La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 30/05/25
J'avais 25 ans…" (Suite de "Certaines personnes pensent que les hommes sont insensibles…") À 20 ans, j’étais un étudiant un peu bohème, amoureux et insouciant. Ce fut l’été des grands départs : un vieux combi Volkswagen bricolé avec amour, ma compagne, ma petite sœur de 17 ans et mon meilleur ami. Direction la Grèce, via l’Italie, Venise, la côte adriatique, Thessalonique, Athènes… des paysages inoubliables, des galères mécaniques, des moments suspendus hors du temps. Ma sœur et mon meilleur ami sont tombés amoureux pendant ce voyage. Ils sont toujours ensemble aujourd’hui, mariés. De mon côté, tout semblait aller pour le mieux avec ma compagne, jusqu’à ce qu’elle commence à vomir sur le chemin du retour. Verdict du médecin : elle est enceinte. Nous étions jeunes, étudiants, pas prêts. Ce fut notre décision à tous les deux : l’IVG. Ce n’était pas la première fois pour moi. J’avais déjà vécu cela auparavant. Mais cette seconde fois a laissé une empreinte plus profonde, plus sombre. Nous avons continué notre vie malgré tout. Mariés, diplômés, nous sommes partis enseigner à Tlemcen, en Algérie. J’y faisais mon service militaire sous le statut de coopérant. Là-bas, nous avons décidé d’avoir un enfant. Après plusieurs fausses couches, Anne tombe enceinte. Nous rentrons en France pour les vacances d’été, elle en est à quatre mois et demi. Le gynécologue nous dit qu’un cerclage aurait été nécessaire mais… il part en vacances. Alors, on fait au mieux. Jusqu’à cette dernière consultation, juste avant de repartir. Là, tout s’accélère : fauteuil roulant, perfusion de sulbutamol. Je m’en souviens comme si c’était hier. Anne-Sophie naît à cinq mois et demi. 900 grammes. Elle tient dans une boîte à chaussures. Trois mois et demi d’hôpital, de soins, d’attente. Et puis un verdict, tombé comme une enclume : à 14 ans, nous avons appris qu’elle ne marcherait jamais. J’avais 25 ans. Anne-Sophie a aujourd’hui 43 ans. Elle est mariée, elle travaille, elle a fait construire sa maison. Une battante, forgée par la volonté et l’amour de sa mère, décédée d’un cancer quand notre fille avait 16 ans. Nous étions déjà divorcés, et c’est elle, Anne, qui a fait l’essentiel de son éducation. Elle lui a transmis cette force. Pourquoi je parle de tout cela sur un site BDSM ? Parce qu’on oublie trop souvent que les hommes aussi vivent des traumas. Parce qu’on invisibilise la douleur de celui qui ne porte pas l’enfant, mais qui accompagne, qui souffre, qui doute, qui perd aussi. Parce qu’il faut parfois toute une vie pour comprendre ce qui s’est inscrit en nous à ce moment-là. Un feedback médical, bien après la naissance d’Anne-Sophie, a mis en lumière tous les facteurs de risque d’une naissance prématurée. Parmi eux : l’IVG. Pourtant pratiquée dans les règles. Pourtant décidée à deux. C’est peut-être là que réside le paradoxe le plus cruel. Un choix fait pour préserver la vie, qui plus tard revient comme un boomerang. Pas comme une faute, non. Mais comme une cicatrice. Une faille. Une empreinte silencieuse. Alors oui, j’avais 25 ans. Et cette histoire reste, encore aujourd’hui, un traumatisme. 30 mai 2025
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Par : le 30/05/25
Une histoire d’avortement… avec un peu de pyjama dedans J’ai un lourd passif avec l’avortement. Une histoire de famille, un peu taboue, un peu cachée… et pourtant bien réelle. Je suis l’aîné d’une fratrie de six enfants. À dix ans, j’avais déjà une bonne idée de ce que « grande famille » voulait dire. Mais un jour, paf : maman tombe enceinte du septième. Oui, le septième. Notre médecin de famille, toujours prompt à faire de l’humour de salle d’attente, s’est fendu d’une blague : « À chaque fois que votre mère lave le pyjama de votre père, elle tombe enceinte ! » Sauf que cette fois, ça n’a pas fait rire maman. Elle a répondu, bien sérieuse : « Soit vous trouvez une solution, soit je divorce. » C’est ce qu’on appelle un ultimatum propre et net. À l’époque, je n’ai rien su. Juste que notre grand-mère est venue s’occuper de nous, et que mes parents sont partis en voyage en train. Pourquoi ? Je ne me souviens plus du prétexte donné, mais en tout cas, ils sont partis. Quelques jours plus tard, papa est revenu. Seul. Et là, il nous annonce qu’il doit repartir, en voiture cette fois, pour aller chercher maman. Comme il n’avait pas envie de faire le trajet seul, il m’a demandé de l’accompagner. Et c’est pendant ce voyage qu’il m’a tout expliqué. J’avais 10 ans… Nous voilà donc partis en Citroën Traction Avant, en plein hiver, direction Genève, pour rejoindre la clinique où ma mère était hospitalisée. Les détails de la suite se sont un peu effacés avec le temps, mais je me souviens du jet d’eau de Genève, immense et hypnotique… Je me souviens aussi des paquets de cigarettes, bien moins chers qu’en France, et de mon père, qui fumait encore à l’époque, tout surpris en ouvrant un paquet : cinq fausses cigarettes à l’intérieur. Tromperie sur la marchandise, version helvétique. Et puis il y avait cette clinique. Je me souviens surtout de la porte de la chambre de ma mère. Une porte monumentale, recouverte de cuir avec des clous dorés. Elle menait à un sas, lui aussi doté d’une porte identique. Impossible d’ouvrir la seconde si la première n’est pas fermée. Un système de confinement presque solennel, entre mystère et asepsie. Ce sas, c’était comme un entre-deux mondes. Celui de l’enfance… et celui de ce qu’on ne dit pas. J’avais 10 ans. Et puis, bien plus tard, il y a moins d’un an, j’ai posé une question toute simple à ma mère : « Comment avez-vous payé tout ça ? » Elle m’a répondu calmement, comme si elle me donnait une recette oubliée : « C’est un grand-oncle à nous qui a donné l’argent. » Un nom perdu dans la généalogie, mais une aide bien réelle. Ce genre de choses qu’on tait, qu’on enterre comme les souvenirs. Mais qui finissent toujours par refaire surface.
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Par : le 30/05/25
Tout a réellement commencé le jour où j’ai découvert le site Omegle. Par simple curiosité, je m’y suis aventurée sans trop savoir ce que j’allais y trouver. Rapidement, j’ai commencé à y faire des rencontres virtuelles, parfois légères, parfois plus profondes, et certaines d’entre elles ont évolué vers des échanges intimes. C’est dans ce contexte que j’ai envoyé mes premières photos dénudées. Cette première expérience a marqué un tournant : elle m’a libérée d’une certaine retenue, et dès lors, je n’ai plus cessé de m’exposer publiquement, trouvant dans cette démarche une forme d’affirmation de moi-même. Avec le temps, à mesure que mes interactions devenaient plus variées, certaines personnes m’ont suggéré de me travestir. Au début, c’était une proposition anodine, presque un jeu, mais très vite, cela a éveillé quelque chose en moi. J’ai découvert un plaisir inattendu dans cette exploration de la féminité. Plus je m’investissais dans ces échanges, plus je ressentais le besoin – et l’envie – d’incarner pleinement une identité féminine. Cela m’a permis de mieux comprendre mes désirs, mes limites, et surtout, ce qui me procurait un véritable plaisir. C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris à quel point j’étais stimulée par le regard des autres, par leur désir, leur contrôle sur moi. Le fait de me sentir observée, utilisée même, m’apportait une forme d’excitation intense, difficile à expliquer mais profondément ancrée en moi. Progressivement, les demandes que je recevais sont devenues plus audacieuses, parfois extrêmes, et pourtant, je me suis surprise à les accepter, les unes après les autres, poussée par une forme d’abandon total. En m’immergeant davantage dans cet univers, j’ai découvert des aspects encore plus profonds de ma sexualité. L’un d’eux est le plaisir paradoxal que je ressens face au danger, à la perte de contrôle, à la sensation d’être à la merci d’un dominant. Être vulnérable, supplier, savoir que ses décisions pourraient avoir un impact réel sur ma vie privée… tout cela résonnait en moi d’une manière presque viscérale. Ce sentiment d’impuissance n’était pas effrayant, mais étrangement réconfortant, car il s’associait à une forme de confiance, de dépendance totale. Parmi ces pratiques, il y en a une en particulier qui a pris une place importante : l’urophilie, notamment dans un contexte d’humiliation. J’aime être rabaissée, qu’on me rappelle ma place, qu’on me déshumanise même, jusqu’à me réduire à l’état d’objet. Cela peut paraître extrême, mais pour moi, ce n’est pas synonyme de souffrance. Au contraire, c’est dans ces moments-là que je me sens pleinement connectée à mon rôle, utile pour mon maître, et cette utilité me remplit d’une joie profonde. Ce n’est plus seulement un jeu ou un fantasme : c’est devenu une part intégrante de mon identité.
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Par : le 30/05/25
Je teste volontiers les épreuves que j'impose aux autres. Devant cette magnifique armoire, je n'ai pu résister. Ainsi prostré, dans le noir troué de rais de lumière, j'ai laissé s'échapper le temps à écouter ma respiration, certains craquements à cause d'un mouvement de bascule de mon corps, l'odeur boisée des parois centenaires. Une paix magnifique m'a envahi, un sentiment de sécurité, de mise à l'écart du monde frénétique, mais surtout un rythme à moi, suspendu. Une sensualité sourde semblait chanter un air tribal, mes tempes retentissaient de tambours oubliés. Instinctivement, mes mains ont cherché mon sexe, enveloppant mes bourses et le phallus comme j'ai appris en tantrique pour former une coquille. De mon anus est partie une onde de plaisir, comme une tulipe qui s'ouvre, mon sexe s'est grandit et je me suis masturbé lentement, sans hâte : j'avais l'éternité devant moi. J'ai jouit délicieusement, déposant ma semence sur le bois antique comme une offrande, je l'ai laissé là intacte, comme une trace définitive qui disait "ici, j'ai été heureux avec moi-même". C'est avec regret que j'ai ouvert la porte et le monde m'a paru très petit.
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Par : le 30/05/25
On a souvent peur d'être abandonné. Cela indique un lien qu'on croyait indissoluble et maintenu par les deux parties jusqu'au moment où l'on découvre la trahison. Trop tard pour agir, trop tôt pour réaliser. Jeté comme sur un tas de foin, poupée de plaisir usée par un consommateur volage qui avait caché son jeu ou qui suit sa nature de girouette. Mais il y a toujours la possibilité d'en jouir. Notre malheur de l'abandon est un sentiment d'amour à l'envers, intense parce que dramatique, jouissif parce qu'il ne concerne que nous sans avoir à le partager, unique dans notre vie brisée. Par cette jouissance de n'être rien, nous pouvons l'accepter parce que c'est une façon de se sentir vivant au travers d'une douleur infligée et injuste qui nous ramène au foetus dont le premier soin a été d'abandonner le ventre maternel. Affalé sur ce tas d'herbes, coupées comme nous, nous pouvons pleurer, griffer les graminées, nous enfouir dedans, ce sera toujours un cri de vie renaissante. La vie n'est jamais qu'une succession d'abandons dont on se relève toujours, comme on peut avec une cicatrice de plus.
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Par : le 30/05/25
Il l’a trouvée là, silencieuse et rugueuse. Pas encore soumise, pas encore prête. Une pierre brute. Belle, mais cachée derrière des éclats désordonnés, des angles trop tranchants, trop défensifs. Elle ne savait pas encore qu’elle était précieuse.   Un bon bijoutier ne frappe jamais trop vite. Il observe. Il attend que la matière parle. Et elle a parlé — par ses silences, ses frissons, ses regards fuyants quand il posait sur elle une parole plus ferme.   Alors il a commencé.   1) L’extraction. Il a arraché ce qui ne servait à rien : les peurs inutiles, les croyances du passé, les armures qu’elle portait pour survivre. Pas d’un coup. Mais par la répétition. Par la constance. Il a exigé la vérité, pas le vernis. Et elle, à genoux, a laissé tomber ce qu’elle croyait être. Le début d’un abandon.   2) La taille. Chaque bord rugueux a été taillé. Il a imposé des règles, des silences, des punitions. Pas par caprice, par amour de l’exactitude. Il a vu ce qu’elle pouvait être, et n’a toléré que ce qui l’en rapprochait. La pierre criait parfois. Elle résistait. Elle doutait. Mais chaque trace laissée par ses ordres formait une facette nouvelle. Plus brillante. Plus docile. Plus elle.   3) Le polissage. À la rigueur a succédé la douceur. Il l’a touchée. Par les mots. Par la voix. Par l’absence aussi, parfois. Il lui a appris la patience, le silence habité, le regard baissé avec fierté. Et ses gestes sont devenus offrande. Elle n’obéissait plus par peur, mais par reconnaissance. Car sous ses exigences, elle se découvrait enfin.   4) Le sertissage. Alors, il l’a ceinturée. Pas avec de l’or ou des pierres. Mais avec un mot : mienne. Il a passé autour de son cou un collier invisible. Un symbole de transformation. De possession. D’élévation. Et elle, dans cet écrin fait de discipline et d’abandon, a trouvé sa place.   Un bijou ne naît pas rare. Il le devient par le regard de celui qui sait. Et une soumise ne naît pas parfaite. Mais entre les mains d’un Dom digne de ce nom, elle devient œuvre.   Mr Djey.
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Par : le 30/05/25
Il était clair qu'on avait décidé de violer le rythme intime de son être, de briser cette pulsation volontaire qui régulait tous ses plaisirs. La lanière de cuir passant entre ses cuisses persécutait atrocement son clitoris, à croire que le modèle de ceinture de chasteté qui lui avait été imposé semblait être inspiré d'une scène de l'Inquisition espagnole. Mais elle craignait seulement que l'on devine la fierté et surtout le plaisir à la porter. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une femme qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses divagations, amener à la jouissance de jeunes oies blanches, consentantes et résignées en les flagellant, parfois jusqu'au sang, pour mieux révéler en elles leurs fantasmes de servitude et pour lesquelles la terreur semblait alors si douce. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. L'inconnue la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que l'inconnue exigeait d'elle. Il devait venir.   Tout était dit dans cet épisode cruel où, d'une difficulté assez courante imposée par son sort, on avait fait un drame aggravé en niant sa sensibilité, en lui refusant le droit d'avoir mal, aussi longtemps qu'elle en éprouverait l'affreuse nécessité. Elle ravalait ses sanglots, car elle n'avait pas droit de douter. Tout ce qui lui était imposé était voulu par elle. S'il convient de toujours conserver une certaine distance dans les relations amoureuses pour entretenir une part de mystère, elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, la jeune fille se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre fraîche du salon, par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Mes yeux se retournent vers ton sourire.   À nouveau, son irrespect aveugle éclatait, cinglant. Son orgueil était en vérité plus fort que son amour. Elle nourrit d'amers regrets et de sombres repentirs. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Son corps supplie. Toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu te tais. Fouettée, tu es éclairée comme par le dedans, et l'on voit sur ton visage le bonheur et l'imperceptible sourire intérieur que l'on devine aux yeux des esclaves.    Au fil des ans, elle s'était découvert une envie d'audace dans la façon d'être prise, de rupture dans les rythmes d'un érotisme fatigué, le besoin même d'être forcée, emmenée loin de ses balises ordinaires par la femme qu'elle aimait, conduite par elle seule jusqu'au cœur de ses peurs les plus tentantes. Elle lui en voulait qu'elle n'eût pas deviné qu'elle souhaitait désormais être sa chienne. Tout ce que tu imaginais correspond à tes fantasmes, sans doute inconscients. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse, fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Le fouet ne fut pas de trop pour la calmer mais Juliette entendrait, encore une fois bientôt Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/05/25
Comme d'habitude, le jeudi après midi des semaines impaires, je suis allée au Xcenter de Plan de Campagne. Ça faisait un petit moment que je n'y étais pas allée et cette fois ci, j'ai bien rattrapé mes absences. Je me suis changée en Trav dépravée  dans une cabine à l'étage et j'ai laissé mes affaires à l'accueil. Vêtue d'une jupe crayon en vinyle noir zippée en haut et bas, avec un beau laçage derrière qui était en accord mon corset en vinyle noir également mettant en évidence mes tetons outrancement développés et chaussée de sandales à lanières noires vernies hautes de 16cm, que je m'apprêtais à me faire déglinguer. À peine arrivée à l'étage, j'ai fait un petit tour jusqu'au fond de l'espace ciné et un monsieur très jovial et surtout très excité m'y a suivi et à commencé à me peloter de partout. Perso, je suis très excitée par les tenues vinyles et latex et apparemment ça plaît beaucoup aussi. J'envoie ma main explorer le contenu de son slip. J'y découvris un sexe en forme, de taille normale. Après quelques caresses et masturbation sur ma jupe, je lui fit une felation. Plusieurs hommes étaient présents et se régalaient du spectacle se masturbant avec obscénité. Autant de queue que je pouvais carresser voire sucer pour les plus hardis. Dans le tas gars je reconnu Didier, mon amant du coin équipé de son sexe énorme, que je surnomme mon demonte pneu. Ayant baissé comme un lapin, il n'était pas au mieux de sa forme. Ce n'était pas un problème car je sais très bien m'y prendre pour y remonter le moral. Je m'attelais à bien sucer ces 2 sexes car j'adore avoir 2 bîtes dans la bouche. Il n'a fallu pas trop de temps pour que le 1er homme me récompensa par quelques jets de son nectar dans ma bouche de pute que j'ai goulument avalé. Il se rhabilla me remercia du bon moment qu'il avait passé et partit. Je continuait de jouer avec Didier qui est  gars très performant et très endurant. Il me sodomisait sauvagement à plusieurs reprises heureusement que ma chatte habituée au fist en a vu d'autres. Mais qu'est-ce que c'est bon de se faire démonter aussi brutalement. Pendant la saillie, un gars très gentil et respectueux qui m'avait connu sur Trans Trav et qui m'avait fixé un rencard ici a pointé son nez. Il était très exité par ma tenue il m'a caressé longuement. Il était de taille modeste et semblait avoir des tremblements parkinsonniens. Il était tellement chaud que la felation que je lui ai fait n'a pas duré bien longtemps avant qu'il ne se décharge dans ma bouche.  Très content de m'avoir rencontré il se rajusta son pantalon et parti en me remerciant de lui avoir donné beaucoup de plaisir. Didier est vite revenu se faire astiquer le poireau. Pendant que je m'affairais sur son sexe, un énième  gars est venu se joindre à nous et a de suite vu mon penchant de chienne soumise. Il a commencé à me torturer sadiquement mes tétons. J'adore trop et ça me provoque des palpitations anales et une érection terriblement contenue dans ma cage de chasteté en plastique rose qui est toute indiquée à ma condition de sissy. Le gars m'a ordonné de respirer son poppers qui m'a tout de suite chauffé la tête et mon esprit. Bien brûlante comme la braise il a continué à me dominer en me giflant énergiquement et moi grosse chienne en chaleur qui lui en redemandait de plus belle. Me gavant de poppers, je suis tombée dans un cercle infernal qui ne faisait que monter en puissance. Le tout agrémenté d'insultes et d'obscenes menaces. La scène était d'une telle violence que Didier est venu voir si tout allait bien et il a vite été rassuré en me voyant en redemander de plus belle. Toutes les bonnes choses ont une fin, Didier devait partir. Il est rerentré dans le jeu pour m'offrir son sperme en remerciement de son après midi lubrique que je lui ai donné. Il m'a fait bouffer sa rondelle pour qu'il retrouve sa super érection. Quand son énorme sexe fut bien dur, il me le fit sucer tout en se branlant. Son ejaculation ne se fit pas attendre. Sous les yeux et les commentaires salaces de mon tortionnaire, il m'inondat le visage et la bouche. C'était une très grosse éjaculation, son sperme est très bon en bouche et je n'en ai pas perdu une goutte. Quel régal ! Didier se rhabilla et m'a fait un bisou, pendant que mon tortionnaire excité par la scène entrepris le même traitement. Ce fut bon, mais c'était sans commune mesure à ce que je venais d'avoir, surtout en quantité. Après toutes ces bonnes choses, je me suis dit que mon après midi touchait à sa fin. Je me suis refait une beauté et je suis allée déambuler et voir un peu ce qui se passait dans l'espace rencontre. Il n'y avait plus personne dans la petite salle ciné et en plus le film était bof. Il n'y avait pas plus de monde dans la grande salle, mais le film était un peu mieux. Une blonde américaine se faisait sauvagement sodomiser par un étalon, ce qui n'était pas sans me rappeler ce que je venais de me prendre. Un nouveau gars apparu dans l'espace rencontre. Un arabe pas du tout timide qui est venu se masturber en s'asseyant à ma gauche. Il était très bien monté le bougre. Quand je lui ai pris le sexe en main je me suis aperçu qu'il avait des excroissances de part et d'autre sous son gland. Il m'expliquat dans français approximatif que c'était des billes sous cutanées placées chirurgicalement. Il me pelota les seins et je lui fit vite  comprendre comment j'aimais qu'on me les maltraite. Pendant que je le suçait, il me les martyrisait bien, il me branlait mon sexe encagé et me foutait ses doigts dans ma chatte. En bouche j'avais du mal à ressentir ses billes car son gland tellement gros occupait toute ma cavité buccale. Attiré par notre jeu, un autre gars est venu s'asseoir à ma droite. Un grand européen qui s'est vite inséré dans la partie en sortant son sexe pour que je le masturbe. Son sexe était très bien mais de taille plus conventionnelle. Ils se sont mis debout de chaque côté pour que je les suces simultanément (trop bon). L'arabe n'avait qu'une idée en tête, qui était celle de m'enculer. Avec un tel sexe, moi aussi j'en avais une énorme envie. Avec ces doigts, il me fouillait ma chatte avec obscénité. Le deuxième gars très ecxité s'est levé pour se masturber et se finir. Quel dommage, il avait une énorme quantité de sperme dont je voyais les multiples jets tomber au sol pendant un bon moment. Je me les serai bien pris sur mon visage ou dans ma bouche de pute. Franchement il y en a qui n'ont pas la valeur des choses.  Sitôt fini il se nettoya et parti, me laissant seul avec l'arabe qui entrepris de m'enculer sans préservatif sur la banquette à baiser. Préférant la penetration protégée, je lui mis une capote avant qu'il ne me prenne. Qu'est-ce que c'était bon de se faire bourrer de la sorte avec sa queue bien épaisse. Mais je ne sentais pas les vibrations qu'auraient pu me donner ses implants sous cutanés. Il aimait alterner les penetration et la felation. Il se retira, enleva le préservatif  et me refit bouffer sa belle queue. Puis il voulu me reprendre, je lui remis une autre capote et s'était reparti pour une fougueuse saillie. Pendant que je me faisait admirablement enculer, un autre arabe observait la scène. Le gars qui était en train de me prendre lui fit signe de venir jouer avec nous. C'était un grand type, style joueur de basket et il avait sa bite en proportion. Une belle bite avec un énorme gland qui donnait un air de champignon à l'ensemble tant il dépassait de la hampe. Le gars a placé son champignon devant ma bouche et en bon amateur de champignons, je savais que celui ci n'était pas toxique et je l'avalais goulument. Quel pied de se faire prendre "entre pointes". Une grosse queue me défonçant sans ménagement la chatte et une encore plus grosse dans la bouche. Ce sont des moments inoubliables dans une vie de putain dépravée. Mon sodomisateur, aimant bien l'alternance revenit se faire sucer. Déjà que une m'ecartelait la bouche, là impossible de prendre les 2 bîtes en même temps. Les 2 monstres étaient devant ma bouche et je switchais entre ces deux énormes sucettes. Mais le sodomisateur trouvant ma chatte très accueillante, y retourna et profitant que j'étais très occupée, il me fourra sa bite sans préservatif. Heureusement que mon ami AngeouDemon m'avait recommandé l'emploi de la PrEP. Merci ma sœurette. Ce fut reparti pour la saillie de la chienne. Très excité, mon sodomisateur ne tardait pas à se vider dans ma chatte. Il me laissa seul avec le gros champignon. Le gars voulait que je lui bouffe ses couilles toutes poilues, ce que je fis avec perversité en les aspirant entieres dans ma bouche. Ce n'était pas facile de faire rentrer ces 2 grosses prunes dans ma bouche pour les gober. Pendant se temps il s'astiquait son vaillant appendice. Sa masturbation l'emmena à l'orgasme et il me demanda de me délecter de son jus comme il disait. En bonne salope je m'executais et j'ai tout avalé. Un gars qui matait la scène m'a tendu des essuie tout pour que je me nettoie un peu. Quelques minutes après, je me suis retrouvée toute seule quand tout le monde fut parti. L'après midi touchant à sa fin, j'en ai profité pour régurgiter tout le sperme qu'il y avait dans ma chatte. Je suis allée me faire une petite toilette avant de me rhabiller et rentrer à la maison. Sur le chemin du retour je sentais bien que malgré l'absence de fist cet après-midi là, ma rondelle avait pris cher et j'étais aux anges de m'être fait casser le cul comme ça. Vivement ma prochaine visite au xcenter dans l'espoir que ce soit aussi bon ou mieux encore.
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Par : le 28/05/25
Bonjour a vous tous et toutes 💕 Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu. La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse. Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage. Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans.. a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue. Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs. Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe. Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir. Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme. L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme. Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non... La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation. à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno. Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée. Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3. Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance. Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu' Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕 Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi. N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui. Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Par : le 28/05/25
Quand je l'ai vu prendre un verre et le remplir de son champagne doré, mon excitation est montée en flèche. Le verre se remplissait à une vitesse, jusqu'à ce qu'il déborde. Je n'avais qu'une hâte, qu'elle me donne l'ordre de le boire en entier, ce que j'ai fait sans aucune hésitation. Avaler son urine tiède a était une telle chance et un tel plaisir. Une fois le verre vide, elle m'a attrapé par les cheveux pour que je la lèche et la nettoie avec ma langue. Je me suis exécuté et il ne lui a fallu que peu de temps pour qu'elle jouisse dans ma bouche. Mais ce que j'ai aimé le plus dans cette expérience, c'est la fierté que j'ai ressentie dans le regard de mon ex-Domina. J'espère revivre cela un jour.☺️ Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter en mp. (Femme ou couples)
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Par : le 28/05/25
Parlons du rôle le plus important d’un dominant. Ce n’est pas le contrôle. Ce n’est pas le pouvoir. Ce n’est pas d’être obéi. C’est la sécurité. Car sans sécurité, il n’y a pas d’abandon. Pas de véritable échange de pouvoir. Seulement de la performance. Et de la peur. On peut répéter tous les rituels. Utiliser les bons mots. Tenir la bonne posture. Mais si le système nerveux ne se sent pas en sécurité, le corps ne s’ouvre pas. Il se crispe. Il sursaute. Il fait semblant. La vraie question n’est donc pas : « Comment dominer ? » C’est plutôt : « Quelqu’un peut-il lâcher prise en ma présence et se sentir en sécurité ? » « Peut-il me montrer toutes les facettes de lui sans avoir besoin de se protéger de moi ? » « Suis-je capable de recevoir ce qu’il m’offre sans ramener ça à moi ? » Allons plus loin. Nommons ce que la sécurité implique réellement et ce qu’elle exige de nous. 💬 1. Cela commence par la présence, pas la performance Un dominant qui se concentre sur l’idée de “jouer le rôle”, avoir le bon ton, la bonne apparence, imiter ce qu’il a vu dans les livres ou en ligne, passe complètement à côté. Car le système nerveux ne réagit pas à une performance. Il réagit à la présence. Calme. Constante. Connectée. Pas une intensité vide. Pas une pression déguisée en “entraînement.” Mais une énergie stable et ancrée qui dit : « Tu n’as rien à prouver ici. Ta place est déjà là. » 🚩 2. La sécurité ne dépend pas que des mots, elle se manifeste dans les actes Tout le monde peut dire « Tu es en sécurité avec moi ». Ce n’est pas suffisant. La sécurité se construit par des actes cohérents qui soutiennent les paroles. On la crée quand : On dit ce qu’on pense et on pense ce qu’on dit. On ne promet pas plus que ce qu’on peut vraiment tenir. On reste stable, surtout quand les émotions sont fortes. On respecte ses limites et celles de l’autre avec la même rigueur. Ce n’est pas une question de douceur. C’est une question de fiabilité. Quand vos actes prouvent que l’on peut vous faire confiance, le corps apprend à se relâcher, pas seulement une fois, mais encore et encore. 🧭 3. Il ne s’agit pas d’être obéi, mais d’être digne de confiance Il y a une différence entre l’obéissance dictée par la peur et l’abandon enraciné dans la confiance. La peur engendre la soumission. La confiance offre la vérité. Si quelqu’un agit toujours pour éviter de vous décevoir, il n’est pas dans la dévotion, il est dans la survie. Un vrai dominant ne réclame pas le contrôle. Il crée les conditions pour qu’on le lui offre, librement, consciemment, sans contrainte. C’est ce qui le rend sacré. 💞 4. Si vous avez rompu cette sécurité, vous pouvez toujours la réparer Nous avons tous fait des erreurs. Allé trop vite. Mis trop de pression. Utilisé un ton ou une énergie qui a fait se refermer plutôt que s’épanouir. Mais la sécurité peut être reconstruite. Pas avec des justifications. Pas avec des détournements. Avec ceci : « Je vois où je ne t’ai pas tenu comme j’aurais dû. J’en prends l’entière responsabilité. Tu n’as pas imaginé ce que tu as ressenti. » Ce genre de responsabilité répare plus que la confiance, il restaure la dignité. Pour vous deux. 💡 5. La sécurité n’est pas une faiblesse. C’est la base de tout ce qui est puissant Ce n’est pas une question de dorloter. C’est une question de profondeur, qui n’existe qu’en sécurité. Vous n’avez pas besoin d’élever la voix pour être entendue. Vous n’avez pas besoin d’écraser pour mener. Les dominants les plus puissants sont les plus sûrs. Car c’est seulement dans la sécurité que le système nerveux peut dire : « Ici, je peux cesser de jouer un rôle. Ici, je peux m’ouvrir. Ici, je peux être entièrement moi. » 🎯 Conclusion La chose la plus puissante qu’un dominant puisse offrir, ce n’est pas son contrôle. C’est sa capacité de contenance. Sa capacité à tenir l’autre avec clarté, profondeur et stabilité inébranlable. Sans cela, il n’y a pas de confiance. Et sans confiance, il n’y a pas d’abandon. Seulement la survie. Alors si vous guidez, guidez ainsi : Avec intégrité. Avec présence. Avec constance. Parce qu’au fond ? Le vrai signe d’un dominant, ce n’est pas combien de pouvoir il peut prendre mais combien de sécurité il peut offrir. Et après tout… La véritable soumission, celle qui est offerte librement et non jouée, n’est-ce pas là ce qu’il y a de plus sensuel ? Ce genre de don qui n’est ni exigé, ni manipulé, mais gagné à travers la présence, la constance et la bienveillance. C’est cela, l’art. C’est cela, la différence.
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Par : le 28/05/25
Tu entres dans la pièce comme on entre dans une église oubliée. Il n’y a pas de croix. Pas d’autel. Mais il y a la corde. Les pierres. Des bougies. Il y a lui. Et il t’attend. Tu es nue. Tu sais pourquoi. Ce n’est pas un jeu. C’est une offrande.   Il avait tout préparé : les cordes suspendues, les chandelles posées sur les pierres froides, l’encens lentement consumé. Une pièce hors du temps. Une cathédrale clandestine.   Il s’approche sans un mot. Ses gestes sont lents, précis. Tu présentes tes bras. Il les croise dans ton dos, les tire, les noue dans un gote shibari impeccable. La corde râpe ta peau, te prend les épaules, t’ouvre la poitrine. Déjà, ton souffle change. Tu n’es pas encore suspendue, mais tu commences à tomber.   Il fait glisser la cravache contre ta cuisse nue. Le premier coup est un murmure. Le second, un mot. Puis une phrase. Il écrit sur toi. À chaque impact, ton souffle se brise, tes gémissements s’échappent comme des prières. Les traits s’impriment sur ta peau — cuisses, hanches, ventre. Il monte plus haut. Tu cries sans mots. Offerte à l’obscurité.   Puis, il te suspend.   Ton corps quitte le sol. Lentement. En te mettant sur la pointe des pieds. Le vide te prend. Il te fait tourner. Ta chair suit. Les cordes vibrent. Tu n’es plus une femme. Tu es une forme une oeuvre d’art . Une offrande. Une vérité tendue entre douleur et extase.   Mais il ne s’arrête pas.   Il reprend la cravache. Plus dure. Il vise le haut des cuisses, le bas-ventre, la naissance des seins. Les tétons gonflés de désir. Les impacts sont plus lourds. Tu hurles ! Pas pour qu’il cesse, mais pour qu’il t’ouvre plus encore. Tu veux passer de l’autre côté. Tu veux la brûlure. Tu veux la lumière derrière la douleur.   Il te fait descendre. Tu trembles. Il te regarde. Tu es marquée. Mais pas assez.   Tu t’allonges sur le dos. Il déroule une corde plus longue, plus rêche. Il recommence.   Le Hishi Karada se dessine sur toi comme un filet sacré. Une ligne entre tes seins. Des losanges autour de ta poitrine, de ton ventre. Les nœuds serrent. La géométrie t’emprisonne. Tu n’es plus libre. Mais tu n’as jamais été aussi vivante.   Il te soulève à nouveau. Cette fois, juste au-dessus du sol. Flottante. Fragile. Vibrante.   Il approche. Il contemple les marques, les rougeurs, les hématomes naissants. Il effleure, puis frappe. À la main. Fort. Tes seins, ton ventre, l’intérieur de tes cuisses, ton sexe humide de désir et d’envie . Il frappe jusqu’à ce que tu pleures. Pas de tristesse. De libération. Les coups te percent. Ils t’ouvrent. Et puis, enfin, il glisse les doigts sur ton sexe.   Tu es brûlante. Trempée. Tu cries sans son. Tu te tords. Tu jouis, suspendue, marquée, tendue comme une corde elle-même.   Et il te rattrape.   Il défait les nœuds, lentement. Chaque corde qui tombe est un souffle libéré. Tu es rouge. Tachetée de douleur. Belle. Il t’enveloppe d’une couverture. Il te garde contre lui. Tu grelottes. Il est chaud. Il est là. Il ne dit rien. Tu pleures. Il t’embrasse la tempe.   Tu reviens. Minute après minute. Du gouffre. Du feu.   « Recommence… un jour », tu murmures.   Il comprend.   Ce n’est pas du sexe. Pas un fantasme. C’est votre langue. Votre confession. Votre vérité.   Tu ne lui appartiens pas. Il ne te possède pas. Mais vous êtes liés. Par les cordes. Par les marques. Par ce feu que vous seuls pouvez supporter ensemble.   Il la tient contre lui, encore. Elle ne parle plus. Mais son regard le transperce : brut, lucide. Un regard d’animal qui a vu le gouffre. Elle tend la main, touche son torse. Lui aussi est marqué. Par elle.   Chaque séance la fait entrer plus loin en lui. Elle sait quand un nœud est fait pour la beauté. Et quand il est fait pour l’adorer.   Elle a dit « oui » sans mot, avec chaque fibre de son corps. Et il sent déjà le vide que laissera son absence.   Mais il attendra.   Parce qu’il sait que ce n’est pas un jeu. C’est un pacte. Une religion secrète. Un feu.   Et elle… Elle brillera encore.
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