La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 30/06/22
Peu de personnes l'ont entraperçu et seules 2 personnes l'ont vu réellement, l'une a voulue s'en éloigner quitte à me laisser aller chercher mon plaisir ailleurs tout en conservant mon amour, l'autre a ressentie une peur dont je me suis délecté, nourri... pourtant elle y reviendra car prise dans mes filets elle réalisera qu'elle ne peut s'en passer. Cachée sous les différentes strates de ma personnalité, elle était là... Attendant son heure, à l'affût de sa proie, prête à lui sauter à la carotide ne lui laissant aucune chance... Enfin je suis Moi, enfin je suis vivant, enfin elle m'a permis de comprendre ce que j'étais... Sustentée elle s'est retirée à l'intérieur de moi, au fond, dans les zones d'ombre mais ne vous y tromper pas, elle est toujours là prête à ressurgir quand elle en aura l'occasion... ... LA BÊTE
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Par : le 30/06/22
Je suis nu, Madame m’ordonne: va chercher ton portable, interloqué, je le lui tend. Débloque le, ce que je m’en presse de faire…, tête baissée, je voit ce qu’elle fait. Voila, c’est fait, mets toi à 4 pattes, je m’exécute, elle se met derrière moi, écarte mes cuisses, je voit juste l’enveloppe d’un préservatif tomber. Elle me pénètre avec ce que je saurait plus tard, un gros plug, qu’elle bouge, afin qu’il soit bien en moi. Lèves toi! Elle prend son téléphone, et commence à jouer avec. Tout d’un coup, le plug se met à vibrer très fort, puis s’arrête, puis recommence. Je me tortille, surpris… Tu va le garder, tu ne l’enlèvera que quand je te le dirais, et ce sera pour le recharger. Et il faudra le remette en place en suite. J’ai téléchargé une application qui me permet à tout moment de commander ton cul, et en plus, je saurait où tu est à tout moment. Maintenant, habille toi, et je contrôlerais ton obéissance.. Je prends congé respectueusement. Je rentre et je me couche, je m’habitue au plug qui est d’un bon diamètre, et j’oublie qu’il est vibrant. Le lendemain matin, c’est ses vibrations qui me réveille, avec un message: port de bas ce jour sous le pantalon, sans slip, pour aller travailler. Je choisit un pantalon un peu ample, met le PJ et les bas avant que de passer le pantalon. J’ai peur que cela se voit de l’extérieur…, j’ai toujours ressenti aussi que ma démarche est différente quand j’ai un plug en moi.
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Par : le 28/06/22
Le propre d'un fantasme est-il qu'il nous excite parce qu'il est non réalisé ? C'est le désirer, l'attendre, parfois le culpabiliser ou le craindre qui fait sa force. C'est quelque chose de très mental, dont on a souvent déjà imaginé les tenants abouttissants de nombreuses fois, un rêve qu'on entretient pour ce qu'il est : quelque chose d'interdit, d'innateignable mais que l'on considère pourtant possible. Dans tout les cas c'est quelque chose de personnel, d'intime, subjectif. Pour toutes ces raisons, le réaliser peut être souvent grandement décevant car la réalité ne se produit pas toujours exactement comme on l'aurait désiré. Parfois on parvient à créer les conditions exactes de notre fantasme et c'est alors des moments d'une rare et puissante jouissance. La différence avec les désirs, c'est que les désirs s'estompent généralement une fois assouvis. Mais les fantasmes : même une fois réalisés, ils perdurent. Je dirais même qu'une fois devenus réels, ils grandissent, s'enrichissent, se précisent et se multiplient ! Comme les émotions sont des reflexes, et les sentiments des constructions d'émotions produisant une histoire ( sentiment amoureux = désir, fusion, crainte, jalousie, plaisir etc ) ; les fantasmes sont eux aussi des constructions de désirs qui restent en nous même une fois qu'on les a vécu. Tout comme la succession des émotions du sentiment amoureux ne font pas disparaître le sentiment. Maintenant la question : doit-on les vivre ? Ça dépend ! Chercher obsessionnellement à ne réaliser que ses fantasmes a deux inconvénients : - Le premier étant qu'alors on utilise notre/nos partenaires comme des moyens, des outils nous servant à réaliser notre plaisir unique. Si le bail est clair et consentis par les deux partis : ok ! Mais attention tout de même à être donc sur la même longueur d'onde. -Le second écueil est la déception. Car souvent le fond véritable du fantasme nous échappe ! Certains fantasmes simples sont liés à des sollicitations de sensations. C'est assez mécaniquement réalisable et il y a peu de chance de se tromper. Mais certains fantasmes sont très subtils et profonds ; tant qu'ils touchent en fait quelque chose d'inconscient et d'émminement psychologique. C'est alors que peuvent se produire des obsessions et des frustrations et déceptions destructrices. Du coup dans tout les cas je concluerais de cette manière : Ce qui m'importe est moins de réaliser exactement mes fantasmes que de chercher à m'en rapprocher ! Comme la destination terminale d'une longue randonnée, je sais que je souhaite l'atteindre mais je m'amuse à chaque pas et à chaque croisement en me dirigeant vers, en me voyant progresser ! Comme un phare éclairant mes attentes et angoisses, mes fantasmes guident mes pratiques. J'aime emmener mes partenaires et moi même sur le chemin de leurs/mes/nos fantasmes, nous en approcher, même les réaliser ! Car il faut bien atteindre la destination qu'on s'est fixé ! Pourvus qu'en chemin on ait pris du plaisir pour y arriver ! Et ne pas avoir simplement foncer bille en tête pour arriver au plus vite et s'essoufler ...
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Par : le 28/06/22
Putain que ce monde est con ! Tout est devenu trop moche! De grandes villes sinistres et même sinistrées, des usines, des gadgets de consommation pour nous rendre encore plus débiles et dépendants. Brenda a tout refusé, elle est partie en sandales avec son banjo. Elle s'est faite sauter partout le long des chemins qui ne mènent nulle part, en tout cas ni à Rome ni à Compostelle. Elle ne s'attache pas. Elle est comme le vent, elle est douceur et murmure le long des champs. Elle est si belle avec ses longs cheveux bouclés, ses yeux rieurs, ses lèvres si chaudes, ses longues jambes si bien galbées. C'est comme une apparition dans un rêve érotique. Qui voit Brenda a de suite envie de coucher avec elle. Si douce en apparence et tempêtes dans les cœurs. Brenda ne dit jamais non. Elle couche et adore faire l'amour. Elle se donne, se laisse caresser, se laisse défoncer la chatte ou l'anus ou se laisse brouter le minou. En amour elle aime tout pourvu que l'on ne veuille pas la garder pour toujours. La vie est si courte et si belle alors pourquoi travailler pour ne posséder que de la poussière. Elle préfère les fleurs des champs. Elle arrive sur une haute terre, perdue au milieu de nulle part. Là vivent des gens comme elle, nus au bord d'une paisible rivière. Pas de gourou, pas de règles, c'est un lieu où il ne sert à rien de faire quoi que ce soit. Juste vivre et être heureux sous le soleil. Pourquoi s'inquiéter. Le Père dans les Cieux sait ce dont les hommes ont besoin et il donne tout en abondance. On rit, on chante, on danse et on le remercie. Mais là encore, Brenda ravage les cœurs. Il est temps pour elle de reprendre la route avec son banjo. Elle ne voudrait plus vivre que de prana. Mais voilà males et femelles veulent suivre son si joli cul. Un jour elle arrive près d'un monastère et elle rencontre un jeune moine d'une beauté ténébreuse, enfin un homme qui ne lorgne pas ses jambes et ses seins voluptueux. Elle sort son banjo et joue pour lui. Le moine racle la terre amère et feint l'ignorer. Il doit prier, semer, et encore prier. Il pense sans doute que Brenda est un démon venu l'arracher à ses voeux de chasteté. Il s'avance menaçant avec sa pioche levée. -Vas tu donc cesser de me troubler avec ton banjo diabolique! Vas t'en de là, femme adultère et maléfique, tu es infestée de démons. Brenda l'a regardé et lui a adressé son plus délicat sourire. Ses joues sont devenues rouges. Enfin un homme qui ne bande pas pour elle. -Fouette moi ! Chasse les démons qui sont en moi !
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Par : le 22/06/22
Je m'avancai vers Prune qui tortillait son cul de façon obscène. A la portée de ses fesses dodues, je m'agenouillai pour les couvrir de baisers et de caresses mais ceci ne fut pas du gout de Madame K. Le fouet vibra dans l'air et s'abattit sur mon dos. Une fois, deux fois, trois fois, la douleur intense me fit plier le genou, ma tête plongea bien malgré moi entre les fesses de la plantureuse servante. Aussitôt une main ferme appuya ma tête contre le fessier rebondi. "Je te paye pour m'obéir, tu comprends" Je voulus répondre mais mes paroles étaient étouffées par les doux vallons de celle que j'aurai du rosser de coups. Madame renforça son étreinte et m'ordonna de lécher la raie de la prisonnière. Je résistai quelques secondes mais compris que ma tortionnaire me privait peu à peu d'oxygène. Mon nez, ma bouche s'imprégnait des odeurs de la domestique, des odeurs de transpiration, des odeurs de jouissances et d'autres encore plus subtiles. "Met la langue maintenant. Lubrifie bien son conduit." Nouveau refus et de nouveau cette privation d'oxygène. je n'avais plus d'autre choix que d'obeïr. Ma langue pénétra comme dans du beurre dans ce conduit déjà dilaté. Prune gémit tandis que je tournai et aspirai son cul sous les recommandations de Madame. Je sentis alors les chairs autour de moi se contracter, La belle blonde se crispa avant de jouir abondamment sur le gode enfoncé en elle. Maitresse me fit m'agenouiller et me donna le gode à sucer. Il était chaud, odorant, j'avais l'impression moi aussi d'être une trainée soumise en acceptant cette nouvelle humiliation. "Embrasse la maintenant' m'ordonna Madame d'un sourire pervers. Nos lèvres s'approchèrent, je lisai dans les yeux de celle que j'embrassai le manque de sommeil, les humiliations successives des derniers jours et je devinai, par dessus tout, son corps fatigué d'avoir tant souffert et tant joui. Nos langues s'apprivoisèrent et entamèrent un ballet langoureux mêlée de salive à l'odeur de cyprine. Un coup d'œil sur ma droite confirma mes plus sombres pensées. Madame avait installé un trépied et une caméra, elle filmait la scène avec délectation. "Les films amateurs rapportent énormément sur internet, cela aidera à payer les frais de la propriété...continuez." Elle revint vers nous masquée d'un loup de dentelle qui ajoutait encore à son charme. D'un geste brusque, elle se saisit d'un sein de Prune toujours à cheval sur son arçon. Elle caressa un téton puis l'autre jusqu'à ce que les 2 framboises se raidissent. Puis elle y fixa deux pinces fines reliées à des câbles. je voulus protester mais par lâcheté sans doute me laissait faire lorsqu'elle entoura ma verge et mes couilles d'un anneau de plastique reliés au même réseaux électrique. "Encule ce gros cul, tu en as tellement envie" Comme je tardai, elle appuya sur un boitier, une décharge électrique intense parcourut ma verge et les seins de la domestique. Maitresse ne put s'empêcher de rire en voyant notre surprise. Elle m'enfila un préservatif retardant, prit mon sexe en main et l'introduisit au bord de la rondelle palpitante. Une dernière décharge m'invita à tringler la bonne. Je limai son cul déjà bien ouvert appliquant les conseils de Madame. "Avec un cul si large, je suis sur qu'elle pourra accueillir ceci" dit Madame en se fixant un impressionnant gode ceinture fuschia. Lorsqu'elle jugea la jeune fille bien distendue, elle me poussa sans ménagement et appliqua ce membre surhumain à l'entrée du trou déjà béant. Prune gémit de douleur lorsque le membre viril s'enfonça en elle mais ces cris furent vite masqués par ma queue qui forçait sa bouche. Un plaisir bestial s'emparait de moi tandis que je faisais suffoquer la jeune femme mais le préservatif lubrifiée de crème anesthésiante entravait mon plaisir. La jouissance ne m'était pas permise. Prune prise par devant et derrière ne tarda pas à jouir une nouvelle fois. Elle émettait des cris de plaisir semblable à des jappements que Madame fit cesser en nous envoyant de puissantes décharges électriques. Victorieuse, elle sortit l'immense sexe maculé et força les lèvres de Prune contrainte de subir une énième humiliation. L'engin "nettoyé" elle enchaina l'infortunée jeune femme dans un coin de l'écurie. Une litière paillée comme unique couchage. Madame fixait maintenant Sonia des yeux. Attachée sur une croix de saint André, la pauvre essayait vainement de se débattre. Son regard se tourna vers moi et se fit implorant. J'aurai dû agir mais ma volonté fondait devant la détermination de notre geôlière. Madame s'approcha de Sonia et la toisa d'un regard malsain. Puis, elle prit deux gros élastiques qu'elle plaça à la base des seins la domestique. La pauvre la suppliait des yeux, un filet de bave coulait misérablement de ses lèvres closes par un baillon de latex. Maitresse se détourna de sa victime quelques instants pour aller farfouiller dans un box. Moi, je restais à genoux, impuissant, incapble de réagir aux muettes suppliques de la prisonnière. Quand notre hôte revint, elle avait dans ses mains gantées une botte de paille. Avec perversion, elle regardait les seins de Sonia gorgés de sang. Les tétons mordus par les lèvres métalliques de puissantes pinces viraient maintenant au violet. "Approche" m'intima celle qui quelques minutes plus tôt m'avait fixé au cou un collier de cuir munis d'une laisse. "Le BDSM doit mêler plaisir et souffrance. Si la victime prend trop de plaisir, la tension sexuelle diminue et si la douleur prend le pas sur le plaisir, cela s'apparente plus à de la torture. L'art d'une maitresse et de trouver l'équilibre fragile entre les 2 faces de cette discipline.Je vais battre cette truie lubrique avec cette botte de paille. Vois tu, ses seins sont gorgés de sang, réceptifs à la moindre caresse, à la moindre douleur." Sonia remua fébrilement sur sa croix lorsque Madame chatouilla les aréoles boursouflés par les pinces. On pouvait lire un cruel sourire s'esquisser sur les lèvres de notre tortionnaire lorsque Sonia poussa un cri rauque assourdi par le bâillon. "Approche simon et vient bouffer la chatte de cette salope, regarde comme elle mouille" Je m'agenouillai et vis l'abondante cyprine ruisseler sur les cuisses de la domestique. Je glissai ma langue entre les grandes lèvres pour avaler ce nectar à la source lorsque Madame asséna sur les seins meurtris les premiers coups avec la botte de foin. Sonia ruait, essayait par tous les moyens de se soustraire à l'implacable châtiment mais ces dérobades semblaient accentuer la perversité de Madame. "Cale lui le bassin et continue de la brouter, si tu ne l'as pas fait jouir dans les prochaines minutes, il t'en cuira." Je m'appliquai à maintenir ma partenaire d'infortune en lui pompant le clito. Maitresse, de son côté, alternait griffures et baisers les tétons de la jolie garçonne qui prenait maintenant plaisir à cette double caresse. Sans prévenir, Madame retira les pinces qui entravaient ses mamelles. Le sang afflua massivement provoquant une vive douleur au moment même où elle jouit. Sous les ordres de maitresse, je détachait la jeune esclave pour la déposer sur un matelas crasseux. Maitresse m'ordonna de la tringler avec force. J'avais 5 minutes pour jouir après quoi, mon sexe retournerait dans sa cage. Aussitôt, je pénétrai le sexe chaud de Sonia. vaincu par tant de perversité, elle poussa un léger gémissement lorsque je lui fis relever les jambes pour que mon sexe vienne buter au fond de sa grotte humide. Puis je la ramonai d'abord lentement puis plus vigoureusement. Il fallait que je jouisse, Madame chronométrait. Mais le préservatif retardant anesthésiait complètement ma queue. "1 minute" lança Madame Je m'activai plus que jamais, mes couilles claquaient avec frénésie le pubis de la domestique languide. J'étais au bord de la jouissance quand Madame annonça avec satisfaction la fin du temps imparti. "Tu n'es qu'un bon à rien" me dit-elle en contemplant ma queue encore raide. "Tu es incapble de jouir avec une femme..." Elle fixa mon collier à un anneau puis amena Sonia dans un box voisin. "Tu t'occuperas des domestiques, tu me les remettras d'aplomb, elles doivent encore servir cette semaine..." lâcha Madame mystérieusement. Pour le moment, couche toi. Je m'executai croyant pouvoir profiter des faveurs de Madame. Après tout, j'avais obéi scrupuleusement à ses ordres. je me laissai menotter au sommier et lorsqu'elle banda mes yeux, je crus que le moment tant attendu arriverait. Madame avait retiré le préservatif et me branlait langoureusement. Ma queue, peu à peu, retrouvait des sensations. Puis tout cessa. Mon sexe sous l'effet du viagra quémandait encore quelques caresses, quelques minutes pour pouvoir libérer ses tensions. Soudain, quelque chose vint se fixer à ma verge. Puis un bruit mécanique et ma queue fut aspirée par une trayeuse. Madame me retira le bandeau des yeux pour que je puisse voir le spectacle. "Je reviens dans une heure pour te remettre sous cage" susurra-t-elle. "Toi qui voulais jouir, te voilà servi".
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Par : le 21/06/22
Depuis presque dix ans maintenant tu habites en moi ... ou plutôt, je vois depuis des années que tu habitais en moi. Nous n'avons pas toujours été d'accord. Te souviens tu les premiers temps comme tu m'étais interdit ? Oh que j'avais peur de toi ! Oh que je te désirais ! Il avait suffit que la première Muse évoque une idée mythique, digne d'un scenario de mauvais polar : Et si le meilleur de moi était mû par le pire de toi !? Merde ! Moi qui ai construit mon être pour devenir Jésus, tu es le Satan que j'ai laissé se former par excès de zèle. Non ne parlons pas de la première Muse s'il te plaît, tu sais que je ne veux plus que tu la regardes ! Surtout depuis qu'elle me regarde enfin ... Au début tu étais bien caché au chaud et tu m'as donné des sueurs froides. C'est dire que j'ai toujours eut une imagination fertile, et toi coquin tu savais semer en moi ! Je récoltais le courroux de mes valeurs insécables, le plaisir coupable de mes mains bonnes à briser. Quelles hontes ! Quels supplices je t'ai fait endurer ! Quelle culpabilité tu m'as fait ressentir ! Dans quelle folie j'ai crains que tu me fasses sombrer ! Puis on s'est apprivoisé par les mots, comme j'apprivoise toute chose : intellectuellement et sensiblement, en poésie. Tu te souviens ces nuits blanches à faire crever de fantasmes des inconnus par scenarios/jeux de rôles ? Tu te souviens ces poèmes glauques et érotiques que je brûlais de suite ? Tu te souviens cette pornographie hardcore qui me laissait le goût étrange de te violer ... toi, le violent de nous deux ! Non, j'ai vite compris ce que tu désirais. Et ce n'était pas quelque chose de sale ou de morbide au final. C'était la même chose que moi. Tu m'as épuisé les premiers temps à gesticuler comme ça dans mon être aux contours trop présents, et je t'ai boudé pour ça le plus souvent. Et le pervers des deux c'était moi, car je revenais toujours vers toi quand tu étais enfin calmé ! On a appris ensemble à se respecter à force de cette respiration entre nous presque méditative et pour la première fois j'acquis la sensation d'avoir un contrôle rassurant. Je savais que tu ne disparaitras pas, jamais. Alors que moi, je peux disparaitre. On est resté plus longtemps en bon termes qu'en mauvais finalement ! On est resté bons amis et on se donnait quelques nouvelles parfois. Trop occupé que j'étais à vivre là dehors ces aventures humaines dont tu n'avais cure. Oui on a écris beaucoup de poésie ensemble c'est vrai ! Comment oublier ? On a séduis tant de muses d'un soir sur les forums et sur les chats de ce pays kinky. On ne faisait pas de mal, on s'expliquait dès le début : Je suis un poète, et vous allez m'a Musé s'il vous plaît. On a jamais eut de relation D/s virtuelle. On a jamais pris le risque de faire du mal à qui que ce soit. On a appris beaucoup de choses sur nous grâce à ça. Rencontrer beaucoup de personnes, surtout des femmes, d'une grande intelligence qui révélaient finement et sensiblement les tenants et aboutissants de notre relation à toi et moi. Merci à elle toutes. Et quand on a été prêt : elle est arrivée. La seconde Muse ... Dieu qu'on l'a aimé tout les deux ! Et par tout les poètes, lequel de nous deux a-t-elle aimé !? Je crois qu'elle te désirait et qu'elle m'aimait. Rarement l'inverse. Nous on l'aimait et la désirait autant l'un que l'autre. On a rarement été tout les deux aussi d'accord qu'avec elle. C'est une autre histoire mon ami, nous n'en parlerons pas ici. La où je voulais en venir c'est aujourd'hui. Là maintenant. Il nous a fallu bien des années, bien des mots et bien des rencontres pour se retrouver si proche l'un de l'autre comme on l'est aujourd'hui. Va savoir, peut-être qu'un jour, nous ne serons plus qu'une seule et unique personne !
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Par : le 21/06/22
Au 'chômage depuis un moment, je voyais le marché de l'emploi se refermer peu à peu. Les aides déjà s'amenuisaient et la perspective du RSA n'avait rien de réjouissant. Il n'est pas si facile de trouver un boulot en passant de l'autre côté de la rue pour un presque quarantenaire dont les jobs consistaient essentiellement à traduire des notices d'appareils ménagers domestiques et à cachetonner dans les piano bars. L'arrivée des traducteurs en ligne avait définitivement mis fin à ma carrière de traducteur et les bars en cette période de COVID ne recrutaient plus. Bref, je ramais depuis un moment regardant l'argent fondre de mon compte en banque comme l'ours blanc regarde la banquise fondre sous lui. Sans véritable attache familiale, sans véritable ami, trop fier pour demander de l'aide, je restai enfermé chez moi par cet été caniculaire. Les journée étaient rythmées par des recherches sur pôle emploi et le visionnage de films pornos. Si ces sites étaient payants, j'aurais sans doute été ruiné depuis bien longtemps. Sur un forum dédié à la recherche d'emploi, une annonce un peu étrange attira mon regard. "Recherche valet pour entretien de notre demeure "Cette personne devra effectuer des tâches ménagères, de jardinage et d'intendance "Elle aura la possibilité de distraire Madame "La maîtrise du piano serait un plus "Le savoir vivre, la discrétion ne sont pas une formule mais une règle que le postulant devra appliquer avec la plus grande fermeté "La propriétaire assure le gîte et le couvert ainsi qu'un salaire d'un montant de 1900 euros brut par mois (primes non incluses) "Contacter Madame K pour tous renseignements au "56 chemin du Petit Parc Rambouillet, Domaine Les chasseressesannonce était pour le moins bizarre, le ton employé avec le mot "fermeté", la "possibilité de distraire Madame", tout cela faisait vraiment très 19ème siècle. Je souriais intérieurement en imaginant une vieille rombière pleine de principes. Le genre de vieil maudissant à l'époque actuelle tout en regardant avec tendresse la photo de son défunt mari. La fin du message confirma ma première impression. il n'y avait pas de téléphone, juste une adresse où postuler. Peut être cela valait il la peine d'essayer. Le domaine des "chasseresses" offrait un bon salaire et sûrement pas mal de temps libre. L'idée de quitter Paris, de me rapprocher de la nature m'avait traversé l'esprit en cette période de confinement. Coincé sous les combles, mon logis devenait par cette chaleur un vrai four, se rapprocher de la forêt, de sa fraicheur me ferait le plus grand bien. Je pris donc ma plus belle écriture afin de répondre à l'annonce. Je laissai mon mail et mon numéro de téléphone souriant intérieurement de l'incongruité de ces renseignements pour celle qui, j'imaginais, serait une octogénaire à cheval sur les principes. Le lendemain, je trompais l'ennui sur internet lorsqu'un message me parvint d'un étrange Domainedeschasseresses@gmail.fr "Monsieur, votre candidature a été étudié avec attention, "Veuillez vous rendre au domaine pour subir une période de mise à l'essai dès demain 11 heures afin d'évaluer vos compétences Encore une fois, cette Madame K ne manquait pas d'audace, elle m'ordonnait de me rendre chez elle pour "subir" selon ses mots une mise à l'épreuve. Je l'imaginais plus jeune en maitresse d'école. Peu souriante, vêtue d'une robe longue et austère , elle devait régner sur sa classe à la baguette. Moi qui avait toujours eu des rapports complexes avec l'autorité, je me voyais déjà me prélassant dans cette vaste demeure pendant les longues siestes de Madame. Et puis, 1900 euros, la possibilité d'une bonne paye, même pour quelques mois, me plaisait aussi. Le lendemain, j'enfilai mon unique costume, pris le train jusqu'à Rambouillet. Arrivé à la gare, il m'a fallu louer un "Uber" pour me rendre chemin du Petit Parc. L'adresse était en dehors de Rambouillet, perdue dans la forêt. Les arbres centenaires se refermaient sur mon taxi d' (in) fortune recouvrant de leurs couverts ombrageux le chemin mal carrossé que empruntâmes. "C'est paumé chez vous," lança le chauffeur pour rompre la glace. oui possible, mais c'est aussi là que je postule pour un job...Un travail d'homme à tout faire" dis je, fier à l'idée de gagner de nouveau de l'argent, de retrouver une dignité." "C'est encore loin? " Dis je maussade à l'idée de passer mes journées loin de toute grande ville et de toute distraction. Le chauffeur sourit de toutes ses dents comme pour partager mon bonheur. Il me détailla ses difficultés, l'idée de faire Uber mais voyant que je n'écoutai qu'à demi son monologue, il m'annonça que 8km me séparait désormais de mon nouvel emploi. Un peu stressé, j'avais arrêté d'entretenir la conversation "Ca vous dérange si je met RTL?" S'enquit celui qui sans le savoir allait bouleverser ma vie. "Faites" dis je en consultant mon téléphone portable. La radio crachota quelques paroles indistinctes tandis que mon portable annonçait la fin du réseau. Le chauffeur me regarda ennuyé et presque navré pour moi. "Ce doit être une zone blanche" Nous arrivâmes à destination. Il s'agissait d'une porte d'acier forgée il y a bien longtemps, les arabesques dessinaient un K stylisé comme à l'époque victorienne. Le chauffeur déposa mes bagages au sol et repartit rapidement, heureux de regagner la civilisation. La grille s'ouvrit seule, majestueusement. Sur le moment, j'étais presque inquiet mais je compris lorsque je perçus une caméra perchée sur un chêne en bordure de la propriété. Je m'engageai dans le domaine non sans jeter un œil aux hauts murs couverts de tessons qui jetaient leurs ombres sur l'allée principale menant à la propriété. J'étais déjà dans le sous bois menant au jardin lorsque la porte se referma dans un bruit métallique. A l'époque j'étais loin de penser que cette porte scellerait celle de ma vie passée. Le sous bois franchi, le domaine des chasseresses s'offrait à moi. La demeure, plutôt massive, comportait 2 étages avec balcon. deux petites tours défiaient la cime des arbres, donnant aux propriétaires une vue imprenable sur la forêt. Je longeai un joli jardin à la française qui, comme moi, aurait eu besoin d'un rafraichissement, puis je contournais une fontaine où une diane d'albâtre terrassait un serpent en le foulant de ses pieds. Finalement un double escalier de marbre me permis d'arriver sur le perron. Une jeune fille en livret de domestique m'y attendait. Mains jointes, les yeux rivés sur son tablier de dentelle, elle rajusta sa coiffe lorsque je vins à sa hauteur. "Madame vous demande de l'attendre un moment " dit elle en m'indiquant le hall d'entré où une banquette m'y attendait. Je m'assis, heureux de trouver un peu de fraicheur tandis que la domestique montait à l'étage. La fille était jolie, belle même. Son uniforme quoique strict mettait en valeur la jeune fille. Derrière le chignon serré, on imaginait une chevelure fougueuse, blondie par le soleil. Sous le triste tablier blanc et la chemise noire brodée des seins lourds aux aréoles dressés pointaient. Le rouge à lèvres légèrement vulgaire dessinait ses lèvres charnues. Une tension sexuelle habitait visiblement ce lieu. Je fus dérangé dans ma rêverie par le bruit de talons aiguilles martyrisant le damier du sol. Une silhouette me faisait face dans le contrejour du couloir. Aveuglé, je cherchai à distinguai celle qui de son ombre me dominait. "Allons à mon bureaux" dit elle en gagnant prestement l'extrémité du couloir. "Dépêchez vous un peu" lança t elle sèchement tandis que je ramassai mes bagages. Le bureau était spacieux et Madame déjà installé lorsque je franchis la porte. Assise, elle me regardait admirer les curiosités et les objets rares qui peuplaient le lieu. Ses yeux aciers vinrent se poser dans les miens. Contre toutes attente, Madame n'était pas octogénaire. La cinquantaine tout au plus. Ses traits étaient fins et pouvaient certainement être durs. Sa coupe de cheveux, un carré dégradé renforçait ce coté dynamique qu'elle avait. Elle se cala dan son fauteuil, ajusta sa veste de chasse sur son chemisier blanc et me fit signe d'approcher. Je cherchais une chaise mais n'en vis aucune et restai donc debout face à elle. Mon embarras parut la satisfaire. Un mince sourire s'affichait sur ces fines lèvres. Quelque chose de magnétique m'attirait chez cette femme, quelque chose d'indéfinissable, comme un penchant un peu malsain. "Bonjour Simon, tu permets que je t'appelles ainsi puisque c'est ton prénom" Le ton était froid, presque tranchant. il n'impliquait en aucun cas une forme de réciproque. "Je lis que tu as une expérience de jardinier, quelques mois dans un restaurant également ainsi qu'une formation au conservatoire, un premier prix de piano." J'opinai du chef, la bouche un peu sèche à l'idée qu'elle découvre les petits mensonges distillés dans le CV concernant mes compétences dans les domaines manuels.Madame jouait avec son collier de perles tout en me parlant. Sans le vouloir mon regard fut attiré par ses mains blanches qu'on devinait douces, ses mains qui manipulaient de façon hypnotique les perles et dessinaient de mystérieuses arabesques. "Dites, vous m'écoutez ou vous regardez mes seins!" se fâcha celle qui dirigeait le domaine. Je bafouillait, m'excusant confusément mais elle ne parut pas satisfaite. L'obéissance, au domaine devait être totale, il n'était pas permis de resquiller ou d'avoir des pensées d'ordre sexuel. Madame avait du personnel à gérer, elle n'entendait pas que sa demeure se transforme en un "bordel". Elle sonna Mademoiselle Sonia, une jeune fille d'une vingtaine d'année. Sonia portait une jupe et un sous pull en fines mailles noires. Comme l'autre jeune fille, elle n'avait pas de soutien gorge et on pouvait deviner les piercing qu'elle avait sur chacun de ses tétons. Sans rien laisser paraitre, la brunette à la coupe garçonne me fit faire le tour des cuisines, du salon et du jardin précisant les tâches les plus urgentes à accomplir. Elle me présenta ma chambre. Celle ci était au second, un œil de bœuf donnait sur la piscine du jardin. La chambre ou plutôt la cellule était monacale, un lit à ressort, une table de chevet, une penderie et un tapis de sol constituaient avec le lavabo les quelques aménagements de ces 9m². Je remerciai Sonia qui quitta la chambre non sans l'avoir fermée et vis qu'on avais posé sur le lit un uniforme noir ainsi qu'un bouillon clair et une tranche de pain sur la table de chevet. Il était passé midi et mon estomac gargouillait. J'allai entamer mon maigre déjeuner quand un objet attira mon attention. Il s'agissait sous l'uniforme d'un objet oblong, court et courbe. A coté, une notice pour l'enfiler avec une note de Madame. "Nous ne tolérons pas les écarts à la conduite, "Toute faute fera l'objet de sanction "Lisez la notice et enfilez cette cage de chasteté. "Vous pourrez sortir de votre chambre après la sieste soit dans 2 heures. J'hallucinai! Mon employeur ne maquait pas de culot. Je voulus lui dire en face que les employés avaient des droits, j'essayai d'ouvrir la porte avant de me souvenir qu'elle était close. Je pestai, tournai en rond dans ma cellule puis finalement, appâté par le salaire et l'ambiance étrange du domaine, je me résolus à porter cette cage. Lorsque Sonia ouvrit la porte de ma chambre, ses yeux trainèrent sur mon pantalon. On pouvait clairement deviner la bosse dessinée par la cage qui enfermait mon sexe. "Je vois que tu as accepté" me dit-elle d'un sourire énigmatique. Humilié, je fulminai. Même les employées étaient au courant de cette chasteté imposée. Je devins rouge pivoine et tentai une échappatoire. J'allais me plaindre auprès de Madame, cela ne pouvait se passer comme ça. On ne pouvait isoler ses employés en les enfermant dans leur chambre et les traiter ainsi. Remonté comme une pendule, j'ouvris la porte du bureau un peu violemment. Madame pianotait sur son ordinateur et mon entrée fracassante lui fit froncer les sourcils. Elle se leva et pris machinalement une cravache qui trônait sur son bureau. Elle était magnifique. Sa tenue de chasse mettait en évidence ses formes et j'eus du mal à me concentrer lorsque ses yeux perçant s'abattirent sur moi tels des rapaces sur leur proie. Elle se leva et fit claquer dans ses mains la cravache comme pour tuer dans l'oeuf toute forme de contestation de son autorité. "Je suis occupée simon, qu'as tu à me déranger? Elle tournait maintenant dans la pièce et vint se placer derrière moi. je sentais son parfum capiteux m'envahir. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, je ne savais plus quoi dire. Curieusement, mon sexe se débattait dans sa cage métallique. Complètement confus, je me perdis en excuses. "Vois tu, pendant que tu penses à ton petit confort personnel, à ta queue qui en ce moment aimerait bien pouvoir se raidir devant mes domestiques; moi je travaille. Je passe des contrats. Je fais en sorte que mes serviteurs ne manquent de rien. "Annonça t 'elle en s'asseyant sur son bureau. J'étais maintenant face à elle qui écartait largement les cuisses les 2 mains refermées sur sa cravache. "Maintenant, que ta minute de protestation est passée, je te conseille de te mettre rapidement au travail. La taille des arbres et des arbustes doit être exécutée rapidement. Quand tu auras fini, ce ne sera pas du luxe de rafraîchir les peintures dans vos chambrées. Et puis... Tu es trop gras, il est plus que temps de te mettre à l'exercice et à la diet. Tu peux disposer, je n'ai plus besoin de toi ici." Je retournai à mon nouvel emploi penaud. Les filles préparaient déjà le déjeuner. Je m'assis pour prendre mon petit déjeuner voyant le plateau qu'avait à peine touché Madame. Les viennoiseries, le jus d'orange pressé dans sa carafe de cristal me faisaient de l'oeil. lorsque Prune, la blonde pulpeuse déposa devant moi un porridge froid et gluant,je m'esclaffai. "Tu ne peux pas me donner ce truc à manger alors qu'il y a des croissants et du jus d'orange pressé sur la table!" "Ordre de Madame" décreta Prune dont les seins lourds et les hanches rebondies invitaient tant à la caresse. Je mangeais la bouillie insipide rapidement sans prêter attention aux chuchotis et rires étouffés des filles. La journée fut consacrée au jardin et particulièrement à l'art topiaire. Même avec la meilleure volonté du monde, le résultat ne fut pas des plus brillants. Le soir tomba rapidement et après un bref dîner avec Sonia et Prune (un bouillon clair), on me renvoya dans ma chambre. Je notai cependant un changement, on avait laissé la porte ouverte de ma "cellule". La confiance semblait tout de même se gagner. La nuit, je fus réveillé par des bruits étranges provenant du bureau. Des plaintes s'échappaient de la nuit entrecoupées de claquements secs. Intrigué, je descendis à pas de loup pour surprendre un éventuel cambrioleur. La porte du bureau était ouverte. J'y jetai un oeil discret. Prune avait les deux mains sur le bureau de Madame. Complètement nue, elle présentait son cul rebondi aux lanières de cuir qui claquaient et imprimaient de jolies boursouflures sur la peau de pêche de la domestique. Pour éviter qu'elle ne crie, un bâillon l'entravait. Un filet de bave s'échappait rendant la scène un peu plus obscène. "Tu as mérité ce qui t'arrive ma petite Prune et tu connais le châtiment. Je vous ai vu vous caresser toi et Sonia. Avez-vous eu mon autorisation?" Sans attendre la réponse, elle cala un énorme gode ceinture entre les fesses de l'infortunée soubrette. L'engin était de bonne taille et comportait des aspérités qui le rendait à proprement parler terrifiant. Sans plus de formalité, elle s'empala dans la chatte mouillée de Prune qui émit un long feulement. "Tu veux jouir, petite salope, tu veux savoir ce que c'est d'avoir d'être bien ramonée" lança Madame comme pour l'humilier davantage Les pénétrations qui suivirent furent profondes, chaque coup de boutoir de Madame amenait sa victime à gémir. De ma cachette, je pouvais voir les joues de Prune en feu, son sexe baveux répandait sa mouille sur le parquet lustré. Madame passa à la vitesse supérieure. Elle agrippait maintenant les seins de sa victime, griffait ses hanches. L'autre beuglait assaillie par des vagues de plaisirs. Mon sexe cognait maintennant dans ma cage. j'imaginai Sonia en train de me sucer pendant que Madame besognait Prune. Avais-je fait du bruit? Madame jeta un coup d'œil dans ma direction et cessa ses mouvements. Le plus discrètement possible, je me retirai de ma cachette. la dernière image que je vis ce soir là c'est l'énorme sexe de latex sortir du con dilaté de la jeune domestique et le regard perçant les ténèbres de ma patronne. Si j'avais su ce qui m'attendai, j'aurai, cette nuit-là, agi tout autrement. lendemain et les jours qui suivirent furent relativement calmes. Madame K, comme elle désirait être appelée, m'ordonna de faire de multiples tâches. Je progressais peu à peu et trouvais un certain plaisir à ne plus réfléchir, à m'abandonner aux décisions de la maîtresse de maison. Le régime strict et l'exercice physique qu'elle m'imposait depuis mon arrivée avait fait fondre mes quelques kilos superflus. Affûté, j'étais assez heureux de ma nouvelle condition si ce n'est cette cage qui contraignait ma queue de jour comme de nuit. Cette tension peu à peu me pesait et je devenais plus irritable. J'avais l'impression que Sonia cherchait, en permanence, à m'exciter. Ces jupes toujours d'un noir sobre et rigoureux se faisaient de plus en plus courtes. Un jour, lors du déjeuner, Madame fit tomber sa fourchette. Sonia qui avait pour ordre de veiller à ce que notre patronne ne manquât de rien se baissa pour ramasser le couvert. Venant de la cuisine, je m'arrêtais à la hauteur de Madame pour voir l'appétissant spectacle. Les fesses musclées de la servante étaient mises en valeur par un porte jarretelle maintenant ses bas coutures. Madame referma sa main sur la mienne et me chuchota. "Vois tu Simon, ma demeure est pleine de petites salopes. regarde Sonia, elle n'a même pas pris la peine de mettre une culotte aujourd'hui" Tandis que la jeune domestique se relevait, Madame poursuivit ses confidences. "Je crois que Sonia mérite une bonne correction, elle sera punie comme Prune, elles veulent de la queue, elles vont en avoir". La froide étreinte se relâcha sur mon poignet puis d'un revers de main elle me chassait. J'étais sur le point de quitter la pièce lorsqu'elle m'ordonna de me rendre aux écuries à 16 heures précises. Je n'étais jamais allé dans cette partie du parc et il me fallut du temps pour retrouver le lieu isolé. Le SUV BMW de Madame m'indiqua qu'elle était déjà à l'intérieur. Dans ma tête je cherchais mille et une excuses pour éviter une sanction mais cette fois, je n'en eu pas le temps. Madame sortit d'un box, elle portait un legging en simili cuir qui mettait ses formes parfaitement en évidence. Instinctivement, je baissai la tête mais elle me releva le menton de sa main de cuir gantée. Ses yeux plongèrent dans les miens comme pour juger de ma valeur, je voulus baisser la tête mais sa main s'était refermée sur mon menton. Madame me parlait mais j'étais hypnotisé par ses lèvres d'un rouge carmin, son maquillage loin d'être austère réhaussait la beauté opaline de son fin visage. La sève montait dans mes bourses, gonflait inutilement mes testicules d'un plaisir qui m'était défendu. Madame lut mon malaise. "Déshabille toi " "ici?" Dis je très mal à l'aise. "Tu crois peut-être que je n'ai jamais vu une queue?" répliqua t elle d'un ton qui n'admettait aucun refus. Je m'exécutai et tentai de masquer mon sexe enferméedans sa cage chromée. Un coup de cravache s'abattit sur mes doigts qui cachaient mon pubis. Puis un autre. "Mains dans le dos!" aboya celle qui m'avait progressivement dressé à obéir. Sous le choc, j'obtemperai évitant de croiser les prunelles d'aciers de celle qui affichait un sourire sadique de satisfaction. D'un geste souple, presque habituel, elle libéra mon sexe de ses entraves. Aussitôt, le sang se mit à affluer et ma verge entra en érection. "Ce n'est pas si mal" lâcha Madame qui scrutait mon malaise avec délectation. Elle s'approcha de moi et m'enlaça. Je sentai ses tétons sous son fin chemisier. Ses cuisses serrées contre ma jambe, elle vint de sa main gantée de cuir presser mon sexe déjà dur. D'autorité, elle m'embrassa ou plutôt, elle prit possession de ma bouche. Sa langue imposait un jeu électrique à la mienne, tournait autour de la mienne comme un serpent autour de sa proie. Lorsqu'elle vit qu'un peu de liquide séminal perlait sur la paume de son gant, elle me le fit lécher de force avant de me glisser dans la bouche un comprimé bleu. "Du viagra..., tu en auras besoin pour ce qui t'attend". Entre dit elle en ouvrant les portes de l'écurie. Le spectacle, que je contemplai, aurait fait pâlir d'envie le marquis de Sade en personne. Sonia était crucifiée nu sur une croix, des traces rouges de flagellation parcouraient son corps. Ses seins étaient mordus par des pinces à linge qui lui faisaient déjà des ecchymoses. Des poids maintenus par une chaîne étaient fixés aux piercing de ses aréoles. La jeune fille nous regardait avec des yeux horrifiés se demandant quels jeux pervers Madame allait inventer. En face de la jolie brune, Prune était attachée à un chevalet. Un bâillon et un loup privaient la blonde plantureuse de la parole et de la vision. Si elle avait vu la scène, elle aurait rougi de honte, elle aurait vu le porte jarretelle de latex qui entravait son joli cul, elle aurait vu les marques rouges virant au parme sur ses fesses, elles aurait vu l'énorme gode qui pénétrait sa chatte humide et lubrifiée mais elle n'aurait pu crier. "Occupe toi de ces traînées simon" me dit-elle en me tendant une paddle cloutée.
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Par : le 21/06/22
Bilan de 3 mois de soumission avec vous Madame… Vous m’avez fait découvrir un monde que finalement je connaissais très peu… Avec vous je suis totalement sous votre emprise, je vous crains car je sais que vous pouvez être très sévère… Je me suis rendu compte que je devenais de plus en plus anal avec vous, je ne pensais pas y trouver un tel plaisir, et d’adoré souffrir pour votre plaisir entre cravache, cire, et pinces… et j'adore ma récompense de venir entre vos cuisses tout à votre plaisir très longuement... Vous êtes maintenant dans mes pensées au quotidien, et je vous supplie de continuer à me faire évoluer dans ma soumission, je suis à votre service totalement maintenant et le plus souvent possible 😍😘❤️
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Par : le 20/06/22
Maitresse Julia lâche 2 paires de bracelets en cuir devant moi. Je comprend tout de suite ce qu'elle souhaite et j'enfile rapidement les bracelets aux poignets et aux chevilles. Maitresse accroche les bracelets des poignets dans le dos et les chevilles ensemble grâce à des petites chaînes qui m'empêchent de me déplacer aisément. Elle me met debout, attache une laisse au collier que je portais depuis le début, me bloque la vue avec un bandeau et m'entraîne à sa suite dans les couloirs. Pieds nus, je la suis sur le sol froid du donjon. Nous atteignons une nouvelle porte. Maitresse Julia frappe à la porte. - " Entrez" répond une voix d'homme. Je vais être offert à un dominateur ? Je commence à avoir peur. Je ne souhaite pas être utilisé par un homme, c'est une limite que j'avais fixé depuis le début. Maitresse Julia me fait entrer dans la pièce, me fait avancer, m'oriente sur la gauche puis m'arrête. J'entend à nouveau la voix de l'homme en même temps qu'un coup de fouet mais pas pour moi  : - "Suce le" Je sens alors une bouche me lécher la bite délicatement. -" Bon, ils ont quand même respecté mes limites et choisie une soumise" pensais-je intérieurement. Cette pensée me rassure et je me laisse faire. Jusqu'au moment où j'entend Maitresse Julia ajouter : -" Toi aussi !" Je reste immobile, pensant qu'une deuxième soumise va nous rejoindre. Soudain, je reçois un coup de cravache sur mon cul. - "c'est à toi que je parle, petite lopette." En même temps, je sens que Maitresse  me pousse la tête en avant. Sans comprendre, je sens alors quelque chose dans ma bouche. Mais ça ne ressemblait pas à du caoutchouc ni à du silicone. Il me faut plusieurs secondes pour comprendre la situation : je suis en train de sucer un homme qui me suce en même temps ! Maitresse Julia me maintient la tête de façon à ce qu'il me soit impossible de reculer la tête suffisamment pour sortir cette bite de ma bouche. Elle me forçe à le sucer de longues minutes. Elle me retire le bandeau des yeux et je peux constater ce que je pensais. Un homme était attaché par les pieds, la tête en bas, les mains attachées dans le dos également. Et on se suçe mutuellement. Troublé, je ne sais pas comment réagir face à cette situation et me laisse faire par Maitresse. A suivre...
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Par : le 20/06/22
Premier jour de tournage. Je regarde Summer partir. C'est comme si c'était mon premier jour à la petite école... Pourquoi ma maman m'abandonne ? Ashley, pitié ! Arrête de bêtifier ! Oui, bon, ça va. "Mon assistante" me dit : — Je suis très contente de travailler pour vous, Mademoiselle. Vous êtes très belle. Vous allez devenir une star. Je l'aime bien, mon assistante. Je réponds : — C'est gentil... Dis, j'ai pas eu le temps de déjeuner, tu pourrais me trouver du café et quelque chose à manger ? — Certainement Mademoiselle, je vous conduis dans le studio et j'y vais. Mon assistante m’amène dans le hangar qui nous sert de studio. Madame Wolf, la productrice est là, assise derrière une table couverte de papier. Kim lui donne le papier de Summer. C'est une femme d'une cinquantaine d'années, plutôt forte et très noire de cheveux. Je lui serre la main... Elle me dit : — Tu es à l'heure, c'est bien, je vais te présenter l'équipe. Voici Lee Varella qui remplace le réalisateur que tu as vu. Comme on a dû changer de film, on change de metteur en scène. Monsieur Varella est le grand spécialiste des scènes de combats. Ensuite, elle me présente trois acteurs du film. Ceux qui vont jouer Jules César, Antoine et le frère de Cléopâtre. C'est lui, le plus séduisant. Je me taperais bien mon frère et les autres aussi d'ailleurs. Elle ajoute : — Tu tourneras certaines scènes avec une perruque, mais on a décidé que ce serait mieux que tu retrouves ta couleur naturelle. On va s'occuper de ça et de t'épiler aussi. À l'époque, les femmes étaient épilées. Pas les paysannes, bien sûr. Elle ne me demande pas si je suis d'accord. Mais bon, j'aime bien la couleur naturelle de mes cheveux et puis c'est à House of Pussies qu'ils avaient fait tout un cirque de ma ressemblance avec Marilyn. Elle n'aurait pas pu tourner Cléopâtre. Je ne discute pas, je suis une future star facile. Je vais avec Kim chez le coiffeur. Il est sympa... Elle m'apporte du café et des pains au chocolat, une spécialité française délicieuse ! Il y a d'autres coiffeurs et d'autres filles qui se font coiffer. Je dis bonjour de loin. Je mange plus ou moins facilement pendant que le coiffeur me teint les cheveux. Il travaille très vite. Il me dit : — C'est comme ça dans le cinéma, faut aller vite. On va laisser poser et l'esthéticienne va vous épiler. Ça ne vous dérange pas qu'il y ait du monde ? — Pas du tout... J'enlève ma robe et, pendant que la teinture "prend", une fille m'épile avec des bandes de cire, des aisselles aux chevilles. On le sent, mais je suis une star stoïque, c'est-à-dire que je crie mais pas trop fort. Ensuite elle m'enduit de crème pour que des marques rouges n'apparaissent pas. Elle pourrait continuer à me masser la chatte, mais le coiffeur m'installe dans un fauteuil. Il sèche mes cheveux qui sont dans les bruns et me coiffe à l'égyptienne, un chignon compliqué. Quand c'est fini, il me dit : — Venez vous regarder. Je vais devant un grand miroir et je me vois. Oh ! Qu'est-ce que je suis belle et plus nue que nue depuis que je suis complètement épilée. Des filles viennent aussi me regarder. Il y en a même deux qui me font des compliments, ça doit être rare dans ce milieu... L'étape suivante, c'est l'habilleuse. Aujourd'hui, c'est simple, une Noire sympa couvre ma nudité à l'aide de quelques voiles. Après ça, Cléopâtre retourne dans son palais, accompagnée de son esclave ou alors, Ashley retourne au studio avec son assistante. On croise des ouvriers et là, j'ai des vrais compliments : "Trop belle" "Toi quand tu veux" "Le plus beau cul du monde". Oui, les voiles ne dissimulent rien de mes charmes. Cléopâtre fait de grands sourires à ses sujets. On arrive dans le studio. Ils sont surpris de me voir, même Madame Wolf. Elle me dit : — Si tu joues bien... on va faire un carton, petite. Je dois absolument me souvenir de ce que j'ai appris chez les sœurs. Si je joue bien... je pourrai avoir ce que je veux. La première scène, j'en ai déjà beaucoup parlé. Cléopâtre est au pieu avec son frère et ils parlent politique en se caressant. Miracle à Hollywood : je me souviens bien de mon texte et je joue bien... On fait la scène en plan-séquence, c'est-à-dire sans interruption. Monsieur Lee me dit : — On recommence la réplique 24. Toi, joue de la même façon, Ashley. Cool, on refait quelques répliques et c'est bon, Madame Wolf nous dit : — On refait toute la séquence, mais nus tous les deux. Oui, il y a une version érotique... Je serais même partante pour une version hard. On refait la scène, nus... Mon frère me caresse la hanche puis un sein. On termine par un baiser de cinéma, sauf que j'ouvre un peu la bouche et que la langue de mon frère envahit ma bouche. J'aime bien le cinéma ! On doit refaire certaines scènes nues, mais dans l'ensemble je suis bonne à la première prise. À midi, je mange avec Madame Wolf, le metteur en scène, les comédiens, le chef opérateur... Les figurants et les techniciens sont à une autre table. Je suis à côté de Madame Wolf, elle est contente, tout se passe bien. On mange froid et c'est bon... À la fin du repas, je vois arriver une jeune femme dont le visage me dit quelque chose. Quand elle embrasse Madame Wolf sur la bouche, je me souviens d'elle ! C'est la petite garce qu'on a rencontrée au sommet de l'immeuble. C'est elle qui jouait les esclaves et qui m'a dit que je devais utiliser un déodorant. Elle n'a plus de collier ni de tunique qui laisse voir un sein, mais un jean et un chemisier sans manches, tout bêtement. Elle dit bonjour à tout le monde. À moi, elle dit : — Alors, tu travailles bien ? Vous voyez le ton condescendant ? C'est Madame Wolf qui répond à ma place : — C'est surprenant, mais elle joue bien. Pourquoi surprenant ? Elle me dit : — Je dois partir. Quand je ne suis pas là et Summer non plus, c'est Sarah qui nous remplace. Fais ce qu'elle te dit ! — Mais... elle n'est plus votre esclave ? — C'était un déguisement, sotte. On revenait d'une soirée. Elle s'en va... Je râle... J'entends que Sarah discute dans une langue que je ne connais pas avec la script. Tout est bizarre chez cette fille, mais ce qui est sûr c'est que je n'en veux pas ! Summer, je l'ai choisie... et j'y suis attachée, mais celle-ci, elle n'a rien à me dire. On termine le repas et on reprend le tournage. J'ai du mal à me concentrer. Monsieur Varella me dit : — Qu'est-ce que tu as ? Tu étais si bonne ce matin. Sarah, la petite connasse, dit : — Je sais ce qu'elle a, je vais arranger ça. Elle se lève et me prend brutalement par une oreille. Je crie : — Vous me faites mal ! Je suis obligée de le suivre pliée en deux.   Elle m'entraîne dans un coin du studio et me colle contre un mur, puis elle met son visage à 3 cm du mien. Elle est dans ma bulle !! Elle me dit : — Ou tu joues aussi bien que ce matin, ou je prends un des fouets et je te punis devant tout le monde ! Tu as compris ? — Mais... — Pas de mais. Tu as compris ? — Ouiii.... — Oui, qui ? — Oui Mademoiselle Sarah. — Bien... À propos, tu n'as toujours pas mis de déodorant, toi ! Elle rit ! Je m'en fous ! Je le dirai à Summer et elle lui fera sa fête à cette petite garce ! En attendant, je vais me concentrer et bien jouer... Ensuite, je m'occuperai d'elle... enfin, pas personnellement ! Je recommence la scène que j'avais ratée et cette fois, c'est bon. Tout le reste se passe bien car je suis très concentrée. En fin d'après-midi, Summer arrive... et tandis que je vais me démaquiller, je vois qu'elles discutent toutes les deux. Summer va lui dire ! Quand je reviens habillée et démaquillée, je vois qu'elles boivent une bière et discutent ensemble. Pire, elles rigolent. Je vais près d'elles. Summer me dit : — Alors, ça s'est bien passé ? — Oui, sauf elle qui m'a menacée ! Je m'en fous, je le dis. Summer répond : — Qu'est-ce qu'elle t'a fait, pauvre petite ? Elle se fout de moi ? Sarah lui dit : — Elle râle parce je lui ai dit qu'elle sentait la transpiration. Je dis très vite : — Pas que ça... Toi, je t'ai choisie et tu es payée et... Sarah me coupe et dit à Summer : — Tu vois ? Tu sais ce qu'on devrait faire ? Elle se penche et parle à l'oreille de Summer. Eh ! Mais c'est pas poli ça !! Et ça dure ! À la fin, Summer éclate de rire, puis elle dit : — D'accord, on fait ça. Quoi ?? Qu'est ce qu'elles veulent me faire ? Summer me dit : — On va faire un jeu de rôle. Après ça, tu obéiras à Sarah aussi bien qu'à moi. Ton mental acceptera l'idée. Qu'est-ce que c'est, ce charabia ? Je réponds : — Tout le film repose sur moi. Si on me fait mal, je ne tourne pas demain, je le jure.... Je dirai à Monsieur Sam et aussi à Madame Wolf et aussi à mon agent qui est très influent et... — Et au Président et au pape ? Elles rigolent toutes les deux. Sarah me dit : — On ne va pas te faire mal, on va jouer.... On disait que tu étais une esclave en fuite... Elle se tourne vers Summer, qui ajoute : — Et nous, on est des chasseurs de primes. On doit te rattraper et te ramener au "Slave Paradise" où tu seras vendue. Ce qu'il reste de techniciens et de figurants s’est rapproché pour voir le spectacle. Je leur dis : — Je ne m'enfuis pas, je me rends. — Ah non, c'est pas du jeu. Cours... — Mais non, je... — COURS !!! Je cours et bien sûr, elles me rattrapent. Qu'il est con, leur jeu... Mais elles ne font pas que m'attraper, elles me déshabillent. Je crie : — Je ne joue plus, lâchez-moi... Au secours ! Ceux qui regardent ne bougent pas, ils sont ravis du spectacle. Elles m'attachent les chevilles et les poignets dans le dos. Ensuite, elles me mettent une large bande de tape sur la bouche. Je veux crier "Vous n'avez pas le droit, je me plaindrai" mais tout ce qui sort de ma bouche, c'est "mmmmfffff". Deux techniciens me prennent par les pieds et les épaules. On va vers le parking. Comme on croise des gens, j'essaie de me débattre, mais les hommes serrent leurs prises et j'arrête... Une femme demande : — Qu'est-ce qu'elle a fait ? Summer répond : — C'est une esclave qui s'est échappée, on la ramène à son propriétaire. Cette fois, je veux crier "C'est pas vrai, on m'enlève !" mais ça fait de nouveau "mmmmfffff". La femme dit : — Faudra la fouetter pour qu'elle ne recommence pas. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 20/06/22
Elle est de tristesse ou de joie Elle ne connaît pas très bien l'heure Elle s'enlève du bout des doigts Ou bien dans un mouchoir elle meurt Si elle habille tes yeux bleus D'un petit voile de rosée C'est qu'elle souligne tes aveux D'un verte triste ou bien gai Quand elle s'élance lentement De tes paupières aquarelles Elle ruisselle en gros diamants Goûtant tes lèvres sensuelles Elle s'accoude à nos paupières Et regarde la vie passer Elle est pure elle est sincère C'est le sujet du verbe aimer C'est la maîtresse de nos yeux Qui nous invite de temps en temps Que l'on soit jeune ou bien vieux A faire parler nos sentiments Une larme c'est un câlin Que l'on pose le matin Sur le front d'un bambin Ou dans le creux de ta main Une larme c'est pourquoi Une larme c'est pour qui Une larme c'est parfois Le miroir d'une vie​. Les larmes jolies témoins de nos sentiments profonds et souvent les plus purs... Le 19 06 2022
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Par : le 20/06/22
Un jour, j'ai fait connaitre le plaisir anal à mon amant.
J'ai commencé par lui caresser l'anus pendant les fellations et il s'est laissé faire , il faut dire que lui me léchait l'anus pendant les cunnis et que j'avais accepté la sodomie dès nos premières relations sexuelles, je lui avais demandé si il avait eu des relations homos, il m'avait répondu qu'il n'était pas du tout attiré par les hommes, j'avais rajouté que si cela le gênait, je ne lui toucherai plus les fesses, il m'avait dis que non, qu'il aimait bien, fait par une femme. 
Un jour, pendant une pipe, je lui ai demandé d'écarter les jambes pour lui lécher les testicules, il adore, et ma langue a glissée dans sa raie que j'ai léchée de tout son long en m'attardant sur son petit trou qui ne s'est pas contracté et j'en ai profité pour le masser en cercle en le lubrifiant avec de la salive. 
Il s'ouvrait sous mes caresses, j'ai raidie ma langue et l'ai fait pénétré dans son orifice, je le branlais d'une main et lui écartais les fesses de l'autre, il avançait le bassin à la rencontre de mes pénétrations, ce qui me fit passer au niveau supérieur de l'initiation au plaisir anal, le doigtage. 
Couvrant mon index de salive, je le fis pénétrer doucement dans sa rosette de puceau, il eu un sursaut et je lui demandais s'il voulait que j'arrête, il dit non, je dis tu aimes?, il bredouilla, gêné, que oui, alors la, je lui annonçais d'une voix suave, que j'allais l'enculer avec mes doigts, il ne dit rien et je demandais, tu veux que je t'encule?, il dit oui, et je lui enfonçais entièrement mon index, et je commençais des vas et viens dans son sphincter tout en continuant à le masturber. 
C'était serré, sa rondelle vierge ensairait mon doigt, je déposais de la salive dessus et mon index coulissa mieux, je le ressortis pour aussi le lubrifier et mon majeur aussi et lui enfonçais les deux doigts dans son cul, doucement, il poussa un râle de douleur et de plaisir mélangés, j'enfonçais toujours et lui dit de pousser pour détendre son sphincter, il poussa et mes doigts le pénétrèrent entièrement, j'enculais un homme, je mouillais comme une chienne et me frottais la vulve sur les plis des draps pour me donner du plaisir, j'animais mes doigts dans son anus, les écartant, les vrillant, je les retirais et les renfonçais, je sentis sa queue palpiter, j'accélérais le vas et viens, il cria et son sperme gicla très haut, plusieurs jets, son anus s'est resserré autour de mes doigts pendant l'éjac et je l'ai limé à fond, j'ai jouie de le voir jouir. 
Depuis, nous sommes passés aux pénétrations avec vibros puis godes ceinture, une fois je lui ai mis un concombre devant une amie qui voulait savoir comment faire avec son amant, cela l'a vraiment excité de se faire enculer devant une femme, et je lui ai demandé de se faire dépuceler par un homme bien qu'il soit hétéro, il faut qu'il connaisse le plaisir d'une vraie bite dans l'anus, ça n'a rien à voir avec un gode, et j'espère assister à cela, pour vraiment le soumettre et en faire une vraie lopette.
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