La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 22/03/25
J'avais 19 ans à la fac je vivais seul avais 19 ans à la fac je vivais seul dans un appartement. Je draguais des nanas sur un chat. Un mec de 51 ans est venu me parler de tout de rien une fois deux fois puis m a demandé des photos ect... je les ai envoyé il a commencé à me dire combien j étais sexy que je devais baiser beaucoup de nana ect, après il a tenté de me brancher ,j ai dis non. Il a continué à m écrire tout le temps. Un soir avec trop d alcool je lui ai donné mon téléphone. Il m écrivais tout le temps. Un soir ou j étais avec ma copine en boîte, je suis rentré bourré et je sais pas pourquoi, (peu être, trop excité par copine)  j ai accepté qu il passe chez moi. Je lui ai donné mon adresse . A 5h30 il était chez moi.    Il est entré à voulu me rouler une pelle direct j'avais la bouche fermé mais il léchais mes lèvre avec sa langue, il m'a demandé où été ma chambre , ma pris par le bras et mis a emene il m'a jeté sur le lit et m'a dis de me déshabiller.  Il s est deshabillè et à commencer à me sucer ...   Je bougeais pas sur le dos, il est venu sur moi et a mis sa queue dans ma bouche. Vu que je suçais pas il m'a mis sur le ventre et à lécher mon cou et mes oreilles et a me doigter le cul. Il a demandé le prénom de ma copine, et il a commencé à me pénétrer en m appelant par son nom   Il m a baise en levrette un moment en m appelant par le nom de ma copine puis a dis qu il voulait jouir en moi comme une bonne femelle et ma remis sur le dos et m'a baise en missionnaire en me roulant des pelles   Il a continué à me baiser en me traitant de pute. Puis il a dis que j avais le choix : le faire jouir sur mon visage ou dans mon cul.  Je lui ai dis pas le visage je voulais pas son sperme sur moi. Alors il m'a dis que je devait lui demander de jouir dans mon cul comme sa chienne.  Vu que je répondais pas il ma gifler J ai dis oui , il m a dis oui oui quoi?  J ai dis oui ok, il m'a re gifler, j ai dis oui dans le cul. Il m a demande De retirer moi même sa capote et de lui demander de jouir dans mon cul jusqu'à ce qu il jouisse. Alors j ai répété : "joui dans mon cul" en continue.  Il m a demandé de rajouter "mon amour,"  alors j ai dis en boucle :"jouis dans mon cul mon amour"  il a ouvert ma bouche et m a roulé une vrai pelle profonde  Et j ai répété" je t aime bb" jusqu'à ce qu il jouisse en moi Par la suite il m a fait porter les string et les bas de ma copine pour me baiser   Lopesoumi40 , Troyes • Grand Est
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Par : le 22/03/25
Tout comme il est important pour un Dominant de type « masochien » de comprendre les motivations à la soumission (https://www.bdsm.fr/blog/10630/Les-motivations-à-la-soumission/), il lui est tout autant primordial de comprendre le cheminement vers l’acceptation du statut de soumis, et ceci, afin d’accompagner sa ou son partenaire dans ce processus. Au-delà du jeu érotique, l’expérience d’un soumis se nourrit d’un cheminement intérieur complexe : une prise de conscience de sa condition, jalonnée de crises morales et émotionnelles, conduit peu à peu à l'acceptation d’un rôle qui, paradoxalement, renforce son autonomie. Je vous propose d'explorer le processus par lequel un soumis appréhende sa position, affronte ses tourments intérieurs, et finit par trouver une forme de réconciliation avec soi-même. La Découverte de Soi par la Soumission La prise de conscience d'une tendance à la soumission peut survenir de manière inattendue. Cela peut commencer par des fantasmes, des rêves, des lectures ou films, des discussions ou des expériences passées qui éveillent une curiosité. Pour beaucoup, cette découverte est accompagnée, au-delà de la simple curiosité, d'une sensation de honte ou de culpabilité, souvent alimentée par des normes sociétales qui valorisent l'autonomie et le pouvoir. Le soumis peut alors se retrouver dans un conflit intérieur, tiraillé entre des désirs profonds et des attentes extérieures. Au départ, l’expérience de la soumission apparaît comme un moyen d’explorer des dimensions souvent inaccessibles dans la vie quotidienne. En acceptant le rôle de soumis, la personne se confronte à une réalité intime où la vulnérabilité devient une force. Cette première étape est généralement marquée par la recherche d’un espace libérateur dans lequel les barrières sociales se désagrègent. Conscient de sa condition, le soumis perçoit la soumission non pas comme une défaite, mais comme une ouverture vers une connaissance approfondie de soi. Les Crises Morales : Entre Conflit et Révélation Le chemin vers l’acceptation est rarement rectiligne. Il est ponctué de crises morales où le soumis se trouve à la croisée des chemins entre des valeurs familiales, sociales héritées et la tension d’un nouvel épanouissement personnel. Ces crises se manifestent souvent par des remises en question profondes : sentiment de culpabilité, peur de perdre son autonomie, ou même honte face à des pulsions refoulées. Lors de ces moments de doute intense, la pratique de la soumission se montre ambivalente, à la fois source de détresse mais aussi de plaisirs et vecteur de transformation. C’est précisément dans ces instants de vulnérabilité que l’opportunité d’une réévaluation de soi s’ouvre, permettant une introspection plus poussée. L'impact des expériences passées joue également un rôle crucial dans ce parcours. Les antécédents personnels, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent influencer la manière dont la personne aborde la soumission. Par exemple, des expériences de rejet ou de honte liées à des désirs peuvent créer des blocages, tandis que des expériences positives peuvent encourager une exploration plus ouverte et confiante. Les Défis et Préjugés Les défis personnels que les personnes peuvent rencontrer dans le cadre du BDSM sont nombreux. La peur du jugement, la honte, et la difficulté à trouver des partenaires compatibles sont des obstacles courants. Les préjugés et les stigmates associés au BDSM peuvent également poser des défis supplémentaires. La société, souvent mal informée, peut juger sévèrement ceux qui choisissent de vivre cette forme de sexualité, rendant le chemin vers l'acceptation de soi encore plus ardu. Cependant, il est crucial de reconnaître que ces défis peuvent être surmontés avec le soutien adéquat et une compréhension approfondie de soi-même. Le Rôle du Consentement et de la Communication Le processus d’acceptation passe inévitablement par un dialogue intérieur crucial, mais également par une communication transparente avec le partenaire dominant. Dans un cadre sécurisé, la clarification des attentes et le respect mutuel deviennent essentiels pour dissiper les crises morales. Cette interaction permet au soumis de comprendre que sa condition, quoique différente des normes traditionnelles, est choisie et vécue en toute conscience. Le consentement éclairé se révèle alors comme la pierre angulaire de cette acceptation, transformant le ressentiment en une force réaffirmée. L'acceptation de son statut de soumis implique également un processus d'introspection. Cela nécessite une réflexion approfondie sur ses désirs, ses limites et ce que la soumission signifie personnellement. En prenant le temps d'explorer ces questions, le soumis peut clarifier ses motivations et renforcer sa confiance en soi, ce qui est fondamental pour vivre sa condition de manière authentique. L'affirmation de soi est un autre aspect crucial de cette acceptation. Revendiquer le droit à vivre sa sexualité de manière authentique et se sentir fier de ses choix sont des étapes importantes. Cela implique de reconnaître que la soumission n'est pas une faiblesse, mais un choix d'autonomisation qui peut enrichir la vie. En s'affirmant, le soumis peut se libérer des jugements extérieurs et des attentes sociétales, redéfinissant ainsi son identité selon ses propres termes. Cependant, le chemin vers l'acceptation peut être semé d'embûches, notamment en raison des jugements associés à la soumission et au BDSM. Il est crucial d'aborder ceux-ci de manière proactive. Des stratégies pour surmonter la honte et la culpabilité peuvent inclure la recherche de soutien dans des communautés bienveillantes, la participation à des groupes de discussion ou des ateliers, et l'éducation sur le BDSM. En s'entourant de personnes qui partagent des expériences similaires, le soumis peut valider ses sentiments et renforcer son acceptation de soi. Enfin, l'intégration des émotions complexes qui accompagnent la soumission est essentielle. La vulnérabilité, la peur et l'excitation peuvent coexister, et apprendre à naviguer ces émotions peut renforcer la résilience et la compréhension de soi. Cela peut impliquer des pratiques de pleine conscience, des journaux intimes pour exprimer ses pensées et ses sentiments, ou des discussions ouvertes avec des partenaires de confiance. En intégrant ces émotions, le soumis peut transformer ses expériences en une source de force et de croissance personnelle. Le soutien social est un élément vital dans le parcours d’un soumis. Les communautés BDSM offrent un espace sûr pour partager des expériences, poser des questions, et recevoir des conseils. Les groupes de soutien, les forums en ligne, et les événements communautaires peuvent fournir un réseau de personnes qui comprennent et soutiennent les défis uniques de la soumission. Ce soutien peut être crucial pour surmonter les crises morales et émotionnelles et pour se sentir moins isolé dans son voyage intérieur. L’Évolution Vers l’Autonomie Paradoxale Au fur et à mesure que le soumis traverse ses crises, il réalise que l’abandon apparent de contrôle dans le jeu BDSM ne signifie pas une perte d’autonomie, mais bel et bien, paradoxalement, une redécouverte de sa puissance intérieure. En se soumettant, la personne crée un espace sécurisé pour explorer et réinterpréter ses limites, faisant ainsi fi des injonctions sociales traditionnelles. Ce processus lui permet de réintégrer des émotions douloureuses pour en extraire une énergie libératrice. Cela conduit à une résilience renforcée et à une affirmation de soi autrement inattendue, où l’acceptation de sa condition s’inscrit dans un mouvement d’intelligence émotionnelle. De plus, les relations BDSM peuvent évoluer avec le temps, les dynamiques de pouvoir et les attentes des partenaires changeant au fur et à mesure que chacun grandit et apprend à mieux se connaître. La Réconciliation, l’Évolution Sociétale et les Débats Internes L’aboutissement de ce long voyage intérieur survient lorsque le soumis parvient à réconcilier les conflits intérieurs et externes. L’acceptation se manifeste par une reconnaissance sincère de la valeur de son expérience : il assume pleinement sa condition, non plus comme une faiblesse, mais comme un choix d’affranchissement et de libération. La crise morale initiale se transforme alors en une étape nécessaire qui a permis de découvrir une singularité érotique et identitaire. À ce stade, le rôle de soumis n’est plus vécu comme une quête d’abandon, mais comme une affirmation d’une vérité personnelle, enrichie par la liberté de choisir et de redéfinir son existence. Par ailleurs, l’évolution des représentations sociétales contribue à une meilleure compréhension et une déstigmatisation du BDSM. Une information plus accessible et la visibilité grandissante de ces pratiques dans les médias et sur les réseaux sociaux offrent aux personnes concernées la possibilité de s'ouvrir à de nouvelles perspectives. Ces changements favorisent la mise en place de communautés de soutien et encouragent un débat public qui démystifie les préjugés liés à la soumission. Dans la même dynamique, il est pertinent d’intégrer des perspectives critiques et des débats internes. Certains courants, notamment dans les milieux féministes ou sociétaux, remettent en question la lecture de la soumission comme toute quête d’émancipation ou de transformation personnelle. Ces débats enrichissants invitent à une réflexion approfondie sur les rapports de pouvoir, la liberté individuelle et les potentielles dérives de toute dynamique relationnelle. Ce dialogue critique, loin de dévaloriser l'expérience vécue, permet de nuancer et de perfectionner la compréhension des enjeux liés à la soumission dans le BDSM. Exemple concret : Pour ce faire, je vais vous renvoyer à ce sujet ouvert sur le forum : https://www.bdsm.fr/forum/thread/9733/De-la-difficulté-à-s'assumer-comme-soumis-(h-ou-f)/ N’hésitez pas, si vous êtes soumis, à y rajouter votre témoignage, à l’exemple de celles qui ont déjà participées ! (Merci à elles !) Conclusion Le cheminement vers l’acceptation de sa condition de soumis est une trajectoire complexe et profondément personnelle. Entre la découverte de soi, les crises morales, le dialogue avec un partenaire respectueux, l’évolution vers une autonomie paradoxale et l’intégration d’une perspective sociétale et critique, le soumis finit par trouver un équilibre intérieur. Ce processus, loin de constituer une soumission passive, est une démarche active de transformation et d’auto-affirmation qui redéfinit les contours de l’identité. En fin de compte, l’acceptation de sa condition apparaît intrinsèquement comme un vecteur d’épanouissement personnel et de renouveau émotionnel, permettant au soumis de vivre sa vérité avec fierté et authenticité. Ainsi, la soumission devient non seulement un choix de vie, mais aussi un chemin vers une compréhension plus profonde de soi-même et des autres, où la vulnérabilité se transforme en force et où chaque expérience contribue à la construction d'une identité riche et nuancée. Reference • "L'Art du BDSM" par M. M. - Un guide qui propose des conseils pratiques pour ceux qui souhaitent explorer le BDSM, avec des témoignages et des expériences personnelles. • "La sexualité des personnes" par Marie-Claude Pichon : Cet ouvrage explore la sexualité, y compris les pratiques BDSM, et discute des enjeux de pouvoir et de soumission. • "Les pratiques sexuelles alternatives" par Philippe Brenot : Ce livre aborde diverses pratiques sexuelles, y compris le BDSM, et examine les motivations et les dynamiques relationnelles. • "Les personnes et le BDSM : entre émancipation et soumission" par Claire L. : Cet article analyse les expériences dans le BDSM et les tensions entre émancipation et soumission.
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Par : le 22/03/25
Hier soir encore, ma sublime Maîtresse Chat m'a permis d'entrer dans le monde merveilleux du subspace. Étant fatigué et en safe care, elle a eu la clémence de ne pas me faire relever en raison d'un toilette pas suffisamment propre à son goût, mais m'ordonna de le faire en priorité au réveil, comme l'exige l'une des règles que je me dois de respecter en tant que soumis. Ce matin donc, je me suis levé tôt, ai préparé mon café en veillant à ne pas déranger le sommeil de Madame, puis me suis installé gentiment dans le canapé pour le boire. Lorsque j'en suis à la moitié, ma douce Maîtresse entre nue dans le salon et vient directement me faire un câlin. Nous sommes aussi un couple engagé. Un câlin rempli de douceur et de papouilles, qui vient exciter son jouet bien rangé dans sa cage de chasteté. Durant cet instant de tendresse, ma Maîtresse glisse sa main dans mes cheveux et tire sèchement, me forçant à la regarder droit dans les yeux. Son regard est sévère. Elle demande d'une voix sèche : "As-tu nettoyé les toilettes ?" Ce à quoi je réponds honnêtement, avec cette humeur enfantine qui me prend lorsque j'ai fait une bêtise : "Oupsi... Pardon, Maîtresse." Elle me fixe encore un instant sans relâcher son emprise, me laissant dans l'attente d'une correction immédiate... mais il n'en est rien. Finalement, elle relâche son étreinte ainsi que son regard accusateur. Soudainement, elle sourit en se relevant, attrape mon café et repart dans la cuisine. Je connais son côté espiègle, et je ne doute pas qu'elle me prépare une petite vengeance. Ma Maîtresse revient avec deux tasses, dont la mienne. Mais elle me tend l'autre en s'asseyant à côté de moi. D'un coup d'œil, je distingue le contenu des tasses : celle qui m'appartenait avant son réveil, et dans laquelle il me restait la moitié d'un café pur, a été réajustée à son goût avec deux sucres et du lait. Quant à celle qu'elle m'a donnée, elle est remplie de son nectar doré, que les ondinistes appellent plus communément "champagne". Elle me regarde avec douceur, boit une petite gorgée de mon ancien café réajusté à son goût et dit : "Merci pour le café, tu auras respecté une des règles de la maison, c'est déjà ça." Puis, reprenant un ton plus sec : "Quand tu auras fini le tien, tu iras faire ce que je t'ai demandé, compris, petite merde ?"  
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Par : le 21/03/25
j'avais envie de bites et de sperme. Plutôt que le sauna de Brive qui est plus proche j'ai choisis d'aller à Limoges dans un sauna équipé de glory hole. C'est la première fois que j'y allais un lundi, un des trois jours de la semaine où les côtés gay et hétéros sont accessibles pour le même prix. je portais mon ball stretcher qui allongeait bien mes couilles. Sitôt désabillé, du côté hétéro car je trouve les vestiaires plus sympa, je me randais aux glory hole. La personne qui se fait sucer est debout devant un film porno. Elle est surélevée par rapport à vous de façon à être à bonne hauteur pour le sucer et bien apprécier sa bite. La porte qui relie les glory hole hétéros et celles homo était ouverte de façon à ce qu'il n'y avait pas besoin de passer par le bar pour passer d'un côté à l'autre. Un mec était installé devant le porno et attendait qu'une bouche s'occupe de lui. La bouche ce fut moi. cet après-midi j'ai eu la chance de ne sucer que de belles queues bien dures et suffisamment longues et grosses. Coût de chance.  Pour le sucer j'éloignais mes jambes du mur, me laissais tomber en avant en appui sur les mains, le cul tendu au cas où quelqu'un voudrait s'en occuper. j'ai sucé en entendant les cris de la vidéo et parfois les soupirs du mâle qui était dans ma bouche. Sans prévenir il s'est retiré, s'est branlé et a juté tout son sperme tiède sur mon visage. Une vrai belle dose. Un vrai plaisir pour moi. Avant qu'il ne s'en aille je le remerciais comme une bonne chienne doit faire "merci Monsieur". je venais juste de prononcer ces deux mots, j'étais encore en position avec le cul offert et les couilles balotantes quand une main s'est posée sur ma bite toute molle et a tiré sur mes testicules. je venais de croiser l'Homme qui tout au long de l'après-midi, à intervalles réguliers, viendrait me torturer les tétons et les couilles jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. Merci Monsieur pour tous ces moments de souffrances exquises. j'alternais donc pipes,  pas toutes menées à leur terme, et tourments. j'ai dû prendre entre quinze et vingt queues de vrais mâles dans la bouche mais je n'ai réussit à recevoir que quattre éjaculations faciales, toutes suffisamment gourmandes en foutre pour que j'y prenne un véritable plaisir cérébral. Après chacune d'elle je sortais dans les couloirs éclairés pour que tout le monde puisse voir ma gueule dégoulinante du plaisir des autres. je pense que lorsque j'y retournerai ce sera un autre lundi...
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Par : le 21/03/25
J'ai des dépendances j'ai des carences j'ai des fêlures j'ai des cassures Je suis parfois un peu larguée. Mon triangle des Bermudes c'est tout les doutes que peuvent laisser le manque et l'absence comme si mon esprit avait besoin de me faire souffrir de Vous, me faire souffrir de N/nous. Ma boussole émotionnelle à été mise a rude épreuve je ne savais plus par où étaient Vos pieds. Perdu mais pas submerger heureusement. Je ne me sentais plus tenus. J'ai dérogé à mes devoirs J'ai été un peu brat aussi 👉🏼👈🏼 Pas par égoïsme, excentricité ou caprice mais pour N/nous pour pas tout casser. Merci Monsieur d'avoir pris du temps pour moi et de m'avoir rassuré sur ma place à Vos pieds et de m'avoir fait sentir Votre domination. Merci de m'avoir puni une punition qui aura un goût de victoire pour moi Monsieur la victoire du N/nous sur un moment qui aurait pu le faire disparaitre. Une victoire sur mes doutes et surtout l'affirmation que ma soumission est toujours entre Vos mains et qu'elle va bien et deviendra plus forte. Merci d'être Vous Monsieur. Je suis heureuse à Vos pieds Monsieur Je suis heureuse d'avoir été entendue Je suis heureuse d'avoir été puni pour mon manquement et ma faute. Votre dévouée orija pour Vous faire plaisir, Vous servir, Vous obéir Monsieur.
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Par : le 20/03/25
     Je suis triste que Monsieur Edgard s’en aille, j’avais un allié.      Yao dit à Azra :      — Ce soir, après le repas, notre maître reçoit des… importateurs importants. Le Maître veut que les odalisques soient nues et propres. Tu dois t’en occuper.      Azra m’aime bien… ça va aller.      On est 12 odalisques, venant de toute l’Europe, comme je l’ai dit : depuis deux Danoises aux cheveux blonds jusqu’à des Espagnoles aux cheveux et à la chatte très noirs. Les esclaves de Topkapi nous lavent, puis elles nous coiffent, nous maquillent et nous parfument. Je suis surprise de sentir le jasmin.      Monsieur Edgard n’est plus là pour le moment, il est remplacé par un couple discret en vêtement d’époque.       Azra, ma sirène africaine, ne sera pas proposée aux invités, donc elle n’a pas dû se laver. Elle est « nature », quand elle est près de moi, son odeur me fait décoller du sol. Elle est dure avec nous, mais je crois qu’elle m’aime bien.       En fin d’après-midi, les commerçants arrivent et ils sont conviés à la table du Sultan. Nous, on est de « service » avec les desserts et les alcools.       On arrive, belles, nues, parfumées et différentes. L’homme que j’avais pris pour le Sultan et en fait le grand Vizir. Le Sultan doit être comme je l’imaginais un gros homme avec une barbe bien teillée, mais avec des petits yeux noirs brillants de cruauté. Si, si ça existe, je pourrais vous en citer, si j'osais.       Le grand Vizir dit :      — Chers invités, le Sultan est très satisfait de nos relations et avec les alcools, il vous propose des odalisques venant de différents pays d’Europe. Elles sont propres et dressées à vous obéir.      J’ai déjà été surprise par l’aspect du Sultan, mais je le suis plus encore par l'aspect des huit invités. Il y a deux femmes et six hommes. Je pensais que ce seraient des négociants riches et bien habillés à la mode du 18e siècle, mais ça intéresserait qui ? Par contre, une bande de pirates dégoûtants, voilà qui est intéressant. Même les deux femmes sont plutôt belles, mais grosses et une des deux a même un sein qui s’est échappé de son corsage crasseux.       Ah, si je pouvais aller me réfugier entre les jambes d’Azra, ma sirène ! Oui, ma sirène a de très jolies jambes noires, fermes et luisantes de sueur. C’est une nouvelle race de sirène.       Hélas, comme les autres odalisques, je dois satisfaire la lie de la société de l’époque. On sent bon mais plus pour longtemps.       J’ignorais que les pirates revendaient des biens et des filles à Topkapi et sans doute aux nations occidentales. Un gros pirate me désigne du doigt et gueule :      — Toi, aux pieds !      NON, je ne veux pas ! Il pue ! Yao me dit :      — Envie de te faire réchauffer les fesses, Fanny ?      En fait, non… Je vais devant le pirate et il sort son sexe de ses chausses dégoûtantes. Le sexe est très sale et il n’est pas circoncis. Il ne faut surtout pas que je vomisse sur la bite du pirate. Je ne décris pas la vue et l’odeur. Je fais un énorme effort et je survis, malgré la puanteur qui émane de ce sexe. Je me jette à l’eau, c’est une image, ce sexe n’est jamais lavé et pourtant je le mets dans ma bouche, il faut que je le lave. Mon estomac est équipé pour gérer des viandes un peu avariées. Ce que je fais plaît au pirate. Il me dit même :      — Tu suces trop bien, petite putain, je vais peut-être t’acheter au Sultan.      Merde, je lèche trop bien ! Je sens qu’on me regarde, je lève les yeux et je vois que c’est Azra. Elle me fait discrètement non de la tête. Évidemment, j’appartiens à Madame Fiu qui doit faire partie d’une triade chinoise ou d’un consortium asiatique. Je suce mon pirate qui est aussi sale qu’un rat d’égout, mais nettement moins sympathique. Il se met justement à couiner comme un rat et il m’envoie son poison par saccades… j’avale. Adieu monde cruel ! Non, le sperme ne tue pas, même si celui qui jouit dans ma bouche pue. Le sperme est sain. Enfin, j’espère.       Un autre pirate est à quatre pattes au-dessus de la petite Irlandaise rousse qui lui tète la bite. Il me montre du doigt, manque de perdre l’équilibre et gueule :      — Toi, viens me lécher le cul !       J’ai trop envie de lui dire : « Jamais ». J’entends un fouet claquer et je suis prête à faire beaucoup pour éviter de laisser abîmer ma plus grande qualité : mon cul. Y compris lécher le cul flasque et boutonneux d’un vagabond qui joue au pirate.      Le fouet claque à nouveau, je fonce langue la première entre les fesses du pirate. Depuis quelques mois, j’ai été obligée de faire ça : lécher des culs tellement sales qu’ils feraient dégobiller le rat d’égout de tout à l’heure. J’avoue : celui-ci est sale, mais moins que ce que je craignais.      Je suis photographiée et filmée par le couple de photographes et les spectateurs. Au plus c’est humiliant, au plus ils aiment.       Le gros porc, dont je lèche le cul, jouit dans la bouche de la petite odalisque rousse qui est en dessous de lui.       Tout cela est trop dégoûtant, je vais me mettre à pleurer ! L’IA de Madame Fiu en a conscience et il m’envoie la plus belle des pirates femelles. D’accord, elle est grosse et pas très propre, mais elle me prend sur ses genoux et m’embrasse sur la bouche, puis elle me dit :      — Une odalisque dégoûtée, c’est pas normal, ça. Tu te doutes que les pirates n’ont pas d’eau douce pour se laver. Je ne suis pas lavée souvent non plus.      Elle m’embrasse sur la bouche, oh ! mon Dieu, j’avais oublié que ça existait, les baisers. J’aime les hommes bien sûr, mais je préfère un peu les femmes. Question de peau, d’odeur… Futur lecteur imaginaire du futur, je lècherais volontiers ta bite, mais j’aimerais mieux lécher la chatte de ta jolie épouse. J’imagine que les IA sont des femmes et qu’on puisse les lécher, elles tomberaient amoureuses de moi et…      — Aiiie !      Ma pirate m’a pincé le bout d’un sein et elle me dit :      — Concentre-toi sur moi, petite, sinon je sens que Maître Yao va te balafrer les fesses avec son fouet.      Je réponds :      — Pardon, Maîtresse, je cherchais ce qui pourrait vous faire plaisir.      Elle rit et me dit :      — Menteuse… Bon, je m’appelle Rose, montre moi comment tu lèches ta maîtresse en commençant par les pieds.      Je l’aide à enlever ses hautes bottes, trouées… Ses pieds sont nus dans ces bottes et ils sentent les pieds et le vieux cuir. Ça n’a rien à voir avec le cul sale d’un pirate.  Rose ne sent pas la rose, bien sûr, mais ses odeurs me plairaient beaucoup si elles étaient moins fortes. L’odeur de ses pieds est un mélange de sueur et de vieux cuir. Je suis… mitigée entre l’excitation et quand même un peu de dégoût. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, même l’IA, là-haut dans le ciel. Alors, je… je les embrasse et je les lèche. Je suis également mitigée du côté de mon nez, genre « c’est quand même très sale ! » Du côté de ma chatte… elle mouille comme toujours et enfin du côté de mon cerveau… euh… il imagine toutes les horreurs qui pourraient m’arriver, comme toujours. Ah ! Il a quelque chose à dire :      — Mais pas du tout, petite conne. J’aime te voir ramper et lécher des pieds qui sentent délicieusement mauvais.      Pardon pour lui, il est fou. Je continue : j’embrasse les pieds de Rose, je les lèche, je suce ses orteils. Le pirate avec un bandeau dit :      — Elle fait la petite bouche pour lécher une bite qui sent un peu, mais regardez la lécher les pieds de Rose.      Rose répond :      — Ta gueule, fils de pute.      Oui, ce sont des pirates, hein, ils sont pas polis. Un autre pirate dit :      — On adore voir cette petite langue nettoyer tes orteils, Rose.      Ça les fait rire. Ils pourraient pas fermer leurs gueules ? Ben oui, je ne suis pas polie non plus, c’est la fréquentation des pirates. Je remonte des pieds de Rose jusqu’à la touffe de poils de son sexe. Sa chatte sent fort, bien sûr, la marée basse par grande chaleur comme celle d’Azra ma sirène et aussi un peu le marché aux poissons à la fin de la même journée, toujours ensoleillée. Ce sont des odeurs qui me rappellent celles de ma sirène et j’aime ça. Je l’aide à enlever sa robe, en dessous elle a des formes opulentes.            Le pirate Barbe Noire, pas le vrai mais un pirate qui a une barbe noire, dit :      — On va faire un petit jeu, à celui qui se retient le plus longtemps.       Des pirates qui jouent !!! Bah ! Pourquoi pas ? Tout est prévu parce que des esclaves mâles apportent six fauteuils. Les femmes ne jouent pas ? Il faut dire qu’au 18e siècle, l’égalité des sexes n’existait vraiment pas. Les pirates s’y installent et ils sortent leurs sexes de leurs hardes. Sans commentaires.       Yao arrive, un fouet à la main. Il nous place devant un pirate. Moi, je me retrouve à genoux entre les jambes d’un pirate grand et mince et qui a un visage très spécial. Son voisin lui dit :      — Tu as la plus belle suceuse, Tête de Mort.      C’est vrai, qu’il ressemble à une tête de mort. Dans un tout vieux western, j’ai vu un acteur qui avait le même genre de visage. Ses joues sont creuses, ses yeux bleu très pâle sont fort enfoncés dans les orbites, tandis que son nez et ses mâchoires sont très saillants. Il voit ma peur et me dit :      — Je ne te plais pas ? Je suis vivant, tu sais.      Il rit… d’un rire de… squelette ! Je réponds :      — Je suis à votre service, Maître, et très heureuse de sucer votre sexe.      C’est pas vrai, il me fait peur et ils sont tous dégoûtants, je veux rentrer chez ma maman et mon papa… bou, hou...      Hélas, je vais devoir sucer Tête de Mort. La mort me terrorise, mais lui, il est bien vivant et qui sait, peut-être plus gentil que les autres. Il a l’air très sûr de lui. Son sexe se dresse bien vivant, plus propre ou disons moins sale que les autres. Je dégage le gland en repoussant la peau avec mes lèvres. Il me caresse la nuque de sa main gauche, oui, bon, gauche ou droite, ça n’a pas d’importance, mais je suis précise. Il me dit de sa voix rauque :      — Commence par me lécher les couilles.      Yao fait claquer son fouet et nous dit :      — La dernière à faire jouir son invité prendra une raclée.      Nouveau claquement de fouet. Je me dépêche de lécher les couilles de Tête de Mort. De sa voix caverneuse, il me dit :      — T’en fais pas, tu me plais, tu ne seras pas la dernière.      Son odeur et son goût ne sont pas désagréables. À part le problème qu’il me fait peur, il me plaît plus que les autres.       J’ai dit squelette, mais c’est surtout son visage avec ses joues creuses et ses yeux enfoncés dans les orbites qui le font ressembler à une tête de mort. Son sexe, lui, pète la santé. Pour amadouer la mort, je le suce comme un veau tète sa mère qui est rentrée très tard d’une soirée. Ça suce bien un pis, un veau, moi je suce bien une bite. Il ne sent ni ne goûte la mort, mais pas le savon non plus. Il faut dire qu’il n’y a pas de salle de bain sur les navires des pirates.      Le couple de photographes a remplacé Monsieur Edgard et... qu’est-ce que je raconte, moi, il faut que Tête de Mort jouisse, sinon je serai fouettée. Ma bouche va et vient sur son sexe et de la main, je caresse et je serre un peu ses couilles. Ensuite je glisse un doigt dans son anus. Même les hétéros aiment ça. Tête de Mort gémit un tout petit peu. Message bien reçu, j’enfonce un deuxième doigt dans son anus.       Quand on a un costaud avec un fouet derrière soi, on devient très, très efficace dans l’art de faire jouir un homme. J’entends un pirate gueuler :      — Ah putain de salope, tiens, tiens et tiens !      Le message est clair : un des hommes jouit en envoyant des saccades de sperme dégueulasse dans la gorge d’une pauvre fille.      Là, je reçois un nouveau coup de fouet en travers des fesses. Je crie sur le sexe qui est dans ma bouche :      — Aiiiieee !!!      Il faut que je suce énergiquement et que mes doigts l’enculent plus vite. Qu’est-ce que tu attends, Tête de Mort ? J’arrive à faire trois choses en même temps : sucer son gland, presser ses couilles et l’enculer avec deux doigts. J’accélère le mouvement. Chères lectrices du futur, essayez de faire ça à votre mari, vos amants ou vos domestiques et… Tête de Mort rugit :      — Putain de petite salope, tu suces comme une reine !      Oh mon Dieu, c’est du miel qui coule dans mes oreilles. En même temps, il m’envoie des saccades de semence, que j’avale. Son sperme est très abondant et il a un goût très fort, je dois prendre sur moi pour tout avaler.      Je dois faire une pauvre tête dégoûtée. Tête de Mort me caresse le joue en disant :      — Ce n’est pas la première fois que tu avales ?      — Non maître, je vous prie de m’excuser.           — On a mangé des asperges, ça donne un goût à la pisse et au sperme. Tu as fini deuxième, c’est bien. Je vais peut-être te faire un cadeau quand tous les hommes auront joui.      Je le regarde avec de grands yeux. Le pirate Tête de Mort va me faire un cadeau ? Je ne refuse jamais un cadeau. Ce sera quoi ? La vie éternelle ou alors la disparition de tous les dirigeants néfastes de la surface de la Terre ? Je l’ai bien sucé, il me donnera à Azra, ma sirène, et il nous protégera.      Je rêve… N’oublie pas qu’on te filme, Fanny, et que tout le monde te regarde. La fille qui a été la dernière à faire jouir son partenaire crie et supplie Yao d’arrêter de la fouetter. C’est le sort de la perdante. À suivre. Merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Vous pouvez voir ses dessins sur nos blogs gratuits : Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 19/03/25
Très objectivement, Nicolas ne comprenait pas la situation. Quand il était rentré ce soir, il avait trouvé la table à manger au milieu du salon, et contre elle, un peu à la manière d’une estrade, la petite table du salon. Aurélie, l’œil un peu égrillard, lui avait demandé de se déshabiller. Nu, il s’était allongé sur la table, les genoux sur la table basse. Aurélie lui avait ligoté les cuisses contre les pieds de la table, les mains en extension, les chevilles à la petite table. Elle avait aussi pris la peine de sangler ses reins, rendant tout mouvement quasiment impossible. Depuis, il ne se passait plus rien : Aurélie vaquait à ses activités, préparait l’apéritif sans se soucier de lui ; c’était étrange et inquiétant. Vers 19h15, la sonnette retentit. Au lieu de s’étonner, Aurélie se déplaça prestement vers la porte d’entrée. Nicolas sentit des sueurs froides l’envahir. Aurélie revint, accompagnée de deux femmes. Habillées élégamment, un peu strictement toutefois, elles devaient avoir une quarantaine d’années. Maude était une grande femme brune, dotée d’un visage aux traits fermes et bien dessinés. Chloé était un peu plus petite, rouquine et d’un visage coquin. Maude jeta un œil rapide sur Nicolas et déclara que cela était parfait. Chloé déposa un sac de sport dans un coin de la pièce. Aurélie revint avec un plateau, servit un verre à chacune, et les trois femmes se mirent à discuter comme les meilleures amies du monde. « Donc, expliqua Aurélie, comme je vous l’expliquais cet après-midi, mon mari a besoin d’une bonne tannée pour qu’il retrouve le droit chemin. Or, je me rends bien compte que je suis trop frêle pour cela. De plus, je n’ose pas trop, car j’ai toujours peur de lui faire mal. C’est pourquoi j’ai fait appel à vous. Avec quoi le battez-vous d’habitude ? questionna Chloé  Avec la brosse à cheveux, à la main, à la ceinture. Rien de bien méchant, commenta Maude. Connaît-il les verges ? Pas à ma connaissance, répliqua Aurélie. Moi même je ne sais pas bien ce que c’est ! Eh bien, il va apprendre à connaître. Et ne vous inquiétez pas, il n’oubliera pas tout de suite ! Sur ce bon mot, Maude et Chloé rirent de bon cœur. Devant l’incompréhension d'Aurélie, elles lui expliquèrent que les verges étaient en fait composées d’une douzaine de baguettes de noisetier d’un mètre de long attachées entre elles. Une fois l’écorce retirée, elles étaient conservées dans de l’eau de mer pour garder leur souplesse. Chloé ajouta que si l’eau salée ne servait à l’origine qu’à la conservation, elle rendait la défouraillée encore plus douloureuse par le picotement qui ne manquait pas d’advenir sur la peau du puni. Pendant que Maude racontait à Aurélie comment un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt pleurait comme une madeleine pendant sa punition et promettait à sa femme d’être fidèle et aimant, Chloé était allé chercher dans le sac de sport les badines et montrait à Aurélie la manière de s’en servir. « Bien, dit Maude, et si nous nous occupions du corps du délit ? » Elle prit le premier bouquet que lui tendait Chloé et s’approcha de Nicolas. La conversation entre les trois femmes l’avait parfaitement éclairé sur ce qui allait advenir, et il n’en menait pas large. Rarement il ne s’était senti aussi impuissant. Moqueuse, Maude demanda « Sais-tu ce qui t’attend ? ». Nicolas fit non de la tête. « Nous allons montrer à ta petite femme ce qu’appliquer la badine veut dire. Nous allons, de la manière la plus traditionnelle, nous occuper de toi. Nous allons te donner une punition sévère et méritée. Certes, nous ne connaissons pas les raisons de cette punition, cela reste entre ta femme et toi. Pour autant, comme nous les supposons très graves, nous appliquerons en conséquence. N’oublie pas d’y réfléchir et d’expier tes fautes ! » Puis Maude fit siffler les badines dans l’air et commença l’application. Elle débuta par la plante des pieds, punition traditionnelle mais ô combien douloureuse. Puis, méthodiquement, elle entreprit de châtier les mollets, alternant les cinglades à droite et à gauche, en haut et en bas. Elle ne s’arrêta que lorsque les premières zébrures furent bien visibles. Les cuisses furent naturellement la cible suivante. Maude prit le temps et l’énergie nécessaire pour obtenir une belle couleur uniforme sur l’arrière, l’intérieur et l’extérieur. Si le résultat était plaisant à l’œil, l’épreuve fut rude pour Nicolas. Les premières verges, fort abîmées, furent remplacées par un bouquet neuf. Les fesses eurent droit elles aussi à leur comptant, mais de manière étonnante, Maude se contenta de les chauffer, certes rudement, mais beaucoup moins que Nicolas ne l’avait craint. La correction continua par le dos. Des reins au cou en passant par les flancs, les épaules et les avant-bras, les verges ne laissèrent pas un cm² sans impact. Même les joues eurent droit à quelques cinglades. Le corps de Nicolas était désormais rouge vif de la tête aux pieds. Maude l’avait battu pendant une demi-heure, sans pause, et sans faiblesse. S’il était marqué physiquement, Aurélie le sentait aussi marqué moralement. Clairement, la punition était rude à supporter et, bien qu’endurant, il était quand même sous le coup de l’épreuve. Maude conclut son œuvre par l’entrecuisse. Verge, testicules, périnée et anus subirent une dérouillée qui, si elle fut moins violente que sur les autres parties du corps, n’en reste pas moins marquante dans la vie d’un homme. Satisfaite du résultat, Maude alla s’asseoir, tandis que Chloé prenait le relais. Elle s’arma de verges fraîches et se positionna derrière Nicolas. « Moi, j’aime fouetter tout le corps, expliqua Maude. Mais c’est toujours Chloé qui termine. Chloé se contente de fesser. Elle aime punir les hommes qui lui sont livrés de cette manière. Mais c’est une fesseuse redoutable, tous ceux qui sont passés entre ses mains en conviennent. Pour qu’elle arrête, il faut que les yeux de sa victime soit aussi rouges que leurs fesses, comme elle se plaît à le dire. Elle fesse au delà des larmes … » Et en effet … Le swing de Chloé était impressionnant. Les badines opéraient une longue courbe dans l’air pour s’abattre brutalement sur le fessier offert. Aux sifflements succédait le bruit mat du bouquet s’écrasant sur la peau meurtrie. La fessée était intense et rapide. A chaque impact des brindilles se cassaient, et Chloé changeait de verges tous les vingt coups. Elle profitait de ce changement pour analyser ce qui avait été fait et ce qui restait à faire. Pour autant, elle ne s’embarrassait pas d’esthétique, comme le faisait Maude. Le cul de Nicolas, déjà bien rouge au départ, était vite passé au violet. Puis il avait viré par endroit au bleu, au noir, au rouge vif. De lisse, il s’était rapidement boursouflé sous la morsure des badines. Chloé frappait comme si sa vie en dépendait. Aurélie observait, les yeux exorbités, les fesses de son mari prendre un aspect qu’elle ne leur avait jamais vues. Maude admirait à voix haute la dextérité de son amie. « Comme tu le fesses à merveille ! Comme tu le portes au supplice ! Ah, Aurélie, comme c’est beau de voir un mâle arrogant dans cette posture ! Après cela, il vous mangera dans la main. Il saura où est sa place ! venez, installons-nous face à lui » Le visage de Nicolas était défait. Il était livide, et des grosses gouttes de sueur le perlaient. Ses yeux étaient humides, et le souffle semblait coupé. Maude décréta qu’il était temps de faire pleurer le vilain petit garçon. Chloé retourna vers le sac de sport et attrapa une badine de jonc. A la vue de ce nouvel instrument, Maude tira un petit bout de langue coquin en trouvant l’idée magnifique. Chloé reprit son swing et compta douze coups intenses. « Pleure-t-il ? » demanda-t-elle Non … je dirai même qu’il a souri ! Il a souri ? ? ? Tu vas voir … » La baguette reprit son infernal battement. S’en fut trop pour Nicolas, qui s’effondra en larmes ininterrompues. Malgré tout, la série de douze fut donnée complètement. « Là, j’imagine qu’il ne sourit plus ? », suggéra Chloé. En effet, il pleure à chaudes larmes ! Parfait ! vingt-quatre suffiront », décida Chloé. Les vingt-quatre derniers impacts furent donc reçus dans la douleur et les larmes. Pour la tannée de sa vie, Nicolas était pratiquement au bord de la crise de nerfs. Il ne devait pas rester un gramme de peau sur ces pauvres fesses. Dans combien de temps pourrait-il simplement se rasseoir ? Combien de temps mettraient les marques à disparaître ? Disparaîtraient-elles seulement un jour ? Pendant que Chloé rangeait le matériel, Maude expliquait à Aurélie que pendant la phase de reprise en main, elle préconisait quatre tannées à une semaine d’intervalle pour obtenir un résultat durable. Avec horreur, Nicolas vit les deux femmes sortir leurs agendas et prendre rendez-vous. Après leur départ, Aurélie resta quelques temps à observer, troublée, les fesses de Nicolas. Chloé les avait mises dans un piteux état, mais Aurélie les trouvait toujours magnifiques, peut‑être même encore un peu plus excitantes ! Elle ne pouvait plus les toucher sans arracher des grognements de douleur, et c’était aussi vrai, bien qu’un peu moins, de tout le reste du corps, Maude n’y étant malgré tout pas allé de main morte. Dans cette position, fesses offertes, entièrement marqué, ultra sensible, il était un appel à la pénétration. Elle sentit qu’elle ne pourrait pas résister longuement à cette idée qui l’envahissait. Et d’ailleurs, pourquoi y résister ? Elle s’équipa de son gode-ceinture favori puis, écartant sans égard les fesses meurtries, passa en force la barrière de l’anus et en quelques coups de rein énergiques plongea au plus profond du rectum de son homme pour libérer l’orgasme qu’elle sentait monter en elle depuis si longtemps.    
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Par : le 19/03/25
Bonjour à toutes et tous ! Mon Maître m'a demandé d'écrire un court récit bdsm.. C'est la première fois que je me lance là dedans. Je suis plutôt lectrice de thrillers et polars. Mais si Maître l'exige... Bonne soirée à toutes et tous. - Silence ! Je la vois, fébrile, sublime. Son corps tremble, ses yeux sont clos et sa respiration saccadée. Ses fesses rebondies sont sublimées par un rouge vif. Les coups de canne ont laissé de belles lignes sur sa peau nue. Les mains sur la tête et les jambes écartées, elle tente de rester debout sans vaciller. Je me place derrière elle, et je balade cette fois ci le fouet sur ses hanches. Elle gémit et commence à tourner la tête pour parler, mais se ravise. Je caresse son entre-jambe avec les lanières, et de mon autre main je frotte tout en douceur ses fesses endolories. Elle se décontracte enfin et expire longuement. - Très bien. Je frôle à présent de mes doigts l'intérieur de ses cuisses, et parvient jusqu'à sa chatte, trempée. Je commence à jouer avec son clitoris, qui se gonfle instantanément. Elle gémit et tente se me guider par des mouvements de bassin. - Ne bouge pas, lui dis-je au creux de l'oreille. Je descends mes doigts quelques centimètres plus bas, et malaxe sa vulve avec ardeur. J'enfonce mon majeur et mon annulaire d'un coup, et elle ne peut s'empêcher de pousser un cri. - On se tait j'ai dit ! Ma main gauche abat un solide coup de fouet sur sa hanche, elle se tend et se pince les lèvres pour étouffer son braillement. Je commence des vas et viens lentement, elle est toute mouillée, désireuse de se faire prendre. Je commence à appuyer sur son point G, et au moment où je sens le gonflement, j'enlève mes doigts aussi subitement que je les ai inséré. - Maître ! S'il vous plaît ! Me dit elle, suppliant. Je la retourne brusquement et la plaque contre le mur. - Tu ne jouiras pas ce soir ! Goûte à ta mouille. Et je lui enfonce mes doigts dans la bouche. Elle les suce goulument et sait qu'elle doit les nettoyer. Je me colle à elle, ma bite dure contre son corps brûlant. - A genoux ! Elle se met en position, mains derrière le dos, tête baissée. - Alors ? - Puis-je vous faire jouir Maître ? - Avec plaisir. Et j'enfonce ma queue dans sa bouche en lui maintenant fermement la tête. Je lui baise la bouche, sa bouche pulpeuse et chaude est un pur délice. Elle me suce jusqu'à ce que j'explose : sa bouche se remplit de mon foutre, je lui en asperge également sur le visage. Elle me regarde, la bouche ouverte, remplie de mon nectar blanc et attend. D'un signe de tête elle comprend et avale tout. - Merci Maître pour votre nectar, merci de me laisser vous servir. Et elle se remet à me lécher pour tout nettoyer. Je lui caresse les cheveux et m'assois, la contemplant, toujours dans sa position de soumise, le visage maculé de mon sperme, signe de son allégeance. Je m'approche de la table basse,  et récupère un plug. Elle sait ce qu'elle a à faire. Je le lui met dans la bouche et elle le suce et l'humidifie. - A quatre pattes ma chienne. Elle s'exécute. J'écarte ses fesses toujours écarlates, et crache sur son cul. Je lui enfonce le plug d'un coup, ses mouvements trahissent sa douleur, mais elle ne dit mot. Je prends à présent la pompe vaginale, l'installe. Une bonne trentaine de minutes plus tard, son vagin est enflé, tel celui d'une chienne en rut. Son excitation est immense : elle me regarde, les yeux suppliant. - Bien, maintenant il est temps que tu ailles faire tes besoins, non ? Je récupère la laisse et l'accroche à son collier. A quatre pattes, elle avance, je la guide jusqu'au jardin. Claquement de doigts. Elle se baisse légèrement et se met à uriner. Sa pisse coule le long de son ventre. Elle attend. A mon tour ; je prend ma bite et commence à l'arroser de ma pisse. Elle est magnifique éclairée par la lueur de la lune. Je m'approche de son visage et elle recommence à me sucer pour tout nettoyer. Je la ramène jusqu'à la maison et la positionne face au mur. - Tu attends. Je la laisse, imbibée de tous mes fluides, haletante, excitée. Je pars prendre une douche et ne reviens qu'une heure plus tard. Elle est toujours dans la même  position, mais sa frustration grandissante laisse apparaître un regard haineux. - Viens par là et lèche. Je m'installe confortablement dans le canapé et lui offre mes couilles qu'elle s'empresse de lécher avec voracité. - Maintenant suce. Elle s'applique à la tâche même si je sens qu'elle fatigue. - Tu es une bonne soumise, tu as bien mérité que je te baise. - Merci Maître ! S'exclame t'elle presque désespérément. - Reprend ta position de chienne, je veux voir ta chatte enflée ! Elle obéit et se cambre pour m'offrir son trou. Une vraie chienne en chaleur, la vue est splendide. Je retire le plug de son anus, elle gémit entre la surprise et la douleur. Et sans lui laisser le temps de réagir, je l'encule sauvagement. Elle crie de ce délicieux supplice. Je sens sa chatte gonflée et suintante de mouille sur mes couilles. Je baise son cul pendant un long moment et me retire pour jouir à nouveau sur son visage. Elle est essoufflée et garde les yeux baissés, déçue de ne pas avoir eu tous ses tous comblés. - Es tu fâchée ? - Non Maître, je suis là pour vous servir. - Et ? - Merci Maître de m'avoir laissé vous servir et d'avoir utilisé mon cul. - Bonne fille. Je relève son menton et étale mon sperme qui se mêle à la précédente giclée sur son visage. - Et maintenant tu enfiles ta robe bleue et tu vas au drive chercher de la crème glacée. Elle se relève, et exécute l'ordre sans ronchonner. Le temps de son absence, je lui prépare une surprise : son gode ventouse que j'accroche au mur. Elle pourra se l'enfiler 10 minutes pour avoir été bien docile ce soir. Mais bien évidement, sans jouïr.
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Par : le 19/03/25
"Tout au bout de ce long effort mesuré par l'espace sans ciel et le temps sans profondeur, le but est atteint. Sisyphe regarde alors la pierre dévaler en quelques instants vers ce monde inférieur d'où il faudra la remonter vers les sommets. Il redescend dans la plaine. C'est pendant ce retour, cette pause, que Sisyphe m'intéresse. Un visage qui peine si près des pierres est déjà pierre luimême. Je vois cet homme redescendre d'un pas lourd mais égal vers le tourment dont il ne connaîtra pas la fin. Cette heure qui est comme une respiration et qui revient aussi sûrement que son malheur, cette heure est celle de la conscience. A chacun de ces instants, où il quitte les sommets et s'enfonce peu à peu vers les tanières des dieux, il est supérieur à son destin. Il est plus fort que son rocher. Toute la joie silencieuse de Sisyphe est là. Son destin lui appartient. Son rocher est sa chose. De même, l'homme absurde, quand il contemple son tourment, fait taire toutes les idoles. Dans l'univers soudain rendu à son silence, les mille petites voix émerveillées de la terre s'élèvent. Appels inconscients et secrets, invitations de tous les visages, ils sont l'envers nécessaire et le prix de la victoire. Il n'y a pas de soleil sans ombre, et il faut connaître la nuit. Je laisse Sisyphe au bas de la montagne ! On retrouve toujours son fardeau. Mais Sisyphe enseigne la fidélité supérieure qui nie les dieux et soulève les rochers. Lui aussi juge que tout est bien. Cet univers désormais sans maître ne lui paraît ni stérile ni fertile. Chacun des grains de cette pierre, chaque éclat minéral de cette montagne pleine de nuit, à lui seul, forme un monde. La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d'homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux. "Voilà combien de jours, voilà combien de nuits. Voilà combien de temps que tu es reparti !Tu m'as dit. Cette fois, c'est le dernier voyage, pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage. Au printemps, tu verras, je serai de retour. Le printemps, c'est joli, pour se parler d'amitié". Dis, Sisyphe_44, quand reviendras-tu ? "Non, Jef, t’es pas tout seul, mais tu fais honte à voir, les gens se paient not’tête, foutons le camp de c’trottoir, Viens, il me reste trois sous, on va aller s’les boire chez la mère Françoise, viens, Jef, viens, viens, il me reste trois sous et si c’est pas assez ben, y m’rest’ra l’ardoise puis on ira manger des moules et puis des frites, des frites et puis des moules et du vin de Moselle et si t’es encore triste, on ira voir les filles chez la madame Andrée, paraît qu’y en a d’nouvelles, on r’chantera comme avant". Non mon pote à moi, t'es pas tout seul, et tu nous manques ! Mais c’est plus un trottoir, ça d’vient un cinéma où les gens viennent te voir, viens, Sisyphe, mais viens, reviens. Je sais qu’t’as le cœur gros mais y faut le soulever". Non E. t'es pas tout seul.    Une copine de la Mère Andrée.   P.S : un grand merci à Albert Camus, Jacques Brel et Barbara pour leur aimable collaboration. 😇👓  
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Par : le 19/03/25
Petite choses fragile qui se construit dans un lien relationnel sain sur et consensuel. Je ne sais pas pour vous, mais moi c'est mon moteur l'essence de la machine le relationnel. Je me rend compte que j'ai jamais accorder ma confiance totalement a qui que se soi. Je me suis jamais senti assez en confiance pour craquer. Aujourd'hui je ne l'envisage pas le "lâcher prise" je ne le donnerais pas, je suis verrouillé, cadenassé. J'ai pas envie qu'on me force pour l'obtenir je pense même que ça aurait pas l'effet voulu au contraire. Surtout l'après suffirait d'un rien pour que je parte en vrille. Je suis certainement pas assez saine finalement pour ça ou trop amoché psychologiquement. En tout cas je suis lucide sur le sujet. Merci Monsieur grâce a Vous je comprend beaucoup de choses. Merci ophel pour tes partages qui m'aide à me comprendre. Merci de m'avoir lu
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Par : le 18/03/25
J’ai pas parlé de JS, notre entretien premier de l’ère « célibataire »… je me suis persuadé de plein de trucs en amont, alors j’ai eu le sentiment qu’elle me faisait des yeux de biche, m’a donné des petites recommandations pour sortir qui pouvaient s’apparenter à un rencard, enfin avec les yeux de la foi. Elle a été plus personnelle, me parlant de ses copines, de ses expériences de spectatrice devant des productions musicales. Sur le coup, même si j’ai vu son attitude corporelle penchée vers moi, petit sourire aux lèvres, je n’ai pas réagi, évidemment. Mais il reste que, nous allons continuer à nous voir, de façon « thérapeutique », même si pour moi, ça devient de plus en plus un truc érotique, un grand réservoir à fantasmes. Je ne sais pas comment il serait approprié ou pas de basculer vers un autre type de relation, mais sa voix, la douceur qu’elle dégage, sa vivacité d’esprit, son intérêt évident pour les arts et la musique en particulier… comment dire… en font la candidate idéale au statut de première compagne de ma nouvelle vie. Je ne sais pas si elle souhaite postuler ceci dit, mais je lui laisse sa chance sans hésiter.   Retour vers un peu de méditation et de sport, un truc qui voudrait enfin prendre soin de moi-même. Bien sûr que les yeux de JS sont assez proches, mais ils sont aussi tellement loins, c’est étrange. J’ai comme le sentiment que ça ferait des étincelles entre nous, mais je me dis que quand même, ça ne se fait pas. Mais je m’en tape, si j’en ai envie, si elle est d’accord, qu’est-ce qui pourrait nous en empêcher ? La morale ? L’éthique professionnelle ? Une broutille. J’ai surtout peur de m’enflammer pour rien, mais en fait, quoi ? Au pire, si je lui demande : "on sort prendre un verre", elle dira quoi ? Je risque quoi ? De passer pour un crevard qui a décidé de divorcer parce qu’il se branle en secret en pensant à sa thérapeute préférée ? Et ensuite, c’est à moitié vrai, mais qui le saura vraiment à part elle ? Et ça change quoi ? Au moins les choses seront claires, et soit c’est le point de départ d’un truc sympa, soit juste le moment d’une clarification salutaire. Et puis quand même, ça fait toujours plaisir, même si on n'est pas dispo, de voir une personne nous désirer, même si c’est un peu pervers, alors bon… les risques sont minimes, négligeables même, si on se dit qu’il n’y a aucune honte à désirer une belle personne.   Elle a une fraicheur, une vivacité espiègle qui me fait penser à Justine, je sais pas trop pourquoi. Alors j’ai envie de manger des champignons magiques avec JS avant de la baiser toute la nuit dans un océan de douceur torride.   Cette séance de méditation m’a amené à affirmer cette énergie qui commence à se dégager de moi, à me laisser porter par elle, comme une érection mentale, un truc qui gonfle et qui fait du bien. Et puis je me suis trouvé aspiré vers le haut, comme une éruption d’oiseaux qui se dispersent dans le ciel. C’était assez bref, mais cette sensation d’érection spirituelle est vraiment chouette, je sens mon énergie enfler, et me procurer du plaisir. Ça fait du bien.   Je viens de faire l’expérience déroutante d’une brève attirance sexuelle et affective pour ma future ex-femme. J’ai retrouvé une partie de ce qui faisait sa beauté, une étincelle de vie en elle, et j’ai eu envie de la baiser, sans vraiment m’embarrasser de quoi que ce soit de moral, juste la baiser, et puis retourner dans ma piaule, comme on peut simplement baiser une amie quand on est célibataire, enfin un truc du genre. Il est évident que son conditionnement moral bourgeois traditionnel interdit d’envisager toute forme de relation sexuelle sans véritable engagement conjugal dans ce contexte, hypocrisie car elle n’hésitera pas au bout d’un moment, à se faire baiser par n’importe quel mâle en rut, qu’elle laissera, je l’espère, filer aussi vite qu’il lui aura défoncé la chatte. Oui, je commence à basculer un peu dans la jalousie post-conjugale, quel genre de connard baisera mon ex-femme, auront-ils de plus grosses bites que moi ? Sauront-ils lui donner envie de jouir ? Il se peut que oui, pour les deux questions, et je préfère voir ça comme un mémo, un truc qui doit me rappeler constamment que la médiocrité n’est pas une option valable en matière de sexualité. Peut-être que le plaisir de se faire baiser par un inconnu suffira à la faire jouir. J’aimerais aussi pouvoir être cet inconnu de temps en temps, mais je crois que c’est trop tard, et que je suis bien trop sexuellement émoustillé pour avoir une vision claire des choses, non pas que ce soir elle soit ultra sexy, non, mais plutôt que mon état d’excitation va crescendo au point de me faire envisager de prendre de la drogue. Alors forcément, à ce moment, n’importe quelle femelle vaguement désirable ferait l’affaire, y compris ma future ex-femme (pourquoi se priver)… bref, je suis partagé entre l’idée de me dire qu’il faut que je me branle un bon coup, et celle de dire que non, je dois garder cette excitation, puisque c’est elle qui doit pousser un homme à oublier la peur du ridicule pour agir et aller vers les femmes, j’imagine. Même si, d’un autre côté, cette excitation nous fait passer pour de vulgaires animaux en rut, ce que je suis, il ne faut pas se voiler la face, mais ce n’est pas très glamour de prime abord...   J’ai aussi bu trois verres de vin, j’avais été sobre depuis quelques jours, ça joue sûrement un peu aussi. Et puis il y avait le visage austère d’Amandine, qui s’est illuminé quand je lui ai rappelé l’évidence : qu’elle en fait trop, qu’elle devrait se lâcher un peu. Avait-elle idée d’une allégorie sexuelle ? C’est bien possible, en tout cas son armure s’est ouverte d’un coup, laissant apparaître une jeune femme pleine de vie et espiègle, qui doit bien profiter de sa jeunesse à en juger par le nombre de fois où elle me demande de lui prescrire des bilans à la recherche de traces d’infections sexuellement transmissibles… il faut dire qu’elle a un de ces corps, des courbes fermes bien dessinées, un cul dense et puissant et… et mon vieux réflexe du « elle est trop belle pour moi » revient, puissant. Pourtant, Joseph a bien mis en cloque Camille, et pourtant, il est petit et laid, il a l’air sympa, certes, mais Camille est une artiste à la personnalité complexe et profonde, et elle est bien foutue, un peu maigre à mon goût mais quand même… elle est objectivement trop belle pour lui, mais également, objectivement, ils viennent d’avoir un bébé. Il a peut-être plein de fric (il en a pourtant pas l’air) ou bien une grosse bite, ou les deux. En tout cas, c’est un vrai mâle reproducteur, car d’après sa carte vitale, il en est à son quatrième garçon…   Pourquoi je parle de ça ? J’en sais rien, on s’en fout, j’ai envie de baiser, je suis disponible, mais mentalement conditionné à n’être pas désirable. Je sais que je dois travailler là-dessus, évidemment, et puis je vais retomber dans les vieux travers de pornographie, repli sur soi et évitement. Vraiment ? Non, c’est fini ça, enfin je crois. Je vais aller méditer un peu malgré l’alcool, et probablement gratter un peu après. Et ma bite me démange tellement qu’il se pourrait que je me branle durant l’une de ces deux activités… en tout cas, ce soir, pas de sport, une petite pause ne fera pas de mal.
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Par : le 17/03/25
Je ficelle les mots A contre temps, à contre peau  Avec ma langue j’attache à ton palais l’importance des non-dits qui se ressentent J’enchaine les instants effilochés de nos rires au vent De nos mains s’accordent les cordes les blanches le Là majeur, clouées au pilori du désir Avec mes yeux je noue les serments de mon âme j’y plonge jusqu’au cœur Je fixe les mots d’Amour en fleurs chatoyantes sur le chemin de l’espoir où nos pas s’amarrent Je glisse tu te dresses contre-plaquer à mon dos je visse mes gémissements en silence mélodieux Avec ma bouche j’enlace chaque aspérité chaque imperfection qui te rend beau et unique Je m’enroule à toi en sourdine ta voix en suspend me plait me play list   ps : voilà Azhara ^^
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Par : le 17/03/25
le téléphone sonne , Madame me convoque , entre midi et deux , au cinéma porno de Bordeaux !! le programme : exhib et dressage public !! oupsss , j'ai un doute et mon estomac se noue , le cinéma porno est un lieu gay , méme si des couples viennent partager des moments , c'est quand méme très marqué " gay " , et je ne suis pas du tout gay , mais alors pas du tout !! !l'exhibition en soit ne me dérange pas mais la , au milieu de males en rut , quelque chose me dit que cela va dégénérer et pas a mon avantage !!! rv devans la porte , nous entrons , sitot dans le sas , Madame me met le collier et la laisse , me fait me déshabiller , nu , et me fait ranger mes vétements dans le sac prévu a cet effet ( Madame pense a tout ). commence alors la déambulation dans les salles , les hommes ( effectivement , que des hommes  ) s'approchent , me jauge , contemple mon sexe , mes fesses , tendent une main , un certain nombre comment a nous suivre ( je suis inquiet ) , Madame continue a me promener , a m'offrir aux regards des males , certains affichent une forme éclatante , sauf moi !! mon angoisse monte au fur et a mesure que mon sexe se recroqueville et que mes fesses se sérrent ! nous arrivons enfin a l'estrade sur laquelle est dressée une croix de st andré , Madame m'attache , commence notre rituel , humiliation verbale , gifles , sévices légers , salive , pinces ( toujours les mémes , elles font toujours aussi mal !!!!! ) , des hommes s'approchent , et commence alors les mains baladeuses , ils soulévent mes bourses , cajolent mon sexe , insinuent une main entre mes fesses !! J'espére que Madame se souvient que je ne veux pas de rapports avec les hommes !! elle laisse faire , contemple mon humiliation , les laisse fouiller mon intimité , leur offre méme du gel lubrifiant ! alors la non , je refuse et je lui rappelle que je refuse catégoriquement toute pénétration masculine , elle me regarde droit dans les yeux et la gifle tombe , " je commande et tu obéis , n'oublie pas ta place " oui Maitresse mais je ne suis toujours pas d'accord !! elle me regarde a nouveau et me demande " tu me fais confiance ?? " oui Maitresse mais j'ai un peu peur qu'elle se laisse aller et que j'en fasse les frais !! ça y est , il y en a un qui insinue un doigt dans mon oeillet , gentiment je dirais , j'ai beau serrer , il me viole , enfonce son doigt jusqu'a la garde et commence a me fouiller , je cris non , j'ai les larmes aux yeux , Madame n'a pas respectée les régles et mes tabous , je lui en veux !! je la déteste !! un autre se met a genoux devant moi et commence a me caresser le sexe , me léche les bourses , la tige et commence a sucer tout doucement mon gland , je bande , en méme temps le doigt dans l'anus me fait du bien , un massage de la prostate en se faisant sucer c'est trés bon ! petit a petit mon plaisir monte au creux de mon ventre , Madame me regarde me tordre , écoute mes gémissements et mes suppliques , ho oui c'est bon , je n'en reviens pas de m'offrir a ces hommes , je ferme les yeux et pense a une femme , le doigteur est doué  et le suceur encore plus , je sens mes testicules qui montent se coller a ma verge , la bouche qui va et vient , le doigt qui masse lentement , doucement la zone sensible , mon anus est ouvert , mon sexe est tendu et je jouis , je cris , je bouge , je donne des coups de reins au rythme des mon éjaculation , je me vide dans la bouche , je sens les contractions de ma prostate , amplifiées par le doigt qui appuie dessus , que c'est bon !!Madame siffle la fin de la récréation , elle me détache , me tend les lingettes nettoyantes , je fais ma toilette et me rhabille vite fait , je dois aller au travail le ventre en feu , l'anus ouvert et les bourses vides ! dehors Madame me regarde et me demande " alors , c'est si difficile d'avoir un rapport avec un homme ?? " non , bien sur , dans ces conditions , je suis livré , attaché , je dois subir ce viol  ( mais que c'est bon d'étre violé comme ça ) alors ce n'est pas dififcile mais ce n'est pas ce que je souhaitais vivre non plus ! heureusement j'ai échappé a la pénétration , je lui en fais la remarque et la , pan , la giffle , en pleine rue , devant tout le monde l'humiliation !! elle me demande " qu'est ce qu'on dit ? " merci Maitresse ! " plus fort , je n'ai pas entendu " MERCI MAITRESSE , les gens me regardent , ils sourient , les femmes me jettent un regard de mépris , je suis un esclave et Madame a raison , forcément ! je pars travailler , le cul en feu , les c...lles vides et la joue rouge .Madame a raison , je suis son petit chien et je dois apprendre a me taire .
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Par : le 16/03/25
  Parfois, quand se retrouvent deux âmes errantes dans les mille temps des existences, même à travers la décadanse d’une valse, cela peut s’avérer bien plus qu’une orchestration des vices…   Le jour où nous avons finalement été réunis, c’était déjà bien plus qu’une simple grille d’accords pervers… Nous avions dès lors, composé l'ébauche symphonique d’un nouveau monde…   Une terre promise à ceux qui n’entendaient plus la tonalité de l’espoir, une partition sur laquelle nous avons placé l’ensemble de nos notes, justes ou fausses, présentes et passées… Car nous sommes avant tout, vivants… Avant tout, des êtres ayant vécu… Une mélodie familière, aux dissonances familiales, du fait de nos progénitures respectives et ingrates…   Conséquence de cette résonance harmonieuse, la première fois où tu posas chez moi tes ondes favorables, tu m'as apporté des bonbons… Toutes sortes de bonbons… Pour les enfants, entre autres… Et d'autres, qui m’étaient spécifiquement destinés… Deux délicieuses dragées !   “Mes” dragées… Mes bonbons depuis ce jour… Des entités indépendantes de ta personne, à l’instar de tes fruits sucrés, tant je t’en ai dépossédé pour qu'ils deviennent, mes précieux biens…   Mes bonbons qui suscitent le manque, quand tu me manques… Quand de moi tu es loin… Mes bonbons qui suscitent l'addiction... Ces confiseries qui m'obsèdent, quand la longueur des mesures me prive de l’accès privilégié à mes friandises… J'en perds mon rythme, la bave aux lèvres, quand par écrans interposés, dans les élans d’un exhibitionnisme naissant et sadique, tu déstructures ta pudeur, et ne cesses d'attiser le féroce de ma gourmandise…   Ils me manquent, quand tu me manques... Mes bonbons…   Leur texture délicate et granuleuse... Leur ampleur extravagante, qui rend inconcevable tout échappatoire à mes intentions…   Mes bonbons succulents…   Leur teinte rosée… Leurs contours enrobés d'une couleur café, que j’aime agrémenter de mon lait…   Mes bonbons… Les miens !   Leur douceur veloutée... Leur goût de miel dans ma bouche, quand tel un bambin affamé, je les dévore goulûment…   Mes bonbons indécents…   Leur tendresse innocente au repos, quand ils n’ont pas encore conscience de ma proximité…   Leur fermeté, quand au cœur de la nuit je les éveille, d’un geste furtif et sournois, et que tu ne peux plus fuir mon désir…   Mes putains de bonbons... Ils me manquent, quand tu me manques… Comme ton regard me manque…   Ton regard nuancé dans le mien, oscillant entre l'effroi et l'incontrôlable attraction, quand je les torture avec cynisme et cruauté... Mes bonbons !   Ils sont miens... Et ils me manquent, quand tu me manques… My good girl...   My baby pop...   So now, let me take you... To the candy shop… Then I'll let you lick... Your lollypop !     ____________________________________________________ ____________________________________________________ INSPIRATIONS MUSICALES :   Jacques Brel ▶ La valse à mille temps📻 ▶ Les bonbons📻   Serge Gainsbourg  ▶ La décadanse📻 ▶ Couleur café📻   Antonín Dvořák ▶ Symphonie du nouveau monde📻   France Gall ▶ Baby Pop📻   50 Cent ▶ Candy Shop📻   ____________________________________________________ ____________________________________________________ CRÉDIT PHOTO : Good Girl 佩玲 🍬🍬 ____________________________________________________ ____________________________________________________
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Par : le 16/03/25
Nouvelle couche, elle accepte les choses. On va concrètement passer à la suite, car je viens d‘envoyer un mail à l’avocat pour lancer la procédure de divorce. Et puis j’en ai parlé à mes collègues etc… je vais aussi devoir chercher une maison ou un appartement. Je me sens malgré tout soulagé, j’ai pu lui dire que je regrettais le mal que je lui ai fait par cette agressivité, qui était en fait tournée contre moi, parce que je m’en voulais de ne plus l’aimer, et de ne rien pouvoir y changer. Je suis heureux d’avoir pu lui dire ça comme ça, triste mais léger. Je sais que tout ça est fait pour le mieux, de tout le monde, même si on va probablement avoir du mal à tous le voir comme ça dans un premier temps. Je lui manque, ça me fait culpabiliser, mais je dois tenir, maintenir le cap. Je deviens la locomotive, c’est clair maintenant. Je suis à l’initiative, une bonne façon de gagner la partie.   Je viens de passer plus d’une heure au téléphone avec mon pote de fac, et on s’est vite compris, et comme d’habitude on s’est aussi marré. Ça fait du bien. C’est vraiment mon frère de coeur. Un truc assez fort. Il me manque, et en même temps je sais que même si on ne se voit pas pendant des lustres, on reprendra toujours là où on était, comme si rien n’avait bougé même si clairement, on grandit, on mûrit, et nos discussions aussi. Je sais que j’ai pris la bonne décision, celle qu’on ne regrette pas, je me sens déjà mieux. À quoi aurait servi ce sacrifice, à part à envoyer tout le monde au trou avec moi ? Et il le sait, lui, que j’ai une sérieuse tendance à l’auto-destruction, il m’en a parlé avant même que je lui avoue mon abus d’opiacés. Alors j’ai le sentiment d’un geste de vie, de bonheur, d’une bouffée d’oxygène, enfin. Une partie de moi se dit qu’elle ne devrait pas voir les choses ainsi, que c’est mal, mais c’est aussi cette conne de partie de moi qui aurait préféré tout voir brûler par pur sadisme. Je sors enfin de la boucle, du prédéfini, du conditionné, pour placer la trajectoire de mon existence vers la singularité. J’entrainerai mes enfants avec moi, et j’espère que leur mère pourra être fière d’avoir deux fils aussi formidables. Il n’y avait pas d’autre option, sinon l’amertume et le chagrin qui détruit le coeur, et qui m’auraient conduit à l’embrasement tôt ou tard.   J’allais écrire : ma vie commence vraiment, mais c’est bien évidemment faux. Elle a vraiment commencé le jour où je suis devenu papa, et un peu commencé quand même avec les copains avant ça. J’aime bien ce qu’a été ma vie dans l’ensemble : j’ai adoré être un immature provocateur excessif haut en couleur, même si ça cachait aussi une immaturité affective moins reluisante, plus sombre. J’ai découvert autre chose, plus introspectif, plus profond à travers mon expérience de la vie de couple, et même si au final ça n’a pas marché, je dois bien admettre que Madame m’a fait grandir, à plusieurs niveaux et parfois malgré elle. Mais elle a été là pour moi, elle m’a soutenu de diverses façon. Pas moi, du moins de son point de vue, mais c’est encore autre chose… et puis la paternité, le grand bon en avant, la révélation de la vie de père de famille, l’amour sans limites et sans condition. Et puis mon deuxième, que j’aime tout autant que le premier, mais qui est arrivé au moment où je commençais à sentir que je m’enfermais dans une impasse. Mais je n’ai rien à regretter, j’ai bien vécu. Enfin presque. Ou du moins la plupart du temps.   Aujourd’hui, je l’écris enfin : je suis papa, médecin et musicien. Rien de plus, rien de moins. Reste une catégorie à combler, mais c’est un tout autre sujet : qui on rencontre ? Comment ?   La peur revient, fugace, vite chassée. Ce sentiment de rester enfermé malgré la chute des murs, comme piégé dans sa propre tête, conditionné à être captif. Et les comportements stéréotypés qui se répèteraient, chassant une routine pour une autre, sans gagner grand chose au passage. et puis ce spectre, ce truc de se voir seul derrière un écran à bouffer des chips un samedi soir. J’essaie de balayer cette vision, mais elle revient, comme si cette solitude était un épouvantail, qui m’a jeté dans les bras de la première venue jadis. Je veux accueillir la solitude à bras ouverts, comme un besoin d’aller vers l’autre, mais comme il faut, pas parce qu’on a peur mais parce qu’on a envie. Et ça change tout, je crois, même si pour le moment ça ne change rien.   Je reste libre, libéré, maître de mon destin que je vois en grand. Je sais bien que je vais déchanter, tôt ou tard, mais peu importe, ce n’est pas une raison suffisante pour me brider, pour me rabaisser. J’ai fini ces choses là, je vais avancer maintenant, il n’est pas si tard finalement. Je me suis dit tout à l’heure en croisant un type grisonnant derrière le volant de son SUV, la mine amère, qu’il y a deux types d’humains qui cohabitent sur cette terre, du moins dans notre pays : ce qui ont à coeur de faire les choses comme il faut, pour eux et pour leurs proches ; et ceux qui avancent pourvu que les apparences soient belles. Les premiers divorcent la plupart du temps, les seconds ont des maîtresses. Les premiers sont heureux et répandent la joie autour d’eux, les deuxièmes la peur, la rancoeur et l’agressivité. Alors c’est peut-être biaisé, oui ça l’est à fond, mais merde, je suis content d’avoir compris à quel groupe j’appartiens réellement, et j’espère aider ainsi à faire changer Madame de groupe aussi. C’est une vraie rupture, nécessaire, et elle concerne aussi mon histoire familiale : j’ouvre une nouvelle page, je fais évoluer notre histoire vers quelque chose de plus authentique, porteur de sens, magnifiant les belles valeurs qui nous ont été transmises. Oui, maman, mémère, je suis fier de vous dire que je vais être heureux, enfin, et que c’est absolument grâce à vous, grâce aux sacrifices que vous avez fait car, voyez vous, même si votre histoire véhicule bien des douleurs, elle est traversée d’amour, du début à la fin, et c’est ce qui porte le reste, ce qui est plus fort que tout. Je vois tout ça, l’amour pour vos enfants, inconditionnel, illimité. Je vis ça aussi, et je me dis que non, la douleur, la peur ne sont pas plus forts. Parfois, brièvement, tout ça se gèle sous le blizzard de l’angoisse, mais ça ne dure qu’un temps, la chaleur de l’amour finit toujours par irradier. Je le sais, je le sens, je n’ai pas peur. Et je n’ai absorbé aucun psychotrope aujourd’hui, même si les restes d’escitalopram continuent de bloquer mes facultés orgasmiques.   Bref, recherche d’appartement, chiant mais nécessaire, ça avance doucement. Je me dis que j’ai de la chance d’avoir une bonne situation. Et je comprends que la vie n’a pas à être merdique pour moi, certainement pas….
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Par : le 16/03/25
Acte 10 le dernier Les soirée/séances se succèdent. Mais je te sent t'éteindre à petit feux. Tu semble être moins là, moins prendre de plaisir. Je te demande ce qu'il se passe. Tu m'explique que tu ne retrouve pas ces émotions, ces sensations folles. Ca manque de piments. Je t'avoue être un peu arrivée au bout de mes idées. Du moins pour le moment je n'en ai plus. Enfin plus rien de nouveau. La discussion revient sur ce coté fascination morbide que tu a. Les mots sont lâchés. Tu ose enfin me parler d'un coté inavouable. Tu prend un plaisir macabre à regarder des "Fantaisy Snuff". Bien curieuse fascination. "Tu a envie de vivre ce genre de chose Hannah?" "Oui, enfin non, enfin c'est excitant mais évidemment je ne souhaite pas mourir" La conversation s'arrête là. Les jours défilent, je pense, cherche, réfléchi. En suis je capable? Et si oui, quoi faire? Qu'elle mise en scène? Je passe de longues heures à chercher, me renseigner, tester, écrire, raturer, recommencer. Mon cerveau fume. Tu revient plusieurs fois à la charge me demandant si je t'ai oublié ou si je ne souhaite plus te revoir. Je te préviens, plusieurs fois, ca va être violent cette fois. Tu est vraiment sur? Certaine? Pas l'ombre d'une hésitation de ta part. Enfin, le dernier acte s'ouvre. Aucun de nous deux ne savons que ce sera le dernier. Mais il est l'heure. Le lieu est idéal. Une connaissance me prête une maison. Le cadre est sublime. Elle est au milieu d'un vaste terrain, sur lequel il y a des oliviers.   C'est un mas provençal typique. Les murs épais en pierre, des poutres en bois, un cadre chaleureux. Il faut en profiter. Cette maison sera en vente la semaine prochaine. Nous ne seront que tous les deux pendant les 24 prochaines heures. Tu arrive le vendredi soir. Tu n'a pour habille qu'un manteau long. Rien d'autre. Je te vois toute joyeuse, excité comme une puce. Si tu savais…. La porte d'entrée fermé à clés. Nue, un collier en cuir autour du cou, une longue bande de cuir descend dans le dos ou tes mains y sont entravées. Tu est prisonnière d'un jeu qui va devenir malsain. Je le sais, toi pas encore. Cela commence doucement. Quelques fessées dans le salon, des mains qui baladent. Puis je t'emmène dans une pièces loin, aveugle, pas de fenêtre, rien. Tu a encore le sourire. Il va vite partir. "Et bien, je ne mange pas ce soir maitre?" Je te met une gifle. Avec de la force, un peu trop. Elle te fais vaciller et tomber au sol. Pas le temps de souffler. Je t'attrape par le cheveux, te force à me regarder droit dans les yeux. "Je nourri pas les putes! Et puis à quoi sa sert, il ne te reste que 24h à vivre…." Je prend un martinet qui est posé sur la table à coté. Je commence à fouetter tes seins, zone épargné, jusque là. De plus en plus fort. Les maques rouges commence à apparaitre. Tu crie. Ca m'agace. Je pars et reviens avec un bâillon. "Au moins, avec ca tu la fermera!" Je te pousse sur un matelas qui traine à même le sol. Tu te tortille, ne veut pas me montrer tes fesses. Tant pis pour toi, la cravache atterrira ou elle atterrira. Ce sont tes cuisses qui prennent. Je frappe, toujours plus fort en te laissant du temps entre chaque coup. J'en ai marre, il est temps de me faire plaisir. Cette fois ci le rapport est violent. Pas de douceur, pas de préparation. Je te positionne en levrette, te tenant par les cheveux, je te pénètre d'un coup franc. J'y vais franchement. Les vas et viens sont sec, franc, rigoureux. Tu essaie de te débattre tant bien que mal, mais tu n'a pas vraiment le choix de subir. Je fini par éjaculer sur tes fesses… Je te place un plug dans le cul, et fixe une chaine à ton collier. La chaine est relié au mur. Elle est suffisamment longue pour que tu puisse te déplacer dans la pièce sans pouvoir atteindre la porte. "Tiens sale pute, ton pot…. si tu a envie de pisser." Je t'enlève enfin le bâillon. Tu crie, hurle, m'insulte…. M'implore de te détacher. Je te fixe du regard sans un mot. Cette fois ci, pas d'aftercare, pas de soins. Malgré mon envie, j'essaie de rester dans mon rôle et de donner le change. "Tu peux crier jusqu'à demain si tu veux, personne ne t'entendra." Sur ces paroles, j'éteins la lumière, je ferme la porte à clés et m'en vais. Je t'entends crier une bonne partie de la nuit….  Tu ne le sais pas, mais je suis prostré dans le salon. J'ai les mains sur la tete. Je me demande ce que je suis en train de faire. Je ne savais meme pas moi, que j'étais capable de pousser jusque là.    Je fais les cents pas, je lutte contre mon envie de venir te voir, te rassurer. La nuit passe, nous avons du dormir que deux heures. Il est 9 heures. Je rentre de la boulangerie. Je viens te voir. Je t'apporte une assiette dans lequel j'ai pris soins de couper en petits morceaux deux pains aux chocolats. Une grand inspiration, je remet mon masque de tortionnaire et j'ouvre la porte. A peine entrée, tu recommence à crier, je vais pour repartir. Tu commence à pleurer. "Pitié, me laisse pas, détache moi, c'est plus drôle le jeu" "Qui te dis que je joue là? Je t'avais prévenu que ce serait violent. Tiens mange et tais toi!" Pour la première fois, je vois réellement de la terreur dans tes yeux. J'ai beaucoup de mal à lutter contre moi meme, mon empathie, mon humanité. C'est un combat permanent dans mon cerveau. Je te fixe, a essayer de manger les mains dans le dos, assiette par terre. Fini je repars, en te laissant à nouveau dans le noir. Je viens te chercher une heure plus tard. Je te sort de la pièce, direction une chambre, une vrai…. A nouveau les rapport sexuel est rude. Cette fois, c'est sodomie partie. Je prend quand meme le temps de lubrifier avant. Durant le rapport, je tire sur tes cheveux, calque tes fesses, passe mes mains autour de ton cou et fait semblant de t'étrangler.   Terminer, je te laisse dans le lit…. toujours mains fixées dans le dos. La fatigue aidant, tu t'endors.   Je n'ai pas le courage de te réveiller. Tant pis pour ce que j'avais prévu. C'est pas grave. Pendant que tu dors, je range, nettoie, prépare le grand final. Je tremble à nouveau. J'ai un mal fou à me calmer moi meme. Je fais quoi? Je vais jusqu'au bout ou pas? Apres tout c'est toi qui m'a demandé de vivre des sensations folles. Je me décide, je viens te chercher. Cette fois, tu ne lutte plus, plus de crie, plus rien. On dirait que tout esprit de rébellion t'a abandonné. Je te pose un sac en toile de jute noir sur la tete, direction le garage. Tu reste debout immobile. Je m'active. Vérifie encore tout. Relis mes propres notes. Je vérifie encore. Ce semble parfait. Pas un mot, le silence est roi. Nous y sommes. Je passe le corde autour de ton cou, serre le nœud coulissant. Puis je saisie l'autre bout de la corde. Pas un mot entre nous. Je t'entends juste pleurer. Je tire et compte. 1..2..3..4... Je te regarde suffoquer, tes pieds effleurent le sol sans pouvoir t'offrir un point d'appuis. 5..6...7.. je lâche la corde, tu retombe au sol. Je prend un couteau, retire la corde, passe la lame sur ton cou, puis pivote celui ci pour présenter le dos et fait le geste de trancher sans vraiment appuyé sur ta gorge. Ca y est, c'est terminé, le jeu est fini. Dans un reflexe je jete le couteau loin. J'enlève tout, sac, collier, entraves. Tu me hurle dessus, me frappe avec tes points, puis t'effondre en pleure dans mes bras. Nous restons 2 heures ainsi. L'aftercare est vraiment difficile. Tellement que je décide avec ton accord de prendre 4 jours de congés pour rester avec toi. Tu semble vraiment affecté. Je ne te le montre pas mais moi aussi. C'est 4 jours ne sont pas de trop… Nous prenons le temps. Entre colère, discussions, câlins, pleure. Enfin je lâche prise. Tu me voir trembler, pleurer. Tu réalise que tu n'a pas été la seule à avoir était terrifié. La fin est proche. Nous conclurons, que c'etais extrême, beaucoup trop, pour toi comme pour moi. Il est temps de mettre un terme à cette relation qui pourrait réellement devenir dangereuse. Nous garderons un souvenir impérissable de ses moments, mais nous décidons d'un commun accords de ne plus se contacter, ni se voir. Le temps passe, j'affronte seul mes démons. Ce que je t'ai fais subir, j'en dors presque pas. Je me demande comment j'ai pu aller aussi loin…. 8 semaines plus tards tu m'enverra un dernier texto. Un forme d'adieu final. Tu me dira que tu va bien, que tu a tourné la page, que tu ne m'en veux pas et que tu part vivre à l'étranger…. Du miens, je rencontrerais la mère de ma fille d'ici quelques semaines. Je pensais alors quitter ce monde, cet univers pour de bon. Disclaimers: Nous etions en relation CNC, toutes les possibilités avaient évoqué avant meme si Hannah ne connaissait pas le déroulé pratique final, tout était consentie. J'ai egalement passé sous silence les séances trop classiques à mon gout. Pour ma part je me suis découvert une limite qui me fait peur, et dont je refuse aujourd'hui d'y retourner. Quand à Hannah, aux dernières nouvelle (il y a plus de 10 ans) elle est retourné à la vie vanille classique.
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Par : le 15/03/25
Chapitre 8 : L’Art de l’Attente   L’instant s’étirait, chargé d’une tension feutrée, délicate, mais bien présente. L’attente faisait partie du jeu, un fil invisible qui reliait chacun de nous dans cette pièce tamisée où les ombres dansaient sur les murs. Les deux femmes, agenouillées devant nous, conservaient une posture impeccable, leur respiration contrôlée, mais leurs regards trahissaient un mélange de curiosité et d’anticipation. Elles n’étaient pas que spectatrices ; elles faisaient partie intégrante du moment, absorbées par cette énergie qui flottait entre nous. D’un geste lent, je fis courir mes doigts sur l’accoudoir de mon fauteuil, mon regard ne quittant pas le sien. Elle me scrutait, cherchant à deviner la suite, suspendue à la moindre de mes réactions. L’homme assis à mes côtés, avec cette maîtrise qui lui était propre, observa la scène sans un mot. Il savait, comme moi, que précipiter les choses serait une erreur. Ici, tout reposait sur l’intensité du silence, sur les promesses muettes échangées d’un simple regard. Je tendis la main et effleurai son poignet du bout des doigts. Une caresse à peine perceptible, mais qui fit tressaillir sa peau. Un sourire discret effleura mes lèvres. Son corps réagissait avant même qu’elle ne prenne conscience de ce qu’elle ressentait. Elle ferma brièvement les yeux, inspirant lentement. Peut-être pour calmer cette fébrilité nouvelle, peut-être pour s’abandonner un peu plus à ce qu’elle ne comprenait pas encore tout à fait. Puis, d’un murmure à peine audible, je lui soufflai : — "Sens. Ressens. Ne pense pas." Elle rouvrit les yeux, ancrant son regard au mien. Un souffle plus court s’échappa de ses lèvres. À mes côtés, l’autre homme observa cette interaction avec un sourire léger, appréciant le spectacle silencieux qui se jouait. C’était un jeu de patience, d’exploration et de découverte. L’air vibrait d’une tension presque palpable, ce frisson imperceptible qui précède une découverte, un instant suspendu où chaque mouvement, chaque respiration devient une réponse à l’inexprimé. Je laissai ma main glisser lentement, effleurant son bras du bout des doigts, dessinant une trajectoire invisible qui la fit frissonner. Son regard était accroché au mien, hésitant entre la retenue et l’abandon, entre l’envie de comprendre et celle de simplement se laisser porter. — "Ferme les yeux." Elle obéit immédiatement, ses cils venant effleurer ses joues. Privée de la vue, elle devait maintenant se fier aux autres sens, à l’électricité de l’instant qui passait de l’un à l’autre, invisible mais omniprésente. À mes côtés, l’homme observait toujours avec cette sérénité contenue, témoin silencieux d’une scène où les gestes comptaient plus que les mots. Sa présence ajoutait une dimension supplémentaire à l’expérience : nous n’étions pas seuls, et c’était précisément ce qui rendait la tension plus intense encore. Je fis glisser mes doigts sous son menton, relevant doucement son visage vers moi. Elle retint son souffle un instant, comme suspendue dans cette attente infinie. — "Laisse-toi porter." Son souffle se brisa légèrement, trahissant une fébrilité qu’elle n’aurait peut-être pas admise à voix haute. Et c’était exactement ce que j’attendais. L’autre femme, toujours agenouillée, captait chaque nuance du moment, comme si elle se nourrissait de cette énergie qui circulait entre nous. Son propre corps semblait réagir en écho, dans cette attente partagée, où chacun jouait son rôle dans une symphonie silencieuse. Je tendis la main et effleurai son menton du bout des doigts, relevant doucement son visage vers moi. Son regard, brillant d’un mélange de curiosité et d’anticipation, se perdit dans le mien. Je ne dis rien. Les mots auraient été superflus. D’un léger mouvement, je lui fis signe de se lever. Un instant d’hésitation fit vibrer l’air entre nous, imperceptible mais bien présent. Puis, lentement, elle obéit, dépliant ses jambes avec grâce, s’élevant dans une fluidité maîtrisée. Je ne lâchai pas son regard, captant chaque micro-expression sur son visage. Son souffle s’accélérait légèrement, non par peur, mais par cette fébrilité propre aux instants où l’on franchit une frontière, où l’on laisse derrière soi le confort du connu pour s’abandonner à quelque chose de plus grand, de plus intense. Une fois debout, elle resta immobile, attendant la suite. Son corps, pourtant libre de tout lien, semblait déjà répondre à une attente tacite. Mon regard glissa jusqu’à la croix, massive, ancrée dans la pièce comme un autel d’exploration. Je fis un pas en arrière et, d’un simple geste, je lui indiquai de me suivre. Son souffle devint plus court. Elle me suivit. Arrivés devant la croix, l’air vibrait d’une tension à la fois douce et insoutenable. Elle se tenait là, droite, attentive, cherchant dans mon regard l’autorisation muette de ce qui allait suivre. D’un simple signe, je lui indiquai de se déshabiller. Elle ne bougea pas immédiatement, comme si elle savourait l’instant, mesurant pleinement la portée de ce geste. Puis, dans un mouvement lent et maîtrisé, elle leva les mains jusqu’à la première attache de son vêtement. Ses doigts glissèrent sur le tissu, le défaisant avec une douceur calculée, comme si chaque centimètre dévoilé faisait partie du rituel. Le tissu s’échappa peu à peu de son corps, caressant sa peau avant de glisser jusqu’au sol dans un murmure feutré. Elle resta là, exposée, vulnérable mais fière, ancrée dans sa posture, consciente de la force qu’il faut pour s’offrir ainsi à l’instant. Je laissai mon regard parcourir chaque courbe, appréciant la beauté de ce moment suspendu. Puis, doucement, je tendis la main et effleurai sa hanche du bout des doigts. Un simple contact, mais chargé de promesses. Elle frissonna, les yeux mi-clos, acceptant cette douce reddition. Alors, seulement, je pris les attaches de la croix et les passai lentement autour de ses poignets. Le cuir souple des attaches glissa doucement contre sa peau alors que je resserrai les lanières autour de ses poignets. Chaque boucle se referma avec précision, sans brutalité, mais avec cette fermeté calculée qui transformait une simple contrainte en une étreinte sécurisante. Je pris mon temps. Lentement, je descendis jusqu’à ses chevilles, mes doigts frôlant à peine la courbe de ses jambes alors que j’attachais les dernières lanières. Son souffle s’accéléra imperceptiblement, comme si chaque contact, chaque pression des sangles sur sa peau nourrissait l’excitation qui montait en elle. À présent, elle était là, offerte à la croix, les bras légèrement relevés, la peau effleurant à peine le bois massif. Ses paupières s’étaient fermées un instant, comme pour s’imprégner de la sensation de l’abandon, de cette perte de contrôle volontaire qu’elle m’accordait. Je reculai de quelques pas pour la contempler. La lumière tamisée dessinait des ombres mouvantes sur sa peau, accentuant la tension de son corps, le frémissement à peine perceptible de ses muscles sous l’attente. Je me rapprochai à nouveau. Mon souffle effleura la peau nue de son épaule, descendant lentement jusqu’à la naissance de son cou. Elle frissonna sous le contraste de ma chaleur et de l’air ambiant, un léger soupir lui échappant malgré elle. — "Comment te sens-tu ?" murmurai-je à son oreille. Elle ouvrit légèrement la bouche, cherchant ses mots, mais je ne lui laissai pas le temps de répondre. Du bout des doigts, je traçai une ligne invisible le long de son bras tendu, puis redescendis jusqu’à sa taille, frôlant la cambrure de ses hanches, testant les limites de son impatience. Le silence devint un acteur à part entière, ponctué uniquement par les battements de son souffle et le léger cliquetis des attaches lorsqu’elle remua imperceptiblement. Je laissai passer un instant, savourant la montée en tension. Puis, d’un geste lent, j’effleurai le creux de son dos du bout des lèvres. Elle bascula légèrement la tête en arrière, un frisson parcourant toute la longueur de son corps. L’air était chargé d’attente, chaque seconde s’étirant comme un fil tendu prêt à vibrer au moindre frémissement. Je laissai mes doigts effleurer la courbe de ses hanches, savourant la chaleur de sa peau sous mes paumes. Elle était là, suspendue entre abandon et fébrilité, son souffle court trahissant l’anticipation qui l’envahissait. Je fis un pas en arrière et tendis la main vers le martinet posé sur la table voisine. Les lanières de cuir souple frémirent dans l’air tandis que je les effleurai du bout des doigts, appréciant leur texture avant de les faire glisser lentement sur sa peau. Un frisson parcourut son corps. Je laissai les lanières descendre le long de son dos, effleurer la cambrure de ses reins, suivre la rondeur parfaite de ses fesses. Le contraste entre cette caresse presque fantomatique et la promesse d’un impact plus intense fit monter la tension d’un cran. Puis, sans prévenir, je levai légèrement le bras et abattis le martinet dans un mouvement fluide, maîtrisé. Un léger claquement résonna dans la pièce. Elle inspira brusquement, son corps tressaillant sous la soudaine morsure du cuir. Mais elle ne chercha pas à fuir. Au contraire, un soupir, à peine retenu, glissa entre ses lèvres. J’attendis un instant, observant la trace légère qui rosissait déjà sa peau. Puis je repris, alternant entre douceur et intensité. Une caresse des doigts suivant la courbe de son dos, une nouvelle frappe, cette fois plus appuyée. Ses poignets frémirent dans leurs attaches. Son souffle se fit plus court. Je m’approchai et posai mes lèvres contre sa nuque, embrassant la fine pellicule de chaleur qui s’y était formée. — "Respire… Ressens…" murmurais-je à son oreille. Mes doigts glissèrent sur la marque naissante de mes attentions, massant doucement la peau échauffée, avant que le martinet ne vienne de nouveau marquer son empreinte sur elle. Le ballet entre caresse et discipline se poursuivit, la pièce emplie de soupirs, de frissons et du dialogue silencieux entre nos corps. Les marques rosées sur sa peau formaient un tableau éphémère, chaque trait racontant l’histoire de ce moment suspendu. Mon regard glissa sur les contours de son dos, le frémissement de ses muscles sous l’attente, la tension délicieuse qui se lisait dans son souffle court et saccadé. Je laissai tomber le martinet au sol, le cuir touchant le parquet dans un bruissement sourd. Ma main vint aussitôt remplacer l’instrument, parcourant les courbes réchauffées par l’impact, effleurant d’un toucher apaisant la peau encore frémissante. Mes doigts dessinèrent des arabesques sur ses hanches, remontant lentement le long de son dos, redescendant en une caresse maîtrisée jusqu’à la naissance de ses cuisses. Un soupir glissa entre ses lèvres. Je m’approchai, mon torse frôlant son dos, mon souffle caressant sa nuque. L’excitation vibrait entre nous, palpable, électrique. — "Tu es magnifique ainsi…" soufflai-je, ma voix basse, murmurée comme une confidence. Mes lèvres trouvèrent la courbe tendre de son épaule, y déposant une empreinte brûlante. Mon autre main effleura l’intérieur de sa cuisse, frôla la chaleur naissante entre ses jambes, un contact à peine perceptible, juste assez pour éveiller un gémissement étouffé. Elle était là, attachée, offerte, et pourtant en pleine possession de ce qu’elle ressentait. Je pris une nouvelle inspiration, savourant l’instant. Puis, d’un geste lent, je détachai ses poignets, un par un, prenant soin de masser doucement ses poignets libérés. Ses bras retombèrent lentement de chaque côté de son corps, comme si elle reprenait possession d’elle-même. De l’autre côté de la pièce, le couple étranger se détachait lentement de l’instant qu’ils venaient de partager. Lui, imposant et sûr de lui, effleura la joue de sa compagne du bout des doigts, un geste à la fois possessif et tendre. Il ajusta sa veste, son regard glissant une dernière fois sur elle comme pour graver cette vision dans sa mémoire. Sa compagne, se leva avec grâce, replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille. D’un simple regard échangé, ils savaient que le moment était venu de partir. Lentement, je me reculai, prenant son menton entre mes doigts pour la forcer à lever les yeux vers moi. — "À genoux." Sans un mot, elle obéit. Je m’installai face à elle, observant son regard brillant d’un mélange d’adoration et de fièvre.       Chapitre 9 Offrande et Plaisir   Elle s’agenouilla avec une grâce parfaite, le dos droit, les mains posées sur ses cuisses, les paumes tournées vers le haut en un geste d’attente silencieuse. Ses yeux, levés vers moi, brillaient d’une lueur où se mêlaient désir et reddition totale. Un sourire effleura mes lèvres alors que je laissai ma main glisser le long de sa joue, traçant une caresse légère avant de venir effleurer ses lèvres entrouvertes du bout du pouce. Elle y déposa un baiser presque instinctif, un geste à la fois tendre et empreint d’une dévotion muette. — "Montre-moi…" murmurai-je, ma voix grave, vibrante d’anticipation. Sans quitter mon regard, elle obéit. Ses doigts agiles effleurèrent le tissu de mon pantalon, le défaisant avec lenteur, prenant soin d’exécuter chaque geste avec une patience délicieuse. Elle ne se précipita pas, savourant cette attente qui alourdissait l’air entre nous. Puis, lorsqu’enfin elle me libéra, ses lèvres vinrent effleurer ma peau, déposant d’abord un simple baiser, comme une promesse silencieuse. Je posai une main sur sa nuque, mes doigts glissant dans sa chevelure pour guider ses mouvements, lui imposant un rythme lent, maîtrisé. Elle comprit aussitôt et s’exécuta avec une précision exquise, alternant caresses et pressions, mêlant douceur et intensité, son souffle chaud enveloppant chaque mouvement. Un frisson parcourut mon échine alors que je laissai ma tête basculer légèrement en arrière, savourant la dévotion totale qu’elle m’offrait. Son souffle court, ses soupirs étouffés, le son humide et rythmé de ses attentions… tout contribuait à rendre cet instant exquis, presque irréel. D’un geste ferme, je repris le contrôle, guidant ses mouvements plus profondément, savourant chaque vibration, chaque frémissement qu’elle exprimait. Les secondes s’étirèrent, se transformant en une éternité brûlante. Je resserrai légèrement ma prise sur sa nuque, interrompant son geste. Elle releva les yeux vers moi, ses lèvres rougies et légèrement entrouvertes, son souffle irrégulier. — "Assez." Elle obéit aussitôt, se redressant légèrement, attendant la suite, docile et fébrile à la fois. Je me penchai vers elle, caressant sa joue du revers de la main avant de glisser un doigt sous son menton pour relever son visage vers moi. — "Viens ici…" Je me redressai lentement, tendant une main vers elle. Sans un mot, elle la saisit, se laissant guider, soumise et impatiente. Ses jambes nues frôlèrent le sol alors qu’elle se levait, son souffle encore court, la poitrine se soulevant légèrement sous l’émotion du moment. D’un pas mesuré, je la conduisis vers le lit. Les draps sombres contrastaient avec la chaleur de sa peau, offrant un écrin parfait à ce corps offert. — "Allonge-toi." Elle s’exécuta, s’installant sur le matelas, le regard toujours ancré dans le mien, attendant la suite, frémissante d’anticipation. Je pris un instant pour la contempler, savourant la vision de son abandon : ses cheveux épars sur l’oreiller, la cambrure de ses reins soulignée par sa position, la lueur fiévreuse dans ses yeux. Je m’agenouillai au bord du lit, mes doigts glissant lentement sur ses chevilles avant de remonter, frôlant la douceur de ses cuisses, s’attardant sur l’intérieur, effleurant cette chaleur naissante entre ses jambes. Elle tressaillit sous mon contact, un soupir à peine retenu glissant d’entre ses lèvres entrouvertes. — "Reste immobile." Mon ordre était clair, mais je savais qu’elle lutterait contre l’envie irrépressible de bouger sous mes caresses. Je poursuivis mon exploration, alternant entre baisers légers et effleurements du bout des doigts. Ma bouche suivit le tracé de son ventre, déposant des empreintes brûlantes sur sa peau frémissante, s’attardant juste assez pour éveiller chaque parcelle d’elle. Puis, d’un geste lent mais assuré, je séparai ses cuisses. Elle s’offrit totalement, son corps vibrant d’attente, ses doigts agrippant légèrement les draps sous l’intensité du moment. Je plongeai mon regard dans le sien une dernière fois, savourant cette reddition parfaite. Puis je poursuivis, prêt à lui faire perdre la raison. Je me redressai légèrement et saisis l’un des cordes de chanvre posés sur la table de chevet. Son regard suivit mon geste, brillant d’une lueur excitée, oscillant entre impatience et soumission. — "Tends-moi tes poignets." Sans un mot, elle obéit, levant lentement les bras au-dessus de sa tête. Son abandon était total, un mélange exquis de confiance et de désir brut. Je pris mon temps pour enrouler les cordes autour de ses poignets délicats, serrant juste assez pour lui rappeler qu’elle ne pouvait plus m’échapper, mais en veillant à ce que la soie caresse sa peau plutôt qu’elle ne la contraigne. Je nouai solidement les attaches au montant du lit, me reculant un instant pour admirer la vision qu’elle m’offrait. Elle était là, vulnérable et offerte, son souffle court, la poitrine se soulevant au rythme de son excitation croissante. Ses jambes étaient légèrement entrouvertes, son corps frémissant d’anticipation. Un sourire effleura mes lèvres tandis que je laissai mes doigts glisser lentement sur la ligne de son bras tendu, descendant le long de sa clavicule, explorant chaque frisson qui naissait sous mon toucher. — "Parfaite…" murmurai-je. Je me penchai sur elle, effleurant sa peau de mes lèvres, traçant un chemin brûlant le long de son cou jusqu’à la naissance de ses seins. Ma langue suivit le contour d’un sein, puis l’autre, savourant les gémissements à peine contenus qui s’échappaient de sa bouche entrouverte. Mais je n’avais pas l’intention de la libérer si vite de cette délicieuse torture. Je poursuivis mon exploration plus bas, parcourant son ventre d’une lenteur calculée, sentant ses hanches tressaillir sous mes baisers. Mes mains s’attardèrent sur l’intérieur de ses cuisses, caressant, effleurant, jouant avec l’attente qui l’envahissait seconde après seconde. Elle tenta d’arquer les reins, d’aller chercher plus de contact, mais ses poignets attachés la maintenaient prisonnière du plaisir que je lui imposais. — "Patience…" soufflai-je en frôlant mon souffle contre sa peau fiévreuse. Je voulais la voir se consumer sous moi, la sentir perdre toute retenue, la conduire au bord de la folie avant de lui offrir enfin l’abandon qu’elle désirait tant. Un sourire effleura mes lèvres alors que j’admirais la vision qu’elle m’offrait : attachée, soumise, frémissante sous l’attente. Ses poignets liés au montant du lit laissaient son corps s’étendre sous moi, vulnérable et terriblement désirable. Son souffle court trahissait l’anticipation, son ventre se soulevait légèrement sous l’émotion, et la tension dans ses cuisses légèrement entrouvertes m’invitait à poursuivre mon œuvre. Je posai mes mains sur ses hanches, la chaleur de sa peau contrastant avec la fraîcheur de mes doigts. Lentement, je les fis glisser sur ses cuisses, effleurant la douceur brûlante de son corps offert. Elle frissonna sous mon contact, tentant instinctivement de bouger, mais les liens retenaient ses gestes, l’obligeant à abandonner tout contrôle. — "Tu es magnifique ainsi… prisonnière du plaisir que je te donne." Elle gémit doucement, ses doigts crispés sur les cordes. Je poursuivis mon exploration, déposant une pluie de baisers le long de son ventre, savourant chaque tressaillement sous mes lèvres. Mon souffle chaud caressa l’intérieur de ses cuisses alors que mes mains les écartèrent un peu plus, lui imposant cette attente exquise qui la consumait déjà. Elle tenta de basculer les hanches vers moi, avide de plus, mais je m’éloignai légèrement, laissant mes lèvres frôler sa peau sans jamais céder à son impatience. — "Ne bouge pas…" Ma voix était douce, mais l’ordre clair. Elle se mordit la lèvre, retenant un nouveau gémissement, complètement soumise à cette torture exquise que je lui imposais. Puis, enfin, je décidai de mettre fin à son supplice. Mes lèvres effleurèrent l’endroit le plus sensible de son corps, déclenchant un spasme incontrôlable. Son dos se cambra violemment sous l’onde de plaisir, ses poignets tirant sur les liens tandis qu’un cri lui échappait. Je savourai ce moment, prolongeant l’extase avec une précision calculée, alternant douceur et intensité, la poussant encore plus loin dans l’abandon. Elle n’avait d’autre choix que de céder, prisonnière du plaisir que je lui offrais. Elle était là, offerte sous moi, le regard embrumé de désir, son souffle court et saccadé. Ses poignets tiraient légèrement sur les liens de soie qui l’entravaient, rappel subtil de son abandon total entre mes mains. Je me redressai légèrement, laissant mon regard parcourir son corps, savourant chaque frémissement, chaque soupir échappé de ses lèvres entrouvertes. Je voulais graver cette image en moi, la voir dans cet instant où elle se laissait entièrement guider, où l’attente était une douce torture qui la consumait. Je me penchai sur elle, capturant ses lèvres dans un baiser lent et profond, une promesse silencieuse de ce qui allait suivre. Ma main glissa le long de sa cuisse, la remontant doucement contre moi, l’incitant à s’ouvrir davantage. Nos souffles se mêlèrent, nos corps s’alignèrent, chaque mouvement mesuré, chargé d’une tension exquise. Elle gémit doucement contre ma bouche, impatiente, ses hanches cherchant à combler cet infime espace entre nous. Ses yeux accrochés aux miens, l’éclat fiévreux dans son regard me suppliant silencieusement d’aller plus loin. D’un geste lent, je vins enfin à elle, la possédant avec une maîtrise savamment dosée, savourant chaque réaction qu’elle me donnait. Son corps se tendit sous moi, un gémissement rauque lui échappant tandis que ses doigts se crispèrent sur les draps. Je restai immobile un instant, lui laissant le temps de ressentir pleinement l’instant, de s’abandonner à la vague de sensations qui la submergeait. Puis, lentement, je me mis en mouvement, trouvant ce rythme qui nous liait, qui nous unissait dans une danse aussi douce qu’intense. Elle m’accueillait pleinement, ses jambes s’accrochant à moi, son dos se cambrant sous chaque mouvement, son corps réclamant davantage. Je voulais la voir perdre pied, la pousser à cet endroit où plus rien n’existait hormis la fièvre de l’instant. Nos souffles s’accéléraient, nos gémissements se mêlaient dans une harmonie enivrante. Le lit grinçait sous notre élan, l’air chargé de désir et d’électricité. Ses poignets liés l’empêchaient de me toucher, et je voyais dans son regard ce mélange exquis de frustration et d’abandon qui ne faisait qu’alimenter encore plus la tension entre nous. Se brisant sous moi dans un cri étouffé, son corps se contractant violemment tandis que je l’accompagnais dans cet ultime éclat de plaisir. Lentement, je relâchai la pression, caressant doucement sa peau frémissante, déposant un baiser sur son front alors qu’elle reprenait son souffle, encore tremblante. Elle était magnifique ainsi, pantelante, marquée par l’intensité de notre étreinte. Je tendis la main et dénouai délicatement les liens de ses poignets, massant doucement sa peau rougie. Elle ouvrit les yeux, un sourire satisfait étirant ses lèvres. — "Encore ?" demanda-t-elle dans un murmure taquin. Je laissai échapper un léger rire avant de l’embrasser à nouveau. Le silence était ponctué par nos souffles encore saccadés, le poids de l’instant suspendu entre nous. Son corps, détendu mais encore vibrant, reposait contre moi, sa peau chauffée par notre union. Mes doigts effleurèrent lentement son bras, suivant les courbes de son épaule nue, traçant des cercles paresseux sur sa peau satinée. Elle bougea légèrement, se lovant un peu plus contre moi, le menton niché dans le creux de mon cou. Je sentis son sourire contre ma peau avant même de la voir lever les yeux vers moi. — "C’était…" Elle laissa sa phrase en suspens, un éclat malicieux dans son regard. — "Oui, c’était." répondis-je en glissant une main dans ses cheveux défaits, caressant doucement sa nuque. Elle ferma les yeux sous mon toucher, un soupir d’aise s’échappant de ses lèvres. J’aimais ces instants d’après, où le monde semblait s’être réduit à cette chambre, à la chaleur de nos corps encore entremêlés, à cette complicité silencieuse qui nous liait bien au-delà du plaisir charnel. Je fis glisser mes doigts sur son poignet, là où les liens avaient marqué légèrement sa peau. Un frisson la parcourut sous ce contact. — "Ça va ?" murmurai-je en embrassant l’endroit rougi par la pression de la soie. — "Mieux que ça…" souffla-t-elle en entrelaçant ses doigts aux miens. Ses lèvres effleurèrent mon torse, ses baisers légers, presque innocents, contrastant avec l’intensité de ce que nous venions de partager. Mais dans son regard, je voyais cette lueur qui ne demandait qu’à s’embraser à nouveau. Je laissai mes mains descendre le long de son dos nu, caressant sa chute de reins avant de la faire basculer sur le dos d’un geste fluide. Elle rit doucement, surprise par ce mouvement, mais ne résista pas. Ses cheveux s’éparpillèrent sur l’oreiller, son corps s’étirant lentement sous mon regard avide. — "Tu ne dors jamais après ?" murmura-t-elle avec amusement. Je me penchai sur elle, mes lèvres frôlant son cou avant de remonter jusqu’à son oreille. — "Pas quand je sais que j’ai encore tant à explorer…" Elle frissonna sous mes mots, son corps répondant déjà à cette nouvelle promesse. Son regard s’accrochait au mien, mi-provocateur, mi-suppliant, comme si elle oscillait entre l’envie d’être menée et celle de prendre l’initiative. Pourtant, allongée sous moi, le souffle encore chaud contre mes lèvres, elle ne bougeait pas. Son corps parlait à sa place. J’effleurai son bras du bout des doigts, traçant lentement un chemin invisible de son épaule à son poignet, redécouvrant chaque frisson qui naissait sous mon toucher. Elle réprima un soupir, mais je sentis ses doigts se crisper légèrement sur les draps. — "Tu cherches à me provoquer ?" murmurai-je en me penchant, mes lèvres frôlant à peine les siennes. — "Non…" souffla-t-elle, mais son regard disait tout le contraire. Un sourire effleura mes lèvres avant que je ne l’embrasse enfin, lentement, profondément, savourant cette façon qu’elle avait de se fondre contre moi. Je sentais son impatience grandir, ce besoin de sentir plus, d’avoir plus. Mais ce n’était pas encore le moment. Je laissai mes mains glisser le long de ses hanches, redécouvrant ses courbes avec cette lenteur qui la rendait folle. Sa peau était brûlante sous mes doigts, chaque caresse un nouveau supplice. — "Retourne-toi." Elle hésita une seconde, puis obéit, s’exécutant avec une soumission teintée d’impatience. Son dos offert à moi, la cambrure naturelle de ses reins, le doux frémissement de sa peau sous mon souffle… Je pris le temps d’admirer cette vision avant de déposer une ligne de baisers entre ses omoplates. Elle ferma les yeux, abandonnée à cette nouvelle montée d’excitation. Ma main se posa doucement sur la courbe de ses hanches, la maintenant sous moi alors que mes lèvres poursuivaient leur exploration, descendant le long de son dos. Elle gémit doucement lorsque mes dents effleurèrent sa peau, une morsure légère qui la fit tressaillir. Elle étouffa un rire nerveux, mais il se transforma vite en un soupir tremblant lorsque mes mains remontèrent, mes doigts effleurant à peine l’intérieur de ses cuisses. Sa respiration s’accélérant à mesure que mon toucher devenait plus insistant. Je laissai le silence s’installer un instant, créant cette attente exquise qui la laissait suspendue entre frustration et anticipation. Puis, lentement, avec une maîtrise absolue, je lui offris enfin ce qu’elle désirait… Et ce fut le début d’une nouvelle étreinte, plus intense, plus fiévreuse, où elle se perdit une fois encore entre mes mains.   La suite à venir prochainement ...
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Par : le 15/03/25
Acte 7 Le temps passe. Je n'ai plus vraiment de nouvelles de ta part depuis la dernière soirée. Un dimanche matin, tu sonnes chez moi. Je suis surpris, je n'attendais pas vraiment ta visite et ne pensais pas te revoir. Tu m'expliques avoir eu besoin de temps, de réfléchir, de savoir si tu voulais continuer ou pas. Nous passons le dimanche à parler de tout, nos vies vanilles, passions, hobbies, personnalités et sexe ainsi que de BDSM bien sur. De cette discussion, j'ai un peu avancé mais pas vraiment te concernant. Je ne connais toujours pas tes limites et tes envies. Cela dit, il en ressort des dualités profondes: * Que les châtiments, le sexe, ne t'intéressent pas sans qu'un contexte les justifient. Pourtant tu en parles beaucoup. * Une envie de te mettre en danger, d'avoir peur. Mais d'un autre côté, ce danger doit être "safe", comme si on devait te garantir une happy end. * Le contexte compte plus que les pratiques. Tu expliques que vivre des choses qui te répugnent/dégoûtent, peut être jouissif pour toi, en fonction du contexte. Vaste dichotomie, qui subsiste dans ton esprit. Des choses totalement contradictoires entre elles. Je prends le temps de la réflexion. Quelques jours plus tard, je te parle de "role play" et de CNC. Le role play te parle, tu aimes les jeux de rôle (jeux de plateau). Le CNC en revanche tu sembles ne pas savoir ce que c'est. Je te l'explique. Les deux idées semblent te plaire. Je te mets en garde, le CNC, il n'y a plus de garde fou, plus de safecode, ton consentement n'existe plus. Tu poses juste 3 "conditions". Pas de sang, pas de mise en danger de ta santé, rien de permanent (pas de tatouage, branding, etc). Le côté CNC te fait peur et te plaît. Ne pas avoir ton mot à dire est pour toi terrifiant et excitant. Le cadre, les règles, et les limites sont posées. Je te demande de me donner toutes les informations te concernant. Tes horaires, ton lieu de job étudiant, ce que tu fais, un double de tes clés. Dans le même temps, je cogite à des scénarios, en rédige quelques uns. De tout ce que je te propose, rien ne semble te faire spécialement peur tant que tu sais que c'est moi ton "bourreau". Tic, tac, le moment opportun arrive. Soirée filles/copines. Parfait. Je t'envoie un texto "Ne mets pas de vêtements auxquels tu tiens ce soir" Avec ton double, je m'introduis chez toi pendant que tu es en soirée. Je mets un peu de désordre, comme si quelqu'un avait fouillé. Le disjoncteur électrique? Dans le placard de l'entrée, derriere la penderie à manteaux. Parfait, cela te fera perdre du temps. Le ruban adhésif, les serflex, cagoule, le faux cutter sont prêts. J'ai plus qu'à attendre ton retour de soirée. La fin de soirée risque d'être mouvementée pour toi. Minuit moins dix, je vois ta voiture se garer, je t'observe de chez toi, dans le noir. Le temps que tu arrives, je coupe le courant, laisse la porte d'entrée légèrement ouverte, et file me cacher en enfilant ma cagoule. Je t'entends pousser la porte, le cliquetis caractéristique de l'interrupteur. J'observe le bon moment, la lumière tamisée du couloir aidant. La tête dans le placard, tu remets le courant en marche. Manque de pot, je suis derrière toi. Pile au moment où tu sors la tête du placard, je te saisis par les cheveux et place le cutter sur ta gorge. Apres avoir claqué la porte, je te déplace vers le plan de travail de ta kitchenette. Je te sens trembler, commencer à sangloter, sûrement de peur. Je dois trouver un moyen vite, de te calmer. Le but n'étant évidemment pas de réellement te traumatiser. "Si tu essayes de lutter, tu es morte" dis-je. Je me dis que tu connais ma voix, tu devrais donc savoir que c'est moi. Je te plaque la tête sur le plan de travail, te mets les mains dans le dos, passe le serflex, et le serre. Puis ruban adhésif sur la bouche. Je t'emmène et te jette dans ton lit. Les sanglots se calment, la peur avec. Je continue à faire comme si je cherchais quelque chose. Je fais mine de m'agacer de rien trouver. J'éteins à nouveau la lumière et allume la tv sans le son. La lumière de la tv fera office de lumière tamisée. Je fais mine de m'agacer de rien trouver..... Je vais dans la cuisine chercher un ciseau. La peur revient dans ton regard. Je passe la pointe plusieurs fois sans appuyer sur ton cou, ton nez, tes bras. "Arrête de bouger ou je te plante!" Tu marmonnes un truc. Je comprends pas. Puis je découpe avec le ciseau, déchire tes vêtements un à un. Tu es nue..... je sors mon téléphone de ma poche, je prends quelques photos de toi nue... tu essaies de te cacher. Une claque arrive sur ta jambe. "Ecarte!" Tu refuses, je reprends le faux cutter et le remets sous ta gorge. "Ecarte j'ai dit!" Tu le fais non sans mal. En maintenant le cutter, je continue comme je peux ma petite séance photo. Je finis par poser mon téléphone, et à jouer avec ton clitoris.... Celui-ci devient vite humide, les grognements étouffés se changent en gémissements. Je m'amuse, enfonce un doigt, puis deux, ressort jouer avec ton clitoris.... Bon ça suffit, assez joué. J'enlève enfin ma cagoule. Ton regard exprime le "je savais que c'était toi".... Je te souris, me lève, reprend mes affaires. Me dirige vers la porte. Je t'entends grogner, essayer de crier, de m'interpeller. Sans te regarder, je te dis "tu passeras la nuit ainsi, je viendrai demain te délivrer. Bonne nuit Hannah." Je prends le temps de bien fermer ta porte à clé et je m'en vais. Je reviens 1h plus tard, vérifier que tout va bien. Tu dors. Je m'installe à côté de toi, et je m'endors à mon tour. Le matin tu me réveilles à coup de coudes. "Bonjour Hannah, bien dormi?.... Ah oui tu peux pas répondre." Je te sen un poil énervée. J'en souris. "Arrête de t'énerver ou je te libère pas." Petit soupir de ta part. Je finis par couper le serflex et t'enlever le ruban adhésif. Tu passes de longues minutes à ronchonner, pester, pour enfin me dire que tu as vraiment eu peur au départ, que c'était intense, mais qu'avec le recul, c'était excitant et sympa à vivre. Acte 8 "Maître, je suis en manque.... bientôt 3 semaines sans sexe" Je te réponds pas mais j'en souris d'avance. Ne t'inquiète pas, j'ai prévu quelque chose pour toi à ce sujet. Le temps de tout mettre en place. Ça va venir. Je passe un temps fou, à essayer de reproduire des billets. De près on voit que c'est des faux, de loin en revanche, ça fera illusion. Ça y le jour J est arrivé. Tout est en place. "Hannah, habille-toi classe, et sexy ce soir! Je passe te prendre à 19h, sois prête. Ah et tu m'attendras dehors et sans parapluie" Il est 19h... Il pleut des cordes. Tu es dehors, devant ton batiment, tu m'attends, sans parapluie.... Je te vois, mais j'attends. Petit plaisir sadique, de te voir comme une conne dehors sous la flotte. Bon 19h08. On va être en retard. Je viens enfin te chercher. "Ah ben merci de m'avoir fait attendre sous la pluie.... " "Pardon? Tu peux répéter Hannah?" "Mes excuses Maître. Bonsoir" "C'est mieux" Nous prenons la route, direction un hôtel. Plutôt chic. Tu me suis, sans rien dire. Tu sembles un peu surprise qu'on ne passe pas par l'acceuil. Chambre 259.... Chambre 259.... Elle est ou cette putain de chambre. Ah ça y est! Nous y sommes. Je tape, un homme nous ouvre, et nous fait entrer. On se salue. L'homme a la cinquantaine, plutôt ventru, un regard libidineux. Tu ne le sais pas, mais il s'appelle Thierry. C'est un habitué d'un club échangiste que je connais depuis un moment déjà. "Hannah enlève ton manteau. Et viens te mettre à genoux, là" au milieu de la chambre face au lit. Thierry a commandé à manger. Mais toi tu n'y as pas droit. Nous mangeons. "Elle ne mange pas?" "Elle mangera quand elle aura fait son devoir, pas avant." Tu nous regardes manger, et parler de toi comme si tu n’étais pas là. Le repas est fini. Thierry se lève et va chercher sa sacoche et me tend les "faux billets". "On avait dit combien? 700?" "700€ oui.... Enfin si tu veux la totale?" "Parfait, tiens!" Tu nous regardes, surprise, médusée, tu sembles à la fois comprendre et ne pas comprendre ce qu'il se passe ou va t'arriver. "Hannah, je viens de vendre tes services à Monsieur. Sois gentille, et fais ce qu'il te dit." Je reste assis à table à vous observer. Thierry se déshabille tout seul et va s’allonger dans le lit. "Debout, et déshabille-toi ma petite" Un moment d’hésitation, je claque un doigt pour te rappeler à l'ordre, et tu te lèves pour te déshabiller. Tu regardes Thierry. A la moue que tu fais, il ne semble pas vraiment à ton goût. Âgé, ventru, poilu, sexe court mais épais. Une fois nue, Thierry t'invite à le rejoindre dans le lit. "Viens ma petite, viens m'embrasser et me caresser" Tu y vas, à reculons comme on dit. Tu fais sans faire, on sent réellement que tu ne prends aucun plaisir. "Va falloir mettre du tiens ma mignonne, c'est nul là" Je sens que ça va pas. Je me lève, te sors du lit sans ménagement. "Hannah, c'est bien ce que tu voulais vivre non? Me force pas à devenir méchant. J'ai vendu tes charmes, tu n'as pas le choix!" Thierry nous regarde, avec une demi-érection. Je te dis d'y retourner d'un signe de la tête. Retour dans le lit, retour aux caresses. "C'est bien, ma mignonne, c'est mieux. Suce-moi" Tu descends et commence ta fellation. Tu ferme les yeux, comme si tu imaginais être avec quelqu'un d'autre. Thierry est doux, il ne cherche pas à te forcer en gorge profonde. Ça semble te ressurer. Petit à petit, tu y mets plus d'entrain. Thierry te stoppe, te pousse sur le côté du lit, puis descend te faire un cunnilingus. Lui en revanche semble prendre un plaisir certain à déguster ta petite chatte. Un peu trop, il semble surexcité... Le moment fatidique arrive. Thierry met un préservatif. C'est l'heure de passer à la casserole. Il a côté tres doux, essaye de ne pas te brusquer. Les va-et-vient sont lents, amples. Puis il s'accélère. Les coups de rein sont plus secs, plus durs, on entend vos corps claquer à chaque coup. Je vous regarde, assis dans mon fauteuil. Thierry semble s'emballer. Il ne tiendra pas longtemps sur ce rythme. Chose qui devait arriver, arriva. Thierry, dans un grand râle de jouissance, se bloque au fond de ton vagin. Ne bouge plus 1 seconde ou 2 puis se retire et s'effondre sur le lit. Tu demandes pas ton reste, sors du lit, et vas dans la salle de bain. Tu ne le vois pas mais Thierry se rhabille et quitte la chambre. Il l'a payée. Nous pouvons y rester. Je te retrouve, prostrée dans la salle de bain. "Hannah?" "Quoi?" "Comment te sens-tu?" "Sale, salie, dégueulasse, souillée, meurtrie...." Je souris. Te relève. Te dis que je suis fier de toi. Que moi, je n'aurais jamais eu le courage de faire ce que tu viens de faire. Je vois un petit sourire de fierté poindre. Je t'entraîne à nouveau dans la chambre, et dans le lit, on parle, fait notre aftercare. Je t'explique que tout était faux et que je connaissais Thierry, d'où ma confiance en lui. La soirée n'est pas finie, à mon tour de me faire plaisir..... Je vais terminer de combler ton manque. Acte 9 Nous sommes le lendemain. Le téléphone nous réveille. Nous n'avons pas commandé le petit-déjeuner. Je suis ailleurs. Physiquement, je suis là, mais mon esprit est absent. Tu le sens, tu me demandes à quoi je pense. Je ne réponds pas. Une deuxième fois, tu me poses la question. Je te réponds être en proie aux doutes, aux questionnements, suis-je allé trop loin? Trop vite? Ça te fait éclater de rire. Tu me dis que jusque-là, tout va bien. Tant que je suis là, tu te sens en sécurité, peu importe quoi. Ça me rassure. Mais ton calvaire va se durcir. Cinq jours plus tard, nous sommes invités. Cette fois-ci, tu sais que tu sera vendue. Je te l'explique. Oui je sais encore.... Jour J. Nous arrivons devant une somptueuse villa surplombant les hauteurs de Nice. A l'entrée, il n'y a que des voitures de luxe. Seule ma Clio Williams fait tache. Soit. On me remet un masque type "carnaval de Venise" à mettre. C'est jamais pratique à mettre ces machins. Encore moins à respirer avec. Toi, on te donne un numéro. Nous rentrons dans le salon. Il est bondé. Environ une cinquantaine de personnes sont présentes. Quelques amuse-gueules, du champagne (ce que je déteste) à boire, puis on vient te chercher. C'est l'heure de la vente des esclaves. Tu disparais pour réapparaître nue sur le podium avec le numéro autour du cou. Un à un, vous êtes appelés par votre numéro. Soumises/Soumis même combat ce soir. Pas de différence. Vous défilez chacun votre tour, puis en ligne vous venez vous positionner sur l'estrade centrale. Tous les convives peuvent voir, regarder, vous examiner, une seule règle. On touche qu'avec les yeux. De mon côté, je sais déjà qui va t'acheter. Elle te reluque de la tête aux pieds. Elle ne regarde que toi. Elle s'appelle "Mercedes". Elle est argentine, a le regard froid, le visage inexpressif, elle a une attitude de matonne de prison. C'est mon ancienne Maîtresse. Les enchères commencent. Peu de doutes concernant ton cas. C'est fini. Elle a remporté la mise, tu es à elle pour une heure environ. Elle t’emmène dans une chambre/salle. Elle te fixe les mains à un pilori qui est lui-même attaché à une poulie au plafond. Je te sens trembler, être pas bien, faire une crise d'angoisse. Tu me cherches du regard mais me trouves pas. Moi je te vois. Je viens, demande à "Mercedes" 3 mins avec toi. "Hannah, du calme, respire. Tout va bien. Je connais Mercedes, elle sait ce qu'elle fait. Elle a 30 ans d'expérience derrière elle. Fais-lui confiance, fais-moi confiance. Tu sais que je suis là et que je t’abandonne pas." Ça va mieux. Enfin un peu. Mercedes commence avec une Badine. Elle marque tes fesses, tes cuisses, tes mollets, ton bas-ventre. Cela te semble interminable et insupportable. Mais tu fais de ton mieux pour subir. Elle te détache, t’emmène sur une table. Tu y es fixée par les mains et les pieds. Jambes ouvertes, sexe offert. Elle enfile des gants en latex, je sens à nouveau que tu vas craquer. Je viens. Je te murmure que ça va, tout va bien. Respire. Tu es entre de bonnes mains. Elle t'explique qu'elle va te "coudre la chatte". Je te caresse la tête, je reste présent. Ça va aller Hannah. Elle commence, le passage de l'aiguille se fait non sans mal, mais tu essaies de gérer. Un point après l'autre, te voilà suturée. Chatte fermée. Nous admirons le travail. Tu restes allongée à ne rien dire. "Gap, tu l'as bien formée, bravo. Beaucoup auraient renoncé." "Merci Madame". "Je te laisse le soin de couper les points, voici le ciseau médical. Fais attention. Et voici des compresses stériles au besoin" Je retire un à un les points. Pose des compresses sur les quelques gouttes de sang qui perlent. Je te détache les mains et te tends un sextoy. De quoi enfin prendre un peu de plaisir. Fini, tu me le rends. Mercedes te regarde dans le fond de la pièce. Je te détache, et te demande d'aller dire merci. "Merci Madame" "De rien jeune fille." Nous repartons dans le salon. Tu te rhabilles. "Hannah veux-tu rester?" "Non trop d'émotions pour ce soir, rentrons" Retour chez moi. Poches de glace et bombe de froid. Ça va. Tu sembles bien résister à la douleur. J'examine à nouveau ta chatte. Ça va, plus de sang. Nous pouvons faire notre aftercare et dormir.
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Par : le 14/03/25
je partage ici des souvenirs de mes expériences . celle-ci c'est passée avec ma dominatrice la plus agréable et la plus perverse que j'ai eu . un aprés midi , Madame m'appelle : demain aprés midi au sauna le x , 15h devant la porte !!! le ton dit bien qu'il n'y a pas de contestations possible donc je vais obéir . j'ai 30 ans , sportif , musclé , depuis peu entiérement lisse et aux ordres et caprices d'une dominatrice parfaite ! ferme , fondante , vicieuse , joueuse , ne détestant pas le plaisir sexuel avec son soumis , bref une dominatrice parfaite . le jour J , je rentre a sa suite dans le sauna , direction le vestiaire , mise a nu , pose du collier et de la laisse , la cagoule , les pinces ( qu'est ce qu'elles font mal celles la , une nouvelle trouvaille de Madame ) dés que la douleur monte mon sexe gonfle , se tend , ma circoncision apparait aux yeux de tous ( amusant comme un sexe circoncis attire les regards et la gourmandise ) les spectateurs car Madame a lancée une invitation : 3 couples et une poignée d'hommes seuls qui attendent le spectacle en se masturbant s , parfois les uns les autres . Madame m'installe , poignés liés dans le dos , barre d'écartement aux chevilles , a genoux sur une banquette la téte contre le mur , cambré pour m'ofrir aux regards inquisiteurs des spectateurs . Madame commence par jouer avec les pinces et m'arrache les gémissements de petites chiennes qu'elle adore , elle m'interdit de crier mais pas de gémir et je lui donne satisfaction , qu'est ce que j'ai mal !!! mais elle adore alors !!!! puis vient la fessée , trés vite mes fesses chauffent , rougissent , gonflent , je vais avoir du mal a aller travailler ensuite , 1 heure de voiture les fesses en feu , je vais chanter mon bonheur d'avoir servi Madame ! et dire que je ne peux pas le partager , tout cela est secret , mais j'aimerais tellement pouvoir le crier au monde , " j'ai mal parce que ma Maitresse me torture !! " je suis la , des hommes s'approchent , j'ai dis a Madame que je n'acceptais pas les hommes , soumis je suis mais a une femme uniquement . elle les laisse s'approcher , s'assoir a coté de moi et me carresser ! je ne veux pas mais je n'ai pas le droit de parler !! ils carressent mon dos , mes reins , mes seins , tirent sur les pinces , tordent mes seins , glissent vers mon ventre , mon pubis , mon sexe , mes fesses , l'un écarte mes fesses et glisse un doigt sur mon oeillet , je me contracte mais Madame empoigne mes testicules et tire vers le haut , je me cambre et ouvre ma fente ! elle arréte la pénétration , le plus audacieux se met a genoux derriére moi et léche mes fesses , ma raie et léche mon orifice en tirant sur mes testicules , je ne peux pas me fermer et je subis cette caresse , comme un viol , je sens sa langue qui s'enfonce et je cris " non , pas ça " . Madame le fait se relever et le renvoie en spectateur , il bande comme un taureau , il est super monté , heureusement que Madame l'a arrété sinon il m'aurait défoncé ! je vois les couples qui s'affairent , les femmes se penchent sur leurs hommes et les sucent goulument , les hommes seuls se masturbent , certais en sucent d'autres , j'en vois un qui se fait prendre par le taureau , le spectacle a l'air de plaire ! une femme vient derriére moi et me caresse , joue avec mon sexe , me fait gémir car ses caresses sont précises , au bon endroit , je sens monter mon excitation , elle joue avec mes testicules qui pendent , les soupése , les malaxe , les triture , je gémis car je suis extrémement sensible de cette partie et je ne supporte pas ces douleurs ! Madame observe , guide la femme , lui indique mes points sensibles , c'est une novice dans la domination et je suis son sujet d'étude , son mari la regarde en souriant ( peut étre est il content de ne pas étre le sujet !!! ) pendant ce temps la je gémis sous les attentions de la dame ! j'entends les cris de jouissance des spectateurs , a mon avis le sperme coule a flot , tout le monde ou presque a l'air de prendre son pied , Madame me fait assoir , je léve la téte et elle s'approche au dessus de moi , viens poser son sexe sur mon visage et m'ordonne de la lécher !!!!! je lui donne aussitot satisfaction , c'est tellement rare que je déguste ce moment , ma langue va et vient , je fouille son sexe , je fais monter son plaisir , je sens ses reins qui s'animent , son sexe ruisselle dans ma bouche , je déguste le plus possible de sa mouille , elle se frotte sur mon visage , mon nez s'enfonce dans sa chatte et elle jouit , a grands cris , je sens un liquide qui gicle sur mon visage , dans ma bouche , sur mon corps , elle urine a grands jets , elle se vide en jouissant sur moi , je déteste le gout , l'odeur et le fait que ça soit un déchet mais j'adore boire l'urine de Madame , elle prend soin de boire du lipton et sa production est légérement parfumée a la péche , un régal , j'en avale le plus possible ! puis Madame , se relave et interpelle les spectateurs , les invite a venir m'arroser , ça n'était pas prévu du tout , la participation d'inconnus , je n'avale pas leurs urines , j'ai toujours un doute sur l'hygiéne alors la , des hommes qui viennnet de se sucer , d'avaler le sperme de leurs voisins , qui viennent de se prendre entre eux , JAMAIS ! je reste assis téte basse les yeux fermés , bouche fermée , et je sens les jets qui viennent frapper ma téte , mon corps , ce n'est pas possible ils ont tous envie d'uriner , je ruisselle , c'est humiliant au possible , étre un urinoir public , j'entends les éclats de rire gras , les hommes qui s'esclaffent , m'appelle la lopette , le sac a pisse , ils s'en donnent a coeur joie et je me tais , je subis ! puis la femme de toute a l'heure s'approche , vient au dessus de moi , Madame m'ordonne de lever la téte , d'écarter la cagoule sur mon nez et d'accepter l'offrande de la femme , je secoue la téte pour dire non , la gifle tombe , énorme , je crois que je vais une fois de plus me soumettre et faire ce que Madame ordonne , je penche ma téte en arriére , ouvre la bouche , la femme applique son sexe sur mes lévres , Madame m'ordonne de la lécher , de la faire jouir et de recevoir ma récompense ! devinez ce que j'ai fait ?????
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Par : le 13/03/25
bonsoir aux courageux qui liront ce premier pavé, il y en a d'autres en stock si jamais un ou deux curieux se montrent intéressés.... je ne sais pas vraiment pourquoi je partage ça ici, ce texte n'a rien de BDSM, il se trouve juste que, chronologiquement, l'adhésion (toute relative) à cette communauté a été l'un des derniers trucs que j'ai fait avant de prendre l'initiative de divorcer... tout est écrit de façon brute, initialement comme un journal intime, non retouché à quelques mots près.      " Un bail que je n’ai plus médité, ou écrit. Ces derniers temps, c’était retour sur bdsm.fr et surtout backgammon, à fond. Et puis je préparais la fin de mon mariage. Je crois bien que ça vient tout juste de se produire, pour de bon. Je lui ai dit assez calmement que même la meilleure version d’elle-même ne réussirait pas à me rendre heureux, du moins j’en suis convaincu. Que ce n’est pas une question de choses que l’on fait ou pas, d’ajustements ou d’efforts, non. Pour moi, il y a simplement erreur de casting, et je le sais au fond de moi depuis un moment. Ce soir où j’ai pris la décision de la demander en mariage, seul, défoncé au DXM pendant qu’elle était de garde, je me souviens très bien une grande peur, un gros doute, vite évacué par les propriétés de la drogue. Une fois la décision prise de la demander en mariage, mon cerveau s’est démené pour m’expliquer combien c’était génial et combien c’était sensé se passer comme ça. Pas un mot sur le fait qu’en fait, j’étais juste en train de profiter de son absence pour me droguer, comme toute personne heureuse en ménage le ferait... Il y a peut-être eu des moments où je me suis dit que j’étais trop malheureux de ne pas l’avoir à côté de moi, donc je me droguais pour oublier. Mais alors comment expliquer que je me droguais, plus tard, avant de rentrer la retrouver à la maison, à la fin de ma journée de travail ?   Ça commence dans la drogue, ça finit dans la drogue, sauf que là, il n’est pas question que l’histoire dans sa globalité, c’est à dire la mienne, se termine mal. Ça finit, ce mariage finit au moment où je franchis la ligne rouge de l’intraveineuse. Je sais que quelque chose cloche sévèrement, et petit à petit je vois les choses de plus en plus clairement. Maintenant, je ne me drogue plus, et je me sens triste mais calme. J’ai quand même pris un Xanax pour éviter le retour de bâton, mais je me sens mieux. La cage dans laquelle j’étais enfermé vient de s’ouvrir, je sais que je vais pouvoir marcher vers ma liberté. Ça fait peur, mais l’air sur ma peau me pousse à me concentrer sur ce qui arrive maintenant, pas à paniquer au sujet de ce qui pourrait se produire dans un mois, un an ou un siècle.   Pour la première, non deuxième fois de ma vie, je suis là, maintenant. J’ai pleinement conscience de ce qui se passe, je me sens prêt, confiant, je sais que je vais grandir encore un peu, comme un arbre qui s’étoffe à chaque saison. Et bien là, un hiver s’achève. La première fois, c’était juste la nuit avant la naissance de mon fils aîné, je sentais que j’étais parfaitement prêt à l’accueillir. Je n’ai jamais ressenti ça à aucun autre moment de ma vie : c’est à dire savoir que quelque chose d’important se passe maintenant, et qu’on a les épaules pour gérer ça au mieux. Cette fois, c’est moi qui décide, d’une certaine façon, ça rend les choses peut-être plus simple niveau timing. Ça a peut-être un rapport avec le backgammon aussi, avoir l’initiative, gérer le timing, bien étudier les positions, ce genre de truc…   Je ne m’attendais à rien d’autre que d’être accusé d’être un lâche égoïste et ingrat ; mais je crois que j’avais devancé l’attaque en me l’auto-infligeant des milliers de fois, alors j’ai encaissé sans trop broncher, sans hausser le ton, sans même vraiment relever. J’ai essayé d’être apaisant, en lui répétant que si je pense ne plus avoir envie de vivre avec elle, y compris sa meilleure version (actuellement enterrée sous cinquante couches de névroses en tout genre) ce n’est pas un jugement de valeur, ce n’est pas que je l’estime indigne de moi. Mais évidemment, ce n’est pas ce qu’elle a entendu. Sans surprise, les angoisses matérielles sont venues en premier, peut-être à égalité avec la garde des enfants, comment je vais pouvoir gérer seule ? Problème résolu en amont : tu garderas la maison,et tes parents resteront tes voisins et pourront t’aider avec les garçons.   Et puis voilà que finalement, elle revient. Elle devait dormir chez ses parents pour se calmer les nerfs, mais son père lui a pris la tête avec des détails matériels à la con, ce qui l’a fait encore plus paniquer. Me revoilà à peu près là où tout à commencé à s’achever : la salle de jeu / studio de musique. C’est ici qu’après les intraveineuses, je me suis posé, ai écrit, ai joué de la gratte, bien sûr. C’est là que j’ai passé la nuit avec mon pote d’enfance à parler d’elle, de notre divorce imminent, tout en prenant une énorme cuite ponctuée de jams appréciables. C’est là aussi que j’ai médité. Dans cette pièce, on a aussi pas mal joué avec les enfants, mais c’est surtout ma salle de jeu, que je vais devoir quitter d’ici quelques temps. M’y revoici, presque divorcé ce soir, pour ce que ça change…   C’est aussi dans cette pièce que j’avais dévoré les deux biographies de Jimi Hendrix peu avant de tenter une approche purement sexuelle, lorgnant sur le BDSM dans le but de sauver mon mariage : un échec cuisant. Je crois que c’est Jimi qui m’a poussé à agir, alors bien sûr qu’il y a une part d’excitation à l’idée d’entrevoir les prémices d’une vie de célibataire qui imiterait sa courte et brillante existence, mais je sais bien qu’il faut que je descende d’un cran, car ça risque de ne pas être vraiment ça… respire mon petit, demain sera un autre jour, dans un sens plus profond et plus vrai qu’il n’a jamais été de toute ta vie ou presque.   J’ouvre un oeil et un mélange de désir sexuel et de positions de backgammon et de videau secouent mon corps et mon esprit à nu. Il est trop tôt pour me lever, alors je débute cette nouvelle journée par deux matchs en douze points contre un australien muet : deux belles défaites, pas bien glorieuses ni chanceuses. J’avais pensé à me branler sinon, ça aurait peut-être mieux valu, qui sait ? Ou bien aller prendre ma douche pour débuter cette nouvelle vie frais, mais il faut croire que tout ne peut pas changer d’un coup. Traîner, faire les choses nécessaires au dernier moment, se goinfrer de tout ce qui fait envie d’ici là, jusqu’à plus faim et plus si possible. Mais ne pas reculer pour autant devant l’inévitable, même si toujours ou presque il est abordé en retard, je ne suis pas du genre à fermer les yeux. J’ai mis longtemps à comprendre que j’ai câblé mon cerveau à l’inverse de ce que maman disait : « plus vite fait, plus vite tranquille ». J’ai passé ma vie à élaborer un slogan alternatif du style : « la vie c’est chiant, le jeu c’est bien : n’agir que si c’est strictement nécessaire et si personne ne le fait à ma place ». Je sais, il va falloir travailler la formule, et puis en fait probablement aussi un peu trouver un compromis entre les deux, ce que je croyais que serait mon mariage, mais ce n’est pas parce qu’on est un adolescent insolent, joueur et provocateur qu’il faut se mettre en couple avec une personne rigide, obsessionnelle de l’organisation et pisse-froid. Elle appréciera si un jour elle lit ces lignes, je souhaite pour elle me tromper, mais il me semble qu’elle n’a pas su vraiment développer sa compréhension de ce qu’elle est au fond, alors elle à travaillé sur la forme, celle d’une « adulte » responsable, organisée, travailleuse, « parfaite » d’après les critères de son père. Ce qu’elle veut vraiment, ce qu’elle aime vraiment ? Je n’en sais rien, elle n’en sait rien, mais j’espère qu’elle le trouvera un jour, pour elle évidemment, mais aussi et surtout pour nos enfants. En tout cas, j’en suis arrivé à la conclusion que je n’aurais jamais la réponse à cette question, enfin que je n’aurais jamais la patience d’attendre sa réponse, ni la vitalité pour encaisser émotionnellement tout ce qu’implique de vivre quelques années de plus avec une personne à ce point à la dérive. Et que si quelqu’un peut bien l’aider à trouver ce qu’elle veut et ce qu’elle aime, vraiment, ce n’est pas moi. Et que de toute façon, ça ne me conviendra pas vraiment, enfin je crois. Il se pourrait aussi que je sois responsable d’une certaine manière de la dégradation de son état, par mon attitude intransigeante, distante et fermée qui rappelle fortement celle de son père. C’est juste que, malgré les doutes qui persistent, je suis plus qu’absolument certain d’une chose : on est pas éternel, et je n’ai pas le temps ni les moyens d’attendre dix ans de plus pour passer d’une probabilité de victoire de 0.1% à 1%, car je n’envisage pas vraiment de gain supérieur au bout du compte, même avec les meilleurs dés possibles… il faut laisser tomber cette manche, beaucoup trop à perdre et pour ainsi dire rien à gagner, et je m’approche du point du match où il faut devenir nettement plus agressif si on veut espérer renverser la tendance, viser le gammon doublé. J’ai beau forcer le trait, je n’arrive pas à trouver ces analogies entre la vie et un match de backgammon cucul. Je trouve ça beau, profond et incroyablement vrai. Il faut peut-être vraiment que je revoie ma psychologue dans ce cas…."   
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