La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 30/10/21
Je dois passer ma rage. Je suis carrément une vraie coincée intransigeante et sans pitié en matière de consentement. Je bouillonne de rage concernant beaucoup de stéréotypes sur la virilité et les relations hommes-femmes. Je viens de visionner ''pour relaxer'' Book Club. C'est un film qui se veut léger et qui a peut-être réussi. Cependant j'ai fait l'erreur de l'écouter en compagnie d'un apprenti Dominant. Je préfère en général savourer mes plaisirs seules ou avec mes soumis et je me souviens, maintenant, froidement pourquoi... Voyez-vous je serais normalement passée facilement par-dessus le personnage joué par Andy Garcia. C'est un film. Quand on regarde un film seule avec soi-même on sait pertinemment nos propres opinions. Un film qui n'y adhère pas ne nous fait pas hérisser. Parfois le film nous sert à affiner nos opinions ou les découvrir. Cependant, quand on est avec d'autres... Leurs opinions peuvent entrer en collision avec les nôtres. Voyez-vous, seule, je me serais dit que je trouvais ce personnage comme étant un exemple d'une génération où le consentement n'est pas central. Et c'est tout. J'aurais apprécié ce film. Il n'y a pas d'abus à proprement parler. Rien de criminel. Autres générations, autres moeurs, les choses évoluent. Mais....Ce qui fait que je suis en rage c'est quand... quelqu'un qui occupe ma position auprès d'une jeune femme que justement j'aime suffisamment pour m'en inquiéter, éprouve presqu'une admiration pour ce comportement qui me semble d'un autre temps! Il y a là ce qui devrait être considéré comme à la limite d'être un chacal, il me semble. Alors, mes chers, je suis désolée, avec les confinements et le covid, je n'ai pas de soumis sous la main. Je passes sur (mais j'espère davantage avec) vous mes nerfs! (après une absence prolongée qui plus est!) Chose qui me fâche: Que la culture d'être un vrai homme à la Harrison Ford ait réussi à conquérir des Doms qui, même une fois dans notre communauté, ne réalisent pas le sacré du consentement et de l'espace personnel. Le vrai triomphe est celui d'avoir une femme qui tend d'elle-même vers soi, que l'on a inspiré à venir vers nos inclinaisons. N'est-ce pas ça que fait un artiste qui plus est? Ce n'est pas de la convaincre assez pour entrer dans la pièce, puis refermer la porte derrière elle pour qu'elle ne quitte pas notre initiative. Inspirer le mouvement chez l'autre, pas le limiter... (Du moins hihi! pas tout de suite! :wink: ) Pardon, je m'emporte. J'avoues me servir de cet article à deux fins qui peut-être, ne sont pas les plus nobles: Pour me défouler. Pour quérir des gens qui eux valorisent es valeurs qui sont mes fondements afin de rétablir ma foi qui vient d'être égratignée (et pas dans le bon sens :unamused: ) Pour partager ces valeurs. (tiens il y avait 3 raisons. :smile: ) Bon! J'ai fini! Bonne nuit merveilleuse communauté! :innocent::heartpulse::sparkles:
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Par : le 30/10/21
Rien n’est à préserver et rien n’est à détruire. Mais se réinventer pour de nouveau construire. Se servir du passé pour protéger notre avenir. Inonder notre vie de bonheur à ne plus en tarir. Les douleurs font aussi parties des souvenirs. Car ce sont elles aussi qui nous ont fait grandir. Les peurs font douter, mais l’amour ne doit périr. Car sans lui, sans elle, rien ne m’inspire. L’idéal est utopique, mais rêver est un élixir. Je ne veux pas être la seule à y croire, j’ai trop à offrir. Juste trouver celle * qui ne veut plus s’interdire. Et vivre, sans rien changer l’un de l’autre mais devenir. Ne pas prendre mais donner, de murmures en soupirs. S’étreindre sans éteindre cette étincelle qui respire. Profiter de chaque instant, le meilleur comme le pire. Ne plus rester enfermée, et se laisser envahir... Le 24 10 2021 Celle pour la Personne.
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Par : le 28/10/21
Ma ceinture Ma ceinture serrée au maximum, Rend le chenapan bien gentilhomme, Le souffle court et la taille sous pression, Signes d'une intransigeante possession, Pour souffrir dans le bruit du silence, A côté d'elle en toute abstinence, Et l'accompagner dans son sommeil, Sans réponse à "tu dors ?" à l'oreille, Sait elle que cette lanière de cuir, Tout en empêchant l'esclave de fuir, Pénètre mon corps et mon âme, Tel les rimes de mon slam, Et que cette boucle douce ou cruelle, Rend mon amour surnaturel, Serre moi la taille jusqu'à l'infini, Car ainsi toujours nous serons en symphonie. Chat à Angèle Miaou le 21/10/2021 💕
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Par : le 28/10/21
C'était en 2012. j'ai rencontre un Maitre sur le net qui proposait de rencontrer sa copine soumise. je lui envoie un mail et sans hesitation il accepte ! RDV dans 15jours je lui envoie mon envie: rencontrer sa soumise, les yeux bandés alors qu'il est a qqes metres de nous. le RDV est fixé dans le parc de Vaugrenier, pres d'antibes un soir vers 19h30 le soir venu, je me gare au fond d'une allée et j'attend. qqes minutes plus tard, un gros 4x4 se gare derriere mois et en sort un homme. on se salue et rapidement me dit que sa soumise m'attend. je rentre dans son 4x4: sa soumise est assise les yx bandés et porte un long manteau. je lui demande d'ouvrir son manteau pour la voir :elle est nue sous le manteau. juste des bas et talons aiguilles. je lui caresse les seins, la chatte. elle ne se refuse pas et mordille ses lèvres. En accord avec son maitre, celui-ci lui a laisse une lettre. je lui enleve son bandeau mais elle n'a pas le droit de me regarder. elle lit la lettre: elle doit se donner a moi sans retenue, obeir a mes ordres. je lui remet son bandeau et comme convenu avec son maitre, je lui enfile sa laisse et je l'entraine dehors pour qu'il puisse prendre des photos. Il mitraille. je la balade dans le parc et ensuite l'appuie sur le capot du 4x4: je la fesse, lui caresse les fesses, la doigte et ensuite je la fouette. son maitre prend les photos puis apres qqes minutes, je la ramene a l'arriere de la voiture tjrs yx bandés (balade un peu perilleuse, ne pouvant pas voir et en talons). Je lui donne l'ordre d'enlever son manteau. elle se deshabille completement, et s'allonge. Je la regarde, tellement féminine , sexy ainsi. Je lui dis à quel point elle est belle. Elle sourit gênée. Je pose mes mains sur ses cuisses, ses bas, remonte sur son ventre et ses seins qui pointent fièrement. Sa peau est douce.  Elle sent bon... Doucement je reviens vers sa charte lisse, parfaite. Et je m'y introduis : un doigt, deux doigts, trois doigts.  je la doigte de plus en plus vite pour qu'elle prenne son plaisir: j'aime entendre les femmes gémir, se tortiller... Après qqes minutes ainsi, elle est entièrement trempée.  Sa ciprine coule entre ses jambes. Doucement je remonte ma main humide le long de son corps jusqu'à sa bouche. Et lui donne mes doigts humides à lécher. Elle les avale sans hésiter,  sans perdre un instant. Je la regarde sucer, lécher mes doigts... Je me penche vers elle et je gobe ses seins. Je lèche son corps, sa peau... puis je lui ordonne de se retourner, et je joue avec son plug: elle aime visiblement. qqes fessees lui coupent la respiration mais elle aime, moi aussi. Je lui retire tout doucement ce bijou de soumission et ses fesses sont libérées... Elle sursaute à l'extraction de celui-ci. Je lui écarte ses deux belles fesses et admire le spectacle. Puis je lui ordonne de remettre son plug. Je veux la voir s'introduire ce bijou devant moi. Je n'ai pas le droit de la pénétrer en accord avec son maître,  mais qu'elle le fasse pour moi n'est pas interdit ;-) Enfin je la remets devant moi. je deboutonne mon pantalon et lui ordonne de me sucer: elle obeit avec appetit. elle garde mon sexe en bouche, quelle douce langue ! Elle s'active entre profondeur et baiser de ses lèvres. Au bout de qqes minutes  je jouis mais pas dans sa bouche (volonté de son maitre). puis je lui ordonne de me sucer les couilles: elle a du mal a rester sur mes couilles car elle remonte pour prendre les dernieres gouttes de sperme. visiblement elle en raffole alors que je ne lui ai pas demande !! puis je la redresse et continue de la caresser. enfin son maitre vient frapper a la porte du 4x4 pour finir la seance. Je sors et discute avec lui: un homme charmant. puis je remonte dans ma voiture et pars. elle ne m'aura pas vu une seule fois: j'adore savoir qu'elle se demandera toujours qui a pu profiter d'elle et quel homme elle a sucé. Une superbe seance avec une femme a la peau douce, une bouche humide et accueillante et un maitre fort sympathique. J'apprendrai plus tard de sa part qu'elle fut surexcitée ensuite...
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Par : le 20/10/21
Celui de 6h55 pour Part Dieu. Que je prends toujours quand je dois me rendre pour un rendez-vous sur Lyon. La nuit a été agitée. Alors, au lieu de me replonger une dernière fois dans le dossier qui justifiait mon déplacement, je me suis prise à somnoler, rêvasser. En repensant à un autre voyage, il y a des années, avant que je ne te connaisse. La même place. Dans le carré central des premières. Qui me permet de m’étaler. En face de moi, un jeune homme, 25 ans environ. Costume cravate. Bien foutu. Un jeune cadre visiblement, en déplacement lui aussi. Je lui ai demandé si ça ne le gênait pas que je m’étale de la sorte. Il m’a souri. Non, ça ne le gênait pas. A un moment, relevant la tête, j’ai vu qu’il m’observait. Un regard d’un bleu acier. Il m’a souri à nouveau. Ca m'a donné envie. De me lever, de lui glisser à l’oreille de me suivre. Pour me faire goûter à d’autres charmes que celui de son regard pénétrant. Je n’ai pas osé. Je me suis replongée dans mon dossier. _______________ Ce n’est que des années plus tard que j’ai osé pour la première fois. Avec toi. Les toilettes des tgv sont minuscules. Alors, je me suis contentée de te sucer. J’ai aimé. Toi aussi. Je t’ai parlé ensuite de ce jeune inconnu qui m’avait donné envie d’essayer déjà. Tu m’as souri. Tu as passé ton doigt sur mes lèvres. Tu m’as dit « ce qui m’étonne, c’est que tu n’aies pas osé. Ça ne te ressemble pas pourtant ». _______________ Aujourd’hui, en face de moi, il y avait un mec la cinquantaine bedonnante. Pas le genre qui même en d’autres circonstances m’aurait donné envie d’oser 😀 Mais désormais, promis, je suis sage quand je prends le TGV. Sauf quand c’est avec toi 😀
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Par : le 20/10/21
On va au bar et Johnny, qui est aussi barman, me demande : — Tu veux boire quelque chose ? — Oui, merci, un truc fort. Il me sert une bière en disant : — Pas d’alcool pour les filles qui dansent, juste quelques bières. Aaah, on ne peut pas picoler ? Un homme costaud vient vers moi, il m’embrasse et me dit : — Bienvenue, petite. Si tu as un problème, c’est moi que tu dois appeler. Il n’est pas mal, le gars. À vue de nez, 1 m 85, 90 kg... Brun, cheveux courts, barbe de deux jours, le nez un peu cassé. Je pose la main sur son bras en disant sur un ton enjôleur : — Ça doit être un plaisir d’être secourue par vous. D’abord surpris, il rit, bientôt. Hélas, notre flirt est interrompu par un homme qui se trouve à une table de quatre et qui me dit : — Hep, la cowgirl ! Viens danser pour nous. Je m’approche de sa table et réponds :: — Avec plaisir... mais je dois vous dire que c’est mon premier jour et que je ne sais pas encore faire de la "pole dance". Je pense que ce sont des hommes d’affaires texans. Ils ont l’uniforme : costume léger et coûteux, deux petits lacets comme cravate et surtout le stetson sur la tête... comme moi. Celui qui m’a appelée répond : — Pas grave, petite. Tu viens d’où ? — Je m’appelle Ashley et je viens de Notasulga. Ils se présentent aussi, mais j’oublie instantanément leurs noms, je retiens juste qu’ils sont de San Antonio, au Texas. On va dire qu’il y a Monsieur X, Y et Z. Monsieur "Y" me demande : — Tu danses vraiment pour la première fois ? — Oui, M’sieur. — Donc tu perds ton pucelage aujourd’hui... — Ben, oui. — OK, vas-y. Je n’ai pas encore la technique pour monter sur la table. Le videur vient me prendre par les aisselles et hop, il me soulève comme une plume. Je le remercie.   Pas facile de danser de la country sur une petite table, surtout avec une barre au milieu. Je la prends pour tourner autour, en faisant voler ma jupe. Comme ils sont plus bas que moi, ça leur donne une vue imprenable sur mes fesses. Après quelques minutes, j’enlève ma jupe et ma ceinture et je recommence à tourner, en me cambrant. J’enlève ma chemise, "Z" l’attrape et fourre son nez dedans. Il a droit à un cocktail de sueurs de filles. Bon, et maintenant ? Au tour du string... C’est "X" qui le prend. Du coup, je suis nettement moins habillée. Il me reste mes bottes, un petit foulard et le Stetson sur la tête. Je sens mes seins et mes fesses bouger au rythme de mes mouvements. J’aime ça... Je remarque que d’autres clients me regardent. Super. Oui, mais... Et les billets qu’on est censé glisser dans mon string...? Je danse encore un moment, puis la musique s’arrête. Je demande à Monsieur "X" : — Vous trouvez que je ne danse pas bien ? — Mais si, petite. Il me montre un billet de 50 $ en disant : — Tourne-toi. J'obéis et il glisse le billet entre mes fesses. Chouette tirelire ! Je veux l’embrasser pour le remercier, mais il se recule en disant : — Interdit. — Oh oui, pardon. — Nous avons un avion à prendre, mais on doit revenir dans deux jours et on aimerait que tu passes à notre hôtel dans l’après-midi. Tu serais dédommagée, bien sûr. Ça te dit ? — Si Madame est d’accord, avec plaisir. Comment ça, "pute" ? Oui, bon, j’ai besoin d’argent, vous vous souvenez du prix d’entrée de l’aquarium, par exemple ? Et puis, ce sont des Sudistes, pas des Yankees. En plus, ils sont propres sur eux et plein aux as. Après leur départ, Madame me dit : — Rhabille-toi, tu vas danser sur la grande scène. Cool... Elle ajoute : — Quand tu seras prête, on mettra la musique. Je m’habille pour aller sur la grande scène. Là, je prends la pose de départ, une jambe en avant posée sur le talon. Je désigne Johnny du doigt et il met la musique, c’est une version rapide de "Ain’t No Honky Tonks in Jail". Je connais. Je tourne sur moi même, fais voler ma jupe, tout bien, quoi. Ruby siffle entre ses doigts pour attirer mon attention, elle fait le geste de retirer son tee-shirt. OK, j’enlève mon chemisier, tout comme sur la table, mais ici, j’ai de l’espace. Ensuite, c’est au tour de la jupe et du string. Je suis presque nue et quand  je tape du talon, mes fesses et mes seins dansent aussi. Les clients applaudissent et sifflent. J’adore ça, c’est vraiment un job qui me convient. Quand la musique s’arrête, je salue et, en me penchant, j’aperçois des petits billets sur la scène. Je les ramasse en tournant le dos aux spectateurs. Ils sont ravis. Assurément, j’ai été dessinée pour ce job : danser la country à poil. Après ça, je danse encore sur plusieurs tables... C’est grisant mais fatigant. Enfin, on approche de 4 h du matin. J’ai remis tout ce qu’on m’a donné à Ruby. C’est sûrement plus que les autres, mais on partage pour éviter les jalousies et favoriser l’entraide. M’en fous, de toute façon, je ne vais pas m’éterniser ici. Je vais près du videur, Alan, pour lui demander : — Vous êtes d’Atlanta ? — Oui, petite. — Dites, vous ne connaissez pas un petit hôtel où je pourrais aller ? — Si tu veux, viens avec moi, je loge dans un vieux ranch avec des amis. — Volontiers, c’est vraiment gentil. C’est ce que j’espérais. Je vais dire au revoir à Ruby et aux filles. Elles sont, elles aussi, pressées de partir. Je vais avec Alan dans le garage du club. Oh, il a une grosse moto. Sur le réservoir, il y a marqué "Avinton Roadster", c’est un modèle que je ne connais pas. De ses sacoches, il sort une veste et il me donne son casque. Je le remercie : — C’est très gentil, vous êtes un père pour moi. Ça le fait rigoler... Il sort la moto et ferme la porte. Je m'imagine derrière lui, les cheveux dans le vent...   Mais, il me dit : — Il fait froid la nuit, mets la veste et le casque. Je fais ce que mon nouveau papa me dit. Il démarre et crie : — Tiens-toi bien à moi. — Ouiiii ! Je me colle à lui comme un rémora à son requin. Je passe les mains sous sa veste pour les croiser sur ses abdos. Il démarre et on file dans la nuit, vous voyez l’image. Un homme costaud, c’est ce qu’il me fallait. Il fait noir, impossible de voir quelque chose en dehors de la route devant nous. Je ferme les yeux, collée à son dos... Une vingtaine de minutes plus tard, on quitte la route pour prendre un chemin qui conduit à un bâtiment dont je ne distingue que les contours. On descend de moto, il me dit : — Il faut faire doucement. Je le suis dans le ranch, c’est vrai que tout est calme... Arrivés dans sa chambre, il allume. C’est ultra-simple : un lit en fer et deux valises avec des vêtements. Au mur, un poster d’un groupe de métal et la photo d’une fille nue. Il me montre un seau en disant : — Si tu dois pisser, c’est ici. Pour le reste, c’est dehors, je te montrerai demain. Je lui demande : — Vous voulez que... je... sois gentille avec vous ? — On verra ça demain, dors. Eh ! Il est sympa en plus. Je fais pipi et bois une gorgée de sa bouteille d’eau avant de me coucher... Alan vient aussi s’allonger, je me mets contre son dos et cinq minutes plus tard, je dors. *** À mon réveil, le soleil inonde une partie de la chambre. J’ai dormi d’une traite. Après avoir refait pipi, je m’habille et je descends. Là, je crie : — Il y a quelqu’un ? Aussitôt, une jolie fille arrive en courant, elle s’incline en disant : — Bonjour Maîtresse, je m’appelle Pearl et je suis à votre service. C’est une jolie blonde complètement nue, avec un collier de fer autour de cou. Est-ce que je rêve ? Je me frotte les yeux, mais, au moment de les rouvrir, elle est toujours là – tête baissée attendant les ordres. J’ai compris ! La moto de Alan est semblable à la DeLoreane du Doc dans le film "Retour vers le futur". On a fait un bond dans le passé et je suis revenue au temps de l’esclavage ! Super, j’aurai mes propres esclaves ! Je réponds à la fille : — Bonjour Pearl, tu sais où est Alan ? — Suivez-moi Maîtresse, je vais vous conduire. En la suivant, je vois deux marques sur ses jolies fesses. Je lui dis : — Toi, tu as été fouettée. — Oui Maîtresse, je n’ai pas obéis assez vite à un ordre. Oh putain, le pied : non seulement il y a des esclaves, mais en plus, on peut les fouetter ! Je passe la main sur ses fesses pour sentir les reliefs laissés par le fouet. Je lui dis  : — Ça doit faire mal ! — Oh oui Maîtresse — Tu es souvent fouettée ? — Moins qu’au début, Maîtresse, je commence à être bien dressée. — Et tu appartiens à qui ? — À Maître Alan, Maîtresse. Il a une moto, des muscles et une esclave : quel homme ! On traverse une grande pièce. Il y a une table, des chaises, deux vieux divans. Le seul objet moderne, c’est une grande télé. On va dans le jardin. Alan est là, assis autour d’une table avec trois autres personnes. Il y a un couple de filles nues, qui n’ont pas l’air d’être des esclaves, et un jeune homme avec une petite barbe. Je leur dis : — Bonjour à tous. Je vais embrasser Alan. Il fait les présentations : — Voici Ashley qui travaille au Pussy. Puis, à moi : — Voici Victoria et Wendy. Je les embrasse. Wendy a 20 ans de moins que son amie – et enfin le jeune homme nommé Bobby. Après m’être assise, je leur dis : — C’est la première fois que je vois une esclave. C’est Victoria qui me répond : — Alan a été un des premiers à en avoir une. Un service rendu à quelqu'un de très important. C’est ça, Alan ? Il rigole avant de m’expliquer : — J’ai effectivement donné un coup de main à quelqu’un d’important et pour me remercier, il m’en a fait cadeau. — À Notasulga, d'où je viens je n'ai jamais vu qu'une esclave et encore c'était peut-être une servante. — C’est normal, la loi a été votée il y a peu de temps. Elle concerne tous les délinquants. Le juge peut transformer leur peine de prison en amende et si les condamnés sont incapables de la payer, on les vend. C’est un grand progrès : à la fois une économie, puisqu’il ne faut plus les entretenir en prison, et une rentrée d’argent. Tu es pour le rétablissement de l’esclavage ? — Oui, comme tous les Sudistes. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
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Par : le 18/10/21
Bonjour la communauté ! J'ai décidé de me mettre à écrire, je ne sais pas ce que ça vaut, j'attends vos retours pour savoir si je continue à publier. Ce récit est fictionnel. Toute ressemblance avec les fantasmes de l'auteur seraient totalement fortuites. Quoique... Bonne lecture ! CHAPITRE 1 Attiré depuis bientôt 5 ans par le BDSM et spécialement par la soumission, j'ai décidé de m'y investir un peu plus intensément. Jusqu'à présent, je n'avais fait qu'un peu de selfbondage avec ce que j'avais sous la main comme du scotch pour remplacer le baillon, ou un tee-shirt en guise de bandeau. Il me fallait passer au niveau superieur. J'ai donc cherché un endroit pour une séance de soumission. J'ai fini par trouver ce que je cherchais : un hôtel qui propose des séances de soumission. J'ai envoyé un mail pour prendre rendez-vous. En guise de réponse, j'ai reçu un questionnaire à remplir. Allons-y. Nom : Xavier Age : 23 ans Situation sentimentale : célibataire Nombre de visites au donjon : 1ère fois Experience BDSM : Aucune Experience sexuelle : Aucune Un vrai puceau quoi. Suivaient d'autres questions sur les pratiques, les limites, un rappel sur le consentement... Quelques heures après avoir renvoyé mon questionnaire, j'ai reçu un message me donnant les indications pour me rendre sur place ainsi que quelques informations comme le fait de ne pas prendre d'affaires personnelles, excepté la cage de chasteté qui n'est pas fournie. La date était également mentionnée : le mercredi de la semaine suivante. L'attente allait être longue. Le mercredi suivant, au matin, j'ai décidé  de passer la journée avec ma cage de chasteté afin d'éviter une excitation trop précoce. Comment dire que la journée a été longue ? Je ne cessais de me demander comment allait se passer la soirée. Vers 20 heures, j'arrivais à destination. De l'extérieur, cela ressemblait à un petit château ou une grande maison d'hôtes. Un mélange d'excitation et d'appréhension s'est emparé de moi. J'hésitais à entrer... A suivre...
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Par : le 18/10/21
Mais tu viens de t'endormir. Et pour détendue que je sois, je suis incapable de dormir après ce que tu m'as fais vivre/subir. Alors, même s'il est tard, ou plutôt tôt, j'ai éprouvé le besoin de mettre des mots sur ce que je ne devrais pas dire, encore moins écrire ou même penser. _______________ Dire que j’aime ton corps, ton sexe et tout ce qui en sort. Ta semence sacrée, ta liqueur dorée. Te parcourir de ma bouche, de ma langue. Dire que j’aime le goût, l’odeur de ta peau. De ta queue, de tes couilles et celle de la sueur sous tes aisselles. Dire a quel point j'aime te faire bander. M’agenouiller devant toi, lécher ta mouille sur ton gland, avant de te prendre en bouche jusqu'au fond de ma gorge. Dire que j’aime quand tu m'attaches, les yeux bandés, menottée, offerte, disponible, prête à l’usage, et jouir d’avoir mal quand c'est toi qui me fait mal. Dire que j'aime m'accroupir à 4 pattes, pour te présenter mes reins, et crier quand tu me prends ainsi pour mieux vibrer au rythme de ta queue. Dire aussi que j'aime m’allonger sur le dos, cuisses écartées, pour sentir ton poids sur moi et mieux m’offrir à toi. _______________ Je sais, je ne devrais pas dire, ni écrire ni même penser à quel point j'aime quant tu me prends, et ce moment aussi où tu n’en peux plus de te retenir, et que tu te libères de la tension accumulée. Pas plus que je ne devrais dire combien j'aime quand ton foutre jaillit, peu importe celui de mes trous que tu utilises, pourvu que ce soit en moi, sur moi. Ni surtout que pour moi tu es l’homme, le mec, le Mâle, le Maître, à quel point je suis fière d'être à toi, avec toi et oser crier que j'ai besoin de toi. _______________ Je sais qu’une femme ne devrait pas dire ça, encore moins l'écrire, ni même le penser. Mais je m’en fous. Parce que que les femmes qui disent ne pas aimer le sexe soit sont des menteuses, soit n’ont jamais connu la jouissance d’appartenir à un homme, d’être possédée par un homme, possédée d’un homme. _______________ Alors oui, je le dis, je le pense et j’ose l'écrire. Que j’ai besoin de ton corps, de ton désir, de ta queue. Que j’ai besoin que tu me baises comme on baise une salope, une chienne, une pute. Et de me savoir ton esclave. Tous les jours, toutes les nuits, toujours. Pour pouvoir me sentir vivre. _______________ Et n'en déplaise aux bien pensants, je ne me sens pas immorale pour autant. Juste peut-être amorale :smile:. Parce que le sexe, le plaisir n’ont rien à voir avec la morale. Puisqu’ils sont leur propre morale. Et que je suis accro à toi. Je ne suis pas de celles qui voient en l’homme un ennemi. Qui pensent que le Mâle c’est le Mal. Qui ne rêvent que de vous châtrer. De vous "déconstruire" pour mieux détruire ce que vous êtes. Tu es mon frère, mon semblable différent. Ce que tu es sur le plan physique et biologique ton histoire personnelle, ton vécu avant moi induisent chez toi une autre vision du monde, un autre regard sur le monde. Tu aimes et j’ai besoin que nous considérions parfois les choses autrement. Mais en regardant ensemble dans la même direction. **************************************************************************** Laure, avec le rêve de demeurer définitivement tienne, en ce matin du 17 octobre 2021. Un rêve peut-être, mais dont je sais que nous le réaliserons. Puisque tu as tout fait pour qu'il devienne notre réalité. Alors, "même pas peur" :smile:
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Par : le 16/10/21
Me réveiller dans ses bras, le voir me sourire, me caresser, pouvoir me blottir contre lui, me sentir juste bien. Nous nous élevions chaque jour. Quoi de mieux que d’être soi avec l’autre. Avoir conscience de nos tourments, nos névroses, les accepter ou les comprendre et sortir de schéma inconscient. Notre soirée d’hier m’a permis de comprendre que j’avais toujours cet peur de l’abandon. Au final, à force d’y penser, nous agissons toujours de telle sorte qu’au fina l on se fait abandonner, ou bien, parfois les gens nous quittent ou que nous quittons car c’est simplement ainsi. Il ne faut pas rechercher un fautif, c'est juste que l'un ou l'autre ou les deux n'était pas bien dans cette relation. La clé à tout cela.. la sincérité, la franchise et la communication qui induisent la confiance. Les mots sont souvent utilisés mais les actes parlent. Ils peuvent parler selon notre analyse, notre logique et peut être totalement mal interprétée. C'est ainsi que nous nous conditionnons. Les êtres humains sont si fort en général pour faire culpabiliser l’autre pour se déculpabiliser soi-même de ses actes. Souvent ce sont ces mêmes personnes qui se caractérisent pas prise de tête ou passionner du « Carpe Diem ». Ne pas à justifier de nos agissements, évitent aussi de se remettre en question. J’ai évolué, pris du recul et que dire de la période de la quarantaine.La meilleure, même si j'ai bien encore du chemin à parcourir. Hier soir, il m’avait poussé dans mes retranchements. La peur de le perdre comme au final lui aussi pouvait me perdre. Ce sentiment lié à mon manque de confiance en moi. Et s’il ne voulait plus être avec moi ? Eh bien c’est que cela devait se passer ainsi. Personne ne nous appartient. Il est vrai que lorsqu’on a une telle connexion si forte et où l’on s’abandonne, s’adonne si fortement que la chute est vertigineuse. La perte de ces sensations n’enlèvent en rien aux moments intenses vécus. Et cela amène à se relever et découvrir d’autres choses. En faire le deuil. Mais il était là. Il faisait tout pour assouvir mes désirs, il me voyait avec d’autres hommes et pourtant il restait. Il m’avait confié aimé me voir prise par d’autres, que ça le rendait fou de me voir ainsi baiser, prise. Il voyait la chienne que j’étais et de l’autre, il voyait la femme que j’étais. Dans les deux cas, il me respectait. - Ce soir, on va bien s’amuser ma belle. - Ah oui qu’as-tu prévu ? - Hum tu verras mais il y aura du spectacle j’ai hâte. - Quel spectacle ? - Hum tu verras. - En attendant, je te propose d’aller nos détendre au spa qu’en penses tu ? - Oh oui !!!!! tu sais combien je raffole de ça. Il sortit alors de sa boite la clé de mon collier et me l’ôta. Nous sortions de Deadalus pour nous rendre au thermes situés non loin de là. De vieilles thermes sublimes à l’ambiance romaine. La nudité était obligatoire. Je songeais à mes fesses marquées. - Tu te débrouilleras petite chienne me glissa-t-il à l’oreille en me taquinant. Dans ces thermes, il y avait une multiplicité de bains L’eau était à température de 32 dégrés d'autres bassins elle était plus froide. Puis il y avait ces petites alcoves pour une ou deux personnes. Il faisait juste bon, chaud. Je posais mon peignoir. Un pied puis l’autre c’était si divin. Je me sentais envelopper d’une chaleur réconfortante. Tout de suite j’étais bien, je ne pensais à plus rien. Il me rejoignait, face à moi. Juste nous deux. - Ecarte tes jambes. - Humm tu es si belle. Hier tu l’étais tout autant. Je baissais les yeux, rougissante. Une partie de moi me cachait à en parler, ll le savait. - As-tu aimé que je t’offre à Cassandra hier ? - Je dois dire que cela m’a terriblement excitée. Alors pour autant je ne suis pas bi, tu le sais. - Ce n’est pas la réponse à ma question. Mets toi un doigt dans la chatte et réponds. Je le regardais droit dans les yeux en m’exécutant. - Oui, j’ai aimé. - Et que je la prenne devant toi ? - Tu en connais la réponse. Tu connais ma dualité. Maintenant, j’ai saisi une chose que je ne peux expliquer. Toi, tu acceptes de me voir avec d’autres et tu es là. Je pense que tu voulais me punir peut être et de l’autre provoquer en moi une excitation à te vouloir davantage. Je ne sais pas. On va pas dire que j’adore ça. Nous étions dans un contexte particulier. - En effet contexte particulier. J’ai adoré te voir ainsi attachée offerte en objet sexuel, être à disposition et qu’on fasse de toi ce que tu voulais. Je l’ai baisé en pensant à toi et tout ce que je voudrais te faire subir, et tu vas les subir ma belle. Je le regardais souriante. - Tu connais notre règle. On parle de tout ! n’analyse pas de ton coté avec ta logique me réponda-t-il - Oui.. tu as raison. Il se rapprocha de moi pour m’embrasser. Il se plaça derrière moi, mon dos se posant contre lui. - T’ai-je dit d’arrêter de te doigter ? - Pardon.. non… Je sentais derrière moi son sexe se durcir. - Je vais avoir du mal à sortir de là. Tu me rends fou tu sais. Je rigolais.. - Chacun ses problèmes, toi c’est ta queue, moi mes fesses. Nous rigolions comme deux gosses. Il y avait plusieurs bains à faire. Il y avait des mosaïques de partout. Une grande salle de détente avec une verrière style Art Nouveau. Ce calme d’antan. J’adorais ces lieux avec cette atmosphère. Il ne cessait de me provoquer de m’exciter. Nous arrivions à des bains où la lumière était tamisée. Une sorte de grotte, nous étions presque dans la pénombre. Je m’étais accrochée à lui comme un petit koala. Il avançait dans l’eau. Ses mains sous mes fesses, personne ne nous voyait. Il n’y avait quasi personne. C’était génial. Il me déposa sur une assise en pierre. Lui restant debout devant moi. Il s’empara de mes lèvres, de mes seins. - Eh doucement, quelqu’un pourrait arriver! - Chut… Sa langue s’entremêlaient à la mienne. Je voulais le dévorer, lui faire l’amour. Il écarta mes cuisses et déposa ses doigts à mon entrejambe. - Tu adores ça être doigtée petite chipie. Je sens déjà que tu es humide. - Normal avec toute cette eau le taquinais-je. Il prit mon cou en main et m'embrassait fougueusement. - Vilaine. Pour la peine je ne te doigterai pas. Je le regardais avec une air innoc ent, qui disait si je veux. Il me laissa quand même ainsi. Trois hommes pénétraient dans cette grotte. J’étais déçue de ne plus être seule. - Garde tes jambes écartées. - Non mais arrête ! - Garde tes jambes écartées. Il se plaça a coté de moi. Les hommes se plaçaient un peu partout. J’étais la seule femme. Bizarrement on se jetait des regards furtifs sans oser se regarder. Une certaine pudeur et un respect qu’on retrouvait partout dans les termes allemandes. Assis à coté de moi, je sentis alors sa main se poser sur ma cuisse. Il me parlait à l’oreille. - Maintenant je vais te doigter. Avec un geste presque naturel, sa main glissa doucement vers l’intérieur de mes cuisses. Mon cœur battait à l’idée d’être surprise. Je sentis alors un doigt pénétrer doucement dans ma chatte. Je pinçais mes lèvres. Je tentais de rester la plus naturelle pendant qu’il s’occupait de moi. - Il y a un homme qui te regarde. Crois-tu qu’il voit ou devine que je te doigte ? - Mais non .. - Si, il te regarde. Provoque le… - Arrête avec ça. Un second doigt pénétra. - Regarde comment tu excites les hommes. Tu as cela en toi. Tu aimes ça, qu’on te regarde. - Arrête s’il te plait. - Au contraire, avec moi tu assumes ta partie sombre. Il se redressa. - Comme tu veux, j’arrête. Je me sentais interdite. Je ne voyais jamais les regards des autres hommes et je ne le cherchais pas. Pourtant là où il avait raison, j’avais besoin qu’on me regarde, d’attirer l’attention. Je me levais pour m’asseoir entre ses jambes. A nouveau je laissais tomber mon torse contre son dos ma tête au creux de son épaule gauche. Il m’embrassa la tempe et enroulait ses bras autours de moi. Je prenais soin de bien placer mes fesses contre lui, de faire ses petits mouvements pour le rendre fou. - Arrête, après je ne pourrais me retenir. Tu vas me le payer... - Ah oui ? tu veux que j’arrête. Ma main s’était glissée à l’arrière de mon dos pour saisir son sexe. Je commençais doucement à le caresser. - Regarde les autres sans rien transparaitre lui taquinais-je. - Tu ne paies rien pour attendre.. mais continue, tu masturbes divinement bien ma petite salope. Je riais. Je sentis alors ses mains me tenir par le haut de mes cuisses à l’entrejambe. Je sentais ses doigts me caresser , malaxer sans toucher mon sexe. Il me rendait complètement folle. On s’amusait à se rendre fou. J’adorais ça. Soudain, il reprit le contrôle. Soudain ses doigts pénétraient ma chatte deux de chaque main. Il l’écartelaient. - Tu es bien ouverte maintenant… - Humm c’est si bon… Jen’avais plus la force de le caresser tellement il m’avait coupé l’herbe sous le pied. - Concentre toi, continue de me caresser petite putain. Il savait qu’il me rendait folle et que la réciproque était vrai. - Aimerais tu sentir ma queue dans ton cul ? - Humm oui j’aimerai.. - Hummm… Il frotta sa queue contre moi. Je sentais les autres hommes me regardaient. - Le premier là, sur ta gauche, il a remarqué notre manège. Je pense qu’il aimerai bien être à ma place. Et comme il a chuchoté à l’autre quelque chose, je pense que cela doit être par rapport à toi. Alors maintenant je ne sais pas si je vais t’enculer, pour qu’il voit comment tu aimes te montrer. La question, as-tu envie de moi ? - Tu le sais que j’ai envie de toi. - Alors arrête de parler, agis. Fais en sorte que je te prenne et assume. - T’es fou, on ne peut pas faire ça ici. - Empale toi. Je ne me sentais pas à l’aise de le faire. - Petite joueuse riai-til. Il savait quelle corde sensible jouer et que je réagissais au quart de tour. - A force de t’interdire des choses, tu oublies le goût de la liberté. Ose ! Prends les choses en main, enfin si je puis dire, dit-il d’un ton sincère. Je m’enlevais de mon assise pour me retourner et l’embrasser. Les autres hommes ne bougeaient toujours pas. - Tiens ton sexe que je m’empale dessus quand je me retourne lui ordonnai-je. Je me retournais à nouveau pour m’asseoir sur sa queue. Malgré moi j’y mis le temps. Sa queue dans mon cul qui cédait assez facilement. Je le sentais me tenir fermement par la taille, allant au plus profond de mon cul. Le plus dur était de ne rien laisser passer au niveau de mon visage. Il faisait des mouvements de bassins très légers et les hommes nous regardaient. - Tu sais je les regarde. Ils savent que je te prends là… Je me sentais rougissante et si excitée à la fois. Doucement je me posais contre lui, comme avant, ma tête au creux de son épaule gauche.. Il me parlait à l’oreille, je sentais sa queue en moi et ses doigts dans ma chatte. Avec lui, je sortais totalement de ma zone de confort. Ses doigts si doux sur mon clitoris. - Repense à la langue de Cassandra sur ta chatte. Repense à ses petits coups de langue, ses aspirations, pense à moi qui te regardait te faire baiser par une femme.. tu étais merveilleuse. Il me rendait complètement folle. - Arrête de bouger. Il me replaçait pour donner quelques coups de bassin. - Pense à ma queue dans ton cul comme il aimerait bien te défoncer, et ma main te cajoler. - Ma princesse, ma putain. Regarde ces mâles qui veulent te baiser. Excite les. - Je… tu me rends folle, encore.. parle moi. - Repense à Mickaël, comment il t’a tringlé dans les toilettes comme la petite chienne que tu es, ses coups de ceinture que je lui ai demandé qu’il te fasse. - Humm ouiiii, j’ai adoré ça, tu m’excites trop, j’adore que tu me rendes ainsi. - Que je te rende comment ? - Si chienne, si putain. - Je ne te rends pas ainsi, tu es ainsi. Ses doigts tournoyaient autours de mon clitoris, j’avais du mal à tenir. - Je vais.. jouir.. Mon clitoris, mon sexe étaient gonflés de désir. Je contractais mon corps, fermant les yeux, me concentrant sur sa voix qui me guidait. - C’est ça, laisse toi aller ma chérie. Contracte toi bien, hummm je le sens sur mon sexe. J’oubliais tout, je ne pensais qu’à ce plaisir montant encore et encore ; Je me concentrais sur ses doigts, sa voix, je revivais tout ces derniers jours vécus si intense. - C’est ça jouis ma chérie, jouis.. Je refermais mes cuisses, je tentais de ne rien laisser transparaitre ; Je fermais les yeux, mes lèvres se pinçaient. - Ouvre tes yeux pendant que tu jouis, regarde autours de toi. La jouissance était terrible. Je voyais ses hommes me regarder. Mon visage malgré mon impassibilité a dû laisser transparaitre ma jouissance. Je me laissais retomber totalement contre lui. Il me cajolait. - Allez viens là mon petit koala. Nous ressortions de l’eau. Il cherchait mon peignoir et m’emmitoufla dedans. Il me prit par la main. Allez viens un bon hammam et ensuite du repos. Je savourais cette journée. La journée se terminait doucement. Arrivés aux vestiaires, il pénétra furtivement dans ma cabine et la verrouilla. Sans me laisser le temps de réfléchir ou de parler, il mit sa main sur ma bouche. Il posa ma jambe sur le banc et me pénétra sauvagement la chatte. Aucun son ne pouvait sortir de ma bouche. Il me pilonnait si fermement. Aucun mot ne sortait de sa bouche, il me baisait seulement. Je sentais ses couilles claquer. Ses vas et viens intenses c’était si bon, je mouillais terriblement. Sa main sur ma bouche m’excitait et m’empêchait totalement de crier. - Bonne petite salope. L’attaque fut fulgurante avec de si bons coups de reins. - Chut… je ne veux rien entendre. Il me tringla sans aucun ménagement, éjaculant sur mes fesses. - Rhabille toi maintenant ma chienne, je t’ai préparé une belle surprise digne de nous ce soir. Il sortit aussi rapidement qu’il était entré, me laissant souiller de sa semence sur moi. Nous nous étions rejoins à la sortie des thermes. J’avais pris le temps pour me sécher les cheveux. - Comment te sens tu ? - Humm merveilleusement bien et détendue. - Humm parfait tu vas en avoir besoin dit-il en claquant mes fesses avec espièglerie. Arrivés à Deadalus, Cassandra nous attendait. Elle m’adressa un tel sourire. - Conduisez là à sa chambre qu’elle se prépare. Je la veux à 19h30 dans ma chambre. Kassandra me tenait par le bras. - Allez petite chienne, dans ta chambre. Tu vas te faire belle pour ton Maitre. Voici ta tenue. Je me parais de ma tenue assez affriolante, des bas, un masque en dentelle. Cassandra arriva à l’heure. - Tu es superbe. Laisse moi te regarder. Elle palpa mes seins, tira sur mes tétons. Elle s’approchait de moi tout en me murmurant. - Le goût de ta chatte me manque déjà. Elle passa sa main sur mon entrejambe. - Suis moi. Je pénétrais dans la chambre de Monsieur. Il était là, habillé en smoking, il était magnifique. - Vous êtes.. - Taisez-vous ! Sa voix était autoritaire. Je compris que je devais à son regard, entrer dans nos jeux. - Venez ici. Je m’approchais. Je restais debout devant lui, pendant qu’il me tournait autours. Il prenait de temps, m’effleurant. - Relevez vos cheveux. Je m’exécutais. Il fixa mon collier et remis son cadenas. - Ce soir, vous serez exposée et à mes ordres ma chère. Vous n'avez pas le droit de parler, sauf si je vous autorise. - Allez la mettre dans sa cage Cassandra. Je vis alors son sourire. Elle me banda les yeux. Elle me fit avancer hors de la chambre. Je ne savais pas où nous allions Tout ce que je devinais c’est qu’elle me fit pénétrer dans une cage et m’enchaina au sol. Elle fixa une oreillette à mon oreille droite. - Allez couchez petite chienne.
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Par : le 16/10/21
Vous m’aviez demandé Maîtresse de trouver des bogues lors de mes randonnées Alors, avec ce sac plein d’enveloppes piquantes de châtaignes Vous arborez un large sourire. A peine arrivé, Vous me faites déverser ces belles châtaignes dans un grand bac plastique qui devient ma niche. Vous m’intimez l’ordre de m’asseoir sur ce tapis digne d’une planche de fakir et c’est douloureusement, dès les premiers contacts, que je pose mes pieds et mes fesses dessus. Les genoux recroquevillés contre mon ventre, Vous m’attachez les chevilles, puis les poignets que Vous passez derrière ma tête avant de me fermer la bouche avec un bâillon boule. Vous m’expliquez attendre de la visite et c’est ainsi que je patienterais. Les bogues me pénètrent de plus en plus les fesses et même l’anus. Le moindre mouvement est une souffrance. Vous accueillez et discutez avec Votre invité qui ne semble pas surpris de voir au milieu de votre salon un homme assis nu, ligoté dans une boite en plastique remplie de bogues ! Je suis tellement concentré sur ma position épineuse que votre discussion m’échappe. J’attends seulement qu’elle s’achève. Ma posture est des plus inconfortables; les cervicales contraintes par mes bras me font souffrir, les bogues attaquent la peau tendue de mes fesses. Je serre la boule du bâillon avec mes dents comme si cela pouvait améliorer ma situation. Avez-vous remarqué comme l’attente est longue quand vous en ignorez l’issue ? Et bien là, c’est l’éternité qui défile. C’est avec soulagement que je Vous entends raccompagner Votre visiteur. Quelle soulagement d’avoir Votre sourire devant moi même si Votre main tient fermement une cravache que Vous baladez sur mon corps offert. Les bogues Vous inspirent et Vous construisez un petit château entre mon sexe et ma Mâchoire. Elles tiennent difficilement. Vous arrivez quand même à Vos fins et c’est avec la cravache que Vous les expulserez sans ménagement de mon entre-cuisses, m’arrachant quelques rictus de douleur. Vous prolongez Votre jeu avec un plaisir évident Vous servant de Votre cravache pour placer idéalement les bogues sous mes fesses meurtries. J’ai bien bavé sur mon ventre avant que Vous retiriez mon bâillon et que Vous libériez mes membres entravés. Vous me rendez un semblant de liberté pour ouvrir toutes les bogues avec mes pieds puis avec mes fesses. Ma douleur vous fait sourire. Malgré cela j’accélère le mouvement comme Vous me l’intimez. Je tente timidement d’en ouvrir quelques unes avec mes mains, Votre cravache m’en dissuade instantanément ; aïe mes doigts ! Je maudis ces bogues bien vertes qui refusent désespérément de s’ouvrir malgré les coups que je leur porte avec mes fesses. Elles me répondent du tac au tac en enfonçant leurs piquants dans ma peau meurtrie. L’envie d’en finir et Vos sourires quand je me tortille sur les bogues décuplent mon énergie. Je me hâte autant que faire se peut pour toutes les ouvrir. Encore une ou deux qui tentaient d’échapper à mes fesses. Enfin j’arrive au bout de mon supplice. Le moment du verdict est arrivé. Après m’avoir demandé si j’avais bien tout ouvert les fruits, Vous vérifiez avec la cravache qu’aucune châtaigne n’ait résisté à mes fesses. Vous me punirez pour chacune d’entre elle restée figée dans leur bogue. Finalement, je m’en sort plutôt bien et Votre main ne récupère que trois bogues encore fermées. Vous me les faites ouvrir avec mes fesses. Les aller retour sur les fruits sont encore plus douloureux car ma peau avait eu le temps de se détendre. Enfin elles cèdent. Énorme soulagement car j’étais à bout, prêt à verser les larmes de l’impuissance. Vous me demander de me relever et je verrais plus tard que mes fesses ont des airs de surfaces lunaires. En attendant un simple contact de mes mains me fait deviner un beau champ de labour et une sensitivité à fleur de peau. Je pensais être sorti d'affaire avec ces maudites châtaignes en me retrouvant attaché, les yeux bandés à me faire fouetter. Mais ce n’était qu’un intermède. Vous me ramenez finalement à ma niche piquante. Vous me guidez car Vous m’avez maintenu aveugle, et je me retrouve assis sur ce matelas de douleur que Vous avez soigneusement étalé au fond de ma niche. Elles sont bien plus résistantes que mes fesses car ma peau est de nouveau soumis à leurs pics dévastateurs. Je suis tendu comme un arc, leur offrant un terrain de jeu propice à leur agression. La nature est impitoyable surtout quand Vous la détournez à vos fins. Vous en extrayez habilement la quintessence pour Votre unique et immense plaisir. Je me cramponne, mon équilibre est instable et la douleur toujours aussi intense. Vous passez discrètement au-dessus de moi et je suis surpris de sentir un filet chaud qui me coule sur les épaules, le long du dos, me noyant de Votre urine. - Qu’est que j’aime t’utiliser comme chiotte Mon soumis. Ma place est là et je m’en contente malgré l’humiliation. - Merci Maîtresse Vous me libérez de mon bandeau et voir Votre sourire épanoui me réjouit après cette dure épreuve. Il est à la fois mon soulagement et ma récompense Maîtresse. Je comprends mieux pourquoi je repousse sans cesse mes limites en voyant Votre sincère satisfaction. J’ai enfin découvert ma raison de vivre même si Vous appartenir Maîtresse n’est pas de tout repos. Maudites châtaignes !!!
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Par : le 16/10/21
- Hum Petite chienne, me revoilà dit Cassandra en me caressant les cheveux. Elle caressa mon visage. Elle avait sur ses doigts ces griffes que je reconnais. Elle les passa sur mon corps. Elle me fixait. Je devinais Monsieur qui nous regardait, je le regardais d’un air inquiet, l’envie de résister et de l’autre l’envie de céder à cette nouveauté. Cœur et raison. - Alors tu as aimé que ma langue s’occupe de ta chatte ? Je ne voulais pas avouer, non. Je n’arrivais pas à le dire. Elle saisit de sa main ma bouche et plaça sa main sur ma chatte. L’effet des griffes sur les lèvres de ma chatte captaient toute mon attention. Elle s’amusait à les passer tout doucement. Je la regardais avec ce regard effrayer. Elle avait lâcher son emprise sur ma mâchoire pour à nouveau me caresser. - Je vois, tu ne veux pas me répondre. Je pense qu’on va trouver la punition adéquat. Elle détacha mes liens et me tira par les cheveux. - Lève toi, plus vite, allez plus vite que ça. Je sentais sa poigne ferme, elle me força à avancer ainsi et me jeta au sol devant Monsieur. Avec son pied elle maintenant une pression pour que ma tête reste au sol. Aucun mot ne sortait, je ne savais pas ce qui allait se passer mais j’étais dans un tel état. Elle continua à caresser mes cheveux pour les mettre en queue de cheval me forçant à me redresser. Je la sentais au- dessus de moi. - Tu vas être une chienne bien obéissante dit-elle en me passant ses griffes sur la bouche. Je déglutissais. Je sentais le regard de Monsieur. Assis sur le canapé, il se redressait. Il ne disait pas mot. Je sentais son regard sévère à mon égard. - Punissez- la bien lui demanda-t-il - Ouvre ta bouche m'ordonnat-elle. - Sors ta langue. - Regarde comment tu es belle ainsi, juste à attendre qu’on te fourre. Elle continua à me caresser ainsi le cou. Je sentais les griffes acerrées dans ma chair. Elle plaqua sa main sur ma bouche. La pression se faisait plus forte. - Je sais, il sait que tu adores cette situation dit-elle en murmurant ces mots. Elle relâcha la pression de ses mains et me jeta à nouveau au sol. Elle posa son talon sur mes cervicales, m’obligeant à ne pas bouger. - Allez tourne toi ! Elle s’agenouilla et se plaça entre mes cuisses. Je sentais cette proximité. Elle me toisa du regard. J’étais au pied de mon maitre. Je ne savais qui regarder à ce moment là. Elle m’hypnotisait. Elle plaqua mes mains de part et d’autres à coté de mes oreilles, se frottant à moi. Je la regardais faire, je me laissais faire petit à petit. Elle était si sensuelle, si belle. Elle continua avec sa main griffée à parcourir mon corps, commençant par mon cou. Elle me regardait. Ses griffes s’aventurèrent vers mes seins. Je sentais cette pression piquante. Je soupirais. Elle savourait de me voir résister pour mieux céder. A nouveau, elle se pencha vers moi. Elle me respirait. - Humm, tu sens la bonne chienne. Elle commença par aspirer le téton droit. Je soupirais. Douceur et fermeté. Mes yeux se fermaient. Je savourais. Je soupirais. Je commençais à me déhancher. - Ne bouge pas ! Pendant qu’elle s’occupait de mon téton droit elle en profitait pour me griffer encore et encore le sein. - Aiiihhhhh Elle rigolait. Elle changea alors de téton. Elle se redressa. J’étais à son écoute, je ne voulais plus résister. Je voulais encore et encore. Elle me souriait. Tout en me regardant elle ôta ses griffes. Je ne la quittais pas des yeux. Elle me regardait comme si j’étais la souris que la chatte allait dévorer. - Humm ces jolis seins… Elle commença à les gifler. Encore et encore - Aieee… - Chut, je ne veux rien entendre ! Elle me gifla le visage puis en profita pour mieux écarter mes jambes. Elle me regardait jouant entre gifle ou lcaresse. Je ne savais ce qui allait m’arriver. Elle caressait l’intérieur de mes cuisses - Oh déjà bien trempée petite chienne. Hum je vais bien m’amuser ! Elle saisit alors un gant noir. Elle me regarda le mettre. - Chut, tout doux ma belle. Elle me montra alors les pinces. Mes yeux s’agrandissaient. - Je vais fermer ce petit trou à bite pour le moment. Je criais, sentant la pression de ces trois pinces fermer ma chatte. Doucement elle tapait sur mon clitoris ; Je sentais l’afflux sanguin tambouriner mon clitoris. Je gémissais. - Offre ta bouche de petite pute. Elle aventura ses doigts dedans, les entrants les sortants. - C’est ça que tu veux n’est ce pas ? Oui je sais tout cela ma belle dit-elle en me parlant au creux de l’oreille. Elle saisit ma laisse au niveau de mon collier et me força à me lever. J’étais debout face à Monsieur. Je voyais son regard bleu sur moi. Je le regardais de manière suppliante. Je me laissais succomber. Je comprenais tant de choses à cet instant. Elle était derrière moi, elle embrassait mon cou., ses mains se placant sur mes seins. Monsieur ne cessait de nous regarder. - Regarde ce que j’ai pour te décorer. Prends une respiration ! Je sentais une pince sur mes tétons… puis une autre. - Aiiiiieeeeee. Je serrais les dents, couinant voulant les éviter. Elle prie le temps de bien les placer. Les pinces était reliées entre elles par une chaine - Ecarte tes jambes, mains dans le dos. Elle s’était éloignée pour mieux revenir. Je vis alors le martinet. Je savais que j’allais à nouveau rougir. Elle commença doucement par me donner quelques coups, elle s’appliquait à ne pas oublier une parcelle de mon corps. - Penche toi maintenant, tends ton fessier. J’étais face à mon maitre, mon regard se plongeant à nouveau dans le sien. Je devinais un léger sourire. Elle s’occupa de mon fessier déjà bien douloureux. - Aieee.. J’avais envie de me soustraire. Elle se rapprocha de moi et me caressa pour me soulager ; Ses mains étaient douces et bien chaudes. Elle me fit avancer sur le coté du canapé en posant mes avants bras sur l’accoudoir du chesterfield. Mon maitre s’était levé pour aller se servir un verre. Je le regardais, il feignait à ce moment là de ne pas nous regarder. Cassandra se plaqua derrière moi. Elle se frottait tout en prenant dans ses mains mes globes, jouant ainsi avec mes pinces. Je l’entendais sourire. Je m’en voulais de céder à ses envies. - Je sais c’est bon ma petite chienne. Elle m’embrassa le dos. - Reste comme ça. Monsieur lui avait également servi un verre. - Elle est d’une telle docilité. Elle est bien éduquée. Elle a un parfum particulier qui fait qu’on a envie de la baiser. - Humm j’aime comment vous vous occupez d’elle Cassandra. - Oh mais je n’en ai pas fini de l’utiliser. - Mais elle est toute à vous. Elle s’approcha de moi, mis le verre à ma hauteur. - Tiens ma belle, une petite gorgée. Je savourais ce nectar me réchauffer ma gorge asséchée par le désir. Elle reposa le verre et saisie un bâton orné de deux gros anneaux sur les côtés. Elle le fixa dans ma bouche et l’attacha fermement à l’arrière. Cassandra plaça un tabouret pour que j’y mette mes jambes. - Vous êtes sublime ainsi ma chère, dit Monsieur à mon attention. Cambrez mieux vous que cela, je vous prie. Je veux voir vos seins valsés. Je m’exécutais. J’offrais alors à sa vue ma vulve fermée par les pinces. Il s’amusa à passer sa main dessus me faisant sursauter puis se diriger vers le canapé pour s'asseoir. Je le regardais avec fierté pour le rendre fou de désir. Je voulais me venger. Cassandra mis alors une nouvelle paire de gants à chacune de ses mains. J’entendais ce bruit si caractéristique de ces gants fins . Ses mains commençait à jouer avec les pinces sur ma chatte. Je sentais mes lèvres en feu. Je couinais à travers mon bâillon. Doucement elle retira le plug que Monsieur avait mis dans mon petit trou. - Ohhh doucement chérie, voilà.. tout doux… Je savourais cette libération, tout comme ses doigts qui cajolaient mon petit fion. Elle poursuivait sa petite torture avec les pinces.. - Non .. non.. S’il vous plait tentais- je de dire. - Hummm tu mouilles trop petite chienne.. regarde toi. Chuttttt… Avec douceur, elle retira les pinces. - Mais regardez-moi ça… Je retenais mon souffle, mes cris. Elle passa sa main gantée sur mes lèvres. - Regarde toute cette mouille ! Elle me montra les filets de mouille entre ses doigts au niveau de ses gants. Je bavais à travers mon bâillon. Je regardais toujours Monsieur. Je ne baissais plus le regard. Je voulais le rendre toujours plus fou à le faire céder pour qu’il s’occupe de moi. - Ecarte mieux tes jambes ma jolie. - Voilà… hummmm Elle donna un grand coup de langue sur mon sexe. - Vous ne la remerciez pas ? dit Monsieur à mon attention. Vous êtes une belle petite égoïste me railla-t-il. - Merci.. Madame, merci… Elle se plaqua contre moi. Je sentais son corps sur mon dos, ses bras m’enroulant, sa bouche voulant me dévorer. Je me laissais aller. Je fermais alors les yeux face à ces ressentis inédits. D’accepter cela pour autant je ne désirais pas les femmes. Que m’arrivait-il? Pourquoi elle ? Soudain, elle me redressa en agrippant mes cheveux, descendant sa main entre mes omoplates pour me baiser davantage. Je me cambrais au mieux. Sa main tournait autours de ma chatte, de mon fion s’imbibant de ma mouille. Avec sévérité elle me doigta. D’abord deux doigts qu’elle tendait qui s’engouffraient dans ma chatte. Ses va et vient me pilonner avec une telle rapidité. Je couinais, tellement j’aimais ça. Elle m’empoigna à nouveau par les cheveux. - Montre à ton maitre comment t’es une bonne petite putain. J’ouvrais les yeux, il me regardait en train de me faire doigter. Il voyait mon regard partir, s’abandonner. - Putain mais qu’est ce qu’elle est trempée ! - Oui elle adore ça ! dit-elle avec rire - Cambrez-vous, mieux que ça. Cassandra se stoppa.. Elle claqua ma fesse gauche Je sentis alors un troisième doigt me fourrer la chatte. - Allez doigte toi. Je bougeais mon corps d’avant en arrière pour m’empaler sur ces doigts. C’était si bon, puis Cassandra repris les rennes. Elle s’était avancé pour passer par l’avant sa main. Elle me masturbait le clitoris tout en me doigtant. Je chavirais à ce moment là. - Hummmmm, hummmm… merci… merci lui disais-je. - Humm c’est si bon merci merci.. - Petite putain, lâche toi, regarde toi… Elle ôta sa main pour mieux me fesser et enfoncer un quatrième doigts dans ma chatte. - J’arrive plus à tenir.. je.. tentais-je de dire. Je ne faisais que gémir à ses assauts. Je bavais encore et encore. - Regarde cette mouille… mon dieu… tu en veux encore ? Tu es si ouverte que je pourrais y fourrer ma main sans problème. - Oui Madame.. - Allez caresse toi pendant que je t’écartèle ta petite chatte ma chérie. Elle en profita pour s’enfoncer plus profondément. Elle reprit alors le contrôle et me pénétra fermement, en allant au tréfond de ma chatte. - Bonne chienne, c’est ça.. détends toi,. Je gémissais, si fort, encore et encore, j’en avais oublié Monsieur. Elle me redressa. Mes jambes toujours sur le petit tabouret. Elle mis ses mains sur mon cou. Elle me léchait le cou. - Regardez moi votre petite chienne comme elle se lache. - Oui je vois ça, elle ne sait même plus se tenir dit Monsieur. - Faites bien valser ses petits seins et jouer avec sa chaine dit-il d'un ton punissant. Elle continua à passer sa main sur ma chatte si trempée que cela faisait un tel bruit avec mon mouille. Elle mimait des mouvements sexuels. Je les mimais aussi tellement à ce moment là je voulais être prise peu importe par ou. Elle me pénétra encore avec trois doigts. Je me faisais ainsi baiser. - Merci… Merci… Madame. - Leve tes mains au dessus de la tete. Elle tapait mon pubis, mon clitoris. Je voulais me soustraire. Puis elle commença aussi au niveau de l’arrière. Je ne savais plus quoi ressentir, le plaisir cédant. Ces gestes étaient précis ferme. Quand elle arrêta, elle continua à faire glisser sa main gantée entre mes lèvres, provoquant en moi toujours plus d’abandon. - C’est bon, mains dans le dos. Pas bougé. J’en profitais pour regarder mon maitre, qui la regardait. Je me sentais pas pour autant abandonner bien au contraire. Je savais qu’il adorait vivre cela tout comme moi. Ces nouvelles sensations. Je comprenais la différence de mes ressentis, de mes sentiments. Elle m’agrippa les cheveux et me força à me mettre à genou au sol. Elle ôta mon bâillon. Je vis alors qu’elle avait mis un gode ceinture. Sans ménagement elle le fourra dans ma bouche, me forçant à le sucer comme une vrai queue ; J’y mettais toute mon ardeur. - C’est ça suce bien petite chienne, Montre nous tes talents. Elle empoignait mes cheveux, fermement. Elle me l’enfonçait davantage en bouge avec des petits mouvements de bassins. - Allez mouille la bien ! - Mets la au fond, bien au fond, c’est ça chérie. - Calme toi, maintenant, doucement, tout doux tu vas la prendre et la garder - Hum je vois qu’elle bonne suceuse tu es… - Maintenant ne bouge plus. Elle tenait ma tête ainsi et me baisait simplement la bouche. - Continue, ne t’arrête pas, cela te fait un bon entrainement. Elle m’empoigna à nouveau et plaqua ma tête contre la queue de mon maitre. Je vis alors un sourire sur son visage. Il m’ignorait, il la regardait. Elle se plaçait alors derrière moi. A nouveau elle me redressa en me tirant par les cheveux. Je mis alors mes mains sur le canapé entre les genoux de Monsieur. Elle appuya sur mon dos pour que je me cambre. Monsieur me regardait à ce moment précis, celui où elle me pénétra. Je sentis son premier coups, puis le seconds. Des coups intenses, profonds que je m’avançais presque pour lui tomber dans les bras. Avec rapidité elle me força à me redresser en tenant par les épaules. Monsieur, alors profitait ainsi de ma poitrine offerte. Avec un sourire sévère, il me regardait , les seins valsant, il jouait avec la chaine. Puis quelques secondes après, il ôtait mes pinces à seins. - Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh La douleur fut si vive. Il cajola alors mes tétons pendant qu’elle me prenait. - Petite salope qui se laisse baiser n’importe où me dit-il. Il me gifla. Cassandra riait. - Oui elle adore ça… Il suffit de voir combien elle est ouverte. Elle se retira. Sa queue en moi me manquait. Allait-il me laisser ainsi, frustrée ? - Allez viens sur le lit petite chienne. Elle me redressa me tenant solidement par le collier. Elle me jeta sur le lit. Avec savoir faire, elle me sangla alors les cuisses et les jambes ensemble. - Humm tu vas être si accessible, une petite poupée. J’étais sur les avants bras, je regardais Monsieur. Elle serra fermement les sangles. Puis elle commença à sangler aussi l’autre jambe. Je me retrouver ainsi les jambes repliées à ne plus pouvoir m’échapper. - Tes mains dans le dos ! De même elle les attacha solidement. Je couinais.. - Ah mais j’ai oublié. Elle reprit la gag-ball posé sur le lit pour me bâillonner. J’adorais cette sensation là d’être à sa merci, de subir, d’être contrainte. - Voilà tu es prête maintenant. Je me tortillais, je me retrouvais ainsi sur le dos. - Ah tu préfères être prise ainsi.. ma foi. Sans ménagement elle me prenait à nouveau la chatte. - Hum si étroite ma chérie. Elle commençait à me baiser ainsi. Je sentais les mouvements du lit. Elle regardait mes réactions. Elle se redressa pour admirer le gode entrer et sortir, puis se pencha sur moi. Je sentais le poids de son corps sur le mien en profitant pour embrasser mes seins, titiller mes tétons. Je gémissais encore et encore. Elle me retourna sur le ventre. D’une main toujours ferme, elle sangla cette fois ci mes coudes. - Je veux que tu sois bien à disposition comme si n’importe qui pouvait venir te baiser ma chérie. Je commençais me dire, mais qu’avait-il prévu ? - Hum je sais que ça te plairait, n’est ce pas ? en attendant tu vas te contenter de celle-ci. Elle écarta mes fesses. - Oh ce petit trou est déjà bien écarté… Elle plaça la queue au bord. - Voilà, tout doux tout doux..Je vais te la mettre à sec. il est déjà ouvert. Elle prenait son temps me caressant les fesses. - Voilà, nous y voilà.. tu n’attendais que cela. Je bavais tellement elle avait serré le bâillon. Ces coups étaient au départ très doux, profond. Elle remonta mes fesses pour mieux me prendre. Elle passa une sangle sous mon ventre et s’en servit pour mieux me pénétrer bien au fond. Elle me sodomisait. Petits coups, coups plus intenses, d’autres plus profonds, d’autres plus pilonnant. Je ne pouvais bouger, que subir ses assauts. - Regarder votre petite chienne comme je la baise Monsieur, cela vous plait - Humm oui… continuez. Il s’était approché de moi, s’agenouillant. Il me regardait droit dans les yeux savourant ma sodomie. Il caressa mes cheveux. - Bonne petite chienne me félicita-t-il. Il ôta mo bâillon. Il caressa de ses doigts mon visage. J’appréciais tant cette marque d’attention. - Ahhh ahhhhhh… je gémissais, encore .. encore et encore.. Il plaça alors son doigt dans ma bouche. Je le suçais, le savourant, lé dégustant. - Imaginez si c’était une autre queue à la place de mon doigt… sucez le comme si vous aviez une autre queue. - Voilà c’est ça… ma petite chienne. Cassandra se retira de mon petit cul. Elle en profita pour le retourner. Elle se plaça à nouveau entre mes cuisses. Elle continuait à me caresser, me lécher, à me doigter. Monsieur quant à lui me parler à l’oreille. - Avouez que vous aimez vous faire lécher la chatte par n’importe qui ? - Je… Il avait placé sa main sur mon cou et serré. Il augmentait mon excitation. - Oui Monsieur.. - Avouez que vous aimeriez être fourrée de partout ? - Je…. Hummmmm… ouiii Monsieur. - Avouez-vous que vous aimez être baisée. - Je… ouiiiiiiiiii.. ahhhh… Monsieur. - Avouez que vous êtes ma putain. - Je suis votre putain Monsieur. J’étais au bord de l’explosion. J’allais à nouveau jouir.. - Allez y petite catin, jouissez.. jouissez… Je ne tenais plus sous la langue de Cassandra, elle me rendait complètement folle. Cassandra semblait satisfaite, elle se redressait. - Laissons la ainsi. A disposition. - Humm avec plaisir. J’étais là à observer Monsieur partir avec Cassandra.. Jalouse comme toujours, mais j’avais compris que notre lien était unique.
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Par : le 16/10/21
Les débats entre écolos en vue de la présidentielle nous auront au moins appris une chose. Que Mme ROUSSEAU est "hyper heureuse de vivre avec un homme déconstruit". On ne voit pas bien le rapport avec l'écologie, mais tant mieux pour elle. Ne maîtrisant pas vraiment, pour ma part, le sujet "déconstruction masculine", j'ai essayé de creuser. Dans le monde du bâtiment, cela signifie "le démontage sélectif d'installations techniques ou de certains éléments d'une construction, afin de valoriser les déchets et de réduire les mises en décharge". Même si je n'ai jamais considéré les mecs ou certains de leurs "équipements techniques" comme des déchets, ni envisagé de les envoyer en décharge, jusque là ça va, j'ai réussi à comprendre :smile:. Pour ce qui est de la "déconstruction" des hommes, c'est déjà plus compliqué. De ce que j'ai lu, il s'agirait "d'un processus introspectif itératif, "toujours inachevé", par lequel un individu privilégie la remise en question face aux stéréotypes de genre". Ou encore "une interrogation individuelle qui naît de la prise de conscience d'une société sexiste, et d'un intérêt sincère pour les enjeux d'égalité femmes-hommes". Bon, là ça devient déjà plus compliqué pour celles qui, comme moi, ne sont pas familières de la novlangue féministe. Qui rappelle quand même sacrément Orwell 😀. Ce que j'ai quand même compris, c'est que pour un mec, se déconstruire reviendrait à "questionner sa condition d'homme hétérosexuel tout en étant en permanence à l'écoute des dernières évolutions de la pensée féministe, mais évidemment sans s'accaparer pour autant la parole des femmes". Bref, bon courage, Messieurs. _________________ Même si je n'ai pas tout compris de ce gloubiboulga imbitable, cette "déconstruction" qui est exigée de vous m'a quand même interpelée sur deux points. D'abord quand je me suis souvenue d'autres tentatives de "créer un homme nouveau", en usant des mêmes méthodes, même si c'était de manière plus brutale, qui consistaient à amener les "révisionnistes asociaux" à prendre conscience de leurs fautes pour pouvoir s'amender. Ca se passait en Chine, du temps de Mao, à l'époque de la Révolution culturelle. Ou dans le Cambodge de Pol Pot. Et puis, même si je sais que les rapports hommes-femmes ne sont pas toujours simples, je me suis demandée aussi pourquoi ce travail de "déconstruction" ne devait s'appliquer qu'aux mecs. Parce que dans la construction d'un futur meilleur, notre fonctionnement à nous aussi mériterait peut-être d’être questionné. Dès lors que nous en faisons également partie, de ce futur commun. Du moins dans ma vision des choses. Mais je n'ai pas trouvé de réponse. ________________ Alors, je me suis fixé un autre challenge. Peut-être plus ambitieux. Mais j'ai toujours eu le goût des défis :smile:. Pas de demander à mon mec/Maître de se "déconstruire". Il me convient parfaitement comme il est. Mais de continuer de nous construire ensemble. Lui avec moi, moi avec lui. Comme nous le faisons depuis 3 ans et demi déjà. Parce que si j'ai évolué grâce à lui, lui aussi a changé grâce à moi. A force de nous frotter l'un à l'autre, et pas seulement lors de nos ébats nocturnes et parfois diurnes :smile:. Mais parce que nous avons appris ensemble l'importance de savoir qui l'on est et d'où l'on vient pour pouvoir décider où nous voulons aller. En hommes et femmes libres. _______________ Evidemment, ces réflexions n'engagent que moi. Mme ROUSSEAU est libre de penser ce qu'elle veut. Mais je n'aurais quand même pas voté pour elle :smile:.
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Par : le 16/10/21
Madeleine Chapitre 4. Des visiteuses qui friment un peu trop. Six mois se sont passés et la cohabitation se passe merveilleusement bien. Un évènement va pimenter le quotidien. Ce samedi-là elles reçoivent Anna et Vanessa deux jeunes amies exubérantes de Monique et elles prennent l’apéritif joyeusement. La conversation tourne rapidement sur le sexe et chacune des amies rivalise d’histoires osées sur leurs aventures amoureuses. Madeleine et Monique rongent leurs freins en écoutant les vantardises des jeunes invitées. Petit à petit la conversation s’oriente sur le bdsm que semblent pratiquer les deux jeunes femmes qui racontent leurs exploits d dominatrices avec des hommes voire des femmes qu’elles ont mit à leurs pieds. L’apéritif s’éternise et les cocktails s’enchaînent. Les femmes commencent à être passablement éméchées et les deux jeunes femmes se moquent un peu de la vie pépère des deux hôtesses. Finalement madeleine leur dit qu’elles sont loin de se douter de l’activité sexuelle de Monique et elle et qu’elles seraient plus que surprises si elles savaient. Les deux jeunes femmes sont intéressées et bombardent les ainées de question sur leur libido. Madeline et Monique se lâchent et racontent qu’elles ont chacune un esclave sexuel en permanence à leur disposition. Les jeunes n’en croient rien. Madeleine et Monique n’insistent pas mais affirment cependant que c’est la vérité. Vanessa un peu allumée dit si vous pouvez me montrer vos esclaves sexuels je veux bien être votre esclave aussi pendant tout le weekend. Sinon c’est vous qui serez mes esclaves. Anna renchérit et affirme qu’elle aussi veut bien être leur esclave pendant une semaine si elles lui prouvent leurs dires sinon elle sera leur maitresse pendant une semaine. Madeleine et Monique toisent les deux jeunes femmes et tiennent le pari. Préparez-vous à nous servir pour tout pendant une semaine mais on vous demande de ne parler à personne de ce qu’on va vous montrer. Les deux jeunes jurent leurs grands dieux qu’elles sauront se taire et jubilent à l’avance de ce qu’elles vont faire de leurs ainées. Madeleine et Monique se lèvent et les invitent à les suivre. Les deux jeunes femmes sont perplexes et disent il faut que ce soit de vrais personnes et pas des poupées gonflables ou quelque chose comme ça. Pas de problème dit madeleine elle s’arrête devant une porte et dit vous pouvez encore renoncer. Sinon apprêtez-vous à nous servir nues ce midi et à passer sous la table pour montrer vos talents que vous vantez depuis deux heures. Anna dit bonne idée il y a longtemps que je ne me suis pas fait bouffer la chatte par une femme. Tu prends laquelle dit-elle à son amie. Je prends Monique répond celle-ci en s’esclaffant. Madeleine ouvre la porte et fait entrer les deux jeunes femmes. Face à elle deux croix de saint André et deux jeunes corps nus ligotés et cagoulés sont exposés. Les deux jeunes filles perdent toute contenance. Elles viennent de perdre un pari mais surtout sont sidérées par ces deux magnifiques corps exposés. Elles sont immédiatement jalouses de Magalie qui exhibe ses formes voluptueuse agrémentées de bijoux magnifiques et envieuses de ce garçon si bien monté dont l’érection naissante s’amplifie chaque seconde qui doit plus que satisfaire Monique et madeleine. Madeleine et Monique s’installent sur le canapé et présentent jouet et Petgirl aux jeunes femmes qui n’osent pas bouger. Pour commencer dit madeleine vous pouvez ôter vos vêtements vous les reverrez dans une semaine. Et vite ! Les deux jeunes femmes hésitent. He bien pour des habituées du sexe hard vous êtes bien mijaurées dit Monique. Vous avez une grande gueule mais pour respecter un pari ce n’est pas la même chose. Vexée, Anna commence à se déshabiller en regardant fixement Monique. Vanessa ne peut plus rester seule et entame aussi son strip. Bientôt Anna et Vanessa sont nues devant Monique et madeleine. Tournez-vous ordonne madeleine. Elles obtempèrent et quelques secondes plus tard elles sont menottées les bras dans le dos. Face à nous et à genou. On va prendre un peu de langue avant de se faire servir le déjeuner dit Monique. Anna et Vanessa se mettent à genou mais restent immobiles face aux ainées qui se sont déshabillées et écartent les cuisses. Elles tiennent chacune un martinet dans la main un petit coup sur la croupe des deux nouvelles esclaves les fait avancer et commencer le cunnilingus. Elles sont effarées de s’être mises dans cette position. Au bout de quelques minutes Monique les arrête. Maintenant on va vous prouver que nos jouets sont réels attendez sans bouger. Les deux filles s’exécutent et Monique et madeleine passent derrière elles et s rendent vers les jouets. Ceux-ci sont détachés des croix et amenés derrière Anna et Vanessa. Monique installe une ceinture gode à Magalie et madeleine et elles repassent face à Vanessa et Anna. Aller continuez c’était pas mal et levez vos croupes on a un cadeau pour vous. Sur un geste Magalie et Kevin enfournent Anna et Vanessa qui hoquètent de surprise. Elles se font prendre en levrette alors qu’elles lèchent des chattes. Monique dit que désormais elles pourront se vanter d’avoir participé à des vraies séances SM. Anna qui est sautée par Kevin sent la grosse queue la fouiller et elle atteint vite l’orgasme. Elle lèche avec furie le sexe de Monique qui apprécie le moment. Vanessa met plus de temps à réagir mais le pilonnage de Magalie et la chatte de madeleine lui fon perdre ses moyens et elle jouit bruyamment un peu après Anna. Bravo les filles ça vous fait du bien d’être dominée vous êtes faites pour ça. Cette semaine va être géniale. Maintenant on va passer à table. Debout et suivez nous. Kevin et Magalie sont raccrochés aux croix et Anna et Vanessa suivent docilement Monique et madeleine jusque dans la cuisine. Là elles sont détachées et servent le repas aux deux ainées. Comme elles mettent quatre assiettes Monique leur dit de mettre leur deux assiettes par terre les esclaves mangent par terre et sans les mains dit-elle. Anna et Vanessa se mettent à quatre pattes et mangent difficilement dans leur gamelle. Après le repas Anna et Vanessa sont de corvée de vaisselle. Puis Anna doit raser entièrement le sexe et le cul de Vanessa qui doit faire de même pour Anna dans le salon sous le regard intéressé des deux ainées. Rendues très sensibles les deux jeunes doivent se mettre à quatre pattes dos à dos et Monique leur insère un godemichet double et elles doivent se synchroniser pour se fourrer mutuellement tout en broutant les chattes de madeleine et Monique qui se sont placé une devant chaque fille. L’après-midi est consacré à des séances de bondage ou les deux jeunes femmes son transformées en objet de décoration du salon. Madeleine prend beaucoup de photos en pensant à en mettre dans la salle des jouets. A 18h00 les filles sont chargées de s’occuper des jouets pour les nourrir et leur faire la toilette sous la surveillance vigilante des deux ainées. Afin de se faire pardonner de les avoir délaissés les deux ainées autorisent les jouets à disposer des deux jeunes femmes pour ce qu’il leur plaira. Les deux jouets s’en donnent à cœur joie. Magalie choisi Anna et se couche en demandant à Anna de la caresser intégralement avec la langue. Anna s’acquitte de la tâche d’abord sans entrain puis au fur et à mesure que Magalie montre que ça lui plait et ronronne comme une chatte Anna commence à y prendre gout et lèche avec fougue Magalie en insistant sur la chatte et le sillon fessier de cette dernière. Au final elle est aussi excitée que Magalie qui se met à se servir de sa langue sur Anna. Le spectacle est particulièrement excitant pour les deux ainées qui prennent bonne note des capacités des jeunes femmes. Kevin pour sa part a pris Vanessa. Il commence par demander une fellation langoureuse qui se termine au fond de la gorge de Vanessa surprise par le jet de sperme. Puis reprenant rapidement contenance il sodomise la jeune femme qui est durement dépucelée de ce coté-là. Enfin l’entracte se termine et les jouets sont repositionnés sur leurs croix. Ce n’est pas fini pour Vanessa et Anna qui doivent aller se doucher et revenir servir les deux ainées au salon. Une fois servies Monique et madeleine ordonnent aux femmes de se mettre à genou et de les brouter pendant qu’elles regardent un film porno à la télévision. A la fin du film Anna et Vanessa sont épuisées elles ont lécher pendant près de deux heures sans interruption. Monique et madeleine indiquent qu’elles vont se coucher et prennent chacune une jeune femme avec elles dans les chambres. Là Anna doit se tenir à genou les genoux bien écartés pour que son sexe soit bien exposé les mains sur le tète tout ça sur la table de chevet qui heureusement est assez grande. Le sexe d’Anna se retrouve à une trentaine de centimètres du visage de madeleine qui lui dit tu gardes la position jusqu’à minuit sinon c’est le martinet et demain à sept heure pile tu me réveilles avec ta langue là où tu sais. Bonne nuit ma petite esclave. Vanessa elle doit dormir sur le ventre la tête dans l’entrejambe de Monique qui lui dit que comme ça elle sera disponible à tout moment en cas de besoin. Anna et Vanessa réfléchissent à ce stupide pari et en même temps elles repensent la journée incroyable qu’elles ont vécues et les moments de jouissance intenses qu’elles sont vécues. Qui finalement valaient le coup même si il y a des contraintes. Cependant elles doivent aller retravailler lundi et se demandent comment trouver une solution pour respecter leur parole et aller au taf. Il faudra en parler avec les ainées demain. Anna guette avec attention l’affichage de l’heure sur le réveil de madeleine que celle-ci a posé en face d’elle. A minuit pile elle peut enfin se détendre les bras et les jambes qui lui cuisaient de rester à genou sur la table. Madeleine la voit du coin de l’œil et sourit en elle-même la petite Anna est docile et en plus elle est très belle. Anna ne sait pas quoi faire. Finalement elle se glisse dans le lit et se pelotonne contre madeleine pour se réchauffer. Madeleine est presque émue de ce geste qui semble montrer qu’Anna ne lui en veut pas. Vanessa dort comme elle peut avec la tête de Monique reposant sur son ventre et la main de Monique enfouie entre ses jambes. Elle n’ose pas bouger. Soudain Monique lui parle. Va me chercher le jouet male fait attention qu’il ne se sauve pas et dépêche-toi. Vanessa se lève et traine les pieds jusqu’à la salle des jouets. Là elle décroche Kevin qui la suit sans se poser de questions. Lorsqu’ils entrent dans la chambre Kevin est en pleine érection il sait ce qui l’attend. Sur les ordres de Monique Vanessa le couche sur le dos et Monique se met à cheval sur lui et s’empale sur son chibre. Elle ordonne à Vanessa de la lécher sur tout le corps pendant qu’elle chevauche l’étalon qui ne demande que ça. Vanessa est frustrée elle ne profite pas du sexe de Kevin mais un pari est un pari. Monique est contente elle cloue le bec de cette petite suceuse qui se débrouille bien finalement même si on sent sa frustration. Il faudra qu’elle passe une journée sur La croix de saint André à regarder les autres niquer. Finalement Monique est rassasiée elle dit à Vanessa de ramener Kevin et l’autorise à jouer avec Magalie si elle veut. Vanessa obtempère et ramène Kevin. Dans la salle des jouets Magalie est réveillée. Vanessa rattache Kevin et s’approche d’elle. Vanessa risque une petite caresse sur les seins de Magalie qui réagit aussitôt en ondulant. Vanessa s’enhardit et caresse Magalie sur tout le corps. Cette dernière projette son bassin vers l’avant et cherche la caresse intime. Ceci commence à exciter Vanessa qui se décide à détacher Magalie et à la coucher par terre en prenant garde de maintenir ses mains menottées dans le dos. Il s’en suit un échange de caresses buccales qui électrise Vanessa. Magalie est experte et donne autant qu’elle prend. Vanessa mouille comme jamais quand Magalie lui agace le clitoris avec une langue vivace et virevoltante. Vanessa n’en veut plus et récupère dans la malle bdsm deux godes vibrants un pour elle et un pour Magalie. La demi-heure qui suit est effrénée. Vanessa part plusieurs fois au septième ciel et Magalie n’est pas en reste. Elles finissent par s’endormir l’une à côté de l’autre couchées sur le tapis. Monique qui est étonnée de ne pas voir revenir Vanessa a assisté silencieusement à la fin de leurs ébats et les laisse tranquille. A sept heures madeleine sent qu’Anna se glisse plus bas sous les draps et quelques secondes après une langue timide commence à s’insinuer dans son sexe. Anna respecte les consignes à la lettre. Madeleine profite pendant un quart d’heure de ce moment de bonheur puis elle ressert les jambes et remercie Anna pour son travail. Celle-ci demande alors à madeleine si elle peut parler. Madeleine voyant que ça a l’air sérieux l’autorise. Anna lui jure qu’elle veut respecter le pari jusqu’au bout mais lundi elle doit absolument être au travail et ne sait pas comment faire pour réussir à concilier le deux. Madeleine comprend que le taf est important et propose à Anna de tenir son pari en fractions sur plusieurs weekend en fait 4 weekend en plu de celui qui est entamé. Anna est soulagée et promet de se tenir à ce plan. Elle viendra chaque vendredi soir et repartira le dimanche soir pendant 4 semaines. Vanessa se demande comment expliquer le même problème à Monique quand les quatre femmes se retrouvent au petit déjeuner. Anna et Vanessa sont préposées à dresser la table et à servir le petit déjeuner aux ainées. Pendant que celles-ci prennent le café les deux jeunes passent sous la table et prodiguent des caresses buccales bienvenues. Madeleine explique à Monique le deal passé avec Anna. Monique pose la question à Vanessa qui explique qu’elle est dans le même cas et voudrait bien aussi fractionner le gage. Monique accepte et les deux jeunes femmes sont soulagées. A suivre.
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Par : le 15/10/21
La big Fucking Rocket, cette putain de plus grosse fusée jamais construite par cette espèce qui prolifère et se multiplie, les humains, est partie vers Mars. La Terre est devenue trop petite. A présent, ils veulent aller s'installer ailleurs, sur les autres corps célestes de notre vaste système solaire, et qui sait plus loin encore. C'est une caractéristique de cette espèce: proliférer, se multiplier et aller planter sa tente toujours plus loin. Pour l'instant, c'est la première mission vers Mars, la glacée et rouillée, un monde hostile, presque sans atmosphère. Un mission très périlleuse et entièrement privée. Tous les projets débiles des agences spatiales, se sont révélées être des gouffres financiers sans fin, comme toujours avec les fonctionnaires et administrations du monde entier. Les privés en ont eu marre et ont décidé de tout faire eux mêmes et ils se sont mis à gagner beaucoup de pognon dans l'espace là ou le public lui, pompait celui des contribuables, pour des échecs à répétition et une absence complète d'imagination. Le problème c'est le danger, les radiations, l'isolement total. Le Pdg des big fucking rockets a prévenu d'entrée: "Je vous envoie peut être vers une mort assurée". Au moins cet ET, incarné dans un corps d'humain, je blague, ne cache pas la réalité. Pourtant les candidats ne manquent pas. Etre le premier...encore un délire psychiatrique qui caractérise les humains. Il fallait cette forme de courage pour ces humains qui se sont lancés sur des coquilles de noix sur le vaste Océan Pacifique, pour chercher des îles incertaines. C'est dans l'ADN humain ce genre de folie. Big Jhonny, un colosse texan, a été choisi pour conduire cette mission. C'est un incroyable pilote d'essai, un timbré au cerveau étrange, capable de "voir" les solutions plus vite que n'importe quelle intelligence artificielle, capable de se sortir de n'importe quel danger. Un buveur de Whisky et un gros fumeur de havanes et de cette bizarrerie française, les gitanes mais sans filtres. Bref, il a fallu lui aménager un coin fumeur dans la BFR. Pour le reste de l'équipage, Big Jhonny a choisi lui même trois superbes salopes, des femelles made in USA, à gros nichons et bien ouvertes par tous les trous comme ce timbré les adore. Et comme il est seul maitre à bord de la BFR, il a instauré sa règle simple: Big Jhonny a tous les droits et ses trois femelles doivent obéir en tout et pour tout et adorer cela. Le vol dure plusieurs mois. Big Jhonny pose sans problème les centaines de tonnes de la BFR près de l'équateur de la petite planète rouge. C'est encore plus froid et désertique que prévu. Pour Big Jhonny c'est même pas beau. Il tient à ce que ses femelles soient les premières à poser le pied sur ce monde rouillé. Histoire de faire croire qu'il n'est pas le pire macho de la galaxie. Construire une base gonflable est vite réalisé. Big Jhonny fait boire ses femelles et les fait pisser sur du sol martien pour le fertiliser dans des serres. Des plantes poussent. Un lac souterrain d'eau liquide se trouve sous le point d'atterrissage choisi. Un forage est mis en place et une eau fraiche et très pure en sort. Les serres deviennent luxuriantes, bien chauffées par une mini centrale nucléaire très puissante. Big Jhonny a décidé de vivre nu dans ses serres, avec ses trois femelles en tenues d'Adam. Il dit que c'est son jardin d'Eden. Et il tringle ses femelles partout pour bien les féconder. La gravité divisée par trois multiplie ses ardeurs. Des bébés arrivent. De jolis petits humano martiens bien joufflus. Là était peut être la volonté des Dieux. Parfois Big Jhonny en a marre de tout, de la connerie de la vie, de ses trois femelles casse couilles, de mars, de la terre, ...Alors il prend son rover, une bonne bouteille de whisky, quelques bons cigares et il se barre pour méditer dans un coin isolé. En fait il s'embrume bien l'esprit et s'endort paisible. Au réveil il a toujours une grosse trique et une envie furieuse de tringler. Ses femelles le savent. Depuis le temps elles connaissent bien Big Jhonny. Elles l'attendent en se cachant dans les serres. Elles savent que son fantasmes c'est de jouer à l'homme de cavernes. Il adore choper ses femmes par la chatte et les bourrer sans ménagement. Leurs plaisirs, il en a rien à foutre. Ce qu'il veut c'est se vider les couilles et la tête. C'est justement cela qui fait bien mouiller et jouir ses trois femelles, de la baise bien bestiale avec des grognement d'ours des grandes plaines. A force d'aller méditer dans les déserts rouillés de Mars, Big Jhonny a fini par trouver un superbe filon de terres rares et très précieuses pour les humains. Des robots se mettent aussitôt au travail pour l'exploiter et remplir la BFR. Il est temps de la renvoyer sur terre en vol automatique avec ses trésors. Une nouvelle fusée arrive, un nouvel équipage. Le peuplement de la planète rouillée vient de commencer. Big Jhonny va voir ses trois superbes salopes, pour lui, les plus belles de la galaxie. -Je commence à me sentir un peu à l'étroit ici. Ca vous dirait d'aller planter la tente sur Encelade? Ses femelles bien dressées baissent la tête et ne répondent pas, de toute façon c'est Big Jhonny qui décide. Les réservoirs de la BFR sont remplis sur Mars. Le mastodonte d'acier décolle pour les lunes glacées de Jupiter et de Saturne avec pourtant des océans liquides sous les croutes de surface. Les mioches humano martiens sont laissés sur la planète rouge pour qu'ils puissent croitre et se développer sur ce monde rouillé où ils sont nés. Nul doute qu'ils vont le faire verdir. Big Jhonny est leur père dans les cieux....peut être reviendra t'il un jour?
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Par : le 15/10/21
*Je recommence à rapatrier mes textes de fetlife enfin celleux que je préfére* C'est toujours tellement touchy une relation D/s enfin moi j'ai toujours trouvé ça tellement touchy. Surement parce que toute ma vie, j'ai du obéir à des ordres. Des ordres genrés, des ordres religieux, des ordres d'attirances, des ordres de respectabilité, des ordres d'avenirs... Il fallait se respecter et envisager l'avenir. Mais que fais t-on quand aucun avenir ne nous intéresse ? Que fait-on quand on a pas envie de se respecter ? Que fais t-on quand on a en nous juste une colère sourde et indistincte qui nous tenaille le ventre. On désobéit je suppose. On apprend à désobéir jusque que ça en devienne absurde. Juste comme ça, par principe, par ténacité, par habitude. Alors oui les jeux d'obéissance ont toujours été difficile pour moi. Je ne suis pas venue au bdsm pour ça de toute façon. C'est juste un accident de parcours la soumission. "J'ai vu de la lumière" comme dirait l'autre... Il y a deux ans et demi après un événement traumatique j'ai choisi de me trouver un maitre et je le voulais plus violent que les autres, plus impitoyable. Parce que je voulais arrêter de sentir les choses, parce que je voulais que mes émotions soient étouffés dans une gaine de douleur, parce que je voulais que quelqu'un décide à ma place et n'être qu'une poupée entre ses bras. Juste en définitive parce que je me sentais pas la force de faire les choses et qu'à part gober des cachets je ne voyais pas bien quoi faire de ma vie. C'est comme ça que j'ai rencontré sam, qui sa mysogynie et sa transphobie mis à part est quelqu'un que j'ai toujours trouvé assez fascinant. Il cherchait quelqu'un qui n'avait pas peur de perdre et j'ai toujours eu un grand amour pour la tragédie alors on s'est assez rapidement bien entendu. Récemment on m'a demandé quels étaient mes meilleurs souvenirs avec lui et je me suis rappelée de ce banc. Un lieu rituel qu'on avait instauré sur ma demande pour quand j'avais besoin de faire un point ou juste faire une pause dans le type de relation qu'on avait instauré ensemble, pour quand ça devenait un peu trop étouffant. C'étais juste en face de chez lui, entre deux rues désertes dévoré par le silence et l'ennui. Le lieu idéal pour parler de nous. Sans règles, sans protocole, juste deux personnes queer paumés qui cherchaient à donner du sens aux choses. Je me souviens de ce jour, il me tenait par la main car j'étais pas capable de marcher toute seule. Il tapait toujours assez fort mais en même temps j'avais besoin de ça pour encaisser ma semaine, un nuage de douleurs pour dessiner un azur qui nous aurait donné envie de rêver. Et ce sentiment que t'es tellement défonce que tu pourrais t'évanouir la maintenant et peut être ne plus jamais te réveiller. Ce sentiment extatique d'être au bord du gouffre et de sentir le vide sous tes pieds. Je sens le contact du banc sur mes blessures, c'est frais et apaisant. Il gèle. Après la chaleur de son sous sol, le froid a quelque chose de doux. C'est toujours moi qui commence à parler, une maniére pour moi de reprendre le controle et d'être à l'initiative des choses : Merci pour la pause, j'en avais besoin. Oh c'est le deal trésor. Et puis je t'ai fais suffisamment morflé pour t'accorder ça sans soucis je pense. Il a la voix chaude, étrangement douce. Cela contraste tellement avec le reste. Parfois j'ai le sentiment que je pourrais tomber amoureuse de lui mais... Mais j'ai trop peur. Jamais je pourrais vivre ça h24. Pour le coté punk ça va mais mon coté walt dysney me manquerait trop. J'ai toujours eu un coté culcul la praline et c'est un coté qu'il n'aime pas. Sam...? Oui lilas je t'écoute (Je souris) J'aime bien quand tu m'appelle comme ça. Ca fait bizarre c'est sur mais je t'avais dis que je respecterais ça. Même si je comprend pas, je respecte. Tu m'avais dis la dernière fois que tu me dirais comment tu es devenu dom ? Il brossa sa barbe de trois jours d'un revers de la main l'air un peu embarrassé. C'étais rare qu'il manifeste une gène quel qu'elle soit et ça me rendait "avide" d'assister à ça. Il finit par dire en tendant les mains vers le lointain. Je pensais que tu avais deviné depuis longtemps. Ca semble évident non ? En fait je sais pas, on a rarement l'occasion de parler tu sais. Même si je te suis très reconnaissante pour chaque moment d'intimité que tu m'accordes. Une bouche ça peut mentir tu sais ? C'est simple en fait, suffit de parler et d'aligner les mots. Mais un corps ça s'est différent. Je préfère laisser parler les corps. Il avait en lui une espèce de douleur contenue en permanence. Comme quelque chose qui menaçait d'imploser d'une minute à l'autre. Au final c'étais la tout le problème de notre relation : on se ressemblait trop. Sa poésie sauvage faisait beaucoup trop écho à la mienne. Oui mais en l'occurrence mon corps communique beaucoup plus que le tien. Je ne suis pas vraiment pas à mon avantage à ce niveau la... Mais tu n'es pas venue me voir pour être à ton avantage non ? Oui touché en effet. Carrément pas pour ça. Je suis séropositif lilas. C'étais pas le genre à faire des blagues et en même temps il avait dit ça d'un ton extrêmement calme. Son ex était décédé du vih, l'une des rares choses qu'il m'avait dit sur lui, ceci expliquait cela... Je suis vraiment désolée. J'aurais du m'en douter oui et vraiment si j'ai été blessante par rapport à ça... Il se mit à rire. A rire assez fort en fait, le genre de rire qui désarme, un rire qui vous donne envie de pleurer tellement on y sens la rage. Tu vois c'est ce que j'adore avec toi. N'importe qui se serait mis en colère en entendant ces mots. Et toi tu es désolée ? C'est moi qui devrait être désolé... Quoi parce que tu m'a pas dis quand on s'est rencontré ? Tu n'avais pas à me le dire c'est ta vie pas la mienne. Si les autres abrutis sont pas capable de se protéger c'est leur problème. C'est pas ce qu'ils disent quand tu leur annonce. Souvent je me faisait insulter voir menacer tellement les gens étaient furax. Qu'ils aillent se faire foutre avec leur "t'es safe" à tout bout de champ. C'est qu'un ramassis de classiste/raciste/validiste et j'en passe et des meilleurs. Eux safe ? Fais moi rire. En fait être "maitre" ça éludait le problème. Je pouvais imposer mes règles du jeu. Et si ça plaisais pas ? Basta tu dégage ! Je comprend... Je pense que dans ces moments la ou au final j'étais le plus à lui. Quand je sentais quels douleurs le traversaient. Mon masochisme ne s'est jamais limité à ces moments de jeu qu'on appelle bdsm, c'est aussi chaque fois que je sens une douleur me percuter, que je la reçois, que je l'écoute. Que je sens à quel point elle vit la quelque part et à quel point elle est jolie. Il y eu un long silence après ça et peut être que ce jour la j'ai crié plus que d'habitude, j'ai encaissé plus qu'il n'aurait fallu, je me suis poussé plus loin que la raison ne voudrait. Pas pour se la jouer compétitive non, juste pour lui dire "Moi je te désire comme tu es et je te trouve joli comme tu es. Avec moi tu ne sentiras pas ce regard qui dit "ah désolée je savais pas..." et ce mouvement de recul, horrible et ignoble que certains se permettent." Oui surement que ce jour la je lui ai dis je t'aime. Mais à ma manière avec la discrétion d'un corps qui gémis. Son langage à lui en somme.
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Par : le 15/10/21
Madeleine chapitre 3. Magalie se joint involontairement à l’équipe Quelques semaines plus tard une occasion inattendue se présente chez Monique. Sa nièce d’une vingtaine d’année a quitté le domicile familial pour suivre un mec bizarre et vit désormais dans un squat à l’autre bout de la ville. Magalie est bien foutue avec une poitrine généreuse même si elle est un peu maigre avec la vie qu’elle mène. Elle vient parfois taper un peu d’argent à Monique qui commence à en voir marre. Ce jour-là Magalie insiste beaucoup et exaspère Monique qui ne sait plus comment s’en débarrasser. Elle finit par appeler madeleine pour lui demander conseil. Madeleine lui dit de patienter un peu et promet de la rejoindre dans les minutes qui suivent pour l’aider à se débarrasser de Magalie. Lorsque madeleine arrive le ton monte entre Monique et Magalie. Madeleine propose de boire un verre pour se calmer et trouver une bonne solution. Magalie rechigne mais fini par accepter un grand verre de whisky. Monique est perturbée. Madeleine prend les choses en mains et va servir les verres. Magalie boit le sien cul sec et demande à Monique combien celle-ci est disposée à lui donner. Monique s’énerve un peu mais madeleine calme le jeu en indiquant qu’elle venait de trouver une solution qui satisferait Monique et qui permettrait à Magalie de ne manquer de rien. Les deux femmes se calment et demandent quel miracle permettrait de faire cela. Madeleine leur demande de patienter quelques instants et propose un autre tournée. Les femmes trinquent avec circonspection. Puis madeleine dit à Monique qu’elle venait de lui trouver un jouet comme elle souhaitait. Magalie commence à dodeliner de la tête. Monique comprend tout à coup ce qui se passe. Elle regarde Magalie de la tête aux pieds et se dit qu’elle ferait un beau jouet même si il lui manque un appendice bien utile. Magalie finit par s’effondrer et s’endormir sur le canapé. Madeleine retourne à sa voiture et revient avec une valise contenant le nécessaire pour équiper Magalie. Magalie a une sacré gueule de bois. Elle ne sait plus où elle est et ne se souvient de rien. Elle est couchée dans une position insupportable. Elle ouvre les yeux mais reste dans le noir. Elle veut bouger mais ses mains sont bloquées dans le dos et ses chevilles sont tirées en arrière. Elle veut crier mais une espèce de balle souple rempli toute sa bouche et elle n’arrive pas à la recracher. Magalie se réveille complétement. Elle est sur une moquette ou un tapis mais ne peut pas bouger. Elle entend du mouvement devant elle. Elle se réveille enfin. Elle reconnait la voix de sa tante Monique. Voilà ton nouveau jouet est tout à toi. Il est vraiment très beau. C’est la voix de madeleine. Maintenant les souvenirs reviennent à Magalie. Elle était chez sa tante pour lui taper de l’argent et elles ont bu mais pas assez pour tomber dans le coma. Bon ma petite maintenant c’est moi qui donne les ordres. Tu vas voir que tu ne manqueras de rien chez ta maitresse. Il faudra juste bien obéir aux ordres. Magalie rue et essaye de crier en vain. Un coup de fouet la fait sursauter. En sursautant elle s’aperçoit qu’elle a un engin enfoncé dans le cul et un enfoncé dans sa chatte. Ces femmes sont folles il faut que je me tire de là. Madeleine dit à Monique tu as vu ton jouet est piercé de partout, les seins, le nez, la lèvre, le clitoris les lèvres du bas. Tu vas pouvoir la décorer comme un sapin de noël. Monique est enthousiaste et frappe des mains. Super j’ai hâte de la décorer. Bon dit madeleine il faut passer aux choses sérieuses. Tu vas l’appeler comment ton nouveau jouet. Petgirl répond Monique. Ça lui va bien. Cool dit madeleine. Petgirl écoutes moi bien. On t’a mis un joli collier de chien à la place du collier moche que tu portais. Celui-là a une particularité intéressante il est anti aboiement. On l’a réglé sur puissance maxi et bruit mini. Au moindre chuchotement tu prendras une décharge intéressante qui t’inviteras à fermer ta gueule. Magalie enrage. Se faire appeler Petgirl c’est trop. Elle rue mais est vite calmée par le martinet. Maintenait dit madeleine on va enlever ton bâillon mais gardes bien le silence sinon c’est décharge, fouet et retour du bâillon. Elle joint le geste à la parole. Magalie veut crier mais son cri s’arrête net sous l’impulsion du collier. Elle sursaute et veut recommencer mais elle est de nouveau secouée. Elle veut se plaindre doucement mais encore une décharge. D’une toute petite voix elle susurre s’il vous plait détachez moi maintenant je ne demanderais plus de thune à ma tante. Monique lui répond tu n’auras plus besoin de thune je vais subvenir à tous tes besoins. En échange tu devras juste me faire plaisir. D’ailleurs tu vas commencer maintenant. Madeleine et Monique installe un écarteur de bouche à Magalie. Elle a les mâchoires écartées au maximum et ne peut plus fermer la bouche. Monique désolidarise les attaches des poignets et des chevilles et met Magalie à genou en face d’elle. Maintenant petite Petgirl tu vas brouter ma chatte pour me faire plaisir. Magalie regimbe et veut se reculer mais des coups de martinet pleuvent sur ses fesses et Monique tient le collier avec fermeté. Finalement la bouche de Magalie se colle à la chatte rasée de Monique. Vas-y petite Petgirl. Fais ton travail. Magalie essaye encore de se retirer mais sans effet si ce n’est quelques coups de martinet beaucoup plus appuyés que les précédents. En larmes elle obtempère et darde timidement la langue dans le sexe de sa tante. Plus loin plus d’entrain ma petite Petgirl. Tant que je n’aurais pas joui tu devras me lécher et après tu passeras à maitresse madeleine. Magalie pleure mais s’exécute et après plusieurs minutes Monique commence à pousser des soupirs de jouissance. Bien ma petite Petgirl tu comprends bien maintenant au tour de maitresse madeleine. Magalie est retirée et sa tête cogne la chatte épilée de madeleine. Elle recommence à lécher sans attendre le martinet. Un quart d’heure qui lui semble très long passe. Puis Monique décide de mettre en action le vibro masseur qui est enfoui dans Magalie. Malgré toute sa volonté elle commence à ressentir de la chaleur dans son bas ventre. Elle redouble de vigueur sur la chatte de madeleine sans s’en rendre compte. Finalement elle est fauchée par un orgasme contre toute attente. Elle en subira plusieurs autres dans la demi-heure qui suivra. Bien Petgirl tu es efficace. Tu as mérité l’apéritif avec nous. Monique va chercher deux verres d’alcool et une gamelle avec de l’eau pour Magalie. Pendant que les femmes trinquent elle lape l’eau car elle crève de soif après ses léchages à rallonge. On va passer à table dit Monique tu viens avec nous. Elle détache les genoux de Magalie et la tire par la laisse. Magalie veut se lever mais un coup de martinet et un geste de Monique la font comprendre qu’il faut quelle avance à genou derrière Monique. Les deux femmes s’assoient et déjeunent en devisant joyeusement. Magalie est glissée sous a table et doit lécher tour à tour les pieds nus de madeleine et Monique Ce midi elle ne mangera rien. L’après-midi est consacrée à tester des nouvelles positions pour mettre en valeur Magalie. Très souple après des années de gymnastique elle se prête bien même si ce n’est pas volontaire pour des postions en grand écart. Pour finir elle monopolise le canapé en étant assise dessus les bras attachés tendus en arrière et les jambes aussi attachées grandes ouvertes qui remontent jusqu’à toucher le dos du canapé. Ainsi exposée sa chatte fait l’objet de toutes les attentions de madeleine et Monique. La première chose étant de la raser intégralement. Puis Monique s’enhardit à lécher le sexe de Magalie qui a son corps défendant ne résiste pas et finit par en redemander. Madeleine prend la relève car Magalie est insatiable sans comprendre d’où ça lui vient. En aparté Monique félicite madeleine pour son cocktail pour femme. Magalie est une vrai tigresse et ne se fait pas prier pour lécher Monique qui est montée sur le canapé et lui présente son sexe. Enfin les deux femmes étant épuisées, elles enfilent le gode vibreur dans le sexe de Magalie et le laisse fonctionner en continu jusqu’à l’apéritif du soir. Magalie ne comprend pas ce besoin impérieux de faire l’amour et voudrait encore plus de contacts avec les deux femmes. Finalement madeleine et Monique se disent que ça ne sera pas trop difficile de dresser Petgirl. Le repas est pris avec un plateau repas dans le salon. Les deux femmes se sont mises en face de Magalie et la font manger des petites bouchées qu’elles lui mettent directement dans la bouche. Celle-ci est affamée et avale tout ce qui se présente. Pour la nuit elle est mise par terre sur le tapis et strictement menottée sa cagoule aveuglante ne lui a pas été retirée de la journée. Il n’est pas utile de lui mettre un bâillon, le collier fait très bien son office. Une fois Magalie sécurisée Madeleine prend congé de Monique qui reste encore quelques longues minutes à admirer le joli corps de Magalie qui dort comme un nouveau-né. Demain pense t’elle va apprendre les tâches ménagères. Le lendemain Magalie est conduite à la douche suivant le même protocole que Kevin. Elle se rebelle plusieurs fois mais en vain et en plus elle reçoit quelques coups de martinet. Après la toilette elle est employée aux tâches ménagères. Monique ne la quitte pas d’une semelle et motivée par le martinet Magalie exécute toutes les taches ordonnées par Monique. En fin de matinée Magalie est installée sur le canapé en grand écart dans la position de la veille. Monique lui enfile le gode vibrant et une fois que Magalie est bien chauffée Monique lui présente sa chatte que Magalie lèche avec application. Les jours défilent. Monique casse sa tirelire et achète de magnifiques bijoux corporels pour Magalie. Elle a désormais les mamelons ornés de belle créoles de cinq centimètres de diamètre un anneau plus petit est inséré entre ses deux narines et son sexe est parsemé d’une demi-douzaine d’anneaux en or du plus bel effet. Malgré elle Magalie exhibe fièrement ses bijoux à sa tante ou à madeleine quand celle-ci vient leur rendre visite. Magalie se demande toujours comment faire pour se libérer et retrouver sa liberté même si à chaque jour qui passe son envie d’évasion diminue. Elle n’a pas à dormir avec des zonards dans un squat immonde, ne doit pas se lever chaque matin en cherchant comment trouve la pitance du jour à ne se laver que de temps en temps et à porter les mêmes frusques plusieurs jours de suite. Ici elle est toujours propre et nette, nourrie convenablement même si c’est humiliant de manger dans une gamelle et elle n’a pas besoin de rechercher de la thune ou de quoi subsister chaque jour. Elle en veut de moins en moins à sa tante. D’autant plus que sexuellement elle est plus qu’active et se demande d’où lui vient cette envie permanente de baiser. Pour sa part Kevin a cessé de se rebeller et finalement commence à supporter cette vie d’objet sexuel et de décoration. Pas trop de travail, pas d’angoisse et tirer son coup plusieurs fois par jour. En plus le cocktail quotidien de madeleine agit sur sa volonté et il pense de moins en moins à sa vie d’avant qui apparait dans un brouillard noir à coté de ses journées actuelles peuplées de fantasmes et de sexe. Un jour ou Monique lui rend visite madeleine dit que c’est un peu dommage qu’elles ne puissent pas profiter de leurs jouets en même temps. Monique répond en lui disant que ce serai joli d’avoir les deux jouets exposés sur deux croix de saint André l’un en coté de l’autre. Une idée en entrainant un autre elles conviennent que ce serait plus simple d’habiter ensemble pour pouvoir mieux surveiller les jouets quand l’une d’entre elles doit s’absenter. Finalement elles font le tour de la maison de madeleine et se rendent compte qu’elles pourraient cohabiter sans problème. Il y a assez de chambres et elles pourraient consacrer une pièce pour exposer leurs jouets afin de libérer le salon en cas de visite. La grande pièce destinée aux jouets est meublée d’une table et de chaises, d’un vaste canapé d’un grand tapis très épais et de deux croix de saint André mises contre le mur face au canapé. Des photos des jouets dans des positions extrêmement suggestives ornent les murs. Le transport de Magalie se fait dans une grande malle en osier Magalie est légèrement anesthésiée et ne pose aucun problème au couple. Kevin voit avec une certaine allégresse la venue de la belle Magalie. Il en tombe immédiatement amoureux et fait tout pour contenter ses geôlières afin d’espérer qu’elles le fassent rapprocher de Magalie. Celle-ci regimbe toujours. Même si elle aime parader devant Kevin avec son corps parfait et ses ornements de corps. Et puis le , Exacerbé par la potion qu’il ingurgite chaque jour à son insu , le membre quasiment toujours en érection de Kevin la laisse rêveuse. Elle a envie de sexe avec ce male bien monté. Néanmoins tout se passe bien pour madeleine et Monique qui disposent toujours de jouets magnifiques. En plus les deux femmes s’aperçoivent que les jouets sont plus en plus dociles et nécessitent de moins en moins de précautions dans le bondage. Elles se prennent à rêver à des jouets complètement dociles. Et puis désormais elles peuvent recevoir des visites sans montrer leurs jouets. A suivre.
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Par : le 15/10/21
Chapitre 2 : Monique remplace Madeleine. Malheureusement un incident vient ternir le bonheur de Madeleine. Elle doit absolument suivre une formation de mise niveau pour son taf. Cette formation dure une semaine et a lieu à l’autre bout de la France. Elle ne peut pas laisser son jouet seul pendant huit jours. Si elle lui laisse trop de champ libre il arrivera à s’évader si elle le ligote trop il pourrait lui arriver malheur. Elle réfléchit à ce problème quand elle reçoit un appel téléphonique de Monique sa meilleure amie. Celle-ci est délurée et doit beaucoup à Madeleine qui l’a déjà sorti de grosses galères par le passé. Monique devine à son ton que Madeleine est anxieuse. Elle lui demande ce qui ne va pas et l’assure qu’elle peut compter sur elle pour tout ce qu’elle veut. Madeleine réfléchit vite et se jette à l’eau. Oui j’ai un petit problème je dois aller en formation une semaine mais il faut absolument que quelqu’un s’occupe de mon nouveau jouet à la maison. Monique est intriguée. C’est quoi ce nouveau jouet qui nécessite qu’on s’occupe de lui pendant ton absence ? C’est compliqué dit Madeleine. Mais il faut quelqu’un en qui j’ai absolument confiance car ce n’est pas très légal. Monique est curieuse. Tu sais que tu peux tout me dire je te dois tout et j’irai en enfer pour toi. Madeleine lui répond c’est presque ça. Tu dois me jurer que tu garderas le silence absolu sur ce que tu verras. Monique est étonnée mais aussi très curieuse et lui jure de garder le silence. Bon vient passer le weekend à la maison je te montrerai mon jouet et comment il faut s’en occuper. Attend toi au choc de ta vie. Monique trépigne d’impatience. Le samedi midi elle rejoint Madeleine qui quitte son taf et elles cheminent ver la maison de Madeleine. Monique la bombarde de question. Madeleine gênée finit par lui dire que c’est très hot. Monique est toujours impatiente mais en même temps elle est maintenant excitée. Un beau male ? Elles arrivent à la maison. Madeleine entre et dit à voix haute : Ta maitresse est rentrée mon petit jouet j’espère que tu es en forme. Monique est interloquée mais personne ne répond à Madeleine. Celle-ci invite Monique à la suivre dans le salon. Là Monique est sidérée. Un jeune homme est à genou sur la table du salon il est attaché comme un saucisson et montre une érection monumentale. Je te présent mon jouet dit Madeleine. C’est de ça que tu devras t’occuper pendant mon absence si tu veux bien. Monique ne sait pas quoi répondre. Madeleine voit qu’elle est perturbée et l’invite à s’assoir sur le canapé. Monique s’assoit et accepte volontiers le verre d’alcool que lui propose Madeleine. Monique reprend enfin ses esprits. Raconte-moi comment il est arrivé ici. Demande-t-elle. Madeleine lui raconte la soirée ou Kevin a tenté d’abuser d’elle pour lui refourguer une assurance bidon. Puis la façon dont il se comportait comme si il était chez lui. Et finalement l’idée du laxatif qui s’est transformée en somnifère. Et depuis il est à la disposition sexuelles de Madeleine pour tous ses besoins. Monique reprend peu à peu une contenance et s’enhardit à contempler le joli corps imberbe jusqu’au dernier poil pubien. Elle se lève et tourne autour de Kevin. Il a quelque chose dans le cul dit-elle. Oui répond Madeleine il doit toujours être offert à sa maitresse cul inclus. Monique a fini le tour et s’approche du pénis de Kevin. Je peux toucher ? Bien sûr tu verras il est bien dur. Monique prend le pénis dans la main et constate qu’il est tendu comme un arc. En plus Kevin ondule sous la caresse. Il réagit vite dit Monique. Oui il aime qu’on le malaxe de ce côté-là. Si j’osais j’y mettrais la bouche dit Monique ragaillardie. Vas-y. Ce n’est pas lui qui dira non. Monique se penche et ouvre grand la bouche pour avaler le chibre palpitant de Kevin. Elle fait quelques allers-retours et s’arrête avant que Kevin n’explose. Il a une super bonne queue ton jouet. Madeleine est aux anges. Monique a l’air de décoincer rapidement. Tu veux voir ce qu’il sait faire avec sa langue dit Madeleine. Monique dit oui sans hésiter. Je vais te montrer comment on le descend de sa position favorite en toute sécurité dit Madeleine. Elle détache Kevin du plafond et lui remet les menottes dans le dos. Elle accroche la laisse au collier et le fait descendre par terre ou il se retrouve à genou. Il n’a pas le droit de se lever. Il doit tout faire à genou ou à quatre pattes. Je vais enlever son bâillon. Elle enlève le bâillon de Kevin qui commence à crier pour qu’on le détache. Quelques coups de martinet fusent. Il finit par se taire. Tu vois il essaye parfois de se rebeller mais il finit par comprendre avec quelques coups de martinet. Elle lui donne l’ordre de lécher ses pieds. Kevin s’exécute. Monique est pensive. Il est costaud il n’a jamais réussi à s’échapper demande t’elle. Non il faut bien suivre le protocole pour changer ses liens. Je t’expliquerais tout ça mais pour l’instant profitons de sa langue. Elle s’assoit sur le canapé et guide Kevin jusqu’à son entrejambe. Là il commence un cunnilingus. Monique est troublée et voit que Madeleine est prête à exploser. Il a l’air doué. Oui dit Madeleine en reculant la tête de Kevin. Tiens prend la laisse et viens t’essayer. Monique s’assoit à coté de Madeleine et prend la laisse. Doucement elle approche la tête de Kevin de son sexe et finalement il commence à la brouter avec vigueur. En quelques secondes elle est au septième ciel. Il est doué le bougre. Maintenant les deux femmes ont bien profité de la langue de Kevin. On peut en profiter en même temps dit Madeleine elle reprend la laisse et couche Kevin sur le dos. Elle l’enfourche et vient poser son sexe sur la bouche de Kevin. Elle montre la queue de Kevin à Monique. Celle-ci enfourche à son tour le beau male et s’empale sur la queue vibrante. Kevin se montre à la hauteur et quand il les lâche enfin les deux femmes sont comblées depuis longtemps. Les femmes se relèvent un peu échevelées. Bon, on le passe à la douche et ensuite on mange dit Madeleine. Elle montre à Monique les protocoles pour qu’il soit douché sans qu’il puisse espérer se libérer. Une fois Kevin essuyé elles se dirigent vers la cuisine pour déjeuner. Elles mangent à table pendant que Kevin mange dans sa gamelle par terre. Elles prennent un café tranquillement pendant que Kevin tiré par la laisse jusque sous la table les broute tour à tour. Après le repas Kevin est remis sur la table du salon. Il bande de nouveau prêt à une autre séance de sexe. Tu vois dit Madeleine il est toujours disponible et sa seule raison de vivre c’est de me satisfaire. Monique demande si elle peut en profiter encore et Madeleine lui dit que c’est l’occasion pour Monique de changer la position de Kevin toute seule. Monique respecte bien le protocole et Kevin désabusé reste docile. Monique se fait prendre en levrette et finit par une fellation complète de Kevin. Elle exulte. Il est trop bon. Et inépuisable. Madeleine a profité des ébats pour s’installe un gode ceinture. Bon je vais lui rappeler qu’il est bien un jouet à ma disposition pour tout et elle encule vaillamment Kevin après lui avoir enlevé le plug. Après la séance Kevin est réinstallé sur la table ou il patiente pendant que les femmes discutent chiffon. De temps en temps Kevin se remet à bander et Madeleine explique à Monique qu’elle a mis au point un petit cocktail le maintenant en érection presque en permanence. Le lendemain matin c’est Monique qui est chargée de la toilette de Kevin. Elle s’en sort bien et est récompensée par une matinée de sexe dont elle ressort pantelante. Elle n’a jamais joui autant et pourtant elle n’est pas à son premier club libertin. Les filles sont d’accord Monique gardera la maison de Madeleine pendant la semaine d’absence de cette dernière. Après un cocktail bien chargé les femmes décident de chercher d’autres positions pour Kevin afin qu’il représente un beau trophée de chasse. Il est d’abord assis dos au canapé et ses jambes sont écartées au maximum attachées aux pieds du canapé les bras sont aussi écartés et tirés en arrière. Le tableau est joli mais le sexe tendu de Kevin n’est pas aisément utilisable alors elles le mettent couché sur le dos sur la table du salon les bras et jambes accrochés fermement aux pieds de la table. Là les femmes trouvent que c’est pas mal car la bouche et la bite de Kevin sont faciles à utiliser. Elles font l’essai et l’une sur la bouche l’autre sur la queue elles alternent les positions en prenant des paris sur celle qui recevra la giclée de Kevin. Monique gagne et parade dans le salon. Finalement elles trouvent que la position est trop facile pour Kevin. Il est trop à l’aise et recommence à bander. Il est positionné debout sur le côté du canapé orienté face vers le canapé les jambes légèrement écartées et liées aux pieds du canapé et les mains dans le dos. Un cockring est positionné sur sa queue et une cordelette joint la queue au bas du canapé. Il a la bite horizontale rendue violette par la tension. La position est assez pénible pour lui mais la femme qui s’assoit dans le canapé doit juste tourner légèrement la tête pour avoir la bite à portée de bouche. Elles refont les paris et se positionnent tour à tour pour une fellation pendant cinq minutes chrono. Ce coup-ci c’est Madeleine qui reçoit la décharge. Kevin est épuisé. Les positions subies sont pénibles et la tension sexuelle multipliée par le cocktail secret de Madeleine le fatiguent durement. Les femmes décident de le préparer pour la nuit. Le bâillon est remis en place et il regagne la table du salon sur laquelle il est mis à genou les mains dans le dos. Ce soir comme il a été à la hauteur il n’aura pas les bras tendus en l’air. Habitué maintenant il trouve une position pas trop inconfortable et s’endort rapidement. Les femmes qui sont restées dans le salon boivent un dernier verre en discutant. Tu vas le garder longtemps demande Monique. Je ne me suis pas posé la question pour l’instant. Je vais le garder tant qu’il me fera de la distraction et qu’il satisfera ma libido qui n’a jamais été aussi épanouie. Monique répond si tu n’en veux plus je suis preneuse il vient de me faire rajeunir de 20 ans. Monique demande si ce serait possible de lui faire faire les tâches ménagères, passer l’aspirateur, faire la vaisselle, servir à table ou autre tâche d’un parfait esclave. Madeleine avoue qu’elle n’y a pas pensé mais que ça pourrait être marrant. Il faut juste bien prendre garde qu’il ne puisse pas s’évader. Il est très rusé et habile il a déjà essayé plusieurs fois et je dois toujours rester sur mes gardes quand je le change de position. D’ailleurs je te donnerais une petite seringue de secours. Elle est autoinjectante et paralyse la victime en quelques secondes. Il faut juste penser à lui administrer l’antidote dans les vingt minutes qui suivent, le temps de le maitriser. On ne sait jamais. Demain si tu veux on verra comment on pourrait faire pour le faire servir l’apéritif. Monique et Madeleine imaginent Kevin à genou à côté d’elles avec un plateau dans les mains. Finalement elles vont se coucher des idées plein la tête. Le lendemain le réveil et la toilette de Kevin sont réalisés par Monique qui respecte à la lettre les consignes de Madeleine pour les attaches. En récompense elle bénéficie de la langue de Kevin durant tout le petit déjeuner. La journée commence bien. Puis les femmes installent Kevin sur la table et sortent le matériel restant dans la caisse bondage de Madeleine. Elles jettent leur dévolu sur un harnais pour homme et des menottes de cheville avec une petite barre d’écartement qui les relie. Ça permettra à Kevin de marcher en faisant des tous petits pas d’une dizaine de centimètres. Elles lui enfilent le harnais et le règlent à sa taille. Une sangle du harnais permet d’enserrer la bite et les couilles de Kevin qui sont bien exposées en évidence. Kevin bande déjà comme un taureau. Pour le haut il faut que les mains puissent attraper un plateau mais sans lui donner beaucoup de marge pour autant. Elles menottent les mains devant et passent la chaine dans une boucle du harnais. Les mains ne peuvent pas être tendues et sont presque collées à la poitrine de Kévin. Il est bâillonné et la cagoule est enlevée. C’est rare qu’il soit debout et non aveuglé il est surpris. Les femmes lui disent de les suivre dans la cuisine. Il les suit péniblement avec de tous petits pas. Dans la cuisine Madeleine sort un petit plateau et met deux tasses sur l’évier. Elle explique le fonctionnement de la machine à café à Kevin et lui dit de leur préparer un café et de leur apporter au salon sans tarder. Les femmes s’éloignent vers le salon. Kevin croit pouvoir saisir sa chance et se dirige sans bruit vers l’entrée de la maison. Hélas pour lui la porte est verrouillée et les clés ne sont pas dessus. Il retourne en cuisine et cherche un morceau de fil de fer pour essayer d’ouvrir ses menottes. Trouvant une brosse métallique il essaye d’enlever un fil de fer mais à ce moment-là Madeleine le rejoint dans la cuisine. Elle lui donne un coup de martinet en lui disant n’y pense même pas. Elle se dit en elle-même qu’il faut sécuriser les menottes pour qu’il ne trouve pas de moyen de les ouvrir. Elle réfléchit et trouve la solution pour qu’il ne puisse pas se servir de ses doigts. Elle va dans sa chambre et revient avec une paire de moufles d’hiver. Elle enfile les mains de Kevin dans les moufles et scotche celle-ci avec du ruban adhésif. Kevin peut encore faire le café et poser les tasses sur le plateau mais il ne peut pas faire plus pour se libérer. Cinq minutes plus tard il reparait dans la cuisine avec le plateau dans les mains. Madeleine lui indique de se mettre devant elle et de se mettre à genou en tendant le plateau tout en baissant la tête. Vaincu il obtempère. Les femmes sont ravies. Elles prennent leur café pendant que pour ne pas perdre les bonnes habitudes Kevin les broute tour à tour. Pour son bon café il a droit à une fellation complète de Monique. Puis il passe l’aspirateur dans le salon et va préparer l’apéritif des femmes. L’apéritif ressemble au café du matin et ce coup-ci il a droit à une fellation de Madeleine. Le midi elles déjeunent sur la table du salon. Kevin doit mettre la table et servir les femmes. Il doit se tenir debout à côté de la table ou elles déjeunent face à face. Il désespère toujours de se libérer de ces folles mais au moins il n’est pas cantonné à rester immobile sur la table. Pour la vaisselle ses moufles sont ôtées mais les femmes restent à proximité de lui. L’après-midi les femmes décident d’aller visiter le sex shop de l’autre côté de la ville. Il retrouve sa place sur la table et est consciencieusement ligoté. Deux heures plus tard les femmes sont de retour. Elles sont visiblement très contentes de leurs achats et posent deux grands sacs sur le canapé. Kevin ne voit rien mais devine que les femmes sont de bonne humeur. Quelques minutes plus tard il sent qu’on enfile son pénis dans un truc bizarre. C’est comme un vagin il sent que le truc a été lubrifié. Puis soudain le truc se met à vibrer et il ressent des mouvements de va et vient en même temps que les vibrations. C’est une espèce de branleuse automatique ultra efficace. En moins d’une minute il gicle comme un fou. Les femmes se marrent et Monique dit j’ai gagné le pari. Tu me dois dix euros. Deux pinces son appliquées sur ses mamelons c’est supportable mais douloureux et il essaye de s’en débarrasser en secouant son torse en vain. Un nouveau collier lui est installé. Il se demande pourquoi quand Madeleine lui dit que c’est un collier anti aboiement. Elle lui ôte le bâillon. Si tu parles ou crie tu te prends une décharge. Essaye pour voir. Il se garde bien de tenter l’expérience. Le bâillon est remplacé par une espèce de petit gode qui lui remplit la bouche. Il se demande à quoi sert ce truc quand les femmes le descendent de la table. Toujours aveuglé il se retrouve à genou face au canapé. La laisse est tirée et son gode le force à bouger la tête en avançant. Puis il comprend qu’un autre gode est installé au bout du sien. Il doit effectuer des va et vient et bientôt entend Monique haleter. Puis c’est le tour de Madeleine. Pendant qu’il besogne Madeleine Monique se positionne derrière lui et lui enfourne un gode ceinture de taille respectable tout en lui malaxant la bite avec une main passée devant. Il gicle en quelques minutes en même temps que Madeleine prend son pied. Toujours aveuglé il entend la femme qui portent un lourd colis. Des bruits de perceuse puis de visseuse se font entendre. Il se demande ce que c’est que ce ramdam. Environ une heure plus tard il est positionné sur la croix de saint André que les deux femmes ont installé contre le mur du salon. Contentes d’elles elle le laisse là pour le reste de la journée. Ça y est Madeleine est partie en laissant Monique seule avec Kevin. Celui-ci ne doute pas qu’il va pouvoir se libérer enfin car Monique est plus frêle que Madeleine et ne semble pas aussi appliquée pour les attaches. Le premier matin alors que Monique l’emmène faire sa toilette il saisit sa chance. Il la bouscule de toutes ses forces et elle cogne rudement le mur de la salle de bain. Il se jette assis sur elle dans l’espoir de récupérer les clés des menottes. A moitié inconsciente Monique reçoit tout le poids de Kevin sur elle et a le souffle coupé. Il réussit à se saisir des clés et jubile déjà pour sa réussite. Dans un dernier effort Monique saisi la seringue dans sa poche. Kevin toujours assis sur elle commence à insérer une clé dans les menottes quand il sent une brulure intense dans la cuisse. Cette salope lui a donné un coup de couteau ou quelque chose comme ça. Il réussit à se libérer une main. Cette salope va payer pour deux se dit-il. Puis ses gestes sont un peu ralentis. Il se demande ce qui se passe. Puis tout se passe comme s’il était au ralenti. Monique le renverse et se trouve libre alors qu’il s’effondre par terre sans pouvoir se relever. Il a juste le temps de comprendre que le couteau était en fait une seringue quand il s’effondre complètement. Il reste conscient et voit Monique se relever péniblement. Impuissant il la voit reprendre son souffle et saisir les clés des menottes. Elle s’assure que les liens sont suffisamment tendus et quitte la salle de bains. Il git toujours à terre impuissant quand elle revient quelques minutes plus tard. Elle lui injecte une autre seringue et commence à rajouter des cordes autour de lui . Elle le ficelle comme un rôti et quand peu à peu il émerge du flou sous l’effet de l’antidote il réalise qu’il est incapable d’esquisser le moindre geste. Monique attend patiemment qu’il reprenne complétement ses esprits et quitte quelques secondes la salle de bains pour revenir avec le martinet dans la main. Tu as voulu jouer au con mon salaud tu vas le payer cher. Elle lui dit maintenant tu vas retourner au salon en rampant et fissa. Elle lui donne des coups de martinet jusqu’à ce qu’il entreprenne une reptation vers le salon. Les coups pleuvent et il fait aussi vite qu’il peut. Il veut crier de douleur mais le collier anti aboiement le rappelle à l’ordre en lui infligeant une décharge terrible. Les larmes aux yeux il rampe jusqu’au salon. La enfin Monique arrête les coups. Il passera la journée prostré au pied du canapé. Il ne mangera rien de la journée. Il aura juste droit à une gamelle d’eau qu’il aura le plus grand mal à avaler. Maintenant Kevin ne se rebiffe plus. La leçon a servi et il exécute sans attendre tous les ordres de Monique. Il passe ses journées à nettoyer la maison sous le contrôle permanent de Monique. Quand il ne fait rien il doit se mettre à genou et brouter Monique. Quand Madeleine rentre de sa formation elle retrouve Monique rayonnante et Kevin complétement maté par la belle copine. Celle-ci dit à Madeleine qu’elle a passée une semaine formidable. Elle a dû utiliser la seringue le premier jour mais le reste de la semaine a été génial et maintenant le jouet est une véritable soubrette qui fait briller la maison. Madeleine est ravie. Monique lui avoue qu’elle aimerait bien posséder un tel jouet. Madeleine lui promet que si elle en a l’occasion elle ne manquera pas d’en parler à Monique. A suivre.
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Par : le 10/10/21
Madeleine: chapitre 1 Madeleine rencontre son jouet. Madeleine est ce qu’on appelle une vieille fille et à la quarantaine et ne s’est jamais mariée. Elle a bien eu des amours de passage mais jamais un seul n’est resté. Peut-être que son caractère un peu fort a fait fuir les prétendants mais tant pis elle est toujours restée maitresse de sa vie et ça n’est pas parti pour changer. Pourtant elle est encore bien foutue. Elle ferait une couguar magnifique avec sa taille contenue et sa poitrine opulente qui fait se retourner pas mal de garçons encore maintenant. Elle pense parfois au sexe et aimerait avoir un homme juste à se disposition pour assouvir ses pulsions quand elle en a. Mais ce genre d’homme ne doit pas courir les rues. Tant pis elle se contente de s’acheter parfois des dessous coquins juste pour elle. Kevin est représentant en assurance à l’ancienne du genre de ceux qui bloquent la porte avec leur pied et sont indécrochables. Il a vingt-cinq ans et une belle gueule dont il abuse pour faire signer les ménagères mures qui représentent son gibier favori. Aujourd’hui ça n’a pas marché terrible. Il est tombé sur beaucoup de portes closes et les rares qui se sont ouvertes cachaient des hommes pas vraiment impressionnés par sa beauté féline. Il est tard mais il veut absolument conclure un contrat aujourd’hui. Il a fait tout le secteur qui était programmé et maintenant il se balade au hasard comptant sur son instinct pour trouver une rombière à croquer toute crue. Encore une tentative. Il sonne et entend des pas lents approcher de la porte. Celle-ci s’entrouvre. Miracle c’est pile poil son terrain de chasse une femme mure encore bien foutue qui va forcément tomber sous son charme. Madeleine s’en veut d’avoir ouvert sans regarder dans le judas. Ça va être coton de se débarrasser de ce minet. Pendant qu’il déballe son boniment elle se fait la remarque que c’est pile le genre de jeunot qu’elle aimerait avoir à sa disposition quand elle en a besoin. Il voit que son charme agit et réussit sans qu’elle ne s’en aperçoive à pénétrer dans la maison elle est en colère contre elle-même. Maintenant ça va être encore plus coton. En vainqueur il la pousse quasiment dans le salon où il s’installe en enlevant sa veste pour montrer sa belle musculature. Décidément il m’en faudrait un comme ça dans un placard se dit elle malgré elle. Il étale ses prospectus et la pourri de compliment sur sa forme éblouissante et ses yeux malicieux. Des ficelles usées qui ne font que l’énerver. Mais qu’est ce qu’il croit ce butor il me prend pour une faible. Il mériterait une bonne leçon. Se dit-elle. Il lui raconte que c’est e bon dieu qui a guidé ses pas jusque chez elle alors qu’elle n’est pas sur son secteur de prospection. Il tousse un peu et se racle la gorge puis demande si elle a un verre d’eau à lui offrir. Elle décide de lui donner une leçon. Elle lui propose de lui faire un café c’est mieux qu’un verre d’eau et surtout se dit elle ça cachera le gout du laxatif que je vais lui faire boire. On verra s’il est toujours vaillant après ça. Il accepte et la remercie pour sa bonté. Elle le laisse pour aller préparer le café. Elle fouille en passant dans sa pharmacie pour trouver le laxatif. La première chose qui’ lui tombe dans la main est un puissant sirop pour lutter contre les insomnies. Elle s’en sert parfois mais c’est très fort et deux gouttes suffisent pour l’assommer net. Elle hésite. Et si … Il parade comme un coq dans le salon. La rombière lui fait un café. C’est dans la poche. Il va conclure et lui faire un contrat béton sur lequel il va bien toucher. Il kiffe sa vie. Madeleine revient. Elle a deux tasses café fumantes dans les mains et lui en donne une. Il boit rapidement le café car il est temps de passer l’estocade. Il a le temps de se dire que la mamie n’est pas la reine du café car il a un gout bizarre. Elle lui demande ce qu’il a comme voiture. Il lui répond une Clio jaune garée juste en bas. En se demandant pourquoi elle lui a posé cette question. Elle lui demande s’il est marié ou en couple. Ça y est elle va lui proposer un coup. Pourquoi pas comme ça je la niquerais de tous le cotés se dit-il. Il lui assure qu’il est libre comme l’air. Elle sourit. Il veut passer au contrat mais il sent que sa journée a été longue car il est crevé. Sa tête semble trop lourde pour son cou. Elle le prend dans ses bras et le couche gentiment sur le canapé. Il n’a pas le temps de la remercier. Madeleine est stupéfaite de ce qu’elle a osé faire. Et maintenant je fais quoi se dit-elle. Elle fouille les poches du jeunot et trouve les clés de la Clio. Elle prend le portefeuille et le téléphone du gars et sort de la maison. Il en a pour un bout de temps avant de se réveiller. Elle trouve rapidement la Clio et monte dedans. Elle roule quelques pâtés de maisons et arrête la Clio dans la cité terrible de la ville. Elle laisse le portefeuille le téléphone et les clés sur le contact et rentre tranquillement chez elle. Il lui faut près d’une heure pour arriver chez elle. Elle va dans le salon ou le jeune dort comme un bébé. Elle s’en approche et le déshabille complètement. C’est vrai qu’il est pas mal elle lui masse la queue qui petit à petit se met à durcir. Il est très bien monté et elle se dit qu’il ferait un parfait porte sexe pour assouvir ses pulsions qu’elle sent d’ailleurs monter en force. Elle n’a pas été excitée comme ça depuis de lustres. C’est pas tout il va bien finir par se réveiller et ne sera pas très content de son sort. Elle va dans son garage pour récupérer de l’adhésif et du cordage. En passant elle repense à la boite qu’un de ses anciens amants un peu pervers a laissée quand elle l’a viré. Elle prend la boite qui est assez lourde et l’ouvre dans le garage. Dedans il y a une panoplie BDSM. Des menottes, des bâillons boule, des cordes, des accessoires dont elle n’a aucune idée de l’usage et une cagoule aveugle en latex. Elle emmène la boite dans le salon et la vide à côté du dormeur. Bon je vais le mettre où. Elle pense le mettre dans un placard mais ce serait dommage de ne pas l’avoir en expo dans son salon. Elle regarde autour d’elle et petit à petit une idée se précise. Kevin a une grosse gueule de bois. Il émerge peu à peu du sommeil. Il a mal partout et prend peu à peu conscience de son corps. Sa position n’a rien de naturel. Affolé il ouvre les yeux mais reste dans le noir. Il est à genou sur quelque chose de dur et ses pieds sont maintenus écartés par des liens. Il ne peut pas serrer les jambes. Ses bras sont tendus au-dessus de lui et attachés en hauteur. Il ne peut pas se reposer sur ses fesses. Quelque chose lui écarte la mâchoire et l’empêche de parler. C’est quoi ce bordel. En plus quelque chose lui enserre la queue et les testicules et il a un truc genre gourdin enfoncé dans son cul. Il gigote et essaye de se défaire de tout ça mais les liens sont solides et ne bougent pas d’un millimètre. Il veut crier mais juste un vague gémissement sort de sa bouche. Je crois que mon jouet se réveille dit une voix féminine. Il reconnait la voix de la cliente Il rue mais en vain. Elle attend qu’il se calme. Après quelques minutes elle lui dit tu es beau comme ça. Dommage que tu ne bandes pas j’aurai bien aimé que tu bandes pour moi. Mais je pense que tu dois avoir envie de pisser. Elle s’approche et lui prend la bite dans la main. Elle approche un flacon et lui dit tu peux y aller. Il ne veut pas mais l’envie arrive et il finit par se soulager. Bien dit-elle. Elle va vider le flacon et revient vers lui. Elle lui reprend la bite et entreprend de la malaxer. Elle passe la main derrière lui et active les vibrations du plugs annal qui est bien enfoncé dans son cul. Les caresses et les vibrations commencent à agir il commence bien malgré lui à bander. Elle l’encourage en lui susurrant des mots pervers. Il finit par avoir une belle trique. Elle le prend en bouche et le suce avec application. Il commence à onduler mais au moment où il sent que ça vient elle s’arrête et le laisse en plan. Bien tu as une bonne queue. Je pense qu’on va passer du bon temps tous les deux maintenant que tu m’appartiens. Il débande aussitôt. C’est quoi ce délire. Elle lui explique que sa voiture son téléphone et son portefeuille ont disparus dans la cité terrible. Et qu’on se demande ce qui a bien pu lui arriver. Mais qu’il se rassure. Tant qu’il bandera comme ça il sera bien traité. Kevin se demande comment il va bien pouvoir s’échapper de ce piège. Pour le moment il est trop bien ligoté. Il se contente d’écouter la sorcière. Madeleine voit que Kevin l’écoute. Elle lui dit que désormais il s’appellera jouet car il est le jouet de madeleine. Elle lui précise qu’aujourd’hui il ne mangera rien et servira d’ornement au salon. A partir de demain il pourra manger mais pour cela il devra la satisfaire dans tout ce qu’elle demandera sinon ça sera diète et coups de martinets. Elle lui montre un martinet avec des lanières en cuir qui ne présage rien de bon. La matinée se passe. La position de Kevin est douloureuse et il ne peut pas se reposer. Il commence à avoir faim et surtout soif. Midi approche. Madeleine se concocte un plateau repas et vient déjeuner au salon face à sa statue vivante. Elle lui enlève la cagoule et il peut enfin y voir. Elle est en sous-vêtements très vaporeux qui mettent en valeur son corps bien foutu. Elle lui montre un verre et lui demande s’il a soif. Il hoche la tête. Elle lui dit alors qu’elle va lui enlever le bâillon le temps qu’il boive mais que si il parle ou crie elle lui remet le bâillon, le fouette et ne lui donne pas d’eau. Il hoche la tête. Elle lui enlève le bâillon et il se met à crier comme un sourd pour appeler à l’aide. Elle a tôt fait de lui remettre le bâillon et lui dit qu’ici personne ne peut l’entendre mais comme il n’a pas tenu parole il doit être puni. Elle passe derrière lui et lui assène dix coups de martinets bien appuyés. Il a les larmes aux yeux et ses fesses le brulent. Il est persuadé qu’il n’a plus de peau sur le derrière. Madeleine se replace en face de lui et déjeune tranquillement. Elle s’absente pour faire la vaisselle et revient dans le salon pour regarder la télévision. Il est toujours attaché et la douleur est insupportable entre la position qui est difficile à tenir et les fesse qui le cuisent. En plus il a une soif pas possible. L’après-midi passe. Madeleine décide de profiter un peu de son jouet. Elle s’approche de lui et lui attrape le pénis et les couilles à pleine main. Maintenant mon beau jouet il va falloir me faire plaisir sinon c’est le fouet. Kevin est effaré il n veut pas regouter au fouet. Il se force à penser au sexe et peu à peu une érection arrive. Madeleine sent le sexe palpiter et le malaxe avec vigueur. Puis une fois qu’il a pris de bonnes proportions elle le prend dans la bouche et entreprend une fellation experte. Kevin réagit à la fellation et bande au maximum. Comme dans la matinée au moment où il va jouir elle arrête et se recule en regardant le chibre palpitant. Eh non mon jouet c‘est pas encore le moment de gicler tu dois d’abord me faire plaisir. Tu vas comprendre. Elle lui remet la cagoule et il se retrouve dans le noir. Il sent qu’elle modifie les liens et en quelques secondes il se retrouve par terre toujours à genou mais ce coup-ci ses mains sont menottées dans le dos. Elle lui a mis un collier avec une laisse. Je vais t’enlever le bâillon mais tu ne parles pas et ne crie pas sinon c’est le martinet, 20 coups cette fois et pas que sur tes petites fesses. Il hésite mais ses fesses le cuisent encore suffisamment pour qu’il se résigne à se taire. Le bâillon est enlevé. Elle tire la laisse vers le bas et il se retrouve la tête collée aux pieds de Madeleine. Lèche-moi les pieds petit jouet et mets-y du cœur. Abasourdi il veut relever la tête mais la laisse est bien tenue et un petit coup de martinet lui cingle les fesses. Il se rebaisse et lèche les pieds de Madeleine. Elle exulte et le laisse faite pendant quelques minutes. Maintenant tu vas monter un peu plus haut dit elle et elle tire sur la laisse pour amener le visage de Kévin dans l’entrecuisse. Aller petit jouet fais-moi voir ce que tu vaux avec ta langue. Il hésite mais un petit coup de martinet l’aide à se décider. Il commence à lui brouter la chatte. Madeleine commente les opérations et lui indique ce qui est bien ou pas. En quelques minutes il est expert et madeleine part plusieurs fois en live. Elle est essoufflée et éloigne la tête de Kévin de sa chatte. Entre temps il a fini par bander durement. Elle le voit et se dit autant en profiter. Elle le couche sur le dos sur le tapis du salon et l’enfourche avec joie. Elle s’empale et lui dit que maintenant il peut ruer comme il le sent. Il finit par lâcher prise et donne des grands coups de rein. Ce coup-ci il est autorisé à gicler et peut enfin se lâcher complétement. Il est hors d’haleine. Elle pèse son poids et l’a chevauchée comme une furie. Elle se relève et dit bien mon petit jouet tu t’es bien comporté et tu vas avoir une petite récompense. Elle le remet à genou. Puis lui enlève la cagoule. A côté de lui il y a une gamelle pour chien remplie d’eau. Tu peux boire mon petit jouet autant que tu veux. Ensuite tu regagneras ta place sur la table. Il se retourne et voit la table du salon sur laquelle il a dut passer une partie de la journée. Et si tu es sage tu n’auras pas les bras attachés au plafond. Il regarde le plafond et voit un anneau en métal dédié normalement à l’accrochage d’un lustre. Il est interloqué comment peut-il boire ? Elle devine sa gêne et lui dit tu n’as qu’à faire comme un chat ou un chien il faut laper. Elle lui montre le martinet et le remue dans sa main. Il baisse la tête et commence à laper. C’est très dur et très long de boire de cette façon. Il met plusieurs minutes à étancher sa soif. Quand il a fini elle le raccompagne fermement sur la table ou il se met à genou face à elle. Elle lui menotte les chevilles et relie les menottes des mains à celle des chevilles et lui remet la cagoule. Il ne peut pas descendre de la table au risque de se casser la gueule. Ecartes bien les genoux que je vois tes attributs dit-elle. Il écarte les genoux. L’après-midi se termine. Madeleine se fait un plateau repas et revient au salon avec le plateau et une bouteille de vin. Elle se met face à lui et commence à diner en arrosant le repas avec le vin. Il est affamé et sent avec envie ce qu’elle mange. Si tu bandes pour moi je partage mon assiette avec toi dit-elle sinon je te fouette. Encore une fois il doit puiser dans son imagination pour se faire bander. Ravie de l’érection madeleine s’approche de Kevin et lui fait manger par petites bouchées une partie de son repas. Il picore et ça fait du bien de manger enfin quelque chose. Madeleine une fois son repas fini se rapproche de Kevin et lui fait une fellation enfin jusqu’au bout. Il se rend compte qu’elle est insatiable. Dommage qu’il n l’ai pas connu dans d’autres circonstances. La soirée avance et madeleine décide d’aller se coucher. Kevin est effaré il ne veut pas passer la nuit à genou sur cette table. Pourtant il va passer la nuit dans cette position inconfortable. Madeleine pour sa part savoure sa journée délicieuse. Elle se demande ce qu’elle va pouvoir inventer demain pour profiter de son jouet chéri. La nuit est compliquée pour Kevin. Il dort par petites touches vite réveillé par la position inconfortable. Enfin il entend madeleine qui se lève. Elle vient dans le salon et lui demande s’il a été sage. Il attend la suite. Elle lui dit qu’il est l’heure de passer à la douche et après lui avoir libéré les chevilles l’emmène par la laisse jusqu’à la salle de bains. Elle le douche lui lave les dents et le frictionne rudement. Enfin elle l’entraine vers la cuisine pour le petit déjeuner. Là elle lui remet la cagoule et le fait mettre à genoux. Si mon petit jouet veut un petit déjeuner il va falloir d’abord qu’il fasse plaisir à sa maitresse. Elle tire la laisse et il se déplace péniblement à genou jusqu’à ce que son visage rencontre l’entrejambe de madeleine qui ne porte pas de culotte Un petit coup de martinet et il entame un cunnilingus matinal pendant que madeleine prend son café. Elle est aux anges. Après quelques minutes elle est repue. Elle lui enlève la cagoule et il voit une gamelle pleine de céréales à côté de lui. Affamé il se jette dessus et mange sans pouvoir s’aider de ses mains. Une fois sa gamelle vide madeleine lui dit maintenant tu vas aller faire un petit pipi car tu vas devoir m’attendre jusqu’à midi quand je rentrerais du taf. Elle le remet debout et l’emmène aux toilettes. Puis retour dans le salon où il reprend sa place d’objet décoratif sur la table du salon. Cagoulé il ne peut rien voir et après avoir tenté en vain de se détacher il prend son mal en patience. Les heures sont longues et la position toujours inconfortable l’empêche de s’endormir complétement. Soudain un bruit le réveille c’est madeleine qui rentre. Elle vient près de lui et lui saisit le sexe. Ça m‘a manqué ce matin. Heureusement je vais jouer avec cet après-midi mais d’abord un apéritif. Il doit attendre que madeleine ai pris son apéritif et déjeuné pour qu’elle se rapproche de lui. Je pense que tu serais beaucoup plus beau et excitant sans tous ces poils. On va s’occuper de ça. Il se demande ce qu’elle va faire quand il sent qu’elle modifie ses liens. En peu de temps il retrouve la position dans laquelle il s’est réveillé la veille, les bras tendus vers le haut et les genoux écartés au maximum. Il sait que sa queue et ses couilles sont offertes à la vue de madeleine. Il sent tout à coup le bruit d’une tondeuse qui rase les poils pubiens. Puis une espèce de crème est déposée sur sa peau du cul jusqu’aux contours de sa bite. Madeleine dit c’est une bonne crème dépilatoire. Tu vas être beau comme un cœur. Après quelques minutes elle essuie la crème et le rince avec un gant de toilette qu’elle humidifie dans une bassine. Enfin elle sèche et commence à le malaxer. L’absence de poils lui donne l’impression d’être encore plus nu et plus vulnérable. En même temps le contact des doigts de madeleine directement sur la peau l’embrase littéralement. Il est pris d’une érection massive. Madeleine le félicite pour sa tenue et masse tendrement les couilles et la bite de Kevin. Elle y goute avec la bouche ce qui rend fou Kevin qui ne pense plus à sa situation mais voudrait surtout mettre sa bite dans une chatte brulante. Quelques minutes plu tard madeleine le décroche du plafond et le fait descendre de la table avec les mains menottées dans le dos. Ne voyant toujours rien il est guidé par la laisse et finalement sa bite tendue rencontre l’arrière de madeleine qui s’est penchée en avant jusqu’à reposer ses mains sur le dossier du canapé. D’une main experte elle guide le membre palpitant dans son sexe qui est ruisselant d’excitation. Kevin ne pense qu’à fourrer cette chatte accueillante et il la pilonne avec toute l’énergie qu’il peut y mettre. Trois mois ont passés Kevin malgré toute sa volonté n’a pas réussi une seule fois à déjouer la méfiance de madeleine qui ne relâche jamais son attention. Il est toujours garroté comme un gibier et la plupart du temps il a la cagoule qui le prive de la vision Sa seule distraction est de tirer un coup plusieurs fois par jour car madeleine est insatiable. Il la soupçonne de lui faire boire une mixture pour qu’il soit tout le temps avec la gaule et qu’il récupère si vite. Finalement il attend chaque jour avec impatience qu’elle rentre du taf pour pouvoir niquer. Madeleine est contente. La petite potion qu’elle fait boire à son jouet est maintenant bien au point et il est toujours disponible avec une gaule appréciable. A suivre.
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Par : le 10/10/21
Nous avions passé la journée ensemble. Nous étions sortis nous aérer. Je sentais encore sur mon fessier la marque de la ceinture. J’avais quelques petites douleurs. Mon dos me faisait un peu mal. Il se montrait si doux. J’adorais sa tendresse, quand il me prenait dans ses bras. Ces petits moments simples qui sont précieux. Nous étions revenus à Deadalus. Cassandra était toujours aussi belle. - Bonsoir Mademoiselle Lane, comment allez-vous ? - Bien Cassandra, je vous remercie. - Cassandra, puis-je vous voir? demanda Monsieur. - Oui bien sur. - Allez à votre chambre Mademoiselle, Cassandra viendra vous donner les instructions pour ce soir. - Mickaël va venir vous chercher. Ne bougez pas. Quelques minutes après, Mickael se présenta. Il m’adressa son sourire. - Comment va la petite malade, son traitement lui a-t-il plu ? Je baissais les yeux, si intimidée. Monsieur m’avait interrogé sur tous les ressentis, mes sentiments, mes interrogations. - Comment se porte votre fessier ? Votre maître m’avait demandé d’y mettre du cœur à l’ouvrage se vanta-t-il. - Il est quelque peu douloureux je dois le reconnaitre. - Humm, vous allez garder en tête ces instants, ça me rend tout dur voyez-vous. - Je… - Vous êtes une sacrée chienne. De l’autorité, de la contrainte et vous mouillez et écartez vos cuisses pour être prise. Assumez-vous. Je n’osai pas répondre. J’avais toujours ce sentiment de culpabilité même si cela avait été exécuté sous les ordres de Monsieur. - Je m’en veux Mickaël. - D’avoir aimé tout ce que vous m’avez fait. - Ne culpabilisez pas. Soyez toujours honnête avec vous-même. Un homme qui fait tout pour réaliser vos désirs, il s’abandonne aussi. Il vit aussi dans la crainte de vous perdre aussi, mais c’est ce qui rend ces moments intenses et précieux. Toujours à la recherche de se surpasser et de rester vrai. Peu de gens en son capable. - Je ne sais pas, vous avez peut être raison. Je culpabilise car je m’autorise des choses et je lui en impose des limites.. - Nous en avons tous, après certaines de vos limites sont celles que vous ne voulez pas franchir car vous vous enfermez dans votre confort, à ne pas chercher à voir au-delà de votre forteresse. - Vous êtes bien surprenant ! comment vous êtes arrivé ici ? - Ah ça c’est un secret ma chère. Bonne soirée. Il me laissa dans ma chambre. Je rêvassais. Tous ces moments passés si intense émotionnellement. Tout était remis en question. Mes questionnements, la femme que j’étais. J’étais à fleur de peau. Je ne pensais qu’à lui, à notre connexion. Je prenais ma douche, brulante pour apaiser mes tensions. J’en profitais pour mettre ensuite de l’Arnica sur mes fesses. En sortant de la salle de bain Cassandra était dans ma chambre. Elle se rapprocha de moi. J’étais en serviette. Son visage proche du mien, elle chuchota à mon oreille - Monsieur souhaite vous voir à 20h. Voici votre tenue pour ce soir et ses instructions. Elle avait déposé sur le lit une robe noire presque vulgaire ultra moulante , des bas et un manteau. Allions-nous sortir ? Il m’avait demandé de rapporter ma brosse à cheveux, je trouvais cela bien étrange. Je toquais à sa porte. - Entrez. Il était assis sur le canapé tenant dans sa main un verre. - Bonsoir Monsieur. - Bonsoir Mademoiselle. - Venez face à moi. Il me montra du doigt où je devais me mettre. Ce doigt autoritaire. - Tenez Monsieur. Je lui tendais ma brosse à cheveux. - Posez là sur la table. Je portais le long manteau noir. IL me regarda et me dit. - Voyons à quoi vous ressemblez ce soir. Ôtez votre manteau. - Hum parfait. Nous allons avoir une petite conversation. A genou. Il releva mon menton avec sa main. - Humm très sexy dans cette robe noire. - Relevez-vous. Ses mains passaient entre mes seins, caressant ma poitrine redescendant sur mes hanches, mes fesses. Il me tourna. D’une main ferme il défit la fermeture éclair de ma robe. Je me retrouvais ainsi seins nu en porte jarretelle bas et haut talons. Ma laisse tombante entre mes seins. - Retournez vous. Sans rien dire, il me caressa à nouveau entre les seins tout en se dirigeant vers mon ventre. Il baissa ma culotte juste assez pour découvrir ma chatte. Avec deux doigts il écarta mes lèvres pour libérer mon clitoris. - Déjà humide ? - Hum.. - Répondez ! - Oui… Monsieur. Déjà humide. Il saisit un ciseau posé sur la table et coupa ma culotte. - C’est mieux ainsi. Une putain est toujours mieux la chatte à l’air. Tournez vous. - Vos fesses ont été bien chauffées hier. Il passait ses doigts sur mes marques. Il les caressaient, les prenant de pleines mains, les claquant. - Aie…. - Humm oui je me doute combien c’est sensible, mais si je le juge nécessaire et selon votre attitude, je vous punirais et l’état de vos fesses ne regarde que vous. Vous avez mérité cette fessée. Mettez-vous à quatre pattes et présentez-moi vos trous je vous prie. Je m’exécutais, tremblante. - Avez-vous froid ? - Non Monsieur. - Pourquoi tremblez-vous ? - Je ne sais pas Monsieur, l’émotion je suppose. - Nous allons en parler. J’ai un petit cadeau pour vous ma chère. Je vous veux putain et chatte ce soir. J’étais là, à quatre pattes, lui présentant ma chatte et mon cul. - Cambrez vous. Il inséra un doigt dans mon petit trou. Je sentais son majeur faire des va et viens, parfois s’enfonçant bien au fond, me fouillant puis reprenant ses vas et viens. - Hummmm… merci Monsieur. - Je sais que vous aimeriez être plus fourrée, n’est ce pas ? - Je… Oui Monsieur. - Humm ma petite salope. Ouvrez votre bouche. Regardez ce que j’ai pour vous. Il tendit devant moi un plug avec une queue de chat. - Je vais vous le mettre sans ménagement dans votre fion. Je ne veux rien entendre. Je sentis la froideur du métal au bord de mon trou. Doucement mon cul cédait. Il exerçait une pression juste suffisante. Je forçais de mon coté pour le posséder. Soudain, mon cul s’ouvrit et le plug disparut. Il caressa alors la queue et la remonta sur mon fessier.. - Quelle jolie chatte vous faites. On va bien s’amuser ce soir. Mais avant nous allons parler de votre soirée d’hier. Mickael est venu me faire un rapport et me donner la vidéos de vos ébats. - Je.. - Vous ai-je autorisez à parler. Il me gifla. - Restez ainsi ! Il se leva et alla chercher un ipad. Il passa en me frôlant. - Asseyez-vous sur vos genoux je vous prie. Il plaça l’ipad devant moi sur la table. Il appuya sur lecture. La scène où j’étais dans les toilettes. Il saisit la brosse à cheveu et commença à me brosser les cheveux. Je sentais ses mains douces faire cette tache si intime. Je sentais son souffle dans le creux de mon cou quand il me murmura: - Regardez-vous, combien vous êtes belle quand on vous prend de forces, comment vous vous abandonnez. - Je. Il saisit mes cheveux fermement. - Vous ai-je autorisé à parler ? - Quand je vous vois prise ainsi, je ne désire que vous posséder à nouveau encore et encore. De vous combler de partout, de vous punir de vous être laissée prendre comme une petite putain. Je n'ai pas éprouvé de jalousie mais de la fierté à savoir que vous êtes à moi. Il se rapprocha de mon oreille et me dit. - Mon sexe est bien tendu ce soir. - Je.. J’aimerai dire quelque chose Monsieur. - Je vous écoute. - Je ne comprends pas pourquoi j’aime autant tout ce que vous faites pour moi et que de l’autre, je ne vous autorise pas l’inverse. J’ai peur de ma jalousie, de mes excès, de ma sensibilité. Il posa la brosse et me releva pour me faire asseoir entre ses cuisses. Il passa sa main à hauteur de poitrine et me plaqua contre lui. Il me murmura à l’oreille. - Tu sera toujours l’unique, celle qui me fait vibrer. Que tu te fasses défoncer par d’autres hommes c’est mon choix, j’aime ça. Il faut vivre ses fantasmes dans la mesure du possible, sinon tu le feras avec un autre n’osant pas parlé de tes désirs. Regarde, je t’offre ta liberté. Soudainement il saisit mes tétons et commença à les malaxer. - Regarde comme il t’a bien baisé. Je lui ai demandé de ne pas être tendre, de te contraindre car je sais que tu aimes être violenter. - Je… aiiiieeee Il pinçaient fermement mes seins, les malaxaient si fort. - Plus tu résistes, plus je te punirais. Sache une chose tu es pour moi mon essentielle. Il n’y en a pas d’autres. Vivons ensemble nos envies. Accepte de vivre aussi les miennes comme j’essaie de comprendre les tiennes. Tant que nous parlons et nous sommes sincères l’un envers l’autre, cette confiance ne peut être défaite. Cette fois-ci il tournaient davantage mes tétons. - Je vous remercie Monsieur pour tout ce que vous avez fait pour moi. - HUmmmmm ces seins.. je vais les orner. Une bonne chatte a ses petites clochettes. Donnez moi les pinces à téton sur la table je vous prie. Je sentais à nouveau son basculement. Je savais que cette soirée allait être plein de questionnement. Je me penchais pour les attraper quand soudain je sentis une fessée s’abattre sur mon postérieur. - Est-ce ainsi qu’une chatte cherche ses jouets ? - Non.. Monsieur. Je me mis alors à quatre pattes pour aller chercher avec ma bouche une pince à téton pour lui apporter dans la main, puis l’autre. Il m’installait, à genou devant lui. Il caressa mon visage. - Redressez vous. - Je vais vous punir ce soir, d’avoir été une si bonne chienne hier. - Me punir ? - Vous allez comprendre rapidement… Il commença à me gifler les seins puis fermement il saisit mon téton droit et y déposer la pince pour écraser mon téton. Je sentis cette brulure. J’avais les seins si fragiles. Il s’occupa ensuite du second. - Humm, voilà je vais toujours savoir où vous êtes maintenant. Voyez voir si ça fonctionne. Levez vous et sautez sur place. Je m’exécutais. Je sautais sur place, les clochettes faisant leur petits sons. Je sentis bien fermement le plug. - Parfaite. Il se leva et se dirigea vers moi. Il m’enlaça, m’embrassa avec une telle douceur. - Je suis si fière de vous, , des progrès que vous avez accompli. Chaque jour, chaque nuit, vous devenez celle je vois. Il se mit à genou. - Ecartez vos jambes. Il passa sa langue sur mon pubis, mon clitoris. Il inséra un doigt dans ma chatte et de son autre main, il jouait avec ma queue. - Humm si mouillée.. je vais vous dévorer ce soir. J’espère que j’aurai assez de force pour satisfaire - Je…. Il saisit ma laisse et me força à me mettre à quatre pattes. Il alla à la table et saisit ma brosse à cheveu. Je n’allais pas y échapper cette fois. - Vous ai-je autoriser à parler. Les coups de la brosse à cheveux étaient terribles, bien plus que ceux de la ceinture. Il prenait plaisir à frapper plusieurs fois au même endroit. Je tombais au sol, ne tenant plus ma position. - Quand je dis de ne pas parler, vous écouter ! Je hochais la tête. - Je vais vous donner une bonne correction ce soir. Pas celle que vous croyez. Il prit la laisse et me fit marcher à quatre pattes sans ménagement sur le lit. - Embrassez moi. Il devenait d’un seul coup réconfortant, doux. Il était d’une telle sensualité. Sa main de fer laissait place à une main de velours. Nos langues s’entremêlaient. Il caressait mes seins, jouant avec mes pinces à téton pour me donner la juste douleur qui m’excitais. - Je vous vous dégoulinante ma chère. Il sortit de sa poche un masque pour m’ôter la vue. J’étais là demandeuse. Il saisit mes mains pour les attacher et les encorder au lit. - Ecartez bien vos jambes et dites moi ce que vous avez aimé hier soir. J’écartais au mieux mes jambes pour lui montrer ma vulve. - Hier soir j’ai aimé être contrainte, Monsieur. Sentir la force m’obligeait à céder. Savoir que vous avez organisé cela. Je pensai à vous surtout pendant ma correction. J’ai aimé être un jouet sexuel. - Humm Je sais. Qu’êtes-vous? - Une - Putain… termina-t-il - Je.. je suis votre putain Monsieur - Humm oui ma putain, mon chef d’œuvre. Il m’embrassa avec une telle fougue, une telle sensualité. Je sentis sa main sur mon sexe… - Humm Monsieur. Je me dandinais, demandeuse de ses doigts. - Pas encore. Je sentis alors sa bouche se poser sur mon genou, m’embrasser, me caresser. Son autre main maintenir ma jambe contre le lit, la remonter, offrant ainsi ma vulve. - Hummmm…. Il caressait mon entrejambe. Le coup de grâce commença quand un premier coup de langue passa sur ma chatte déjà si humide. Puis un second coup de langue de bas vers le haut, un troisième se faisant plus marquante, inquisitrice voulant comme aspirer ma chatte. Sa bouche s’ouvraient grandement pour m’aspirer, me sucer. Puis elle relâchait, aspirait mes lèvres. Je couinais mon désir. Sa langue passait avec une infinie douceur me faisant perdre pied. Je tremblais. Je voulais tellement plus. Puis il reprit alors l’assaut de ma chatte, il léchait, aspirait, mordillait, doucement puis plus fortement. Ses coups de langue sur mon clitoris, la pression exercée par cette dernière juste dans ma chatte. Il aspirait mon jus. Je sentis alors qu’il bougeait sur le lit. Ses lèvres se déposant sur les miennes .C’est à cet instant que je compris. Qui était en train de me lécher la chatte ? qui était en train de m’embrasser? - Mais? questionnai-je? Je sentis un doigt sur ma bouche. - Chut petite chienne murmura-t-il. On ôta mes pinces à tétons. Je sentis une langue venir me soulager de la douleur. Quand soudain je sentis un doigt pénétrer ma chatte. L’autre bouche embrassait mon cou. Il tournait mon visage pour prendre possession de ma bouche. - Vous aimez ? - Je… Oui monsieur. Je me questionnais sur qui léchait ma chatte avec tant de savoir faire de douceur. Je m’en voulais d’adorer cela. Pendant qu’il m’embrassait et malaxait mes seins, un autre doigt me pénétra. Je sentais une telle dextérité. La main écarta mes lèvres. A nouveau cette langue donnant des coups, encore et encore. Les vas et viens étaient si fort avec les doigts.. je défaillais. - Vous avez -vu comment elle couine? L’autre personne ne parlait pas. - Ca vous plait petite chienne ? non.? Je gémissais. - Hum oui ça lui plait... Soudain, je sentis une seconde langue sur ma chatte, des doigts se mêler dans ma chatte. Un tas de question. Il n’était pas bi.. non ? cela ne pouvait être ça. Une main tenait toujours ma cuisse en l’air, une autre l’autre cuisse. La lumière m’aveugla. Il ôta mon bandeau. Il mit son pouce dans ma bouche pour que je le suce. - Regarde comment tu te fais bien nettoyer ta chatte ? C’est bon non ? deux langues.. En moi plusieurs sentiments se mêlèrent. Il mit sa main sur ma bouche et m’embrassa. - Lâchez prise. Cassandra était en train de me dévorer la chatte. Mon Maitre redescendit pour me caresser à nouveau. Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux pendant qu’elle insérait plusieurs doigts dans ma chatte. - Ta mouille est un régale ma chère. J’adore te dévorer. Je n’osait le regarder en train de me lécher lui aussi avec Cassandra à coté. Le coup de grâce fût quand ils s’embrassèrent pendant qu'il léchaient ma chatte. Je tentais de me défaire. Cassandra me dit - Doucement, ta mouille est trop bonne pour être gâchée. Puis elle engouffra ses doigts dans la chatte laissant son pouce dehors. Il s’approcha à nouveau de moi et m’embrassa. Je refusais ce baiser. Il me saisit par la gorge et m’embrassa de force. Il se leva, pied au sol, tête au dessus de moi. Il continuait à m’embrasser, à tenir mes seins. - Profitez de ce moment de désir intense. Laissez-vous aller, vous en mourrez d’envie. Je sais l’effet qu’à Cassandra sur vous. Regardez comme elle vous lèche. Elle adorent les petites vicieuses comme vous. Je veux vous voir ainsi baiser par cette femme. Votre leçon du jour. Acceptez aussi mes désirs et les combler. Il continua a me tenir par la gorge, son autre main était maintenant sur mon clitoris. Les coups de langue me rendait folle. Elle me rendait folle. Je tentais de me relever malgré mes liens. Ses doigts étaient bien au fond pendant qu’elle me léchait. Cherchant, encore et encore à me remplir. Elle commençait à me pilonner avec ses doigts. J’avais du mal à tenir en place. - Je… je… Je ne tenais plus, Je trempais de partout, j’en mettais partout. Cassandra avait placé sa bouche comme il faut pour ne pas en laisser une goutte. Je ne tenais plus je jouissais si fortement dans les bras de Monsieur, sous l’effet incroyable de Cassandra. Mon maitre se releva. Il me laissa ainsi attaché. Cassandra se mit à quatre pattes à coté de moi. Je le vis la posséder sous mes yeux. - Regardez comment je la baise. En moi un sentiment de colère si fort. Un sentiment aussi d’égoïsme aussi m’envahit. Le mien, car hier aussi j’en avais profité et pourtant mes ressentis à son égard son identique. Il claqua ses fesses tout en regardant chacune de mes réactions. Je voyais rouge. Il la pilonna si brutalement. Quand il se retira d’elle, il retira son préservatif. Elle s’était retournée. Il l’avait prise par les cheveux. Il enfonça sa queue dans sa bouche. Il l’avait empoigné avec une telle force. - Ouvre mieux que ça ! Il lui mettait jusqu’au fond. Ne lui laissant aucun répit. A chaque moment il me regardait. Je le vis sur le point de jouir. Il se mit au dessus de moi et éjacula sur mon corps. Je vis alors Cassandra s’empresser de venir lécher le sperme pour me nettoyer. Mon maitre n’en ratait pas une seule miette. Je me sentis prise par tant de sentiments contradictoires à la fois. Enervée, comblée, jalouse. Il me laissa attachée au lit. - Maintenant vous allez réfléchir si c’est Mickaël qui avait été là ? Cassandra et Monsieur se dirigèrent vers le canapé. Il commençait à discuter tout en regardant la vidéo avec Mickaël. - Ne t'inquiète pas ma chérie, on revient abuser de vous après. Reposez vous.
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Par : le 10/10/21
Me voilà les yeux bandés, installé soigneusement par tes soins sur cette chaise. Je sens différents type de liens se poser autour de moi, des cordes, mais aussi des colliers de serrage en plastique. J'entends le "ziiiiip" de ces derniers et mon corps est totalement contraint. Il m'est donc impossible de me libérer sans une pince coupante. Mes bras sont encordés au dos du dossier de siège et arrimés à ce dernier avec des zips. Mes chevilles zippées aux pieds de la chaise, mes mollets également...des cordes aux cuisses... D'autres cordes passent autour de ma poitrine... Tu me fixes un collier de cuir épais et l'ajuste au plus près. Tu pars te changer... De longues minutes... Où je tire sur mes liens... J'adore sentir le sérieux de ton œuvre. Soudain j'entends des talons cingler le sol, se rapprochant dangereusement de moi. Tu t'arrêtes derrière moi. Tu me caresses les cheveux, le menton, le torse... Puis tu te penches en avant, je sens tes cheveux à mon épaule droite... Tes mains glissent de mon torse à mon sexe. Tu l'empoignes fermement et me masturbe... Tu me sussurres à l'oreille des insanités. Mon sexe se gorge... Tu stoppes... Et fait plusieurs tours autour de moi. Je sens comme une cravache qui parcours tout mon corps en même temps que tu tournes autour de moi. Tu tapotes sur ma queue, mes bourses... Je gémis... Tu m'enfonces alors un linge en bouche... Je me rends vite compte que c'est une culotte que tu as porté toute la journée... J'ai ton odeur en bouche. Ma bouche est totalement comblée et tu complètes d'un bandana autour de ma tête pour m'empêcher de recracher cette culotte souillée. Tu serres fort ce dernier au dos ma tête... Tu m'enlèves le bandeau sur les yeux... Et je ne peux que constater ta tenue... Bottes en cuir de 12cm avec plateforme, serre taille et porte-jarretelles, tes seins sont nus. Enfin, tu portes un tanga. L'ensemble est noir. Tu me chevauches et t'assoies sur moi. Tu poses tes bras sur mes épaules et m'encercles la tête. Tu plonges ta poitrine contre mon visage. Je me niche dedans. Tu frottes tes dessous contre mon sexe. Je pousse de petits bruits. Mon sexe se remet à durcir. Tu te relèves. Et pose ton pied gauche sur la chaise pile entre mes jambes. Tu ne bouges plus comme un chasseur qui pose fièrement sur sa proie capturée. Puis... Tu te mets à caresser mon sexe du bout de ta botte, doucement... Puis, tu me poses ton talon aiguille sur mes bourses... Tu y vas doucement mais fermement. Tu poses ta cravache sur une de mes joues. Mon bandana me protège un peu, tu tapotes sur ma joue puis tu me gifles d'un coup... Tu recommences tu tapotes plusieurs fois et vlan... J'ai des larmes de honte. Tu fais cela sur l'autre joue également. Tu me rebandes les yeux. Je t'entends alors partir. Et revenir aussi vite. Tu prends mon sexe en main, et le masturbe de façon à ce que je bande follement. Puis... Je sens alors un lien de satin venir serrer la base de mes bourses, la base de mon sexe... Et ce lien continue entrecroisé comme un laçage de serre taille tout le long de mon pénis. C'est très serré et j'adore ça. Je suis à deux doigts de jouir. Tu termines par un noeud juste en dessous de mon gland. Tu liberès ma bouche... Tu accroches sous mon gland une cordelette... Et je t'entends faire glisser un tabouret. Tu te places face à moi... La cordelette est longue... Tu tires dessus... Mon sexe palpite... tu m'offres un talon aiguille... Et tu me dis "suces moi ça". Tu joues de la cordelette... Pendant que je suce assidûment ton talon. Tu arrêtes le jeu. Enlèves le nœud de la cordelette. Tu réduit le lien de satin à la base de ma queue et de mes bourses... Tu serres encore plus fort. Ma bite est veineuse. Je vais exploser. Tu déroules une capote... Lentement. L'effet du latex m'excite encore plus. Tu me caresses les bourses. Longuement. Je jouis dans la capote. Tu me détaches de la chaise. Clipse une laisse à mon collier. Mes yeux sont toujours bandés. Tu m'emmènes dans la chambre comme un chien en laisse... J'avance doucement les yeux bandés. Tu me poses ma cage de chasteté et t'installes sur le lit. Jambes écartées. Tu retires mon préservatif plein. Et le déverse sur ton sexe... Je ne le sais pas mais ma semence coule jusqu'à ton petit trou. Tu m'enlèves le bandeau, m'attache les mains dans le dos... Tu m'ordonnes de tout nettoyer. Tu me dis d'ouvrir la bouche pour prouver que j'ai tout avalé. Je dois reprendre le cunnilingus...tu n'as pas jouis... De longues minutes... Avant que tu y parviennes. Tu as jouis si fort, tes jambes ont écrasées ma tête. Je suis épuisé. Tu me laisses là. Inerte. Au pied du lit. Tu pars te repoudrer. Me voilà comme tu souhaitais, attaché sur une table, en "L". Le torse à plat sur la table, les bras devant moi, ligotés, mes jambes écartées attachées également. J'ai toujours ma cage de chasteté. Tu viens m'embrasser. Et me pose un gros bâillon boule rouge "pute". Tu le sers jusqu'au cran. L'attache pénètre mes joues. Tu me bandes les yeux. Tu regardes ton œuvre. Tu tournes autour de la table. Tu t'arrêtes sur un détail, le bâillon boule me fait saliver... Tu en joues en métalant la salive sur mon visage et mes cheveux. Tu retournes derrière moi. Quelle vue. Ta chienne encagée, son petit orifice, ses jambes écartées... Tu attaches à la base de mes bourses un petit collier de chaton, ce dernier possède un grelot, le grelot tinte à chacun de mes mouvements. Tu m'ordonnes qu'il ne sonne pas... Tu lances le fouet, le grelot tinte... Tu recommences... Encore et encore... Mon petit cul en rouge. Je tremble de douleur, je hurle dans mon bâillon. Tu me dis que c'est terminé... Tu embrasses mes fesses, puis. Tu fais glisser ta culotte encore immaculée de reste de nos semences. Tu la glisses sur ma tête, la partie la plus odorante tombe pile sur mon nez. Je suis soulagé. Je sens un liquide couler sur mon anus... Oui c'est bien gras. Du lubrifiant. Gloups... J'ai mon bandeau, ta culotte, mais tu enlèves mon bâillon. Je découvre alors un goût de plastique. Tu m'enfonces un god ceinture en bouche. Je n'arrive pas à le sucer convenablement du fait de ma position. Tu me remets le bâillon en bouche. Le serre un cran de plus. Et tu dis "tu vas en avoir besoin ma belle". Tu m'insères un doigt, lentement, puis deux. Mon grelot tinte... Cela t'excite. Tu me prends avec tendresse. Je gémis face à ta douceur, ton onctuosité... Tu es parfaite. Le godemiché est juste à la bonne taille. La stimulation de ma prostate me déclanche un orgasme comme je n'ai jamais connu. Mon sperme se déverse au travers de ma cage. Tu passes sous la table le lécher... Et tu m'abandonnes ainsi...
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