La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 09/05/20
(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues) . Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.   04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ? En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :   Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".   - "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit. Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va. Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.   - "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre. Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services. Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.   - "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission. Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée". Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins. Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs. Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême. Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise. L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie. La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.   05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ? Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres. Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions. Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité. "Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir." Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite. Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes. Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité.. Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées. Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité. Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles. Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.   06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ? Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants. Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles. Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation. Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido. Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches. Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances. Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions. Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds. Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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Par : le 28/04/20
(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues) . Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ? Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ? Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine. "Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci. A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements.. Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités. Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.   01 - A qui s'adresse cet article ? Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir.. Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir). Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes. Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures. Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.   02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?   - La femme dite "Vanille". - La femme dite "Débauchée". - La femme dite "Masochiste". - La femme dite "En relation BDSM".   - La femme dite "Vanille". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple. Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer. Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples. Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées). Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert. Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).   - La femme dite "Débauchée". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale. A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes. Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder. Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires. Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple. Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.   - La femme dite "Masochiste". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale. Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir. Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments. Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles. Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.   - La femme dite "En relation BDSM". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix. Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable. Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions. Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples. Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.   03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ? Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue. Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps. En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues. Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations. Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes. (La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.) Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui. Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper. Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis. https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Par : le 17/04/20
(Réédition du 17/04/2020 -> 26/05/2024 - 1646 Vues) . Aussi bien synonyme de chaos dans une société s'évertuant à prôner des valeurs morales, que symbolisant un acte de libération de l'être et d'un retour à sa véritable nature, l'exhibition ne cesse de faire parler d'elle. Loin de décrier l'existence de multiples approches et ferveur à traiter cette thématique, l'exhibition physique comme virtuelle consentie, reste un élément et une pratique incontournable du BDSM. Et de par cet article, je vous propose d'en découvrir ses principaux tenants et aboutissants.   01 - Mais en fait, l'exhibition virtuelle, qu'est-ce que c'est ? L'exhibition n'est pas liée directement à un plaisir qu'il soit cérébral ou physique, mais une volonté par intérêt ou un bien être à devenir visible au yeux de tous, ou dans un contexte en particulier (Personne et/ou environnement). c'est pourquoi l'on peut s'exhiber sans même s'en rendre compte. Ceci dit, l'acte d'exhibition se fait principalement ressentir lorsque le sujet est mis sur le devant de la scène, dans une satisfaction de son égo, ou à contrario sa perdition. A une époque pas si éloignée que cela, un mollet apparent pouvait soulever les foules. La perception que l'on a de l'exhibition exacerbe nos pulsions, et c'est pour cela qu'il est difficile de pouvoir s'exprimer des plus objectivement sur le sujet. Elle reflète une connotation d'influence, de gêne face à ses rapports à sa propre libido.   02 - Pourquoi n'est ton jamais insensible à l'exhibition quelle qu'elle soit ? La perception de l’ostentatoire : Le tabou ; Les règles générées par un comportement de masse, et l'excitation de ne pas s'y plier. L'expérimentation ; La définition de son identité dans le regard de l'autre. L'affranchissement ; D'exister dans sa simplicité ou dans ses potentiels atouts.   03 - Quelles joies, comportements et émotions, je procure à m'exhiber ? La fascination, la provocation, l'accessibilité, l'excitation, l'ivresse, l'addiction, le plaisir, le confort, l’opulence, la vénération, l'imagination, l'aveuglement.. Savoir pourquoi l'on s'exhibe et s'y plier, est la réponse et le plaisir en soi : 1 - J’éprouve le désir d'être désiré(e), exploité(e) ou dirigé(e). 2 - J’éprouve le désir d'être visible, d'être reconnu(e) dans une pratique ou dans mon expérience. 3 - J’éprouve le désir d'exhiber pour un intérêt personnel et précis, de manipulation, pour en retirer des informations qui me soient utiles, ou simplement par égocentrisme. 4 - J’éprouve le désir d'expérimenter, me donner à l'inconnu dans la parfaite insouciance pour une sensation intense. 5 - J’éprouve le désir de montrer mon visage, de dévoiler mon identité, de me compléter dans mes pulsions. 6 - J’éprouve le désir de me donner corps et âme sans y réfléchir. Le plaisir et le bien être que l'on retire de séances d'exhibition sont propices à des excitations profondes, pour des jouissances stimulantes. Littéralement : "Une joie de l'impensable à s'exhiber il y a quelques minutes auparavant, et un corps qui réagit au quart de tour". C'est idéalement un regain de libido à se trouver désirable, convoité(e) par le regard de l'autre, et se rassurer à que tout fonctionne dans son corps et dans sa tête. Pour beaucoup, "l'autorisation de" et "la liberté de" ne suffisent pas à s'abandonner dans leurs pulsions. Adopter le dirigisme pour s'exhiber à la satisfaction de l'autre, c'est s'acquitter de sa responsabilité, de ses principes ou de sa vertu pour déverrouiller son obsession BDSM et son éveil sexuel hors norme.   04 - Qu'en est il de l'exhibition virtuelle dans le BDSM ? Elle se traduit par l'image (Photos et vidéos), par l'oral (Les conversations vocales étroitement liées au numérique ou au téléphonique), les textes (Articles, écrits et commentaires). Elle se caractérise dans un but d'aller à l'essentiel : - De visibilité (Désir de légitimité dans le "milieu" onirique du BDSM). - D'excitation (Voyeurisme, défouloir, évasion). - De bien être (Thérapie,comparatif, identitaire). - Dans un contexte commercial (Vouloir vendre ses charmes dans une prostitution virtuelle, ou indirectement pour rendre visible des produits ou services). - Et enfin dans des centres d'intérêt purement BDSM (Créer un auditoire nécessaire à une bonne pratique particulière). Loin des politiques de confidentialité, de protection, et de moral, il se révèle que se livrer à un autre en restant chez soi, procure excitation, plaisir et bien être. Alors pourquoi a t'elle une connotation "négative" même sur un site de BDSM ? Et bien il se trouve que celles ou ceux qui la pratiquent font fi de certaines convenances pour un plaisir et une libération totale de leurs corps et de leurs pulsions, et que ceux/celles qui sont imposés par leurs visions, perdent leur objectivité dans une morale ou dans un désir de protection mal placé. Le fait de s'exhiber génère assurément une joie et une répercussion dans le même temps, pour ceux/celles qui n'ont aucune connaissance de cette pratique : Le but étant de profiter d'un public pour se permettre de s'exciter dessus, et non par une docilité mal avisée. Il est légitime que tous le monde se sente concerné à la vue d'un cul bien exposé, et la morale est en ce cas nécessaire, sinon l'excitation de l'exhibition serait inexistante ou se rapprocherait plus de la pratique du naturisme.   05 - A quoi suis-je exposé(e) à m'exhiber ? Considérez que toutes données que vous diffusez sur le net peuvent être interceptées, sauvegardées, et utilisées. Encore faut il que celles-ci soient intéressantes, et se démarquent dans le flot continu d'images/textes à connotation sexuelle sur la toile... Ce qui n'est pas du tout aisé. Également, il est important à considérer que celles ou ceux vous informant et vous incitant à vous rediriger vers un plaisir autre que l'exhibition, ne sont pas pour autant légitime dans leurs intentions. En effet, la protection informatique est un marché commercial en soi, mais elle ne doit pas servir comme argument à réorienter votre libido, pour le compte d'autrui dans un élan "de générosité et d'altruisme" (Manipulation 1 vérité, pour deux mensonges). Le meilleur exemple étant la visibilité sur les propositions en commentaires de "Munchs"/"Soirées", qui ne sont pas adaptés à tous arrivant(e)s, et propice justement à un plus fort embrigadement. Réunions se voulant de bouches à oreilles comme "sympathoche", limite réunions "Tupperware". Mais cette information se transmettant allégrement parce que personne n'y voit d'objection, et que l'on pourrait y voir une expérience BDSM à citer ce genre d'événements... Alors qu'en fait, ceux qui dévoilent cette information n'y vont jamais ou au contraire ont tous intérêts à vous pousser dedans, voulant vous accaparer en bonne et due forme :b Les sites liés au BDSM sont les parfaits endroits à s'exprimer à cette pratique qu'est l'exhibition virtuelle, et il est indispensable à comprendre que tous jugements à votre encontre évoque une étroitesse d'esprit ou une peur liée à la maitrise consciente de cette pratique (Le fait de ne pouvoir s'exhiber soi même, provoquant un rejet du à la frustration ou la méconnaissance).   06 - L'exhibition virtuelle ; Synonyme de relations qu'à distance ? L'exhibition virtuelle peut être un apport de rapprochement, un outil au service d'une libido (Rituels, scénarios...) , mais n'est pas ancrée dans une durée. C'est un moyen de communication différent des relations physiques, elle sollicite d'autant plus le "langage non verbal" et la capacité à s'exprimer. On ne connaitra jamais aussi bien Son/Sa Dominant/Domina de par sa posture et ses actes face à l’accessibilité et la satisfaction de ses pulsions. L'exhibition virtuelle est d'ailleurs le moyen le plus efficace à savoir à qui l'on a à faire ; Un(e) Dominant/Domina se délectant simplement à vous diriger OU un/une homme/femme enfant avide à vous dire que vous aimez cela, parce qu'il/elle ne sait pas quoi dire d'autre quand son plaisir à "mater" survient.   07 - Quelles sont les pratiques courantes de l’exhibition virtuelle, d'un point de vue Domination, sur un site de BDSM ? Il est très difficile d'être et de se sentir original sur un site BDSM, c'est pour cela que la formule "pratiques courantes" est bien ancrée en ces lieux. A trop vouloir s'exposer, on se complet dans Une Soumission de visibilité (Donc Dominants/Dominas compris), ce qui trahit également votre niveau d'expérience en terme de BDSM. En voici quelques exemples : 1 - Si vous montrez votre cul ou votre torse (Un bout de chair dans vos photos/avatar) dès l'arrivée en ces lieux, c'est que votre joie est à plaire, pas à faire du BDSM. Car il n'y a aucun intérêt à vouloir se faire posséder/chasser par une femme ou un homme qui se donne déjà à tout le monde. Vous devenez le produit de consommation générique et jetable que vous méritez. 2 - Vous exposez votre Soumise/Soumis dans des postures de Soumission, ou dans leur actes infligés. Vous avez la joie de générer une excitation à un auditoire, pour que l'on voit en vous un individu expérimenté. Alors qu'au final, vous vous faite passer pour un(e) Dominant/Domina "Leader Price" puisque le jour véritable ou vous gagnerez en respectabilité et notoriété, est lorsque vous vous investirez à l'habiller en terme BDSM (Ce qui n'est pas du tout le même budget et investissement moral). 3 - Vous avez la joie d'avoir plus de 200 membres dans votre liste "d'ami(e)s", une performance qui vous donne des ailes à vous sentir exister et avoir du poids dans vos propos, votre profil étant de notoriété publique. Vous vous ramasserez du jour au lendemain d'avoir accumulé(e) simplement un cheptel, après avoir ouvert votre bouche malta-propos, dans un manque avéré d'exigence qui vous fait cruellement défaut. 4 - Vous avez la joie de vous mettre en avant en écrivant directement sur le profil des Soumis(e)s/Switchs de votre attrait envers elles/lui et pour leurs charmes. Vous polluez systématiquement les lieux dans des actes qui se révèlent vains, puisque si la/le dite Soumis(e)/Switch ne lave pas son mur de vos impuretés, ce n'est pas dans son objectif de se Soumettre. La Soumission exigeant du travail, une personne ne balayant pas devant sa porte ne sera pas en capacité de s'investir de quelques manières que ce soient. Révélant finalement votre manque de discernement et de compréhension face à la gente féminine/masculine dite "vanille". 5 - Vous aimez et avez la joie de mener votre nez partout, sur chaque commentaires, sur chaque photos, et adorez poster à votre tour. Pour rivaliser à dénicher les images les plus provocantes, bordées d'émotions, ou de phrasés valorisant une harmonie BDSM. Vous n’appréhendez jamais que les photos BDSM d'artistes photographes ou de récits grand public existent parce cela leurs offres de la visibilité et une légitimité dans leurs milieux, à sublimer des scéniques et des modèles. Alors qu'ils n'y comprennent strictement rien en terme de BDSM puisqu'ils/elles ont simplement autre chose à faire (S'y intéresser, ce n'est ni comprendre, ni pratiquer. Une belle image peut faire juste oublier le fait que l'on retranscrit un domaine que l'on ne connait pas). Reprendre ces images/récits, c'est faire perdurer un idéalisme baignée d'utopie, qui sert de marchandises ou de monnaies d'échanges dans d'autres domaines d'activités. Il n'y a pas d'avenir "harmonieux" dans le BDSM, il n'y a qu'un présent se révélant peut être cru, mais non porté par les illusions. La science amène plus à vivre une relation saine dite BDSM, et vous dira que vos jours sont comptés d'un point de vue plaisir physique, et plus court encore d'un point de vue cérébral, si vous ne travaillez pas vos méninges ! :b Il est bien clair que l'exhibition est liée à la sensation grisante ou déroutante de pouvoir posséder sans travailler pour. De ce fait, tous les articles romancés vous berçant d'espérance, les photos vous prenant aux tripes, les belles paroles idéalistes emplis du respect que vous ne méritez en rien, les échanges ou rencontres vous permettant d'exister dans un plaisir fugace, ne sont présentes que pour faire contraste avec votre oisiveté à vous rendre libre d'entreprendre, d'imaginer, de créer, d'évoluer, de transmettre.. Quand ceux/celles pratiquant le BDSM y voit une pratique concrète à s'exprimer dans leurs pulsions parce que c'est dans leurs natures, le "reste" y voit une occasion de s'évader de plus, loin de leurs vies qu'ils/elles jugent routinières.   En conclusion : L'exhibition virtuelle est un moyen de communication et d'éveil BDSM. A trop s'exhiber vous n'êtes rien, à ne jamais le faire vous êtes déconnecté(e). L'excitation intense à pouvoir être démasqué(e) dans ses pulsions ou dans ses intérêts propres à l'exercer, en donne toute sa valeur. Sa principale alliée est la frustration, sa principale contrainte son égo. Elle éprouve votre vulnérabilité et votre désir à vous dépasser. Et si je ne devais vous donner qu'un seul conseil avisé, cela serait celui-ci : Si vous vous exhibez, faites le bien ! Spéciale Dédicace : Pour Daphné.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/4291/%C2%AB%C3%AAtre%C2%BB-ou-%C2%ABavoir%C2%BB -> "être" ou avoir https://www.bdsm.fr/blog/2669/ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction. https://www.bdsm.fr/blog/4723/un-ma%C3%AEtre-des-soumises -> Un Maître, Des Soumises.  
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Par : le 13/04/20
morsure de ceinture ! Morsure de ceinture vaut douleur et moiteur Bientôt, je serai punie. Et pendant des heures. Jambes écartées. Et mains à plat sur le mur. Reins creusés. Cul relevé. Offerte en pâture. Fil-de-feriste, entre excitation, inquiétude Autour de nous, toujours le silence, la quiétude Brisée par nos souffles, mes gémissements et mes cris Ma respiration s’altère, ma raison aussi. Il me bascule sur le lit. Me dit « Cambre-toi ». J’obéis. « Et présente-moi donc ton petit cul » Je lui obéis. Encore. Comme à chaque fois. L’index sur mon anneau, sa queue bat contre mes fesses. Mes fesses, elles, battent sur son bas-ventre. Il m’ouvre. Il entre. « Est-ce-que tu me sens, là ? » me chuchote-t-il « Oui, Monsieur. » « Et qu’est-ce-que je fais ? » demande-t-il « Vous m’enculez, Monsieur » « Comment ? » il m’interrompt « Comme une chienne. », je réponds. Plus il m’appuie sur la tête, plus mon cul se donne Je gémis, supplie. Rien à faire : il me pilonne. Et ça dure jusqu’à ce : « Est-ce-que je peux jouir ? » Je demande..mal. La claque n’attend pas pour partir. « Répète.» « Est-ce-que je peux jouir, s’il-vous-plait, Monsieur ? » « Vas-y » : avec M, les leçons se prennent au pieu.
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 09/02/20
(Réédition du 09/02/2020 -> 31/03/2024 - 838 Vues) . Bref, Rien ne vaut un homme, pour exposer les penchants de La Masturbation Féminine. Si il y a bien une réalité lorsqu'une femme arrive sur un site BDSM, ce n'est pas tant le plaisir à regarder les photos ou lire des écrits BDSM, que de trouver un défouloir de l'esprit, à pouvoir être encore effrayée et stimulée par l'inconnu. De se questionner si l'on pourrait supporter maintes pratiques sexuelles et BDSM, en se mettant à la place d'une autre. Si la masturbation masculine est essentiellement portée sur la possession des femmes, il en est tout autre pour la masturbation féminine, portée sur l'utilisation et l'exploitation de leurs corps face à la pluralité. Le plus excitant dans le plaisir d'une femme, est de se représenter comme la catin que personne n'effleure du doigt (ou du poing :b), et de se sentir capable de l'avouer et de le dévoiler à son prétendant.. Tandis que pour l'homme, c'est dans sa puissance de mâle à prendre ouvertement le corps de la femme. Un plaisir venant simplement de sa propre valeur ajoutée, et de par toute son énergie innée primitive, à vouloir porter la femme vers la jouissance. En somme, une attirance, une excitation et un plaisir venant des projections sur que l'on peut faire de l'autre, ou ce que l'on peut faire de soi. L'accumulation du désir sexuel de la femme vient dans sa frustration et de son manque à dévoiler qui elle est véritablement, voulant faire fi de sa notion de sociabilité et de jugement en rapport aux autres. De plus, elles sont accompagnés dans toutes les étapes de leurs vies, par des hommes enfants et des chevaliers servants, bercés par leurs ignorances et leurs désirs utopique, que les femmes ont comme centres d'intérêt des êtres profondément protecteurs et rassurants à leurs yeux. Mais aussi, par des hommes entreprenants contant leurs récits épiques et héroïques, ayant pour vocation unique de les éblouir d'une fugace convoitise. Entre Coqs et Chapons, la femme n'a d'inspiration que dans le pouvoir de l'homme à s'exprimer librement et sans complexe, Ce que bien entendu la femme n'est pas par nature ! :b La femme n'aura de cesse de se torturer à ce qu'y est, ou aurait pu être la passion primitive de celle ou celui qui l'aura provoquée, rejetée, ignorée ou possédée ardemment. Remettant en cause sa "normalité", son expérience, son physique...dans une danse endiablée de l'esprit, et finir par se branler copieusement de sa fébrilité à vouloir succomber, s'abandonner ou se donner, par unique rédemption de ne pas savoir ce qu'elle veut ! Pour faire court, et si vous deviez vous arrêter qu'à une seule vérité ; La femme est une boisson gazeuse qui s'ignore. Jusqu'à tant qu'un mâle l'a secoue. Je ne peux que recommander le film "6 jours, 7 nuits" ( https://www.youtube.com/watch?v=uvBETmcVhjs ) représentant bien l'aspect routinier, tribal et fusionnel des relations hommes / femmes dans leurs approches respectives l'un envers l'autre. La complaisance des "touristes" qui se pignolent dans leurs feeling et leurs éloquences, et qui repartent littéralement la queue entre les jambes :b Dans la vie comme sur ce site, il y aura toujours un ratio de "pilotes" et de "touristes", ne vivant qu'à s'envoyer en l'air. Et quand certains y voient du haut de leurs "coucous", des opportunités d'acrobaties pour le plaisir, d'autres y voient un simple "charter" à se rediriger vers leurs désirs et espérances perdues. Pour le reste, c'est autre chose.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 02/11/19
(Réédition du 02/11/2019 -> 31/03/2024 - 1394 Vues) . Avoir Des Soumises, c'est avoir Des Femmes qui se portent l'une l'autre, et non qui se supportent. Ce n'est pas tant l'importance de leurs désirs à s'aimer, mais à se fondre dans leurs vulnérabilités durement acquise. La vision d'une sensualité qui ondule, apte à vous bercer et rendre l'horizon plus clair et serein. Des sirènes le vent en poupe, vous dans leur sillage, seul Maître à bord et à la barre. Avec comme profond plaisir, l'ivresse de dompter des nymphes, furies des mères et des "o", avec comme seule frustration, de ne pouvoir nager en leur compagnie, car ce bien-être leurs sont réservées. Une célébration de la vie, où l'homme pour une fois, en est le vaisseau et l'instigateur.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 23/09/19
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues) . Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes. Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! : -> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido.. -> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter. -> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens. Et tout s'avère possible ! Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue : 01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité. Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être. Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ? Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239 02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres. Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM. 03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ? Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre. Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience. Bon séjour sur le site !   *Trait d'humour caché dans le titre de cet article. Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.  
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Par : le 29/04/19
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues) . Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".   Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.   Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante. Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.   A quoi reconnait-on une "Brat" ? -----------------------------------------   Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues... Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation. Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.   Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement. Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.   Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé. La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer. Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence. Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu. Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience. Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.     Par quoi une "Brat" est elle attirée ? -------------------------------------------   Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci. Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger. Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.   La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :   - Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face. - Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne. - L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.     Que fait fuir une "Brat" ? -------------------------------   Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite, comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant. Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.     L'excitation compulsive d'une "Brat" ---------------------------------------------   Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée. Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.   Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ? Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.   Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.   La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.     En conclusion ? --------------------   Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.   Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004) marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille. L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.   https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I   (Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")     A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat". Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.   Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.   Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles. Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...   Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice. Cette liberté qui n'aura jamais de destination.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 26/12/18
un petit lexique des surprenantes rencontres virtuelles faites ici ou là ! cela fait deux ans que je me suis lancée dans cette drôle de recherche, de vivre une relation bdsm suivie avec un partenaire bienveillant, conscient de ses droits et de ses devoirs et pour lequel je serai prête à me livrer corps et âme . j'ai rencontré pas mal de personnes, virtuellement et réellement . beaucoup de ces échanges furent enrichissants, mais beaucoup d'autres furent juste con-sternants ! heureusement, il existe des gens biens, des doms aussi ;-) mais de ces échanges avec ces autres, je voulais en parler, histoire de repartir dans cette recherche la tête un peu plus légère. cet écrit est juste le fruit de mon expérience, elle ne vaut que pour moi, elle est aussi liée à ma sensibilité et ma recherche. par avance je m'excuse si j'offusque quiconque ici dominant ou soumise. si d'autres souhaitent compléter cet écrit, ma foi, j'en serai ravie - le graveleux en général, ce spécimen commence l'échange par un verbiage du genre "droit au but" exemple : tu suces, tu avales, tu aimes te faire enculer .... (désolée, j'ai corrigé les fotes d'aurtografes !) réaction épidermique (voir épidémique !) en ce qui me concerne, je leur renvoie leurs questions en ajoutant que j'adore fister le cul de mon dom avant une bonne séance, histoire de se mettre en condition résultat : ils s'en vont, YES !!!!! - les sûrs (quoique "sur") d'eux (deux) au commencement : je suis maître bidule, je pratique depuis 15 ans, je recherche ma prochaine soumise , elle doit être un mouton de Panurge et en plus fermer sa gueule, merci (ah non, le merci, y peuvent pas le dire, ils sont trop haut perchés pour s'abaisser à de telles banalités d'usage réaction : je suis désolée ô grand maître tout puissant, mais je ne pratique pas tel truc (pourtant, j'en pratique pas mal, mais bon !) s'ensuit le "je suis un maitre, je sais ce qui est bon pour toi et je sais ce que je veux, dans la relation , blablabla, c'est moi qui décide et toi tu ouvres juste la bouche pour me sucer ! re réaction : ah ben non, je ne souhaite pas être une esclave et suis très attachée à mon libre arbitre et à ma liberté d'expression, en plus j'ai un léger côté brat, donc ton truc, j'en veux pas ! résultat : il s'en va , en m'expliquant que je loupe l'affaire du siècle et que je n'ai rien compris au bdsm ( ben voyons ) - les protocolaires, variante des sûrs d'eux un préambule plutôt courtois, voire un chouïa rigide, mais agréable de prime abord ils expliquent assez rapidement qu'il faut faire ceci ou cela, comme ceci et comme cela, que le vous est obligatoire, que le sérieux est de rigueur, qu'aucun manquement à la règle ne sera toléré, blablabla .... moi de lui répondre en toute honnêteté que je suis plutôt de nature joyeuse spontanée et passionnée , que j'ai du mal avec le protocole et que je risque de ne pas m'y plier et d'enfreindre trop souvent les règles, ne sont elles pas progressives et adaptables ? ah mais non mademoiselle, le protocole ne souffre aucun aménagement, c'est la toute puissance du sacro saint protocole et rien d'autre résultat : c'est moi qui m'en vais ! merci au plaisir ! - les justes trop flingués dans leur life là tout se passe bien, en général, un échange agréable, un premier rendez vous basique avec un être intelligent (nom d'une pipe, ça fait du bien) où l'on parle de tout et du bdsm réponse j'en viens à accepter le premier vrai rendez vous et découvre alors que la situation est en effet très compliquée, un ex souminatrice encore très présente , un déprimé profond, voir viscérale, attachant mais too much pour moi (même si j'ai un côté soeur thérésa, si si au fond à droite ! ), un dark gothique ultra, archi torturé et torturant .... résultat : ça se finit en queue de poisson parce que trop compliqué ! - les affamés ils arrivent tout fraîchement inscrits sur le site et lancent quinze demandes d'amis , ils sont chaud bouillants, là tout de suite, maintenant puis disparaissent comme ils sont venus ! chouette, vous dites vous, eh ben, non, rien n'y fera de ceux là, on ne s'en défait pas, par la porte ou par la fenêtre, ils reviennent ! tout y passe, les grandes déclarations, les promesses, les propositions financières ... cycliques ils repassent vous harceler régulièrement, ça les prend comme ça, ils ne vous lâchent pas ma réponse : refusant de tchatter, je garde les mails , au moins, ça me permet de retrouver le fil des conversations (merci le site pour ça , c'est trop bien pour se rafraichir la mémoire !) et de renvoyer à mon correspondant sa chaleur précédente - les hommes mariés pour ceux là, j'ai une tendresse particulière comprenons nous bien, qu'ils soient mariés, je m'en fous, ça n'est pas moi que ça regarde, c'est eux, mais qu'ils le dissimulent m'agace. ils vous racontent assez facilement que le bdsm est un relation basée sur la confiance, qu'il est bon de se livrer à minima à l'autre, blablabla .... et comme je suis un peu psychorigide du côté de l'honnêteté, ça m'agace. résultat : ne pouvant me libérer que les weekends c'est assez vite vu, ça ne cadre pas bien avec leur vie maritale merci de m'avoir lue jusqu'au bout et toujours aux plaisirs kty
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Par : le 15/10/18
(Réédition du 15/10/2018 -> 24/03/2024 - 448 Vues) . Les preuves d’amour éclairent nos vies. Cette lumière nous invite à explorer, Ou nous pousse à l’envie de nous libérer. Nos pulsions désirent la transmettre, ou nous poussent à vouloir en devenir l’unique détenteur. Elle nous met au centre de tout, Mais nous enveloppe d’obscurité. Se dévoile alors une réalité ; Que nous ne pouvons plus nous passer de l’autre pour la contempler, et pour nous atteindre.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 02/10/18
Pour éclaircir un peu… Thutale rime avec monacal (et donc avec vestale) dans le qui m'a inspiré mon pseudo (la magistrale trilogie de Pierre Bordage : ). Oniki est membre du Thûta, un ordre féminin voué à la sauvegarde du fragile équilibre écologique d’une planète (Ephren) jadis recouverte par les eaux. Les mers, après avoir engendré une profusion de corail, ont baissé, laissant la dentelle minérale à découvert. Elle forme à présent une voûte de plusieurs centaines de mètres d’épaisseur au-dessus de la surface habitée, qu’elle écrase de son gigantisme. Le vent mugissant ne cesse de jouer dans les creux et les failles de la structure, de ce fait rebaptisée les orgues de corail et dont s’échappe continuellement une étrange et languissante mélopée. Ce monde mourrait vite sans les thutales, qui inlassablement nettoient les orgues de leur lichen pour permettre aux rayons du (des) soleil d’emprunter ces puits de lumière et d’éclairer et réchauffer leurs complanétaires. D’une grande force physique, agilité et sang-froid, elles se hissent à la force des doigts et des bras jusqu’au bouclier de corail supérieur, que, selon les lois de leur planète, il est interdit de fouler. Pour plus de commodité, et grisées par le vent, les hauteurs et l’étrange murmure des orgues, elles abandonnent dans les soubassements coralliens, une fois hors de vue, leur sobre tunique de laine blanche, et s’élèvent dans les rochers, portant leur nudité en étendard de leur liberté. Voilà pour le décor. J'espère ne pas trahir Pierre Bordage en disant qu'il y a une dimension symbolique (omniprésente ?) dans son œuvre. Voici donc une interprétation du passage présenté ci-dessus. La trilogie des , comme le titre peut le laisser deviner, a une dimension spirituelle importante. Oniki, sur Ephren, se dépouille de ses voiles au fil de son ascension vers la lumière pure des étoiles jumelles de son monde, lumière entravée par le gigantisme du corail (structure lourde et rigide, archaïque mémoire de la planète) et toujours menacée d'être définitivement occultée par le lichen des orgues, véritable chiendent, robuste et à croissance rapide. Dans le massif corallien, se faufilent, onduleux, des serpents géants, reptiles au regard captivant, puissants et dangereux : reflets de la force brute des instincts non maîtrisés (ici sexuels, vous voyez que je ne suis pas complétement à côté). Il va de soi que cette gigantesque et pourtant fragile structure minérale doit être purifiée, éclairée, et non détruite. Oniki est répudiée de son ordre pour avoir rompu son vœu de chasteté. Or c'est justement l'esprit lumineux d'un guerrier accompli qui s'est uni à la matière vierge de son corps... Exilée par ses pairs sur une île sans lumière, l'infatigable ouvrière de la clarté poursuit seule, pour les autres réprouvés (des fous pour la plupart), son œuvre de thutale, et dégageant une galerie majeure encombrée d'un lichen millénaire, permet enfin à la lumière d'atteindre ce lieu de souffrance. Bravant un ultime interdit, elle se hisse sur le bouclier de corail, en pleine lumière, et ce sont les serpents qui deviennent les témoins attentifs de la naissance de l'enfant qui a pris forme en elle au fil de ses épreuves. Pour conclure et pour être définitivement claire au risque de lever le mystère : Oniki, c'est la force sexuelle sublimée qui s'élève... Le serpent qui se redresse... Le bas qui rejoint enfin le haut... La levée de tous les anathèmes. Oniki, Thutale (oui, j'en parlerai un jour à un psychiatre )
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Par : le 27/09/18
(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues) . Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique. Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même. Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme. Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut. Etre Dominant ; Toujours plus vite. Etre Maître ; Toujours plus haut.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 21/08/18
Aimer la femme au point de fantasmer à être contraint de vivre une transformation humiliante . Phase première , se mettre à poils ,et chausser des chaussures de femmes ,se munir de cette accessoire féminin ,à lui seule ,le plus fantastique ,le SG, sentir les bretelles sur ses épaules ,1ère excitation. enfiler robe ,mi jupe ,chemisier, enfin bref,parfaire sa tenue et sentir le bout rose de son organe intime frotter sous le tissu . Ensuite place au fantasme à l'imagination de l'acte suprème : "Prendre une chaise ,en s'asseyant à l'envers dessus ,donc,face au dossier, relever le devant de la robe pour dégager le pénis et à l'aide d'une ficelle nouée derrière le bourrelet du gland ,serrer très fort en tendant le lombric au maximum par devant en nouant la ficelle au bois du bas de dossier de chaise .le gland gros et raide ,dépasse bien de l'autre côté et la tension extrème fait souffrir ;c'est très bon!!! Prendre une paire d'escarpins à talons aiguille et ficeler un, de chaque aux extrémités du dossier et scotcher 1 punaise à l'envers sur les reposes talons ,car escarpins à brides , En l'occurence ; avec robe à manches courtes ,retrousser les brassières sur les épaules ,cela est déjà excitant,car fait penser à une sorte de viol ,enfin je n'aime pas ce mot ,forced,humiliation,; tout cela pour dégager le SG ,qui devra être à son tour retroussé ,mais par le bas ,pour dégager les tétons ,ce qui les fait gonfler vers l'avant . Régler la hauteur de la punaise en face le centre des tétons . les bras comme attachés derrière le dos et les jambes en arrière avec les pieds dressés sur le bout des sandales . Pencher le torse en avant ,et griffer les tétons sur les punaises ,c'est vraiment excitant !!!! le fantasme ressenti ,est d'être humilié ,forcé à devenir une femme en détruisant les parties intimes du mâle ; (du porc) . Transformer un brave porc en génisse ,c'est lui faire éprouver le plaisir à détruire ses parties érotiques et génitales afin de devenir femme .(excusez j'emploie des termes choc (porc) et autres pour le ressenti uniquement) . options fantasme à la scène décrite : enfoncer une tige de fer dans l'urètre du lombric en situation d'arrachement ,et planter carrément la pointe de la punaise dans les tétons ,afin de crever l'alvéole canalaire ,en faisant peser tout le poids de son torse sur les repose talons .La déchirure de l'alvéole va enfin faire juter ce gland dure . Option 2 : se prendre un collier de femme autour du coup et une autre paire d'escarpins pointus et s'enfoncer les deux bouts pointus bien au fond de la gorge ,le soumis bave ,c'est sublime !! une alliance dans le nombril et une gourmette nouée autour des couilles . Viens ensuite ce que j'appelle l'étalonnage des tétons d'homme soumis au sacrifice ; choisir une paire d'escarpins à talon et les rentrer dans le ST ,en tournant la pointe des talons sur les tétons et s'allonger au sol ,en faisant peser le poids de tout son corps . l'Ecrasement des tétons par l'accéssoir fétiche est un régal d'humiliation pour enfin exprimer son désir mammaire ,avoir des vraies mamelles au lieu de ces ridicules petits boutons
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Par : le 07/08/18
Lyon. Restaurant Les Comédiens rue E. Herriot. Juin 1994. Je me souviens de tous les détails de cette scène. Les personnes présentes, l'endroit exact où se situe notre table, la température plutôt chaude pour la saison, ce qu'elle porte, la façon dont elle entre dans ce restaurant où je dîne avec des amis, ce que je ressens en la voyant pour la toute première fois. Ce que je me dis aussi : "c'est exactement elle, je veux cette fille". Lise. Grande. Mince et bien faite. Etudiante en Droit. Une grande robe bleue, un grand chapeau de paille élégant. Des yeux bleus hypnotisants. Une semaine plus tard, je la croise de nouveau dans une fête sur les pentes de la Croix-Rousse. Guitare. Elle chante. Bien. Clapton et "Tears in heaven" qui achève de m'ensorceler. Je la raccompagne, tard. Premier baiser sur les quais du Rhône, elle traversant vers la Guillotière, moi rejoignant St-Georges. Je la voulais et je l'embrasse dans la chaleur de la nuit. Tout est allé vite. Nos amis communs sont passés par là, sans aucun doute. Je n'ai pas cherché à cacher mon trouble, mon état d'hébétude totale disons la vérité. Un sourire béat sur mon visage. Subjugué. Elle souffre à l'époque d'alopécie nerveuse. Aussi porte t-elle toujours un chapeau, une casquette ou un bandana noué sur son crâne. Crâne que je la persuade rapidement de raser totalement. Elle assume parfaitement cette tête lisse en public, d'un érotisme qui aujourd'hui encore, à mes yeux, ne se dément pas. C'est l'été. Une bande d'amis, pas grand chose à faire si ce n'est profiter de la vie. Pique-niques, virées en 2CV, "Allons à la campagne" de Kent hurlé à pleins poumons. Des rires, des discussions, des soirées arrosées. Période magique. Nous sommes restés ensemble quelques semaines Lise et moi, mais notre relation n'est jamais devenue sérieuse. Pas de sexe pour cette première période. Première, oui, car il y en aura d'autres. Une présentation à ses frères, quelques jours chez ses parents en Savoie, puis la séparation car elle ne ressentait pas ce qu'elle avait espéré. Fin du premier épisode. Je me souviens en détails de mon retour en stop et des heures passées au péage de Chambéry, à attendre une bonne âme. Poursuite de mes études, direction Paris. 2 ans se passent. Retour à Lyon pour travailler quelques mois dans un hebdo local. Et nouveau contact avec Lise. Nous nous remettons ensemble. Elle est plus mûre me dit-elle, regrette d'avoir rompu. Pas de sexe, enfin pas vraiment. Elle aime que je la masturbe avec la paume de ma main bien à plat sur son mont de Vénus, elle allongée  sur le dos, cuisses ouvertes, ou bien sur le ventre, fesses relevées, ma main glissée sous son ventre, entre ses cuisses. Elle ne me suce pas mais me caresse. J'attends  plus bien sûr. Mais je ne sais sans doute pas l'y amener. Départ au service militaire.  Deux ans dont un en opération extérieure. Nous nous retrouvons à chaque permission. Toujours pas de pénétration. Puis vient la nouvelle rupture. Plus dure pour moi cette fois. Je suis amoureux, du moins je crois l'être. Elle, elle est désolée mais elle ne peut pas, n'est pas assez amoureuse. Bref.... je l'oublie, enfin non, je ne l'oublie pas mais je vis ma vie. Rencontre, mariage, enfants, carrière. Presque 20 ans s'écoulent avant que je ne la recroise. Je n'ai pas passé toutes ces années en l'ignorant. J'ai suivi sa vie, du moins ce qu'elle en a laissé voir sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Je m'interroge encore. Nostalgie sans doute. Ou autre chose. Elle a trouvé l'amour me semble-t-il, est devenue maman. Je ne sais rien d'autre. Il aura suffi d'une terrasse de café. Elle lisant Barjavel. Moi prenant une bière avec un ami. Elle est redevenue brune, une magnifique chevelure. Presque dommage, j'aimais son crâne lisse. Regards échangés... Est-ce elle ??? J'en suis sûr. Oui, c'est elle. Aussi belle, plus "femme" avec les années. Magnétique, toujours. L'ami prend congé et Lise se lève. "Bonjour Victor... cela fait longtemps." "Bonjour Lise.... oui, 19 ans exactement. Tu es... radieuse je dois dire. Que deviens-tu ? Je t'en prie, assieds toi." Elle me raconte ces années. Son mariage, son divorce, la garde de sa fille puis le choix de cette dernière de vivre avec son père. Je lui raconte mes années. Mariage, paternité, lassitude mais pas de divorce. Elle habite juste à côté, m'invite à poursuivre la conversation chez elle. Son charme opérant toujours sur moi, plus que jamais devrais-je dire, je la suis, trop content de respirer son parfum, admirer ses courbes et entendre sa voix. "Tu sais" me dit elle une fois la porte de son charmant appartement refermée "J'ai bien changée. La Lise un peu prude que tu as connue, elle n'existe plus... j'aimerais, disons, me faire pardonner de t'avoir largué, deux fois..." Je reste sans voix, me demandant si je suis en train de bien comprendre ce qu'elle me dit, si elle me propose bien ce que je crois... "Ca m'a fait mal tu sais, à l'époque. Surtout la deuxième rupture, j'étais amoureux, moi. Dis-moi, comment pourrais-tu te faire pardonner ? Et bien... peut-être comme ceci..." Lise s'approche et me prend la main. "Viens..." Elle me conduit dans une petite pièce. Son boudoir me dit-elle. Un grand miroir, allant du sol au plafond. Ambiance feutrée, tentures, fauteuil et méridienne, légère pénombre. Je m'attends à un baiser, pour commencer. Mais elle s'agenouille, ses yeux dans les miens. Pas un mot. Je suis subjugué, anesthésié par la surprise. Elle me libère, déjà dur et tendu. Petits baisers, coups de langues sur mon gland, le long de ma hampe. Ses doigts qui m'enserrent, sa langue sur mes testicules. Une fellation divine. Elle m'avale presque entièrement, joue de ses lèvres qui m'effleurent, m'embouche à nouveau. Jusqu'au bord de l'explosion. Puis elle se redresse, me tenant toujours entre ses doigts. Elle relève sa jupe, ne porte rien dessous. Une main en appui sur le dossier de la méridienne, reins cambrés, cuisses qui s'écartent... son regard toujours vissé au mien : "Viens... baise-moi". Je ne me fais pas prier davantage. Aucun homme n'y résisterait, surtout pas moi. Lentement d'abord. Savourer cette possession, mains sur sa taille toujours aussi fine. Je m'enfonce en elle. Elle est trempée, me désire. Je la prends jusqu'à la garde, me retirant lentement pour mieux m'enfoncer, de plus en plus brutalement. Elle apprécie, me le dit. "Encore.... baise moi bien, baise moi bien fort... vas-y... je suis ta salope.... ". Je ne la reconnais effectivement plus, mais pour l'heure, pour l'instant je devrais dire, j'en profite pleinement. Les questions viendront plus tard, après la jouissance. Ses mains ouvrent ses reins, me les offrent. Elle tourne la tête, me regarde et..." Encule moi,... j'aime être enculée comme une chienne. Vas-y, enfonce ta queue, baise moi le cul..." Il est des jours où vous vous pensez béni des dieux, enfin de celui de la luxure pour ma part. Je la sodomise, lui claque les fesses, la défonce aussi fort que possible en regardant ce tableau sexuel dans le grand miroir... Tableau d'une beauté sauvage, animale. Elle répète qu'elle est ma pute, ma salope, qu'elle veut que je la remplisse, que je lui donne mon foutre... Ce que je ne tarde pas à faire, en hurlant mon plaisir alors qu'elle atteint elle aussi le nirvana des sens. Nous sommes trempés de sueur, souffle court. Nous restons ainsi de longues minutes avant que je ne me retire. Je l'ai baisée sans capote. Folie pure, je le sais. Mais une autre folie, plus puissante encore que le risque, s'est emparée de moi. Et puis.... il s'agit de Lise... MA Lise... et j'avais un compte à régler avec notre passé. Elle s'agenouille à nouveau et me nettoie, longuement. Elle ne semble pas rebuter par cette queue qui vient de sortir de ses reins. "J'espère que tu as aimé" me dit-elle..... "C'était..... inouï, et inoubliable. Je te remercie, sincèrement. Il y a longtemps que je n'avais pas joui aussi fort." "De rien, nous n'oublierons pas non plus, rassures toi. Tu m'a bien baisée et j'ai joui très fort moi aussi." Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et m'embrasse à pleine bouche...."A très vite, à très très vite" me murmure t-elle en me glissant un petit bristol avec son numéro dans la main. Retour à la rue, nuage sur lequel je flotte, jambes coupées par le plaisir, interrogations multiples. Incompréhension totale. Retour en arrière et rediffusion du film. "Nous n'oublierons pas non plus....". Nous ? Mais c'est quoi ça ? Une erreur ou bien ??? Réflexion à vitesse supersonique. Evacuation des hypothèses fumeuses. N'en reste qu'une seule, qui douche instantanément mon euphorie : le miroir. Chapitre Deux Des heures à me morfondre et à me perdre en conjectures. Je passe une mauvaise nuit. Puis vient le matin, et enfin seul, de retour au bureau. Hésitations, encore, puis j'ose. Sonneries, elle décroche, fébrile est un mot faible pour décrire mon état. J'ai décidé de ne pas la laisser parler. Il faut que je sache. "Bonjour Lise. Je vais être direct. Hier tu as dit, nous n'oublierons pas non plus. Pourquoi ce nous ? Ta langue a fourché ou.... " "Quand peux tu être libre aujourd'hui ?" Sa question me désarçonne. Je m'attendais à une réponse, pas une question sans rapport... "Euh... 12h30 ?" "Alors à tout à l'heure. Tu connais l'adresse, la porte sera ouverte. Tu auras ta réponse. Je te conseille de ne pas être en retard". Nouvelles heures à me torturer l'esprit. Fébrilité accrue. Je ne tiens plus en place. Je décide d'y aller en avance, à pieds, pour essayer de me vider l'esprit. Mais les questions m'assaillent de plus belle après cette courte conversation. Pourquoi son conseil ? Si elle ne m'a pas répondu, c'est que le "nous" n'était pas une erreur de sa part. J'imagine le pire sur ce nous. Chantage, extorsion, enfer et explosion de ma vie. Après tout, que sais-je de la sienne sauf ce qu'elle a bien voulu m'en dire ou ce que j'ai trouvé sur le net ? Encore une fois, j'ai laissé ma queue me diriger, j'ai été faible.... Je me console en me disant que cette séance de cul était sublime. Mais c'est maigre face aux conséquences que j'imagine. Reste qu'il est trop tard et que je ne peux reculer le temps. 12h29, je monte les deux étages. 12h30, je pousse la porte effectivement entrouverte. Des voix, le boudoir. Je m'y dirige et reste figé sur le seuil. Statufié par ce que je vois. Incapable de bouger, de réfléchir, de parler. Lise, à genoux. Le crâne à nouveau lisse. Collier de cuir à son cou, bas et gants de latex noir, mains dans le dos. Une autre personne. Féminine. Grande, belle me semble t-il. Bustier noir sur sa peau caramel, jupe longue, noire également, talons aiguilles. Etrange créature envoûtante et effrayante qui se tient dans une relative pénombre. Entre les deux, la source des voix. Un écran et un film. Notre film, celui d'hier, vu de l'autre côté du miroir. Du porno trash dont les deux acteurs sont parfaitement reconnaissables. Je suis fasciné, hypnotisé par ce que je vois. Et la créature ne me laisse pas le temps de sortir de ma torpeur. "Avant que tu ne réagisses, mal sans doute, sache que tu visionnes une copie. La version originale est en lieu sûr, sur le cloud. Alors ravale ta dignité, ton éventuelle colère, et écoute. Ecoute moi bien : tout d'abord, si Lise a agi de la sorte, c'est sur mon ordre. Oh bien sûr, c'est elle qui a proposé ta candidature, mais c'est moi qui ai fait ce choix. Ensuite, elle n'a fait que m'obéir. Tu as bien entendu: m'obéir. Je suis sa Maîtresse. Maîtresse Inès, comme toi aussi tu vas m'appeler à partir de maintenant. Je crois que tu es un homme intelligent, tu imagines aisément ce qu'il adviendra de ce film. Sûr qu'il sera très apprécié de ta femme, de ta famille, de tes collègues. Et je ne doute pas de son succès sur le net. Je te laisse 5 minutes pour y réfléchir, mais je ne veux pas entendre le son de ta voix. Pas un mot et aucun geste déplacé. Tu n'es pas en position de négocier". Elle a débité sa tirade d'une voix calme, mais froide et déterminée. Nul doute qu'elle ne bluffe pas. Je suis anéanti et mon cerveau tourne à vide. Aucun choix. Sauf celui d'obéir à cette femme, cette Maîtresse. Lise garde le regard baissé. J'aimerais tant pouvoir croiser le sien, y lire quelque chose... mais non. "Bien, je pense que tu as réfléchi. Maintenant, à poil. A POIL TOUT DE SUITE !!!" Elle ne souffrirait aucune contestation, alors j'obéis. "Mains sur la tête, tu ne bouges pas. Lise, explique lui maintenant". "Je suis la soumise de Maîtresse Inès depuis 2 ans. Je ne t'ai jamais oublié, quoi que tu en penses. Depuis toutes ces années. J'ai suivi ta carrière, et un peu de ta vie. Je t'ai même suivi, parfois, dans la rue. Une obsession secrète. Tu dois te demander pourquoi, pourquoi j'ai fait ça alors que je t'ai largué, par deux fois. Moi même j'ai du mal à répondre à ça.  Quand Maîtresse m'a ordonné de lui trouver un soumis pour avoir un couple à son service, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai repensé à toi immédiatement et j'ai soumis ta candidature à Maîtresse. Ensuite, nous avons mis au point ce piège. Rien n'est arrivé par hasard. Je t'ai piégé, sur ordre de ma Maîtresse. Qui est maintenant la tienne aussi. Tu vas être éduqué, comme je l'ai été, dressé comme j'ai été dressée. Tu vas te rebeller, tu seras puni puis tu accepteras. Tu n'as pas le choix. Alors ne complique pas les choses. Tu apprendras à aimer cela. Moi j'ai appris. J'en avais envie, vraiment. Depuis toujours je crois. Maîtresse m'a révélée à moi-même. Aujourd'hui je suis fière de lui appartenir. Fière de mon statut de soumise, d'esclave de Maîtresse Inès. C'est un honneur. Et tu vas le partager". "C'est bien ma petite chienne... je crois qu'il a toutes les informations dont il a besoin. Sauf une, mais il la découvrira plus tard. Pour l'instant, ce petit film m'a bien excitée. J'en veux encore.... recommencez, maintenant". Crâne rasé, collier de cuir, latex gainant ses bras et ses longues jambes toujours aussi sublimes... Lise est un fantasme vivant. Mon fantasme de toujours. J'ai taché tant de draps en l'imaginant dans cette tenue, depuis toutes ces années. Mon imaginaire sexuel a toujours été riche et s'est souvent, peut-être même toujours, aventuré du côté de l'univers BDSM. Moi en soumis bien plus qu'en Maître. J'ai même tenté, sans grand succès, de vivre ces désirs en réel et d'assouvir mes fantasmes de soumission. Reste que Lise a largement été là lorsque mes doigts me faisaient jouir, et encore aujourd'hui, je veux dire "avant" que cela ne devienne réalité. Je me laisse faire, incapable d'agir, happé par le désir, brutal. Lise se lève et plonge son regard dans le mien. Elle s'approche lentement et une main de latex se pose sur mon torse, l'autre sur ma nuque pour attirer ma bouche à la sienne. Sa langue me fouille et son ventre se presse contre ma queue dure. Je sens cette femme se rapprocher et tourner autour de nous. Mes mains sur les hanches de Lise se montrent peu entreprenantes. Pas assez au goût de sa Maîtresse. Une douleur fulgurante traverse mes reins et m'arrache un cri.... la cravache... "J'ai dit que je voulais vous voir baiser MAINTENANT ! Alors bouge toi PETITE MERDE !!! Quelque chose se passe. Je me déconnecte. Enfin mon esprit se déconnecte de mon corps. Je ne suis plus qu'un animal guidé par son instinct primaire : jouir. Baiser et jouir. Je ressens chaque contact avec le corps de Lise avec une puissance inconnue de moi. Je suce, lèche, baise, perfore, embrasse, sens et ressens, je m'enfonce, je m'ouvre, je bois, je crie, je hurle, j'encule, je m'offre. Lise est assise sur ma bouche et m'abreuve de son champagne pendant que je lèche son clitoris. Je suis à quatre pattes et elle me branle sans ménagement en enfonçant sa langue dans mon petit. Elle est empalée sur ma queue et me chevauche pendant que je suce ses  seins. Enculée en levrette, enculée dans toutes les positions, reins offerts à pleines mains. 69 détrempé. Doigts qui ouvrent, masturbent, cherchent une bouche, une langue. Sueurs et fluides mêlés. Cris, râles, halètements, gémissements. Sa Maîtresse qui nous harangue, plus vite, plus fort. Final sur sa langue. Je crois que jamais autant de sperme n'est sorti de moi, comme si je m'étais retenu pendant 20 ans. Lise me renverse sur le dos et plonge sa langue gluante de foutre dans ma bouche. Elle s'empale une dernière fois sur ma queue restée dure. Elle se frotte de plus en plus vite, au rythme de la cravache qui cingle ses reins. Cri. Jouissance. Elle s'effondre sur moi. Il me faut de longues minutes pour me reconnecter. Reconnecter mon esprit et prendre conscience de mon environnement. De ce qui vient de se passer, comme si j'y avais été étranger. Je tourne la tête et découvre une image que je n'ai pas imaginée un seul instant. Sa Maîtresse est assise sur la méridienne, jupe relevée et cuisses largement ouvertes. Elle se masturbe avec frénésie. Entre ses doigts, une queue énorme au gland luisant, prêt à éclater. Un claquement de doigts. Lise se précipite. Cri. Jouissance. Elle avale et nettoie. Et moi je suis fasciné.
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Par : le 06/08/18
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues) . Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme. Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ? Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non. Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine. Comment devient une/un "Cum-Slave" ? Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser. Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou). Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment. Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ? L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite. Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source. Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet). Amour et "Cum-Slave" ? Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie. Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant. L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs. Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable. Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête. Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ? Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être. Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave". Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave". Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière. (Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave") En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre. Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu. C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée. Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ? Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte. Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin. Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ? Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle. Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme. Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé. Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda. Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation. En conclusion ; Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM. Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail. Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b) Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 22/05/18
Beaucoup de libertins et de libertines se revendiquent d’Epicure alors même que la philosophie épicurienne considère la sexualité comme étant un désir naturel, non nécessaire. Non nécessaire ?! Vivre pleinement sa sexualité contribue pourtant à l’équilibre psychologique et favorise une certaine sérénité de l’esprit. Quel antagonisme, par méconnaissance sémantique, ces derniers au nom des plaisirs de la chair feraient-ils l’apologie de la vie monacale ou d’Eunuques ? Préférence accordée à Eschyle pour qui « il est agréable, d’être agréable à quelqu'un » ou Sophocle qui préconise « être fou de joie, dans les plaisirs, au milieu des plaisirs » . L'hédoniste considère le plaisir comme le bien unique et suprême dans la vie, et professe la recherche du plaisir, et même des plaisirs multiples, en tant que fin idéale de toute conduite. Alors que pour Epicure, le but ultime est l'atteinte de l’ataraxie. Donc sortons de notre léthargie épicurienne pour entrer dans les folies hédonistes. La vie est une succession de souffrances et de petits instants de bonheur. Les plaisirs y sont trop éphémères. Cueillir le plaisir du moment, sans dol ni préjudice pour autrui, est de bon conseil pour agrémenter sa vie. Mettre ses sens en exubérance et son esprit en harmonie avec les saines forfaitures des corps.
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Par : le 11/04/18
Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre. • « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. » • « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. » • « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. » • « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. » • « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. » • « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. » • « Au plaisir du maître, je me plierais. » Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous. « Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître. J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant. « Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître. Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir. « Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître. « J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je. Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses. « Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître. Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle. « Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître. Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe. « Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il. Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence. « Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je. _________________________________________________________________________ Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe. Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Par : le 01/01/18
  Qu'est-ce qu'un MUNCH ?   Un Munch est un rendez-vous de rencontres entre personnes ayant pour intérêt le BDSM, ces personnes peuvent être des personnes impliqués de la pratique de relations BDSM ou des personnes qui montrent un intérêt pour ce style d'expressions relationnelles et de pratiques sexuelles. Un Munch dans l’univers BDSM est organisé de manière formelle ou informelle par des gens identifiables(1). Le lieu où sont organisées ces rencontres est important: - C'est un lieu qui présente des caractéristiques qui permettent aux participants de pouvoir bénéficier de toutes les garanties d'être libre d'aller et de venir. L'endroit doit être facile d'accès et permettre de laisser aux participants le choix de leurs anonymats. C'est un lieu neutre, un point de rendez-vous qui n'est pas isolé et/ou clos, un lieu qui est ordinairement un restaurant, une brasserie, un café en ville/village. Les horaires des Munch sont choisis pour permettre au plus grand nombre de participer, il débute le plus tôt qu'il est possible et se termine a des horaires compatibles avec les transports en commun (si ceux-ci sont disponibles dans les environs). C'est une rencontre dédiée à l'expression et de mise en relation sociale. Le but d'un Munch est la discussion, l'échange de points de vue, d'expériences. Un Munch est un lieu de rencontres à des fins de communications avec des personnes qui montrent une attention pour un domaine de réflexions et de comportement relationnels, ce n'est pas un lieu de drague! Les personnes qui s'y présentent doivent pouvoir se sentir dans u environnement propice à la réflexion, à la communication sans aucune pression de séduction ou de jugement comportemental (LGBT bienvenu(e)s !) :) Il n'y à aucun enjeu de pouvoir entre les différents intervenants ou participants, en aucun cas, d'aucune manière. Quiconque participe à un Munch est en droit d'exiger qu'il soit traité d'égal à égale avec les autres personnes présentes. S'il existe des règles de bienséance sociale comme dans toutes les réunions publiques, il n'existe pas de "dogme" (règles écrites) ou de manière de s'adresser aux personnes présentes. Le respect des "protocoles" qui peuvent avoir du sens dans des groupements particuliers n’est pas applicable lors de la participation à un Munch.   Ce qui n'est pas un Munch?   Ce n'est pas un moment de pratique BDSM. - Vous n'avez d'ordres à recevoir de personne ni contraintes à subir de quiconque est présent à ces Munch, seul les règles de civilités ordinaires applicables à une rencontre dans un lieu public sont acceptables. - Vous ne devez pas accepter d'être témoin ou acteur malgré vous d'exhibition à caractère érotique ou sexuel, celles et ceux qui souhaitent s'y adonner ont de nombreuses autres occasions pour le faire ou doivent, à tout le moins, requérir au consentement explicite de chacun des participants. Vous êtes en droit de refuser ce type de démonstration. Ce n'est pas organisé dans un endroit isolé. - Gardez simplement à l'esprit que les gens qui pratiquent et ont le besoin de partager dans la pratique d'un BDSM peuvent le faire lors de centaines d'autres occasions. Le Munch est un moment ou la neutralité et le partage d'expériences sont privilégiés, pas l'action, c'est un lieu de discussions, de réflexions. Ne vous sentez jamais obligé de suivre des personnes qui vont ensuite s'amuser dans un autre lieu, là encore tout repose sur votre libre arbitre. Vous et vous seul êtes en mesure de donner votre opinion et n'avez à subir aucune pression, aucune contrainte d'aucune sorte. Soyez ferme et intransigeant sur ces points. Ce n'est pas obligatoirement organisé par des associations/entreprises dédiées aux activités libertines et/ou BDSM. - Si cela va sans le dire, c'est toujours bien mieux en le disant. Vous devez savoir que certaines entreprises commerciales ou associations en mal de notoriété ont compris que le terme "Munch" pouvait apporter "du monde", de la fréquentation, donc un peu d'argent pour leurs petites entreprises. Conséquence de quoi, ces personnes détournent les principes fondateurs des Munch, qui je le rappelle ont pour vocation de permettre aux personnes qui ont une curiosité pour ces pratiques de pouvoir rencontrer et discuter en dehors de toutes contraintes. Exception notable pour le l'Association Paris-M(4) qui à pour vocation l'organisation de Munch et d’Apé’Rencontres, cette association veille depuis de nombreuses années à ce que cela soit un moment de rencontres qui respect les principaux fondamentaux décrits dans le ce billet. Ce n'est pas un endroit ou les gens seront mis en situation d'être voyeurs ou exhibés. Ce n'est pas un endroit ou il est enseigné une "méthode" ou techniques de pratique (cordes, aiguilles, jeux de rôles D/s) Ce n'est pas un endroit où il est fait commerce de marchandises en relation avec le BDSM (cela n'empêche pas que les équipes organisatrices puissent trouver des partenaires pour les aider dans la promotion de leurs rencontres Munch) Ce n'est pas une rencontre ou vous avez obligation d'adhérer à une association ou un mouvement spécialisé. Ce n'est pas un endroit ou l'ont peux faire des photos ou des enregistrements (vidéo/audio). Ce n'est pas un endroit sélectif ni discriminatoire, il n'y a pas de lettre de motivation à présenter ou de cursus à respecter(3). Il ne doit pas y avoir de ticket d'entrée ou de paiement préalablement requis pour y avoir accès. Par exemple, les intitulés "Munch & Play" ou encore des “Munch’n play Maverick”(2) ne sont pas respectueux des bases conventionnelles des "Munch" qui sont pratiqués depuis le début des années 1990 en Amérique du Nord ou bien depuis la fin des années 2000 en France, pour ne citer que ces exemples. Cette usurpation de dénomination n'a que pour but de siphonner la popularité des Munchs historiques. Si vous avez été abusé par ces appellations, n'hésitez pas à le faire savoir autour de vous. 1) Une personne est identifiable par des éléments simples: Si vous ne disposez pas de son identité sociale (un pseudonyme est respectable !!), vous devez au moins disposer d'éléments de contact comme par exemple un Facebook avec un visage identifiable (identifiable en en privé, cela va de soi). Un numéro de téléphone est fortement recommandé pour pouvoir joindre les personnes sur place afin de vous y retrouver, vous situez si vous êtes égaré en allant sur les lieux du Munch. 2) le fait que cette appellation "munch" soit dévoyée ne présume en rien des qualités des organisateurs de ces moments de rencontres qui ne sont pas des MUNCH. https://www.google.fr/search?q=Munch+%26+Play&cr=countryFR,lr:lang_1fr&source=lnt&lr=lang_fr 3) seules les règles de courtoisie liées à l'espace public (brasserie, restaurant ...) sont à respecter. Vous n'avez pas à être traité autrement qu'avec respect et ne devez recevoir d'ordre de personne et n'être contraint à rien ni par personne. 4) http://www.paris-m.org Version 1.1 (c) Maxence Lascombe - 28 décembre 2017 00H00 Version récente : http://maxxence.tumblr.com/post/169069850348/quest-ce-quun-munch BDSM.FR vous suggère également cette page
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Par : le 08/12/17
Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise.. D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant. Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes. Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même.. En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^ . L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s. Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul... Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales: Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues. La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire. La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran. Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas. La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée. Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre... A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien : Exploration de soi Exploration de soi à travers l’autre. Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe. Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle. Pensée au Parloire pour ma muse.
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Par : le 04/12/17
Les Boules de Geisha 9 novembre 2011 Il existe peu de personnages plus secrets et plus mystérieux que Gianfranco Armando Geisha; né au début de sa vie dans un endroit caché de cette belle province Romaine riche en inventeurs et en artistes, il n'aura jamais récolté la gloire de sa plus belle invention: les boules qui portent son nom, les fameuses «Boules de Geisha ». A celles et ceux qui croiraient encore à d'incertaines et délirantes rumeurs qui situent l'origine de cet instrument ludique au Japon, il convient de spécifier que le véritable inventeur est bel et bien né en Italie, bien que vivant au pays du Soleil Levant à cette époque. Il exerçait la noble profession de fondeur et était le seul à savoir refaire des clés de Kangoo, ce qui était très rare à l'époque et lui laissait un peu de temps libre. Il faisait aussi d'excellentes pâtes. Sa réputation était immense; elle dépassait les limites de l'Italie et du monde connu alors. Il travaillait au feu des volcans surtout le matin et ensuite il passait beaucoup de temps à regarder la mer et la plage; comme ce pays parsemé de volcans et de montagnes ne présentait que peu de parties planes, il eut un beau matin l'idée de récupérer un peu d'acier et de le façonner en boules en incorporant au centre un métal plus souple et plus léger fixé par des petits ressorts à la conque de métal dur et lourd. Remarquant que cet ingénieux montage pouvait se lancer d'une seule main et rester à l'endroit précis du retour sur le sol-ce qui était très pratique dans un pays comme le Japon très en pente et agité sans cesse par des tremblements de terre, il en répandit l'usage et ce fut aussitôt un succès retentissant; il inventa ainsi en une seule fois les boules et le jeu de boules. Au départ le jeu de boules était destiné aux femmes; elles pouvaient y jouer en s'amusant à laver le linge et s'occuper de la maison et comme les boules n'allaient pas très loin elles réservaient ainsi plus de temps à l'entretien de la maison. Il leur fallait lancer leurs boules chacune leur tour, et les boules qui rebondissaient le moins loin faisaient gagner leur joueuse; celles qui perdaient tout le temps devraient « embrasser Fanie»; cela mérite une explication. Pour être vraiment précis dans ce récit il convient de préciser qu'on prétend que Gianfranco Armando Geisha est sans doute né à Fano en Italie, et il donna à cette tradition le nom de « embrasser Fano » en pensant à son village; par la suite on a dit « embrasser Fanie » au lieu de « embrasser Fano »... De retour dans son pays il n'eut plus beaucoup l'occasion d'utiliser ses jouets, mais il fit par la suite partie de la première expédition Romaine vers la Gaule et il participa à la fondation de Massilia, devenue par la suite Marseille. Il avait pris la précaution d'emmener avec lui les désormais célèbres « Boules de Geisha », mais dès l'apparition des premiers Marseillais il les perdit au jeu dans une rue sordide du centre-ville et dès lors l'Histoire a attribué la paternité des « Boules de Geisha » aux gens du Sud de la France... Certains fabricants peu scrupuleux, trahissant Gianfranco Armando Geisha, n'hésitent même pas, de nos jours, à vendre leurs boules sans mécanisme intérieur et ces ersatz se reconnaissent à ce qu'elles rebondissent beaucoup plus et pour ainsi dire presque trop. Rendons donc aujourd'hui hommage à Gianfranco Armando Geisha pour cette contribution majeure au développement de l'Humanité et sachons reconnaître les vraies Boules de Geisha avec certitude: on peut encore trouver ces objets rares dans un état proche du neuf malgré l'usure du temps en passant le doigt sur leur surface; on peut y sentir encore les initiales de notre génial inventeur gravées sur les véritables pièces encore en état. Merci à toi Gianfranco Armando Geisha, artiste méconnu et fondateur d'une tradition qui ne s'éteindra pas.
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Par : le 28/09/17
Mesdames, le présent article a pour but de vous expliquer la bonne façon d'être féministe, afin que vous ne commettiez pas d'impairs lors de vos diners en ville, tant il est important de ne froisser personne lorsque l'on veut avoir des contacts sociaux. Avant toute chose, gardez toujours à l'esprit qu'il vous faut ne pas affirmer. Affirmer est par essence agressif. Surtout lorsqu'on est une femme. Tout au plus doit-on suggérer, émettre quelques idées sur le mode prudent et interrogatif, afin de voir quelles seront les réactions autour de vous. Si elles paraissent positives, ne prenez pas cela pour un acquis, et ne tentez pas de pousser votre avantage trop loin. N'oubliez jamais que votre vocabulaire devra être choisi avec soin, et qu'il vous faudra éviter tout terme pouvant heurter les sensibilités. Ainsi, patriarcat, lutte, égalité sont à proscrire, puisqu'ils sont typiquement agressifs. D'ailleurs, ne prononcez pas le mot féminisme, par essence, il prédispose à un monologue et vous condamnera pour absence de débat. Plus qu'un tabou, c'est une hérésie à lui seul. Lorsque votre prudente avancée aura portée quelques fruits, laissez donc d'autres que vous reprendre le flambeau. Vous vous apercevrez que vous êtes entourée d'hommes prenant faits et causes pour les femmes, prêts à se mettre en avant pour expliquer ce qu'est le féminisme, ce que ce combat vous apportera, et comment, surtout, il convient de le mener. Ces hommes vous expliqueront ce que vous pensez, et ce qu'il vous faudra penser à l'avenir, allant même, ces précieux précurseurs, jusqu'à vous détailler ce que vous ressentez. Croyez bien que la gente masculine, depuis que le monde est monde, a eut à mener moult batailles et sait donc parfaitement ce qu'il faut faire pour, non seulement les mener à bien, mais les gagner. Effacez vous devant ces spécialistes , et n'oubliez pas de sourire, en acquiesçant avec conviction. Le sourire prouvera que vous n'êtes pas sur un mode agressif, et la conviction vous mettra à l'abri de toute réaction négative, que du bénéfice ! Voyez comme il est simple de ne heurter personne quand vous vous piquez d'idéaux. Et lorsque, par exceptionnel, vous aurez envie d'en découdre, ne perdez pas de vue que vous avez la chance de vivre dans un pays progressiste, et que, comparé à d'autres pays, votre condition de femme n'est pas si terrible. Ne faites donc pas l'enfant en voulant plus qu'il n'est humainement entendu d'attendre. Toute autre façon de faire serait perçue comme agressive, socialement inacceptable, et bien propre à refuser le débat. Affirmer, s'affirmer, vouloir, ne pas accepter, n'est pas un dialogue, mais une revendication. Se battre pour ses droits, pour le respect, c'est forcément combattre, et ça demande de l'énergie. Mais ne perdez pas espoir. A force de dire les choses, de les expliquer, de les rendre visibles, elles prendront forme et réalité. Vous trouverez sur votre route des hommes discrets, qui sont en phase avec vous, et qui n'éprouveront pas le besoin de se mettre en avant avec leurs principes d'égalité. Chérissez ceux-là, ils seront vos amis sincères. Mesdames, votre parole compte et vous pouvez la faire valoir, de la façon dont il vous sied. Faites au mieux pour vous, et comme vous le ressentez, ne laissez personne vous dire ce que vous devez penser.
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Par : le 08/06/17
(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues) . A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté. Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait. L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué. Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant). Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration. Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement. Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde). Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est). La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir. Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres. L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres... Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés. Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Par : le 23/04/17
Allongée dans ce lit, ses pensées la tourmentent, elle ne sait pas où ça la mènera, mais elle sait ce que son instinct lui dicte, là tout de suite. Lentement elle se rapproche de lui, jusqu’à se retrouver collée à son dos, à sentir sa peau toucher la sienne. Ce contact l’électrise, elle sent monter en elle cette chaleur qu’elle avait oubliée. Il dort, ou du moins fait comme s’il dormait. Alors, doucement, elle pose sa main sur son épaule. Ses doigts glissent le long du dessin, en apprenant chaque courbe, chaque détail. Lentement, elle fait courir sa main sur son bras. Elle se demande à cet instant ce qu’il ressent, lui. Mais au fond d’elle elle se fiche de ce qu’il pense. Elle a carte blanche, tant qu’il ne la repousse pas, elle compte bien en profiter. Après avoir appris les courbes du dessin, ses doigts remontent sur son épaule, pour attaquer sa nuque et redescendre gentiment le long de son échine. Toujours du bout des doigts, elle détaille chaque vertèbre, chaque parcelle de peau qu’elle peut toucher. Rien ne lui échappe … Puis c’en est trop, elle veut connaître son odeur, la douceur de cette peau que ses doigts explorent depuis de longues minutes. Tendrement elle pose un premier baiser sur son épaule chaude. Cette chaleur … comme ça lui a manqué … Elle colle sa bouche à sa peau et hume son odeur, s’imprégnant pour quelques instants de tout ce que cela représente pour elle. La douceur de ce moment la rend tellement calme, elle pourrait rester ainsi des heures durant, à caresser et embrasser sa peau … sans un mot, sans un geste, juste profiter du moment ! Sa bouche court le long de ses épaules, embrassant à la volée, tendrement, lentement, langoureusement … Le souffle court, elle s’écarte un instant, pour calmer le feu qui monte en elle. Il bouge … se met sur le dos, et elle se retrouve alors la tête sur son cœur. Mon Dieu, elle ne sait pas depuis combien de temps elle n’a pas ressenti cela, mais cette chaleur monte en elle, doucement, progressivement, l’envahissant jusqu’au plus profond d’elle-même … Toujours sans un mot, elle pose sa main sur son torse et la fait voyager. Lentement, elle remonte jusqu’à sa clavicule, saillante, mais pas trop. Ses doigts en dessinent le contour pour en apprendre chaque millimètre. Ensuite elle les fait descendre au milieu de son torse, glissant dangereusement vers son nombril … ultime limite de leurs non-dits … Pendant que sa main explore et découvre ce torse d’homme, elle écoute son cœur battre dans sa poitrine. Malgré elle, elle se surprend à savourer ce rythme endormi, comme une musique qui la berce elle aussi, sans parvenir à l’endormir. Elle le sait, la nuit touche bientôt à sa fin … alors elle emmagasine des souvenirs. Cette odeur, la texture de sa peau sous ses doigts et contre ses lèvres, le rythme de son cœur et ce sentiment de sécurité à ses côtés … tout ce qui a fait de ce moment un instant magique … Elle emmagasine pour ne plus oublier ce qui la rend femme …
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