On est tous ici dans une forme de consensus (en un mot) pour obtenir qq chose que l'on désire , les uns soumission, les autres domination, pour cela et à plus forte raison parce que nous nous trouvons dans un milieu "virtuel"- du moins pour ce qui est de faire connaissance - nous nous mettons sous notre meilleur jour dans un but de "séduction" de fait il peut y avoir manipulation mais des deux côtés , souvent on dit "on ne sait pas trop qui du maître ou de l'esclave est le maître" ici on pourrait dire "lequel des 2 est le plus manipulateur ?"
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Bonjour , je l'ai déjà exprimé j'ai du mal avec ce côté un jour maître un jour soumis , je rejoindrai la position de Tindalos (quoique de mon côté débutant) dans une relation D/S il y a dominant et soumis , bien sùr cette relation évolue au fil du temps avec les "apports" et concessions des deux partis. Le Switch en informatique est un commutateur qui permet de connecter des réseaux différents ensemble, il marche dans les deux sens et c'est aussi ce que je retiens lorsqu'une personne me dit qu'elle est switch, comment faire évoluer une relation dans le sens D/S si un jour l'un est D l'autre S, le lendemain les deux sont D , un autre jour les deux seront S , puis éventuellement à la fin de la semaine le S sera devenu D et le D devenu S ?
Mais personne ne parle d'intelligence, de culture, d'humour, d'empathie, de sens de l'écoute...?...
Encore !... Encore !... Tu vas en souffrir et en jouir encore ! dit le Maître... 😊
La question me semble essentielle.
Je ne l'envisage que dans le cadre d'une relation régulière - avec ou sans vie commune.
Il ne s'agit pas ici de connaître les motivations personnelles, psychologiques ou sexuelles de la soumise. Mais de savoir ce qui chez le Maître lui confère cette autorité...
Expérience ? Sagesse ? Charisme ?...
L'humiliation est un mot. Et chacun peut y mettre ce qu'il veut dedans.
Un simple sourire peut être humiliant. Donner un pourboire à qui n'en attend pas... Etc.
L'humiliation fait partie du vocabulaire du BDSM. Comme éducation, dressage, novice... Tout ça est du folklore...
Humiliation : il s'agit de rabaisser l'autre en le blessant psychologiquement... Mettre une grosse devant un miroir en lui disant : regarde comme tu es grosse... Ça n'est évidemment pas du BDSM ! Juste de la méchanceté...
Il n'y a donc pas de véritable humiliation en BDSM.
Le but n'est pas de "casser" l'autre ni de le blesser, même lors de moments particulièrement trashs ou hards, mais bien de mutuellement s'exciter, jouir, s'épanouir en niquant la morale... boire un coup... et en rire !
Je découvre par hasard tardivement ce récit.
Ce récit est factuel.
Sylva éprouve-t-elle, manifeste-t-elle du plaisir ? Jouit-elle ?
Les hommes jouissent-ils ? Où, quand, combien de fois ?...
Il faut toujours saisir le fondement... ;)
Hegel, La Boétie... On ne parle bien sûr que de servitude volontaire...
L'accord de la mort qui tue^^.
On écrit pas "Bon nombre de Dominas aimENT" mais aimE puisque l'on parle du nombre et pas des Dominas.
Putain la honte :relaxed:
Merci du retour,
J'ai déjà pensé à la cache. Quand la cage ne sera pas utilisée, elle sera, pliée, derrière une de mes armoires. J'ai trop hâte de la recevoir; Ma soumise, un peu moins^^.
Bonsoir mon très cher Ami,
Comme tu l'as, je crois, deviné, ma chérie est devenue ma Dresseuse et bon, je vais pas te faire un dessin quoi:smile:
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C'est très imagé en effet ..... :-)
Bonsoir
Je ne sais pas si je fais avancer les choses. Mais il pourrait être utile de lui donner "l'ordre" de s'occuper d'elle, et que c'est CA qui vous fait plaisir.
(mon ancien Dom m'obligeait à faire des squats, chose que je n'aurai pas fait pour moi. Mais, pour lui, pas de problème, mission acceptée ! :-) )
C'est un échange de pouvoirs, elle vous donne le pouvoir sur elle.
Donc ..... voyez si vous avez envie de l'aider à "revenir vers elle".
Ce qui pourrait vous contenter tous les deux. Elle, car elle voit votre plaisir.. Et vous, car vous retrouvez une épouse autonome.
J'espère avoir aidé.
Bonjour à tous,
En guise de réponse, je livre ici mon témoignage qui, je vous préviens, ne propose aucune solution :
J’ai la soixantaine, j’ai toujours eu des fantasmes de domination, mais pour diverses raisons, éducation, timidité maladive, manque de courage aussi certainement, je n’ai jamais osé franchir le pas et vivre une sexualité épanouie. Ma femme est vanille, et il m’a fallu plusieurs années pour oser lui en parler.
Nos échanges ont évolué, la communication est établie, mais elle avance difficilement. Non pas que nous soyons en conflit, mais parce que les mots n’ont pas le même sens.
Si je lui explique que la soumise trouve son plaisir dans le plaisir de l’autre, elle me répond que c’est exactement ce qu’elle pense, et qu’elle éprouve du plaisir à m’en donner. Ce sont les mêmes mots, mais on ne parle pas de la même chose, et je ne sais pas comment le lui expliquer. Au-delà des mots, c’est du ressenti, et ce n’est pas facile à faire comprendre.
Elle me propose parfois d’essayer. Nous l’avons fait une ou deux fois, mais cela ne s’est pas déroulé comme prévu. Si avant la séance, je me réjouis de pouvoir enfin me laisser aller à ressentir le plaisir que peut procurer la toute-puissance, dès la première minute, dès le premier ordre donné, je sens qu’elle n’est pas du tout dans ce jeu très sérieux qu’est la domination-soumission. Nous ne sommes pas du tout dans le même univers. D’un côté, j’en éprouve une grande frustration, et en même temps, ses efforts « maladroits » sont tellement émouvants que, pris d’une infinie reconnaissance, je lui fais le cadeau d’un moment de tendresse et de plaisir rien que pour elle, (même si j’en éprouve aussi du plaisir).
Au final, le loup alpha maître absolu de sa femelle s’est transformé en amoureux transi. Nous avons certes passé tous les deux un très beau moment, mais il me reste de la frustration.
C'est dommage qu'il n'y ait pas de suivi .à ce sujet ,pourtant fort intéressant.