La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 04/08/23
Disclaimer : Ce texte était a la base pour le couple que je fréquentais et a qui j'appartenais jusqu'à peu, je le met ainsi a disposition pour que les gens puissent le lire et découvrir une relation que j'ai pu avoir.   11/03/23 Je ne sais même pas où je pourrais commencer, il y a plein de choses qui se sont passées en à peu après 2 heures et demie, comme Monsieur l'a dit, c'était court mais intense, et Il a raison... Je me sens un peu euphorique, je me repasse certains moments dans ma tête, j'en parle en même temps à Barbara ce qui me donne des grosses décharges de plaisir... C'était vraiment trop bien... Je m'étais totalement préparée pour ce soir, autant psychologiquement en appréhendant certaines choses, et physiquement en prenant un peu soin de moi, me rasant, mettant de la crème et le vernissage de mes ongles, même s'il restait des résidus des débordements qui étaient un peu visibles, je prendrais soin de mes ongles jusqu'à la semaine prochaine, qu'ils soient beau et luisants. J'étais vraiment stressée, j'espère avoir été a la hauteur pour cette soirée, Leur avoir donné autant de plaisir que ce que Monsieur et Madame ont pu me donner, c'était vraiment génial... La mise en place du collier était assez spéciale, je ne m'y attendais pas du tout a vrai dire, ni même tout ce qui s'est passé ensuite en fait... Je suis rentrée chez Eux, je m'installe, j'essaie de me mettre doucement en place, de me détendre, de me laisser aller. On discute de deux trois choses, de ce que l'on a fait pendant les mois où l'on ne s'est pas vus, l'on discute de différentes choses jusqu'à ce que Madame vienne a parler de la cagoule, me demandant si je souhaite l'essayer, je réponds en rigolant a moitié que je peux mettre l'équipement que j'ai apporté en plus si Ils le souhaientent, puis Elle me demande de lui montrer ce que j'ai ramené, ce que je fais. Mes deux colliers en acier ainsi que mes menottes poignets et chevilles sont face a Eux. Ils les regardent, les soupèsent  et discutent un peu autour du sujet, je Les regarde avec l'envie folle qu'Ils m'en posent un autour du cou, ce qui viens a se faire je ne sais plus suite à quoi, j'étais extrêmement concentrée sur la mise en place du collier tellement l'envie était grande... La mise en place était un moment où j'ai pu me détendre, ou j'ai pu commencer à me laisser aller et ou j'ai réalisé que les choses commençaient vraiment. Après que le collier ai été mis en place c'était le moment de la cagoule, j'ai pris Madame par la main et je L'ai suivie jusqu'à la salle de bain, Elle ramène une jolie cagoule en latex noire qu'Ils avaient acheté il y a peu spécialement pour moi, Madame me fais une queue de cheval haute afin de la faire passer dans le trou pour que cela sorte de la cagoule, puis je la met avec un peu de difficulté, ayant peur de la craquer mais j'y arrive finalement. Elle est douce, elle ne me serre pas énormément, elle me colle à la peau et j'oublie un peu qu'elle est la au fur et a mesure du temps. On la place comme il faut, Madame retire l'élastique pour que mes cheveux soient plus libres et que ce soit plus joli puis l'on sort de la salle de bain. Elle passe en avant et attrape une laisse qui était soigneusement préparée sur le meuble, des que je la vois je me dit "Oh oui !!!". Elle l'attache au collier et me voilà tenue en laisse, je La suis docilement, et même en prenant du plaisir puis nous allons rejoindre Monsieur.  je me positionne a genoux aux pieds de Madame et Ils viennent a me complimenter sur ma cagoule, puis Madame nous laisse quelques minutes avec Monsieur afin d'aller chercher un produit pour ma cagoule en latex, donnant la laisse a Monsieur avant d'y aller.  Me voilà seule face à Monsieur, il tire légèrement sur la laisse afin que je vienne me mettre à genoux a Ses pieds. Je m'avance a quatres pattes, Le regardant avec toute la dévotion que j'ai pour Lui. Je me positionne a ses pieds puis il m'ordonne de baisser les yeux, ce que je fais directement. Il commence à doucement caresser ma tête, ma queue de cheval et là je me détends de plus en plus, doucement le plaisir viens envahir ma tête, Monsieur me dit que si je me sent mal a l'aise, qu'il faut que je le dise, mais au contraire, je suis a ma place, je me sent bien, j'arrive à me laisser aller totalement, j'ai du mal a réfléchir, a penser et je suis juste sur l'instant présent. Madame redescend avec le produit Vivishine, Elle m'en parle un peu avant de venir également caresser mon corps. Leurs mains sur mon corps, sur Leur propriété, s'amusant a le parcourir, mon dos, le dessus de ma poitrine, mon visage latexé, Madame s'amusant a me tirer légèrement ma queue de cheval, je me sent bien... Je n'arrive à me concentrer que sur leurs caresses, sur leurs douces mains maltraitant affectueusement Leur propriété... Ils viennent a me parler mais je n'entends pas grand chose, je reprends doucement mes esprits, je me reconcentre et je Les écoutes, discuter de la semaine prochaine. Une soirée avec le groupe de Madame et des amis de Monsieur et Madame a l'appartement, cela me fait un peu stresser, me poser des questions. Est-ce que je serais à la hauteur ? Est-ce que je serais capable de représenter Monsieur et Madame ? Serais-je capable de répondre aux besoins de chacuns en servant Leurs amis ? Cela me fait stresser, ça seras ma première fois mais ce n'est pas pour cela que je reculerais, au contraire, si je peux faire en sorte que Monsieur et Madame puissent eux même profiter de la soirée, ainsi qu'etre a Leur disposition, a Leurs pieds, alors je le ferais. Monsieur et Madame disent que de toute manière sinon je serais attachée et mise dans un coin, et moi je réponds "Ho oui !!" Toute enthousiaste à l'idée de me faire attacher, et Madame saute sur l'occasion, se lève puis m'ordonne de fermer les yeux, ce que je fais. J'entends Madame préparer des choses derrière moi, je frissonne, j'ai hâte, je me détends, puis la, je sent une corde commencer à doucement s'enrouler autour de mon buste, venant capturer mes bras au passage, puis Elle fait doucement passer une deuxième fois la corde, un peu plus bas afin de bien me restreindre puis Elle viens doucement lier mes poignets grace a sa corde. Je garde les yeux fermés tout au long et même après que Madame a fini, profitant simplement du moment sous le regard de Monsieur. A nouveau, leurs mains viennent caresser mon corps, a nouveau ma tête est plongée dans le plaisir grâce aux gestes de Monsieur et Madame... Les caresses continuent jusqu'à ce que Madame m'ordonne de me cambrer, fesses en l'air et visage contre le tapis. Je La regarde, Elle prends un martinet, un martinet en latex, Elle me dit, ça risque de piquer mais je reste en place, j'attends docilement, les fesses prêtes a subir ce que Madame a prévu pour celles ci.  Les premiers coups sont plutôt doux, pour me chauffer j'imagine. La force mise dans les coups augmente au fur et a mesure, puis viens s'y ajouter la main de Monsieur entre les coups de martinets, venant caresser et fesser mes fesses toutes sensibles. Je sent ma peau devenir de plus en plus sensible, et en plus je me contracte ce qui rends les coups plus dur à encaisser... Je me met a gémir de plaisir entremêlé de douleur. Ma peau brûle, je gémis plus fort, j'ai une respiration saccadée puis Monsieur et Madame s'arrêtent. La douleur dans mes fesses s'estompe assez rapidement. Madame vas reposer le martinet puis je me redresse, toujours attachée. Madame me détache doucement puis Monsieur regarde les traces de cordes sur mes poignets avant de venir reprendre la laisse et tirer dessus afin que j'installe ma tête sur Ses cuisses. Il se remet à me caresser la tête, passant doucement Sa main sur mon oreille gauche et caressant ma queue de cheval qui sort de la cagoule. Madame dit quelque chose a voix basse que je n'arrive pas a entendre comme Monsieur en plus avait Sa main sur mon oreille. D'après Monsieur elle en aurais mouillé sa culotte hihihi.  La fin de soirée arrive, il est presque 23h. Toujours ma cagoule sur la tête, le collier autour du cou et la laisse dans les mains de mes Propriétaires. Je profite de Leurs dernières caresse car il vas falloir que je rentre. Toute bonne chose a une fin, mais celle ci n'est que temporaire. Je reprends doucement tout mes esprits, essayant de remettre tout ce qui viens de passer en ordre dans ma tête. Madame m'aide à retirer ma cagoule, Monsieur retire la laisse et je les regarde, restant docilement au sol. Nous discutons un peu, comme dit Monsieur, notre relation avance vite, tout se fait au feeling et a l'envie de chacuns et chacunes, l'on ne s'oblige a rien et c'est une très bonne chose. C'est sur que c'est allé assez loin mais j'ai l'impression que tout le monde y a pris du plaisir donc c'est super hihihi. Grâce à Monsieur et a Madame, j'ai pu passer une superbe soirée, j'ai pu me sentir bien, j'ai pu me détendre, me laisser aller et être a ma place. Je Les remercie énormément pour ce qu'Ils m'ont fait subir, pour la cagoule qu'Ils m'ont offert, pour le temps qu'Ils m'ont donné et la douceur dont Ils ont fait preuve. Je n'ai jamais été traitée ainsi, il n'y avais jamais eu un tel mélange entre restrictions physiques et mentales accompagnée de douceurs et de douleurs. Ils m'ont fait découvrir des choses ce soir. Ils m'ont fait découvrir ce que cela fait d'être une poupée, Leur poupée et rien que pour cela, je Les remercie énormément. J'espère que j'ai pu Leur offrir autant voir même plus de plaisir que ce qu'Ils ont pu m'offrir, j'espère qu'Ils ont passé une belle soirée après ces mois de travail. J'espère avoir été a la hauteur de Leurs attentes, avoir satisfait Leurs envies. Encore merci pour tout. Avec toute sa dévotion. prixie.  
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Par : le 22/06/23
Comme tous les jours maintenant il faut que j'aille me préparer pour notre séance de 19h. Avant de monter je te demande si faut que je redescende nue tu me réponds oui.  Je monte me doucher. Je me nettoie de fond en comble pour être prête pour toi.  Une fois fait, je mets mon plug et je descends habillée seulement de mon collier.    Arriver au pied de l'escalier, je te vois jouer sur ton pc. Je m'installe à genoux à côté de toi et j'attends tes ordres.  Tu me regardes, me fait une caresse sur la joue et m'ordonnes :  - Va me préparer un thé s'il te plaît. -qu'elle thé, Monsieur ? -Un thé à la cerise. -Je m'en doutais .  Je repars le sourire au lèvre pour lui préparer son thé. Je suis comme toujours heureuse. De faire ce rituel de 19h.  Selon les règles, je dois préparer ce thé en ne faisant rien d'autre alors je m'affaire à  ma tâche.    Une fois le thé prêt, je viens vers toi avec le thé chaud dans les mains.  Je me mets à genoux et j'attends.  Tu te lever et me dit : Je vais aller dans le canapé. Toi tu vas me servir juste de porte thé à côté. Je veux que tu le porte correctement et si y a un goût qui tombe tu sera punie. Je me lève en disant -D'accord Monsieur. Je vous suit.   Je le suit jusqu'au canapé. Il s'installe. Je me pose juste à côté de lui au sol. Je me mets à genoux. Le bras tendus avec le thé. Le thé est chaud alors j'ai du mal à le tenir correctement. Mais je fini par réussir à le tenir droit en tenant sa hanse. Maintenant tu es un porte thé et rien d'autre. Si je te vois regarder la télé ou penser à autre chose ça sera punition. -Bien Monsieur Je ferme les yeux pour me concentrer sur ma tâche. Je fais tourner en boucle la phrase "je suis un porte thé".  J'entends la télé et je reconnais une série que je voulais lui faire découvrir. Le bougre, il l'a mis en anglais pour pas que je sois distraite. Après cette constatation je retourne à ma phrase. Je deviens ce que signifie cette phrase. Je ne pense plus. Je pars petit à petit en méditations. Plus rien n'existe à part cet instant où je suis simplement un porte thé pour Monsieur.    Voilà 30 minutes que je suis à genoux. Mes genoux et chevilles me font mal. Je commence à gesticuler dans tous les sens. Mon Monsieur me remet à l'ordre à chaque mouvement: tu es un porte thé et rien d'autre. En réponse, j'arrête de bouger.   Monsieur a fini son thé et je continue à bouger malgré moi.  Alors il me dit :  Bon on va changer ton utilité. Allonge-toi par terre. Je suis nue, le sol est couvert de carrelage froid.  Je pose mes fesses sur le sol et tout de suite le froid me fait tressaillir.  Malgré ce ressenti, je m'allonge sur le sol.  Le sol froid me fait prendre conscience où je suis mais pour en rajouter à la situation Monsieur pose ses pieds sur moi.  Me voilà humilié, je ne suis plus qu'un paillasson.    -Et bien sûr tu diras en boucle cette phrase : "Je suis un paillasson. " Tu ne penses à rien d'autre.    Je récite cette phrase. Cela me fait partir en méditations. Je ne pense plus à rien à partir de maintenant.  Je ressens seulement le froid du carrelage et le poid de ses pieds.    Pour en rajouter à la situation. Il ne se prive pas de poser ses pieds. Sur ma gorge, sur ma bouche, sur mon sexe, il pose ses pieds là où dicte son envie.    Ce serait mentir si je disais que cette situation n'est pas excitante. Me sentir ainsi rabaissé est très plaisant.    ça fait 30 min à nouveau que je suis ainsi.  Il retire ses pieds et me dit de me lever.  Je le rejoins sur le canapé. -Merci, Monsieur, pour le moment. Lui dis- je en m'installant. -es ce que ça va? Comment tu te sens ?  -ça va bien, je me sens détendu et toi comment tu vas? Tu a aimé ? -oui bien-sûr et toi tu as aimer?  -c'était très agréable. Je ne pensais à rien . Quand mon esprit vagabondait. La phase que je me répétais me faisait revenir.   On reste l'un contre l'autre pendant de longues minutes pour faire redescendre la pression. Mais aussi pour ce montrer qu'on s'aime.
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Par : le 17/10/22
Cette semaine a été assez stressante pour toi, mon Monsieur. Je savais que quand ça irait mieux tu auras besoin que je m'occupe de toi. Et je me suis pas trompés. Un matin, après s'être réveiller. Nous nous sommes fait un câlin. D'humeur joueuse je commence à te provoquer. Je te maintien les bras, te pince. Tu riposte et me dit que c'est toi qui domine. On continue alors se jeux. Et petit à petit tu te laisse faire. Et tu me laisse jouer avec toi. Alors je commence à te mordre et à te griffer. Tu gémit sous mon joug. J'ai bien envie de te frustrer. Je viens te bander les yeux. Et tu a bien sûr interdictions de me toucher. Je caresses ton corps en évitant soigneusement ton sexe. Je le frôle. J'approche ma bouche pour que tu puisses sentir mon souffle sur ton sexe. Du pré sperme coule le long de ton sexe ce qui montre ton excitation. Je positionnement mon doigt juste au dessus de ton pénis. Tu essaye comme tu peux d'atteindre mon doigt que j'éloigne un peu plus à chaque fois. Après t'avoir bien frustré. J'ai bien envie de te torturé physiquement. D'une main je caresses ton corps et de l'autre j'assène des petits coups à tes couilles. Je vais crescendo et tes cris aussi. Quand je sens que je vais juste à la limite j'arrête pour venir caresser et apaisé ta douleur. Une fois redescendue je sert fort tes couilles . Puis je recommence les coups. De temps en temps mon autre main vient t'étrangler pour te faire taire. Tu essaye de crier mais tu ne peux même pas respirer. Que je te vois partir alors je m'arrête pour venir te caresser et t'apaiser. Je décide ensuite de jouer avec mes pieds. Alors je me lève sur le lit. Je m'appuis contre le mur puis vient caresser ton corps avec mes pieds. Ta respiration se fait haletante. Tu attends avec impatience ce que je vais faire. Je lève mon pied pour ensuite le positionner au niveau de ton cou. J'appuie juste légèrement pour te montrer ma position supérieur. Ensuite je retire mon pied et je m'élance pour te mettre un coup dans les couilles. Tu émets un cris de surprise et de douleur. Puis je t'assène plein de petits coups rapides. Ta respiration se fait de plus en plus rapide. L'envie monte de plus en plus en toi. Puis soudain j'arrête. Pour venir caresser tes couilles. Je sens que tu n'attends qu'une chose c'est que je joue avec toi Je t'observe avec envie. J'ai envie de te manger. Tu es totalement détendu. Tu as entièrement confiance en moi. Je viens effleuré son corps. Je pars de ta joue pour aller à son sexe. Tu me supplie de te faire du bien. Tu l'a mériter alors je viens doucement caresser son sexe. Tu souffle de plaisir. Puis j'empoigne fermement ton sexe pour ensuite faire des aller retour. J'augmente le rythme et quand je sens que tu monte j'arrête. Tu geins et me supplie de continuer. Mais moi j'ai pas finie de jouer. J'enduis mon doigt de lubrifiant. Et je viens jouer avec tes fesses. Tu me dit que tu ne souhaite pas être pénétrer mais que je peux jouer avec ton œillets. Alors je viens doucement le caresser tout en caressant ton sexe. Je te dit "tu es tellement excité que ton cul est ouvert comme une salope". Tu rougis de honte. Je viens te claquer les cuisses puis caresser tes couilles. Pour ensuite te branler. Je fait monter ton plaisir pour à nouveau arrêter. Je retire ma main de tes fesses et je prend ta main pour te montrer mon désir pour toi. Je mouille tellement que ma culotte est trempé. Je retire ma culotte. Puis j'utilise ta main comme d'un sex-toy. Je me branle avec tes doigts. Je joue avec eux jusqu'à avoir un orgasme sur ceux-ci. Alors je retire ta main. Tu me soupir que tu veux me prendre. Mais tu ne l'as pas encore mériter. Je monte sur toi pour frotter mon sexe contre le tien. Je commence à être moi aussi bien frustré de ne pas me faire baisser. Je rentre ton sexe juste à l'entrée. Tu continue de me supplier de te laisser faire. Alors je te retire ton bandeau et je viens à ton oreille lui chuchote "Je te laisse faire" tout en pénétrant sa bite a l'intérieur de moi. Tu soupir de plaisir et tu te laisse faire. Je te dit " bha alors on a plus envie de me prendre ?" C'est alors que tu pose tes mains sur mon bassin pour imposer ton rythme. J'essaye de te reprendre le contrôle en te prenant les mains. C'est alors que tu me dit " trop tard. C'est à moi de jouer." Tu te retire. Me retourne et me prend a 4 patte. Pour ensuite jouir en moi. Nous nous écroulons tous les deux sur le lit heureux
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Par : le 06/09/22
Nous sommes en route pour rentrer à la maison. Nous sommes sorti pour voir des amis. Je suis habillée de ma robe rouge et de mon colier d'appartenance noir. Sur le chemin, il y a un homme qui fait du stop. Il va en direction de notre maison. Nous arrêtons sur le bord de la route pour lui proposer de monter. -On peut vous enmener non loin d'où vous voulez aller. Dis-je après avoir ouvert ma fenêtre. Il me regarde et s'attarde sur mon colier. Il hésite puis me dit -Avec plaisir Il monte derrière. -Merci de vous être arrêté, dit notre passager, je m'appelle Alex et vous? - Moi je m'appelle Jessica et le monsieur d'à côté s'appelle Nicolas. Tu fais quoi dans la vie? - Je suis ingénieur dans une grande boîte, me répondit Alex Au cours de la discussion Alex nous confie que son travail lui met beaucoup de pression. Et qu'en ce moment il fait du stop pour voyager et rencontrer de nouvelles personnes. Au fil de la discussion Alex nous pose cette question. -J'ai vue ton collier et je me demandais s'il avait une signification particulière. A ses mots je rougis -Vas y je t'en pris répond lui, dit mon Maître sans lâcher la route des yeux. -Il a un sens pour nous oui, c'est un colier d'appartenance. lui répondis- je timidement. Je prend la main de mon Maitre. Et je complète en disant. - Il signifie que j'appartiens à mon Maître. -Tu es alors soumise comme moi, dit Alex avec un grand sourire. Je suis surprise de sa réponse mais je lui réponds avec un sourire sadique. - Pas exactement je suis plutôt Switch Nous continuons alors la discussion sur le sujet. Le feeling passe bien avec lui. - J'aimerais bien le soumettre, dis-je à voix basse à mon Maître Mon Maître dit alors à Alex -Souhaite tu passer à la maison boire un coup? -Allez pourquoi pas, répondit Alex après avoir hésité. Nous arrivons à la maison. Nous le faisons rentrer -Souhaite tu qu'on te montre la maison, lui dit-je. Nous lui montrons le salon, la salle de bain et enfin notre chambre qui nous sert de donjon. Au mur est accroché une cravache, un paddle, un martinet et plein d'autre instruments de torture. Dans la pièce sont disposés divers sextoys. Ça va du lapin au wand. Il y a aussi des plugs qui sont avec une queue ou un bijoux et qui sont de diverses taille. Il a l'air émerveillé en voyant nos jouets. Il regarde ensuite la cage qui se trouve au pied du lit. -on l'utilise pour garder nos prisonniers captif On voit ces yeux briller avec envie Maître et moi on se regarde avec complicité. On se dit qu'on a trouvé notre nouveau jouet. On a déjà discuté avec Maître de mon envie d'avoir un homme sous mon jout Je me dis que c'est peut être l'occasion. Nous lui proposons à boire sans alcool car nous voulons qu'il soit lucide pour accepter ou non notre proposition. Nous discutons un peu puis une fois que l'atmosphère est détendue mon Maître lui dit. - Ma soumise a une question à te poser Alors je me lance et lui demande - Accepterais-tu de faire une séance avec nous. C'est moi qui te dominerait sous l'obéissance de Maître Il nous regarde en hésitant. Maître prend la parole - On t'a vu regarder la cage avec envie tout a l'heure. A ces mots, il baisse la tête de honte et acquiesce. - Il faut que tu le verbalises. répondis Maître - J'accepte de faire un séance avec vous. Répondis Alex. - Très bien. Nous allons alors discuter de tes envies et de tes limites. Maître et lui discute. J'écoute avec attention mais aussi avec envie. Après cette grande discussion Maître nous demande à Alex et à moi de nous déshabiller et de nous mettre à genoux. Lui hésite, moi j'obéis immédiatement. Maître lui redonne l'ordre de façon plus ferme. Alors il me regarde et il me voit à genoux nue alors Alex fait de même. Je le trouve beau et encore plus beau à genoux. J'ai hâte que mon Maître m'autorise à le torturer - Je reviens ne bougez pas. Dit Maître avant de.partir dans la chambre. Il n'est plus dans mon champs de vision. Alors j'écoute chaque bruit. J'imagine ce que je vais lui faire. Ma respiration s'accélère d'excitation Soudain j'entend un claquement ce qui me fait sortir de ma torpeur. Maître a apporté une ceinture. Mon jouet favori. Et il le sait au vue de tous nos jeux Il demande à notre invité de se mettre à 4 pattes. Il obéit. -Lève toi ma sluty. Je te donne cette ceinture. Et je t'offre cet homme en jouets. Fais en ce que tu veux. Je prend la ceinture. J'ai mon grand sourire sadique. J'ai hâte de l'entendre crier de plaisir et de douleur mélangé. Je ne vois pas son visage mais j'imagine bien sa crainte. Je tend la ceinture, la première claque tombe sur ses fesses. Il crie de surprise. Puis ensuite de nouveau coup tombe. Pour ne pas l'épuiser, j'alterne entre coups et caresses. Il crie de douleur à chaque coup mais soupire de soulagement à chaque carresses. Sa respiration se fait plus allaitante. Ses fesses se tendent à chaque coups. Il crit de douleur mais en demande encore et encore. Je prend mon pied à le torturé ainsi Ses fesses rougissent sous mes coups. Quand Monsieur trouve cela satisfaisant, il me demande de lui donner la ceinture. Je la lui rend. N/notre soumis reprend alors sa respiration. Monsieur me dit -Je t'en pris continue à jouer avec ton jouet. Et il me confie, j'aime te voir prendre autant de plaisir - Merci, Monsieur. Je t'en suis reconnaissante. Je me dirige alors vers sa tête. Je lui présente mes pieds et lui demande de les embrasser. Je fais cela en connaissant son fétichisme de pied. Mon jouet se baisse puis embrasse mes pieds. Je prends plaisir à l'humilier ainsi. - C'est bien ma chienne. Le felicitais-je en retournant derrière lui. Je lui carresse les couilles gentillement. Puis, je lui assène un coup dans le couilles. Il crit et se tord de douleur. D'un ton sec je lui dit -replace toi bien Il se remet alors vite en place malgré la douleur - bon garçon, lui dit-je en lui caressant son dos. Je lui carresses les couilles avec mon pied pour ensuite lui asséné un nouveau coup. Il crit mais ne bouge pas cette fois. Je lui carresses le dos pour le récompenser. Je constate qu'il bande. - Maitre regarde il bande, la salope aime ce que je lui ai fait. Rigolais-je avec Maître - ahah je vois ça, répondit Maître. A nos mot il baisse la tête et rougis. - Monsieur, tu pense que je peux le faire jouir ainsi? - Demandons à N/notre salope. Tu penses que tu peux? Dit il a notre soumis. -Je, je ne sais pas, bégaie t-il Je lui donne une fessée et tous de suite son sexe réagie. Sa respiration c'est accélérer. - Et maintenant tu sais ? Lui Répète Maître. - Oui, je pense pouvoir, répondit-il timidement. - Allonge- toi sur le dos. Il suit les ordre de Maître sans broncher. Le voilà allongé sur le dos avec son sexe lever. Je lui écarte les jambes pour avoir accès à ses couilles. Je commence à griffer son corps. Il se tord sous mes griffures. Sa respiration est rapide et forte. Je lui bloque ensuite sa respiration en mettant la main sur son nez et sa bouche. Avec mon pied je viens lui taper les couilles. Son sexe réagie à chaque coup. J'aime le voir souffrir mais surtout que cela lui plaît. Je sens ma mouille couler de plaisir le long de ma jambe. Mes coups s'accélèrent, je lui laisse de moins de temps pour respirer. Je le sens monter en pression. Et là sans prévenir, je le griffe. Alors il n'arrive pas à ce retenir et éjacule sur son ventre. Il tombe ensuite de fatigue. Je viens placer sa tête sur mes jambes et je lui carresse la tête et le corps. Je carresses ses blessures. Il est totalement détendu. Nous attendons qu'il redescende. Une fois qu'il est descendu, Maître nous demande de nous mettre à genoux devant lui. Je lui obéit. Il nous met une laisse. Il nous fait marcher à 4 pattes jusqu'à la chambre. - Met toi sur le tapis, met toi à genoux et n'en bouge pas, dit il à notre soumis. Docilement il va s'installer. - Tu va me voir baiser ta Maîtresse du soir. Je veux que que tu comprenne ta place se soir, lui dit Maître Il me fait monter sur le lit. Il me met à 4 pattes de façon à ce que notre soumis ne loupe pas une miette. On peut voir ma mouille couler le long de ma jambe. Maître touche à peine mon sexe que je bouge dans ton les sens. Mon sexe est comme électrifier. Les préliminaires sont inutiles. Alors il me plaque la tête contre le matelas. - A toi aussi je vais te montrer ta place, dit Maître avec une voix féroce. Il me fesse puis sans prévenir il entre sont sexe en moi. Je cris de supprise et de plaisir Il me baise avec force. Il me bloque, je suis incapable de bouger. Je crie mon plaisir. Être ainsi à sa merci m'excite tellement. - Ma belle se soir tu n'as pas le droit de jouir. Tu as déjà eu ton plaisir. Je vais juste me faire plaisir en t'utilisant, me grogne mon Maître Il se retire. Et sans prévenir il pénètre mon anus. Je cri de douleur et de surprise à son entrée. Il me possède totalement. Soudain je le sens se contracter et il jouit en moi. Nous nous écronlons tous les deux de plaisir. Notre soumis n'a rien loupé de la scène. Il bande à nouveau. Je suis contente de l'effet qu'on lui produits. Maître le regarde et dit. - Ce soir tu vas dormir sur le tapis au sol. Demain nous discuterons de ce qui c'est passé. Lui dit mon Maître. Nous ne sommes tous endormie dans un bonheur certain. Le lendemain nous prime le petit déjeuner ensemble. Il nous dit avous avoir pris son pied . Et qu'il n'avait jamais connu autant de plaisir. Il nous en remercie. Et nous dis qu'il souhaite renouveler l'expérience et qu'il aimerait dans le future devenir notre soumis. Nous lui répondit, qu'on a nous aussi beaucoup aimer nos jeux et que nous aimerions aussi qu'il devienne notre soumis. Nous le ramenons chez lui avec le sourire aux oreilles. Une fois déposée, on se dit à très vite.
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Par : le 15/04/20
Un week-end tout en douceur En ce samedi matin pluvieux, il est temps de jouer un peu avec ma soumise, me souvenant du retard que j’ai pris sur quelques punitions. Comme une bonne soumise, elle monte se préparer. Elle doit être parfaite. Obéissante, mon petit fourreau à bite porte son collier auquel j’accrocherai sa laisse. Un corset en cuir couvre son ventre et son dos mais ne cache aucunement ses seins. Ses bracelets de contraintes sont déjà sur ses chevilles et ses poignets. Je lui demande poliment et fermement de se mettre en position d’inspection. Debout, les jambes tendues mais écartées, les mains derrière la tête. Je tourne autour d’elle, elle m’est complètement offerte. Mes mains la caressent de temps en temps. Je pince légèrement le bout de ses seins. Elle garde bien ses mains derrière la tête, le regard parfois inquiet, parfois trahissant son désir d’obéissance et son excitation. J’obstrue sa vue d’un masque rouge. « Allez, mets-toi en position offerte » sur un ton ferme et autoritaire. Elle s’agenouille sur le sol et ses bras se tendent loin devant elle, le front posé sur le sol. Je prends le temps de la regarder, l’attente est aussi un doux châtiment. Je lui demande d’écarter un peu plus les cuisses pour que je puisse voir sa vulve et son cul… ou plutôt ma vulve et mon cul, devrais-je dire ! Le temps s’écoule pendant que je sors lentement des accessoires de la valise dédiée. Elle entend les bruits, les craquements, le son des douceurs et des douleurs que je sors lentement avant de les poser sur la table. Elle ne bouge pas d’un pouce, concentrée sur sa condition de femme offerte. Je saisis ma cravache que je laisse traîner sur son dos, quelques coups partent en direction de ses fesses mais tout en douceur. Je chauffe un peu ses fesses en martelant doucement ce cul pour la préparer à recevoir sa punition. Je sens son excitation augmenter. Ma petite putain est prête ! j’intervertis ma cravache par un martinet avec lequel je fouette un peu ses fesses. Puis mon bras prend un peu plus d’élan et j’entends le son des lanières de cuir heurter ce cul. Elle a oublié de compter, ce sera donc un coup pour rien. Mon excitation perverse monte dans ma verge tandis que je l’entends compter chaque punition, m’en remerciant par un « merci Maître » à chacun des coups. Tandis que la douleur monte un peu plus à chaque fois, le ton de sa voix change, monte d’un cran et le « merci » se raccourcit en se perdant dans la douleur. Son cul est marqué de ce rouge qui est l’apanage des femmes bien éduquées. Je m’assois sur le canapé. Elle est encore dans la même position, mes pieds entourent sa tête toujours posée sur le sol. Je la rassure en lui murmurant qu’elle a été une bonne petite chienne. Mes mains caressent également ses cheveux coiffés d’un chignon. Je vois et admire sa nuque que je trouve réellement magnifique. Le tintement du métal contre métal résonne à ses oreilles quand je lui fixe sa laisse. Je la caresse encore tel que je le ferai avec un chien. Je prends le temps de penser un peu, m’apercevant qu’en très peu de séances et à mon grand étonnement, elle apprécie ou supporte de mieux en mieux la douleur. Le mot magique convenu entre nous pour arrêter l’action en cours, ne sort plus du tout de sa bouche. Sous mes ordres, elle tient la position qu’on appelle « Tenir » et qui s’avère éreintante pour les cuisses. Cette position est certainement l’une de mes favorites. Accroupie, sur la pointe des pieds, bras derrière la tête, je claque des doigts. Elle s’exécute comprenant que ce son lui intime l’ordre d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Je me lève, elle entend le zip de ma braguette descendre. Je sors ma queue, la place dans sa bouche béante, tout en plaçant mes mains derrière sa nuque. Je commence doucement à pénétrer sa bouche, lui intimant l’ordre de lécher mon gland. Puis je l’enfonce entièrement jusqu’à entendre ce râle qui indique que je suis au fond de sa gorge. Je ressors pour mieux recommencer. Elle a gardé précieusement la position. Lorsque je lui demande de se relever, je lis des tremblements musculaires involontaires sur ses cuisses. La position est rude quand elle est tenue un long moment. Elle est debout, face à moi, les jambes écartées et les bras derrière la nuque. Je tire sur ses lèvres, les écarte, elle suinte de bonheur. Mes doigts pincent ses tétons, les tirant vers moi, puis de haut en bas. Je fixe sur ses tendres excroissances mammaires, ces tasses qui en tournant une vis, les aspirent et les font grossir, jusqu’à entendre de légers cris de douleurs sortir de la bouche de mon élève. Je me saisis de 2 pinces reliées par 2 élastiques à un seau, j’accroche ces pinces à ses lèvres que je vois se tendre vers le sol. Je pose dans le seau quelques éléments avant de le faire se balancer d’avant en arrière. Elle pince ses lèvres entre ses dents. Ses tétons sont tendus et la douleur a disparu et il est temps de les aspirer de nouveau, tant et si bien que je les vois toucher la paroi transparente de ces objets de torture. Sublime, j’en fais le tour et ma main claque ses fesses rouges à plusieurs reprises faisant se balancer le seau, accentuant l’étirement sur ses lèvres. Je tourne toujours et mes doigts s’introduisent à mon bon vouloir dans le vagin, le cul et la bouche de ma petite chienne qui se régale de les laver. Ma petite soumise adore les odeurs, elle est très sensible aux phéromones. J’inverse finalement les pinces que je vais clipser sur ses tétons qui ont triplé de volume. Ils sont devenus hypersensibles. Le seau pend maintenant et caresse son ventre. Je lui donne l’ordre de se remettre en position « Offerte » qu’elle prend immédiatement mais sans trop d’empressement. Le seau touche le sol et je lui demande de se poser sur ses mains pour qu’il puisse se balancer librement et voir ses seins attirés par la gravité. Je n’oublie pas de lui parler et chaque parole irrespectueuse lui procure un plaisir immense. Je finis souvent par une question à laquelle elle n’oublie jamais de répondre et de finir pas un « oui Maître » de respect qui m’indique que sa volonté est respectée. Je tapote fermement sa chatte pour faire monter le sang avant de sortir de l’huile de pépin de raisin que j’ai pris soin de faire chauffer. La bouteille prend de la hauteur avant de laisser couler ce liquide chaud presque brûlant entre ses fesses ce qui lui extirpe quelques cris. Mes mains glissent sur son cul et sa chatte, j’adore la sensation que l’huile procure à mes caresses. Ma petite chienne est d’ouverture facile, ses orifices se dilatent rapidement, en quelques instants, ma main pénètre complètement son vagin. Une fois à l’intérieur, mon poing se ferme et je tourne lentement ou énergiquement en fonction de ses râles de bonheur. A chaque mouvement, je la sens apprécier cette main qui lui caresse les organes internes.Ma main ressort, blanchie. Elle se tait. Elle attend. Je prends la cravache pour finir mes punitions. Elle frappe de plus en plus rapidement et fortement sa croupe. Le dernier « merci Maître » sort en même temps que le son de douleur ce qui donne de charmantes vibrations à sa voix. Je me place derrière elle, place mon sexe à l’entrée de son anus. Je m’y enfonce aisément, prenant plaisir à défoncer ce joli cul pour l’instant un peu étroit. Je ressors et la félicite pour son cul toujours bien propre. Je m’assois tranquillement sur le canapé caressant sa vulve avec mon pied, le rentrant dans son vagin. Elle ne bouge pas et me laisse exécuter mes fantaisies. Quel pied de posséder ma belle petite putain ! je prends le temps de quelques caresses sur son dos et ses fesses pour la remercier d’être bien obéissante. Puis ma main comme souvent se dirige vers son cul que je dilate petit à petit. Un doigt, puis deux, trois et enfin quatre enfoncés jusqu’à la garde que représente le creux de mon pouce. De plaisir, elle gémit, jure, apprécie de sentir ma main s’enfoncer en va-et-vient rapides. Elle jouit parfois ainsi mais ce n’est pas encore le moment que j’ai choisi. La position d’exposition est prise sous mon ordre. Genoux au sol, mains derrière la tête, l’allure fière, je lui demande de se caresser d’une main tandis que l’autre gardera la position. J’enlève son masque qui la rendait aveugle aux supplices. Je lui murmure que je vais bientôt la recouvrir de mon urine et je pars chercher quelques serviettes pour ne pas souiller le tapis. Quand je reviens, elle se caresse toujours, se donnant du plaisir tout en sachant qu’elle n’a pas le droit de jouir sans ma permission. Je place mon sexe au niveau de sa gorge et lui demande si elle veut recevoir mon urine. Elle me répond du fameux « oui Maître ». Son regard part en tous sens, cela va complétement à l’encontre de son éducation, de la morale mais je lis dans ses yeux qu’elle en a envie. Son regard est à la fois inquiet et suppliant. Mon jet commence à sortir de ma queue, lui chauffant le torse et le colorant d’un ton jaune. Elle bouge légèrement pour sentir le liquide couler sur ses seins, avant d’atteindre sa main caressante et enfin le sentir passer sur sa chatte, son sexe. Je m’arrête un instant pour lui demander de nettoyer ma queue avec sa langue. Je sens que c’est plus difficile pour elle mais elle me lèche le gland. Je reprends mon jet d’urine sur son corps offert. Elle se laisse aller à apprécier la chaleur et je lui laisse sans lui dire la liberté de choisir l’endroit où s’écoulera mon urine. Je la regarde, bougeant comme si elle prenait une douche, choisissant le chemin à emprunter. Elle est sous excitation depuis plus de 2 heures et je décide de lui donner l’autorisation de se libérer par sa propre masturbation. Elle me dit « c’est vrai Maître ? j’ai le droit de jouir ? ». Je lui réponds affirmativement. Je me place derrière elle, assis. Elle se caresse dans la même position, le corps souillé, de plus en plus vite. Mes pieds se perdent sur ses reins, l’arrière de ses cuisses et je lui murmure qu’elle est une belle chienne, qu’elle est prête à être bien obéissante et que bientôt je l’emmènerai pour l’offrir à d ’autres hommes, peut-être confier la laisse qui lui passe entre les fesses, à un autre dominateur. Enfin sa libération arrive, elle crie, elle jouit longuement. La délivrance est belle comme un déchirement, les sons qui sortent sont puissants et je suis de mon regard, les tressautements musculaires de son bassin. Elle est belle ainsi, belle comme une fleur de printemps qui vient d’éclore.
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Par : le 09/12/19
Mardi 3 décembre 2019, quelque part dans les Hauts-de-France... Une fois parvenue à destination, je gare mon véhicule et téléphone, impatiente, à mon Maître pour lui indiquer que je suis arrivée à bon port. Il me rejoint presque immédiatement et m'accueille avec un large sourire, comme à son habitude. C'est un homme élégant, raffiné avec beaucoup de charme et qui prend soin de son apparence. Sa personnalité est profonde et rassurante. Je suis heureuse d'être en sa compagnie pour la journée et de pouvoir m'abandonner librement à lui, sans tabou, en toute confiance. Sans doute cela est-il rendu possible par le fait que nous nous connaissons depuis de nombreuses années. En guise d’introduction il me propose de partager un café dans un établissement de la ville qu'il aime fréquenter. Je suis heureuse et touchée qu'il m'entrouvre la porte sur un morceau de son quotidien. Nous marchons côte à côte, je me laisse guider vers ce lieu que je ne connais pas, fière d'être au côté de cet homme que j'adule. Nous entrons dans un endroit décoré avec goût et nous sommes heureux de de nous lover dans la chaleur ambiante qui contraste avec la température extérieure. Nous passons commande auprès d'une jolie serveuse, avec qui mon Maître ne manque pas d'échanger quelques mots courtois. Je dépose mon manteau sur mon siège tandis que mon Maître me dévore du regard, ce qui n'est pas pour me déplaire. Nous bavardons avec complicité, abordant des sujets importants mais aussi d'autres plus légers. Je pourrais boire ses paroles des heures durant... Mon propriétaire me complimente à plusieurs reprise sur mon apparence. N'ayant reçu aucune indication précise à ce sujet, j'ai choisi de porter une robe grise en tweed, moulante en haut et plus évasée vers le bas, assez courte, un remonte-seins en dentelle noire, des collants noirs, sans lingerie dessous, et des escarpins à talons aiguilles vernis noirs. Mes cheveux bruns sont lâchés sur mes épaules. J'adore quand il m'appelle "ma belle brune". Il me confie qu'il aime cet aspect de "working-girl" qui contraste avec la dépravée que je vais devenir dans un petit moment... Je partage avec lui le plaisir cérébral de cette ambivalence ! Je suis satisfaite que les artifices déployés séduisent mon Maître. Au bout d'un moment, Monsieur se lève et se dirige vers les toilettes...le connaissant, mon instinct de soumise me dit qu'il me prépare quelque chose...et je ne m'étais pas trompée ! De retour à notre table, il me demande de me rendre à mon tour au petit coin, de me saisir de l'objet qu'il a placé à mon attention au dessus de la porte et de le placer dans mon intimité. Toutefois, comme il sait que je ne porte pas de culotte, il me laisse le choix d'accepter ou pas son "défi", ce que je trouve très respectueux. J'accueille sa demande avec un sourire malicieux. Je me lève en espérant qu'il me matte tandis que je m'éloigne vers les WC. A tâtons, du bout des doigts, je cherche ce fameux objet que je ne tarde pas à débusquer : il s'agit d'un œuf vibrant télécommandé ! Je souris toute seule dans la pièce. J'adore la créativité de mon Maître, il déborde d'idées...et j'aime le suivre là où il m'emmène. Je lave l'objet puis le lèche avec envie et l'introduit doucement dans ma petite fente déjà bien humide, tout en pensant à mon Maître. La situation est plus que pimentée ! Je retourne auprès de celui à qui j'appartiens en lui indiquant fièrement que sa demande est exécutée et j'en suis félicitée en retour. Nous poursuivons nos bavardages tandis que le petit jouet sexuel fait son effet...je ne peux m'empêcher de planter mes yeux dans les siens en pensant à tout ce qui nous attend durant cette journée spéciale et je savoure cet instant hors du temps. Nous faisons un brin de chemin à pied ensemble dans le froid, jusqu'au domicile de mon Maître. Celui-ci me faire remarquer les regards qui se posent sur moi/nous au cours de notre balade. Je ne les avais pas remarqué, trop focalisée sur la contraction de mon périnée, histoire de ne pas égarer mes petites affaires en cours de route ! Une fois la porte de son antre refermée sur nous, nous entrons pleinement dans nos rôles respectifs. J'ai beaucoup de chance qu'il puisse m'accueillir dans un lieu qui n'est pas froid et impersonnel et dans lequel nous pouvons évoluer librement. Il me semble que cela contribue également à la réussite de nos entrevues. Je n'oublie jamais de le remercier de m'ouvrir ses portes...tout le monde ne le ferait pas. Lui n'est pas tout le monde. Mains derrière le dos et regard baissé, je me demande à quelle sauce je vais être mangée. Dans des flashs, je revois des images de nos séances passées qui me mettent l'eau à la bouche...entre autre. Mon Maître s'approche doucement de sa petite chose. Je peux enfin m'enivrer de son odeur naturelle que j'aime tant et profiter de ses divins baisers très sensuels et charnels. Je compte bien profiter de tout ce qu'il a m'offrir et le servir avec obéissance, du mieux que je peux. Il me fait remarquer qu'il bande déjà rien qu'à regarder sa soumise...je ne peux m'empêcher de frotter tout mon corps contre le sien, à la manière d'une petite chatte pour sentir son membre durci. J'adore le sentir dans cet état. Stoppant mes ardeurs, il me demande de m'agenouiller au sol. Mon Maître, comme toujours, avait prémédité ce moment puisque je découvre qu'il a préparé pour moi un petit tapis rectangulaire en mousse, qui me permet de ne pas avoir les genoux en compote. Ses attentions sont toujours délicates malgré son niveau d’exigence élevé. L'un n'est pas incompatible avec l'autre… Mon Maître me surprend une fois encore avec une nouveauté : il dépose sur mes oreilles un casque audio sans fil. Auparavant il m'explique qu'il va me faire écouter des musiques d'ambiance, destinées à créer une sorte de bulle confortable dans laquelle je dois me laisser aller. Encore une brillante idée et une nouvelle expérience que je suis curieuse de vire à ses côtés ! Une fois que le premier morceau est lancé, je suis littéralement coupée du monde extérieur et je n'entends plus aucun bruit de mon environnement immédiat, ce qui est assez déstabilisant, mais agréable malgré tout. Il me laisse un moment ainsi dans l'attente, à genoux, le temps que je m'habitue et que je démarre mon voyage intérieur. J'ai adoré les choix musicaux qu'il a fait spécialement pour cette situation, c'est un homme de goût. Monsieur se positionne debout derrière moi afin de fixer mon collier : un très joli objet en inox avec un anneau en son centre, permettant notamment d'y fixer une laisse. J'aime beaucoup le porter. Il est le symbole de ma soumission et de mon appartenance envers lui. Me voilà totalement à sa merci... M'aidant ensuite à me relever, il me fait faire quelques pas pour me placer face à une jolie table en bois sur laquelle il m'invite à me pencher. Il prend place sur une chaise devant moi, se saisi d'une clémentine et commence doucement à l'éplucher sous mon regard plein d’interrogations...il aime me déstabiliser tout autant que j'aime l'être. Chaque séance est une partition dont j'ignore la musique, mais par laquelle j'adore me faire bercer. Je devine tout le temps qu'il a passé à préparer ma venue, les réflexions qu'il a mené pour tout envisager et faire les choix les plus judicieux pour que tout se déroule dans les meilleures conditions. Rien n'est jamais laissé au hasard. Entre chacune de mes visites, nous entretenons un lien permanent et des discussions fournies sur tout ce qui relève de l'aspect D/s notamment. Il prend soin de me faire m'exprimer sur mes envies et mes fantasmes. C'est un exercice dans lequel je n'étais pas très à l'aise au départ pour tout vous dire, retenue par une forme de pudeur éducative. Et puis j'ai compris avec le temps que si je ne lui disais pas clairement les choses, il ne pourrait pas les deviner. D'où l'importance, une fois encore, du dialogue entre un Dominant et sa soumise. La parle est ma véritable libération en tant que soumise. Monsieur déguste un premier morceau de clémentine, puis en place un autre au creux de sa main. Dans cette histoire sans paroles, je comprends néanmoins là il veut me voir aller. C'est intéressant de tester ce mode de communication et de constater que nous parvenons à nous comprendre simplement par des regards, des gestes et des attitudes. Je me saisie alors doucement du quartier avec mes dents en le regardant, comme une brave petit animal de compagnie. Il poursuit en coupant en deux un autre quartier, place son avant bras sous ma gueule et presse le fruit entre ses doigts pour en faire couler le jus. Vous pensez bien que je me fait un plaisir de laper sa peau, sentant ses veines saillantes que je trouve terriblement viriles, irrésistibles et sexy. C'est d'ailleurs parce que je lui avais fait cette confidence il y a quelques temps qu'il me donne à vivre ce moment très jouissif pour moi. J'ai beaucoup de chance d'avoir un Maître qui s'adapte si bien à ma soumission. Après cette petite collation partagée, il se saisit d'un stylo à bille et commence à écrire quelque chose sur le dos de ma main droite...c'est une agréable sensation que d'être marquée par mon Maître, très symbolique. Quand il a terminé je regarde les mots rédigés et je peux lire : "lèche-moi"... Je relève la tête et l'observe de manière dubitative. Est-ce qu'il souhaite que je lèche ma main ou que je lèche lui ? Dans ce dernier cas, sur quelle partie de son corps souhaite t-il que je passe ma langue ? La musique m'empêche de lui poser toutes ces questions, je reste donc silencieuse. Il attend patiemment sans sourciller, mais je reste plantée devant lui sans bouger, honteuse de ne pas saisir ce qu'il attend de moi, me pinçant les lèvres. Voyant que je suis à côté de la plaque, il laisse tomber et décide de passer à autre chose. Cela m'arrive régulièrement...je suis tellement concentrée, plongée dans mon monde, que j'en viens à avoir du mal à saisir une simple consigne. Monsieur vient se placer derrière moi et descend mes collants pour mettre mon cul à nu. C'est un geste qui me plait particulièrement...Je sens ses mains effleurer mon petit abricot lisse et parfaitement épilée...Me vient à l'esprit l'envie qu'il déchire mes collants brutalement, mais j'ai besoin d'eux pour repartir dans une tenue correcte. Je me prends pour une vilaine écolière l'espace d'un instant, dans cette position tout à fait indécente. Quand il me met à nue de la sorte je n'ai qu'une envie : m'offrir à lui. Troussant ma robe sur mes hanches il fait abattre soudainement sa cravache son mon cul...alternant avec des caresses et des fessées, de sa main gantée de cuir. Je ne l'avais pas vu arriver celle là et une fois encore l'effet de surprise m'excite beaucoup. C'était assez étrange car la musique m'empêchait de mesurer l’intensité de ma propre voix. Quel son sont sortis de ma bouche ? Des cris ou des petits gémissements étouffés ? Il faudra que je songe à poser la question à mon Maître ! Monsieur n'est pas du genre à me punir sans raison, trouvant des prétextes pour le faire. Il assume sa perversité et aime à me faire rougir mon séant, juste pour nos plaisirs. J'ai adoré ressentir la morsure du cuir sur mon cul qui a bien morflé...j'entendais son instrument fendre l'air avant de s'abattre sur moi avec intensité...qu'est-ce que c'était bon ! Soudain, je ne sens plus rien, je suis dans l'attente, toujours dans ma bulle musicale...quand mon Maître introduit subitement sa queue en moi, d'un coup de reins puissant. Je ne m'attendais pas à ça et je ressens à la fois de la surprise mais aussi le plaisir de sentir son membre qui me remplit généreusement ! Qu'est-ce que je peux aimer ça, quand il s'invite dans sa soumise, quand il me malmène, quand il me baise à sa guise, quand il me possède. Il me lime ainsi délicieusement un moment. Je regrette de ne pas entendre son souffle et ses râles de plaisir à cause du casque. Il coulisse dans ma mouille abondante en me rendant plus femelle que jamais... Je ne suis qu'incandescence. Arrêtant ses délicieux assauts, il m'emmène ensuite dans une autre pièce de sa demeure, me fait asseoir sous une fenêtre qu'il ouvre. Le froid s'engouffre dans la pièce et il prendre soin de déposer une étole sur mes épaule. Il se place devant moi, présente à mes lèvres sa queue virile et s'allume une cigarette. Penser que les passants dans la rue voyaient peut-être le haut de son corps, sans pouvoir s'imaginer un instant qu'il était en train de se faire pomper, m'a particulièrement inspiré...Le côté voyeur/exhibitionniste me stimule. Il retire le casque de mes oreilles...mais la bulle n'explose pas pour autant. Appliquée, je lèche et suce son beau gland gonflé et lisse avec avidité, comme s'il s'agissait d'une douce sucrerie. Il doit être bien au chaud dans ma bouche alors qu'il fait si froid autour de nous. Il m'est très agréable de le servir de la sorte, d'être à ses pieds tout en ayant le pouvoir de m'occuper de son plaisir en bonne gourmande que je suis. Alternant entre sa queue et sa clope dans ma bouche, mon Maître m'a ensuite invité à me rendre à quatre pattes vers un fauteuil du salon. J'aime lui donner à voir le spectacle de sa petite chienne docile qui déambule sur son sol, à ses pieds, dans un total asservissement. Cela renforce mes envies d’animalité et même de bestialité. Il prend place dans un confortable fauteuil et m'invite à m’asseoir sur son pieux puis m'encourage à me baiser...je ne me fais pas prier et m'empale sur lui...chaque mouvement me fait couiner de plaisir. Il me fait allonger sur lui pour mieux avoir accès à ma petite perle sensible qu'il caresse avec habilité. Puis, me penchant plus en avant, ma croupe offerte à son regard, il ne peut s'empêcher d'introduire un doigt dans mon fondement encore bien serré. L’excitation est à son paroxysme... A bientôt pour la suite de mon récit...si elle vous fait envie :) Swann
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