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Lady Spencer
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Je viens de boire très frais, @Tindalos, ça fait un bien fou ! Moi, il y a plusieurs choses que je relève dans tout ça : d'abord cette constante montée en pression dès que les reponses ou les commentaires déplaisent à certains-es. Les divergences d'opinion servent toujours au débat, de quelque nature que ce soit, et si vous n'en êtes pas persuadés, ne vous étonnez pas ensuite, de ne pas avoir de réponses à vos interrogations. De plus, Cyrus dsl,  insulter Sylvie 35 (si si, vous écrivez : "de quoi vous vous mélez , relisez tout avant de sortir votre connerie") est primaire, irrespectueux et surtout, injustifié d'autant qu'elle vous répondait de façon plutôt sympa. Elle se mêle d'une discussion ouverte, c'est son droit, comme c'est le mien ici, de réagir aussi à vos poils hérissés. Votre droit à ne pas être d'accord ne vous autorise nullement à injurier qui que ce soit. Ensuite, le texte de loi sur l'interdiction de maltraitance par colliers électriques,étrangleurs, à pointes, torcatus, anti-aboiements-fugues..... a été adopté par l'Assemblée Nationale à 2 lectures, en janvier 2023 puis par le Sénat qques jours plus tard. En revanche, elle ne semble pas encore passée au Journal Officiel : si qqun a plus d'infos .... Mais surtout, en revenant au BDSM, je suis curieuse de savoir ce qui motive votre envie de poser un collier électrique à votre esclave, 50nuancesdefolie :  et pourquoi un collier plutôt qu'une Mystim avec électrodes, par exemple ? Merci pour votre commentaire
50nuancesdefolies
.Posté dans collier electrique
bonjour, la raison et simple pour notre plaisir et parce que un collier electrique na pas la meme utilisation qu une Mystim avec electrode. ensuite pour nos chere deffenseur de nos amis les chien n'ayer crainte je n 'en ai pas et ce n 'etai pas question! se post etai fait pour qu'on puisse m orienté sur quoi acheter voyant un peut de tout et tout prix ne voulant pas acheter n importe quoi deja pour la securité et santé de mon esclave donc que certain soit pour ou contre se genre d 'accesoir libre a chacun je ne rentrerai meme pas dans un debat moi sa m 'atire sa m 'intersse j ai demander conseil pour pas acheter n importe quoi chose que cyrus que je remercie a gentillement fait pour m orienté dans mon choix de model sans danger pour l humain. 
Bonjour pour ma part je pensse que cela est une exellente question je pencherai assez aussi sur ce genre de collier pour le coté dressage et respect  prendre un collier avec differente intensité réglabe est le premier choix je pense
gappap
.Posté dans collier electrique
  Bonjour Lady Spenser, petite note pour vous dire que oui, la loi a bien été passé au journal officiel.   C'est l'utilisation et la publicité qui est en faite interdite. Pas l'acquisition.... Me demandez pas pourquoi, c'est tres Francais de pondre des lois sans queue ni tete :unamused:
M81
.Posté dans collier electrique
Nous en avons essayé deux. Ils donnaient des sensations un peu différentes. Ils avaient pour point commun de provoquer un fort assèchement de la peau autour des points de contact des électrodes. Quand nous avons appris qu'une utilisation trop fréquente, ou trop longue, ou a trop grande puissance, pouvait provoquer de gros dégats sur la peau, mon dominant a décidé de les renvoyer.
Tindalos
.Posté dans collier electrique
On se calme et on boit frais... Chut, ça va aller, montrez nous donc sur la poupée où les vilains forumeurs vous ont blessé...
La peste :Cher cousin permettez moi de vous dire que vous avez fier allure dans cette position (dit elle en rigolant). Voire votre tête entre les fesses de cette domestique est un véritable délice pour mes yeux.   Cette chère Amélie, experte en sarcasme, qui pense avec une pointe d'ironie avoir humilié son cousin en le mettant à genoux derrière une domestique.   Ma chère il vous reste beaucoup de chose à apprendre sur l'homme et ses petits plaisirs inavouable. En faisant cela, vous avez offert à mes sens une explosion de sensations et de saveurs qui ont mis en émoi ma personne.   Se dresse devant moi la plus jolie chose que mes yeux aient jamais eu la chance de contempler depuis le premier jour de ma vie. Le tableau idyllique que je contemple avec gourmandise et avidité renvoie la Joconde de Da Vinci à un tableau dépourvue de toutes saveurs.   En effet, la position naturelle adoptée par la domestique crée un paysage d'une beauté exceptionnelle, cette jupe relevée et uniquement maintenue par les mains de celle-ci.   Comment ne pas être captivé par les formes sensuelles de cette lune ? Comment résister à cette harmonie de couleurs qui se superposent, créant ainsi une véritable symphonie visuelle ?   Et cette chaleur délicate que mes joues ont ressentie au contact de cette peau si douce et ravissante. Tel un écrin jalousement gardé, cette sensation qui m'est involontairement offerte éveille en moi une multitude de sentiments qui m'étaient encore inconnus.   Jusqu'à présent, ma connaissance des fragrances féminines se limitait aux parfums qui les habillent. Jamais je n'avais eu la chance ni le plaisir de découvrir l'essence la plus intime qu'elles peuvent offrir à celles et ceux qui ont eu le privilège de les connaître. Cependant, ma cousine, dans sa volonté de m'humilier, m'a offert cette opportunité et je suis véritablement charmé par cette découverte.   Je dois admettre, chère cousine, que l'allure à laquelle vous faites référence a autant d'importance à mes yeux que le dernier bijou ou vêtement que vous vous êtes offert. Il est évident que ma cousine était légèrement contrariée par le résultat de son expérience. Je suis pleinement conscient des raisons pour lesquelles elle a cherché à me mettre dans cette situation. Elle a voulu ce venger de l'audace que j'avais eue à son encontre quelques années auparavant. J'avais osé la défier en intervenant devant cette même domestique, interrompant ainsi la fessée que cette dernière était en train de recevoir de la main de ma tante. J'avais également osé mettre en évidence ses propres contradictions, ce qui avait entraîné une punition qu'elle avait jugée sévère et humiliante pour une personne de son statut. J'avais également osé mettre en évidence ses propres contradictions, ce qui avait entraîné une punition qu'elle avait jugée sévère et humiliante pour une personne de son rang. Il est vrai que réciter quelques pater et ave maria est bien plus humiliant que de montrer ses fesses nues à un auditoire. Il semble presque certain que ma cousine aurait éprouvé une grande satisfaction si j'avais été choqué de me retrouver dans une telle situation, avec ma tête entre les fesses d'une domestique. Il est important de comprendre que nous n'avons pas le même statut social et qu'il est inconcevable que ce genre de scénario se produise en dehors d'une situation humiliante. Amélie : Alex relève toi, quant à vous autres reculottez vous et reprenez le travail. Je me relève avec regret, et contrairement à ce qu'elle aurait imaginé, je suis aux anges, voire même en extase. En tant qu'homme galant que je suis, je me fais un devoir de remercier chaleureusement ma cousine pour cette expérience unique et inattendue. Moi (avec un immense sourire) : chère cousine je dois, quand même, vous remercier pour ce magnifique cadeau de bienvenu que vous venez de m'offrir.   Taquin ? Moi non, qu'est ce qui vous fait dire cela ? Bon je dois reconnaître que la savoir déçue et vexée est un véritable délice que je déguste avec plaisir et délectation.   Et cette déception est à l'image de mon érection, immense, dur et visible, tellement visible que ma cousine va s'accrocher à cette « branche » pour lancer une nouvelle pique à mon égard.   Amélie : nous pouvons, en effet, tous voir que ce « cadeau » t'a plus. Il semblerait que les fesses de Maureen est réveillé ta virilité cher cousin.   Tous les regards se tournent vers moi, regard dirigé vers ma queue. Bien que je sois flatté par cette attention, je me sens un peu gêné face à cette situation. Maureen et les autres personnes sont toujours présentes dans la pièce, observant la scène.   Moi : que veut tu chère cousine, je suis un homme sensible à tous les plaisirs que la vie peut lui offrir et vous y avez contribué et je t'en suis reconnaissant.   Ma cousine fut coupé dans sa tentative de réponse par ma tante, celle ci nous intima l'ordre d’arrêter nos échanges « d'amabilités ». Boudeuse devant cet affront ma cousine quitta la pièce et, d'avance, je sais qu'elle va chercher et sûrement trouver un moyen de me faire payer cette nouvelle offense. Ma tante demanda à Maureen de m'escorter vers mes quartiers et exige de sa part qu'elle satisfasse tous mes besoins sans exceptions. Je dois dire que cette dernière demande marque mon esprit et ma curiosité, a quelles besoins fait elle référence. Elle acquiesce et me demande de la suivre, une fois seul sur le chemin de mes quartier, je ne peut retenir ma curiosité et je lui pose LA question qui me brûle les lèvres   Moi : que voulait dire ma tante en évoquant le fait de satisfaire mes besoins ?   Maureen : (En rigolant de bon cœur) Monsieur me fait marcher ?   Moi : Non du tout, je ne vois pas ce qu'a voulu dire ma tante avec le « satisfaire mes besoins » Maureen :Simple, elle me demande vous faire jouir Monsieur Vue le grand sourire qu'elle a sur le visage, je peut en déduire que la rougeur ayant pris possession de mon visage était visible. Nous sommes devant la porte de ma chambre, elle l'ouvre et nous entrons l'un après l'autre. Dans la chambre je peut voir que mes affaires y sont déjà, elle le voit aussi.   Maureen : vos affaires sont déjà la, personne ne viendra nous déranger. Que préférez vous ?   Moi : Pardon ?   Maureen : je dois vous faire jouir et le temps nous ait compté, le déjeuné sera servi d'ici 45 minutes et je suis chargée de l'office, donc si Monsieur peut me dire ce qui le fait bander cela me serait utile.   Voyant mon regard rouge et surpris, je dois dire que je ne m'attendais pas du tout à cela, je me demande même où je suis tombé, je suis loin de ce qui ce passait ici dans mes souvenirs.   Maureen : bon je sais que mes fesses vous plaise voulez vous vous déshabiller et vous allonger sur le lit que je puisse poser mon cul nue sur votre visage, je pourrais ainsi vous branler par la même occasion.   Je ne réagis pas, toujours surpris de cette situation   Maureen : ah moins que vous ne préfériez que je soulève, une nouvelle fois, l’arrière de ma jupe pour que vous vous branliez en matant mon cul.   Toujours aucune réponse de ma part   Maureen : vous ne m'aidez pas Monsieur, dois je appeler votre cousine pour qu'elle vous déculotte et vous fesse pour vous faire réagir ? À moins que vous n'aspiriez à autre chose notamment me fesser pour avoir oser suggéré d'être corrigé par votre cousine ?   Commençant, enfin a réagir   Moi : heu...non, enfin, on va rester sur votre première suggestion, même si l'idée de vous fesser me plaît beaucoup et je me ferai une joie de vous tanner le cul.   Maureen : si Monsieur veut bien se donner la peine de se déshabiller et de s'allonger sur le lit que je puisse remplir mon office.   Ainsi ce chapitre ce termine avec les fesses de Maureen sur le visage d'un Alex tutoyant les anges du 7eme ciel.   Dans le prochain chapitre, auront nous droit au déjeuner (déjeuner qui va offrir un rebondissement inattendu au manoir) ? Est ce qu'Amélie va entrer dans la chambre pendant l'échange de plaisir entre Maureen et Alex ?
Dire que mon retour au château de ma tante fut différent de ce qui était prévu.   Fin mars ma tante m'a proposé de venir passer le premier week-end de mai au château et l'idée de flâner dans le parc me plaisait beaucoup. J'ai le souvenir d'une immense forêt dans laquelle j'aimais me balader. Je repense à ce vieux tronc d'arbre sur lequel j'aimais m’asseoir et rester durant des heures à écouter ses doux murmures tout en dégustant avec plaisir les différentes essences qu'elle m'offrait, la sensation du temps qui se fige était bien présent, malheureusement comme toute bonne chose, celle ci a une fin et l'obligation de rentrer au château m'imposait de quitter cet endroit merveilleux, même si, en consolation, je devais traverser les jardins à la française du parc et je dois dire que cette « consolation » était agréable, la richesse des couleurs des plantes et arbustes présent dans ses jardins nourrissaient mon jeune esprit.   Le château, bien grand mot pour désigner une maison de maître du XVIII ème siècle, même si je dois reconnaître que cette grande battisse est aussi impressionnante qu'intrigante, son imposante façade en pierre taillé et ses fenêtres en arcade lui donne un charme incomparable.   Maintenant à ce tableau existait, et existe toujours, une petite ombre, celle que je surnomme la « peste » ou la « princesse » et qui n'est autre que ma cousine il paraît qu'un jour ses parents lui ont donné le prénom d'Amélie, personnellement je trouve que la peste lui va bien mieux. Un heureux (ou non) hasard à fait que nous sommes nés le même jour, ce qui fait que nous avons le même age, enfin à quelques heures prêt et ma « chère » cousine adore me rappeler qu'en étant née deux heures plus tot elle est plus grande que moi et qu'elle est l’aînée et donc je dois lui obéir en faisant ce qu'elle me dit de faire, sinon elle se fera un plaisir de s'occuper de mes fesses. La première fois où elle me sortit se laïus elle fut vexée devant mon énorme fou rire, enfin je me demande si c'est mon fou rire ou mon invitation à allé se faire paître qui la vexa le plus.   Ce qu'il faut savoir, c'est que mon oncle et ma tante ont a disposition plusieurs brigades de domestiques et qu'un régime très particulier est en place. En effet la fessée déculottée est la norme au château et ceux à la moindre erreur. Elles peuvent être administrée par la gouvernante, mon oncle et ma tante et peut importe qui est la pendant que l'un des trois applique la punition. Dire que le rituel autour de chaque fessée était digne d'une pièce de théâtre est un euphémisme, d'abord avec ma tante, le ou la punie devait se déculotter devant ma tante et rester devant elle pendant qu'elle était sermonné, j'imagine très bien la honte ressentit par la femme ou l'homme ayant son sexe dénudé devant les yeux de la maîtresse de maison. Après le sermon, la personne devait s'allonger comme un enfant sur les genoux de ma tante et la fessée pouvait, enfin, débuter. Vue la couleur des fesses du ou de la punie je pouvais en déduire que ma tante était une artiste dans ce domaine et bien qu'appréciant le travail de certains artistes, je n'avais aucune envie de découvrir celui de la tante, je suis quasi certains que je n'apprécierait pas la qualité de son art et j'aime mon cul quand il est frais et blanc, ah et pour finir, ma tante complétait le coté honteux de la punition par un temps au coin cul nue. Mon oncle n'était pas du tout dans le cérémoniale, il préférait le coté rapide et efficace de la chose, la punie (oui il ne fessait que les dames) devait se trousser rapidement et se pencher sur le bureau pour qu'il puisse appliquer son office rapidement, contrairement à ma tante qui utilisait sa main ou une brosse a cheveux, lui utilisait les verges, quant à la gouvernante elle adorait humilier le ou la punie, en effet avant chaque fessée elle inspectait l'intimité du ou de la punie, et plus elle avait de publique plus elle insistait sur ce point la. La fessée en elle même était administrée de façon originale, le vilain ou la vilaine devait s'allonger sur une table et relever ses jambes vers le ciel, offrant au spectateur une vue royal sur son anatomie.   Après un long, très long voyage, j'arrive enfin au château. Je suis accueillis par deux personnes, le garçon me salue rapidement et s'occupe de mes bagages et la jeune femme m'invite à la suivre et à entrer dans le château, madame ma tante nous attends. En entrant dans la salle de réception, une douce et agréable odeur d'essence florale vient flirter avec mon nez. Ce doux parfum m'avait manqué et l'idée d’aller me perdre à nouveau dans la forêt me plaît beaucoup, dommage que je doive attendre un échange d'amabilités et de banalités avant de faire ce qui me plaît, égoïste ? Ah mais complètement et j'assume parfaitement cela.   Je suis la demoiselle et plus nous nous approchons d'une porte plus l'écho d'un bruit familier résonne et je devine rapidement ce que c'est, en arrivant devant la porte, la demoiselle releva l’arrière de sa jupe et baissa sa culotte, m'offrant la vue de ses jolies fesses...rouge, sans se retourner elle ouvre la porte et va se mettre face au mur, de mon coté j'entre dans la pièce et mon intuition fut bonne, une fessée était en cours de réalisation, ce que je n'avais pas deviné c'est ce qu'il y a autour de celle ci, en effet, assise sur une chaise ma tante donnant la fessée à une domestique et face au mur deux personnes, une jeune femme et un jeune homme, tous les deux ont leurs fesses nues et rouge, tableau assez familier pour moi, ayant par le passé assisté aux nombreuses fessées distribués par ma tante, à un détail prêt, que fait cette jeune femme, à genoux, la tête entre les fesses de la fille au coin ? Qui a eu cette idée surprenante ? En soit cela ne me déplaît pas, au contraire cette idée est plaisante, même si j'aurais préféré être à la place de la demoiselle. Mon esprit est tellement occupé, qu'il n'a pas remarqué que la peste (oui ma cousine) est présente.   Amélie : Bonjour Alex (oui c'est mon prénom et il est vrai que je ne l'ai pas mentionné jusqu'ici)   Alex : Bonjour Amélie (oui l'idée de l'appeler la peste me brûle la langue)   Amélie : tu ne vas pas jouer, encore une fois, les chevaliers blanc et osé dire qu'elle n'a rien fait ?   Alex : Elle ? Rien fait ? De quoi parles tu....heu attends c'est pas....   Amélie (me coupant la parole) : Si c'est bien la même demoiselle que tu a défendu il y a quatre ans, défense qui m'avait valu une douloureuse punition   Alex : douloureuse, deux paters et trois ave maria, je pense que niveau douleur ce fut bien plus supportable qu'un passage sur les genoux de ta mère   Que c'est il passé il y a quatre ans ?   La peste (ma cousine pour ceux qui ont oublié) aimait dénoncer les domestiques pour qu'ils soient fessées et satisfaire son petit plaisir. Un jour, en revenant d'une de mes nombreuses escapades buissonnière, je surpris une des domestique sur les genoux de ma tante, de mon point de vue j'avais ses fesses en vues donc, à ce moment la, je ne savais pas qui était punie. Ma cousine jubilait et profitait de l'occasion pour me raconter ce qui c'était passé. Ayant un doute sur la personne allongée sur les genoux de ma tante, je fis le tour pour voir le visage de la demoiselle, ma cousine surprise me fit remarquer que le spectacle se passait sur ses fesses et non sur sa tète. De mon coté en découvrant le visage de la fille je savais qu'elle ne pouvait pas avoir fait ce qu'on lui reprochait, en effet, celle qui était entrain de se faire rougir le cul n'était autre que la jeune et jolie demoiselle avec laquelle j'avais passé une parti de l’après midi. Tel un chevalier blanc je fis interrompre ma tante en lui expliquant qu'il y avait erreur sur la personne, surprise elle s’arrêtât et me somma de m'expliquer et d'être convaincant au risque d'être le prochain sur sa liste. Au fur et a mesure que je racontais mon histoire je pouvais voir ma cousine se décomposer, son mensonge allait être découvert et le pire c'est que c'est son cousin, qui allait être à l'origine de cela. Bien qu'au début ma tante eut des doutes sur ce que je racontais, elle à même fait allusion a un sentiment amicale que j'aurais envers la demoiselle et sa beauté, elle comprit, au vue de la réaction de sa fille, que la vérité n'était pas celle qu'on lui avait vendu. La jeune fille fut relevé et invité a quitter la pièce et ma cousine eu droit à une remontrance et du réciter quelques prières.   Amélie : bref, la tu ne peut pas sauver son cul de la main punitrice et c'est une bonne chose   Alex : je vois que tu prend toujours ton pied en regardant les domestiques se faire rosser le cul   Amélie : et encore tu ne m'a pas vue quant je claque le cul des garçons   Alex : quant tu quoi ???   Amélie : oui régulièrement je m'occupe des garçons et j'adore sentir leur queue bouger sur ma cuisse quant je les fesses.   Et c'est parti, elle m'explique comment elle fesse les, je cite, vilains garnements en prenant soin d'appliquer la méthode maternelle, déculotter et sermonner le puni, avec quelques différences, notamment, sur le fait qu'elle humilie le puni sur la taille de son pénis, elle a d'ailleurs découvert qu'un des garçons qu'elle a eu entre ses mains apprécie la fessée. Elle à même conclut un marché avec lui, elle peut le déculotter et le fesser quant elle veut, en échange il a le choix entre se masturber devant elle, voir elle le masturbe.   Amélie : ah et sache que tes fesses peuvent être les prochaines à découvrir mes talents de fesseuse   Alex : dans tes rêves ma belle cousine (belle en effet, du haut de son mettre quatre vingt avec une belle chevelure brune et de magnifique yeux bleus, et elle sait qu'elle est belle et n'hésite pas à mettre en avant ce que la nature lui a offert)   Amélie : ne soit pas aussi sur de toi mon mignon, trois jours c'est long ici.   De son coté ma tante termine son office et place la seconde demoiselle au coin les fesses à l'air et est ordonnée à une domestique de se mettre à genoux avec sa tête dans les fesses de la punie. Ma tante vient vers moi, me fait la bise plus un câlin, je suis assez surpris de cette familiarité, n'étant pas habitué à cela de sa part.   Ma tante : Bonjour Alex, a tu fais bon voyage ?   Alex : bon voyage, mais qu'est ce que c'est long pour venir jusqu'ici   Ma tante et ma cousine rigole de bon cœur   Ma tante : en effet pas tout à coté de chez toi, désolé d'avoir du t'accueillir de cette façon   Alex : (oui je vais te croire) je suis habitué ici, la fessée étant une activité quotidienne, j'aurais été surpris de pas en voir une à mon arrivée   Amélie : si tu veux, tu peut je me porte volontaire si tu veux participer à cette activité   Alex : tu veux que je te donne la fessée ?   Amélie : non idiot, ici c'est moi qui donne les fessées, je ne la reçoit pas, on ne donne pas la fessée aux princesses (ah ouais ? Laisse moi deux minutes, je suis sur que je te trouve une ou deux princesse qui en ont reçu)   Alex : la où je suis surpris, c'est les deux demoiselles qui ont leur visage dans les fesses des deux punies   Ma tante : cela fait partie de la punition, chaque demoiselle punie doit subir l'humiliation d'un nez dans ses fesses   Amélie : d'ailleurs, pour la jeune fille que tu viens de placer au coin, je pense qu'Alex devrait remplacer la domestique qui vient de prendre place.   Oui, ma peste de cousine vient de trouver un moyen de venger « l'offense » qu'elle a subit quatre ans plus tot et proposant que la jeune fille, qu'elle avait accusé à tord, à l'origine de sa punition subisse une humiliation supplémentair, evidemment ma tante trouve cette idée lumineuse et devant ma réticence, m'odonne de lui faire honneur en allant me mettre a genoux derriere cette demoiselle. La peste a gentiment rappelé que « réticence » n'était pas un nom pour une queue, devant la tete de ma tante, elle pointa ma bite qui, elle, adorait l'idée d'allé dire bonjour à ce superbe cul nue. Je prend donc place et reste dans cette position un long, tres long moment, et oui j'aime cela, je suis aux anges avec ma tete entre les fesses de la demoiselle. A suivre Que va t il se passer ? Est ce qu'Amelie va s'occuper des fesses d'Alex, au contraire est ce qu'Alex va claquer le cul de cette odieuse cousine, ah moins qu'autre chose ne ce présente, nottament dans ce bois... ps: n'hésitez pas à me dire en commentaire si vous avez aimé ce texte, si quelque chose ou un personnage a marqué votre esprit ou tout autre chose.
Personnages Alex (moi) : Jeune homme de 20 ans, fraîchement diplômé avec une envie de prendre mon temps avant de choisir mon avenir. Je suis brun avec des yeux vert émeraude. Bien qu’appréciant les bonnes choses de la vie, j'ai su garder un physique musclé du haut de mon mètre quatre vingt. Victoria : Amie de ma mère m'ayant recueilli à la mort de mes parents. Elle est venu s'installer avec sa fille Louise ma cousine, dans la maison de mes parents. Maison « offerte » par la compagnie des chemins de fer Bellusbourg après le tragique attentat de 1887. Veuve de guerre percevant une pension suite à la mort de son mari sur le champ de bataille. C'est une très belle femme brune de 45 ans avec de magnifique yeux vert émeraude, une silhouette élancé et apprécie particulièrement les romans écrit par des femmes de sa génération. J'ai pris l'habitude de l'appeler ma tante, même si aucun lien de parenté nous lie. Louise : la fille de Victoria, elle est âgée de 20 ans, bien que nous ayons le même age, elle adore me rappeler qu'elle est plus âgée que moi, en effet elle est née trois mois avant moi. C'est une jeune femme magnifique, brune comme sa mère mais avec de magnifique yeux bleue lui offrant un charme naturelle et sa silhouette fine lui permet de mettre en valeur ce que dame nature lui à offert et elle adore en jouer. Elle à un caractère de « princesse » aimant souffler le froid et le chaud en fonction de ses envies et de ses caprices. Jean : 50 ans vieux garçon ayant réussi dans son domaine d'activité. Son entreprise de charpentier est l'une des plus florissante du secteur, il emploi 20 ouvriers et vient dîner à la maison pour me proposer de rejoindre ses gars. Pour commencer ce chapitre je vais contextualiser la maison et l'environnement de celle ci. Dans l'introduction j'ai évoqué les maisons du peuple et celle dans laquelle j'habite en fait partie. Mon père a été embauché comme machiniste par la compagnie des chemins de fer. Afin d'améliorer l'organisation du travail, la compagnie a construit différents quartier résidentielles à proximité immédiate de l'usine. En fonction de votre grade dans la compagnie la maison fourni était plus ou moins cossu. Pour donner une idée, la compagnie a créé une place en demi soleil autour de l'entrée de l'usine. Face à cette place vous avez sept rues répartie sur toute la rotondité de la place, et dans chacune des rues la compagnies a créé des îlots résidentielles avec des maisons et des îlots plus petits dans lesquelles elle a fait installer des commerces afin de satisfaire sa main d’œuvre. Bien entendu, les commerces reversaient une part importante de leur gains à la compagnie. Toutes les maisons de notre quartier ont été fabriqué de la même façon. Maison mitoyenne avec un étage, la façade extérieur simple fait en brique rouge et à l’arrière de chaque maison, un petit jardin. L'intérieur de celle ci se composait d'un salon avec une cheminée, une cuisine équipée d'un poêle a bois avec une pièce servant de garde manger. A l'étage trois chambres. Après l'épidémie de 1831 le Roi créa la « compagnie de l’hygiène » et entreprit la modernisation de la capitale en créant un système d'égout permettant ainsi aux classes les plus aisées d'avoir une salle de bain et toilette personnelle, le peuple lui avait accès aux bains et toilettes publiques. De son coté, la compagnie prit la décision, en 1836, de moderniser ses maisons en intégrant salle de bain, salle d'eau et toilette dans les différents logements et en raccordant tous ses points d'eau au réseau d'égout créé par le Roi. Notre maison eu droit à sa transformation, en effet le garde mangé fut transformé en toilette et la troisième chambre en salle d'eau. Avant de partir faire un remplacement dans une famille, tante Victoria nous demanda de préparer le salon pour recevoir son ami Jean. J'étais toujours surpris des replacements ponctuelle d'une ou deux heures effectués par ma tante et ma cousine soupçonnait que Victoria de faire autre choses la bas, maintenant ni elle ni moi n'avions eu l'audace de poser la question, nous étions courageux mais pas au point d'attirer les lanières du martinet sur nos fessiers respectif. Tante Victoria nous mise en garde sur ce qui nous arriverait si le salon n'était pas prêt à son retour. Je reconnais bien volontiers que j'avais horreur de participer aux taches de la maison, pour moi c'est une corvée incombant aux sexe féminin et l'idée de faire une sieste eu plus d’intérêt à mes yeux. Alex : très chère Louise, je vais allé faire une sieste, pendant ce temps la, fait ce que tante Victoria a exigé. Il faut que le salon soit prêt à recevoir Jean. Louise : oh c'est qu'il est mignon quand il se prend pour un dieu, ma chère mère à parler de NOUS dans ses exigences, donc tu va ramener ton petit cul ici et tu va faire ce qu'on NOUS a demandé. Alex : arf tu sais très bien que ce genre de tache incombe aux femmes, nous les hommes sommes pas fait pour ce type de besogne. Louise : je vais finir par croire que tu aimes recevoir la fessée déculottée surtout quand je suis présente pour y assister. Alex (rougissant) : je ne sais pas d'où te vient cette idée, car je n'aime pas cela et encore moins quand tu est la pour regarder. Louise : alors vient m'aider à préparer le salon, je te rappel que c'est en ton « honneur » que ce dîner est organisé. Alex : mon honneur tu parles, j'ai aucune envie de devenir charpentier, je suis bien plus intéressé par les trains. Louise : arrête de parler et vient. A contre cœur, j’aidai Louise dans la préparation du salon et il est vrai que même à deux ce fut bien long. Entre déplacer le mobilier du salon dans la chambre de ma tante, apporter la table, la nettoyer pour qu'elle brille, faire la même chose avec les chaises. Préparer le bois pour la cheminée, mettre la table et faire en sorte qu'elle soit accueillante nous pris un temps faramineux. Louise : maintenant on attaque la cuisine Alex : pas Victoria qui doit s'en occuper ? Louise : elle doit, maintenant elle sera sûrement contente de voir que nous l'avons aidé en préparant la dinde. Alex : ah je ne savais pas que ton amie Eugénie était au menu se soir. Furieuse que je traite sa meilleure amie Eugénie de dinde, elle s'approcha de moi et voulu me gifler, manque de chance pour elle, la seule chose que sa main toucha fut un vase, évidemment ce vase se brisa au contact du sol, créant un sentiment de panique chez Louise. En effet dans son esprit elle allait déguster quand Victoria allait découvrir l'état de l'objet, pour moi je voyais cela comme un accident, après tout, personne n'est obligé de savoir que c'est en voulant me baffer que ce satané vase se brisa. En voulant avancer sur la préparation de la dinde, Louise a glissé sur des épluchures de légumes tombés aux sol et en voulant d’accrocher a quelque chose pour ne pas tomber, elle bouscula le meuble sur lequel se trouvait le vase. Rassuré par ma présentation et surprise que je ne la nargue pas sur ce qui aurait pu ce passer elle accepta sans aucune réticence ma proposition. La chose que je ne dis pas, c'est qu'en apprenant la vérité, la probabilité que je me retrouve aussi soumis a la fessée était importante et l'idée que potentiellement je me retrouve allongé sur les genoux de Louise avec mon pantalon baissé et ma queue en érection sur sa cuisse offrirait à cette dernière des arguments lui donnant raison sur mon appréciation de celle ci, et j'ai aucune envie de voir sa mine victorieuse à se sujet. Après s’être occupé du vase Louise se chargea de la dinde, me demandant de préparer les légumes qui accompagnerait celle ci. Je dois reconnaître que je suis un très mauvais cuisinier et la seule fois où j'ai mis en application mes compétences en la manière j'ai failli mettre le feu à la maison, autant vous dire qu’après cela Victoria m'a interdit de retenter quoi que se soit en cuisine, en y réfléchissant j'aurais du faire la même chose avec chacune des taches ménagères de la maison, histoire d'en être interdit également. Avoir une dinde au dîner était très rares, habituellement la soupe de légumes et le pain était au menu midi et soir. Idéal pour supporter un dîner dont le sujet ne m’intéressait pas, mais pas du tout. Avec Louise nous avons terminés toutes les taches demandés par Victoria dans les temps, comprendre ici que Victoria n'était pas encore rentré quand nous avons fini. Ce fut très juste en terme de temps, en effet Victoria fit son apparition et je pouvais sentir sa fatigue et son irritation sans entendre le moindre mot de sa part. Évidemment, elle inspecta notre travail et avec Louise nous restions calme et légèrement craintif quant à l’approbation du travail effectué. Le temps nous parut bien long, et finalement elle était satisfaite de notre travail et commença à s'apaiser et fut agréablement surprise de voir la dinde préparé. Je profitais de ce moment pour évoquer le vase, Louise me regarda furieusement pensant que j'allais rompre notre « pacte » et la dénoncer. Je n'en fis rien et exposa la version retenu plus tôt, et comme je le pensais Victoria ne fit rien de plus que réprimander Louise sur son étourderie l'invitant à faire attention la prochaine fois. Par la suite chacun retourna à ses occupations, Louise se mit à lire un roman sentant l'eau de rose à plein nez, Victoria en cuisine préparait le repas du soir quant à moi je parcourais la rubrique des sports du journal. Vers 20h Jean fit son apparition, après un échange de politesses trop long à mon goût, nous fumes invité à prendre place à table. En face de moi j'avais Louise, à ma gauche Victoria et à droite Jean. Sans trop m'occuper des discussions longue et d'un ennui mortel je dévorais cette délicieuse dinde puis Jean lança LE sujet : Jean : alors fiston a tu réfléchis à ma proposition ? Alex : pas tellement, je viens de finir le lycée et pour le moment j'ai d'autres projets en tête Jean : (un peu irrité) : il va falloir que tu te décides rapidement et arrêter de rêver, le travail y a que ça de vrai et d'utile. Alex : utile peut être mais l'idée de rejoindre la compagnie des trains est bien présente dans mon esprit Jean : les trains....les trains, il n'y a pas que cela dans la vie et puis tu te vois passer ta vie dans une locomotive ? Victoria (reprenant le fil de la discussion): Avant de décider quoi que se soit je souhaite qu'il rencontre Eléonore... Jean (coupant la parole à ma tante) : Quoi ? C'est une blague tu ne vas pas envoyer Alex chez Eléonore, la place d'Alex est avec moi sur les chantiers, pas dans les salons avec cette bonne femme ! Louise : qui c'est Eléonore ? Jean : Une bonne femme qui c'est marié avec un fils de grande famille et qui vie des rentes de son mari Victoria : sa suffit ! Eléonore était ma meilleure amie d'enfance. Nos parents étaient voisins et nous avons fait notre scolarité ensemble avant de nous perdre de vue après le lycée. Louise : pourquoi vous vous êtes perdu de vue et a quoi ressemble t elle ? Victoria : Eléonore est une magnifique femme blonde, avec un corps d’athlète, au lycée elle faisait partie de l'équipe féminine de pelote basque, tous les hommes lui courraient après, et en dernière année de lycée elle est tombée amoureuse d'Antoines De Bourrasse et sa famille a sponsorisé son entrée a « l'élite » et est devenue Madame Eléonore De Bourrasse et après la mort de son mari lors de la bataille de machin chouette elle hérita de la fortune familiale. Jean : c'est bien ce que je dis, une bécasse qui passe sa journée a se branler dans des draps de soie entourée de bonniches sans cervelle Victoria : (s'adressant a mon oncle) : sa suffit à moins que tu veuilles que je change la couleur de tes fesses devant tous le monde ! Un frisson parcouru ma personne, combien de fois ai je entendu cette phrase prononcé à mon encontre, de son coté Jean rouge comme une tomate et piqua du nez vers son assiette. Victoria : Bien, je disais donc Alex avant que tu décides de ton avenir, Eléonore souhaite te rencontrer. Alex : Me rencontrer ? Victoria : Oui je lui est parlée de toi et elle souhaite faire ta connaissance Alex : ok je vais y réfléchir Victoria : Non tu va pas y réfléchir, tu est attendu à 10h demain matin chez elle, tu va me faire le plaisir d'y aller et de bien te comporter. Jean : tu parles d'un plaisir, comment perdre son temps avec une bécasse sans cervelle Victoria : toi je t'avais prévenu, tu va avoir droit à une belle fessée déculotté devant tous le monde. Jean : Ma chère amie, c'était une simple plaisanterie. Ma tante : ma patience à des limites a ne pas franchir et la tu est la franchi en manquant de respect à une personne qui m'est très chère, donc dépêche toi de te lever de cette chaise, de baisser ton pantalon et de t'allonger sur mes genoux pour recevoir la juste récompense de ton comportement, si je dois me répéter c'est Louise qui se chargera de ta fessée. Nous fumes tous surpris de cette annonce, pas que Louise donne la fessée, plus d'une fois Victoria m'a menacer de me retrouver sur ses genoux, mais jamais vue ce genre de proposition faite envers une personne autre que moi. Tout penaud et rouge de honte, Jean se leva et s'approcha de Victoria, arrivé à sa hauteur il baissa son pantalon au niveau des genoux, de ma place j'avais une vue sur ses fesses de son coté Louise avait une vue sur le pénis de Jean Louise : il doit aimer la fessée (en pointant du doigt l'érection de Jean en rigolant, de son coté Jean se sentit très honteux et humilié) Victoria : Louise, je vois qu'humilier une personne te fait rire, lève toi et vient te tenir debout devant Jean avec ta jupe relevé au dessus de ton sexe. Je suis sur qu'Alex va aussi profité du spectacle que tu vas nous offrir. Louise surprise et honteuse, n'osa pas contredire sa mère, la dernière fois qu'elle a osé le faire elle eu droit au fouet sur ses fesses nues, et elle a aucune envie d'avoir un nouveau rendez vous avec le fouet. Pendant que sa mère lui donnait cet ordre, Jean c'était installé sur ses genoux. Résigné sur son sort, à son tour elle se leva et s'approcha de sa mère tout soulevant sa robe laissant apparaître son sexe aux yeux de tous. Quel tableau magnifique pour un jeune homme qui n'a jamais vue le sexe d'une femme de toute sa vie. D'un coté Jean recevait une longue et douloureuse fessée et de l'autre coté, la plus belle chose qui me fut donné de voir, le sexe d'une jeune fille. Je dois reconnaître que j'étais un peu jaloux de la position de Jean, en effet son visage était très proche du sexe nue de Louise. Victoria : Jean est ce la fessée qui te plaît au point que je sente la dureté de ton érection contre ma cuisse, ou c'est la vue du sexe d'une jeune femme de 20 ans ? (Jean ne répondit pas, et je pense que cette question ne fut que rhétorique et qu'une réponse aurait attiré le courroux de Victoria) En attendant tu n'a pas intérêt à jouir dessus  me suis je bien fait comprendre. Jean : oui madame dès lors seule les bruits de la fessée résonnent dans la pièce. De son coté Louise semblait apprécier le spectacle qui se déroulait sous ses yeux et ceux malgré sa situation. Sous ses yeux elle avait les fesses nue d'un homme recevant la fessée, ah un moment elle croisa mon regard et celui ci avait quelque chose de différent, un mélange d'excitation, de plaisir et un « profite mon grand, profite, tu va voir quand je vais t'attraper » Après un long, très long moment la fessée fin. Victoria invita Louise et Jean se réajustèrent et le dîner repris son cours comme si rien ne c'était passé. A la fin du repas, Louise et moi avons été chargé de débarrasser la table, de faire la vaisselle et de filer dans notre chambre. Une fois nos corvées réalisé nous nous dirigea-me vers la chambre commune, à peine la porte de chambre fermé... Louise : Le spectacle auquel tu a assisté t'a plus n'est ce pas ? ( dit elle en passant sa main sur mon pantalon, cette même main caressa ma queue lentement) Moi : Oui il m'a beaucoup plus Louise (chuchotant à mon oreille) : avoue que tu aurais aimé être à la place de Jean, te retrouver cul nue sur les genoux de Victoria, sentir sa main laisser une empreinte claquante sur tes fesses tout en admirant ma chatte. Alex (dans un état second) : Oui j'aurai adoré cela Louise (lâchant ma queue) : quel vilain garçon tu est, je devrais te dénoncer, je suis sur qu'en récompense tu aurais droit au fouet sur ton cul. Mais je vais être gentille avec toi, étant donné que tu ne m'a pas balancer tout a l'heure pour le vase, je vais t'offrir moi même quelque chose. Déshabille toi et allonge toi sur ton lit. Sans me faire prier je fis ce qu'elle exigea, sans trop comprendre pourquoi elle le souhaita. Louise : je vais m’asseoir sur ton visage et je veux que ta langue s'offre à moi, je veux la sentir effleurer mes lèvres et se désaltérer de mon nectar. Je veux que tes mains prennent possession de mon corps, sentir leurs caresse à m'en faire frissonner. Sur ses douces et agréable parole elle se mise a nue, pour la première fois de ma vie j'avais ce magnifique corps féminin offert à mes yeux, en s'asseyant sur mon visage jeu l'honneur et le plaisir de sentir le doux parfum intime d'une jeune femme. Pendant que ma langue la masturbait, l'une de mes mains alla sur son dos et je la fis redescendre avec le bout de mes ongles le long de ses reins, un frisson parcourra son corps m'indiquant qu'elle appréciait mes caresses. Le temps avait l'air de s’être arrêter, comme figé par cet agréable moment d'échange intense entre nous. Ce partage intime gourmand, pris fin quand elle eu joui. Sans un mot ni regard, elle pris dans sa main ma queue et, à mon tour, je profitais du plaisir que me procurait les caresses offerte à mon pénis. Il ne fallut pas longtemps pour que ma bite jouisse à son tour, se fut l'orgasme le plus intense que j'ai connu. Sans un bruit, elle se leva et se dirigea vers son lit, offrant à mes yeux un dernier regard sur ses fesses. Rapidement l'appel du repos se présenta et je m’endormis, fier et heureux de cette fin de journée. (Ah suivre dans un épisode prochain la "rencontre" avec Eléonore, d'apres "mon petit doigt" il se passerait de drole de chose dans son manoir...) Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire cette histoire, j'éspere qu'elle vous a plus et je serai ravi d'avoir votre retour en commentaire.
Bonjour à tous et à toute. Avant de vous narrer mon histoire je vais commencer par contextualiser celle ci.   Dans mon pays le système scolaire est un peu différent du votre. Je m'explique après le lycée deux options s'offre à nous, la première intégrer une école vous formant à votre futur métier ou intégrer L'institution Elistique qui forme les prochaines générations de décideurs. Autant vous dire que cette seconde option est réservé à l'élite du pays et que le quidam lambda a peu de chance d'y entrer. Soit vous êtes fils ou fille de cette caste soit vous avez la chance d'être sponsorisé par une famille. Dans le cas contraire aucune chance de faire partie d'intégrer L'institution.   Ce système a été instauré après la révolte des grandes familles de 1827. Les grandes familles reprochait au roi de concentrer le pouvoir en son seul sein et prenait son aristocratie pour des pions corvéable a souhait. Afin d'apaiser son aristocratie, le Roi décida de créer un sénat dans lequel 201 sénateurs seront chargé de représenter le peuple en fonction de chaque castes, avec une grosse majorité de sièges réservés aux puissantes familles et les miettes aux représentant des classes populaires. En complément du sénat il ordonna de créer l'institution qui a pour charge de former les futurs représentant du pays (au sénat, ainsi que dans les différentes institutions du pays sans oublier les entreprises privées). La seconde différence, l’hygiène elle devint une des plus grande préoccupation du Roi après l'épidémie de 1831. Celle ci ayant fait de gros ravage au sein du peuple, prés d'un tiers des classes populaires disparut, créant une grande crise au sein des différentes manufactures du pays.. Le manque d’hygiène fut à l'origine de cette catastrophe. Il exigea donc de ses sujets de développer et créer un système qui permettrait de répondre à cette préoccupation. Ainsi dans les résidences aristocratique les premières salle de bain firent leur apparitions et pour le peuple les bains publiques et latrines firent leur apparitions, réduisant la mortalité du peuple.   Ah et pour répondre à la question, non je ne fais pas partie de cette élite, après la mort de mes parents lors de l'attentat de L'express en 1887 reliant la capitale Aleris à Belleris. Les extrémistes firent sauter l'aqueduc Beltéore, cet attentat fit 80 morts. La raison de cet attentat fait suite a la capture par l'armée royale d'un des chefs de cette organisation terroriste.   Je fus recueilli par une amie de ma mère et celle vint s'installer avec sa fille dans la maison qu'occupait mes parents. Cette maison était en réalité le logement de fonction de mon père, la compagnie des chemins de fer avaient créé autour de son usine des quartiers entier. Suite à l'attentat, la compagnie m'a offert en « compensation » cette maison, j'en ferai une description plus détaillé dans le chapitre UN.   Je vais me présenter, je suis né en 1877 et mes parents me donnère le nom d'Alex. A l'age de 10 ans mes parents disparurent dans l'attentat du train Express et ma tante fut chargé de mon éducation. Mes parents étaient plutôt permissif tout l'inverse de ma tante qui ne supportait pas le moindre écart et son martinet nous le rappelait très régulièrement.   Ma tante, une charmante femme de 45 ans, vivant de la pension de guerre de son défunt mari, mort au combat lors de la bataille de Wicrick en 1886 laissant derrière lui une fille, ma cousine, Morgane (changer de nom avec un truc d'époque). Bien que vivant avec cette pension, ma tante occupe de manière ponctuelle certains emploi de bonne de remplacement dans différentes familles. Avec ma cousine nous avons le même age (seule 3 mois nous sépare, elle adore me le rappeler) elle a elle aussi suivi une scolarité normale, le roi ayant imposé la mixités des classes, officiellement pour favoriser les échanges et la socialisation entre les deux sexes, officieusement réduire les coûts éducatifs. Ma cousine a un tempérament excentrique et adore vivre dans l’excès, ce qui lui vaut de longues et douloureuse discussion avec ma tante.   Maintenant que j'ai posé les premières base de mon récit, je vais vous parler du soir où ma vie a réellement changé. Nous sommes en 1897 et je viens d'obtenir mon certificat de fin d'étude et je pensais que ma destiné était toute tracé. En effet un ami de ma mère lui a proposé de me former au métier de charpentier et pour en parler elle l'a invité à dîner à la maison. Cela devait être un simple dîner et celui ci fut tous sauf simple. Je vous laisse découvrir ce qu'il c'est passé.
Bonjour, Intéressante mise en bouche.  Bon courage pour la suite.  Ecrire est un exercice difficile... Une suggestion: il me semble qu'il serait préférable de publier vos textes dans la section "articles", qui en principe est faite pour ça. Cela leur donnerait éventuellement un peu plus de visibilité. Les articles sont soumis à validation par la modération, mais d'après la petite expérience que j'ai c'est généralement assez rapide, de l'ordre de quelques jours.  
Cela ne fait pas une grosse différence mais j'imagine que ceux qui sont intéressés pas des fictions vont chercher en priorité dans la section article. On peut mettre des mots clés, ce qui éventuellement facilite la recherche si quelqu'un cherche une thématique particulière car les articles comme les sujets du forum sont vite enfouis dans les oubliettes de l'historique. Mais je pense que quasiment personne ne les utilise, donc pas de grosse différence au final.