La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/04/24
Bonjour Maîtresse reine, je vous écris cette lettre pour vous dire a quel point je vous suis dévoué et fidèle. Par la suite, je publierai cette lettre avec votre accord pour que les gens qui la liront sachent que ma soumission est totale en ver vous. Voilà quelques années, maintenant, que je suis votre soumis et cela me conviens très bien vous m'avez aidé pour trouver ma place au sein de notre couple, la place de l'homme est aux pieds de la femme, c'est ma conviction, j'aime vous voir et vous savoir supérieur à moi, moi l'esclave qui a mi ma vie entre vos mains le jour ou nous avons signé ce contrat qui nous lie. J'aime la manière que vous avez à me traiter à jouer avec moi, le ton autoritaire que vous prenez pour me dresser, votre sévérité pour corriger mes fautes. Je me plie à vos moindres désirs, je suis prêt à tout pour vous, je suis votre petite chienne en chaleur, j'aime quand vous me promenez en laisse dans le jardin ou dans des lieux insolites. J'aime quand je dois faire la pute pour vous quand vous m'exhibez en cam face à des gens que vous me dominez sauvagement devant eux. Vous me répétez sans cesse que j'ai un petit sexe et que ce n'est pas avec cette ridicule bite que je vous ferai jouir et que je ne suis pas digne d'avoir une érection en vous regardant sous peine de me faire torturer la chose qui me sert de sexe. Vous prenez votre pied chaque fois que vous me sodomisez avec votre god ceinture, je dois dire que moi aussi, j'aime quand vous me pénétrez sauvagement, je gémis je cris mes jambes trembles mon cul sert plus que mon sexe. J'adore sucer votre god ceinture après qui soit passé dans mon cul vous me le faite nettoyer et je le fais volontiers, tout comme je dois nettoyer avec ma langue vos pieds votre chatte et votre anus après une grosse journée de travail. J'apprécie également le fait que vous lâchez des pets dans ma bouche pendant que je vous leche l'anus. J'adore l'odeur que vous dégagez, j'aime vous renifler, c'est un parfum divin, je ne m'en lasse pas, c'est un réel plaisir de sentir vos odeurs. Cela fait un moment que je suis votre urinoir vous vous amusez à m'uriner dessus ou dans la bouche ou simplement que j'essuie votre chatte après pipi avec ma langue et j'apprécie aussi et depuis peu nous nous essayons a la scatologie, c'est moi qui vous ai demandé de me réduire un WC humain avec vos excréments. Bien que vous m'avez déjà réduit à esclave sexuel, je ne me sentais pas encore à ma place, je voulais être encore bien plus dégradé. Je vous ai alors soumis l'idée de faire vos besoins totalement sur moi, je vous ai même supplié de m'accorder cette faveur. Vous m'avez accordé seulement le droit de vous léchez le cul juste après que vous aillez fait vos besoins dans un WC sans vous essuyer, cela m'a bien plus oui, je l'avoue.Mais aujourd'hui, je vous le répète, je vous en supplie encore une fois, dégradez moi au plus haut point, souillez moi de vos excréments, je suis prêt a vous lécher même les pieds plein de votre caviar. Je me suis exercé seul dans la douche, j'en ai fait une vidéo, les photos sont publiées. Sur la vidéo, vous me verrez jouer avec mes excréments et tout étalé sur mon corps cela m'a beaucoup excité. merci Maîtresse Reine votre souis et esclave.       
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Par : le 28/03/24
Un week-end où je m'ennuyais, j'ai décidé de sortir boire un coup et faire de nouvelle rencontre. Je suis allé dans un bar à bière, il y avait pas mal de monde de la musique une très bonne ambiance, je me cale dans un coin, je passe ma commande, on me sert et je commence à boire. Derrière moi, il y a une table avec deux très jolies filles de 25 28 ans. Elles sont de natures plutôt joyeuses, je dirais de les entendre rire. Ça doit faire une demi-heure que je suis arrivé quand soudain une des deux filles vient m'aborder à ma table. Elle me demande si j'attends quelqu'un ou bien si je suis seul, je lui réponds que je suis seul que je suis venu boire un coup pour me détendre de la semaine. Elle me proposa de les rejoindre à leur table s'il n'y avait pas d'inconvénient. Je les ai donc rejoints, je paye ma tournée et on commence à discuter pour faire connaissance. Au bout de quelques bières, la glace se brise, on rigole bien tous les trois ensemble, il y a un bon feeling. Puis peu à peu l'alcool monte et les langues ce délies et les discutions tourne vite au tour du sexe elles m'avoue quelles sont lesbienne, je leur réponds que je n'ai aucun préjugé car moi-même, je suis bisexuel et le courant passe encore bien mieux entre nous trois, je me sens tellement bien, que je ne sais pas si c'est l'alcool ou bien la bonne ambiance qu'il y a entre nous que ma langue parle plus vite que mes pensées, je leur avoue que je suis également soumis. Soumis le mot est lâché je me mort les lèvres, je réalise ce que je viens de dire, je me dis elles n'ont peut-être pas entendu et là le drame elles me regarde et me font quoi tu es soumis, j'ai honte, je bégaye, je cherche une excuse, mais rien y fait elle le très bien entendu.  Je regrette d'avoir trop parlé les deux me passe a la questionnette et me demande plus de détails. Je bois un bon coup avoué pour avoué, je leur dis tout.  Je leur raconte toutes les pratiques que je fais dans le BDSM que ce soit avec des hommes ou bien des femmes le plaisir que j'y prends le fait de me faire diriger de me laisser aller aux désirs de mon ou ma partenaire tout en racontent mes ébats, je vois une des deux filles qui se mort les lèvres au moment même ou je leur raconte la fois où l'on m'a pissé dessus. Les filles se regardent, ce font un signe de la tête et me propose d'aller boire un dernier verre chez elles. Une fois arrivé chez elles on reprend la discussion sur l'uro avec des detailles plus précis qui ma deja pissé dessus ou on ma pussé dessus savoir si j'en ai deja avaler je leur reponds que oui j'aime la pratique uro et que je n'ai pas de limite avec. Je leur demande pourquoi toutes ces questions ? Elles me répondent. Aimes-tu les odeurs fortes ? Je leur dis que jusqu'à maintenant un seul partenaire homme aimait se faire renifler la bite odorante et que ça ne m'avais pas déplus. Elle s'échangea encore un regard encore un signe de tête avant une autre question. Et me demanda et la pratique scato tu as déjà fait ? Je leur répondis que non que j'en avais déjà entendu parlé, mais que je n'i jamais osé sauté le pas. Ça te dirait d'avoir ta première expérience scato avec deux lesbiennes en tant que soumis ? Et là, avec une voix tremblotante, j'ai répondu oui le oui d'un soumis qui ne peux qu'accepter la demande de ses maîtresses. Elles se sont mises debout face à moi, une s'est mise derrière moi elles mont attrapé sauvagement et ont commencé a me d'habiller en me brutalisant tout en m'insultant et me disent que j'allais regretter d'avoir dit oui. Une fois au sol et nu, elles m'ont attaché les mains derrière le dos avec des menottes elles portais toute les deux des bottes hautes noire, j'étais à genoux face à elles, je devais lécher leurs bottes pendant qu'elles s'embrasser langoureusement. Puis elles m'ont fait mettre la tête au sol le cul cambré les jambes écartées, j'avais peur, je ne savais pas ce qu'elles aller me faire ce n'était pas comme les séances auxquelles j'avais l'habitude elles étaient imprévisible et j'avais raison. Une fois dans cette position tête au sol jambes écartées, j'ai reçu un grand coup de pied dans les couilles, j'ai hurlé de douleur, je me suis couché sur le côté en position fœtale, je me tordais de douleur elle m'ont obligé à me remettre dans la même position pour recommencer, je les supplier, mais pas le choix, je me remis en position, je tremblais de peur, car je ne savais pas quand elles aller frappé.Comme j'ai dit, je tremblais littéralement de peur que je n'ai pas pu me retenir, la pisse a commencer à sortir toute seule. Je les ai entendu se moquer de moi, mais ce n'est pas pour autant qu'elles ont arrêté leur torture.  Puis une s'est mis à quatre pattes les fesses écartées et l'autre s'en est donné à cœur joie avec son plus gos god ceinture pour me sodomiser. Quant à celle qui s'est mise à quatre pattes, je devais lui renifler le cul. Elle avait le cul qui sentait très fort, elle me le collait sur mon nez, je devais renifler fort. Sa chatte pareille une très forte odeur et toute poilue aussi. Puis j'ai dû me mettre sur le dos et toute les deux m'ont pisser dessus et j'ai dû boire leur champagne doré. Puis une s'est assise sur mon visage plein de pisse elle a collé son trou du cul sur ma bouche grande ouverte et a commencer a pousser au départ des pets en son sorti puis très vite de la merde a commencer peu à peu à remplir ma bouche, j'avais des haut-le-cœur. Elle frotta son cul merdeux sur ma figure pour en étaler le plus possible quant à l'autre, elle m'a chié sur le torse qu'elle commença à étaler avec ses pieds. Ses pieds remplis de sa merde, elle me les fit lécher elle enfonça tous ses doigts de pied dans ma bouche comme une gorge profonde. Elles m'ont recouvert le corps de merde des pieds à la tête, plein de merde plein de pisse les mains attachées dans le dos souiller et dépravé les couilles éclatées par les coups de pied. En réalité, j'ai adoré cette séance scatologie.  Elles m'ont laissé attaché dans cet état pendant qu'elles sont allées prendre leur douche puis j'ai eu le droit à prendre la mienne. (Ce récit n'est pas du vécu, c'est un fantasme)     
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Par : le 06/03/24
Cette histoire se passe dans un club libertin, avec pour thème le BDSM. Mais cette soirée est particulière, chaque Dominants ou Dominatrices doivent présenter leurs soumis ou soumises à tout les autres invités, avec une liste de choses à subir qui est adapté pour chaque soumis soumise. Puis les soumis soumise sont mis à disposition à tous les membres Dominants Dominatrices. Le ou la soumise se retrouve au centre de la pièce et doit se laisser faire sans parler, sans crier, la seule chose qui lui ait autorisé, c'est de gémir. Puis viens mon tour, ma maîtresse me mène en laisse au centre, je suis nu les yeux bandés les mains liées de devant, j'ai peur, je marche d'un pas hésitent ma Maîtresse tire des coups secs sur ma laisse pour me faire avancer, j'arrive au centre, je sens des mains commencer à me toucher ce ne sont pas les mains de ma maîtresse, celles-là sont plus masculines, on tire très fort sur ma laisse pour me faire mettre a quatre pattes, je me retrouve dans cette position comme un chien apeuré on e fait écarter les jambes en me donnent des coups de pieds sur chaque chevilles je sens leurs mains sur moi jai les yeux encore bandé leurs doigts frole mon anus et mon sex, quand soudain on me leve le bando sur mes yeux la je vois au tour de moi une dixene hommes viril tres bien vetu classe ma maitresse avait choisie pour moi de beaux mals et au tour encore les autres Dominant Dominatrcies qui asite au spectacle assis pour d'autres debout flute de champagne a la main qui rigole ce regoussent de me voir dans cette situation. J'ai honte, c'est la première fois que je suis humilié devant d'autres personne, je suis là, a quatre pattes, nu, je ne bande pas mon sexe est mou, j'ai les couilles qui pendent on tir fort dessus les spectateurs ce moque de la taille de mon sexe. Puis je sens un doigt s'introduire dans mon anus un autre devant moi sort son gros sex de son pantalon et me le met dans ma bouche, il appuya sur l'arrière de ma tête pour me la mettre au fond de ma gorge quant à celui qui me doigtait le cul, il m'enfonça sa grosse bite. Il était dix à passer à tour de rôle dans mon cul et dans ma bouche un coup celui qui me sodomisait me la faisait sucer et celui que je suçais me sodomisait. On me fit allonger sur le dos les jambes en l'air un qui me sodomisait et un autre qui vient au-dessus de moi pour me cracher à la figure et un autre qui m'enjambe écarta ses fesses et vient poser son anus sur mon visage. Il frotta son cul pour étaler le crachat de l'autre et me dit de lui renifler le cul comme si j'étais un chien. Ils sont passés un tour chacun à me faire sentir leur parfum anal chaque mal avait une odeur différente. Je devais renifler et lécher. Quand soudain un me demanda d'ouvrir la bouche, il colla son anus sur ma bouche grande ouverte et lâcha un pet, je ne devais pas bouger et me laisser faire j'ai juste crispé les yeux, il se leva me mis des petites tape sur la joue en me disant brave chien. Puis ils se sont mis les dix autour de moi, et on commençait à m'uriner dessus à tour de rôle puis ma Maîtresse est intervenue, elle a apporté deux entonnoirs, un dans ma bouche et l'autre dans mon cul. Je vous rappelle que je suis toujours allongé sur le dos. C'étaient des entonnoirs avec un long tuyau. Ils ont continué à pisser, mais cette fois-ci dans les entonnoirs. J'avalais leur pisse au fur et à mesure, je sentais l'urine remplir mon cul, c'était comme un lavement anal, mais a la pisse. Une fois fini des jets de pisse qui sortait de mon cul, mon cul qui était bien dilaté. Pour certains, ils m'ont giclé sur le visage d'autre dans la bouche et d'autre dans mon cul. J'ai fini accroupi le visage au sol dans leur pisse plein de sperme et le cul dilaté avec du foutre qui en dégoulinait.  ( Ce si est un récit non vécu, c'est juste un fantasme)                                    
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.   L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.   Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité. J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.   Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.    confession: j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas. lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes. depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶  
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Par : le 10/02/24
Bonjour à tous, je vais vous raconter l'expérience où j'ai pris le plus mon pied avec ma femme. Il y a quelque été de ça m'a femme qui aussi ma dominatrice et moi, nous avons décidé de partir faire une balade en quad en forêt. Après une bonne heure de balade nous nous sommes arrêté dans un coin calme sans personne pour nous reposer, enfin ce que je croyais. Ma femme a décidé de faire une séance de domination soumission en plein air en pleine nature, elle m'ordonna de me mettre nu à genoux devant elle, chose que j'ai faits immédiatement. Elle était assise sur le quad face à moi, elle me regardait avec mépris, et me dit d'un air autoritaire: "retire mes chaussures délicatement et renifle mes pieds larbin". J'ai donc fait ce qu'elle m’a dit, j'ai reniflé ses pieds qui étaient nus dans ses baskets avec la chaleur elle sentait des pieds et elle souriait en me regardent faire. Je lui reniflais ainsi que léché les pieds avec passion, elle me l'ait frotté sur mon visage pour que l'odeur reste sur moi puis elle se rapprocher de moi pour me crachera la figure et m'envoyer un bâton à travers les bois pour que je cours comme un chien pour le lui rapporter. Elle a continué ma séance de dressage en me faisant renifler sa chatte humide et son anus transpirent tout en asseyent sur ma figure elle les frottait toujours pour que les odeurs restent sur moi elle crachait en même temps et tout en se frottent elle étalait sa bave sur toute le surface de ma figure jusqu'au moment où elle s'est arrête et a collé sa chatte poilue et humide de mouille et se salive au niveau da ma bouche et s'est soulagé de son liquide doré et chaud dans ma bouche tout en me disent:"n'en perd pas une gouté larbin". J'étais recouvert de pisse de bave et de ses odeurs intimes. Elle m'a ensuite obligé à me faire moi-même pipi dessus, puis elle m’a fait mettre à 4 pattes sur le quad lui offre mon cul et à commencer à me pénétrer avec ses doigts pour finir avec 4 de ses doigts dans mon anus, elle faisait des vas et viens de plus en plus vite je gémissais comme une chienne j'avais les jambes qui en tremblaient, elle me demandait de crier que j'aimais ça et que j'étais et que je suis toujours je tiens à le préciser une grosse salope. Et pour finir après m'avoir bien défoncé le cul elle m'a sucé en me titille le bout des seins chose qui m'excite énormément pour me faire gicler dans sa bouche et me le recracher dans la mienne et sur la figure. Voilà une de mes expériences le plus où on a pris notre pied.   PS: jhomme soumis.
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Par : le 07/10/23
Le lendemain, Summer, Thomas et Jo vont détecter. Moi, je dois aller faire des courses avec Martha. Ah ! Si je pouvais y aller plutôt avec Summer... Le matin, pendant que je sers le petit déjeuner, Martha fait un geste un peu vif et je me recule précipitamment. Elle rit et me dit : — Je ne te frapperai pas si tu ne fais pas de bêtises. Mouais... Le bateau nous dépose dans le petit port d'Orange Creek, Dean reste à bord. C'est une petite ville, mais aujourd'hui, il y a marché. Martha vient d'une autre île, mais elle connaît bien cette localité. Je suis en uniforme, y compris le tablier. Il y a de très grosses propriétés ici et c'est vrai qu'on voit des bonnes en uniformes. Je me suis un peu renseignée sur le Net au sujet des Bahamas. Il y a des riches propriétaires blancs, arrivés ici il y a deux siècles avec leurs esclaves... Par la suite, d'autres esclaves sont arrivés avec des Blancs sudistes, après la guerre de Sécession. Actuellement, 80 % de la population est noire ou métisse. Martha commence par acheter un grand caddy que je traîne en me tenant derrière elle, puisque les bonnes marchent cinq pas derrière leurs maîtres, comme au temps de la reine Victoria.   On parle anglais, mais il y aussi un patois que je ne comprends pas, c'est ce que parle Martha avec les commerçants. Elle a l'air ravie d'avoir une servante blanche et elle parle de moi avec les commerçants. On achète de tout : des quantités de boîtes de conserves, du poisson fumé, des fruits et des légumes. Quand le caddy est plein à ras bord, je place un gros sac au-dessus. Martha me dit : — Ne mets pas le sac sur le caddy, porte-le. Tu es vraiment une fainéante ! Rires des commerçants ! Un peu plus tard, tandis qu'elle raconte sa vie à une commerçante, je dépose le gros sac par terre. Ouch ! Martha me crie dessus : — C'est sale par terre, souillon, porte ce sac... À moins que tu aies envie de te faire fesser ici ? — Non, pardon, Madame. Je porte le gros sac à deux mains. Les gens sont ravis du spectacle. Un jeune Black uniquement vêtu d'un short s'approche de moi pour me demander : — Tu vis sur un bateau ? — Oui... Il me donne une photo en disant : — Donne ça à ta maîtresse dans le bateau, c'est important. Il s'en va... Martha n'a rien vu. Je regarde discrètement ce qu'il m'a donné. C'est une photo de plusieurs monnaies en or et au verso, il y a un numéro de téléphone. Je glisse la photo dans ma poche. Je crois que ça va intéresser Summer. Martha continue ses achats et ses parlottes. Je finis par être tellement chargée qu'elle est obligée de porter un sac... La pauvre !!! Je pense à cette photo... J'ai hâte de la montrer à Summer, je pourrai peut-être négocier pour ne plus être la servante. Mais d'un autre côté, je n'ai pas envie de me retrouver face à des araignées et des alligators... Quand Martha a enfin fini, on retourne au bateau, moi chargée comme un mulet. On rejoint notre petite crique et on range toutes les provisions. Ou plus exactement, Martha s'assied et ouvre une bière. Ensuite, elle me dit où ces provisions doivent aller. Dès que j'ai tout rangé, je lui dis : — J'ai une lessive à faire, Madame. Petit geste désinvolte de la main. Je vais laver leurs vêtements sales et plein de sueur. Les trois autres arrivent tandis que je pends la lessive. Ils ne sont pas plus frais qu'hier. Je dis tout de suite à Summer : — Je dois te parler... — Tu as fait des corvées ? — Oui. C'est très important. Elle pousse un soupir... et se dirige vers notre cabine. Dès qu'on y est, elle me dit : — Si c'est pour te plaindre de Martha.... Je lui montre la photo. Elle la regarde attentivement, le retourne et voit le numéro de téléphone. Elle me dit : — Putaaaiiin ! C'est ce qu'on cherche ! Qui t'a donné ça ? — Un jeune garçon, au marché... Elle me prend par le cou et m'embrasse. Elle a eu chaud, elle sent bon. Elle prend son téléphone pour appeler le numéro qui est au dos de la photo. Quand elle a quelqu'un en ligne, elle dit : — Bonjour Monsieur, j'ai une photo... — ... — D'accord. — ... — À demain. Elle me dit : — On y va demain, toi et moi. Je vois qu'elle réfléchit... puis elle me dit : — Allons l'annoncer aux autres. On va à l'arrière du bateau. Ils boivent des bières. Thomas lui en tend une. Elle boit un coup... puis leur dit : — Ashley a eu un renseignement très important. Elle donne la photo à Dean, qui est à côté d'elle, en ajoutant : — Il y a des gens sur l'île qui ont trouvé ce que nous cherchons. La photo passe de mains en mains. Martha me dit : — Tu ne me l'as pas dit... — Le jeune homme m'a dit de la donner à ma patronne qui est sur le bateau. C'est ce que j'ai fait. Moue de la grosse ! Jo dit à Summer : — Pourquoi ils nous mettent au courant ? — Tu sais... Cette île qui est quand même proche du trou du cul du monde. C'est difficile pour des villageois  de le vendre. Si le gouvernement est averti, il le leur confisque. Les grands sites de ventes aux enchères demandent la provenance des objets. Ils ont dû se dire que nous avions la possibilité de le faire. Demain, pas de fouilles, on va à Orange Creek. On viendra nous chercher au marché, Ashley et moi. *** Le lendemain, je sers le petit déjeuner, ensuite on s'apprête à aller de l'autre côté de l'île. Summer me dit : — Mets la robe et le tablier. J'espérais... pouvoir y aller autrement qu'en bonne. Je lui demande : — Je ne peux pas y aller... en civil ? — Non, tu es ma servante. — Oui, mais... — Mauvaise réponse, recommence. — Oui, Madame, je suis votre servante. Je ne sais pas ce qu'elle a ce matin... peut-être le stress. On part tous sur le bateau. Summer dit : — Faites un tour en ville. Je vous donne des nouvelles rapidement. Ils aimeraient bien nous accompagner, mais c'est Summer et moi... Enfin, Summer et sa bonne. On arrive dans le petit port et on va au marché. On attend un peu et puis le jeune Black de la veille arrive. Il a dû faire des courses et il a un gros sac... Il dit à Summer : — Suivez-moi. Il peut avoir 18 ans et il est toujours vêtu uniquement d'un short pas très propre. Après une centaine de mètres, il dit à Summer : — Ce n'est pas ta bonne qui devrait porter les courses ? Mais non, pas du tout ! Il est deux ou trois fois plus fort que je ne le suis... Summer répond : — Si, bien sûr... Ashley ! — Oui Madame. Je prends le sac... Oh putain, il pèse une tonne ! Je me traîne derrière eux. Le Black lui demande : — Elle serait pas un peu paresseuse, ta bonne ? Summer va remettre à sa place ce petit insolent. Elle répond : — Il faut la punir de temps en temps, c'est ce que je vais devoir faire. Aussitôt, je les suis ! Pfffff.... On quitte la ville, la route asphaltée devient une route de terre... Je transpire dans ma robe et je prends de nouveau le sac à deux bras. On passe devant une grande décharge... ça pue ! On continue la petite route et on arrive devant un terrain sur lequel se trouve un invraisemblable bric-à-brac de voitures accidentées, d'appareils ménagers... de tout. Summer demande au gamin : — Ton père récupère les métaux ? — Oui. Les pièces de voitures aussi. On marche entre deux murs de... déchets ! On arrive devant une masure en bois. Trois personnes nous attendent, toutes noires. Il y a un couple d'une quarantaine d'années et une fille qui doit être la sœur de notre guide. L'homme est torse nu, les deux femmes en jeans et tee-shirt.   L'homme dit à Summer : — Viens avec moi. Et moi ? Avant que le couple n'entre dans la maison, la jeune femme crie : — Dis, Pa, elle pourrait pas nous aider pour le ménage, la bonne ? Il regarde Summer qui répond : — Bien sûr Mademoiselle. Oh non !!! Ça, c'est à cause de cette saloperie d'uniforme. Summer entre dans la maison. La fille s'approche de moi pour dire : — Je rêve d'avoir une servante blanche qui laverait mes culottes. La femme, qui doit être sa mère, rit et lui dit : — On n'en met pas. — C'est une image, M'man. Qu'est-ce qu'on lui fait faire ? — Il faudrait lui faire repasser nos robes du dimanche... Putain, je déteste repasser ! Au secours ! Elle ajoute : — On fera ça, si elles restent. Ouf, j'échappe au repassage. Elles n'ont pas l'occasion de trouver autre chose à me faire faire, car Summer et le Black sortent de la maison. L'homme leur dit : — Elles restent, son patron vient demain. Grand sourire de la femme et des enfants. L'homme ajoute : — On va arroser ça. Il se tourne vers moi et me dit : — Va chercher des bières dans le frigo. Une servante blanche, ça leur plaît ! Je vais dans la grande pièce où il y a des meubles récupérés dans des poubelles. Seule chose de bien, une grande télé et dans la cuisine, qui est juste à côté, un grand frigo. Je prends quatre bières et je leur apporte. Pas pour moi, évidemment. Ils boivent à la boîte... Quand elle en a assez, Summer me donne sa boîte à moitié pleine. Je lui dis : — Merci Madame. Je bois goulûment. Dès qu'ils ont vidé leurs canettes, la fille me dit : — Va en chercher d'autres ! — Oui Mademoiselle. Je rapporte quatre bières. La fille me dit : — J'ai vu un vieux feuilleton anglais où les servantes font des révérences. Vas-y. On est dans un casse de voiture à côté d'une décharge et je dois leur faire des courbettes ! Je lui fais une profonde révérence, en disant : — Voici votre boisson, Mademoiselle. Elle est ravie ! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 01/09/23
  **Ceci s'est passé à l'Antre des Vices. C’était l’été, encore ! Il a fait chaud. Le soir allait tomber, nu, assis avec quelques autres invités : la fort sympathique Mi et son Maître Soundgen69, Maître Vince et sa délicieuse Liza, je demandais si la fréquentation du cachot était possible. Ayant reçu un avis positif, je fixais alors moi-même des menottes et des fers aux pieds. Me dirigeant vers le cachot, je me couchais sur le sol. Le Maître ferma la grille puis la porte en s’assurant toutefois qu’en cas de détresse, ne sait-on jamais, je puisse sortir. J’avais envie d’être enfermé dans ce cachot d’une surface d’environ 6 mètres carrés pour y passer la nuit. A peine installé, je m’assis, appuyé contre le mur proche des barreaux de la porte. Je constatais que j’allais avoir probablement soif. Je demandais de l’eau. Le Maître Vince m’apporta alors une bouteille d’eau… Je voulais vivre dans une ambiance dur. Je roulai le bout de moquettes qui recouvrait la moitié de la cellule pour n’avoir que la surface de béton. Avec le rouleau de moquette, j’en fis mon appui pour la tête.** Non non ! En fait, je m’étais présenté à la porte de la prison. Dès son ouverture, je fus saisi vigoureusement par les bras, tirés sans ménagement vers l’intérieur d’une salle. Deux gardiens m’attachèrent les poignets. Un troisième me banda les yeux. Mes poignets furent tirés vers le haut. Je me retrouvais presque suspendu. Après avoir reçu quelques bourrades, ils arrachèrent mes vêtements, coupés au couteau je crois. Nu, mes chevilles furent enserrées dans des fers reliés par une chaîne. Non moins brutalement, je fus soulevé et emmené vers un cachot. On m’ordonna de me coucher sur le sol brut. Etendu dans la poussière et la saleté du lieu, je savais que j’allais y passer un long moment. Mon bandeau sur les yeux fut retiré. Les gardiens lardèrent encore le corps de coups de pieds. Ils attachèrent la chaîne qui reliait mes chevilles à un anneau placé au raz du sol. Ils passèrent une autre chaîne autour du cou et relièrent celle-ci à un autre anneau fixé de l’autre côté de la pièce. J’avais assez de mou pour pouvoir me tourner dans la poussière et la saleté. Je demandais de l’eau pour boire. J’étais bien, au-début couché au centre de la cellule, je sentais le sol assez chaud mais un petit vent de fraîcheur modérait le plaisir. Je me déplaçais donc vers le fond complètement étendu, emportant de la poussière et de fins débris de gravats. Ainsi appuyé contre le mur chaud, ma tête reposant sur la moquette roulée, je fermais les yeux de plaisir. La grille se referma dans un bruit de métal et de chaînes que l’on cadenasse. Je fermais les yeux de plaisir. Il est vrai que le local jouxte une route fort fréquentée et cela me gardais éveillé. Mais quelle importance, j’étais dans l’ambiance que j’adore, être enfermé, au bon vouloir, il est vrai virtuel du Maître ou de la Maîtresse. Cérébralement cela a un effet très fort. Goûtant avec plaisir mon corps déjà bien souillé, je me roulais plusieurs fois dans toute la longueur de la pièce. Une véritable et délicieuse sensation de soumission. Je rêvais. Dans un bruit de chaînes et de métal, soudain la grille est ouverte. Entrent alors plusieurs personnes. Trois d’entre-elles portaient de gros seaux. Une dominatrice m’ordonna d’ouvrir en grand la bouche, placée au-dessus de moi, jambes écartées, j’allais pouvoir boire. En fait elle pissa plusieurs longs jets d’urine sur la tête et ma bouche (Je l'ai déjà vécu pour de vrai d'ailleurs). Puis elle me dit « et tu vas pouvoir manger si tu veux ». A ce moment-là, les trois personnes me vidèrent sur le corps et la tête les seaux contenant des déchets de cuisine et des détritus. Ces personnes quittèrent la cellule en refermant la grille. Je frottais mes jambes l’une contre l’autre pour sentir la douceur de ma peau affinée par les hormones. Roulant sur moi-même pour explorer les chaleurs emmagasinées dans la pierre, je trouvais un bout de chaîne avec deux petits mousquetons. Je me mis cette chaîne autour du cou et la reliais à mes menottes de telle façon que je ne puisse plus toucher mon sexe. Je fermais les yeux et continuais à rêver… Je sentais ces détritus sur la peau, collés par l’urine que je venais de recevoir. Je sentais une sorte de pâte fluide couler sur le côté, j’imaginais que cela devait être un reste de crème ou de purée de pommes de terre. Je sentais les liquides plus ou moins visqueux couler le long de mon corps étendu. Frottant mes fesses sur le sol, je sentais qu’elles glissaient comme si c’était de l’huile ou du beurre. Secouant ma tête, je tentais d’enlever des sortes d’écheveaux de fils ou de poils mélangés avec une matière visqueuse que l’urine faisait adhérer sur mes cheveux et le haut de ma tête sans toutefois obturer mes yeux. Frottant mes jambes, je mesurais la quantité d’immondices que l’on m’avait jeté dessus. Je rêvais d’être réveillé en pleine nuit pour une sévère session au fouet, ces fouets qui vous enserrent comme le Maître Vince sait si bien manier. D’être couché dans la terre devant le cachot pour adoucir les morsures du fouet et d’être souillé par ce sol souvent humidifié par l’urine des convives préférant arroser les environs plutôt que de s’asseoir sur la cuvette d’un WC. D’être ramené en cellule pour le reste de la nuit. J’ai adoré ces moments de rêve… tout en continuant à caresser mes jambes, en me retournant pour prendre encore de la poussière sur mon ventre, mes seins et mes bras, je flottais dans un véritable petit nuage de bonheur. Pour finir, ces sensations délicieuses mêlées à des odeurs et senteurs variées, je finis par m’endormir. J’ignore le temps qui avait passé, ni quelle heure il devait être mais je me réveillai pris d’un besoin irrépressible d’uriner. Plusieurs jets atteignirent jusqu’à mes seins. Je fus encore une fois inondé, l’urine inondant jusqu’à ma tête et souillant encore une fois mes cheveux. Je me remémorais aussi ces jours passés dans la prison de Grossenhain, dans les oubliettes, moins confortables que cette cellule finalement assez spacieuse. Une expérience si riche en introspection, de courage aussi car la dépendance est forte, tellement les portes et les serrures sont inviolables. Un mélange de contraintes et de réalités. Soudain la grille s’ouvre de nouveau. Je comprends que je vais avoir d’autres compagnons ou compagnes d’infortune, ô combien ! Les attaches de mes pieds et de mon cou, furent enlevées, mes poignets libérés. Un gardien me fis m’agenouiller. Avec une autre aide, ils m’enfermèrent la tête et les mains libérées dans un lourd carcan. Je me retrouvais donc empêché de manger ou de boire. Le gardien ordonna à l’autre, plus libre de ses mouvements quoiqu’aussi enchaîné, de m’injecter dans la bouche l’urine mélangée à du sperme et les croûtons de pain qui flottaient dans l’écuelle remplie d’urine. Je demandai à mes compagnons de s’exécuter. Pris de pitié, l’un d’entre eux me glissa, son sexe turgescent dans la bouche. Je pus le sucer avec plaisir, recevant au fond de ma gorge plusieurs jets de sperme. C’est le matin, au travers des interstices de la porte je voyais que le soleil brillait. La grille s’ouvrit, une délicieuse elfe, du nom tout aussi délicieux de Liza, entra et me réveilla. Je sortis du cachot pour me doucher et me laver à l’eau froide. Oh ! quelle merveilleuse nuit j’ai passé dans cet endroit fabuleux. Bien que les fermetures pour des raisons de sécurité aient été libres, ce séjour d’une nuit entière, fut absolument fabuleux et restera inoubliable dans ma vie de soumission. Merci Vince, merci Liza ! Kaji, portant le numéro d'esclave 386-312-138
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Par : le 06/08/23
Le compte rendu d'une aventure récente faite à une Dame ayant déclenché bien des choses depuis quelques temps. Merci à elle. Alors hier et alors que je n'y croyais pas trop... Le plan dont je vous avais fait copie du début d'échange a bien eu lieu... Ne finissant pas trop tard ma journée de travail et ayant encore le courage de conduire jusqu'au domicile de ce monsieur. Le monsieur prévenu de mon état crasseux de ma journée et n'ayant rien fait pour une hygiène intime irréprochable. J'arrive donc chez ce monsieur au format imposant... Et direct il me dirige vers son sous sol, dont une partie est aménagée avec tapis fauteuil canapé et matelas... Un véritable lupanar... 😉 Hormis un salut à mon arrivée et quelques formules de politesse, notre échange fut très bref. Là il me dit de me mettre à poil et d'aller me mettre à 4 pattes sur le matelas. Je commence à enlever mes vêtements et lui disparaît. Je m'exécute et repense à un plan foireux d'un mytho voulant juste me voir a 4 pattes pour m'enculer... Ben là c'est presque ça... Je reste comme ça plusieurs minutes attendant le retour du gars. L'imaginaire travaille forcément. La lumière s'éteint et devient tamisée, très sombre... J'entends le mec arriver derrière moi me demandant s'il allait directement m'enculer sans préparation aucune... J'avoue que je frétille un peu d'excitation. Mon humeur salope est bien là et me savoir la tête basse et le cul en l'air attendant je ne sais quoi... Inutile de vous dire que je pensais très fort à vous et ce que vous avez déclenché en moi... Bref je suis là... Entendant le gars derrière moi restant la tête dans le matelas et commençant à remuer mon cul... "Tu m'as l'air d'une bonne petite salope toi" "Un bon cul qui va avec"... Pourquoi est ce que j'aime autant me faire traiter de salope? Et là je sens un liquide chaud qui tombe sur mon cul, le bas du dos, remontant jusqu'à mes épaules pour redescendre de nouveau du mon cul... Le gars sans prévenir me pisse dessus de partout. Mon corps réagi en sursautant, mais la sensation est juste incroyable surtout quand je s'en l'urine entre mes fesses pour couler sur mes couilles... J'essaie de vouloir dire "direct comme ça" mais je n'ai pas pu aller au bout de la phase entendant un "t'as gueule ferme là grosse pute" ou un truc du genre. Je suis surexcité... Le gars commence à bouger pour venir face a moi... Moi toujours la tête basse dans le matelas. Il me dit de me mettre sur les bras et de relever la tête... Et là il relance la machine et me pisse dur le visage... Et moi de fermer les yeux et de tourner un peu la.rete dans un sens et dans l'autre pour en avoir partout. Je me mets à genoux pour mieux recevoir sur le torse et là il s'avance et colle sa bite, d'un très beau format, sur ma bouche en continuant de pisser... Forcément j'ouvre et me voilà une bite en bouche faisant des va et vient tout en pissant... Ça coule de partout et j'adore ça. Mais même si le gars s'est préparé il ne peut uriner des heures. Une fois fini le jet d'urine, il pose ses mains sur ma tête et commence à me baiser la bouche... Avec les mots qui vont avec. Honnêtement je ne sais plus où je suis... L'urine encore chaude sur mon corps et un sexe qui commence à grossir sérieusement dans la bouche. Plus il grossit plus il va chercher loin et plus il y va fort...le moment n'est finalement pas très agréable. Mais la sensation d'être une grosse pute ayant perdu le contrôle de tout. Diantre que cela provoque de la jouissance et ne m'incite pas a stopper ou réfréner les ardeurs de ce mec. Heureusement le mouvement devient plus acceptable et il prend plaisir à me gifler le visage avec sa queue bien dur. J'adooore ! Bien sûr toujours les mots doux... Je ne sais au bout de combien de temps il finit par lâcher ma tête et me remet en position initiale...la tête basse et le cul relevé... Une nouvelle fois j'attends quelques minutes... Il revient "tu dis que tu aimes être a 4 pattes en prendre comme il faut espèce de pute... On va voir ça" Il jette à côté de moi quelques godes... Sur le coup je suis un peu déçu... Je veux une vraie bite bordel! Quelques bonnes claques sur mon cul, mes couilles tirées et triturées... Mais juste ce qu'il faut et je sens ses doigts pénétrer mon cul. De ces doigts il passe a un gode... La sensation est tout de suite plus agréable. Ne pouvant me voir je m'imagine en position avec ce mec jouant de ses jouets avec mon cul... Je commence à gémir... Comme une bonne petite salope... Je sens un gode plus gros... Plus long... Mon cul semble pas trop merdeux...et c'est tant mieux... Alors que je suis a onduler mon cul et de couiner un peu... Le jeu s'arrête et le gars s'en va de nouveau. La pour le coup je me sens terriblement frustré... Et limite a vouloir me barrer. Mais bon j'attends un peu et le gars revient pour directement me renfouner sa bite dans la bouche... Encore des mots crus... Je suis sa plus belle salope etc... Je me dis qu'il va me cracher son jus en bouche ou au visage... Ce que j'adore... Mais non. Il arrête. Je crois qu'il va encore me laisser quelques minutes... Et bien non... Il vient se positionner derrière moi, et vient frotter et taper sa bite contre mon cul et ma rondelle... Je commence à m'exciter tout seul à l'idée de me faire démonter... Enfin! Pas le temps de finir ma pensée... Je sens sa bite me pénétrer sans hésitation jusqu'à son pubis. Me voilà embroché sur sa queue et le plaisir est infini. Je voulais me faire démonter... C'est ce que je lui avais écrit... Et bien il me démonte... Les mains sur mes hanches a me ramener vers lui quand il vient vers moi... Il me défonce le cul et j'adooore ça... Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment a chaque mouvement, ma tête s'enfonçant toujours plus dans le matelas au drap humide. Il y va... Sa bite sortant par moment pour mieux me pénétrer de nouveau. Combien de temps je ne sais pas mais c'est jouissif. Je crois être au comble de mon plaisir quand il décide de me prendre les bras pour me les tenir en arrière me relevant du haut mais mon cul bien cambré... Alors là c'est le summum... Je m'entends crier de plaisir et lui m'insulter de chienne a bite. Je le sens se retirer volontairement et rapidement je sens la percussion de son éjaculation chaude sur mon anus brûlant... J'en serre mon cul de plaisir rien que de repenser a cette sensation. C'est exquis ! Je suis toujours à 4 pattes sur mes coudes, tremblant de plaisir... Il vient se mettre a genoux devant moi, me relève la tête et place sa bite devant mon nez pour commencer a essuyer le sperme encore sur sa queue. Je le prends en bouche pour tout nettoyer... "Bonne, très bonne salope..." Je déguste cette bite demi molle encore un instant... La sensation de mon cul encore plein. Ce moment est délicieux je l'avoue. Le gars retire sa bite, se relève et me dit que j'ai une douche au fond si je le veux et que je peux partir par la porte du sous sol... Lui remonte. Le retour fut hallucinant... Aujourd'hui et encore ce soir je suis tout excité de ce moment ...j'avais besoin de le partager avec vous. Mais j'ai encore plus envie de me faire démonter comme une salope. De votre faute tout ça...
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Par : le 31/07/23
A la fois brillant, entrepreneur, sportif mais prêt à tout pour fuir un quotidien insupportable, avec cette fragilité et ce refus de s’adapter aux normes sociales établies. Louis a longuement trouvé un refuge dans une épaisse carapace d’indifférence et d’adaptation. Il nomme si bien cette période « l’hibernation ».  Il voyait son paradoxe, cultivant l’excellence, recherchant l’intensité dans tous les sports extrêmes pour se sentir vivre tout en contrôlant admirablement ses émotions. C’est assez touchant la manière dont il évoque ce processus de questionnement existentiel, sa quête réelle de sens, lui qui vous parlera si bien de Yung.    Navigant sans protection, Emilie aime tant se réfugier dans son imaginaire, créative, passionnée. Elle a cette splendeur, cette sensibilité sans égard et la puissance de ses émotions. Elle vous observe lentement, scrutant le moindre détail. J’ai toujours apprécié sa douceur et son exigence.    Ils ont en commun ce désir absolu d’arrêter de penser et de détester l’ennui. Je dirai que je n’avais jamais vu une aussi faible tolérance à l’ennui avec ce besoin permanent de nouveauté, de stimulation et d’intensité.    Ils s’étaient rencontrés depuis quelques années sur un site d’adultère et avaient progressivement laissé leurs cerveaux fonctionner pour s’auto-entraîner dans un nouveau monde sans limites. L’alternance était leur jeux, perdre le contrôle, le reprendre, apprendre, s’abandonner, découvrir… soumis ou dominant à la recherche de l’extase sensorielle.    J’ai toujours trouvé formidable leur liberté. Cette harmonie face à la complexité, leur analyse pour personnaliser l’instant et ressentir nos émotions.    Ils semblaient totalement complices et fusionnels à la fois. Nous étions dans leur danse sans jamais pouvoir pénétrer dans leur espace. Ils parlaient peu, toutes leurs attitudes, mouvements, décisions, se jouaient dans une forme d’intuition, de connivence pour stimuler nos esprits et maximiser nos plaisirs. On voyait qu’ils prenaient aussi du plaisir à nous voir transcendé.    Nous avions fait leur connaissance alors que notre couple battait de l’aile. Ils offraient leur talent à dominer des couples. C’était une expérience spirituelle pour eux. Ils n’étaient pas un couple comme les autres, ni des dominants stéréotypés. Ils avaient leurs règles du jeux, celles de la spontanéité et de l’absence de scénarios établis. Louis nous avait expliqué qu’il me transporterait vers un chemin qu’il ne connaît pas encore et qu’il essayerait de faire participer ma femme.   Je recherchais à être dominé mais je ne me sentais pas assez en confiance pour y aller seul. J’avais réussi à convaincre ma femme de m’accompagner. Nous avions répondu a quelques questions sur nos pratiques et tabous.    Nous nous retrouvions la première fois dans une cabane améliorée, poutre en bois, atmosphère de chalet. Cet espace était au milieu de la nature. Ils aimaient nous emmener dans ce lieu en forêt que nous réservions pour une journée.    Ma femme était réticente et j’étais gêné de voir son attitude. Elle était pourtant prête à jouer un peu. Émile allait la guider pour d’abord me dominer légèrement puis s’abandonner.    Nous nous sommes retrouvés nus et ils nous ont mouillé et huilé le corps. L’idée était qu’on se regarde avec nos corps brillants.  Nos mains furent attachées en l’air, nous étions tous les 2 proches pour se toucher par nos corps, légèrement suspendus. Je découvris alors les coups d’un martinet léger, puis d’un martinet plus lourd. C’est Louis qui donnait les coups. Je me retrouvais à crier et à mettre ma tête entre les seins de ma femme. Ce moment était d’extase, les coups étaient de plus en plus fermes et je découvrais de nouvelles sensations.    Émilie détacha ma femme et me banda les yeux. Elle accompagna ma femme à parcourir mon corps avec ses mains puis l’invita à nouer fermement mon sexe avec une cordelette. Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce. Nous ne devions pas parler. J’entendais des chaînes, des bruits métalliques … d’un coup, une goutte brûlante de cire me tomba sur le corps. Émilie montrait à ma femme comment utiliser la bougie et dessiner sur mon corps.  Cette sensation me coupait le souffle, entre plaisir et supplice.  Ma femme respirait intensément. Je sentais son plaisir et j’étais excité à cette idée.  Voyant mon sexe en érection, Emilie lui demanda de verser des gouttes de la bougie sur mon pubis. C’est Louis qui la stoppa voyant que nous allions très loin et que j’étais presque en apnée depuis 30 s. Je crois que c’est le plus grand souvenir de la soirée, un souvenir d’une première fois que j’ai encore à l’esprit.    Ils m’enlevèrent le masque et mon corps était marqué de ces gouttes noires et rouges. Je fus détaché et ils m’ont demandé de m’allonger sur le dos. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits.    Louis pris un couteau aiguisé et m’enleva la bougie sur mon corps. Mon sexe lui, a été frappé par un petit martinet léger. J’avais vraiment l’impression de m’abandonner et de ne plus savoir où je suis.    Ma femme était trempée et voyant son excitation Émilie lui demanda de venir s’assoir sur mon visage pour que je la déguste longuement.   Pendant ce temps, Louis m’attachait avec les cordes de shibari l’intégralité de mes membres. Je n’avais que ma langue pour s’occuper de ma femme.    Je revois encore Camille et Emilie se regarder lorsque ma femme eu un orgasme sur mon visage.    Emilie demande alors à ma femme de se mettre accroupi et de m’uriner dessous. Nous avions dit que nous ne voulions pas de jeux uro. Cette idée était totalement tabou dans nos esprits. Ma femme semblait avoir perdu totalement le contrôle. Je vois sa résistance et une forme de complexe à cette idée et j’adore. Émilie agit plus fermement sur ma femme en lui mettant des pinces sur les seins et en lui exigeant d’uriner. Ma femme subit des coups de badine sur les fesses. Émilie n’arrêtera pas sans cette urine chaude sur mon corps.  De petites gouttes puis un jet chaud me parcourent le visage. Je dois ouvrir la bouche et remplir ma bouche. Je ne sais plus quelle quantité j’ai avalé mais j’ai senti cette humiliation et ce plaisir si intense d’être entravé et trempé.    Mon sexe fut détaché par ma femme et les principaux noeuds sur mon corps par Camille. Ils nous laissèrent enlacés et allongés tous les 2 dans cette humidité en quittant la pièce. Nous avions perdu la notion du temps. Je découvris que nous avions été dans cet espace sans limites pendant plus 2 h.                 
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Par : le 18/10/22
Madame Wolf lui dit : — Si je peux vous donner un conseil, cher ami, c'est de garder Summer. Sans elle, cette fille fait n'importe quoi. Non mais, de quoi elle se mêle ? Je lui dis : — Dites, Madame... — Oui ? Tout le monde me regarde, je rougis. Et Sara, sa petite chérie, me dit : — Si tu laissais parler les grandes personnes ? Comme sur le toit du building ! Oh, celle-là, je vais la... et puis non, je m'en fous. Je murmure : — Sale garce ! Je me lève et je me dirige vers la porte. J'en ai marre ! Monsieur Sam dit : — Summer, intervient ! Aussitôt, elle vient vers moi, pour me prendre fermement par l'aisselle et l'épaule, comme elle a l'habitude de le faire. Elle me pousse contre un mur, puis elle approche son visage à deux centimètres du mien en disant : — Arrête de faire la gamine, sinon je te corrige devant tout le monde ! Elle a parlé assez bas heureusement. Je réponds : — Mais, je... je suis perdue... Je ne comprends même pas ce qu'on me veut. Est-ce que tout ça est vrai ? Je ne sais pas si je dois accepter. Qu'est-ce que je dois faire ? — Tu acceptes et tu demandes deux choses, d'abord moi, et ensuite de continuer à habiter dans la maison de Malibu. — Mais... Elle me serre méchamment le bras en disant : — Non, Ashley, pas de mais. La seule chose que tu as le droit de dire c'est "Oui Summer". Vas-y. — Oui... Summer... Un "mais" me brûle la langue, mais... je me tais et je me frotte le bras. Summer ajoute : — Va t'excuser. Elle m'amène devant le groupe qui discute. On nous regarde et je dis : — Excusez-moi, mais... tout ça est tellement inattendu et... Summer me dit : — Excuse-toi poliment auprès de Sara. C'est la deuxième fois que je m'excuserai ! Je lui dis : — Excusez-moi, Mademoiselle, je suis un peu perdue et... Elle a un petit geste désinvolte comme pour chasser un insecte. Monsieur Sam s'adresse au Président : — Vous voyez, Summer est indispensable. — D'accord, on l'engage. Et là, je surprends un échange de regard entre Monsieur Sam et Summer... Je crois qu'ils savent très bien ce qu'ils font : Summer, Monsieur Sam, Madame Wolf, Sara... Ils veulent que le Président engage Summer... pour quelle raison ? Je ne sais pas, mais, moi, ça m'arrange. Je dois avouer que même quand Summer m'oblige à faire quelque chose, ça me plaît. Je ne parle pas du saut à l'élastique ! Ils parlent encore de choses et d'autres, moi je colle Summer, comme à mon habitude. Le Président me dit à nouveau : — Alors Ashley, on se marie ? — Oui, avec plaisir... mais il y a deux choses que je voudrais : Summer et pouvoir continuer à aller dans la maison de Malibu. — Summer, je viens de l'engager, quant à la maison... Il se tourne vers Sam qui lui dit : — C'est la maison de Leyssens, on y a été ensemble. Il est en Thaïlande. — Ah oui, je m'arrangerai avec lui. C'est d'accord pour que tu habites là quand tu n'es pas à la Maison-Blanche. Je me lève pour aller l'embrasser. Monsieur Sam me dit : — Il y a quelques documents que tu devrais signer. C'est l'homme grisonnant qui me les apporte. Je les signe sans les lire. Je fais confiance à Monsieur Sam. Depuis que j'ai assisté à la punition des filles, j'ai un peu le feu au cul,  comme on dit, dans ma campagne. Je voudrais Summer ou un mec costaud et hétéro (non, pas le Président). Justement, il me dit : — On va aller dans la chambre, il y a une petite surprise pour toi. Quoi ? Un yacht, un brillant ? On monte et dans la chambre, il y a Tex, mon beau Texan. On s'embrasse et je dis au Président : — Juste ce qu'il me fallait après avoir vu les filles fouettées. John rit et nous dit : — Je vous laisse, j'ai du travail. Je viendrai vous chercher pour le petit déjeuner, demain matin. Là, je veux quand même une explication. Je lui demande : — John, voulez-vous bien venir trois minutes sur la terrasse? — Oui, bien sûr. On sort et je lui dis : — S'il vous plaît, expliquez-moi. — J'aime les femmes volages, surtout s'il s'agit de ma future femme. Je suis excité à l'idée que ma femme se fait trousser dans la chambre à côté de la mienne. Tu comprends ? — Oui. Non, mais ça ne fait rien, tant que je peux m'envoyer en l'air avec Tex. Il m'embrasse... sur la joue et il sort de la chambre en disant : — Bonne nuit, les amoureux J'enlève ma robe... Tex me dit : — C'est dingue, tu vas devenir la première dame. — Il paraît, mais je n'ai pas envie que tu me baises comme si j'étais la future femme du Président. Il comprend ce que je veux dire. Il me donne une bonne claque sur les fesses en disant : — À poil, petite salope ! Ouiii, c'est ça... J'enlève ma robe... On s'enlace, on s'embrasse, on se renifle, on se lèche. Il me dit : — Mets-toi à 4 pattes, je vais te monter. — Oh ouiii !  Après avoir baisé et joui, on s'endort dans les bras l'un de l'autre... *** Le lendemain, je me réveille et dans la pénombre, je vois le Président assis dans un fauteuil. Il me sourit et dit : — Bonjour Ashley. Ton Texan t'a bien baisée ? — Comme une reine ou plutôt comme une pute. Il rit. Je fais rire le Président des États-Unis... Tex se réveille et se lève. Il salue le Président, la bite à l'air, puis il va ouvrir les volets. Je me lève, on est tous les deux nus. J'embrasse Tex en disant : — Bonjour mon chéri. Oui, j'ai compris que c'était ce qu'il voulait, le Président ! On s'enlace... mais sans s'embrasser, ce sera après le lavage des dents. Le Président semble fasciné par le spectacle de sa future femme nue dans les bras d'un autre homme. Summer lui dirait "ferme la bouche, on va déjeuner". Je vais lui faire comprendre : j'enfile ma robe et je lui dis : — J'ai faim... — Oui, moi aussi, on descend... Tex me prend par la taille, tandis que le Président marche derrière nous. Franchement, cette situation est tellement bizarre que j'ai encore un doute. Qu'il soit le vrai, c'est sûr. Personne ne ferait une blague aussi énorme... C'est plutôt que je doute qu'il m'épouse... Bah, j'aurai pris du bon temps ! Dès qu'on arrive dans la salle du petit déjeuner, des hommes viennent à notre rencontre. Certainement des gardes du corps. Ils sont suivis par une jolie femme dans la trentaine. Elle nous dit : — Bonjour Monsieur le Président, bonjour Mademoiselle. Le Président me dit : — Voici Madame Conway, elle sera... ta secrétaire. On se serre la main. Qu'est-ce que je vais faire avec une secrétaire, moi ? Elle est jolie, c'est une brune aux yeux clairs, mais bon, j'ai ce qu'il faut à la maison. On va s'asseoir à une table. Des serveuses apportent du café, des crêpes et pour moi, des oeufs aux lards avec des patates. Ils sont vachement bien renseignés sur mes goûts. Monsieur Sam a dû leur en parler. Le Président me dit : — Madame Conway te mettra au courant. Puis à elle : — Comme je vous l'ai dit, je vais épouser Mademoiselle Stirland. — Toutes mes félicitations, Monsieur le Président. Elle est très belle. Peut-être vêtue d'une façon un peu révélatrice pour une première dame... On rit... C'est vrai, je suis nue sous ma robe transparente de sex shop.  Il répond : — Oui, c'est exceptionnel. Je dois y aller. Termine ton petit déjeuner, Ashley. Madame Conway te déposera où tu veux. Il m'embrasse sur la joue et s'en va, suivi de ses gardes du corps. Je mange mes oeufs et, entre deux bouchées, je dis à la femme : — Vous savez, je continue à me demander pourquoi le Président m'a choisie. — Oui, je comprends que vous soyez un peu perdue. Il a besoin d'une très jolie épouse pour faire taire les rumeurs sur ses... moeurs. Et aussi pour ses voyages à l'étranger. Paris, Tokyo... Je vous expliquerai tout ça. Fin de la troisième partie. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Bruce Morgan et Mia vous proposent «Ashley et les esclaves » 319 pages, 81 dessins + « Les vacances de Mia » 35 pages, 14 dessins de Bruce. Vous allez passer de super moments pour 10 € via paypal à : leslivresdemia@gmail.com Vous les recevrez directement sur votre mail.
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Par : le 02/09/22
Abus des sens. Envie d’abuser … Tumulte de mes pulsions… plus envie de gérer… Mettre en place cette envie de dominer… Attendre… Vivre l’instant présent… Jouir du mal absolu… Peut-être un peu trop bu… ----------------------------------------------------------------------------------------- Un vent d'amour s'est levé ... L'orage s'éclate! La tempête vit. La nuit est belle... ----------------------------------------------------------------------------------------- Petite nuit une fois l’heureux orage passé. La tête dans un bien être, Je vaque à mes occupations, c’est la rentrée… Peu d’occasions de me poser aujourd'hui, mais qu’importe, les lendemains de mes tumultueuses pulsions sont , pour Moi, source de légèreté d’esprit. Je repense à là où la foudre est tombée avec intensité… Instant violent et ardent… En tout point jouissif… Aboutissement d’une belle journée… C’est la rentrée… Heureuse d’être et d’avoir, Je veux jouir avec fracas… Jouir à travers l’un des Miens… Prendre ce qui m’appartient et l’emmener sans mégarde au cœur d’un somptueux orage… Là où mon amour fait rage. Oui ça gronde, il fait sombre et rude … Les impacts foudroyants déchaînent mes sens… Juste le temps d’enfiler ma tenue de pluie et d'accrocher mes bas… Ô fabuleux orage! Que J’aime tout emporter sur mon passage. Bien amarrer Mon tendre soumis et l’introduire sous ce temps qui claque. Le faire hurler en ordonnant le silence. Lui faire goûter à ma rage d’aimer et prendre tout ce qu’il a à me donner. Perdu au milieu d’un monde nouveau , là, à sa place, dans Mon Antre, découvrant la force d’une tempête d'amour aux milles éclats… Oui, ce n’est que de l’amour. Un tumultueux et ô combien diabolique amour… Marquant à souhait, corps et âme. Aux frontières d'insupportables douleurs , Je prends mon dû de jouissance... Je puise à outrance... J'abuse en toute conscience à grands Coups de tonnerre et éclairs... Jusqu'à ce que le vent s'apaise... Que l'amour tournoyant retrouve sa sérénité... Une pluie dorée calme les dernières bourrasques... Les griffes se rétractent... Je desserre les liens de ma pute et laisse éclater ses sanglots en pluie fine...
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Par : le 17/01/22
200 C'est le nombre de pinces à linge que j' ai accrochées sur Mon soumis . Rangées serrées tout autour du dos, des fesses et l' entre cuisses... Retirées plus ou moins lentement, brutalement, délicatement parfois par poignée. D'autres judicieusement laissées... Virées à la cravache, à la main ou au pied. Il faut bien les enlever... Un long moment fun et intense et des traces... Humm! Ces traces... Une multitude de petites morsures qui sillonnent son corps... C'est aussi le plaisir de les mettre. Une à une les placer soigneusement... Chercher ce filon de peau qui accueillera mes pinces pour dessiner sur son dos... C'est le croquer à petit feu à travers mes belles qui se fixent à ma volonté... Je veux qu'elles tiennent, qu'elles tendent, qu'elles soient le prolongement de mes phalanges... Des centaines de doigts pressent sa chaire pour moi. Pour me procurer ce plaisir que je sens monter en moi... Déjà une centaine solidement ancrées en rangs serrés... Une autre tourbillonne à pleine dents sur son cul et glisse sur ses cuisses... Les rebelles refusant de prendre part à ma perversité voleront loin de moi. Je refuse que l' on vienne troubler mon plaisir. Je veux les 200 sur lui... 150 Mon plaisir se précise... Mes envies se précipitent... 180 Mon excitation m' enivre... Mon corps s'agite... 190 Je vibre... Mon pouls s'accélère... J'y suis presque... CLIC... CLAC.. 2 se détachent... Non! Reviens par là! Plus que 5. Plus de place... Sa peau est si tendue, Il commence à gémir... Hum! Attends un peu que je les retire... Oh oui tu vas gémir.... Plus que deux. Vache! Je suis en train de jouir. Non! Pas encore! Vite une place... Là, sur la peau du cou, une... La dernière sur l' aisselle. Humm! Oui 200! Les voilà mes belles carnivores qui te sucent lentement... Humm! que tu es beau ma bête à pinces... Que tu m' excites ainsi.... Tant d'attente pour arriver à tout placer , tant de plaisir à venir à tout enlever. Tant de jouissance déjà présente qu'une pulsion me vient: Comme on sabrerait de champagne une victoire bien méritée, J' arrose Ma chose de son champagne préféré avant d'ouvrir les festivités... CLAC!
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