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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Mes debuts dans la Domination avec Miss Pestouille
Une journée pas comme les autres écrite à quatre mains
Beau souvenir
Nous devons nous voir avec Miss Pestouille
Moi : Je suis dans le train. Je reçois un texto de la Miss Pestouille qui a loupé son train. Pffff, Je ne suis pas étonnée, elle va me faire attendre ENCORE UNE FOIS!!!
Je lui promets une fessée, encore une. Je patiente en faisant les magasins et en la maudissant.
Elle arrive vers moi, enfin!!! Toute mimi, en jupe, comme je lui ai demandé. La jupe est bien courte, on voit la lisière de ses bas....
Elle : (ben oui, quoi, jamais fichue d'être à l'heure, je sais, pardon ma Dame, mais je me suis dejà excusée plein de fois... comment ça, j'ai toujours des bonnes excuses? mais non c'est pas pour avoir des fessées en rab... :p
Elle : cela faisait deux semaines que nous avions envisagées de nous voir, cela faisait un bon moment. ça nous changerait chacune les idées, on se fait toujours de ces parties de rigolade! nous deux dans un magasin bdsm, je me rappelle encore de la première chez D., on s'était faites repérées et disputées car ma Dame posait pour des photos salaces (avec le plus gros gode du rayon, impressionnant, c'est qui la gourmande? et aussi elle essayait des martinets sur moi, me faisant cirer de... surprise, et bien rire un dom qui assistait à celà .
je pensais venir en tenue décontractée, mais en discutant la veille avec ma Dame, elle m'interdit le jean :(, jupe obligatoire. En même temps, je lui ai confié vouloir un serre taille et quelques achats, un corset peut etre, si j'ai un coup de coeur!
-après une nuit courte et agitée, ben oui, j'avais le trac, elle me fait un de ces effets, ma Dame! ça et les discussions sur le minou au soir, avec quelques filles, Msr L... toujours aussi agréable euh ronchon, K qui reclamait des photos, alors qu'Il ne veut meme pas faire honneur aux enchères!! ;) et s'invitait presque au dejeuner, pour finir par se défiler (Il a affreusement peur du Maitre de ma Dame, je vois pas pourquoi!). j'étais toute excitée moi.
Lever difficile, je me suis préparée non sans mal, distraite par ma Dame qui me salue et papote sur le net. je me suis faite toute belle, vu que je La rencontrais de nouveau!!! lisse, crèmée, dessous sexy, ma jupe et mes bas, un pj, un top assorti, hésitant entre escarpins et bottes, je mets les dernières et emporte les autres! je fus chargée comme une bourrique, qu'elle blonde, ah non, la blonde c'est ma Dame, pardon faut pas que je dise cela :)
ça m'a fait tout drole, frissonnant a un moment, on aurait cru que je me préparais pour aller voir mon Maitre, ben non marre des doms, qui tiennent pas le choc, je préfère me consacrer à ma Dame pour qui j'ai eu un vrai coup de coeur.
l'heure tournant, je suis partie à la hâté, oubliant mon tel, pffff... j'arrive a la gare, le train part devant moi... aie, je m'étais promise de pas être en retard cette fois!)
je préviens ma Dame et prend le suivant, pour enfin la rejoindre, toute embarrassée mais ravie. Qu'est ce que je vais encore ramasser^!
Enfin, je la retrouve, la salue, l'embrasse. Ses levres me frolent , Ouf! j'ai cru que j'allais devoir m'excuser a genoux en public, mais elle a trop faim, elle m'en fait grâce... vite il faut contenter Madame.
En marchant, ma jupe me pose souci, la doublure remonte, j'essaie maladroitement et genée, dans la rue, d'y remèdier. Dame Hydréane, ni une ni deux, passe sa main sous ma jupe pour tirer sur la doublure, oui tu parles. me voila surprise, toute rougissante!
Moi : j'adore tu rougis si facillement Pestouille ...
Nous allons déjeuner dans une brasserie sympa où le serveur nous drague, nous disant qu'il nous a vues arriver , que l'on était classe ( ba oui les soumises sont classes, il croit quoi celui la).
- Oui enfin surtout ma Dame, trop élégante et sexy, avec sa robe boutonnée de bas en haut, qui remonte quand elle marche, devoilant ses magnifiques jambes. Elle est toute appretée, faisant très naturelle en même temps, juste ce qu'il faut, très attirante, il a raison ce serveur^^ mais grrrr, pas touche! deja que je partage Madame avec Msr S ****** faut pas abuser!
nous discutons de tout et de rien, confidences entre filles... dejeuner bref mais bon, Madame dit qu'on a pas que ça a faire, des achats surtout! je suis, je n'ose La contredire.
Moi : Direction le magasin M. (merci le GPS intregré dans le téléphone de Pestouille qui nous a beaucoup aidées)...
- Elle : et oui, Madame a un sens de l'orientation aussi aiguisé que le mien, donc ni une ni deux, nous sommes arrivées au magasin repèré par ma Dame, après quelques détours. je regarde au passage les vitrines, les robes, mais d'un ton ferme, Madame me rappelle qu'on est pas venues pour cela, qu'il faut se hater, je ne la savais pas si autoritaire!!! j'en frémis encore^^
Moi : Nous nous glissons dans le magasin, qui est assez classe, il y a peu de" jouets " , certains en vitrine. Les murs sont en vielles pierres. nous regardons, touchons et admirons tout. Mais la ou j'emmène ma petite Pestouille c'est au sous-sol ...
- Elle : j'étais déja venue, ma Dame me montre les engins de torture (roulette pleine de pics, baguettes et autres), qui la tentent ; non pitié, je la supplie du regard de ne pas essayer ceux là sur moi, cette fois en plein milieu de la boutique, ouf elle renonce quand nous trouvons au sous sol ce qui m'interressait.
j'ai bien essayé de La conseiller en matière d'intruments pour chatier son taquin de Maitre, mais elle ne veut pas ..
Moi : Nous tombons sur les serre-tailles que Pestouille recherche... elle en trouve un qui lui plait, mais doit l'essayer! direction les cabines d'essayage...
Elle : je me la joue discrète, furete, regarde, il y a tant de choses à voir, tentantes et quelques modèles qui me plaisent, certains peu abordables dommage. mais ma Dame en trouve un sobre, qui me plait beaucoup. Elle interpelle la vendeuse, alors que je file en cabine. ou je commence seule à me devetir. la vendeuse demande si elle doit aider, je decline l'offre car....
Moi : Evidemment, je rentre dans la cabine avec elle, pas question de la laisser seule, elle serait perdue sans moi^^ et mon Maître m'avait ordonné de l'aider ^^ je me suis pliée avec plaisir à Ses ordres.........
Elle : j'ai pas eu le temps de dire ouf que nous voilà a deux dans la cabine, je continue à enlever le haut, un peu embarrassée et essaie de mettre ce fichu machin sublime. "Bah faut enlever ta jupe pour l'essayer!" me dit-Elle... euh oui Ma Dame, bon me voilà en dessous.
Moi : Déshabillage de la belle. Oups, mince, elle est jolie en dessous noir et porte jarretelle assorti (je me pose la question si c'est pour moi qu'elle a mis ça)....
Elle : -oh merki, encore a rougir, et oui en réel, je suis bien plus timorée et là, Madame est bien plus devergondée, qui aurait cru... oui c'est pour elle euhhhh et pour me sentir aussi bien, attirante. Cette idée évoquée en plaisantant me tentait bien, excitante situation qui ne m'est pas commune!
Moi : Je l'aide, non sans plaisir, à mettre le serre taille.. evidement que le frole et la pince , elle rougit encore ...
Elle : aieeeeeeeeeeeeee! mais comment il se met ce truc, je me suis coincée la peau, pis y a des attaches qui partent en haut quand j'essaie de mettre celles du bas, et encore on a pas resserré! ah faut enlever le soutien gorge? bon en temps normal oui mais la bon, et puis non hé, la vendeuse elle vient pas s'en meler, bientot elles vont ouvrir le rideau.
Il me faut essayer deux tailles différentes et voila Madame et le vendeuse qui s'affairent a me trouver le bon. Pas de corset dans le même genre dommage...
Moi : Il faut être deux pour le mettre, personne ne Me dira le contraire. (voire trois !) Je frôle sa douce peau...
Hum, Je serre fort le cordon....
- Elle (mais euh je peux plus respirer, oui c'est joli, ça fait la taille fine, mais euh c'est toujours aussi serré, ah ouf, ça se détend a force de le mettre ok!)
Moi : Hum sa taille est vraiment cambrée, elle est vraiment belle ainsi.. oups claque sur ses fesses, Je ne peux m’empêcher...
Elle : rhooo mais pas ici, remarque depuis le temps que j'attends Ses fameuses fessées, après Son entrainement par un certain Maitre S. Mouais, un peut plus fort , ça m'étonne pas, vu le pas pro-fesseur^^
Moi : On ajuste le serre taille, ça lui va bien Je trouve, il lui manque le collier.... Je prends des photos d'elle, normal non , je la trouve trés belle avec ses seins qui ressortent ..
Elle : merci Ma Dame, je suis ecarlate déjà, Vous en rajoutez, c'est fait exprès ou quoi? ??? Ah oui, le collier, la laisse aussi pour pas que je me perde dans le métro ou les rues du quartier en cherchant les boutiques^^
Moi : si tu me le demande pourquoi pas charmante Pestouille ...
Elle : me fait me devetir peu a peu, je sens Son regard sur moi, puis Elle me touche, m'effleure, replace ce serre taille, quant à mes seins , Madame les prends dans ses mains pour les remonter .., redescend, le centre par rapport a mes fesses... Ses gestes assurés, sensuels, me donnent soudain très chaud, je risque pas d'attrapper froid, je suis toute tendue et emoustillée, quand elle sort de la cabine, le souffle un peu mais regrette déjà qu'elle se soit éloignée. je dois me rhabiller, Elle m'aide a défaire le vetement, Ses mains comme Sa vois sont douces, sauf quand elle monte le ton. Son rire, si cristallin me transporte...
quoi des photos? oui je Lui appartiens, Elle a le droit sauf de les montrer à n'importe qui ..
nous choisissons de faire d'autres en boutiques avant de succomber devant ce modèle et je me rhabille pendant que ma Dame le remet en place
Moi : Nous repartons d'abord, sans rien, décidées à voir le magasin dont MONSIEUR L .. nous a parlé.... Nous marchons un moment, cherchons le magasin des yeux : pas de magasin à l'adresse indiquée!!! MERCI MONSIEUR LE DINOSAURE , le magasin est fermé!!! Je maudis L... et promets de le fouetter à la premiere occasion.. vous n'aurez pas les photos pour cela!
Elle : ah j'aime quand ma Dame exerce son courroux sur quelqu'un d'autre, ça va morfler, le fouet en plus^^ mais Il va pas supporter à son age, Madame...
Que nous avons marché et monté d'escalier, épuisant, mais ça fait de jolies jambes il parait... très déçues de trouver une vitrine vide, maudit soit ce Msr L.
notre vengeance sera terrible...
Moi : Nous traversons Paris pour un autre magasin , où j'avais vu des corsets et serre tailles vers Pigalle. Coup pour rien car ils n'ont plus ce que l'on cherchait, mais J'ai quand meme pris un palabe et en ai donné quelques coups sur les fesses rebondies de la pestouille .. qui a eu les yeux qui brillaient! Je sais qu'elle aime ça et son air quand elle m'appele Ma Dame ne me trompe pas..... Cher lecteur, Je ne peux vous dire ce qui s'en est suivi mais c'etait divin.
Elle : je ne connais pas ce quartier, pas très bien fréquenté, elle est folle ma Dame, mais avec quel pervers Ma Dame à t'elle osé y aller , je me doute de qui , ça m'étonne pas, ma pauvre Dame ^^
Elle me montre un hammam libertin qu'elle apprécie beaucoup, toute émue, elle est si touchante et si belle, je l'admire tant... Quel courage de subir ce pervers , vraiment. le lieu a l'air a l'interieur très joliment agencé et l'ambiance, agréable. C'est très chaud, il parait. j'avais défié ma Dame qui disait qu'elle m'y ferait entrer, alors que je n'ai pas très envie, ne me sentant pas très a l'aise dans ce genre de lieu, mais Elle n'a pas osé, par manque de temps paraiit il.
la boutique recèle d'autres trésors mais pas ce qu'on desirait trouver... peu importe, ma Dame et moi sortons et reprenons les transports!
Elle doit partir donc je La laisse tristement s'en aller et suis bien décidée a aller retrouver ce modèle vu et essayé, qu'elle a touché de ses mains, frolant mon dos, mes fesses, qui lui a devoilé mes formes, cette fois^^
Elle : chacune est rentrée, sagement, et nous voilà des souvenirs plein la tête, eclats de rire, vives émotions, que de rouge aux joues et vagues de chaleur pour moi^^
Moi : nous ne nous reverrons pas de suite, mais j'en ai deja très envie. gardons pour nous les choses plus intimes..
Lady H et MissPestouille ...
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L’attente et le temps ont des vertus sur un soumis que la plupart des sévices ne peuvent qu’affleurer. C’est en tout cas ce que professaient mes premiers Maîtres.
A leur service, je m’étais découvert des capacités insoupçonnées à rester à genou, accroupi, ou à rentrer serré dans la petite cage grillagée qu’ils me destinaient.
Je devais leur être soumis depuis un peu plus d’un an. Étudiant, je passais la plupart de mes week-end chez eux, dans leur villa. Mes Maîtres n’étaient pas totalement débutants, ils avaient eu une soumise avant. Mais, ils aimaient à le répéter, j’étais leur “seconde création”. Ils voyaient d’ailleurs ce que nous vivions comme une sorte d’expérience artistique. Une sorte de happening dans la durée. J’étais la glaise et ils me sculptaient. J’adorais cette idée qu’en les servant, je devenais leur œuvre d’art.
A chaque séjour chez eux, je m'apprêtais à découvrir quelle nouvelle idée de tourment ils avaient imaginé et, souvent, je découvrais combien mon imagination était limitée.
Comme d’habitude, ils m’avaient récupéré en gare vêtu légèrement, et comme à chaque fois une halte entre la gare et leur villa avait permis que je termine le chemin nu, dans le coffre, une chaîne cadenassée au cou. La position était inconfortable: sous moi une roue de secours dont le métal brûlait ma peau et le caoutchouc la râpais venait ajouter à la chaleur étouffante de la fin d’été de la Côte d’Azur. Je n’étais pas lié, donc j’y recherchais vainement une position la moins inconfortable possible dans les cahots. Ce trajet, d’un quart d’heure peut être, était un sas qui me faisait passer d’humain soumis à jouet sans volonté propre.
J’en sortit dans le garage et repris ma position d’attente appuyé sur le véhicule, membres écarté. Je devinais une agitation à l’extérieur sur la terrasse qui m’indiquait la présence de convives.
Mais le temps d’apprécier la situation ne m’est pas laissé. Madame prends la chaîne autour de mon cou comme une poignée et me tire à sa suite. Je suis plié en deux, tête au niveau de sa taille, à moitié étranglé et je peine à suivre son pas. Mon champ visuel est réduit au carreaux et aux séduisants mollets de ma Maîtresse.
Nous traversons la maison et allons vers la terrasse. Je ne sais pas combien de personnes sont autour de la table, je ne le saurais pas.
Madame tire la chaîne qui enserre mon cou vers le haut. Je dois me mettre sur la pointe des pieds face au crépi pour suivre. Elle clippe un mousqueton et je me retrouve coincé: si je descends de la pointe des pieds les maillons viennent tirer douloureusement contre ma mâchoire.
Autour de moi, des bruits de table, de discussion, quelques claquements de gifle ou fessées. Personne ne semble avoir remarqué mon arrivée.
La chaîne est si tendue que si j’écarte la tête du mur, si je la tourne de côté, je perds de précieux millimètres qui accroissent la pression sur ma nuque et la mâchoire. Je vois quelques bribes en vision périphérique, mais aucun détail.
De toute façon, l'inconfort de ma situation accapare toute mon attention.
Je sens une main sur mes bourses. Quelqu’un les tire vers le bas, impossible de compenser en suivant des cuisses. La personne s’amuse à malaxer mes testicules, à les tirer. On m’y passe un parachute de cuir. Je sens son intérieur tapissé de petits piquants. Je ne connais pas encore l’instrument, mais j'appréhende les poids qui vont tirer dessus.
J’avais raison, la personne qui joue de moi lâche brutalement un poids et j’ai d’abord l’impression que mes testicules vont s’arracher avant de sentir la piqûre de cent aiguilles autour du paquet. Malgré ma volonté de faire honneur à mes maîtres, un cri m’échappe et j’agite inutilement mes mains autour de moi comme pour me retenir à l’air.
L’assistance s’en amuse. On commente sur mon côté douillet, je suis mortifié de ne pas avoir fait honneur à mes propriétaires.
J’identifie à l’odeur la nouvelle présence derrière mon dos. Monsieur se saisit de mes poignets et guide mes mains au-dessus de ma tête. Je suis le mouvement sans résister. Avec un cordon mes deux coudes sont croisés, puis liés l’un à l’autre derrière ma nuque. La position presse ma tête vers le mur, tire douloureusement mes épaules et expose mon corps. Monsieur aime m’infliger cette posture à la fois simple et exigeante et qui enlève toute protection au corps.
De contraignante, ma position devient vraiment douloureuse.
Une main inconnue affleure mon dos. Je frissonne. Elle est remplacée par la brûlure de lanières de martinet. La surprise passée, ce n’est pas trop dur. Les coups tombent dru mais le martinet n’est pas trop méchant, même avec quelques mois d’expérience je les endure sans mal. En revanche, je dois contracter tous mes muscles pour éviter de bouger. Chaque mouvement fait balancer le poid qui tire sur mes couilles et glisse les gros maillons contre mon cou.
Quelqu’un essaie de donner de la cravache sur mes testicules. Les coups me font peur, mais la plupart atterrissent sur le cuir du parachute ou les chaînettes des poids. Un ou deux touchent et me font crier.
On me met un linge en bouche, un torchon ou une serviette. Je suis rempli de tissu et mes cris sont étouffés.
Plusieurs se succèdent à jouer de moi et mon endurance est mise à rude épreuve.
Dans les moments de pause, mes mollets tremblants de tétanie me tourmentent, ma nuque est raide et douloureuse, ma mâchoire meurtrie des frottements contre la chaîne.
Mes mains sont gourdes d’être restées si longtemps au-dessus de ma tête.
Je sens un corps chaud contre le mien, avant même qu’elle ne parle je reconnais ma Maîtresse. L’odeur, le toucher. Elle est très douce, chatte contre mes muscles tendus. Ses doigts sont caressants et ses ongles affleurent mon torse me donnant des frissons.
“Je veux te faire crier, tu me donnerais ça ?” Elle connaît la réponse, je sais. Je suis à bout, mais je veux la satisfaire, je veux qu’elle fasse de moi, de ce corps son jouet, son plaisir.
Elle me scrute en silence, toujours caressante. J 'hoche plus ou moins ma tête contrainte.
Elle sautille joyeusement, “merci”, et m’embrasse en haut de la colonne avant de s’écarter.
Le premier coup me fait bondir, oubliant la chaîne. Je connais cette morsure. C’est un martinet que j’ai tressé à la demande de mes Maîtres. Court, fait de cordelette synthétique noire terminée avec trois nœuds sur chacune des six queues. Ils m’avaient demandé de fabriquer un martinet qui me fasse peur, je m’étais surpassé. Cette cochonnerie était une horreur donc je n’avais testé l’efficacité qu’une paire de fois.
Madame continue avec enthousiasme. Ses coups sont réguliers, tombant sur tout mon corps. Elle attend une ou deux secondes entre chaque coup pour me regarder encaisser. Je crie dans le baillon. Elle est enthousiaste, et accompagne la flagellation d’encouragement à danser d’un ton joyeux. J’ai l’impression que ma peau éclate en multiple endroits à chaque impact. Je ne sais plus ce que je fais, je lutte contre les liens, je sautille, je m’étouffe. Mais le supplice continue. Une crampe vient prendre mon mollet. Mais le supplice continue. A un moment, je pends au bout de la chaîne, ne luttant plus. Madame est collée contre moi, câline et me murmure “merci, merci”. Je n’arrive pas à interrompre mes sanglots. Monsieur vient aider Madame. Ensemble, ils détachent mes bras qui tombent sans force. La chaîne est détachée et sans leur soutien je m’écroulerai.
Ils m’allongent au sol et me retirent le bâillon. Je sanglote encore. Ils me donnent un jus de fruit à boire avec une paille. Madame me parle doucement, me remercie. Mes mains reviennent à elles et piquent désagréablement. Je reprends un peu de vigueur. Je constate que mon corps est moucheté des traces du martinet, mais je ne vois qu’une ou deux petites plaies. Ce constat me rassure un peu.
“Tu vas continuer” dit elle gentiment mais d’un ton sans appel. J’acquiesce silencieusement.
Madame s’assoit sur une des chaises, écarte les jambes. Elle ne porte rien sous sa robe courte. J’obéis à l’appel sans qu’elle aie à formuler d’ordre. Tôt elle m’a entraîné à la satisfaire et je m’y emploie avec enthousiasme. Mon cou est raide, dur de l’immobilité subie. Mais j’y trouve une motivation supplémentaire à mon effort. Elle est très excitée, et elle vient vite plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. Monsieur est à coté, sexe sortit. Elle le branle et elle relève ma tête vers sa verge alors qu’il jouit après elle. J’en attrape le plus possible au vol. La encore, je connais mon role et j’embouche le sexe qui débande pour le nettoyer de ma langue et mes lèvres.
Autour de nous une paire de convives applaudit.
Une femme demande si je peux la nettoyer, et Madame m’y enjoint. Son sexe est poisseux de foutre et je le lape propre. Excitée par le traitement, elle jouit dans ma bouche.
Les invités sont moins nombreux que je ne croyais, deux couples en plus de mes Maîtres. Un des couples, la cinquantaine, est clairement purement dominant et est accompagné d’une soumise qui malgré sa quarantaine affiche un corps superbe. Le second couple dont j’ai servit la femme est un peu plus jeunes, la même trentaine que mes Maitres sans dout.
Madame me récupère et je finis la soirée à ses côtés. Elle encourage des ébats, me fait lécher les bourses et la verge de son cavalier pendant qu’elle s’offre à une sodomie. Je termine la soirée à quatre pattes servant de support à la soumise que Monsieur couvre de cire.
Les convives partent, je suis épuisé, agenouillé au pied de ma Maîtresse. Monsieur revient et me flatte de sa main sur le crâne “tu as été bien”.
Je me sens très fier de les avoir honorés.
“Nous avons prévu une autre surprise pour toi” me dit-il.
Je reste silencieux sachant qu’en général leurs surprises sont éprouvantes.
Je rentre dans la villa suivant sa traction sur mon collier de chaîne.
Monsieur s'arrête à l’angle du couloir.
“Voilà”
Je ne comprends pas.
“Voilà ton nouveau coin de nuit”
Les briques nues rejoignent un sol de dalles roses en terre cuite. Je ne vois pas trop en quoi c’est aménagé.
“Tu vas voir, ne bouge pas”
Je reste assis sur place pendant qu’il s’absente.
Il revient avec une sorte de muselière de cuir.
Il me l’enfile. La chose me couvre du menton à sous le nez avec une excroissance qui entre dans ma bouche. Ce n’est pas inconfortable, mais je ne peux ni ouvrir ni fermer ma mâchoire. Il y’a un côté protecteur dans la pression du demi masque, mais je reste perplexe de la suite.
Monsieur prends mes cheveux en main et guide ma tête vers le sol. A peut être 20cm du sol, un anneau fait saillie du mur. Jumeau de l’instrument de supplice du début de soirée, il permet d’y accrocher l’anneau qui fait saillie de devant ma muselière. Monsieur clipse un cadenas entre les deux et fait un pas en arrière.
Madame nous a rejoint et c’est elle qui parle en premier. “Ah tu as découvert ton petit coin. Je suis certaine que tu vas en apprécier la perversité.”
Les quelques secondes m’ont permis de tester les mouvements possibles: impossible de poser la tête à terre, impossible de s’adosser au mur. Même si mes mains et mes jambes sont libres, je suis coincé face au mur.
Mes Maîtres me laissent. Ils débarrassent, rangent. Ma position est franchement inconfortable, mais surement, ils vont me détacher pour me faire dormir au pied du lit.
C’est la soumise, que je croyais partie, qui m’apporte une couverture.
Madame repasse, “Ah Marie a pris soin de toi. Pense bien à nous, c’est elle qui est dans notre chambre cette nuit”.
Je ressens un pic de jalousie féroce qui doit se voir dans mon regard.
Madame caresse ma joue, “Tu souffres pour ton Maître et moi. C’est pour t’apprendre la patience, et aussi pour le plaisir que nous avons à te savoir là. Profites-en, cette nuit, tu peux te faire jouir autant que tu veux.”
Je suis perdu un instant entre plaisir, désir de plaire, frustration, jalousie. Mais surtout je me retrouve seul, dans le noir, dans une position qui empèche tout sommeil récupérateur et les moustiques pour seule compagnie.
Malgré l’inconfort et la fatigue, ma plus grande frustration est que le bruit des grillons couvre les ébats que je devine derrière la porte close au bout du couloir. C’est en l’imaginant que je me fais jouir.
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Les mémoires d'un sérail dominateur : chapitre 9
La justice doit passer
Vous vous doutez bien, qu'au cours de ma longue et fructueuse carrière d'(im)pitoyable dominateur, les sollicitations à mon égard ne manquèrent guère. Certaines directes, d'autres plus subtilement déguisées. Je vous en livre une, à classer bien évidemment (quoique...) dans la seconde catégorie:
La Dame Du Lac
APPEL A CANDIDATURE
Soumise recherche pour Domination réelle : Maître expérimenté.
CRITERES PHYSIQUES
Age : entre 40 et 50 ans
Taille : 1,70m à 1,80m
Yeux : bleus,verts, marrons (au choix du candidat)
Cheveux : (au choix du candidat)
poids : de 75 à 85 kg
Aspect corporel : Athlétique, avec plaques de chocolat (des plaques....pas le chocolat)
Attributs de bonnes dimensions seraient un +
Corps totalement dépourvu de poils (peut favoriser le candidat)
CRITERES MATERIELS
Habitation : Maison individuelle sur terrain arboré avec piscine (maison de Maître ou petit château sur propriété clause seraient les bienvenus)
Véhicule : Rolls Royce, Ferrari, Mercedes
SPA - jacuzzi
Court de Tennis
Ecuries
Chenil (chasse à courre envisagée)
CLASSIFICATION SOCIALE
Riche, très, très riche
Carte bancaire illimitée, Platinium indispensable
Bijoux et tout autre don à la convenance du candidat
Si cette offre vous intéresse, veuillez adresser votre candidature à La Dame Du Lac, sous pli cacheté, avant le 23 Juin 2014 à 0 heure.
Comment répondre avec tact à la dite personne devant une telle insistance? Car évidemment cette demande m'était destinée. Dans un premier temps plusieurs réflexions m'assaillirent:
_ Quel courage de faire cette demande en public, devant son maître entre autres! J'en étais admiratif. Mais aussi un peu mal à l'aise car à l'évidence, tout le forum ne pouvait penser qu'à moi. J'eus préféré plus de discrétion
_ Cela m'amena à ma seconde réflexion (le lecteur assidu de mes mémoires retrouvera là mon sens inné de la transition): comment a-t-elle pu en savoir autant sur moi??? Une description physique aussi précise ne peut s'inventer! Tout comme la marque de mon véhicule (pour la semaine... celui du week-end est plus haut de gamme, enfin quelque chose qu'elle semblât ignorer sur moi) ou mon cadre de vie. Qui donc avait bien pu parler?
_ quelque part je lui en voulais un peu, car si je comprenais l'évidence de sa sollicitation, ma réputation ayant depuis bien longtemps dépassé les portes de ma douce Bourgogne, livrer au public toutes ces informations sur moi mettait à mal ma feinte modestie.
_ Pire que tout: comment allais-je pouvoir répondre à toutes les autres demandes qui ne manqueraient pas d'arriver d'autres soumises? Déjà qu'en temps normal j'ai du mal à suivre le rythme infernal de ces courriels ou MP... . Mais je dois dire que je mets toujours un point d'honneur à répondre personnellement; ces demandes ne sont jamais transmises à mon secrétariat pour une réponse aussi automatique qu'impersonnelle. Comme disent toutes les personnes qui me connaissent un tant soit peu: on a la classe ou non.
Je me fendis donc de la missive suivante:
Chère (€) Madame,
nonobstant le portrait aussi précis que flatteur (bien qu'amplement justifié) que vous fîtes de mon auguste personne, vous me voyez au regret de ne pouvoir donner une suite favorable à cette -fort compréhensible au demeurant- requête. Mon emploi du temps surchargé ne me permettrait point de mener convenablement à bien une aussi délicate mission. Ma réputation ne saurait en outre souffrir d'une quelconque tâche que représenterait à l'évidence un dressage bâclé. De même les saillies qui contribuèrent à mon aura ne sauraient être dévalués. Je transmets néanmoins votre émouvante candidature à mon service du personnel et nous ne manquerons pas de vous recontacter au cas (fort improbable certes) où une place se libérerait dans mon harem. Vous invitant par honnêteté à ne pas attendre avec trop d'espoir un temps illimité, je vous souhaite nez en plus bonne chance dans vos recherches. Je me permettrai juste un conseil si vous voulez vous donner toutes les chances d'aboutir: je vous invite à baisser sensiblement vos critères de recherche étant assurément le seul actuellement de ce côté-ci de l'univers à correspondre point par point à ce profil. Bien à vous,
Softail
Ma seconde tâche consistait à identifier la personne m'ayant - peut-être involontairement certes- mis dans cette assez fâcheuse situation. Je m'attendais à ce sujet à recevoir incessamment une missive courroucée de son actuel Maître ce qui au fond eut été bien compréhensible bien que je fusse totalement innocent dans cette triste histoire. Chaque chose en son temps. Après une courte mais intense réflexion, une profonde et hautement perspicace analyse m'orientait obstinément toujours dans la même direction: Huguette. Le faisceau d'indices que ma finesse d'esprit avait promptement mis à jour ne laissait guère de doute quant à la culpabilité de la belle. La sentence tombait sans délais (condition indispensable à une justice adaptée et reconnue, voire recherchée): après avoir pris en compte des circonstances atténuantes (son absence de volonté de me nuire, doublé d'une faiblesse humaine fort répondue consistant à se faire mousser en disant qu'elle me connaît), je renonçai à lui infliger la sentence la plus dure: aucune nouvelle de moi pendant 48 heures. Je sais trop les effets dévastateurs que cela peut avoir sur quiconque. Je lui annonçai donc 100 coups de fouets, qu'elle devrait compter, à notre prochaine rencontre, sans avoir le droit de jouir pendant la séance (je sais combien ce sera difficile tant ma seule présence peut conduire toute femelle au bord du plus terrible des orgasmes). J'avais bien conscience d'être impitoyable, comme toujours, mais juste, comme toujours; justice serait donc faite
Huguette, visiblement terrassée par le remord me répondit promptement :
Cher Maître,
bien sur je vous ai reconnu dans la description de notre grande DDL, c'était votre portrait craché. Who else ? Je me proclame pour autant innocente du forfait dont on m'accuse.
Vous savez bien avec votre idée de Harem que je ne suis point d'accord mais mon coeur est grand alors j'inviterais vos soumises à faire un tour sur les Bateaux Mouche Parisiens et leur apprendrai alors à nager (avec des palmes en béton). Cher Maître, ne me remerciez pas, je fais tout pour vous plaire.
Comment vous dire cher Maître quant à ma future punition : n'y pensez point, mauvaise idée ! 100 coups de fouet : vous savez combien vous êtes émotif, à me voir en larmes assurément vous craqueriez. Et pensez à votre bras si fragile, à peine remis de votre cravache Elbow ; bref épargnez vous tout ce mal.
Votre soumise dévouée et attentive à son Maître
Huguette
Ma réponse ne tarda point non plus :
Ma tendre Huguette tant de sollicitation me va droit au coeur. Et ma cravache droit sur ton cul. Tout est intimement lié...
A la réflexion, la DDL avait tenté une manœuvre bien compréhensible. Elle n'était ni la première ni la dernière à ressentir à l'égard de ma personne ce poignant sentiment. Et j'étais comme à chaque fois touché. Mais à nouveau je ne pouvais être partout. Et puis c'était à croire qu'elles voulaient toutes me faire détester des mâles du forum. Cruel destin que celui des sex-symboles. Bien peu ici peuvent me comprendre je le sais.
Comme prévu ces révélations me concernant déclencha un déferlement de chaudasses en chaleur sur ma fiche. Un goujat ferait assurément un simple copié-collé de la réponse à Morgane cette fois, la suivante sur ma liste du jour, mais en homme qui met toujours en corrélation ses actes avec ses paroles, je me devais de faire une réponse personnalisée à cette nouvelle candidate malheureuse.
Chère Morgane, cet aveu aussi spontané qu'inattendu m'a touché. Sa publicité met à mal ma modestie mais je conçois aisément que l'on aie envie de faire partager son bonheur. Je dois bien avouer que ta candidature ne manque pas d'atouts, ton coté switch notamment, et je reconnais qu'en d'autres temps, la faiblesse eût pu gagner mon âme immaculée. Mais te déglinguer je ne puis : la droiture qui me caractérise - et 5 autres soumises étant attendues de l'étranger d'un jour à l'autre- tu me vois au regret de devoir décliner cette offre pourtant Ô combien tentante. Je garde néanmoins précieusement cette missive et ne manquerai pas de te recontacter au cas - fort improbable certes- où une place viendrait par extraordinaire à se libérer dans mon cheptel. Te souhaitant sincèrement beaucoup de courage pour affronter cette impitoyable réalité et te souhaitant du fond du coeur un prompt et quasi total (bien qu'impossible évidemment) rétablissement, bien à toi
Softail
Et dire que des années après, ça continue...
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Bonjour a tous,
Je vous livre ce triptyque en vous donnant un peu de contexte afin que vous puissiez mieux comprendre le pourquoi du comment.
Il s’agit tout d’abord d’une fiction, et en aucun cas quelque chose que j’aurais vécu d’aucune maniere que ce soit. L’origine vient d’échange avec un potentiel partenaire très joueur adorant les questions/reponses bien kinky, des jeux de hasard avec des gages... qu’il realisait a chaque fois qu’il perdait... plus souvent qu’à son tour, etant moi meme particulierement joueur et creatif. Il m’est arrivé de perdre, et l’un de mes gages devait etre d’ecrire 3 histoires. Etant tres imaginatif, j’ai preferé ecrire une meme histoire en 3 chapitres. Bon pas facile a faire sur un telephone portable...
Derniere clé pour comprendre les themes, Alejandro (c’est son vrai prenom) exerce un metier decrit dans le texte, il est beau comme dieu, gay, tres soumis, adore les trucs bien crade, et la nature l’a doté d’un sexe a faire palir de honte un ane!
CHAPITRE 1
Premiere histoire, special dedicace, j'espere qu'elle te plaira...
Alex est un homme d'une trentaine d'année, pluto sportif avec un physique avantageux, et une situation professionelle maintenant bien etablie. Sophrologue dans un centre de soins, il recoit ses patients toute la journée. Entre deux rendez vous, il consulte ses emails, sur les differents sites de rencontre auquel il est abonné. Il est celibataire. Sa vie tourne rond, le soir il rentre chez lui apres avoir parfois pris un pot avec les collegues. Parmi eux il y a Leaticia, grande brune au regard enigmatique et aux courbes magnifiques qui se joint toujours a eux, car elle aimerait bien avoir une conversation d'un autre genre avec lui. Elle fantasme parfois, revant qu'il la prendrait sauvagement sur son bureau. D'ailleurs elle porte tous les jours, des robes , des jupes plus ou moins courte, haut moulant, ou chemisier montrant un avanageux decolté, sans compter de l'attention particuliere qu'elle apporte a ses dessous, porte jaretelles et bas quasi tous les jours. Mais Alex ne voit pas cela, car il est tout simplement gay, mais personne ne le sait, et il fait tres attention que cela ne se saches pas, de peur que cela nuise a sa reputation professionelle. Rentré chez lui, Alex passe son temps a mater des films porno gay et a tchater sur des sites de rencontres afin d'y trouver un partenaire, d'un soir, ou l'homme de sa vie.
Un jour ouvrant son courrier electronique il y trouve un email lui disant qu'il savait qui il etait et qu'il publierait des photos de lui a poil, en train de sucer ou de s'engoder sur l'espace public, dans son hall d'escalier, pres de son cabinet,... il fut surpris, trouva cela un peu choquant, mais pensant plutot a une mauvaise blague, ou une tentative de phishing, il detruisit l'email sans trop y penser. Le lendemain il recevait un email de cette meme personne disant "alors ptit pd tu sembles par avoir compris mon premier email. Ouvre la photo attaché et tu comprendras" de nouveau choqué par le ton vulgaire de la note, il clic neanmoins sur la photo attaché et manque de s'ettoufer. Une photo de lui a poil en train de se goder... il accuse le coup et lit machinalement la suite de l'email. "je sais bien qui tu es, et ton seul choix est de devenir ma salope soumise. C'est ton deuxieme avertissement" un peu assommé il doit partir au travail.
Durant toute la journée Son esprit n'arrete pas de penser a ce dernier évènement. La journée se passe et il rentre chez lui toujours perturbé, avec le sentiment d'avoir mal travaillé. Certes, il a souvent fantasmé de se faire dominer par un ou plusieurs mecs qu'il aurait choisi, mais là les circonstances étaient troublantes avec l'impression d'etre en presence d'un malade mentale. Arrivé chez lui sa concierge l'interpelle. "ah monsieur Alex, j'ai eu ça pour vous aujourd'hui" et elle lui tend un colis et une grande enveloppe craft, le tout adressé a son nom. En continuant de faire la conversation avec sa concierge il ouvre machinalement l'enveloppe et regarde a l'interieur. Il referme celle ci précipitement en rougissant. A l'interieur une photo de lui a poil en train de sucer une belle bite. Il écourte la conversation et monte chez lui rapidement, en panic!
Il s'enferme a double tour, puis se decide a ouvrir le paquet. Dedans il y trouve un plug commandé a distance, mais sans la telecommande sans autre explication. Il sort la photo de l'enveloppe et decouvre un texte au dos de celle ci. "C'est ton dernier avertissement ptit pute. Demain est ta derniere chance avant que ta vie public ne s'effondre. Demain, avant de partir au travail tu placeras ce plug dans ton ptit cul de salope. C'est super ce que l'on fait aujourdhui, il est couplé à mon telephone, et je peux savoir quand tu le mettras et le commander a distance, comme et quand je le voudrais. Si tu ne me crois pas, met le dans ta bouche durant une minute. Je te rappelle que c'est ta derniere chance".
KO par la tournure des évènements, Alex decide de faire l'essai, apres tout... il le lave avant ... on sait jamais avec ce taré... puis le place dans sa bouche. C'est froid, un peu lourd, et il y a une petite antenne qui sort de la partie exterieure, montée d'une sorte de pierre preciseuse rose. Au bout de quelques instants, son telephone vibre. un sms..."bon choix slave, je vois que tu commences a comprendre que je ne plaisante vraiment pas". Alex recrache le plug medusé par le sms qu'il vient de recevoir. La menace prend vraiment forme et est désormais concrete. Son telephone revibre... un second sms..."changement de programme, finalement tu vas mettre le plug dans ton cul de suite. Et tu auras le droit de le retirer que demain matin pour chier, et le remettre apres ta douche tu n'auras que 40 minutes pour faire cela. Et lave bien ton cul et le plug avant de le remettre. Et n'oublies pas, ta concierge est très sympathique et bavarde, sans parler de tes collegues, Gerard, Paul, Leaticia et Melanie."
Effondré et vaincu, Alex se deshabille. Le plug est assez gros, pas question de l’inserer sans preparation. Il lubrifie son cul avec sa salive, se doigte, d'abord avec un doigt, puis relubrifie, et y fourre 2 doigts, et se relubrifie encore et encore puis y fourre 3 doigts. En meme temps il suce copieusement le plug qu'il a posé sur la table basse, puis fini par se pluger, pas facile ,il est assez large avec cet electronique a l'intérieur. Il est finalement en place. De nouveau un sms..."bravo tu as fait le bon choix, tu es desormais mon esclave. D'autres instructions te parviendront, mais pour l'instant, tu vas te branler, jouir au sol, et bien nettoyer avec ta langue. Tu prendras une photo avec ta langue bien sortie et pleine de sperme et me l'enverra par sms. " a peine la lecture fini que le plug se mis à vibrer...
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Elle m’avait envoyé le SMS promis, mais un peu tard: j’étais déjà reparti à Paris. Nous avions finalement convenu que je la préviendrai quand je repasserai sur Lille.
J’avais gardé de notre rencontre une brûlure cuisante pendant une bonne semaine malgré une application généreuse de biafine, mais j’avais été séduit. La connexion, l’intensité visible de son délice à me voir souffrir provoquaient mes érections rien qu’au souvenir. Encore aujourd’hui, elle est unique pour moi dans son centrage sur ma douleur.
Quelques mois étaient passés, c’était l’été. Je montais sur Lille pour assister à un concert avec des amis. Je lui envoyais mon planning de visite. Malheureusement, elle répondit à mon message qu’elle ne serait pas disponible le jour où je montais.
Un peu déçu, je me rabattais sur le programme de base: TGV, retrouver mes amis, concert, un bon dîner, hôtel et retour le lendemain matin vers Paris.
J’arrivais en gare, quand je m'aperçus qu’elle m’avait écrit.
“J’ai envie, attends moi à la sortie du métro devant la gare.”
La nouvelle me mit dans un état de désir intense. Dès la descente du train, je me ruais vers la station de métro.
Il pleuvait, et je devais avoir piteuse allure dans mon blouson sans capuche, sac à l’épaule.
Je la vis sortir du sous-terrain un peu essoufflée.
Elle me souriait.
L’idée que cette jeune femme, à l’air si candide manifeste une telle envie de prendre ma souffrance était grisante.
Elle ignora mon bonjour un peu timide, me prenant la main. Elle me tira vers l’intérieur de la gare, au sec.
Elle me guide dos au mur et m’embrasse. J’aime bien sûr.
Aux yeux des voyageurs qui passent derrière nous, nous sommes sans doute un de ces couples d’amants qui se retrouvent dans les gares.
Ce qu’ils ne voient sans doute pas, c’est qu’elle me laboure profondément le crâne, la nuque de ses ongles. Sa bouche ne m’embrasse plus vraiment. Elle aspire mon air, mes soupirs de douleur. J’ai l’impression qu’en transperçant mon crâne de ses ongles elle invoque un esprit de la douleur dont elle se gorge.
Je suffoque, mais je n’ose pas l’interrompre. Quand elle s'arrête, je suis à deux doigts de chanceler.
“Ne bouge pas”
Elle voltige, sautille au milieu des passants. En aborde un ou deux.
Tout à reprendre mon souffle, émotionné, impossiblement excité, je me contente de l’observer sans comprendre. Elle revient une cigarette à la main.
D’un geste de la main, elle m’invite à la suivre alors qu’elle sort de la gare.
Je la rejoins.
Elle tire sur sa cigarette.
“Je veux que tu penses à moi toute cette soirée et demain. Je veux que tu en chies pour moi et que pourtant tu brûles de te donner à moi.”
J’opine, incapable de parler.
De sa main libre, elle ouvre ma bouche. Je me laisse faire. Elle saisit ma langue, la tire hors de ma bouche. Elle approche doucement la cigarette, attends ma réaction. Dans une sorte d'acquiescement, je clos les yeux.
Comme prévu la brûlure est mordante et je dois lutter pour ne pas me retirer. L’instant doit être bref mais il me semble infini. J’ouvre les yeux pour la découvrir me scrutant.
Elle me lâche, m’embrasse à nouveau appuyant sur la brûlure de sa langue.
“Merci” me glisse-t-elle à l’oreille avant de disparaître dans le métro.
Je suis sonné. La pluie qui me ruisselle dessus fait du bien, mais j’ai l’impression que ma langue enfle jusqu'à m'emplir la bouche.
Je reviens au monde. Je n’ai aucune idée de combien de temps est passé. Je suis en retard. Téléphone, SMS, rendez-vous: je rejoins mes amis. La bière est fraîche sur une langue qui m’envoie périodiquement des pulsations de douleur. Je prétexte m’être mordu pour expliquer ma gène.
Le concert est bon. Mais toute la soirée je sens sa présence dans ma bouche. Je rentre tardivement à mon hôtel, un peu saoul, toujours exalté.
Je lui envoie un SMS “Toujours douloureux, vous m’avez brûlé toute la soirée.”.
Vu l’heure tardive, je ne m’attendais pas à une réponse.
"J’espère bien. Je me suis branlée en pensant à toi. J’ai joui de d’imaginer que je t'accompagnerais avec tes amis”
J’étais aux anges.
“Tu devrais te faire jouir, il parait que le foutre est souverain contre les brûlures."
“Oui Laura” répondis-je
“Et la prochaine fois préviens moi plus à l’avance, que nous prenions enfin du temps. A bientôt”.
“A bientôt Laura” répondis-je avant de suivre sa suggestion.
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Une soirée presque parfaite
I
Le télétravail a du bon. Quelques courses entre midi et deux, de la liberté pour organiser ma journée plus ou moins comme je l'entends. Aujourd'hui ce sera organiser, préparer, cuisiner. Je veux que la surprise soit totale. Et ma princesse aux anges. Même si c'est un Démon...
Allez je m'étais dit 16 heures, aujourd'hui je tiendrai parole quoi qu'il arrive. Ou presque. Une rose rouge sur son oreiller. J'essaie d'imaginer son sourire quand elle la verra. Elle se déshabillera puis filera à la salle de bain attenante. Elle tombera sur les pétales de roses, multicolores, au sol. Avec les sels de bains à la rose, le visuel sera parfaitement complété par l'odeur. J'espère juste qu'elle sera ponctuelle. A quelle heure faire couler son bain pour qu'il soit à température idéale quand elle arrivera ? 18H30 est son heure et j'espère avoir habilement hier soir sondé sa journée pour ne pas être surpris. 18H15, ce sera bien. J'aère la chambre, le lit est impeccable tiré, rien ne traîne, nickel. J'essaie de penser à tout pour qu'elle soit bien.
Bon cuisine. Les Saint Jacques du poissonnier étaient magnifiques. Je vais refaire le beurre au cerfeuil avec les noisettes concassées. Ca changera de la fondue de fenouil qu'elle adore aussi. Mais ça c'est fait depuis ce matin, au frais et hop. Les feuilletés aux baies et parmesan pour l'apéro, ce sera au dernier moment de les mettre au four, les servir chauds. Bon ça c'est une première, j'espère bien doser les épices. Le champagne est au frais, rosé millésimé, comme elle aime, le Corton Charlemagne, son blanc préféré également, parfait. Je préparerai le cocktail pendant qu'elle se détendra dans son bain : un fond de Grand Marnier, une framboise surgelée, champagne brut, elle va adorer. Bon mon dessert : une tarte citron meringuée déstructurée, c'est ce qui me demandera le plus de temps, en route. Balance, matériel, ingrédients, tout préparer, être organisé, se souvenir des cours...
Pétard 17h45 et je termine juste de monter mes verrines. Allez zou, au frigo. Ce n'est pas ma spécialité mais faire une belle table : le service émaillé noir et or récemment acquis est superbe, un chandelier ornée de jolies bougies rouges, ne lésinons pas. De jolis verres. Voilà, parfait. Préparer les allumettes, pour le dernier barbecue je les ai cherché 10 minutes. Pour un peu on mangeait la côte de boeuf crue... Je vais cueillir quelques branches de houx dans le jardin, un peu de verdure manquait sur cette table.
Bon récapitulons : repas, check ; table, check ; déco, check. 18H15, plus qu'à me changer, ma tenue de télétravail n'étant pas celle qui lui plaît le plus. Ce nœud pap là elle adore. L'image du miroir me convient pendant que je mets son bain à couler. Pas le choix, je dois bien faire avec.
La voilà qui arrive déjà, elle a encore du faire péter tous les radars en revenant... Vite le four à préchauffer, lui ouvrir la porte quand j'entends ses pas sur les dalles de l'entrée. Son sourire m'indique qu'elle a vite compris en me voyant. Elle déjà habituée ou quoi? Il reste ma meilleure récompense ce visage qui change d'expression instantanément après la fatigue de la journée. Aucun mot superflu, un baiser, je prends son manteau et lui ouvre la porte de la chambre. Elle est de dos mais je sais qu'elle sourit. Je suis retourné en cuisine enfourner mes feuilletés après les avoir doré au jaune d'oeuf en l'imaginant sans grand risque de me tromper. Elle s'effeuille comme chaque soir, toujours un spectacle pour moi prend son bouquin du moment et se glisse dans la baignoire en appuyant sur le programme des bulles douces, accompagnées d'une lueur bleutée qui irradie dans toute la salle de bain. Je me demande juste ce qu'elle a mis en musique de fond.
Voilà tout est prêt, je bous d'impatience : le plateau avec le seau à champagne et les coupes est prêt, j'espère que les feuilletés à peine tièdes lui plairont autrement que par leur aspect doré et croustillant. Pas de raison. J'entends du mouvement. Quelle tenue va-t-elle choisir ce soir? Ange ou Démon? Je baisse la lumière tamisée du salon donnant sur le lac où deux cygnes majestueux et indifférents passent tranquillement. J'entends ses talons qui claquent, la porte de la chambre s'ouvre. Ma princesse rentre en scène. Waouh. La soirée s'annonce... Je n'ai plus de mots tellement elle est magnifique.
II
Ses bottines noires brillantes aux talons aiguilles lui confèrent une démarche de Reine. Oui ma princesse est devenue Reine. De mon cœur. De mon corps. De mon âme. Mes yeux lubriques remontent le long de ses jambes magnifiquement mises en valeur par ces bas résilles auto-fixants à large maille jusqu'à son string en satin qui semble si doux. Je ne sais que trop combien son Mont de Vénus l'est plus encore. Noir c'est noir ce soir : le corset assorti qu'elle a du avoir du mal à fixer marque exagérément sa taille irréelle pour le coup et produit l'effet inverse un peu plus haut en faisant ressortir diaboliquement ses sublimes seins. Deux splendides collines naturelles surmontées de tétons roses dont l'un pointe le bout son nez. A croquer. Une autre fois, car ce soir, je suis sien. Seul son désir compte. La claquement de métronome de ses talons au sol me transporte déjà. J'avance avec un cocktail champenois de chaque main, mes yeux azur ne quittant pas ses yeux saphir. Comme un copié collé. Une pierre précieuse ma princesse. Nous trinquons à ce magnifique cadeau que la vie nous a fait. Que nous sommes allés chercher aussi. Rien n'arrive par hasard.
Tandis qu'elle porte ses délicieuses lèvres à son breuvage préféré, mes mains sur ses hanches, je glisse le long de son corps de rêve. Des miens en tous cas. Et depuis le premier jour. Avant même de l'avoir vue. Comment est-ce possible... ? Déposant un chaste baiser sur la peau si douce de mes deux merveilles préférées, je me retrouve naturellement, presque sans m'en rendre compte à genoux devant elle. Cherchant ses yeux par gourmandise, puis collant ma tête contre son ventre satiné, comme à l'écoute, je l'enserre de mes bras. Je ferme les yeux. Caressant à peine, totalement involontairement bien sûr, ses fesses rondes et fermes, si douces... Elle ne bouge pas, m'accordant ce plaisir dont je ne saurais évaluer la durée. Mais même des heures seraient trop courtes. Un claquement de son talon au sol me rappelle que ce n'est qu'un début. Comme toujours aucun besoin de mot entre nous pour nous comprendre: j'embrasse le cuir de ses bottines, le lèche avec gourmandise, suçotant même l'aiguille qu'elle met à ma portée. Je sais que cela l'excite terriblement. Moins que moi.
Elle me relève de mon acte d'allégeance d'un doigt sous mon menton, jusqu'à ce que nos regards fussent à nouveau à la même hauteur. Ses yeux me sondent, je me sens nu malgré son regard assuré autant que rassurant. Je suis sa chose.
_ J'ai faim, me déclame-t-elle avant de se diriger vers le canapé en cuir blanc qui lui tend les bras pendant que je vais chercher notre plateau de feuilletés. Je le dépose cérémonieusement devant elle, avant de m'asseoir à ses pieds. Elle si belle ! Elle dévore deux canapés coup sur coup. En porte un ma bouche. Je lèche sa main, reconnaissant.
_Masse mes pieds, ma journée fut éreintante.
Je zipe délicatement pour ne risquer de pincement la fermeture éclair située sur le tendon d'Achille, dépose sa bottine. Je la regarde.
_ Evidemment il faut enlever mon bas...
Je l'adore. Elle sait comme personne allier nos plaisirs, penser au mien sans le moins du monde renoncer au sien. Mes mains glissent le long de ses jambes galbées de sportive, frôle le string dont je perçois la douceur soyeuse. Je me rends compte qu'il est déjà humide. Le bas descend, sans être roulé, et fini sa course sur mon épaule. Son adorable peton menu reposant sur ma cuisse j'étire chaque orteil, masse la voûte plantaire, sa cheville souple. Je suis toujours ébahi par la douceur de sa peau. Je remonte jusqu'au mollet, je sais qu'elle apprécie ; je prends mon temps, qui ne compte plus d'ailleurs. Je termine en déposant un baiser sur le dessus de son pied. Son sourire me montre sa satisfaction alors qu'elle me tend l'autre jambe.
III
Ses yeux mi clos pourraient donner à croire ma Princesse assoupie. Ses orteils curieux cherchant et trouvant aisément une certaine proéminence sur mon pantalon m'indiquent le contraire.
_ J'ai faim, ça sent bon...
_ Je vous abandonne 5 minutes Princesse et nous passons à table.
Tandis que ma belle achève de se détendre je file mettre la touche finale à mon repas.
_ Je vous invite à passer à table Princesse, tirant la chaise pour ma belle.
_ Hop hop hop, pas si vite mon ange, tu reviens ici et tu te déshabilles, totalement.
Durant mon effeuillage elle pose bruyamment sur la table basse un rosebud inconnu, bleu saphir.
_ Assorti à tes yeux mon ange. Tu vois moi aussi j'ai mes petites surprises...
Une tape sur ses genoux m'indique la position qu'elle attend de moi. Son doigt inquisiteur lubrifié par ma propre salive entreprend une exploration intime.
_ Détend toi, accompagné d'une tape gentillette sur la fesse m'excite terriblement. J'adore quand elle me parle doucement, un murmure à peine audible, des pires pensées traversant son esprit aussi fécond que dévergondé, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Le rosebud rentre difficilement, faute d'habitude. Il ressort, revient, est remplacé par un doigt, puis deux, puis revient, comme pris d'une vie autonome. Enfin il semble en place, je souffle.
_ Je vais décupler son efficacité, éveille mon inquiétude. Justifiée quand une sérieuse fessée commence. Je crispe mon postérieur, à broyer l'objet exogène qui ne se déformera pas lui, combat perdu d'avance. Quand les claques sur mon cul écarlate cessent enfin, je ne sens effectivement plus l'engin. Mais ma croupe oui ! Pétard elle n'y est pas allée de main morte. Comment savait-elle que je désirais cela, mieux que j'en avais besoin? Peut-être est-ce plus simple que cela, juste une envie subite coïncidant avec mon attente. Au diapason, comme d'habitude. Comme depuis le premier jour, la première minute, la première seconde. Nous sommes capables de finir les phrases l'un de l'autre. L'impression de s'être toujours connus. Aucune soumination, les envies de l'un coïncidant juste à la perfection avec les besoins de l'autre. Magique. Invraisemblable. Mais réel.
Je me dandine une bonne partie du repas sur le siège que je trouve pourtant habituellement confortable. Ce qui l'amuse grandement. Le rosebud inhabituel n'y est pas pour rien non plus. Le dîner se déroule pour autant sans accrocs, ravissant ma belle, moins que moi. En connaisseuse elle a apprécié le grand cru blanc et le reste. Bon je n'aurais certes pas eu une attitude vatelienne en cas de critique, mon égo est au dessus de ça, mais pour elle, je voulais une soirée, et au premier chef un repas, en tous point inoubliable. En attendant la prochaine. Où j'essaierai de faire mieux. Ou différent. Parce que ma princesse mérite bien plus qu'un repas type Saint Valentin une fois l'an. C'est une de mes façons de lui signifier combien je suis heureux depuis qu'elle a changé le cours de mon existence. Nous sommes encore loin de la routine de toute façon en ce domaine comme en bien d'autres. Quelle magie que cette période bénie!
_ Vient commencer ton dessert.
Je glisse sous la table et découvre son string en satin noir déjà humide, ses cuisses fuselées écartées juste pour ma place. A peine en position, elle les resserre autour de moi, dans une prison dorée. Je ne fomente d'ailleurs pas la moindre tentative d'évasion. Détenu par elle jusqu'à la fin de mes jours est mon souhait. Ma langue la lèche à travers le tissus. Déjà imbibé de son goût délicieux que j'ai appris à reconnaître entre mille. J'allais l'écarter mais ma belle se prend au jeu. Mieux elle me guide, comme me fournissant un mode d'emploi.
_ Plus haut, oui descend sur toute ma fente, encore...
Ses mains caressent mes cheveux dans un geste tendre autant que possessif.
_ Rentre là un peu, hummm Redescend. Oui encore comme ça; baise moi avec ta langue comme avec ta jolie queue mon ange...
Sa voix change, puis s'éteint, au fur et à mesure que l'étreinte de ses cuisses se resserre sur mon cou, que ses doigts se crispent sur me crâne. Je m'applique, varie, accélère puis ce cris que je connais si bien déchire le silence de la salle. Animal, venant des tripes.
J'ai à peine finit qu'elle me tire de sous la table et me redresse vers elle, m'embrassant sauvagement, puis léchant mon visage comme une chatte, comme récupérant chaque goutte de son élixir de ma jeunesse retrouvée. J'aime quand elle se laisse aller ainsi, naturellement, à ses instincts, ses pulsions, ses envies...
IV
_ j'ai cru voir mon dessert préféré mon ange ?
Le sourire presque enfantin éclairant son doux visage me fait fondre, comme à chaque fois. Trop facile, pas sport. Mais si bon... Sa capacité à changer d'expression en un quart de seconde me sidèrera toujours.
Je sers à mon élue sa verrine de tarte au citron meringuée destructurée, revisitée à ma façon. Un verre de vin de paille du Jura aux arômes exotiques se mariant à merveille. Elle ne pipe mot, tout à son plaisir. Hédoniste autant qu'épicurienne, elle est capable de ressentir un vrai plaisir dans son acte présent, bien au delà du sexe. Quasiment un plaisir physique. Elle aime ce moment sublimé par la musique douce qui nous accompagne, donnant un côté vaporeux à cet instant suspendu. Jouissif.
_ Tu m'as gâtée mon ange, à mon tour. Pousse la table basse du salon et attends-moi à 4 pattes sur le tapis, tu regarderas le lac en face, interdiction de tourner la tête.
En position, l'attente me semble longue. Puis interminable. Puis... La porte de la chambre s'ouvre et j'entends à nouveau le délicieux claquement de ses talons au sol. Tout à coup je suis moins pressé... Je ne peux m'empêcher de voir son reflet dans la baie vitrée et nous nous en rendons compte simultanément, partant de concert dans un éclat de rire coutumier. Les même délires, qui seraient déstabilisants pour d'autres. Pas pour elle. La surprise étant éventée elle se présente devant moi, harnachée d'un god ceinture dont j'ignorais jusqu'à l'existence dans son attirail. Je ne puis m'empêcher de la remercier intérieurement pour sa taille raisonnable. Elle dépose devant moi un single tail. Je frissonne devant le double inconnu.
_ Tu préfères quoi ?
Mais quelle question sadique ! Devoir choisir c'est en outre devoir avaliser ma peine. La peste ou le choléra ? Et en même temps les deux m'attirent. Elle le sait, le devine. Mon hésitation l'amuse et elle croit bon de piétiner son homme à terre à assénant :
_ … En premier je veux dire!
Mais elle pire que je croyais! Pire que moi c'est dire. Son rire cristallin m'achève. Je sais que cela l'amuse follement. Et par la même moi aussi, comme toujours.
_ Gardons le meilleur pour la fin...?
Une façon comme une autre de ne pas répondre, la forçant au choix, quitte à prendre un risque. Je n'aimerais pas finir par le fouet. Bon possible que je n'aimerais pas commencer par là non plus en fait!
Je n'avais pas vu le foulard de soie posé négligemment sur son épaule, qu'elle noue délicatement autour de mes yeux. Je n'entendrai plus un mot non plus, ignorant jusqu'à la dernière seconde son choix. Un silence, des bruits que je suis incapable de déterminer, un peu perdu, En délicieuse perdition, mon attente. Un sens occulté, les autres décuplés paraît-il. Sous réserve d'une minimum de lucidité et d'un cœur qui ne bat pas à tout rompre à mon avis. Le claquement dans l'air, plutôt éloigné de moi m'indique son choix.
_ Seulement 5 ce soir mon ange...
Son murmure à mon oreille me transporte, comme toujours. Me rassure. J'y puise ma force. De toute façon désormais elle est source de tout pour moi.
Etrangement je pense à ce qui sur le moment devrait n'être qu'un détail : je n'ai jamais eu de marques. J'en ai déjà fait. C'était la fierté de mes soumises. Décidément je ne comprendrai jamais. Ma réflexion philosophique à deux balles est interrompue par le premier coup, visiblement retenu. Je le ressens pourtant psychologiquement avec une extrême violence. Rien de négatif. Juste mon entrée dans un autre monde. Celui dont je cherche, plus ou moins inconsciemment, à pousser la porte depuis des années. Encore une chose que je dois à ma Princesse. La liste s'allonge.
Puis un second, elle semble prendre ses marques. La douleur est déjà là, quelle mauviette je fais ! Trois. Outch, bon heureusement ce ne sera que 5.
_ Au fait tu n'as pas compté?
_ Vous ne m'aviez pas demandé Maîtresse Princesse.
_ C'était une évidence. On repart donc à 0.
Nan mais quelle mauvaise foi !!! Je suis vert. Et j'adore en même temps. Sa fraîcheur, comme une espièglerie enfantine. Mon bain de Jouvence.
V
Il est clair que les coups furent léger, pourtant … Quel engin diabolique. Je n'ai jamais été aussi soulagé de prononcer ce « 5 » dans un soupir de soulagement. Dans ce noir total, je ressens pleinement ces zones dans mon dos, chauffées à blanc, au rouge plutôt, et celle épargnées. La brûlure dure bien après que les coups aient cessés, une découverte. Sans vraiment les entendre je sens des pas sur le tapis, puis une caresse, douce apaisante. Puis des ongles ! Je la maudit sur mon épiderme à vif ou du moins me semblant tel. J'ai hâte de le voir en fait Regarder enfin ces fameuses traces. Puis des baisers sur mes chair meurtries. Elle est diabolique pour alterner le chaud et le froid avec une pertinente perversité. Ces mots susurrés à mon oreille m'emmènent loin, si loin. Je les entends à peine, les comprends encore moins. Toujours est-il qu'il me font un bien fou. Un baiser sur mes lèvres m'achève.
_ Bien passons aux choses sérieuses.
Ah bon, ce n'était pas sérieux là ? Si le but était d'augmenter mon angoisse, carton plein. J'ai beau savoir qu'elle joue, j'appréhende. Peur de la décevoir. Peur de me décevoir. Crainte de mesure la distance entre fantasme et réalité . Elle m'enlève mon bandeau, mes yeux se réhabituent vite à la lumière tamisée. Elle est là devant moi debout, impressionnante harnachée ainsi. Je me sens petit, aux pieds de ma princesse.
_ Suce !
Quelle économie de mot. Elle joue le jeu à fond, j'aime ça. J'avais peur que notre complicité, nos sentiments ne bloquent certaines choses, nous empêchent de nous livrer à fond. C'est le contraire et j'en suis ravi. Au delà de l'acte qu'elle m'impose, même son ton sans appel me conforte. Obéir c'est aussi moins assumer, cela me facilite la chose. Qu'elle ne doute pas (ou affecte de le faire?) également. Je m'exécute donc, maladroitement. Quand je pense à la science, que dis-je son art à elle... Soupir. J'essaie de m'en inspirer.
Je la regarde. Non pas du regard qu'elle me lance quand elle pratique, semblant me dire oui j'aime ça et j'assume mon ange. Non, un regard interrogateur, pour avoir un retour, savoir où j'en suis. A ma grande surprise elle ferme les yeux, comment semblant ressentir cette fellation factice. Elle n'est pas croyable. Si sensuelle, si dans son trip psychologique. Quand elle rouvre les yeux, un lumineux sourire éclaire son visage radieux, me confortant. Elle ne me juge pas, semble ravie de mon implication. Une fusion.
_ Tu m'as terriblement excitée mon ange, tu es prêt ?
_ Bah....
_ Ce n'était pas une question.
_ Ah...
Je la hais ! Et l'adore encore plus. Ca doit être ça un switch. Ceci dit quand je la sens se positionner dernière moi je n'en mène pas large. Je redoute. Et en même temps je suis demandeur. Ca doit être ça un indécis. Je le lui fais confiance, mais je crève d'envie de lui demander d'y aller doucement. Ca doit être ça un emmerdeur.
Quand je la sens enlever mon rosebud je ne peux plus reculer. Ou plutôt si mais ce serait pire vu la protubérance que je sens positionnée contre mon fessier gauche pour l'instant. Elle tire à gauche... Elle remet du gel sur mon cul, l'étale, comme un massage, plutôt agréable d'ailleurs. Puis un doigt inquisiteur part à l'aventure. Pas longtemps seul, il devait s'ennuyer. Pas moi qui me concentre pour me détendre au maximum. Dire que quand c'est moi qui suis à la baguette cela paraît facile, naturel...
Je la sens ajuster sa position derrière moi, se rapprochant, une main sur ma hanche. Bon en principe question musique on devrait passer de la petite musique de nuit à la chevauchée des valkyries. Au lieu de ça on reste sur une musique douce, hallucinant contraste avec la violence innommable de la scène que je vous épargnerai.
Mozart et Wagner ayant baissés pavillon, votre serviteur également, reprenant sa respiration allongé sur le tapis, ma belle pour une fois fait comme tout le monde. Epuisée peut-être. Rassasiée sûrement pas, elle ne l'est jamais. Allongée contre moi, sa main bienfaisante caressant mon corps en sueur encore. Une douceur extrême dans un silence assourdissant. Deux sourires qui sans se voir se rejoignent, s'envolent, haut, très haut...
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Vous m’obligez à me mettre nu, m’inspectez, arrêtez votre regard sur mon sexe en érection et mes fesses. Vous portez dessus un regard mutin et m’observez ; je fais de même. Ma taille et mon regard sombre vous agacent. Mes testicules sont compressés et tirez vers le bas. Je comprends et baisse les yeux. Cela n‘est malheureusement pas suffisant et je sens votre agacement ; une gifle, puis une autre…
« Vais-je te gifler encore longtemps avant que tu te mettes à genoux ».
Je suis à genoux, vous cherchant du regard en train de tourner autour de moi…
« Qui t’as dit de relever les yeux »
« J’aime vous regarder »
« Tu n’es pas autorisé à Parler sans mon autorisation, pour le moment tu répondras à mes questions, c’est tout »
Je ne suis pas rassuré, mes fesses sont nues et je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. Vous vous éloignez, puis prenez un siège.
« Viens à moi »
Je fais le chemin à 4 pattes et vous entends rire. J’enrage et jette un regard réprobateur ; ce qui me vaut une autre gifle… Décidément.
« Je ne fais qu’obéir et attends vos ordre »
« Ça suffit, j’en ai assez »
Vous retirez votre culotte et me l’enfoncez dans la bouche. L’odeur, le goût, l’idée même ce que vous venez de faire… me rend tellement chaud que je me touche le sexe (maintenant et en projection).
« Non mais je n’y crois pas, tu te touches devant moi, comme ça »
Autant dire que, désormais, mon argumentaire est un peu restreint…
« On va passer à la vitesse supérieure dès maintenant, tu vas voir, tu vas aimer »
« Tu te touches devant moi comme un animal, je vais t’en empêcher et te le faire payer… »
Ma tête bascula entre vos jambes et je gémis sous mon bâillon, autant par surprise que par excitation d’être aussi proche de votre intimité. Désormais j’étais coincé et je ne pus que constater que mes mains été rabattues dans mon dos.
Je ne sais pas avec quoi mes poignets furent liés, mais un mélange de douceur et de fermeté m’envahit. Pas de douleur, pas de fourmis dans les doigts, mais j’avais beau essayé de détacher, rien à faire. Le prisonnier sans douleur… drôle de sensation.
« Debout ! »
Je m’exécute et vous m’attrapez le sexe et serrez avec fermeté mais avec mansuétude également.
« A qui ça appartient ça ? »
Seulement des gémissements de ma part, alors qu’une seule réponse aurait tout arrêté… puis je reçus un coup sur le gland, ouf… là ça devient chaud.
« Je n’ai pas compris, est-ce que tu peux articuler ? »
Gémissements plus forts, mais… gémissements quand même. Et le scenario se répéta 5 ou 6 fois, en prenant de l’intensité, malheureusement pour moi. De l’excitation et de la colère m’envahirent et le jeu s’arrêta net. Au revoir le prisonnier sans douleur….
« Je pense que maintenant tu as compris »
Mes yeux furent bandés et mon bâillon retiré.
« Merci Madame, oui j’ai compris mais ce n’était qu’un réflexe… »
« Ne me remercie pas, tu ne sais pas ce qui va t’arriver. Et remets-toi à genoux, je reviens dans un instant pour te montrer un autre type de reflexe… »
Vos pas s’éloignèrent, puis rien, puis revinrent… et là, vous m’ouvrez la bouche avec délicatesse mais fermeté et un objet s’engouffra dans ma bouche….
« Suce bien que je sois satisfaite, sinon, on va y passer un moment… »
Je pense que la situation m’a échappée, je sais plus le pourquoi du moment ; la seule chose qui reste, c’est cette queue qui reste dure et que je ne peux pas toucher.
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Je suis parti à l’aventure… j’ai navigué en quête de consolation, sans amertume, sans rancune… aucune. Le voyage fut jonché de fêtes, de rencontres, d’expériences enrichissante, burlesques, ubuesques… imprévues !! pendant des années j’ai chevauché le tigre.
Mais un beau (sic) jour :
Mon bateau fut pris dans la tourmente de la vie et j’atterris sur une île… une île sans homme. Pourtant, tel Diogène le cynique, Diogène le chien (sic) ; j’ai cherché, avec acharnement, mais en vain, un homme « véritable » pour plonger en lui et découvrir les réponses qu’il me manquait. Cette réponse à ma quête fut « cynique » :
Le royaume des Amazones.
Elles m’ont capturé, privé de mes mouvements, de ma force, de la parole mais… pas de mon âme.
« Danse, Danse ! Danse !! pour nous ; et nous relâcherons notre étreinte » promirent elles !!
Humiliation, (auto)dérision, supplication ! Tout cela ne tue pas les hommes mais les mets à nus.
Faut-il se dévêtir de tout pour être un homme « véritable » ?
Effort sans réconfort si ce n’est moquerie, rires féminins frustrants et jouissifs… limites… encourageants.
« Tu n’es pas un homme Véritable, mais notre reine pourrait te montrer de l’intérêt ».
Je fus emmené enchaîné auprès de la Reine. Mes yeux mirent du temps à s’accoutumer à l’intensité de la lumière et les amazones me forcèrent à rester à genoux et à lever la tête.
La reine s’adressa à moi :
« Tu ne t’en souviens pas mais cela fait plusieurs fois que tu échoues à mes pieds ! »
« Je me souviens de tout, tout le temps, Reine des Amazones »
Rire dans la foule en mêmes temps que mes chaînes furent défaites.
« Te voilà en condition de prendre ta décision. Dépose ta liberté volontairement à mes pieds et je te donnerais les réponses à tes questions. »
« Oh toi Reine des Amazones, sais-tu que la liberté est la condition de la connaissance et vice & versa »
Des éclairs jaillirent partout et toutes les amazones écarquillèrent les yeux…
« Ainsi soit-il, jetais le à la mer »
Le froid de l’eau, la douleur de mon corps en mouvement, l’inconnu vers lequel je vais depuis ; ne sont supportables que parce que je me souviens de l’odeur, du timbre de la voix et de la sagesse de la Reine des Amazones… sans rancune… aucune.
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Chapitre 4 : Les vacances d'un sérial Dominateur
Ben oui quoi, on peut être très au dessus de la moyenne et avoir besoin de se reposer… Quitte à surprendre la lectrice (le lecteur peut davantage penser ce qu'il veut), je ne suis qu'un homme, Ou presque, Après tout grecs et romains avaient bien des demi-Dieux. Et puis ma copine Elohan m'avait donné de bonnes adresses dans le Sud (traduisez : bonne réserve de chair fraîche). Bien fréquentées de surcroît; peut-être même, avec un peu de chance - pour lui évidemment-, y croiserai-je mon pote Patcho…
Mon carrosse ayant rendu l'âme, et le reste, depuis que j'avais emmené Huguette faire un tour…
Cher lecteur , je dois faire une digression : vous vous souvenez de ma tendre amie Huguette, la grâce (j'ai failli faire une abominable mais compréhensible faute d'orthographe…) incarnée; cédant malencontreusement à ses demandes répétée de me revoir - comment ne pas la comprendre ?- , je lui accordai, un jour d'insigne faiblesse, ce plaisir. Rentrer 145 kg -elle venait de faire un régime efficace- sur le siège passager ne fut pas aisé. La sortir encore moins; heureusement des potes pompiers ont fait usage de leur matériel de désincarcération. Ce n'est pas qu'ensuite ma nouvelle décapotable ne me plaisait pas, mais les amortisseurs n'avaient pas résisté au quart d'heure de transport. D'un autre coté, sans toit, et la caisse surbaissée cela lui donnait un certain air sportif. Mais désormais inutilisable.
… je décidai d'y aller en moto. En outre le coté biker, cuir, aventurier au regard bleu acier impénétrable, ne pouvait que mettre en évidence mon implacable coté dominateur, et sans doute, en faire rêver plus d'une. Les vendeurs de petite culotte auraient du depuis me longtemps me remercier pour la probable explosion des ventes depuis que je sévissais. Après une après-midi de spéléologie au fin fond du garage, je ramenai en surface un 103 Peugeot prometteur. La peinture écaillée, le chassis rouillé ? Quelques autocollants Ricard masqueraient tout cela rapidement, ajoutant de surcroît une touche de bon goût. Les amortisseurs grippés ? Un vrai biker se moque du confort. Le moteur hoquetant, fumant bleu ? Je mettrai un peu plus d'huile que d'essence et le tour sera joué. Un dominant de ma trempe n'a jamais de problème, juste des solutions.
Tout se passait bien. Après 5 heures de route j'avais parcouru près de 100 kms, le rêve. Plus que 500 jusqu'à Marseille. Une station ratée… Une panne d'essence (avec un réservoir de 6 litres, l'autonomie n'est pas énorme…). Après une poussette de 40 minutes j'arrive au village suivant. Rien de tel pour rester en forme en ne pas se vautrer dans le confort(misme) bourgeois. Et là, telle une récompense divine, vision d'extase : dans son jardin, une femme sublime me fait signe. Un signe du destin… Rien n'arrive par hasard ici bas. Et si quelqu'un mérite, c'est bien moi! Grande, brune, mince, une mini-jupe en imitation skai… J'étais déjà presque amoureux (oui cher lectrice on peut avoir une bite de fer dans un gland de velours).
Je m'arrête devant la porte de son jardin, tout sourire, suant sang et eau , avec mon cuir sous cette chaleur accablante. On aurait dit que je sortais de la douche. Bien que je n'y entre jamais. Bref. Mon casque à demi enfoncé sur la tête me donnait certainement une certaine aura. Elle me détaillait, déshabillait littéralement du regard (une habitude quand je passe devant une femme) visiblement conquise. Comment ne point l'être ?Mes santiag (dans les lesquels mes arpions sans chaussettes marinaient, ben oui, j'avais pas prévu de marcher en poussant…), mon jean délavé ( façon de parler car il ne voyait jamais la lessive), mon blouson style perfecto (en réalité de marque carrefour mais remarquablement imité) ouvert laissant deviner un Marcel des plus virils (surtout coté odeur) … Elle n'était ni la première, ni la dernière à légitimement succomber à mon incroyable sex-appeal. Je dois humblement admettre, qu'outre un look soigné, mon physique avantageux jouait comme toujours en ma faveur .
Un café ? Heu, bah oui, pourquoi pas… J'aurais préféré une bière mais bon. Je sais trop que tout ceci n'est qu'artifice mon m'attirer chez elle, et l'issue connue. En suivant cette belle et grande brune , je remarqué ses belles jambes longues et fines quoique musclées, son cul bien rond dont je ne doutais point le visiter bientôt à loisir. Sa voix éraillée m'excitait aussi; fumeuse sans doute. Je l'imaginais déjà comme toutes les autres hurler son plaisir sous mes coups de boutoirs. Mon coup de rein meurtrier allait sans nul doute encore me servir, et contribuer à porter ma légende jusque dans les bourgs les plus reculés de notre beau pays.
Si je veux prends une douche? Ben ,c'est gentil mais pourquoi faire ??? Sont bizarre les femmes parfois. Assise en face de moi, me dévorant des yeux (comment ne pas la comprendre), je remarquai une poitrine menue : sans grande importance une fois qu'elle sera à 4 pattes la tête dans l'oreiller en train d'appeler sa mère me dis-je fort justement. Ses pommettes saillantes lui donnaient un certain air de Grâce Jones. Blanche.
Ma fine compréhension de la psychologie féminine me fit soudainement comprendre la perche tendue : j'acquiesçai pour la douche. Comme prévu – les femmes sont si prévisibles quand on a mon expérience… - , elle vint me rejoindre rapidement, dès que j'eus le dos tourné en fait, en plein shampoing. J'avais bien raison de ne jamais me servir de ce truc au nom anglo-saxon qui pique les yeux! Ces caresses dans mon dos d'une extrême douceur allaient vite contraster avec la fessée magistrale que j'avais l'intention de lui donner à peine sorti; j'adore posséder un cul bien rougi.
Se faisant chienne, elle m'embrassait dans le cou, passant ses mains douces partout sur mon corps, se collant contre mon dos. C'est là que le doute en moi s'immisça. Avant autre chose visiblement! Collée à moi, je sentais confusément une masse étrange contre mon postérieur. Un travesti ici ? Un transexuel non opéré ? Peu importe, pensant aux 12 heures de selle qui m'attendaient encore, au bas mot, je sortis en courant de la salle d'eau pour prendre mes fringues au passage que j'enfilai dans le jardin en hâte, sous le regard ébahit de 2 vieux revenant de courses. Je repris la poussette de ma mob presque avec soulagement; même la pancarte Leclerc / pompes 24h24 à 13 kms me sembla alors une bonne nouvelle.
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LMSD 8
Le (THE!) tuto pour sérial niqueur néophyte
Un grand classique sans doute, mais à ce stade de ma carrière dévastatrice, reconnaissons le sans humilité superflue, je me sens en devoir de transmettre le fruit mon immense expérience à la jeune génération. Un tel savoir perdu, quel gâchis ! Evidemment sans me connaître jusqu'ici tu me détestais, une jalousie compréhensible devant un tel palmarès. Tu te demandais mais comment il fait softail ? En fait pas si simple mais t'as tes chances jeune Padawan sérial niqueur ; évidemment par rapport à moi tu pars avec de sérieux handicaps : toi t'as pas un physique de rêve, ni un QI très au dessus de la moyenne, ta culture ne rattrapera jamais la mienne, et ton compte en banque même après avoir gagné à l'euromillion manquera de quelques zéros. Alors, aucune chance, condamné à te branler ? Que Nenni !
La jeune génération (mais évidemment aussi les maîtres les plus confirmés en passant en invisible pour préserver leur égo ne manqueront d'apprendre ici) peut prendre ce qui suit comme un tuto. J'aurais pu appeler cet épisode de mes mémoires « comment pêcho à coup sûr, sans perdre de temps ». Etrangement je sens bien avoir capté l'attention du lecteur mâle (j'envisage un chapitre spécifique pour les femelles si mon lectorat vaginal me supplie à genoux, ce qui ne manquera pas, bref).
Voici donc quelques règles d'or cher débutant (n'oublie jamais qu'après cette lecture qui semble au premier abord gratuite tu me seras redevable à vie).
1/ inutile de lire les fiches
Ca ne sert à rien ; autant se concentrer sur l'essentiel : niquer de la chaudasse. D'une part les liens ne te regardent pas, c'est juste l'affaire de deux personnes. D'autre part la soumise qui naïvement fait part de sa recherche, quelle bonne blague ! Sérieux, c'est qui le patron ? Sans compter que t'as, à peine arrivé, quelques centaines de demandes d'amis à envoyer, alors on ne traîne pas, on ne perd son temps, hop, hop, hop!
2/ cherche directement le bon sexe, le bon statut
Oublie que ce sont aussi des femmes ; on n'est pas là pour ça. Une femme t'en as déjà une de toute façon. Encore une fois se recentrer : on cherche une soumise. Oublie l'approche habituelle, la séduction, le romantisme et toutes ces conneries. T'es pas inscrit sur Baudelaire.com, mais BDSM.fr pour rappel. Alors soigne ton image: elles veulent un vrai, un pur, un dur (en gros essaie de te faire passer pour moi)
3/ ne perd pas de temps en formalités
On a beau être en France, pays de la bureaucratie et des procédures, le site n'est une annexe gouv. quelconque. T'es arrivé, t'as envoyé 132 demandes d'amis aux femelles de ton coin (sans message d'accompagnement t'es pas là pour raconter ta vie), 6 ont accepté. Les autres étaient soient des fantasmeuses soit des frustrées (cumul probable). Tant pis pour elles, elles ne savent pas (ou si...) ce qu'elles perdent. A partir de là, ne perd pas de temps, pense que d'autres queutards rodent eux aussi les saligauds. Donc 2 messages en MP puis ton 06 direct. Efficacité, simplicité.
4/ donne le moins possible d'informations
Déjà n'envoie jamais ta photo, ça te desservirait. Ensuite ne te laisse embrouiller par les intellos ésotériques qui vont te prendre le chou des heures avec leur cérébralité, le côté psy de la chose. Rappelle toi que c'est leur cul qui t'intéresse. Dans le doute, toujours se recentrer sur les bases. Pas de blabla qui ne sont que des pertes de temps, décline les « on pourrait se rencontrer dans un café histoire de mettre un visage sur un pseudo hi hi » . Non toi t'es là pour déglinguer alors rencart direct au formule du coin (sauf si c'est elle qui paie) ou rien.
5/ miracle ton rdv est fixé
Oublie les fleurs, achète plutôt des capotes. Inutile de te faire beau, elle aura les yeux bandés. Tu peux te permettre d'arriver en retard, elle prendra ça comme un test de son envie. Oublie les mises en scène à la mord moi le nœud, le côté sordide d'un hôtel de passe ou les toilettes du bistro du coin l'exciteront à mort. N'investit pas dans des accessoires inutiles : de un ta bite est le seul qui vaille, et de deux contrairement aux promesses que tu as du lui faire tu ne la reverras jamais.
6/ tu reviens et tu remets ça
Ne t'attache pas (elle à la rigueur et aux barreaux du lit) ; les sentiments tout ça c'est des conneries. Un palmarès ça se construit, ça ne tombe du ciel comme ça. Si un jour malgré le fait que tu resteras à des années lumières de moi tu veux aussi devenir un Maître respecté et envié, c'est l'unique voie. Tu n'as pas confiance en toi, tu bandes mou, tu n'as jamais manié un fouet ou une cravache de ta vie ? No stress, ce sera trop tard pour elle de toute façon. Après tout tu es aussi là pour te faire la main (en plus de la queue). Ah oui, au besoin, prend un bâillon...
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LMSD 7 Comment j'ai pécho la Kate
J'ai toujours aimé vivre de cul et d'eau fraîche, l'eau n'ayant jamais manqué. Un dominant de ma trempe ne saurait draguer vulgairement comme le commun des Maîtres. Non, les soumises viennent à moi, nuance. Evidemment je dois faire un sévère tri : pas de borgne, pas de jambes de bois, pas au delà de 84 ans (l'âge de maman). J'optai pour mon piège à chaudasse préféré : le test de la mort qui tue, le fameux « test du fraisier » qui m'a rendu célèbre sur moults forum, faisant des victimes y compris auprès des dominas les plus réputées. Inaccessibles disent-elles. Pour les autres puis-je ajouter sans modestie inutile. Mais voilà, impossible de remettre la main dessus. Ma quête (ou Kate je ne sais plus trop) devait donc recommencer par un effort : autant dire que ça partait mal.
Bref mon talent inné pour la prose facilita la chose et en deux temps trois cent vingt quatre mouvements j'accouchai d'une merveille que le regretté Jean d'Ormesson m'eût assurément envié (entre choses). Le piège diabolique était prêt, les critères aussi stricts que mûrement réfléchis. De toute façon c'est toujours presque trop facile, limite à gâcher mon plaisir ; les femmes c'est simple, dès qu'un type super beau, gaulé comme un Dieu, intelligent, d'une extrême culture, blindé comme Crésus et doté d'un charisme exceptionnel consent à leur adresser la parole elles fondent. Ma partie était donc gagnée d'avance, seule la victime restait à désigner. Le plus amusant dans l'histoire est l'ironie de son triste sort : à la seconde où je l'aurais adoubée, elle se dirait immanquablement, « yes, j'ai gagné ! », alors qu'elle venait de perdre. Bref. Pardon pour ces digressions cher lectrice -je me fou un peu de l'avis des lecteurs pour tout dire étant strictement hétéro- mais je ne doute pas un instant que pénétrer par effraction dans l'esprit d'un dominant de ma trempe ne suffise à vous faire mouiller grave la petite culotte que vous ne devriez pas porter.
Pour ceux qui n'auraient pas suivi, bon Prince, voici l'annonce :
Recrutement de soumise (pouvant servir de tuto aux débutants, sans copyright)
Devant l'avalanche de demandes, ma grande b..., mon grand cœur me perdant, je dois bien trouver un système de départage. Je ne puis être partout, pardon d'avance pour les innombrables déçues. Afin que ce fût scientifiquement irréfutable tout autant que pour éviter des recours incessants vers les juridictions incompétentes, j'ai tranché pour un barème par point. A noter que le test vaut également pour les Dominas. Et les switchs. Enfin bref tout ce qui n'a pas une paire de couilles qui pendouille entre les jambes. Et du genre humain disons. Encore une fois désolé pour les Dominas à qui je ne pourrai donner leur chance et Dieu sait pourtant si je déteste voir une Maîtresse pleurer devant moi même si ce fut souventes fois le cas. .
Je rappelle à toutes fins utiles que je suis très cérébral, comme vous pourrez le comprendre au fil des questions suivantes. Le physique et l'âge étant de peu d'importance pour moi, les CV anonymes, non accompagnés de photo (de nu évidement) se verront néanmoins systématiquement rejetés.
1/ si tu es cultivée : + 1
2/ si tu es intelligente (on peut toujours rêver) : +1
3/ si 95 / 60 / 90 est autre chose chez toi que la fin de N° de portable : + 100
4/ si tu es brune : + 5 (si tu es blonde ou rousse aussi d'ailleurs)
5/ si on t'a déjà dit que tu avais un regard de cochonne + 50
6/ si tu aimes les chaussures à bout rond et/ ou talons plats : - 1.000
7 / Age : tu pars d'un capital 50 ; ajoute 2 point par année en dessous de la cinquantaine. Ou retranche 5 points par année au delà. Si ton capital revient à 0 tu es éliminée
8/ si le latex évoque autre chose pour toi que des gants Mappa : + 25
9/ si pour toi les bas ne sont pas le contraire de haut : + 25
10/ distance : - de 100 kms + 10 ; - de 50 kms + 20 : moins de 10 kms + 50 ; moins de 2 kms + 100 ; moins de 100 mètres : tiens ma chérie toi aussi tu es inscrite sur le forum ???
Devant le nombre de candidature inévitable, ne vous attendez pas à un retour rapide.
Clair net, (cir)concis, efficace, tout moi. Bref, ça tombait évidemment comme des mouches. Ma sélection se devait d'être sans pitié. Une candidate sortait du lot, impossible de dire pourquoi. Quelle importance d'ailleurs, l'essentiel étant qu'elle soit bonne. Mais bon, son nombre de point était loin de la placer en tête. Et je suis incorruptible. D'un autre côté rajouter quelques points par bienveillance (et envie de niquer), ce n'est pas vraiment de la corruption.
Il lui manquait néanmoins encore des points, largement desservie par son éloignement. Mais je suis incorruptible. D'un autre côté, modifier les critères une fois que tout le monde a répondu, est ce bien de la corruption ? Evidemment pas.
Si j'avais eu une conscience elle eût été assurément mauvaise. Bon et puis elle n'était pas encore en tête, à peine 10 ans de moins que moi, elle n'était plus toute jeune... Pourtant elle suppliait, m'implorait de prendre en considération sa candide-ature. J'hésitais mais quand je vis sa photo accrochée au CV... Je suis incorruptible, mais modifier un barème en cours de route pour favoriser quelqu'un c'est quand même loin d'être de la corruption. Elle gagna immédiatement 2.324 point ce qui lui fit devancer la meute de candidates. D'une courte tête.
Elle fut donc déclarée gagnante ? Enfin, perdante en réalité, vous suivez ?
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« J'aime bien quand c'est violent »
Je marque un temps d'arrêt en portant mon verre à mes lèvres. Pendant une seconde je la scrute plus que que je ne la regarde. Je vois bien que ses yeux sont traversés d'une lueur de satisfaction. Sa petite phrase a fait mouche.
« Ça te choque pas au moins ?
– Non, vas-y, t'inquiète pas » J'accompagne ma réponse d'un petit sourire entendu, histoire de regagner un petit peu de l'assurance qu'elle vient de secouer gentiment.
Ça n'a bien sûr pour effet, que de lui confirmer ce sentiment de gêne qu'elle a subrepticement perçue chez moi.
« C'est vrai qu'on n'a pas trop l'occasion de parler de cul dans ce bled, d'autant plus à un mec!
– Tu m'étonnes, avec les gabarits qui a dans le coin..
– Après tu peux plus t'en débarrasser, mais bon toi, tu as l'air ouvert ou ça doit être l'âge, je me sens à l'aise. »
Pan dans ta gueule, l'âge... 45 ans, à l'époque.
J'avais rendu service à un ami, je l'avais remplacé dans son bar tabac, juste une journée pour dépanner.
Elle avait 25 ou 26 ans je l'avais croisé plusieurs fois dans le village où j'habitais, mais on ne s'était jamais parlé. Jusqu'à ce jour où elle était venue chercher un paquet de cigarettes.
Gothique, un petit peu. Heavy metal, beaucoup. La conversation avait dû s'engager à propos d'un T-shirt qu'elle portait plutôt pas mal. Et sur lequel s'affichait le nom d'un groupe que j'eus la chance de connaître.
La chance oui, Le heavy metal, c'est pas mon rayon et mes connaissances y sont plutôt endémiques.
Deux trois vannes pourries sur les "Hardeux". C'est à ça que se limite ma culture en la matière, mais elle y avait été réceptive, au point d'accepter de prendre une bière. Puis une autre et on a discuté l'après-midi.
De hard rock, heavy metal, et puis ça a dérivé sur des délires gothiques, des cérémonies et que sais-je encore.
Et lorsque qu'elle dut partir, je lui avais lancé, genre en rigolant, « bref si je veux te revoir il faut que j'organise une messe noire ? » Et elle m'avait répondu, « fait ça pour vendredi soir », en insistant sur la rime. « On se retrouve ici pour l'apéro. »
Et voilà. Vas y organiser une messe noire toi ?
Moi en ces temps brumeux, je nageais dans la vanille, jusqu'aux yeux, je n'y voyais rien de toutes ces choses, qui finissent par te faire parler en prose.
Alors du coup, j'ai fait en sorte d'habiller la table en deuil avec deux trois cierges noirs sur des bougeoirs en plastique. C'était un investissement raisonnable, surtout que je ne croyais absolument pas qu'elle soit au rendez-vous.
Mais finalement elle était là, assise sur mon canapé et moi sur une chaise de l'autre côté de la table basse. On avait mangé, j'avais fait bonne impression de mes talents culinaires et le simulacre de cérémonial l'avait amusé.
« Mais violent, des claques sur les fesses ? Tu aimes quand on te tire les cheveux tout ça...quoi » Avais-je enchaîné, en me disant qu'elle devait simplement aimer se faire secouer pendant les transports.
« Oui, ça c'est les préliminaires » Avait-elle répondu avec un fond de défiance amusée dans le regard.
Wahooo! Reste calme, ne t'excite pas mon copain me répétait je en boucle, ne t'excite pas.
Des filles qui aimaient se faire un petit peu maltraité de manière appropriée, j'en avais connu. Un moment de ma vie, je m'étais même dit que je les attirai.
Le physique peut être, un 1,87 m 115 kg. J'avais pas une gueule particulière mais j'avais du bagout et j'étais complètement obsédé. Donc j'attirais pas forcément les plus romantiques. Bien qu'il y ait des obsessions très romantiques, mais c'est un autre sujet.
Les préliminaires… Cette fois l'assurance venait d'en prendre un sacré coup, alors je me suis levé avec mon verre à la main, va savoir pourquoi faire, pour détourner l'attention sûrement. Et avec, je ne sais pas si vous connaissez, cette impression de "c'est pas moi qui est en train de le faire", je me suis assis à côté d'elle.
À l'autre bout du canapé, juste en face, vautré sur l'accoudoir.
« Je t'ai choqué là non?
–Non non je te dis, au contraire, la chaise commençait à me faire mal au dos.
–Non parce que je vois toutes mes copines qui sont love love, en couple, je me ferais grave chier à leur place. Alors des fois je me dis que je suis un peu bizarre et c'est vrai j'ai peur de choquer.... »
Pendant qu'elle me parlait je me voyais faire le geste. Tu vas pas le faire.
Elle est peut être juste en confiance et elle te parle parce qu'elle à envie de te parler. Pas forcément parce qu'elle a envie que tu la secoues. Me disait la petite voix aux ailes blanches. Mais n'importe quoi ! Pourquoi elle a mit le décolleté avec la mousseline transparente d'après toi?, Lui rétorquait l'autre petite voix celle qui l'accompagne toujours, mais qui elle, a des petites ailes noires.
Je me repasse mon mini scénario encore une fois : je m'avance en glissant sur le canapé, de manière rapide et furtive, enfin on va essayer.Je glisse ma main dans ses longs cheveux noirs, voilà. Et je remonte jusqu'à la nuque. Et là j'empoigne fermement sa chevelure, je lui tire la tête en arrière et je l'embrasse. hop!
Elle m'a craché au visage.
Je sais pas ce qui m'a pris, j'étais en train de me repasser le geste dans ma tête et je sais pas comment, je l'ai fait.
Et puis je suis là, ma main enserrant sa crinière, je sens sa salive me dégouliner sur les yeux, les joues. Je pense en un éclair relâcher mon emprise, croyant avoir commis l'erreur fatale. Mais elle sourit.
Sous la surprise du crachat je me suis mis debout, mais je tiens toujours sa tête. Je ne sais plus quoi faire, je la regarde, j'ai tellement l'air con...
« Tu es sûr que tu veux jouer comme ça ? » Me lance-t-elle alors.
Je sais pas. Comme ça ? Comment ? Je fais quoi ? Panique neuronale provoquée sûrement par un afflux de testostérone, je ne peux plus rien dire et dans un espèce de réflexe de mâle, je reprends ma prise sur ses cheveux, plus violemment.
« Vas-y, frappe moi »
Et vas y le scud dans ta tête à toi! Mururoa, Nagasaki, Hiroshima…
Frapper ? À l'époque "baise-moi" ça m'aurait mis en joie, mais "frappe moi"?
Mais je peux pas faire ça! J'étais un grand admirateur de Bertrand Cantat! Moi, Mademoiselle, et depuis je suis traumatisé!
Très sérieusement ! Comment peut-on lever la main sur une fille ? Je veux dire, même mon ex femme, lorsqu'elle m'a jeté de la vaisselle au visage pour me pousser à bout, et ben même elle, même si j'en ai eu fortement envie, j'ai jamais pu!
L'éducation judéo-chrétienne! Quoi que, je sais pas si c'est bien ça. Enfin je sais pas d'où ça vient mais, c'est un principe de base, on tape pas les gonzesses et puis c'est tout! C'est ce que m'a appris papa et c'est ce que j'ai appris à mes fils.
Oui mais là elle le demande! Tiens, les petites ailes noires...
C'est pas la première fois que tu claques le cul d'une copine, tu as toujours eu des grosses mains. Et les petites ailes blanches d'argumenter a contrario : oui mais combien t'ont déjà dit: "vu ce que ça fait sur le cul, j'aimerais pas la prendre dans la gueule"...
Et elle, elle la veut directement sur la courge, et c'est les préliminaires… qu'est-ce que je fais ?
Je sais pas, j'approche à nouveau mon visage du sien, et elle crache encore. En pleine face!
Gifle!
Petite… que dis-je, un soufflet. Putain qu'est-ce que j'ai fait! Tu n'as pas honte ? Ça pourrait être ta fille.
Arrête tes conneries l'emplumé! C'est pas la première fois qu'on s'envoie des filles trop jeunes pour la bien-pensance! Elle est majeure et vaccinée mon copain. Et elle est en train de nous en mettre plein la gueule! Mais putain, regarde comme elle nous dévisage, elle a les yeux qui sentent trop le cul, ça lui a plu je te dis!
« Ça va ? » Je lui demande parce que je me pose vraiment la question. Je l'ai giflé, est-ce que ça va ?
Elle me regarde d'une manière presque méprisante sans desserrer les dents dans un espèce de feulement et me dit « Si tu veux quelque chose, il va falloir le prendre.
– Oui j'ai très envie de te prendre quelque chose.. c'est rien de le dire.
– Soit plus convaincant.
– Ça me fait bizarre
– Tu aimes pas ?
– Si énormément, mais c'est ça qui me fait bizarre. »
Elle a encore craché, alors je l'ai à nouveau giflé. Plus fort.
Et puis j'ai mis ma main sur son menton, mon index et mon pouce comme une grosse tenaille autour de ses joues et j'ai serré jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche.
Elle s'était débattue.
« Tu es sûr que ça va ? » Je demandais encore, en lui maintenant la bouche ouverte d'une main tout en lui tirant de plus en plus fermement les cheveux de l'autre, parce que je suis en panique.
« Ta gueule ! » Réussit-elle à éructer.
Les petites ailes noires ayant pris le dessus dans le survol de mes idées, je lui fourre trois doigts dans la bouche et je la tire par les cheveux pour l'obliger à se redresser.
J'aurais dû faire attention aux ongles.
J'étais en T-shirt. Elle a posé ses mains sur mon poitrail et elle m'a enfoncé tous ses ongles aussi profondément qu'elle a pu au travers de cette trop fine étoffe.
« Mais putain il faut t'attacher ou quoi? » Avec une main que j'ai sortie de sa bouche, j'arrive à attraper ses deux poignets, ils sont très fins j'adore ça. Je la maintiens toujours par les cheveux.
Et puis elle se débat plus franchement. Je la lâche. Et elle se jette sur le canapé en rigolant.
« Tu es pas près d'y arriver
– à quoi donc ?
– À m'attacher.
– C'était pas ma première idée.
– Je sais, mais ça va pas être possible sans ca.
– Ah ouais... »
Je défais ma ceinture d'un geste assuré, je tire d'un coup sec je la fais glisser hors des passants en une seule fois et elle pend de ma main jusqu'au sol.
« Tu crois vraiment que tu fais peur » elle rigole.
« Tu vas pas arriver à me baiser
–si tu veux pas non, ça c'est sûr, tu n'as pas envie ?
–D'abord me faire baiser, c'est pas ma pénétration préférée.
–Ah d'accord…
–mais tu vois, je donne pas mon cul, il faut me le prendre et tu peux toujours essayer, sans m'attacher... »
Cette salope est une furie, pas moyen. Elle griffe, elle crache, elle frappe... Et elle te met au défi sans cesse.
Je suis de plus en plus excité. Une excitation bizarre, un peu comme les premières ressenties lorsque tu as 15 ans l'été, et que la jeune voisine du bungalow d'en face te laisse lui mettre la main dans le bikini, oui un truc aussi puissant que ça!
Par dépit j'entre dans la méthode coercitive. Après moult contorsions et non sans mal, je finis par réussir à lui attacher les mains dans le dos, avec ma ceinture.
Je la jette face contre le canapé et m'assois sur ses jambes avant qu'elle ne puisse se relever. Elle a le visage dans les coussins. Je n'entends pas ce qu'elle crie, mais je souffle trois secondes. Et puis les petites ailes blanches me battent à l'oreille « elle est peut-être en train d'étouffer... » Alors en la saisissant sans délicatesse par les cheveux je relève sa tête pour entendre ce qu'elle dit.
Elle est encore en train de m'insulter.
« Connard! C'est facile, tu as vu comment tu es foutu
–tu veux que je te détache ?
–Et en plus tu es con! »
Tout en continuant à sécuriser ses jambes de tout mon poids, j'ai une peur bleue qu'elle se relève et qu'elle essaye de me mettre un coup de boule, je lui écrase la tête d'une main contre l'accoudoir et de l'autre je me saisis d'un de ses sein que je lui tords violemment.
Elle a des gros seins, fermes, ça me rend fou. Ses mains attachées dans le dos, elle est sûrement en train de m'insulter et moi je commence à immiscer les miennes partout. J'entends plus vraiment ce qu'elle dit.
Ce n'est même plus moi qui agis, les petites ailes noires m'ont complètement fait décoller.
Ça a duré un moment, je sais pas. Je flottai au-dessus. J'avais plus vraiment la notion du temps.
Nombre de fois pendant que je me voyais me défouler sur elle, les petites ailes blanches me poussaient à lui demander "ça va".
Je le lui ai même demandé encore au moment précis où je la sodomisai. Me tenant à ma ceinture qui entravait ses mains dans son dos, j'avais fait ça violemment. Elle continuait de me dire des horreurs, à me provoquer. Et moi j'essayais de lui faire le plus mal possible, de donner les coups de boutoir les plus violents.
Je finissais par lui crier « Et là, tu vas la fermer ta gueule maintenant! Je suis en train de t'enculer salope! » En ponctuant chacune de mes syllabes d'un nouveau coup de rein.
Et d'un coup elle s'est mise à pleurer. J'ai entendu ses sanglots étouffés contre le coussin du fauteuil, alors je me suis arrêté. J'ai attrapé sa tête gentiment, pas par les cheveux cette foi. Et elle m'a mordu hargneusement.
« Pourquoi tu t'arrêtes! Continue qu'est ce que tu fais! »
Elle a continué de sangloter pendant que je finissais de lui faire subir les derniers outrages et quand j'ai explosé en elle, ses sanglots se sont mélangés à un petit rire. Je me suis vautré dessus en lui mordant la nuque et puis c'est tout. Je crois qu'on s 'est endormit comme ça.
Depuis ce jour-là, les choses ont changé. Déjà, sodomiser sauvagement une jeune fille sur un canapé après lui avoir attaché les mains dans le dos, c'était un peu limite, mais elle pleurait.
Et moi j'avais lâcher mon plaisir au plus profond d'elle-même pendant que je voyais couler ses larmes sur les coussins du fauteuil.
Et le plus grave c'est que ça m'avait totalement transcendé. Comment avais-je pu violenter une fille jusqu'à qu'elle soit en larmes?
Est-ce que j'aimais voir souffrir ? Ça ma travaillé longtemps. Comment se dédouaner de cette putain de culpabilité.
Mais non, ce n'est pas la douleur que tu aimes contempler. Tiens les petites ailes noires sont de retour.
Ce que tu as aimé, c'est de voir le plaisir qu'elle prenait à ce que tu lui infligeais, de voir à quel point elle était bourrée de vices, c'est elle qui t'a poussé pour que tu la violente Ne t'inquiète pas c'était des larmes de joie.
D'expériences en expérience j'ai de moins en moins eu besoin de demander « ça va? » J'ai appris à le savoir d'instinct, à le sentir, s'en est même devenu un autre plaisir, un espèce de sixième sens jouissif.
J'ai rencontré trois autres jeunes femmes, qui aimaient vraiment être maltraitées, Chacune a été incomparable à l'autre, mais ce sont d'autres histoires. Va savoir, si j ai envie un jour, de vous les raconter.
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Il y a bien des années; j'étais un "DOM", puis j'ai débuté une relation "vanille" avec une femme de mon âge. Elle n'était pas bien jolie, mais elle m'avait bien manipulé et foutue une grosse pression émotionnelle. Du coup j'ai craqué et on a commencé une relation qui a durée 1an et quelques mois. Elle était maigre, 1m70 pour 48kg, pas de seins, des fesses plates à mourir, les dents pourries, et pleine de tatouages partout. La seule chose qu'il y avait de féminin était ses longs cheveux chatains clairs, trés longs, quasiment aux fesses. On était sur un corps androgyne, absolument pas glamour. Mais j'avais confiance en cette femme, et je voulais explorer mon coté soumis avec elle, je ne sais pas pourquoi, mais c'était elle qui m'attirait là dedans. Pourtant elle ne savait rien de mon penchant SM, et j'ai découvert plus tard qu'elle était soumise elle aussi à l'époque et avait un dom qui lui faisait découvrir son coté "domina". Mais ça je ne l'ai découvert que des années aprés. Pendant notre relation, sexuellement, c'était "vanille ". Elle avait une chatte dilattée, c'était le résultat du travail de son dom, mais je ne savais pas. J'avais du mal à rester en érection quand je la pénétrais tellement je ne ressentais rien, pas de sensation de pénétration, une horreur (merci les fists du dom). Son anus avait subit aussi de la dilatation, il était "baillant"...pas trés apétissant. On a rompu. Des années aprés, elle est revenue vers moi. j'avais découvert son coté " SM switch" mais elle ne le savais pas. Elle était encore plus laide qu'à l'époque, trés maigre, vieillie (elle avait 52 ans on lui en donnait 70). Elle avait abusé de toutes sortes de stupéfiants, de nuits sans fins, et de délires sexuels en tout genre , c'était devenue une épave. Mais elle me harcelait, elle voulait reprendre une relation avec moi, elle me poursuivait même sur mon lieu de travail. Plus personne ne voulait d'elle sauf quelques poivrots de son village qui voulaient juste se vider les choses... !. A force de me harceler, je lui ai dit un jour "mais regarde à quoi tu ressembles, tu es une épave, je n'ai envie de rien avec toi si ce n'est te foutre des claques dans la gueule !!". 3 jours aprés, elle me harcelait de sms, elle me reprochait ce que je lui avait dit. sur le ton de l'humour je lui ai écrit "bon ok, j'aurais dû dire une bonne grosse fessée". Là elle sauta sur l'occasion avec pleins de sous entendus, elle voulait que je lui mette des fessées. On a établit un scénario. Je devais être le maître d'école qui recevait une élève pénible pour un cours particulier.
Une semaine aprés, elle arriva chez moi à 14h00. Elle était habillée avec des bas blancs, une mini jupe écossaise verte et jaune, et un chemisier blanc. Elle avait fait des couettes avec ses cheveux.. On aurait dit une grand mère qui faisait un bal masqué, mais bon, c'était le jeu. Elle avait un sac d'école avec tout les jouets dont elle voulait que je me serve, un cahier d'ecole, un petit carnet en guise de carnet de correspondance et des stylos. Tout était scénarisé entre nous. Je lui dis de s'assoir à la table du salon et de sortir ses cahiers et ses stylos. j'étais vétu d'un costume gris, chemise blanche et chaussures de ville . Là je pris son cahier de correspondance et elle avait marqué sur la première page ' j'ai été une vilaine fille à la récré". Je me mis en colère contre elle. elle était assise et moi debout à coté d'elle . Je lui ai tiré les cheveux en lui disant qu'elle serait punie pour ça. Puis on commença une dictée. A chaque faute elle serait punie. Dés la première phrase, elle en commie une énorme volontaire "je voeux au lieu de je veux". Je lui dit de se lever alors que je m'assayais à sa place. Là, je lui ordonnais de lever sa jupe, elle était face à moi. Elle s'exécutat, et je lui dit de se mettre sur mes genoux ventre sur mes jambes. Elle avait la jupe relevée, et par dessus sa culotte, je lui administrait une fessée monumentale (j'étais pas vraiment dans le sexuel, mais plus dans une colère du passé). Ma main était toute chaude de la violence des coups. Au bout d'une vingtaine de coups, elle repris sa place et moi la mienne. On repris la dictée. Pendant 5 mn pas de fautes. Pour la remercier, je lui ai carressé le bras.. Et là, bam, elle refait une autre faute, toujours énorme. Je me mis en colère, "enlève ta culotte et reviens sur mes genoux". Je lui administra une deuxième fessée bien puissante. Ses fesses étaient bien marquées. Puis je lui dit d'écarter ses fesses avec les mains pour que j'accéde à son anus. Là je pris une badine et je lui fouettait doucement l'anus, mais avec une certaine force. Au bout d'une vingtaine de coups environ, elle se cambra, et je pu accéder à son vagin. Il pris sa dose de badine aussi. Je lui dit de se relever, de se mettre debout. J'étais assis, et je commençais à lui carresser son pubis, elle était dégoulinante. Je lui mis un doigt, mais là ce fût l'horreur, pas de résistance. Elle avait le vagin complètement explosé. Si bien que je la fista sans précaution si ce n'est sa lubrification naturelle. il n'y a eu aucune résistance du vagin...HALLUCINANT !. Je fis quelques va et vient avec le poing, en ouvrant et fermant ma main à l'intérieur, elle était aux anges. Mais j'étais écoeuré . Alors je lui dit de se mettre toute nue en gardant sa jupe. Elle se déshabilla, je pris le martinet et je commençais à la fouetter debout. Elle tenait sa jupe relevée, je voyais ses fesses. Elle a été fouettée sur tout le corps, les seins, le ventre, les cuisses, les fesses, le vagin, partout. Je voyais son corps réagir à chaque coup, pris dans des soubressauts à chaque fois. Puis je me suis arrêté. Je lui carressait doucement le visage avec ma main, tendrement, et je descendait sur ses seins son ventre, ses bras, ses fesses. Là je lui pris brutalement le visage par la machoire et je lui dit "tu es vraiment vilaine, il faut que tu arrêtes, sinon ça va être pire". Franchement, je voulais que ça s'arrête là, elle m'écoeurait. Nous avions convenu que pour tout arrêter elle devait me dire "j'ai bien travaillé maître". Je 'attendais à entendre ces paroles. Rien du tout, au contraire, elle me dit "on termine la dictée" . ça , ça voulait dire qu'elle voulait aller plus loin plus fort , c'était un code établi. Alors elle remit son bustier, se rassit et me regarda avec un grand sourire, satisfaite. On a repris la dictée. 5mn sans faute et là elle se leva d'un coup et me dis "je sêche le court" . Encore un code. Tout ce qui s'est passé derrière était scénarisé, on allait dans de la violence et de la dilatation. Je devais lire ce qu'elle voulait en prétextant devoir lui mettre un "mot" sur la dernière page du cahier de correspondance. Elle y avait tout écrit... Elle était debout, face à moi, je pris le cahier de texte et commença à lire : un inventaire à la prévert, double fist vaginal, fist anal, fouet à 4 pattes, fessées fortes, etc etc. Il s'en ai suivi qu'elle a finit attachée sur la table à 4 pattes. je tournais autour d'elle, la fouettant, partout, j'alternait les coups avec un premier fist vaginal puis des coups de paddle, et un fist anal (HALLUCINANT là aussi comment elle était dilatée avant même que je ne commence). Elle gémissait, criait de plaisir, elle me disait qu'elle jouissait sans arrêts... et là je la détachait, la mis sur le dos, lui releva les jambes et entama le double fist anal... je n'avais jamais fait ça. Joignant mes deux mains l'une contre l'autre comme pour une prière, badigeonnées de lubrifiant, j'arrivais trés vite à enfoncer à hauteur de mes première phallanges des pouces. En écartant un peu les mains, j'essayais de lui ouvrir un peu plus le vagin. J'avais fait l'erreur de ne pas l'attacher. Et là, avec ses deux mains , elle me pris les poignets et s'enfonça mes mains toutes entières dans son vagin en faisant un mouvement du bassin. Elle hurla, elle bloquais mes mains dans son vagin et bougeait son bassin comme une hystérique... en fait je ne dominais plus rien, c'est elle qui avait pris le dessus. En trés peu de temps son corps était remplit de sueur. Les odeurs dans le salon devenaient oppressantes, trés fortes . Puis elle s'arrêta de bouger, elle halletait trés fort, poussait des râles. Je ressortit les mains de son vagin, je n'avais jamais vu un truc se dilatter comme ça, avec une telle facilité. Je m'essuyais les mains avec des lingettes, et je commençait à l'essuyer elle aussi. Elle était toujours allongée sur la table. Là, je lui tira les cheveux, les couettes avaient disparues. Je la tirait hors de la table, la força à se mettre à genoux devant moi et elle pris une gifle monumentale. "qui t'a autorisé à me toucher les mains ?". Je lui tenait la tête en arrière par les cheveux. Elle me regardait d'un air terrorisé, elle vait compris que je reprenais le dessus, et que j'étais en colère. Elle pris 3 ou 4 gifles et me demanda pardon plusieurs fois. Elle me demanda comment pouvait t'elle se faire pardonner . (c'était un code pour que je la pénétre, que je "lui fasse l'amour" comme elle avait écrit). Mais je ne m'en sentais pas capable, elle était tellement dilatée de partout que je ne voyais pas comment j'allais pouvoir prendre du plaisir. Alors je pris ma ceinture en cuir qui tenait mon pantalon (ça ce n'était pas dans le scénario). Je dégraffais mon pantalon et lui dit "suce moi, je vais te fouetter avec ma ceinture maintenant. là, elle fit de gros yeux et se mis à sourire. Je lui tirais les cheveux pour coller son visage sur mon pantalon. Elle le baissa et me pris le sex dans sa bouche. elle commença des vas et viens, mais elle n'aspirais pas assez à mon goût. Alors elle pris un premier coup de ceinture sur les fesses, assez fort. "aspire plus fort sale truie". (ça ça m'est venue comme ça ). elle me regarda d'un air satisfait et vicieux, elle avait aimé ce mot. Elle se mit à me sucer plus fort, beaucoup mieux, et je lui mettait des coups de ceinture de temps en temps. Puis je commençais à sentir monter le plaisir en moi, je la regardais, je lui appuyais la tête pour qu'elle prenne mon sex plus profondément en bouche, elle toussa mais reprit la fellation. Je lâcha la ceinture, la retourna, et je me mis à la sodomiser violemment. Je dis bien violemment car elle était tellement dilatée que je n'éprouvais aucune sensation de pénétration par là aussi. Je lui tirais les cheveux et lui ordonna de serrer son cul. Elle s'excuta, mais je vis que c'était compliqué pour elle, elle n'avait plus de muscles à cet endroit. j'arrivais finalement à caler mes coups de reins sur ses contractions pour avaoir des sensations de pénétration. je finis par exploser dans son anus, je me déchargeais en elle. J'étais en sueur moi aussi. ça faisait plus de 3 heures que celà durait. Je voulais en finir. Une fois avoir éjaculé en elle, je me remis debout, le sexe encore légérement en érection, elle à 4 pattes face à moi elle fixa ma verge. Je lui pris le visage par la machoire et lui dit "tu va me nettoyer de tes sécrétions de truie". Elle me fit un large sourire, et se mis à me sucer divinement bien... Tellement que je déchargeais une deuxième fois dans sa gorge... Je lui tendis une serviette et je lui dit "recrache, tu ne mérites pas de goûter à ma semence". Elle recracha.
Nous avons arrété là dessus. Nous nous sommes douchés, avons discuté et pris un apéritif au champagne. il était 18h00 passé. Mais cette folle voulait reprendre une relation, pas moi. Elle me harcela pendant des semaines . Devant mon silence, elle s'est arrêtée finalement. Autant j'avais pû aimer cette femme et la respecter lors de notre relation vanille, autant là, je l'ai traité comme elle se traîte elle même , comme une merde, et c'est ce qu'elle voulait; Elle avait écris en grande partie ce scénario. Depuis, je suis devenu un DOM beaucoup plus soft, beaucoup moins dur, moins violent, plus respectueux; c'est ce que j'étais avant. Le plaisir de cette aventure n'était que psychologique, rien de physique au final. Mais il n'y a eu ce plaisir que parce que c'était elle, parce qu'il y avait des attentes psychologique des deux cotés. C'est assez malsain au final...mais purée que ce fût bon de la traiter ainsi !!!! RRAAAHH
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Contrairement aux apparences, la masturbation masculine peut être diverse et varier et nécessite quelques points primordiaux quand on accepte de s’adonner à donner du plaisir à monsieur lors de cette pratique. Ce n’est pas seulement ce geste de va-et-vient, même s’il amène à la jouissance, qui est le seul point qui stimule et excite ces messieurs et je vais ici vous donner quelques clés qui vous permettront de voir, comprendre et surprendre Monsieur lors de ce jeu banal que vous rendrez, de par ces exercices, peu banals et extrêmement jouissifs.
Bien sûr, je ne donnerai pas tout d’un seul coup et je posterai quelques trouvailles au fur et à mesure.
D’abord, mettons les choses en place
1 – Qu’est-ce que la masturbation pour un homme ?
Là ou pour la femme la masturbation (en couple) et le cunnilingus sont souvent associés à des préliminaires, pour les hommes, la masturbation quand elle va jusqu’au bout (éjaculation) est vécue comme une façon d’avoir un rapport charnel avec son/sa partenaire. C’est donc un rapport sexuel sans pénétration au même titre qu’une fellation. Il n’est pas exclu que Monsieur puisse poursuivre avec une «vraie» relation sexuelle, mais il faut bien assimiler que la masturbation masculine est un rapport qui au moment de la jouissance est un fait accompli. C’est une caresse privilégiée et certes quelque peu égoïste puisqu’à ce moment-là, seul Monsieur en tire du plaisir, mais si elle est faite en parfaite complicité avec son/sa partenaire, peut être un point aussi excitant et stimulant pour celui ou celle qui la pratique. Certaines masturbations demandent beaucoup d’affinités et de symbiose avec l’autre pour être faites tant elles peuvent être osées.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/lart-de-la-masturbation-masculine/
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30 roses baccarat pour JolieRose, les 7 couleurs du début sont pour Lissia et Miss G
1) Rouge comme certaines marques incarnates sur ma peau fine, sensible, réactive, dont certaines traces de fouet que j'ai adoré recevoir que cela soit au Club Cris et Chuchotements par Pascal le Maître des lieux, ou Monsieur Pierre qui sait manier le fouet qui me fascine.
A ces deux personnes ainsi qu'à Mon amour de Maître qui le manie un peu et la confiance est.
Dame Nadia à qui j'ai offert ma peau, et Monsieur Wich cet été, Mon Maître protecteur et respectueux a confiance en ces Personnes.
2) Orange à ce jour, je n'ai pas encore dit ce mot dans ma soumission, un jour peut-être.
3) Jaune quand certaines marques qui commencent à s'effacer au fil des jours...
4) Vert comme la nature que j'aime, les arbres fruitiers, les pâturages, l'herbe coupée, le jardinage qui me rappelle ma petite enfance chez des nourrices à la campagne, j'aime la terre et l'odeur de celle-ci après la pluie.
5) Bleu comme certains bleus sur ma peau dans ma soumission, je marque facilement.
Bleu était mon premier pseudo sur le site sensationsm.
Bleu comme la mer que j'aime par tous les temps
6) Indigo un peu la couleur du lapis lazuli.
Comme la profondeur de la mer et de l'océan.
7) Violet comme certaines empreintes de fouet, cravache qui sont présentes quelques jours après avoir été dominé.
Violet comme les violettes délicates, et cette couleur que j'aime.
8) Je ne bois aucun alcool, ou une petite larme de champagne de rare fois.
J'ai peur quand je vois une Personne saoule, qui s'agite, crie, invective...
9) Ma drogue est le thé, j'en ai plein de petits sachets ou boites décorées, j'aime les jolies tasses, les théières, les salons de thés, j'en bois tout au long de la journée.
10) La lecture me passionne, je suis de nature curieuse, j'aime apprendre, découvrir, ma prédilection depuis 7 ans est pour les livres ou l'on apprend sur soi, je n'ai plus de place.
Je suis inscrite à la médiathèque de chez moi.
Quand je travaillais sur Paris en tant que secrétaire pour l'armée de l'air, en ayant une heure de train pour l'aller et le retour, j'ai beaucoup lu aussi lorsque j'étais en pensions. J'ai toujours de quoi lire dans mon sac à main si je dois me déplacer et que l'attente sera, le temps passe toujours plus vite avec de la lecture.
11) Le cinéma à ma préférence y aller seule n'est pas un souci.
12) J'aime l'opéra avec le film Philadelphia et la voix de la Callas.
Placido Domingo, Pavarotti, Carreras, et autre.
Mais aussi le RnB, le rock, rythme and blues, la musique baroque.
13) L'histoire découvrir encore et toujours.
14) Je suis fan de talons, j'ai x paires dans des boîtes bien rangées, dont certains que j'ai très peu porter. J'en prends le plus grand soin et j'aime les cirer, les lustrer
Dernièrement, j'ai fait le tri parce que certaines paires, j'ai du mal à marcher avec.
15) J'ai deux chiennes Ruby une croisée berger belge rousse de 13 ans passés qui est aveugle depuis 3 ans à cause du diabète et depuis cette découverte, je lui fais deux piqûres par jour, matin et soir.
Une autre de 6 mois de différence, Reine teckel à poils durs qui me suit partout, partout et qui pleure quand je pars et m'attends près de la porte, puis se résigne. Des tortues terrestres, les enfants veulent des animaux et qui s'en occupe Maman et j'aime. Un petit lapin depuis un an et demi.
J'aime les animaux et leur amour inconditionnel.
J'ai un petit jardin et les animaux ont de la place.
16) Mon grand-parents étaient Polonais.
17) Mon père est né à Détroit Etats Unis, ses parents avaient immigrés là-bas, puis sont revenus en France quand il était gamin.
18) J'aime les parfums et ai une collection de miniatures importantes, ainsi que des parfums et eaux de toilette de Lolita Lempicka, Jean Paul Gauthier, je n'ai plus de place et depuis 7 ans j'ai arrêté mes achats divers. Shalimar de Guerlain, Angel de Muggler que j'adore et porte bien souvent.
19) Les marchés, j'aime y flâner, découvrir, sentir, respirer ces odeurs de fruits, fleurs etc.
20) J'ai découvert la série Les Tudors et j'en suis fan, j'ai les dvd et j'aime ces ambiances en costume d'époque, les pourpoints, les décors, les bougies, les pièces froides, les églises, l'odeur de l'encens, les paysages, les joutes etc.
Tous les films, séries, en costume d'époques j'affectionne.
21) Les uniformes ont ma prédilection, en travaillant pour l'armée de terre et air en tant que civile, j'ai été servi. Les cheveux courts, rasés, les consignes, le respect, l'obéissance, l'ordre, la propreté ont mon attirance.
J'ai épousé un militaire de carrière que je n'ai pas connu sur mon lieu de travail et à la retraite celui-ci a porté un autre uniforme.
22) Les flics n'ont pas mon attirance.
23) Date du jour de la belle rencontre avec Mon Maître, le 23 mars 2010.
24) Le chocolat au lait, il ne faut pas que la tablette soit entamée sinon elle y passe.
25) La solitude j'aime et m'isoler, être au calme.
Habiter dans un phare, être toute seule comme la sauvage que je suis parfois suivant les miens.
26) J'aime l'eau, je suis verseau...
L'eau qui purifie, lave, qui m'apaise, qui me plait, qui me fait du bien, l'eau qui coule...
Aie ! Quand je me douche...J'ai du mal à fermer le robinet.
Je me rince, et me rince et me rince.
27) Je fais un peu de gym, du vélo chaque jour, de la zumba depuis l'année dernière, et le stepp avec la musique qui fait boum.
28) Les kilos et moi c'est une longue histoire, kilos perdus, on me dit que je suis malade, kilos pris pour cacher mes blessures pour que les Hommes ne me regardent plus, kilos d'une carapace, etc.
J'avoue être gourmande et attirée par le sucré. Parait que suis cuisine bien.
Tout ce qui est gras ne me plait pas, friture, panés, trop d'huile, charcuterie, etc.
29) Le fouet me fascine depuis que je l'ai découvert, un de mes rêves : être fouettée au sang.
Un autre souhait serait d'avoir un branding au fer avec une fleur de lys.
J'ai un tatouage rêvé en mai 2011 et réalisé en novembre, des anneaux sur mes lèvres intimes symboles de mon appartenance.
30) J'ai du mal à dire : je t'aime...
Je l'ai peu entendu dans mon enfance.
Je n'aime pas le mot 'plaisir' que je remplace souvent par bonheur ou un autre mot.
Petite fille, mon père me disait : "Sois gentille, fait moi plaisir..." Il me prenait la main pour ...
Certains mots étaient interdits par moi, j'ai appris à les prononcer et les dire, les écrire depuis 5 ans.
J'aime la subtilité, la vulgarité que nenni.
Les joutes verbales, les taquineries, ce qui est dévoilé, une attirance pour les mots plus que tout, les belles écritures, les belles âmes, les enfants, l'innocence, la pureté, les petits anges blancs.
J'aime écrire, et coucher sur papier les mots de mon cœur, de mon âme, de mes tripes, chaque soir en principe, avant de reposer mes yeux, j'écris à Mon Maître c'est lui qui m'a encouragé pour que je publie mes récits, poèmes, acrostiches.
Je suis heureuse, j'ai une famille et j'y tiens.
Je suis positive, combative et comme j'aime à dire et redire, il faut savoir se relever malgré les épreuves de la vie. La vie est faite de choix, parfois le choix n'a pas été, j'ai dû subir mais c'était avant...
La vie est belle.
Le 11 02 2014
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21, je me dévoile pour Treize, Lissia, Miss G et 18 pour Lulla Je dois faire un autre portrait et les couleurs demandées par Lissia et Miss G serons dans le second.
1) Mon Maître est le premier que j'ai et aurai, Il est et sera le seul, l'unique.
2) A la fin du mois, je vais avoir 3 fois 20 ans...
3) Les 3 hommes de mon enfance (deux m'ont volé quelque chose) un a tenté de le faire. Un a voulu m'ôter la vie sont morts depuis longtemps ; j'ai survécu, je suis toujours en vie, aucun n'a pris mon âme d'enfant et j'y tiens à celle-là.
4) 4 ans, c'est le chiffre de la relation avec Mon amour de Maître (fin mars 2014).
5) Je suis du matin et toujours de bonne humeur, contrairement aux miens et cela me plait d'être tranquille et d'écouter de la musique.
6) Deux mois après naissance ma mère m'a abandonné...
7) Ma sœur et moi avons été confiés à la Ddass en 1960, pour ma part j'avais six ans, elle 7 ans et demi. Je suis devenue pupille de l'état, merci à la Nation.
8) Après de nombreux placements en famille d'accueil toujours avec ma sœur, j'ai été séparé d'elle vers mes 12 ans et demi et placée chez les Sœurs dominicaines et autres. Puis de 15 à 18 ans à Laval chez d'autres Sœurs ou j'ai raté de peu mon cap d'employée de bureau. Au dernier pensionnat, il y avait 5 sections de 15 jeunes filles qui avaient toutes été placées pour avoir subi ou connu : la maltraitance, les souffrances, la douleur, et parfois l'indicible. Depuis ma sortie, je garde toujours contact avec Sœur Odile de ma section. J'ai retrouvé par hasard dans un grand magasin parisien, il y a quelque années, l'amie de ces 3 ans passés là-bas et nous avons gardé le lien depuis ce jour.
9) Mon père était alcoolique, violent, incestueux. Il aimait à nous insulter, nous rabaisser quand il avait bu plus que de raison. Il aimait à inventer de petits jeux entre ma sœur et moi, savoir qui tiendra le plus longtemps lorsqu'il nous avait pendant les vacances scolaires
10) Les gifles je les crains, elles me font penser à lui, nous devions nous tenir bien droite, les mains sur la tête, le menton relevé. Je marque facilement et mes joues étaient en feu, les larmes étaient là et la colère aussi. Une fois, nous avions caché son nerf de bœuf. Aie ! Il faisait si mal ce truc-là. La première et seule fois que Mon Maître m'a giflé, il a vu mon regard bleu qui est devenu noir et bordé de larmes, de colère, j'ai eu du mal à me contenir, j'ai éclaté en sanglots.
11) J'ai 3 grandes filles, elles sont les amours de ma vie, j'aurais pu les appeler Désirée. J'aurai dû avoir un fils en premier, hélas à 5 mois de grossesse... Il s'en est allé.
12) Aucune, ne m'a fait Mami ours à ce jour.
13) Il ne m'a jamais porté malheur.
14) J'ai en horreur les fêtes de Noel, bien que depuis 7 ans enfin, je suis parvenue à ne plus penser à ce jour de ma petite enfance ou j'ai eu le tort de voir le visage du Père Noel. Il a piétiné nos deux jouets dont ma poupée noire avec son pagne vert autour de la taille. Depuis que je suis Maman, chez moi, on ouvre les cadeaux à minuit pile, jamais le lendemain.
15) Je n'aime pas les hôpitaux, les blouses blanches, le milieu médical. (Souvenir d'un médecin qui a profité)
16) A ma demande, j'ai fait une thérapie il y a quelques années, pour aller mieux et arrêter de me faire du mal ; accepter mon corps, ma nudité m'a toujours posé problème.
17) Depuis le départ de ma sœur, il y aura 7 ans bientôt (le crabe a eu raison d'elle) je m'aime un peu, il était temps, et ce n'est pas encore gagné.
18) En faisant une demande à la Ddass, j'ai pu après un rendez-vous, consulter mon dossier et retrouver ma mère à l'âge de 37 ans et demi. Je l'ai écouté, entendu, ce qu'il y avait écrit sur le papier n'était pas sa version, ni celle de mon père, je lui ai pardonné son abandon... J'avais pour ce jour de retrouvaille, achetée un gros bouquet de roses rouge mes préférées et j'étais enceinte de 4 mois en ce jour particulier.
19) Je suis une femme et gamine quelque fois, impulsive, entière, pire qu'une bourrique, parfois je n'en fais qu'à ma tête, impatiente, patiente, un peu capricieuse, (chieuse/chiante selon les miens). Je suis hypersensible, intuitive, émotive, caractère assez indépendant. On me dit souriante, attachante ....
Je suis expressive et si je ne dis rien en paroles, mon visage parle pour moi, toutes mes émotions y sont inscrites, mon visage est un livre ouvert, c'est mon éducatrice spécialisée qui me disait cela. Elle a été comme une Maman pour moi, elle qui n'a pu avoir d'enfant (Elle en a eu beaucoup par procuration) son mari m'a conduit à l'autel le jour de mon mariage.
20) J'ai une maladie chronique diagnostiquée depuis 10 ans, après deux traitements de l'espoir en 2012 qui n'ont pas eu gain de cause, un nouveau traitement lourd sera en mars 2014 pour 6 mois ou plus, je garde espoir et confiance, je vais me battre, je suis combative.
21) En ce qui me concerne, le regard est important, je sais y lire certaines choses. Je suis très regard et ai du mal à baisser les yeux, Mon Maître apprécie mes yeux bleus et comme il m'a dit le premier jour de son invitation au restaurant pour faire connaissance, avec Lui les yeux baissés ne seront pas de mise, je les baisse quand j'ai honte...
J'aime la vie pour avoir failli la perdre trois fois (EMI) dont deux en donnant la vie. J'ai vu le tunnel, la lumière, ce n'était pas mon jour, mon heure, je crois en cela. J'aime sourire, rire, l'humour que je ne comprends pas toujours, la vie est belle. Le 11 02 2014
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Souvenir d'un 'vieux' texte, d'il y a 3-4 ans...Quand ma vie professionnelle m'amenait à voyager aux 4 coins de la France....
Qui m'a été rappelé par une Damoiselle...qui a/compte beaucoup pour moi....
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Décidément, d'aventures en aventures je vogue en ce moment...
De bonnes et de très mauvaises...vagues me frappent...
Mais qu'importe leurs fracas, avancer est mon chemin et faire face est mon Destin...
Le train, sur de longue distance, est aujourd'hui mon transport régulier le plus emprunté...
De voyages depuis plus de deux ans, je vais, en ces Rails, pour me rendre régulièrement sur Paris...
Hier soir, revenant de Paris en ma demeure par ce dernier train ...Une rencontre des plus plaisantes...et qui m'a ramenée près de 8 ans en arrière....
Assis à une place que deux seuls peuvent loger, je m'installe...
J'y suis premier...
Un homme s'assoit...
Courtoisie oblige, les Bonjours échangés...
Mon casque rivé sur les oreilles, écoutant la musique...
Me reposant d'une journée toujours aussi harassante et ubuesque de non travail
Je ne fais pas attention aux gens...
Mais très vite je vois le Monsieur s'excuser ..
Et une femme vint prendre place...à sa place...
Je prêtes pas trop attention...Seul les "Bonjours" sont échangés
Car la foule s’amasse un peu malgré l'heure tardive...
Et puis, j'ai pas trop le désir de voir simplement...
Et puis j'échange par mon téléphone...
Entre une Amie, Elle Lumière, qui est en difficultés de sa vie Publique confrontés à ces Maux et tourments de son passé qui lui reviennent comme un Boomerang...
Et une Amie, encore, avec qui d'échanges eurent lieu toute la journée...Et qui m'est plaisant dans la découverte partagée ainsi...
Le train démarre quasiment tout de suite
Et déjà le contrôleur passe...
Je relève la tête
La Damoiselle a des soucis de billets...
Enfin surtout que son téléphone est plein et qu'elle ne peut accéder à ce Billet numérique...
Mais elle a son billet papier...Mais pas sa carte de Grande Voyageuse....
Échange de sourire...entre nous...
Elle, un peu désemparée de la situation
Moi, amusé de la situation
Le contrôle lui...
"Vous inquiétez pas...Je vais vous trouver...car quand on veut on trouve..."
Éclats de rires entre nous...
"Il vous fait du rentre dedans..." lui dis-je...
"Et pas qu'un peu.." rétorque le Contrôleur...
Nouvelle éclats de rires...à trois cette fois...
Décidément, le dernier train est d'une atmosphère toujours vraiment plus détendue...
"Voilà je vous est trouvez...Aucune soucis ma p'tit Dame, bon voyage"...
Échanges de sourires en cet anecdote de rencontre...
"Vous avez des soucis avec votre téléphone ?"
De son grand sourire elle me répondit alors
"Oui, mon téléphone est plein...Je prend trop de photos..."
"Vous devriez les sauvegarder..Et ainsi profiter de votre téléphone pour ses applications qui sont d'ailleurs des plus utiles surtout si vous voyagez souvent...."
Et de là commença une longue discussion....Moi, qui pourtant, passe pour une personne réservé...
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Aujourd'hui, en mes Maux, j'en prend un grand Pas...Mais je me sais aussi imprévisible dans biens des choses
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Passionnante de fou rires, de partages de vies..
Lorsqu'elle m'évoqua la raison de son voyage...Là je fus transporté 8 ans en arrière...
"Je rejoins mon ami, qui habite dans votre Région...Et cela fait 1 an et demi que je fais une fois par moi le voyage et lui le fait de temps à autre en voiture..."
Mon sang ne fit qu'un tour...Me rappelant alors les Maux de n'avoir pas pris à temps le Pas de rejoindre celle qui me fut une époque....
Et pendant près de deux heures...Je lui vantais la Région et ce bonheur d'y vivre...à contrario de sa Région de l'Est...
Elle m'évoquait qu'une des raisons qui la poussait à ne pas franchir le Pas eut été celle de ces Chairs et de leurs Papa...vivant aujourd'hui non loin d'Elle...
Alors je lui expliquai ma situation..Qui, depuis 8 ans maintenant, est de vivre de mes Chairs loin de moi...Mais que je faisais toujours en sorte de pouvoir les voir aussi souvent que je puis...D'autant qu'aujourd'hui, les moyens pour être en contact sont des plus grand...Et que notre relation était vraiment là..et que l'amour d'un Papa envers ces Chairs et réciproquement était bien présent...
Et même encore aujourd'hui, où j'ai pris demeure non loin d'une Gare, pour l'en facilité leurs venue...
Je lui expliquai également que, bien que le plaisir d'un voyage pour rejoindre l’Être aimé était très plaisants...
Ce cœur qui nous est battant dans ce subtile moment qui nous rapproche plus de l’Être que l'on chéri...De tout ce que l'on peut entreprendre pour que ces petits moments nous soient si enivrant...si prenant et si inoubliable....Pour que cela recommence...encore et encore...
Elle souriait à chaque phrase que je sortais...Parfois elle tendait à me dissuader...Mais je lui retournais un argument qu'elle, du coup, ne pouvait que prendre dans le sens où ...J'avais raison...sourire...
Mais, qu'il était temps, pour Elle, si son amour, son implication était réciproque, qu'elle fallait qu'elle entreprenne le pas de sa vie et se rapprocher de l’Être qu'elle aimait...
Car on a beau dire...Loin des Yeux...Loin du cœur...
Et que ce n'est pas nos Chairs qui en pâtirons de ce changement de lieu d'habitation, car un jour, ils partent...et l'on se retrouve seul....
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La distance entre deux personnes est une chose vraiment savoureuse...Mais, il ne faut cependant pas que cela dure trop longtemps...C'est surtout cela...
-
C'est ce que j'ai pu faire il y a 8 ans...Même si en ma Fin d'acte, il me fut désertion de la part de mon Elle Lumière....
Mais qu'importe, j'avais à l'époque trop attendue pour rendre cette distance moins grande...
Et lui en fit part...Pour que cela ne lui arrive pas...
Nous n'avions absolument pas vue le temps passer, plus de Trois heures de discussions, échanges, de fou rires, de plaisanteries pour tendre à ce qu'elle prenne le chemin de celui qu'elle aime....
Le train arrivait à mon terminus...Elle y descendait aussi...
Les portes s'ouvrirent...
Je l'aidais à descendre ces bagages...
Dans notre précipitation, nous n'avions pas pris le temps de nous présenter
Comble de l'ironie...
Quand je lui dis mon prénom....
Elle explosa de rire....
"Vous allez rires...C'est le prénom de mon ami..."
Rooo...déjà que nous avions partagé beaucoup durant ces trois heures...Et même pas nous avions faire les présentations...
Elle me présenta quelques instant après son ami...
Tout de suite le contact fut bon,voir même très complice...
Elle lui expliqua que j'ai, tout le voyage durant, persuadé sa personne de vivre près de lui...Pas avec lui, mais bien près de lui ...
Nous discutâmes un petit moment, fumant nos cigarettes tranquillement...
Je pris congé d'eux...Avec ce sourire précieux d'avoir peut-être réussi à réunir deux Etres qui s'aiment d'une grande force....
Alors peut-être qu'un jour prochain je croiserai à nouveau cette Belle Demoiselle, peut-être qu'un jour elle me dira...
"C'est fait, je le rejoins prochainement"...
Et ce jour, j'aurai la grande satisfaction d'avoir réuni simplement deux Etre s'aimant vraiment...
- - - -
Alors Vous, chers Lecteurs, chères Lectrices...Vivre une vie amoureuse, qui plus est dans ce Jardin si plaisant, quand la distance est....Ne vous en soucier pas..Elle n'est certainement que le meilleur moyen de vous rendre compte de Votre Bonheur...
Mais un conseil...Il faudra un jour prendre une décision...
Garder cette distance ...
Ou prendre ce qui vous est et la rendre simplement plus proche à porter de Main...
Aujourd'hui, je sais ce que je ferai...Mais c'est le choix de chacun...Cependant l'expérience m'a apprise...qu'à un moment...Si l'entremise est des plus présente...Alors il faut foncer, qu'importe les conséquences...Mais être proche de la personne qui nous est...C'est encore plus fort....
Qu'importe le regard des autres,
Qu'importe les Conséquences...
En cette Acte sublime...
En ce geste de rapprochement...
L'amour est encore plus fou et enivrant...
Et resserrez le Lien qui vous unit...
Et il vaut de le vivre....Intensément... déraisonnablement...
Et si de voyage vous désirez faire...Faites le à Deux....
Car A deux...La vie est beaucoup Mieux...
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C'est fini. J'en ai marre! Je décide d'absolument tout supprimer. Il ne restait déjà plus rien de nos discussions par messagerie puisqu'Elle avait déjà tout supprimer, mais là il faut en finir. Il faut tourner la page. Après 1 mois de total silence de mon ex-Dom.
Tête baissée, je branche mon disque dur externe, saisi le dossier avec photos, identifiant du jeux vidéo, quelques screenshots de nos premières discussions déjà très dominées par Elle. Ces discussions me font revivre les prémices d'une relation qui me marquera à vie. Que penses-je? Stop, arrêter cette pensée. Passer à autres choses. Etre mentalement fort. Motivé.
Je glisse le dossier du disque de l'ordinateur dans la corbeille. Idem avec le dossier sur le disque dur. Je réfléchie encore à ce qui me pourrait me lier à Elle. Ha oui ! j'ai envoyé un email à l'entreprise du jeux vidéo pour savoir s'il pouvait casser notre lien d'amitié virtuel (que j'avais volontairement abondamment approvisionné ridiculement, presque 100 fois les moyennes d'amitiés et j'avais payé pour cela). Je supprime ces emails aussi (les reçus, les envoyés, la corbeille, tout ! tout ! tout!). Je vide ma corbeille et me dit, "enfin, c'est fini, je ne vais pouvoir tourner la page".
Il s'en suit un sentiment de liberté, d'une pensée absente, comme une méditation permanente, un soulagement salvateur. Samedi, dimanche, je me sens revivre, libre.
La semaine se passe bien, je commence le lundi avec le sourire. Il fait beau, le soleil s'est enfin décidé à pointer son nez.
Mardi, des pensées reviennent. Elles reviennent plus fortes encore. Jusqu'au moment où je me rappelle nos premiers échanges: "у тебя есть русские друзья?" - As-tu des amis Russes m'avait-Elle demandé. J'avais répondu oui, quelques un. Et je savais qu'une était vraiment fiable
Pourquoi ? pourquoi? pourquoi? m'avait-Elle posée cette question alors que nous nous connaissions depuis quelques jours seulement?
Je me dis : "peut-être pour maintenant, peut-être qu'elle savait que notre différence de culture ne pouvait être que suturer par un ami". Tu dois en avoir le coeur net. "Contacte la, tu n'as rien à perdre. Cela te confortera dans tes idées". Je lui envoi un imessage le mardi soir, 22:45. mercredi: pas de réponse. Je me dis mince. Le même jour, je réinstalle Telegram pour une autre raison et vois son nom. Je lui envoi un message. Mince, elle ne réponds pas, l'accusé de réception indiquant reçu mais pas lu...
Jeudi, Mince, elle ne se souvient pas de moi! Deux ans déjà que l'on s'est rencontré. Quelques photos et le contexte de notre rencontre; Ca y est elle se souvient. Elle m'avait dit "if one day you need something in Russia, you can contact me" Si un jour tu as besoin de quelque chose en Russie, tu peux me contacter. Et c'était exactement ce que j'avais besoin. L'avis d'une amie Russe, connaissant les manières européennes. Je lui explique par un message ma situation. Elle me donne rendez-vous téléphonique samedi matin de 7h30 à 9h00 pour mieux comprendre. "qu'est-ce qu'ils sont précis en Russie!" me dis-je.
Après une soirée avec une ex-copine pas revue depuis 2 ans, relation pas bien terminée, pendant laquelle nous avons fini au champagne jusqu'à 3h de matin, je me décide d'appeler à 7h30 pétante. Ca sonne, ça sonne... et ça résonnait aussi dans ma tête...
"Hello Lara, How are you? :) "
Je lui raconte absolument toute l'histoire, le fait que mon ex-Dom était la Boss dans notre relation. Je ne sais pas si elle a bien compris mais je l'ai dit plusieurs fois. Elle est très attentive, à l'écoute, n'intervient pas mais pose des questions de précisions ou de reformulations.
Elle intervient :"Forget Her, you lost her for ever" "oublie La, tu l'as perdu à jamais" dit-elle d'un ton froid et d'une assurance profonde sans le moindre doute.
Mon coeur se serre, mais je comprends. je reprends mes esprits
Lara me pose des questions, je réponds franchement, honnêtement.
" I would be FURIOUS" J'aurais été FURIEUSE me crie-t-elle nerveusement, prise par l'émotion.
Non, mince, non, ce n'est pas possible. C'est exactement les mêmes réactions que mon Ex-dom.
Non, non, non ce n'est pas possible, j'ai tout faux.
Lara conclue "you've been bad and she did good". "tu as été mauvais et elle a fait bien"
"you're reaction is weak, like a bastard. We called European men as pederaste".
"ta réaction est faible, comme un traître. On appelle les hommes européen pédéraste".
Je m'écroule subitement. Non, Comment ais-je pu faire faux.
Je réfléchi: "je dois m'excuser... je Lui dois de vraies excuses. Des excuses à la hauteur de notre relation"
Comment vais-je faire, je ne peux plus lui parler et je n'ai que son nom prénom et lieu de vie: Moscou.
Il est 8h55 et j'ai encore 5 minutes de discussion avec elle.
La suite dans un prochain épisode.
Tout ce que est écrit au-dessus est réel.
Merci pour votre lecture et commentaires constructifs les bienvenues.
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Une chaude matinée d'été.
Elle prend son sac de plage, ses huiles bronzantes, un roman, de l'eau.
Elle ressent plein d'envies au creux de son ventre, ce matin là.
Un lieu naturiste lui a été indiqué, sur les bords de Loire. Pas trop fréquenté.
Personne lorsqu'elle pose sa serviette, une petite plage de galets paisible au demeurant, la Loire très basse à cet endroit sur un fond sablonneux envahissant tout le lit du fleuve.
Elle s'installe, retire sa robe et sa lingerie, et s'allonge, nue. Le seul instant d'abandon total, le corps libéré accueillant la chaleur du soleil . Elle respire doucement, n'écoutant plus que le chant des oiseaux, le murmure de l'eau, le bruissement du vent dans les arbres...
Elle choisit un lait solaire dont elle s'enduit délicatement, le visage, le cou, les seins, les bras, le ventre, l'intérieur des cuisses, les jambes. Son imagination l'entraine sur des sentiers de désirs, pervers à souhait, sens interdits souvent, elle ondule en rêvant de mains sur elle....
Un bruit. Un bruit de pas sur le gravier. Elle ne bouge pas mais reste attentive.
Les pas s'approchent, puis une voix la saluant. Deux hommes en maillot sont près d'elle, ils cherchent un lieu tranquille où ils pourront bronzer nus.
La conversation banale s'engage, ils sont avenants et plutôt séduisants.
Elle s'est retournée à leur arrivée et expose ses fesses blanches et son dos au soleil. Un des hommes lui propose de protéger sa peau claire, et commence doucement à la masser de crème solaire. Ils échangent sur la tranquillité de cet endroit, l'autre homme assis près d'elle, lui pose des tas de questions sur les lieux à visiter.
Elle ressent un bien-être grisant l'envahir sous les mains expertes du premier homme, qui s'applique à ne laisser aucune zone de sa peau sans protection.
Il effleure, puis masse, détend ses muscles crispés, pétrissage fin et délicat d'un corps en attente.
Elle répond aux questions avec plus de difficultés, sa voix s'entrecoupe de soupirs, sa respiration hésitante la trahissant de plus en plus.
Les mains glissent sur ses fesses, les écartent, les rapprochent, puis descendent entre ses cuisses.
Elle se laisse faire, son corps réclamant ces caresses de plus en plus intimes. Une joie profonde s'insinue en elle, un appétit charnel tend son ventre et son sexe. Elle sait qu'elle commence à mouiller, impudique aveu de ses désirs.
L'homme l'incite alors à se retourner, et la sentant hésitante malgré tout, il entraine son corps dans ce mouvement.
Il reprend ses massages en protégeant le visage puis la gorge, les épaules, il contourne les seins, les presse, les palpe, en étire les pointes, puis les resserre l'un contre l'autre.
Une excitation sourde la saisit lorsqu'il pince ses mamelons et les roule entre le pouce et l'index. Elle gémit plus fort.
Elle a refermé les yeux, offrant son corps à ces caresses, elle veut juste jouir de ces instants, elle veut prendre le plaisir comme il vient, indécent, animal, un plaisir chaud montant en elle.
Elle a vu l'érection des deux hommes, mais elle ne les touche pas. Pas encore.
Elle veut profiter, elle d'abord.
Invitant le second à se joindre aux caresses, elle tremble sous ce contact à 4 mains.
Les mains pétrissent son ventre rebondi, malaxant sa peau chaude, puis descendent sur ses cuisses qu'elle écarte aussitôt. Les doigts lissent sa légère pilosité, et pianotent sur ses lèvres humides. Ils s'en emparent, les étirent, les font rouler entre leurs doigts.
Elle vit ces caresses au plus profond de son corps, les anticipe, les espère, les souhaite plus intimes encore, les appelle en gémissant et en coulant....
Son clitoris saillant est massé délicatement, puis humidifié par les gouttes de salive qu'un des hommes laisse intentionnellement tomber. Ce contact troublant l'excite plus encore.
Les doigts poursuivent leur exploration, plus aucun mot n'est prononcé, juste les respirations, les soupirs, les halètements, le vent chaud.....
Les doigts ouvrent sa fente, tout doucement, cueillant son abondante cyprine. Un doigt se promène sur sa fente béante, s'imprègne de ce désir trempé pour masser son entre-fesses palpitant.
Le doigt appuie et force doucement l'entrée étroite, il s'insinue, trempé de mouille et d'huile solaire, il pénètre et sodomise enfin.
Elle est envahie d'une chaleur indécente, elle se veut emplie, pleine, prise....
Deux doigts s'enfoncent alors dans sa fente, la possédant, la visitant, soulevant son bassin sous le plaisir provoqué.
Plus encore, le contact des doigts dans son ventre à travers la fine paroi les séparant, l'excite terriblement.
Une sorte de danse entre les doigts de ces hommes et son corps, elle sent le plaisir chaud monter au creux de ses cuisses tremblantes. Entre les contractions de son corps et le relâchement absolu de son ventre, elle grogne de cette jouissance bestiale qui la saisit, et hurle de ce feu en explosant sous leurs doigts.
Le bassin toujours tendu, elle réclame alors le plaisir de ces hommes et leur ordonne de se masturber sur ses seins gonflés.
Vite et fort. Sans aucune retenue.
Elle veut les voir jouir, là maintenant, leurs doigts la branlant encore et encore, les siens pressant leurs bourses pour en ressentir toutes les contractions de vidange.
Ils restèrent plusieurs minutes sans parler, sans bouger, dans cet état presque craintif de ne plus jamais revivre un tel plaisir .
Le plaisir du plaisir.
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La copine d'Huguette
Encouragé par mes deux premiers succès, ne voulant pas gâcher des dons évidents, je me remis à l'ouvrage. J'appelai Huguette pour la revoir, toujours sous le charme. Elle n'était plus libre me confia-t-elle, avait déménagé, n'était plus intéressée par le BDSM, et n'avait rien ressenti – de quelconque façon à ses dires – lors de notre rencontre. Si je n'avais su lire entre les lignes j'aurais naïvement pensé qu'elle m'évitait ou avait été déçue. Ma grande expérience de la psychologie féminine me fit heureusement deviner, que, probablement par peur de tomber follement amoureuse, elle préférait une vaine fuite. Je dis vaine, car évidemment, je ne voyais pas comment son esprit eût pu se détacher de moi. Pas plus que son corps qui devait m'appeler chaque nuit . Gentleman, je n'insistai pas, la laissant toute à la pudeur de ses sentiments. Juste avant de me raccrocher au nez (assurément pour cause de forfait dépassé – tiens au fait c'est moi qui l'appelais …), elle me donna le numéro d'une amie, qui, disait-elle pourrait être intéressée, elle ( je cite ). Ah ces femmes , quels bijoux… Elle avait été si enthousiasmée qu'elle n'avait pu s'empêcher d'en parler à sa copine. Bon Prince je décidai de l'appeler . Evidemment cette dernière fut emballée et me donna rencart le jour même.
Lorsque j'entrai dans le café, je la reconnu immédiatement. Sa paire de Rangers , son pantalon treillis très en vogue chez les femmes à cette époque me plurent immédiatement; je devinai vite qu'il s'agissait de masquer maladroitement sa fragilité, sa féminité… Et ce ne sont pas ses cheveux hirsutes et son maquillage outrancier qui allaient me faire changer d'avis. Pas plus que ses 15 bons centimètres de plus que moi, ni ses épaules de déménageur. Je mis sur le compte du tabac (elle écrasa son cigare dans le cendrier à mon arrivée en me dévisageant …) sa voix grave .
_ Bonjour Madame, je …
_ 'sied toi!
Quelle économie de mot, et quelle concision; j'en était admiratif! Je saisis au vol cette invitation et pris place face à elle.
_ alors c'est toi qui voulait dominer Huguette?
Force était de constater que ma réputation m'avait précédé; je conçu une certaine gène (humilité quand tu nous tiens) devant ce compliment déguisé. Toujours cette subtilité du langage féminin…
_ moi aussi j'aime la fessée...
lâcha-t-elle en même temps qu'un rot qui fit se retourner même les plus habitués des lieux. Elle reposa sa bière en s'essuyant sensuellement les lèvres d'un revers de la main.
_ ...mais je préfère la cravache, mon pêché mignon!
J'étais sous le charme, nos goûts correspondaient à merveille. Savait-elle qu'elle était déjà perdue corps et âme?
Son regard et un signe du menton m'indiquèrent la porte des toilettes où elle avait visiblement l'intention de me suivre; évidemment l'endroit n'était pas aussi romantique que j'aurais pu le souhaiter, mais son envie, son impatience eurent raison de ma pseudo réticence. En outre elle venait de me confier qu'elle avait tout ce qu'il fallait avec elle, dans son sac. Vraiment bien organisée cette charmante jeune femme, avoisinant les 70, 75 ans. Elle avait certainement tout prévu la coquine. J'en étais à bénir ma bonne fortune lorsque j'entendis la voix de ma belle à travers la porte:
_ J'espère que t'a remis du PQ Pierrot , sinon je m'essuie sur les murs !
Les rires gras de l'assemblée me transportaient; elle savait y faire pour donner le change, et mine de crayon, me rejoindre. La porte s'ouvrit; elle était encore plus grande que je ne croyais.
A peine entrée elle ouvrit sans un mot la porte des WC femme et me poussa dedans. Impatience quand tu nous tiens… De son sac elle sortit une magnifique cravache noire, un modèle assez court, avec un large embout en cuir.
_ Baisse ton pantalon!
J'en étais gêné! Voulait-elle passer à une gâterie tout de suite? C'eût été gâcher, je ne l'avais même pas encore fessée. Je fus rassuré quand elle me fit appuyer au mur, pantalon sur les talons; dans cette pause noble j'entendis (et surtout sentis!) le sifflement de la cravache s'abattre sur mon arrière train! Elle voulait vraisemblablement vérifier son bon fonctionnement avant de me la tendre. Visiblement dans le doute, elle vérifia une bonne trentaine de fois l'outil sur la partie la plus charnue de mon individu. Etrangement , dansant d'un pied sur l'autre, j'avais de moins en moins envie de la dominer. J'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas trop. Je sentais à son souffle court qu'elle fatiguait; cela m'arrangeait un peu à vrai dire… Quand elle eu fini, elle claqua la porte et sorti, me laissant le soin, me précisa-t-elle, de régler ses «4 bières descendues en t'attendant plus la tournée générale» qu'elle allait mettre sur mon compte. Je remontai sans hâte et avec une infinie délicatesse mon pantalon dont il me sembla soudainement que la matière était proche du gant de crin.
Décidément ma carrière de dominateur se poursuivait aussi fort qu'elle avait démarré; j'en concevais une légitime fièrté , bien décidé à ne pas m'arrêter en si bon chemin. Quand tout vous sourit dans la vie , quelle extase ..
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"En hommage à la Dame du Lac"
Il pleut aujourd'hui . Encore une journée pourrie qui s'annonce . Alors que j'émerge péniblement avec une terrible gueule de bois , j'essaie de rassembler mes souvenirs . Je renonce à me rappeler la soirée d'hier mais il me semble bien que j'ai rencart aujourd'hui . Oh putain , il déjà 13h et je dois la rencontrer , pour la première fois à 13h30 . Une heure de route ; pas de panique ( j'ai toujours été fort en maths ) .
Pas le temps de me laver , de toute façon je l'avais déjà fait avant hier . La salle de bain . C'est quoi cette horreur ? Comment ai-je pu mettre un tableau aussi horrible à cet endroit ? Ah merde c'est une glace … Cheveux hirsutes , pas rasé , des valises sous les yeux … Parfait . Pas le temps de toute façon . Je renfile mon jean d'hier ( qui était aussi celui de la semaine dernière , et de celui de la semaine d'avant aussi ) . Je vais bien trouver un tee-shirt dans la corbeille à linge sale … Bon pour un premier rencart il faut une touche classe : je vais mettre mes baskets neuves . Je suis un peu nauséeux là . Vite les toilettes avant de partir …
Bon ça va presque mieux . Démarrer mon carrosse . GGRRRRR , BBBRRRRRR , GGGRRR, BBBRRRR … Saloperie de démarreur : les choses qui font ce bruit là on souvent besoin d'une bonne révision ! BOUM , teuf-teuf-teuf … Ah enfin , il y a une justice . CCRRRIII … CLAC ... première ; il faudra revoir l'embrayage aussi . Perdu dans mes pensées ( où est ce que j'ai bien pu foutre cet aspirine , j'aurais juré qu'il y en avait dans le vide-poche ) je roule à fond vers mon destin . Je bloque le compteur à 45 km/h , la vitesse de pointe de mon bolide ; au diable la maréchaussée . Inutile de mettre l'autoradio volé depuis longtemps , avec le bruit du moteur je ne l'entendrais pas ; et puis cet énorme trou dans le plancher me permet de ne pas m'endormir . Le seul soucis étant que la boue qui en remonte tache mes belles baskets Carrefour toutes neuves .
J'approche enfin du cinéma . Mon coeur va sortir de ma poitrine tellement il cogne fort ; ah ben non , tiens , ce serait plutôt mon estomac … Ou mon foie . Freiner . Les 4 tambours , dans un hurlement déchirant , peinent à ralentir l'impressionnante berline . La place de parking convoitée est dans 428m ; si je veux m'arrêter à temps je dois ajouter le 5e frein et ma basket gauche se pose directement sur le bitume à travers le plancher . Dignement je me gare à cheval sur 2 places handicapés .
Je descends , la cherche du regard ; je cherche mon téléphone : zut , plus de crédit . Je suis au bord de la syncope . Je crois que je vais re-vomir . Je la vois enfin . Elle était mieux en photo qu'en réel . Je m'approche d'elle , lui tends mes lèvres en lui disant bonjour . Elle détourne étrangement la tête . Bon c'est vrai que j'ai du oublier aussi de me laver les dents . Mais je connais bien les femmes : même si elle est subjuguée elle ne voudra rien montrer tout de suite . Elle a sa fierté . Sans échanger un mot je vais commander ma place . Je ne veux pas qu'elle me cède pour mon argent ; j'aurais l'impression de l'acheter . Déontologie quand tu nous tiens ...
Nous nous installons ; ma main se pose sur sa cuisse , elle la repousse sans un mot . Héhé , je vois clair dans son jeu , elle vient de toucher ma peau . J'imagine comme ce doit être enivrant pour elle . Le film commence , il est nul à chier . Elle est adorable , faisant semblant de m'ignorer , de ne pas s'intéresser à moi ; je devine sa fragilité à cet instant . Ultime et vaine défense de celle qui est sur le point de céder . Savourant par avance ma victoire , gentleman , je ne la brusque pas .
Lorsqu'elle me secoue pour me réveiller , la salle est déjà en train de se vider . Excuse moi Hélène , j'ai du … Margaux , pardon … j'ai du m'assoupir un instant . Vraiment génial le film non ? Elle est peu loquace . Sans doute toute intimidée la pauvre , je la comprends . Je passe devant elle en m'excusant de lui avoir marché sur le pied ; gentleman un jour , gentleman toujours !
Nous sortons sous un ciel bas , qui est comme une Ôde à cet instant magique ; elle m'avait dit avoir son après-midi de libre mais vient de se rappeler son rdv chez le dentiste dans une demi-heure . Ah les femmes et leur étourderie … Lorsqu'elle me tend la main en réponse à ma tentative de baiser , je sais que c'est gagné : ultime et dérisoire tentative de fuite de celle qui se sait déjà enchaînée . Je retourne à ma voiture en boitant ( ma semelle gauche étant beaucoup plus usée que la droite ) ; je ne me retourne pas , devinant qu'elle doit me dévorer du regard . Encore une ! Décidément , séduire , c'est inné
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"Comment j'ai séduit Hydréane"
Il y a longtemps , bien longtemps , tout au fond d'une lointaine galaxie …
Ma réputation ( pour le moins non usurpée ) de dominant hors paires ( non aucune faute d'orthographe … ) avait depuis longtemps dépassé les frontières de mes terrains de chasse habituels . Ne pouvant être partout et faisant bien malgré moi de nombreuses déçues , j'entrepris de m'inscrire sur un forum . Le lecteur verra là mon coté sadique ; saturé de demandes je débarque en un lieu où elle ne pourront qu'être plus nombreuses encore tant je ne parviens jamais à passer inaperçu . Soyons clair , je n'allais pas là-bas pour échanger ( que pouvais-je bien apprendre moi qui pourrais plutôt donner des cours ? ) , m'enrichir des expériences des autres ( forcément plates à coté des miennes et qui de toute façon ne m'intéressent en rien ) ou je ne sais qu'elle ânerie d'intello oisif . Non je débarquais là avec une seule intention : niquer . Evidemement ma finesse d'esprit m'interdisait de l'annoncer tout de go ; je devais donc un temps faire profil bas ( certainement le plus dur moment de ma carrière de dominant ) . A la pêche on aurait dit amorcer .
Après quelques de mois de public relation ( mon anglais est aussi parfait que le reste ) , le poids grandissant de mes corones ( et oui admiratif lecteur , l'espagnol non plus n'a plus de secrets pour moi ) m'indiquait chaque jour davantage qu'il était temps de passer à l'action . Je postai donc non pas une annonce comme tout pauvre dominant en manque de soumise , mais un test visant à me donner un large choix dans les innombrables proies qui ne manqueraient pas de m'écrire . Il faut avouer que ma boite à MP était restée désespérément vide jusqu'alors ; j'avais -comme toujours- l'explication : elles étaient intimidées , forcément . On ne le serait à moins . Cette peur de ne pas être à ma hauteur que j'ai si souvent rencontrée au cours de ma carrière . C'est idiot d'ailleurs comme réaction : évidemment qu'elles ne seraient pas à mon niveau , mais je n'ai pas le choix , je dois bien passer outre pour trouver une soumise . Logique . Ce qui ne signifie pas manque d'exigence . Juste que je prendrai la meilleure dans les prétendantes à ce statut plus qu'honorifique .
Le test du fraisier vit donc le jour . Un succès phénoménal . Habituel pour moi certes , mais toujours agréable . Une véritable hécatombe . En le relisant , je me disais qu'incroyablement , je parvenais encore à me surprendre , tant c'était génial . A tel point que les autres « maîtres » ( je mets volontairement ce terme entre guillemets tant il me paraît évident d'être le seul à mériter ce titre ) devaient forcément en prendre ombrage . Je compatissais . Malgré des centaines de propositions , je ne parvenais toujours pas à trouver rangers à mon pied .
Un jour errant sur le tchat où j'avais déjà fait tant de ravages , une certaine Hydréane attira mon attention . Je pense qu'elle était consciente de cet honneur . Bientôt elle en prendrait assurément encore plus la mesure . Rapidement elle tomba follement éprise de moi ; comment ne pas la comprendre ? Je finis par me dire qu'après tout , elle avait certaines capacités ( de jolies jambes entre autres , un cul prometteur , et des lèvres entre lesquelles j'imaginais déjà introduire une partie passablement développée de mon anatomie ) . Je devrais pouvoir , après des années de travail intensif , l'amener à ma cheville . Un record sans doute . Banco , elle deviendrait donc ma soumise .
Evidemment , elle ne devait pas tout savoir de moi ; une aura de mystère se devait de continuer à entourer son Maître . Je masquai donc quelques points essentiels de ma vie . Aucune photo de mes charentaises . Elle ignorerait à tout jamais que le matin je déjeunais d'un petit chocolat chaud . Que l'après-midi un thé blanc à la framboise était mon ordinaire . Que chaque soir un tilleul menthe ( la verveine orange étant trop violente pour mon sommeil ) accompagnait mon passage dans mon fauteuil en velours devant la télé . Mon assiduité chaque soir devant question pour un champion et des chiffres et des lettres resterait également secret ; tout comme le fait que j'étais devenu très fort au scrable . Je ne voulais pas trop l'impressionner dès le départ ( cela à déjà provoqué la fuite d'autres , craignant sans doute de ne pas se révéler à la hauteur d'un tel Maître absolu ) .
La Belle tomba dans les filets de la bête. Pour mon grand bonheur et son plus grand malheur . Mais la pitié comme le remord m'étant des sentiments totalement inconnus ...
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Un vieux texte, d'un passé....Qu'un post sur le Forum m'a remémoré sur le sujet de la musique..
(https://www.bdsm.fr/forum/thread/5644/Le-BDSM-dans-la-musique/)
Il y a des matins que l’on aime bien, et qui reste à jamais présent en soi…
Ce mardi matin en fait parti comme les précédentes passions enivrantes bien sur qui ont précédées ce matin.
6h du matin, Paris s’éveille doucement…
Après le passage de la porte, qui se referme derrière moi, j’allume machinalement une cigarette, le cœur encore rempli d’émotions pour reste tout près….
Peut-être, comme sans vouloir vraiment partir et vivre, revivre tout ses émois de la nuit…
Quelle douce odeur cette première cigarette du matin, encore que, est-ce vraiment le matin ou le prolongement de la nuit…?
Je descends la rue, me menant à la voiture.
Le sourire recouvre mon visage, le cœur tout léger.
Les rues sont vides à cette heure fort matinale.
Seuls les premier travailleurs se pressent à rejoindre le bus ou le métro les menant au travail... sans doute.
Paris, au petit matin, a ce goût si étrange, un visage si particulier, j’en avais presque oublié la beauté après une décennie…
Les premiers cafés ouvrent leurs portes, et les saveurs du café chaud parfument agréablement mon chemin.
A mesure que je m’approche de ma voiture, le retour à la dure réalité se fait plus présent.
Mais les images reviennent inlassablement et si délicates, me faisant oublier presque ce retour à ma prison d’orée.
Je passe sur le pont surplombant la gare Saint Lazare, je m’attarde un peu, regardant les passagers descendent des trains…
Les voilà déjà courant, pressés de rejoindre le métro pour éviter une foule, qui a cette heure-ci, est plus qu’improbable.
Il est amusant de voir les lumières des appartements « Haussmanien » qui illuminent d’avantage la rue…et d’y voir les décors si impressionnant et si variés… du moderne au baroque, contraste, je pense, purement parisien…
Les souvenirs de mon passé s’entrechoquent avec la nuit passée…
Souvenirs plaisants, apaisants.
Souvenirs de ses derniers verres pris à pareille heure du matin alors que les percolateurs se mettent en marche…
Les Noctambules croisent les « Diurnes » mais semblent s’éviter…
Ma voiture n’est pas loin, et les brumes de la nuit sont encore bien présentes,
Senteurs, odeurs, chaleurs sont aussi irréelles que cette nuit…nuit tant voulu et tant réconfortante, tant apaisante, tant…tant…
Je monte dans la voiture, allume la radio…
et là…
comme si une magie opérait, une chanson passe sur les ondes…
Une chanson qui me fait dresser les poiles, vibres à plus d’un titre, et qui là, prend encore plus d’importance…
« With or Without You » de U2
Je souris, écoute avec grande attention chaque mot, chaque son, fermant les yeux et me laissant enivrer de cette chanson.
Les images, il y en a des tonnes qui défilent dans ma tête…
Un sourire, des sourires qui s’échangent…
Des mains, des corps qui se rapprochent, et s’éloignent pour mieux revenir, se fondre en un…
Je souris à nouveau, mon cœur est si pris, si vibrant des instants passés…mon corps entier encore couvert de la chaleur...mais je dois partir, il est l’heure…
Les images changent
Les corps qui s’éloignent, les sourires se font plus triste, les voix plus troublées par le départ…
« With or Without You » disait la chanson….
Je parts, et à mesure que je passe devant les quartiers fréquenté la veille, je souris à nouveau, un peu triste que tout cela soit finit…mais si bien…un paradoxe, mais un délice à vivre malgré tout…
Et très vite, je quitte ce quartier...
Boulevard Haussman, place Vendom, La Condore…
la réalité vient vitre effacer, quelques peu, ce passé si ressent…
Je me souviens avoir dit à haute voix…
il faut que l’on aille là ou encore là…mais hélas, pas aujourd’hui ni demain….
Mais pas grave cela sera un autre jour, un autre moment…
Puis l’autoroute fait sont apparition.
Je file vite, mais pas trop, non pas par peur du Radar, mais pour rester …encore un peu dans ce doux sentiment si précieux, pour ce moment si….si…
Pour ce moment qui ne serait qu'un futur, comme si ce matin n'était pas encore venu ...
qu'il sera juste demain.
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