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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Entre deux lignes parcourues à la va-vite, je pose mon regard sur sa silhouette exposée.
À genoux, les bras derrière la tête, ses jambes écartées dévoilent son intimité trempée et la mouille voyage sur ses cuisses à flot. Quelques goûtent viennent perler ma botte installée sous sa fente.
Je tire la chaîne rattachée à son collier. Elle gémit. La pression l’attire à moi, mais elle a ordre de rester parfaitement immobile.
Elle tremble. La panique se lit dans son regard et son air de chien battu me supplie. La frayeur dans ses yeux m’amuse. Que c'est drôle.
Je pousse du pied entre ses cuisses pour forcer le jouet à la pénétrer jusqu’au bout. Un long gémissement lui échappe.
Je pose alors mon roman et quitte ma chaise. J’empoigne sa chevelure et lui relève la tête. Nous nous fixons en silence. Elle, si chienne, si fragile... Quand mon pouce s’attarde sur ses lèvres, elles les écartent sans attendre.
Je souris, fier de mon dressage.
Je laisse ma salive glisser en abondance dans sa bouche, m’assurant de bien la remplir.
Dès que je sors une pince à linge de la boîte, elle tire la langue comme une chienne.
Clac ! C’est accroché. « Bien dressée », je me félicite.
Je retourne m’assoir afin de l’examiner sous toutes ses coutures. Je la dévore d’un regard insistant : ses tétons pointés et exposés, ses aisselles imberbes et son pubis lisse comme la soie. Elle baisse les yeux. Je sais à quel point elle se sent humiliée.
Son visage alterne entre plaisir et tourment.
Je saisis la télécommande et, bientôt, le jouet dans son sexe vibre violemment.
La chaîne, que je tire, presse toujours son cou.
Je m’amuse à faire varier la pression. Je torture ma victime et son expression désespérée m’encourage à continuer. Une vraie suppliciée.
Je resserre la chaîne. Elle perd son souffle. Chaque respiration fait danser sa langue pendue. Une perle de sueur glisse de son front et trouve refuge sur son téton pointé. Elle chancelle.
La perle roule sur sa peau écarlate, glisse sur son doux ventre et s’écrase sur le cuir de ma botte.
Elle m’observe, en attente. Je claque des doigts et lui pointe ma chaussure.
Le message est clair.
Elle recule pour prendre de l’espace, puis, difficilement à cause de la pince, sa langue s’affaire à nettoyer tous les fluides que son corps à versés sur le cuir.
Je m’avance alors vers elle. Ma main vient caresser sa joue et l’excitation grandit en moi. Je lève le bras. Elle ferme les yeux. Une gifle résonne dans la pièce.
Son mouvement de recul fait chuter le vibro d’entre ses cuisses.
Elle scrute le jouet, et remonte son regard vers moi. Elle a peur et ça m’excite.
J’échange alors le vibro pour un rabbit bien large. Je sais qu’il s’agrippera mieux à ses parois trempées. Quand je l’enfonce, sa voix délicate s’élève encore dans une douce mélodie. Je lui caresse la joue, puis lui indique lui un coin de la pièce.
Lentement, à quatre pattes, elle finit de s’y installer.
Face au mur, nue, à genoux, bras croisés dans le dos. Je me rapproche alors et, en silence, je lui la plonge dans l'obscurité avec un sac de jute sur la tête.
Ma lecture m’attend.
Qu’elle demeure donc là. Excitée, privée et ignorée. La seule trace de sa présence étant désormais le ronronnement entre ses cuisses.
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Installé sur le divan, je la scrute avec attention.
Elle est au loin, au coin, à genoux.
La lumière s’accroche à sa cagoule en latex, glisse sur ses seins nus, et fait briller les bracelets qui embellissent ses chevilles.
Sa culotte est baissée sur ses cuisses et ses fesses sont rougies.
La musique est à l’arrêt. La pièce est calme. Les gémissements occasionnels étouffent le son des vibrations sous ses hanches.
Confortablement assis, je m’attarde sur la justesse de ses courbes. La teinte rose que j’ai cravachée rend ses fesses appétissantes. La position à genoux relève sa poitrine, fait pointer ses tétons et affirme sa magnifique silhouette.
Je sens mon pénis gonflé.
Je serre le stylo entre mes doigts et mets un point final au dessin dans mon carnet.
La chienne que j’ai croquée est en nage. Elle souffle, transpire, tient difficilement sa position et mouille comme une fontaine.
Exactement la scène sous mes yeux.
Satisfait, je me libère du carnet et saisis la canne. Je la fais siffler dans le vide. La chienne frémit. Mais le bout de l’arme vient simplement lui caresser les mamelons. Son souffle s’accélère. Elle halète et chaque respiration est embrassée. J’insiste les frottements.
- Ça, tu aimes, hein ? Petite chienne.
Elle gémit.
Je pose la canne et me rapproche. Je lui empoigne les seins. Mes doigts glissent lentement sur ses tétons et je sens son corps trembler. Je lui pince les seins. Elle sursaute. Je les gifle. Elle souffle.
- Ouvre !
Ses lèvres s’écartent pour accueillir mes doigts. Sa langue s’enroule autour et les suce avec douceur. Je fais des va-et-vient. Je les enfonce. Mes doigts excitent sa salive abondante qui finit par dégouliner sur ses lèvres. Je les sors et les suspends devant sa bouche. J’attends.
Une.
Deux.
Sans un mot, elle comprend et commence à les lécher. Je souris. Nettoyer la salive par de la salive… Je souris et je sens mon pantalon gonfler à chaque fois que sa langue me touche.
Je retire ma main et lui mets une gifle. Puis une seconde. Je laisse un instant passer, le temps que sa prudence s’endorme, puis je la secoue d’une troisième claque.
- Quelque chose à dire ?
Mais elle n’a pas la permission de parler.
- Tu es vachement sage quand tu te tais.
Seul le son étouffé du vibro me répond. J’observe par terre la petite flaque de mouille sous ses cuisses.
- Je devrais t’interdire la parole en permanence.
Elle grogne. Ça m’amuse. Je la gifle quand même. Je vais chercher la pince et l’accroche à ses pointes dures.
Elle penche la tête en arrière et se fige. Son souffle s’accélère de nouveau. On croirait une suppliciée. Je tire sur le jouet pour appuyer son plaisir et elle gémit.
- Chienne des seins. Ouvre !
Ses lèvres s’écartent et je viens y installer le bâillon.
Durant de longues secondes, je la contemple de ma hauteur. Elle, à genoux à mes pieds. Fragile, accessible, dépendante, tremblante. Mon cœur palpite devant cette profonde vulnérabilité qu’elle m’offre.
- Aux pieds !
Et aussitôt elle se recule du coin. Lentement, car elle ne voit rien, elle pivote dans mon sens et, de tout son corps, se prosterne à même le sol.
Je m’abaisse pour lui caresser les joues. Elle rougit. Je saisis ses mains et les encorde serrées dans son dos. J’accroche la laisse à l’anneau doré qui encercle son cou.
Avec le marqueur rose, je griffonne sur ses hanches : « propriété », « objet sexuel ».
J’attrape la laisse. Je la tire, et j’amorce le pas. Direction la chambre. L’objet doit être utilisé.
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