La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/09/20
Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement. Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit: -Madam j'ai envie pipi Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud. C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé. Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Par : le 30/05/20
Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur. Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux. Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait. Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin. Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air. À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ? Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas. Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées. Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait. Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui. Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne. Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire. Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître. Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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Par : le 27/05/20
-Avance pétasse, bouge ton gros cul. le fouet cingle les fesses ensanglantées d'Amélie qui se traine à quatre pattes sur des graviers, les genoux et les mains meurtris. Elle pleure. -Mais tu vas arrêter de pleurnicher la pouffiasse. Allez encore un bon coup dans le cul et file plus vite. A la niche, la chienne. Amélie se précipite dans la niche, c'est étroit, cela pue la pisse des femmes qui se sont fait dessus de peur dedans, c'est très inconfortable mais au moins elle ne risque plus le fouet. Le Maitre attache sa chaine avec un cadenas. Amélie va passer la nuit dehors, nue dans sa petite niche en bois, terrorisée, avec toutes ces petites bêtes qui se baladent la nuit. Elle n'aura droit qu'à un seau d'eau et un quignon de pain sec comme repas. -tu vas maigrir salope. Encore quelques jours et tu auras la ligne. Le Maitre rentre chez lui et se sert un bon verre de vin. Il n'a aucun problème pour dresser les femmes pour une raison simple, il n'a aucun sentiment pour elles. Ce sont des chiennes. elles doivent obéir en tout et pour tout et elles n'ont pas droit à la parole. Laisser parler une femme c'est laisser un venin se répandre. Non, deux baffes, et silence les sans pénis. La deuxième chose qui fait qu'il est un excellent dresseur c'est qu'il se fout de la chatte des femmes, de leurs culs. Aucune femme n'est jolie pour lui, c'est juste une chienne qui doit obéir et écarter sur ordres. Le Maitre entend la chienne couiner dehors. -Ta gueule la pouffiasse ou je sort avec la cane anglaise. Silence. Le Maitre peut déguster son bon vin en paix.
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Par : le 24/05/20
(Réédition du 24/05/2020 -> 06/04/2024 - 1026 Vues) . "Je me présente ; Stéphanie. Je suis une femme assez élancée et svelte (174 pour 62kg), mes cheveux sont châtains et mi longs. Actuellement dans une relation vanille qui ne me convient pas, je me sens frustrée. Je me suis pris d'excitation à exprimer mes pulsions refoulées, que je pense BDSM. J'ai envie d'en parler, de comprendre, d'être initiée, dans la confiance et la discrétion."   Depuis approximativement 1 an, certains profils particuliers fleurissent en ces lieux. Profils spécialement créés pour contrer le nombre de bannissements effectués "à la racine" par les modérateurs du site BDSM.fr (Ou la dénonciation par ses membres). Dans un esprit de clarté, ainsi que de savoir s'adapter à la "menace" de ressembler à d'autres sites payants lambda, où ces profils pilulent, et sont créés par les instigateurs/modérateurs eux mêmes, je me propose de vous l'énoncer en détails.   A qui s'adresse cet article ? Principalement, à celles et ceux pratiquant le BDSM. Le titre et le visuel de cet article favorisant la vue par des éléments masculins, sa lecture permet cependant et surtout à la gente féminine de comprendre en partie, la recrudescence des hommes "non-Dominants" sur les sites liés au BDSM. Mais qu'elle est cette technique particulière de création de profils ? Elle se passe en 3 temps ; Étape Numéro 1 : La création d'un profil de Soumis(e) évoquant un désir de s'exprimer, de dialoguer, avec une certaine évocation d'ouverture à l'autre. Ces profils sont généralement dans l'orientation sexuelle "bi" pour toucher un maximum de public. Et là où se caractérise cette technique, c'est que dans leurs premières créations de comptes, ces individus ne mettent pas de photos d'avatar, et n'ajoutent en aucun cas de membres en favoris. (Pour éviter le sus nommé bannissement d'être découvert trop vite d'une photo falsifiée/en inéquation/récupérée sur le net) Ces créations de profils peuvent se cumuler jusqu'à 5 à 10 par semaine, et sont essentiellement créés entre 23h00 et 6h00 du matin en dehors de l'affluence du site. Étape Numéro 2 : Entre 12h et 24h plus tard, ces individus ajoutent une première vague de membres (Entre 5 à 15 généralement pour la première fournée) Ce temps de déconnexion ayant servi à laisser le temps au "pingouin" de "faire une demande d'ami" ou d'écrire un commentaire sur son mur. (Les membres masculins étant "rapides" à vouloir tchatter dès la demande d'ami acceptée, c'est une autre source de communication à se trahir, se faire dénoncer et bannir. Tandis que si ceux-ci sont ajoutés en masse d'une seule fournée, cela suggère que l'on est accaparée/occupée ailleurs et que l'on ne peut répondre) Les pulsions et le noviciat se faisant, en résulte qu'il est plus facile de voir ce que l'on veut croire, et par défaut de cliquer, parce que l'on ne sait jamais. Une sensation donnant vie et matière à une "concurrence" virtuelle, et une potentialité à pouvoir être le "premier". Étape Numéro 3 : L'ajout d'une photo d'avatar la plus part du temps recadrée et l'ajout d'une "phrasette" sur leur mur ou en complément de leurs profils (Cela peut correspondre à leurs "âge", ou plus informel.) Qu'importe, du moment que cette petite touche légitime leur existence, et ne peut être affilié à un faux profil fait à la volée. Quel est l'objectif de la création de ces profils ? La fidélisation d'un public : En premier lieu, et "je vais mettre cela sur les crédits d'autres sites", ce n'est pas tant les femmes désireuses de se lancer dans le domaine du BDSM qu'intéressent les individus mal intentionnés, mais Ceux/celles capables de débourser de l'argent pour les atteindre. Et se faisant, pour fidéliser le "pingouin", il faut lui donner une voie à se dire dans sa petite tête d’écervelée qu'il/elle puisse avoir une chance ne serait ce que d'échanger avec l'une d'entre elles/lui. Car après tout, donner vie à un personnage, c'est le faire exister de par ses "faire valoir" qui l'entourent, par leurs volontés de se démarquer dans leurs mots, ou dans leurs photos. Une sensation galvanisante qui accoutumera le "pingouin" en question, qui n'aura de cesse de se connecter, ne serait-ce que par l’appât à pouvoir concrétiser du jour au lendemain. L'Utilisation frauduleuse : En deuxième lieu, l'utilisation de photos, de vidéos, voir de textes du "pingouin". Car dans son égo surdimensionné à vouloir se positionner, le "pingouin" pourra ne pas hésiter à évoquer son expérience de par ses prouesses en terme BDSM. Se donnant sous forme d'images/photos, vidéos, voir textes... Il s'en trouve qu'il est plus intéressant pour l'individu malicieux, d'obtenir de l'autre un groupe hétérogène d'éléments visuels. Pour les réutiliser dans la conception d'un profil plus complet et crédible sur un autre site, où dans l'intimité d'un échange sur une autre plateforme commune de tchat (Lorsque les choses sérieuses commencent, et qu'il faut ferrer l'animal). En clair, de par ces "donations" créer une identité, donnant l'illusion que l'on échange avec une personne qui "existe", laissant libre court à générer une égérie virtuelle. Troisième étape : Le cheminement académique des rabatteurs/rabatteuses... Soit dans un vol de données liés à des jeux en ligne, l'orientation vers des sites frauduleux lui donnant accès à vos informations etc. etc. Ou tout autant, au vue de la pression du "pingouin" à vouloir l'obtenir, des offrandes d'achats en ligne. Ce qu'il faut retenir, dans cette technique qui se démocratise, ce n'est plus le simple rabatteur en ligne qui essai de vous voler qui est à l'ordre du jour, mais le "geek" se croyant malin parmi des "pingouins", qui vous fidélise et vous oriente. (On va dire que c'est l'étape au dessus, du simple nom d'avatar crée spécialement pour faire ressortir ses commentaires et générer des "vues" vers son site, par le référencement Google :b) Dans un ordre personnel, ce genre de pratiques est facilement "contrable", déjà à savoir l'objectif de l'individu. Si ses informations d'ajouts sont visibles par toutes et tous, c'est que c'est un "faux-profil" pour toucher un maximum de public et faire jouer la concurrence (Visibilité). A contrario, pour un "faux-profil", créé par des Masochistes essentiellement Brat, ou femmes en berne... à un moment donné, elles ferment ce genre d'informations au regard du public, de peur justement d'être grillées dans leurs objectifs d'espionnage ou de foutage de gueule (Le bannissement étant pour elles, beaucoup plus préjudiciable). Quelles sont les répercussions à ce genre de pratiques ? Il n'en sort pas que du négative ou du suspicieux. Toujours dans un ordre personnel, les "pingouins" sont donc facilement identifiables, puisqu'il suffit juste de visualiser leurs listes d'amis. (L'intérêt de ce genre d'information, à proprement dit, est d'avoir un son de cloche sur les "professionnels" tous domaines confondus arpentant le site, et les "baltringues") Car maintenir ce genre de profils dans ses "amis", c'est une preuve de laxisme ou d'espérance, qui n'est pas en adéquation avec la Domination/Soumission tout du moins. Les "crises" contribuent-elles à l'expansion de ce genre de pratiques ? Assurément oui. A la base, les comportements Dominants/Sadiques et Masochistes/Débauchées ont toujours su s'exprimer clairement sur le terrain, pendant les "crises" qui ont traversés l'humanité dans son histoire, qu'elles soient guerrières, virales ou monétaires. Ce qui fait qu'entre la peur des uns, et la galvanisation d'exister et de survivre des autres, il n'y a que très peu d'intérêt à côtoyer des plateformes liés aux plaisirs ! Une perte drastique de dépendant(e)s au sexe entrainant une surabondance de "tape à l’œil" pour de nouveau fidéliser le moindre "pingouins" courant dans tous les sens. Deux vérités seront toujours à prendre en compte : L'homme sera toujours prêt à payer pour du sexe. La femme sera toujours prête à payer pour de l'amour. Et si certain(e)s s'y prennent l'idée à s'ouvrir à la prostitution virtuelle, à travers l'évocation qu'on leurs fasses des donations parce que c'est la mode, d'autres en profitent pour sortir leurs nouveaux livres romancés au possible. Le rabattage étant de le réaliser à la chaine, ces pratiques s'épanouissent sans modération (Vous saisissez le véritable sens de "sans modération" ?! :b ). Les prétendantes Soumises/Switch, sont-elles concernées par cet article ? Au vu que ces profils ont tendance à passer sous les radars des modérateurs, avoir "Un Dominant ou un ex-Dominant" s'affilier à ce genre de profils, c'est bien-sûr s'exposer à qu'il donne de ce qu'il a fait, et non sur ce qu'il est. Peut être un jour, si vous ne leur remontez pas leurs bretelles avant, que vous aurez le plaisir de faire Bien Bander des inconnus dans d'autres contrées. (Et c'est du même acabit pour les hommes se retrouvant sur des sites Bi/Gay) Ceci dit, il est très rare que les Soumises/Dominants consultent les profils de leurs Consœurs/Collègues. Et même si démocratisée actuellement, cette technique ne date pas d'hier. Inutile donc de paniquer sur mes propos, puisqu'à l'origine ce qui est invisible à vos yeux ne vous atteignaient pas par le passé, donc aucune raison que cela ne le soit également maintenant. En conclusion : Prônant la sélection naturelle, et sachant que la sociabilité étant de mise pour ne pas que l'anarchie règne, les "pingouins" sont ce qu'ils sont ; Une alimentation comme une autre. Comme les "moutons", il faut juste réduire leurs nombres sous peine de ne plus s'entendre parler, et transformer ce site spécialisé en une bétaillère de plus.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/4500/lamour-brat-lamour-fendu-en-deux -> L'Amour Brat ; L'Amour fendu en deux. https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4265/toujours-plus-vite-toujours-plus-haut -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Par : le 29/02/20
Présent sur ce site depuis quelques temps et non dénué d’expérience, j’ai été frappé de voir le nombre de candidates soumises ou novices se présentant à moi en vue d’une soumission totale, qui au moment de franchir le pas se rétractent ou s’évanouissent dans leurs fantasmes. S’il est préférable de ne pas s’engager dans une voie qui pourrait s’avérer dangereuse, le fait de devoir sortir de sa zone de confort et de lâcher prise semble à certaines parfois plus effrayant que de s’engager dans une relation qui puisse apporter un enrichissement inestimable à celles qui acceptent d’entrer dans la soumission. La soumission est avant tout un art de vivre, et n’est certainement pas juste un « jeu » pour jouer à se faire peur comme certaines personnes l’envisagent parfois ici trop souvent … Et contrairement à ce que pourraient penser ces personnes, le rôle du Dominant n’est pas nécessairement le plus confortable car c’est lui et lui seul qui tient en mains l’issue heureuse ou malheureuse de la relation, rien n’empêche en effet une soumise d’arrêter la relation à tout moment, avec ou sans justification. Ne me faites pas non plus dire ce que je n’ai pas dit, car le rôle de soumise n’est pas nécessairement toujours des plus facile ou de tout repos … loin de là, mais une bonne soumise si elle se trouve dans les mains d’un bon Maître ne devrait jamais avoir à se poser la question de savoir si ce qui lui est demandé d’accomplir est bon ou pas pour elle. Pour autant qu’il lui soit encore seulement permis de penser d’ailleurs … Le Maître attend de la soumise qu’elle se surpasse certes, mais d’un autre côté il doit faire preuve d’une imagination sans limite, faire preuve de créativité en permanence pour éviter que la relation ne s’enlise dans la répétition des mêmes faits et gestes séances après séances et que la relation finisse par tourner en rond comme c’est trop souvent le cas dans une relation de couple « vanille » après quelques mois ou quelques années … Il y a autant de relations BDSM que de couples Dominant/soumise. La relation exclusive entre un Maître et sa soumise est d’ailleurs sans doute et de loin l’exercice le plus périlleux, car il faut pouvoir amener la soumise sur le chemin long et tortueux de l’esclavage qui est l’étape ultime d’appartenance que la soumise peut être amenée à réclamer un jour à son Maître, si celui-ci l’accepte et accède à cette demande. D’un autre côté, je peux parfaitement comprendre que certaines personnes puissent se contenter d’une relation BDSM plus ponctuelle, voire virtuelle qui leur donne l’occasion de vivre plus intensément et de s’évader d’un Monde devenu trop insignifiant. Je ne dénigre d’ailleurs pas du tout les relations virtuelles car l’aspect mental de la relation BDSM peut parfois aller bien au-delà de l’aspect physique de ce type de relation. Souvent, le côté obscur plus cérébral des femmes reste pour beaucoup de Maîtres un terrain d’exploration vierge et inexploré qui réserve son lot de surprises lorsqu’on commence à s’y aventurer. Cela demande beaucoup de subtilité, doit être manié avec précaution et n’est certainement pas destiné à tout le monde. La puissance du plaisir que cela peut procurer à une soumise peut s’avérer exponentielle et va bien au-delà de toutes les contraintes physiques que l’on pourrait imaginer … Soit, pour en revenir à mon sujet de départ, si j’ai écrit ce petit billet d’humeur, c’est avant tout pour bien faire comprendre qu’avant de venir sur ce site pour se présenter en tant que novice ou soumise, il est bon d’avoir réfléchi longuement avant de savoir quelles sont les limites que l’on s’est fixées, les pratiques que l’on souhaite découvrir ou auxquelles on souhaiterait s’adonner, si l’on est prête à être choisie par un Maître ou le choisir soi-même, quel type de relation on souhaite envisager. Cette liste n’est d’ailleurs pas exhaustive, mais ce préambule me parait indispensable pour être en mesure de choisir la meilleure voie possible et éviter de faire perdre leur temps à ceux qui sont pleinement engagés dans le BDSM. Je suis aussi parfaitement conscient qu’il est peu probable qu’une novice ou une soumise qui arriverait sur ce site commencerait par lire ce que je viens d’écrire ici, mais si vous êtes un Dominant rien ne vous empêche de transmettre ce message à celle qui se présenterait à vous et si vous êtes une soumise expérimentée ou non, ou une esclave vous pouvez toujours me faire part de votre approbation ou de vos remarques, car le but de cet exercice pour moi est avant tout d’ouvrir le débat sur le fait que tout le monde a effectivement le droit de débuter dans le BDSM, mais qu’il est tout de même indispensable d’avoir pris le temps de réfléchir un peu avant, sauf peut-être pour les personnes pour qui le BDSM reste une évidence qu’elles ont toujours eu en elles. Dominotaure A lire également et aussi
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Par : le 23/02/20
Un nouveau chapitre de notre histoire préférée à ma soumise et moi-même. Cela faisait quelques semaines, mais il ne faut pas trop la gâter... Bien, nous en étions restés au moment où, après avoir été présentée aux clients de l'Académie avec les autres novices, tâtée et humiliée sur le podium devant les photographes et les yeux scrutateurs des sadiques de l'assistance, la demoiselle était emmenée. Elle se retrouva entre deux gardes, passant à travers les couloirs. Son souffle était encore haletant après la peur et le déluge de sensations. Les caresses, les regards lubriques, les parfums étouffants de la pièce, semblaient perdurer autour d'elle. Une chaleur moite montait de son corps. Les crèmes qu'on avait étalées sur sa peau semblaient dégager une aura qui mettait son corps aux aguets, sensible à chaque caresse de l'air et à chaque gémissement autour d'elle. Les scènes passaient en un éclair devant ses yeux. Une main posée à plat sur un sein à la lueur d'une flamme, qui se serrait soudain et glissait jusqu'à ce que les doigts se referment, implacablement, sur le téton. Un corps rose étalé sur un meuble, rond et ouvert, donc les courbes se tordaient, de plus en plus étirés, à mesure que chaque centimètre de peau était couvert par la cire brûlante d'une bougie. Une bouche qui glissait le long d'un phallus de métal scintillant, poussée toujours plus loin par une main gantée contre sa nuque. Des cris faisaient tressauter son cœur. Un "ah" perçant de surprise, arraché à un visage enfantin par un coup de fouet inattendu. Un gémissement long et monotone, épuisé déjà, d'une jeune fille attachée à une roue. Un râle émanant d'une sorte de masque de cuir, dont la seule ouverture était bouchée le reste du temps par le sexe des hommes qui s'en servaient. Des corps la frôlaient. Les hommes, souvent en costumes de soirée, tenant en laisse des demoiselles ou des soumises d'une autre origine, jetaient un œil cupide à ses formes en la voyant passer. Les filles ne la regardaient pas, les yeux à terre ou toutes entières concentrées sur leur tâche ou leur douleur. Les gardes l'arrêtèrent devant un meuble étrange. Celui de derrière la plaqua négligemment contre le mur, en grognant "Ne bouge pas." Sans oser bouger, elle les regarda s'affairer autour du meuble. On aurait dit une petite armoire à première vue, haute d'un peu plus d'un mètre et demi, et fermée de tous les côtés. Ils l'ouvrirent par en haut, et entreprirent d'en défaire la partie supérieure. Des petite trappes circulaires s'ouvraient, à l'avant et en bas à l'arrière. Puis ils ouvrirent le côté, et la demoiselle put en voir l'intérieur. La panique fit trembler ses jambes. Sans les sévices qu'elle avait enduré jusque là, elle aurait pris la fuite aussitôt. la partie supérieure était évidée. On voulait l'enfermer dans cette cage de bois. Et dans la partie inférieure, au niveau de son abdomen, un triangle de bois pointait vers le haut, étalant son arête sur toute la longueur du meuble. Les trous en bas étaient pour ses pieds. Ils allaient la faire s'asseoir sur cette pointe effilée. Aussitôt le côté du meuble ouvert, les gardes la prirent par les jambes et la firent chevaucher ce "cheval de bois" étroit. A l'arrière du meuble, des anneaux permettaient d'attacher ses bras. Quand ils lui firent lâcher le montant de la boîte, auquel sa main s'était agrippée par réflexe, elle n'eut plus aucun point d'appui. Ses genoux tombèrent sur les côtés du triangle, et son entrejambe s'enfonça contre l'arête effilée. La douleur monta d'un coup. Comme si on était en train de la couper en deux par en bas. Mais son gémissement à peine commencé fut étranglé. Un des gardes profita de ce que sa bouche était ouverte et y enfourna un godemiché noir. Il attrapa son cou et tira son visage en avant, pour visser ce bâillon infernal à l'avant de la machine. Enfin, l'autre garde appuya sur son dos, poussant son corps en avant. L'arête du triangle écrasa contre elle une de ses lèvres intimes, et les pleurs jaillirent de ses yeux. L'autre garde s'était baissé, et ajusta les trappes à l'avant du meuble. Les yeux de la demoiselle se baissèrent sur le spectacle obscène de ses seins, comprimés et poussés en avant par l'impitoyable machine, qui ressortaient du meuble comme deux globes de chair désincarnés. Après avoir ajusté une planche du meuble pour pousser sa poitrine le plus avant possible, le garde derrière elle s'approcha de son oreille et murmura "Pas de douceur pour toi par en dessous ce soir. On protège vos parties intimes, pour nos clients les plus "select". Ouvre grand les yeux, et profite du spectacle. Tu vas voir ce qui t'attend. Et un conseil: oublie la douleur. Ce n'est rien à côté de ce que tu vas connaître..." Quand ils furent partis, un calme de purgatoire s'abattit sur la demoiselle. La douleur dans son entrejambe commença par monter jusqu'à devenir intolérable. Tout son corps était tendu, accroché à cette arête qui broyait sa peau la plus tendre sous son propre poids Elle entra dans une sorte de transe, d'où elle se réveillait par a-coups, dans de nouvelles crises de douleur ou quand le godemiché dans sa bouche la faisait s'étrangler. Le monde autour d'elle semblait bouger au ralenti, flou, dans ce temps qui n'avançait plus, qui n'était qu'abandon à la douleur et vulnérabilité totale. Soudain, une sensation nouvelle s'empara d'elle. Ses yeux qui s'étaient à demi-fermés s'ouvrirent grand. Une main s'était posée sur ses seins Un homme se tenait devant elle. De sa position, elle devait lever les yeux pour voir son visage. Il ne la regardait pas. Il parlait avec quelqu'un d'autre qu'elle ne pouvait pas voir. A côté de lui, à genoux, une jeune fille attendait. Elle avait la peau mate, et des yeux verts tellement brillants que la demoiselle en oublia sa douleur. Elle avait rarement vu une jeune femme aussi belle. Les courbes de son corps étaient à peine visibles dans la pénombre, mais la grâce de ses mouvements, même les plus discrets, était ensorceleuse. Un bruit près de son corps rappela à elle la pauvre prisonnière dans sa boîte infernale. L'homme ouvrait sa braguette. Aussitôt, le visage aux yeux verts s'avança, et une langue lascive en sortit, baignant de salive le sexe déjà en érection du maître. Ce ballet, ce va et vient de la langue sur ce membre qu'elle ne percevait que du coin de l’œil - son visage était fixé à la boîte par le godemiché - semblaient surréels pour la demoiselle. Que faisaient-ils devant elle, ainsi? Dans le brouillard de douleur et de fatigue qui la tenait, son esprit ne parvenait pas à comprendre cette cérémonie étrange, qui semblait détachée entièrement du reste de la soirée. Puis les bras de la jeune femme montèrent le long du meuble, et ses mains s'arrêtèrent sur les deux seins qui en ressortaient. La demoiselle sentit les doigts serrer, tirer, malaxer. Entre ses deux seins, doucement, monta le sexe de cet homme. La jeune femme aux yeux verts le masturbait avec ce jouet humain, ces mamelles sans corps sorties de la boîte comme par magie. Sans les voir, le visage toujours fixé en avant, la demoiselle put sentir les doigts, le membre qui se gonflait de plus en plus dans les plis de sa chair, les caresses que lui administrait la savante et habile esclave Elle sentit se tendre le pénis, les mouvements se firent de plus en plus rapides. Les boules de l'homme frappaient à présent le bas de ses seins. Puis un bruit sourd. Le bras de l'homme s'était baissé d'un coup, frappant le visage aux yeux verts d'une claque violente. "Assez!" L'homme, toujours sans la regarder, passa la main sur son sexe puis essuya la salive de son esclave sur les cheveux de la demoiselle Puis il repartit, entraînant avec lui la jeune femme à quatre pattes, dont le corps serpenta le long de la salle, ses hanches se soulevant et s'abaissant de nouveau comme le mouvement d'une vague qui se perdait dans la tempête de l'orgie. Les yeux de la demoiselle se fermèrent, ses forces l'avaient lâchée. La douleur, le bruit autour d'elle, tout ne fut plus qu'un long demi-sommeil maladif. Bercé parfois par la lueur mystérieuse, lointaine, de deux yeux verts. Voilà pour cette fois. N'hésitez pas si vous avez quelques idées à rajouter pour la suite. Je suis preneur, mon imagination se nourrit de tout. Et bien entendu, je réitère, ne refaites pas ça chez vous. A moins d'être vraiment un ébéniste de génie! ;)
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Par : le 30/11/19
[Aux lecteurs de passage, je souhaite partager avec vous, et sur les conseil de mon Maître adoré, quelques brides de textes que je lui ai expédié. Une façon pour moi de lui rendre hommage ici] I - LE COLIS " Bonjour à vous Monsieur, Votre soumise swann, en mode agent secret ce midi, a pu enfin récupérer son coquin colis, sous le regard pantois des nombreux clients de ce bistrot de campagne, occupés à prendre l’apéritif à cet heure propice… S’ils savaient… Est-ce qu'un seul d'entre eux peut imaginer ce qui ce cache sous mes airs de mère de famille très sage ? Vous me connaissez assez pour savoir que je n’ai évidemment pas pu résister à l’envie d’ouvrir discrètement le petit carton sans plus attendre : un plug, une combinaison en vinyle et une cagoule de la même matière. Je suis donc repassée chez moi, sachant qu’il n’y avait personne… ce qui m’a permis de faire mes essayages très tranquillement. Quelle belle salope je suis ! Je suis fière et heureuse de porter la tenue que vous avez spécialement choisi pour moi. Je m'y sens à l'aise, prête à vous servir de la sorte. Le retour au travail fut assez étrange. La swann n’était pas très concentrée…totalement déconnectée même ! Je n’ai donc pas eu le temps de déjeuner ce midi, mais si mon estomac est vide, c’est mon cul que j’ai bien envie de remplir de mon nouveau jouet : le robebud noir. Il me fait terriblement envie… j’aimerais beaucoup l’essayer. Sa texture est juste démentielle, semblable a de la peau très douce. Sa forme et ses dimensions sont parfaites, telles que je les imaginais. Quand on l’agite, on peut sentir une lourde bille se mouvoir à l’intérieur…Je suis curieuse de savoir quelles sensations cela pourrait me procurer au plus profond de moi… Voilà un outil idéal que je ne vous remercierais jamais assez d’avoir choisi avec moi. Je rêve du jour où vous me baiserez avec ce plug en place entre mes fesses…" II - EXHIBITION INVOLONTAIRE "Savez-vous qu'hier, après ma journée de travail, et avant de me rendre à la salle de sport, je suis allée dans mon institut/spa habituel pour mes épilations ? J'aime mes douces séances de "torture" comme je les appelle... C'est la jeune Aurore qui s'occupe de ma petite toison... C'est une brune aux cheveux longs, douce, pulpeuse avec une belle poitrine opulente et des lèvres bien dessinées. Elle me fait écarter grand les jambes en toute indécence,  passe du talque sur mes petites lèvres puis l'étale doucement avec ses mains, frôlant mon clitoris au passage, avant d'appliquer la cire chaude. Quand elle se penche au dessus de moi, je peux parfois sentir ses seins lourds me frôler...c'est une sensation très agréable, qui me fait oublier la douleur quand elle tire sur chaque bande de cire. Le meilleure moment est à la fin, quand elle a terminé, elle applique une huile apaisante en me massant...c'est très sensuel. Après ma séance, je me suis rendue comme d'habitude au vestiaire pour prendre une douche...et là, au moment de déverrouiller et d'ouvrir la porte, j'entends un drôle de bruit au niveau de la poignée et le verrou qui tourne dans le vide. Bon, pas de panique, je me dis que j'ai du faire une fausse manipulation, je garde mon calme et tente d'ouvrir à nouveau...sans succès. J'appelle pour voir si quelqu'un peut m'aider, mais il est près de 19h et il n'y a plus personne dans les parages. Par chance, j'avais emporté mon téléphone avec moi dans l'idée de faire un petit selfie. J'ai donc téléphoné à l'accueil de l'institut. Je suis tombée sur le patron, H.. C'est un homme de 45/50 ans, de ma taille (1m75), un brun ténébreux, chemise blanche toujours impeccable. C'est une personne souriante, avenante et aussi un homme attirant, ce qui ne gâche rien. Il été désolé, voire gêné, de la situation et m'a dit qu'il restait en ligne avec moi pour ne pas que je me sente délaissée, ce que j'ai apprécié. J'ai plaisanté en lui disant que je n'étais pas claustrophobe. Il a été se munir de tourne-visses et je l'ai entendu bricoler au barillet pour le démonter. Cela a pris un certain temps quand même...en tous cas ça m'a semblé long. J'ai eu peur un instant qu'il ne réussisse pas à résoudre la situation ! Durant tout ce temps, il n'a cessé de me parler (il a un casque pour répondre au téléphone à l'accueil, ce qui lui laisse les mains libres) pour me rassurer et me dire où il en était et en faisant de l'humour pour détendre l'atmosphère. Quand il a enfin réussi à ouvrir la porte, il m'a trouvé planté devant lui, une serviette blanche enroulée autour de mon buste, jusqu'à mi-cuisses et j'ai vu un éclair de malice passer dans son regard, qui m'a scanné de haut en bas. Il s'attendait peut-être à me trouver habillée, mais je ne prends pas mes vêtements avec moi dans la cabine de douche pour ne pas les mouiller. Il a vu que son regard insistant ne me gênait pas du tout, que cela ne me déstabilisait pas et que je le regardais droit dans les yeux. J'avoue qu'à ce moment là, de lubriques envies de salope me sont soudainement passées par la tête. La situation aurait peut-être pu déraper... j'aime à le penser en tous cas ! Je l'ai remercié évidemment en l'appelant "mon sauveur" en plaisantant, avant d'aller me rhabiller. Au moment de régler en caisse, il m'a glissé un compliment sympa, ce qui m'a flatté. J'ai beaucoup pensé à mon Maître qui aurait été, je l'espère, fière de moi et de mon exhibition involontaire. Le patron m'a offert la prestation pour se faire pardonner de ce petit désagrément. Sympathique moment, non ?"  III - AU BUREAU "Ce matin au bureau, j'ai vécu un petit moment plutôt émoustillant que je souhaite partager avec vous Monsieur...  Cela concerne une de mes collègues, une jeune femme que je trouve très séduisante, toujours très féminine et apprêtée. Elle a un beau visage expressif, les traits fins, ce qui lui donne beaucoup d'élégance. Je me suis retrouvé avec elle dans le local de reprographie. Elle était en train de s'agacer avec la machine. Je l'ai évidemment aidé à faire ce qu'elle voulait en bonne collègue sympa que je suis ! Puis tout à coup, sans que je m'y attende, elle à relevé sa robe jusqu'en haut de sa cuisse droite, en soulevant son pied du sol et tendant la jambe, m'interpellant avec un grand sourire :  -"As-tu vu mes nouveaux collants, ils sont beaux hein ?". Elle m'avait littéralement scotché et bien évidemment mes yeux se sont posés là où elle le souhaitait. Elle m'a donné a observer des collants opaques noirs jusqu'à mi-cuisse et plus haut la matière est différente, en voile fin, ce qui fait un effet de bas en trompe l’œil tout à fait réussi !  Je lui ai dit, en répondant à son sourire, que c'était très sexy et vraiment très joli, qu'elle le portait très bien. D'un petit air coquin elle me lance - "oui, tu as vu ça comme c'est sexy, j'adore !"...et ensuite elle m'a expliqué où elle les avaient eu et à quel prix. Voilà qui égayé ma journée ! Pour autant je pense qu'il ne faut pas y voir là autre chose qu'une femme naïve aux gestes innocents. Elle devait être vraiment fière de son acquisition voilà tout. C'est mon esprit mal placé qui a tendance à voir la malice là où il n'y en a pas... quoique... sourires…" J'embrasse mon convoité Maître comme il se doit Votre dévouée swann [photos perso]
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Par : le 02/11/19
(Réédition du 02/11/2019 -> 31/03/2024 - 1394 Vues) . Avoir Des Soumises, c'est avoir Des Femmes qui se portent l'une l'autre, et non qui se supportent. Ce n'est pas tant l'importance de leurs désirs à s'aimer, mais à se fondre dans leurs vulnérabilités durement acquise. La vision d'une sensualité qui ondule, apte à vous bercer et rendre l'horizon plus clair et serein. Des sirènes le vent en poupe, vous dans leur sillage, seul Maître à bord et à la barre. Avec comme profond plaisir, l'ivresse de dompter des nymphes, furies des mères et des "o", avec comme seule frustration, de ne pouvoir nager en leur compagnie, car ce bien-être leurs sont réservées. Une célébration de la vie, où l'homme pour une fois, en est le vaisseau et l'instigateur.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 03/10/19
cul soumis d’anne voici le cul d’anne transformé en bonne salope de soumise pour le plus grand plaisir de son homme elle exhibe sur l’ordre de ces maîtres son cul bien dilaté par les nombreux visiteurs très excités par ces nouvelles décorations, surtout par ces deux anneaux à l’anus . idée originale qui m’a été demandé par un des admirateurs des prestations d’anne pour un nouveau dessin bien hot que voici pour en savoir plus sur anne exhibée par son homme ,voir mon site http://dessindenu.onlc.fr/
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Par : le 23/09/19
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues) . Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes. Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! : -> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido.. -> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter. -> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens. Et tout s'avère possible ! Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue : 01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité. Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être. Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ? Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239 02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres. Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM. 03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ? Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre. Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience. Bon séjour sur le site !   *Trait d'humour caché dans le titre de cet article. Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.  
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Par : le 29/04/19
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues) . Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".   Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.   Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante. Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.   A quoi reconnait-on une "Brat" ? -----------------------------------------   Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues... Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation. Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.   Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement. Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.   Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé. La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer. Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence. Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu. Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience. Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.     Par quoi une "Brat" est elle attirée ? -------------------------------------------   Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci. Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger. Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.   La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :   - Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face. - Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne. - L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.     Que fait fuir une "Brat" ? -------------------------------   Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite, comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant. Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.     L'excitation compulsive d'une "Brat" ---------------------------------------------   Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée. Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.   Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ? Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.   Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.   La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.     En conclusion ? --------------------   Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.   Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004) marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille. L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.   https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I   (Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")     A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat". Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.   Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.   Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles. Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...   Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice. Cette liberté qui n'aura jamais de destination.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 11/02/19
J'étais à genoux dans cette chambre, qui avait vue tant d'ébats et où je m'étais soumise à mon Maître pour son plaisir. J'étais offerte à mon Maître une nouvelle fois. Offerte de tout mon corps et de toute mon âme à ses moindres attentes, à ses moindres ordres. J'entendis la porte s'ouvrir puis se refermer tout aussi rapidement. Il se mit devant moi mais je ne pouvais voir que ses pieds. Je sentais sur moi ce regard intense qu'il m'adressait et qui me perçait tout au fond de mon être. Je sentais à la fois un regard inspecteur et autoritaire qui me faisait frissonner mais aussi cette chaleur intense liée à son désir de me dominer et d'abuser de tout mon être. Il me caressait la tête, satisfait de ce qu'il voyait et je savais que la séance pouvait bien commencer. "Je t'ai préparé un petit jeu ma belle. Tout d'abord je vais insérer un ballon anal ainsi que ce petit jouet vibrant dans tes deux chauds orifices. Ils seront au niveau minimum. Assez pour que tu les sentent bien mais pas trop sinon le jeu se terminerait trop rapidement." "Aujourd'hui j'ai envie que tu me satisfasses avec ta jolie et douce bouche. Mais je ne contenterai pas d'une fellation simple que tu sais très bien faire. Je voudrais que l'on travaille une gorge profonde. Ainsi tu vas travailler ta respiration et tous les muscles que tu peux mettre à ma disposition pour mon plaisir." "Si je sens que tu n'es pas concentré ou que tu essayes de te dérober à l’exercice j'augmente le volume de mes deux jouets. Si tu travailles bien, je te prendrais et nous satisferait tous les deux. Si ce n'est pas le cas et que je suis déçu de ta performance, je me libèrerais sur ton visage. Puis je t'attacherai sur le lit bras et jambes écartées avec le vibro au minimum pour maintenir ton état d'excitation. Tu resteras dans cette position le temps que je jugerai nécessaire pour ta punition." Tout au long de son explication il m'avait caressé la tête et j'avais docilement écouté et enregistré chacune de ses paroles. "M'as-tu bien compris ? dit-il en arrêtant ses caresses. "Oui Monsieur" ....
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