La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 9 heure(s)
Le début est très soft pour poser le cadre, faire naître petit à petit l'envie d'Élodie ;une jeune femme qui va se découvrir une envie, une passion pour les rapports D/s en tant que soumise      Ils s’étaient retrouvés trois jours plus tôt, lors de la réunion de préparation du bal, dans la petite salle sans charme de la mairie. Les néons trop blancs, les chaises trop dures, tout semblait accentuer la chaleur inhabituelle de cette fin d’après-midi. Mais ce jour-là, Élodie avait eu la certitude que ce n’était pas la température qui la troublait. Elle était arrivée en retard, volontairement. Elle voulait qu’il la voie entrer, qu’il la remarque avant même qu’elle ait prononcé un mot. Et il n’avait pas manqué de réagir. — Tiens, toujours aussi ponctuelle, avait lancé Marc, un sourire ironique aux lèvres. Elle avait haussé les épaules, faussement indifférente, et s’était installée à côté de lui. Trop près, sans doute. Mais c’était la seule place libre, du moins c’est ce qu’elle avait laissé croire. Pendant que les autres débattaient de barnum, de playlist et de boissons, Élodie avait croisé les bras, un geste machinal qui, avec son haut un peu trop ajusté, soulignait sa poitrine. Elle avait surpris Marc détourner les yeux, puis revenir, malgré lui, vers elle. — Alors, tu fais partie des bénévoles cette année ? avait-elle murmuré, complice. — J’espère surtout faire partie des souvenirs, comme l’an dernier, avait-il répondu, sans la regarder. Elle avait souri, piquée et amusée à la fois. L’été précédent, il y avait eu ce flirt, ces soirées à se frôler, à se chercher. Elle n’avait pas voulu aller plus loin. Elle n’avait accepté que de le masturber, timidement, parce qu’elle ne se sentait pas prête pour le reste. Il n’avait rien exigé, mais elle savait qu’il y pensait encore. — Tu es incorrigible… Mais c’est peut-être ce que j’aime chez toi. Et puis, ce n’était qu’une main. Rien d’inoubliable. — Justement. Ce qu’on n’a pas, on y pense plus longtemps, tu ne crois pas ? Un silence s’était installé. Dans ce silence, elle avait senti son regard glisser vers elle. Pas vulgaire, pas pressant, mais chargé d’un désir maladroit. Elle avait perçu le frisson qui la parcourait, la conscience nouvelle de son corps, de ses formes qui s’étaient affirmées depuis l’été dernier. Elle n’était plus une adolescente. Elle était devenue femme, et il la regardait comme telle. Un moment suspendu. Marc lui avait tendu une feuille d’inscription. Leurs doigts s’étaient frôlés, et l’électricité avait été immédiate. Son cœur avait battu plus vite, mais elle n’en avait rien laissé paraître. — Merci… Marc, avait-elle dit, en soutenant son regard un peu plus longtemps que nécessaire. Ce soir-là, rentrée chez ses grands-parents, Élodie avait refermé la porte de sa chambre, ôté son haut lentement devant le miroir. Elle avait observé son reflet, ses courbes, sa poitrine qui semblait affirmer une vérité nouvelle. Elle avait su. Ce bal serait différent. Cette année, elle voulait aller un peu plus loin. Pas tout. Mais assez pour qu’il comprenne. Ce soir, elle lui offrirait ce qu’elle avait de plus beau : sa poitrine. Parce qu’elle en avait envie, et parce que ce regard sur elle, brûlant et maladroit à la fois, elle voulait le retrouver, le provoquer.     ### Son soutien gorge, comme une offrande de ses seins ### Dans sa chambre encore tiède de la chaleur du jour, Élodie avait disposé devant elle les vêtements qu’elle avait choisis. Ce soir, elle ne s’habillait pas. Elle se préparait. Ce n’était pas tout à fait la même chose. Ses doigts effleuraient le demi-corset noir, entièrement en dentelle florale, sans rembourrage. Une pièce délicate, presque intimidante. Il ne remontait pas ses seins, il les enveloppait, les soulignait, les tenait avec une élégance douce, presque insolente. Il laissait ses épaules nues, sa peau offerte à l’air tiède. Elle l’enfila lentement, sentit le tissu glisser sur sa poitrine, épouser chaque courbe. Elle ajusta les bonnets, les posa délicatement sur ses seins, et se contempla dans le miroir. Ils étaient là, pleins, présents, visibles sans être exposés. Un souffle aurait suffi à faire battre ce corset. Jamais elle n’aurait porté cela dans la vie de tous les jours. Mais ce soir, elle voulait être regardée. Ou dévêtue lentement, selon ce que Marc choisirait. Elle voulait lui offrir sa poitrine. Juste cela. Comme un cadeau précieux, limité mais brûlant. Parce qu’elle était attirée par ses mains, longues, précises, habiles. Elle les imaginait, jouant avec ses seins, les frôlant, les pesant, les effleurant du regard, sans même y toucher. Le souvenir de son regard, trois jours plus tôt dans la salle de la mairie, lui revint. Lorsqu’il avait compris qu’elle avait changé. Qu’elle était devenue femme. À cette pensée, une chaleur furtive la traversa, sans honte, juste un frisson. Mais ce serait tout. Ce soir, il n’aurait qu’eux. Et elle aimait cette idée : attiser sans céder, offrir sans s’abandonner. Elle attrapa son string noir, en dentelle fine, le passa avec lenteur, leva une jambe, puis l’autre, remonta le tissu le long de ses cuisses, l’ajusta à ses hanches. Le tissu effleura sa peau nue, elle inspira plus fort. Ses mains glissèrent sur ses flancs. Elle hésita à mettre des bas tout de suite… mais non. Ce serait trop, trop tôt. Elle prit sa robe, d’un vert profond, sobre mais fendue, ajustée. Elle la laissa glisser jusqu’à sa taille, puis à ses hanches. Elle se regarda dans le miroir : une femme prête à être vue, mais pas possédée. Pas encore. Puis vinrent les talons aiguilles. Elle les enfila lentement, se redressa. Le clic net contre le parquet la fit sourire. Il les entendrait. Il comprendrait. Avant de partir, elle revint vers les bas. Ils étaient là, roulés, prêts. Elle ne put résister. Elle en prit un, le déroula lentement, glissa ses doigts sur son mollet, puis sur sa cuisse. Elle frissonna. Recommença pour l’autre jambe. Même frisson, même chaleur douce qui montait.Elle fixa les attaches, se redressa. Une dernière fois, elle se contempla. Ce soir, elle n’était pas prête à lui donner tout son corps. Mais elle était prête à lui offrir ses seins. Et elle savait déjà qu’il ne verrait qu’eux.
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Par : le Il y a 9 heure(s)
Je l’entends refermer la porte-fenêtre. J’entends ses pas lourds et nets sur le parquet de notre salon. Mon cœur bat plus fort. Je sens déjà cette douce chaleur qui commence à naître dans mon bas ventre. Je suis prête. Je l’attends. Je suis à ma place : à genoux, dos bien droit, tête baissée ; mes paumes retournées posées sur mes cuisses entrouvertes ; immobile, nue ; si ce n’est ce plug qui orne mon anus. Je connais ce moment par cœur et pourtant il me brûle à chaque fois. J’attends. Le souffle court, la nuque baissée. J’attends mon Maitre. Je l’entends entrer dans notre chambre. Je sens son odeur ; ce mélange qui m’enivre : l’odeur du tabac des cigarettes qu’il vient de fumer sur notre terrasse et de son parfum délicieuse composition d’une note sensuelle de violette et d’accents de cuir et de bois, sublimée par une note de tête fruitée. Un mélange doux et épicé ; l’alliance de contraire. Tout lui. Tendre et primal. Doux et brutal. Elégant et indécent … mon Maitre … Je sens son regard sur moi avant même qu’il me touche. Il me frôle comme une main invisible. Dieu que j’aime ça ! J’aime cette tension, cette suspension entre l’absence et l’explosion. Quand il s’approche, c’est comme si l’air devenait plus dense autour de moi. Il se positionne devant moi. Je vois ses élégantes chaussures de type Richelieu. J’ai envie de poser ma tête sur elles et de les baiser. Mais je n’en fais rien. Il claque des doigts. Je relève les yeux. Il peut y lire tout mon bonheur ;, tout mon dévouement. Un sourire immense barre mon visage. Il ne dit rien. Il n’a pas besoin. Je tends les mains et je défais sa ceinture. J’ouvre son pantalon. Et je prends son sexe dans ma bouche, sans les mains, comme on retrouve un rituel sacré. Il est déjà au garde à vous. J’y vais doucement d’abord, puis plus profondément. Je l’avale entièrement, gorge tendue, respiration coupée. Et lui… oh lui … il prend ma nuque, fermement. Il me guide. Il m’impose son rythme. Je me laisse faire avec délectation. Je suis sa chose. Je ne suis plus qu’un objet sexuel. Et Dieu que j’adore ça ! Je m’ouvre. Il défonce ma bouche pour mieux pénétrer ma gorge… Il reste planté là au fond de ma gorge, collant ma nuque contre son entrejambes…. Je détends mes muscles pour mieux l’accueillir. Je salive abondement, à deux doigts de suffoquer. Il est chez lui. Je suis si fiere qu’il se sente chez lui, là, dans ma gorge. Il relâche la pression et j’halète, bavant abondement. Il recommence encore et encore … Ma bouche est totalement déformée par son sexe … J’imagine mon visage, défait : le rimmel qui coule de mes paupières ; mon rouge à lèvres étalé sur mon visage ; … je le sais je ne ressemble plus à rien … mais je n’ai pas honte … au contraire … je suis fière … fière qu’il m’utilise … Il étale ma salive sur mon visage. Et il me gifle — une première claque nette et précise. Mon corps tremble, mais je souris. Parce que je suis bien. A ma place. Parce que je suis à lui. Je l’entends grogner d’excitation. La bête s’éveille en lui. Mon Loup primal … Je sens que mes cuisses sont trempées tellement je mouille … Je me sens chienne … ou plutôt Louve … Je le sens prêt. Je me redresse, la gorge encore marquée de lui.  Je me tourne. Je me mets à quatre pattes sur le lit et je me cambre. Je sais ce qu’il attend. Je sais ce qu’il veut. Je lui tends mon cul. Ses mains glissent sur mes hanches, et je retiens mon souffle. Je sais ce qui va se passer. Et je l’espère. Puis viennent les premières claques. Leur chaleur monte aussitôt. Mon dos se tend, mes cuisses vibrent, mais je ne fuis pas. J’aime cette douleur. Elle est si bonne. Elle est si vraie. Elle me libère. Elle me prouve que je suis vivante, que je lui appartiens. Je sens ma chatte devenue brulante et d’où coule de plus en plus mon nectar. Je veux qu’il me marque. Qu’il me domine comme j’aime. Comme j’en ai tellement besoin. Je l’entends saisir le martinet rouge … Les coups pleuvent. En rythme. De plus en plus forts et puissants. Chaque coup est une douce douleur qui me fait à la fois crier et gémir. Je sens que mon cul n’est plus qu’un brasier. Et puis, sans prévenir, il me prend. D’un seul coup ; profond. Je pousse un hurlement ; pas de douleur… oh non. De soulagement. D’extase contenue. Je le sens en moi, entièrement. Il se met à bouger, avec une lenteur qui me rend folle. Je l’entends grogner de plus bel, respirer de plus en plus fort. Sa peau claque contre la mienne. Petit à petit il accélère. Il parle enfin. Sa voix, le son de sa voix me rend folle. J’en suis définitivement droguée. Il dit des choses obscènes et magnifiques. Il me glorifie et m’insulte dans un même souffle. Et moi, j’absorbe tout, avec bonheur. Je me caresse. Je veux jouir avec lui en moi ; je veux qu’il me sente exploser. Je veux qu’il sache que c’est lui qui m’y emmène. Je veux qu’il sente que je suis sa chienne, sa femme, sa femelle, sa princesse, sa putain, sa muse … tout cela à la fois. Sa complétude. Et puis tout s’accélère. Il me pénètre plus fort. Il me déchire presque. Je tremble de tout mon corps. Il me fesse le cul de plus en plus fort. Mon corps n’est plus que plus plaisir et douleur … Je perds totalement tout contrôle … Je lâche prise … Je ne suis plus que son jouet, sa chose, …  Et je jouis... Oh oui … je jouis … Fort. Longtemps. Intensément. Presque douloureusement. J’inonde nos draps de mon jus de chienne ... Je sais qu’il adore cela … Cela décuple son excitation … Je l’entends hurler comme le Loup qu’il est … Et je sens son plaisir fondre en moi quelques secondes après. Il me remplit de son divin nectar … Il reste là, enfoncé, haletant. Et moi, je souris. Comblée. Heureuse. A ma place. À lui. Il reste quelques secondes immobile en moi, encore palpitant. A cet instant nous ne sommes plus qu’un. Ce tout, cette symbiose, cette osmose qui nous caractérise est ici pleinement illustrée. Sa main glisse lentement le long de ma colonne vertébrale, puis sur ma hanche. Un dernier frisson me traverse. Puis je le sens se retirer. Un vide tiède, troublant, presque cruel, me remplit. Mais je ne bouge pas. J’ai appris que l’histoire ne s’arrête jamais là. Pas avec lui. Pas avec mon Tout. Il m’embrasse avec amour et tendresse … Il murmure mon prénom d’une voix rauque et tendre … Je suis aux anges … Puis il s’éloigne, quittant la chambre. Je l’entends parler brièvement — pas à moi. Au téléphone, peut-être ? Ou à quelqu’un qui attendait dans notre salon ? Mon souffle se bloque un instant. Je sais ce que cela signifie. Il m’a déjà prévenue. Il m’a dit qu’un jour, il me partagerait … il partagerait ce cul qu’il aime tant. Pas par manque d’envie, mais parce que me voir offerte, encore, autrement, c’est un autre genre de plaisir pour lui. Et, je le sais, pour moi aussi. Je ne lève pas la tête. Je me redresse sur le lit et me remet en position : à quatre pattes, tête posée sur nos draps, cul tendu et offert… Mon corps encore chaud se recouvre de chair de poule, dans un divin mélange chaud / froid. Je n’ai pas peur de cet instant, celui d’être offerte à un autre… oh non … je l’attends même depuis longtemps avec de plus en plus d’envie et de gourmandise … j’ai une confiance totale en mon homme, mon Maitre  … notre amour est indestructible et si puissant … J’ai juste encore cette timidité, cette peur de ne pas le satisfaire, de ne pas être à la hauteur alors qu’il ne cesse pourtant de me dire la fierté que je lui procure … J’entends deux paires de pas se rapprocher de notre chambre … Oui le moment est venu … Je sens ma chatte se contracter … le nectar de mon Maitre coule de mon entrejambes … Ils entrent dans la chambre. Pas un mot ne vient briser le silence lourd et chargé d’électricité qui emplit notre nid conjugal. Je sens seulement des pas derrière moi, puis mon Maître qui vient s’asseoir devant moi. Sa main effleure ma joue, calme, comme pour m’ancrer. Il m’observe, je le sens. J’ose enfin lever les yeux vers lui — son regard est posé, fier, brûlant. Je fonds de plaisir. Je me sens en pleine confiance. Il est là pour me guider et me protéger. Il ne me touche pas. Pas pour l’instant. Il laisse l’autre homme dont je ne sais rien prendre sa place, derrière moi. Je frissonne. Mon ventre se serre d’excitation et d’inquiétude mêlées. Je sens mes tétons qui pointent et mes seins se gonfler. Cet autre ne m’a pas encore touchée pourtant. Mais je sens son souffle sur mes reins. Je sens ses yeux sur mon cul encore rougi. Je sens son regard troublé à la vue de ma chatte ouverte et trempée, dégoulinante du nectar de mon Maitre … Et moi, je suis là, offerte une seconde fois. Dans une position d’une incroyable indécence. Non pas soumise à l’inconnu… mais toujours à lui, à mon Maitre. C’est lui qui orchestre, lui qui décide, lui qui regarde. Je suis là pour Lui. Un large sourire barre le visage de mon Maitre.  Il ne dit rien… mais il approuve. Son regard posé sur moi avec bienveillance et fierté, son silence plus éloquent que mille ordres. Il me veut comme ça. Offerte, ouverte, observée. Et je le veux aussi. Je me sens pleinement à ma place. Alors je ne résiste pas. Je respire lentement, j’écarte un peu plus les cuisses. J’expose ce cul qu’il aime tant, qu’il vient de marquer, qu’il a préparé pour un autre. Je sens deux mains se poser sur mes hanches. Je sursaute. Elles ne sont pas les siennes. Leur chaleur est différente. La prise est plus ferme, plus crue. Bien que je m’y attendais, un frisson me traverse, de manière incontrôlable. Je suis tendue à l’extrême. Mon cœur cogne dans ma poitrine, mais pas de peur — d’intensité, d’excitation. L’interdit devient réel. Mon Maître me regarde, et moi, je reste à genoux, prête à être prise par un autre, pour lui. Le sexe de cet homme me frôle. Il me teste. Il caresse de son membre mes fesses et mon sexe. Lentement. Puis tout aussi lentement, je le sens se positionner à l’entrée de ma chatte … et il pousse … Oh mon Dieu … . Il est grand et large … Epais … Je laisse échapper un petit cri … . Mon corps s’adapte, proteste, s’ouvre. Je gémis, la bouche entrouverte, les yeux fixés sur mon Maitre, assis devant moi, calme et souverain. Il me regarde, comme s’il voulait imprimer dans son esprit chaque expression de mon visage. L’homme entre en moi. En entier. En une poussée ferme. Et je vacille. Mon corps le reconnaît immédiatement — étranger, oui, mais autorisé. Je le prends. Pour lui. Pour mon Maitre. Chaque va-et-vient est une offrande de plus. Mes gémissements se mêlent à ceux de mon Maître, silencieux mais brûlants. Je les lis dans ses yeux, devenus brillants de fierté et de domination primale. Je suis là. Partagée. Offerte. Possédée deux fois : physiquement par cet homme inconnu, émotionnellement par celui que j’aime. Et plus que tout, je me sens à ma place. Complète. Comme si cette scène, si folle, si démesurée, avait toujours été écrite dans ma chair, dans notre chair.   Il a pris totalement possession de moi maintenant. Profondément. L’homme que mon Maître a choisi pour me posséder. Ses coups de reins se font plus nets. Ils sont sûrs, puissants, rythmés avec une précision presque mécanique. Mon corps encaisse, s’ouvre, se tend. Mon cul, encore marqué, le reçoit avec une ferveur que je n’essaie même plus de dissimuler. Je le veux. Je veux être remplie, utilisée et abusée, poussée dans mes limites , mise à l’épreuve. Mais c’est encore et toujours vers mon Maître que mon regard revient. Il est là, toujours devant moi. Mais il a baissé son pantalon. Et il me présente sa superbe virilité …  son sexe tendu d’un désir qu’il ne cache plus. Il me regarde avec cette intensité qui m’a toujours fait plier. Pas besoin d’un mot. J’ouvre la bouche, naturellement. Je me penche, le souffle court, et je le prends en moi. Lui dans ma gorge, l’autre dans ma chatte. Mon corps devient un lien vivant entre eux deux. Je suce mon Maître avec la même dévotion que toujours, mais il y a cette tension nouvelle — ce double abandon. Mes lèvres glissent sur lui avec ferveur, ma salive coule, mes yeux brillent. Je suis remplie de part et d’autre. Mon cul encaissant les coups de l’homme derrière, ma bouche comblant celui que j’aime devant. Et au milieu… moi. Tiraillée, offerte, transcendée. Mon plaisir est si fort qu’il en devient irréel. Mon ventre brûle. Ma gorge se serre. Mon corps entier n’est plus qu’un feu tendu entre deux volontés. Je sens mon Maître se retenir. Ses hanches frémissent contre mes lèvres. Je sens l’homme derrière accélérer, haleter. Dans un élan commun, ils me giflent : l’un le visage, l’autre le cul, tout en pilonnant ma bouche et ma chatte … Mon plaisir monte en spirale, incontrôlable. Et dans ce chaos brûlant, je sais que je suis exactement là où je dois être : entre eux. Suçant. Baisée. Aimée. Offerte. Partagée. Utilisée. A eux. Par eux. Pour mon Maitre. Pour Nous. Ils se déchainent de plus en plus. Je perds toute notion de la réalité. Ma gorge pleine de mon Maître, mes reins battus par les coups réguliers de l’autre. Mon souffle est court, mes membres tremblent, mais je ne faiblis pas. Je suis tendue à l’extrême, comme une corde tirée à son dernier cran. Et c’est là, à cet instant précis, que je les entends se parler. Juste quelques mots. Un échange de regards. Et je comprends. Mon Maitre se retire de ma bouche. Je reprends l’air, cherchant l’oxygène comme une noyée. Il contourne mon corps, et l’autre homme ralentit, et se retire à son tour de mon corps. Il vient s’allonger sur le dos à côté de moi, jambes écartées, son sexe recouvert d’un préservatif est impressionnant et toujours dur, brillant de moi. Il me regarde, sans un mot. Je découvre qu’il porte un masque. Il me restera inconnu. Tout au moins ce soir. Mon Maître me prend doucement par la taille et m’aide à me relever. Il dépose un doux baiser sur mes lèvres et me sourit. Il vient lécher le lobe de mon oreille … Je fonds de plaisir …  « Empale-toi sur son membre » me murmure-t-il … Je grimpe sur l’homme, mes cuisses fléchies, mes mains posées sur son torse. Je m’aligne, et lentement, je m’empale. Sa chaleur virile me remplit de nouveau, profondément, délicieusement. Je gémis, déjà. Ma tête tombe en arrière. D’une main ferme, mon Maitre vient pencher mon corps sur le torse de l’homme. Je sens mon Maître derrière moi. Sa chaleur. Sa fermeté. Ses mains, plus dures, plus précises. Il écarte mes fesses. D’un geste d’autorité mais aussi infiniment prévenant, il retire mon plug anal. Je frémis de bonheur …  l’instant est venu … Je souris … Il va me déflorer du cul … Triple découverte : ma première offrande, ma première double, mon premier anal … Il caresse mon anus … je gémis comme une chienne en chaleur … je roule sur la queue de l’autre, lui tirant des grognements … Ma chatte coule et coule encore … Mon Maitre utilise mon jus intime pour détendre et lubrifier mon entrée interdite … Je serre les draps, je me prépare — physiquement, mentalement. Je me détends. Je veux lui faire honneur. Mon Maître se place derrière moi, plus haut, plus centré. Il  me tient par les hanches, me maintient là, écartée, offerte. Et en une pression lente, presque solennelle, il s’enfonce… dans l’autre entrée. Je hurle. Un cri étouffé, mêlé de choc, de brûlure, de ravissement. Mon corps se tend violemment. Il me pénètre, lentement, profondément. Mon cul l’accueille. Il est en moi, et l’autre homme aussi, toujours présent, devant, dans ma chaleur. Je suis remplie. Entièrement. Complètement. Ils bougent, à tour de rôle d’abord, puis en cadence. Mes cris deviennent prières. Je n’ai plus de pensées, plus de mots. Juste cette sensation : être traversée, secouée, possédée, utilisée au plus intime. Je deviens un objet vivant de leurs envies, de leur puissance. Ils me remplissent. Me percent. Me célèbrent. Je suis tendue entre deux pôles, deux forces, deux hommes — l’un que j’aime, l’autre que je ne connais pas, mais dont la présence me rend plus vivante que jamais. Ils m’encadrent, me pilonnent, me soutiennent. Je me noie dans leurs gestes, dans leurs souffles mêlés. Mon Maître gémit contre ma nuque. L’autre grogne dans mon cou. Et moi, je brûle. Je n’ai plus d’équilibre. Je tombe. Chaque va-et-vient me pousse plus près du bord de l’orgasme. Je jouis déjà sans m’en rendre compte. Petites vagues d’abord, puis une montée implacable. Je crie, je pleure, je ris presque. Mon corps éclate. J’inonde l’homme de mon jus intime qui gicle de ma chatte en longs jets. Littéralement. Ils me tiennent fort. Mon Maître m’attrape les seins et les malaxe comme il aime le faire. Enfin il me parle : me murmure combien je suis belle, offerte, incroyable ; combien il est fier et chanceux d’avoir une telle soumise, sa Sublime ! Je jouis de plus bel à ses mots … Je suis définitivement à Lui. Je le sais il est à Moi. Notre Nous me comble plus encore ce soir. L’autre gémit plus fort. Ses mains s’ancrent à mes hanches, il accélère. Mon Maitre fait de même. Ils me déchirent … Et puis ils jouissent. Ensemble. Brutalement. En moi. Je sens leurs corps se raidir, se contracter, me remplir jusqu’au trop-plein. Je les sens se déverser en moi, l’un dans mon ventre, l’autre dans mon cul — ce lieu si sacré que seul mon Maître avait le droit de prendre… Et moi… je me laisse emporter. Encore. Plus fort que jamais. Mon cri déchire l’air. Mon corps se tend comme un arc. Puis je m’effondre … vidée. Comblée. Brûlante. Tremblante. Heureuse. A ma place. De longues minutes se passent. Je sens la main de mon Maitre qui caresse mon dos. L’autre homme est parti. Je lève les yeux. Et dans les yeux de mon Maître, je lis tout. La fierté. L’amour. Et l’éternité d’un lien indécent et sacré. Je suis sienne. Infiniment.   Illustrations : Dessins de Erenish
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Par : le 02/07/25
  Bonsoir Reine sublime, Est-ce que je peux me permettre de Vous envoyer quelques photos qui peut-être feront naître en Vous le goût de certaines pratiques ? Humblement… Dans cette position, le soumis est totalement offert à sa Reine. Outre l’humiliation de lui montrer son trou du cul, il s’offre totalement aux coups de cravache et à l’énergie sadique de sa Reine.  Si la Domina a été assez cruelle pour l’attacher, il ne peut pas se débattre et échapper à la douleur qu’elle lui inflige. Parfois, il gémit et supplie la femme sublime à laquelle il s’est offert. Celle-ci peut lui enfoncer ses chaussettes ou sa culotte dans la bouche pour le faire taire.   Remarques annexes : Les marques qu’il garde après sur son cul, sont un peu comme une variante de la cage de chasteté, même si cela ne l’empêche pas de se branler comme un forcené entre deux séances en pensant à la Maîtresse qui lui a détruit le cul.   En effet, s’il ne peut pas se passer de séances avec se Reine, alors, il est condamné à ne plus avoir de relations sexuelles avec une autre femme qui risquerait de découvrir les traces de cravache laissées sur son cul et ses cuisses.   On peut se demander quel choix finirait par faire un soumis cravaché, un chien qui rampe devant sa Reine et lui lèche les pieds, s’il avait à choisir entre celle-ci et une bourgeoise qui se contente d’écarter ses cuisses pour se faire pénétrer. Et aussi : J’ai aussi besoin de Vos pieds de jeune Reine. Je suis très attiré par eux. Après tout, c’est la seule partie de Votre corps à laquelle j’ai droit. Ça rend cette situation excitante, frustrante, délicieuse et fantasmatique. Ça accroît Votre charisme ! La première fois, Vous m’aviez longuement donné Vos orteils, la plante de Vos pieds et Vos chevilles. J’avais dû les embrasser,  les lécher, les sucer… sous Vos coups de cravache et de fouet.  Vous m’avez caressé le sexe avec Vos pieds, c’était génial.  Et Votre imagination sadique a inventé pour moi un supplice que je n’avais jamais subi, Vous m’avez cravaché la plante des pieds. C’était incroyable !
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Par : le 02/07/25
J'ai choisi la nuit pour le secret qu'elle inspire, avec les étoiles pour seul témoin. La nuit s'étirait lentement, pas de lune. Moi avec moi, au milieu du monde. Respire l'odeur de la terre sous tes pieds, entends le murmure du vent nocturne qui te caresse et le yoga Vinyasa Katonah peut commencer. Les postures s'enchaînent, jamais assez bien alors recommence, la perfection est comme l'horizon, elle recule dès que tu avances, tu progresses ainsi à l'infini. Le sol regorge de petits cailloux pointus, de brindilles dures et piquantes qui torturent ma plante de pied mais il faut tenir la position. Accueille la souffrance, c'est une émotion comme une autre. Les chakras s'allument un à un, le coronal se déploie, le corps astral vibre. Mes mains posées en coquille sur mon entre-jambe libèrent l'énergie de la kundalini. Les insectes ont cessé leur chant crissant, captivés par ce corps en posture étrange. Puis un oiseau lance un trille et je m'aperçois que la nuit est finie. Le soleil toque à ma peau en la chauffant, par surprise. Je termine par la position du guerrier3, épuisé, étonné que le temps ait oublié de me prévenir. Le jour efface tous les secrets, seules les traces de mes pieds dans la terre sombre racontent l'histoire qui s'est passée. Vous en savez l'essentiel, le détail reste caché au fond de moi.
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Par : le 01/07/25
Ma bouche est encore engourdie de ce que je viens de subir. J’ai pu sentir à quel point ce gode était long dans ma gorge, et je redoute de le sentir au fond de mon cul, que Maitresse appelle désormais «chatte » pour encore mieux imprimer dans mon esprit que je suis sa chienne. Et désormais sa pute. Elle me tire par le collier, je peux sentir ma queue contrainte dans sa cage, sensation bizarre, entre douleur, inconfort mais aussi plaisir. Maitresse m’allonge sur une espèce de table, les pieds qui touchent le sol, le ventre plaqué sur du bois froid, et les mains menottés au dessus de ma tête. Plus d’échappatoire je suis offerte à ses envies et à ses pulsions. Je n’ai même pas envie de m’échapper, je me sens à ma place. « Allez on va essayer de pas t’abimer, on va lubrifier cette petite chatte ». Je remercie Maitresse et sens un premier doigt se poser à mon entrée, et doucement me pénètre puis commencer des allers retours. Me voilà déjà gémissante, je suis serrée, je le sais, Maitresse le sait aussi. Et je sais donc que je vais sentir le moindre mouvement et le moindre élargissement. Un deuxième doigt. Je gémis mais je suis en terrain connu, ce type de doigtage faisait partie de mon dressage à distance. Ma queue serrée dans sa cage, plaqueé sur la table, je sens que je mouille. Cela me renforce dans mon état de salope lubrique. Maitresse aime m’entendre gémir, elle s’en amuse et accélère le mouvement avec ses doigts. Mes gémissements s’accentuent. « Si tu gémis autant avec 2 doigts, hate de t’entendre crier quand ca sera mon gode ». Ses mots me saisissent et font redouble ma crainte et mon impatience d’être pénétrée. Les doigts se retirent. « Tu es ma pute… », ces mots résonnent, et le gode perfore ma chatte, sans même avoir besoin de forcer. La surprise me fait pousser un cri. C’est un peu douloureux mais c’est supportable, j’en suis soulagé. Je me sens surtout désormais comme ailleurs, je ne me possède plus, mon corps appartient à ma Maitresse et elle va pouvoir me baiser ainsi autant qu’elle le souhaite. L’humiliation est immense, mais encore une fois, je ressens aussi un plaisir rare. Les allers retours se multiplient, les rythmes varient, la profondeur aussi. Je sens Maitresse prendre du plaisir, elle m’insulte, me mets des fessées et se livre totalement à ses envies. J’adore cela. Sentir que je suis à elle. Mes gémissements accompagnent chaque coup de rein. Je me surprends parfois à la remercier spontanément, à lui dire sans qu’elle me demande que je suis à elle, que je suis sa chienne. Je perds la notion du temps, je ne sais pas pendant combien de temps je me fais prendre ainsi. Je repense à ces actrices de films que j’ai vu dans ces situations. Je me sens encore plus salope qu’elles. Maîtresse joue avec l'ensemble de mon corps. Ses mains agrippent mes fesses, non sans y mettre quelques coups. Puis sa main droite vient se saisir fermement de ma cage. Elle me rappelle à quel point ma nouille est à elle. Je sens son sourire sadique irradier sur son visage. Mes tétons y passent aussi. Pincés, malaxés, tirés. Maîtresse adore car cela a pour effet immédiat de me faire émettre des cris aigus. Je n'ai plus aucune forme de dignité, et elle pousse le curseur pour que mon cerveau s'impreigne de cette sensation de perdition.  Les assauts finissent par cesser. Maitresse a besoin de rependre son souffle. Moi aussi...mais j'ai à peine le temps de lever les yeux que le gode de Maîtresse vient se loger dans ma bouche. "Allez nettoie ma pute". Cela me dégoûte, Maîtresse le sait. Mais elle me marque ainsi encore un plus de sa domination. Maîtresse de retire enfin, une fois satisfaire du travail de ma langue.  Je la remercie de m’avoir baisé ainsi, elle rigole et me dit doucement à l’oreille « ce n’est que le début »…..   A suivre 
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Par : le 30/06/25
j'ai toujours eu des plaisirs en me pinçant les tétons , j'éprouve du plaisir par les tétons , et j'arrive à en jouir si travail long et intense, quand j'étais en région parisienne j'avais un couple d'amis qui s'occupait de mes tétons le but était de ma faire jouir sans aucune action sur mon sexe , éventuellement un gros plug vibrant dans l 'anus , je finissait souvent par jouir aprés dés fois plus d'une heure de travail intensif généralement avec une éjaculation énorme. sous cette torture intense et excitation continu  je pouvais subir tout jeux sexe non possible sans l'état de extréme  dans lequel j'étais . (suce fond de gorge, fist) Mais je suis en Bretagne et pour l'instant je n'ai pas trouvé de partenaire pour jouer, voir réciproque avec femme switch . Je n'ai pas de piercing pour des raisons de discrétions intimes  N'ésitez pas à m'écrire
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Par : le 30/06/25
Satisfaire Maitresse, satisfaire Maitresse, satisfaire Maitresse....cette pensée devient obsédante, je veux lui plaire, la rendre fère, pour qu'elle continue à me mener sur ce chemin d'aservissement que je découvre depuis quelques semaies, qui deviennet désormais quelques mois.  Cela faisait plusieurs années que j'expérimentais mes envies de soumission. Du virtuel d'abord, avec des ordres simples à réaliser, puis des choses puis douloureuses et humiliantes. Mais il fallait passer le cap, et je me suis donc lancé dans la recherche d'expériences réelles. J'ai eu la chance de rencontrer des dominatrices qui m'ont fait découvrir la réalité de la soumission. J'ai découvert alors ce qu'était une vraie fessée, la pose et le titillement de pinces sur les tétons, le sexe, la langue, mais aussi les jeux de gode et notamment le pegging...Incroyable sensation que se faire prendre fermement et de s'abandonner totalement aux coups de reins d'une femme puissante. Je me suis surpris à trouver un immense plaisir, à la fois dans l'humiliation que je ressentais mais aussi dans la simple sensation de pénétration et d'abandon. Ces expériences ne faisaient qu'alimenter mes envies et mes fantasmes. Désir d'aller plus loin, de subir davantage de coups de martinets, d'être plus fermement contraints, frustré plus longtemps et humilié plus profondément...Avec un fantasme de plus en plus présent dans mon esprit, à la fois honteux et excitant, inavouable mais dévorant : celui d'être amené par une dominatrice à sucer une vraie queue d'homme alpha. L'humiliation ultime, une forme de soumission où ma volonté disparait (je me sens profondément hétéro), où ma place de chienne prend toute la place, et où machine arrière ne sera plus possible.   C'est avec ce vécu et ces envies que je rencontrais un jour Maitresse, par une conversation web. J'ai tout de suite senti sa force, son autorité et son sadisme. Très vite je me suis soumis, je suis devenu sa chienne. Ses ordres à distances me mettaient à ma place et m'aidaient à commencer mon dressage. Ma bouche et mon cul lui appartenaient. Mon corps et mon esprit aussi. Je lui appartiens. Je suis sa pute désormais. Des envies encore et toujours dans mon esprit. Rencontrer Maitresse, enfin et rendre réel ma place à ses pieds. J'imagine des situations : je me rends chez ma Maitresse, qui m'accueille, m'ordonne de me dénuder et de m'agenouiller. Elle vient poser les deux éléments matériels qui font de moi sa pute : un collier et une cage de chasteté. Je suis désormais totalement à elle, mon plaisir lui appartient. Je l'imagine rire de moi, et me faire comprendre avec ses mots que je suis sa petite chose, et qu'elle va révéler la pute qui sommeille en moi. Je sais qu'elle veut me baiser avec son gode ceinture. Je suis craintive et excitée à la fois.  Je suis a 4 pattes, je ne vois que ses jambes, et je sens qu'elle s'équipe. Elle m'ordonne de relever la tête, le gode que j'avais vu en photo paré à ses hanches. Elle plante son regard dans le mien, me sourit, me caresse le visage et soudain attrape ma tete pour loger son gode au fond de ma gorge. Un mélange de douceur et de cruauté. - "Qu'est ce qu'on dit" ? - "Merci Maitresse" bouche pleine et donc inaudible. Elle m'invite alors à lui montrer quelle bonne suceuse je suis. Je multiplie les vas et viens, en essayant de m'applquer, et en prenant aussi profond que possible. J'essaie de lui montrer toute l'avidité qui réside en moi à l'idée de sucer des queues. Je me sens totalement humiliée mais je n'ai plus qu'un idée en tête : la sucer du mieux que je peux. Cela ne suffit pas "tu voulais te faire baiser la bouche ma chienne ? Allons y alors". Elle me place contre un mur, la tête bien plaquée contre la paroi. Je sais ce qui m'attends. Je l'ai tellement vu dans des films pornos où de jeunes soumises se fait prendre la bouche ainsi, jusqu'à en avoir les larmes aux yeux, et être recourverte d'un mélange de sperme et de bave. J'ai tellement fantasmé être à leur place. J'y suis. J'ai peur. Je suis excitée. Je suis comme hors de moi même. Maitresse vient se placer face à moi, je vois son gode tout près de ma bouche. J'ouvre...et la un déferlement d'allers et venus que je ne peux que subir. Le gode vient touche le fond de ma gorge, me déclenchant des bruits et relants auxquels je ne peux me soustraire. Parfois Maitresse maintient sa queue au fond de ma gorge, en rigolant de mes yeux plein de larmes. Elle déchaine sa pulsion, m'humilie, me crache sur le visage. Je suis à elle. Elle peut me faire ce qu'elle souhaite et m'utiliser ainsi autant qu'elle le souhaite. Me voyant déjà épuisé au bout de 2 minutes, Maitresse a la clémence de m'épargner me disant que je ne suis pas encore prête pour plus mais qu'elle va me faire progresser. "Tu as bien lubrifié le gode, je vais pouvoir te baiser autre chose désormais"... (to be continued)
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Par : le 28/06/25
J'avais 10 ou 11 ans lorsque j'ai visionné le film X-Men 2 pour la première fois. Une scène pourtant anodine a profondément marqué l'intime de l'enfant que j'étais, et continue d'émoustiller l'homme que je suis devenu. Sans même être en capacité de le comprendre à l'époque, il se trouve que j'étais en demande d'une forme de domination maternante, ou en tout cas de protection féminine contraignante. L'enfant que j'étais rêvait d'être "sauvé" par une femme qui ne m'en laisserait pas le choix. Un fantasme toujours existant dans ma construction d'homme adulte, qu'il faut savoir mettre à distance et comprendre, pour mon propre épanouissement. *********** Lire la suite sur mon blog (Impossible de tout poster ici directement en raison des extraits vidéos du film).
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Par : le 27/06/25
Partie 2. Debout devant la porte, raide comme un piquet, inquiet et excité j'attends une réaction de votre part. Cette réaction qui tarde à arriver ne fait qu’accroitre mon malaise. Depuis combien de temps puis-je bien etre là à esperer une attention de votre part? Cinq minutes, trente ou plus encore? Je ne sais plus, je me sens perdu. Dois je rester, attirer votre attention ou prendre la porte et repartir? J'en suis à me poser ces questions quand le son de votre voix fuse, sainglante sans meme un regard pour moi. - Enlevez votre chemise, vos chaussures et vos chaussettes. -... Je sursaute sidéré, sans voix. - Dépechez vous. Je n'ose un regard et m'execute, inquiet, le coeur battant mais satisfait de sentir enfin quelque chose se passer. Je me penche pour me dechausser puis j'enleve un à un les boutons de ma chemise que je mets délicatement sur le dossier du canapé. Nouveau temps d’arrêt, j'ose un regard vers vous et je constate que rien n'a changé, toujours cette superbe ignorance qui me met si mal à l'aise. Nouveau temps d'attente, toujours rythmé par le son de votre clavier et de mon coeur. Je commence à me demander ce que je fais là, je m'inquiete plus encore malgré que vous ayez su me rassurer lors de notre précédente entrevue. Je suis gêné, mal à l'aise, tiraillé entre excitation, humiliation et déception. - Caressez vous le torse et jouez avec vos tétons. Une seule pensée vient à moi à ce moment. MERCI
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Par : le 25/06/25
Séance de domination de Maitresse Diana. Il est à genoux il m’attend, ses yeux regardent le sol, buste bien droit. Moi je me suis préparée, maquillage, perruque longue rouge, bustier gants opéra, jupe et cuissardes le tout en cuir noir. Je sors de la chambre, mes talons ferrés martèlent le carrelage. Je m’approche de lui, je lui caresse le dos de ma main gantée, il frémit. Je m’installe sur le fauteuil croisant mes jambes. Apporte-moi mon apéritif. Il va jusqu’au bar à quatre pattes, se lève, prend un verre, verse le sirop de canne et le rhum, touille avec une cuillère. Il m’apporte le verre reprend sa position à genoux et attend. Je goutte le breuvage, je lui demande de se rapprocher. Il s’exécute. Ouvre la bouche. Je bois une gorgé et lui crache le liquide dans sa bouche. Je lui donne une gifle, puis une autre. Il est surpris. Trop sucré, incapable de préparer un apéritif correct. Tu ne sers vraiment à rien ! Pardon je ferais plus attention. Une nouvelle salve de gifles pleuvent sur son visage. Quand tu t’adresse à moi tu dois finir tes phrases par Maitresse Diana. Pardon Maitresse Diana, je ne ferai plus l’erreur Maitresse Diana. Nettoie mes cuissardes pendant que je fini mon verre. Très bien Maitresse Diana Je sens sa langue sur le cuir doux de ma cuissarde, il monte et descend tout le long. Va me cherche ma cravache. Bien Maitresse Diana Il part la chercher, me la remet, je la saisie, fait tourner dans ma main gantée. Reprend ta besogne, je vais rougir ton fessier pendant ce temps. Il nettoie de nouveau mes cuissardes, je lui applique de petits coups de cravache juste assez fort pour rougir légèrement ses fesses. Je fini mon verre. Déshabille-toi, ne garde rien. Oui Maitresse Diana. Je me lève, je vais jusqu’à la table basse où tous mes jouets sont placés. Je replace la cravache et prend un martinet long à lanière souple, mon sujet est nu, main dans le dos il attend mes directives. Mets-toi contre le mur, les mains plaquées contre et jambes écartées Il se place comme demander, je commence par de petite caresse, puis petit à petit les morsures du martinet se font plus intense, le dos prend un couleur rouge et des marques de lanière apparaissent sur ses omoplates. Retourne-toi. Je m’approche de lui, je lui pince les tétons, les tords, les étires, il gémit je souris. A quatre pattes, je vais m’occupe de ton petit cul. Je flagelle son derrière avec fougue, je remplace le martinet long par un cour avec des lanière plus rigides. Dès les premiers coups les lanières laissent de jolies marques, il pousse de petit crie à chaque morsure. Ces fesses sont rouge vif, je les caresse de mes mains gantées il frissonne au passage du cuir doux. Je sens la chaleur au travers de mon gant. Je retourne sur le fauteuil. Soumis retire mes cuissardes et va cherchez mes bottes à talons aiguilles les Gianmarco. Bien Maitresse Diana Je sais qu’il va subir ma pratique favorite. Il les récupère, retire délicatement l’une après l’autre les cuissardes et les remplace par ses fantastique bottes en cuir noir et talons très fin. Je regarde son membre, il n’est pas dans la position souhaité.je le regarde, lui regarde mes bottes. Comment veux-tu que je m’amuse si ta queue est aussi molle. Pardon Maitresse Diana mais la flagellation… Silence minable, ne cherche pas d’excuse tu ne sais pas la chance que tu as d’avoir une Maitresse comme moi. Je commence à le masturber, il gonfle doucement, mes gestes sont assez lents et constants. Il ferme les yeux, je me penche et le prend en bouche. Je le sens tout de suite durcir je le mordille, puis le lèche et continue à pomper. Voilà il est parfaitement droit, allonge-toi sur le dos mon talon a hâte de travailler ta bite Oui Maitresse Diana Il s’allonge s’étend de tout son long, je pose la semelle de ma botte sur son sexe en appuyant, il grimace. Je donne de légers coups de pieds dans ses testicules. Je me place au-dessus de son membre je soulève ma jambe place mon talon bien au-dessus du prépuce et l’applique dessus. Il crie, mais je maintiens la pression, je déplace mon talon le long de la bite m’en servant pour griffer la peau et je l’enfonce en le faisant vrillé, la douleur est terrible. Tout son corps bouge, je décide de piétiner tout son corps, de lui laisser de jolies petites traces rondes. J’insiste sur ses tétons, appuyant de tous mon poids. Cela dur vingt minutes, cela m’excite je le vois grimaçant, gesticulant, poussant des cris lorsque mon talon pénètre sa chair. Je lui assène plusieurs coups de pied. Sa bite est redevenue molle, je l’écrase sous ma semelle, mon pied tourne de droite a gauche sans jamais relâcher la pression. Je le frappe avec mon talon, il essaye de se recroqueviller mais je le bloque. Quelques coups de bottes en cuir de plus et je le laisse pleurnichant sur le sol. Je m’assois dans le fauteuil, je suis en sueur, je retire ma tenue, vais à la douche. Sa laisse le temps à mon soumis de se remettre de ses émotions. Une fois séché je passe un body en lycra noir, mes bottes à talons aiguilles rouge, ma perruque et je retourne dans le salon. Il est toujours sur le sol, je lui tapote le visage avec la semelle de ma botte. Va dans la chambre et prépare ma queue. Oui Maitresse Diana Il se relève péniblement et se rend dans le lieu demander. Moi j’enduit d’huile mes mains et avant-bras et enfile mes gants en latex rouge. Je rentre dans la chambre il m’attend avec mon strapon à la main. Aide-moi a bien le positionner. Bien Maitresse Diana Le gode ceinture est cru ainsi je peux mettre mon membre capoter pour l’occasion à l’intérieur et ainsi rester Maitresse Diana. Une fois fixer comme il faut, je lui ordonne de me sucer, il s’applique mais reste sur le bout alors je le saisi de chaque cote de la tête et le force à avaler mon gode. Il suffoque à un haut le cœur, je relâche ma pression le laisse continuer puis je le force à nouveau en maintenant la tête, mon sexe de silicone dans sa bouche au plus loin qu’il puisse avaler. Je lui ordonne de se mettre en position. Il est à quatre pattes avec un cousin sous le ventre. Je lubrifie bien mes gants et commence à violer l’intimité de mon sujet. Un doigt, puis deux puis trois mais le quatrième est plus difficile à faire passer. Tu n’as pas utilisé les plugs comme je t’avais ordonné. Si Maitresse Diana mais le gros je n’y arrive pas Maitresse Diana. Ca j’ai vu, tu n’es vraiment qu’une chochotte on est si près du fist mais tu n’as pas la volonté. Pardon Maitresse Diana Tu m’as mise en colère je vais t’enculer sans lubrifier mon gode. Je retire ma main me met en position et applique le prépuce de mon jouet a l’entrée de son anus. Je force l’entrée la préparation a quand même élargie le trou du cul et mon gode-ceinture entre tous seul, je suis déçu car je pensais vraiment forcer pour entrée ma queue de silicone dans son cul. Je décide de pilonner son cul sans ménagement, à chaque coup nos corps claque l’un contre l’autre. Il se retient de crier à plusieurs reprises. Je lui acène quelques claques les gants en latex font plus mal que ce en cuir. Je me retire lui demande de se retourner, je vois des larmes dans ses yeux, mais il soulève ses jambes et j’enfonce de nouveau mon strapon en lui d’un coup sec. Sa queue est bien dure il aime se faire enculer, Je continue à le prendre avec des allers-retours rapides de toute la longueur de mon jouet. Je jouie en retenue je ne veux pas qu’il voit mon plaisir, je me retire délicatement. J’enlève mes gants de latex et mon gode ceinture. J’essuis mes mains et j’enfile des gants de cuir rouge mi-long. Je m’allonge à ses cotes le caresse, mes mains parcourt son corps alors que mes bottes sont au niveau de son sexe, le liquide pré-séminal de sa queue coule. Tu veux jouir ? Oui Maitresse Diana L’as-tu mérité ? Il ne répond pas je me penche est le masturbe lentement. Tu aimes ? Oh oui Maitresse Diana Tu aimerais que je te suce ? J’aimerais beaucoup Maitresse Diana. Mes lèvres entourent sa queue et je pompe son sexe qui est vraiment très dure, je sens les lancements dans son membre signifiant qu’il est sur le point d’éjaculer. J’arrête de la sucer et le masturbe avec vigueur, je pose ma main libre sur son visage couvrent la bouche et le nez. Tu ne respireras qu’après avoir éjaculer. Et cela n’a pas été long un énorme jet de sperme sortie de sa verge et arrosa jusqu’à son menton. Je continue un peu mon va et vient, mon gant était recouvert de se liquide blanc. Regarde ce que tu as fait, lèche petite pute, qu’il n’en reste rien. Une fois nettoyer mon gant nous nous sommes allongés l’un contre l’autre afin de nous apaiser mutuellement. Il me remercia pour la séance qu’il venait de vivre et se disait impatient de jouer à nouveau            
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Par : le 24/06/25
G. La vie de château Avant d’entrer dans la salle des festivités elle referme les zips pour que Jean soit privé de vue. Elle lui dit d’une voix douce « La dernière fois j’ai senti ta crainte, mais finalement tout s’est bien passé.  Maintenant tu as confiance en moi ! » Jean, répond d’une voix étouffée par le masque « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Alors détend-toi et suis le mouvement. Si nécessaire Martin t’aidera ! N’est-ce pas Martin ? » Martin – « Oui Maîtresse ! »  Sabine entre en tirant fièrement ses deux soumis. Un homme habillé comme un maître d’hôtel, veste queue de pie plastron blancs, nœud papillon et gants blancs, s’avance vers eux. Sabine s’arrête, martin chuchote stop pour que Jean comprenne qu’il doit également s’arrêter. L’homme – « Bonjour Madame, je suis Bartholomeus le maître de cérémonie ! »  Il s’incline et fait un baise main à Sabine puis ajoute « Vous avez une préférence pour le placement ? » Elle est contente d’avoir le choix et jette son dévolu sur une table en bout de rangée du premier rang où Jean et Martin pourront s’agenouiller à côté d’elle et demande qu’on lui apporte deux coussins. Elle s’assied et fait mettre ses soumis à genou sur les cousins. Petit à petit la salle se remplit de participants, maître avec soumise, maître avec soumis, maîtresse avec soumis, maîtresse avec soumise et même maîtresse avec soumise et soumis, mais personne qu’elle connait. Mais c’est la première fois qu’elle participe à une grande réunion et les seules personnes qu’elle connait sont celles qui sont venues à l’inauguration de son donjon invitées par Vanessa. Bartholomeus revient et pose un une affichette sur laquelle est écrit Maîtresse Sabine. Sabine – « Comment savez-vous qui je suis ? » Bartholomeus – « Il me semble l’avoir lu sur le dos de ces messieurs. Je vous envoie quelqu’un pour vous servir boissons et nourriture. Vous préférez un serveur ou une serveuse ? » Sabine – « comme vous pouvez le voir, côté mâle je ce qu’il faut, je préfèrerais une serveuse ! » Bartholomeus – « Bien Madame ! » Sabine décide d’ouvrir les zips des yeux et de la bouche sur la cagoule de Jean et en même temps Vanessa arrive. Elle vêtue en noir de la tête aux pieds avec un chapeau comme celui de Zorro, un boléro sur les épaules, une jupe en cuir échancrée sur le côté qui laisse entrevoir des cuissardes cloutées. Jean pense qu’il ne lui manque plus que le fouet et il est éberlué lorsqu’il voit qu’elle porte un ceinturon sur lequel sont accrochés, du côté droit un long fouet enroulé et du côté gauche un martinet en cuir. Il se dit qu’elle n’est quand même pas venue sur le dos de Tornado, le célèbre cheval de Zorro. Les deux amies s’asseyent, Vanessa ignore les hommes mais il est vrai que ce ne sont que des soumis, des esclaves qui ne méritent aucune attention. Vanessa à Sabine – « Çà ne te déranges pas si je m’installe à ta table ? Je ne vais pas prendre une table pour moi toute seule et tu sais que je dois participer régulièrement à l’atelier flagellation ! » Sabine – « Tu plaisantes ? au contraire, ça me fait super plaisir ! » Une femme aux cheveux châtains mi-longs qui ne doit pas être majeure depuis très longtemps approche et dit « Soumise Chloé pour vous servir Mesdames ! » Sa tenue est identique à celle de la personne qui les a accompagnés jusqu’à la chambre mais avec un petit tablier blanc attaché à la taille et un petit plateau argenté accroché aux anneaux de ses tétons par des chaînettes. Sabine – « est-ce qu’il y a du champagne ? » Chloé – « Oui Madame ! » Sabine – « Apporte-nous deux flûtes. Dépêche-toi ! » Chloé – « Bien Madame ! » Puis Sabine à Vanessa – « Tu as vu des gens que tu connais ? » Vanessa – « Oui mais je ne les apprécie pas tous. Par-contre je vois qu’il y a Maître Keane et soumise Janey. Son vrai prénom à lui c’est Robert mais bon, pour un dominateur c’est pas terrible et sa soumise c’est Jeanne. Ils sont mariés mais, contrairement à Martin et toi, ils se sont rencontrés sur un site de rencontre BDSM avant de se marier. Ils ont fait deux cérémonies, une avec la famille et les amis vanilles et une entre amis kinks. C’est Bartholomeus qui les a unis et inutile de te dire que les tenues de mariage étaient différentes de celles du mariage vanille. Elle portait juste un voile, un collier en cuir, un porte jarretelles et des bas, le tout en blanc, mariage oblige, et rien d’autre. Je peux te les présenter ! » Sabine – « Ils habitent loin ? » Vanessa – « pas très loin, ils sont de la région ! » Sabine – « D’accord, comme ça je pourrai les inviter à la prochaine séance dans mon donjon ! » Chloé revient avec les flûtes de champagne posées sur le plateau. Elle s’incline pour permettre à Sabine et Vanessa d’attraper les verres. Ensuite elle se positionne à un endroit où elle peut voir son secteur de servitude, qu’elle partage avec un bel homme noir vêtu d’un simple short long et ferré aux pieds et aux mains comme aux heures sombres de l’esclavage. Tous deux sont en posture d’attente et doivent répondre à la moindre sollicitation des convives. Bartholomeus s’avance au milieu de la salle et demande l’attention de l’assistance et le silence s’installe peu à peu. « Bienvenue à toutes et à tous. Je tiens à vous remercier d’être venus si nombreux, d’ailleurs je crois savoir que nous avons battu le record de participation. Dans un instant vous allez défiler afin de vous présenter, sauf ceux qui n’ont pas souhaiter participer à ce défiler. Pour les autres, ils viendront à mon appel. Je précise que l’ordre de passage est aléatoire et ne tient pas compte d’un quelconque critère. Mais avant de commencer accueillons, sous vos applaudissements nourris, nos hôtes Madame la Marquise et Monsieur le Marquis ! » İls apparaissent de derrière un rideau rouge tendu entre deux colonnes et s’avancent de concert vers Bartholomeus en remerciant la foule par des hochements de la tête. Lui, est grand avec un visage émacié, entouré de cheveux longs grisonnants, paraissant quinquagénaire. İl est habillé tout en cuir noir, débardeur, longs poignets de force, pantalon, santiags et des tatouages comme ceux que l’on voit souvent sur les militaires. Elle lui arrive à l’épaule, un peu boulotte avec une poitrine généreuse, des cheveux noirs avec des mèches auburn et porte une longue robe voile vert pastel. Bartholomeus – « Un petit mot à l’attention de nos amis ? Le Marquis – « Même si Bartholomeus l’a déjà dit, nous vous souhaitons la bienvenue et nous vous remercions d’être venus si nombreux. Cette dixième rencontre annuelle promet d’être mémorable et ce sera grâce à vous car, si nous nous occupons de l’organisation, c’est vous qui faites le spectacle. Je voudrais aussi remercier les personnes qui vont animer les différents ateliers qui se déroulent dans les salles du rez-de-chaussée sauf l’atelier attelage qui se trouve dans les anciennes écuries. Pour vous y rendre il suffit de suivre le balisage. Encore merci et amusez-vous bien. Je rends la parole à notre maître de cérémonie Monsieur Bartholomeus ! » il s’en suit une nouvelle salve d’applaudissements. Bartholomeus – « Merci, merci pour votre accueil ! » Puis s’adressant aux participants « Je vous rappelle que si vous souhaitez à boire et à manger nos soumises et soumis sont là pour vous servir. Et maintenant place au défiler. Vous avez votre numéro de passage inscrit au dos de votre affichette, cela vous permettra de vous préparer si nécessaire. Et ceux qui vont avoir la lourde tâche de commencer sont Maître Landix et soumise Breizhadix, venez par ma gauche, vous allez jusqu’au fond de la salle ensuite vous pourrez regagner votre place ou aller où vous voulez. Mesdames et Messieurs Maître Landix et soumise Breizhadix ! » Sabine se penche vers Jean « Aucune de tes connaissances en vue ? » Jean – « Non Maîtresse ! » Sabine – « Alors bas les masques ! » Elle lui enlève son masque, met un collier en cuir qu’elle sort d’un petit sac à la place et raccroche la laisse. Vanessa – « Tu as besoin de ton sac ? » Sabine – « Non. Pourquoi ? » Vanessa – « J’ai un casier qui ferme à clé dans mon atelier, tu pourras le récupérer quand tu voudras ! » Sabine – « J’ai le numéro 25 on a le temps ! » Vanessa – « Oui, mais il y a des gens qui vont se disperser un peu partout et je dois être présente dans mon atelier à ce moment-là. Quand vous êtes passés venez me voir il y a un buffet, on pourra manger ensemble ! » Elle se lève, dit bon courage à Jean sans oublier le surnom qu’elle lui a donné « Petit chou » puis sort discrètement de la salle en emportant le sac de Sabine tout en faisant un signe à Keane et Janey pour leur faire comprendre qu’il fallait qu’ils viennent la voir. Keane fait un signe de la tête pour montrer qu’il a compris. En attendant son tour Sabine regarde défiler les autres. Elle a un stylo et un calepin où elle inscrit les noms des personnes qui l’intéressent et elle verra plus tard si elle peut en inviter certains chez elle. Elle a également commandé une flûte de champagne pour elle et un verre d’au fraîche pour Jean et Martin car elle ne veut pas qu’ils défilent avec la gorge sèche. Jean observe avec attention le comportement des personnes qui défilent afin d’en apprendre le plus possible. Cette fois c’est à eux de défiler, Sabine rattache leur main qu’elle avait libérée pour qu’ils puissent boire et ils s’avancent devant l’assemblée. Elle s’arrête de temps en temps leur donne l’ordre de se mettre de chaque côté d’elle, de mettre un genou à terre et de baisser la tête en signe d’hommage et de soumission. Ensuite ils sortent pour aller rejoindre Vanessa. Cette dernière est seule dans la salle flagellation ne train de tapoter sur son téléphone portable. Sabine – « Eh bien, la maîtresse fouetteuse n’a pas de clients ? » Vanessa – « Non. Heureusement on va pouvoir aller manger un morceau. Je suis affamée ! Le buffet est juste à côté ! » Sabine détache les mains de ses soumis pour qu’ils puissent se servir à manger, leur désigne une table ou ils devront s’asseoir tandis que Vanessa et elle mangeront à une autre table. Une fois attablés Martin demande à Jean ce qu’il pense de ce début de programme. Jean – « Pour l’instant il ne s’est pas passé grand-chose mais je suppose que ça va venir. Par contre je suis étonné qu’il y ait autant de monde ! » Martin – « Mais toi, comment tu te sens ? » Jean – « D’avoir vu d’autres personnes passer avant nous m’a un peu rassuré, mais j’avoue que j’avais un peu honte d’être exhibé devant tous ces gens que je ne connais pas ! » Martin – « Tu aurais préféré être devant des gens que tu connais ? » Jean – « Pas des gens que je connais à mon travail, mes voisins, les commerçants de mon quartier, mais des gens que je connais dans le milieu BDSM, oui ! » Martin – « Et tu connais combien de gens dans le milieu BDSM ? » Jean – « Que trois, je sais ça fait peu ! » Martin – « Tu sais, c’est la première fois que je défile devant des inconnus. Je n’en ramenais pas large non plus mais je suis fier de l’avoir fait et j’en ai même pris du plaisir. Dans ma tête je leur disais – Vous voyez je suis soumis à Maîtresse Sabine et j’en suis heureux – et puis tous ceux qui sont ici le sont pour la même chose. Un jour j’aimerais le faire devant des gens qui ne sont pas pratiquants du BDSM ! » Jean – « Tu as raison. İl faut que je me conditionne et que je me concentre sur ce que j’ai à faire sans à priori ! » Martin – « Tu n’as pas fantasmes ? » Jean – « Je ne sais pas si ce sont des fantasmes mais j’ai envie de tester certaines situations ou d’aller plus loin dans d’autres. Mais je préfère que ce soit en petit comité ! » Martin – « Oui, bon, on verra bien ce que Sabine nous a concocté surtout avec la complicité de son amie qui est une sacrée vicieuse ! » Jean – « Attention elles arrivent ! » Sabine – « Aller debout, on y va ! » Elle leur refixe les mains à la ceinture ventrale, attrape les laisses et tout le monde retourne vers l’atelier tenu par Vanessa.
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Par : le 24/06/25
F.  Samedi ç’à me dit Ce samedi annonce un week-end ennuyeux. Jean regarde par la fenêtre qui déverse un flot de larmes s’écoulant lentement le long de la vitre pour finir par disparaître en laissant la place aux suivantes. L’horizon lui rappelle ce poème de Charles Baudelaire « Brumes et pluies » qui fait partie du recueil « Les fleurs du mal » et récite la première strophe. Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue, Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue D’envelopper ainsi mon cœur et mon cerveau D’un linceul vaporeux et d’un brumeux tombeau. Il fait le lien avec ces dominatrices qu’on aime et loue de prendre possession de notre corps et de notre âme en nous enveloppant à la fois de douceur et de douleur. Soudain il se souvient que ce week-end il y a des sports mécaniques, et vu le mauvais temps, il va passer tout ce temps devant son poste de télévision. Lundi, Jean part pour le travail, Le ciel est bleu, le soleil est radieux et Jean fredonne la chanson de Claude François  – Le lundi au soleil –, il pense aux lignes du programme informatique qui lui posent problème, il va probablement devoir vérifier l’algorithme. Bref, après ces deux semaines intenses en découvertes et émotions insoupçonnées, sa vie a repris un cours normal, il n’oublie pas ce qui est prévu le samedi prochain mais le voit un peu comme s’il était prévu une soirée cinéma entre potes. Des potes ? Il en a peu et ils sont tous éloignés géographiquement et il ne cherche pas à se lier d’amitié avec ses collègues de travail car il ne veut pas mélanger sa vie professionnelle et sa vie personnelle, mais cela ne le dérange car, depuis son divorce suivit d’un changement de travail et de région, il est plutôt du genre solitaire. Finalement, le fait d’avoir rencontré Sabine et Martin ainsi que Vanessa et, peut-être bientôt, d’autres personnes partageant une même passion va donner un autre sens à sa vie. Mardi, il reçoit un texto de Sabine Toujours ok pour samedi ? il répond Oui bien sûr et dans la foulée il reçoit un nouveau texto Ok alors rdv chez moi samedi à 10h00. Jean commence à bien connaître Sabine et il sait qu’il a intérêt à être à l’heure. Les jours qui suivent il se concentre sur son travail car il a encore des pages et des pages de code à écrire pour faire fonctionner la partie du logiciel qu’on lui a confiée. C’est vendredi soir et c’est après être rentré chez lui qu’il se dit que le lendemain va encore être un jour plein de découvertes et de surprises. La première surprises sera ce que Sabine a prévu pour lui. D’abord la tenue mais certainement aussi quelques surprises sorties de son imagination machiavélique.   Samedi matin 8h00, le réveil sonne. Jean se dit qu’il a bien fait d’activer la sonnerie car il dormait à poings fermés. Il arrête cette horrible série de bips et se lève aussitôt de peur de se rendormir. Il boit un café et va dans la salle de bain. Il se rase le visage de près car il ne sait pas à quelle heure les festivités vont se terminer et il ne veut pas avoir le poil hirsute en cours de soirée. Il décide aussi de se raser le pubis car il se souvient que quand Sabine lui avait mis la cage de chasteté des poils s’étaient coincés dans le système de fermeture et se sont arrachés et ensuite avec le frottement il avait eu des irritations. Il ne sait pas si elle va encore l’encager mais il vaut mieux prévenir que guérir. Donc il va sous la douche avec mousse et rasoir, il se rase avec minutie évitant de se couper puis prend une douche. Il enfile un caleçon et met un costume car on ne va pas au château du marquis habillé en jean et blouson, par contre il ne met pas de cravate. Après tout Sabine ne lui a pas parlé de dress code. Il regarde l’heure, il est bientôt 9h30, Il avale un autre café en vitesse et part. Il arrive à l’heure, Martin lui dit de mettre sa voiture dans le garage et qu’il l’attend. Les deux hommes se disent bonjour et Martin demande à Jean de monter à l’avant côté passager et que Sabine ne va pas tarder à arriver et s’assoie derrière le volant. En effet Sabine arrive avec un grand sac de voyage à la main, le pose sur la banquette arrière et s’assied derrière Martin et précise qu’il y a deux heures de route pour aller au château et qu’elle veut arriver parmi les premiers pour avoir le choix de la place. En cours de route ils parlent de banalités puis Sabine demande à Jean s’il n’est pas trop anxieux et il répond par la négative. Sabine – « Aujourd’hui tu vas découvrir ce qui, pour toi, sera un nouveau monde que tu pourras observer mais aussi dans lequel tu devras t’intégrer et prouver que tu es un bon soumis si tu veux influer sur ma décision ! » Jean ne dit mot, Il sent le regard insistant de Sabine sonder son cerveau, comme si elle entrait dans sa tête pour aller manipuler ses neurones, l’amenant au bord de l’évanouissement. Voyant qu’il est tout pâle elle lui caresse la joue avec le dos de sa main et lui dit « Ne t’inquiète pas je suis sûre que tout va bien se passer ! » Le reste du trajet se passe en silence. Sabine jubile de l’emprise qu’elle a sur Jean qui petit à petit reprend des couleurs. Martin empreinte une petite route, après deux ou trois kilomètres la voiture traverse un pont en pierre, où deux véhicules ne peuvent pas se croiser, qui enjambe un cours d’eau puis quelques centaines de mettre plus loin entre dans un bois. La route de vient de plus en plus pentue et serpente entre les arbres lorsque Jean aperçoit à travers une trouée de la forêt un château fort sur un piton rocheux à flanc de colline. Jean s’attendait à un château style XVIIème ou XVIIIème siècle, se trouve en contrebas d’un château médiéval. Ils passent sous un grand porche et pénètrent dans une cour pavée, un homme en habit de laquais anachronique avec le lieu leur fait signe de s’approcher. Il demande poliment le nom des arrivants, regarde la liste sur sa tablette, acquiesce et leur dit d’avancer jusqu’au tapis rouge déroulé devant l’entrée du bâtiment principal. Il y a des échafaudages positionnés à différents endroits et Jean se dit que la rénovation et l’entretien doivent coûter une petite fortune. Deux hommes en costume contemporain se tiennent devant une grande double porte en bois aux lourdes ferrures. L’un d’eux accoure pendant que les occupants du véhicule en descendent, Martin remet les clés de la voiture à l’homme, Jean propose à Sabine de prendre le sac de voyage mais elle refuse de lui confier. L’autre homme ouvre la porte et les invite à entrer dans un corridor. Une jeune femme avec de longs cheveux blonds tressés en queue de cheval, vêtue d’un corset qui met sa poitrine aux tétons annelés en valeur et retient des bas noirs grâce à ses jarretelles les accueille avec déférence et les invite à la suivre. Elle ne porte pas de dessous et Jean constate qu’elle a également des anneaux au sexe. Sabine demande à Jean de passer en premier puis c’est au tour de Martin et elle en dernier. Ils la suivent dans un escalier en colimaçon tout en pierres de taille mais Jean a les yeux rivés sur la croupe de leur guide dont les fesses aux formes parfaites se dandines au rythme des marches. Ils arrivent sur un palier et la jeune femme leur montre la porte de droite et dit que c’est derrière cette porte que les cérémonies ont lieu et que de l’autre côté en prenant le couloir il y a les salles d’ateliers. Jean remarque que le couloir est éclairé par des flambeaux accrochés au mur et inclinés, avec des lampes électriques en forme de flamme. Ils gravissent encore les escaliers éclairés par les mêmes flambeaux, ce qu’il n’avait pas vu avant tellement il était hypnotisé par le fessier de la jeune femme et arrivés à l’étage elle leur montre leur chambre et prend congé. La chambre est spacieuse Il y a un grand lit à baldaquin avec des peaux de bêtes autour, une table de nuit et un fauteuil de chaque côté mais, le lit a beau être grand Jean se dit qu’il n’est pas possible d’y dormir à trois, il voit une autre porte et pense que ce doit être sa chambre. Il y a aussi un bureau écritoire et deux fauteuils, une grande armoire rustique, Sabine met le sac à l’intérieur, en sort un autre sac plus petit puis ferme l’armoire avec une clé qu’elle garde dans la main et dit « Je vais voir la Marquise, pendant ce temps vous faites une toilette complète ! » puis elle sort. Martin à jean – « Elle a pris le sac avec ses affaires, elle a dû aller dans la chambre de Vanessa pour se préparer. Viens je t’explique ! » Il ouvre la porte, allume la lumière, Jean voit que c’est un coin toilette, donc ce n’est pas sa chambre. Martin – « Lavabo, douche et dans le coin il y a un bidet et les wc. La toilette complète c’est ce que tu as fait le premier soir au donjon. Le bidet est muni d’un flexible au bout duquel tu vas fixer une canule jetable, il y en a dans cette boite et là sur le mur tu as un robinet gradué, c’est pour régler la température à trente-six degré qui est celle du corps. Tu laisses couler le temps d’évacuer l’eau froide, le débit est préréglé pour éviter une surpression qui poserait problème. Lorsque tu as fini tu remets la canule dans son emballage et hop, poubelle. C’est bon ? » jean opine et Martin passe en premier pendant que Jean attend dans la chambre en admirant le paysage sauvage qui entoure le château. Au bout d’un moment il ressort avec pour tout vêtement une serviette de bain autour de la taille et Jean va à son tour dans le coin toilette. Lorsqu’il sort, lui aussi avec sa serviette autour de la taille, Martin regarde également le paysage et dit « Tu as vu la petite cascade là-bas ? Et puis là il y a un rapace ! » Jean – « Vous êtes déjà venus ici ? » Martin – « C’est ici que nous avons été formés. Une relation D/S, pour être harmonieuse, fait appel à différents codes que nous ne connaissions pas. Passer du fantasme à la réalité n’est pas une chose simple. Nos débuts ont été compliqués, on ne se comprenait pas. Puis, sur les conseils de Vanessa, je crois, Sabine a eu une formation ici auprès du Marquis et de la Marquise. Le Marquis forme les dominateurs et la Marquise forme les dominatrices. İls forment également les personnes soumises et ont aussi leurs propres soumis et soumises, celle qui nous a accompagnés ici doit en faire partie. Ensuite nous sommes venus tous les deux pour mettre en pratique ce que Sabine avait appris et notre relation a pris une autre dimension. Par contre c’est la première fois que nous participons à une telle réunion à laquelle participent même des personnes venues de l’étranger ! » La porte s’ouvre et Sabine entre et demande « C’est bon ? Vous avez terminé ? » Ils se retournent, elle porte une combinaison noire en latex, la fermeture zip entrouverte laissant entrevoir le haut de ses lobes mammaires, de longs gants en latex rouge, elle est perchée sur des talons aiguilles rouges tellement hauts que les cigognes d’Alsace en pâliraient de jalousie. Ses longs cheveux noirs sont tirés en arrière, maintenus par un anneau doré pour les faire retomber en queue de cheval qui descend jusqu’au milieu du dos et couronnés par un diadème du même ton. Un maquillage qui agrandit ses yeux et lui donne un air tellement sévère que même le plus grand tyran de la planète ramperait à ses pieds. Les deux bougres en ont le souffle coupé, même Martin ne l’avait jamais vue comme ça. Sabine – « Je vous ai posé une question ! » Martin bredouille « Oui Maîtresse ! » et Jean l’imite aussitôt. Sabine – « Alors inspection ! » Martin enlève sa serviette, la jette plus loin et prend la position, suivi par Jean. Elle ouvre l’armoire, sort des gants de chirurgien du sac, elle les enfile et les lubrifie puis va se positionner derrière eux. Elle introduit ses majeurs en même temps dans le rectum de ses deux soumis qui sursautent en même temps, elle fait quelques allers et retours tout en s’amusant à bouger le doigt et remonter ses bras ce qui les fait mettre sur la pointe des pieds et pousser de petits râles, elle frémit de plaisir. Elle retire ses doigts d’un coup sec, observe les gants et dit « C’est bon, vous pouvez m’enlever ces gants et les jeter ! » Elle se dirige vers l’armoire, sort le sac et le pose sur le lit. Elle prend la cage de chasteté de Jean et remet son sexe en prison, ensuite elle lui tend le slip spécial acheté chez Nanette pour qu’il l’enfile et met l’oiseau de son mari également en cage, elle les regarde, et narquoise, elle dit en se moquant d’eux « Zut, j’ai oublié les os de seiche ! » elle a envie de les tripoter histoire de réveiller les bébêtes mais elle s’abstient, elle a de nombreuses heures pour s’amuser avec eux devant toute l’assistance. Ensuite elle leur tend des bottines en tissu noir à laçage avec des semelles épaisses qu’ils s’empressent de chausser. « Ce n’est pas fini » dit-elle et elle sort deux ceintures abdominales en cuir munies d’anneaux qu’elle ajuste sur chacun d’eux, elle leur pose des menottes assorties à la ceinture puis relie chaque menotte à la ceinture avec un tige d’environ 20 centimètres qui se terminent par des mousquetons.                Elle fait quelques pas en arrière se met à rire « On dirait deux frères jumeaux ! Mais ce n’est pas tout ! » Elle est comme une petite fille qui joue à la poupée. Elle pose un collier avec une laisse à Martin et sort une cagoule en cuir avec des zips au niveau des yeux et de la bouche, elle l’enfile sur la tête de Jean, l’ajuste, serre les lacets qui sont à l’arrière et fait un nœud puis attache la laisse à l’anneau qui se trouve à l’avant au-dessous du menton puis dit à Jean « J’ai décidé de te mettre une cagoule afin qu’on ne te reconnaisse pas dans le cas où il y aurait des personnes de ta boite présentes. Je sais qu’il n’y a pas longtemps que tu as été embauché et je ne veux pas que tu ais des problèmes ! » Jean - plein de gratitude « Merci Maîtresse ! » Enfin elle sort un feutre spécial tatouages et leur demande de se mettre de dos sur lesquels elle écrit Propriété de Maîtresse Sabine. Des fois que quelqu’un veuille lui en voler un. Elle vérifie que les zips des yeux sont bien ouverts sur le masque de Jean car elle ne veut pas qu’il chute dans les escaliers puis elle attrape les laisses avec sa main gauche et ils sortent de la chambre, Sabine passant en premier.
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