La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 31/05/24
Il a allumé une nouvelle étincelle.  Une nouvelle lumière danse sur les murs de ma conscience, une nouvelle flamme réchauffe mon cœur. Avant je vivais, je m'efforçais de ressentir Gratitude, Amour et Joie au quotidien. Il y avait de la lumière, mais incertaine, vacillante. La sienne est douceur et  folie, joie et tendresse, réconfortante et mobilisatrice. A ses côtés, mon cœur flotte, grisé, ennivré des mots, de l'attention qu'il reçoit et accueille. A ses côtés, mon mental frissonne, évolue, secoué, malmené par les préjugés et les peurs qui résistent puis éclatent comme des bulles de savon. A ses côtés, mon âme rit, heureuse qu'enfin j'accepte, qu'enfin je dise oui malgré les craintes et les résistances. A ses côtés, mon Etre a envie de continuer l'aventure, de trouver l'équilibre entre autonomie et entraide, entre indépendance et co-création A ses côtés, je veux m'explorer en toute sécurité.  A ses côtés, je veux briser mes chaînes limitantes. A ses côtés, je veux prendre soin de la flamme.  A ses côtés, je veux nous aimer.
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Par : le 31/05/24
Je reviens environ une heure plus tard. Une heure à réfléchir dans la pénombre à ce qui t'attend. En cadeau un set de 4 plugs du plus petit (tout est relatif) au plus gros qui va te préparer à ce qui arrivera plus tard. Je viens te les présenter en les disposant au sol devant toi, ta tête étant maintenue suffisamment fixement pour que tu ne puisses pas regarder autre chose que le sol. Je libère justement ta tête et je te présente le premier plug. Prends-le entre tes mains, pose-le au sol. Il ne doit plus bouger. Seule ta tête peut bouger. - Crache, lèche-le, suce-le. Tu sais que c'est le seul lubrifiant que tu auras avant qu'il disparaisse dans ton cul. Et tu sais que tu as un temps limité pour cela donc tu ne perds pas de temps et après avoir craché quelques fois dessus, tu le fais disparaître dans ta bouche. Tu es devenue experte. - Laisse-le en entier dans ta bouche. Tire la langue pour lécher le sol. Tu t'exécutes. Vraiment très forte. Tu te retires, hors de souffle, et un flot de salive relie tes lèvres au plug. - Encore ! - oui Maître ! Et cette fois-ci je pose mon pied sur ta nuque et je te fais descendre tout en bas te maintenant en place plus que de raison sans doute. Jusqu'à ce que je sente ta tête pousser pour remonter. Enfin quelques secondes de plus. Jusqu'à ce tu commences à tousser. Ce n'est pas toi qui donne les ordres. Il faut que ça s'inscrive dans ton subconscient. Je prends le plug et je me dirige vers ton cul. Je te vois écarter les jambes. Une chienne lubrique qui veut se faire prendre. Je rentre le plug sans aucune hésitation et ça t'arrache un gémissement. Je ne peux m'empêcher de jouer avec en le faisant aller et venir, en le bougeant et je vois qu'il ne faut que quelques secondes pour que ton sexe redevienne luisant. - tu es vraiment une chienne ! - oui Maître, je suis votre chienne. - Good girl ! Et est-ce que tu as besoin de quelque chose. Te faire baiser, je sais. À boire, à manger, autre chose ? - Maître, si vous aviez la bonté de m'apporter quelque chose à manger, je vous serais reconnaissante. - Tu sais que pour chaque demande tu auras un gage à accomplir ? Plus ou moins dur. - Je le sais Maître et je vous en sais gré. Je veux vous prouver que je suis digne de vous obéir, digne de votre confiance. Je veux vous montrer que vous pouvez tout me demander et tout attendre de moi et je comprends que je doive payer pour tout. - Attends-moi, je reviens dans quelques instants avec à manger et je te dirai ce que tu dois faire pour pouvoir manger ce que je te ramène.   Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) ! Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Partie 5 : une cage      
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Par : le 30/05/24
"Ce n'est pas dans la recherche du bonheur que l'on trouve le bonheur, mais dans la recherche de la raison d'être." - Viktor Frankl L'engagement tel que je le conçois, va bien au-delà des promesses classiques que l'on pourrait trouver dans une relation traditionnelle.  Il est un pacte sacré, une acceptation mutuelle des rôles, une exploration commune des désirs les plus intimes et souvent des plus cachés. Cet engagement nécessite une ouverture totale, une honnêteté sans fard qui permet  de se découvrir et de se redécouvrir constamment. Dans ma compléxité BDMèSque, l'engagement tel que je le conçois est d'abord et avant tout un engagement envers soi-même. Il demande à chacun de se connaître profondément, de comprendre ses besoins, ses limites, ses désirs et ses peurs. Base sur laquelle  se  construit la relation avec Son autre, car sans cette connaissance intime il est impossible de s'ouvrir véritablement à Son autre.   Il s'agit, non pas  de se rendre vulnérable, seulement d'être tel que l'on est, sans jouer un role autre que le sien, de confier ses plus profonds secrets et de recevoir ceux de l'autre avec bienveillance et compréhension. Cet engagement tel que je le conçois se manifeste dans le respect,  dans l'écoute attentive,  (l'extrême attention n'est pas un vain mot), le regard  ou se reflète le coeur de Son autre. Apprendre à connaître Son autre est essentiel dans ce voyage. C'est cette connaissance intime, patiemment tissée à travers des moments partagés, des conversations profondes, qui crée LE lien véritable. De cette compréhension mutuelle naît le sentiment d'appartenance et le désir de s'engager pleinement. Connaître son partenaire dans toute sa complexité et sa profondeur, chaque choix et chaque geste renforcent Le lien existant, celui que l'on alimente à chaque instant. Se nourrir de cette exploration constante  de pouvoir et de soumission.  Trouver cet équilibre entre le contrôle et l'abandon, entre le donner et le recevoir. Cet équilibre  fluide, fragile parfois, demande une attention constante, ce qui rend cette connexion si spéciale, si intense. L'engagement tel que je le conçois, est une promesse de respect, de confiance et de dévotion. C'est un espace intime , une bulle hors du temps, où la vulnérabilité devient une force, où l'exploration des désirs mène à une intimité profonde, et où chacun trouve  Sa liberté dans celle de Son Autre. Etre pleinement soi-même, dans toute la complexité et la beauté. Une toile tissée où chaque fil est un choix, chaque nœud, un lien solide, créant un réseau qui soutient et enveloppe. Lifeislife  
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Par : le 28/05/24
Alors qui suis-je: Thomas, un dominant dépressif de 35 ans, un homme finalement en mal d'amour,  tous en contradiction aussi bien sur le plan personnel,  professionnel ou SM. Mais comment j'en suis arrivé là ? Voici mon histoire : J'ai vécu jusqu'à mes 15 ans une enfance banal, j'en ai d'ailleurs que peu de souvenirs, je ne sais pas si mes parents m'aimait, je n'ai en mémoire aucun geste démonstratif. Je suis un gamin calme en totale échec scolaire, une véritable honte pour mon père, qui compte bien régler ce problème. Après une énième année scolaire chaotique me voilà sur la route de la suisse pour visiter ma potentiel future école privée en Suisse. Je ne vous fais pas un dessin ecole loin de chez moi, chère et strict et au vu de mon dossier le directeur comprend bien l'urgence de la situation. Je suis interrogé sur mes résultat,  mon potentiel avenir. Je me vois déjà à l'internat ne rentrant que pour les vacances quand les paroles de mon père me sort de mes pensées - non en école de jour, nous avons de la famille prête à le recevoir. Je posait milles questions sur le chemin du retour,  quelle famille en Suisse nous avions. J'obtiens pour seule réponse de ne pas me soucié de ses détails. Fin août une semaine avant le reprise de l'école,  on me dépose ou jette comme vous préférez à la gare direction Genève. A mon arrivé je suis perdu, je tourne en rond dans la gare quand je fini par apercevoir un homme en costume tenant une pancarte avec mon nom. - Monsieur Venguard ? Je suis Henri le chauffeur de Madame Loi..... Vous avez des bagages ? Je le suis jusqu'au parking, il m'ouvre la porte d'une sublime Mercedes E500 et me dit nous avons un peu de route jusqu'à Lausanne. Nous longeons le lac Léman me rapprochant a chaque kilomètres de notre sois disant famille. Finalement la voiture s'engage dans un parc verdoyant,  au bout une magnifique maison bourgeoise recouverte de végétation. Je rassemble mes affaires, quand j'entends des talons claqués sur les dalle de grès, en me retournant j'aperçois une femme d'une quarantaine d'années dans un magnifique tailleur. - Bonjour Thomas,  je suis Viviane la maîtresse des lieux,  aller ne reste pas planté là. Je ne le savais pas encore mais cette femme allait changer ma vie. A suivre...   Pardonner mon orthographe, cela n'a jamais était mon fort.  
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Par : le 27/05/24
J’ai été toute contente de recevoir l’invitation de Georges. Nous faisions du tchat sur le site bdsm depuis quelque temps déjà en échangeant sans tabou des confidences sur nos fantasmes érotiques les plus secrets. Il connaissait mes sombres désirs de soumise exhibitionniste et je n’ignorais rien de ses penchants dominateurs. L’invitation était pour une soirée mondaine sur le thème de la Rome antique. Georges me prévint qu’il y aurait une invitée spéciale et que j’apprécierais le spectacle.   Il n’avait jamais voulu me donner son adresse, mais cette fois, elle était sur l’invitation et j’ai constaté avec plaisir que ce n’était qu’à une quinzaine de kilomètre de mon domicile. Dressing code de style romain et heure de début assez tardive, 22 heures.   J’ai choisi une toge en tissu soyeux, d’un blanc virginal, sans manches, drapée autour de moi et simplement attachée sur l’épaule. Une cordelière autour de la taille, des escarpins aux talons vertigineux, un soutien-gorge ? J’hésite, les Romaines n’en portaient sans doute pas. Donc, rien au-dessus ; à mon âge, mes seins, bien qu’opulents, tiennent encore bien. Et en-dessous ? Je me veux audacieuse, rien non plus, ma culotte restera à la maison.   A 22h15, je gare ma voiture au milieu d’une dizaine d’autres déjà sur place, m’inquiétant d’être en retard, et je sonne à la porte. C’est Georges qui vient ouvrir, et je vois qu’il est satisfait de mon aspect et de ma tenue. Heureux de faire ta connaissance en chair et en os, me dit-il, tu es parfaite, et il m’entraîne dans la pièce voisine.   Et là, brusquement, quelqu’un me saisit les deux bras par derrière, des menottes claquent autour de mes poignets, un bandeau me tombe sur les yeux, me voilà aveuglée, affolée, attachée sans défense, tandis qu’on m’écarte les mâchoires pour y introduire un anneau qui me bâillonne la bouche ouverte et qu’on me fixe une laisse de chien autour du cou. Tout s’est passé en quelques secondes sans que je trouve la possibilité de me défendre. La laisse se tend et me traîne vers ce que je devine être le salon.   Je perçois un brouhaha d’excitation lorsque je fais mon apparition. Georges m’a trompée sur l’heure du rendez-vous et toutes ses amies et ses amis étaient déjà présents depuis au moins une heure, buvant et s’amusant en attendant le spectacle annoncé. A ma grande terreur, j’ai compris que c’est moi qui en serais la vedette involontaire.   Un bourdonnement de voix salue mon apparition, accompagné de rires et de moqueries pour ma naïveté. Je ne vois rien, mais je devine une dizaine de personnes échauffées et prêtes à jouir de mon humiliation publique. Georges me fait avancer et monter sur une petite estrade. ‘Pas de soirée romaine sans son marché aux esclaves’ déclare-t-il. ‘Voici l’offre de ce soir. Qui la veut ? Je vous montre d’abord la marchandise’. Ce disant, il défait le ruban qui retenait la tunique sur mon épaule. Elle glisse jusqu’à mes pieds, révélant toute ma nudité à la grande joie des invités. ‘Elle se promène à poil dans les rues, s’écria-t-il, cette soi-disant bourgeoise est une salope dévergondée’ et, me forçant à écarter les jambes, il me donne la honte suprême d’être exposée grande ouverte sans pouvoir rien cacher. Très vite, je sens des mains commencer à tâter mes endroits les plus sensibles, mais Georges intervient brusquement : ‘Elle m’appartient encore. Si vous voulez en profiter, il faudra la gagner à la loterie’. ‘Nous allons faire cela comme au poker. Je vais distribuer 5 cartes à chacun et celui ou celle qui aura la plus belle main emportera la mise’. Dans un brouhaha général, je les entends comparer leurs combinaisons jusqu’à ce qu’une voix féminine proclame sa victoire avec un beau full de rois par les dames. Aussitôt elle prend possession de ma laisse et me traîne derrière elle dans toute la salle en laissant les spectateurs me palper les seins, me glisser une main indiscrète dans l’entrejambe, me claquer les fesses et les cuisses, tout en riant de mes tentatives aveugles de me protéger malgré mes mains toujours attachées. J’ai honte, je voudrais disparaître, la sueur me perle sur tout le corps.   ‘Après cette promenade, que voulez-vous comme autre divertissement pour cette soirée romaine ?’ demande ma nouvelle maîtresse. Si vous êtes d’accord, je vous propose quelque chose bien spécifique à cette civilisation. On va la faire participer à une petite crucifixion. Est-ce que cela-vous convient ? Un fracas d’acclamations me fit comprendre avec beaucoup d’appréhension que la soirée serait mouvementée pour moi. Tout était déjà prêt, car très vite, deux cordes descendirent de deux anneaux scellés au plafond, à 60 centimètres l’un de l’autre. Prestement, les menottes me furent enlevées pour être remplacées par deux forts bracelets de cuir, doublés de fourrure, auxquels les cordes furent fixées. Au signal de ma maîtresse, deux spectateurs se mirent à tirer chacun sur une corde, me forçant à lever les bras en forme de V et à me présenter, entièrement offerte, les seins dardés par la position et les tétons saillants par l’excitation qui commençait à m’envahir.   Mes pieds allaient quitter le sol quand ils cessèrent enfin de tirer. Je restai ainsi sur la pointe des pieds, respirant à petits coups à cause du bâillon qui me laissait la bouche béante. Me tirant la tête en arrière, ma maîtresse s’amusa à y verser lentement un grand verre de vin, m’obligeant à déglutir bruyamment pour ne pas m’étouffer.   Maintenant qu’elle a bien bu, on va passer aux choses sérieuses, la mise en croix, s’écria-t-elle. Deux autres bracelets furent fixés à mes chevilles et deux autres cordes vinrent s’y attacher. Ma jambe droite fut soulevée la première, jusqu’à ce qu’elle quitte le sol d’une vingtaine de centimètres. Soutenue uniquement par les bras et en équilibre sur mes orteils gauches, je n’en menais pas large. Ils me laissèrent ainsi quelques minutes puis, malgré mes cris étranglés, ils soulevèrent semblablement l’autre jambe, me laissant suspendue par les poignets, dans la parfaite situation d’une crucifiée.   Haletante, je me débattais sans espoir dans mes liens, au milieu des rires et des quolibets de l’assemblée, ravie de mes efforts infructueux pour me libérer.   J’ai vite compris pourquoi ils avaient choisi cette sorte de crucifixion pour se divertir : il est impossible à la victime de rester immobile plus que quelques minutes. Les bras étendus, l’air vient à manquer aux poumons et la crucifiée doit pousser sur ses jambes pour se soulever et respirer. Mais il est impossible de conserver les jambes raidies pendant longtemps et le corps s’affaisse, suspendu à nouveau par les bras. Le cycle reprend, à la grande joie des spectateurs qui jouissent de la détresse de la suppliciée. Dix fois, vingt fois, je régalai mes bourreaux de mes efforts et de mes cris, de plus en plus suppliants mais sans autres résultats que des insultes et des moqueries.   Finalement, mes cuisses refusèrent tout service et je restai douloureusement suspendue par les poignets, pantelante, des sanglots me soulevant la poitrine, avant qu’on me détache enfin.   Georges vint m’embrasser et, me serrant dans ses bras, il me promit que je serais encore invitée chez lui, mais cette fois parmi les convives, pour assister au baptême d’une nouvelle postulante aussi naïve que je l’avais été.    
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Par : le 25/05/24
Morte de honte, toute la journée, harcelée par les filles, puis aussi les garçons de la classe, les copines en ont tellement rajouté, que tout le monde me posait des questions. Je rêvais de sortir et de rentrer à la maison, pour fuir cette folie. Enfin 17h, devant la grille Julien et Léa, j'ai senti un grand coup de chaud, voilà de quoi alimenter les questions. Ostensiblement Lydia m'a embrassée sur la bouche et Julien a suivi, ce fût le début des commentaires salaces. On est arrivaient, je me suis réfugiée dans ma chambre, en larmes pour ne pas changer, la tête sous l'oreiller, je n'ai pas entendu Lydia entrer, je me suis ramassé 4 coups de ceinture sur les fesses, je me suis levée en hurlant MAIS POURQUOI? Deux claques en réponse et "tu ne tes pas déshabillée et tu pleurniche alors que je t'ai ordonné de ne plus pleurer" Je me suis mise nue en silence, mes fesses en feu je suis restée comme tétanisée. Impossible de bouger, tremblante, je ne comprenais pas pourquoi ma soeur devenait si méchante, aussi dure, c'était plus ma Lydia d'Amour et Julien ne disait pas un mot??? Perdue dans mes pensées, j'avais peur de tout, ce soir sur le canapé, dans la douche, demain au lycée les copines de classe...? Ce soir là, comme je ne venais pas sur le canapé, Lydia est arrivée dans ma chambre pour voir ce que je faisais, j'ai pas bougé, un gros semblant de dormir lol, ma frangine ne s'y est pas trompée et la claque fût magistrale... "Tu vas aller au salon Julien attend, tu bouge" la fesse cramoisie, je suis allée m'assoir à coté de Julien, Lydia s'est collée contre moi, a attrapé mes tétons si fort que j'ai crié, elle n'a rien lâché la douleur me faisait trembler, plus je gémissais plus ses doigts roulaient les bouts, une minuscule goutte perlait. au moment ou je fermais les yeux, Julien enfonça deux doigts dans ma bouche et m'obligea à sucer, j'étais sur, mon cul allait les sentir passer. Tiré par les tétons je me suis retrouvée à genoux et les deux doigts sont entrés, en force, le pouce écrasait mon clitoris, des frictions durs, j'ai rien vu venir, j'ai eu un orgasme immense et j'ai pissé partout sur le canapé, sans pouvoir rien retenir. J'ai juste entendu Lydia dire "ça devient une belle salope ma petite soeur" La traditionnelle serviette sur la banquette était toute mouillée, je commençais à essuyer parterre, quand elle m'a prise par les cheveux, m'a obligé à lécher le sol. En panique, j'arrivais plus à respirer entre deux sanglots, j'ai senti mes poignets attacher dans mon dos, puis mes chevilles, toujours le nez dans mon urine j'avais envie de vomir, le goût salé, l'odeur... je voulais mourir,  Lydia m'a retourné sur dos, s'est assise sur mes seins tout meurtris, en me tenant par les cheveux, j'avais mal partout, je criais pardon, désolé, je ne savais quoi dire pour que ça finisse, les yeux en feu. La réponse a été " ouvre la bouche" j'ai obéi machinalement et j'ai reçu son urine, je me suis étranglée, la seule chose que j'ai entendu c'était "avale salope" ma grande soeur d'amour ce transformait en sadique. Elle s'est relevée et j'ai vu Julien le zizi en main m'arroser des pieds à la tête, un pieds sur mon cou Lydia m'obligeait à boire tout ce qui tombait, je la voyait masturber et sucer ce gland qui me paraissait immense, Julien n'a pas tenu bien longtemps, à genoux sur moi, il s'est vidé dans ma gorge. Détachée enfin, j'ai du laver le sol et tout nettoyer, pressée d'aller sous la douche, je n'ai pas vu les deux complices, quand je suis entrée, j'ai été enlacé câliné, caressé de partout, douchée, savonné.... "Un grand Bravo ma Choupette on est super fiers de toi et tu peux aussi, un vrai bizutage, n'oublies jamais qu'on adorent la Léa que tu es devenue, notre Amour sera éternel”  
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Par : le 23/05/24
J’ai envie de les voir Les yeux noirs Noirs de jais Je les imagine, les savoure à l’avance Le moment où je vais sentir ce regard qui devient plus profond Plus présent, plus intense Disparu le petit air amusé Envolé le sourire Cette lave liquide Ces deux lacs, puits sans fond Qui peuvent ordonner, me faire plier Me frustrer ….. et recommencer Ces deux lacs qui me regardent Sans rien me dire Juste me regarder Sur le grill Comme ils savent faire Laidy Sienne, tous droits réservés – Ne pas reproduire sans mon autorisation
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Par : le 19/05/24
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Vendredi soir ! Enfin le week-end et un week-end qui s'annonce spécial pour toi. Tu es à quatre pattes à l'entrée de notre pièce. Ton collier autour de ton cou. Laisse attachée. Lingerie noire. Mais cette fois, tu ne rentreras pas comme d'habiture. Tu ne rentreras pas seule pour venir me retrouver, comme la parfaite chienne soumise que tu es en train de devenir, chienne qui désire tout ce qui va lui arriver. Cette fois, je t'ai bandé les yeux et je tiens la laisse. Je te force à marcher derrière moi. Suffisamment vite pour que ça soit inconfortable pour toi. On s'arrête. Ne bouge plus ! Je t'enlève ta laisse. je t'ordonne d'avancer de 30 centimètres. Et je donne le signal en faisant résonner sur ton cul une immense claque. - Lève bien les mains et les genoux en avançant - C'est bon. Immobile ! J'enlève ton bandeau et tu t'aperçois que tu es à l'intérieur d'une belle cage en acier. Une cage plus longue que haute qui t'oblige à te tenir couchée ou assise, la seconde option étant beaucoup moins confortable. La cage vient avec beaucoup d'options que tu vas découvrir tout ce week-end. Première surprise, l'avant de la cage s'ouvre pour que tu puisses passer la tête et se referme pour la bloquer à n'importe quelle hauteur. Le haut de la cage s'entrouvre et je peux attraper par les cheveux, te faire avancer de force et coincer ta tête tout en bas de la cage, front collé au sol. Je place une barre en travers de la cage pour maintenir ton cul en hauteur, offert. La position est aussi humiliante qu'elle semble inconfortable. Tu ne peux rien voir. - ça va être un week-end particulier. Il n'y aura pas un nouveau jouet mais un chaque session si je veux. Et surtout, surtout, tu vas rester enfermé tout le week-end. Et tu devras supplier mais surtout payer pour tout ce dont tu pourrais avoir besoin. La nourriture, tu devras la payer. L'eau aussi bien sûr. Un esclave doit gagner tout ce dont elle a besoin. L'accès aux toilettes. Evidemment que ça sera très cher. À tout à l'heure. Je te laisse bien réfléchir à ce que tu vas devoir subir, penser à qui tu es. Mon esclave mais aussi un simple objet pour mon plaisir. Dont je peux disposer à ma guise. Je vais te laisser quelque temps mais avant laisse moi prendre quelques photos pour les poster sur internet. Je veux que tout le monde sache quelle salope tu es ! Et pendant que je te dis ça, je me rapproche par derrière toi et je vérifie ce que je sais déjà. Tu es complètement trempée. Le week-end s'annonce sous les meilleurs auspices.
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Par : le 16/05/24
Sur les ordres du Maitre, je m'agenouille en attendant qu'il prépare ce qu'il faut pour le fireplay. Quand il me le demande, je m'allonge sur le lit. Il attache mes mains de chaque côté du lit. Je ne peux plus rien faire. D'aucune façon je ne peux me détacher. Ainsi liée, je suis totalement vulnérable, à sa merci. Il dépose la mousse sur mon corps, puis l'enflamme  et recommence, sur mon ventre, ma poitrine, mes seins. J'adore sentir ce doux stress monter, cette chaleur froide, voir ces flammes s'élever depuis mon corps. Souvent il les éteint avec une serviette. Mais parfois il les laisse mourir d'elles-mêmes. Ces fois-là,  je ne peux m'empêcher de retenir mon souffle. Betement je ne peux m'empêcher de me dire, et si je prenais feu?! Après le fireplay, les couteaux.  Des lames neuves. Le premier a une lame bleue chromée.  Il est beau, tout arrondi. Le Maitre joue sur mon ventre, sur mes cuisses, de la pointe de la lame. Il fait glisser le tranchant autour de mon sein. J'ai peur, vraiment peur. Une peur excitante, je le regarde faire, envoûtée et paralysée. Je ne peux ni ne veux bouger. Juste le regarder prendre du plaisir à faire glisser cette lame sur mon corps. Le Maitre semble se lasser de la lame bleue, il sort alors le deuxième couteau.  Une lame rouge cette fois. Au premier contact de la lame sur ma peau, je sens qu'elle est beaucoup plus aiguisée,  plus pointue que la précédente.  Là encore le Maitre joue à la promener sur mon ventre, près de mes seins, mes cuisses. À certains endroits je me demande s'il ne me coupe pas. Mais je n'ose pas regarder. Je ne peux détourner mes yeux du Maitre. Le Maitre si appliqué,  attentif dans ses gestes, doux et coupant à la fois.  Quand il décrète avoir suffisamment joué avec ses couteaux  il les remplace par la bougie. Je me demande ce que va faire la cire chaude sur les traces de lame. Mais j'aime tellement la cire... Il part de très haut et descend la bougie de plus en plus, se rapprochant de mon corps, le liquide devenant de plus en plus chaud. Quand le Maitre considère que j'ai suffisamment de cire sur le corps, il recommence à enduire mon ventre de mousse. Et la danse des flammes reprend. Pour finir, le Maitre prend un troisième couteau et gratte méticuleusement toute la cire sur mon corps. J'aime sentir cette lame glisser sur ma peau, guidée par ses mains sûres d'elles. En récompense, le Maître m'offre une série d'orgasmes tous plus puissants les uns que les autres. Une envolée dans une autre temporalité,  un autre espace. Sa langue, ses doigts, sa main... Toujours attachée,  je ne peux pas m'empêcher de crier de plaisir. La jouissance est ininterrompue. J'en ai la tête qui tourne, j'implose, mon corps se disloque, mes os fondent, mes muscles se tétanisent, je respire comme je peux... Enfin il me détache,  je me jette sur lui pour le sucer. Retrouver mes esprits, sa queue dans ma bouche, avant qu'il me prenne et que nous jouissions ensemble.
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Par : le 15/05/24
Je pense avoir toujours été attiré sexuellement par le fait d'avoir le sexe glabre. Cela fait parti intégrante de ma sexualité depuis l'adolescence. Je ne me l'explique pas, c'est un trait de ma personnalité fétichiste. Déjà au collège, je m'amusais à couper les poils de mon sexe avec une paire de ciseaux. Je précise que c'était avant les débuts d'internet et le sexe épilé n'était absolument pas encore démocratisé par les films ou les magasines porno. J'avais terriblement envie de me raser le sexe mais je n’osais pas. J'avais peur que quelqu'un le remarque. Puis un jour, à la période du lycée, l'envie était trop grande et j'ai sauté le pas. Enfermé dans la salle de bain, le cœur battant, j'ai pris un rasoir et de la mousse et je me suis rasé intégralement. Le processus était hyper excitant. Petit à petit, les poils disparaissaient et mon sexe se dénudait. J'ai trouvé le résultat incroyable. Mon pubis était glabre pour la première fois depuis l'enfance. Mon sexe était nu et je le trouvais à la fois indécent et magnifique. Ce qui m'a le plus surpris, c'était la sensation de mes doigts parcourant mon pubis et mes parties intimes parfaitement glabres. C'était ultra doux et sensuel... Au lycée et dans les lieux publiques en général, étant de nature timide, j'oscillais entre honte et excitation avec mon sexe rasé. C'était des sensations assez contradictoires, sûrement les prémices d'une sensation bdsm...Si quelqu'un l'avait remarqué, j'aurais sûrement été la risée des camarades de classe... Surtout dans un lycée techno majoritairement masculin. Il n'y avait en réalité que peu de raison que ça se remarque. La peur n'était pas rationnelle. L'excitation était, elle, bien réelle. Il m'arrivait dans mes rêveries en classe de me mettre à durcir en sachant que sous mon pantalon, mon sexe était dépourvu de poils. La contrainte principale était que depuis tout petit, tous les étés, j'allais en vacances dans un village naturiste où je retrouvais, en plus, mes ami(e)s de vacances. Pas moyen de me retrouver le sexe lisse dans cette situation. Au printemps je laissais donc repousser mes poils et les vacances terminées, avec impatience, je prenais un malin plaisir à me raser à nouveau et redécouvrir les délices de mon intimité imberbe.   J'ai une pensée ému pour toutes les femmes qui ont partagé ma vie et qui m'ont accepté tel que j'étais, avec mon fétichisme prononcé pour les sexes glabres. Elles ont joué le jeu et m'ont toutes autorisées à leur raser le sexe. Quelque fois avec une légère crainte au début, elles y ont toutes pris goût, sûrement rassurée de savoir que leur vulve glabre m'excitait énormément, et que malgré les apparences, elles n'avaient rien d'une petite fille, avec leurs hanches, et leurs sexes développés. Le fétichisme de l'acomoclitiste n'est-il pas d'ailleurs l'excitation de la vision d'un sexe glabre là où justement il devrait y avoir des poils pour le cacher ? Elles ont aussi découvert les sensations décuplées et la sensibilité d'un sexe épilé. Pour ma part, il va sans dire que je mettais un poing d'honneur à les raser moi même avec application pour mon plus grand plaisir.     Celle qui partage ma vie aujourd'hui s'épile aussi. Elle y a pris goût et elle aime mon sexe ainsi dénudé. Je ne me lasse jamais d'apercevoir sa fente lisse quand elle s'habille et se déshabille. Elle est magnifique. Moi je suis passé du rasoir, à l'épilateur et la pince à épiler, c'est plus long mais tellement plus doux...   Aujourd'hui, l'épilation intime s'est démocratisée pour les femmes et un peu chez les hommes aussi. Cette pratique est rentré dans les mœurs et n'est plus assimilé à la pédophilie ou lorsque l'on criait au scandale quand une femme avait le sexe glabre pour mieux l'asservir et l'infantiliser dans ce monde patriarcal.   Je vais toujours en vacances dans ce même village naturiste. Contrairement à mon époque, les ados restent aujourd'hui habillés et semblent être plus complexés qu'avant. Beaucoup d'adultes ont le sexe épilé aujourd'hui. Je dirais même une majorité. J'ai mis du temps à assumer le fait que je m'épile le sexe. La première année où j'ai décidé de rester épilé au village naturiste où je retrouve toujours mes ami(e)s d'enfance, je me suis mis en condition de soumis à ma femme. Puisqu'elle me préfère ainsi, je reste ainsi. Cela m'a beaucoup aidé puisqu'en quelque sorte je n'avais pas à l'assumer, ce qui est assez lâche de ma part. Ça a eu l'avantage de me décentrer et de me rendre compte que ça n'a choqué personne. Aujourd'hui je l'assume enfin presque totalement mais ne le vante pas auprès de certains de mes amis ou collègues à qui je sais que ça pourrait encore choquer.   C'était mon premier article, je n'espère pas le dernier. Merci de m'avoir lu.
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Par : le 14/05/24
  Le rendez-vous   Pour financer ma nullification et me faire quelques sous, j’ai le droit de recevoir un peu de monde. Un gars a pris rendez-vous pour une pipe. Il sonne, je vais ouvrir, je suis en fauteuil roulant. Dans l’encadrure de la porte se tient une sorte de géant, presque deux mètres et bâtit comme un bucheron. Il me suit dans ma pièce. Je n’ai pas le temps de parler qu’il sort son membre, il est énorme et sent la transpiration. Je me retrouve avec ce membre dans ma bouche, lui debout devant moi assise dans mon fauteuil. Il me tient la tête et commence un mouvement de vas et viens. Il se retire, m’arrache du fauteuil, arrache mon leggins et me retourne comme une crêpe. Je lui dit : » met une capote » Il en sort une, se la met et sort aussi un petit pot, je pense que c’est de la crème, mais je réalise que c’est du baume du tigre. Il en met généreusement sur sa queue recouverte de la capote. M’en tartine la rondelle et d’un coup sec s’enfonce en moi. Je hurle d’abord de douleur par la taille et ensuite par le sentiment de brûlure. Il explose en moi et reste un moment collé . Il se retire, j’ai el cul en feu, la tête qui tourne. Il pose quelques billets et s’en va sans un mot.
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Par : le 12/05/24
Steve m'a invitée à une sortie en ville pour visiter un musée qui venait de se rouvrir : Le Manoir Médiéval. Comme je me soumets toujours à ses désirs, je me suis levée tôt car il voulait le voir dès le matin. Nous sommes arrivés en avance, mais le préposé était content d'avoir ses premiers clients et il nous laissa rentrer avant l'heure officielle. Le manoir médiéval vous plonge dans l'ambiance glauque du moyen-âge avec tous les accessoires de l'époque et, bien entendu, une salle de torture au beau milieu. Mine de rien, c'est ça que les visiteurs et surtout les visiteuses préfèrent venir contempler, en échangeant des propos réprobateurs quant à la barbarie des ancêtres, mais en éprouvant d'étranges sensations dans le secret de leurs parties intimes en imaginant les tortures qu'on y pratiquait. Tous les objets exposés sont soigneusement gardés hors de portée des mains trop curieuses sauf, sur un podium, un gros pilori (stocks comme on dit en anglais) avec sa planche à trois trous, un central pour la tête, deux plus petits pour les poignets, laissé en accès libre pour les inévitables photos faites par des amateurs rigolards. Steve me demanda évidemment de m'y installer pour un cliché souvenir. Il souleva la moitié supérieure de la planche, me laissa m'installer à genoux, tête et poignets placés dans les encoches prévues et rabattit la partie supérieure sur mon cou.  Le conservateur du musée avait bien fait les choses car les trois trous étaient gainés d'un cuir tout frais qui les rendait confortables mais qui diminuait leur diamètre jusqu'à enserrer tout juste tête et poignets. J'étais immobilisée comme une condamnée, prête pour la photo. Steve ouvrit son sac, selon moi pour prendre son iphone, mais au lieu de celui-ci, c'est un gros cadenas qu'il exhiba devant mes yeux avant de le faire claquer sinistrement, verrouillant les anneaux reliant les deux planches. Je commençai par rire mais rapidement, avec horreur, je constatai que j'étais réellement prisonnière, sans pouvoir me dégager, malgré mes contorsions de plus en plus furieuses. Je le menaçai d'appeler au secours, mais il sortit de son sac un des objets que je déteste le plus au monde : un bâillon à boule, car le salaud avait tout prémédité. Me pinçant fermement le nez, il m'obligea à ouvrir la bouche et y introduisit prestement l'objet, me condamnant à ne plus émettre que des grognements étouffés. Ce n'est pas tout. Après avoir solidement fixé le lanière du bâillon, il passa derrière moi et, soulevant mon top jusqu'aux épaules, il dégrafa mon soutien-gorge et en coupa les bretelles avec son couteau de poche pour l'enlever facilement. J'ai une poitrine opulente et ma position, à genoux, le corps horizontal, la tête à cinquante centimètres du sol, faisait pendre de façon indécente mes lourdes mamelles. Puis, Steve disparut dans la pièce voisine, me laissant seule et sans défense. Que faire, hurler mais impossible à cause du bâillon; soulever la barre supérieure, impossible à cause du cadenas; le supplier de me délivrer, il avait disparu. Toute moite de transpiration, je sentis mon coeur s'affoler, d'autant plus que des bruits commençaient à se faire entendre du côté de l'entrée. Tout à coup, la lumière d'un projecteur dirigé sur mon instrument de supplice s'alluma et les premiers touristes firent leur entrée : tout un autocar d'asiatiques, ravis du tableau vivant que je leur offrais ! Moi, paniquée et envahie par une honte indescriptible, je fermai les yeux et sentis une onde irrépressible me parcourir. Un orgasme foudroyant me dévasta face à des centaines d'yeux incrédules et fascinés. Puis je me mis à sangloter, le corps violemment secoué de spasmes irrépressibles.
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