Par : le Il y a 2 heure(s)
Je te demande et je te vois t'allonger sur le sol, si docile sur le dos... Tu portes un tee-shirt et un jeans.  Je te prends délicatement les mains, pour te les relier et les attacher au dessus de ta tête, en silence.  Tu peux lire dans mon regard ce sourire à malice, même si tu ne connais pas encore mon désir.  Je viens m'allonger, à côté de toi juste collée, puis je frôle tes bras de mes mains, redescendant doucement et venant les passer sous ton tee-shirt et caresser ton corps durant de longues minutes. Tu ne dis rien, tu ressens, en silence.    Je me lève soudainement et pars fouiller dans mon sac à malice, puis de reviens vers toi, les mains derrière le dos. Je te chuchote de fermer les yeux, ce que tu exécute comme tu sais si bien obéir. Puis je viens me poser sur toi à califourchon, mets une main derrière mon dos et te souffle de ré ouvrir tes yeux.  Je te montre enfin l'objet du délit à venir sans que tu ne saches rien de plus.  Ce sont des ciseaux... Je frôle tes bras avec, puis ton tee-shirt, pour arriver au bas de celui-ci.    Les deux lames s’entrouvrent et viennent se coincer sur ce bas pour se rejoindre et ainsi commencer à découper ton tissu.  Les ciseaux remontent délicatement jusqu'à ton col pour le faire céder.  Te voilà torse nu maintenant, et je te regarde, je te contemple, sourire aux lèvres.    Je balance les ciseaux à terre puis mes doigts viennent glisser sur ta peau, laissant des traînées de griffes sur celles-ci.  Ils viennent jusqu'à tes tétons déjà pointant de désir.   Je sais que tu es dressé sous ton jeans, je le ressent. Tu mouille, tu baves comme une Chienne appelant que je vienne te malmener ces petits bouts qui pointes.    Je les prends du bout des doigts et les presses, légèrement, puis de plus en plus fort, je les fais rouler avant d'y planter mes ongles.  Je sais que sous la douleur naît une excitation bien plus profonde. Alors pour atténuer celle-ci, je me penche pour apposer sur tes tétons ma bouche, ma langue. Je les aspire, et toi tu désir plus fort Ma malice étant toujours présente, je commence alors à les mordiller, puis à resserrer les dents au fur et à mesure que je te sens parti dans cette montée de plaisir douloureuse où tu te lâche en toute confiance. Appelant, suppliant des soupirs de désirs.  Tu es si beau lorsque tu es désireux !!!..............  
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