La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 02/02/18
:point_right:POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressés aux vidéos. Il y a quelques mois, le projet de vidéothèque a été lancé avec l'aide de membres du site qui ont accepté de participer : le résultat est ici : http://www.photos-videos.com — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR :point_right: D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. :point_right: COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu « dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » « la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » « dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. :point_right: QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. :point_right: QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Connectez-vous à http://videos.bdsm.fr puis identifiez-vous avec votre adresse e-mail de votre compte BDSM. Et c'est parti ! :point_right: UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 30/11/19
[Aux lecteurs de passage, je souhaite partager avec vous, et sur les conseil de mon Maître adoré, quelques brides de textes que je lui ai expédié. Une façon pour moi de lui rendre hommage ici] I - LE COLIS " Bonjour à vous Monsieur, Votre soumise swann, en mode agent secret ce midi, a pu enfin récupérer son coquin colis, sous le regard pantois des nombreux clients de ce bistrot de campagne, occupés à prendre l’apéritif à cet heure propice… S’ils savaient… Est-ce qu'un seul d'entre eux peut imaginer ce qui ce cache sous mes airs de mère de famille très sage ? Vous me connaissez assez pour savoir que je n’ai évidemment pas pu résister à l’envie d’ouvrir discrètement le petit carton sans plus attendre : un plug, une combinaison en vinyle et une cagoule de la même matière. Je suis donc repassée chez moi, sachant qu’il n’y avait personne… ce qui m’a permis de faire mes essayages très tranquillement. Quelle belle salope je suis ! Je suis fière et heureuse de porter la tenue que vous avez spécialement choisi pour moi. Je m'y sens à l'aise, prête à vous servir de la sorte. Le retour au travail fut assez étrange. La swann n’était pas très concentrée…totalement déconnectée même ! Je n’ai donc pas eu le temps de déjeuner ce midi, mais si mon estomac est vide, c’est mon cul que j’ai bien envie de remplir de mon nouveau jouet : le robebud noir. Il me fait terriblement envie… j’aimerais beaucoup l’essayer. Sa texture est juste démentielle, semblable a de la peau très douce. Sa forme et ses dimensions sont parfaites, telles que je les imaginais. Quand on l’agite, on peut sentir une lourde bille se mouvoir à l’intérieur…Je suis curieuse de savoir quelles sensations cela pourrait me procurer au plus profond de moi… Voilà un outil idéal que je ne vous remercierais jamais assez d’avoir choisi avec moi. Je rêve du jour où vous me baiserez avec ce plug en place entre mes fesses…" II - EXHIBITION INVOLONTAIRE "Savez-vous qu'hier, après ma journée de travail, et avant de me rendre à la salle de sport, je suis allée dans mon institut/spa habituel pour mes épilations ? J'aime mes douces séances de "torture" comme je les appelle... C'est la jeune Aurore qui s'occupe de ma petite toison... C'est une brune aux cheveux longs, douce, pulpeuse avec une belle poitrine opulente et des lèvres bien dessinées. Elle me fait écarter grand les jambes en toute indécence,  passe du talque sur mes petites lèvres puis l'étale doucement avec ses mains, frôlant mon clitoris au passage, avant d'appliquer la cire chaude. Quand elle se penche au dessus de moi, je peux parfois sentir ses seins lourds me frôler...c'est une sensation très agréable, qui me fait oublier la douleur quand elle tire sur chaque bande de cire. Le meilleure moment est à la fin, quand elle a terminé, elle applique une huile apaisante en me massant...c'est très sensuel. Après ma séance, je me suis rendue comme d'habitude au vestiaire pour prendre une douche...et là, au moment de déverrouiller et d'ouvrir la porte, j'entends un drôle de bruit au niveau de la poignée et le verrou qui tourne dans le vide. Bon, pas de panique, je me dis que j'ai du faire une fausse manipulation, je garde mon calme et tente d'ouvrir à nouveau...sans succès. J'appelle pour voir si quelqu'un peut m'aider, mais il est près de 19h et il n'y a plus personne dans les parages. Par chance, j'avais emporté mon téléphone avec moi dans l'idée de faire un petit selfie. J'ai donc téléphoné à l'accueil de l'institut. Je suis tombée sur le patron, H.. C'est un homme de 45/50 ans, de ma taille (1m75), un brun ténébreux, chemise blanche toujours impeccable. C'est une personne souriante, avenante et aussi un homme attirant, ce qui ne gâche rien. Il été désolé, voire gêné, de la situation et m'a dit qu'il restait en ligne avec moi pour ne pas que je me sente délaissée, ce que j'ai apprécié. J'ai plaisanté en lui disant que je n'étais pas claustrophobe. Il a été se munir de tourne-visses et je l'ai entendu bricoler au barillet pour le démonter. Cela a pris un certain temps quand même...en tous cas ça m'a semblé long. J'ai eu peur un instant qu'il ne réussisse pas à résoudre la situation ! Durant tout ce temps, il n'a cessé de me parler (il a un casque pour répondre au téléphone à l'accueil, ce qui lui laisse les mains libres) pour me rassurer et me dire où il en était et en faisant de l'humour pour détendre l'atmosphère. Quand il a enfin réussi à ouvrir la porte, il m'a trouvé planté devant lui, une serviette blanche enroulée autour de mon buste, jusqu'à mi-cuisses et j'ai vu un éclair de malice passer dans son regard, qui m'a scanné de haut en bas. Il s'attendait peut-être à me trouver habillée, mais je ne prends pas mes vêtements avec moi dans la cabine de douche pour ne pas les mouiller. Il a vu que son regard insistant ne me gênait pas du tout, que cela ne me déstabilisait pas et que je le regardais droit dans les yeux. J'avoue qu'à ce moment là, de lubriques envies de salope me sont soudainement passées par la tête. La situation aurait peut-être pu déraper... j'aime à le penser en tous cas ! Je l'ai remercié évidemment en l'appelant "mon sauveur" en plaisantant, avant d'aller me rhabiller. Au moment de régler en caisse, il m'a glissé un compliment sympa, ce qui m'a flatté. J'ai beaucoup pensé à mon Maître qui aurait été, je l'espère, fière de moi et de mon exhibition involontaire. Le patron m'a offert la prestation pour se faire pardonner de ce petit désagrément. Sympathique moment, non ?"  III - AU BUREAU "Ce matin au bureau, j'ai vécu un petit moment plutôt émoustillant que je souhaite partager avec vous Monsieur...  Cela concerne une de mes collègues, une jeune femme que je trouve très séduisante, toujours très féminine et apprêtée. Elle a un beau visage expressif, les traits fins, ce qui lui donne beaucoup d'élégance. Je me suis retrouvé avec elle dans le local de reprographie. Elle était en train de s'agacer avec la machine. Je l'ai évidemment aidé à faire ce qu'elle voulait en bonne collègue sympa que je suis ! Puis tout à coup, sans que je m'y attende, elle à relevé sa robe jusqu'en haut de sa cuisse droite, en soulevant son pied du sol et tendant la jambe, m'interpellant avec un grand sourire :  -"As-tu vu mes nouveaux collants, ils sont beaux hein ?". Elle m'avait littéralement scotché et bien évidemment mes yeux se sont posés là où elle le souhaitait. Elle m'a donné a observer des collants opaques noirs jusqu'à mi-cuisse et plus haut la matière est différente, en voile fin, ce qui fait un effet de bas en trompe l’œil tout à fait réussi !  Je lui ai dit, en répondant à son sourire, que c'était très sexy et vraiment très joli, qu'elle le portait très bien. D'un petit air coquin elle me lance - "oui, tu as vu ça comme c'est sexy, j'adore !"...et ensuite elle m'a expliqué où elle les avaient eu et à quel prix. Voilà qui égayé ma journée ! Pour autant je pense qu'il ne faut pas y voir là autre chose qu'une femme naïve aux gestes innocents. Elle devait être vraiment fière de son acquisition voilà tout. C'est mon esprit mal placé qui a tendance à voir la malice là où il n'y en a pas... quoique... sourires…" J'embrasse mon convoité Maître comme il se doit Votre dévouée swann [photos perso]
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Par : le 25/03/20
On lui rappela, mais il lui paraissait peu probable qu’elle sût, en toute connaissance de cause, à quoi elle s'était engagée; lorsqu’elle l’aurait compris, il serait trop tard pour qu’elle échappât; après une route interminable, Juliette arrêta la voiture devant un portail austère où un homme nous attendait; le temps de reprimer son angoisse, Charlotte se retrouva les yeux bandés; elle portait une robe droite noire, avec une fente arrière arrivant jusqu'à mi-cuisse; en dessous, un corset rigide rehaussait ses seins, révélant les aréoles, et la naissance des pointes, en faisant saillir le ventre, des bas fins et noirs tenus par un porte-jarretelles; elle était chaussée de talons hauts; sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le dos. Le temps de réprimer son angoisse, une poigne énergique et brutale enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce qu'elle imagina minuscule, sorte d'antichambre où elle attendit un long moment; nous fûmes conduites dans un petit salon; je me glissai derrière elle, et soulevai sa chevelure, en faisant glisser la fermeture éclair de sa robe, de la nuque, jusqu'au bas du dos, le vêtement tombait à ses pieds, tandis que je dégraffai ses bas en les faisant glisser le long de ses jambes. Le serre-taille rejoignit le reste de sa parure à ses chevilles, dénudant totalement Charlotte; elle conservait, fixée au centre de ses reins par trois chaînettes d'or tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, un bijou imitant un sexe dressé, destiné à distendre le cercle de chair, et à rendre encore plus aisé l'usage de cette voie; jugée trop étroite, pour la prêter, sa Maîtresse avait cru bon de l'élargir afin qu'elle fut doublement ouverte; ainsi forcée, elle en portait un chaque jour plus épais. Une présence se manifesta soudain l'arrachant de sa torpeur; on la poussa pour descendre les marches d'un escalier tortueux; l'odeur de la terre humide emplissait ses narines; au bas de l'escalier, se trouvait une cave avec son odeur caractéristique de moisissure; une véritable cave comme une esclave doit l'aimer; on retira la ceinture de cuir et on la fit asseoir sur une chaise en bois hérissée d'un volumineux godemichet de sorte qu'il la pénétre profondément entre ses reins. Empalée dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient l'odeur des anciennes prisons, on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche; elle ne fut pas fouettée tout de suite; les seins et la bouche offerts, dans cette froide pénombre où ne pénétrait aucun bruit, tremblant de froid, elle ne vit jamais les deux hommes qui entraient ni la jeune fille soumise. Quelqu'un l'appela "Numéro 2" et s'adressa à elle en la traitant de "sac à foutre"; Charlotte apprit qu'elle était là pour servir de réceptacle à la semence des Maîtres, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans jamais protester ni même trahir une quelconque émotion; c'était une femme ravalée au rang d'objet muet et servile; un homme s'approcha de la chaise; Charlotte devina qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles. On la porta sur une table où elle fut allongée sur le dos et solidement ligotée; elle attendit quelques minutes dans la position infamante de l'esclave offerte et consentante; les hommes s'approchèrent d'elle et brusquement elle sentit des dizaines de doigts la palper, la fouiller, la dilater avant que les sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer; elle fut malmenée, saccagée, sodomisée; mais un Maître interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce. Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse; lorsque le mamelon fut bien excité, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt, la seconde dans le mamelon du sein qui n'avait pas été caressé et qui réagit par conséquent de toute autre façon; d'autres aiguilles furent plantées, tout autour des aréoles, faisant perler quelques gouttes de sang, puis il transperça la peau endolorie des grandes lèvres. L'homme força sa bouche alors que les lèvres osaient à peine effleurer la pointe du sexe, protégé encore par sa gaine de douce chair; Juliette admirait les mouvement de la bouche refermée et resserrée sur le membre qu'elle avait saisi, et le long duquel elle montait et descendait, le visage défait de larmes chaque fois que le sexe gonflé la frappait jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et lui arrachant une nausée; elle le reçut avec soulagement comme une offrande. L'homme, penché au dessus d'elle, tenait à la main une bougie; d'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina, la cire brûlante perla sur sa peau en cloques blanchâtres; l'idée d'être brulée vive la terrorisait; son martyre devenait malgré elle délicieux; elle perdait la notion du temps et de la douleur; soudain des coups de fouet la cinglèrent avec une violence terrifiante; elle compris que les cinglements étaient destinés à faire éclater les croûtes de cire qui constellaient son ventre et ses seins. On détacha Charlotte de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que le temps de préparer l'épreuve suivante; on lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes au murs de pierre et on emprisonna ses poignets dans des bracelets d'argent pendus que l'on écarta en croix, comme les cuisses; elle était ainsi offerte dans cette position humiliante, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique. Les seins et le ventre offerts, et le lugubre silence; rien qui lui était d'autant de secours que le silence et les chaînes; se lassait-elle ? Non; à force d'être outragée, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux outrages, sinon au fouet à force d'être fouettée; on lui ôta la cagoule; Charlotte parut fascinée par la noblesse des lieux; c'était une cave voûtée splendide, aux murs de pierres apparentes; des cierges ornaient chacun des angles dont les flammes tremblaient sur l'or des pierres. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres cinglements plus agressifs; l'homme passa rapidement à la cravache; elle en reconnut la morsure particulière; on la flagella avec une rigueur impitoyable, si bien que le ventre et le devant des cuisses avaient leur part autant que les seins; l'homme voulait entendre Charlotte hurler au plus vite; il écouta ses gémissements devenir des cris. Pendue aux bracelets qui lui sciaient les poignets, écartelée à en sentir les jointures de ses cuisses endolories, elle ne pouvait faire un mouvement, ni tourner la tête pour voir la jeune soumise; "Numéro 2" s'approcha de Charlotte; après un moment, on retira la cagoule qui l'aveuglait; elle aperçu la jeune fille, à peine plus âgée qu'elle; elle avait un corps parfait et un visage délicat; un homme lui murmura à l'oreille qu'elle devait se servir d'elle comme bon lui semblerait. Flattée, "Numéro 2" entendait amener Charlotte à merci; elle commença par lui caresser l'intérieur des cuisses; la jeune soumise semblait sûre d'elle, faisant preuve d'une tranquille détermination; elle ne ressemblait plus en rien à une esclave sinon sa nudité; au contraire, elle avait le port du visage fier; aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Charlotte gémit. "Numéro 2" passait de la droite à la gauche, s'arrêtait, reprenait; la suppliciée se débattait de toutes ses forces. Charlotte crut que les liens la déchireraient; elle ne voulait pas supplier; qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, elle n'en avait jamais douté, mais elle pensait que la jeune soumise cherchait moins à manifester son autorité qu'à établir une complicité; de fait,"Numéro 2" arrêta la flagellation pour s'amuser avec son sexe, écarter les chairs, agacer le clitoris, et la pénétrer avec le manche de la cravache; enfin, elle fit le tour du corps écartelé et détacha Charlotte épuisée. Souillée de sperme et de sueur, Juliette décida qu'elle devait être reconduite au premier étage pour qu'elle fût douchée; après une minutieuse toilette, elle lui ordonna d'uriner à même le sol dans une coupelle, de renifler son urine et de la boire; bouleversée par cette épreuve, au bord des larmes, mais n'osant se rebeller, elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas, elle se mit à laper le liquide tiède et clair et à l'avaler, prenant soin de ne laisser aucune goutte, sans être comblée de honte. Elle fut conduite dans la chambre qu'elle devait occuper, où nue et attachée, elle s'endormit. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/05/22
Il y a parfois des moments forts qui marquent un tournant dans une vie, voire qui peuvent être perçus comme fondateurs. En voici un qui a posé un jalon dans ma propre histoire et dans celle de la relation qui nous unit avec ma Maîtresse Messaline. En quelques mots, la conséquence de cette aventure a été qu'une petite croix a changé de case dans mon profil, passant de bi-curieux à bi. En détails, cette expérience est la suivante... Ma Maîtresse et moi avions rendez-vous de longue date, pour nous retrouver vers midi en centre-ville afin de partager un repas et passer l'après-midi ensemble. J'avais choisi le restaurant, dépaysant et sans prétention mais qui me tenait particulièrement à cœur. Quant au reste du programme, il me restait mystérieux. Je savais juste que nous quitterions le centre-ville dans le courant de l'après-midi. Ma Maîtresse tenait à conserver la surprise intacte, et moi, tout confiant en elle, je n'ai besoin de ne rien savoir de plus que ce qu'elle estime bon de me communiquer spontanément. Les retrouvailles furent pour moi mêlées du plaisir de revoir ma Maîtresse et de cette puissante sensation d'être à ma place près d'elle, à l'occasion rare de cette sortie en public. Une fois installés à table, elle me commanda de passer aux toilettes mettre mon collier, recouvert d'un foulard. Le repas se passa en discussions en tous genres. Nos deux voisines, proches mais derrière un petit écran de plexiglas (gestes barrière obligent), entendaient-elles nos échanges et mes phrases ponctuées régulièrement de mes précieux "Maîtresse" ? Peut-être bien... Vers la fin du repas, ma Maîtresse me tendit une petite boule de tissu blanc et me dit d'aller le mettre aux toilettes. C'était une culotte de dentelle blanche. Je ne portais rien sous mon pantalon, donc je l'enfilai sans tarder. Je ne voulais rien anticiper, aussi je n'ai pas cherché à imaginer ce que le port de cette tenue virginale pouvait signifier aux yeux de ma Maîtresse...  Sortis du restaurant, nous achetâmes un petit présent pour notre hôte (il y aurait donc un hôte dans l'affaire...) et nous quittâmes la ville en voiture. Ma Maîtresse m'avait confié le volant pour la route et je n'avais qu'à suivre le GPS pendant qu'elle arrangeait certaines affaires sur son téléphone. Ma conduite d'ordinaire prudente et modérée (et c'est un euphémisme !) prenait un virage plus ératique... Intérieurement je commençais à m'interroger sur le but de notre virée et je gagnais en fébrilité. Notre destination, un centre-ville d'une petite commune, écartait certaines hypothèses que j'avais pu avoir mais que j'avais remisées dans un coin de ma tête. Elles s'invitaient à nouveau en moi en profitant de mon moment d'interrogation. Mais nous arrivâmes à destination. Je me garai sur une petite place d'où il n'y aurait qu'une ou deux minutes de marche ensuite. Une fois sorti et debout au bras de ma Maîtresse, tout devenait à nouveau simple et limpide en moi : en avant ! Nous trouvâmes la petite maison dans une rue très calme... Devant la porte, ma Maîtresse s'adressa à moi : " Tu vas mettre cela tout de suite et tu ne l'enleveras qu'une fois ressorti." Et alliant le geste à la parole, elle dégaina de son sac une cagoule noire intégrant un épais bandeau pour les yeux. Je l'enfilai rapidement en baissant un peu la tête pour ne pas choquer les éventuels voisins curieux. Maîtresse ouvrit la porte et je la suivis en aveugle, accroché à son bras. Ainsi donc je ne verrais rien de ce qui allait suivre... Après quelques pas guidés, un homme à la petite voix chantante nous accueillit, et Maîtresse et lui échangèrent quelques mots cordiaux : ils se connaissaient et avaient visiblement bien préparé notre rencontre. Je fus mis assis un instant sur un canapé, puis déplacé dans la salle de bains où Maîtresse m'aida à me dévêtir toujours sans rien voir, jusqu'à ne garder plus que la petite culotte de dentelle blanche. Maîtresse me ramena sur le canapé dans cette tenue virginale. Elle me demanda de sortir divers matériels de mon sac, ce que je fis à tâtons et plutôt efficacement, y compris pour assembler le gode ceinture (une scène de Full metal jacket me revint d'ailleurs en mémoire, où il est montré qu'un bon marine peut assembler son fusil les yeux bandés. En l'espèce, il s'agissait ici de tirer autrement, bien plus pacifiquement...). Pendant ce temps, j'entendais que les esprits et les corps commençaient à s'échauffer près de moi. Cela ne dura pas longtemps car on me fit me lever et, toujours guidé par ma Maîtresse, je marchais quelques pas, descendis un petit escalier et entrai dans la chambre chaude et parfumée. Un grand lit semblait occuper tout l'espace. Ma Maîtresse me demanda de me mettre en position au milieu du lit, c'est-à-dire à quatre pattes et croupe tendue. Maîtresse et notre hôte commencèrent à jouer sur le lit également, sur mon côté gauche, tout prêt de moi. Je les entendais pendant que Monsieur offrait à ma Maîtresse quelques plaisirs de sa bouche. Je les sentais bouger sur le lit, et je commençais à bouillir, mais sans oser bouger. Il me semblait, à l'écouter, que ma Maîtresse surjouait légèrement, pour stimuler son partenaire ou pour m'accrocher moi. Au bout de quelques instants, je murmurai tout bas à son adresse : "Maîtresse, je suis jaloux...".  Oui, je ne supportais pas que l'on touche à ma Maîtresse sans avoir la possibilité de le faire également. C'est une chose qui s'est confirmée par la suite. Maîtresse m'a alors laissé accéder à sa poitrine, à laquelle je m'accrochais dans une belle contorsion sans pour autant bouger de ma position et de ses quatre appuis solides. Après quelques instants de cette belle mise en bouche, Maîtresse et Monsieur bougèrent dans un geste coordonné, l'une pour se placer à ma droite, près de ma tête, l'autre pour s'asseoir jambes écartées face à moi. Je sentais les choses se préciser... Puis ma Maîtresse guida ma tête vers l'avant. Le sexe de Monsieur, au premier contact, toucha mon visage, et au second vint trouver ma bouche. Je l'ouvris spontanément et j'accueillis notre hôte dans ma bouche. Il y eut en moi une fraction de seconde de chamboulement, puis la certitude absolue d'être enfin là où j'avais si hâte et naturellement besoin de me trouver. Le gland doux et moelleux sur ma langue, la hampe glissante sur mes lèvres... Toutes ces choses nouvelles m'apparaissaient si familières qu'elles devaient dormir en moi, jusqu'à attendre ce jour de réveil. Alors je ne réfléchis plus et je me mis à sucer avec un appétit et une fougue témoignant de la longueur de cette attente. Toute la puissance de ma soumission trouvait en cette poignée de centimètres dressés un nouvel objet auquel témoigner de ma dévotion. Maîtresse et Monsieur commentèrent gentiment cette scène, me félicitant pour l'une et m'encourageant pour l'autre. Puis, voyant les choses bien engagées, Maîtresse s'équipa de son gode ceinture, se plaça derrière moi et retira la culotte virginale. Quelques secondes plus tard, j'étais pris dans un délicieux sandwich entre ma croupe dressée et investiguée d'un côté, et ma bouche dévorant Monsieur de l'autre. Puis les rôles s'inversèrent lorsque Maîtresse et Monsieur échangèrent leur place. Honorant ma Maîtresse, j'accueillis Monsieur en moi et subis ses assauts virils mais bienveillants. Cette fois, plus de doute : mon baptême du feu était officiellement consommé. Quant à la suite des jeux, sans rentrer dans tous les détails de ce qui se passa, soulignons-en simplement quelques moments mémorables. Ma Maîtresse qui, alors que je devais me positionner sur Monsieur allongé, le guida en moi. Je pris ce geste pour une offrande de sa part, un symbole de son pur désintérêt, et je compris alors toute la générosité qui débordait naturellement d'elle. Ce moment où, souhaitant quitter la pièce pour aller boire dans la pièce voisine, nous nous retrouvâmes tous trois debout au bord du lit, moi au milieu, et où notre soif de caresses a rapproché à nouveau nos corps. Une main pour Monsieur derrière moi, et une autre pour ma Maîtresse face à moi. Et ce jusqu'à être à nouveau enflammés et devoir replonger ensemble sur le lit. Tous ces petits instants où ma Maîtresse murmura quelques consignes qu'aussitôt j'exécutais, stoppant ce que je pratiquais alors et goûtant ce plaisir de l'obéissance renouvellée. Les mots de compliments adressés à ma Maîtresse au sujet de son soumis, et qui m'emplissaient de fierté et de désir de mieux faire encore. Et ce final merveilleux où, en à peine quelques secondes d'intervalle, Monsieur jouit en moi par derrière et Maîtresse sous ma bouche. Quelle apothéose pour un soumis... Le temps passa vite, et l'heure de fin de notre aventure approcha. Maîtresse me guida alors jusqu'à la salle de bain pour nous doucher. Je commençais alors à ressentir ce que je ressens parfois, mais heureusement rarement : un feu intérieur dans mon ventre assoiffé de plaisir, qui se contracte et cherche ce qui lui manque en lui. Un sentiment qui devenait très désagréable voire douloureux. Je dus me poser un instant sur les toilettes, pour laisser passer le plus dur de cette crise. Puis ma Maîtresse me guida sous la douche. La cagoule glissa un bref instant et j'aperçus malgré moi un coin de lavabo.  Une fois propres tous les deux, Maîtresse me ramena jusqu'au canapé, où je pus me rhabiller à l'aveugle, boire un verre d'eau puis ranger mes affaires. Mon ventre se calmait progressivement. Notre hôte se montra à nouveau très courtois, jusqu'à notre départ qui s'en suivit rapidement. Je remerciais alors Monsieur, puis Maîtresse m'emmena vers la porte. Je dus, par discrétion, ôter ma cagoule avant de la franchir. Et sur cette première et dernière vue du couloir d'entrée de la maison, nous sortîmes dans la rue calme. Sur le court chemin vers la voiture, je m'accrochais à ma Maîtresse, heureux et fier de la voir à mes côtés. Nous nous installâmes dans la voiture, Maîtresse au volant, puis nous démarrâmes.  A peine en route, Maîtresse m'annonça une nouvelle délicate, qui nous chamboula tous les deux. A peine sortis de notre moment magique, les montagnes russes nous emmenèrent dans un creux imprévu. Maîtresse, courageuse, avait choisi de ne pas m'en parler plus tôt pour ne pas compromettre notre rencontre de l'après-midi.  Finalement, les discussions durant le temps du retour nous permirent de faire retomber la pression. Un peu avant l'arrivée, je demandai à Maîtresse s'il était possible de s'arrêter un instant dans un endroit tranquille, pour nous retrouver tous deux posément. Nous nous arrêtâmes dans une aire tranquille et nous prîmes le temps de refermer notre bulle, ouverte le temps de la rencontre, et de passer sur cette nouvelle pour repartir de l'avant. S'en suivirent le retour et la séparation, jusqu'à la prochaine aventure... Avec le recul, que retenir de cet après-midi ?  Le réveil d'une part endormie en moi, qui s'est poursuivi depuis et trouve encore à se prolonger.  La rencontre masquée d'un hôte remarquable. Les trésors de bienveillance de ma Maîtresse qui me font constamment sentir combien je peux avoir confiance en elle.  Et la joie intense de découvrir à ses côtés.
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Par : le 08/02/21
Tu es il, tu es elle, tu es... Tu es prêt.e et tu attends, en position de soumission à quelques mètres de moi, à genoux et recroquevillé.e sur toi-même, j’aime te voir ainsi entrer en toi ! Tu attends que je t’appelle. Tu sais que l’attente est importante, le temps d'oublier tout ce qui t’entoure, de te connecter à toi, d’augmenter ton niveau de perception, de te concentrer avec un mélange d’appréhension et de désir pour un voyage au bout de toi… Je t’ai demandé de te préparer, totalement nu.e ou en tenue selon mon souhait. Tu attends, tu es prêt.e, ton désir pour moi est très vif ! C’est aussi ton désir d’abandon, de te déposséder de ton corps ; tu relâches tout contrôle, tu choisis de me le céder ! J’aime prendre le temps, le plaisir de te regarder, de concevoir ce qui va suivre, le plaisir de la maîtrise ; le temps d’éveiller tous mes sens, de monter en vibration… Je t’appelle ! A genoux devant moi, tu me découvres, apprêtée, assise sur mon fauteuil, dégustant encore le Cognac que tu m’avais servi ; sereine, concentrée, souriante ! Tu plonges dans mon regard intense, tu t'y ancres, scellant ainsi notre confiance absolue ! Notre complicité affective est évidente, tu sais que je t’aime ! Je saisis mon collier, tu sais ce qu’il symbolise, je n’ai nullement besoin de contrat, juste ta confiance dans le fait que je respecte infiniment ton consentement. " Consentez-vous à vous soumettre à moi, J ? " " Oui, Madame ! " Tu t'inclines, je te ceins de mon collier, ce seing suffit ! Tu aimes ce moment, très intense, un moment de communion, tu reprends mon regard, un moment puis je pose ta tête sur mes genoux, je te caresse longuement pour mieux te sentir. Tu aimerais plus, tes mains, tes lèvres espèrent, tremblantes… Tu sais que la frustration est éminemment motrice de ton désir ! " Êtes vous prêt.e, J ? " " Oh oui, Madame ! " Je me lève, j’entreprends de te préparer ! Laisse, contraintes, poids, cagoule, bandeau, casque audio… J'aime te priver de tes sens, t’amener à te perdre pour mieux te retrouver ! Puis, je t'attache ! Ainsi aveuglé.e, assourdi.e, contraint.e, tu t'abandonnes à moi ! De mon côté, l'intention bienveillante pure, le don ; du tien, la perception basique, l'accueil. Ta peau reçoit les caresses cinglantes et brûlantes de ma main d'abord, de divers instruments, ensuite ! Certains brouillant les pistes de ta perception ! Multiples douleurs, sources de plaisir ! Par moment, je viens ressentir ton corps, le caresser pour l'apaiser, me poser un peu, t'envelopper, te laisser sentir mes seins se poser sur toi… Tu aimes ce contact, ton excitation monte encore ! J'ajoute alors un objet vibrant ! Et je reprends, en variant les modes ; prendre totalement possession de toi ! Tu es submergé.e de sensations, tu ressens ton corps, devenu sensible, plus fort ! Tu éprouves un plaisir si intense à recevoir encore, à sentir ton corps endolori vivre plus ! Tu aimerais te détacher, me toucher, tes lèvres appellent à me sentir ! Je leur donne alors un peu ou plus de moi ! " Pas encore, J ! " Je reprends encore ! J'ai envie de plus ! Mes sens sont exacerbés ! Mais je maîtrise ! J’ai envie de t'emmener plus loin encore ! Jusqu’à la fusion de nos transes... J'arrête ! Je te détache, je te fais asseoir. Tu es perdu.e dans tes sensations, je te regarde un moment puis je décide de te rendre tes sens, la vue, l’ouïe, de te délester de tes poids, de tes chaînes... Tu ouvres doucement les yeux, tu me regardes, vibrant.e d’émotions, ton visage rougi, sensible. " Comment vous sentez-vous, J ? " " Je suis bien dans Votre nuage… merci Madame… " J'ai envie de te sentir, je t'enlace, te caressant pour apaiser ta peau marquée, tu sens mon souffle sur ton cou, ton dos, tu es si bien ! Je t'allonge sur le tapis, je te couvre pour te laisser doucement descendre de mon nuage… Le temps de reprendre possession de ton corps. J'aime te regarder ainsi libéré.e, les yeux fermés, voir les émotions passer sur ton visage… J'éprouve un plaisir très profond à te donner ainsi, à te faire voyager en toi ! Je suis très émue ! Après un moment, tu reviens, le sourire aux lèvres, le visage illuminé, tu as envie de me servir ! Tu me proposes quelques mets à goûter avec un bon cru à déguster, j'ai envie de te les partager ! J'ai envie de discuter avec toi de tes sensations, tu sais qu'il est très important de débriefer, sur le moment mais surtout avec le recul. De parler aussi de la vie, de ce qui nous émeut, de ce qui nous fait vibrer ! J'aime ces moments de complicité qui enrichissent notre relation ! Curieux paradoxe, c'est bien en lâchant toute prise, en m'abandonnant ton corps, en me cédant son contrôle, que tu le sens vivre plus fort ! Dalia
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Par : le 09/06/23
Tout avait débuté un mois auparavant. J’avais répondu à une petite annonce sur un site de rencontre Gay/Bi. Cette annonce spécifiait que deux Maitres cherchaient un Soumis pour des jeux « anales » J’avais répondu à cette annonce avec enthousiasme, moi-même étant amateur de dilatation anale depuis de nombreuses années. En effet j’avais dans mes habitudes de régulièrement me fouiller le trou, tantôt avec mes doigts, tantôt avec mes godes et plug XXL. J’avoue que depuis que je m’expérimentais ces jeux, j’avais atteint une  certaine dextérité dans ce domaine.   J’avais eu un retour assez rapide et nous avions pu échanger et poser une confiance mutuelle. J’avais donc appris durant nos échanges, que ces deux Maitres voulaient s’offrir un Soumis en totale liberté parsemée d’humiliation et d’exhibition. Nous avions effectivement parlé de plaisir anal, de fouille anale et godage en tout genre. J’avais exclue d’emblée toute violence. La thématique de ce rendez-vous était posée (enfin je le croyais).   Le jour J était donc arrivé et une soirée mystérieuse allait s’offrir à moi.   On m’avait demandé de venir comme j’étais, la seule chose qu’on m’avait demandé c’était d’avoir le « cul propre ».   Je roulais donc en direction d’une petite résidence de petites maisons fleuries, je cherchais une place et me garait. Avant de descendre de voiture mon cœur s’emballait, j’étais excité et assez rassuré des échanges que nous avions eus. Je n’avais rien à craindre. Les limites étaient posées. Je me dirigeais maintenant vers cette maison, une porte allait s’ouvrir.   Petit coup de sonnette, un Maitre ouvrit la porte d’entrée, en s’y plaçant derrière me laissant entrer dans un petit hall d’entrée. Pas le temps de me retourner, il m’invita à rester dos à lui et m’enfila une cagoule opaque sur la tête.   Il avait une voix rassurante : « Nous allons nous occuper de toi, ne crains rien »   Je me laissais guider, pris par le bras, ils m'installèrent sur un canapé.   « Bonjour petit Soumis, tes deux Maîtres sont devant toi » « Nous allons te guider et profiter de ton corps »   On me prit par le bras de nouveau et on me demanda de me mettre debout.  Je m’exécutai.   « Nous allons te mettre nu » Ainsi quatres mains commençaient à me déshabiller sans précipitation. Je sentais des mains me caresser, me peloter. Ma queue et mes couilles n’étaient pas épargnées. Des mains écartaient mes fesses pour exhiber mon trou rose.   « Joli tout ça, nous allons te préparer »   On me demanda alors de lever les bras et je sentis une enveloppe agréable se positionner autour de moi.   À l’évidence, ils venaient de m’habiller avec un corset autour du torse.   « Ce n’est pas fini »   Je sentis alors une main prendre mes couilles.   « Tu connais le ballstretcher ? »   J’avais déjà entendu ce mot et par curiosité parcouru les pages du Net pour découvrir cet objet.   Je sentais le froid du métal enserrer mes couilles, au bout de quelques secondes, l’objet était en place. Mes couilles étaient lourdes, gonflées, c’était agréable.   « Nous allons t’installer »   J’étais maintenant soutenu de chaque côté par un Maître, on m’installa d’abord sur le dos, puis on m’installa en position gynéco et on me ligota les jambes.   J’imaginais ma position indécente à l’équerre en offrant à la vue des deux Maîtres mes fesses et mon trou.   Le jeu de corde n’était pas terminé, je sentais maintenant des liens entourer mon torse, prisonnier de cette table, type bondage.   « Tu es maintenant prisonnier de ces liens, nous te laissons les mains et les bras libres » « Elles vont servir, mais interdiction de te toucher la queue pour te branler » « Elles serviront pour nous et dans une certaine mesure pour toi, tu verras »   Mais l’installation n’était pas tout à fait terminée.   Je sentais maintenant un des Maîtres me saisir les couilles entouré du ballstretcher. Je sentais une manipulation, je ne savais pas très bien ce qu’il faisait. Puis je sentis mes couilles étirées, j’imaginais une ou deux cordes accrochées au ballstretcher avec des poids à l’extrémité qui pendaient. « Tu es maintenant installé et sous notre contrainte » « Nous allons t’expliquer comment tu vas être humilié et exhibé » « Nous allons profiter de toi, mais pas que nous… » « La pièce dispose de web-cam et nous allons d’exhiber sur le Net, pour que des dizaines de surexcités se branlent en te voyant ainsi contraint et examiné »   Ce discours m’impressionnait et en même temps m’excitait.   « Durant nos échanges, tu nous disais que tu avais l’habitude de t’occuper de ton trou, nous allons vérifier ça » « Un bon Soumis anal doit être disposé à s’ouvrir »   Je ne savais pas à quoi m’attendre même si j’étais déjà disposé à m’ouvrir pour les deux Maîtres.   Un Maître me prit le poignet et je sentais un objet lisse parcourir le dos de ma main.   « Tu reconnais cet objet ? » « Tu vas voir ou plutôt sentir ! »   Je sentais des mouvements autour de moi.    « Allez ! On y va »   Je sentais maintenant des doigts caresser mon trou, je sentais une lubrification et des doigts qui s’enfonçaient dans mon trou.   Puis vient le moment ou j’ai senti un objet dur s’enfoncer dans mon trou, puis un élargissement.   J’ai compris que ma chatte anale était en train d’être examiné au spéculum, je me sentais très ouvert.   On devait y voir mon trou et mes entrailles roses.   Le Maître enfonçait ses doigts et caressait mes muqueuses anales.   « Tu aimes être dilaté comme ça Soumis ? » « Les pervers sont sur leurs écrans, tu es en direct ! »   Les insultes commençaient à arriver sur le fil de discussions.   « Nous allons te laisser ouvert comme ça un petit moment, ce n’est que le début » « Nous allons te détendre un peu »   A cet instant, je sentis à travers ma cagoule des effluves chimiques qui me faisaient planer, un Maître venait de coller sur mon visage cagoulé un masque avec poppers. Je me sentais détendu et dilaté.   Puis on me tournait la tête d’un côté pour m’enfiler une queue mouillée dans la bouche.   « Bouffe ma queue Soumis, lèche ma mouille »   Je me régalais d’avoir la bouche remplie et de sucer la queue du Maître.   Ma tête allait ainsi de droite à gauche, suçant tour à tour les queues ou gobant des couilles.   En même temps je sentais ma queue malaxée.   « A priori tu tiens bien le spéculum ! » « Certain que tu peux faire mieux, mais ça sera pour tout à l’heure » « Nous allons nous occuper de ta queue ou plutôt de ton urètre ! »   Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de violence ou d’acte brutal. Le poppers m’enivrait encore, j’acquiesçais   Je sentais mon sexe décalotté et mon gland massé et lubrifié.   Un Maître caressait mes couilles étirées par les poids.   Je sentis enfin une sonde titiller mon urètre et s’enfoncer doucement dans ma queue.   Un Maître avait collé de nouveau le masque à poppers sur mon nez.   « Ne t’inquiète pas nous allons commencer petit »   La sonde branlait mon urètre, pendant que mon trou était toujours ouvert à la vue des internautes.   « Allez ! On passe à la taille supérieure »   Je sentais mon urètre gonflé et branlé. J’allais ainsi être branlé plusieurs minutes avec des tailles différentes, jusqu'à ce que mon urètre ne puisse plus accepter de sondes plus grosses.   « Tu as aimé Soumis ? » « En tout cas les pervers se régalent de te voir ainsi exposé ! » « C’est pas fini … » « On va s’occuper de ta chatte anale, ton trou est bien dilaté, il va rester comme ça encore longtemps » « Il ne sera refermé qu’à la fin de la séance »   « Tu vas devoir te dilater au maximum »   Pendant que j’avais la bouche remplie par la queue d’un Maître, l’autre Maître était derrière pour m’enlever le spéculum.   Avec ses doigts, un Maître s’occupait de lubrifier l’intérieur de mon trou.   Je sentais maintenant un gode généreux m’enculer la chatte anale.   « Nous aimons baiser un Soumis au gode »   De l’autre côté de l’écran, les pervers alimentaient le fil de discussions et m’insultaient.   Mon trou se dilatait de plus en plus avec des godes de plus en plus gros.   J’avais maintenant à disposition, les mains libres, le masque à poppers que j’inhalais.   A tour de rôle les Maitres m’enculaient au gode et me faisaient sucer leurs queues et gober leurs couilles.   J’étais aux anges de me faire ainsi démonter le trou comme cela et de m’exhiber devant les pervers qui se branlaient devant leurs écrans.   Cette petite séance de godage dura plusieurs minutes.   « Tu es une bonne lope, tu encaisses bien, ton trou est bien ouvert, mais tu peux encore faire mieux » « Tu ne vas pas te refermer tout de suite »   Aussitôt je sentais un énorme plug remplir mon ampoule anale en laissant mon trou encore très dilaté.   « Un Maître lança : Ouvre la bouche ! »   Je pensais déjà à une queue qui allait remplir ma bouche ou une paire de couilles.   « Referme ta bouche sur l’entonnoir maintenant »   Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais j’allais le découvrir rapidement…   Je sentis alors un liquide chaud remplir ma bouche, un liquide salé.   « Avale ! Lançât un Maître »   J’avais maintenant compris qu’un Maître m’obligeait à boire sa pisse.   Mes joues enflaient maintenant de pisse chaude.   « Avale Soumis ! »   J’exécutai les ordres, je toussais et avalais petit à petit la pisse chaude du Maître.   Ma chatte anale quant à elle était ouverte et dilatée avec cet énorme plug.   « Allez ! Retour à ta dilatation ! »   Sans pouvoir y toucher, je sentais ma queue mouillée et mes couilles toujours étirées avec les poids.   « Tu vas prendre ton pied ! »   Le terme avait été choisi, comme au propre comme au figuré.   Un Maître me décapsula le trou, le plug n’était plus là, mais j’étais énormément dilaté. Je sentais mes muqueuses anales au bord de mon trou.   J’étais maintenant lubrifié encore une fois généreusement à l’extérieur et à l’intérieur par les doigts d’un Maître.   Je sentais une grosse masse s'enfoncer, je n’avais pas l’impression d’un nouveau gode ou plug. Je devinais que c’était le pied du Maître dans ma chatte anale qui était en train de m’ouvrir.    Au bout de quelques minutes, j’avais maintenant avalé la moitié du pied du Maître.   Sous poppers, je me laissais dilater la chatte au pied copieusement avec une queue qui me remplissait la bouche.   Après ce Foot-Fist, on me laissa reposer un peu. Bien évidemment un Maître me repositionna le plug pour ne pas me refermer.   Les deux Maîtres passèrent ensuite derrière moi.   L’un deux me décapsula le trou et me lubrifia plus en profondeur encore. Je sentais ses doigts parcourir les muqueuses de ma chatte anale.   « On va te travailler manuellement de l’intérieur maintenant ! »   Je sentais des doigts s'enfoncer dans mon trou, jusqu’à avaler la main entière du Maître. Je me faisais maintenant copieusement fister comme une pute. Je sentais le va et vient du poignet du Maître.   Pendant qu’un Maître me fistait, l’autre Maître se délectait de passer ses doigts autour du poignet du Maître Fisteur.   Je m’élargissais sous poppers de plus en plus.   Les pervers derrière leurs écrans gloussaient, le fil de discussions était parsemé d’insultes et de messages d’encouragements envers les Maîtres.   Vint le moment de la dilatation extrême.   Au fur et à mesure de m’élargir ainsi, chaque Maître avait réussi à introduire une main chacun dans mon trou béant.   Je gémissais, je jouissais intérieurement, mes entrailles poussaient, mais les deux mains revenaient à leur place au fond de ma chatte anale défoncée. Avec le phénomène d’expulsion naturelle, je pissais.   « Tu es vraiment une belle pute anale, digne d’un Soumis »   Après plusieurs minutes, le mouvement s’arrêta enfin.   Une main se retira, puis une deuxième, laissant place à un prolapsus débordant de mon trou. Mes muqueuses étaient luisantes et je dégorgeais de lubrifiant.   « Tu as bien joué ton rôle Soumis, une vraie pute anale » « Tu as le droit de te reposer maintenant »   Ils me laissèrent ainsi reprendre mes esprits pendant plusieurs minutes.   Le fil de discussions du Net cessait progressivement de s’activer. Les pervers avaient fini de se branler et j’imaginais les litres de sperme projetés sur les écrans.   Je sentais maintenant mes couilles écarlates plus légères. On venait de me retirer le Ballstertcher, les poids et les liens se dénouèrent.   Les deux Maîtres m’aidèrent pour descendre, j’étais encore étourdi par le poppers et par l’expérience extrême vécue.   Une fois debout, je sentais mon trou encore bien ouvert, je dégorgeai encore.   On m’installa dans le hall d’entrée avec mes vêtements. Je m’habillais fébrilement.   Un Maître apparu cagoulé.   « Tu as comblé nos attentes » « Ton baptême du Soumis est validé » « Nous t’autorisons à nous solliciter pour une autre session »   Je quittais la maison encore désorienté par ce qui venait de m’arriver. Je venais de vivre de longues minutes d’extrême jouissance. #PhotoPerso#
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Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
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Par : le 08/09/21
En juillet je navigue sur un site BDSM - bien sûr :-) - et je tombe sur une annonce: un couple étranger de passage sur Cannes en août pour leurs vacances cherchait une rencontre. Je regarde le profil, les photos, les commentaires... Et j'ai envie de répondre: Ils semblaient complices, kinky (comme ils aiment à le dire), les commentaires sont bien écrits et sans fautes. Madame est séduisante et soumise à Monsieur. J'envoie un message sans grande espérance. Ils doivent en recevoir des dizaines et d'hommes libres célibataires donc dispo 24/7. Le lendemain, il répond et on échange. RDV est pris avec lui pour nous rencontrer en premier. Et si le courant passe, on se retrouve tous les 3. Ce n'est pas ma recherche première, un trio, mais ce couple semble sympa et j'ai besoin de voir du monde :-) Bref on se rencontre sur le bord de mer à Cannes pour un café matinal. Le courant passe super bien.  Il est vraiment sympa. On discute une bonne heure en anglais. Et avant de partir me dit qu'il me recontactera. Je croise les doigts pour que ce soit vrai... Une heure après,  je reçois un message avec un RDV dans ses jours. Et on se mets d'accord sur un scénario... Le jour J Il est 8h30 sur Cannes. Je reçois un message: tout est prêt. Il m'accueille au portail. Nous ne faisons pas de bruit. J'entre, enlève mes chaussures et mon cuir (motard). Il me précède dans la chambre. Elle est attachée, mains et pieds, au lit. Cagoule pour l'empêcher de voir et une sucette de bébé dans la bouche. Elle se tortille : Son maître lui a installé un vibro avant que j'arrive. Elle ne sait pas que je suis là,  qu'un autre homme est présent. Il lui parle et la caresse.  Il m'invite à faire de même de l'autre côté du lit, sans bruit. Ma main passe sur un sein et glisse vers son cou. Je tire son collier pour lui faire sentir sa soumission. Elle semble perturbée. Nous continuons tous les deux: je passe sur son ventre, sa charte, ses cuisses, j'empoigne sa cheville. Et soudain elle tourne la tête dans les draps comme pour se cacher. Elle a compris :-) Il me fait signe de parler. Je me penche et lui glisse qques mots prêt de sa tête. Elle se tord pour s'enfoncer dans les draps encore plus. Si elle pouvait se glisser sous les draps pour se cacher, elle l'aurait fait. Son maître lui parle, et lui enlève son vibro tjrs en action. Il me fait signe de la doigter. Je m'applique à lui faire prendre du plaisir. Elle est humide et commence à gémir. Nous continuons encore qques instants et il me fait signe de sortir. La suite du scénario nous attend. Comme prévu,  je ramasse mon sac et les attends qqes instants sur la terrasse. Il revient avec le sourire. Il a donné ses instructions. Nous discutons tous les deux: elle ne s'attendait pas du tout à cette rencontre. Elle n'avait pas compris tt de suite qu'un autre homme était présent. Et être ainsi, nue attachée et avec une sucette de bébé dans la bouche l'a déstabilisée. Elle ne sait tjrs pas à quoi je ressemble, qui je suis. Elle est maintenant surexcitée, me dit-il. Elle tarde à nous rejoindre: elle doit porter, à la demande de son maître, sa plus courte jupette, sans culotte bien sûr,  un croptop transparent le plus court possible, talons hauts et son doudou qu'elle ne quitte pas. C'est un daddy's girl. Son maître s'impatiente et ramène deux cafés. Je sors les croissants que j'ai ramené et nous commençons le petit-déjeuner tous les deux. Discutant d'elle. La voici enfin. Elle est super sexy habillée ainsi. Elle porte Son doudou comme une enfant pour cacher son visage et son sourire gênée. Elle me reconnait: avant ce RDV, elle et moi avions échangé des messages et photos. Elle m'avait invité à un apéritif la veille au soir même. Mais le scénario était qu'ellene devait pas être au courant avant. Lui jubile. Moi aussi d'ailleurs. 'Tu m'as invité hier soir, mais me voici pour le petit-déjeuner' lui dis-je Elle rougit. C'est un vrai plaisir. Son maître mets une chaise entre lui et moi. Elle s'assoit. Il lui écarte les cuisses pour qu'elle ne nous cache rien. Elle enfouit sa tête dans son doudou. Je lui repousse son doudou aussitôt pour qu'elle me regarde.  Elle est jolie, ses yeux sont magnifiques. Elle rougit, me sourit gênée. Je prends ma tasse de café et la regarde.  Son maître est partie lui ramener une tasse de thé. Je prend un morceau de croissant et lui tend. Elle va pour le prendre avec les mains. Je recule, elle comprend et mange le croissant directement de ma main. Je lui donne un autre petit morceau dans la paume de ma main. Ses lèvres et sa langue lèchent ma paume. Son geste est plus important qu'il aurait dû être : elle aime ce moment. C'est une certitude. Elle me sourit en mangeant. Son maitre revient, elle prend une gorgée de thé. Je me rapproche encore plus et tire sur la boucle de son collier. Je la regarde droit dans les yeux, tjrs. Et je descends sur ses seins, son maître soulève son croptop pour la pincer et m'invite à faire de même. Elle se pince les lèvres mais nous ne forçons pas plus. Je descends encore et je glisse ma main dans son entrejambe. Elle est humide me dit son maître qui m'avait précèdé de qqes secondes. Il a raison: elle est excitée. Je le suis tout autant: je bande pour elle. 'Debout' elle se lève et écarte plus ses jambes, mets ses mains dans le dos. Visiblement elle a été éduquée... Elle me facilite l'accès à son intimité. Je glisse un doigt, deux doigts, trois doigts et j'accelere le va-et-vient. Elle penche sa tête en arrière et commence à gémir. Elle accompagne mes caresses de son bassin.  Elle se branle sur mes doigts. Je n'ai quasiment plus à bouger. Je la regarde prendre son plaisir. Son souffle s'accélère. Elle gémit.  Elle est si sexy ainsi... Je ralentis. Nos têtes se touchent. Sa bouche est à qqes centimètres de la mienne. Elle s'appuie sur moi. Et après qqes instants, je me retire.  Son maître la tire vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Il la tire vers le bas et la voici agenouillée face à lui en une seconde. Il sort son sexe et sans attendre lui baise littéralement la bouche. Je suis derrière elle. Je vois sa tête entre les mains de son maître forcée à lui apporter du plaisir. Elle suce, elle gobe, sa gorge est baisée sans retenue. Il me fait signe de la doigter encore pendant qu'elle s'active. Avec plaisir, je lui prête main forte. Et mes doigts s'introduisent dans sa chatte humide, son cul est à ma merci. Je glisse un doigt. Elle suce. Puis il s'arrête.  Et aussitôt elle se retourne vers moi, toujours à genoux. Elle a été éduquée à satisfaire ses invités, c'est certain. Elle n'a pas hésité un instant. Je prend mon temps alors qu'elle est devant moi, à genoux, dans l'attente de mon bon vouloir. Je regarde son maître. Il me sourit. Elle a les yeux baissés. Je prend mon temps et ouvre mon pantalon. Je sors mon sexe. Elle se jette dessus. Vraiment. Je n'ai pas eu une seconde de répit :-) Elle me suce au plus profond de sa gorge. Sa langue glisse sur mon sexe. Elle suce et lèche en même temps.  C'est divin. Je prend sa tête dans mes mains et je lui donne le rythme que je souhaite. Ses mains sont sur mes bourses à les caresser.  Je m'arrête pour rester dans sa bouche immobile qqes instants. Je lui ordonne de me regarder. Elle lève ses yeux bleus: son regard est si beau. Je m'extrait de sa bouche et lui présente mes bourses.  Elle les lèche, les gobe une puis l'autre. Je force les deux en même temps dans sa bouche. 'Regarde-moi' . Ces yeux.... Et je reprends mon va-et-vient entre ses lèvres. C'est si bon de la voir à genoux, possédée par mon sexe. Offerte à cet inconnu que je suis encore il y a qqes minutes. Ses yeux bleus vers moi. Je n'en peux plus. Je me sens venir. Je m'arrête. Mon sexe turgescent est face à elle, humide de sa salive. Elle ouvre la bouche, m'offre sa langue et attend immobile. Je regarde son maître et je lui demande comment je peux finir. Il me fait signe de faire comme je souhaite. Je la regarde et je le pénètre de nouveau. Qqes secondes de plus ont suffit à me faire jouir. Elle ralentit et ma semence envahit sa bouche, glisse sur sa langue et enfin sa gorge. Je suis au 7e ciel. Je retiens mon râle de plaisir tout en regardant,  si belle soumise. Elle continue tjrs à me nettoyer. Elle n'arrêtera que lorsque je lui dirai. Mon sexe humide du mélange de ma semence et de sa salive est l'objet de toute son attention. Elle est douce, lente, fait durer notre plaisir... Je profite du moment encore un peu et me retire tout doucement. Elle me regarde et avec un doigt essuie la commissure de ses lèvres. Elle me sourit coquine pendant que je me rhabille. J'aurais dû la laisser faire me dis-je. Je l'aide à se relever et elle se rassoit sur sa chaise,  jambes écartées.  Il n'y a pas de mécanisme dans ses gestes. Elle le fait par plaisir de nous exciter. Je me sens à l'aise avec eux. Elle semble heureuse de ce moment et c'est ce qui compte le plus. Nous partageons un moment ensemble : je ne suis pas juste un homme de plus. J'apprécie vraiment. Nous finissons nos tasses respectives de thé ou café. Son maître lui demande si elle apprécie son thé avec ce nuage de lait. Elle sourit coquine: J'imagine à leur regard complice des jeux sur ce sujet. Et nous discutons lui et moi encore un peu. Il est temps pour moi d'aller travailler. Pas facile pour moi de me concentrer dans la journée leur dis-je. Mais avant de partir, je me tourne vers elle et je sors de mon sac une peluche pour chienne. Tu l'as bien mérité lui dis-je. Cela faisait partie du scénario : elle aime être traitée en petite fille et jouet en même temps. Elle me sourit très largement et serré ce doudou contre elle comme une enfant.  Elle me remercie 10 fois. Je suis content: ce geste l'a touché. J'en tire une certaine fierté même. Il me demande de revenir vers lui plus tard avec mes impressions sur ce RDV. Ils feront de même. S'il y a des choses qui ne nous ont pas plu, nous devons nous les dire. Je me rapproche de la porte, remets mes chaussures. Je me relève: elle est devant moi, mains sur les murs et jambes écartées. Son maître la fouille sans vergogne. Elle gémit, se tortille de plaisir. Je la regarde. Son maître m'offre un joli spectacle. Puis il la relâche.  Elle reprend ses esprits, me sourit gênée et m'embrasse sur la joue. Et nous laisse lui et moi. Je la vois partir doucement, attendant peut-être une suite. Mais je dois partir. Il m'accompagne dans le couloir et on se quitte. Avec un sourire complice. Je repars mais je ne suis plus quelle heure il est, où je suis... un moment hors du quotidien... Plus tard je lui écrirai pour lui dire à quel point j'ai apprécié leur présence, la complicité du moment. Ils me diront la même chose. Depuis ils sont repartis mais nous sommes tjrs en contact. Le maître m'envoie des photos d'elle. Elle me nargue :-) Mais je suis dejà invité à leur prochaine venue, et ça elle ne le sait pas ... Photo prise sur le net
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Par : le 28/04/23
La jeune femme se souvenait comment elle s'était donnée, sans aucune retenue, à trois inconnus, avec cet abandon qui marque le don sans retour, l'entrée dans une sensualité qu'elle imaginait encore plus vaste, dans une confiance sans fêlure, sa Maîtresse s'était effacé dans le sommeil, la laissant brusquement tout à sa solitude, meurtrie qu'elle lui eût imposé son propre rythme, au mépris du tempo de ses sens. Elle avait négligé sans façon son penchant pour les heures sans fin, où l'amour n'est pas borné. Pas respectée, elle s'était sentie outragée par des sexes, et impuissante au surplus, furieuse, d'être si peu entendue, si mal considérée. Il est clair que Juliette n'avait cessé de violer pareillement le rythme intime de son être, de méconnaître cette pulsation qui régulait tous ses désirs. Sans qu'elle puisse se défendre, les trois hommes usèrent de ses trois orifices naturels, avec une prédilection exacerbée pour son anus où, sans préparation, les membres s'enfoncèrent, lui arrachant de véritables cris d'horreur et de douleur, ne se retirant que pour se promener sur ses lèvres, qui furent écartées et ouvertes pour que sa bouche fût imprégnée du goût âcre de sa cavité,  provoquant un écœurement tel qu'elle se sentit prête à défaillir. À demi endormie, comme dans un éclair, elle fut traversée par la certitude, mais aussitôt évanouie, qu'elle l'aimait. Bien qu'elle n'y crût pas, et se moquât d'elle-même, elle en fut réconfortée. Alors, pour la première fois depuis qu'elle la faisait venir deux ou trois par semaine, et usait d'elle lentement, la faisait attendre dénudée parfois une heure avant de l'approcher, écoutant sans jamais répondre à ses supplications, car elle suppliait parfois, répétant les mêmes injonctions au même moment, comme dans un rituel, si bien qu'elle savait quand sa bouche la devait caresser, et quand à genoux, la tête enfouie entre ses mains dans la soie de l'oreiller, elle ne devait lui offrir que ses reins, dont elle s'emparait désormais sans la blesser, tant elle s'était ouverte à elle, pour la première fois, malgré la peur qui la décomposait, ou peut-être à cause de cette peur. Et pour la première fois, si doux étaient ses yeux consentants lorsqu'ils rencontrèrent les yeux clairs brûlants de Juliette. Le plaisir qu'elle prenait à la voir haleter sous ses caresses, ses yeux se fermer, à faire dresser la pointe de ses seins sous ses lèvres et sous ses dents, à s'enfoncer en elle en lui fouillant le ventre et les reins de ses mains, et la sentir se resserrer autour de ses doigts. Charlotte voulut parler, poser une question. "- Un instant, dit Juliette, va dans la salle de bain, habille-toi, et reviens". Charlotte prit les bas noirs, le porte-jarretelle et la jupe, posés sur une chaise près de la coiffeuse et lentement se revêtit. Elle accrocha ses bas aux quatre jarretelles et sentit son ventre et sa taille se creuser sous la pression du corset, dont le busc descendait devant presque jusqu'au pubis. La guêpière était plus courte par-derrière et laissait les reins totalement libre, de façon à ne pas gêner si on ne prenait pas le temps de la déshabiller. L'homme à la gauche de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, sous la jupe, le reflet voluptueux des jarretelles.   Sa Maîtresse, toujours en avance, ou en retard n'avait jamais su aimer son émotivité-fleuve dont les zig-zags étaient si étrangers à son besoin vital de simplicité. À nouveau son irrespect aveugle éclatait, cinglant. Au fil des temps, la jeune fille s'était découvert une envie d'audace dans la façon d'être prise, le besoin même d'être forcée, emmenée loin de ses balises ordinaires par la femme qu'elle aimait, conduite, par elle seule jusqu'au tréfonds de ses peurs les plus tentantes. Charlotte lui en voulait qu'elle n'eût pas deviné qu'elle souhaitait désormais être "sa chienne", et regardée comme telle, parfois dans le clair-obscur de leurs soirées mitonnées pleines de sueur.  Insensiblement, elle écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les yeux baissés son impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, en-dessous, le sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. À la fin du repas, il lui demanda de le rejoindre immédiatement, au rez-de-chaussée, dans les toilettes pour hommes. À peine dans l'escalier, elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. De nouveau, sa jupe fut troussée, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, l'anneau de ses reins fut frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit et, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. Subitement, elle se dégagea, se tourna. Il l'accola face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses reins, comme une épée dans son fourreau. Elle goûta la sensation de cette chair palpitante et mafflue. Lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui prenant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son ventre. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui pinçait les mamelons. Charlotte se complut à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche. Elle suça avec ferveur la verge tendue qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la gorge. Elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la succion.   La jeune femme n'était pas sûre de souhaiter que ce même homme la vît ainsi, qu'il pût superposer sur leur quoditien réglé les images d'elle abandonnée à ses dernières pulsions, rageant dans le plaisir de n'être pas affranchie une fois pour toutes de ses pudeurs.  Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif de l'inconnu. Le gland était beaucoup plus gros que la hampe. Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui enveloppèrent la colonne de chair. Les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à cœur à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Après quoi, il la fit le rajuster, et partit. Un garçon du restaurant, que la soumission de Charlotte, et ce qu'il avait aperçu des lacérations de son corps bouleversaient, au lieu de se jeter sur elle, la prit par la main, remonta avec elle l'escalier sans un regard aux sourires narquois des autres serveurs, et ne la laissa alors, qu'une fois installée de nouveau, dans le cabinet privé du deuxième étage. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre sur un lit de fer. On la déshabilla alors totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle serait offerte à des inconnus. Charlotte allait être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique. On la cingla alors brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas faire mal, il voulait l'amener à ce degré d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de cette Vénus callipyge.   C'était bien avec sa Maîtresse, dans la sécurité de leur amour ancien, qu'elle eût voulu se risquer sur ces pentes où tout l'être engage sa bestialité pour mieux se refaire une âme. D'une certaine licence sexuelle improvisée ensemble, Charlotte attendait une collision décisive avec sa vie inconsciente. Derrière une fausse apparence d'ingénuité, la jeune fille se découvrait une nature de plus en plus masochiste. Sans avoir le goût pour l'aventure, elle recherchait l'inattendu, pour avant tout se faire peur. Il lui arrivait ainsi de plus en plus souvent de demander à Juliette, l'autorisation d'être battue, sans être attachée par des bracelets à une croix, à ses poignets et à ses chevilles, juste pour le plaisir de se surpasser dans le chemin de sa soumission, lui offrant ainsi la plus pure preuve de son abnégation. On prit le parti de lui concéder cette grâce. Confiance aveugle où elle devenait elle-même aveugle lorsqu'un bandeau, un masque de cuir ou une cagoule recouvrait ses yeux, lorsqu'elle devait se soumettre à certaines épreuves, en des lieux et avec des tiers connus d'elle seule. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia alors la chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées. L'orgueil qu'elle mit à résister et à se taire ne dura pas longtemps. Les invités l'entendirent même supplier qu'on arrêtât un instant, un seul. Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, quand elle ne put plus résister, elle céda. Tel un pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence rejoignit alors la nuit. Charlotte, les yeux mi-clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement. Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir. Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident. Elle s'y attendait pourtant, haletante, les tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était enfoncé. Sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité. Il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués. Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la pénétra profondément entre ses reins. Le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler. Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie, maudite, mais heureuse. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée mais paradoxalement libérée. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit à même le sol, nue et épuisée. Souillée de sperme et de sueur, chancelante, seule dans le noir, elle se caressa lascivement dans l'obscurité, portant ses doigts à sa bouche, pour mieux se délecter de ce substrat mêlé, visqueux et glutineux, miel de son propre suc et de la semence des Maîtres, avant de sombrer dans la nuit, rassasiée et heureuse.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 31/05/20
On lui rappela, mais il lui paraissait peu probable qu’elle sût, en toute connaissance de cause, à quoi elle s'était engagée; lorsqu’elle l’aurait compris, il serait trop tard pour qu’elle échappât; après une route interminable, Juliette arrêta la voiture devant un portail austère où un homme nous attendait; le temps de reprimer son angoisse, Charlotte se retrouva les yeux bandés; elle portait une robe droite noire, avec une fente arrière arrivant jusqu'à mi-cuisse; en dessous, un corset rigide rehaussait ses seins, révélant les aréoles, et la naissance des pointes, en faisant saillir le ventre, des bas fins et noirs tenus par un porte-jarretelles; elle était chaussée de talons hauts; sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le dos. Le temps de réprimer son angoisse, une poigne énergique et brutale enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce qu'elle imagina minuscule, sorte d'antichambre où elle attendit un long moment; nous fûmes conduites dans un petit salon; je me glissai derrière elle, et soulevai sa chevelure, en faisant glisser la fermeture éclair de sa robe, de la nuque, jusqu'au bas du dos, le vêtement tombait à ses pieds, tandis que je dégraffai ses bas en les faisant glisser le long de ses jambes. Le serre-taille rejoignit le reste de sa parure à ses chevilles, dénudant totalement Charlotte; elle conservait, fixée au centre de ses reins par trois chaînettes d'or tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, un bijou imitant un sexe dressé, destiné à distendre le cercle de chair, et à rendre encore plus aisé l'usage de cette voie; jugée trop étroite, pour la prêter, sa Maîtresse avait cru bon de l'élargir afin qu'elle fut doublement ouverte; ainsi forcée, elle en portait un chaque jour plus épais. Une présence se manifesta soudain l'arrachant de sa torpeur; on la poussa pour descendre les marches d'un escalier tortueux; l'odeur de la terre humide emplissait ses narines; au bas de l'escalier, se trouvait une cave avec son odeur caractéristique de moisissure; une véritable cave comme une esclave doit l'aimer; on retira la ceinture de cuir et on la fit asseoir sur une chaise en bois hérissée d'un volumineux godemichet de sorte qu'il la pénétre profondément entre ses reins. Empalée dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient l'odeur des anciennes prisons, on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche; elle ne fut pas fouettée tout de suite; les seins et la bouche offerts, dans cette froide pénombre où ne pénétrait aucun bruit, tremblant de froid, elle ne vit jamais les deux hommes qui entraient ni la jeune fille soumise. Quelqu'un l'appela "Numéro 2" et s'adressa à elle en la traitant de "sac à foutre"; Charlotte apprit qu'elle était là pour servir de réceptacle à la semence des Maîtres, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans jamais protester ni même trahir une quelconque émotion; c'était une femme ravalée au rang d'objet muet et servile; un homme s'approcha de la chaise; Charlotte devina qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles. On la porta sur une table où elle fut allongée sur le dos et solidement ligotée; elle attendit quelques minutes dans la position infamante de l'esclave offerte et consentante; les hommes s'approchèrent d'elle et brusquement elle sentit des dizaines de doigts la palper, la fouiller, la dilater avant que les sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer; elle fut malmenée, saccagée, sodomisée; mais un Maître interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce. Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse; lorsque le mamelon fut bien excité, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt, la seconde dans le mamelon du sein qui n'avait pas été caressé et qui réagit par conséquent de toute autre façon; d'autres aiguilles furent plantées, tout autour des aréoles, faisant perler quelques gouttes de sang, puis il transperça la peau endolorie des grandes lèvres. L'homme força sa bouche alors que les lèvres osaient à peine effleurer la pointe du sexe, protégé encore par sa gaine de douce chair; Juliette admirait les mouvement de la bouche refermée et resserrée sur le membre qu'elle avait saisi, et le long duquel elle montait et descendait, le visage défait de larmes chaque fois que le sexe gonflé la frappait jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et lui arrachant une nausée; elle le reçut avec soulagement comme une offrande. L'homme, penché au dessus d'elle, tenait à la main une bougie; d'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina, la cire brûlante perla sur sa peau en cloques blanchâtres; l'idée d'être brulée vive la terrorisait; son martyre devenait malgré elle délicieux; elle perdait la notion du temps et de la douleur; soudain des coups de fouet la cinglèrent avec une violence terrifiante; elle compris que les cinglements étaient destinés à faire éclater les croûtes de cire qui constellaient son ventre et ses seins. On détacha Charlotte de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que le temps de préparer l'épreuve suivante; on lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes au murs de pierre et on emprisonna ses poignets dans des bracelets d'argent pendus que l'on écarta en croix, comme les cuisses; elle était ainsi offerte dans cette position humiliante, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique. Les seins et le ventre offerts, et le lugubre silence; rien qui lui était d'autant de secours que le silence et les chaînes; se lassait-elle ? Non; à force d'être outragée, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux outrages, sinon au fouet à force d'être fouettée; on lui ôta la cagoule; Charlotte parut fascinée par la noblesse des lieux; c'était une cave voûtée splendide, aux murs de pierres apparentes; des cierges ornaient chacun des angles dont les flammes tremblaient sur l'or des pierres. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres cinglements plus agressifs; l'homme passa rapidement à la cravache; elle en reconnut la morsure particulière; on la flagella avec une rigueur impitoyable, si bien que le ventre et le devant des cuisses avaient leur part autant que les seins; l'homme voulait entendre Charlotte hurler au plus vite; il écouta ses gémissements devenir des cris. Pendue aux bracelets qui lui sciaient les poignets, écartelée à en sentir les jointures de ses cuisses endolories, elle ne pouvait faire un mouvement, ni tourner la tête pour voir la jeune soumise; "Numéro 2" s'approcha de Charlotte; après un moment, on retira la cagoule qui l'aveuglait; elle aperçu la jeune fille, à peine plus âgée qu'elle; elle avait un corps parfait et un visage délicat; un homme lui murmura à l'oreille qu'elle devait se servir d'elle comme bon lui semblerait. Flattée, "Numéro 2" entendait amener Charlotte à merci; elle commença par lui caresser l'intérieur des cuisses; la jeune soumise semblait sûre d'elle, faisant preuve d'une tranquille détermination; elle ne ressemblait plus en rien à une esclave sinon sa nudité; au contraire, elle avait le port du visage fier; aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Charlotte gémit. "Numéro 2" passait de la droite à la gauche, s'arrêtait, reprenait; la suppliciée se débattait de toutes ses forces. Charlotte crut que les liens la déchireraient; elle ne voulait pas supplier; qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, elle n'en avait jamais douté, mais elle pensait que la jeune soumise cherchait moins à manifester son autorité qu'à établir une complicité; de fait,"Numéro 2" arrêta la flagellation pour s'amuser avec son sexe, écarter les chairs, agacer le clitoris, et la pénétrer avec le manche de la cravache; enfin, elle fit le tour du corps écartelé et détacha Charlotte épuisée. Souillée de sperme et de sueur, Juliette décida qu'elle devait être reconduite au premier étage pour qu'elle fût douchée; après une minutieuse toilette, elle lui ordonna d'uriner à même le sol dans une coupelle, de renifler son urine et de la boire; bouleversée par cette épreuve, au bord des larmes, mais n'osant se rebeller, elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas, elle se mit à laper le liquide tiède et clair et à l'avaler, prenant soin de ne laisser aucune goutte, sans être comblée de honte. Elle fut conduite dans la chambre qu'elle devait occuper, où nue et attachée, elle s'endormit. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/06/21
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est encore noire, avant l'aube, Juliette réapparut. Rares sont les soirées où elle n'éprouve pas l'irrésistible plaisir de maltraiter et d'user de sa jeune soumise. Elle alluma la lumière de la salle de bains, en prenant soin de laisser la porte ouverte, faisant ainsi un halo de lumière sur le milieu du lit, à l'endroit où le corps de Charlotte, nu et attaché, déformait les draps de soie, recroquevillé et contrainte. Comme elle était couchée sur la droite, le visage vers le mur, les genoux un peu remontés, elle offrait au regard sa croupe hâlée sur la soie grise. Tremblante de froid, elle avait attendu sans mot dire. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et fouettée afin qu'elle fut prête. Juliette eut soin à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui maintenant en pleine lumière pour qu'elle pût la voir en détail. Sur son ventre lisse, le tatouage portait en toutes lettres qu'elle était sa propriété. Charlotte gémit plus d'une heure sous les caresses de sa maîtresse. Enfin les seins dressés, elle commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Toute la résistance et le timide refus de son appréhension avaient disparu. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses dents, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un seul coup, moite de plaisir. Juliette était aussi attirante et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait, qu'inlassable dans ses exigences. Ni le plaisir qu'elle avait pu prendre la nuit ni le choix qu'elle avait fait la veille n'influaient sur la décision. Charlotte serait offerte, dans les pires conditions auxquelles elle serait confrontée. Elle ne survivrait que pour elle. Qu'à être offerte elle dût gagner en dignité l'étonnait; c'est pourtant de dignité qu'il s'agissait; sa bouche refermée sur des sexes anonymes, les pointes de ses seins que des doigts constamment maltraitaient, et entre ses reins écartés le chemin le plus étroit, sentier commun labouré à plaisir, elle en était éclairée comme par le dedans. Se soumettre, désobéir, endurer, alternances délicates auxquelles elle ne voulait plus se dérober. L'abnégation d'elle même qu'elle conservait constamment présente. Elle avait compris qu'il ne s'agissait plus seulement d'amour mais d'obéissance. Le lendemain, elle fut mise à rude épreuve. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Juliette expliqua seulement aux hôtes invisibles que sa bouche, ses seins et particulièrement les orifices de son corps pouvaient être fouillés à leur gré. Des hommes s'approchèrent d'elle, brusquement des dizaines de doigts commencèrent à s'insinuer en elle, à la palper, à la dilater. Juliette interrompit la séance qui lui parut trop douce. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Dans cette position infamante, elle attendit quelques minutes avant que des sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer. Sans trahir un quelconque sentiment, elle était ravalée au rang d'objet, muet et servile. Elle fut fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée. Elle était devenue une chose offerte et béante. Puis elle fut ramenée dans le salon où les hommes attendaient déjà son retour. Les yeux de nouveau bandés, nue droite et fière, Juliette la guida vers le cercle d'hommes excités et ce fut elle qui s'agenouilla pour prendre leur verge dans sa bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur son visage ou sa poitrine offerte. Souillée de sperme et de sueur, on l'envoya se laver. La salle de bain était vaste et claire. Juliette la rejoignit pour assister à sa toilette intime. Elle était accompagnée de deux hommes. Avant qu'elle ait eu le temps de se doucher, ils urinèrent sur elle en l'éclaboussant chacun d'un jet dru et tiède. Elle tourna sur elle-même afin que chaque parcelle de son corps reçoive leur ondée. L'excitation qui en résulta donna l'envie d'offrir le spectacle de sa soumission. Elle fut contrainte de se mettre à quatre pattes et de s'exhiber sans aucune pudeur, accroissant ainsi l'exposition des orifices les plus intimes de son corps. Après un minutieux nettoyage, sa maîtresse lui ordonna de s'habiller pour aller dîner. Elles allèrent dans un club échangiste pour achever la soirée. Outre son harnais et une ceinture de chasteté, Charlotte portait un bustier en cuir, des bas noirs et une veste en soie de la même couleur laissant entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse donnait à sa tenue un bel effet. Juliette l'amena en laisse jusqu'au bar. Elle la fit monter sur une table haute où lui fût administrée une violente fessée qui empourpra ses reins; un esclave mâle fut requis pour lécher et apaiser sa croupe; on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche de façon à ce qu'elle soit offerte; un homme lui baisa la bouche, sa gorge lui servant d'écrin; excité par le spectacle de la fellation, un autre décida brusquement d'utiliser ses reins. Il s'enfonça en elle sans préliminaire pour faire mal. Comment éprouver la satisfaction insane d'offrir son corps ? La seule raison d'être de Charlotte est de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne rien regretter, pour ne susciter aucun reproche et par fierté et par orgueil. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/08/21
Voici enfin arrivées ces deux semaines en ta compagnie. Depuis le temps que dure notre relation, c’est la première fois que nous allons pouvoir passer autant de temps ensemble. Je m’en délecte d’avance. Même si j’affirme depuis des semaines qu’en cette satanée année, ce ne sont pas de vraies vacances, ce séjour restera spécial quoi qu’il en soit. Signe d’un regain de forme notable doublé d’une certaine motivation, pour ne pas dire d’une motivation certaine, tu me proposes dès le deuxième soir de procéder à quelques essayages de tes dernières trouvailles. Je savais qu’elles existaient sans savoir à quoi elles pouvaient ressembler. Si pour la parure blanche, il faut remettre à plus tard, le temps d’adapter la taille, il en va, en revanche, différemment pour la noire. J’ai l’impression de ne pas encore avoir assez minci pour y rentrer. Pourtant tu as bien raison, le corset sombre avec ses motifs floraux blancs finit par bien s’ajuster sur mon corps de « mannequin ». J’ai de nouveau un doute lorsque tu me tends le string coordonné. C’est vraiment un petit modèle, surtout que ce genre de situation ne me laisse jamais de marbre. Pourtant, là encore, tout finit par se mettre en place. Et cette matière translucide souligne mon anatomie tout en ne dissimulant rien de mes sensations : quel lubrique et impudique nounours je deviens à cet instant précis. Tant qu’à y être, tu me fais chausser les talons avant de me faire prendre diverses positions lascives sous le regard curieux et attentif de ton objectif. La modiste semble ravie de son œuvre. En tout cas l’expression de ton visage l’exprime. Je reconnais, je le suis tout autant par cette mise en bouche. De toute façon, j’aurais peine à affirmer le contraire. C’est aussi l’occasion de me prélasser ainsi légèrement vêtu sur le nouveau drap en vinyle violet : protecteur, rehausseur de couleur, contact spécial. Je sens qu’il ne va avoir que des avantages. Validé malgré cet essai rapide ! Mercredi, le grand jour est arrivé ! Enfin, plutôt un jour spécial, et même deux pour être précis. Tu as organisé une visite pour nous permettre d’expérimenter des choses qui ne seraient pas (ou du moins pas encore) possible dans ton antre. Direction plein ouest, les pins, la chaleur, …, en cette chaude journée pour de nouvelles aventures. Sans surprise, l’accueil qui nous est réservé est des plus chaleureux et nous faisons alors la connaissance de la soumise de notre hôte. Passées les agapes du déjeuner, nous pouvons nous attaquer aux choses sérieuses, ou moins sérieuses (tous les points de vue sont possibles). Galanterie ou pas, il se trouve que ma « collègue » de soumission ouvre le bal sous les assauts des différents fouets de sortie, principalement ceux que tu as apportés. Il ne fait pourtant pas froid. Pourquoi donc vouloir directement faire monter autant la température. J’attends patiemment mon tour en profitant du spectacle et des marques roses et rouges qui commencent à joliment orner son dos et son postérieur. C’est troublant de se retrouver spectateur plutôt qu’acteur. Je suis totalement détendu et décontracté en attendant mon tour. La confiance aide beaucoup même si c’est une double première pour moi, à la fois dans la pratique et dans le fait ne pas être en ta seule présence. Visiblement, ma pudeur des débuts s’est bel et bien envolée. Depuis quelques années, tu as pris goût aux cordes pour mon plus grand plaisir. Oui mais voilà, tu n’avais pas la possibilité de me suspendre. Il faut dire que c’est loin d’être si simple : il faut la technique et un environnement adéquat. D’où l’intérêt de cette visite amicalement encordeuse … et plus. Tout est là : de solides poutres, une barre de suspension spécialement conçue pour cela et l’expertise qui va avec. Pour une première dégustation, nous choisissons tous ensemble de faire simple. Il ne s’agirait pas de tout gâcher en se lançant trop vite dans la difficulté. Ce sera donc tout simplement à l’horizontale sur le dos. Il n’y a, a priori, pas besoin de plus pour goûter à ces aériennes sensations, toutes nouvelles pour moi. Autant le levage au niveau des cuisses et des chevilles ne me gênent pas le moins du monde, autant la première tentative à hauteur du torse me donne une soudaine sensation d’oppression, comme un berceau de bois qui viendrait me broyer. Rapide retour sur une surface stable pour bien repositionner les cordes et l’ascension peut reprendre. Cette fois, je ressens l’inévitable emprise des cordes autour de mon corps, mais plus du tout cette première sensation gênante et désagréable. Grâce à la cagoule qui n’était pas prévue pour cela, j’ai l’impression de me concentrer encore plus sur l’instant présent, d’intérioriser à fond ce moment. Chaque seconde qui passe, la très légère appréhension des tous premiers instants se mue en un agréable instant. Illusion ou pas, j’ai l’impression de me balancer dans le vide. Ce n’est pas encore la sensation d’être un oiseau mais c’est clairement agréable de flotter ainsi, même contraint. De se sentir bercé, presque tout léger. Je ne te remercierai jamais assez de m’avoir permis de goûter à cette nouvelle sensation. Toutes les bonnes choses ont une fin : atterrissage en douceur avant de passer à une suite, cette fois partagée. Pour une fois, les marques sont au rendez-vous : tu ne manques pas l’occasion de les immortaliser. Comme quoi je marque … parfois. On a juste toujours pas l’explication du quand et du pourquoi ;-). Une soumise, un soumis, deux compagnons d’(in)fortune, deux cerveaux dominants, il eut été dommage de ne pas en profiter pour un tableau commun. Chacun avec notre bien légère tenue en vinyle noir, nous nous livrons à leurs cordes et à leur imagination fertile. Dos à dos, main dans la main, nous nous retrouvons partiellement suspendus, en presque parfaite symétrie, chacun faisant le pied de grue … ou de héron ;-). J’avoue que c’est une sensation nouvelle de sentir cette chaleur dans la main, d’entendre ma partenaire de cordes s’inquiéter de mon état. Tout compte fait, ce n’est pas désagréable du tout de partager ce genre de moments, quand bien même la contrainte des cordes reste quelque chose d’individuel. Je confirme aussi que l’humain n’est pas fait pour être un « monopède », pas plus que le nounours d’ailleurs. Il est quand même beaucoup mieux sur ses deux pattes … au moins. Faites vite les photographes, je fatigue ! Histoire de ne pas faire de jaloux, mon tour est venu d’être « réchauffé ». A mon plus grand regret (temporaire), le préchauffage avec ta toute nouvelle langue de dragon ne s’est même pas inscrit dans mon esprit, souvenir probablement submergé par le flot qui a suivi. En revanche, la longue tapette à clous a réussi à ne pas se faire oublier : il faut dire qu’elle a des arguments « percutants », tout à fait adaptés à un postérieur rebondi et avide. A priori, par la suite, il semblerait que j’expérimente surtout les dernières acquisitions de notre hôte. Si la queue de dragon du fouet court se révèle bien impactante lorsqu’elle vient atterrir tantôt sur mes épaules, tantôt sur mon dos ou encore sur mes fesses, le fouet arc-en-ciel me fait plus penser à un lourd flogger. A choisir je prendrais plutôt le « cracheur de flammes » ! Il semblerait que je sois dans un contexte favorable, mon endurance tout comme ma réceptivité se révèlent bien meilleures que la dernière fois, ce qui serait pour te satisfaire. Atmosphère décontractée de vacances ? Changement d’air ? Inconsciente volonté d’être à la hauteur devant nos hôtes pour que tu sois fière de moi? Un peu de tout cela probablement. Du coup, ce moment dure, dure, … s’étire en longueur. A tel point je suis presque surpris par toutes ces chaudes traces rouges et boursouflures sur mon dos lorsque je les découvre en photos. De l’intérieur, je ne soupçonnais pas une telle intensité. Disons que je me laissais aller à l’instant présent et profitais de ces nombreuses morsures, lâchant ici et là quelques grognements de satisfaction. Et dire qu’il est de notoriété publique que je ne me marque pas. A priori, quelque chose a dû changer. Et en bien ! Sinon, vive la cagoule ! Mon oreille gauche sifflerait presque encore de quelques claquements « proches ». La cravache qui t’est proposée n’est pas spécialement stimulante malgré sa tête en coeur, du moins tant que tu t’en tiens à son usage classique. Mais évidemment, tu ne résistes pas à montrer à un de tes « nombreux » petits plaisirs : la version ventilateur d’extrême proximité sur mon intimité avec un modèle plus standard. Impossible d’encaisser sans réagir, malgré les spectateurs : je ne peux pas faire autrement que me tortiller et couiner. Voici qui conclut à merveille cette première journée. Que demander de plus ? Des personnes sympathiques, un esprit décontracté. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde s’amuse. Le petit-déjeuner est propice à phosphorer, bien évidemment pour produire des idées sadico-perverses. Pauvre soumise, c’est elle qui va pâtir de ces deux imaginaires démoniaques. Pour ma part, je suis simplement mis à contribution pour les préparatifs. Si seulement le barbecue n’était pas resté tout près de la terrasse… Il n’en fallait pas plus à nos deux esprits encordeurs pour envisager de la mettre à la broche au-dessus du grill. Je reconnais que le résultat final est plutôt visuellement réussi : je sais, c’est facile à dire quand on voit cela d’un œil extérieur et distant. Il était évident que je finirais par être mis à contribution. Ou plutôt que je finirais par être le centre des attentions. Il faut dire qu’un jardin tranquille et suffisamment dégagé se prête parfaitement à ce que tu espérais depuis longtemps déjà. Difficile d’exploiter tes plus longs fouets dans la quiétude protectrice et rassurante de ton antre. Quant à moi, je reconnais que le pépiement des petits oiseaux et la douce caresse sur ma peau des quelques souffles d’air matinaux offrent un environnement des plus emballants, déjà qu’il ne m’en fallait pas beaucoup pour être motivé par le programme esquissé. Simplement paré de ma cagoule en cuir, encore plus indispensable en ce jour, je me positionne au milieu de la pelouse, les orteils dans l’herbe. A partir de là, je suis bien incapable de dire ce qui se passe vraiment autour de moi. La seule certitude, c’est que je suis assailli de diverses manières : une langue de cuir vient me claquer régulièrement dans le dos, un bien long brin de cuir vient régulièrement enserrer mon torse … il y a même un fouet qui ose venir passer par-dessus mon épaule pour venir s’acharner sur ma main. Le fouet arc-en-ciel semble appliqué de manière légèrement différente : un ou deux brins viennent claquer avec un léger retard. Ca claque, ça mord, ça cingle, ça virevolte, mon esprit s’envole et se délecte … Pour autant, comme hier, je me sens particulièrement réceptif, et je me laisse bercer par cette vivifiante fouettée extérieure. J’ai l’impression qu’il y a un passage de relais dans mon dos. Les cibles visées et la façon d’impacter sont différentes, peut-être moins variées. Il faut dire que tu es plutôt du genre à ne pas faire de jalouses entre les diverses parties de mon corps. Ce que je n’aurais pas soupçonné, certainement plongé dans mes sensations, c’est que vous vous êtes mis à quatre mains pour vous occuper de moi pendant quelques minutes. Limite inattentif le nounours ! Il faut dire qu’à ce moment-là je suis plus dans l’intensité des impacts que sur leur fréquence. Effet chauffant efficace après de longues minutes offert à vos tourments respectifs, je suis en nage, mais ravi de l’être... La pause est la bienvenue, sous une bonne douche régénérante. Visiblement tout le monde en a bien profité, Maitresse comme moi.
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