordre.
Mais ça tu as compris.
Lorsque tu ne seras pas occupée à faire une tache que je te commanderais tu te mettras à genou en position de soumission comme la tigresse en ce moment et tu me lécheras les pieds.
Magalie est horrifiée. Voilà ce que tu dois savoir dit virginie.
M’obéir ou te prosterner à mes pieds. C’est simple.
Compris. Magalie hoche la tête.
Je vais te sortir de la cage maintenant.
Virginie approche de l’arrière de la cage et l’ouvre.
Magalie sort en marche arrière et veut se lever.
Une puissante décharge la sonne.
Tu n’as pas compris tant que je ne te demande riens tu te prosterne à mes pieds.
Magalie se remet péniblement à genou et baisse la tête vers les pieds de virginie.
Cette fille est folle pense-t-elle.
Virginie se dirige vers le campé.
Magalie la suit à genou et dès que virginie est assise elle lui lèche les pieds. Pff ça va être long se dit Magalie.
Virginie lui dit alors. Montre-moi si tu sais te servir de ta bouche sur un sexe et elle écarte les jambes.
Magalie n’est pas lesbienne mais ne se pose pas de question. Elle plonge la tête dans le sexe de virginie.
Virginie fait entrer la tigresse dans la cage.
Voilà dit-elle. Maintenant je peux m’occuper pleinement de toi. Et elle se tourne vers Magalie qui n’a pas bougé.
Celle-ci anticipe la décharge et se rue à quatre pattes vers les pieds de virginie qu’elle embrasse.
Bien : dit cette dernière.
On va te vêtir come il faut.
Elle s’absente quelques minutes et revient avec un harnais en cuir noir qu’elle installe sur Magalie.
Le harnais est réglable et virginie serre au maximum les sangles.
Le harnais semble être incrusté dans la peau de Magalie.
Tu as de beaux seins on va les mettre en valeur.
Elle sort une corde de bondage et s’en sert pour bonder les seins de Magalie.
Ceux-ci sont gonflés et deviennent bleus. Magalie a l’impression qu’ils vont éclater.
Maintenant pour parfaire ta tenue des petits jouets pour toi.
Elle fait se pencher Magalie en avant et lui met un gode énorme et un plug annal impressionnant.
Une lanière du harnais qui passe entre ses jambes comprime puissamment les deux objets qui semblent vouloir aller plus loin dans les entrailles de Magalie.
Satisfaite du résultat virginie lui dit que désormais elle sera tout le temps habillée comme ça avec les deux jouets bien insérés.
Elle actionne une petite télécommande et les deux engins se mettent à vibrer de concert.
Magalie se sent prête à éclater de partout entre ses seins, son sexe et son cul.
Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent dune bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche.
Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie.
Elle entraine Magalie dans la cuisine ou cette dernière fait la vaisselle sous le regard de virginie. Une fois la cuisine propre Magalie doit passer l’aspirateur dans le salon.
Son travail est interrompu lorsque virginie, assise sur le canapé, lui donne l’ordre de venir lui enfiler le gode facial.
La journée est épuisante pour Magalie. Malgré elle, elle est de temps en temps fauchée par un orgasme provenant des vibrations des deux engins.
Enfin il semble que l’heure du coucher est arrivée. Virginie sort la tigresse de sa cage, lui fait un passage aux toilettes et à la salle de bain et l’accroche à l’anneau prévu à cet effet au sol de sa chambre.
Puis elle vient chercher Magalie et suit le même protocole.
Elle n’oublie pas de remettre le harnais et les engins vibrants ainsi que le bâillon gode.
Il n’y a qu’un anneau dans la chambre et elle lie Magalie à un des pieds du lit.
Magalie voit du coin de l’œil que le regard de la tigresse s’est soudainement réveillée.
Pendant que virginie attache Magalie elle voit que la tigresse lui fait des gestes avec a tête en montrant le tapis sur lequel est couchée Magalie.
Virginie se relève et la tigresse cesse de regarder par là.
Virginie souhaite alors une bonne nuit aux esclaves en éteignant la lumière.
Magalie laisse passer quelques minutes et quand elle pense que virginie dort complétement elle se contorsionne silencieusement pour essaye de voir ce qui se cache sous le tapis.
Après une demi-heure d’effort elle sent sous ses mains un petit anneau qui semble ouvrir une petite trappe.
Elle réussit à soulever la petite trappe et essaye de tâter ce qu’il y a dans la petite cavité en dessous.
Elle finit par toucher un objet muni de boutons qui semble être une petite télécommande.
Puis un couteau, un cutter et une petite boite dont elle ne connait pas l’utilité.
Elle se demande ce qu’elle peut faire avec ça et regarde du côté de la tigresse qui a les yeux rivés sur elle.
Magalie tente alors de faire glisser les objets vers la tigresse qui tend ses jambes pour les attraper un à un.
Après plus d’une heure d’efforts et de contorsions la tigresse a récupéré tous les objets.
Quelques minutes d’effort plus tard Magalie voit que la tigresse semble s’être libérée.
Celle-ci rampe vers elle et lui ôte les liens un par un.
Elle finit par le collier quelle ouvre avec des minuscules outils bizarres.
Magalie apprendra plus tard qu’il s’agit d’outils pour forcer les serrures. Elles sont libres.
Virginie semble toujours endormie.
La tigresse montre un collier à Magalie et lui indique le cou de virginie.
L’affaire ne va pas être simple mais elles sont à deux contre une.
Elles contournent le lit et la tigresse s’apprête à mettre le collier autour du cou de virginie. Elle montre les mains de virginie à Magalie pour lui signifier de les maitriser au moment de l’attaque.
Puis elle fait le décompte trois deux un et elle se jette sur le cou de virginie pendant que Magalie attrape les deux mains.
Virginie sursaute et fait preuve d’une force étonnante.
Magalie ne parvient qu’à ralentir les mains de celle-ci.
Mais la tigresse a réussi en une fraction de seconde à fermer le collier sur le cou de virginie.
Cette dernière lutte en silence et réussit presque à se dégager des mains de Magalie.
Un clic se fait entendre et la tigresse se recule vivement en brandissant une télécommande.
Magalie ressent un choc terrible.
La tigresse a envoyé une décharge avec le collier et la décharge a secoué virginie et Magalie.
Virginie se tétanise sur le lit.
Magalie reprend un peu ses esprits et se recule vivement.
La tigresse allume la lumière.
Virginie est couchée et les regarde avec horreur.
La tigresse sourit. J‘ai toujours un nécessaire dans ma chambre en cas de problème avec les accessoires dit-elle en exhibant les objets contenus dans la cavité. Ils m’ont déjà servis et ils viennent de me sauver encore.
Merci Magalie sans toi j’étais condamnée à rester l’esclave de virginie. Je te suis redevable d’un grand service.
Magalie répond qu’elle n’y est pas pour grand-chose.
Virginie veut se lever mais la tigresse lui montre la télécommande. C’est moi qui donne les ordres désormais ma petite. Tu vas réapprendre à m’obéir
Laissant virginie prostrée sur le lit les deux femmes se débarrassent des restes de bondage. Magalie se sent revivre avec son fondement enfin libéré. Elles se rendent dans le salon ou la tigresse leur prépare un café.
Que va-t-on faire d’elle demande Magalie.
J’en fait mon affaire dit la tigresse.
J’ai besoin d’une soubrette ici et virginie connait la maison et est très jolie en plus.
Je suis sure qu’elle va m’apporter beaucoup de plaisir.
Magalie n’en doute pas.
La tigresse continue. Néanmoins si tu as besoin d’elle pour n’importe quoi je te la donne en reconnaissance de ton aide.
Magalie la remercie et après avoir retrouvé se habits quitte la maison de la tigresse pour rentrer chez elle.
Rétrospectivement elle se rend compte qu’elle a échappé au pire.
De son côté la tigresse profite avec bonheur de virginie.
Elle est désormais menottée dans le dos en permanence et doit suivre la tigresse partout où elle va.
Virginie a pour mission de lécher le sexe de la tigresse dès que celle-ci est immobile.
Et dès que la tigresse s’arrête même pour quelques secondes, virginie se met à genou et lèche avec vigueur pour ne pas recevoir de coups de cravache ou de décharges venant du collier.
Elle a en permanence un plug annal et un gode énorme bien enfoncés dans ces entrailles et maintenus par une lanière qui est attachée au harnais en cuir rouge qu’elle porte en permanence.
La nuit elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à la tigresse.
Lorsque la tigresse a une visite virginie doit se coucher sur le ventre aux pieds de la tigresse qu’elle doit lécher en permanence sauf quand la tigresse l’offre sexuellement aux visiteurs des deux sexes qui ne manquent pas d’imagination pour l’humilier autant que possible tout en la besognant.
Elle prend ses repas à genou dans la cuisine et mange dans une gamelle les restes du repas précédent de la tigresse.
Virginie ne voit pas comment elle pourra se sortir de cette situation et devient de plus en plus soumise à la tigresse afin d’éviter les punitions.
La tigresse kiffe cette situation car ses invités ne tarissent pas d’éloges sur la réussite qu’elle a avec cette magnifique esclave.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chap 34 : des ennuis en vue.
Extraits « … Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. … Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. … Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises… »
Martine n’est pas chaude pour que le couple embarque les deux filles pour un weekend.
Elle n’a aucune garantie que les filles seront bien traitées. Elle les regarde et les questionne du regard. Celles-ci se concertent autant qu’elles peuvent et finalement acceptent le jeu.
Après ça Laurent et Martine discutent entre eux et tombent d’accord ils veulent bien prêter les deux filles un weekend.
Victor annonce que ce sera le weekend suivant et que les filles devront répondre à une convocation.
Comme prévu Anna et Vanessa reçoivent la convocation. Elles se rendent à l’adresse indiquée avec de l’appréhension mais elles étaient volontaires alors il faut assumer.
Elles sont accueillies par un jeune couple entièrement nu qui les fait entrer dans une pièce vide. Là la couple les déshabille entièrement et leur met des menottes dans le dos.
Elles ont un peu d’appréhension car aucune parole n’est prononcée. Le couple leur met à chacun un bâillon et un collier muni d’une laisse. Puis se retire les laissant seules dans la pièce vide.
Une femme très musclée genre catcheuse pénètre dans la pièce.
Elle est nue et porte un collier et des bracelets aux mains et aux pieds.
Ces ornements son très imposants et en métal couleur acier.
On dirait des fers de bagnard.
Elle porte de piercing aux seins et entre les narines, toujours de grande taille et de la même couleur.
Pour finir le tableau, elle est entièrement rasée et tient un fouet dans la main.
Les filles commencent à flipper. Elle n’a pas l‘air commode.
La catcheuse leur fait signe de la suivre.
Elles la suivent sans attendre craignant le coup si elles ne réagissent pas assez vite.
Elles descendent dans ce qui ressemble à un sous-sol.
Elles entrent dans une pièce nue à l’exception d’anneaux scellés dans les murs, au plafond et au sol.
La catcheuse leur fait signe de se mettre à genou chacune à côté d’un anneau au sol.
Puis la catcheuse accroche les laisses, raccourcies au maximum, aux anneaux du sol.
Les filles doivent se pencher à ras terre et ne peuvent pas bouger du tout.
La catcheuse repart puis revient avec une tondeuse dans les mains.
Les filles s’affolent.
Ça n’était pas prévu.
Impuissantes et en pleur elles sont tondues entièrement. Des larmes de rage ruissellent sur leurs visages.
La catcheuse sort quelques instant et revient avec le jeune couple de soumis.
Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.
Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes.
La remontée d’escaliers est pénible mais les claquements de fouet à côté d’elles les encouragent à aller le plus vite possible.
Elles finissent par arriver dans un salon ou Victor et Morgane les attendent confortablement installées dans un canapé.
Devant le canapé il y a deux petits tapis. Ils font environ un mètre de long et 50 cm de large orientés vers le canapé.
Anna est posée sur l’un d’eux et Vanessa sur l’autre.
La catcheuse lâche les laisses.
Voilà votre coin à chacune dit Morgane en montrant les tapis.
Si vous quittez votre coin sans ordre vous gouterez au fouet de Silène. La catcheuse montre son fouet aux filles en souriant.
Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis.
Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne.
Il sort son chibre et attend toujours assis.
Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer.
Il caresse sa tête et se laisse tranquillement sucer.
Apprend lui à rapporter dit Morgane à silène en montrant Vanessa.
Silène va chercher un objet et le lance dans la pièce en disant : Rapporte à ta maitresse à Vanessa.
Celle-ci comprend et va à quatre pattes chercher l’objet qu’elle ramasse avec sa bouche.
Il s’agit d’un gode de bonne taille.
Elle hésite pour savoir à qui ramener le gode.
Puis elle se décide à le ramener à Morgane.
Celle-ci lui caresse la tête et dit : bonne petite chienne elle a bien reconnu sa maitresse.
Pendant une bonne heure Anna et Vanessa doive satisfaire Morgane et Victor avec la bouche et jouer les petites chiennes.
Elles rapportent les objets, font le beau, aboient, jappent.
Pour finir Victor sodomise Anna pendant que Morgane fait de même avec Vanessa avec le gode qui a servi de jouet.
Puis Anna et Vanessa reçoivent l’ordre de regagner leur coin.
Elles le font en se demandant ce qui va leur arriver.
La sonnerie de l’entrée retentit.
Un couple vient rendre visite à Morgane et Victor.
Ils les félicitent pour leurs deux nouvelles acquisitions.
Anna et Vanessa sont de nouveau mises à contribution sexuellement avant de regagner leur tapis.
Morgane et Victor vont diner.
Lorsqu’ils reviennent, silène pose un bol d’eau et une gamelle avec de la nourriture dans un coin de la pièce.
Les filles ont faim et surtout soif. Elles sont tentées mais n’osent pas aller boire.
La soirée n’est pas finie
D’autres visiteurs arrivent et chaque fois les filles servent de jouet sexuel.
Enfin Victor et Morgane se retirent.
Silène donne alors l’ordre aux filles d’aller manger et boire.
Elles se ruent vers le bol d’eau et lapent autant qu’elles peuvent.
La nourriture est indescriptible mais elles mangent pour ne pas s’attirer les foudres de silène.
Après ça silène prend les laisses et emmène les filles avec elle.
Elles passent dans une salle de bain ou silène les douche en les frottant vigoureusement.
Ensuite elle les ramène dans le salon où elle se couche entre les deux tapis dit aux filles faites-moi plaisir ou c’est le fouet.
Comprenant, Anna et Vanessa s’approchent d’elle et avec leurs bouches lui font passer un bon moment.
Une fois silène comblée elle leur dit de se remettre sur leur tapis et quitte la pièce en éteignant la lumière.
Elle ne les a pas bâillonnées et elles peuvent converser à voix basse.
J’espère que ça ne va pas durer longtemps dit Anna.
Je commence à bien regretter cette aventure dit Vanessa puis vannées elles s’endorment rapidement.
Dans la même après midi Martine reçoit de la visite.
Il s’agit des deux garçons esclaves qui accompagnaient Morgane et Victor.
Ils ne disent rien à Martine mais lui donnent une lettre.
Elle les fait entrer dans la maison et lit la lettre. « Chère Martine voici un cadeau en échange de tes deux filles fais en ce que tu veux. Ils sont obéissants et très endurants. La clé des cages de chasteté est collée à la lettre. »
Martine est perplexe.
Puis se dit que c’est pour le temps du weekend end.
Pendant qu’elle lisait les deux garçons se sont déshabillés et mis à genou à ces pieds.
Elle se dit autant en profiter et détache les cages de chasteté.
Les garçons savent s’y prendre.
Elle est léchée embrassée pénétrée pendant près d’une heure jusqu’à ce qu’elle demande grâce.
La soirée est longue et délicieuse.
Elle finit par aller au lit accompagnée par ses deux amants elle se couche entre les deux et s’endort avec un sexe érigé dans la bouche.
Plusieurs fois dans la nuit elle changera de bite. Elle est heureuse de son sort et pense très peu à celui d’Anna et Vanessa.
Pour Anna et Vanessa les jours se suivent et se ressemblent.
Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises.
Le weekend est passé et Martine commence à trouve le temps long. Elle essaye d’appeler Victor et Morgane mais tombe systématiquement sur la messagerie.
Les deux garçons sont toujours là mais elle moins le cœur à ça même si elle se fait ramoner plusieurs fois par jour.
De son côté Laurent fulmine. Lui non plus n’a pas de nouvelles et il passe ses nerfs sur Maëva qui désormais passe la moitié de son temps dans les toilettes à servir d’urinoir de fortune.
Arrivée à la fin de la semaine Martine décide de s’en ouvrir à Magalie qui lui demande d’être très prudente et lui propose de demander l’aide de la tigresse qui ne manque jamais de bons conseils.
Martine accepte et c’est Magalie qui devra reprendre contact avec la tigresse.
Magalie tente d’appeler la tigresse mais celle-ci ne répond jamais.
Magalie lui envoie un texto pour demander à la voir.
Elle reçoit une réponse et est conviée à aller chez la tigresse dans la soirée.
Le soir venu Magalie se rend chez la tigresse.
Elle est surprise d’être reçue par une femme voilée.
Celle-ci la fait entrer dans la maison et Magalie a la surprise de voir la tigresse nue enchainée sur une croix de saint André dans le salon.
Elle se retourne vers la femme voilée qui lui met un coup de tazer qui tétanise Magalie.
Quand elle reprend ses esprits elle est dans une cage et c’est virginie qui la contemple avec satisfaction.
Bienvenue ma belle je voulais trouver un moyen de d’attraper mais tu es venue toute seule merci…
Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et la tigresse ne répond pas.
Elle appelle Laurent qui lui aussi veut faire quelque chose. Ils décident d’aller directement chez Victor et Morgane pour aller chercher les filles.
Laurent et Martine sont remontés. Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et décide d’agir seule avec Laurent. Ils se présentent au domicile de Victor et Morgane.
Ils sont reçu par le jeune couple de soumis et emmenés jusqu’au salon où Morgane et Victor les reçoivent.
Dans le salon ils voient avec joie que les deux filles bien que fixées au sol à des anneaux semblent aller bien.
Laurent dit à Victor que le délai est passé et qu’il vient récupérer les filles.
Victor lui demande de se calmer et dit que tout ça est un malentendu.
Il dit qu’ils vont pouvoir être de nouveau proche des filles et que cela sera aussi bien pour tout le monde.
Morgane acquiesce.
Elle propose de sceller le deal du parrainage avec une coupe de champagne.
Laurent et Martine un peu rassurés acceptent et silène arrive nue avec un plateau accroché à sa taille et tenant horizontalement garce à deux chainettes qui relient des piercings au bout des seins aux extrémités du plateau.
Celui-ci doit être lourd car quatre coupes de champagne sont posées dessus.
Cependant les seins imposants de silène semblent ne pas être gênés par ça.
Ils pointent droit devant.
Laurent et Martine sont attirés par la vue de silène et ne prennent pas garde aux coupes.
Les coupes son bues et d’autres suivent.
Morgane prend la parole et dit à Martine : J’ai une proposition à te faire. Je t’offre les deux esclaves males que tu as pu tester et en échange tu me donne ces deux-là et elle montre Anna et Vanessa.
Martine est prise de court.
Eméchée par les coupes qu’elle a pris et quelle ne compte plus, son raisonnement n’est plus très clair.
De leur côté les deux filles s’imaginent déjà esclaves de Victor et Morgane.
C’est excitant mais en même temps elles n’auront plus la même liberté qu’avec Martine.
Martine essaye de peser le pour et le contre.
Il est vrai que les garçons possèdent des arguments que les filles n’ont pas.
Et puis elle pourra les revoir si elle est admise au club.
Euphorique elle dit banco. Une nouvelle coupe de champagne scelle le marché.
Anna et Vanessa sont très perplexes. Que va-t-il leur arriver.
Malheureusement elles n’ont pas la parole car silène veille près d’elles en agitant le fouet.
La soirée se passe et un rendez-vous est pris pour le parrainage dans le club de dominants.
Laurent est heureux quand il rentre.
Bon il a perdu les deux filles qui étaient quand même bonne mais au moins il va entrer dans le club fermé.
En arrivant à la maison il va détacher Maëva qui a passé la soirée dans les toilettes.
Celle-ci est rompue mais doit encore subir l’excitation de Laurent que la perspective du parrainage a bien remonté.
Maëva est visitée dans tous les orifices et doit finir par une fellation complète. Cette nuit-là attachée aux pieds du lit de Laurent elle s’endort comme une masse.
Martine rentre chez elle perplexe elle a un peu dégrisé et se demande si elle n’a pas agit à la légère.
Devant sa porte les deux garçons l’attendent.
Cette nuit-là ils sont particulièrement habiles et elle s’endormira avec un chibre dans la bouche.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 33 : le retour de virginie
Virginie a réussi à échapper à son « propriétaire » en lui volant de nombreux bijoux qu’elle a revendu à un receleur.
Elle est décidée à se venger de la tigresse et de Magalie.
Elle prend un logement proche de la tigresse et entreprend de l’espionner avant d’agir.
Elle suit les allers et retours de celle-ci et peu à peu arrive à connaitre ses habitudes.
Virginie s’est bien renseignée et sait que la tigresse possède une alarme sophistiquée. Elle ne pourra pas forcer la maison il faudra donc agir différemment.
Elle passe à l’action quelques temps plus tard.
La tigresse se fait livrer une fois par semaine toujours par la même société.
Virginie réussit grâce à son charme et une nuit avec le recruteur à se faire embaucher comme livreuse.
Finalement, un jour elle est appelée pour livrer chez la tigresse.
Il y a plusieurs gros cartons et dans ce cas elle sait que le livreur aide la tigresse à renter les cartons dans la maison.
Elle essaye au maximum de modifier son look afin de ne pas être reconnue par la tigresse. Celle-ci ne se méfie pas et lui demande si elle peut l’aider à rentrer les cartons ce qu’elle accepte sans rechigner.
Une fois dans la maison les choses se passent très vite. Virginie sort un tazer de sa poche et administre une décharge violente à la tigresse qui s’écroule tétanisée.
Elle est tout de suite menottée et bâillonnée.
Virginie termine de rentrer les cartons et quitte la maison en laissant la tigresse ligotée comme un saucisson accrochée à un radiateur.
Elle prend les clés de la maison et termine tranquillement sa journée.
Elle démissionnera le soir même.
Sa journée de travail terminée elle retourne chez la tigresse.
Celle-ci est toujours ligotée à son radiateur.
Là, virginie se dégrime et la tigresse la reconnait. Virginie jubile. Alors on va jouer toutes le deux maintenant.
Virginie fait le tour de la maison et trouve une cage dans un sous-sol.
Cette cage permet juste à une personne de taille moyenne d’y entrer à quatre pattes.
Virginie soupèse la cage. Elle doit pouvoir la monter dans le salon.
Elle s’attelle à la tâche et ruisselante de sueur réussit à la poser dans le salon.
Voilà ta nouvelle maison esclave dit-elle à la tigresse qui est toujours accroché à son radiateur.
Les marques rouges sur les mains montrent qu’elle a essayé de se libérer.
Virginie reprend son souffle et regarde la tigresse.
Je crois que tu n’auras plus besoin d’habits maintenant.
Elle cherche dans la cuisine et trouve une paire de ciseaux imposants.
Elle revient avec sa trouvaille et lacéré les habits de la tigresse qui en cinq minutes se retrouve nue.
Virginie décide de la faire entrer dans la cage.
Elle la décroche du radiateur et la fait progresser à quatre pattes vers la cage ou la tigresse rentre à condition de rester à quatre pattes à l’intérieur.
Virginie ferme la cage avec un cadenas.
Elle dit à la tigresse : je voulais te tuer directement mais je crois que je vais d’abord profiter d’une belle esclave.
Tu as intérêt à être bien obéissante sinon je t’égorge simplement.
La tigresse se demande si c’est du bluff mais la lueur dans les yeux de virginie lui fait peur.
Virginie fait le tour de la cage pour voir s’il n’y a pas de faiblesses.
La cage est solide mais virginie découvre un volet à l’opposé de la porte.
Il doit servir à rentrer une gamelle d’eau ou de nourriture.
Il est assez grand pour y passer la tête.
Virginie qui se sent poisseuse se dit que ça pourrait rendre service.
Elle ouvre le volet et donne l’ordre à la tigresse d’y passer la tête.
Celle-ci n’obéit pas mais virginie lui pique les fesses avec le bout des ciseaux.
La tigresse passe la tête dans le volet.
Virginie dit alors : j’ai bien sué pour monter ta nouvelle maison.
Tu vas essuyer toute ma sueur avec ta langue.
Et elle se met nue et approche son bras de la tête de la tigresse.
Celle-ci hésite mais Virginie va dans la cuisine et ramène un couteau d’office qu’elle aiguise consciencieusement.
Elle dit : Dommage on aurait pu s’amuser mais si tu veux que ça termine tout de suite pas de problème et elle approche le couteau du cou de la tigresse.
Celle-ci crie : non je vais faire tout ce que tu veux je vais t’obéir complétement pitié !
Virginie hésite.
Puis dit dernière chance.
Et elle avance le bras vers la tête de la tigresse qui s’empresse de le lécher avidement.
Virginie passe ainsi tout son corps devant la tête de la tigresse qui lèche consciencieusement.
Enfin virginie estime que c’est bon et dit alors : maintenant récré on va jouer à bouffe minou.
Elle avance un fauteuil jusqu’à la tête de la tigresse et s’assoit dessus les jambes écartées.
La tigresse doit se tendre au maximum pour lui lécher le sexe mais y met tout ce qu’elle peut.
L’heure du repas est arrivée. Virginie va dans le frigo et se fait un plateau repas.
Elle rapporte le plateau qu’elle pose sur la cage et se rassoit les jambes écartées. Elle mange tranquillement pendant que la tigresse se démène pour la lécher correctement.
Après son repas virginie donne l’assiette avec les restes à la tigresse en lui disant tu manges tout.
La tigresse mange consciencieusement tout ce qu’il y a dans l’assiette et lape toute l’eau que contient un bol apporté par virginie.
Virginie souhaite bonne nuit à la tigresse qui dit d’une petite voix qu’elle doit pisser. Virginie lui dit qu’elle se démerde et éteint la lumière.
Quelques minutes après la tigresse pisse sur le carrelage. Elle passe toute la nuit à quatre pattes somnolant plutôt qu’autre chose.
Virginie vit maintenant depuis un mois dans la maison de la tigresse.
Celle-ci lui a gentiment tonné toutes les informations utiles.
Elle a son code de carte bleu et tous les accès à ses comptes bancaires.
Il faut dire que le fouet quand il est bien mené finit par délier toutes les langues.
Virginie a trouvé une cage dans pièces du sous- sol.
Elle l’a monté dans le salon et c’est dans cette cage que vit la tigresse quand virginie n’a pas besoin d’elle.
C’est-à-dire rarement car entre les coups et le ménage la tigresse n’a pas beaucoup de temps libre.
Celle-ci vit désormais nue en dehors d’un collier fort pratique que virginie avait elle-même testé à ses dépens dans cette maison.
La tigresse a résisté une bonne semaine mais les coups, les privations de sommeil et de nourriture l’on ramenée à de meilleures dispositions.
Elle est maintenant à la botte de virginie.
Finalement la tigresse se révèle être une bonne brouteuse et virginie en redemande. Tous les soirs après le repas elle y a droit en regardant les infos à la télé.
Maintenant que la première phase de sa vengeance est réalisée elle réfléchit à la deuxième phase qui concerne plus spécialement Magalie.
C’est cette garce qui est à l’origine de tout et rien ne laisse à penser qu’elle n’était pas au courant des intentions de la tigresse quand elle a envoyé virginie chez elle.
La vie tranquille de virginie avec son esclave est cependant si jouissive qu’elle remet à plus tard la vengeance.
Ce matin-là elle est en forme.
Son esclave l’a réveillée avec un cunnilingus d’enfer.
Elle s’y prend vraiment bien.
Virginie il y a quelques jours s’est fait draguer par deux mecs pas mal.
Elle a un peu flirté avec les deux ne sachant lequel choisir et puis finalement se faire les deux ne lui fait pas peur.
Elle leur a promis une surprise et les a invités chez elle pour diner.
La journée se passe bien son esclave a nettoyé de fond en comble la maison et préparé un repas de fête.
Pour l’occasion elle a habillé l’esclave en soubrette ultra sexy et ne lui a mis aucun bondage à l’exception du collier qui ne la quitte pas.
Virginie se sent une âme de croqueuse d’hommes. Les invités sont à l’heure. Tirés à quatre épingles ils ont amené des fleurs et une bouteille de champagne.
Virginie les remercie et les invite à s’assoir dans le salon.
Pendant qu’Ils s’installent dans le canapé en laissant un place pour virginie entre eux virginie emmène la bouteille de champagne dans la cuisine.
Elle revient les mains vides et s’installe confortablement entre les garçons qui sont visiblement chauds.
Puis elle leur propose une coupe de champagne.
Ils acceptent et elle élève la voix pour dire : Esclave du champagne pour trois et vite.
Devant le visage incrédule des garçons la tigresse apparait habillée en soubrette avec les mains menottées dans le dos et un plateau de service collé à son ventre et soutenu par deux chainettes qui pendent depuis son cou.
Sur le plateau trois coupes sont installées.
Elle arrive devant le trio et se met à genou sans renverser les coupes.
Ils n’ont plus qu’à se servir. Virginie se sert la première.
Les garçons toujours stupéfaits tardent à réagir.
Vous n’avez jamais vu d’esclave sexuel demande innocemment virginie.
Non répondent t’ils en cœur.
Vous mériteriez d’être à sa place dit virginien je suis sûre que vous feriez de bon petit esclaves pour moi.
Ils ne savent plus où se mettre.
Servez-vous pendant que vous pouvez encore dit-elle.
Ils tendent les mains vers les coupes et se servent.
Ils trinquent tous les trois mais les regards des garçons sont monopolisés par la tigresse.
Vous voulez la voir à poil demande virginie. Ils la regardent ne sachant que dire. Alors déshabillez là dit-elle.
Ils hésitent puis se lancent et après avoir enlevé le plateau ils ôtent les quelques accessoires de soubrette que porte la tigresse.
Si vous voulez qu’elle vous fasse des choses déshabillez-vous dit virginie.
Les garçons hésitent puis entreprennent de des déshabiller. Une fois qu’ils sont nus virginie dit à la tigresse suce-moi ces queues qui n’attendent que toi.
La tigresse s’avance et prend en bouche le chibre le plus tendu.
Le garçon qui n’est pas sucé se tourne vers virginie.
Elle lui sourit et dit tourne toi que je te mette ça et elle montre une paire de menottes.
Très excité les gars se retourne et tend ses poignets.
Il est prestement menotté et virginie le retourne et prend son chibre avec la main.
Tu bandes bien dit-elle. C’est parce que tu es attaché peut être.
Le gars est rouge de confusion mais effectivement le fait d’être attaché à la merci de virginie le stimule violemment.
Viens avec moi dit elle et laissant l’autre gars profiter de la tigresse.
Elle emmène son prisonnier dans la chambre.
Là elle lui met un masqué aveuglant.
Il est toujours tendu. Elle le couche par terre sur le ventre et lui met des menottes aux chevilles quelle relie avec les menottes des poignets.
Il ne peut pas bouger les genoux plié et le chevilles touchant les poignets.
Tu ne peux pas faire grand-chose dit-elle à part me lécher les pieds et elle colle son pied à la bouche de l’homme.
Celui-ci lui embrasse alors frénétiquement le pied.
Virginie sent qu’elle va pouvoir faire des choses avec lui.
Apres quelques minutes elle désolidarise les cheviller des poignets et le force à se relever.
Elle l’emmène dans la salle à manger ou les trois couverts sont mis.
Elle le fait se glisser sous la table au niveau de la place qu’elle s’est réservée.
Attends-moi là. Lui dit-elle.
Puis elle va dans le salon ou le couple est assouvi. Lui est assis sur le canapé et elle à ses pieds.
Virginie dit à l’invite de venir à table en précisant que son ami ne dinera pas.
Il est étonné mais suit la maitresse de maison tandis que l’esclave va vers la cuisine pour servir.
Le repas est bon et les convives discutent de tout et de rien mais surtout de l’esclave de virginie.
L’homme demande des nouvelles de son ami à virginie sans se douter que ce dernier est sous la table et lèche consciencieusement les pieds de celle-ci. Elle lui répond qu’il se repose et qu’il passera la nuit ici.
Après le repas ils vont prendre le café dans le salon. Puis l’homme prend congé après un dernier regard vers la tigresse sagement installée à genou face à virginie.
Virginie va alors récupérer son prisonnier sous la table de la cuisine.
Celui-ci se remet à bander dès qu’il l’entend.
Elle s’assoit à table et le nourrit à la main.
Elle lui demande s’il veut du vin. Il acquiesce et elle se sert un verre et se penche pour l’embrasser.
Il s’aperçoit qu’elle a gardé le vin en bouche et lui transfère de bouche à bouche.
Il finit par prendre un copieux repas bien arrosé.
Elle décide alors de l’emmener au salon.
Elle lui a mis un collier et une laisse et elle le fait marcher à quatre pattes derrière elle.
Arrivés au salon elle s’assoit dans le canapé et lui tire la tête vers l’entrejambes.
Il ne se fait pas prier pour plonger la tête dans son sexe.
Bruno se demande ce qu’il fait à lécher comme ça le sexe de cette belle inconnue qu’il n’a vu qu’une fois.
Il n’arrive pas à comprendre comment le fait d’entre attaché et asservi comme ça le fait tant kiffer et bander comme jamais.
Elle lui caresse la tête comme si c’écatit un animal de compagnie. Et il ronronne de plaisir.
Après un bon moment elle le fait se relever.
Il commence à être tard.
Elle l’emmène dans sa chambre ou elle entreprend de l’attacher debout au baldaquin du lit.
Il est attaché en croix face au lit elle lui enlève le masque et il peut la voir.
Elle le contemple de la tête aux pieds.
Puis elle lui met un bâillon boule et lui souhaite une bonne nuit.
Elle fait venir la tigresse et se fait lécher par celle-ci.
Bruno est méchamment excité mais ne peut que regarder cette femme qui est en train de prendre son pied devant lui.
Puis virginie menotte la tigresse et la couche au pied de son lit.
Elle éteint la lumière. La position de Bruno est inconfortable. C’est sûr qu’il ne dormira pas mais il se demande combien de temps il pourra tenir.
Après une bonne heure il entend bouger virginie. Elle allume la lampe de chevet et le regarde avec un sourire carnassier.
Il ne bandait plus mais rien que de la voir une érection massive arrive en un tournemain.
Elle sourit encore plus et vient le palper avec les mains.
Il se tortille sous les rudes caresses qu’elle lui administre. Puis elle le détache et lui met juste des menottes dans le dos.
Elle le couche sur le ventre au milieu du lit et se recouche les jambes écartées à quelques centimètres de sa bouche.
Il la lèche. Elle jouit plusieurs fois et lui dit d’arrêter mais de rester en place. Ils s’endorment ensemble lui la bouche collée au sexe de virginie.
Il est réveillé par une caresse sur la tête que lui prodigue virginie.
Il entreprend alors de lui embrasser le sexe. Elle se laisse faire et bientôt ses gémissements montrent à Bruno qu’il est sur le bon chemin.
L’esclave s’est levée et est partie préparera le petit déjeuner de virginie.
Repue de sexe elle s’étire come une chatte et se lève. Elle prend la laisse et le traine derrière elle jusqu’à la cuisine. Elle s’installe à table et le fait mettre à genou à ses pieds.
Elle se fait servir par l’esclave et nourrit de temps en temps Bruno avec la main. Elle lui fera boire un café comme la veille de bouche à bouche.
Elle donne la laisse a l’esclave et lui glisse quelques mots.
Celle-ci emmène Bruno dans la salle de bains et le lave vigoureusement. Puis elle lui rase intégralement le torse et le sexe.
Une fois ceci fait elle le ramène dans le salon ou l’attend virginie. Il se sent plus nu sans poils et visiblement le résultat plait à virginie.
La matinée se passe à jouer au bon petit animal de compagnie qui doit faire au mieux pour satisfaire sa maitresse.
En fin de matinée virginie demande à l’esclave de sucer Bruno.
Ce qu’elle fait habilement et en quelques minutes il jouit enfin.
Alors qu’il débande un peu virginie s’approche de lui et lui met le sexe dans une cage de chasteté.
Tu vas pouvoir rentrer chez toi mais tu ne jouiras que si et quand j’ai envie.
Tu attendras que je t’appelle pour venir sans aucun retard.
Elle le détache.
Il se rhabille en ne sachant pas trop quoi faire et se retrouve dehors un peu abasourdi de ses dernières 24 heures.
Seule la cage de chasteté et l’impression bizarre d’être sans poil lui rappellent ce qui vient de se passer.
Bruno regarde son tph et s’aperçoit que son ami lui a envoyé plusieurs texto pour lui demander ce qui c’était passé pour qu’il ne vienne pas au repas la veille au soir.
Bruno le rassure en lui écrivant qu’il était trop crevé après avoir sauté la fille pour venir manger. Il n’a pas envie de dire exactement ce qui s’est passé.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chap 32 : Martine retrouve Maeva
Maintenant Maëva est devenue le jouet de Laurent.
Elle passe ses journées nue ou habillée de façon provocante selon les désirs de Laurent.
Elle dort au pied de son lit menottée et le réveille chaque matin par une fellation.
En fonction de sa bonne conduite elle est démenottée ou reste ainsi toute la journée.
Les amis de Laurent ont pris l’habitude de la voir ainsi et elle ne prête plus garde à leurs regards lubriques.
Ce jour-là cependant tell est surprise de voir arriver martine chez elle invitée par Laurent.
Cette dernière, désolée de ne plus avoir de nouvelles de sa copine s’en est ouverte à Laurent qui l’a invité à venir voir Maëva.
Martine qui était resté sur l’assurance d Maëva d’arriver à dominer Laurent est surprise en pénétrant dans la maison de ne pas voir sa copine.
Laurent dit à martine que Maëva finit un travail qu’il lui a donné et lui propose de la regarder faire.
Intriguée martine suit Laurent dans le salon.
Il l’invite à s’asseoir sur le sofa et allume une télé les images montrent la pièce « donjon « du sous-sol.
On y voit Maëva attachée les mains dans le dos avec une barre d’écartement elle est penchée en avant car les mains sont reliées à une chaine qui et accrochée au plafond.
Mais surtout elle est en train de pratiquer une fellation à un homme tandis qu’un deuxième la prend par derrière.
Martine ne sait pas quoi dire.
Laurent lui dit que les rêves de domination de Maëva sont loin derrière elle et qu’elle a compris qu’elle était beaucoup plus faite pour être dominée et qu’elle adorait cela.
Martine reste bouche bée.
Elle voit sur les images que Maëva semble prendre son pied.
Quelques minutes plus tard les deux hommes repus quittent la pièce. Laurent dit à martine qu’il va chercher Maëva.
Effectivement martine voit Laurent détacher Maëva et l’emmener hors de la pièce.
Un quart d’heure plus tard Laurent revient en tirant Maëva par une laisse accrochée à un collier.
Maeva est souriante et bondée dans un harnais en cuir noir ultra affolant.
Il lui ceinture tout le corps et elle n’a pas de sous-vêtements en dehors de deux petites clochettes accrochées aux seins.
Martine salue Maëva et Laurent indique à Maëva qu’elle a le droit de parler exceptionnellement.
Puis il les quitte.
Martine questionne Maëva.
Celle-ci répond qu’elle est enchantée de son sort.
Elle pensait être dominatrice mais elle a bien changé d’avis.
Elle préfère de loin être commandée par Laurent.
Elle a toujours eu le fantasme d’être exhibée et là elle est servie.
De plus Laurent lui fournit des partenaires sexuels autant qu’elle peut en recevoir.
En contrepartie elle doit obéir et être quasiment tout le temps nue ce qui la fait kiffer.
Martine se demande si elle doit être jalouse ou pas et en même temps elle imagine Anna et Vanessa avec le même harnais rouge pour l’une et noir pour l’autre.
Maeva lui demande si elle joue toujours avec Anna.
Martine répond que c’est terminé.
Maeva se mord la lèvre.
Elle lui raconte les soirées poker qu’organise Laurent.
Ça émoustille martine qui y participerait bien coté joueur ou coté service.
Puis Maëva parle du couple qu’ils viennent de rencontrer et qui a proposé à Laurent de les parrainer pour entrer dans un club très fermé de joueurs de poker « dominants ».
Martine est intriguée.
Maeva lui explique de quoi il s’agit et lui dit que Laurent cherche une partenaire car les admissions se font par couple.
Il faut un couple marié ou pas et deux esclaves qui sont partagés lors des soirées poker.
Martine est chauffée.
Elle qui en ce moment à une vie sexuelle proche du néant se voit bien avec Anna et Vanessa trainée derrière elle dans de telles soirées.
A ce moment Laurent revient.
Il dit à Maëva de se taire de se mettre à genou et il lui présente son sexe érigé qu’elle se met aussitôt à sucer comme si elle avait oublié la présence de martine.
Laurent demande à martine si Maëva lui a parlé du club.
Martine lui dit que oui mais qu’elle a rompu les ponts avec Anna.
Laurent fait une grimace.
Martine se lance quand même.
Ecoute je vais voir ce que je peux faire. Je ne te promets rien mais je vais y réfléchir et je te tiens au courant.
Laurent est ravi et laisse martine retrouver son chemin pour quitter la maison car Maëva continue sa fellation naturellement.
Une fois revenue chez elle martine ne sait pas que faire. Elle finit par se décider à reprendre contact avec Anna.
Anna est surprise de recevoir un texto de martine qui l’avait « larguée » quelque mois plus tôt.
Le texto dit « salut ma chérie. Si tu veux on peut recommencer mais il te sera demandé beaucoup plus. Je peux t’en parler chez moi. Samedi soir serait très bien Le tiroir t’attend. »
Anna est à la fois heureuse car elle regrette ce temps passé avec martine et intriguée. Que peut lui demander de plus martine.
Elle en parle à Vanessa qu’elle ne quitte plus désormais. Celle-ci est aussi intriguée et dit à Anna qu’elle a de la chance car martine est très sympa comme dominatrice.
Anna lui demande si elle veut entrer dans le jeu avec elle. Vanessa fini par consentir qu’elle est très alléchée.
Anna répond au texto. « Tu peux compter sur Vanessa et moi samedi soir pense à doubler le tiroir. »
Après tout ça ne coute rien d’écouter ce que propose martine.
Le samedi soir Anna et Vanessa se présentent à la maison de martine.
Comme Anna a toujours la clé elles entrent et regardent ce qui se trouve dans le tiroir de l’entrée.
Il y a effectivement deux tenues identiques.
Les deux filles jubilent.
Il y a deux harnais en cuir un noir et un rouge.
Deux baillons boules des menottes et deux anneaux de piercing avec une étiquette esclave de martine.
Deux colliers de cuir avec laisse complètent la panoplie.
Les filles se mettent en tenue et s’entradmirent elles trouvent que ça leur va super bien.
Comme elles font quasiment la même taille tout leur va.
Maintenant elles attendent que martine les invite à entrer.
Celle-ci les laisse mijoter pendant cinq minutes avant de les convier.
Elles entrent au plus grand bonheur de martine qui ne peut retenir un grand sourire.
Comme dominatrice elle n’a pas bien réussi.
Les deux jeunes femmes se précipitent vers elle et elle doit leur donner l’ordre de s’arrêter et de se mettre à genou avant qu’elles ne la télescopent.
Pendant une bonne heure martine joue avec les filles comme avec des poupées.
Elles sont très réactives.
Martine décide alors d’enlever les baillons.
Et ça devient vite torride.
Les filles redoublent d’ardeur pour l’embrasser et s’embrasser aussi.
Une fois les trois femmes repues martine parle alors de la suite.
Elle explique le topo aux filles, la soumission consentie et heureuse de Maëva les parties de poker chez Laurent et enfin le club privé de dominateurs.
Les filles sont perplexes mais bien excitées quand même.
Martine leur propose de commencer par une soirée poker chez Laurent pour voir.
Bien sûr elles seront certainement mises à contribution par les joueurs et la soirée ne sera pas de tout repos.
Les yeux des filles brillent elles topent là et malgré un peu d’appréhension sont prêtres à essayer des choses nouvelles.
La première soirée poker est annoncée.
Martine est invitée avec ses deux esclaves.
Laurent trépigne d’impatience de la connaitre.
Lorsque martine arrive il est ravi de voir que les filles sont splendides.
Il les amène dans la cuisine et elles sont rapidement habillées en soubrette. Aude n’étant pas là elles seront accompagnées de Gisèle qui leur expliquera par geste le travail.
Les deux filles font un effet bœuf lorsqu’elles pénètrent dans le salon poker. Les invités sont ravis de voir de la nouveauté et les deux filles sont excitées de se voir ainsi exhibées devant plein d’inconnus.
Lorsque Laurent les positionne à genou sur un gode mécanique il n’a pas besoin de lubrifiant. Les filles sont déjà chaudes et il en fait la remarque à martine qui est toute fière.
Une fois appelées pour servir les convives les filles s’en donnent à cœur joie et apprécient les caresses intimes qui leur sont faites lorsqu’elles passent à côté des joueurs hommes comme femmes.
Ensuite lors de la pose elles montrent que sans bâillon elles sont expertes pour satisfaire autant les hommes que les femmes.
Martine est fière de ses pouliches.
Laurent qui a bien essayé les deux filles est aux anges.
Elles sont belles, elles sont très obéissantes et se déplacent et sucent comme des reines. Martine est heureuse de leur avoir appris à se déplacer de façon provocante « involontaire ».
A la fin de la soirée l’accord est conclu.
Laurent et martine vont inviter les hôtes susceptibles de les faire entrer dans le club et Anna et Vanessa feront les esclaves.
Martine remarque alors qu’elle n’a pas vu Maëva de la soirée ni aux préparatifs ni pendant la partie.
Elle en fait la remarque à Laurent.
Celui-ci tout souriant lui répond que Maëva a fait une petite crise de jalousie envers les filles et qu’elle a été remise à sa place dans les WC.
Martine ne comprend pas tout.
Va dans les toilettes lui dit Laurent.
Tu en profiteras pour la libérer si tu veux.
Martine se rend dans les toilettes et là elle voit à côté des WC Maëva à genou les mains liées dans le dos un énorme gode en fonctionnement ainsi qu’un vibro masseur collé sur son clitoris.
Elle a un masque aveuglant et un écarteur de bouche.
Sa tête est bloquée dans un espèce de carcan et elle a la tête légèrement relevée.
A son cou pend un écriteau. Urinoir ou fellation j’accepte tout.
Martine comprend que pendant toute la soirée Maeva a attendu patiemment les bites qui venaient se faire sucer ou pisser voire les deux pour certains.
Elle se souviendra de cette soirée.
Amusée elle hésite à libérer Maëva. Puis finalement elle écarte les jambes et se fait brouter le minou par une Maëva incapable de voir qui profite de ses talents.
Maeva sera libérée bien plus tard dans la soirée.
Les hôtes VIP ont acceptés l’invitation.
Afin de les mettre à l’aise Laurent a limité le nombre d’invités.
Martine et les filles sont prêtes toutes excitées de voir qui sont ses inconnus pouvant leur permettre de rencontrer un monde nouveau.
Ce coup-ci les filles ne feront pas les soubrettes mais seront nues menottées dans le dos et se tiendront derrière martine et Laurent comme le veut le protocole tel que l’a expliqué le dénommé Victor.
Maeva revenue en grâce sera la soubrette avec Gisèle et Aude.
Lorsque les invités pénètrent dans le salon martine, Anna et Vanessa ont la surprise de reconnaitre morgane qui accompagne un black Barraqué.
Elles sont dubitatives car Morgane est un peu à l’origine de la brouille entre martine et les deux filles.
Morgane ne fait aucun signe montrant qu’elle les a reconnues.
Elle se tient de façon royale et d’elle comme du black émane une autorité incroyable.
Deux hommes se tiennent derrière eux ils sont en tenue comme les filles avec une cage de chasteté en plus.
Les salutations sont faites.
Victor regarde les filles avec de yeux de fauve.
Elles sont extrêmement impressionnées.
Morgane toise martine du regard mais reste à peu près courtoise.
La soirée avance.
Morgane et Victor essayent et testent la docilité et l’obéissance des filles.
Ces dernières jouent le jeu même si ça ne prend pas la direction qu’elle pensait.
Finalement Victor et morgane acceptent de parrainer Laurent et martine mais ils posent une condition préalable. Il faut que Laurent et martine leur prêtent les filles pendant un weekend.
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la vente aux enchères ne s’est pas bien passé pour cette salope ,elle n’a pas voulu montrer comme les autres esclaves
ses attributs en écartant ses fesses au plus prés du public ,dans les différents angles de l’estrade et bougeant son cul comme il se doit.
c’est avec brutalité que des hommes l’ont saisie .lui on fait ouvrir les jambes et baisser son torse pour mieux exhibe son cul .
ces maîtres ont écartés douloureusement ses fesses devant la foule excitée qui criait « son con! son con!" un des hommes prit les lèvres de sa
chatte pour les ouvrir complément pour plaire aux acheteurs ainsi ouverte, la première enchère commença 1000 euros puis 2000
après une description détaillée et très humiliante le prix arriva à 8000 euro, .
la maître des enchères détailla avec précision les atouts du produit.
« comme vous pouvez le voir cette salope est trempée c’est bien pour une esclave
elle doit avoir honte ,elle n’a pas voulu s’exhiber comme les autres ces attributs pour la vente ,visiblement le traitement humiliant
qu’elle vient de subir pour la présente la fait jouir malgré elle ».
« regarder sa jolie chatte impudique ouverte ses lèvres gorgées de plaisir sont très en volumes, elle a une moule de pute
dans ce trou vous pouvez lui mettre tous les gros objets que vous désirez elle en a l’habitude »
9000
« mater son trou du cul sombre et bien plissé ce sera certainement un plaisir de le dilater,
plusieurs d’entre vous on put lors de sa présentation mettre leurs mains dans son anus.
il est encore étroit mais je suis certain qu’après un bon travail dessus il sera plus accueillant
pour recevoir deux bites voir trois en même temps»
toujours 9000
« avec cette pute la gorge profonde est prometteur mais il lui faudra de l’entrainement intense »
dix mille .
10000
malgré quelques commentaires bien humiliants et dégradants sur le produit les enchères étaient closes
adjuger vendu à dix milles euros, c’est une bonne vente pour une esclave non dressée
les acheteurs sont un groupe d’hommes et de femmes qui avaient envie de se payer une bobo pour se venger
et se défouler sur une salope qui voulait connaître des sensations. il n’y rien de pire que la jalousie.
natacha allait connaître toutes les pervertissons sadiques .
elle qui pensa que tout cela ne serait qu’un plaisir d’une nuit .elle va vite avec horreur se rendre compte qu’elle devenu
une véritable esclave sexuelle pour le temps de sa formation.
elle n’a plus le choix elle est maintenant esclave objet sexuel sac à foutre
on lui pose une laisse au collier de son cou et elle fut amener par les nouveaux propriétaires j’usqu’au coffre d’un voiture pour
y être enferme le temps du voyage vers son lieux de formation
dessin réalisé au crayon graphite sur papier format 21 x29.7
pour en savoir plus sur natacha mon site de dessin érotique http://dessindenu.onlc.fr/
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J’attendais ce collier avec impatience. Maîtresse me l’avait choisi. Il est enfin arrivé et Elle a décidé de me le passer officiellement à l'occasion de ce « Munch and play » organisé dans la région. Cette officialisation devant témoins me plaisait beaucoup.
Ce Munch était aussi ma première sortie avec Maîtresse comme soumis officiel. Elle m'a imposé un dress code très féminisé avec bas, porte-jarretelles, robe, bottes à talons, perruque brune et boucles d’oreille. Maîtresse m’a mis mon ancien collier et me tenait en laisse dès que nous sortions de la voiture.
Récemment Maîtresse m’a lancé un défi de chasteté totale, je suis donc encagé et plugué.
Les dernières recommandations tombent avant d'accéder à ce Munch mais comme il est un peu tôt, Maîtresse en profite pour faire un petit tour en centre ville. J’appris plus tard qu’elle aurait bien fait un petit échauffement en extérieur, malheureusement le centre ville ne s’y prêtait pas et elle en fut probablement frustrée.
En bon soumis, je me tiens tête baisée en retrait de Maîtresse tout en évitant que la laisse soit tendue. Les passants sont assez nombreux à cette heure-ci. Je n’ai pas encore l’assurance pour soutenir leur regard mais finalement me regardent-ils vraiment ? J’admire Maîtresse, sa démarche droite, élégante et sa belle prestance.
Certes j'ai un peu honte mais au final, je suis heureux à ses pieds et puis Maîtresse semble tellement contente de guider son soumis à travers ces rues.
Maîtresse s’arrête devant une porte cochère. Je lui ouvre la porte. Elle me précède dans l'escalier. Sur le palier de l’étage, Maîtresse sonne. La porte s’ouvre promptement. Tête baissée, je dis «bonjour» assez maladroitement me semble-t-il tandis que Maîtresse engage une conversation guillerette.
Elle enchaîne immédiatement par les présentations aux invités déjà présents. Quelle fierté de I'entendre dire "Rnby, mon soumis".
Je reste là, silencieux, tête baissée, debout ou agenouillé selon sa volonté. L'appartement est bien équipé en points de fixation, croix de saint André, et autres. Notre hôte, dominant expérimenté, ne manque pas d'accessoires. Maîtresse avait déjà tout organiser pour que son jeune contact ici puisse prendre les photos de ma remise de collier.
L'émotion me submerge. Maîtresse me retire mon ancien collier et je lui présente mon nouveau à genoux, bras tendus au-dessus de ma tête comme elle m’a appris. Elle s'en saisit délicatement, l'ouvre et me le referme autour du cou. CLIC, c'est fait, je suis encore bien plus sa propriété. Je suis ému, au bord des larmes, admiratif en regardant Ma Maîtresse. Je la trouve resplendissante et me jure de la vénérée comme elle le mérite.
Nouveau clic avec la laisse, elle me tire au sol. Elle me possède tellement que mon corps suit naturellement. Talon sur mon torse, elle sollicite la résistance de mon collier qui malheureusement se détache trop facilement. Il est beau mais fragile. Maîtresse préfère s’attacher à la symbolique «Tu le porteras quand tu sortiras, il est discret».
C’est avec un collier plus solide que Maîtresse ma ramène à genoux contre le divan, quelques essais de cravaches me chauffent les fesses avant un petit repas canadien.
Un buffet est dressée au centre de la pièce avec les plats amenés par tous mais aussi avec les délicieux Sushi préparés par nos hôtes. Maîtresse me demande d’aller chercher ma gamelle et je peux ainsi manger à 4 pattes dans un coin du salon. Je m’imagine égoïstement que tous les yeux sont tournés vers moi. Mais non, quelle bêtise, dans cette ambiance mon comportement ne dénote pas puisqu’il est la volonté de ma Maîtresse. Je sais que je suis à ma place ici ou ailleurs.
Je mange naturellement et je lèche ma gamelle avec application.
Dès le repas terminé, c'est Maîtresse qui lance les premiers jeux et bien sûr vous devinez qui est son jouet.
Elle m’attache nu à un crochet qui tend mon corps, me passe un bâillon boule qui me fait baver d’emblée et me réduit au silence. Un bandeau sur les yeux ne tarde pas à me priver de la vue.
Maîtresse m'introduit un crochet anal et en profite pour me diriger en tirant dessus. J'essaye de me présenter du mieux que je peux pour recevoir ses supplices. Elle dispose de plusieurs fouets qu'elle manie aisément. Les sensations sont différentes pour chacun d’eux mais je ne vois pas leur forme.
Maîtresse m'annonce les impacts dos, dos, fesses délicatement avec le fouet puis les lanières s’abattent alors sur mon corps comme annoncées. D’autres séries suivent fesses, dos, fesses, dos, et bien d’autres encore. Maîtresse me réserve quelques surprises, ne suit pas les annonces, varie les coups pour me déstabiliser.
Ma peau se lacère de bleu, de rouge, se pare de traces géométriques propres à chaque fouet.
Maîtresse me souffle dans l’oreille «encore ?», j’acquiesce en hochant la tête et en gémissant un oui incompréhensible à travers le bâillon.
Les mains tendues sur ma laisse, je résiste. La douleur est forte surtout quand les coups sont répétés aux mêmes impacts.
Maîtresse me soulage en venant tendrement contre moi. Elle passe sa tête au-dessus de mon épaule et me souffle quelques mots «doux» comme «j’aime te fouetter ma salope», ou «tu es à moi» et bien d’autres. Sa tendresse me rassure, je retombe dans une sorte de sérénité.
Maîtresse marque de plus en plus mon corps. Elle le fait avec la dextérité et la fougue que je lui connais.
Je sens Maîtresse de plus en plus excitée, les fouets dansent entre ces doigts agiles, un puis deux simultanément. Les lanières virevoltes, sifflent à mes oreilles. Leurs extrémités effilées viennent meurtrir mon corps, tout à la fois cinglants et mordants.
Maîtresse s’emballe et les lanières s’abattent avec force et rapidité sur ma peau. Je gémis, tire sur mes attaches, je me tortille mais je suis bien obligé de reconnaître que Maîtresse a encore gagné. Des «pitié» étouffés s’échappent de ma gorge même si je désire intérieurement que les lanières continuent leur travail sur ma peau écarlate.
Bien sûr Maîtresse ignore mes premières supplications ; chaque fois elle repousse un peu plus mes limites. Les derniers coups me laissent pantelant au bout de mes attaches. Maîtresse me susurre à l’oreille qu’elle m’aurait bien baisé mais cela ne peut pas se faire ici. Elle prend soin de moi, réchauffe mon corps en détachant mes liens et mes bâillons. Je tombe à genoux épuisé mais fier d’avoir montré à Maîtresse que je mérite son collier. J’ai quartier libre pendant que Maîtresse s’entretient avec d’autres invités. J’en profite également pour faire connaissance et échanger sur les motivations de chacun. Deux couples s’encordent doucement. C’est élégant et le montagnard que je suis apprécie tout particulièrement l’élégance de ces entrelacements et de ces nœuds. Chaque personne a ses préférences mais l’on ne ressens que de l’admiration et jamais de jugement ou de jalousie, comme si chacun s’imprégnait du savoir de l’autre.
L’après-midi avance et il faudra bientôt quitter ce lieu de plaisir. Prêt à partir, Maîtresse jette son dévolue sur une invité un peu trop bavarde au goût d'un certain nombre de convives. Maîtresse est joueuse et ça l'embête de partir sans avoir attrapé quelqu'un, alors elle l'attire dans ses filets, exécute sur sa proie un shibari improvisé avec les cordes que lui a mis à disposition notre hôte. Rapidement, sans même que la femme s'en rende compte, les cordes l’entourent et la bâillonnent. Maîtresse décide alors de partir la laissant immobilisé et sans voix, ce qui fait rire tout le monde. Satisfaite, Maîtresse m'indique la sortie puis elle salue tout le monde d'un signe de la main et d'un large sourire. Je dis au revoir de loin,non sans un petit pincement au cœur.
Indiscutablement Maîtresse a apprécié et me le fait savoir. Je ne vois pas le retour passer. Maîtresse en profite pour sélectionner les meilleurs photos et me les envoyer. S’ensuit un petit débriefing où elle me félicite pour mon comportement et me signale aussi mes erreurs de débutants.
Finalement la passion l’a emportée sur le stress et je me suis senti à l’aise aux pieds de Maîtresse. Lui donner du plaisir est essentiel et ce ne sera probablement pas la dernière fois.
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