La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
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Par : le 07/12/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________   De fin 2016 a fin 2017   Nous voici à un tournant de ma sexualité car après un premier plan cul aussi satisfaisant, une véritable salope était née ou du moins libérée/assumée (l’ayant un peu toujours été) … J’avais adoré ça ! Me taper un parfait inconnu, le sélectionner pour sa belle-gueule, sa grosse queue, sa promesse d’une baise endiablée ! Rejoindre un garçon juste pour baiser avec, faire nos affaires et rentrer l’air de rien sans que mes collocs ne le sachent, quelle liberté ! C’était excitant de faire du sexe pour le sexe sans rien vouloir ou attendre de l’autre, j’y étais allée que pour sa bite et qu’il me baise, il ne m’avait pas déçue ! J'avais l'impression d'avoir fait une chose que la plupart des femmes s'interdisent, d'être passée a un stade supérieur sexuellement et spirituellement, je ne regrettais aucunement d'avoir osée me faire ce beau-gosse, il avait été le mieux foutu et le mieux membré de tous mes partenaires mais aussi le plus performant/excitant ... Je me masturba plusieurs fois en repensant à sa main qui m’étranglait sans concession … A son épais morceau de chair qui m’avait détruite comme jamais … A la manière qu’il avait de se comporter avec moi, de prendre ce qu’il voulait de moi … Sans le savoir, j’avais éveillé mes premiers attraits pour la soumission… J’avais toujours aimée être docile avec les hommes, leur donner ce qu’ils attendent de moi, faire de mon mieux pour satisfaire leurs besoins. Ayant été abandonnée enfant par mon géniteur et ayant grandie sans figure paternelle, j’avais développée une peur de l’abandon et la certitude de ne pas mériter l’amour d’un homme mais aussi surtout un malsain besoin d’attention de la part de ceux-ci. Le sexe a toujours été un besoin vital pour moi, celui de jouir et faire jouir, d’exister à travers l’autre, de le sentir physiquement mais aussi de le ressentir spirituellement ... J’aimais tout découvrir de l’autre, son corps, son intimité mais aussi sa partie sombre, obscène, primale que les autres ne verront jamais … Je me sentais épanouie en constatant le désir de mon partenaire, en me rendant utile à son plaisir, en ressentant sa passion à mon égard … Le sexe m’apportait l’intérêt, l’affection et les sensations que je voulais, j’y trouvais l’équilibre d’une relation Homme/Femme telle que je la concevais, pour moi et mes failles personnelles … Il m’est arrivée néanmoins de m’oublier pour l’autre, « d’acheter » l’autre avec du sexe ... J’ai plusieurs fois été utilisée par les hommes dans leur quête égoïste de sexe, je me suis laissée conquérir et asservir par des hommes qui m’imposèrent leurs besoins. Il m’est arrivée de détester ça et d’en souffrir mais aussi d’en jouir et d’avoir conscience que c’était ma façon de les garder auprès de moi …Avec le recul, je sais qu’ils avaient de l’emprise sur moi et qu’ils « dominaient » la relation mais il n’y a qu’aux côtés de Thomas que j’ai vraiment eue l’impression d’être sa chose, d’avoir une sorte de maître à qui je me dévouais … Quoi qu’il en soit, que je m’en sois rendue compte ou non, toutes ces relations étaient révolues et c’est le plaisir pris à me faire traiter sans ménagement par cet inconnu qui me troublais … J’avais décidé de vivre ma sexualité a fond, de jouir sans tabous, de réduire les hommes a des bites sur pattes qui allaient me donner du plaisir alors pourquoi avais-je autant jouis à me faire manquer de respect, rabaisser, utiliser, maltraiter ? Comment pouvais-je prendre mon pied à faire l’amour avec mon meilleur ami mais tout autant voir davantage à me faire labourer sans une once de délicatesse par le premier venu ? J'avais décider de me gorger de sexe et ne m'en tenir qu'a sa fonction primaire "donner du plaisir/jouir" pourtant je m’étouffais moi-même en me caressant dorénavant et je ne m’imaginais plus me faire prendre mais démonter sauvagement ... Pourquoi le sexe devait-t-il toujours s’orienter vers un rapport de force ? C’est avec une obscénité inédite et une soif d’aventures incommensurable que j’aborda mes prochaines rencontres.   Je fis la rencontre du prochain garçon une quinzaine de jours plus tard, un samedi soir. Un beau-gosse de mon âge que je rencontra dans un bar répétant le même schéma que la fois précédente (conversations sur un site de rencontres, sextos, nudes puis rencard) il fut beaucoup plus timide que son prédécesseur et c’est moi qui mena la discussion du début à la fin, je m’interrogea sur mon envie de poursuivre car il n’était pas sûr de lui, peu entreprenant et donc pas vraiment excitant … Je lui donna quand même sa chance bien qu’il n’avait pas du tout la même prestance en vrai qu’en virtuel mais une fois chez lui et mes vêtements sur le sol, il se réveilla et m’offrit de délicieux préliminaires en me bouffant la chatte et le cul debout comme un affamé, il réussit à me faire jouir avec son cunni et ses doigts ! Je l’installa alors sur le canapé pour lui faire une belle pipe et même si sa queue ne tenait pas la comparaison avec la précédente, elle était supérieure a la moyenne et bonne a sucer. Je le chevaucha par la suite sur son canapé où il commença à se lâcher, il me baisa fougueusement en missionnaire et sans retenue en cuillère avant de jouir dans la capote. Je me souviens avoir été très excitée alors qu’il m’empoignait par les hanches et se déchainait contre mes fesses me demandant si c’était toujours le même garçon que celui de tout à l’heure, sa timidité s’étant clairement évaporée ! On se rhabilla, échangeames quelques banalités puis je partis rapidement ne préférant pas m'attarder sachant que je ne le reverrais pas mais je garde un bon souvenir de cette petite baise qui n’était pas gagnée d’avance ! Je rencontra le prochain dès le samedi soir suivant en répétant toujours le même schéma mais ne le choisissant que pour sa belle-gueule car cette-fois on n'écheangea pas de nudes. Il se montra lui aussi plus timide en vrai que par messages par contre ce fût un fiasco au lit, une vraie déception, il y’a eu tromperie sur la marchandise car il m'avait promis de belles performances et il ne fournit qu’un missionnaire monotone et une levrette trop classique qui le fit venir avant que je ne commence à vraiment grimper aux rideaux ... Je rentra frustrée et revancharde cette nuit-là alors j’alla à la rencontre du suivant dès le lendemain avec une conversation express du genre « salut BG, tu fais quoi ce soir ? » et en 3/4 messages j’étais chez le mec pour me faire soulever … Je me souviens m’être sentie plus salope de faire ça dès le lendemain, d’enchainer deux queues différentes en 24 heures, d’aller me faire sauter un dimanche soir alors que j’avais cours tôt le lendemain et surtout d’aller chez lui sans se voir dans un bar avant ! Le gars devait avoir dans les 23 ans, je me souviens que je l’avais choisie pour ses abdos sur l’une de ses photos à la plage et son beau minois, j'avais le feu au cul ! Je lui envoya un message quand je fus devant chez lui, il descendit me chercher et mon excitation se transforma en une légère appréhension alors que je pénétrai dans le hall de son immeuble. Dans l’ascenseur il me complimenta sur mon physique et me dit qu’il se demandait si j’allais venir pensant que je n’étais pas sérieuse ou réelle. Je lui répondit fébrilement que j’étais bien là comme il pouvait le constater et il rougit. Une fois dans son appartement, il me proposa un verre, je rétorqua avec une assurance qui me surprit moi-même que je n’étais pas là pour boire un coup mais me faire baiser ! Il s’approcha alors pour me retirer mon manteau, m’embrassa sans dire un mot et commença a passer ses mains sous mes vêtements, je su en quelques instants que lui, il allait me faire du bien ! Comme a mon habitude, je commença par me faire tripoter et déguster dans le salon y délaissant tous mes habits puis je le suivis dans sa chambre pour les choses sérieuses ! Il me coucha sur son lit tout en m'embrassant, ses doigts rentrèrent en moi et il me masturba avec patience et savoir-faire tout en me roulant des pelles, j'étais trempée et ultra excitée ... Je me souviens que j'aggripais son t-shirt et cherchait parfois a prendre une bouffée d'air pour respirer mais qu'il replongeait instantanémant sa langue dans ma bouche comme pour me garder en apnée. J'étais en train de gémir dans la bouche d'un parfait inconnu, ses doigts qui allaient et venaient en moi me comblaient et ma chatte humide faisait des bruits obscènes sous son traitement. Je me sentais si salope que j'en tirais une satisfaction déroutante. J'étais arrivée chez ce mec dont je ne sais rien, il m'avait caressée, déshabillée, tétée les seins, bouffée la chatte avant de m'emmener dans sa chambre et maintenant il salive dans ma bouche, j'avale sa bave, il suce ma langue, enroule la sienne autour de la mienne, je suis totalement nue et sous son contrôle alors qu'il n'a pas enlevé le moindre vêtement, c'est si bon toute cette dépravation. Je resserrais mes cuisses sur sa main et me tortillais dans tous les sens quand il réussit a me faire jouir, j'hurla ma satisfaction lorsqu'il libéra enfin ma bouche. J'avais de la bave sur le menton, la nôtre car il avait sûrement autant saliver dans ma bouche que moi durant cette apnée, je repris mes esprits alors qu'il secouait ses doigts trempés de ma cyprine au dessus de moi laissant tomber quelques gouttes sur mon ventre, on rigola un moment en se disant que c'était intense ! Il se coucha a côté de moi, me regardant avec un regard attendrissant alors que je reprenais ma respiration, sa main se promena sur mes seins qu'il malaxa tendrement, je me sentais vulnérable ayant jouie devant cet homme encore habillé alors que j'étais à poil, rouge comme une tomate et plutôt sâle. Je pris alors rapidement les devants et me mis a quattre pattes devant lui pour lui retirer son pantalon, il m'aida en s'amusant de ma fougue, je fit voler son froc, son calbut et sa paire de chausettes jusqu'au bout de la chambre puis je lui embrassa les pieds avant de remonter avec ma langue de ses chevilles jusqu'à ses couilles. J'empoigne alors sa bite et découvre qu'elle suinte de liquide séminal, il y'en a vraiment beaucoup et son gland visqueux glisse entre mes doigts, je constate qu'il était visiblement très excité aussi par ce qu'il m'a fait. Je le branle doucement en promenant mon pouce sur la surface de son gland pour le stimuler mais aussi éponger tout ce pré-sperme, il semble apprécier et être à point. Sa bite est un peu décevante car elle est de taille banale, assez inférieure a mes précédentes rencontres tout du moins mais elle attire mon attention car son érection est tordue et son prépuce assez serré lui donne un aspect peu commun, on dirait que son gland porte une capuche ! Je m'amuse de cette particularité sans lui faire un commentaire tout en le branlant, j'éponge a plusieurs reprises son pré-sperme abondant du pouce et termine de reprendre toute ma respiration avant de le sucer. Il me supplie du regard de m'y mettre sans oser dire un mot, je fais durer le plaisir volontairement avant d'enfin lui gober la queue. Je m'applique a bien le sucer voulant lui rendre la pareille mais son gland est difficile a garder décalotté et je me retrouve a lui titiller le prépuce plus que la surface du gland la plupart du temps ce qui ne semble pas le déranger car il soupire agréablement, me complimente et me caresse les seins avec douceur. Je m'habitue a sa bite particulière et apprécie de le branler dans ma bouche sentant son prépuce aller et venir sur son gland gonflé de désir, j'ai l'impression que sa queue tient plus de l'animal que de l'homme, ça m'excite et je commence a me dire pour je ne sais quelle raison qu'il va probablement beaucoup éjaculer... Sentant que ma chatte est de nouveau d'attaque et pleine d'envie, je lui demande où est le préservatif ? Il m'indique un tiroir de son bureau, je lui enfile la protection et commence a le chevaucher. Comme je m'y attendais, je ressens sa queue tordue d'une façon différente des bites raides que j'ai cotoyées jusqu'ici, quand je redescends dessus son gland et une bonne partie de sa verge frotte contre ma paroi vaginale. Je prends le temps de ressentir cette bite particulière en la chevauchant lentement, découpant bien chaque mouvement pour bien la ressentir. Je commence a me dire que j'aime bien, que ça change un peu et que c'est pas désagréable alors je me couche sur le mec et lui dit qu'il peut-y-aller ! Sans tarder il aggripe mes fesses, relève ses jambes et commence a me labourer la chatte, je prends des coups de bites puissants qui me font instantanément gémir. Le gars me baise avec panache, m’insulte moi et ma chatte quelques fois de salope, chienne ou pute ce qui m’excite terriblement vis-à-vis de la situation. Comment pourrais-je appeler une fille qui envoie un message a un inconnu et qui moins de deux heures plus tard est en train de s’empaler sur sa bite ? Je commence a gueuler sans retenue puisqu'il semble aimer m'entrendre, sa verge inclinée frappe au même endroit depuis un moment et cette zone de ma chatte est en feu, j'ai l'impression qu'il me creuse de l'intérieur. Je suis sur le point de jouir alors qu'il pétris mes fesses lorsqu'il me demande soudainement a passer en levrette pour apprécier mon cul (je sais plus comment il l'a dit mais c'était bien plus vulgaire). Je me retire alors curieuse d'essayer sa bite dans cette position, je cambre comme une chienne en chaleur avec la chatte bien dilatée pendant qu' il retire son t-shirt. Une fessée s'abat sur mon postérieur avant qu' il ne vienne aggriper mes fesses et me la mettre sans les mains, le boug démarre fort et me martèle le cul instantanément sans retenue. Sa bite est comme un crochet qui va et vient en moi, son gland me lime la paroi inverse de la position précédente, des fessées s'abattent sur mes fesses a la chaine, des noms d'oiseaux fusent, je prends un pied monstrueux et l'implore de continuer a me démonter. Il me fit jouir avec une levrette des plus sauvages avant de se retirer le souffle court pour me demander si je pouvais le finir avec ma bouche car il était épuisé ayant tout donné niveau cardio dans la levrette. Je m’exécuta satisfaite d’avoir été bien baisée et voulant lui faire plaisir a son tour. Je le branla a toute vitesse moins de deux minutes dans ma bouche tout en le suçant goulument alors qu’il reprenait son souffle. Il se vida copieusement, son sperme chaud dégoulina plusieurs fois alors que ma langue qui lapait le haut de son prépuce recceuillait ses jets, j'avala successivement chacune des coulées de laves que ce volcan crachait et son goût prononcé me déplu mais pas la sensation d’avoir fini avec brio le travail ! Il me remercia pour ce qu'il décrit comme la meilleure finition de sa vie, je le remercia pour la soirée puis je regagna le salon en quête de mes fringues alors qu'il se rhabillait dans la chambre. Il demanda comme les autres a me revoir et je lui expliqua que c'était vraiment sympa mais pas dans ma façon de faire puis je lui dis adieu. Dans l'ascenseur, je réalisa ce que je venais de faire, je me remémora mon coup de stress à l'aller qui n'avait rien a voir avec l'euphorie du retour ... Je rentra assez tard chez moi, ne dormis pas mon quota minimum et attaqua la semaine avec la tête dans le cul mais le lundi matin en classe, je repensa avec satisfaction a ma soirée de la veille plus que sympathique !     Les semaines s’enchainèrent et ma fréquence de rencontres également, je commençais a rencontrer un nouvel amant deux fois par semaine m’autorisant dorénavant une rencontre en début de soirée un soir de semaine et le samedi soir !  J’avais pu constater que la plupart ne voulant que baiser et n’étant pas très à l’aise avec une parfaite inconnue niveau conversation, il était préférable de raccourcir autant que possible la mascarade des premiers échanges et d’aller a l’essentiel. Mes expériences précédentes m’ayant prouvées qu’une grosse queue et des beaux-parleurs n’étaient pas toujours ceux qui baisent le mieux, je me concentrai dorénavant sur leur physique et leur disponibilité pour les sélectionner.  Il fallait voir comment des gars sûrs d’eux et excitants par messages pouvaient se révéler timide, mal a l’aise et décevant en réel. L’expérience m’apprit vite qu’il fallait s’en remettre a la chance, la magie de l’inconnue pour tomber sur un bon coup, qu’il n’y avait pas de règles ou de garanties mais qu’en multipliant les rencontres, il y’en aurait toujours quelques-uns qui sortiraient du lot comme le premier mec ou la bite tordue. Adieu donc le schéma "conversations, sextos, nudes, rencard dans un bar/café puis on va chez eux" dorénavant je faisais mon marché vis a vis de leurs photos, ils m’envoyaient leurs adresses, je sonnais à l’interphone, montait jusqu’à leur appart et à peine entrer, je me désappais pour leur sauter dessus et cela donnait des départs souvent bien plus torrides et excitants pour moi que les moments gênants et affligeants ou le type bégaie, rougit, me fuit du regard et se demande comment on va débuter … Mon quotidien s'accoutuma vite a cette sexualité débridée ! Studieuse et rigoureuse en cours comme en dehors, les plans culs étaient un moyen de me détendre et me faire du bien qui fonctionnait carrément. Il y'avait Charlotte, l'étudiante qui était dans les meilleurs de la classe, la colloc sage et discrète, la bonne copine sympa et disponible mais il y'avait aussi cette autre fille que j'incarnais le temps de quelques heures qui sélectionnait un beau-gosse en ligne (qu'elle aurait sans doute pas osé aborder dans la vraie vie) pour aller s'envoyer en l'air sans la moindre gêne. J'aimais être la gentille fille qui ne fait pas de vagues, celle qu'on complimente pour sa rigeur, son hygiene de vie, ses résultats scolaires et j'aimais aussi être la pire des salopes qui enfonce la queue d'un inconnu au fond sa gorge, se fait insulter, utiliser comme un vide-couilles. Ces deux entités co-existatent dans mon quotidien, celle qu'on voit en cours, a l'appart, en famille ou entre amis et que je m'efforce de rendre la plus admirable et respectable possible et plus profondement enfoui, il y'avait cette part d'ombre, cette fille pas présentable et incarnable aux yeux du monde, celle que je nommerais plus tard Lady Bitch, qu'on ne voit qu'en privé et dans l'intimité, qui adore se dévergonder, qui ne veut pas être respecter mais plutôt utiliser, une dépravée que j'appenais a devenir ... J'avais fût un temps eue peur de mon addiction au sexe, de ma nymphomanie mais pour la première fois de ma vie je l'embrassais et m'épanouissais dedans n'y allant pas pour de mauvaises raisons. J'étais enfin en phase avec mon corps, acceptant pleinement mes charmes, mes formes, mon physique, je pris confiance en moi en me donnant a tous ces garçons, en constatant que je plaisais et pouvais avoir qui je voulais, je dis au revoir a tous mes complexes et gagna grandemment en assurance. Je me masturbais moins ayant dorénavant plus souvent l'occasion de me faire démonter de A jusqu'à Z avec des préliminaires toujours gourmands (on est tous un peu plus généreux quand on goûte a un nouveau corps pour la première fois) mais je me godais toujours s'il se passait plus de deux jours sans sexe. J'acheta énormément de lingerie cette année-là, bien que j'avais de beaux soutifs et des culottes ou strings assez sexy, je voulais avoir des tenues qui rendent fous mes partenaires et me fassent sentir encore plus désirable. Je souhaitais crédibiliser la salope en moi et renforcer cette démarche dans laquelle j'étais d'être le coup d'un soir le plus torride de ces types ! Pour la première fois de ma vie, j'investissais donc dans de la lingerie coquine et portais des ensembles en dentelles échancrés laissant voir mes mamelons ou ayant une ouverture au niveau du vagin, de la vraie lingerie de "pute", celle qu'on ne porte pas pour aller en cours mais se faire baiser ... Je me pris une guépière violette, des portes-jaretelles, un body noir et jaune avec l'entrejambe ouvert bref je passa un cap dans ma féminité et c'est une bombe atomique qui débarquait dorénavant chez ces messieurs d'ailleurs ils aimaient tellement ça qu'ils ne m'enlevaient meme plus tout préférant souvent me baiser dans mes petites tenues qui faisait leur effet ... En parallèle de tous ces coups d’un soir organisés via les sites de rencontres, je sortais de plus en plus avec des copines en boite de nuit, a peu près un week-end sur deux, il m’arrivait de plus en plus d’y embrasser des gars et parfois de finir chez eux ou dans leurs voitures pour un coup vite-fait cachant néanmoins autant que possible mes fresques a mes amies. Je ne buvais jamais d’alcool en soirée/sorties me méfiant de mes anciens démons et craignant l’état dans lequel je pourrais vite me retrouver si j’alliais de nouveau sexe et alcool (en plus de ça en discothèque avec des inconnus) … J’étais donc en pleine possession de mes moyens lorsque je chauffais ou dansais avec des hommes, mes copines se mettaient souvent des caisses et ne se rendaient pas compte de tout ce que je pouvais faire sur la piste ou dans certains recoins des lieux dans lesquels nous sortions. Je ne couchais pas dans les WC mais il m’arrivait souvent de frotter mes fesses contre les bites en érections de mes partenaires de danse ou d'aller aggriper quelques bites de certains "piliers de bars" a travers leurs pantalons. J’aimais sentir une bosse se former au niveau de leur entre-jambe alors que ma robe ou jupe se remuait sur leurs queues et jouer avec le risque d'être vue par une de mes copines. Je frottais parfois la paume de ma main sur leur entre-jambe ou glissais ma main dans leur pantalon pour toucher leur queue quand nous étions chauds et il était amusant de voir ces mecs qui souvent se permettent d'être trop tactiles ou entreprenants avec les autres demoiselles être surpris ou géné par mon audace ! Tous les mecs en boite sont des queutards, la plupart sont bourrés et déshinibés et ça m'amusait de les allumer bien franchement ou de me faire passer pour la meuf ivre, de toute façon personne ne les croiraient vu comment ils étaient alcoolisés ... Je ne jouais qu'avec les beaux-garçons parfois pour le fun, parfois pour finir chez eux, parfois pour leur donner mon numéro et les revoirs dans la semaine dans un contexte plus propice a ma seconde nature ... Le maximum que j’ai fait sur place c’est de branler quelques secondes un type dans un recoin de la salle avant de la lui remettre dans son pantalon et de lui souhaiter une bonne fin de soirée sinon je me contentais de passer ma main dans leur caleçon afin de palper la taille de leur verge et voir s'ils avaient les couilles rasées m'aidant souvent a choisir celui avec qui je finirais la nuit ... Les mois passèrent, mon body-count explosait mais je prenais mon pied, je ne m’étais jamais sentie aussi libre, sexy et bien dans ma peau. Mes résultats en cours étaient excellents, je travaillais dur comme pour me faire oublier l’échec de l’année dernière, je voulais me prouver que j’en avais les capacités et que cette année infernale s’éclipse dans l’esprit de mon entourage. L’année fila a une vitesse folle presque autant que l'augmentation de mes envies de sexe. J'avais débuté les plans culs avec une rencontre tous les samedis soirs puis très vite je fût a deux rencontres par semaine avant d’être régulièrement a trois les semaines où j’allais en boite (finissant souvent avec un mec) ... Il m’arrivait parfois de me taper quatre gars différents dans la même semaine ayant par exemple une rencontre le mardi soir ou mercredi soir, une seconde le jeudi ou vendredi soir et une le samedi comme le dimanche soir …. Très vite je ne pouvais plus tenir le compte, il pouvait m’arriver de renter de boite de nuit sans rien avoir fait (juste embrasser des gars) et d’avoir des semaines plus calmes si j’étais a fond dans les études ou plus fatiguée/débordée mais clairement il ne se passait plus une seule semaine sans que je ne rencontre au moins un gars ! J’ai largement dû coucher avec une centaine de garçons différents au cours de mon année scolaire ... Il y'a eu tellement de baises que je ne pourrais toutes vous les conter et elles ne sont clairement pas toutes mémorables alors je vous en détaillerais quelques-unes marquantes sur le parcous de Lady Bitch, celle qui en voulait toujours plus et cherchait toujours plus de dépravation.
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Par : le 15/11/23
Episode 1 : Infâme mixture mais délicieux rāmen Mon Maître plaisante à la vue de mon air dégoûté par l'aspect fort peu engageant de la mixture. -  « Assaisonné avec quelques gouttes de sperme, est-ce que serait plus facile à avaler, salope ? » Maintenant mes « hallucinations » me reprennent. Le flacon se met à scintiller. Manquait plus que ça. Ces scintillements bleu-jaunâtres me donnent le mal de mer. -  « Allez, courage ! Dis-toi que c’est pour sauver le monde » Au moins il sait me faire rire… Bon ben, quand il faut y aller… J’avale d’une traite ce flacon d’eau boueuse, que le Professeur a apporté. Beurk ! C’est infect ! J’espère que le Professeur ne se trompe pas et que sa théorie n’est pas qu’un pur délire. Je connais Streptomyce Avermitilis, ce surprenant micro-organisme qu'il découvrit autrefois dans le sol d'un terrain de Golf Japonais. Une découverte qui lui valut la gloire, le prix Nobel, puis récemment le dénigrement pour des prises de position qui ont été perçues comme une menace pour de puissants intérêts politico-financiers. Les médias et leurs meutes de fact-checkers ne font pas de cadeau à ceux qui sortent du rang. Il m’assure que les eaux croupies prélevées lors de notre séjour à Fushimi Inari grouillent d’une version mutante, qu’il a baptisée Streptomyce Avermitilis Inari (*). Il est persuadé que dans les temps préhistoriques ces micro-organismes vivaient en symbiose avec les zébralyvox et jouaient un rôle essentiel dans leur métabolisme et peut-être dans leur reproduction. Le symbiote du symbiote… Ils émettent des filaments, comme les zébralyvox, et sont le siège d'une forte activité électrique, nous explique-t-il, comme pour nous convaincre du bien fondé de son hypothèse. Tout cela me paraît un peu tiré par les cheveux. D’un autre côté, ces scintillements qui m’ont guidée à Fushimi Inari, je les ai bien vus. Je n’ai pas rêvé. Je ne suis pas folle. C’est comme si mes symbiotes voulaient me faire comprendre quelque chose. Après tout, que sait-on du métabolisme des zébralyvox, basé sur l’électricité?  Quasiment rien. Alors, ce ne serait pas la première fois que la nature nous surprendrait par son inventivité. Depuis la pandémie, je considère avec une grande méfiance la parole des médecins, auxquels je vouais pourtant autrefois une confiance aveugle. Quand la confiance est brisée elle est très difficile à reconstruire. Mais le Professeur est différent. En mon fort intérieur, je le sens honnête et compétent. Ce n’est qu’une intuition, mais je le ressens. Mon intuition m’a quelques fois trompée, mais bien plus souvent j’ai amèrement regretté de ne pas m’être fiée à elle. Le Professeur semble pressé de rejoindre Tokyo, mais devant l’insistance de mon Maître il accepte néanmoins de dîner avec nous. Les restaurants sont rares et il y en a peu qui sont ouverts le soir à Nikkō. Partout, nous trouvons porte close, ou une longue file d'attente, jusqu'à ce que nous trouvions enfin une place dans un restaurant de rāmen. Il s'agit d'un bouillon de nouilles, agrémenté de viande, d'oignons et d'œufs. Simple, mais très bon. Voilà qui va, je l’espère, faire passer le goût infect que j’ai encore en bouche. Malheureusement, les tables basses de cet établissement modeste, pas du tout conçues pour les touristes, sont très inconfortables pour la morphologie Européenne. Je ne sais pas comment me mettre, aucune position ne m'étant agréable. J'ai mal aux jambes, mal au dos. Je suis quelque peu déstabilisée par l’enthousiasme du Professeur. Il croît dur comme fer au succès du pangolin fou. Pour ma part, j'y crois de moins en moins. Où est donc passé mon optimisme d'antan? Suis-je devenue pessimiste ? Ou trop réaliste? Pour tout dire, je pense que cette histoire va mal finir et que le pangolin fou est une utopie qui n'a quasiment aucune chance face aux puissants intérêts qui ont corrompu notre société avec l’assentiment, ou tout au moins la passivité, d’une majorité de la population. Autant combattre une armée moderne avec des arcs et des flèches. Pendant le repas, le Professeur se risque à poser quelques questions sur la manière dont nous vivons notre relation. Mon Maître lui répond avec une délectation non feinte. Cela me réjouit, car je sens à travers ses mots le plaisir qu'il prend dans notre relation. Il est rare qu'il me témoigne directement ses sentiments et ces quelques moments pendant lesquels il exprime sa satisfaction me comblent de bonheur. Pour ma part, je reste silencieuse, les yeux baissés. A table, une esclave baisse les yeux et ne prend pas la parole sans y avoir été invitée. C'est la règle. Enfin, du moins, c’est Sa règle, celle qu'il m'impose - la seule qui compte finalement, tant il est vrai que les relations Maître/esclave recèlent une multitude de variantes. Ce silence imposé a l'avantage de renforcer considérablement ma perception. Quand on n'a ni  le droit de parler, ni de croiser les regards, on écoute, bien attentivement, on enregistre, on décèle l’information non verbale transportée par la moindre variation d’intonation. Lorsque mon Maître m'ordonne de remonter légèrement ma jupe, pour montrer au Professeur qu'aujourd'hui, comme chaque jour, je sors sans culotte, je m'empresse d'obéir, en m'efforçant de rester discrète pour ne pas attirer l'attention des autres clients. La sensation instantanée de chaleur au niveau de mes joues ne me trompe pas: je rougis fortement et cela se voit certainement. Episode 2 : Zébralyvox gémellaire, le cauchemar des sadiques  De retour à l'hôtel, mon Maître ne tarde pas à retirer sa lourde ceinture en cuir ce qui déclenche instantanément une montée de stress. Depuis que nous avons atterri au Japon, il m'a frappée à plusieurs reprises avec cette redoutable ceinture, et il cogne dur. Mais je n'ai pas le choix, je suis là pour son plaisir après tout, et puis de toute façon il ne me demande pas mon avis. Je m'empresse de me mettre en position pour recevoir les coups, bien cambrée. - "Non, pas comme ça, salope. Je vais te frapper la chatte ce soir. Allonge-toi sur le dos, jambes en l’air, bien ouverte". Il me tend une serviette dans laquelle il me conseille de mordre, pour atténuer mes cris, car ça va faire très mal. Il ne tient pas à ce que j'affole tout l'étage... Dès le premier coup je ne peux m'empêcher de resserrer les cuisses, dans un irrépressible réflexe de protection, ce qui me vaut une belle engueulade. Je dois engager toute ma volonté pour les maintenir ouvertes. Qui ose dire qu'une soumise n'a pas de volonté? A partir du sixième coup, les sensations s'atténuent brutalement. Pas de doute: les zébralyvox ont déjà migré vers ma chatte et déployé leurs filaments pour détourner l'influx nerveux. Incroyable! Ils n'avaient encore jamais réagi de manière aussi rapide. J'en informe immédiatement mon Maître, car mes cris et mes larmes lui sont indispensables pour mesurer l'impact des coups et éviter d'aller trop loin. Je ressens encore les coups, mais ils ne me font pas mal.   Bien que son tempérament sadique en soit certainement contrarié, la nouvelle le réjouit. Cela ouvre des perspectives encourageantes. Le Professeur avait donc raison, l'infâme mixture qu'il m'a faite avaler a un effet. Comment ais-je pu douter? Je me prends à reprendre espoir. J'ai parfois l'impression d'être une girouette, oscillant entre pessimisme et optimisme. Mais peut-être est-ce le lot de beaucoup d'humains même si peu osent l'avouer. Je doute fort que cette découverte vaille au Professeur un nouveau moment de gloire. Au contraire, je suis persuadée que si elle était révélée il serait arrêté et condamné pour mise en danger de la démocratie. Je me prends à penser que si les zébralyvox naturels se reproduisaient comme nous l’espérons et entraient en symbiose avec l’humanité entière, ils représenteraient un vrai cauchemar pour les sadiques et les masos. Cela obligerait la communauté bdsm à s’adapter, à se réinventer… Mais pour l’instant ce n’est pas notre principale préoccupation.   Episode 3: Chienne au pied du lit Je me réveille au milieu de la nuit, le clitoris en ébullition, comme s’il était parcouru par des dizaines de micro-courants électriques. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sens le plaisir monter sous pression comme dans une cocotte minute. Je n'avais jamais éprouvé une telle sensation. Et puis j'explose dans des hurlements de plaisir, réveillant mon Maître par la même occasion ! - "Tu t'es encore masturbée, salope ?" Oui, je sais que la masturbation m'est à présent interdite, mais impossible de lui répondre. Ce tsunami de plaisir m'a complètement désorientée. Alors qu'il détache la courte chaîne qui relie mon collier d'esclave au pied du lit, et m'ordonne de me redresser et de m'allonger sur le lit pour recevoir une bonne correction, je m'efforce de me concentrer pour arriver à sortir quelques mots, pour lui expliquer que je n'ai pas désobéi, que je ne me suis pas touchée.   Message bien reçu ! La punition redoutée se limitera cette fois à une succession de gifles magistrales. Pour m'aider à reprendre mes esprits, m'assure-t-il. En effet, c'est efficace ! Mon Maître prend beaucoup de plaisir à me gifler et cela déclenche souvent une puissante érection. Cette fois ne fait pas exception et dans la foulée je reçois l'ordre de présenter mon cul pour recevoir la bite. Après tout, je suis là pour lui servir de vide-couilles. Comme à chaque fois je suis traversée de sensations contradictoires, inconfort, humiliation et pourtant infini bonheur de donner du plaisir. Dès que mon cul a reçu la précieuse semence, je remercie chaleureusement mon Maître. Une esclave bien éduquée remercie toujours: être enculée est un honneur et elle le sait. Mais pas de protocole creux chez nous, pas de remerciements prononcés sans conviction. Mes paroles sont sincères, elles viennent du fond du coeur. Toujours! Je reçois l'ordre de retourner à ma place, allongée nue sur le sol, et mon collier est à nouveau relié au pied du lit. Cette fois mes poignets sont menottés dans le dos. Précaution supplémentaire pour s'assurer que je ne me masturberai pas. Est-ce qu’il doute de ma parole ? Mon Maître me gifle à nouveau et éteint la lumière. Pas de préliminaires, pas non plus de  câlins après le sexe. C'est bestial, c’est brutal, et pourtant cela m'excite d'être traitée ainsi, de sentir le plaisir qu’il y prend...   Episode 4: Retour à Tokyo Au petit matin, mon Maître m'annonce que nous allons retourner immédiatement à Tokyo.  Il y a encore tant de lieux à visiter dans les environs de Nikkō, mais il lui paraît prudent de retrouver le Professeur rapidement pour avoir un diagnostic du phénomène en cours et faire les analyses qui s'imposent. Un avis que je partage amplement, mais peu importe - il ne me demande pas mon avis. Par chance, il reste encore quelques places dans le Spacia X. J'adore ce train! Au départ de Nikkō, les vastes vitres panoramiques m'offrent un spectacle inimaginable en Europe: les employés de la compagnie ferroviaire se sont alignés sur les quais et s'inclinent pour saluer respectueusement les voyageurs en partance. Dans le train, je sens à nouveau mon clitoris s’électrifier. Même pas le temps de prévenir mon Maître, je sors à toute vitesse une serviette de ma valise et je mords dedans de toutes mes forces pour atténuer les hurlements de plaisir qui ne tardent pas à surgir. Je n’y parviens qu’imparfaitement. Mais les japonais savent rester discrets, ne pas montrer leur étonnement face à une salope qui hurle de plaisir dans le train… Le Professeur est un peu surpris de nous voir de retour de sitôt. Comme mon Maître me l'a ordonné, je me déshabille immédiatement après les salutations et je reste bien entendu silencieuse pendant la dégustation du thé matcha. C'est mon Maître qui lui explique ce qui s'est passé et s'enquiert de son avis.   Episode 5 : Dans les profondeurs du chaos renaît l'espoir Le Professeur déteste perdre de temps et parler pour ne rien dire. Nous rejoignons très vite l'université Kitasato, où nous retrouvons le jeune homme qui nous fait entrer discrètement par une porte dérobée. Il semble encore plus inquiet que l'autre fois. Il doit se dire que l’on va finir par se faire remarquer et que quelqu’un va nous dénoncer aux Brigades de Défense de la Démocratie. Pas de temps à perdre. Je retire ma jupe et m'apprète à m'installer dans le dispositif d'imagerie quand je reçois une sacrée baffe. - "Retire ton haut, connasse !" Dans ma précipitation, je m'étais dit que, puisque les zébralyvox sont dans mon clitoris, pas dans mes mamelles, je pouvais gagner du temps. Grave erreur ! Penser au plaisir des hommes doit occuper à chaque instant l'esprit d'une esclave bien éduquée. J'ai encore beaucoup à apprendre. Je préfère quand mon Maître m'appelle par mon prénom, Ysideulte, mais je dois me faire une raison... Maintenant je me prénomme salope, chienne, connasse... Je m'installe toute nue dans la machine, cuisses bien ouvertes pour ne pas gêner les mouvements rapides des têtes Doppler à couplage quantique qui s'activent autour de ma chatte - le dernier cri de la technologie. La localisation des zébralyvox est difficile et nécessite de la fusion multicapteurs. Mais elle nettement plus rapide cette fois. Le Professeur sait exactement où chercher : dans mon clitoris ! Ils ont l’air tranquilles, fixés sur les fibres nerveuses. Ils vibrent de manière synchrone ce qui permet de les détecter au Doppler. Rien de nouveau. Bizarre… Le Professeur s’adresse à mon Maître : « Si vous le permettez, on va la laisser en observation et enregistrer les images » Il a bien compris que ce n’est pas moi qui décide… « Oui, bien sûr. Il vaudrait mieux l’attacher pour qu’elle ne bouge pas ». Quel pervers ! Ils s’éloignent et me laissent seule, attachée dans la machine d’imagerie. Je les entends discuter à voix basse dans le fond de la salle, mais je ne peux ni les voir, ni comprendre ce qu'ils disent. Je crois qu’ils prennent un café pendant que je me morfonds dans cette machine. Fidèle à son tempérament pervers mon Maître m'a écarté les jambes au maximum lorsqu'il m'a attachée. Ca tire fort sur les ligaments! La position est inconfortable et, immobile, nue, j’ai de plus en plus froid. J’espère que ça ne va pas être trop long. Si je pouvais me masturber, peut-être que ça déclencherait quelque chose. J’aurais dû suggérer l’idée. Là, attachée, impossible de m’auto-stimuler. Les heures passent, lentement, très lentement... Je suis frigorifiée et ankylosée quand des sensations commencent à me parcourir le clitoris. Les picotements causés par les décharges électriques finissent pas me faire hurler de plaisir. Les trois hommes accourent. J'assiste à un spectacle incroyable sur l’écran de l’appareil d’imagerie, commenté en direct par le Professeur. Les deux paires de zébralyvox ont déployé un complexe réseau de filaments interconnectés au cœur duquel chaque individu a déposé une boule d’une sorte de liquide visqueux. De puissants éclairs éclatent entre nœuds opposés du réseau, là où se sont positionnés les zébralyvox.  Je me demande s’ils fusionnent ainsi leurs esprits, comme dans Cocoon. Le summum du plaisir sexuel ! Le plaisir délivré directement dans les neurones, sans intermédiaire. Les quatre boules fusionnent rapidement en une seule. Peu à peu, une multitude de Streptomyces Avermitilis Inari vient s’agglutiner à la surface de la boule et commence à la mettre en mouvement. C'est comme un complexe mouvement de convection, d'allure chaotique - un brassage des patrimoines génétiques qui semble aléatoire mais dont la structure cachée finit par se dessiner sous forme d'oscillations autour d’un attracteur double. - "On dirait un attracteur étrange !" - "Pardon?" me demande le Professeur, qui visiblement ne connaît pas le concept. L'occasion pour moi de lui faire un mini-cours de théorie du chaos. L'attracteur étrange. L'ordre caché dans les profondeurs du chaos. Si on m'avait dit qu'un jour j’étalerais ma science devant un prix Nobel ! - "Attention, si vous la branchez sur certains sujets, vous ne pourrez plus l'arrêter" prévient mon Maître.   Dans certaines circonstances, la fille timide se transforme en une intarissable bavarde... Un attracteur double, régi par les lois du chaos, qui engloutit tout sur son passage. Je viens d'assister en direct à la naissance d'une nouvelle paire de zébralyvox. Une structure gémellaire qui restera intriquée pour la vie. Ce n'est même pas encore un embryon, je ne sais pas exactement ce que c’est, mais il porte tant d'espoirs à mes yeux que je sens des larmes de bonheur couler sur mes joues. à suivre Contexte (*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).    
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Par : le 22/09/23
préambule: Ce texte est la traduction / réécriture partielle d'un texte que j'ai écrit en anglais (sur fetlife).   Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Premier texte / premier élément : un canapé confortable A genoux et sur tes mains, esclave ! Je sais que tu n'as pas été dressée, mais est-ce que c'est si compliqué pour toi de comprendre que ta place est à genoux ? À partir d'aujourd'hui et, pour chaque nouvelle session de dressage, tu entreras dans notre pièce spéciale, à genoux. Impatiente de poursuivre ta formation d'esclave, dans le but utime de mieux servir ton Maître. Est-ce que c'est compris ? Oui, Maître Good girl (flemme de traduire :D (mais pas de commenter, ce qui est sans doute plus chronophage, bonne remarque)) Je suis assis sur le canapé et je trouve que, pour l'instant, la pièce est vide. Mais nous allons en faire notre endroit. Mon esclave est complètement nue à l'exception d'un collier et d'une laisse qui traîne derrière elle. Viens ici, salope ! Commençons ton entraînement en te faisant comprendre que tu es une chienne faite pour obéir à tous les ordres que je voudrai bien lui donner, ni plus ni moins. La réflexion, c'est pas pour toi. Tu te contentes d'obéir et de répondre oui Maître. Compris, salope ? oui Maître Tourne-toi ! oui Maître Laisse-moi vérifier quelque chose. Oh wow tu es une vraie salope. Complètement mouillée alors que rien n'a commencé. oui Maître. Je suis impatiente de vous servir du mieux que je peux. Ok, c'est vrai. Tu as probablement ce qu'il faut pour être dressée et faire une esclave acceptable. Viens ici comme le putain d'animal que tu es. En marchant à 4 pattes et en regardant le sol. Je veux te voir te frotter à ma jambe jusqu'à ce que tu exploses comme la chienne que tu es. Oui, Maître. Merci beaucoup, Maître de m'autoriser à exploser. Ne me regarde pas. Baisse les yeux, sale pute ! Je peux déjà t'entendre gémir après quoi ? Quelques dizaines de secondes. Sérieusement, tu vas vraiment exploser dans la minute ? Arrête ! Je sais que tu es un putain d'animal, mais quand même, respecte-toi un peu. Oui, Maître. Mais c'est toi qui me transforme en une énorme salope, tu le sais. Je ne le reconnaîtrais jamais à voix haute. mais c'est vraiment très agréable de voir ce regard suppliant dans tes yeux. C'est aussi très agréable de cracher dans cette bouche ouverte, prête à avaler tout ce qui se présentera à elle. Je vais te laisser exploser mais, d'abord, regarde-moi dans les yeux et ouvre ta bouche. Supplie-moi et je te laisserai le faire. Dans la seconde qui suit ... s'il vous plaît, Maître. Ayez la gentillesse de me laisser exploser en frottant mon sexe contre votre jambe, contre votre pied. Je n'ai même pas réalisé que tu avais pris mes doigts dans ta bouche et que tu te remets à les lécher après avoir supplié. ok, tu as 30 secondes. Si tu peux exploser, c'est parfait. Sinon, tu auras perdu ta chance pour aujourd'hui et sûrement les jours à venir. Je retire mes doigts, j'attrape tes cheveux et je les tire pour que ton visage regarde vers le bas. Je sens ton sexe trempé se déplacer contre ma jambe. Tu ouvres encore plus les genoux pour que je puisse placer mon pied droit entre eux. Il te faut 10 secondes pour commencer à gémir très fort. Encore 10 secondes et tout ton corps commence à se contracter et tu commences à exploser bruyamment. Tu as effectivement tout pour devenir mon esclave. Il y a du travail. On va travailler sur la frustration. Pas question que tu deviennes un animal. On va travailler sur la frustration, la retenue pour que tu deviennes une vraie esclave mais je n'ai aucun doute que l'aménagement de cette pièce spéciale et le dressage en parallèle va être une source de plaisirs multiples.
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Par : le 28/06/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2016 C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle ville et une nouvelle école pour un nouveau départ ! Ayant appris de mes erreurs et étant dorénavant consciente de mes démons, j’emménage dans une collocation avec deux étudiantes que je ne connais absolument pas. La colocation était une manière de partager le loyer et d’avoir de l’aide pour les tâches ménagères mais c'était aussi surtout une solution pour ne ne pas vivre seule afin d’avoir une vie sociale m'assurant une présence limitant ma capacité à faire une rechute ou me laisser aller. C'est ainsi que je fais la connaissance d’Ines et Delphine mes deux colocataires de 19 et 20 ans qui faisaient également leurs études loin de chez elles. Ines est dans mon université, elle est studieuse, d’un naturel calme et a une joie de vivre contagieuse, elle est célibataire. Delphine est plus turbulente, a un sens de l’humour affuté et est plus bordélique, elle est en couple. Nous devinrent rapidement copines et vivre avec elles au quotidien était très agréable, ça me changeit de mon année précédente avec pour seules compagnes ma solitude et la déprime. Je ne vais pas détailler plus que ça de la manière dont nous vivions par contre je vais aborder les deux seuls points qui ont de l’intérêt : - Les garçons étaient interdits à l’appart - Nous n’avions pas le droit d’entrer dans la chambre des autres. Le premier point était une règle nous permettant de rester concentrées sur nos études, de ne pas imposer la présence de nos fréquentations ou petits copains aux autres et ça m’allait très bien car cela posait des barrières autour de mon addiction au sexe tout en évitant que les filles m’entendent jouir ou me faire défoncer (ce qui valait aussi pour elles). Le second point était essentiel pour que l’on garde une vie privée et un semblant d’intimité, ma chambre était comme mon havre de paix, la pièce dans laquelle je pouvais me couper de mes colocs afin de réviser, me détendre ou... me faire du bien. Cette chambre ressemblait à la chambre de la parfaite petite étudiante, un lit double, un bureau, une armoire et du matériel de make-up, elle était toujours propre et rangée. Pour autant si vous regardiez sous mon lit, vous y découvririez une valise avec à l’intérieur toute une collection de sex-toys et si vous aviez le mot de passe de mon pc portable pour le déverrouiller vous y découvririez un historique internet et des favoris cochons, l’étudiante studieuse en prends un coup ! Les premières semaines je me masturba calmement dans mon lit en repensant à Kévin ou quelques fantasmes habituels mais très vite je recommença a consommer du porno et me goder savourant ce plaisir secret et intime à l’abri du regard de mes colocs. Plus les jours passèrent et plus je passai du temps sur les sites de rencontres où je m’étais inscrite à parler avec des mecs en quête de mon premier plan cul, il était temps que je me fasse sauter ! Mon envie de bite se faisait de plus en plus ressentir et ma concentration en cours commençait à en pâtir car je me surpris plusieurs fois à scruter des garçons en me demandant s’ils feraient l’affaire ... Je voulais m’amuser et j’avais décidée de rencontrer des mecs pour leurs queues et rien que leurs queues ! Je ne voulais plus durant les prochains mois m’intéresser à eux mais uniquement à ce qu’on allait faire ensemble ... Se rencontrer, Se déshabiller, Se consommer et Se séparer. J’y avais mûrement réfléchi et j’avais décidée de m’assumer en tant que salope et d’enchainer les aventures, de profiter de ma jeunesse, de m’épanouir sexuellement et de jouir de ce physique si durement retrouvé ! Quelques garçons me tournaient autour en cours, comparée à l’année dernière j’étais mieux intégrée et j’avais réussie à me faire des amis (filles comme garçons) mais j’étais trop dévouée a mes cours et mes révisions pour flirter avec eux. Je m’appliquais à avoir de bons résultats afin de ne pas revivre une désillusion scolaire et ma mère payant cette fois-ci le loyer afin de m’éviter de prendre un petit boulot à côté, il était primordial d’avoir une bonne moyenne pour lui prouver que je n'allais pas me foirer et que cet effort financier portait ses fruits. L'école nétant donc pas un terrain de chasse propice a des coups d'un soir (surtout que je me serais rapidement fait une réputation) et bien je me tourna naturellement et rigoureusement vers les sites de rencontres. Alors pourquoi après plusieurs semaines n'avais-je pas encore trouvée ma prochaine conquête ? Vous devez vous demandez pour quelle raison prenais-je autant de temps à sélectionner ce mec ? Il allait être ma 10ème bite …   Jusqu’ici je tenais le compte et même si j’avais prise la décision de les enchainées prochainement et de ne plus me soucier de mon nombre de partenaires, le fait de passer la dizaine me donnait envie de bien la choisir, qu’elle soit mémorable car je savais que ce gars allait être la fin de cet intérêt pour mon nombre d’amants mais aussi l’amorce de quelque-chose donc je ne voulais pas me précipiter et m’assurer d’avoir un amant inoubliable ou une bite extraordinaire pour ce premier plan cul … J’ai conversé avec beaucoup de garçons. J’étais très sélective physiquement, je cherchais un mec qui me fasse de l’effet ... Un beau-gosse qui serait mignon de visage et à la carrure plutôt sportive, le gars qui me ferait mouiller comme une folle ! Mon profil, mes photos et ma bio étaient équivoques, je n’étais sur ces sites que pour du cul ! J’avais postée 3 photos de moi : - L' une prise du dessus qui plongeait dans mon plus beau décolleté afin de montrer que j’avais « du monde au balcon », - Une seconde de mes jambes dans la baignoire avec de la mousse sur mon entrecuisse (camouflant mon pubis) où l’on pouvait voir tout le bas de mon corps sans que mon intimité ne soit révélée et où j’affichais fièrement mes pieds pour les fétichistes (je me trouvais super sexy sur cette photo). - La troisième de derrière où l’on me voyait de dos en bikini sur la plage pour avoir un aperçu de mes fesses. J’enchainais les matchs et les conversations mais je me rendais vite compte que la plupart des mecs étaient tous les mêmes, peu bavard et bien souvent trop rentre dedans dès le départ en cherchant un rendez-vous immédiatement … La rançon de la gloire quand on a fait la fille facile dans sa bio et son allumeuse avec ses photos … Mon plan cul devait être excitant physiquement mais aussi psychiquement, je voulais que cette 10ème bite soit parfaite, que cette baise soit inoubliable et pour ça il me fallait un gars qui sache me stimuler. La plupart ne sortait pas du lot quand je commençais à les chauffer ou leur demander ce qu’il me ferait si je venais chez eux ce soir (il fallait qu’ils puissent recevoir étant dans l’impossibilité d’en ramener un a l’appart). Leurs réponses étaient peu originales et c'était rarement excitant de lire ce qu’ils avaient en tête ou ce qui les excitaitent. Quelques gars se démarquèrent parfois mais au moment de discuter de nos pratiques ou fantasmes c’était là encore plutôt fade et convenu ... Celui qui se démarqua apparu fin octobre alors que j’allais avoir mes premiers jours de vacances de l’année, j’avais fait le choix de rester à l’appartement pour me reposer, réviser et rattraper mon retard sur une série TV mais c’est une soirée chez ce beau-gosse que je programma finalement le soir du départ en vacances. Il avait de beaux cheveux longs qu’il attachait avec un chignon, c’était un mec musclé qui affichait de beaux abdominaux et de gros pectoraux/biceps sur ses photos torse nu, physiquement une bombe, je me voyais déjà promener mes mains sur son corps pendant qu’il me baiserait ! Il m’avait fait de l’effet par messages en me disant qu’il aurait aimé prendre ce bain avec moi pour glisser sa main entre mes cuisses et m’ôter cette mousse (visible sur ma photo) ... On s’était alors chauffer quelques jours et il m’avait dit être très endurant, accroc au sexe et incapable de se poser avec une fille tant il aimait séduire. Cela me vendait du rêve et puis au moins c’était clair, avec lui aucune chance ou de s’attacher ce qui en faisait un coup d’un soir de choix ! Il avait eu le courage et l'audace de m’envoyer sa bite en photo quand je lui avait demander s’il en avait une grosse et la photo avait été une réponse des plus convaincantes, elle était épaisse, bien veineuse et imposante donc j’étais ravie. Pour être honnête, je ne me rappelle plus de son prénom mais je me souviens qu’il avait 5 ans de plus que moi (25 ans), son propre appart en plein centre-ville et qu’il fournissait les capotes donc puisqu’il m’excitait à mort physiquement et par messages, je décida de foncer !   Nous avions choisis de nous rencontrer dans un bar proche de chez lui, je me rendis là-bas avec un décolleté plongeant mettant en avant mes atouts, un pantalon simili cuir et des talons de pétasse. Coté lingerie, un string noir à dentelle que je portais avec un soutif rouge lui aussi à dentelle. Je me souviens avoir été toute excitée en me rasant la chatte quelques heures avant, de m'être caressée en sortant de la salle de bain et d'avoir été fière de l'allure que j'avais dans mes sous-vêtements face a mon mirroir. Le régime et mes nombreuses séances à la salle avaient payées ! Je m'étais maquillée avec soin, j'avais mis mon plus beau rouge à lèvres, je m'étais faites aussi belle que possible et habillée de façon sexy pour lui. Dans la rue, je vois plusieurs hommes me reluquer, je me sens sexy et leurs regards me confirme que j’ai probablement choisie une bonne tenue pour stimuler rapidement ce beau mâle qui m’attends. J’entre dans le bar, il est comme prévu assis à une table au fond. Je ne suis pas déçue, il est encore plus beau en vrai que sur ses photos. Je m’installe à sa table timidement et légèrement mal a l’aise n’ayant jamais encore "date" un parfait inconnu, il semble a l’aise et sûr de lui, le feeling passe bien. Après quelques minutes, deux trois échanges de banalités et l’arrivée de nos verres, il lance enfin un sujet plus croustillant en me complimentant sur mon physique. Je lui demande alors si je lui plais car il n’avait aucune photo de mon visage ? Il me confirme son attirance, ce a quoi je lui réponds ne pas être déçue également, une tension sexuelle s’installe, elle est palpable, son regard dans le mien est électrique, il me déstabilise autant que j’ai envie de foncer chez lui ! Il commence a poser sa main sur la mienne au fil de notre conversation, on évoque mon inexpérience en dates et que c’est la première fois que je viens à la rencontre d’un gars pour du sexe, il m'expose alors le contraire, son habitude à ce type de rencontres et me rassure sur le fait qu’il va prendre soin de moi et que tout va bien se passer, qu’on va se régaler … Une pulsion m’anime alors et je lui demande « qu’est-ce qu’on attends pour y aller dans ce cas ? » Il sourit, termine son verre d’une seule gorgée et me réponds « allez, c’est parti » ! J’avale d’une traite le mien à mon tour et prends mon sac pour le suivre, on rigole, il prends ma main, mon cœur s’emballe ... Que suis-je en train de faire ? On marche quelques instants, il passe sa main par-dessus mon épaule et m’explique qu’il habite à deux rues d’ici, il sent bon, j’aime l’odeur de son déo/parfum, le soleil est en train de se coucher et illumine son visage d’une sublime teinte. Je le trouve si beau … Me voici dans son appartement, un léger stress s’empare de moi au moment où il ferme la porte a clé, il se retourne et me sourit, je lui rends timidement son sourire sans un mot. Il s’approche, pose ses deux mains sur mes joues et m’embrasse langoureusement. Mon stress s’envole et mon bas-ventre s’éveille. Alors que nous nous embrassons plus sauvagement et que nos langues se mêlent, il me pousse en arrière tout en me gardant contre lui, je recule en continuant notre baiser avant de basculer a la renverse sur son canapé. Ses lèvres et sa langue quittent ma bouche pour plonger dans mon décolleté et m’embrasser le haut des seins !  J’adore sa fougue et qu’il y aille aussi franchement sans même me dire un mot depuis qu’on entrés chez lui ... Il m'excite. Ce garçon que je ne connaissais pas il y’a 20 minutes est en train d’enlever mon haut et sortir mes seins de leur soutif pour me dévorer les mamelons, je gémis comme la salope que je suis alors qu’il me suce les pointes et malaxe d’une poigne ferme ma poitrine. Mes gémissement de plaisir semblent le déranger car il enfonce rapidemment deux doigts dans ma bouche comme pour me faire taire ou m’ordonner d’essayer d’endurer sa fougue le plus discrètement possible. Je commence alors a sucer ses doigts, promener ma langue autour de ceux-ci, ce qui a pour effet de le faire devenir plus bestial, il commence à mordiller mes tétons et m'assenne même des claques sur les seins. J’aime qu’il me traite ainsi, je me sens comme une Femelle réduite à l’usage de ce Mâle, il est si sauvage que plaisir et souffrance se mêlent mais j’ai la sensation d’être sa chose et ça m’excite carrément.  Je commence à avoir mal aux seins, mes tétons ont étés maltraités et le tripotage sans retenue ainsi que les multiples coups administrés a ma poitrine me donne la sensation de n’être plus que deux énormes bleus ... Je n’allais pas tarder à arrêter de lui sucer les doigts pour lui demander de laisser un peu de répit a ma pauvre poitrine quand il se redressa de lui meme pour déboutonner son pantalon face a moi et me donner un ordre des plus directs « Suce moi ! ».   Je me redresse sur le canapé alors qu’il grimpe dessus, la situation m’embarrasse, son sexe est en érection face a moi, je l’ai littéralement sous le nez et je trouve cela légèrement rabaissant, il ne m’a pas laissé le plaisir de découvrir sa queue, de l’extirper de son pantalon/caleçon, la prendre en main, la lécher, jouer avec avant de le prendre en bouche … Il me l’a mise directement sous le nez, à quelques centimètres de moi et m’a donné l’ordre de le pomper, cette posture avec les mains sur les hanches alors qu’il bande aussi virilement devant moi me gêne, c’est comme si cette situation affirmait sa supériorité sur le jouet sexuel que je semblais être pour lui, ça m’excitait autant que ça me gênait qu’il soit si à l’aise. Je m’exécute tout de même, j’empoigne sa grosse queue gonflée de désir, elle est chaude et plus dure que toutes les queues que j’ai le souvenir d’avoir un jour prise en main ...  Je le branle délicatement alors que ma langue se pose sur sa verge, je prends conscience du morceau et réalise qu’elle est vraiment monstrueuse, une vraie bite d’acteur porno … Je lèche cette queue d’une rigidité inquiétante en me demandant si elle ne va pas me faire mal quand je l’aurais en moi ? Ma langue parcourt son chibre et ses veines donnent du relief à « l’objet », sa queue est encore plus impressionnante qu’en photos, il était définitivement le meilleur choix ! Son énorme bite me fait fondre d'excitation autant que je la crains pour la suite ... Je suis complètement excitée par la situation, être les seins à l’air avec le soutif encore agrafé sur mon ventre dans le salon d’un parfait inconnu en train de goûter à la bite la plus virile qu’il m’a été donnée de voir est super excitant. J'adore cette liberté que je m'accorde, cet interdit que je brave, je me sens cochonne et supérieure à celles qui n'osent pas vivre ça. Je décalotte pleinement le gland de mon partenaire et enfonce sa queue dans ma bouche, je la lèche, la suce, l’aspire, la pompe et la goûte comme si je n’en avais pas eue en bouche depuis des années, je me sens affamée, j’ai envie de la déguster encore et encore, je prends du plaisir à le sucer. Je commence à me laisser totalement aller et faire tout ce qui me passe par la tête, ma fellation devient plus obscène et baveuse, je lui fais du « sâle » alors que ma chatte est en feu, j’ai l’impression d’être trempée, j’ai envie de me caresser le clito pendant que je le pompe, d’enfoncer un doigt en moi pour constater l’effet qu’il me fait … D’un coup, il se mets à me tenir le crâne et me baiser la bouche, ses pouces sont au-dessus de mes oreilles alors que ses 8 autres doigts m’écrasent le crâne, il ne fait preuve d’aucune délicatesse dans sa manière de me tenir la tête et encore moins dans la manière dont il me baise la bouche. Ses couilles volent au rythme de ses vas et viens, elles claquent parfois contre mon menton tellement il y va vite, il me fourre la bouche comme si c’était une chatte, je le trouve encore une fois beaucoup trop a l’aise et humiliant pour un plan avec une parfaite inconnue mais là aussi ça m’excite d’en être déjà à faire des choses si obscènes/intimes avec un mec que je connais à peine ... Il me fait soudainement basculer en arrière bloquant ma tête entre le dossier du canapé et son pubis afin de me la mettre plus profondément, j’ai son énorme queue en plein dans la bouche, j’étouffe comme je n’ai jamais étouffé mais je prends sur moi … Ma langue est coincée sous sa queue, il a trouvé la bonne inclinaison pour se payer ma gorge, il me baise la bouche plus calmement mais bien plus loin ! Je n'y arrive pas, sa queue tient à peine dans ma bouche et me coupe totalement la respiration, son énorme morceau de chair appuie sur ma langue et me donne envie de vomir. Ma gorge se fait malmener un moment sans que je puisse gérer ce qu’il se passe, m'avouant vaincue, je commence à taper sa cuisse pour lui demander de me laisser respirer mais sans succès, il ne m’écoute pas et continue son œuvre. J’essaie alors de m’extirper mais il me tient fermement par les cheveux, coincée contre le canapé et le poids de ce gars sur moi, je n’y arrive pas. J’ai l’impression que je vais lui gerber sur la queue et m’étouffer par manque d’oxygène, c’est un énorme relent qui m’aidera finalement à le dévier en m’extirpant dans un rejet qui frôla le vomissement ! Ce fut un véritable haut de cœur et j’en bondissa hors du canapé pour saliver abondemment sur son parquet comme une vulgaire pute … « Mec, c’était quoi ça ? T’es malade ! » lui reproche-je alors que je reprends péniblement mon souffle et ravale ma salive. Il me redresse, essuie mon eye-liner qui dégouline sur mes pommettes, m’embrasse à pleine bouche alors que je suis encore pleine de bave, dégrafe mon soutien-gorge qui tombe au sol puis me pousse de nouveau sur le canapé où il se mets a enlever mon pantalon, je reprends encore mes esprits après avoir étouffée sur sa queue lorsqu’il me donne un nouvel ordre : « A quatre pattes maintenant » … Il me fait cambrer devant lui afin d’admirer mon cul en string puis l’écarte pour plonger un doigt en moi, il m’informe que je suis trempée (comme si j’en doutais) puis il baisse mon string avant de venir plonger son visage entre mes fesses afin de me lécher les deux trous avec gourmandise. Je suis décontenancé, il ne s'est meme pas excusé pour m'avoir faites presque vomir avec sa gorge profonde. J'en reviens pas qu'il ne m'a même pas répondu quand je me suis plaintes. Ce mec m'a embrassée, déshabillée et mis dans la position qu'il souhaite et je me suis docilement laissée faire ... Il me traite comme un jouet dont il peut disposer et je le laisse faire ...  Je prends conscience de la chienne qu'il croit avoir chez lui, son attitude me renvoit brièvement a mes séances de psy ... Suis-je capable de me laisser encore traitée ainsi par un homme ? Puis-je laisser un homme faire ce qu'il veut de moi ? Suis-je d'accord avec ça ? Est-ce normal de finir toujours dans cette posture, ce rôle, cette façon de coucher ? Est-ce qu'une femme est faites pour se faire prendre de la manière dont l'homme en a envie ? Ne suis-je pas faites pour ça ?  Voulais-je baiser avec un inconnu ou me faire utiliser par un inconnu ? Pourquoi ce traitement toxique m'excite-t-il ? Suis-je une chienne qui ne veut que ça ? Servir les besoins des hommes ? Ces questions se bousculent dans ma tête alors qu'il me dévore sucessivement les trous. Sa façon de me bouffer le cul est animale et sale, il salive beaucoup trop et ma raie finit trempée ce qui est loin d’être agréable. Il enfonce plusieurs fois sa langue dans mon anus ce qui n’est pas ce que je préfère. En revanche, sa manière de me lécher la chatte est plus maitrisée et fait mouche, il embrasse mes lèvres du bas avec les siennes et sa langue se promène dans mon trou ou sur mes lèvres, de bons coups de langues bien précis et quelques frottements du doigt titille à souhait mon clitoris et me font fondre sous ce traitement. Je m’agrippe au dossier du canapé totalement excitée par le fait de sentir son front et son nez complètement enfoncés dans mon cul, lui aussi est a son tour en apnée entre mes fesses. Mes pensées s'estompent pour ne laisser place qu'à une image où je me vois à quatre pattes en train de prendre mon pied avec l’intégralité du visage de cet animal dans mon cul, on ne m’avait jamais fait ça dans cette position ! Il se redresse après de longues et délicieuses minutes, il me dit de ne pas bouger, fait quelques pas puis revient vers moi avec une capote, il la déchire et l’enfile avant de venir frotter sa queue contre ma chatte. Je me crispe instantanément en me demandant si commencer par la levrette est une bonne idée avec une telle bite ? Il ne me laissera pas le temps d’en débattre et me la mets lentement, cela me coupe le souffle, elle est énorme et l’absorber est incroyable. Je me fais prendre avec patience et maitrise, ma chatte s'habitue à son membre avec bonheur, elle est trempée et était finalement totalement prête à l’accueillir. Mon amant est bon, on vient de commencer mais je sens instantanément qu’il sait y faire, il me lime doucement pour bien que je sente sa verge sur toute la longueur.  Je constate qu'il sait se jouer d'une femme quand il me lime l’entrée plusieurs fois rapidement en me pénétrant peu puis pousse d’un coup vif et puissant au fond pour me faire l’encaisser profondément et m'arracher a coup sûr un cri/gémissement ! Je m'habitue a le laisser m'entendre jouir sous ce traitement, il tape deux fois tout au fond avant de reprendre une dizaine de courtes pénétrations pour me faire saliver et espérer de plus gros coups de reins, pas de doute, il sait y faire pour asservir une femme à sa queue. La véritable levrette débuta après m'avoir totalement décomplexée, de vrais coups de reins en cadence me faisaient dorénavant couiner comme une chienne en chaleur et ma chatte aspirait son épaisse bite comme si elle avait toujours été aussi dilatée. Ses mains parcourent mes fesses, il les malaxent, les écartent, les remuent ! Il s'aggripe à mes fesses et les broient entre ses doigts, il me secoue le cul sur sa bite sans qu'on bouge comme pour se branler avec ma chatte, il me fait remuer dessus seule, il profite de tout ce que j'ai à offrir ... Les minutes passent et ma chatte se fait pulvériser, de grands coups de bites s'abattent dorénavant en moi pendant qu'il me tient par les hanches, il me frotte l’anus du pouce, passe une main sous mon ventre pour me caresser le clito ou par moments il tripote mes seins qui pendent dans le vide. Il m'arrache de nombreux gémissements intenses et me fait jouir a répétitions. « T’as l’air d’apprécier être ma chienne, dis-moi que t’aimes cette queue !  - Je l’adore, elle est trop bonne ! Et toi ? T’aimes ma chatte ? - Tu mouilles abondement, ma bite glisse si facilement en toi ! J'aime le bruit que ta chatte de salope fait, ça m’excite grave ! - C’est parce-que tu me rends folle, baise-moi plus fort ... - Oh, tu veux y aller à fond ? Voyons ce que tu peux encaisser ! - Défonce-moi, je suis là pour ça » Une levrette brutale, intense et mémorable débuta.   Il retire sa queue de ma chatte, me repositionne à l’avant du canapé alors qu’il se met cette fois debout face a mon cul. Il ôte mon string que j'avais sur les chevilles depuis un moment, j'allais l'aider a retirer mes talons quand il refuse et me dit de les garder, ça l'excite. Il rentre de nouveau en moi et débute alors une série de coups de bites bien plus brutaux. Je suis le cul en l’air avec le visage contre le canapé, un étalon me prends sans retenue et fracasse mes pauvres fesses contre lesquelles son pubis et ses cuisses claquent a toute allure. Il est brutal, ses coups de reins sont effrénés et sa lance me perfore trop profondément, j’ai l’impression qu’il tape contre mon utérus, j’en ai mal au ventre mais l’intérieur de ma chatte et mon clito se régalent, mes parois vaginales sont limées sans ralentissements, j’hurle de plaisir/surprise/douleur sous ses assauts. Quelques insultes/compliments accompagnent ses coups de reins, on se lâche complétement verbalement et physiquement, il n’est plus qu’un chien en rut, vulgaire et violent et je ne suis plus qu’une chienne en chaleur, obscène et soumise. Le bruit de son corps qui s’entrechoque avec mon fessier, nos gémissements décomplexés, nos obscénités verbales et le bruit que fait son canapé qui avance sur son parquet par moments me font penser aux voisins qui doivent nous entendre, ça m’excite, on est des putains d’animaux. Je prends mon pied, je couine, gémis, hurle par moments et j’ai les larmes aux yeux car je commence à ne plus supporter tout ça, j’en perds le souffle, la tête et ma chatte ressent trop de choses, du bon comme du mauvais, il me la broie de l’intérieur, j’ai l’impression de n’être plus qu’un trou béant qui ne se refermera plus, sa grosse queue me fait autant de bien que de mal et je ne sais pas si j’ai envie de pleurer de plaisir ou de douleur. Une fessée puis deux puis trois s’abattent sur mes fesses, je sens déjà ma peau rougir, il m’insulte de chienne et autres joyeusetés alors qu’il me frappe. Le paradoxe se fait de nouveau sentir, est-ce que j’aime qu’il fasse ça ? Pourquoi je me sens mal à l’aise ou humiliée/rabaissée à être traitée ainsi ? Pourquoi est-ce que ça me dérange qu’il se permette ça sans m’en avoir parler ? Pourquoi est-ce que je ne l’arrête pas alors que ça fait mal ? Pourquoi est-ce que je me sens excitée par le fait qu’il me manque de respect comme ça, me réduise a ça, se permette ça, me traite comme ça ? Pourquoi est-ce que je le trouve viril et excitant a se comporter ainsi ? Pourquoi est-ce que j’aime du coup qu’il fasse ça ? Est-ce que ça fait du bien ou juste mal ? Je suis partagée et est-ce que ce n’est pas cette dualité entre mes sensations/sentiments qui m’excite autant justement ?   Quelque-chose grimpe en moi, quelque-chose d’intense, j’ai envie d’ouvrir les bras a cette sensation autant que la fuir pour qu’elle s’éloigne. Mon bras commence alors à freiner instinctivement mon partenaire, je pose ma main contre son ventre pour réduire sa capacité de pénétration et sa vitesse, je constate qu’il est en sueur. Cela m’excite ... NON !!! Ce n’est pas le but ... Pourquoi je n’arrive plus à me tenir ? Il me prend alors le bras puis l’autre et me voici encore plus vulnérable avec les deux poignets l’un sur l’autre alors qu’il me menotte de sa main. Il me baise moins vite mais pas moins fort, je n’arrive plus à tenir, ça fait mal, ma chatte n’est plus en mesure de le servir, je le supplie d’en finir l’informant que je suis hors-service ! Il me soulève alors le haut du corps a la force de ses bras en tirant sur les miens, il bascule son dos légèrement en arrière et me pilonne sans aucune retenue ou pitié alors que je viens de lui dire être détruite ... Mes seins volent dans tous les sens, je suis droite, à gémir de douleur et de bonheur sous le traitement que je subis, je suis empalée sur sa queue, il va définitivement me détruire la chatte, je serre les dents et attends qu’il finisse me fiant a sa respiration haletante et la vivacité de son assaut, il ne tiendra plus longtemps. C’est alors que l’impensable arriva, dans un dernier élan destructeur pour moi et salvateur pour lui. Il passe son bras droit entre mon dos et mes deux bras, fermant mes bras entre son avant-bras et son biceps et me redresse contre lui, je me retrouve le dos contre son torse avec les deux bras maintenus fermement par le sien ! Sa main gauche me malaxa un moment les seins et les tétons avant de se fermer sur mon cou, il m’étrangla alors dans un dernier élan de sauvagerie et ce n’était pas un étranglement délicat ou pour le jeu sexuel ... C’était un étranglement réel, bestial, brutal qui aurait pu s’avérer fatal car je sentais qu’il ne relâcherait qu’après avoir joui. J’entends cet homme en rut râler de plaisir alors qu’il me déboite, mon corps est tordu en deux, mon cul et mes hanches sont cambrés sur sa queue et le haut de mon corps fait une arche, ma tête est sur son épaule, il me lèche la joue alors qu’il m’étrangle de toute ses forces comme s’il allait me tuer. Je n’arrive plus à parler, je ne respire plus depuis un moment, j’ai mal au dos, à la chatte et je commence à perdre connaissance, je ne l’entends bientôt plus gémir, le bruit de ses coups de reins disparait et je ne ressens plus rien. Rien sauf sa queue qui me pilonne, la sensation que j’ai cherchée à éloigner accélère subitement et je me tords alors sentant le bas de mon ventre imploser, c’est intense, c’est comme s’il avait rompu quelque-chose en interne dans ma chatte. J’essaie d’hurler mais j’étouffe, je suis de retour dans le monde réel et me débat, j’essaie de me jeter en avant tout en remuant ma tête dans tous les sens, il relâche subitement ma gorge, je tousse et m’écroule, ses bras me libèrent, je suis sur son canapé à trembler de partout et m’agripper à l’accoudoir ... Je pousse enfin un long gémissement de plaisir alors que ma chatte semble jaillir, je viens d’avoir mon premier orgasme. Je reste un moment affalé sur le canapé avec les jambes qui tremblent, je reprends mon souffle péniblement, quelques larmes coulent, j’ai la gorge en feu et ma chatte semble n’être plus qu’un trou béant. Mon corps accuse un sérieux contre-coup, j’ai mal partout mais je suis aussi comme sur un petit nuage, je me sens légère, je flotte hors du temps et je me sens en paix. Une palpation de mes fesses me ramène avec lui alors qu’il s’approche de ma chatte détruite. Je m’extirpe aussitôt hors de son contact refusant qu’il me la touche de nouveau. Je me retourne face a lui pour lui dire que je suis hors-service et que je vais le finir avec ma bouche mais je constate qu’il commence à débander et que la capote est pleine de sperme. « Doucement, je suis plus en capacité de te laisser la toucher … - Haha, ok ! - Je ne savais pas que t’avais joui, t’es venu quand ? - Bah en même temps que toi, quand tu te tordais dans tous les sens, j’étais en train d’envoyer la sauce. - Tu veux dire qu’on a … jouis en synchro ? - Oui, ensemble, te voir avoir un orgasme m’a achevé ! - Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme ... En tout cas pas d'avoir joui aussi intensément et ça ne me parle pas non plus d’avoir joui en même temps que mon partenaire, je trouve ça fou ... - On était compatibles, que veux-tu ! - Ouais … plutôt … - En tout cas, peu de filles arrivent a encaisser ma bite comme tu l’as fait ! - C’est vrai ? Bah, je dois avouer que j’ai super mal au ventre maintenant mais c’était le pied. - C’est normal, j’ai tellement tapé dans le fond … Tu veux boire un truc ? - Un verre d’eau s'il te plait puis je vais y aller … - Ah ouais, tu ne veux pas passer la nuit ici ? On pourrait recommencer tout à l’heure puisque t’as l’air d’avoir aimé ça ? - Haha j'apprécie ton entousiasme mais je suis plus du tout en état, je t’assure que là c’est impossible. - Ok, pas de soucis, c'est toi qui vois - Ta salle de bain est où, je vais aller me passer un coup d'eau » Il retire sa capote, la jette dans la poubelle de la cuisine, m'indique la salle de bain et ouvre son frigo. Je m'éclipse péniblement, mes jambes flageolent, j'atteins la salle de bain et découvre une fille en piteux état ! Mon maquillage est ruiné, je ressemble a un panda, mon eye-liner a coulé partout, mes cheveux sont en bataille, je suis hideuse. Je me rince le visage, tente de me redonner une apparence présentable et me passe un coup d'eau sur les cuisses. Je retourne dans le salon pour y retrouver mon hôte, il est toujours nu, je suis encore nue aussi ne portant que mes talons, on boit un dernier verre ensemble en se complimentant mutuellement physiquement et pour cette bonne baise puis je me rhabille et quitte ce dangereux étalon. Il m’embrasse sensuellement devant le bas de sa porte, mon cœur s’emballe, je rentre chez moi avec une sensation de plénitude. C'est dingue, je pourrais tomber amoureuse du premier mec qui me baise ? Je m'étais jurée de ne jamais remettre le couvert une autre fois avec mes futurs plans culs alors pourquoi j'ai déjà envie de le revoir ? Je sais depuis le début que ce queutard est incapable de se poser et qu'il va en baiser d'autres alors un peu de sérieux Charlotte ... Il m'a fait prendre mon pied comme jamais ce mec, bien foutu, bon coup, un brin dangereux et pervers, quelle rencontre ! Raison de plus, si un parfait inconnu peut me baiser aussi bien, autant en essayer pleins d'autres et vivre d'aussi bons moments ! En rentrant dans l'appartement je croise Ines qui me demande si j'ai passée une bonne soirée, je lui dis avoir été au restaurant avec un mec mais qu'il n'était pas très intéressant. Elle me réponds que c'est dommage. Je lui mens ouvertement afin qu'elle ne se doute pas un instant que sa coloc vient de se faire démolir par un inconnu. Je lui explique que je suis morte et que je file prendre une douche avant d'aller dormir. Une fois nue dans la salle de bain, je constate les dégats ! Mes seins ont des rougeurs, mes fesses gardent des traces de ses fessées, ma chatte est hyper-sensible, le passage du jet d'eau ou de mes doigts est une sensation trop vive. Comment ce gars a-t-il pu me faire jouir plus fort que tous mes exs et me démolir plus que tous mes partenaires ? J’ai envie de me toucher en me mettant au lit mais je n’y arrive pas, je ne suis pas en état alors que j’en crève d’envie. Je m’endors péniblement, je repense a sa main sur ma gorge, a sa grosse bite dans ma bouche, a ce qu'il a fait de ma chatte ... Ma chatte resta sensible le lendemain, impossible encore de me masturber, mes seins et mes fesses gardèrent quelques jours des ecchymoses, les voirs m'excitait, ça me ramenait à lui, aux coups que j'ai pris, au traitement que j'ai subis, au plaisir qu'il m'a donné. Ces bleus étaient de courts trophées, ils s'estompèrent comme mon envie de le recontacter laissant place a une soif d'aventures, de nouvelles bites, de nouveaux amants, de nouveaux souvenirs mais cette 10ème bite me resta en mémoire comme l'une des meilleures baises de ma vie et je m'étrangla moi-meme en solitaire quelques fois dans les semaines qui suivirent en me masturbant ... L'année ne faisait que commencer, ce premier coup d'un soir avait été un franc succès et avait éveillé de nouveux vices en moi, plus motivée que jamais a me découvrir sexuellement et profiter des hommes pour ce qu'ils sont, je débuta ma nouvelle vie.  
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Par : le 22/04/23
Résumé : Max était un libertin, sa femme aimant jouer la chienne, il est devenu maître mais ses envie de libertinage reviennent à la charge.    Le pets-play est un jeu que Lucie adore. Elle n’y voit aucune humiliation, aucune soumission. Elle s’est achetée quelques petits accessoires, type diadème de little avec des oreilles puis des moufles avec des poils. Quand elle a envie de son chéri, elle débarque au salon à quatre pattes et vient se frotter comme une chienne qui a envie de câlin. Cela l’amuse de faire la folle, une vraie little dans son genre et elle l’assume pleinement. Pour elle la vie est un terrain de jeu permanent, il faut profiter des rares plaisirs qu’elle nous donne. Le jour de son anniversaire, son chéri lui a offert une cagoule de chien et une queue de chienne de chez ABCplaisir. Tel un volcan recouvrant tout lors de son éruption, elle s’est abattue sur lui pour le dévorer de bisous. Le pauvre gâteau innocent ne s’en est pas remis, sous l’impact de sa little Max s’est effondré dans le canapé, son pied a malencontreusement croisé la table basse, tout a volé dans le salon. Il a donc fallu faire une petite pause nettoyage dès le début de la soirée.    Située au fond d’un fin pertuis, la petite voie ne servant initialement que dans un sens s’est soudainement ouverte d’esprit. Comme quoi, tout est une question de motivation... Pour la première fois, Lucie a donc laissé Max jouer avec son anus, pour le laisser lui insérer le plug de la queue de chienne. Elle s’est aussitôt enfuie du salon en riant comme une folle et en bougeant ses fesses dans tous les sens pour aller chercher ses genouillères avant de revenir à quatre pattes avec son collier et sa laisse entre les dents. Le si beau sourire de Lucie dévoilant ses canines blanches version OralB n’a pas tardé à disparaître derrière sa cagoule de chien. La « chienne » était très en forme ce soir là, Max a eu l’impression de faire un marathon dans leur petite maison isolée située à l’orée d’un petit bois, leur terrain de jeu lorsque la météo le permet.       Après une bonne heure de jeu, Lucie ne pouvait qu’avoir envie d’être prise en levrette, ce qui n’étonnera pas le lecteur. Etre prise avec un truc dans les fesses fut aussi une grande première pour la petite chienne, elle découvrit de nouvelles sensations qu’elle apprécia tellement que les lapins du bois très inquiets se sont demandés, si un loup s’était installé dans la région.   En clair, une femme malheureuse.... ************* Par une belle journée de printemps, Max équipa Lucie de tous ses accessoires de chienne pour la sortir au bois. Prudent, dans son sac, il avait toutefois glissé une robe d’été. La petite chienne s’amusa à renifler, à faire semblant de partir en courant puis à lever la patte. Max lui rappela que ce n’est pas ainsi que les chiennes se soulagent. Elle dut donc adapter sa position et, au dernier moment, il eut la présence d’esprit de soulever la queue pour l’épargner d’un jet d’urine, la little n’y pensant pas. Si les pinsons et rouge gorges pouvaient parler, ils vous diraient qu’ils ont trouvé mignons ses tourtereaux jouant à chien chienne en chaleur aux pieds de leurs arbres. Arrivés à la maison, Lucie décida de rester dans ce rôle qui lui colle à la peau et frise parfois un réel besoin. Elle alla s’allonger dans son panier où elle se mit en boule pour une petite sieste sous les yeux attendris de son mari. Au départ, Max était un libertin. Tombé fou amoureux de Lucie dès le premier regard, il a tout arrêté, sa chérie étant un peu bloquée sur ces pratiques. L’idée de revenir à la charge lui vint à l’esprit en la regardant dormir. Si bien que le soir après le repas, il ouvre la discussion sur ce sujet entre deux mamours.    - Tu sais, il faudra bien un jour que je te fasse couvrir par un chien ! -  Heu.... Je rêve ou tu me parles de zoo là ? - Mais non banane, d’un chien humain ! Imagine-toi en tenue, à quatre pattes attachée en train d’attendre d’être saillie par un beau mâle. Nous pourrions délirer, te faire prendre et lui promettre de lui donner un des chiens de la portée. Bien entendu, je serai là et te tiendrai pour pas que tu t’échappes ou le morde. A moins que je t’attache et me contente de te regarder couiner pendant qu’il te saute. Qu’en penses-tu ? - Du libertinage quoi ? - Oui et non ! Une chienne ne choisit pas, son maître sélectionne le reproducteur. La chienne n’a qu’à se laisser couvrir. D’ailleurs, pour t’habituer à ton statut de vraie chienne, je vais t’offrir une niche que nous mettrons dans la chambre. Qu’en penses-tu ? - Tu as toujours refusé qu’on mette une niche dans la chambre ! Mais tu ne serais pas jaloux ? - Jaloux de voir ma femme prendre du plaisir et jouir ? Non pas du tout, et puis n’oublie pas que je suis libertin. *********** Revenant régulièrement sur le sujet lors de leurs jeux, Max décida un jour d’attacher la chienne puis de la laisser méditer après avoir inventé une histoire de reproducteur. Entravée à quatre pattes au bord de la table basse, lorsqu’il a éteint la lumière pour venir la sauter comme un chien, Lucie a découvert cette nuit là, le plaisir de l’abandon sexuel sous bondage. Cette idée nouvelle et lubie de son Maître de la faire sauter par un inconnu commença à faire son chemin chez Lucie. Un jour, dans son délire, après avoir attaché sa chienne, Max lui déclara qu’il y avait deux chiens. Il joua le jeu de la prendre une première fois comme dans leurs câlins habituels mais il se retira avant de jouir pour la laisser mariner et fantasmer. Il enfila des gants, un pantalon et, toujours dans le noir vint la prendre en essayant d’être différent de d’habitude. Au départ, Lucie y cru, cela ne dura pas mais elle garda en mémoire cette sensation d’être réellement plus qu’une chienne. Si l’idée de l’inconnu lui avait déplu, sa queue très active ne l’avait pas laissée de marbre, même si il ne lui avait pas fallu  beaucoup de temps pour reconnaître son mari. Les femmes sont parfois surprenantes quand elles se lâchent. Lucie finit donc par dévoiler à son mari que finalement ses idées de reproducteurs commençaient à lui plaire. Elle ajouta même que trois ou quatre seraient bien, une réponse surprenant énormément Max. - Le libertinage pour le libertinage ne m’attire pas du tout. En fait, j’aimerai bien vivre une fois l’expérience de soumise sexuelle comme sur certaines vidéos de Fessestivites. Tu sais, quand les filles attachées passent à la casserole..... Mais si j’accepte, je ne veux pas voir la tête des mecs et encore moins les sucer, ça cela t’es réservé ! Oh mon dieu, qu’est-ce que je te raconte.... - Un de tes fantasmes tout simplement ma chérie. Tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir que tu te confies comme ça. *********** Le temps passa et, entre les jeux de pets-play et câlins débridés Max ne lui reparla pas de cette idée de reproducteurs. Plutôt que de la gêner avec ce sujet, il se lança dans le bricolage. Pendant tout un week-end, Lucie n’eut pas le droit de rentrer dans leur garage pour cause de préparation d’une surprise. Le soir de son anniversaire, la petite chienne se retrouva attachée comme de la charcuterie. Il lui fit un bondage de façon à lui imposer la position à quatre pattes avec les membres maintenus pliés avec du cellophane. Une fois entravée, il passa la laisse du collier sous l’un des pieds de leur lit et quitta la chambre en lui souhaitant une bonne sieste. Autant dire que Lucie tenta de s’échapper mais en vain, les mains cellophanées et les bras pliés, elle dut se résoudre à être sage. Pendant la sieste de Lucie, il installa une niche très BDSM dans leur salon. Si elle ressemblait à celle que l’on peut voir dans les jardins, cette niche avait comme particularité d’avoir une sorte de porte d’entrée ajustable avec un trou en son centre permettant d’en faire un pilori. Décorée avec goût avec son nom écrit au dessus de la porte, cette niche molletonnée fut une sacrée surprise pour Lucie lorsqu’il la délivra. Toute émue, la petite chienne libéra quelques larmes de bonheur à défaut de pouvoir sauter sur son Maître. Le cadeau surprise ne s’arrêta pas là. Après que la petite chienne se soit amusée à entrer, sortir de sa niche, il lui fit découvrir la fonction pilori dans les deux sens. Il la bloqua à l’intérieur avec juste la tête dépassant par la porte. Ni une ni deux, il ouvrit la braguette de son pantalon, se mit à genoux devant la porte pour se faire lécher par sa pets-girl devant s’appliquer dans cette fellation, sous peine de passer la nuit comme ça. La pipe étant « satisfaisante », il la fit sortir pour la bloquer dans le pilori en ne laissant dépasser que son corps. La tête bloquée à l’intérieur de la niche, la chienne se fit « couvrir » sans pouvoir voir l’extérieur de la niche. Rusé et très joueur, il utilisa le téléphone de sa femme pour faire sonner le sien. Bloqué la tête dans sa niche, Lucie l’entendit discuter avec quelqu’un sans rien voir. Elle bondit de peur quand elle entendit la porte d’entrée claquer. Il caressa la belle croupe de sa femme, après avoir trempé ses mains dans l’eau froide et les avoir séchées. Elle crut que comme cadeau d’anniversaire, il avait invité un reproducteur ! Lucie était un peu furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue. La suite fut bien pire !!!!! Amoureux fou de sa soumise, Max s’était acheté dans une boutique de déguisements d’animaux un costume intégral de furry dog à poils longs. Si il n’enfila pas la cagoule de chien poilu, lorsqu’il se plaça contre les adorables petites fesses de sa chérie, les poils la traumatisèrent. « Non, il ne va pas me faire sauter par un vrai chien » se dit Lucie pour se persuader que cela ne pouvait pas lui arriver, que son mari n’était pas zoo ! ! ! Max s’amusa un instant à jouer le chien avec ses « pattes » avant et sa verge cherchant la faille du temple de la fécondité. La tête bloquée dans sa niche pilori, Lucie tétanisée finit par se rendre compte que ce n’était pas un vrai chien derrière elle mais un homme, un pets-boy. La surprise passée et rassurée, elle finit par se détendre et apprécier de se faire couvrir sans ménagement. A l’intérieur de la niche, des plaintes mélodieuses ne tardèrent pas à se faire entendre et pour cause : elle réalisait le fantasme d’être couverte par un inconnu en position de soumise sexuelle et qui plus est en chienne. Le pied ! Des « pieds » elle en eut plusieurs, traduction, la belle jouit plusieurs fois. N’étant qu’un homme, tout seul, Max ne put « copuler » ad vitam æternam. Après avoir copieusement ensemencé la chienne, il installa leur machine à baiser qui elle, est infatigable.  La machine oeuvrant ardemment dans le chaton naturellement lubrifié et agrémenté de semence bio, il put à loisir claquer le beau fessier offert à sa guise ou jouer du magic wand massager sur le clitoris de la belle hurlant son plaisir à pleins poumons dans sa niche. Jugeant que même jeune, le coeur de sa femme avait ses limites, il décida de la libérer. Lucie fondit en larmes entre les bras de son mari. Ces larmes n’étaient pas de tristesse comme vous vous en doutez mais de trop de bonheur, trop d’émotions, trop de jouissances.  Depuis cette soirée spéciale, il leur arrive de faire venir un ou deux hommes pour faire couvrir la chienne qui se fait prendre la tête enfermée dans  « sa niche ». En échange de tant de bonheur et de générosité d’âme, Lucie a décidé de faire un cadeau spécial à son Maître. Il faut que je vous raconte ! Pendant qu’il faisait sa sieste, la belle a dessiné deux flèches sur ses fesses en désignant son délicat petit orifice. Elle a également préparé un petit mot avec des coeurs dessinés sur un papier avec comme indication « dépucelle-moi en me v i o l a n t par derrière ». Elle a attaché ses jambes pliées avec du cellophane avant de bloquer sa tête dans la porte pilori de sa niche. Une fois « pilorisée » elle s’est menottée de façon à ne plus pouvoir s’échapper. Lorsque Max se leva, il dut se pincer pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Lucie lui offrait son petit cul jusqu’à présent refusé. Autant dire qu’il ne prit pas le temps de se servir un café. Fin TSM          
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Par : le 11/01/23
[NdA: il y a une première partie à ce texte, à mon sens ça vaut la peine de la lire pour se mettre dans l'ambiance, mais ça n'est pas obligé!] J’entends la porte de la maison s’ouvrir, et des pas dans l’escalier. Je me rends compte brutalement que je n’ai pas du tout anticipé la manière dont nous allions nous saluer : nous pourrions être aussi bien des amants que des inconnus, ou des amis de longue date. Si bien que j’hésite entre de nombreuses possibilités : serrer sa main ? le prendre dans mes bras ? embrasser délicatement, ou langoureusement sa bouche ? Je n’en sais rien… Il se passe de longues secondes pendant lesquelles mon cerveau soupèse des informations contradictoires, et n’envoie plus aucune directive à mon corps, qui reste planté là, immobile. Pendant ce temps, il s’approche de moi doucement, un léger sourire sur les lèvres. Il a l’air calme, il est beau. Il porte des vêtements simples, élégants mais adaptés à la vie rurale, et arbore une petite barbe de trois jours qui lui donne beaucoup de charme. Surtout, sa démarche assurée et son regard pétillant me séduisent immédiatement. Je remarque qu’il est un peu plus petit que moi. Il arrive en face de moi, je n’ai toujours pas bougé d’un cil. Il approche sa main de mon visage, effleure ma joue, et saisit délicatement le côté de ma tête, sous la tempe et à la base du crâne. Puis il vient déposer un baiser léger, sensuel, sur l’autre joue, assez proche de ma bouche. Il enlace ma taille et me glisse à l’oreille « Bonjour ». Il fait un pas un arrière, prend ma main dans la sienne, et me regarde avec intensité. Son regard, ses yeux bleu-vert sont beaucoup plus beaux que tout ce que j’ai pu voir sur les photos qu’il m’a envoyées. Libéré de son dilemme, mon cerveau décide de se remettre en marche, je lui réponds son salut. Il m’entraîne dans l’escalier, et j’accorde enfin un peu d’attention au contact de sa main sur la mienne : sa peau est légèrement rugueuse, celle de quelqu’un qui manipule des outils, mais néanmoins plutôt fine et élégante, et surtout très chaude, rassurante. Il tient ma main un peu plus longtemps que ne le justifierait le simple fait de me guider vers sa maison, et joue très légèrement avec mes doigts, en caressant la pulpe de manière à peine sensible. L’étreinte de sa main est toutefois très galante, pleine de retenue, juste ce qu’il faut pour éviter de marquer franchement une relation amoureuse. Il me fait découvrir sa maison, faire le tour du propriétaire, comme il l’aurait fait avec un vieil ami venu lui rendre visite. Puis nous passons à table. Il a préparé mille petits mets délicieux, à la manière libanaise, et nous faisons un festin de saveurs, de couleurs et de textures. Pendant le repas, je suis tellement concentrée sur la qualité des plats, les sensations sur ma langue, que j’en oublie presque de lui prêter de l’attention, de chercher à lui plaire, de jouer avec l’ambiguïté de notre rencontre. Une fois ou deux, je lui lance un regard et découvre qu’il m’observe un peu en coin, amusé de mon oubli dans la gourmandise. Lui semble maîtriser la situation, à la fois seigneur et maître d’hôtel, comme s’il était habitué à une telle profusion d’émotions culinaires. Le café me dégrise un peu, et nous sortons prendre l’air. Les alentours sont très beaux, d’une grâce singulière dans laquelle le sauvage se mêle adroitement au domestique, à moins que ce ne soit l’inverse : ici des vergers dépareillés, enchevêtrés mais étrangement ordonnés ; là un jardin dont le plan incompréhensible semble sorti de l’imagination d’un génie ou d’un fou. Ailleurs encore, un chemin qui s’engage dans un bosquet semble une sente de sanglier, mais s’avère finalement ouvert et agréable, s’aventurant entre des arbres majestueux et inquiétants. Tout au long de notre promenade, nous parlons de tout et de rien, bras-dessus bras-dessous, nous avons l’air d’un marquis et une comtesse devisant galamment. Mais moi, je n’ai rien de la comtesse, et sentir la chaleur de cet homme juste à côté de moi, à portée de main et pourtant inaccessible, me met les nerfs à vif. Aussi, je suis perturbé par sa toute jeune chienne qui nous accompagne, et qui est le pendant chaotique de notre comportement civilisé : elle farfouille partout, pisse dans un coin, suit une trace odorante pour l’abandonner quelques secondes après. Elle lui saute dessus, et se fait vertement tancer, mais réitère pourtant son geste. Il s’amuse à exercer les quelques commandements qu’il lui a appris à respecter : « assis », et elle s’assoit. « Viens », et elle s’approche, mais s’arrête aussitôt qu’il lui lance un « stop », la queue hésitante et le regard interrogateur. Je suis fascinée, presque mal à l’aise de l’obéissance de cette petite créature, qui par ailleurs a tout de la bête sauvage. Et en même temps, une part de moi se laisse impressionner par l’autorité qu’il exerce sur elle. Je m’avoue timidement que je voudrais être à la place de cette chienne, quitter les oripeaux de la fille sage et jolie. Oser m’approcher jusqu’à sentir son entrejambe, et me faire punir pour cette audace. Lui sauter dessus et lécher son visage. Obéir s’il me commande de me coucher à ses pieds, de me mettre à quatre pattes et de présenter ma croupe. Pendant que je m’échauffe toute seule dans ma tête, je me demande où il en est, lui. Il a l’air imperturbable, sûr de lui, mais je crois deviner qu’il ne s’agit que de la surface. Durant nos discussions à distance, à certaines heures de la nuit, nous avons échangé sur nos fantasmes, nos désirs crus, viscéraux. Je cherche la trace de l’homme qui m’a fait mouiller ma culotte en me parlant de sexe comme si j’y étais, et je m’énerve de le sentir si propre, si distant à présent que ça y est, j’y suis ! Nous rentrons à sa maison, et comme il fait un peu frais il allume la cheminée. Il part aux toilettes, et moi je continue à construire ma frustration : « qu’est-ce que tu fous là ? », je me dis. « Alors ça y est, un feu de cheminée, et maintenant, c’est quoi ? Un scrabble, une tisane et dodo ? ». La flambée réchauffe mon ventre, mes seins. Je sens confusément que je laisse les forces profondes prendre le dessus sur ma raison, que j’autorise mon désir, ma colère et ma peur à débrancher mon cerveau. Il rentre dans la pièce, je le regarde fixement. Je relève ma robe, dégrafe mes bas. Puis je retire ma culotte, lentement, exposant ma chatte poilue et odorante. Il n’est qu’à quelques pas de moi, je lui lance ma culotte à la figure. Il la rattrape, la hume, son regard devient piquant, je vois une faille s’ouvrir en lui. Je défais la ceinture de cuir qui enserre ma taille par-dessus ma robe, et la lance également dans sa direction. Il s’en saisit et immédiatement, l’utilise contre moi avec force et précision. La lanière claque contre ma cuisse, m’arrache un cri. Il réitère son geste, et je sens une douleur cinglante sur ma fesse. J’ai à peine le temps de penser quelque chose comme « ah, tu veux jouer au dompteur ? ». Je saute sur lui, l’étale sur le canapé, j’arrache littéralement sa chemise. Je me demande furtivement si j’en ai arraché les boutons, s’il faudra la réparer demain. Je découvre son torse et ses épaules, les lacère avec mes ongles, mais je lui laisse les manches à mi-hauteur, ce qui contraint ses mouvements. Je monte mon bassin sur lui, et retiens ses bras avec mes jambes. Saisissant sa tête dans ma main, je l’embrasse, je le flaire, je le mords, et lui pousse des petits gémissements d’animal pris au piège. Ça me fait instantanément mouiller. Assez rapidement, je meurs d’envie de lui donner mon sexe à renifler, à goûter : toujours à califourchon sur lui, je pose ma chatte sur sa bouche, et tenant son crâne dans ma main, je le force à me lécher. Tout s’aligne en moi, tout prend sens, le trajet et la longue attente, les discussions interminables et le regard brillant, le jardin, la chienne. L’amour lové à l’intérieur de moi bondit comme un dragon hors de sa boîte. Mon clitoris exulte, mon sexe inonde son visage, étouffe ses cris haletés. Je me penche un peu en arrière, et de ma main libre je défais son pantalon, caresse son sexe tendu au travers du caleçon. Il se redresse soudain, et je bascule à la renverse, manque de me cogner sur le sol. Le temps que je comprenne ce qui s’est passé, il s’est débarrassé de sa chemise et de son pantalon, et il bondit sur moi. Nous roulons par terre, entremêlés, et pendant un moment nous ne sommes plus que grognements, griffes, crocs, langues. Nous arrachons sans nous en rendre compte la plupart des vêtements qu’il nous reste. J’ai l’impression de prendre le dessus, et je brûle d’envie de remettre sa langue sur mes lèvres. Mais il me saisit soudain par les cheveux et par la gorge, m’arrachant un cri de douleur, et me force à plat ventre avec le poids de son corps. Une de ses mains tient mon visage, étouffe mes cris sur ma bouche, tandis que l’autre attrape ma ceinture, celle qui a tout commencé, et l’enserre autour de mes coudes, dans mon dos. Je jappe, me débats, mais je ne peux que constater que l’étreinte est sérieuse : juste avec cette petite lanière de cuir, habilement liée, il est en train de gagner le combat. Je rugis carrément, impuissante et furieuse. Lui, il s’est relevé, et il rigole, ce qui me met encore plus hors de moi. Son sexe est dressé, je trouve cet homme magnifique et terrible, j’ai envie de le dévorer, ou d’être dévoré par lui. Il prend son temps pour aller chercher une corde dans un tiroir, et achève avec art de me posséder. Il lie mes poignets l’un avec l’autre, et les remonte sur mon dos en passant sa corde sous mes aisselles, puis derrière ma nuque. Ça me fait mal, un peu. Surtout, dans cette position, mes mains sont incapables de lui interdire l’accès à mon sexe et à mon cul, je me sens offerte de manière vertigineuse. J’essaie quand même de gigoter, de me débattre, je me relève et me jette sur lui à corps perdu. Mais je suis une proie facile : il arrête mon élan en saisissant mon visage dans sa main, et pince mes tétons avec rudesse. Un cri m’échappe, j’essaie de mordre sa main. Il me reprend par les cheveux, me force à m’agenouiller par terre, le buste sur le canapé. Il décide de se remettre à lécher ma chatte, et bien que j’en meure d’envie, je serre sa tête entre mes jambes pour refuser la caresse, dans une tentative désespérée de contrôler un tant soit peu la situation. Il se redresse, pousse un soupir d’insatisfaction. Pendant quelques instants, il pose sa main sur mon sacrum, le pouce sur mon anus. Alors, sans le vouloir, je me détends, me relâche instantanément. Je me sens me déposer au creux cette main, signer ma reddition dans la chaleur de sa paume. A présent, je le sais, il a tout pouvoir sur moi et c’est exactement ce que je désire, profondément. Ça ne m’empêche pas de hurler quand il met une grande claque sur ma fesse, puis sur l’autre. Enfin, à l’aide de cordes supplémentaires, il assujettit mes chevilles aux pieds du canapé, maintenant mes jambes écartées. Cette position est tellement humiliante que j’ai un soubresaut de révolte, je crie et lui lance des insultes : « Salaud ! salaud ! », je ne sais plus dire que ça. Alors, il fourre dans ma bouche ma propre culotte pleine de mouille, et la maintient en place avec un foulard. Sans que je maîtrise quoi que ce soit, des larmes coulent de mes yeux, je le supplie dans mon bâillon de m’enfourner, de me transpercer. Il prend son temps et moi je meurs de frustration, je brûle de mon désir bestial et dompté. Je ne sais pas ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il attend pour me baiser ? Je secoue mes liens mais je suis toujours aussi prisonnière, ma chatte est béante et ruisselante, exposée et implorante. Il pose sur mon clitoris un vibromasseur, je ne m’y attends pas, je décolle d’un coup. Il se rend compte que je pourrais jouir là, maintenant, alors il le retire un peu, puis le remet, c’est incroyablement, exceptionnellement délicieux et terriblement cruel à la fois. Et puis il me pénètre, de toute la longueur de son sexe. Je suis tellement mouillée, tellement ouverte que la capote ne me gêne même pas, et qu’à vrai dire un pénis deux fois plus gros serait rentré sans mal. Mais j’aime le sentir en moi, mon cœur s’ouvre et mon corps s’abandonne. Il alterne stimulation du clitoris et pénétrations saccadées, de plus en plus appuyées et rapides, et ça me rend dingue. Je veux les deux en même temps, je l’implore mais ça ne sert à rien, je remue mais ça n’avance à rien. Il finit quand même par me satisfaire, règle le vibro au maximum et me baise sauvagement en agrippant mon dos avec ses ongles. Ses doigts enserrent ma gorge et contraignent ma respiration, je ne sais plus qui je suis, un cri se construit au profond de mes entrailles et cherche à remonter à la surface en gerbes explosives. Je me rends compte qu’il laisse couler de la salive sur mon anus, comme s’il voulait se mettre à m’enculer. C’est la goutte d’eau, je suis prise de spasmes, je jaillis, mon sexe l’avale et il jouit aussi, presque surpris de s’être fait attraper. Nous mêlons de longs hurlements rauques et sauvages, nous partageons un immense frisson de toute l’épine dorsale. Il aplatit son ventre sur mon dos, nous sommes tous les deux ruisselants de sueur. Mes mains toujours liées en profitent pour attraper ses tétons et les pincer, il gémit, il rigole et moi aussi, dans le prolongement des secousses de l’orgasme. Son sexe toujours en moi, il défait mon bâillon, puis lentement se retire. Il m’embrasse, me mordille, me caresse, mais ne me détache pas encore. J’ai les coudes, les épaules et les poignets en feu, mais le corps tellement vibrant d’énergie que je pourrais tout endurer. Il me regarde avec des yeux amoureux, exactement le genre de regard que j’ai rêvé qu’il pose sur moi. Prenant un air coquin, il me dit « je me demande si je ne vais pas te garder comme ça encore un peu… j’aime que tu sois ma salope, ma petite chienne, j’aime savoir que je peux te baiser quand je le décide. Je commence juste ton dressage, il y a du boulot ! ». Moi, sa petite chienne ? Non mais… Je lui lance mon regard de louve le plus convaincant, et il éclate de rire. Il m’embrasse avec tendresse, et défait mes liens tout en massant délicatement chaque partie de mon corps, au fur et à mesure qu’il le libère. Pour finir, il me prend dans ses bras, et je me laisse aller totalement, complètement, peut-être plus encore que pendant l’orgasme. J’ignore totalement combien de temps se passe ainsi. Quand je reviens à moi, je suis allongée sur le canapé près du feu, nue, une couverture douce et chaude est posée sur moi. Une odeur délicieuse traverse la pièce, je meurs de faim. Je me lève et découvre la table dressée pour deux, promesse de nouveaux délices culinaires. Je me sens heureuse, intensément amoureuse de cette homme doux, puissant, merveilleux. Quelque part en moi, je me demande s’il n’aurait pas été plus juste qu’il me fasse manger dans la gamelle, au pied de sa chaise.
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Par : le 08/01/23
-Ah Colonel Valeri, cela fait plaisir de vous revoir. Nous avons tous cru que vous ne parviendriez pas à vous arracher aux charmes de votre sublime épouse perse, Roxana aux yeux de feu.  -L'action me manque et Roxana vient d'une famille de nobles guerriers, elle sait cela. Qu'avez vous donc à me proposer mon général. J'ai vraiment envie d'aller botter le cul de ces forces spéciales de l'otan présentes en Ukraine, c'est à dire chez nous en Russie.  - Le quartier général nous envoie la capitaine Tacha, du GRU, une experte en arts martiaux comme vous et qui désire de l'action elle aussi. Voilà, je l'appelle. Tacha se présente et claque ses belles bottes en cuir. On ne dirait pas une militaire mais une top modèle. Elle est belle à couper le souffle. Le colonel Valéri devine aussitôt un cul de rêve et le minou le plus délicieux du monde slave, avec  ce gout délicat des baies rouges que l'on trouve dans l'Oural. Il sent son sexe se gonfler et durcir.  -Votre mission sera d'aller inspecter les premières lignes à Bakhmout et vous trouverez tous les détails dans ce dossier. Bonne chance.  Valeri invite Tacha dans sa tanière de loup. Ils étudient tout et mémorisent dans les moindres détails. Ils parlent très peu. Ils sont mentalement connectés à présent. Le pénis de Valéri s'est transformé en manche de pioche. Tacha sent la cyprine couler sur ses cuisses. Ils baisent toute la nuit. Ils ne font plus qu'un.  C'est dans la vieille moskva de collection de Valeri, avec un grand Z sur le toit qu'ils rejoignent le front. Un bras d'honneur aux satellites US. Les missiles ne tardent pas à arriver. Encore loupé. Le danger donne envie de baiser, c'est bien connu. Valéri cache sa Moskva sous des sapins et sodomise Tacha qui offre ses fesses si bien galbées avec plaisir. L'envie de forniquer à tout va dans les services action, ce n'est pas que de la légende. Il pose un collier de chienne avec un bel anneau acier sur le cou de la sublime capitaine qui mouille très fort lorsqu'il fait cela. Elle lui baise les mains.  Dans les tranchées de Bakhmout, les miliciens de Wagner restent bouche bée devant la beauté de Tacha. Ils sont sortis des prisons pour se retrouver aussitôt dans cet enfer de boue et de bombes. Certes, ils ont droit à des putes de temps en temps, mais là, Tacha, pue la femme de grande classe et ils sont presque intimidés. Ils devinent aussi la tueuse pro. Elle a cela dans les yeux. Ce regard froid et bleu acier qui ne trompe pas.  Et lorsque Valeri et Tacha partent vers les lignes adverses pour casser de l'étranger, ces mercenaires qui se font passer pour des ukrainiens, ils suivent tous. Aucun milicien ne manque. Mourrir en suivant le sublime cul d'une meuf qui n'a peur de rien et surtout pas de la mort. Cela leur parle. Et chaque fois c'est carnage et cela finit souvent au corps à corps.  C'est repos dans les tranchées. Une bonne vodka glacée. Valeri baise sa chienne Tacha. Parfois il l'attache et la fouette avec son ceinturon. Tacha fait profiter de ses orgasmes violents toute la troupe. Les miliciens ont droit à une pute dans les abris pour se consoler de ne pouvoir se taper Tacha. C'est la loi du loup dominant Valeri. Il montre les crocs si l'on approche trop près de sa chienne. Dehors rien de nouveau, c'est toujours boue et pluie d'obus.       
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Par : le 06/11/22
Ce n'était pas notre première envie, il faut bien l'avouer. Nous étions plutôt bandeau, menottes, un peu de bondage pour débutants, etc. Bref, à nos débuts, nous étions assez mainstream, biberonnés à 50 nuances de Grey ! Et puis de jeux en jeux, l'idée a fait son chemin dans sa tête. Il me disait que j'étais sa chienne, lors de nos jeux... Alors après tout ... J'avais regardé les colliers dans les sexshops SM en ligne mais je trouvais plus excitant les vrais accessoires destinés aux animaux. Je ne voulais pas un collier qui soit un bijou ou un accessoire de mode. Je lui ai donc dit que je voulais bien mais que je voulais un vrai collier en cuir de chienne avec une vraie laisse en métal, vous savez celles avec des maillons très lourd authentiquement prévus pour l'animal. Je trouve que cela participe au symbole et à la cérébralité du truc ! Il s'est donc débrouillé en allant en animalerie et m'a fait la surprise et faut offert un bon gros collier et la laisse qui va bien. Il m'a avoué plus tard qu'il avait même envisagé d'acheter un collier d'occasion déjà porté par un animal, sur le bon coin, mais n'a rien trouvé de probant. Il ne s'agissait évidemment pas d'économiser dans l'achat du collier, mais que ce soit de facto un vrai collier de chien. L'idée m'aurait profondément excitée au demeurant. Bref. Mais le tout neuf était très bien aussi, de bonne qualité, très classique, en cuir de couleur noire, avec une grosse boucle en inox pour la fermeture, et la force du tout neuf c'est sans doute la plus forte odeur du cuir, j'y reviendrais. On a fini par essayer et j'avoue avoir tripé sur la connotation de possession et de domination/soumission. Comme l'expérience était faite avec préméditation, j'ai essayé de me concentrer sur les sensations et le ressenti du port du collier et de la laisse. La sensation de possession J'ai adoré cette nouvelle manière d'être son objet, d'être SA chienne, cela m'a vraiment bouleversé. Même si je suis un peu brat, je sais bien, et lui aussi, que je suis une soumise dans l'âme, qui ne switche que parce que j'aime les expériences et pour faire plaisir. Quand il a ajusté le collier autour de mon cou, j'en ai eu le cœur qui s'est affolé. Ceci pour dire que porter un collier et être tenue en laisse, m'a semblé très "gratifiant" ... Qualificatif un peu bizarre, j'en conviens. Je me suis sentie un peu plus possédée encore. Mon partenaire devenait vraiment mon maître. Et en plus de la sensation du cuir sur ma peau, la sensation sur mon cou, j'ai trouvé l'expérience enivrante de par l'odeur du cuir. Et maintenant, quand je sens l'odeur du collier, je me fais un peu chienne de Pavlov ;-) La sensation d'être dominée avec le collier Alors la sensation de soumission, d'être dominée, je commence à bien connaitre. Mais là, la sensation m'a semblé un peu plus forte encore que d'habitude une fois le collier en cuir et la laisse posée est dans le prolongement de la sensation de possession qui était le premier à m'être venu. Mon Maître a quasi aussitôt tiré sur la laisse pour voir (en réalité pour voir si le collier était bien fixé et pour vérifier les points d'attache). Moments d'appartenance, de soumission et de dévotion qui m'ont fait terriblement mouiller (et lui bander, c'était manifeste) ! J'ai senti que j'étais sous son contrôle, et à cet instant-là, j'étais habitée par le désir d'obeïr à toutes ses exigences. J'étais une bonne chienne, avec mon collier et ma laisse (de vous l'écrire maintenant, même avec le recul m'excite encore ...). La sensation d'être contrainte par le collier Ca m'a fait quelque chose de particulier d'être limitée dans mes mouvements , même si ce ressenti m'était moins inconnu puisque nous avons une panoplie d'accessoires de contraintes (menottes etc...). Cela fait vibrer les mêmes cordes que le bondage, grosso modo. Mon collier de chienne et la laisse, avait peut-être cela de différent qu'ils contraignent moins les mouvements (sauf quand mon partenaire a enrouler la laisse dans sa main pour me tenir au plus court, en mode dressage ... ouahhhh) mais qu'il sert (avec prudence je vous rassure) le cou : cela fait se sentir davantage encore à la merci. Je me suis sentie très vulnérable et le sentiment de devoir obéir allait au delà du jeu consenti. Le collier facilite la contrainte par le Maître. Un collier (bizarrement) rassurant J'ai trouvé aussi, encore un paradoxe, que cela avait quelque chose de rassurant. Difficile à expliquer ... mais dans l'idée que je m'en fais le maitre d'un chien ou d'une chienne, en prend grand soin, veille sur lui, se fait caressant sauf si la chienne désobéit. La sensation d'être tenue en laisse à un côté libérateur, finalement. Mon Dominant a globalement été attentif à mon bien-être, cela rejoint sans doute ce que l'on récent dans les pratiques d'infantilisation (je ne connais pas cette pratique, je ne fais que supputer). De ce point de vue le collier et la laisse offre une sensation d'importance et de valorisation, que je n'imaginais pas. Avant qu'on explore les pratiques BDSM et la domination/soumission, je crois que j'aurais trouvé ces histoires de colliers et de laisses assez dégradantes. Et très cliché, genre un soumis soixantenaire et bien en chair avec sa cagoule, sa laisse et son collier. Mais maintenant que nous connaissons mieux ce milieu et que nous avons de l'expérience, mon vécu me donne à ressentir tout ce que je pouvais ignorer quand j'étais vanille. Devenir une chienne, être d'une autre façon à la merci de mon dominant m'a donner des sensations complètement inattendus... et délicieuse. J'avais été dominée de bien des façons. Mais la force du symbole, la collection de sensations qui en découle, le lien que la laisse et le collier tissent entre les partenaires. Il y a plein d'autres ressentis qui m'ont traversé : le froid du métal est par exemple très érotique, surtout quand la chaine courre sur les tétons ... Rhaaa !!!), la posture de chienne avec son collier autour du cou est bien plus qu'une mise à quatre pattes ! J'ai adoré cette expérience. Ca se sent, hein ? ^_^ Je me retrouve attachée (c'est le cas de le dire) comme rarement à ce collier au point que nous avons décidé d'en acheter un second collier bdsm pour que je fasse vivre l'expérience à chouchou qui lui aussi aime bien être dominé à ses heures (mais pas trop souvent quand même :) ). Cette fois ci c'est donc moi qui vais l'acheter. Probablement dans une boutique spécialisée cette fois, j'ai vu quelques belles pièces sur les boutiques SM mais celles orientées gay. Je crois que cela lui irait très bien... A lire également : https://www.bdsm.fr/blog/8226/Bondage-:-conseils-et-accessoires/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/3763/Cagoule/ https://www.bdsm.fr/collier-appartenance/  
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Par : le 30/12/21
24/12/2021 J'ai vécu cette année un Noel des plus obscène, mon premier au sein d'une relation BDSM, une soirée de dépravée que j'ai envie de partager tant je prends goût a être la soumise d'un tel pervers. Je vous livre un témoignage long, complet, sincère qui j'espère vous plaira et vous excitera autant que cette soirée m'excite a chaque fois que j'y repense ! Bonne lecture :kissing_closed_eyes: ______________________________________________ Tout commença lorsque mon Maitre sonda le 22 décembre mes projets pour le 24 au soir, je me demandais s'il se renseignait pour le passer en ma compagnie ce qui me surprenait le sachant en couple et pas intéressé par le sentimentalisme entre nous deux ... Je l'informa donc en toute franchise (ce dont je fais toujours preuve quand je m'adresse a lui) de mon programme : "Je sors du taff a 18h, je rentre chez moi pour me doucher et m'habiller pour l'occasion puis je prends la route pour fêter Noel en famille chez mon grand-père qui habite a 45min de Nantes" Il me posa ensuite quelques questions sur les membres de ma famille qui seront présents et si je restais dormir là-bas (je garderais certains éléments confidentiels sur tout ça mais je peux vous confier que je restais bien tout le week-end). "Je passerais rapidement chez toi avant 19h pour t'offrir ton cadeau, me vider les couilles et te donner quelques consignes pour la soirée, on fera ça vite car ma femme m'attends pour 19h30" voilà le texto qui clôtura notre échange et m'annonçait la couleur … ______________________________________________ Nous y sommes, le 24 décembre, j'attends Monsieur patiemment chez moi après m'être préparée, je commence a bouillonner de peur qu'il me mette en retard, je stresse légèrement de ce qu'il m'a réservée pour avoir envie de venir a tout prix ce jour-là et qui plus est avant que l'on parte chacun de notre coté en famille, je crains également qu'il ne ruine mon maquillage ou salisse ma tenue ... Il sonne enfin a la porte, a peine ai-je ouvert qu'il se rue sur moi pour me plaquer sur la table du salon en relevant ma jupe de soirée "on fait ça vite, on a tous les deux pas trop le temps" dit-il en baissant mes collants et enfonçant sa queue déjà bien raide en moi ! La baise fut bonne et bestiale comme je l'aime, il ne fit pas dans la dentelle, des coups de queues puissants, profonds et rapides, il ne se souciait pas de ce que j'en pensais, il était là pour taper dans ma chatte et se vider les couilles dans les plus brefs délais et je n'avais pas besoin de plus que cela pour prendre mon pied ! Je me mis a jouir et gémir de sa fougue presque instantanément ce qui décupla sa bestialité, j'étais là, le visage contre ma table, le fessier relevé avec les collants en dessous des genoux, j'étais en train de subir ses assauts, mon cul entre ses mains recevait des coups de reins a faire crier la plus frigide des femmes ! Je ne tarda pas a sentir son jus chaud m'inonder et son pieu se planter au plus profond de moi dans un râle de plaisir, il se retira alors lentement en me demandant de ne pas bouger ! Là je compris qu'il allait faire quelque-chose lié a nos statuts, un doigt humide entra alors dans mon cul pendant qu'il fouillait dans la poche de son manteau, son doigt quitta mon petit trou mais je sentis immédiatement un objet froid et plus imposant le remplacer, il enfonçait un plug ... "Tu le porteras toute la soirée, remets d'ailleurs vite ta culotte, je t'interdis d'aller te vider avant de partir, tu passeras toute la soirée avec la chatte crémeuse, ta famille ne se doutera pas un instant que tu es une salope aux trous sales mais toi tu le sauras !" J'acquiesçai en me rhabillant lorsqu'il sorti un marqueur de la poche de son manteau et souleva mon pull, il se mit a écrire "Pute" sur mon sein gauche puis dégrafa mon soutif en me disant que je n'en porterais pas ! Il m'embrassa tendrement avant de me dire qu'il était temps qu'on file et que je devais prendre mes affaires pour le suivre à sa voiture où il me remettrait mon cadeau tout en s'assurant que je prenne bien la route dans cet état ! Je m'offusqua intérieurement qu'il doute de moi en rassemblant mon sac a main et mes cadeaux pour la famille, je ferma derrière nous et le suivi docilement a sa voiture la chatte dégoulinante de foutre ... Je chargea toutes mes affaires dans ma voiture pendant qu'il allait a la sienne chercher son cadeau, le plug ne me dérangeait pas mais le sperme qui commençait a couler entre mes lèvres rendait mes mouvements désagréables, il revint vers moi avec une enveloppe et un paquet cadeau, me souhaita un joyeux Noel en m'ordonnant d'ouvrir mon cadeau que si je remplissais au minimum 2 des 3 objectifs qu'il avait écrit dans la lettre. Il me fit promettre de tout faire pour mériter ce cadeau, de ne pas retirer le plug tant qu'il ne m'envoyait pas un message pour m'en notifier et surtout de tout donner pour ne pas le décevoir ! Il répondit a ma promesse en me souhaitant une bonne soirée et en me claquant les fesses en pleine rue a la vue de tous ... Je pris la route légèrement en retard pour rejoindre ma famille mais lui savait qu'il ne me quitterait pas vraiment ce soir et que sa folie accompagnerait ma nuit ! ______________________________________________ En me garant devant chez mon grand-père, je prends la peine de glisser ma main dans ma culotte pour me gratter l'entrejambe, son sperme me gratte, il sèche en moi, sur mes lèvres et a complétement souillé ma culotte ... Cela m'a démangé tout le trajet et même si je constate que ma chatte est toute visqueuse et qu'elle rougit sous le passage de mes ongles agacés, cela soulage ! A cet instant je pense a Femto qui, s'il lit cette histoire, appréciera sans doute la dédicace (lui qui avait éjaculé a la pause du midi dans la culotte de sa petite amie le jour du Baccalauréat pour qu'elle passe l'après-midi la chatte en contact avec son foutre) il m'avait dit qu'au moins il savait qu'elle s'en rappellerait toute sa vie, je lui confirme que ce n'est pas une situation que l'on oublie ! J'ai pris conscience de la situation a cet instant, en me grattant dans ma voiture, toute ma vie j'allais me souvenir d'être arrivée pour fêter Noel dans ma famille avec la chatte visqueuse et un plug dans le cul ... Mon cœur accéléra au moment d'ouvrir l'enveloppe, quels ordres contenait-t-elle ? Je remarqua en la prenant plus concrètement entre les mains qu'elle contenait quelque-chose avec la fameuse lettre, je décacheta l'enveloppe et découvris avec étonnement qu'un préservatif accompagnait le courrier. " Ma petite pute, Voilà maintenant bientôt une année que tu me sers, me comble et me rends fier d'être ton Maitre ! Tu n'as cessée au fil de cette année de me prouver ton dévouement, ton appétit sexuel et ta capacité a te dévergonder alors je souhaite que tu termines l'année aussi chaudement que tu l'as vécue, qu'en ce jour symbolique de Noel, tu confirmes ne faire plus qu'un avec ton statut de soumise et me montre encore a quel point tu es une bonne salope obéissante ! Si tu lis cette lettre, a l'heure qu'il est, mon sperme coule en toi et ton cul de chienne porte un bijou qui te sied a merveille ! Tu pourras ouvrir ton cadeau que si tu accomplis deux des trois défis que je te lance a savoir : - Te faire baiser par n'importe qui ce soir et m'envoyer une preuve photo/vidéo - M'envoyer une photo de toi seins nus avec un membre de ta famille dans le cadre de la photo - Te filmer en train de te masturber dans le lit de ton grand-père avec l'un de ses sous-vêtements dans la bouche (1min minimum) Je sais que ces défis ne sont pas faciles, que ce n'est pas la soirée pour cela et qu'ils sont très pervers mais n'est-ce pas là une occasion en or de te tester et prouver ce que tu es devenue ? Joyeux Noel " Mon cœur s'emballe, le stress s'empare de moi instantanément après la lecture de cette lettre, comment-vais-je réussir a obéir a ça ? Je range la lettre et le préservatif dans mon sac a main en tentant de me calmer, je suis pour l'une des premières fois acculée dans ma soumission pourtant j'en ai vécu des situations humiliantes, obscènes, avilissantes ou difficiles mais la contrainte de temps, le lieu, le fait qu'il sollicite ma nature de soumise alors que je suis au plus proche de ma famille rends tout cela immoral et assez surréaliste pourtant mon envie d'à tout prix lui donner satisfaction après une année aussi réussie me laisse présager que je vais devoir trouver une manière de réussir ces foutus défis ! Je reprends petit a petit mes esprits en rassemblant mes affaires et sonne a la porte de chez mon grand-père, j'enfouis Lady Bitch en moi bien que je ne porte pas de soutien-gorge, que le mot "Pute" soit écrit sur ma peau ce soir, que ma culotte soit souillée par du sperme et que mon cul porte un plug ! Commençons par ne pas penser a tout ça et voir comment la soirée évolue ! ______________________________________________ La soirée suit son cours, je n'étais pas a l'aise au début quand on s'adressait a moi, un peu gênée par l'état dans lequel j'étais J'avais l'impression qu'ils pouvaient découvrir la perversion sous mes habits, qu'ils pouvaient sentir que je n'étais pas comme d'habitude ... Je me mets à boire plus qu'à l'accoutumée comme pour me donner du courage, les verres et la bonne ambiance faisant effet, je commence a force de ressasser ses consignes a me dire que j''en suis capable. Je me surprends finalement a être excitée qu'il aille aussi loin dans ses directives et me mette autant a l'épreuve, la soumise en moi entendit l'appel du défi et bien que cela soit a retardement, elle s'excita de devoir une fois de plus repousser ses limites ! J'aime chez lui qu'il cherche a me faire échouer et m'offre l'occasion de toujours le surprendre a ne pas craquer et réussir a combler ses pulsions les plus folles. Une heure plus tard, ma décision était prise, j'allais conquérir ce cadeau de Noel et lui prouver que je n'ai pas de limites ! Je commença a réfléchir sur la manière de valider mes défis ... - La photo avec un membre de ma famille dans le cadre me paraissait faisable entre les étapes du repas quand nous allions aider en cuisine notamment ou débarrasser la table, c'était le défi le moins compliqué a mettre en œuvre sur l'ensemble de la soirée ... - La masturbation dans le lit de mon grand-père me dérangeait éthiquement et l'idée de prendre un de ses sous-vêtements en bouche me repoussait, c'était le défi le plus cruel mais aussi par la configuration des lieux (chambre a coté de la cuisine sans possibilité de fermer a clé) le plus risqué vis a vis de mon entourage. - Le fait de me faire baiser n'était pas simple a mettre en œuvre non plus, je soupçonnait mon maitre de sous-entendre par ce défi que je devrais essayer de faire des avances a l'un des mecs de mes cousines mais il connaissait aussi ma capacité à "chasser" le mâle ... Je me sentais assez éméchée par l'alcool pour accoster un parfait inconnu et lui offrir un gros cadeau de Noel ! ______________________________________________ Nous sommes entre le repas et le dessert, je dispose d'une demi-heure avant l'heure de la remise des cadeaux, c'est maintenant ou jamais, j'attrape mon manteau prétextant avoir un appel a passer et je pars a toute allure m'enfoncer dans le bourg du village en quête d'un homme a qui me donner ! Pas de chance, le bourg est désert, certaines maisons ont l'airs d'accueillir des hôtes, je déambule depuis bientôt 10 minutes sans avoir croisé quelqu'un, il fait froid et ma témérité refroidit à grands pas, j'hésite a sonner à une maison au hasard pour demander à un illustre inconnu s'il peut m'indiquer une adresse bidon pour si l'occasion s'en présente lui dire de me prendre dans l'allée a coté de chez lui dans deux minutes ... Mon cerveau va trop loin, j'envisage des situations improbables et je me résous a rentrer frustrée, déçue, un brin honteuse ... Sur le chemin du retour, j'entends soudainement du bruit, une assemblée qui parle bien trop fort l'espace d'un instant, une porte qui se referme puis je vois les clignotants d'une voiture derrière moi qui s'allume en entendant un "BIP" ! J'ai cru faire un arrêt cardiaque, c'est le destin me dis-je en voyant soudainement un homme traverser la rue pour ouvrir le coffre de sa voiture ! Je reste plantée là, bouche bée, les jambes tremblantes, il me dévisage en prenant quelque-chose dans son coffre, mon cœur s'accélère, je sais qu'il m'a vu et que j'ai l'air bizarre a le regarder sans bouger alors que je suis a quelques mètres de lui ... Il referme son coffre du coude avec quelques paquets cadeaux et boites de chocolats dans les bras, mes jambes bougent enfin et je m'élance vers lui en bégayant "Monsieur, monsieur ... une seconde s'il vous-plait ..." Il s'arrête net sur le trottoir devant la maison d'où il vient, me regarde avec étonnement, il est beaucoup plus âgé que moi, je dirais la quarantaine/cinquantaine, je constate qu'il n'est pas particulièrement attirant, plutôt gras, le teint rougit et il n'a pas l'air très aimable ... ______________________________________________ Pour information, je vais tenter de vous retranscrire la conversation telle que je m'en souviens, j'étais assez intimidée au début puis plus aguicheuse sur la fin, notre échange a dû a quelques mots prêts être le suivant : " Je peux vous aider ? - Eh bien, oui, cela va vous paraitre bizarre mais je souhaiterais vous parler un instant, vous avez une minute ? ai-je répondu fébrilement en m'avançant vers lui - Euh oui, vous pouvez mais qu'est-ce que vous faites toute seule dans la rue a cette heure-ci ? - Merci Monsieur, je vais être directe ... Je suis libertine et mon copain est candauliste, je sais pas si vous voyez ce que c'est ? (a l'écoute du mot "libertine' il écarquilla ses yeux et recula d'un pas, ce qui me perturba dans mon approche), ce soir c'est Noel et il le fête dans sa famille et moi la mienne, je voulais lui envoyer une petite photo de moi en train de coucher avec un parfait inconnu, est-ce que ... - Non, non, c'est quoi vos conneries, vous avez que ça a foutre ce soir ? Bonne soirée Mademoiselle ! dit-il strictement en me tournant le dos - Monsieur, Monsieur, un instant s'il vous-plait ! j'agrippa sans m'en rendre compte le bras de cet homme par réflexe ce qui l'arrêta - Non mais dis-donc, lâchez moi ! s'énervait-t-il en se tournant de nouveau vers moi l'air agacé - C'est sérieux Monsieur, je suis vraiment désolée de vous accoster de la sorte mais y'a personne dans le ... - Mademoiselle, je vous connais pas mais vous m'avez l'air d'avoir un souci, j'ai deux fois votre âge, je suis marié, j'ai les cadeaux de mes gosses dans les bras et vous me racontez des obscénités alors que je suis en famille pour les fêtes ... Y'a rien de drôle là, c'est quoi qui vous ... - Je suis désolée pour ça Monsieur mais juste un instant, regardez, je vous prouve que c'est réel ! coupai-je l'homme qui me sermonnait tout en ouvrant mon manteau ... - Non mais c'est pas vrai, dit-il en reculant de deux pas et détournant le regard - C'est réel Monsieur, vous voyez ... dis-je en soulevant mon pull ! L'homme posa son regard sur ma poitrine, il le détourna aussitôt avec une certaine panique, "ça va vraiment pas hein !" dit-il en tournant la tête, "je vous prouve que je suis sérieuse" répondis-je alors qu'il regarda de nouveau vers moi, il ne détourna pas les yeux la seconde fois ... " Ils vous plaisent ? demandais-je - J'y crois pas, y'a carrément écrit "pute", tu sors d'où toi ? dit-il plus sereinement - Je suis juste une salope qui cherche a emprunter une bite 5 minutes pour rendre fou son mec ! - Ohlala mais comment-tu parles en plus ! dit-il en rigolant (je le pris comme un bon signe c'était la première fois qu'il souriait et son soudain tutoiement me laissa penser qu'il commençait à se faire a ma présence) - Tu me baises, vite fait, bien fait et tu retournes a l'intérieur comme si de rien n'était ! Y'a pas d'arnaque ... - Non, non, je peux pas ... dit-il en rigolant de nouveau mal a l'aise - Je suis un peu ton cadeau de Noel, une occasion comme ça t'en auras pas deux, rends-moi service, tout le monde sera content ! C'est que du sexe entre adultes consentants, détends-toi ! - On va surtout se faire cramer et tu vas foutre en l'air le Noel de toute ma famille, déjà je te parle depuis trop longtemps .." Sentant que ma brève ouverture se refermait, je lâcha mon pull pour sortir la capote de mon sac a main, il la fixa en rigolant nerveusement alors que je l'exhibais comme une invitation ! " Prétends que tu as un coup de fil a passer et on se mets quelques mètres plus loin dans une allée ou derrière un buisson sinon tu me donnes une heure a laquelle te retrouver ici dans la nuit et je repasse mais je suis très sérieuse, ta bite, ma chatte, rapide, simple, efficace !" proposai-je une énième fois tout en relevant mon pull ... Il me reluqua de la tête au pied en hésitant mais déclinant tout de même une ultime fois avant de tourner les talons en s'excusant ! "Je reste-là encore 5 minutes si tu changes d'avis et trouve un moyen de t'échapper" lançais-je dépitée alors qu'il s'éloignait sous le porche de la maison, la porte se referma derrière-lui sans qu'il me réponde davantage, je resta sur le trottoir comme la pathétique pute que j'étais ... Recalée, gênée mais surtout congelée par la température, j'attendais désespérée qu'il porte ses couilles et revienne, je misais sur ma connaissance des hommes et particulièrement dans cette tranche d'âge où l'occasion de se taper une "petite jeune" n'arrive plus pour qu'il craque et saisisse cette ultime chance ... La porte s'ouvrit de nouveau après ce qui me sembla une éternité, il jeta un œil pour voir si j'étais encore-là, je lui fis un signe comme si c'était le père Noel, je devais avoir l'air débilement heureuse de le voir ! Il s'approcha de moi en chuchotant "Pas de coups-fourrés je te préviens, tu me fais du chantage ou tu déballes ça, je te jure que je te tue ! J'ai des gosses et une femme, va pas niquer ma vie pour un coup de bite car tu m'as allumé ! - Promis, tu me rends service pourquoi je te ferais un plan comme ça ! - Je sais pas tu me parles de faire une photo et tout, je suis pas chaud du tout pour ça, a la rigueur je te baise et c'est tout ! - Non, non, tu me baises parce-que je veux le montrer a mon mec, si je peux pas lui envoyer de preuves y'a aucun intérêt pour moi ! - Je te jure, t'as été envoyée pour causer ma perte et je suis trop con pour décliner ! Fais chier, t'es trop bonne ... J'ai dit que j'avais trop envie de pisser et me griller une clope alors qu'ils voulaient filer les cadeaux aux petits, on fait comme tu veux mais on se magne ... - Promis, viens, j'ai repéré un petit coin discret" ______________________________________________ J'entraine ma proie dans un chemin de campagne a proximité d'un carrefour du bourg, il fait totalement noir, je nous éclaire dorénavant le chemin avec la lampe torche de mon portable, il me complimente sur mon physique et mon audace, je lui explique que j'ai l'habitude de faire ce genre de choses, que j'ai des heures de vols, il rigole en me disant que ça se voit (cela m'excite). Nous nous sommes suffisamment éloignés, je me mets a genoux, déboutonne son pantalon et baisse son caleçon, mon flash éclaire alors une petite bite plutôt vilaine et en plus Monsieur est poilu, il ne se rase pas les boules, son pubis n'est pas entretenu, sa queue n'a rien de charmante, il est très négligé ! Je plains sa femme mais je n'aurais pas mieux ce soir de toute façon, je n'ai que lui sous la main et une salope n'a pas besoin d'être attirée par un homme pour s'occuper de sa queue. Je commence par le branler, il se plaint de la température de mes doigts (de mon coté j'apprécie me les réchauffer en entourant son petit sexe tout chaud), j'active mon appareil photo et lui passe en lui demandant de faire des photos de temps en temps. Mon portable ne faisant plus lampe torche, je lui demande alors d'activer la sienne sur son portable pour qu'on y voit quelque-chose ... Il s'exécute et a maintenant un portable dans chaque main, il a l'air débile avec ses deux téléphones qu'il tient a hauteur de menton pour avoir un bon angle (lui qui me disait non il y'a quelques minutes, je le trouve étrangement motivé maintenant, cela me plait). Je prends son sexe encore mou dans ma bouche, le décalotte et le branle tendrement entre mes lèvres pendant que ma langue le goûte, je lèche chaque recoin de son gland et cherche a le faire durcir ! Soudain, un flash m'éblouit, je comprends qu'il prends la première photo, cela me motive ! Sa queue ne me plait pas mais je lui suis reconnaissante de me l'avoir offerte, j'ai à cœur de bien faire pour l'en remercier et je pense a mon Maitre qui va halluciner devant les photos donc je veux tout faire pour qu'il en prenne des cochonnes, du genre qui feront bander mon Maitre ! J'ai pompé mon photographe de fortune comme une vorace, la gorge profonde cela me connait et avec une si petite verge il n'y avait aucun défi pour la gober jusqu'aux couilles, mon partenaire gémissait de plus en plus et me gratifiait de doux sobriquets alors que je trempais sa queue de ma salive et qu'il me photographiait ! Le sentant chaud bouillant et maintenant totalement dur, je me redressa et déchira l'emballage de la capote pour la lui mettre, il s'enthousiasma en me disant que j'allais ramasser, je releva ma jupe au dessus du nombril, baissa mes collants sous les genoux et me mit a quatre pattes sur le sentier (mes genoux sont a l'heure où je rédige ce témoignage encore mutilés par le gravier) ... Le male en rut compris tout naturellement la suite, il baissa ma culotte et partagea son étonnement en découvrant mon plug "T'es vraiment qu'une salope" me dit-il en me claquant très (trop) fort le cul ! A cet instant, je paniquais un peu qu'il remarque l'état de ma culotte ou qu'il trouve des traces suspectes sur ma chatte, je ne savais pas a quoi cela ressemblait en bas ni comment il réagirait s'il savait que je m'étais faites remplir par un autre en début de soirée ... Cet imbécile avait posé mon portable sur le bas de mon dos et me palpait tantôt les fesses, tantôt il frottait mon clito du pouce alors qu'il éclairait mon postérieur de sa lampe torche pour bien se rincer l'œil ! "Je croyais qu'on avait pas le temps, tu vas me baiser ce soir ou demain ?" lançais-je avec insolence de peur qu'il ne voit que je n'étais pas de première fraicheur ! A peine avais-je prononcer ces mots que sa bite pénétra en moi, cela m'en coupa le souffle, l'excitation monta d'un coup ... Alors qu'il débutait sa besogne et accélérait ses vas et viens, je prenais pleinement la mesure de l'instant, j'étais dans le village de mon grand-père le 24/25 décembre en train de me faire prendre comme une chienne en levrette sur un sentier en pleine nuit d'hiver par un homme ayant le double de mon âge dont je ne sais rien si ce n'est que sa famille l'attends a quelques mètres d'ici et moi la mienne. Sa petite bite était étonnamment efficace, la situation m'excitant grandement cela y était sans doute pour beaucoup mais il me baisait convenablement, son rythme ne faiblissait pas et de mon coté, je me concentrais sur cette queue en moi qui frottait mes parois et raclais le trou souillé par mon Maitre, quand il m'insultait cela me donnait envie de lui crier qu'il n'avait pas idée d'a quel point j'étais pire que cela ! "Prends-bien en photo la chienne que je suis", "Filme-donc comment tu me défonces", "Vide-bien tes couilles dans la capote" telle une actrice porno cherchant a produire un bon contenu je restais concentrée sur mon défi tout en livrant divers encouragements a mon père de famille bien de trop déconnecté de la réalité, comme si je voulais abréger les choses ayant le contenu pour lequel je m'étais offerte a lui et ne voulant pas que nos absences deviennent trop suspectes au sein de nos soirées respectives ! L'animal en rut vida ses deux boules de Noel assez rapidement, il se retira immédiatement et je lui réclama le préservatif plein. Il me tendit la capote, du sperme épais et chaud en quantité généreuse remplissait le contraceptif "Eh bah mon salaud, pour quelqu'un qui voulait pas me sauter, je trouve que tu t'es bien lâché !" plaisantai-je en nouant le préservatif et remontant mon collant. Il me complimenta en disant qu'il avait jamais baisé une telle salope et qu'a son âge un petit cul comme le mien c'était incroyable. Nous nous rhabillâmes, je regarda rapidement les photos et un court extrait de la vidéo pour voir s'il avait géré, cela était pas incroyable mais suffisait a largement prouver la validation du défi, je lui réclama une dernière photo en revenant sous un lampadaire du bourg. Je releva mon pull et lui demanda de tenir mon sein où il y'avait écrit "Pute" pour une ultime photo souvenir, il accepta, je tenais la capote pleine a coté de mon autre sein et faisait mon plus beau sourire pour l'investigateur d'une telle folie ! ______________________________________________ Je le laissa a quelques-mètres de notre lieu de rencontre, je fis une photo de la capote pleine dans la paume de ma main et la lança dans un ravin puis je rentra chez mon grand-père au pas de course ! A peine rentrée, ma cousine me demanda où j'étais passée ? Elle m'avait appelée dehors plusieurs fois mais je n'avais jamais daigné répondre, je mentis alors a tout le monde en disant qu'une amie m'avait appelée en larmes car son enfoiré de mec l'avait plaquée le soir de Noel donc j'avais fait quelques pas en la réconfortant ... Mon excuse attendris tout le monde, ils plaignirent ma copine fictive tout en insultant ce goujat imaginaire ! Sauvée, j'espère que mon vilain père de famille s'en était aussi bien tiré de son coté sur les bobards ... Le reste de la soirée fut paisible, j'avais la sensation d'avoir fait le plus dur. C'est au moment du coucher que je choisis de passer à l'action pour le selfie, ma cousine se lavait les dents et je faisais mine de me brosser les cheveux dans son dos en étant sur les réseaux-sociaux ... Je la laissa cracher dans l'évier une fois, deux fois et me jeta a l'eau sur un timing où elle rinçait sa bouche au goulot de l'évier ! Je souleva assez discrètement mon pull en lui tournant le dos pour découvrir mon sein marqué par mon Maitre, j'appuya sur le bouton de capture et rebaissa instantanément le tout avant qu'elle ne redresse la tête, je vérifia la photo, par miracle elle était réussie. ______________________________________________ Seule dans ma chambre, j'ai enfin pu relâcher la pression, j'ai cru fondre en larmes tellement j'étais soulagée et fière d'avoir réussie, je m'empressa de me mettre en pyjama puis d'aller déballer mon cadeau que j'avais si durement mérité ! Une boite blanche et rectangulaire était entre mes mains, elle semblait assez luxueuse, je compris a la lecture de la marque a quoi j'avais affaire "Womanizer" ... Je connaissais de nom, de réputation cette marque de sextoys mais jamais néanmoins je n'en avais fait mention a mon Maitre ou n'avais même pensé un jour m'en acheté un. En ouvrant la boite pour voir l'objet en question, je découvris une autre lettre : " Si tu lis ceci c'est que tu as validé tes défis, félicitations ! Je t'ordonne maintenant d'essayer mon cadeau et de m'envoyer un snap/vidéo où tu me remercies pendant que tu l'utilises, j'ai préalablement chargé l'appareil au complet pour que tu t'amuses toute la nuit si besoin ! Apprivoise bien ton nouveau jouet, tu m'en feras une démonstration a notre prochaine séance, j'espère qu'il comblera tes besoins quand je ne peux être présent pour toi, Joyeux Noel petite pute" Après un rapide tour dans la salle de bain pour me faire un brin de toilettes après toutes ces péripéties, je me glissa sous la couette avec mon nouveau jouet pour l'essayer, j'envoya un premier snap a mon Maitre en écrivant dans le chat "Défis réussis, je suis au lit avec mon cadeau", j'alluma le Womanizer et le positionna sur mon clitoris prête a me laisser-aller a la découverte. Les aspirations débutèrent et je n'étais pas plus convaincue que cela, je m'étais trop imaginée que cela ressemblerait a un vrai cunni/une vraie langue mais la fonction intelligente du sextoy qui variait automatiquement et aléatoirement entre les différents modes et intensités commençait a me séduire, je rêvassais épuisée sur l'oreiller alors que mon partenaire virtuel s'occupait de mon clitoris a son rythme et sa convenance entre mes cuisses sans que je n'ai rien a faire ! Je repensais a la visite sans finesse de mon Maitre qui était venu me remplir, a mon inconnu et ce qu'on avait fait sur ce sentier, a sa bedaine que je sentais sur mes fesses pendant qu'il tapait en moi, a sa vilaine bite que j'avais dévoré comme une affamée pour le faire bander, a tout ce foutre qu'il avait évacué dans la capote de mon Maitre, a son refus initial et le résultat final, a la salope que j'étais, a la chaleur qui emplissait mon bas-ventre a cet instant ! Je commençais a jouir, je mordais dans l'oreiller alors que je remuais du bassin sur cette petite ventouse qui me titillait de plus en plus intensément le clito, je regardait les photos de mon amant éphémère, la courte vidéo de son sexe qui me lime, la photo de dépravée sous le lampadaire, la photo de sa capote bien remplie, son foutre épais dont j'avais maintenant envie de l'avaler pour rendre fière mon propriétaire ... L'orgasme montait, j'étais en transe, je retourna vite sur Snapchat pour filmer, je remercia mon Maitre pour son cadeau en me touchant la poitrine alors que la jouissance approchait, je n'avais pas effacée son tatouage de Noel et lui montrait, j'avais encore mon plug alors je filma sans tabous le bijou et je termina mon snap par un beau plan sur mon sexe qui était recouvert par son cadeau qui ne me lâchait plus ! Je mordit a pleines dents dans l'oreiller et étouffa mon orgasme sous les draps, éteignit mon nouvel ami et repris mon souffle totalement perchée sur un nuage de plaisir ... Un premier snap tomba : "Content que ça te plaise, passe une bonne nuit" Un second arriva dans la foulée "PS : tu peux maintenant évidemment retirer ton plug, tu me le ramèneras la semaine prochaine. J'attends toutes les preuves par mail d'ici Lundi soir avec ton compte-rendu, t'es une bonne fille". Je m'endormie en étant épanouie et comblée tant sexuellement que spirituellement, je suis une pute immorale, une trainée sans tabous, une salope irrécupérable mais avant tout une chienne docile fière d'avoir été dressée par un pervers qui me stimule et me déprave toujours davantage ! ______________________________________________ Ce premier Noel BDSM fut inoubliable pour moi, il clôtura une année intense et me força a accepter de laisser Lady Bitch exister davantage en dehors de mes séances avec mon Maitre, je n'existe que pour le servir et le satisfaire, merci a lui d'avoir su faire de moi celle que je suis aujourd'hui ! A chaque fois que j'utiliserais mon Womanizer, je me rappellerais de ce Noel, de ce que j'ai du faire pour l'obtenir, de ce que j'ai été cette soirée là et j'imagine que je reviendrais de temps en temps ici pour relire ce récit afin de me souvenir et revivre cette soirée ... un womanizer entre les cuisses :stuck_out_tongue_winking_eye:
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Par : le 27/09/20
Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement. Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit: -Madam j'ai envie pipi Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud. C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé. Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Par : le 27/05/20
-Avance pétasse, bouge ton gros cul. le fouet cingle les fesses ensanglantées d'Amélie qui se traine à quatre pattes sur des graviers, les genoux et les mains meurtris. Elle pleure. -Mais tu vas arrêter de pleurnicher la pouffiasse. Allez encore un bon coup dans le cul et file plus vite. A la niche, la chienne. Amélie se précipite dans la niche, c'est étroit, cela pue la pisse des femmes qui se sont fait dessus de peur dedans, c'est très inconfortable mais au moins elle ne risque plus le fouet. Le Maitre attache sa chaine avec un cadenas. Amélie va passer la nuit dehors, nue dans sa petite niche en bois, terrorisée, avec toutes ces petites bêtes qui se baladent la nuit. Elle n'aura droit qu'à un seau d'eau et un quignon de pain sec comme repas. -tu vas maigrir salope. Encore quelques jours et tu auras la ligne. Le Maitre rentre chez lui et se sert un bon verre de vin. Il n'a aucun problème pour dresser les femmes pour une raison simple, il n'a aucun sentiment pour elles. Ce sont des chiennes. elles doivent obéir en tout et pour tout et elles n'ont pas droit à la parole. Laisser parler une femme c'est laisser un venin se répandre. Non, deux baffes, et silence les sans pénis. La deuxième chose qui fait qu'il est un excellent dresseur c'est qu'il se fout de la chatte des femmes, de leurs culs. Aucune femme n'est jolie pour lui, c'est juste une chienne qui doit obéir et écarter sur ordres. Le Maitre entend la chienne couiner dehors. -Ta gueule la pouffiasse ou je sort avec la cane anglaise. Silence. Le Maitre peut déguster son bon vin en paix.
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