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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Le joli texte "Convictions" de Carcosa me fait penser à un texte sur les réunions sécrètes que j'avais écrit dans le passé.
En voici une copie ci-après.
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Me voici à la porte de mon Palais. J’ai revêtu le plus riche de mes costumes, fait d’étoffes rares aux couleurs de la nuit, noirs soyeux, bleus profonds, liserés mauves, parsemé d’étoiles scintillantes et de fils d’or, chemise à col de dentelle du Béguinage de Bruges.
Je couvre mes épaules d’une large cape, ceins ma tête d’un tricorne noir brodé d’or, place sur mon visage un masque aux motifs complexes marqué d’un L mêlé aux armes de ma noble maison.
Je saisis fermement ma canne-épée au pommeau d’argent.
J’aime son contact dans ma main.
Je monte sur la gondole qui m’attend et la laisse filer sans bruit vers la réception donnée par mon ami le Duc de Lodi.
Je suis maintenant dans la grande salle richement décorée.
J’aime le ballet des éclairs des peaux diaphanes des femmes nues, fragiles et envoûtantes flammèches se détachant sur les habits sombres des hommes masqués.
Mais voilà qu’un frémissement parcourt l’assemblée. Il se dit qu’une femme à la beauté admirable vient de faire son entrée provoquant, à la découverte des courbes voluptueuses de son corps l’émoi des premiers invités qu’elle vient de croiser.
La foule s’écarte.
Elle avance, à la fois intimidée et brave, inquiète et noble. Ce doit être la première fois qu’elle est conviée à une de ces fêtes de tous les interdits.
Je redresse ma tête, intéressé, attentif.
Elle semble chercher une aide, un mentor.
Bien sûr elle ne reconnaît personne.
Elle doit faire un choix. Tourne sa tête de toutes parts.
Nos regards se croisent. Ils se fixent.
Ses pas changent de direction, ils la conduisent sur moi.
Je suis immobile.
Elle vient presser son corps contre mon flanc, en signe de choix, de demande, d’allégeance.
Je penche légèrement ma tête afin de percer son regard et lire dans son âme.
J’y vois une grande noblesse et une sorte d’abandon propice à l’entraîner, pour peu qu’elle soit bien guidée, dans la plus étourdissante des débauches.
Les appâts de son corps lascivement dévoilés appellent mes mains.
Mes doigts s’emparent d’un de ses tétons impudiquement érigés et le pincent délicatement.
Je sens l’exquis frémissement de son corps tout au long de mon côté. Sensation délicieuse.
En signe de possession, je passe ensuite son bras autour de sa taille d’une extrême finesse, effleure sa croupe d’un mouvement lent.
Moments délicats et troublants des premiers contacts.
La belle s’abandonne.
Voulant tester son obéissance avant la décision d’en faire ma partenaire pour cette nuit à nulle autre pareille, j’abats ma main en une claque sèche et sonore sur l'une de ses fesses magnifiques. Quelques rires feutrés semblent vouloir débuter.
Je relève imperceptiblement la tête, ils s’arrêtent net.
Je l’entraîne alors dans une valse folle prélude à la folie de nos proches ébats et aux exaltantes dépravations que je me promets de lui faire
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Une scène de domination :
Elle paraissait si fragile et si vulnérable, seins nus, ne portant pour tout habit que des bas soutenus d'un porte-jarretelles.
Elle devait garder ses mains derrière la tête et ce n'était vraiment pas facile.
En effet, son dominant, à deux mètres d'elle, tenait fermement un fouet à la main et lui assénait des coups violents au niveau du bassin et de la taille.
La lanière du fouet s'enroulait à chaque fois rapidement autour de son corps et terminait son action par un claquement sonore, imprimant une strie rouge sur la peau.
Pleine de courage, elle gardait tant bien que mal sa position mais ne pouvait s'empêcher de pousser de petits cris plaintifs dont son dominant se délectait.
Puis de temps en temps il redoublait les coups jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir et plie son buste en avant dans un frêle effort pour protéger son corps.
Et alors, dans une entente parfaite, sans qu'aucun ne donne un signe à l'autre, ils se jetaient dans les bras l'un de l'autre et se perdaient dans une folle étreinte.
Et là, l'émotion était palpable, omniprésente, puissante. Elle s'imposait à tous les spectateurs.
Et la tendresse que chacun vouait à l'autre leur conférait une force que nul n'aurait pu briser...
Quelques questions :
Peut-être au vu de cette scène, au vu surtout de vos expériences, pensez-vous que la domination (et parfois elle peut se révéler cruelle) puisse être compatible avec l'expression de la tendresse ?
Mesdames et Messieurs les soumis(es), la tendresse est-elle présente dans vos fantasmes de soumission, ou préférez-vous imaginer un partenaire ténébreux et sévère ?
Mesdames et Messieurs les dominants(es), souhaitez-vous être habité de ce sentiment, savez-vous, même souhaitez-vous l'exprimer auprès de votre partenaire ?
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J’ai caressé ton sexe pour le réveiller, le faire durcir entre mes doigts, assouvir mon désir de sexe. A califourchon, mon sexe tout contre le tien, que je branle dans mes mains, tu durcis, te tends. Je commence un va-et-vient de ton membre entre mes lèvres qui se gonflent, je frotte mon bouton sur la peau lisse de ton sexe; je me branle langoureusement avec ta queue… Je fais monter le désir, emprisonne ton sexe, et joue avec ton gland à l’entrée de ma chatte humide, je te rentre à peine et te fais ressortir aussitôt. Je joue au bord de mon sexe, t’empêche de t’enfoncer au fond de moi… J’aime ce jeu, l’attente avant de te sentir pleinement au fond de moi, mon corps ondule doucement, tète ton gland… ma main entourant fermement ton membre… avant te laisser t’engouffrer entièrement en moi, ma chatte cogne sur tes couilles, tu me remplis, glisses en moi. Je m’abandonne au plaisir, m’empale sur ton sexe, ondule, me frotte sur toi… mes seins caressent ton torse… tes mains sur mes fesses m’encouragent à poursuivre, tes ongles sur ma peau me font frissonner… J’ai envie de plus, plus fort… je guide ton sexe, dans mon cul, je prends le temps de laisser mon cul t’accueillir, s’ouvrir, avant de m’empaler un plus sur toi, je te demande de me caresser en même temps, envie de sentir tes doigts en moi, qui me fouillent…On se caresse mutuellement, jusqu’à ce que l’orgasme nous libère.
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PRÈS DU BUREAU
Il lui avait donné rendez-vous devant l’entrée de son bureau, dix minutes avant sa sortie habituelle.
Cela l’avait rendue nerveuse.
Non pas les dix minutes d’avance, mais le fait qu’il vienne la chercher au bureau.
Ces collègues n'allaient pas tarder à sortir.
La suite n’allait pas lui donner tort.
Il la rejoignit et l’embrassa dans le cou pour ensuite la prendre par le bras et déambuler lentement avec elle sur le trottoir en restant en silence.
Cela ne lui ressemblait pas.
Il mijotait quelque chose.
Elle n’osait rien dire, appréciant chaque pas qui l’éloignait de ses collègues de travail.
Malheureusement, il s’arrêta au premier coin de rue et dit :
« - Voilà, je pense que nous sommes assez loin.
" - Assez loin de quoi, Maître ?"
" - As-tu besoin de vider ta vessie ? »
« - Heu… Pas vraiment Maître. »
« - Ce n'est pas grave, dit-il dans un sourire, accroupie-toi sur Le trottoir, écarte ta culotte et ne bouge plus, lorsque tu auras envie, soulage-toi directement comme une bonne petite chienne. Nous avons tout notre temps, n’est-ce pas ? »
(Illustration via une œuvre de Sandokan, un dessinateur que j'adore et que l'on peut trouver sur son blog)
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J’aime rêver, imaginer des histoires, des situations…
A toi ma soumise, je t’imagine devant moi, un serre taille pour faire ressortir ta poitrine, et tes hanches pulpeuse. Un plug trône sur une chaise, je te demande de t’assoir, tu t’approches et t’empale lentement dessus, nos regards l’un de l’autre, j’imagine le plaisir un peu étrange qui t’envahit. Je t’invite à me rejoindre, tu te lèves et viens me rejoindre, je te murmure ma satisfaction au creux de ton oreille et t’invite à retourner à ta place. Tu recommences, t’appliques à t’empaler sur le plug… je te tends mon pied que tu masses avant de le porter à ta bouche. «La prochaine fois, je mettrais le plug au sol…»
Je sors une corde et commence à t’attacher, mes mains caressent ta peau à mesure que mes cordes t’emprisonnent. Tes mains dans le dos, tes pieds fixés à la chaise… je joue avec tes tétons, les pince doucement, avant de faire couler un glaçon dessus. Je me penche pour lécher l’eau qui coule… ma langue s’amuse sur ton téton, mes lèvres le pincent, l’aspirent… Je sors une bougie que j’allume, tu observes. la flamme qui danse doucement. La cire tombe sur ton sein, fige. Je place un vibromasseur entre tes cuisses, ton bouton ainsi excité ne te laisse pas de répie, l'orgasme te submerge...
Je te détache et t'allonge au sol... le vibromasseur retrouve sa place, tandis que je glisse deux doigts en toi... tu es humide et détendue... je te caresse....de doux va et vient... un autre orgasme s'annonce... un troisième doigt s'enfonce en toi... tu t'ouvres... ma main glisse en toi... ton corps palpite... et tu jouis à nouveau violament...tu ruisselles sur moi...
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J’aime nos jeux, où parfois nos rôles se mélangent et s’inversent. Je me laisse aller dans tes bras, dans ta douceur… je te laisse prendre le contrôle, jouer à faire vibrer mon corps. Je lâche prise, je coule entre tes doigts… avant de revenir pour prendre le dessus, à moi de jouer avec ton corps, faire frémir ta peau, m’en délecter… nos regards se croisent, nos lèvres se rejoignent… tourbillon qui nous envahit, nous submerge…
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La "Birdlocked" est en silicone, ce qui implique intrinsèquement les éléments suivants :
Le matériau est souple, un peu élastique (mais nettement moins que du caoutchouc ou du latex), et ne glisse pas sur une peau sèche.
Il transmet très bien les vibrations, résiste bien à la chaleur et en est bon isolant.
Aucune déformation plastique : le matériau revient immédiatement à sa forme initiale quand il n'est plus contraint.
Eviter les lubrifiants à base de silicone. C'est d'autant plus important ici que la peau reste en contact prolongé avec le dispositif lubrifié.
Pas d'odeur, pas de produit chimique, donc non toxique.
Lavage et stérilisation (une fois enlevée) très simple (porosité faible, hydrophobe et lipophobe).
Plutôt stable dans le temps (les modèles transparents jaunissent et s'opacifient sensiblement avec le temps, mais pour autant, sans déformation ni dégradation des propriétés mécaniques).
Le dispositif est d'une pièce, SAUF la lanière et le petit taquet pour la fixer, qui se perdent facilement, mais qu'on peut aisément remplacer.
Rien à redire sur la qualité de fabrication de ce modèle. Le silicone est de bonne qualité, et son moulage aussi. Assez épaisse (environ 3 mm).
Un 'pont' relie le dessous de la tête à la partie inférieure de l'anneau, séparant les bourses au passage. Ce pont est nécessaire, sinon, étant donné la souplesse du matériau, on pourrait retirer le pénis en soulevant la tête. C'est d'ailleurs comme ceci qu'on l'enfile, avant de verrouiller le tout avec la lanière en plastique.
Cette séparation des testicules, plus la largeur significative de l'anneau la rendent un peu encombrante : on ne peut pas vraiment la serrer entre ses jambes, elle se maintient donc en place naturellement un peu en avant, et il ne vaut mieux pas la contraindre. Ce qui pénalise significativement sa discrétion sous des vêtements étroits ou moulants (oubliez le lycra ou les jeans serrés).
Outre la remarque précédente, elle est très confortable du fait de sa souplesse et qu'elle isole de la température. Cette souplesse lui permet d'ailleurs de s'ajuster naturellement à la plupart des morphologies, et de se sentir à l'étroit sans être trop serré. Un point fort indéniable.
Une remarque quand même : la friction silicone/peau, si elle permet à l'anneau de bien tenir, donne également des sensations de brûlure au niveau du scrotum en cas d'érection (la nuit, typiquement). Astuce : utiliser une crème hydratante pour la nuit.
Puisqu'on parle d'érection, c'est aussi un point fort dû à la souplesse : hormis cette sensation de brûlure (qu'on peut traiter), l'érection est contrainte de façon progressive, donc progressivement inconfortable, mais sans douleur insupportable (moi, je trouve ça positif )
Prendre sa douche avec ne pose pas de problème, mais on ne peut pas vraiment nettoyer l'intérieur / le pénis.
Par ailleurs, elle s'enlève très facilement sous une eau chaude et savonneuse (la remettre est un peu plus compliquée, en revanche). Donc, je déconseille pour un port de plus de quelques jours, s'il y a interdiction formelle de l'enlever sous la douche.
La mise en place est délicate, étant donné la friction importante peau/silicone. En fait, si vous avez la taille correcte, vous ne pourrez pas la mettre 'comme ça' : il faut soit utiliser un lubrifiant (à base d'eau, donc), soit sous la douche, ou bien avec un bas nylon pour mmhh... 'chausser'
Voilà ! Donc je la conseille plutôt pour un port chez soi et occasionnel ou supervisé. Selon votre mode de vie.
Si vous avez un expérience différente, que vous voulez me voir modifier ou compléter ce petit test, faites le moi savoir dans les commentaires !
John D.
PS : Vous pouvez reproduire ce texte librement, mais merci de citer son auteur et/ou de référencer le lien
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Fiancé de voiles, chamarrée,
le vent jette tes couleurs,
l'océan promène nos odeurs,
tes pas nus sont glissés.
Fiancée au lever de l'amour
dans le rouge soleil
vibrant de sommeil,
j'attends, ton doux retour.
Thé fumant et cardamone
grain de sucre roux
tes lèvres ont ce goût
ton regard me sermonne.
Fiancée, J'arrête le temps,
épousons nous, à corps,
la lune au ciel est la encore,
n'en parlons pas à nos parents.
Tu pleures fiancée chamarrée
et moi aussi, si tu savais,
les regrets se brisent au quais,
et les pierres nous ont blessés.
Tu glisses a jamais bel amour
pied nus dans mon corps
envoûté du plus bel or,
fiancée du point du jour.
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Je te regarde avec malice
Glisser ta main sur ma cuisse
Elle va pour un doux supplice
Satisfaire à tous tes caprices
Seras-tu spectatrice
Ou seras-tu ma complice
Me guidant vers ton calice
Attendant de moi des délices
Je m'applique sans sacrifice
A ce plaisant exercice
Et d'une langue profanatrice
Je goute à tes parfums d'épice
Puis à ton tour sans avarice
Tes doigts saisissent l'appendice
Il se dresse sans artifice
Vers ma douce tentatrice
De mon bonheur l'ambassadrice
Ta main douce est bienfaitrice
Ton glaive est droit et lisse
Il te laisse admiratrice
Il faut que tu te ressaisisses
Et bien maintenir l'édifice
Que notre extase se tisse
Et que nos corps gémissent
Le 6 décembre 2016
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Le sourire malicieux, les yeux courroucés
L'allure rebelle, de la femme indomptée.
La jeune femme trahit, son intime complicité.
Un désir, une envie, d'une tendre fessée.
Soudain basculée, sa jolie croupe offerte.
La bouche refuse, mais ses pulsions se prêtent.
robe relevée, comme un rideau de scène.
Les doigts font glisser, la culotte sans peine
Déjà la peau frissonne, de mille plaisirs.
D'un désir infini, qu'elle ne peut contenir.
Les tendres rondeurs, caressées par la fessée.
S'offrent aux mains de son Dominant intéressé.
Les gestes ébauchés, d'une lenteur pénétrante.
Les fesses se tendent, devenant provocantes.
La jeune femme gémit, le temps d'un délice.
Lascive et ravie, de ces gracieux sévices.
Le 6 décembre 2016
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Il est doux et blond, solide, bien campé sur ses pieds, un vernis de bon aloi de bois bien élevé. Un gentleman à ton image, ce montant de lit !
Les doigts se promènent sur cette ossature douce, jusqu'au renflement du pommeau dont ils palpent la turgescence, mesurent la protubérance ronde et délicatement ciselée en dessous. Comme le gland de géant d'un pénis raccourci. Un pénis qui ne serait qu'un gland gigantesque, sur lequel je colle mon entrejambe, y appuyant mon clitoris. Tâter le terrain. Doux et dur à la fois. Je m'y frotte doucement en t'imaginant observateur et commentateur de la scène, ce qui me fait mouiller. La friction devient dès lors plus agréable. Je me frotte aussi à califourchon sur le montant du lit, en faisant des va et vient qui propulse mon sexe et mon anus sur le pommeau derrière moi. Je me redresse dessus et mon sexe s'ouvre, comme forcé par ce pommeau bien rond.
Mon esprit voyage vers toi toujours dont j'imagine la main me fistant, forçant mon entrée comme ce pommeau qui ouvre mes résistances, peu à peu. La chair se distend et est comme une bouche qui voudrait gober... ta main. Je vois tes yeux briller et ta bouche salivante. J'imagine ta salive coulant sur mon visage, dans ma bouche, sur ta main en guise de lubrifiant. Je m'enfonce un peu plus, ondulant mes fesses et frottant mon clitoris. Je ne suis pas loin de l'orgasme. Alors je t'entends dans mes rêves débauchés me demander de jouir. Et je jouis, en silence.
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