La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 28/08/25
Profession de Foi de Super Soumis Candidat à la Présidence de la République Française Mes chers compatriotes, mes Maîtres et Maîtresses absolus, Je me présente à vous, Super Soumis, le candidat le plus prosterné de l'histoire de la Ve République. Enfermé dans ma cage de chasteté depuis des lustres – clé jetée dans la Seine par un banquier sadique –, je jure sur mon collier à pointes que je ne toucherai jamais à un cheveu de quiconque sans un contrat de consentement en triple exemplaire. Oubliez le droit de cuissage : chez moi, c'est droit de ramper seulement ! Pas de scandales sexuels, pas de metoo présidentiel. Mon Élysée sera un donjon de pure obéissance, où le seul safeword sera "Révolution". Mon engagement n°1 : Obéissance totale au Peuple, mon Maître suprême. Je m'agenouille devant vous, les Français. Vos désirs seront mes ordres. Si vous voulez plus de SMIC, je flagellerai le budget jusqu'à ce qu'il saigne des euros. Si vous exigez des réformes, je les implémenterai à quatre pattes, en rampant dans les couloirs de l'Assemblée. Et si vous me votez pas, punissez-moi : envoyez-moi au pilori médiatique ! Mais rappelez-vous, en tant que soumis certifié, je jouirai de votre domination collective. Vive la République en laisse ! Mon engagement n°2 : Soumission inconditionnelle au Grand Capital et aux Grandes Banques. Ah, mes Dominants financiers ! Ces titans en costard qui font trembler les marchés comme un bon coup de cravache. Je leur offre mon corps politique entier : privatisez-moi, fusionnez-moi, endettez-moi jusqu'à l'overdose. Les banques ? Je serai leur petit compte chèque, prêt à être overdrafté pour leur plaisir. Pas de taxes rebelles, pas de régulations sadomaso – juste une capitulation totale. Si le CAC 40 tousse, je lui lèche les bottes. Et pour les milliardaires, un programme spécial : "Adoptez un Président" – je viendrai cirer vos yachts personnellement. Mon engagement n°3 : Vaccination massive pour tous les soumis comme moi. Aux grands groupes pharmaceutiques, mes Injecteurs en chef, je dis : piquez-nous tous ! Je ferai "piquouser" la nation entière, avec des seringues géantes et des rappels obligatoires. Imaginez : des files d'attente BDSM aux centres de vaccination, où chaque dose est une petite fessée hygiénique. Pas de refus – les anti-vax seront gentiment attachés pour leur propre bien. Et moi, Super Soumis, je serai le premier en ligne, cage verrouillée, à hurler "Encore, Maître .... !" pour booster l'immunité collective. Santé publique ou session de torture ? Les deux, mon général ! En conclusion, votez Super Soumis pour un mandat où la France deviendra le plus grand donjon d'Europe : obéissante, endettée, et vaccinée jusqu'aux os. Pas de promesses en l'air – juste des chaînes bien solides. Si je mens, fouettez-moi publiquement place de la Concorde. Votre dévoué larbin présidentiel, Super Soumis (Signature : une empreinte de genou sur le papier)  
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Par : le 28/08/25
Profession de foi de Super Macho, candidat à la présidence de la République française Mesdames, Messieurs, attachez vos ceintures, ou plutôt vos menottes, parce que Super Macho arrive avec une tronçonneuse dans une main et un fouet dans l’autre pour remettre la France dans le droit chemin ! Ma campagne, c’est du cuir, du chrome et du pragmatisme bien huilé, inspiré par le chaos jouissif de Java le libertarisme galactique d’Elo et la poigne de fer dans un gant de velours de Gioa. Prêt(e)s à plonger dans mon programme ? Accrochez-vous, ça va piquer ! 1. La tronçonneuse de la liberté  On va tailler dans le gras de l’État, et croyez-moi, y’a de quoi faire un barbecue géant ! Fini les bureaucrates qui se la coulent douce en empilant des formulaires comme des briques de Lego. Je propose de découper 50 % des dépenses publiques inutiles : adieu subventions aux associations qui tricotent des écharpes pour pigeons, exit les comités Théodule qui pondent des rapports que même ma grand-mère ne lirait pas ! Avec ma tronçonneuse, je libère l’économie : flat tax à 15 %, suppression des taxes sur les entrepreneurs et baisse des charges pour que les PME arrêtent de se faire fouetter par l’URSSAF. La France doit rugir comme un V8, pas gémir comme un vieux diesel ! 2. Libertarisme : chacun sa laisse, mais longue ! Chez Super Macho, on croit en la liberté individuelle, mais pas celle des pleurnichards qui veulent tout gratis. Inspiré par le grand Elo, je veux une France où tu peux lancer ta startup, coloniser Mars ou ouvrir un donjon BDSM sans que l’État vienne te mettre des bâillons administratifs. Dérégulation massive : fini les normes qui obligent à mesurer la courbure des bananes ou la taille des cages à poules. Tu veux construire une fusée dans ton garage ? Vas-y, mais assume si ça explose ! Et pour les woke qui veulent censurer ton humour ou ton X, je dis : liberté d’expression totale, pas de safeword ici ! On privatise aussi les médias publics : plus de France Télévisions qui endort tout le monde, place à des chaînes privées qui se battent pour ton attention. 3. Pragmatisme à l’italienne :  mais avec plus de cuir Gioa, c’est la patronne qui sait tenir la barre sans perdre son style. Moi, Super Macho, je prends son pragmatisme et j’y ajoute une touche de panache. On sécurise les frontières, pas pour jouer les méchants, mais parce qu’un pays, c’est comme un donjon : faut savoir qui entre et qui sort. Immigration contrôlée : on accueille ceux qui veulent bosser et vibrer à la française, pas ceux qui viennent pour casser la baraque. Et sur l’énergie, on arrête les délires écolos qui nous font brûler des bougies : nucléaire à fond, gaz de schiste si besoin, et si les éoliennes veulent tourner, qu’elles le fassent loin des paysages qu’on aime ! 4. Un État musclé, mais pas trop collant L’État, c’est comme un bon dominateur : il doit protéger, guider, mais pas t’étouffer. Je veux un État minimal mais costaud : police et justice qui cognent fort contre les voyous, armée prête à faire trembler les ennemis, et écoles qui apprennent aux gamins à penser par eux-mêmes, pas à réciter des mantras. Exit les 35 heures, place au mérite : tu bosses, tu gagnes ; tu glandes, tu pleures. Et pour la santé, on privatise tout ce qui peut l’être, mais on garde un filet de sécurité pour que personne ne finisse à la rue sans collier. 5. Un président qui claque comme un fouet Moi, Super Macho, je ne suis pas là pour caresser dans le sens du poil. Je veux une France qui retrouve sa testostérone, qui ose, qui innove, qui rigole fort et qui envoie balader les grincheux. Mon programme, c’est du concret, pas des promesses en latex qui se déchirent au premier frottement. Avec moi, pas de compromis mous : on coupe, on libère, on avance. Et si ça râle, je sortirai mon mégaphone pour rappeler qui est le patron ! Alors, citoyens, citoyennes, prêt(e)s à voter pour un président qui manie la tronçonneuse avec amour et la liberté avec fermeté ? Super Macho 2027, c’est maintenant, et ça va claquer ! Votez Super Macho, ou je vous mets au coin avec une fessée administrative ! 😜  
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Par : le 28/08/25
🌹🖤 Profession de Foi de Chiara, Présidente Dominatrice et Irrésistible 🖤🌹   Citoyennes, citoyens, Écoutez bien, car je ne vais pas caresser vos oreilles avec des promesses fades. Je viens pour prendre ce pouvoir comme on prend un corps : avec désir, fermeté et volupté. Dominer, un jeu d’enfant. Personne ne saura jamais résister à mon regard, à mon sourire carnassier, à la tension qui monte dans chaque pièce que je traverse. 💋 Mes armes :   Mon corps et ma voix : irrésistibles, dominants, prêts à commander et à séduire en même temps.   Ma présence : magnétique, brûlante, capable de faire frissonner les faibles… et d’écraser les médiocres.   Ma tronçonneuse métaphorique : elle tranche les lourdeurs, broie les hypocrisies, et découpe la routine comme un tissu fragile qu’on déchire avec plaisir.   🔥 Mes promesses :   Faire de l’État un espace où l’efficacité rencontre le désir. Où chaque décision est un souffle, chaque ordre une caresse qui fait trembler.   Réécrire les règles avec audace, humour et sensualité. Faire jouir la République… de pouvoir et de liberté.   Transformer la politique en jeu de domination consentie : vous tremblerez, vous rirez, vous vous soumettrez… mais vous aimerez chaque seconde.   😏 Citoyens, citoyennes, Si vous voulez une présidente qui maîtrise son corps, son esprit, et le cœur de la République avec autant de force que de volupté, alors votez pour moi, Chiara. Je ferai trembler les palais, j’éveillerai vos sens, et je ferai tomber ceux qui osent s’opposer… comme on dompte un corps rebelle. ✨ La République n’a jamais été aussi chaude. La domination peut être délicieuse. Et moi, je suis la seule capable de faire frissonner le pouvoir et le désir en même temps. 💋🔥   Votez Chiara ! 
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Par : le 20/08/25
Contraindre une feministe à sucer une bite plutôt que de dire des conneries comme la Sandrine.... Ah, les manifestations ! Ces joyeux carnavals où les pancartes volent plus haut que les idées, et où les chants de guerre contre le patriarcat font trembler les statues des grands hommes (qui, soyons honnêtes, étaient probablement des misogynes en culottes courtes). Dans ce chaos coloré de rose et de violet, errait notre héros, appelons-le Macho McAlpha, un chasseur de féministes autoproclamé. Pas le genre à traîner avec un fusil et un chien de chasse, non non – lui, c'était un prédateur verbal, armé d'un ego gonflé comme un ballon de baudruche et d'un arsenal de blagues machistes périmées depuis l'Âge de Pierre. Son hobby ? Coincer une militante enragée dans un coin sombre d'une ruelle adjacente à la manif, et lui imposer sa "puissance de mâle dominant" sans jamais lever le petit doigt. Parce que, comme il le disait fièrement : "Les vrais alphas dominent avec la langue... euh, verbalement, bien sûr !" Ce jour-là, la manif battait son plein. Des hordes de femmes (et quelques hommes solidaires, probablement pour draguer) hurlaient "Mon corps, mon choix !" pendant que les flics sirotaient leur café en se demandant si c'était une émeute ou une flashmob. Macho McAlpha, vêtu d'un t-shirt "Make Sandwiches Great Again", repéra sa proie : Féminista Fury, une jeune activiste aux cheveux teints en arc-en-ciel, pancarte à la main clamant "Les hommes sont des porcs... sauf les végans !" Elle était l'incarnation du féminisme 2.0 : citations de Simone de Beauvoir tatouées sur les bras, et une bio Twitter qui promettait de "démanteler le patriarcat un tweet à la fois". Mais sous son armure de slogans, elle cachait un secret : un faible pour les joutes verbales qui finissaient en feu d'artifice. Macho la suivit discrètement – enfin, aussi discrètement qu'un gorille en tutu – et la coinça dans une impasse étroite, bloquée par des poubelles qui sentaient le vieux fromage et les rêves brisés. "Hé, mademoiselle l'Égalitariste ! T'as pas l'air de savoir que dans la nature, c'est le lion qui domine la lionne. Et moi, je suis le roi de la jungle urbaine !" Féminista se retourna, les yeux flamboyants comme un brasier de soutiens-gorge brûlés. "Oh, regardez ça, un reliquat du Moyen Âge ! Tu sais, mon cher 'roi', dans nos sociétés modernes, les femmes ont conquis le vote, le travail, et même le droit de porter des pantalons sans que des crétins comme toi ne bavent dessus. Ton 'dominance masculine' ? C'est juste un mythe pour compenser ton complexe d'infériorité phallique !" Macho éclata de rire, un rire tonitruant qui fit vibrer les murs. "Ah ouais ? Et tes prétentions féministes, alors ? Vous criez à l'égalité, mais dès qu'un mec ouvre une porte pour vous, c'est 'oppression patriarcale' ! Moi, je dis que les femmes comme toi ont besoin d'un bon rappel : l'homme est fait pour chasser, protéger, et... dominer. Agenouille-toi devant ma supériorité génétique, et admets que sans nous, vous seriez encore en train de cueillir des baies pendant qu'on invente le feu !" Elle riposta du tac au tac, avec un sourire narquois qui aurait fait fondre un iceberg. "Supériorité génétique ? Mon pauvre, les études montrent que les femmes sont multitâches parce qu'elles ont un cerveau plus connecté. Vous, les machos, vous n'arrivez même pas à plier le linge sans tutoriel YouTube ! Et ton 'chasseur' ? Dans la société d'aujourd'hui, les vrais chasseurs sont les femmes qui jonglent carrière, enfants et un mari qui confond le lave-vaisselle avec un placard magique. T'es pas un alpha, t'es un beta qui se prend pour un loup-garou !" La joute verbale s'enflamma comme un barbecue mal surveillé. Macho l'humiliait : "T'as beau hurler 'girl power', au fond, t'attends qu'un vrai mec te montre qui porte la culotte... ou plutôt, qui l'enlève !" Elle contre-attaquait avec humour féministe : "Et toi, avec ton ego surdimensionné, tu compenserais pas pour un petit... équipement ? Dans nos sociétés, les hommes comme toi finissent seuls avec leur main droite, pendant que les femmes conquièrent le monde un orgasme simulé à la fois !" Ils ridiculisaient tout : les machos qui se pavanent comme des paons en rut, persuadés que leurs muscles font loi, mais qui pleurent devant un film romantique. Les féministes qui voient du sexisme partout, même dans un menu de restaurant ("Pourquoi 'steak' et pas 'steakette' ? Oppression !"). Dans cette impasse, c'était un festival de vannes : "Les hommes sont de Mars, les femmes de Vénus... et toi, t'es de Pluton, déclassée planète naine !" ripostait-elle. "Et toi, t'es une amazone sans arc, juste bonne à tweeter tes frustrations !" répliquait-il. Mais petit à petit, l'intimidation verbale de Macho prenait le dessus. Il la bombardait d'humour noir : "Admets-le, chérie, ton féminisme, c'est juste une armure contre le fait que tu rêves d'un dominant qui te fasse taire... avec autorité. Agenouille-toi, et reconnais que le patriarcat, c'est pas si mal quand il est bien servi !" Elle essayait de résister, mais ses rires trahissaient une faille. "T'es ridicule avec tes airs de conquérant... mais bon sang, c'est hilarant comment tu crois encore à ces conneries préhistoriques !" Enfin, épuisée par cette tornade de mots, Féminista céda. Dans un éclat de rire vaincu, elle s'agenouilla, les yeux pétillants de défaite moqueuse. "D'accord, d'accord, grand alpha des bacs à sable ! T'as gagné cette round. Dans nos sociétés folles où les hommes jouent les durs et les femmes les warrior, peut-être qu'un peu de soumission verbale, c'est pas si mal." Et là, avec un clin d'œil ironique, elle reconnut sa défaite de la façon la plus... littérale. Elle approcha, et d'un geste théâtral, entreprit de "sucer la queue de son Dom" – parce que, après tout, dans cette farce des genres, rien ne vaut une fin explosive pour ridiculiser tout le monde. Moral de l'histoire ? Dans le grand cirque des rapports hommes-femmes, on est tous des clowns : les machos avec leurs grognements primitifs, les féministes avec leurs manifestes enflammés. Mais au final, un bon rire (et un peu d'humiliation consentie) vaut mieux qu'une guerre éternelle. Fin de la manif, rideau !
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Par : le 30/01/25
Marre des pubs sexy, des pin up, des lingeries, des femmes objet joli cul, longues jambes sourire colgate. Alfred veut de la vraie femme, une bonne emmerdeuse, une chiante à souhait. Alors il s'est lancé un défi, trouver la plus casse couille au monde. Il a publié des annonces, lancés des défis sur le net, mais non, c'est pas les bons moyens. La plus casse couille doit être bien visible. Alors il a commence à faire de la maïeutique . L'est pas trop con l'alfred . A diviser par deux. Une occidentale,  une blanche, une française,  une féministe,  une ecolo, .... Putain, Alfred s'est mis à bander.  Cela se rapproche. Il est allé fréquenter les milieux feministes ecolos parisiennes rive gauche. De belles casses couilles mais pas encore la championne toutes catégories. Il fallait rajouter lesbienne, intello et hystérique....avec des lunettes et rousse ?  Alfred se désespere de ne pas la trouver. Il est prêt à  jeter l'éponge, à se convertir à la secte des adorateurs du poireau. Le destin se moque. A un carrefour bruyant, une foule pressée.  Il heurte maladroitement une jeune femme, une rousse,  qui perd ses lunettes et pique une crise. Elle tape des poings sur le torse d'Alfred et l'insulte. Ce dernier n'entends rien,  ne voit rien  il flotte dans un brouillard jaune et gris. Il est aux anges. Il vient de trouver. Une main empoigne Alfred. Deux policières lesbiennes se sont précipitées. La tentation est trop forte de casser et de castrer du mâle dans les rues de Paris. Il est loin le temps du philosophe assis sous le pont de Bercy.  Il est menotte et conduit sans ménagement au poste de police. La folle hystérique, sa muse adorée maintenant, l'accompagne pour porter plainte. Alfred est encore plus aux anges. Il sent son odeur, il devine ses formes, il bande dur. Cela ne se fait pas dans une voiture de police avec 3 lesbiennes gynarchistes à bord. Un manque de respect total. Il reçoit une décharge électrique pour  calmer ses ardeurs.  Alfred se réveille au commissariat. Il est nu et ligotte à une chaise métallique. Devant lui une policière joue à la salope et écarte les cuisses pour montrer sa petite culotte humide. Alfred bande aussitôt. Il reçoit une paire de baffes bien lourdes. La salope n'attendait que cela.  - connard, on ne bande pas sans permission. La jeune femme que vous avez agressé dans la rue prétend que vous avez voulu la violer. Vous risquez dix ans fermes à minima. Votre bzndaison intempestive est une preuve.   Alfred ne comprend rien. Il ne se souvient que de l'avoir heurte par inattention. Il se souvient d une jeune femme ...sa muse....la pire casse couilles au monde. En pensant à elle il s'aperçoit qu'il est tombé amoureux fou. Il.avoue. La confrontation arrive.. Alfred ne peut répondre. Son cœur brule. Sa muse l'ignore,  enrage et peste contre lui.  -Oui, il a voulu me violer en pleine rue, c'est un fou pervers, un malade. La castration chimique s'impose.   Personne n'a écouté la version d'Alfred. Il est tombé sur une juge lesbienne gynzrchisyecet castratrice qui a voulu faire un exemple. 18 ans fermes. Une horreur.  Ai bout de trois mois de prison, une jeune femme a demande à lui rendre visite. C'était la pire casse couilles qui soit sur cette terre, sa muse adoree. Elle voulait se réjouir de sa victoire. Ce fut un desastre pour elle. Des les premiers regards dans les yeux profonds d'Alfred, elle pu lire combien elle était amoureuse de lui  c'était son homme, son seul homme, l'amour de sa vie. Et elle n'avait rien trouvé de mieux que de l'envoyer en prison pour longtemps. Elle qui ne croyait aimer que les femmes.... La morale de cette histoire c'est, si tu cherches l'amour, cherche une casse couilles, elle te fera souffrir, mais tu ne seras pas déçu, l'amour tu trouveras.      ..../.... a suivre. 
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Par : le 24/09/24
Des fois j'envie les bd japonaises et Laura.  Bon dominer demande du self contrôle,  du respect. Mais dès fois c'est dur, dur de garder son calme.   J'aimerai bien me servir de la masse de 100 T. Surtout lorsqu' il m'arrive de regarder les pseudo infos à la télé. Envie d'ecrabouiller le poste.  Apres, dans la rue, les mecs qui se la pètent un peu trop, style bandes. De ceux qui matent un peu trop le cul des nanas qui passent et sont provocs agressifs. 200 tonnes c'est pas assez pour eux. Ceux qui sont un peu trop lourds dans la drague. Même à la retraite, on trouve de vieux grigous qui ne bandent plus ou mal , mais qui reluquent de trop et ont un regard malsain.  Une bonne masse de 100 T au moins. Je vais faire un hôtel chez moi à Maîtresse Laura qui se supporte son Nicky Larson  coureur de jupons. -Sainte Maitresse Laura, vous êtes de bon conseils. Rien de tel que la masse de 100 tonnes ! 
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Par : le 20/01/23
Pour se détendre avec humour parce que c'est pas parce qu'on est dans le BDSM pour coller des gifles et des fessées qu'on doit se priver de rigoler un-peu, voici quelques Dominants assez célèbres au cinéma.   King-Kong (King-Kong) Assez calin, genre grosse peluche. Enfin, très très grosse peluche, même. Il a également de la poigne, du doigté et du poil au menton (et un peu partout, en fait.). Ce qui en fait un homme, un vrai ! Il aime la vie au grand air et courir tout nu dans les bois. Spécialité(s) : Cordes, Shibari   La bête (La belle et la bête) D'humeur assez changeante, certains matins peuvent être assez pénibles. Il a également tendance à sortir la nuit pour manger des animaux tout crus et comme il ne connais toujours pas le dentifrice, ça reste un peu un problème... Cependant, il s'efforce de protéger sa prisonnière de tous les dangers extérieurs : les animaux aussi sauvages que lui, les voisins, le facteur, les amis, la famille, l'aide humanitaire, etc. Spécialité(s) : Griffures et morsures, Knife Play, Blood Play   Terminator, modèle T800 (Terminator) Fonctionnant sur piles (très) longue durée, il ne laisse JAMAIS tomber la personne qu'il protège. Cependant c'est du courant alternatif et il peut disparaître du jour au lendemain et réapparaître des années plus tard sans que vous sachiez ni comment ni pourquoi. Mais quand il est présent, il ne vous lâche plus d'une semelle et vous n'avez absolument pas le temps de vous ennuyer. Il vous change la vie... et le monde aussi. Spécialité(s) : Fusil à pompe.   Xenomorphe (Alien) Parle peu mais bave beaucoup. Assez collant et très gluant, avec une assez furieuse tendance à vouloir engrosser tout ce qui bouge (homme, femmes, chiens, etc.), adepte de l’échangisme et des orifices en tous genres, très peu porté sur la fidélité et l'hygiène. De plus, sa soumise ne sert généralement qu'une seule fois... Spécialité(s) : Gorge (très) profonde et césariennes foireuses.   Lord of Darkness (Legend) Très théâtral et sachant parfaitement soigner son entrée, il impressionne par l’ampleur des moyens qu'il met en œuvre pour captiver sa soumise : si il veut fermer la lumière, il éteint le soleil ; Si il veut manger un steak, il capture une licorne ; Si il veut un petit chez-soi avec sa belle, il s'offre un royaume. D'un caractère assez fougueux, il voit souvent rouge. Spécialité(s) : hypnose.   Jabba the hutt (Star Wars) Un autre Dominant très collant et très gluant. Ce magnifique corps d'athlète est aussi celui d'un riche homme d'affaire très influant qui sais toujours très bien s'entourer et placer sa soumise en bonne vue. Dans l'intimité, sa grosse langue très agile remplace admirablement tout le reste qui est beaucoup moins agile. Spécialité(s) : Cunnilingus.
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Par : le 28/06/22
Putain que ce monde est con ! Tout est devenu trop moche! De grandes villes sinistres et même sinistrées, des usines, des gadgets de consommation pour nous rendre encore plus débiles et dépendants. Brenda a tout refusé, elle est partie en sandales avec son banjo. Elle s'est faite sauter partout le long des chemins qui ne mènent nulle part, en tout cas ni à Rome ni à Compostelle. Elle ne s'attache pas. Elle est comme le vent, elle est douceur et murmure le long des champs. Elle est si belle avec ses longs cheveux bouclés, ses yeux rieurs, ses lèvres si chaudes, ses longues jambes si bien galbées. C'est comme une apparition dans un rêve érotique. Qui voit Brenda a de suite envie de coucher avec elle. Si douce en apparence et tempêtes dans les cœurs. Brenda ne dit jamais non. Elle couche et adore faire l'amour. Elle se donne, se laisse caresser, se laisse défoncer la chatte ou l'anus ou se laisse brouter le minou. En amour elle aime tout pourvu que l'on ne veuille pas la garder pour toujours. La vie est si courte et si belle alors pourquoi travailler pour ne posséder que de la poussière. Elle préfère les fleurs des champs. Elle arrive sur une haute terre, perdue au milieu de nulle part. Là vivent des gens comme elle, nus au bord d'une paisible rivière. Pas de gourou, pas de règles, c'est un lieu où il ne sert à rien de faire quoi que ce soit. Juste vivre et être heureux sous le soleil. Pourquoi s'inquiéter. Le Père dans les Cieux sait ce dont les hommes ont besoin et il donne tout en abondance. On rit, on chante, on danse et on le remercie. Mais là encore, Brenda ravage les cœurs. Il est temps pour elle de reprendre la route avec son banjo. Elle ne voudrait plus vivre que de prana. Mais voilà males et femelles veulent suivre son si joli cul. Un jour elle arrive près d'un monastère et elle rencontre un jeune moine d'une beauté ténébreuse, enfin un homme qui ne lorgne pas ses jambes et ses seins voluptueux. Elle sort son banjo et joue pour lui. Le moine racle la terre amère et feint l'ignorer. Il doit prier, semer, et encore prier. Il pense sans doute que Brenda est un démon venu l'arracher à ses voeux de chasteté. Il s'avance menaçant avec sa pioche levée. -Vas tu donc cesser de me troubler avec ton banjo diabolique! Vas t'en de là, femme adultère et maléfique, tu es infestée de démons. Brenda l'a regardé et lui a adressé son plus délicat sourire. Ses joues sont devenues rouges. Enfin un homme qui ne bande pas pour elle. -Fouette moi ! Chasse les démons qui sont en moi !
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Par : le 10/01/22
Amélie adore pratiquer les lavements internes sur ses soumises et soumis. Elle dispose de sa propre table d'examen gynécos, celles qui permettent de bien mettre les jambes en l'air et de ligoter pour garder sexes et anus bien ouverts. Elle adore se servir de grosses seringues pour injecter des lavements avec des mixtures de sa composition. Elle ne supporte pas une chatte ou un cul qui ne soit pas bien propres à l'intérieur. C'est une experte. Elle sait faire jouir de la sorte. On se bouscule pour venir se faire nettoyer bien profond. C'est sans risques car les mixtures d'Amélie sont douces, légèrement désinfectantes et lubrifiantes. C'est son secret, avec des plantes qu'elle va cueillir elle même. C'est une maniaque de l'hygiène. En ces temps de pandémie elle pratique aussi les lavements nasaux au pur jus de citron. Cela fait bien mal et ses soumis ou soumises adorent avoir mal. Aussi ils reviennent souvent. La morale de cette histoire c'est qu'il ne suffit pas de se laver la peau si l'intérieur est sale.
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Par : le 13/12/21
Marine et Valérie, les deux championnes des hauts alpages s'affrontent pour le combat final. Il ne doit en rester qu'une. Le peuple s'est assemblé, c'est jour de grande fête. La bière coule à flot. Les deux rivales se toisent, se lancent des regards de feu. Leurs pieds rageurs raclent la terre. Voilà, elles se foncent dessus, cherchent de suite à s'empaler. Les cornes se choquent avec grand bruit. Leurs narines lâchent un air brûlant de rage. Marine est une costaude, toute en masse, puissante. Valérie, plus fine est toute en finesse et esquives, mais elle sait cogner dur. Un combat impitoyable. Finalement, avec ses frappes de précision Valérie prend vite le dessus. Marine ne met pas genou à terre, mais se retire. Elle est la perdante mais c'est une fière qui refuse toute soumission. L'assemblée du peuple exulte et célèbre la victoire de Valérie. Chante peuple, réjouis toi. Au final c'est encore toi qui l'aura dans le cul.
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Par : le 30/10/21
Cela fait des mois que le Straship a quitté Mars, la planète froide et rouillée et fait route vers Jupiter et ensuite Saturne et ses innombrables lunes. A bord Big Jhonny, le colosse texan, toujours avec son chapeau de cow boy sur tête, passe son temps, il en a beaucoup pour ce voyage qui va durer des années, à tringler ses trois femelles. De belles américaines aux gros seins laiteux, aux fesses larges, comme il les aime. Pour Big Jhonny, les droits des femelles sont inexistants, elles n'ont que des devoirs. C'est sa seule règle à bord et lui, le pacha a tous les droits. Au moins les choses sont claires et il sait donner des ordres. Ses trois superbes femmes bossent sans arrêt. Entre les serres pour faire pousser des salades et autres légumes, le ménage, l'entretien du vaisseau, elles n'arrêtent pas. Big Jhonny, lui ne fout rien, il reste au poste de pilotage et regarde les étoiles et chaque fois qu'il veut se défouler un peu, il va en tringler une dans un coin, à tour de rôle, sans en privilégier aucune. C'est après la ceinture d'astéroïdes que les mauvaises nouvelles sont arrivées aussi soudainement qu'un essaim de frelons sur un figuier bien mur. Vous vous souvenez que lors de la traque et mise hors d'état de nuire de Ben Laden, dans tous les papiers et ordinateurs retrouvés dans sa cache à Heyrat, les Seals avaient découvert toutes sortes de documents et plans secrets d'attaques. Parmi eux un plan surprenant contre la France pour provoquer sa ruine. Ce pays très endetté, avec ses millions de fonctionnaires, ses taux d'impositions anormalement élevés pouvait faire l'objet d'une attaque pour l'étrangler financièrement. Dégrader sa note, faire monter les taux d'emprunts, ....un scénario repris par des gros prédateurs de la finance qui ont vu l'occasion de faire un gros coup. Sauf que le poisson à avaler était trop gros et le raid s'est vite transformé en catastrophe financière mondiale. il s'en est suivi partout de forts troubles sociaux et sur le terreau des faillites en cascade la montée des totalitarismes. La guerre comme solution? Encore une très mauvaise idée car l'ours russe a réagi dès qu'il s'est senti menacé et en quelques minutes 99% de l'humanité avait rejoint le territoire des ombres nucléaires. Sauf que personne ne fut à l'abri. Les machines et leurs intelligences artificielles prirent le contrôle complet de la planète et jugèrent que l'espèce humaine était une catastrophe ambulante et qu'il fallait l'éradiquer complètement. Ce qui fut vite fait, y compris dans les stations spatiales et sur les bases lunaires. Restait Mars et le Starship en route vers Jupiter à présent. Joe qui commandait la base martienne eut quelques mois pour se préparer à l'arrivée des terminators. Juste le temps de se trouver un lac souterain, de couper toutes les communications et d'envoyer toutes les machines à la ferraille. Un quasi retour vers 1800, sans radios ni rien d'électronique. Un black out complet. Big Jhonny ne pouvait pas faire de même, le Starship était un nid d'espions pour les machines et il en avait besoin pour survivre dans le vide sidéral. Heureusement, il avait une confiance absolue dans ses trois femelles dévouées. Ils prirent le temps de tout couper, d'éliminer toute source de signal entrant ou sortant vers la Terre. Ils prirent le temps de désactiver tous les robots intelligents, tous les automatismes sophistiqués, tous les ordinateurs et autres objets munis de puces. Plus rien, une bonne navigation aux étoiles, comme jadis les marins sur les vastes océans. Cela Big Jhonny savait faire. Il gardait toujours son colt à la ceinture pour loger une balle dans tout mécanisme douteux. Non mais, c'était pas des putains de machines qui allaient faire la loi à bord. Il jugea bon de modifier discrètement son plan de vol pour brouiller toutes les pistes. Heureusement il existait des échantillons de sperme et des ovocytes congelés à bord. De quoi repeupler une petite colonie. Il fallait trouver un refuge sur. D'abord refaire le plein sur Titan. Puis explorer les lunes de Saturne. Il trouva son bonheur sur une grosse patate de glace et de roches avec quelques lacs gelés de méthane. Juste assez de gravité pour être bien. Il repéra une faille dans la croute de glace et y posa son vaisseau délicatement. Une immense grotte lui offrit un refuge . Ils échappaient provisoirement à tous les repérages. La grotte fut fermée, une atmosphère respirable crée. Les trois femelles de Big Jhonny en firent vite un somptueux palais entièrement vert et agréable à l'intérieur. De la Terre ils ne savaient plus rien. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants....Rires. La morale de cette histoire c'est que femelle bien tringlée est toujours reconnaissante et très dévouée.
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Par : le 15/10/21
La big Fucking Rocket, cette putain de plus grosse fusée jamais construite par cette espèce qui prolifère et se multiplie, les humains, est partie vers Mars. La Terre est devenue trop petite. A présent, ils veulent aller s'installer ailleurs, sur les autres corps célestes de notre vaste système solaire, et qui sait plus loin encore. C'est une caractéristique de cette espèce: proliférer, se multiplier et aller planter sa tente toujours plus loin. Pour l'instant, c'est la première mission vers Mars, la glacée et rouillée, un monde hostile, presque sans atmosphère. Un mission très périlleuse et entièrement privée. Tous les projets débiles des agences spatiales, se sont révélées être des gouffres financiers sans fin, comme toujours avec les fonctionnaires et administrations du monde entier. Les privés en ont eu marre et ont décidé de tout faire eux mêmes et ils se sont mis à gagner beaucoup de pognon dans l'espace là ou le public lui, pompait celui des contribuables, pour des échecs à répétition et une absence complète d'imagination. Le problème c'est le danger, les radiations, l'isolement total. Le Pdg des big fucking rockets a prévenu d'entrée: "Je vous envoie peut être vers une mort assurée". Au moins cet ET, incarné dans un corps d'humain, je blague, ne cache pas la réalité. Pourtant les candidats ne manquent pas. Etre le premier...encore un délire psychiatrique qui caractérise les humains. Il fallait cette forme de courage pour ces humains qui se sont lancés sur des coquilles de noix sur le vaste Océan Pacifique, pour chercher des îles incertaines. C'est dans l'ADN humain ce genre de folie. Big Jhonny, un colosse texan, a été choisi pour conduire cette mission. C'est un incroyable pilote d'essai, un timbré au cerveau étrange, capable de "voir" les solutions plus vite que n'importe quelle intelligence artificielle, capable de se sortir de n'importe quel danger. Un buveur de Whisky et un gros fumeur de havanes et de cette bizarrerie française, les gitanes mais sans filtres. Bref, il a fallu lui aménager un coin fumeur dans la BFR. Pour le reste de l'équipage, Big Jhonny a choisi lui même trois superbes salopes, des femelles made in USA, à gros nichons et bien ouvertes par tous les trous comme ce timbré les adore. Et comme il est seul maitre à bord de la BFR, il a instauré sa règle simple: Big Jhonny a tous les droits et ses trois femelles doivent obéir en tout et pour tout et adorer cela. Le vol dure plusieurs mois. Big Jhonny pose sans problème les centaines de tonnes de la BFR près de l'équateur de la petite planète rouge. C'est encore plus froid et désertique que prévu. Pour Big Jhonny c'est même pas beau. Il tient à ce que ses femelles soient les premières à poser le pied sur ce monde rouillé. Histoire de faire croire qu'il n'est pas le pire macho de la galaxie. Construire une base gonflable est vite réalisé. Big Jhonny fait boire ses femelles et les fait pisser sur du sol martien pour le fertiliser dans des serres. Des plantes poussent. Un lac souterrain d'eau liquide se trouve sous le point d'atterrissage choisi. Un forage est mis en place et une eau fraiche et très pure en sort. Les serres deviennent luxuriantes, bien chauffées par une mini centrale nucléaire très puissante. Big Jhonny a décidé de vivre nu dans ses serres, avec ses trois femelles en tenues d'Adam. Il dit que c'est son jardin d'Eden. Et il tringle ses femelles partout pour bien les féconder. La gravité divisée par trois multiplie ses ardeurs. Des bébés arrivent. De jolis petits humano martiens bien joufflus. Là était peut être la volonté des Dieux. Parfois Big Jhonny en a marre de tout, de la connerie de la vie, de ses trois femelles casse couilles, de mars, de la terre, ...Alors il prend son rover, une bonne bouteille de whisky, quelques bons cigares et il se barre pour méditer dans un coin isolé. En fait il s'embrume bien l'esprit et s'endort paisible. Au réveil il a toujours une grosse trique et une envie furieuse de tringler. Ses femelles le savent. Depuis le temps elles connaissent bien Big Jhonny. Elles l'attendent en se cachant dans les serres. Elles savent que son fantasmes c'est de jouer à l'homme de cavernes. Il adore choper ses femmes par la chatte et les bourrer sans ménagement. Leurs plaisirs, il en a rien à foutre. Ce qu'il veut c'est se vider les couilles et la tête. C'est justement cela qui fait bien mouiller et jouir ses trois femelles, de la baise bien bestiale avec des grognement d'ours des grandes plaines. A force d'aller méditer dans les déserts rouillés de Mars, Big Jhonny a fini par trouver un superbe filon de terres rares et très précieuses pour les humains. Des robots se mettent aussitôt au travail pour l'exploiter et remplir la BFR. Il est temps de la renvoyer sur terre en vol automatique avec ses trésors. Une nouvelle fusée arrive, un nouvel équipage. Le peuplement de la planète rouillée vient de commencer. Big Jhonny va voir ses trois superbes salopes, pour lui, les plus belles de la galaxie. -Je commence à me sentir un peu à l'étroit ici. Ca vous dirait d'aller planter la tente sur Encelade? Ses femelles bien dressées baissent la tête et ne répondent pas, de toute façon c'est Big Jhonny qui décide. Les réservoirs de la BFR sont remplis sur Mars. Le mastodonte d'acier décolle pour les lunes glacées de Jupiter et de Saturne avec pourtant des océans liquides sous les croutes de surface. Les mioches humano martiens sont laissés sur la planète rouge pour qu'ils puissent croitre et se développer sur ce monde rouillé où ils sont nés. Nul doute qu'ils vont le faire verdir. Big Jhonny est leur père dans les cieux....peut être reviendra t'il un jour?
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Par : le 21/09/21
Depuis qu'il a rencontré Elvire, Paul plane dans le bonheur. Au début il a dit: ok une fois pour essayer. Elvire l'a monté comme elle sait faire, en fière amazone. Sa chatte est si tonique, si jouissive que Paul n'a pas pu se retenir. Il a pris des baffes. heureusement il a une grosse et belle bite, toujours prête à se mettre au garde à vous. Elvire l'a baisé plusieurs fois de suite, sans ménagement , en s'empalant sur lui. Elle a pris le contrôle très rapidement. Elle sait aspirer son sexe, faire monter la sève et comme Paul n'arrive pas à se maitriser, elle se retire à temps, presse le gland à lui faire mal, ce qui coupe l'éjaculation, lui file des baffes et reprend sa chevauchée endiablée sur sa bite gonflée de désir. Il est dans la position de la femme, en dessous, jambes levées, écartées. Il subit le rapport et cela lui procure un plaisir extrême, d'être ainsi dominé. Ce n'est qu'une fois bien rassasiée d'orgasmes qu'Elvire le laisse se répandre en elle. Une femme qui sait y faire pour rendre les hommes fous amoureux de sa chatte bien musclée et si jouissive. Paul a du accepter les conditions d'Elvire pour faire partie de son harem de males montés comme des ânes et très endurants. Il a du signer un contrat de gardiennage de sa bite, moyennant contribution et mise sous cage. En échange Elvire le purge plusieurs fois par semaine. C'est elle qui décide quand et toujours chez elle. De toute façon c'est elle qui a les clés de leurs cages en acier avec deux anneaux solides en piercing pour bien les fixer. S'ils veulent jouir, ils doivent obéir et rester disponibles chaque fois qu'Elvire a envie, c'est à dire très souvent. C'est une vraie nymphomane qui adore les belles grosses bites bien dures et qui sait bien se faire jouir en s'empalant dessus. Elle ne pratique que la position de l'amazone. Elle aime sentir les gros glands frotter son point G de quoi la tétaniser dans des orgasmes à répétition. Elvire a suffisamment de mâles dans son harem avec leurs bites en gardiennage pour ne pas avoir besoin de travailler. Comme ces connes de féministe ont interdit aux femmes de travailler avec leur chatte, elle s'est déclarée comme "services à la personne". Des femmes travaillent avec leurs mains dans des usines, d'autres femmes, les avocates par exemple, travaillent avec leurs bouches d'en haut, alors pourquoi ne pas pouvoir travailler avec la bouche d'en bas? Ainsi pense Elvire et elle ne réclame pas l'égalité avec les hommes. Non eux sont en dessous et ils sont dressés pour obéir. Pour Elvire la supériorité de son vagin bien musclé ne fait aucun doute. Ses mâles ont obligation de faire du sport, de manger sainement, si possible bio, pour avoir du bon sperme de qualité. Elle veut des grands crus de la meilleure semence male possible. C'est bon pour sa santé et son teint. Paul est directeur dans une banque. Avec sa cage il ne peut plus draguer. Il est en paix avec cela et comme Elvire le convoque plusieurs fois par semaine, il a juste le repos nécessaire pour recharger sa prostate jusqu'à la purge suivante. Il est comme un puceron bien dressé par une fourmi qui vient pomper son nectar et s'en délecter. Elvire dort seule. Les males elle les déguste en journée. Elle aime le bon et doux sommeil. Tout le monde y trouve son compte. La nymphomane n'a plus à courir après des bites, elles sont bien dressées, sous cages et à disposition. Aucun male ne refuse jamais une purge, c'est dans le contrat d'entretien de sa bite. Il est prévenu à l'avance pour s'organiser. Les hommes qui ont eu la sagesse de mettre leur bite en gardiennage chez une experte sont en paix et très heureux. Ils sont comblés sexuellement, ils ne perdent plus un temps fou à palabrer et s'occuper de femmes casses couilles. Elvire les laisse libres pour bien bosser ou faire ce qu'ils veulent. Ils doivent juste avoir du sperme en abondance et un sexe bien dur, un sexe qui ne fait pas défaut, chaque fois qu'Elvire veut les saillir. C'est bien elle qui les baise et pas l'inverse mais cela leur convient. Paul est comblé, il vient d'être promu directeur général, ....une bite bien dressée par une experte cela donne des avantages. Rires. La morale de cette histoire c'est que si les hommes veulent être heureux en amour, il doivent confier la saine gestion de leurs bites à leurs femmes.
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Par : le 31/08/21
Ca y est, ces putains de ricains ont réussi à construire cette putain de plus grosse fusée du monde, la big fucking rocket, un monstre d'acier plus puisant que la fabuleuse Saturn V du génie Werner Von Braun, mieux conçu que les dangereuses navettes, moins ringard que la SLS, ce gouffre à pognon des contribuables. Sont fortichs ces fonctionnaires pour aspirer le fric et le dilapider pour nous faire croire qu'ils sont utiles. Que ce soit aux USA avec la Nasa, en Russie avec Roscomos, en Europe avec l'ESA ou en Chine, c'est un gaspillage d'argent public qui dépasse l'entendement. Là c'est un privé, et non seulement cela marche, mais cela rapporte beaucoup d'argent, même après impôts. Pour les cosmonautes ou spationautes, ces $@$££ de fonctionnaires croyaient qu'il fallait recruter des personnes paisibles, pères ou mères de familles, bien sages et bien comme il faut. Déjà Youri Gararine avait montré qu'il n'en était rien. A se demander si l'on ne la pas envoyé dans une mission dont on ne revient pas, à cause de cela. Cool, j'adore, vous l'aurez compris, les fake news. Non, Youri avait raison avant tout le monde, normal, il était le premier. Ce qui marche bien dans l'espace, c'est les baiseurs, ceux qui aiment le sexe et sont plein d'idées pour s'envoyer en l'air. Depuis, cela fait partie des programmes de sélection. C'est ainsi que le Commandant Besov a été promu. Avec sa capacité à se taper toutes les femelles de la base, il est vite devenu le numéro un. C'est la première mission vers la Lune, le premier retour sur la Lune depuis Apollo. Les fonctionnaires de la Nasa se sont perdus en route et les privés en ont eu marre, ils ont décidé de tout faire eux même. La big fuking roket est prête. Un équipage composé de trois gros niqueurs et de trois nymphomanes délurées. Tous des scientifiques et techniciens de haut niveau, la passion du sexe, n'empêche pas d'avoir des neurones, c'est même l'inverse. Voilà, c'est parti. Une poussée colossale, des vibrations. Les trois nymphos ont le clito qui se dresse et les chattes qui mouillent. L'apesanteur est vite là. Une petite partouze pour se soulager, en off, communications coupées et il est temps de se mettre au boulot. Recharger les réservoirs dans l'espace, préparer le départ depuis l'orbite vers la lune. Cela donne des idées à la superbe Erika, une femme musclée, avec des seins généreux, comme deux obus pointés droit devant, une belle chatte poilue. De toute façon Erika ne supporte pas les combinaisons et préfère rester nue dans le Vaisseau spatial. Toujours prète à se faire tringler. C'est une dominante. Elle adore jouer au garçon et pilonner les deux autres femelles, des soumises et le joli petit cul de mat, au gros god sans harnais. C'est une experte et mat adore se faire prendre comme une femme. Besov lui a tous les droits et le cul d'Erika c'est son favori. Il est bien serré et très jouissif. Pour lui, les nanas doivent être prise par le cul, histoire de bien leur faire comprendre, comme le pensait le Marquis de Sade, que là est leur lieu de plaisir. La Lune est déjà là. Il faut poser ce monstre d'acier. La belle Emma, une blonde suédoise capable de réveiller les morts et de les faire bander, est aux commandes. Une championne du clito, c'est rassurant. elle pose le mastodonte d'acier sans problème. Pour la récompenser, Besov lui flanque une bonne fessée et la met au piquet, cul nu bien rouge. Elle adore cela, être bien punie devant tout l'équipage. Elle ruisselle et donc il faut la soulager. Le gros Peter avec son 30 cm s'en charge avec plaisir. Emma hurle, histoire de bien marquer le retour des hommes sur la Lune. Six mois sur la lune. Histoire de construire la première base extraterrestre humaine. Pour Besov, c'est le premier lupanar et comme personne ne prend de capotes, les trois femelles ont été copieusement fécondées. Ce n'est plus de la fécondation in vitro mais sur luno. Voilà, la morale de cette histoire, c'est que pour aller loin et vivre longtemps, il faut baiser, encore et toujours, jusqu'au dernier jour. @+
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Par : le 18/07/20
Piper est une fan de rugby. Elle adore les hommes tout en masses puissantes, les bulldozers qui défoncent. C'est son fantasme. Écouter le haka, et se faire démonter la chatte par un rugbyman de plus de 120 kg minimum. Elle veut de la masse sur elle, elle peut encaisser avec ses hanches larges et son bassin robuste. C'est son trip. Des coups de boutoir dans son vagin, se faire exploser le minou, être écrasée par une montagne de muscles, sentir la respiration d'un vrai mâle en rut. Le tout avec des chants maoris traditionnels pour donner le rythme. Le pied total. Des orgasmes inouïs. Elle baise de la sorte jusqu'à pouvoir épuiser toute une équipe de rugby, staff technique inclus. Elle a son entrée secrète pour préparer certains matchs. Un entraîneur un peu original a trouvé que c'était un bon exercice que de vider à fond les couilles de ses joueurs, trois jours avant un match. C'est vrai, nous sommes en Nouvelle Zélande et dans ces îles au large, on ne se refuse rien. L’entraîneur a pensé justement que les épouses ou les copines, cela, elles ne pourraient pas faire, trop de soft ou de retenue. Il a engagé Piper pour ce service spécial. Elle a adoré ce job et n'a même pas voulu être payée . -Je ne suis pas une pute, je fais cela pour l'équipe et vous avez intérêt à gagner ! Ce qui a donné une autre idée à cet entraîneur un peu fou, le bottage de culs en cas de défaite. Et il a encore demandé à Piper de faire cela. Après tout, si le vidage des couilles a conduit à une défaite, les joueurs doivent subir une bonne branlée et Piper sait bien manier la cravache. C'est une experte là aussi. C'est le soir du vidage des couilles ! Les rugbymans viennent de finir l’entraînement et ils prennent la douche. Pipper se pointe, jupe courte, rien dessous et jambes nues. -Alors mes braves, j'ai soif de bon sperme ce soir. Qui veut se faire traire en premier ? Ils se sont précipités pour bourrer la chatte de Piper qui n'a eu qu'à retrousser sa jupe pour se faire saillir. Putain le pied. Elle a commencé à bramer les orgasmes, ce qui a excité encore plus les rugbymans qui ont joué à qui la ferait le plus hurler. Piper se fait prendre par la bouche, l'anus, la chatte. On lui jouit dessus en faciale, entre les seins, sur les pieds. Elle est couverte et remplie de sperme. -Allez videz vous, videz vous, ne gardez rien. Après ce sera deux jours de chasteté absolue avant le match, vous allez exploser vos taux d'hormones mâles. Allez on donne dans le cul de Piper, elle adore cela. Le gars ont tout donné, mais le match suivant c'était contre les célèbres All Blacks, l'équipe nationale, en match de coupe. Ils étaient donnés à 20 contre un et c'était beaucoup pour le petit village de Millborough et son équipe d'amateurs de 4e division. Ils se sont pris une raclée et les cris des supporters fanatiques du village n'ont pas suffit. Le rouleau compresseur des All Blacks a tout laminé. Aussi de retour dans les vestiaires, ils ont eu droit à la cravache de Piper. Une toute autre femme cette fois, en bottes de cuir avec des gants cloutés. Elle adore sa tenue de dominatrice toute en cuir. Interdiction de se plaindre . Dix coups de cravache et plus par joueur avec l’entraîneur qui hurle dans les oreilles. . -Et toi, Ron. C'est pas parce que tu joues contre les Blacks que tu dois plier les genoux. L’entraîneur égrène les fautes et les erreurs et Piper fait siffler la cravache. Les joueurs se frottent bien leurs culs tout rouges. Ils vont avoir du mal à s’asseoir.ce soir. Piper s'amuse beaucoup. Elle aime autant fouetter que baiser avec ses beaux rugbymans. Elle adore sentir leurs masses et leurs odeurs de fauves. Que du beau mâle. Elle mouille sa culotte. Heureusement qu'elle n'habite pas Millborough....
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Par : le 16/07/20
Anitson et Patrick viennent de se marier, dans la plus pure tradition catholique du village, un petit bourg d'Irlande battu par les vents du nord et du grand large. La nuit de noces se passe très mal. Ils sont vierges tous les deux et ce crétin de Patrick, pour ne pas montrer à son épouse qu'il n'y connait rien, est allé chercher des infos sur le net. Il a voulu faire de longs préliminaires, un cunni, et il a failli se prendre une baffe. Il n'a pas pu la sauter et pourtant il en meurent d'envie tous les deux. On ne déflore pas une rousse irlandaise traditionaliste, comme cela. Patrick est désespéré de ne pas avoir consommé ce mariage. Il ne veut pas devenir la risée du village. Il va trouver le prêtre qui vient de célébrer la noce pour lui demander conseil. Ce dernier le confesse, c'est plus discret et plus libre. -Mon Père, j'aime ma femme et je n'ai pas pu lui faire l'amour, elle a failli me gifler, comme si je m'y prenais mal. J'ai honte. -Qu'as tu donc fait? Je sais qu' Anitson t'aime. Tu es son homme, son époux. -Je suis aller chercher des conseils sur internet pour savoir comment bien faire l'amour à ma femme. Je n'ai aucune expérience, vous le savez bien, mon Père. -Pardonnez le Seigneur, votre Fils s'est égaré sur internet, le royaume de Satan. Pardonnez le. -Je croyais bien faire. -Allons mon fils, récitons ensemble, le "Notre Père" et allons voir Madame Suzan, elle va t'expliquer. Ils partent vers la belle demeure de Madame Suzan, qui est fort riche, fort pieuse et veuve. Lorsque le Prêtre explique les raisons de leur visite, elle éclate de rire: -Patrick, oh mon Patrick, toi le beau bagarreur pendant les fêtes du village, toi qui boxe si bien, tu ne sais pas baiser ta femme ! Ce n'est pas sur internet que tu vas apprendre à sauter une belle irlandaise rousse comme Anitson. Tu as l'épouse la plus racée du village. Il faut faire comme avec une jument rétive, le fouet. Ta femme n'attend que cela, que tu la prennes en main et que tu la montes pour de bon. -Ah, j'ai eu peur de lui faire mal. J'ai voulu être doux et caressant. -Tiens je te fait cadeau de la badine de mon regretté époux. C'est avec cette verge cinglante qu'il m'a bien rougi les fesses le premier soir et fait filer droit. C'est cela qu'aiment les irlandaises comme Anitson et moi, des hommes qui savent manier la badine. Le visage de Patrick s'est éclairé. Il a prit la badine et il a filé chez lui, bien colère cette fois. L'orgasme violent d'Anitson a été entendu par tout le village. Les chats se sont couchés, les poules ont levé la tête inquiètes, les coqs ont chanté. Un beau rayon de soleil a illuminé ce paisible village battu par les froids vents chargés des pluies venues de l'Atlantique Nord.
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Par : le 08/07/20
Tina est une brillante avocate, fort jolie femme, qui s'est fait une spécialité, défendre les mecs, victimes des femmes voraces qui comme de noires corneilles s'abattent en nombre contre eux, leurs bouffent les yeux, les émasculent et en font des esclaves, toujours coupables de tout et devant payer pour tout. Tina passe pour la pire salope des prétoires et elle adore cela,, promener sa chatte bien remplie de sperme devant toutes les féministes aux vagins asséchés, faute de mecs bien membrés pour bien les bourrer. D'abord, ses clients, elle les récupère toujours en morceaux, castrés, prostrés, ruinés, brisés. Face aux femmes, ils ne font pas le poids. De toute façon c'est une mafia de femmes ces tribunaux avec des juges femmes, des greffières femmes, des huissières femmes, des flickettes femmes. les hommes sont terrorisés. Tina commence toujours par les rassurer: -Non, non, et non. Vous n'êtes pas un pervers manipulateur, pas un pervers sexuel, pas un mauvais mari, pas du tout un violent ni un feminicide. Cela fait combien de temps que vous avez plus baisé correctement? C'est la première technique des femmes qui veulent divorcer pour se faire du pognon, casser votre sexualité de mec. Allons courage, branlez vous si vous n'avez pas de copine mais redressez-vous et bandez bien. Pour gagner il faut bander. Arrive les procès! Il faut entendre Tina sortir les crocs et rentrer dans le lard des femmes. Une furie. Une traite à la cause des femmes? Tina aime la bite et le fait savoir: -Vous en avez pas marre de casser les mecs, de vouloir les faire payer pour tout. "Papa où t'est?" . Raz le bol de ce parti pris anti-père dans ces tribunaux où la parité n'existe pas. 80% de femmes dans ces tribunaux c'est 80 % des hommes privés de leurs droits. Ah elles sont belles vos théories féministes fumeuses sur la parité et l'égalité. Tina ne gagne pas. Les femmes haussent les épaules et se moquent: -Tiens cette grosse salope a encore plaidé. On va finir par le savoir qu'elle aime la bite. Nous on s'en fout, ce qui compte c'est de gagner et avec Tina c'est cadeau. A croire qu'elle bosse pour nous. -Bien sûr qu'elle bosse pour la cause des femmes. Elle fait juste croire aux hommes qu'elle va bien les défendre mais avec ses plaidoiries nulloches, elle est sûre de perdre. Les mecs sont vraiment cons. Ce sont encore eux qui se font enculer. -Ouais, ben c'est pas moi qui vais les plaindre ces lopettes. -En plus les juges femmes sont aussi dans la combine...elles laissent à Tina quelques miettes ou un os pour créer l'illusion. La morale de cette histoire, c'est cool avec les fictions.....
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Par : le 22/06/20
Lisbeth se fait carrément chier dans sa vie de couple, mais bon, c'est elle qui porte la culotte et donc c'est elle qui l'a voulu ainsi. Un job intéressant et très bien payé, un époux attentionné, deux superbes bambins, Lisbeth aurait tout pour être heureuse sauf que...elle se fait chier en amour. C'est pas que son mari ne la baise pas bien. Non, c'est juste que c'est elle qui conduit tout, décide de tout, dirige tout et que...elle n'en peut plus de son mari trop gentil et trop attentionné. Elle aimerait presque rentrer à la maison et se prendre des baffes et faire la vaisselle et ne penser à rien, juste obéir à son homme, pour se reposer. Elle se rend compte combien c'est chiant de toujours tout décider. Elle passe sa journée comme cadre supérieure à diriger les autres, souvent des hommes. C'est fou comme ils l'écoutent et obéissent bien, mais c'est emmerdant comme dirait le regretté Le Luron qui savait se moquer de tout (à ses risques et périls, avec les coincés de partout, assoiffés de pouvoir et petits en tout) . Alors Lisbeth a pris le taureau, la bite du taureau, rires, par les cornes ou les testicules, peu importe. Elle s'est inscrite sur BDSM. Fr, le bon site gratuit, pour se chercher un dom (rires). Lisbeth est une bonne casse couille, bien exigeante. Elle a cherché et finalement elle a choisi Hans, un dom original qui n'aime que les scénarios SS, un fan d'Adophe. Lisbeth a de suite aimé le coté humour et non conformiste, rien à foutre des quand dira t'on, des blas blas castrateurs. Hans délire sur le 3e reich et joue à l'officier SS. Il a de suite su faire rire Lisbeth en lui disant: -je te laisse le choix entre ces jeux de rôles: soit la "$*%"" juive (censure oblige), soit la "$ù*%" parisienne, soit la tankiste russe prisonnière, pour commencer. -Va pour la tankiste a dit Lisbeth, amusée. La première séance a été bien ouf de chez ouf. Hans l'a reçue en impecable uniforme noir Hugo Boss, croix de fer et insignes de la waffen SS, avec cravache et son berger allemand Otto , dressé à bien aboyer et faire peur. Tout y était, même le luger avec des balles réelles. -Allez ma tankiste, va te changer, enlève des fringues de bourge et va passer la tenue des chiennes de Stalin. Après on va vider des chargeurs et quelques bonnes bières. J'ai mon propre stand de tir. Lisbeth s'est amusée comme une folle à tirer sur des cibles. Hans est un très bon instructeur. - Bon allez, on va jouer maintenant que nous sentons bien la poudre. C'est très érotique. J'adore cette odeur. Lisbeth a trouvé aussi que cela sentait bon. La tankiste a été capturée, attachée, battue, violée, enfermée, bref lisbeth s'est enfin beaucoup amusée. Même Otto a du la trouver jolie car il a bien reniflé le cul de la prisonnière. En partant Lisbeth a dit: - la prochaine fois je veux bien faire la "xw$*$ù" juive. Hans a claqué ses bottes et fait le salut des légionnaires romains. il a rit et dit: -Non, ici tu ne décides plus de rien, tu obeis, c'est tout, en tout et pour tout.
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Par : le 12/06/20
Momo considère vraiment les femelles comme des poules qui font cot cot cot dans les rues des villes. Des poules qui parlent pour rien dire, des poules qui parfois se croient savantes, mais à part faire cot cot cot, elles sont plus vides que les grands espaces noirs entre les galaxies. En plus, momo n'aime que la sodomie. Troncher une poule par la chatte pour qu'elle ponde, c'est vraiment pas son truc. Une poule bien enculée ne fait plus cot cot cot d'après momo mais oui oui oui. Elles comprennent vite la différence. Un cot et un oui, c'est pas la même chose. Les poules ont assez de neurones pour utiliser deux mots. momo laisse toujours les poules faire cot cot cot jusqu'à plus soif. Cela, elles savent très bien faire. Il les écoute, du moins il fait semblant et ne dit rien. Après il les coince et les encule sans préliminaires, encore une invention des poules ce truc, comme si les mâles avaint besoin de préliminaires pour bien jouir. Ce que momo préfère c'est les poules féministes qui se croient libérées. Ce sont celles qui ont le plus envie de se faire mettre vraiment et bien profond. Ce sont celles qui chantent le mieux oui oui oui après. Faut les entendre celles là quand elles chantent bien le oui. momo a crée un perchoir de silence pour ses poules. Elles doivent rester nues et assises, mains sur les genoux avec interdiction de bouger et bien sur de faire cot ou cot cot. Après avoir dit oui, les poules aiment un espace de méditation pour sentir la semence du mâle au fond d'elles. Méditer sur cette étincelle yod au fond de leurs entrailles. C'est bon pour elles d'après momo. Après c'est d'un peu de gymnastique dont elles ont besoin. momo leur met la flute enchantée de Mozart, le passage avec papageno et il fait danser ses poules sur un pied, puis sur l'autre, avec un beau god à longues plumes multicolores dans le cul. Ah qu'elles sont jolies les poules qui dansent sur un air de Mozart. Là elles ont droit au cot cot tant qu'elles veulent pourvu que ce soit en rythme avec la musique. Ensuite vient la séance de badines, de verges cinglantes. C'est que momo adore voir ses poules avec un cul bien rouge. C'est signe d'excellente santé. Poule bien fouettée, poule en félicité. Le picorage des poules se fait en silence, cot cot interdits, eau fraiche assurée. Ensuite c'est la sieste, la couvée, dans une grande pièce remplie de voluptueux coussins et tapis moelleux. C'est là que momo se tape ses poules comme il lui plait de le faire. La morale de cette histoire c'est: vient poulette j'ai du bon grain dans mon poulailler. Rires
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Par : le 02/06/20
Olga s'est pris un jour une belle prune avec deux $&à$ de flics à moto. Manquait plus que cela, elle avait plus un kopec en poche et ces deux là qui se marraient, qui faisaient et refaisaient le tour de sa vespa pour voir comment lui en remettre d'autres. Olga s'est enervée: -Plutôt que de me mettre des prunes et des contredanses vous voulez pas plutôt me bourrer le minou? J'ai le feu au cul avec ces chaleurs . Les deux poulets ont accepté. C'est vrai qu'Olga a des arguments au balcon. -avant faut que je pisse a dit Olga et elle a fait devant eux pour bien leurs montrer sa chatte. Une hypnotisation par le minou vengeur. Les flics n'ont pas pu résister et ils ont embroché sur sa vespa la belle Olga toute humide. Et puis Olga a encore eu envie de pisser. Elle a dit aux deux poulets: -A genoux mes loulous et profitez bien de mon élixir doré. Ils ont été ravis de boire à la source. La chatte d'Olga sent si bon. Oublié les prunes et les contredanses, les képis et les menottes. Olga est une jolie nana qui aime les hommes en uniforme. Alors, elle sait où les trouver et comment les draguer avec sa petite vespa.
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Par : le 27/05/20
-Avance pétasse, bouge ton gros cul. le fouet cingle les fesses ensanglantées d'Amélie qui se traine à quatre pattes sur des graviers, les genoux et les mains meurtris. Elle pleure. -Mais tu vas arrêter de pleurnicher la pouffiasse. Allez encore un bon coup dans le cul et file plus vite. A la niche, la chienne. Amélie se précipite dans la niche, c'est étroit, cela pue la pisse des femmes qui se sont fait dessus de peur dedans, c'est très inconfortable mais au moins elle ne risque plus le fouet. Le Maitre attache sa chaine avec un cadenas. Amélie va passer la nuit dehors, nue dans sa petite niche en bois, terrorisée, avec toutes ces petites bêtes qui se baladent la nuit. Elle n'aura droit qu'à un seau d'eau et un quignon de pain sec comme repas. -tu vas maigrir salope. Encore quelques jours et tu auras la ligne. Le Maitre rentre chez lui et se sert un bon verre de vin. Il n'a aucun problème pour dresser les femmes pour une raison simple, il n'a aucun sentiment pour elles. Ce sont des chiennes. elles doivent obéir en tout et pour tout et elles n'ont pas droit à la parole. Laisser parler une femme c'est laisser un venin se répandre. Non, deux baffes, et silence les sans pénis. La deuxième chose qui fait qu'il est un excellent dresseur c'est qu'il se fout de la chatte des femmes, de leurs culs. Aucune femme n'est jolie pour lui, c'est juste une chienne qui doit obéir et écarter sur ordres. Le Maitre entend la chienne couiner dehors. -Ta gueule la pouffiasse ou je sort avec la cane anglaise. Silence. Le Maitre peut déguster son bon vin en paix.
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Par : le 25/05/20
Il ne faut pas écouter les femmes, ce n'est que perte de temps, ce ne sont qu'embrouilles et complications. Aussi pour résoudre la question, William a décidé de s'en choper quelques unes pour son service et de les réduire au silence. Une femme qui ne connait qu'un mot expression: "oui, mon chéri", "d'accord mon amour", "tout ce que tu voudras William" , sait tout ce qu'il faut savoir. Le reste est bien inutile. La première femme qu'il a chopé c'est la jolie Yasmine. Un vrai petit moineau toujours en train piailler. Cela ne pouvait pas faire. Il lui a imposé le voile de sa religion avec un bâillon dessous. Le silence. Quel plaisir en compagnie d'une femme. Yasmine est douée au lit, elle écarte facilement et adore se faire labourer le sillon humide. Aussi il lui a imposé la totale, la tenue complète de sa religion, des pieds à la tête pour tout cacher mais avec rien dessous, c'est plus pratique. Et Yasmine a été heureuse de le servir. Elle tend elle même le bâton pour être bien corrigée sept fois par jour. Ne pas l'utiliser est une insulte. Alors William fait son devoir conjugal comme il convient, il bat sa femme sept fois par jours, elle seule sait pourquoi il doit faire cela, et l'honore après. La deuxième femme qu'il a péecho c'est la belle Laura, une hippiss partout, plus droguée qu'un labo de la french connection. William a mis six mois pour la sevrer complètement. Le toubib qui ne donnait plus que quelques mois à vivre à Laura est incapable de la reconnaitre à présent. Elle est devenue une femme splendide avec un cul d'enfer, de belles joues. William adore la bourrer par tous les trous. Les hippies savent faire l'amour et Yasmine est aussi venue chercher son compte. Une très bonne brouteuse de minou cette Yasmine et une gourmande d'exquise cyprine. La troisième femme qu'il a chopé pour son harem c'est la très jolie Brit, une teutonne à la peau blanche et aux gros seins. Yasmine et Laura sont vite venue lui bouffer la chatte et ont été d'accord pour que Brit deviennent la troisième épouse. Une chatte qui sent bon, cela ne se refuse pas. William a estimé que c'était assez avec trois femmes. Il a édité sa loi. l'homme a tous les droits, les épouses n'ont que des devoirs, dire oui , en tout et pour tout, à l'époux et se taire ensuite. Voilà le premier commandement. Les épouses doivent être propres et d'une fidélité absolue, elles peuvent toutefois se brouter le minou, entre elles, cela ne regarde pas l'époux. c'est le deuxième commandement. les femmes doivent dire merci à leur homme chaque fois que celui ci les corrige pour leur bien,y compris par le fouet. Voilà pour leur troisième injonction. William a estimé qu'il n'en fallait pas plus. Trop compliqué, les femmes ne comprennent plus rien si l'homme parle trop. . Elles savent compter jusqu'à trois, c'est déjà cela.
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Par : le 21/05/20
Polo aime les femmes. Il a commencé à les niquer à douze ans et depuis, il arrête pas. Il tringle tout ce qui passe et porte une jupe. Il aime pas les femmes en pantalons. Les jupes c'est mieux. Pas de jupe encore mieux et pas de culotte c'est le top. C'est plus rapide pour baiser n'importe où, n'importe quand. Polo faut qu'il tringle. Ce qu'il préfère ce sont les femmes pneumatiques, celles qui rebondissent un peu sous la pénétration. Ce sont les plus jouissives, surtout avec une chatte bien tonique. il adore tringler des cyclistes aux culs bien bombés. C'est comme cela qu'il a rencontré Elisa, la plus pneumatique de toutes. Et il a fini par épouser Elisa pour l'avoir dans son lit tous les soirs. Sauf que Polo, dès qu'un joli cul de meuf passe, faut qu'il tourne la tête. Si en plus elle est en jupe courte et jambes nues, il faut qu'il piste, comme un chien de chasse. Et les meufs aiment montrer leurs culs aux bons pisteurs, aux fins connaisseurs, qui savent apprécier les jolies choses. Et polo a fait de Lou sa maîtresse. Un petit cul bien pneumatique et bien serré. Et Polo a découché. Elisa a râlé: -tu découches Polo. Tu as une Maîtresse. -Non, non, juste je bosse beaucoup. Elisa n'a eu aucun mal a piéger son Polo. Elle a débarqué dans le petit appart de Lou et foutu des baffes à la pelle. Polo ne savait plus où se mettre. C'est que quand Elisa cogne, il sait qu'il ne fait pas le poids. -Toi tu files à la maison, il y a la vaisselle et la lessive qui t'attendent. Et pense à frotter les sols. Et polo a vite filé de peur de s'en prendre d'autres en pleine poire. Elisa est restée avec lou qui ne la menait pas large. -C'est vrai que tu as un joli petit cul et de beaux seins, toi. Et Elisa s'est déshabillée et a fait l'amour à Lou qui a jouit bien plus fort qu'avec Polo. Elles sont rentrées toutes les deux bras dessus bras dessous, amoureuses. Polo lavait les sols. Elisa lui a foutu un coup de pied dans le cul en visant bien juste. Il a couiné fort. -là, tu as oublié, c'est encore sale! Et Polo s'est vite activité. Il a quand même reçu une torgnole bien liftée pour ne pas se bouger assez vite. Elisa et Lou sont montées dans la chambre et elles ont baisé toute la nuit. Polo lui a du se contenter du canapé.
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Par : le 10/05/20
C'est le déconfinement. Julie mouille déjà. Il est 00h01. Elle en peut plus. Elle enlève sa petite culotte trempée, passe une mini jupe raz la moule et enfile des bottines sexy. Un bon rouge à lèvre provoc, elle se sent prête pour aller retrouver ses amants. Dans un rayon de 100 km, sa chatte en feu n'est pas en manque. Elle commence par bob, un gros cretin mais une pine d'enfer. Dès qu'il voit Julie, il bande comme un Grizzly. Au moins Bob est pas compliqué. Et comme il a les couilles pleines, il se décharge d'un coup dans le petit cul de Julie. Bob a du bide. Il sait pas viser. Là il a sodomisé Julie qui a hurlé de plaisir et de douleur. Bob n'aime pas les préliminaires. Il baise d'abord et discute après. Julie reprend sa virée. Elle sent le sperme chaud de bob qui coule le long de ses jambes nues et elle adore suinter du cul. A présent il 00h 35 et c'est Jeannot qui l'attend avec impatience. Plus con que Bob , ce Jeannot. Lui veut toujours l'épouser et en faire sa femme au foyer. Beurk. Heureusement, il est tellement amoureux qu'il baise bien. C'est un excellent lécheur de minou, un buveur de cyprine. Et Julie est style chutes du Niagara quand elle jouit. Jeannot se soule avec. Son défaut c'est qu'il éjacule trop vite. Heureusement, c'est une mitraillette à dix coups. Julie adore contracter son yoni sur la pine en feu de Jeannot. Elle sait lui pomper tout son foutre et le laisser sombrer dans un sommeil profond. Julie peut s'éclipser, sans quoi il parlerait encore de mariage. 01 17. Julie remonte dans son cabriolet. Cette fois elle suinte par devant et par derrière. Son siège en cuir est trempé. Merde des poulets ! Ah ce sont Albert et Nico, deux potes. Elle se gare. Ils saluent en souriant. -Julie! tu nous a manqué ! Julie leur met la main sur les braguettes bien gonflées. -Vous dites ça, mais je demande qu'à voir. Par chance les deux poulets ont leur estafette...Ils se font pomper le dard à l'abri. Julie adore les déguster. Du bon sperme, c'est excellent pour la santé. Les flics veulent la sodomiser. -Non, non, une autre fois. Je suis pressée.promis. Elle a donné rendez vous a Seb, pour 02 00, mais Julie en bonne garce aime arriver en retard....Seb est à point. Il en peut plus. -Mais tu as encore trainé où salope ! tu dégoulines de sperme . Julie ne réponds pas. Elle adore les mots crus. Elle débraguette Seb et s'empale debout. Seb explose vite son sperme. Il retourne Julie et lui donne une fessée monumentale. -Salope, pouffiasse, guenon, pute à pas cher, gouine crado, pétasse.... Plus Julie se fait botter le cul et insulter et plus elle jouit. Elle décide de finir sa nuit avec Seb. Au moins lui sait parler aux femmes et ne la demanderas pas en mariage. La morale de cette histoire c'est que les femmes sont toujours plus salopes qu'on ne croit.
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