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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Salope, ah tu voulais me jeter aux lions. Tu fais moins la maline maintenant avec ma bite dans ton cul. Prend ça et encore ça.
Salaud, tu me fais jouir.
Ferme la et jouis en mordant les coussins. Je veux pas t'entendre quand je prend mon pied. Quel beau cul tu as.
Aie tu fais mal avec tes claques
Ferme la ou je te bâillonne. Masse ton clito avec ta main pendant que je te defonce. Putain que c'est bon.
Tu es un vrai salaud. Enculer ton imperatrice, ta reine, ta Maîtresse.
J'ai encore le dos qui me brûle à cause de ton fouet amer. Alors ferme la et prend ça et encore ça. Putain ça vient je vais jouir. Trop bon. Putain que c'est bon.
Salaud j'ai joui aussi
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Voilà, je rentre dans ton histoire "esclave à Syracuse" . Magie des mots, des écritures automatiques. Je te vois près des bateaux en train de te laver les jambes. Tu es si belle, les marins te sifflent, j'enrage. Tu es vraiment une salope de Syracusaine, belle et fière toujours le dos bien droit et ce défi permanent et très provocateur. Du style ;
Tu causes où tu me baises ?
C'est mon ressenti, ce côté libre chez toi. Tu es mon esclave, mon butin de guerre et pourtant tu me défies en permanence. Et cela m'excite et me fait bander. Tu mérites une bonne baffe pour te faire baisser les yeux et courber l'échine. Tu me résistes. Les marins se moquent de moi.
-Sort le fouet. Ces syracusaines sont toutes des salopes. Il faut les dresser au fouet.
Je déteste te donner le fouet. Tu le sais, tu le sens. Tu sais aussi que je suis tombé amoureux. Tu es vraiment une belle salope. Cela t'amuse et tu t'en sert contre moi. Pas facile de t'imposer mon autorité. Et toujours cette envie de te troncher.
Je te mène par les cheveux dans ma tente. La lutte commence. Tu résistes mais tu ne fait pas le poids. Je t'immobilise et remonte ta tunique. Quel beau cul tu as. Bombé, musclé, serré. Je t'empale d'un coup. J'ai trop envie de toi. Je sens que tu te cabre, que je te fais mal. J'aime forcer tes reins, ma façon de te marquer. Je ne bouge plus. Je t'écrase de tout mon poids. Tu te défends, tu gemis. La douleur passe. Je commence à te troncher de toute ma puissance. Je sens que tu prend du plaisir. Mais tu ne veux pas me l'avouer. Ta chatte est complètement fermée. Peut être une anomalie de naissance. Par contre ton petit clito est hyper sensible. Je passe ma grosse main sous toi et je le caresse doucement pendant que je t 'empale. Tu jouis encore et encore. Tu enrage parce que tu jouis et que tu ne peux pas résister à ces vagues de plaisir qui te secouent et te submergent. Tu lâches enfin prise. Tu sens si bon la femme quand tu jouis. J'explose à mon tour dans ton cul. Je lâche tout. J'hurle un violent orgasme. Les autres soldats rigolent dehors près de la tente.
J'ai faim. Baiser me donne toujours très faim. Tu me prépares un bon repas. Tu me sers et reste debout derrière moi. Je mange avec plaisir. Le vin de Sicile est très bon. Je te laisse finir les restes. Tu as très faim aussi. J'aime te voir manger. Tu respires la vitalité et la vie. Tu vas survivre à cette guerre. C'est un ressenti étrange. On sent qui va s'en sortir et qui va y rester. Je sais que je vais y rester. Il me reste si peu de temps à vivre. Tu sens mon inquiétude. Tu me proposes d'aller marcher. Je te prend par la main. Tu n'es plus mon esclave mais ma compagne. Oui, je sens que je t'aime très fort.
Parfois tu prend ma main et pose des baisers dessus. Tu n'es pas domptée, je te sens toujours si fière et rebelle à toute autorité. Nous nous asseyons. Tu viens entre mes jambes et tu te te loves dans mes bras. Nous parlons de tout et de rien. Je sens combien nous sommes proches en esprit. Nous faisons bien partie du même groupe d’âmes. Il n'est pas besoin de mots pour nous comprendre. Je te respire. J'aime ton odeur. Il est temps de rentrer. Nous avons fait l'amour tard dans la nuit. Comme si je voulais garder ta mémoire.
Au petit jour, je suis parti sans un bruit. Je me suis équipé dehors pour ne pas te réveiller. Adieu belle Syracusaine. Je sens que c'est mon dernier jour. Une si belle journée pourtant. Le ciel se couvre de rose et de safran. Il me faut rejoindre les premières lignes, la bas, sur les epipoles. Les rangs sont formés. En face les syracusains sont déjà alignés. Gylippe les passe en revue. Ce général spartiate n'est pas du genre locace, c'est plutôt un adepte du bâton. Il est redoutable. Un soldat mal aligné et son bâton le frappe avec une violence incroyable. Les Syracusains ont visiblement très peur de son bâton.
La bataille commence. Les Syracusains veulent nous empêcher de terminer notre mur pour encercler leur ville. Une bataille à mort. Surtout ne pas fléchir et perdre la ligne. Le choc est voilent. Boucliers contre boucliers. Tuer ou être tué Gylippe a repéré notre point faible. Il envoie ses meilleurs soldats à cet endroit là. Notre stratège ne réagit pas assez vite. La ligne commence à se disloguer. Nous reculons. Je n'ai pas vu la mort venir. Un coup de lance dans ma gorge, juste au dessus du bouclier. Je suis tombé avec fracas. Mes seules pensées, ...ton si joli cul , tes yeux de braise et ton odeur. Adieu...et qui sait dans une autre vie.
.../....
Mon ressenti après cet essai...je fais bien partie de ton groupe d'âmes. C'est pour cela que je peux entrer dans ta régression.
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C'est l'heure de la sieste. C'est agréable la sieste, au frais, volets tirés. J'ai horreur des clims. Je somnole...je me retrouve sur une plage. C'est agité, bruyant. De superbes bateaux de guerre, tout en bois, avec des rames. Des triremes.Des voiles aux couleurs vives. Des marins, des soldats en armes. Une régression...je viens de glisser dans une régression. Je touche mon sexe. Je suis une jeune femme. Je porte une tunique courte. Les hommes me regardent. Je lave mes jambes dans la mer. De très jolies jambes. Un marin me siffle de façon grivoise. Qu'est ce que je fais ici?
Un soldat puissant s'approche. Il me prend par les cheveux et veut me coller une baffe. Je bloque son bras. Je le défie du regard.
- Salope, qu'est ce que tu fous là à montrer ton cul. File dans ma tente et bouge ou je te bastonne. Je vais te dresser esclave.
Il est visiblement très colère et jaloux. C'est un bel homme. Esclave ? J'ai régressé dans une vie où j'étais esclave? Il me traine jusqu'à sa tente. D'autres soldats se marrent.
-botte lui le cul, et baise là. Cette salope de Syracuse ne mérite que cela.
A peine dans la tente, j'ai morflé grave. Je ne fais pas le poids face à ce guerrier qui cogne dur. Je me défend comme je peux.
- salope de rebelle, je vais t'enculer. Tu feras moins la maline. Tu es mon esclave. Tu dois m'obeir.
- A part la violence tu n'es bon à rien. C'est moi qui vais t'enculer. Obéir, jamais.
Il se jette sur moi. Il bande comme un malade. Plus je lui résiste et plus il me désire. J'ai beau lutter, je ne fais pas le poids. Il me perfore. Journée de douleur. Les soldats dehors éclatent de rire et font des commentaires salaces. Le soldat jouit en moi. Ce salaud prend son pied. Je touche ma chatte. Elle est complètement fermée. Il ne pourra jamais me violer par là. Toujours vierge.
Il grogne sur moi. Il me caresse les seins.
- tu me violes et après tu cherches du réconfort. T'es vraiment minable.
-ta gueule esclave ! Je te viole quand je veux. Tu es à moi et t'as rien à dire. Alors ferme la ou je te donne le fouet devant les soldats dehors.
je la ferme. Inutile de résister. Je sens qu'il est amoureux et qu'il me désire. C'est ma seule arme contre lui.
- prépare moi un bon repas avec du bon vin, salope de Syracusaine.
je m'exécute. De toute façon j'ai faim moi aussi. Esclave dans le camp des Athèniens à Syracuse ? Je prépare une sorte de brouet avec du porc, quelques légumes, de l'orge. Il mange d'abord, je finis les restes. Parfois je surprend son regard sur mes jambes, mon cul. Je sais qu'il me trouve jolie, que je le fais bander.
Syracuse....une régression étrange. Esclave dans le camp des Atheniens. Esclave d'un beau guerrier amoureux.
Le soir tombe. Demain mon guerrier doit repartir vers les premières lignes.
-Allons marcher un peu sur la plage.
il accepte. Je sens qu'il est inquiet. Un nouveau général venu de Sparte commande la garnison de Syracuse. Le fameux Gylippe. Je sens que les jours de mon beau guerrier sont désormais comptés. Il ne reverra jamais Athènes. Il va mourir ici bientôt, dans cette expédition risquée. Je prend sa main. Il est surpris. Je dépose une bise sur ses doigts.
-viens rentrons, j'ai encore envie de toi.
Je vais encore prendre cher... la régression se termine. Dehors le chant des cigales. Maso aussi fait la sieste tout nu. C'est un bel homme. J'aime le voir dormir. Syracuse est loin...qui sait, y aller un jour en vacances pour voir si je retrouve les lieux de ma régression? J'en parlerai à Maso. Je prend mon tel et regarde des images de cette côte. Oui, c'est bien cela. Les constructions sur la côte ne sont pas un obstacle pour retrouver la plage. C'est vraiment étrange ces regressions. Faire comme si tout cela n'existait pas. Je sens l'odeur du guerrier grec. Je l'ai en mémoire...comme c'est étrange.
Nouvelle régression, cela ne prévient pas. Je suis de nouveau dans le camp des Atheniens. Mon beau guerrier est mort au combat. Son corps a été brûlé. Ses biens obtenus lors de cette expédition ont été redistribués. Je fais partie du butin. J'ai été donné à un autre guerrier pour lui servir d'esclave. Heureusement, il me regarde à peine. Le moral n'y est plus. Gylippe est redoutable et rusé. Les stratèges atheniens ne font pas le poids. Des esclaves et serviteurs me proposent de m'enfuir avec eux. J'accepte malgré les risques. Le plan réussit. Le camps des atheniens est désormais loin. Nous avons marché toute la nuit. Notre but est de rejoindre une cité alliée de Syracuse.. Après trois jours de marche, nous arrivons enfin. Nous ne parlons pas de notre fuite du camp des Athèniens. Je ne parle pas de ma captivité. J'explique que je souhaite rentrer chez moi après la guerre....je revois ma maison pas très loin du camp des Athèniens . J'ai tout perdu. Dans cette petite cité à l'intérieur des terres, on ne voit pas la mer. La Sicile est si belle. Le temps passe. Cette régression est comme un accélère d'images. Gylippe a écrasé les Athèniens. Nous avons danse ce soir là. J'ai bu du vin. Je retrouve ma maison. Tout est saccagé. Je suis seule. Il va me falloir tout reconstruire. Et si je prenais un esclave Athènien en train de pourrir dans les latomies. Ma famille est connue à Syracuse. Cela m'est accordé.
Lorsque je reçois mon esclave, il est en piteux état. Il fait partie des rares survivants du corps expéditionnaire. Aussitôt je me surprend à être une dominatrice très exigeante. Mon esclave se remplume et bosse bien. Il a peur de moi. J'ai le fouet facile. Il obéit d'autant mieux qu'il semble très amoureux de moi. Finalement j'en fais mon compagnon pour ma couche le soir. Il est bel homme et bon amant. Je préfère avoir un esclave à mon service qu'un époux. Cela jase à Syracuse. J'entends parfois des quolibets du genre, les Athèniens l'ont eu dans le cul à Syracuse et pourtant ils continuent de baiser nos plus belles femmes. Je ne réponds jamais. J'ai la chatte fermée. Il n'est pas possible de me pénétrer. Je ne peux pas avoir d'enfants. Je serais vite cataloguée comme mauvaise épouse. Alors autant rester paisible avec mon esclave qui m'obeit en tout et pour tout. Parfois je le fouette par pur plaisir. Je l'ai marqué au fer rouge et j'ai percé ses oreilles. C'est vraiment ma propriété.
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Jaba aime se faire enculer. Son Dom ne s'en prive pas. Putain que Jaba a un joli cul et un anus très tonique. Cette salope sait prendre son pied de la sorte. Elle sait serrer quand il faut, relâcher en cadence. Elle adore être remplie de foutre epais. C'est bon pour pour sa santé. Que du bon sperme bio dans le cul c'est excellent pour sa peau et son équilibre. Elle est resplendissante.
Jaba n'aime pas se faire prendre par la chatte, c'est moins jouissif pour elle. Elle se sent bobonne qui écarte les cuisses. Non elle préfère sentir la grosse bite de son Dom dans son cul. Là, elle se sent vraiment soumise et prise comme il se doit. Si en plus son Dom lui claque bien les fesses quand il l'encule, c'est le top. Putain que c'est jouissif pour Jaba.
Ce qu'elle préfère c'est d'être quasiment violée de la sorte, dans la rue, sous une porte cochère, dans un ascenseur, sur le capot encore chaud d'une voiture. Jzba est toujours prête. Jamais de culotte. Son Dom l'encule quand il veut comme il veut. Elle est sa propriété.
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Elsa est féministe engagée, une coupeuse de couilles de machos. Certaines personnes savent couper le feu 🔥, Elsa, elle, sait couper les bites arrogantes. Non mais, y se prennent pour qui ces mâles avec leurs couilles qui pendent et leur tuyau qu'ils astiquent en cachette, leur sperme visqueux. Peut être faudrait-il tous les castrer! Pas besoin de mâles après tout. Et puis ils ne sentent pas bon. Réduire leur population. Une extrémiste qui rêve d'un monde de femmes où, avec les progrès de la science, les femmes n'auraient pas besoin des hommes pour se reproduire. Cela s'est vu chez certaines espèces ou les mâles ont disparu. Pour Elsa c'est la preuve qu'ils ne servent à rien, sauf à se battre, faire des guerres, polluer, casser, mentir.
Markus est tout l'inverse, c'est un pur macho. Pour lui une femelle c'est fait pour tenir propre la maison, faire toutes les tâches ménagères et écarter les cuisses, et surtout la fermer. Les femelles sont pour lui inférieures et doivent obéir en tout et pour tout. Une bonne femelle doit toujours avoir le cul bien rouge pour être bien dans sa tête. Fesser les femelles sept fois par jour est un minima syndical pour lui.
Cupidon devait être complètement bourré ce soir là. Il devait sortir d'une orgie chez Dyonisos où le vin avait coulé à flots. Complètement pété le Cupidon. Il a pris une flèche et l'a envoyée dans le cul d'Elsa pour qu'elle tombe amoureuse du premier mec rencontré. Et ce fut Markus qui passait par là, mains dans les poches et clope au bec. La rue était déserte. Il n'y avait que cette femme fort belle qui se tenait les fesses. Cupidon n'avait pas fait semblant avec sa flèche invisible.
Les yeux d'Elsa et de Markus se sont accrochés. L'amour était là, puissant, irrésistible, pas aveugle, non, démoniaque. Ils se sont parlé. Ils se sont trouvés beaux. Ils se sont désirés. Markus qui habitait à deux pas invita Elsa chez lui, pour prendre un verre.
Et Elsa n'a pas pu dire non. Elle n'avait plus de jambes pour fuir. Son cœur battait dans sa poitrine en feu. Après le verre ils se sont retrouvés au pieux. Avec ses idées à la con, Elsa était encore vierge. Markus jugea bon de ne pas la depuceler par la chatte. Il savait qu'il venait de trouver sa femme et qu'il devrait l'épouser bientôt. Il préfèra garder cela pour la nuit de noces. Il passa donc par derrière et encula profond son Elsa qui ne tarda pas à bramer des orgasmes en cascade. Markus n'avait pas une bite mais un gourdin entre les jambes. Ce n'est qu'après avoir empale, écartelé, defonce, pilonne le cul somptueux d'Elsa qu'il lâcha son foutre en elle. Quelle jouissance incroyable!
Le lendemain, Elsa fit le ménage tôt le matin et porta son café à Markus qui était encore au lit. Elle avait trouvé sa juste place. A peine levé, son homme l'a prit sur ses genoux et lui a flanqué sa première fessée. Elsa a pleure de plaisir. Elle a joui sur les cuisses de Markus et a été mise au piquet, cul nu, bien rouge pour n'avoir pas demandé la permission de jouir.
Cupidon avait desaoule. Il est venu voir. Il a admiré le somptueux cul bien rouge d'Elsa . Il a pensé avoir fait du bon boulot malgré sa cuite. Ces deux là s'aimaient comme des fous, ce n'était que trop visible.
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« Esclave du camp du bien.
Tel est ton destin »
Les moqueries de Microbite et Bitemicron résonnent dans ma tête comme la rengaine insupportable d’une chanson niaise.
Au pilori devant l’entrée d’honneur du Ministère de la Vérité, je suis l’attraction du jour. Le camp du bien est très fier d’exposer sa prise, nue, humiliée. Deux gardes armés me protègent de la vindicte populaire, tout en se délectant des regards haineux qui m’entourent.
Hier encore, j’étais libre – libre d’échapper à ce funeste destin [1]. Quelle est donc cette force étrange qui m’a poussée à franchir le seuil d’un obscur siège local des Brigades de Défense de la Démocratie, au cœur des Alpes Suisses ? La confiance ? L’espoir ?
Le visage du jeune milicien de service s’est décomposé quand j’ai commencé à avouer mes crimes. Cette force de la nature semblait soudain écrasée par une affaire dont l’ampleur le dépassait. « Déshabillez-vous, je vais chercher mon chef ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire, après de multiples hésitations et bégaiements.
Les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements – c’est la loi. J’avais préparé un scénario vaguement crédible pour expliquer comment je m’y étais prise pour détruire la Lune rouge de Davos [2], mais le milicien m’a à peine laissé le temps d’en esquisser les prémices. Est-ce que le chef sera plus avide de détails ?
C’est un petit homme bedonnant qui fit son entrée. Dans un réflexe dérisoire je cachai ma chatte avec ma main droite.
« Tsst... » fit-il, d’un air réprobateur. Pas besoin de mots…
Pendant que je me résignais à adopter une attitude plus convenable, exposant ma fente épilée à tous les regards, comme la loi l’exige, un claquement sec me fit sursauter. Des émanations de fumée m’en indiquèrent l’origine : la caméra de surveillance du local venait de griller, dégageant une infâme odeur de plastique brûlé.
« Nous n’avons pas beaucoup de temps, Ysideulte – Écoutez bien » me dit-il.
« Quand je vous interrogerai, laissez-vous guider par mes questions. Soyez coopérative et saisissez les perches que je vous tendrai ».
Je n’en croyais pas mes oreilles… Ca alors… Le pangolin fou aurait infiltré la milice ?
On tambourina à la porte.
« Tout va bien, chef ? La vidéo est HS. »
« Oui, un court-circuit visiblement - remplacez-moi ça ».
Il ne fallut que quelques minutes pour que le système soit de nouveau opérationnel. L’interrogatoire put commencer.
Je ne saisis pas vraiment où le chef voulait en venir, tant ses questions paraissaient confuses, lubriques et sans intérêt, mais je m’employai à y répondre avec docilité.
Toujours est-il qu’à l’issue de cet interrogatoire, je ne fus pas incarcérée en attendant mon exécution. Contre toute attente, je fus conduite à Bruxelles, au Ministère de la Vérité. Pas n’importe lequel : le Ministère fédéral, celui qui chapeaute tous les Ministères de la Vérité des nations composant la Suprême Alliance Démocratique. Le Saint des saints du narratif officiel.
Le transfert des ennemies de la démocratie est toujours l’objet d’une mise en scène, pour donner l’exemple, dissuader les récalcitrants, et divertir les moutons en attisant leurs pulsions les plus malsaines. Une douzaine de femmes étaient pour l’occasion mes compagnes d’infortune. Après avoir reçu la fessée réglementaire, administrée par un Maître fesseur, c'est nues, enchaînées les unes aux autres, que nous traversâmes la moitié de la ville en file indienne, sous les huées et le regard complaisant des caméras de télévision. Autant il m'arrivait souvent d'éprouver de l'excitation lorsque j'étais fessée par mon Maître, autant je me suis sentie ridicule, profondément humiliée et blessée, d'être ainsi fessée en public comme une gamine, devant des millions de téléspectateurs. Le contexte change tout. Je pensais de surcroît à mes connaissances, mes collègues de travail, ma famille, qui seraient sans nul doute témoins un jour ou l'autre de ce spectacle dégradant, s'ils ne le suivaient pas déjà en direct, et la honte m'envahit.
J’occupais la première position dans la file - un honneur lié à la gravité de mes crimes, sans nul doute. Un milicien à l’allure de racaille ouvrait fièrement la marche, tenant fermement la chaîne reliée à mon collier. En d’autres temps il aurait été dealer ou proxénète, aujourd’hui il est défenseur de la démocratie.
La lourde chaîne qui reliait mon collier à celui de la suivante me passait entre les cuisses et me martyrisait la chatte à chaque fois que son pas ralentissait. C’était insupportable.
« Putain ! Avance ! » lui hurlai-je à la figure en me retournant brusquement.
La vue de son visage en larmes me fit immédiatement regretter mon emportement. Je ne connais rien de son histoire ni du destin qui l’attend. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, on peut connaître les pires tourments pour des raisons absurdes. Le totalitarisme progressiste ne s’embarrasse pas de logique ni d’humanité.
La violente décharge d’un aiguillon électrique pour bétail me rappela à l’ordre.
« Silence, femelle ! »
L’arrivée sur le tarmac de l’aéroport et la montée à bord de l’Embraer 120 qui nous conduisit à Bruxelles marqua, pour un temps, la fin de notre supplice. Arrivées à destination, nous fûmes séparées. Je ne saurai sans doute jamais ce que mes compagnes d’infortune sont devenues. Pour ma part j’appris que j’avais été spécialement sélectionnée par le ministre de la Vérité et sa charmante épouse, pour devenir l’une des esclaves de leur couple. L’esclavage n’est pas officiel au sein de la Suprême Alliance Démocratique, mais les ardents défenseurs du camp du bien jouissent d’une impunité totale – jamais un journaliste ou un magistrat ne posera une question dérangeante – alors pourquoi s’en priver.
Est-ce que les questions bizarres du chef avaient pour but de susciter des réponses qui attireraient l’attention de ce couple diabolique ? Est-ce dans cet objectif qu’il m’a amplement questionnée sur mon passé de femme soumise et d’esclave sexuelle, entièrement dévouée à mon Maître ? En tout cas, pour le moment cela me procure un sursis.
Rien d’autre à faire que de me perdre dans mes pensées, d’occuper mon esprit, histoire de rendre plus supportable l’humiliation du pilori. Personne n’a pris la peine de m’interroger concrètement sur mon mode opératoire. L’incompétence a atteint son paroxysme. Visiblement le réel leur importe peu et seule la narration qu’ils pourront en faire a de l’importance.
Le visage pervers du ministre me sort de l’évocation intérieure de ma journée d’hier. Ce type pue la perversion, à un point qui donne froid dans le dos. Ce n’est pas pour rien qu’il a été nommé ministre de la Vérité. La Suprême Alliance Démocratique met les psychopathes les plus incompétents et les plus tordus aux postes de haute responsabilité, tout en chargeant le système médiatique de les présenter comme des virtuoses dévoués au bien commun.
Il me libère de mes entraves et m’aide à me redresser. Des heures au pilori, c’est terrible pour les reins.
« Viens, on parle de toi à la télé »
Comme toutes les personnes profondément perverses, il aime souffler le chaud et le froid, apparaître en sauveur pour résoudre des problèmes qu’il a lui-même créés.
Il m’invite à m’installer dans un salon au décor atroce, aux côtés de sa charmante épouse. C’est la première fois que je la vois sans sa perruque. Elle aussi se révèle soudain mielleuse et avenante, mais je sais à quoi m’en tenir. Ce couple de pervers narcissiques transpire le mépris et les rictus fugaces sur leurs visages trahissent leur moi intérieur. La manière dont ils ont saccagé ce palais autrefois somptueux, en refaisant toute la décoration à leur goût, en dit long sur les personnages auxquels j’ai affaire.
A la télévision, les journalistes sont surexcités. Il y a de quoi : on vient de capturer la responsable de la destruction de la Lune rouge de Davos. J’hallucine : les experts défilent sur le plateau pour expliquer les détails de l’incroyable enquête menée sous l’égide du ministre de la Vérité – enquête extraordinaire qui a conduit à ma capture. Tout est faux – je suis bien placée pour le savoir – mais je dois reconnaître que cette opération de communication à la gloire de Microbite est percutante. Le blabla glorificateur est entrecoupé d’interviews du ministre de la Vérité en personne – l’air grave – qui explique son combat contre les forces du mal.
Cette affaire tombe fort à propos. Bien que le Ministère de la Vérité et les hordes de censeurs et de fact checkers à sa botte lui permette de donner libre cours à son sadisme et à sa mégalomanie, il a de plus grandes ambitions. L’élection anticipée du prochain président de la Suprême Alliance Démocratique approche. Il est devenu nécessaire de remplacer la marionnette sénile dont la décrépitude mentale ne peut plus être masquée, malgré tout le zèle des journalistes.
A la télévision le ministre de la Vérité profite de l’occasion pour faire son auto-promotion « Avec moi, un barrage infranchissable se dressera devant les ennemis de la démocratie. Je serai votre protecteur. Aidez-moi à faire barrage ! ».
La vie démocratique est maintenant bien rodée au sein de la Suprême Alliance: l’heure venue, les castors assureront le résultat qui convient.
« Merci à toi de nous aider à castoriser les pigeons, une fois de plus ! Ah ah ah ». Convaincus que je ne retrouverai jamais ma liberté, ils affichent sans complexe le mépris de leurs électeurs et jouissent ouvertement de ma contribution involontaire au succès de leur idéologie. J’espère que le pangolin fou sait ce qu’il fait, car pour l’heure j’ai le sentiment de marquer un but contre mon camp. « Il voit loin, il ne pense pas comme nous » m’avait dit mon Maître pour me rassurer.
Cet intermède n’est que de courte durée. Ils appellent un gardien qui me conduit sans ménagement dans la cour intérieure du palais, au mur d’exposition contre lequel je passerai la nuit. D’autres esclaves y sont déjà exposés – de beaux gladiateurs au corps d’ébène.
Certains arborent fièrement et bien malgré eux de belles bites épilées. D’autres ont été émasculés. D'autres encore ont de lourdes charges suspendues à leurs couilles, qui les étirent à un point que je n'imaginais même pas possible. Les gémissements des malheureux témoignent du supplice qu'ils subissent. Alignés en rang d’oignons, les poignets attachés au mur, au dessus de leurs têtes, ils forment un tableau vivant.
Le gardien, jouissant visiblement de ma sidération, me laisse observer longuement ce tableau, tout en me laissant entendre qu’il s’agit des esclaves sexuels du couple.
Ma présence déclenche quelques gonflements de bites. Cela doit faire un moment qu’ils n’ont pas vu une femme, a fortiori complètement nue.
Ayant été placée en position d’honneur au milieu du tableau, je remarque une fenêtre éclairée derrière laquelle Microbite observe son cheptel. Je me risque à interroger mes voisins à voix basse, mais, visiblement terrifiés, ils ne me donnent que peu d’information. Épuisée, je finis par m’endormir, debout, malgré l’inconfort de la position.
Au milieu de la nuit, des voix me réveillent. La Maîtresse des lieux, accompagnée de gardiens, est en train de sélectionner un esclave. Elle palpe les bites, soupèse les couilles, et en choisit un.
« La femelle aussi ! » ordonne-t-elle aux gardiens, qui me libèrent à mon tour.
Le ministre de la Vérité nous attend au salon, nu comme un vers. Un gardien me pousse si violemment que je m’étale à ses pieds.
« Baise-la ! » lui ordonne son épouse.
Microbite, l’air dégoûté, se résigne à obéir. C’est donc lui le soumis dans le couple. Je m’en doutais...
Il ne bande pas. Les femmes, ce n’est vraiment pas son truc.
Mais sa charmante épouse a la solution. Une grosse seringue et une injection massive d’Erector, directement dans la bite. Le dernier produit sûr et efficace de la Bill & Alvértos Fucking Corporation fait fureur au sein de l’élite mondialiste.
Il me baise sans conviction, pressé d’en finir.
« Aïe ! » hurle-t-il. « Qu’est-ce que tu m’as fait, salope ? ». Il se retire brutalement et examine sa bite avec inquiétude.
Moi aussi je l’ai sentie cette douloureuse décharge électrique tout au fond de ma chatte. Une migration de zébralyvox gémellaires ? Quelle ironie, si celui qui a été un acteur zélé de l’extermination des zébralyvox contribuait maintenant contre son gré à la renaissance de l’espèce [3].
« Continue, chochotte ! ». Bitemicron est très fâchée de cette interruption qu’elle considère comme une désobéissance. Tout penaud, le ministre m’introduit à nouveau.
« C’est bien » le félicite-t-elle, après qu’il m’ait baisée, et peu importe que ce fut avec un dégoût manifeste. « Maintenant tu as le droit de te faire enculer avant que je lui coupe la bite » ajoute-t-elle, en désignant le bel esclave au corps d’ébène qu’elle a choisi pour lui.
« Dans ma jeunesse, on m’appelait coupe-zizi » m’annonce-t-elle avec un rictus satanique.
Obligée d’assister à ce spectacle obscène, l’espoir qu’il me restait encore est à deux doigts de se désagréger. « Tout est fichu » me dis-je. La société est profondément malade et ses « élites » dépravées et intouchables ne sont que le symptôme d’un mal profond. Il est trop tard pour redresser la barre.
Incapable de supporter ce spectacle plus avant, je détourne le regard. Au loin, sur un écran d’ordinateur resté allumé, des motifs étranges apparaissent. Peu à peu, un pangolin se dessine, comme pour me donner tort.
« Je ne sens rien ! » s'écrie le ministre, affolé, pendant que l'esclave, pourtant superbement membré, l'encule vigoureusement. « C'est cette salope! Elle m'a fait quelque chose, je ne sais pas quoi ».
Les zébralyvox ont déjà détourné l'influx nerveux. J'avais remarqué qu'ils étaient devenus incroyablement rapides ces derniers temps.
Je m'approche discrètement du préservatif usagé, qu'il a utilisé pour me baiser et qu'il a déposé de manière dégueulasse sur le bureau. Suffisamment près pour deviner trois paires de petits trous à son extrémité. Trois paires de zébralyvox ont transpercé le préservatif simultanément... Heureusement que cet idiot est trop bête pour comprendre ce qui lui arrive et même s'il fait des examens il y a peu de risque - les zébralyvox gémellaires sont extrêmement difficiles à détecter m'avait assuré Satoshi et pour l'instant seule l'université Kitasato est équipée de têtes Doppler à couplage quantique [4]. Je réprime un sourire... Les plans du pangolin fou sont machiavéliques.
à suivre
Contexte et références
L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
[1] Voir « Alea Jacta Est » https://www.bdsm.fr/blog/10475/alea-jacta-est/
[2] Voir « Les Lunes de Davos » https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/
[3] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/
[4] Voir « Attracteur étrange - l'ordre caché dans les profondeurs du chaos », https://www.bdsm.fr/blog/9106/Attracteur-%C3%A9trange-%E2%80%93-L%E2%80%99ordre-cach%C3%A9-dans-les-profondeurs-du-chaos/
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Le grincement de la serrure me transperce les oreilles. Lorsque la porte de la petite bibliothèque privée s’ouvre, mon Maître me trouve là, titubante, le regard dans le vide.
« Ysideulte ! Que se passe-t-il ? »
Les mots du pangolin fou m’ont secouée.
Je m’agenouille, en signe de respect, mais aussi pour ne pas trébucher ou m’évanouir. Cuisses ouvertes, bien cambrée, yeux baissés, comme il me l’a appris.
« Puis-je vous parler, Maître ? »
Je lui relate la conversation que je viens d’avoir [1]. Il semble aussi surpris que moi.
« Que décidez-vous, Maître ? »
Un long silence s’ensuit.
« Je ne peux pas décider cela à ta place, Ysideulte. Ce serait de l’abus de pouvoir ».
Me voilà bien avancée. A quoi bon être esclave si mon Maître se défile quand il y a une décision grave à prendre ?
« Viens, le dîner est servi » me dit-il en m’aidant à me relever.
« Maître, aviez-vous prévu de me marquer au fer ce soir ? Le pangolin fou a dit : Quand vous serez marquée, réfléchissez à ma demande »
« Tu seras marquée au fer rouge, oui, mais pas ce soir ni demain »
« Alors, je ne comprends pas la chronologie. Je dois décider avant demain 15h, mais il m’a demandé de décider une fois marquée »
« Je ne sais pas Ysideulte, le pangolin fou ne pense pas comme nous »
« L’avez-vous rencontré physiquement, Maître ? »
« Non, et je ne connais personne qui l’ait rencontré. »
« Je ne sais que penser, Maître. Est-ce un fou ou un génie ? Et s’il jouait avec nous et que tout cela n’avait aucun sens ? »
« Peut-être que l’on ne comprend pas parce qu’il a plusieurs coups d’avance. Tu as vu ce qu’il a fait à Davos, semer la panique au cœur de la zone la plus sécurisée de la planète [2]. Et si le but principal n’était pas de te libérer mais de te montrer ce dont il est capable, pour que tu lui fasses confiance ? »
« La liberté d’expression est l’ennemie de la démocratie ! » martèle un éditorialiste à la télévision, appelant à encore plus de censure et de contrôle de l’information. « En effet ! Il faut interdire les fausses opinions ! » renchérit une politicienne invitée sur le plateau.
Clic ! Mon Maître leur coupe la chique. Une phrase qui m’emplit de bonheur met un terme à ce discours insupportable : « Ce soir, exceptionnellement, tu pourras dormir dans le lit »
La brosse à dents à ultrasons s’est avérée remarquablement efficace. Le mécanisme d’ancrage de l’obus vaginal n’a résisté qu’une dizaine de secondes avant de se rétracter. Le pangolin fou avait raison sur toute la ligne. Fou ou pas, ses conseils sont avisés.
Blottie dans les bras de mon Maître, je m’endors presque instantanément. Qu’elles sont apaisantes les douces caresses de ses mains sur mon dos, sur mes fesses !
Une gifle me réveille en sursaut.
« Dépêche-toi, salope ! On n’a pas de temps à perdre »
Mon Maître me saisit brutalement par les cheveux et me sort du lit.
« A quatre pattes, chienne ! »
La laisse est promptement attachée à mon collier et je suis traînée jusqu’au salon sans ménagement.
Deux femelles complètement nues comme moi sont attachées, au milieu de la pièce, suspendues par les pieds. Un homme à l’aspect patibulaire, qui semble tout droit échappé du bagne, se tient près de la cheminée. Le gros Dobermann qu’il tient en laisse grogne, bave, montre les dents et s’agite, la bite en érection. J’en suis terrifiée. Mon Maître me fait mettre face et mamelles contre terre, cul en l’air, cuisses écartées. D’une claque cinglante sur les fesses, il m’intime l’ordre de les écarter avec les mains. Je reste ainsi exhibée, humiliée, attendant la saillie. Tellement obnubilée par cette anticipation que je ne me rends même pas compte que mes chevilles viennent d’être reliées au treuil qui me retourne et m’élève dans les airs tête en bas comme un morceau de viande.
Mon Maître adore faire diversion et contrarier mes anticipations. Le chien s’est calmé.
Le bagnard s’affaire autour du feu. Quand il se retourne, brandissant fièrement un fer rougi, mes deux compagnes d’infortune se mettent à hurler.
« Silence femelles ! » hurle le sale type, alors que le chien se montre menaçant à nouveau.
C’est la première fois que j’assiste à un marquage au fer. Je m’étais renseignée bien sûr, tant j’espérais qu’un jour mon Maître me jugerait digne d’être marquée. J’avais entendu parler de cérémonie, de longue préparation. Le fer doit être chauffé par une flamme de type camping gaz ou chalumeau et non dans les braises pour ne pas laisser de résidu [3]. Je suis surprise que mon Maître n’ait pas exigé cette précaution élémentaire, lui qui est toujours si soucieux de ma santé. J’avais lu également qu’être solidement attachée est indispensable pour ne pas bouger pendant l’application. Que penser de cette position, suspendue par les pieds ? Mon Maître aurait privilégié l’humiliation en passant outre toutes les règles élémentaires ? Cela ne lui ressemble pas et m’inquiète au plus haut point.
Deux ou trois secondes. C’est court pour celui qui applique, une éternité pour celle qui reçoit. Elle hurle de douleur. Puis c’est au tour de la deuxième. Du travail à la chaîne, bestial, dégradant.
Jamais je n’aurais imaginé que mon Maître m’infligerait une telle humiliation. Marquée à la chaîne avec d’autres femelles, comme du bétail. Toute dignité s’étant évaporée, je me mets à hurler moi aussi avant même que le fer me brûle la chair.
La douleur est violente mais disparaît en une fraction de seconde, bien avant le retrait du fer, comme si toute la zone venait de subir l’injection d’un anesthésique extraordinairement puissant. Je n’ai plus aucune sensation dans tout le bas du corps. Les zébralyvox gémellaires sont incroyablement efficaces [4].
« Il faut se dépêcher, ils vont arriver ! », crie mon Maître.
Descendre mes deux congénères semble prendre une éternité. Je suis encore suspendue tête en bas quand la porte du chalet est défoncée. Une unité d’intervention des Brigades de Défense de la Démocratie, lourdement armée, entre en trombe.
Mon Maître ronfle doucement à mes côtés. Je suis au bord de la tachycardie. Je passe la main sur le haut de ma fesse gauche. La peau semble lisse, sans irrégularité. Pourtant tout cela semblait tellement réel. Je soulève doucement la couette et saisis mon téléphone portable sur la table de nuit pour éclairer ma fesse. Rien, aucune marque…
Les bruits de la nature, qui devraient m’apaiser, m’angoissent soudainement. Je suis à l’affut du moindre son suspect. Et si les Brigades de Défense de la Démocratie encerclaient déjà le chalet ?
N’y tenant plus, je tente de me lever sans réveiller mon Maître, pour aller jeter un coup d’œil à l’extérieur, mais je m’écroule sur le sol, incapable de tenir en équilibre et de coordonner les muscles de mes jambes. Tout le bas de mon corps est anesthésié. Les zébralyvox gémellaires ont réagi à mon cauchemar. Plus aucun doute n’est permis, ils sont connectés à mon esprit, je ne sais comment.
Le vacarme de ma chute réveille mon Maître. Je m’attendais à être giflée et punie, mais il m’aide délicatement à remonter sur le lit et me prend dans ses bras rassurants pendant que je lui raconte mes mésaventures oniriques.
Tout devient clair tout à coup, comme si mon esprit avait travaillé pendant la nuit, comme si ce cauchemar était un message venant des profondeurs de mon inconscient.
Je suis marquée au fer à présent. Pas réellement mais je l’ai vécu par l’esprit, je l’ai ressenti si intensément, avec tellement de réalisme que c’est tout comme. « Quand vous serez marquée, réfléchissez à ma demande. La décision vous appartient », avait dit le pangolin fou. Comment pouvait-il savoir ? Il suscite mon admiration et me fait peur à la fois. L’inconnu me fait peur. Ne pas comprendre me fait peur.
« Nous ne pourrons jamais vivre librement, n’est-ce pas Maître ? »
Après un moment d’hésitation, certainement surpris par ma question un peu soudaine :
« Les choses ne vont aller qu’en empirant, malheureusement. C’est dans l’ADN du totalitarisme d’étendre son emprise tentaculaire sur nos vies, jusqu’à la folie, ou jusqu’à sa propre destruction ».
« Alors il faut le détruire, et le plan incompréhensible du pangolin fou est notre seul espoir » dis-je en chuchotant, comme effrayée par ma propre audace.
« C’est ce que dit la raison, mais pas le cœur. Je ne peux pas te conseiller de te mettre en danger. Est-ce que tu comprends cela ? Si je dois décider à ta place, je t’interdirai de te rendre. »
Malgré l’apaisement procuré par mon Maître, blottie contre lui, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Cogitations inutiles, je le sais très bien. Ma décision est déjà prise mais j’ai du mal à me l’avouer.
Mon Maître me réveille en douceur. Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. J’ai retrouvé mes sensations dans le bas du corps.
« Je vais te présenter à des personnes que tu seras heureuse de revoir » me dit-il en me mettant la laisse au cou.
Sonia !
Ah ça oui ! Qu’est-ce que ça me fait plaisir !
Sonia et son esclave, la bite à l’air ! Le pauvre. Visiblement il a encore été durement fouetté. Sonia est décidément sans pitié. Sa bite se dresse sans délai pendant que je m’approche, nue, tenue en laisse, pour le saluer. J’adore voir un homme bander et savoir que j’en suis la cause. Cela me rassure et m’emplit de frissons de fierté qui m’envahissent le corps.
« Arrête de mater sa bite, salope ! » me glisse mon Maître à l’oreille.
« Je vais vous préparer le déjeuner » dit l’esclave, avec un charmant accent anglais.
« Ah non, pitié ! » m’exclame-je, avant de devenir toute rouge en prenant conscience de la gaffe.
Cela m’a échappé. Le souvenir de la bouillie fadasse qu’il nous avait préparée à Bornholm est gravé dans mon esprit.
Ma réaction épidermique déclenche un fou rire généralisé. Apparemment je ne suis pas la seule à avoir un mauvais souvenir de ses talents culinaires. Il est convenu que les deux esclaves prépareront le déjeuner ensemble pendant que les Maîtres discuteront au coin du feu.
Je m’attendais à l’honneur de partager, une fois de plus, la table des Maîtres, mais ils en ont décidé autrement.
« Vous allez nous divertir en copulant tous les deux comme des bêtes pendant que nous déjeunerons, esclaves ! Si le spectacle n’est pas suffisamment excitant, vous serez punis.»
La voix de mon Maître est dure. Il ne plaisante pas.
L’esclave de Sonia n’a pas bien compris. Je lui traduis en anglais, en rougissant.
Me voilà actrice porno chargée d’improviser un spectacle privé. Je n’ai jamais fait cela, évidemment, et je ne sais trop comment faire pour que le spectacle soit le plus agréable possible. Je m’inquiète surtout pour mon partenaire. C’est dur pour un homme de baiser comme une bête en se contrôlant pendant toute la durée d’un repas, et de ne pas se laisser impressionner par les regards dirigés sur lui. Il y a des situations dans lesquelles je suis bien contente d’être une femelle.
Notre spectacle bien maladroit n’arrive pas à la cheville d’une prestation professionnelle, mais cela semble bien amuser nos Maîtres si j’en juge par leurs éclats de rires et leurs commentaires humiliants.
Par compassion, probablement, ils abrègent notre humiliation et nous autorisent à rejoindre leur table.
« Est-ce que Sonia est au courant, Maître ? ». Je le questionne à voix basse.
« Oui, le pangolin fou l’a informé de ses intentions il y a deux jours. C’est pour cela qu’elle est venue »
A peine le repas est-il terminé que, sous mes yeux stupéfaits, mon Maître commence à dévêtir Sonia. Elle se laisse faire docilement. En moins de deux, la voilà complètement nue, comme moi. Ma jalousie maladive me met presque en colère. Il ne va quand même pas oser la baiser devant moi ? Qu’est-ce que c’est que cette Dominatrice à la noix ? Pourquoi ne lui met-elle pas une baffe ?
Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’elle se retrouve les bras en l’air, poignets attachés à des anneaux opportunément présents au plafond. Puis c’est mon tour. J’ai l’impression de revivre à la virgule près cette expérience qui m’avait profondément troublée lors de mon premier séjour chez mon Maître : « Face à face, mamelles contre mamelles, je ressens le souffle de Sonia sur mon épaule, les pointes de ses tétons saillants parcourant mes mamelles au gré de nos mouvements, heurtant parfois les miens, tout aussi saillants. C’est terriblement érotique. Je sens une excitation sexuelle irrépressible m’envahir». Non décidément, je ne suis pas 100% hétéro comme je le croyais et Sonia me fait un effet démentiel !
Le premier coup de fouet est cinglant ! Ah, putain ! Qu’est ce que ça fait mal !
« Embrassez-vous, femelles ! Qu’est-ce que vous attendez ? »
Les coups de fouet sont espacés, mais terriblement douloureux, comme pour nous inciter à laisser toute pudeur de côté dans nos plaisirs saphiques.
L’esclave de Sonia se tient à l’écart, jetant de temps à autre des coups d’œil sur la scène, puis baissant immédiatement les yeux comme ébranlé par ce qu’il voit. « Il y a certains tabous, universels ou propres à chacun, dont nous avons conscience. D'autres se révèlent par l'expérience et viennent nous mettre face à nos limites. » [5]
Mon Maître n'arrête que lorsque nous sommes en larmes, épuisées, criant grâce.
« Une seule de vous deux aura l’honneur de recevoir la bite dans le cul. Mettez-vous d’accord entre vous, femelles ! ».
« Ysideulte ! » hurle Sonia
Ah zut ! Elle a été plus rapide ce coup-ci. Mais je lui en sais grée. C’est peut-être la dernière fois que j’aurai l’honneur de recevoir la bite de mon Maître dans le cul.
Qu’est-ce que c’est humiliant de se faire enculer ainsi en public ! Et pourtant j’en ressens du plaisir, moi qui habituellement déteste la sodomie. La dernière fois, peut-être ? Je ne pense qu’à ça et je veux profiter de chaque seconde.
Une fois délivrée, j’ai à peine le temps de me refaire une beauté que l’on frappe à la porte. C’est déjà l’heure. Les adieux sont rapides. Je préfère abréger pour ne pas fondre en larmes, et mon Maître l’a bien compris. Lui aussi a énormément de mal à contenir ses émotions – je le vois bien.
« Qu’avez-vous décidé ? » demande l’un des deux gendarmes à mon Maître. Il a bien compris que c’est à lui qu’il faut poser les questions. Je ne suis qu’une esclave, après tout. Je devrais peut-être me sentir humiliée de la situation, et pourtant j’en suis fière. Oui, c’est à mon Maître de répondre, même s’il m’a laissée décider.
Sonia m’a apporté des vêtements. Je n’allais quand même pas me livrer à la milice toute nue ! Les gendarmes se chargeront de me déposer à bonne distance, dans une zone encore dépourvue de caméras de surveillance, et je continuerai à pied.
Un bâtiment tout neuf à l’architecture futuriste. Le siège local des Brigades de Défense de la Démocratie est impressionnant. Rien n’est trop beau ni trop coûteux pour ces parasites. La colère m’envahit et contribue à me donner du courage. Peu importe ce qui arrivera, moi la fille effacée qui avais l’impression de traverser ce monde sans vraiment en faire partie, invisible, insignifiante, j’aurai fait de mon mieux pour porter un coup à la Suprême Alliance Démocratique. Un coup qui s’avèrera peut-être fatal, ou qui ne sera qu’un coup d’épée dans l’eau. Peu importe, il est trop tard pour avoir des états d’âme. Si le pangolin fou est vraiment timbré, il m’aura au moins donné de l’espoir, et ce n’est pas rien.
alea jacta est
à suivre
Contexte et références
L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
[1] Voir « NewBrain – Conversation intime avec la pangolin fou », https://www.bdsm.fr/blog/10456/NewBrain-%E2%80%93-Conversation-intime-avec-le-pangolin-fou/
[2] Voir « Les Lunes de Davos » https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/
[3] Je ne saurais que trop conseiller la lecture de l’article fort bien fait de Lady Spencer à ce sujet : https://www.bdsm.fr/blog/3873/Marquage-au-Fer-(=-Branding)/
[4] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/
[5] J’ai repris les mots de Carpo, qui relate, bien mieux que je ne saurais le faire, le choc ressenti dans une telle situation. Voir https://www.bdsm.fr/blog/8479/La-premi%C3%A8re-fois-o%C3%B9-j'ai-vu-ma-Ma%C3%AEtresse-sous-l%E2%80%99impact%C2%A0/ et https://www.bdsm.fr/forum/thread/8080/Voir-sa-ma%C3%AEtresse-ou-son-ma%C3%AEtre-en-position-de-soumission/
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Bisous mon mael pour ces beaux voyages qui tu m'as permis de découvrir. Tenter de faire des recessions, tenter d'explorer nos vies anterieures, c'est si amusant et si joli à faire. On ne pourra jamais savoir si c'est vrai, mais c'est tout comme. Se relaxer, méditer dans le calme, entrer dans un état modifié de conscience, laisser les images venir seules....
Je suis dans un palais absolument splendide, je n'ai jamais rien vu d'aussi beau et luxueux. Un palais de vie ou l'on se sent bien. Tout est lumineux, chaleureux, accueillant. Des fontaines, des bassins d'eau claire, des arbres et toutes sortes de plantes que je ne connais pas. Des palmiers, des fleurs odorantes partout. Ou suis je donc arrivé cette fois ci ?
Je caresse mon ventre. Mon premier réflexe est de toucher mon sexe. Ouf, je suis bien une femme. Je caresse mes petits seins. Je touche mon visage, mes cheveux. Je suis toute vêtue de blanc, avec un pantalon léger et comme une grande chemise blanche qui descend jusqu'au haut de mes cuisses. Aucun bijoux. Je souris, encore ce style garçonne qui me poursuit. Espérons que cette fois je ne souffrirais pas de vaginisme et que quelque beau garçon pourra enfin me donner du plaisir avec ma chatte que je devine bien coquine. J'ai le cœur léger et en joie, comme une envie de danser avec mes jolies babouches dorées.
Cela se précise je suis dans le palais du grand Calife Haroun Al Rashid. Je travaille dans le service littéraire de la jolie princesse Zubayda, son épouse. Notre rôle est de faire la propagande du régime mais de façon fort subtile, en racontant des histoires que le peuple aimera écouter et qu'il retiendra.
Aujourd'hui, la princesse ma chargé de raconter une histoire pour montrer la supériorité de l'Islam sur les autres religions mais de façon poétique en suggérant sans rien affirmer. Je n'ai pas d'idées. Je m'assois au bord d'un bassin. A l'intérieur, une multitude de petits poissons de toutes les couleurs.
Un beau garçon vient me voir en souriant. Un jardinier. Je l'adore. Il me fait rire. Il est toujours si joyeux et souriant. Il me sert de modèle pour certaines histoires. Rien ne semble jamais l'atteindre. Je souris. C'est comme un canard. Tout glisse sur ses plumes.
-Alors ma jolie, encore en mal d'inspiration ?
-Oui, je dois écrire un truc sur les religions et je n'ai pas d'idées.
- Regarde donc ces jolis poissons me dit Ali, c'est le nom de ce jardinier. Imagine. Les bleus sont les chrétiens les rouges les adorateurs du feu, les jaunes les juifs, les oranges, les païens grecs, et ainsi de suite. Les blancs sont les musulmans.
- Tu es génial mon Ali, que ferais je donc sans toi. Oui parler des religions par leurs couleurs. Notre Princesse devrait aimer.
- Aï je droit à une petite recompense ?
- Oui mais pas ici. Allons discrètement chez toi.
La chambre d'Ali est minuscule mais très confortable. Ce garçon a bon goût. Il baisse mon pantalon et commence par me manger la chatte. Je jouis plusieurs fois dans sa bouche. Puis il me demande de me mettre à quatre pattes sur son lit. Il sait que j'ai une chatte si étroite que sa penetration est impossible. Reste mon si joli petit cul bien bombé. Il ne s'en prive pas et me donne beaucoup de plaisir. Il est très endurant et fort bien doté. C'est un très bon amant. Je le laisse exsangue. Il n'a plus une seule goutte de sperme à me donner. J'adore être remplie par mon homme. Je ne sais pas mais cela me donne plein d'énergie.
-Bisous mon Ali chéri, je file. Je dois écrire. Bisous. A ce soir. Reprend des forces. J'aurai encore très envie de toi et de ton sexe si dur qui me defonce si bien. Bisous.
Lorsque j'arrive chez la Princesse Zubayda, celle ci m'accueille avec un sourire malicieux. Elle sait tout de mes aventures sexuelkes avec Ali. Elle compte me marier un de ces jours avec lui.
-Alors tu es encore allé chercher l'inspiration dans les jardins ?
Nous avons bien ri toutes les deux.
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Depuis que mael m'a montré des techniques pour essayer de retrouver la mémoire sur des vies anterieures, je m'amuse beaucoup et les images viennent en cascade. Mael doit être sorcier ou il a du l'être dans une ancienne vie. Tout cela n'est peut être que les fruits de l'imagination mais qu'importe puisqu'il s'agit de voyages avant tout.
Je me retrouve encore dans un corps de garçonne. Je me touche le bas ventre. J'ai bien une chatte cette fois ci. Cela me rassure. Je touche mes seins, ils sont petits et fermes, bien formés. Je touches mes fesses. Que du muscle. Elles doivent très belles et bien galbées. Je souris en pensant que mon petit cul va encore faire des ravages. Je touche mon visage. Je dois être jolie.
Je ne sais pas où je suis. Je porte une simple tunique grossière d'une seule pièce et rien dessous.
Autour de moi le paysage est à couper le souffle. De belles montagnes enneigées au loin, des forêts, un petit fleuve paisible, la mer toute proche. Je garde un troupeau de chèvres et de moutons. J'ai un gros bâton à la main.
Tiens un beau garçon vient vers moi tout sourire. Il m'apporte une gourde d'eau bien fraîche. Il est vraiment tres beau. Il me prend dans ses bras. Il cherche mes lèvres. J'ai très envie de lui.
Il me prend par la main et me conduit sous un grand arbre. L'herbe est douce et fraîche. Nous nous asseyons. Il m'embrasse encore. Me caresse les jambes, les seins. Je sens que je suis en train de m'ouvrir.
Il s'allonge sur moi. J'ecarte les jambes. Je sens son gros sexe très dur sur mon ventre chaud. Il veut me pénétrer. Il a beau essayer encore et encore, ma chatte est vraiment trop serrée. Il me fait mal. Je gémis. Il est vraiment très déçu de ne pouvoir me depuceler. Je me blotti contre lui.
Il me retourne. Caresse mes fesses. Il s'allonge à nouveau sur moi. Je sens son gros membre qui veut forcer mes reins. Je le laisse faire. Je n'ai pas mal. Même par là, je suis très serrée. Il grogne de plaisir. Je sens qu'il en a beaucoup, que sa sève monte. Il explose en moi. Il n'a pas pu se retenir. Il ressort et m'embrasse à nouveau. Il est tout rouge et tout moite.
Je suis un peu frustrée. Je n'ai pas eu ma dose de plaisir. J'attends qu'il soit parti pour me donner seule des orgasmes. Mon bourgeon est si sensible.
Le jour est en train de s'éteindre. Le ciel devient orange et violet. Il est temps de rentrer. Je sifflé les chiens pour regrouper le troupeau.
Ce n'est pas en faisant l'amour par les fesses que je risque d'avoir des enfants.
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Je me regarde devant une glace. Je me trouve fatiguée. Toute la nuit mon homme a eu envie de me labourer les reins. Je me suis donnée et j'ai hurle de plaisir bien des fois. Lui s'est endormi d'un coup. Il a ronflé. Puis juste avant l'aube, il était deja debout. Ses amis l'ont sifflé. Il sont partis pour la chasse. Mes jambes tremblent encore. Mon homme m'avait defonce le cul. J'ai la chatte trop serrée. Il ne peut pas me prendre par la. Son sexe est trop gros. Alors il a su prendre son plaisir autrement il adore mon petit cul bien bombé et bien musclé. Il se vide en moi par là. Cela nous va très bien à tous les deux. Je sais qu'il baise aussi ma servante mais je m'en moque.
Elle me donne le bain justement, me frotte le dos. Elle m'envie. Elle aimerait être à ma place pour se faire bien bourrer toutes les nuits. Elle doit se contenter de se toucher dans sa petite chambre solitaire pendant que j'enchaîne les orgzsmes en cascade. Nous partageons un homme monte comme un âne qui a besoin de se vider très souvent.
Me voilà propre et bien mise. C'est moi qui dirige le domaine. Ce matin c'est jour d'audience. Je suis assise confortablement . J'écoute les doléances de mes paysans. Je prend des décisions rapides. Je suis souvent très juste. Je suis aimée et respectée pour cela. Personne n'ose me contester. Je suis une femme très autoritaire. Mes paysans sont quasiment mes esclaves. Les récalcitrants je les fait bastonner.
Mon homme revient de la chasse. Il est grand et fort. Il mange avec ses amis. Ils parlent et boivent beaucoup. Mon homme a sommeil à présent. Une sieste s'impose.
La servante s'agenouille et dégage son membre epais. Elle le suce goulument. Il grogne. Il me demande. Je m'allonge sur le ventre. Il relève ma robe et mes jupons. Je ne porte jamais rien dessous. Il caresse mon petit cul. Je tremble. Il s'allonge sur moi et s'enfonce d'un coup. Je le laisse prendre son plaisir. Je caresse mon délicat clito si sensible. La jouissance est là. Mon petit cul se serre. Il explose en moi. Il s'endort avec son pieux planté dans mes reins. Je ne bouge plus. Il m'a cloué comme un papillon. Je m'endors moi aussi
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Wolfie est raide dingue amoureux de Maîtresse Caroline. Il n'y peut rien. Des qu'il est avec elle, il bande à mort pour elle. Il a le poil qui se hérisse, le cœur qui bat a 140, et les jambes qui flageollent. C'est con l'amour
Au début Maîtresse Caroline s'est amusé de cela. Elle a fait ce qu'elle a voulu de Wolfie, qui a tout accepté, tout subi. Les cages acier, le fouet, les canes anglaises, la chasteté imposée, les gifles, les insultes pour l'humilier, ...j'en oublie beaucoup. Plus Wolfie était raide dingue amoureux, plus il bandait pour Maîtresse Caroline et plus il morflait.
Le pire pour lui, porter une cage de chasteté, être travesti en sissy et se faire defoncer le cul à grands coups de gode ceinture. Wolfie avait en horreur de servir de poupée sexuelle .
Un soir, allez savoir pourquoi, Wolfie s'est rebelle.
Il a arraché ses vêtements de pute sissifiee. Il a hurle.
-Salope, cela fait des mois et des mois que tu te moques de mon amour, que tu m'humilies, me violentes. J'en ai marre , c'est ton tour.
Et une baffe bien sonore à sifflé. Maîtresse Caroline a vite été ligottee solidement et bâillonnee. Elle était vraiment colère.
- Tu baisses les yeux salope. Non plutôt salop. Tu mouillais de me travestir en pute sissy, ben moi je vais te travestir en mec et je vais te troncher par le cul.
Et wolfie à habillé Maîtresse Caroline en garçon. Bon il a fallu des baffes et des coups de cravaches.
- tu sais que t'es vraiment pas mal en mec. Juste je vais chercher la tondeuse et te faire la coupe qui va avec.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Adieu les longs cheveux de Maîtresse Caroline. Pas la boule à zéro mais un coupe bien courte.
- putain tu me fait vraiment bander ansi. Allez viens mon Carl, je vais te depuceler le cul. T'es en manque mon chéri. L'amour gay, c'est le top tu verras
Et Wolfie a sodomise son Carl jusqu'à plus soif. Putain le pied. Et visiblement Carl à bien mouille du cul et pris du plaisir.
- je veux être ton mec a dit Carl .
Ensemble ils ont foutu à la poubelle tous les habits de sissy et toutes les fringues de femmes de l'ex Caroline.
Wolf et Carl ont pu enfin vivre une belle histoire d'amour et de sexe ou tous les deux ont pris leur pied. Caroline avait toujours rêvé d'être un garçon et Wolf de se taper le si joli cul de Caroline.
Bref en amour, il n'y a pas de problèmes, juste que des solutions.
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Awena est une championne de MMA, c'est ainsi qu'elle a été repérée et recrutée par la redoutable milice privé Stalin du Général Valeri. Pas de place pour les mauviettes chez ces mercenaires.
Le job lui a de suite plu, sans compter qu'il est très bien payé. La politique, Mawena s'en fout. Aucun état d'âme, juste faire les jobs de façon efficace et pro. Elle est habituée aux combats de rue, aux castagne dans les bas fond de Dublin. Elle a très vite appris à se servir de toutes les armes de guerre de façon précise. Une championne la aussi.
Elle adore partir en missions. Elle se sent bien avec tous ces mercenaires qui ont leur code d'honneur bien à eux. C'est une lesbienne qui adore sodomiser d'autres femmes. C'est pour cette raison que Valeri a pensé à elle pour Mary, la femme qui possède une puce quantique greffée dans son cerveau. Un cadeau de son amant, le celebrissime Elon, l'homme le plus riche et le plus inventif au monde.
- Tu files à Chypre et tu vas devenir le mari d'une femme au cul vraiment superbe. Tu pourras la sodomiser tant que tu voudras. Elle adore jouir par là depuis que nous lui avons depucele le cul.
-Ok mon Général.
- Tu trouveras toutes les instructions dans cette pochette. Prend en bien soin. C'est la chef de la CIA, pour toute l' Ukraine.
Mawena est partie pour Chypre dans un des jets privés de la milice Stalin, qui dispose d'énormes moyens. Elle a récupéré son colis, la très belle Mary, à l'aéroport de Larnaca. Un coup de foudre immédiat. L'intuition du Général Valéri était très juste. Une envie de baiser immédiate entre les deux.
Mary aime donner son cul à son mari. Elle est sexuellement entièrement soumise à Mawena qui adore la defoncer avec son feeldoe. L'amour entre ces deux femmes est là, aussi irrésistible que leur envie permanente de baiser.
Dans les instructions, figure le fait que Mawena ne doit absolument pas prendre la chatte de Mary. C'est la propriété exclusive d'Elon. Ce dernier veut lui faire de beaux gamins. C'est son truc. Chaque multimilliardaire a ses lubies.
Valeri à prévu de faire poser des anneaux et un cadenas sur cette chatte réservée. Toutes les instructions et le matos sont aussi dans la pochette. Mawena se fait un plaisir de réaliser cela.
- T'es toute belle ma chérie avec ton cadenas de chasteté vaginale. Tu donneras les clés à ton Elon, lui seul pourras te prendre la chatte. Par contre c'est parfait, ton cul est exclusivement à moi.
-J'ai envie de me marier avec toi. Je n'ai aucun mal pour te créer une nouvelle identité comme homme avec un look andro. Comme cela on pourra élever ensemble les enfants d'Elon qui deviendront les nôtres.
- Super. Allez tournes toi. J'ai une grosse envie.
-Moi aussi. Je mouille déjà.
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