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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Un jeu incontournable dans les pratiques dites du BDSM qui peut aussi être une source de plaisir aux couples joueurs.
Les jeux de cire ou « Wax Play » pourraient tenter certains et certaines d’entre vous.
Explorons ensemble comment s'organiser cette séance.
La première règle à respecter quand on se lance dans le Wax Play est forcément, la sécurité.
L’utilisation de bougies adaptées aux jeux de cire est primordiale. Ces bougies en paraffine ou en soja, ont la particularité de fondre à une température moins élevée que les bougies dites normales
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-Valeri, votre épouse est perse, que diriez vous de quelques jours de vacances avec elle en Iran ?
- Vous ne manquez pas d'humour camarade Président. J'accepte avec plaisir.
- Toutes les instructions sont dans cette enveloppe. Tenez moi au courant.
Le vol pour Téhéran se fait dans le jet privé de la redoutable milice Stalin. Le général Valeri, en plus de son épouse, la sublime Roxane, emmène avec lui du lourd. Un commando d'élite équipé du dernier matériel de la guerre du XXIe siècle et aussi quelques tout nouveaux robots de combat.
Il est aussitôt conduit vers une base secrète située sous une montagne, près de la capitale. Tout est très calme et climatisé. Un monde irréel, totalement futuriste, presque comme une base lunaire ou martienne. Il est reçu par le général Tarash.
- Bienvenue Général Valeri. Notre plan fonctionne. Bibi s'énerve et a réussi à forcer la main de Donald.
-j'ai une malette pour vous. Un cadeau de notre camarade Président. Nul doute que vous allez en faire un bon usage.
- Venez, je vais vous faire visiter et vous montrer vos quartiers.
Pendant la visite, Roxane est époustouflée. Elle ignorait que son pays avait une telle avance technologique.
Le soir, dans la chambre, taillée à même le granit, elle se love dans les bras de son époux.
-Pourquoi m'as tu caché tout cela ?
-Rien ne devait filtrer. Bibi à mordu à l'hameçon. Cette guerre ne fait que commencer. Mais oublions cela. Sers moi une vodka bien glacée. J'ai très envie de toi.
- Ce qui me gêne ce sont ces deux robots androïdes devant la porte. Il voient et enregistrent tout.
- Ah, Michka et Grichka....mais j'ai prévu une surprise pour toi. Tu sais...je les commande par la pensée.
Michka et Grichka empoignent Roxane.
-Meux que des liens , tu ne trouves pas ?
Valeri sort son couteau commando et coupe en deux la robe de sa femme. Elle est nue. Offerte. Les yeux brillants. La bouche humide.
-tu ne vas pas me faire enculer par un robot tout de même.
- non mais il vont s'occuper de toi pendant que je bois ma vodka.
Roxane se retrouve cul nu sur les genoux de Michka et reçoit une superbe fessée. Elle a beau être maso, elle gemit. Ce con d'androide ne fait pas semblant. Roxane hurle à présent. C'est Grichka qui lui triture la chatte, le clito et les tetons. Elle jouit et ruisselle.
- plus les robots, viens prend moi, je n'en peux plus. Defonce moi.
Valeri ne se fait pas prier. Il sort son gros pieu et defonce d'un coup le cul somptueux de sa femme.
Puis il sort son tel et prend une photo.
-Tu es trop belle avec ton cul tout rouge et qui dégouline de sperme. J'en envoie une à Bibi, et une autre à l'extraterrestre Elon. Sur ma ligne directe sécurisée.
- et tu leur joint un commentaire ?
- ce n'est pas nécessaire. Ils se feront eux même leurs propres commentaires.
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Bronco est né avec un don ou une malédiction. Il voit les démons. Sa vie est un cauchemard. Ce monde est infesté de démons. Ils sont partout. Tout petit, il a du fuir sa famille. Il erre dans la ville la nuit pour voler sa pitance et se cache le jour. Si lui voit les démons, l'inverse est pire encore. Il est traqué. Quelle ville horrible infestée par tous ces démons maléfiques. Ils sont partout. Sa vie est un enfer.
Et puis un jour Bronco tombe sur Bianca, la belle, la douce. Elle n'a que huit ans, lui a peine six, mais elle a su le trouver dans le trou sous des vieux cartons où il se cachait. Elle a pris sa main et lui a simplement dit: " viens". Et Bronco a suivi. Il savait que Bianca n'était pas infestée.
Elle l'a conduit vers une secte étrange, nommée "les chrétiens de la première heure". Aucun n'était infesté. Là, Bronco a pu apprendre à lire, à écrire et il s'est montré exceptionnellement doué. Arrivé en âge, il a épousé la sublime Bianca. Un amour total, un bonheur comme il ne pensait pas qu'il pouvait exister. La secte s'est vite rendu compte que Bronco était un exorciste, le meilleur d'entre eux.
Laissez moi vous raconter une séance. Vous trouverez des liens avec les pratiques bdsm. Bronco à été appelé pour sauver une jeune femme possédée par bien des démons et qui ne pense qu'à forniquer. Il ne prend jamais de bible ou de croix avec lui. Juste une petite bouteille d'eau bénite par lui même. La jeune femme des qu'elle le voit lui montre sa chatte et lui dit: " viens, baise moi" . Bronco lève sa main et lui dit en araméen, il n'exorcise que dans cette langue, " au nom du Christ, je chasse les démons qui sont en toi." La jeune femme est prise de convulsions. Elle écarte les lèvres de sa chatte. " bourre moi, connard, serais tu pédophile ? " . Bronco sort sa bouteille d'eau bénite et commence par l'asperger. Chaque goutte qui tombe sur la peau de la jeune femme semble comme provoquer d'horribles brûlures. Elle devient comme folle. " arrête ou je vais devoir te violer" .
Bronco continue. Il lance ses mains avec des paroles en araméen vers la jeune femme comme autant de gifles puissantes. Et les démons sortent . Bronco les chasse et les expulse tous.
La jeune femme giflee et brûlée à l'eau bénite dort paisiblement à présent. Bronco pose sa main sur son front et dit une prière, toujours en araméen. Elle dort en paix. Bronco s'en va comme une ombre. Il sait que les démons qu'il vient de chasser ne sont pas loin. Ils rôdent à la recherche d'une nouvelle proie.
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Subtils langages de nos langues
Avides, qui glissent et tanguent.
A ton corps qui me demande
A mes maux qui te les rendent.
Ton corps est un délice
Où mes gestes ont leurs vices.
Sur ton corps avide et lisse
Où mes promesses s'y glissent.
Viens à moi en émois
Sous mes coups des liens plissent,
Sur ta peau vierge, je me glisse
De mes maux sur ta police.
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(Ce récit est une invention, j'espère qu'il vous plaira)
Le jour J est arrivé... On avait longuement échangé, durant de nombreuses semaines, chaque jour instaurant davantage un lien de confiance entre nous. Et pour autant, je me sentais stressé... Il m'avait invité chez lui de façon tellement spontanée que sur le coup je n'avais pas su trop quoi répondre... Il m'avait demandé : "est ce que ça te dirait de venir prendre l'apéro à la maison ?" Et ce fameux "oui" était sorti... Faiblement, doucement, à la fois plein d'appréhension et de curiosité. Après tout, ce n'était qu'un apéro ! Mais non... C'était bien davantage... C'était notre première rencontre en réel ! Et ça, ce n'était pas rien. C'était le franchissement d'une nouvelle étape.
Ces derniers temps on avait parlé de tout et de rien. On s'était présenté. Lui, Timothée, Tim ou Timmy pour les intimes. Grand, bruns aux yeux verts, silhouette athlétique, la trentaine, docteur en médecine. Moi, Thomas, Tom ou Tomy pour les intimes. Pas très musclé mais pas enrobé non plus, châtain aux yeux marrons clairs, la trentaine également, étudiant en Ressources Humaines.
On s'était découvert un peu par hasard, sur un site dédié au BDSM/fétichisme et le courant était passé instantanément. Il faut dire que Tim avait cette façon là de mettre les gens à l'aise, même en distanciel. Il ne s'imposait pas, il avait une écoute attentive, un regard lucide sur les choses et un respect de l'autre hors du commun. Il n'avait pas peur de poser des questions, même les plus intimes, mais toujours en gardant une barrière de sécurité, me laissant libre d'en parler ou non. Comme il aimait à le dire : "il n'y a pas de questions idiotes et plus on apprendra à se connaître plus on pourra aller loin ! Mais sache que je respecterai toujours tes limites. C'est donc ta responsabilité de me dire si tu ne souhaites pas aborder telle chose ou telle pratique. S'il ne faudra plus jamais en parler ou si il te faut un peu de temps pour l'appréhender". Et je respectais cela.
C'est ainsi que je m'étais confié à lui petit à petit. Mon ressenti de ne pas me sentir de ce monde bien que je sois dans le monde. Mon souhait de m'abandonner totalement à un "grand" à travers un désir de régression, comme un "bébé". Le fait que j'étais très cérébral ce qui m'empêchait de faire des choses que j'aurais aimé faire et que je pensais être "pour mon bien". Mon fétichisme pour les matières matelassées. Mon souhait de pouvoir être utile à quelque chose.... Pourquoi pas à quelqu'un ou même à la science... Et j'aimais à plaisanter en lui disant "tu sais Tim, un bébé ce serait un statut parfait pour moi ha ha. Surcouvert pour ne pas risquer de prendre froid, immobilisé solidement pour ne pas risquer de se blesser, air restreint car un bébé respire moins d'air qu'un grand et p'tit bout - c'est comme ça que j'appelais mon sexe - en libre service pour toutes tortures et expériences que jugeront nécessaires les grands. Après tout un bébé n'a pas d'utilité à en posséder un !". Et j'en riais de bon coeur et on partait sur un autre sujet.
On parlait longuement à la fois de nos vies respectives, de nos joies, de nos peines, de nos doutes. On se prenait souvent la tête, souvent pour des queues de poire. Ce n'était pas agréable sur le coup, mais d'un autre côté, ça nous rassurait, car si l'orage grondait, la relation qu'on avait fondée était bien plus forte ! On parlait aussi beaucoup de ce qui pourrait m'arriver si je décidais de me lancer plus sérieusement dans notre univers parallèle. De ce qu'impliquerait la mise en place d'une appartenance. De ce qui adviendrait si un lavage de cerveau régulier était instauré. Tim connaissait mes limites et il les entendait, comme tout Domi qui se respecte. Il savait que le sexe ne serait pas possible, mais ça ne le dérangeait pas car ce n'est pas ce qu'il recherchait et s'il le désirait il pouvait l'obtenir par ailleurs. Il connaissait aussi les autres limites... Mais cela n'allait jamais plus loin. On papotait, on rigolait, c'était sympa, mais sans plus.... Jusqu'à cette invitation et mon fameux "oui" !
Et le jour J est arrivé... Il m'a donné son adresse et demandé de porter une doudoune freegun grise, celle avec la fermeture qui se zippe jusqu'en haut de la capuche. C'est le début de la belle saison et il fait chaud. Je transpire déjà beaucoup... Fort heureusement, mon stress d'être vu aussi chaudement couvert par d'autres personnes, par ce temps estival, s'est estompé rapidement quand je suis arrivé chez lui. Il habite une très jolie maison, isolée, à environ 2 km de la première habitation visible. Sa résidence est entourée d'un joli bosquet d'arbres. L'endroit est magnifique.
Et me voici. Tremblant et transpirant devant sa porte d'entrée. Conformément à sa demande, je zippe la capuche jusqu'en haut et je tâtonne le mur à ma droite, cherchant la sonnette que j'ai aperçu avant de perdre la vue. Je finis par la trouver.... La capuche s'appuie doucement sur mon visage à chaque inspiration, augmentant la chaleur et l'étouffement. Je sonne... Quelques secondes après, qui me parurent une éternité, j'entends le bruit d'une serrure et la porte qui s'ouvre. Une voix profonde, chaude, vibrante se fait entendre : "bienvenue Tom ! Tu es magnifique ainsi. Je sens que je pourrais te laisser ainsi toute ta vie ha ha. Allez entre, je vais te guider !". Il me fait entrer, referme la porte derrière moi et me parle doucement : "laisse toi faire. Je sens que tu es tendu et c'est normal. Mais je ne souhaite pas que tu vois la totalité de mon chez moi. Je te libérerai le visage une fois qu'on sera prêt à prendre l'apéro. Tu comprends ?". Je fais un hochement de tête affirmatif. Il me dit "Bien !".
J'entends qu'il ferme une autre porte derrière moi et il me fait asseoir. Je sens son ton amusé : "as tu pris ce que je t'avais demandé ?". Je répondis par un nouveau hochement de tête, ouvrit la poche droite de ma doudoune et en sortit une petite cage de chasteté. Il sourit : "comme j'ai dit, je te libérerai le visage quand tu seras prêt à prendre l'apéro !". Il me fit baisser mon pantalon, mon caleçon et m'installa doucement la cage : "et bah ! Le p'tit bout n'est pas si petit que ça ! On va vite arranger ça !!". La cage fut positionnée puis cadenassée. Il ne me remit ni le caleçon ni le pantalon : "un bébé ne remet pas ses vêtements tout seul, tu le sais ! Tu vas rester avec accroché à tes chevilles pour l'apéro". Je sens qu'il prend du plaisir à me narguer gentiment. Et moi sous ma capuche, je transpire de plus en plus et je me sens à la fois excité, frustré et humilié. C'est alors qu'il m'ouvrit la capuche....
Il fait assez frais et ça me fait du bien. Je regarde autour de moi et je vois Tim. Il me regarde, me sourit et va s'asseoir en face de moi. Il est exactement comme sur les photos qu'on s'était échangé. Peut être même mieux ! Je regarde autour de moi. La pièce est nue, ronde, il n'y a rien qui ressorte à part la peinture blanche. Au centre, entre nous deux, une table en bois. Et dessus je vois deux coupes de champagne, des petits fours et quelques gâteaux. Ça me marque car je me dis qu'il n'y a de la nourriture que pour une personne, au niveau de la quantité, mais je n'ose rien dire, j'ai déjà un grand privilège d'être invité... Et mon regard est alors attiré par des papiers et un crayon disposés devant moi...
Intrigué, je regarde Tim qui, voyant ma mine étonnée se mit à rire franchement. "Je comprends ton étonnement, je vais t'expliquer ! Je voulais t'en faire la surprise, mais ce qui se trouve devant toi c'est un contrat d'appartenance. Si tu es d'accord tu as juste à signer. Bien évidemment prends le temps de le lire et que tu signes ou non, on prendra l'apéro juste après". Je n'en reviens pas... Je suis à la fois excité et effrayé. Je ne m'y attendais pas. "Mais, Tim, ça veut dire que tu accepterais d'être mon éducateur ?" lui demandai-je fébrilement. Il rit à nouveau et avec sa voix chaleureuse me répondit "oui, tout à fait ! On discute depuis un certain temps déjà et je me sens prêt à prendre en charge ton éducation. Alors si tu es prêt toi aussi à franchir le cap, alors tu n'as qu'à signer. Mais sache que tu n'es pas obligé de le faire maintenant. Cette responsabilité te revient. Ce qui en découlera ne dépend que de toi, sache le. Donc si tu ne te sens pas prêt, ne signe pas !". Sur cette dernière phrase, sa voix s'était faite très grave et je percevais la profondeur de ce qu'il me disait....
Je lui dis alors "mais je ne suis pas aussi musclé que toi, je ne suis pas forcément aussi beau,...". Il ne me laissa pas terminer ma phrase : "Écoute moi bien, car je ne te le redirai pas ! Tu n'as pas à te dénigrer ! Tu es parfait comme tu es ! Et si on veut plaisanter un peu, dans ton cas, le physique n'a que peu d'importance puisque tu ne quitterai jamais ton cocon de chaleur". Ça me fit rire et il rit avec moi. Et en même temps, l'adrénaline qui me faisait transpirer davantage me fit comprendre que ce n'était absolument pas faux... Et puis après tout, on se connaissait, et j'avais envie de lui faire confiance. Aussi, je ne lus que la partie consacrée aux limites et voyant que ça respectait bien ce qu'on s'était dit, je finis par signer. Sa signature étant déjà présente sur le document.
Son visage s'éclaircit et il me dit "Félicitations bébé, désormais tu es mien ! Tiens, buvons pour fêter ça ! Et profites en car un bébé n'est pas censé boire de l'alcool !". Il me tendit une coupe alors que ses mots résonnaient en moi, provoquant un effet excitant. Il le vit et m'en fit la remarque "on dirait que ton p'tit bout se réjouit aussi de ta décision ! Tu sais bien que quand il tire c'est qu'inconsciemment tu aimes ce qui t'arrive ! Allez, à ta santé ! Bois vite, tu es en train de tremper mon sol tellement tu as chaud ha ha".
Tout gêné, mon p'tit bout étiré dans sa cage, transpirant fortement avec la doudoune, je bus ma coupe en quelques gorgées seulement... Je sentis alors un léger étourdissement... Je crus que c'était l'alcool... Mais j'avais le sentiment que mes paupières se fermaient doucement... Je cherche Tim des yeux. Il vient de se lever. Il s'approche de moi alors que je lutte pour ne pas sombrer. Il me prend la coupe des mains, la pose sur la table. Il me dit doucement"laisse toi aller, tout va bien". Puis il remonte doucement le zip de la capuche. J'essaie de me débattre, mais je n'en ai plus la force. J'entendis alors sa voix "tu te souviens... Tu m'as dit que tu es très cérébral... Et que tu ne te laisserais pas faire sans contraintes solides... Qu'il faudrait te forcer mais que tu savais que ce serait pour ton bien... Et bien nous y voilà... Tu as signé... Et tu es mien... Ton éducation commence aujourd'hui mon p'tit bébé !".
Mes yeux se fermèrent alors et je perdis connaissance...
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J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.
A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames.
Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier.
J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes.
Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus.
Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples.
Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies.
Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.
En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.
De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.
Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel.
Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant.
Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques.
Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.
Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Quand je l'ai vu prendre un verre et le remplir de son champagne doré, mon excitation est montée en flèche.
Le verre se remplissait à une vitesse, jusqu'à ce qu'il déborde.
Je n'avais qu'une hâte, qu'elle me donne l'ordre de le boire en entier, ce que j'ai fait sans aucune hésitation.
Avaler son urine tiède a était une telle chance et un tel plaisir.
Une fois le verre vide, elle m'a attrapé par les cheveux pour que je la lèche et la nettoie avec ma langue.
Je me suis exécuté et il ne lui a fallu que peu de temps pour qu'elle jouisse dans ma bouche.
Mais ce que j'ai aimé le plus dans cette expérience, c'est la fierté que j'ai ressentie dans le regard de mon ex-Domina.
J'espère revivre cela un jour.☺️
Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter en mp. (Femme ou couples)
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Le général Valeri à des potes chez les viets. A la demande de bdsm.fr, j'avais cessé de parler des exploits de ce général russe en Ukraine. A la demande d'une .....ici sur ce site, il m'a été demandé, après une mise au tonneau, de ne plus tirer à boulets rouges sur le coût exorbitant de nos administrations et de nos fonctionnaires. Alors de quoi parler. Des problèmes de couple entre Brigitte et emmanuel? Rien à foutre des différences d'âge et sincèrement, Brigitte c'est une meuf, pas un mec, mon modeste avis sur les ragots. Ce qu'il y a de bien dans le bdsm, c'est que l'on se détache de plein de trucs et qu on en a rien à foutre de plein d'autres. Dom ou soum peu importe, je trouve que nous sommes plus libres.
C'est le cas du général Valeri, en mission secrète en Asie du sud est. Un voyage à faire en célibataire. Avec tous ces jolis petits culs de nanas aux yeux brides, Valeri s'est promis une belle partie de chasse. Pour l'instant il donne le change dans les rues de Hanoï. Il joue au touriste autrichien, il parle fort bien allemand et traine dans tous les coins mal fames. Il se tape des putes comme on boit des bières. Le parfait touriste sexuel qui claque des dollars. Avec ses bretelles bien visibles sur sa chemise, son air satisfait, il a tout du parfait connard. La police ne lui prête plus aucune attention. Les réseaux adverses non plus.
Il est dans son hôtel. Il est rentré avec une minette bombe sexuelle sur pattes. Le petit cul le plus serré des trottoirs, c'est à dire encore trop large au goût de Valeri. Il a bâillonne sa minette du soir.il l'a bien ligottee. Comme cela elle lui fout la paix. Elle a voulu protester. Quelques bonnes gifles sur son petit cul ont suffi pour la calmer. Le cul bien rouge , son bâillon sur la bouche, le sperme qui dégouline de sa chatte, elle couine presque en silence. Elle tremble un peu. c'est vrai que les fessées de Valeri font horriblement mal.
À la télé des viets, on parle discrètement de la délicate attention de Brigitte pour son mari. Valeri monte le son. La encore il passe pour le parfait touriste.
Il assemble son canon de 30mm. Portée plus de 4 km. Un bijou de technologie. Pose sur un trépied en titane, valeri prend tout son temps. Il observe Hanoï dans la nuit avec sa lunette spéciale. Sa cible est la, en face, à plusieurs kilomètres.
La cible ne se doute de rien. Elle sort nue de la douche et s'allonge sur son lit. Elle allume une cigarette et sort son tel sécurisé. Valeri savoure sa vengeance . Sa cible est très belle. Normalement c'est une tâche pour un sous fifre. Mais Valeri aime régler parfois ses comptes lui même. Il monte le son de la télé, donne une baffe sur le cul de sa pute ligotee qui se tortille. Il revient à son canon et a sa lunette. La cible est toujours là. Un plouf ! C'est fini. L'obus de 30mm a fait exploser la chambre où se trouvait la cible. Il est temps de démonter.
Il glisse des billets de cent dollars dans la raie des fesses de la pute viet.
Toi la fermer sinon moi venir te la fermer..
Inutile de répéter, les putes connaissent le langage de la rue.
Il quitte son hôtel avec juste un gros sac de sport. Il est temps de retourner vers la Sainte Russie.
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Un Maitre peut parfois être un loup solitaire. Cherchant la tranquillité au bord de l'eau pour s'y abreuver. Toujours aux aguets aux moindres de bruit et en faisant attention de toujours entendre sa meute à tout moment dans un périphérique bien défini. Le loup fera confiance à son Oméga sur la gestion de la meute, qui t'a se faire attaquer. Le loup Alpha fait également confiance en sa meute, mais cette confiance est bien différente sur le point psychologique. Le loup Alpha fait également le travail en t'en qu'éclaireur de le meute, revenant souvent sur ses pas pour surveiller de loin sa meute. L'oméga sait exactement ce qu'il doit faire, surveiller les arrières et protéger les retardataires. C'est ainsi comment se déplace la meute et qui la dirige. Je n'explique que ma vision concernant le loup et comment un Maitre peut avoir ce type de mentalité et de caractère.
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Second round : Exhibitionniste
Ça commence comme le premier round : exhibitionniste Moi ? Mort de rire, surtout pas !
Bon,en fait, Je n’ai jamais fait partie de celles ne pouvant pas se changer devant les copines dans les vestiaires des salles de sport. Devant les copines, c’est une chose …devant les mecs ? devant mon mec ? pas trop un problème, soyons honnête. Mais de là à s’afficher devant un groupe, virtuellement, réellement….
Bien sûr il se joue là un rapport entre Mon regard et Mon corps. Corps rarement (jamais) complimenté par qui que ce soit, corps malmené un peu par la vie (grossesse, césarienne, manque de sport), corps image de qui Je suis, de qui Je veux montrer. L’éducation, les mots des proches laissent des traces..
Première expérience de domination, première expérience exhib très rapidement. Je dois montrer Mon appartenance en affichant ma poitrine avec des mots de propriété. Bon, on ne va pas revenir sur l’intelligence de la chose…Je le fais. Je retiens juste les commentaires d’autres dom de pacotille sur le critère esthétique de Mon corps. Ah oui ? Mon corps peut susciter ces réactions ? Incroyable.
Et J’ai osé le faire…assez fière de Mon audace Je suis alors.
Cette personne ne Me fera jamais de compliments sur Mon physique. Il prend plaisir à Me demander de M’habiller court, de Me dévoiler davantage. Je sors dans des tenues que Je ne pensais jamais mettre….et surprise : J’y prend du plaisir. Je renoue avec Ma féminité.
Une soirée bdsm dans un petit club de la région. Une première pour Moi. Tenue courte, talons. On croise Mes voisins dans la rue…oups…ça va jaser ! Je M’en fous.
Petit club de région, plus habitué de soirées libertines que bdsm. Ambiance calme, très calme. Quelques personnes jouent doucement. Je sens la tension monter dans son regard. Un zip de robe glissé vers le bas et Me voilà en culotte. Je sens la fierté dans ses yeux. Je ne regarde pas autour de Moi. “Viens, on va leur montrer”.
Je ne lèverai pas les yeux vers les regards autour de nous. Je vois juste le sien. Quelle fierté Je ressens alors ! J’adore cette sensation.
Rideau plusieurs mois. Le souvenir reste là.
Renouer avec Mon corps ne M’est pas facile. D’autres regards, d’autres pratiques, d’autres essais.
Puis Notre rencontre. Ton regard. Rapidement Tes mots. Différents des autres. Sincères. Des photos. Sans rapport avec ce que J’ai rencontré jusque là.
Tu M’ouvres les yeux, Tu M’autorises à Me trouver belle. Avec patience Tu reconstruis cette image, cette femme que Je n’osais pas être. Le regard de l’Autre, de Son Autre est tellement important quand il est aussi lourd de sens.
A quel moment Tu as parlé de cette facette de Moi ? Je ne sais plus. Peut être après certaines de Mes publications sur le site. Non, en fait, sans doute depuis Notre première rencontre avec des bas glissants qui finiront par être enlevés derrière une cabane de Noël.
On avance, J’évolue. Des clichés sur une coursive un week end, sous une porte cochère…Quelle fierté de T’appartenir Mon Loup.
Parce que là aussi, quel intérêt l’exhibition sans l’appartenance ? Quel intérêt de se dévoiler si ce n’est pas pour lire la fierté dans Tes yeux ?
Se montrer pour se montrer ? Je ne sais pas, Je ne connais pas…
Se montrer pour susciter des réactions, les Tiennes surtout Mon Loup.
Dans ce chemin d’acceptation de Moi où Tu M’accompagnes, Nous évoquons la possibilité d’une séance photos. J’en ai envie depuis quelque temps. Un mélange d’idées entre voir si J’en suis capable et voir ce qu’il y aura sur les clichés, voir si Je vais aimer le moment et le rendu.
J’y vais seule. Tu tiens à Me laisser juste avec Moi-même dans ce moment- là.
Me déshabiller devant ce photographe ne Me pose aucun problème, Je Me sens bien, Je suis bien là dans ce moment à Moi. Les premiers clichés qu’il Me montre Me plaisent. Un instant suspendu. Pur plaisir.
Les clichés seront juste superbes. J’adore voir ce regard que Je peux avoir et que Je ne connais qu’à travers Tes mots, ce sourire.
J’aime voir la femme qui est là sur le papier. Et cette femme c’est Moi.
Je suis fière de ce que J’ai fait et de ce que Je suis. Là sur ces photos, c’est Moi, en entier, comme Je voudrais pouvoir être chaque jour.
Donc exhibition comme moyen de revendication : regardez Moi, là c’est Moi. Vous Me connaissez peut-être comme ci ou comme ça, mais Je suis là aussi.
Femme soumise, souriante, agréable mais aussi femme présente, revendiquant ses besoins, ses envies, la place que Je souhaite avoir.
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Masochiste
Comment savoir si on est masochiste ?
Moi, la douleur Je pensais ne pas aimer ça, jamais, évidemment. Quelle idée aussi ! Mal au dos, mal aux dents, c’est bon Je connais…jamais de la vie, J’aime ça !!
Ok, en fait, là aussi, tant qu’on n’a pas expérimenté, est-ce qu’on peut dire qu’on sait ? sans doute pas…enfin, clairement, pas moi. On en parlait hier, se confronter aux choses pour savoir, c’est comme ça que Je fonctionne.
Une claque sur les fesses M’arrache un éclat de rire. C’était le premier contact. Ma réaction Me surprend. Un truc à aller chercher…un jour.
Et ce jour, Je Me le créé. Premiers contacts avec une ceinture. Rassurant. J’aime le contact avec le cuir, son odeur, son toucher. Ce n’est pas cinglant, ça chauffe.
Puis ce seront martinets, cravache, baguette. Une appétence certaine pour les martinets : leur capacité à chauffer la peau, à être doux, puis à monter en intensité.J’aime qu’ils soient lourds. Leurs longueurs différentes permettent à certains de venir s’enrouler à des endroits inattendus, prolongeant la morsure et laissant des marques plus profondes, plus tenaces.
Les marques, le signifiant du masochiste ?
Quel rapport étrange avec ces marques. Une putain de fierté. Signes d’appartenance, souvenirs de séances, points d’ancrage perdus au milieu de ma vie vanille…
Ces premiers contacts confortent Mon ressenti : J’aime ces moments où la douleur s’installe, obligeant à former une bulle, à M’abandonner, à Me laisser glisser. J’aime particulièrement quand Je Me sens contrainte, mains attachées au dessus de Moi. J’aime l’alternance de l’intensité, de la fréquence, des instruments. J’ai l’impression d’éteindre enfin Mon cerveau.
Je progresse. J’avance sur d’autres aspects. Mais ils Me manquent ces ressentis.
En discutant, Je ressens qu’il y a un truc, pas clair, avec le safeword. Je comprends son utilité, pour tout le monde. Je pense avoir rencontré des niveaux de douleur déjà importants pour Moi, mais Je ne l’ai pas utilisé jusque là. J’ai l’impression de ne pas en être capable.
Je trouve la personne adéquate pour tester le concept. Je le prononcerai ce jour-là. A quel prix ? Un peu d’humiliation, une cuillière en bois cassée, des marques… pour un moment…Mais un drôle de sentiment. Je crois maintenant que les marques sans appartenance ne Me sont d’aucun intérêt.
Et alors ce safeword ?
Alors…Je ne sais pas. Oui Je l’ai prononcé, oui J’en suis capable. Atteindre le safeword, Je conçois aujourd’hui que, pour Moi, ça signifie flirter avec des limites qu’on pourrait qualifier de virtuelles, dangereuses…Je sais, J’entends ce que Tu Me dis…Qu’ai-Je à prouver ici ? à qui ? On retrouve l’idée d’être à la hauteur, à Ma hauteur…
Aucune idée de l’endroit où elle se trouve, cette hauteur,, du pourquoi Je veux aller là-bas…Je sais juste que, là, Je veux encore. Qu’il y a un bout de Moi que Je ne peux atteindre que dans ces moments.
Je veux encore ces nouvelles découvertes : chambrière qui cingle, qui pique. Dont la douleur irradie sur quelques instants et pénètre le corps, dont l’extrémité libre joue à sa manière,
Fouet avec lequel Tu as commencé à M'effleurer. Lourd, puissant, large, enveloppant.
Je sais que J’ai des choses à aller chercher là. Des ressentis, des confrontations, de l’abandon, de la rage. Du plaisir.
Du plaisir.
Comme celui que Je ressens quand Tu pinces, tords Mes tétons. “Stop ou encore ?” “Attends…encore”.
Alors que ça fait mal, juste un truc de malade qui prend, qui prend tout. Rien n’existe à ce moment-là. Juste Tes mains, Tes doigts qui vrillent Ma chair, Tes poignets que Je saisis, “Attends”...respirer…”encore”.
Je comprends pas tout, Je ne comprends rien. Je sais juste que J’en veux encore.
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Je surprends ma belle-mère.
J’ai surpris ma belle-mère en train de se faire sauter dans le salon. Elle était affalée sur le canapé et je voyais de dos le type qu’elle avait invité. Il avait passé ses bras sous ses genoux, elle avait les jambes et les pieds qui ballotaient en l’air. Lui il avait baissé son pantalon. Je voyais son cul qu’il s’agitait, il la défonçait et elle gémissait. À un moment, elle s’est couchée sur le côté, et elle m’a vue. J’étais tétanisée. J’avais enfoncé ma main dans le pantalon en pilou de mon pyjama. J’avais mes doigts dans ma chatte trempées. Je me caressais pour me faire jouir comme une bête. Elle m’a vue, elle m’a regardée dans les yeux. Elle m’a fait un clin d’œil. Et elle s’est mise à gémir tout en me regardant. À ce moment-là ça a été plus fort que moi, j’ai joui et j’ai failli crier. Je suis vite partie honteuse me coucher.
Impossible de m’endormir. J’ai entendu le type qui partait et ma belle-mère à la salle de bain en train de se brosser les dents. On habite un petit deux-pièces. Et quand ma belle-mère vient chez nous, elle dort sur le canapé et si son fils n’est pas là, elle vient dormir avec moi. J’étais seule dans mon lit. Au bout d’un moment elle est arrivée. Elle a dit « il fait froid » Et j’ai vu qu’elle était nue. Elle s’est glissée sous la couette et a dit en riant « Je ne sais pas ce que j’ai fait de ma chemise de nuit ». Elle est venu6 se blottir contre moi et elle m’a demandé « tu as joui? ». Je n’osais pas répondre. Elle m’a redemandé « tu as joui? ». J’ai bégayé un « oui ». Elle a dit en riant « moi aussi ». Et elle a ajouté « viens on se caresse chacune mutuellement ». Je ne savais pas quoi faire. Je n’ai rien dit. Elle a pris ma main et l’a fourré entre ses cuisses. Elles étaient mouillées. Et aussitôt elle a glissé sa main dans mon pantalon. Elle m’a caressée ma chatte qui a aussitôt explosé. Elle m’a ordonné « Caresse-moi » et je l’ai caressée, elle s’est mise à crier et elle a joui comme une folle. J’avais trop honte. Je me suis dit que j’étais une salope.
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