La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Hier, 16:52:30
Une Nuit Inoubliable : Une Soirée BDSM dans une Église Abandonnée L'obscurité s'était installée lorsque nous avons pénétré dans les vestiges de cette église abandonnée. L'air était chargé de mystère et d'anticipation, l'endroit parfait pour une soirée BDSM d'une intensité rare. Nous étions cinq : deux dominants et trois soumis, prêts à transformer cette nuit en une expérience inoubliable. Le Choix du Lieu L'idée d'organiser une telle soirée dans une église abandonnée pouvait paraître sacrilège pour certains, mais pour nous, c'était l'ultime provocation, l'ultime liberté. L'atmosphère gothique de l'endroit, ses vitraux cassés et ses bancs poussiéreux, créaient une scène presque théâtrale. Les ombres dansaient sous la lumière des bougies, donnant à notre réunion des allures de rituel satanique. Le Périple pour Arriver Le voyage pour atteindre l'église s'est révélé être une aventure en soi. Située dans une région isolée, l'accès n'était pas simple. Nous avons dû emprunter des chemins de terre tortueux et mal entretenus, ce qui a ajouté une dimension supplémentaire d'excitation et de défi à notre soirée. Chaque embûche rencontrée sur la route renforçait notre détermination à parvenir à destination. Les voitures chargées d'équipements, de costumes et de participants ont lentement progressé dans l'obscurité, les phares perçant à peine l'épaisse végétation environnante. Lorsque nous sommes enfin arrivés, le soulagement et l'anticipation se mêlaient, marquant le début d'une nuit mémorable. Un Rituel de Soumission La soirée a débuté par un cérémonial de soumission. Chaque soumis a été conduit à l'autel, où il devait s'agenouiller et prêter serment d'obéissance. Les paroles résonnaient dans l'espace vide, amplifiées par l'acoustique de l'église. L'énergie qui circulait entre nous était presque palpable, une connexion profonde et intense. Les Jeux de Pouvoir Les dominants ont pris leur rôle à cœur, explorant les limites de chaque soumis avec une précision et une attention aux détails fascinantes. Les murmures de douleur et de plaisir se mélangeaient, créant une symphonie unique. Chaque acte, chaque geste était imprégné de respect mutuel et de consentement, fondement essentiel de notre communauté. Le Dépassement de Soi Parmi les soumis, l'un d'eux, Alex, a vécu une expérience de dépassement de soi particulièrement marquante. Alex, habituellement réservé et prudente, a choisi cette nuit pour explorer ses limites plus profondément que jamais. Sous la supervision attentive d'un dominant, Alex a accepté des défis qu'elle n'aurait jamais envisagés auparavant. L'un des moments les plus intenses a été lorsqu'elle a été attaché aux colonnes de l'église, ses bras étendus, et soumis à un jeu de sensations extrêmes. La douleur se mêlait au plaisir dans une danse envoûtante, chaque coup de fouet devenant un pas de plus vers une libération intérieure. Malgré la douleur, Alex a trouvé une force nouvelle en elle, découvrant une capacité de résistance et de résilience qu'elle ignorait posséder. Ce moment de vulnérabilité extrême a transformé Alex, lui permettant de se reconnecter avec elle-même d'une manière profondément authentique. L'émotion était palpable lorsqu'elle a exprimé sa gratitude et sa reconnaissance, les larmes aux yeux, marquant ce moment comme un tournant majeur dans sa vie. Un Rituel de Libération Au fur et à mesure que la nuit avançait, nous avons atteint un état de transe collective. Les limites du physique et du mental étaient repoussées, et nous nous sommes trouvés dans un état de libération totale. La soumission et la domination n'étaient plus que des concepts, remplacés par une pure expression de soi. Une Expérience Transformative Lorsque l'aube a commencé à poindre, nous étions tous transformés par cette expérience. L'église, témoin silencieux de notre soirée, semblait imprégnée de notre énergie. Nous avons quitté les lieux, laissant derrière nous un espace marqué par des souvenirs indélébiles. Cette soirée BDSM dans une église abandonnée restera gravée dans nos mémoires comme un moment de pure connexion, de dépassement des limites, et de liberté absolue. Ce fut, sans aucun doute, une nuit où nous avons touché l'essence même de notre être, dans un cadre à la fois sacré et profane.
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Par : le 03/06/24
Vivre au quotidien la soumission à sa Reine : Liberty Jane et Castus l’ont fait et l’ont raconté (*), cela semble à la portée de tous les couples. Alors, mesdames Régentes et Amazones, pourquoi est-ce si difficile à vous trouver ? « Lorsque Madame était fâchée à mon encontre, elle m'imposait durant ce travail le port de pinces lestées accrochées aux tétons et aux testicules, dont le mouvement de va-et-vient amplifiait la morsure. La douleur atteignait rapidement un niveau proche de l'intolérable, mais l'épreuve qui consistait à les ôter à la fin de mon service était plus cruelle encore tant la souffrance provoquée par l'afflux du sang dans les parties meurtries était fulgurante. Mes tétons conservaient longtemps la trace de ce traitement. Madame avait noté avec satisfaction que, de même que mes testicules s'allongeaient au fil des séances de suspension, mes mamelons s'étiraient de manière définitive. Elle avait en effet des projets concernant le modelage de mon corps et ces modifications, selon elle, s'y prêteraient à merveille. Les besoins particuliers faisaient l'objet de demandes expresses de Madame, exprimées sous formes de directives verbales souvent accompagnées d'un reproche ou d'une sanction pour ne pas les avoir anticipées, de consignes écrites, ou de simples gestes. Le fait par exemple de laisser ses chaussures là où elle s'était déchaussée, ou d'en sortir une paire, signifiait que je devais les nettoyer et les cirer. Ma compagne étant perfectionniste, elle prenait souvent la peine de tracer au feutre sur mes fesses quelque inscription relative à ma condition ou à la tâche principale à laquelle devait être consacrée ma journée : « esclave », « bonniche », « salope », « castré », « cocu »... Ces mots étaient illustrés de dessins suggestifs de ma condition : cravache, martinet, sexe ficelé... Et ma maîtresse prenait soin de me cravacher régulièrement afin que les zébrures ressortent sur mes fesses. « Un jour, je te ferai marquer et tatouer de manière explicite afin de garantir ta condition d'esclave à vie, mais je n'ai pas encore choisi les mots et les dessins que je ferai graver sur ton cul » m'avait-elle promis. Pour la forme, j'exprimais au début une tentative de rébellion : « Aujourd'hui, on peut effacer les tatouages ». Madame gloussa. « Tu oublies que je ne possède pas seulement ton corps et ton âme, mais aussi tous tes biens matériels. Si je te répudie, soit je te céderai à une autre maîtresse et c'est elle qui décidera de l'avenir de ton cul, soit je t'abandonnerai dans la nature sans collier ni un radis, alors pour ce qui est de faire effacer tes tatouages ! Et je te rappelle que la sécu ne rembourse pas ce genre de facéties ». N'ayant rien à répondre, je m'emparais du cendrier pour aller le vider. Madame m'interpella comme je passais la porte : « tu n'oublies pas quelque chose ? » Je le regardais stupidement. Elle répondit à ma place : « Répondre à sa maîtresse sans raison valable : dix coups de cravache. Note la punition ». Comme je me dirigeais en silence vers la cuisine, Madame me coupa de nouveau dans mon élan : « et avoir omis de baiser les pieds de sa maîtresse avant de s'éloigner : dix coups supplémentaires. Note tout cela, ça servira de travaux pratiques pour mes élèves ». Je notais. » (*) Extrait du 1er tome des Odes à la Gynarchie, par Liberty Jane et Castus – Le Protocole Gynécocratique, confession d’un mari soumis - disponible en ligne
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