La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 05/07/23
Son récit  — RETOUR DE VACANCES ECRIT PAR MA PETITE S…… Nous nous retrouvons après plusieurs semaines de vacances. Le maître trouve un lieu très joli, un champ de pommiers avec une très jolie vue, ainsi que des haies de mûre que nous dégusterons après des folies de nos corps.  Nous nous embrassons délicieusement mais mon désir est trop présent. Très rapidement je fais glisser son pantalon sort son sexe déjà prêt à être accueillir par ma bouche. Je le suce puis il enfonce ses doigts en moi, hmm. Très vite je me retrouve allongée dans sa voiture. Il me pénètre… wouah, c'est si bon de le sentir me remplir. Chaque coup de rein est un délice et à chaque fois qu'il s'enfonce tout au fond, qu'il me remplit, je jouis, je me sens à lui. À certains moments il agrippe mon sein droit, le griffe, pince mon téton. Il sait que de cette façon il me fait très mal mais aussi que ça m'excite encore plus. Toujours en moi , il me dit qu'il a très envie de s'enfoncer dans mon cul ou bien de s'enfoncer dans le fond de ma gorge. Dans ma tête je me dis que mon cul, oh oui, avec plaisir. Par contre dans ma gorge, non j'ai envie de le supplier de ne pas le faire. Il le sait et comme s’il lisait dans mes pensées, il me dit que je sais qu'un jour il me le fera puis il continue de me faire jouir.  Le maître se retire puis il sort d'un panier une huile de massage. Je sais ce qui va m'arriver, ce n'est pas pour un doux massage du dos. Non, il trempe sa main de cette huile. Il me demande d'écarter mes cuisses et mes petites lèvres. Ses doigts puis sa main entre dans mon vagin. La sensation qu'il me procure est indescriptible, une douleur mais aussi une telle jouissance, mon corps n'est plus rien et n'appartient qu'au maître.  Il me pénètre de nouveau, me fait jouir encore et encore en continuant d’agripper mon sein et de le torturer. Il se retire puis je le prends en bouche pour y récupérer son nectar. Je fais des vas et viens, il baise ma bouche en me tenant par la tête puis je le sens frémir, son nectar chaud se dépose sur ma langue. Hmmm je me retire pour avaler ce que le maître vient de m'offrir. Je le remets en bouche pour récupérer la dernière goûte.  Nous nous allongeons dans les bras l'un de l'autre.  Merci maître pour ce moment délicieux 
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Par : le 05/07/23
Son fantasme (mercredi 18 juillet 2018 12:55) : Fantasme d'après coupe du monde de ma S...... J'adorerai me retrouver en voiture avec mon maître. La coupe du monde bat son pelin à l’audimat, et la radio commente le match, mais cela, je m’en fou complètement. Nous roulons, puis une envie soudaine me vient à l'esprit. D'un regard coquin, je pose ma main sur sa cuisse, remontant vers son entre jambe. Très rapidement pendant que je continue mes caresses, le maître change de direction et se gare dans un endroit tranquille. À peine la voiture arrêtée, je descends et le rejoins côté conducteur, il est toujours assis face à moi. Je déboutonne son pantalon, sors son sexe déjà dur. Je lèche son gland de la pointe de ma langue, passe ma langue tout autour de son gland plusieurs fois puis je remonte le long du frein. Ma bouche enveloppe son gland puis descend le long de sa verge pour faire des vas et viens pendant qu'il pince mes tétons  Le maître m’ordonne de me mettre face au capot de la voiture et de m'y pencher. Il s'approche de moi, admire mes fesses. Sa main claque contre mes fesses, puis il me pénètre et me fait jouir.  Je le suce pour qu'il puisse jouir à son tour et déguster son nectar.
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Par : le 05/07/23
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.   Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées. Se questionne. Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection. Minutieuse elle espère le rendre fière,  Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.   Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,  Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.   Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux. N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.   Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention. Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.    - Ouvre les yeux salope.   La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,  Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce, En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.  Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.   - Debout, danse.    Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.   Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.    Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.   Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue. Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.   Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie. Le maitre accepte.  Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.  Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.    Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre. Le rêve devient réalité.
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Par : le 04/07/23
J ai été contactée hier début de soirée sur mon site préférée, ici donc, en me demandant si je pouvais venir tout de suite à la grande motte. J ai pas demandé pourquoi et j ai accepté. A 21h30 devant lidl. Je suis à l heure, je suis encore en talon haut rose, un body résille bien rentré dans le cul,des bas marrons et une démarche de cochonne. J ai du rose à lèvres et je sors comme ça De la voiture à côté sort un couple, la trentaine, genre BCBG. Ils s approchent de moi et me disent: parfait! Et me font monter dans leur véhicule. Ils me disent de mettre une cagoule noir avec juste une ouverture pour la bouche. Et m explique que je sers à motiver une salope, qui veut dépasser ses limites. Arrivés dans un hangar, avec une odeur de renfermé mélangé à de l essence . Il y a un treuil à chaîne qui descend au milieu et une jeune femme brune en bas et talons noir avec une belle poitrine apparente, tête baissée, bras dans le dos. Ils me poussent vers le treuil, et passe un manche à balai dans mon dos, pour ensuite m attacher les poignets, puis les avant-bras à ce bâton. Ils m ont ensuite fait plier les cuisses, bien écartées, et on attaché mes chevilles aux extrémités du bâton. Une position cul cambré, ouvert, efficace. Puis, ils m ont attaché les cuisses qu ils ont accroché au treuil et m ont levé comme ça Ils ont dit à la soumise qui était là : regarde ce qu on attend de toi! Ils ont mi un tabouret sous moi, et dessus, un énorme plug rouge. Ils m ont empalé dessus, après m avoir bien graissé, direct. Dans cette position, je pouvais pas faire grand choses. J ai commencé à gémir, et ils m ont rempli la bouche avec du tissu. Et ça forçait. Ils me claquaient les fesses régulièrement, appuyaient pour faire rentrer, et me stimulaient en disant: tu y es presque ! Allez, lâche prise! J ai relâché tout les muscles, et tel une marionnette, je me suis lâchée, j ai senti que ça allait passer, mais ça allait m éclater. Et, juste après une claque bien placées sur chaque fesses en même temps, c est rentré. Un soulagement. Il était bien en place, jusqu'au bout. Ils m ont ensuite détaché du treuil, et fait marcher, en tortillant des fesses avec le plug toujours planté, et ils s amusaient à me mettre des fessées. Ensuite, ils m ont mi à quatre pattes et ont dit a la soumise de me l enlever. Elle a galéré bien dix bonne minutes avant d y parvenir. C était chaud. Elle a dû ensuite me fister à deux mains. J en pouvais plus, j étais sans résistance, mais c était délicieux. Ils m ont ensuite ramené au parking, et j ai dû souffler une heure avant de pouvoir repartir, la tête et le corps détendu et en apesanteur. A votre service.        
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Par : le 03/07/23
Un Monsieur m a contacté sur ce site, et m a fait venir chez lui, dans son salon. J étais maquiller comme une petite pute, en talon haut rose et bas résille. Il avait préparé tout un tas de jouets. Notemment des jouets pour chiens, gros os en plastique, haltère. Il m a mi un gros os en plastique dans la bouche, m a mi à quatre pattes, et fait cambrer mon cul. Il a commencé direct à me lubrifier en y mettant les doigts avec force. Il rentrait plusieurs doigts une main, puis pareil avec l autre. Il me demande si j aime quand ça force, je lui fais oui de la tête. Il a alors enlevé l os de ma bouche, et introduit à la place un gros gode cours, qu il a attaché derrière ma tête, a l aide d une facette qui passait a la base du gode.Remplie. Ensuite il a commencé à forcer. D abord avec les plus petits jouets, qui déjà étaient énormes. De tant en tant, il me disait: bonne petite chienne ça ! Et il a enchaîné sur du gros, du très gros. Tous n ont pas pû rentrer, malgré son insistance et mon envie Il a même forcé une fois avec le pied. Mais qu en c est rentré, j ai été fendu en deux, et impossible de crier avec ce gros gode dans la gorge qui s enfonçait quand je bougeais ma tête. De tant en tant, des claques sur les fesses, pour attendrir, et c était reparti avec des canettes Perrier, coca, ses poings. Il m a dit ensuite que ça l a bien existé, si je voulais sucer et avaler. Je me suis retrouvé, tjrs dans la même position, avec sa grosse queue au fond de la gorge, et j aspirais. Il m a ensuite lancé : tire-toi salope! Je l ai remercié en lui disant que j étais à sa disposition, comme toujours.
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Par : le 02/07/23
Debout à l’avant du pont, cheveux au vent, je ferme les yeux pour me sentir en communion avec la nature, ressentir le souffle de l’air frais sur mon visage, entre mes cuisses. Je ne porte pas de culotte. Jamais ! Ordre du Maître. Le ferry s’approche du petit port de Rønne. Il va être temps de quitter le pont et de regagner ma voiture pour le débarquement. Les attaches du porte-jarretelles qui dépassent largement de la micro-jupe me donnent un air de pute, j’en suis persuadée. Toujours cette gêne que je ressens.  Difficile de se débarrasser de ma pudeur instinctive issue de mon éducation de fille bien sage. Mais je n’y peux rien, c’est mon Maître qui choisit mes tenues, même quand nous sommes séparés.  « Ainsi tout le monde sait que tu aimes la bite, et moi ça m’excite de le faire savoir » me répondait-il en souriant quand je lui faisais part de ma gêne. Ce n’est pas faux. J’adore la bite. Mais de là à le faire savoir aux inconnus que je croise… Un jeune homme m’aborde.  Même pas sûre qu’il soit majeur. Pour moi qui suis dans la trentaine, j’avoue que c’est flatteur.  « Hej frøken, rejser du alene? » Je lui réponds en anglais, que je suis française et que ne comprends pas le danois. Surprise ! Il me répond en Français, avec un fort accent, mais très compréhensible.  « Ah la France ! Quel beau pays ! Blablabla… » Je comprends surtout qu’il aimerait bien me mettre la bite. Mon Maître n’a pas tort, le message délivré par ma tenue est sans ambiguïté. Il me demande combien de temps j’ai prévu de rester et me propose de m’accompagner pour me faire découvrir l’île. Les consignes sont claires : je ne suis pas autorisée à prendre des décisions importantes toute seule. Je dois contacter mon Maître pour lui demander la conduite à tenir.  Mais là je n’ai pas le temps, il faut que je regagne ma voiture pour le débarquement. Alors je décline poliment.  J’en informerai mon Maître plus tard et il décidera s’il y a lieu de me punir pour cette entorse au règlement. Il me demande mon mail.  J’apprécie la délicatesse, c’est moins intrusif que le tél.  Il est sympa finalement.  Je crois que je l’aime bien.  Mais même ça je ne veux pas. Je lui demande quand même le sien pour garder une possibilité de contact, au cas où. Il me l’écrit sur un papier et me souhaite bon voyage. Il ne me met pas la pression. J’apprécie. Depuis l’instauration du fucking pass [1], les jeunes redoublent d’envie de baiser en cachette, malgré les risques encourus. L’attrait de l’interdit… Cela me donne un peu d’espoir. Peut-être qu’il reste encore  un peu d’humanité dans cette société lobotomisée. Je suis très concentrée pour débarquer, cramponnée au volant. La passerelle est étroite, et j’ai l’impression que je n’ai pas intérêt à faire un écart. Cela ferait certainement rire mon Maître, comme à chaque fois que ma nature de grande anxieuse remonte à la surface. Je pousse jusqu’ à Gudhjem, sur la côte Nord-Est de l’île. C’est un bourg pittoresque aux maisons colorées. Mais je n’arrive pas à profiter de l’endroit. Mon Maître me manque. Quand je suis à ses côtés, même le plus quelconque paysage me semble magnifique. Quand je suis loin de lui, tout me semble gris. Allez, il faut que je me ressaisisse ! « Un bon coup de pied au cul, rien de tel pour sortir de la spirale des idées sombres » m’a dit mon Maître quand un jour j’ai osé lui confier le découragement qui me traverse parfois l’esprit lorsque son absence me pèse trop. Je grimpe en courant à toute vitesse jusqu’au sommet de la colline pour admirer le panorama. Un sacré sprint… J’y arrive complètement essoufflée, mais ça m’a fait du bien, comme si courir jusqu’à la limite de mes capacités m’avait aidée à évacuer mes pensées toxiques. Sur la route vers l’hôtel, je me fais arrêter pour un contrôle du pass carbone. Ce n’est pas la police, visiblement. « Demokrati Forsvarsbrigader », c’est ce qui est écrit sur leurs casques. Ici aussi ils ont leur milice, apparemment. J’ai intérêt à me tenir à carreau pour ne pas attirer l’attention, mais dans la panique je n’arrive pas à retrouver mon pass. Ouf ! Le voilà. Je dois avoir l’air d’une fille qui a quelque chose à se reprocher, parce que dans la foulée il me demande aussi mon identifiant pour vérifier mon solde de crédit social. L’hôtel qui m’a été réservé est correct, sans plus. Mais, peu importe, j’y suis juste pour dormir, je dois me lever très tôt. Je ressors la pochette dans laquelle j’ai mis les documents étranges que j’avais reçus dans ma boîte aux lettres. Quelqu’un les y avait déposés, j’ignore qui, mais pas le facteur en tout cas. Un itinéraire, des réservations d’hôtels, une feuille listant quelques consignes avec, en filigrane, à peine visible, le pangolin fou. Rapide petit déjeuner. Beurk ! Viennoiseries à la farine d’insectes, confiture d’asticots… Tant pis, je vais me contenter du café, ce sera bon pour ma ligne. Je laisse mon téléphone portable dans la chambre, comme indiqué sur la feuille de consignes. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, tous les téléphones sont maintenant équipés d’un dispositif de traçage, actif en permanence même quand le téléphone est éteint. L’intelligence artificielle qui analyse les données va peut-être trouver bizarre que je ne quitte pas la chambre de la journée, mais espérons que ça sera jugé sans grande importance. J’emprunte le sentier côtier, collier d’esclave au cou, conformément aux consignes. Le soleil est à peine levé, pas un brin de vent, mer d’huile, silence absolu. « Matin calme à Bornholm ». C’est le prochain titre que je donnerai au mail quotidien que j’expédie à mon Maître, pour lui raconter mes journées, mes émotions, mes joies et mes peines, … J’arrive à la destination qui m’a été indiquée. Un long escalier en bois, à l’accès envahi par la végétation,  descend à pic le long de la falaise. Cela fait un moment que personne n’est passé par ici. Je dois me faufiler parmi les ronces qui entaillent méchamment mes jambes nues. J’emprunte prudemment la descente, en faisant attention à ne pas déraper sur une marche instable. Le périple valait la peine. J’arrive à une magnifique petite crique déserte. C’est superbe. Mais qu’est-ce que je fais là ? Je l’ignore, mais autant profiter du cadre, puisque j’y suis. Je me déshabille entièrement, je range mes vêtements dans mon sac à dos,  et je m’accorde une petite baignade. Aie Aie Aie ! Ca saisit ! L’eau est bien fraîche ici. Mais je suis bien rôdée avec les douches froides que m’impose mon Maître, alors j’y vais. Le sel me brûle, à cause des profondes lacérations que les ronces ont infligées à mes jambes, alors je ne m’attarde pas trop. Après m’être séchée et rhabillée, j’aperçois à l’autre extrémité de la crique un objet que je n’avais pas remarqué. A mesure que je m’en approche j’en distingue de mieux en mieux la forme.  Une cage identique à celle qui se trouve chez mon Maître. Mais ce n’est pas la même. Ca j’en suis sûre. J’y ai passé du temps dans cette cage !  J’ai rayé les barreaux avec mes ongles dans mes moments de rage. Je la reconnaîtrais entre des millions tellement elle m’est devenue familière. Pourtant c’est exactement le même modèle. Dans la cage se trouve un petit coffre. Je l’ouvre. Il contient trois pénis parfaitement imités, de taille impressionnante, des accessoires de fixation, des bracelets, des anneaux, des cadenas, et un schéma explicatif. J’essaie d’organiser mes pensées rapidement pour déterminer ce que je dois faire. Pas de doute, cette cage m’est destinée. Cela ferait trop de coïncidences si elle était là par hasard. Je dois y entrer, mais il n’y a personne ici, cela me paraît risqué. Je laisse mon sac à côté de la cage et je parcours la plage en courant à la recherche du moindre indice. Mon Maître serait caché quelque part, à observer mon comportement ?  Mais rien, je ne trouve rien. Je suis seule, ou alors celui qui m’observe est très bien caché. Tant pis, je retourne vers la cage. Soit je ne prends pas de risque, je n’y vais pas, mais ce n’est certainement pas ce que l’on (c’est qui « on » ?) attend de moi, soit j’y vais mais ça me fait peur. Affronter ma peur ou décevoir celui qui a installé cette cage pour moi ? Mon Maître ou quelqu’un en lien avec lui, sinon ce serait une incroyable coïncidence que le modèle soit parfaitement identique. Pas besoin de réfléchir très longtemps, je sais ce que j’ai à faire. Je me déshabille à nouveau et je range soigneusement mes vêtements dans mon sac à dos, que je dépose prudemment tout près de la cage. J’ai un peu hésité, mais je doute que l’on attende de moi que j’entre dans cette cage habillée. Chez mon Maître, j’y entrais toujours nue. J’enfile les lourds bracelets métalliques autour de mes chevilles, et en haut des cuisses. Clic ! Ils se verrouillent automatiquement, comme je m’en doutais. Les anneaux de cuisses sont très serrés, mais c’est sans doute nécessaire pour qu’ils ne bougent pas. Malheureusement je me suis coincée la peau dans celui de gauche en le verrouillant et je n’arrive pas à la dégager. Ca  fait un mal de chien. Il va falloir supporter. Un dernier anneau, garni de pointes acérées, autour de l’abdomen. Clic ! Me voilà équipée. L’anneau me serre très fort le ventre ce qui, par contraste, souligne mes hanches. Mon Maître adorerait mes formes de femelle, s’il pouvait me voir. J’ai l’impression que les pointes vont me transpercer l’abdomen, mais non, c’est certainement bien étudié pour que ce soit sans risque. Je cadenasse mon collier d’esclave. J’ai bien fouillé le petit coffre. Aucune clé. Pas du tout rassurant, mais le choix entre les deux alternatives qui s’offraient à moi m’est apparu comme une évidence. Je fixe solidement deux pénis aux barreaux, conformément au schéma. Ils sont tous les trois différents, chacun étant adapté à un orifice. Le troisième, celui qui est destiné à ma gorge, devra attendre que je sois dans la cage et que j’aie descendu la grille coulissante. Il faut que je me lubrifie le cul en prévision de la pénétration. Pas de lubrifiant dans le coffre mais heureusement j’en ai dans mon sac à dos. Je dois toujours avoir du lubrifiant anal à portée de main.  Ordre du Maître ! C’est au moment d’entrer dans la cage que j’ai un flash.  « Zut, la marée ! » Est-ce qu’il y a des marées en mer Baltique ? Je n’en sais rien. Je réfléchis rapidement. C’est une mer presque fermée, 2000 km de longueur, à la louche. Probablement pas assez pour déclencher de puissantes ondes de marée. Mais je ne suis pas très rassurée malgré tout. Je ressors de la cage pour examiner le rivage, à la recherche d’indices, algues, couleur des rochers, qui me permettraient d’avoir une idée du niveau maximal, mais je ne vois rien de très concluant. Sans doute que les variations de niveau sont de trop faible amplitude, conformément à mon intuition. Sur la plage, la cage n’est qu’à une cinquantaine de centimètres au dessus du niveau actuel. En Bretagne, j’aurais été submergée dans ma cage en moins d’une heure. Je retourne dans la cage, en veillant bien à emporter avec moi tous les accessoires non encore utilisés, et je referme la grille, qui se verrouille automatiquement comme chez mon Maître. Maintenant les dés sont jetés… Pas de retour en arrière possible. Heureusement que le schéma est clair, car je n’aurais pas su comment fixer tout cela et dans quel ordre m’attacher. Je fixe le dernier pénis à une hauteur qui devrait me permettre de le sucer sans me tordre les cervicales. Avant de m’attacher les chevilles, je m’introduis les orifices pour vérifier l’écartement et l’orientation. L’introduction simultanée de la chatte et du cul est difficile, les pénis étant de diamètre généreux. J’y arrive péniblement, mais ça ne va pas, ils sont trop rapprochés, ça me comprime douloureusement la paroi. Je ne tiendrai pas longtemps comme ça, d’autant plus que je n’ai aucune idée du temps que je vais passer dans cette cage. Je dois les écarter un peu plus. A ce rythme là, je vais y passer la matinée avant de trouver le bon réglage, me dis-je. Mais par chance le deuxième essai est le bon, l’écartement est parfait. Je peux enfin m’attacher les chevilles. Pas facile à faire quand on est à quatre pattes en cage. Le schéma stipule que les anneaux de cuisses doivent être reliés à deux courts et larges élastiques préinstallés. Il faut tirer fort sur les élastiques pour arriver à les fixer et l’attache me glisse entre les doigts à plusieurs reprises. La tension est trop forte.  Une fois fixés, je comprends leur utilité. Ils plaquent mes fesses très fort contre les barreaux, entraînant par là même une profonde pénétration de mes orifices, à laquelle il m’est impossible de me soustraire à moins de dépenser une énorme énergie pour lutter contre la tension. L’anneau abdominal est plus facile à attacher à une courte chaîne qui pend du haut de la cage, heureusement. Deux gros hameçons sont au sol, reliés au plancher par de larges élastiques. Je ne suis pas encore annelée, alors il va falloir que je me perce les tétons. Le schéma ne laisse place à aucune ambiguïté. La tension des élastiques maintiendra mes mamelles en extension. Je commence par m’occuper de la mamelle gauche, après m’être bien badigeonné les tétons de la solution antiseptique que j’ai trouvée dans le coffre. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant d’y arriver. Dès que ça commence à piquer trop fort, je renonce et là je vois que je n’ai rien percé du tout. C’est laborieux. J’y passe un temps fou, à me faire très mal à chaque fois, mais sans rien percer. Enfin j’y arrive ! L’hameçon est équipé d’un crochet anti retour. Impossible de l’enlever sans avoir une pince pour le couper. Pour la mamelle droite, ça va plus vite, j’ai enfin compris, il faut serrer les dents, ne pas réfléchir et y aller franchement. C’est le seul moyen. Après avoir introduit le pénis dans ma bouche, je fixe, péniblement, mon collier d’esclave à la courte chaine qui pend du haut de la cage. Et maintenant ? J’attends, à quatre pattes dans ma cage. La position n’est pas confortable, c’est le moins que l’on puisse dire. Personne à l’horizon. Le soleil monte rapidement. J’espère que je ne vais pas prendre un coup de soleil. J’aurais dû y penser et me mettre de la crème. J’en avais dans mon sac à dos. Mais maintenant c’est trop tard. Quand on n’a pas de tête… Je contemple la mer d’huile, mes yeux se fixant sur la ligne d’horizon. C’est ici qu’au milieu de l’été 2022 les plongeurs de combat formés à Panama City, en Floride, ont introduit de puissantes charges de C4 dans l’armature en béton qui protège les pipelines NordStream 1 et 2.  Deux mois plus tard, le 26 septembre 2022, un avion de surveillance P8 de la marine norvégienne a effectué un vol prétendument de routine et a largué une bouée équipée d'un puissant émetteur d'ondes acoustiques [2]. Le signal acoustique codé s'est propagé sous l'eau à la vitesse 5 300 km/h vers les gazoducs. Depuis deux mois, les récepteurs associés aux détonateurs analysaient en continu les signaux acoustiques sous-marins dans l’attente d’un code particulier. Pourquoi m’avoir conduite ici, sur les lieux du crime ? Ce n’est certainement pas une coïncidence. Plus le temps passe, moins je comprends les plans du pangolin fou. C’est long ! Chez mon Maître, je me masturbais pour faire passer le temps. Mais là, à quatre pattes dans ma cage, enchaînée, empalée, aucun mouvement ne m’est possible. Seuls mes bras sont restés libres. Je pourrais, bien que difficilement, atteindre mon clitoris. Mais quand bien même, je n’ai aucune sensation depuis que le zebralyvox y a élu domicile, alors quel intérêt ? Désœuvrée, je me mets dans l’idée de sucer le pénis qui est profondément enfoncé dans ma bouche. Difficile, car le collier relié à la cage ne me laisse quasiment aucune possibilité de recul. Mais je fais de mon mieux, avec ma langue, mes lèvres. Je suis surprise par une puissante éjaculation au fond de ma gorge, qui a failli m’étouffer. Je tousse, je suffoque et heureusement j’arrive à retrouver ma respiration très vite. Ils auraient pu prévenir !  Je reconnais le goût du sperme de mon Maître. Pas de doute. Cela me donne d’un seul coup une énergie incroyable, l’impression que je peux soulever des montagnes. Ma peur a disparu. Quoi qu’il doive m’arriver, je sais maintenant à 100% que j’ai fait le bon choix en entrant dans cette cage. Le sperme de mon Maître, c’est ma potion magique. Je savoure le sperme, je le garde le plus longtemps possible en bouche. Peut-être qu’il en reste dans le pénis ? Je me remets à sucer, longtemps, très longtemps, mais malheureusement rien ne se passe. Le réservoir est sans doute vide. Ou alors je ne suce pas assez bien. J’essaie de m’appliquer. Je me souviens des moments où je suçais la bite de mon Maître, quand il me mettait des baffes jusqu’à ce qu’il soit satisfait. « Je dois sentir ton émotion, sentir que tu y mets toute ta sensualité, toute ton énergie de chienne ! » Enfin ! Une nouvelle décharge au fond de ma gorge. Qu’est-ce que c’est bon, la semence du Maître ! Un dispositif électronique qui analyse la manière dont la femelle suce la bite et qui ne la récompense que si elle le mérite ! On n’arrête pas le progrès. Un canot motorisé apparaît à l’horizon et s’approche lentement. Deux grands gaillards blonds en débarquent. Ils parlent entre eux en danois je crois, ou bien dans une langue scandinave. Ils me sourient. L’un d’eux me dit quelque chose que je ne comprends pas. Impossible de lui répondre avec le pénis dans la gorge. Je crois qu’ils plaisantent entre eux. Une femelle nue, enchaînée et pénétrée, … Il y a certainement de quoi s’amuser. J’espère qu’ils apprécient le spectacle. Mais au moins ils ont l’air bienveillants. Je ne me sens pas en danger. Je suis rouge comme une tomate. Je me sens tellement humiliée que tous les seuils de honte sont probablement franchis. Ils ont remarqué les lacérations sur mes jambes et semblent s’en inquiéter. Je crois qu’ils me demandent ce qui m’est arrivé. Mais on ne peut pas communiquer. Ils embarquent la cage sans ménagement, et la balancent dans le canot. Heureusement que je suis bien sécurisée par mes multiples attaches, mais chaque secousse se fait brutalement ressentir dans ma chatte, mon cul, ma gorge via les pénis, dans mon abdomen via les pics de mon anneau ventral, dans mes mamelles via les hameçons.  J’ai morflé. J’ai hurlé malgré le pénis dans la gorge. Je ne comprends pas ce qu’ils disent, mais visiblement ils s’excusent, mes hurlements leur ayant fait réaliser à quel point ils ont manqué de délicatesse. L’un d’eux me caresse la joue comme pour me réconforter.  C’est donc pour être transportée que j’ai dû me sécuriser de manière aussi complexe ? La science du transport des femelles en cage a visiblement privilégié le côté humiliant sur le confort. Je pensais retrouver un peu de tranquillité une fois sur le canot, mais dès que le moteur deux temps du canot est démarré, je comprends mon malheur. Les vibrations du moteur se transmettent à mes entrailles de femelle multi-pénétrée. C’est une vraie torture. Je ne sais pas si je vais tenir le coup longtemps comme ça et je n’ai aucune idée de la durée du trajet. Je n’ai aucune idée du lieu où ils me conduisent.   à suivre… Références  [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)  [2] Seymour Hersh, “How America Took Out The Nord Stream Pipeline”, https://seymourhersh.substack.com/p/how-america-took-out-the-nord-stream
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Par : le 02/07/23
Je vais à la cuisine. Heureusement, Lucinda sait ce qu'ils veulent et elle a tout préparé. J'apporte le café, le thé, puis tout le reste... Ils ont tout le temps besoin d'autres choses. Dolorès et son père arrivent aussi. Quand tout le monde a terminé, je suis rouge et en sueur. Je dois débarrasser et tout ramener à la cuisine, toute seule, alors qu'il y a des esclaves... Telle est la volonté de Dolorès. En partant, elle me dit : — À partir de 3 h, sois dans la cuisine. — Oui, Maîtresse. — Ah, oui, tu sais masser les pieds ? — Je ne l'ai jamais fait, Maîtresse. — Demande à Lucinda et tâche d'apprendre vite. Sinon, tu seras punie. Elle fait un petit geste qui signifie "maintenant, dégage". Je fais une révérence et je vais à la cuisine. Masser des pieds... Pourquoi moi, alors qu'il y a des esclaves partout ? Oui, bon, je sais pourquoi : pour frimer et pour avoir des photos. Les pieds des gens, ça me dégoûte. Sauf ceux de Summer. A la cuisine, j'explique à Lucinda : — Mademoiselle Dolorès m'a dit de vous demander comment masser des pieds. — Demande ça mieux. Je me mets à genoux et je répète : — Je vous en prie, Madame, dites-moi comment il faut faire... Elle pousse un gros soupir avant de répondre : — Assieds-toi par terre. Elle bouge sa chaise et pose son pied droit sur ma cuisse. La première chose qu'elle me dit de faire, c'est enlever sa sandale, ensuite... mais j'expliquerai tout quand je devrai masser les pieds de Dolorès. Lorsque, j'ai fini de masser les pieds de Lucinda, elle me dit : — C'est à peu près bien... Tu peux manger, mais sans te laver les mains, ça me vexerait. Ça fait rire les deux gardes qui sont là. Quand j'ai fini de manger, Lucinda me dit : — Tu peux aller où tu veux mais sois à l'heure à ton rendez-vous. — Je peux aller sur la plage, Madame ? — Oui. Je pourrais m'enfuir... mais aller où, sans papier et surtout sans Summer ? Et puis, on est sur une île, il faudrait trouver un bateau... Je sais aussi qu'avec Summer, je me sens bien, apaisée. Cette partie de l'île est privée, alors, arrivée sur la plage, j'enlève mon uniforme et la culotte blanche que j'ai dû mettre. Je cours sur le bord de sable dur, léché par la mer. Il y a un drone qui me suit, rince-toi l'œil petit robot ! J'entre un peu dans l'eau, mais je me méfie de tout ce qui vit ici. On dit que la mer de Cortez est une des plus riches du monde... Peu après, je vois des dauphins bondir hors de l'eau. On en voit souvent et même des baleines, m'a dit Mateo, mon amant du premier soir... Je m'allonge sur la bande de sable dur... Je me relaxe, enfin... Le drone ne me quitte pas de l'œil. Je n'ai plus de bijoux, ni de montre. Alors, quand j'ai l'impression qu'on approche de midi, je retourne à la cuisine pour manger avec les gardes. Les esclaves prennent leur repas assises par terre. Quand j'ai fini de manger, j'irais bien m'allonger à l'ombre d'un arbre dans la propriété, mais j'ai peur de m'endormir et de ne pas être ici à 3 h, comme Dolorès me l'a dit. Je demande Lucinda : — Je peux attendre ici que Mademoiselle Dolorès me fasse appeler, Madame ? — Bien sûr et tu vas même te rendre utile. Elle va prendre une grande boîte, pleine de couverts oxydés, et la met devant moi, avec une bouteille de nettoyant et un chiffon, en ajoutant : — Fais briller ces couverts, comme ça tu ne t'ennuieras pas. Garce ! Mais, prudente, je ne discute pas. Ah, le drone revient me survoler. Il doit y avoir un homme dans la salle de contrôle qui est amoureux de moi ou alors, Dolorès veut me filmer dès que j’ai une autre activité. Nettoyer de l'argenterie, c'est un sale boulot, le produit pue et il faut frotter fort... Je fais ça pendant 2 h... Les gardes qui viennent manger me parlent un peu. Enfin, une esclave arrive et se met à genoux devant Lucinda, en disant : — Mademoiselle Dolorès demande qu’Ashley les rejoigne, Madame. — D'accord. Ashley, lave-toi les mains et vas-y. — Oui Madame. Lorsque j’ai les mains propres, l'esclave m'amène sur la terrasse. Dolorès est là avec trois autres filles, deux brunes et une blonde. Elles sont en short et tee-shirt. Je regarde Dolorès qui me montre le sol devant elle. Je m’approche, mais elle fait un geste de haut en bas avec son index. Je m'agenouille... Summer sera bientôt là. Le sol est dur sur la terrasse... Les filles parlent "garçons" et "vêtements", jusqu'à ce que Dolorès leur dise : — Regardez bien cette esclave. Tous les regards se tournent vers moi, une fille lui demande : — Qu'est-ce qu'elle a de spécial ? Dolorès répond : — C'est Ashley Stirland, la vedette de Cléopâtre, qui est ensuite devenue Première Dame. Exclamations des filles... Une brune avec des bottes (par cette chaleur) lui dit : — Fais-la se déshabiller, Lola (diminutif de Dolorès). Un regard de Lola et je me relève. J'ai mal aux genoux. J'enlève la jupe noire, le corsage et la culotte blanche qui compose mon uniforme. Elle me dit :  — Tourne-toi. Une de ses amies y va de son commentaire : — Elle a une de ces paires de fesses... Tu devrais la mettre au régime et l'obliger à faire de la gymnastique. C'est ce que je fais avec mes esclaves. Dolorès répond : — C'est vrai qu'elle a des grosses fesses. Saute sur place, Ashley. Je me mets à sauter... Les filles rigolent parce que mes fesses vont et viennent. Dolorès ajoute : — De face, maintenant, et saute plus haut ! Nouveaux rires idiots en voyant mes seins se balancer. Je saute bêtement pendant quelques minutes, jusqu'à ce que Dolorès me dise : — Tu as été bien ridicule, maintenant, présente-toi à chacune de mes amies comme tu le fais le matin. Summer va venir me chercher, le reste, je m'en fous... Je vais devant la blonde en short, bustier et baskets noirs. Je me mets à genoux et j'embrasse sa cheville.  Ensuite,  je me redresse et lui demande : — Je m'appelle Ashley, que puis-je faire pour vous Mademoiselle ? — Fais la chienne ! Quoi ?! Je me mets à quatre pattes et j'aboie... un peu. Les gens qui sont sur la terrasse rigolent. La fille me dit : — Va chercher un bâton. Je me relève, mais Dolorès crie : — À quatre pattes, stupide animal !       Oh putain ! Je vais dans la pelouse, près des arbres, et je reviens avec un bâton dans... la gueule. Je le donne à la blonde. Les filles se marrent et continuent pendant un moment à me lancer le bâton. Dolorès arrête le jeu en disant : — Continue à te présenter. Je vais me mettre à genoux devant sa voisine, qui est brune. J'embrasse également sa cheville et lui répète la même phrase. Elle me dit : — Tu es une chienne en chaleur ! Couche-toi sur le dos, les pattes en l'air. Quand je suis dans cette position ridicule, elle pose sa basket sur ma chatte et frotte. Ouch ! D'abord c'est dégoûtant pour ma pauvre chatte et au bout de quelques minutes... ça m'excite. Oui, c'est dingue. Elle me frotte juste assez fort pour que je me tortille sous son pied. Là, les gens qui sont sur la terrasse viennent voir le spectacle. La semelle de sa basket, c'est pire qu'un sex toy... Je finis par jouir sous son pied, comme... oui, une chienne en chaleur. La fille me dit : — Lèche la semelle maintenant. Elle pose le talon par terre, le pied relevé. Je dois ramper pour arriver à lécher la semelle pendant quelques minutes. Dolorès me dit : — Va nous chercher à boire. Dépêche-toi ! — Oui Maîtresse. Je vais à la cuisine en pleurant, nue comme une esclave. Lucinda me demande : — Qu'est-ce que tu as ? — Elles me font des choses horribles, Madame. Elle me prend contre elle et me dit à l'oreille : — Summer sera là bientôt et vous partirez. Elle lève les yeux vers le drone. Je fais juste une pression de la main sur sa taille, un geste qui signifie : 1000 mercis... Comme pour le petit déjeuner, Lucinda sait ce que les filles veulent. Je prends un plateau couvert de boissons et de trucs à manger. Ouch ! C'est lourd. Pourvu que je ne tombe pas ! J'arrive tant bien que mal à mettre le plateau sur une table basse devant ces sales petites putes ! Maintenant, mon problème, c'est que je ne sais plus qui a commandé quoi. Dolorès me demande : — Tu attends quoi ? — J’ai oublié qui... Une de brunes me coupe la parole : — Tu serais pas stupide ? — Si, Mademoiselle. Moins que toi, sale... Dolorès me rappelle quelle boisson je dois servir. Ensuite, elle ajoute : — Si on se faisait masser les pieds, les filles ? — Oui, bonne idée ! Dolorès me dit : — Commence par la demoiselle blonde. — Oui Maîtresse. — Tu vas aller te mettre à genoux devant elle, lui ôter ses chaussures et lui masser les pieds. C'est à la portée de ta faible intelligence ? — Oui, Maîtresse. Je vais m'agenouiller devant elle, les fesses posées sur les talons. Je défais les lacets et enlève les baskets. Ouch ! La brune qui a des bottes courtes s'exclame : — Mae, tes pieds puent ! Il y a longtemps que tu ne les as plus lavés ? En riant, la fille répond : — Quelques jours. Les filles se mettent toutes à rire.     À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 01/07/23
Bonjour à toutes et à tous, je vous souhaite un agréable weekend et de belles rencontres attachantes. Elle m'a contacté par e-mail pour me faire part de son fantasme qui la poursuit jour et nuit depuis qu'elle a découvert le Shibari, le Bondage sur le net. Voir ces Femmes contraintes, encordées, attachées, offertes, dans un lâcher prise qui l'avait impressionné. Voir ces Hommes qui habillent les corps, les esprits de ces Femmes en toutes complicités, sans sexe, sans attouchements, sans violence, dans un esprit de partage, d'offrande de part et d'autre. Le besoin d'apporter des plaisirs partagés, d'offrir la découverte de son corps avec de nouvelles sensations, de nouveau ressenties et de nouveaux plaisirs. Nous avons échangé par mail pendant plus de trois mois. Un rendez-vous autour d'un verre dans un lieu public et cette fois, échanger yeux dans les yeux et s'immerger dans l'esprit de l'autre. Ensuite partager un déjeuner, puis un autre mais cette fois, une fois ce repas terminé, elle me regarde dans les yeux, les baissant et me dit, je suis prête à m'offrir à vos cordes, maintenant, j'ai confiance en vous. Heureux et honorés de sa confiance qu'elle m'offre ainsi, avant de m'offrir son corps et son esprit, nous prenons mon véhicule et nous nous rendons ensemble chez elle. Elle ouvre la porte, m'invite à entrer. Après avoir récupéré ma valise magique où, mes cordes de déplacements sont bien rangées et prête à venir en toute délicatesse sur un corps féminin et ainsi lui offrir l'évasion qu'il recherche dans la contrainte. Elle me demande de me tourner et de ne pas regarder. Je respecte sa demande et me tourne. Après quelques minutes, elle me demande de me retourner et de la regarder dans les yeux. Je me retourne et la vois, sans sa jupe, sans son chemisier, en sous-vêtements trois-pièces, bas et talons hauts. Elle est magnifique ainsi élégante, féminine Femme avec un grand F. Elle me demande de toucher les cordes. Je lui en donne un fagot et la laisse s'imprégner de mes cordes, les passants sur son corps où, la peau est 'nue et lis sur son visage mais également sur son corps, l'émoi qui l'envahit. Je la regarde et lui demande si elle est prête pour vivre enfin ce fantasme qui la ronge. Elle ne sort pas un son mais me dit oui par mouvement de la tête. Ses joues rouges, sa peau frissonnante, une petite chair de poule, elle est prête. Je prends ses bras et les dirige à l'arrière de son dos. Lie ses poignets et commence à passer mes cordes en dessus, en dessous de sa poitrine, passe ma corde entre ses seins, remontent celle-ci pour verrouiller l'ensemble et passent sur le dessus de ses épaules, sa nuque, rendent ce Shibari du buste artistique et contraignant à souhait. Je viens devant elle, l'observe, lui demande si elle va bien, si cela lui plaît, si elle aime les sensations, les ressenties qui commencent à envahir son corps de Femme mais également son esprit de Femme, doux mélange d'indépendance et de soumission. Elle me répond avec un sourire aux lèvres et des yeux qui brillent qu'elle aime beaucoup ce qu'elle ressent. Je lui demande si elle veut que je continue et ainsi la contraindre encore plus sur la totalité de son corps, de son âme Elle me répond d'un oui qui sort du cœur sans aucun doute. Je prends donc des cordes dans ma valise à malice et commence la contrainte des hanches, des jambes. Je prends ma corde et commence par prendre ses hanches dans ma corde pour un appui de départ. Commence par lier ses cuisses sur trois niveaux pour lui permettre de bien ressentir l'emprise de ma corde sur elle. Verrouillent mes tours par des passages complexes pour ne pas faire de nœud. Je continue mon encodage par ses mollets, également trois passages pour une contrainte, un encodage des plus esthétiques, artistique mais également bien contraignant pour elle et ainsi prendre conscience qu'elle s'est offerte à ses fantasmes, ces envies de soumissions, appartenir à un Homme, à ses cordes sans pour cela lui appartenir physiquement. J'arrive sur ce qui est ma zone préférée chez une Femme, ses chevilles car, c'est la partie du corps d'une Femme que j'aime lier. La fragilité, la finesse, la beauté d'une cheville de Femme, mise en valeur par des cordes, je ne connais rien de plus beau. La voilà bien encordée, prisonnière de ses envies de soumission. Elle est magnifique dans cette tenue légère où, la beauté de la Femme est mise en lumière par mes cordes et les contraintes provoquées par celles-ci. Je viens à côté d'elle et lui demande si elle est bien ainsi encordée ? Un sourire sur son visage avec un zeste de joues rouges qui montre qu'elle est un peu gênée de montrer, de me montrer par diverses manifestations comportementales et de son corps qui s'exprime, les plaisirs qu'elle ressent. Je lui conseille pour accentuer ces plaisirs, de bouger comme si elle voulait se libérer et ainsi constater, comprendre que cela est impossible et qu'elle est à moi, offerte. Elle réalise que de tenter de se libérer lui provoquent des plaisirs plus forts car son subconscient prend conscience de la fragilité de cet instant, de la détresse fantasmée qu'elle ressent à cet instant. Je la laisse un instant profiter de ces nouvelles sensations, ressenties, plaisirs et reviens vers elle pour lui proposer l'extrême plaisir, un bandeau sur les yeux, un bâillon. De ces contraintes supplémentaires accentuent déjà les plaisirs qu'elle a à cet instant. Elle hésite, réfléchie, je reconnais que le bâillon peut être impressionnant mais, il offre-t'en de ressentis forts et puissants combinés avec les cordes et le bandeau qu'il serait bête de passer à côté de cette expérience. Elle accepte mais si je peux lui bâillonner la bouche pour commencer et ensuite, lui poser le bandeau. Bien sûr toujours prêt à rendre service et d'offrir à ces dames plaisirs intenses et découverte de leurs véritables personnalités, j'accepte. Je prends le bâillon avec cette sangle en cuir noir et cette boule rouge qui va se marier à merveille avec ces lèvres rouges. Je lui demande d'ouvrir la bouche, elle l'ouvre doucement avec timidité et une légère angoisse. J'insère la boule entre ses lèvres, passe derrière elle, verrouillé la sangle. La voilà encordée, contrainte, offerte, bâillonnée, elle est superbement féminine ainsi, le bâillon et magnifique entre ses lèvres et artistiquement la rend si belle, si Femme. Il est temps de couvrir ces magnifiques yeux verts, j'avance mais elle a un léger geste de recul. Je la rassure, lui parle doucement à l'oreille et la met en confiance. La voilà entièrement à moi, entièrement à ses fantasmes, ses envies d'être soumise à un Homme, à ce Dominateur, ce Maître qui l'a rendue esclave de ses désirs d'être ainsi entièrement contrainte et dans l'obligation d'attendre le bon plaisir de celle-ci pour être libérée même, si dans sa main, un vieux jeu de clés que j'utilise spécialement pour cela. Il lui suffit de le faire tomber sur le sol et je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas, la sécurité est essentiel tout comme la confiance, le partage, la complicité. Je la laisse avec elle et se ressentit, ses sensations, ses plaisirs et l'admire ainsi Femme offerte, quoi de plus beau ? Avec la pulpe de mes doigts, je vérifie les cordes, sa peau, si elle va bien. Je constat que la pointe de ses seins qui pointent, sa peau qui frissonne, ses cuisses qui cherchent à se resserrer comme quand une Femme ressent des envies inavouables devant un Homme qui lui plaît. Bien sûr elle ne peut bouger ses cuisses et à ce moment, je sais que l'inquiétude l'envahit et qu'elle s'inquiète que je constate le plaisir qui envahit la totalité de son corps et qui se manifeste par une légère humidité sur le tissu de sa petite culotte. Je la libère et vois, lit, sur son visage les plaisirs intenses qu'elle a découvert. Lui enlève le bâillon, lui offre un verre d'eau, retire la goutte qui ruisselle le long de son cou et qui conduit mon pousse à la 'naissance de ses seins ce qui, provoque chez elle un gémissement qui en dit long sur son état d'excitation. Je lis sur son visage une légère gêne d'avoir réagi ainsi, trahissant sont états d'excitation forte, je suis heureux de lui avoir offert autant de plaisirs. Une fois libre de mes cordes, de mes contraintes, nous nous retrouvons tous deux sur le canapé et échangions sur ses ressenties, ses plaisirs, ses étonnements. Au bout d'un moment d'échange très intéressent et agréable, elle me demande de la contraindre à 'nouveau mais cette fois, sur le ventre, les jambes relevées et très fortement contraintes vers la nuque pour ne pouvoir bouger et à 'nouveau ressentir cette overdose de plaisirs intenses et pour la premier fois de sa vie intime de Femme, découvrir le lâcher prise. Je suis fière et heureux d'avoir eu l'honneur de sa confiance, de lui avoir permis de découvrir les plaisirs intenses et profonds, qui envahissent tout son corps , son esprit et son âme de Femme soumise, révélée aujourd'hui. J'espère que ce récit vous à plus et que sous une forme ou une autre, vous vous êtes identifié dans ces plaisirs attachant que sont le Shibari, le Bondage, ma Passion qui est plus forte que le sexe car, il marie l'art et l'offrande, la complicité et la confiance, la beauté de la Femme et la révélation de sa soumission. Bien à vous Passions
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Par : le 30/06/23
Sans parler de ce site, ici je ne fait que passer ou trépasser mais en discutant avec des amis je constate qu'un soumis doit etre de préférence milliardaire et surtout trés con première chose qu'il lui est demandé c'est une offrande et bien sur en ticket PCs Transcach Neosurf ou autre moyen de paiement permettant de surtout lui baiser la gueule car non seulement il paye mais bizarement la pseudo domina disparait une fois la preuve d'achat envoyé par photo Alors je dirais a tous mes amis soumis si vous trouver une bonne dominatrice normalemnt elle vous ne demandera jamais d'argent Mais cela ne vous empeche pas de lui offrir des fleurs, voir du champagne que vous dégusterez avec elle le moment venu Désolé pour mon coup de gueule mais je déteste voir les gens se faire arnaquer pour prendre du plaisir quel qu'il soit bon courage a vous tous soyez vigilant PS : si une soumise milliardaire traine dans les parage je suis prenneur Qui ne tente rien n'a rien :)  
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Par : le 30/06/23
Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de son emprise sur moi. Son petit sourire narquois a le don de me faire chavirer. À flots dans les limbes du désir, je rassemble les quelques pans de bois restant de mon ego pour me construire un radeau. Je n'ai que peu d'espace afin de me maintenir hors de ces eaux troubles. Seul sur cette Méduse, face à moi-même, je dérive et m'enfonce dans les ténèbres. L'obscurité a quelque chose de rassurant. La quiétude qui y règne me permet de m'abandonner et de dépasser mes peurs. Perdre certains sens en décuple d'autres. Plus ma vue se trouble, plus mon toucher s'étend. J'ai l'impression que mon corps est aussi sensible qu'une digitale. Je m'ouvre par défaut et me referme dès que l'on m'effleure. Dans ce mouvement incessant entre tension et relâchement, j'y laisse un pétale. Ce n'est que dans sa chute qu'il raconte l'histoire de mon tourment. Lorsqu'il tombe, je me sens dans le plus simple apparat. Maintenant, que je suis dénué de tout artifice, que la beauté n'est plus sublimé par l'emballage, je me sens bien. Je ressens toute cette sève accumulée dans la tige tendue. Elle ne demande qu'à jaillir. Pourtant, c'est elle qui me maintient : moi, la fleur.  Ce n'est qu'au moment où le pétale touche les eaux que l'onde se multiplie. Les forces qui s'exercent me dépassent. Est-ce bien un simple pétale qui entraîne la création de ces arcs infinis ? Comment d'une simple moue, peut-elle m'atteindre si profondément ? Je ne souhaite pas le savoir par peur d'en briser la mystique. Qu'adviendrait-il si je trouvais la réponse ? J'y perdrai sans doute mes racines, celles qui me permettent de m'abreuver de Son essence. Elle est ma terre, mon socle, mon terreau, Je serai la chair, Patrocle, un héros, Lumière surgit, m'ôtant le bandeau, Pour elle, je vis, jusqu'à mon tombeau.
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Par : le 29/06/23
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne. Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées. Se questionne. Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées est réalisées à la perfection. Minutieuse elle espère le rendre fière,  Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire. Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,  Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraiter, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur. Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyants, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux. N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements. Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention. Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.  - Ouvre les yeux salope. La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,  Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce, En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.  Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer. - Debout, danse.  Ce qu'elle fit, une danse sensuelle,  dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait qu'agrandir l'excitation du Maitre,  une source d'inspiration pour ces idées sadiques.  Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, l'a fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie. Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncer d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abattent sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes Il glisse sa mains le long de ses fesses, examine l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevés, allongée sur le canapé, ses trous offerts, prête à être utilisée. Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chuchote à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n'est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue. Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souiller. Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role de femme, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisé, elle supplie. Le maitre accepte.  Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.  Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.  Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur des ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre. Le rêve devient réalité.
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Par : le 28/06/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2016 C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle ville et une nouvelle école pour un nouveau départ ! Ayant appris de mes erreurs et étant dorénavant consciente de mes démons, j’emménage dans une collocation avec deux étudiantes que je ne connais absolument pas. La colocation était une manière de partager le loyer et d’avoir de l’aide pour les tâches ménagères mais c'était aussi surtout une solution pour ne ne pas vivre seule afin d’avoir une vie sociale m'assurant une présence limitant ma capacité à faire une rechute ou me laisser aller. C'est ainsi que je fais la connaissance d’Ines et Delphine mes deux colocataires de 19 et 20 ans qui faisaient également leurs études loin de chez elles. Ines est dans mon université, elle est studieuse, d’un naturel calme et a une joie de vivre contagieuse, elle est célibataire. Delphine est plus turbulente, a un sens de l’humour affuté et est plus bordélique, elle est en couple. Nous devinrent rapidement copines et vivre avec elles au quotidien était très agréable, ça me changeit de mon année précédente avec pour seules compagnes ma solitude et la déprime. Je ne vais pas détailler plus que ça de la manière dont nous vivions par contre je vais aborder les deux seuls points qui ont de l’intérêt : - Les garçons étaient interdits à l’appart - Nous n’avions pas le droit d’entrer dans la chambre des autres. Le premier point était une règle nous permettant de rester concentrées sur nos études, de ne pas imposer la présence de nos fréquentations ou petits copains aux autres et ça m’allait très bien car cela posait des barrières autour de mon addiction au sexe tout en évitant que les filles m’entendent jouir ou me faire défoncer (ce qui valait aussi pour elles). Le second point était essentiel pour que l’on garde une vie privée et un semblant d’intimité, ma chambre était comme mon havre de paix, la pièce dans laquelle je pouvais me couper de mes colocs afin de réviser, me détendre ou... me faire du bien. Cette chambre ressemblait à la chambre de la parfaite petite étudiante, un lit double, un bureau, une armoire et du matériel de make-up, elle était toujours propre et rangée. Pour autant si vous regardiez sous mon lit, vous y découvririez une valise avec à l’intérieur toute une collection de sex-toys et si vous aviez le mot de passe de mon pc portable pour le déverrouiller vous y découvririez un historique internet et des favoris cochons, l’étudiante studieuse en prends un coup ! Les premières semaines je me masturba calmement dans mon lit en repensant à Kévin ou quelques fantasmes habituels mais très vite je recommença a consommer du porno et me goder savourant ce plaisir secret et intime à l’abri du regard de mes colocs. Plus les jours passèrent et plus je passai du temps sur les sites de rencontres où je m’étais inscrite à parler avec des mecs en quête de mon premier plan cul, il était temps que je me fasse sauter ! Mon envie de bite se faisait de plus en plus ressentir et ma concentration en cours commençait à en pâtir car je me surpris plusieurs fois à scruter des garçons en me demandant s’ils feraient l’affaire ... Je voulais m’amuser et j’avais décidée de rencontrer des mecs pour leurs queues et rien que leurs queues ! Je ne voulais plus durant les prochains mois m’intéresser à eux mais uniquement à ce qu’on allait faire ensemble ... Se rencontrer, Se déshabiller, Se consommer et Se séparer. J’y avais mûrement réfléchi et j’avais décidée de m’assumer en tant que salope et d’enchainer les aventures, de profiter de ma jeunesse, de m’épanouir sexuellement et de jouir de ce physique si durement retrouvé ! Quelques garçons me tournaient autour en cours, comparée à l’année dernière j’étais mieux intégrée et j’avais réussie à me faire des amis (filles comme garçons) mais j’étais trop dévouée a mes cours et mes révisions pour flirter avec eux. Je m’appliquais à avoir de bons résultats afin de ne pas revivre une désillusion scolaire et ma mère payant cette fois-ci le loyer afin de m’éviter de prendre un petit boulot à côté, il était primordial d’avoir une bonne moyenne pour lui prouver que je n'allais pas me foirer et que cet effort financier portait ses fruits. L'école nétant donc pas un terrain de chasse propice a des coups d'un soir (surtout que je me serais rapidement fait une réputation) et bien je me tourna naturellement et rigoureusement vers les sites de rencontres. Alors pourquoi après plusieurs semaines n'avais-je pas encore trouvée ma prochaine conquête ? Vous devez vous demandez pour quelle raison prenais-je autant de temps à sélectionner ce mec ? Il allait être ma 10ème bite …   Jusqu’ici je tenais le compte et même si j’avais prise la décision de les enchainées prochainement et de ne plus me soucier de mon nombre de partenaires, le fait de passer la dizaine me donnait envie de bien la choisir, qu’elle soit mémorable car je savais que ce gars allait être la fin de cet intérêt pour mon nombre d’amants mais aussi l’amorce de quelque-chose donc je ne voulais pas me précipiter et m’assurer d’avoir un amant inoubliable ou une bite extraordinaire pour ce premier plan cul … J’ai conversé avec beaucoup de garçons. J’étais très sélective physiquement, je cherchais un mec qui me fasse de l’effet ... Un beau-gosse qui serait mignon de visage et à la carrure plutôt sportive, le gars qui me ferait mouiller comme une folle ! Mon profil, mes photos et ma bio étaient équivoques, je n’étais sur ces sites que pour du cul ! J’avais postée 3 photos de moi : - L' une prise du dessus qui plongeait dans mon plus beau décolleté afin de montrer que j’avais « du monde au balcon », - Une seconde de mes jambes dans la baignoire avec de la mousse sur mon entrecuisse (camouflant mon pubis) où l’on pouvait voir tout le bas de mon corps sans que mon intimité ne soit révélée et où j’affichais fièrement mes pieds pour les fétichistes (je me trouvais super sexy sur cette photo). - La troisième de derrière où l’on me voyait de dos en bikini sur la plage pour avoir un aperçu de mes fesses. J’enchainais les matchs et les conversations mais je me rendais vite compte que la plupart des mecs étaient tous les mêmes, peu bavard et bien souvent trop rentre dedans dès le départ en cherchant un rendez-vous immédiatement … La rançon de la gloire quand on a fait la fille facile dans sa bio et son allumeuse avec ses photos … Mon plan cul devait être excitant physiquement mais aussi psychiquement, je voulais que cette 10ème bite soit parfaite, que cette baise soit inoubliable et pour ça il me fallait un gars qui sache me stimuler. La plupart ne sortait pas du lot quand je commençais à les chauffer ou leur demander ce qu’il me ferait si je venais chez eux ce soir (il fallait qu’ils puissent recevoir étant dans l’impossibilité d’en ramener un a l’appart). Leurs réponses étaient peu originales et c'était rarement excitant de lire ce qu’ils avaient en tête ou ce qui les excitaitent. Quelques gars se démarquèrent parfois mais au moment de discuter de nos pratiques ou fantasmes c’était là encore plutôt fade et convenu ... Celui qui se démarqua apparu fin octobre alors que j’allais avoir mes premiers jours de vacances de l’année, j’avais fait le choix de rester à l’appartement pour me reposer, réviser et rattraper mon retard sur une série TV mais c’est une soirée chez ce beau-gosse que je programma finalement le soir du départ en vacances. Il avait de beaux cheveux longs qu’il attachait avec un chignon, c’était un mec musclé qui affichait de beaux abdominaux et de gros pectoraux/biceps sur ses photos torse nu, physiquement une bombe, je me voyais déjà promener mes mains sur son corps pendant qu’il me baiserait ! Il m’avait fait de l’effet par messages en me disant qu’il aurait aimé prendre ce bain avec moi pour glisser sa main entre mes cuisses et m’ôter cette mousse (visible sur ma photo) ... On s’était alors chauffer quelques jours et il m’avait dit être très endurant, accroc au sexe et incapable de se poser avec une fille tant il aimait séduire. Cela me vendait du rêve et puis au moins c’était clair, avec lui aucune chance ou de s’attacher ce qui en faisait un coup d’un soir de choix ! Il avait eu le courage et l'audace de m’envoyer sa bite en photo quand je lui avait demander s’il en avait une grosse et la photo avait été une réponse des plus convaincantes, elle était épaisse, bien veineuse et imposante donc j’étais ravie. Pour être honnête, je ne me rappelle plus de son prénom mais je me souviens qu’il avait 5 ans de plus que moi (25 ans), son propre appart en plein centre-ville et qu’il fournissait les capotes donc puisqu’il m’excitait à mort physiquement et par messages, je décida de foncer !   Nous avions choisis de nous rencontrer dans un bar proche de chez lui, je me rendis là-bas avec un décolleté plongeant mettant en avant mes atouts, un pantalon simili cuir et des talons de pétasse. Coté lingerie, un string noir à dentelle que je portais avec un soutif rouge lui aussi à dentelle. Je me souviens avoir été toute excitée en me rasant la chatte quelques heures avant, de m'être caressée en sortant de la salle de bain et d'avoir été fière de l'allure que j'avais dans mes sous-vêtements face a mon mirroir. Le régime et mes nombreuses séances à la salle avaient payées ! Je m'étais maquillée avec soin, j'avais mis mon plus beau rouge à lèvres, je m'étais faites aussi belle que possible et habillée de façon sexy pour lui. Dans la rue, je vois plusieurs hommes me reluquer, je me sens sexy et leurs regards me confirme que j’ai probablement choisie une bonne tenue pour stimuler rapidement ce beau mâle qui m’attends. J’entre dans le bar, il est comme prévu assis à une table au fond. Je ne suis pas déçue, il est encore plus beau en vrai que sur ses photos. Je m’installe à sa table timidement et légèrement mal a l’aise n’ayant jamais encore "date" un parfait inconnu, il semble a l’aise et sûr de lui, le feeling passe bien. Après quelques minutes, deux trois échanges de banalités et l’arrivée de nos verres, il lance enfin un sujet plus croustillant en me complimentant sur mon physique. Je lui demande alors si je lui plais car il n’avait aucune photo de mon visage ? Il me confirme son attirance, ce a quoi je lui réponds ne pas être déçue également, une tension sexuelle s’installe, elle est palpable, son regard dans le mien est électrique, il me déstabilise autant que j’ai envie de foncer chez lui ! Il commence a poser sa main sur la mienne au fil de notre conversation, on évoque mon inexpérience en dates et que c’est la première fois que je viens à la rencontre d’un gars pour du sexe, il m'expose alors le contraire, son habitude à ce type de rencontres et me rassure sur le fait qu’il va prendre soin de moi et que tout va bien se passer, qu’on va se régaler … Une pulsion m’anime alors et je lui demande « qu’est-ce qu’on attends pour y aller dans ce cas ? » Il sourit, termine son verre d’une seule gorgée et me réponds « allez, c’est parti » ! J’avale d’une traite le mien à mon tour et prends mon sac pour le suivre, on rigole, il prends ma main, mon cœur s’emballe ... Que suis-je en train de faire ? On marche quelques instants, il passe sa main par-dessus mon épaule et m’explique qu’il habite à deux rues d’ici, il sent bon, j’aime l’odeur de son déo/parfum, le soleil est en train de se coucher et illumine son visage d’une sublime teinte. Je le trouve si beau … Me voici dans son appartement, un léger stress s’empare de moi au moment où il ferme la porte a clé, il se retourne et me sourit, je lui rends timidement son sourire sans un mot. Il s’approche, pose ses deux mains sur mes joues et m’embrasse langoureusement. Mon stress s’envole et mon bas-ventre s’éveille. Alors que nous nous embrassons plus sauvagement et que nos langues se mêlent, il me pousse en arrière tout en me gardant contre lui, je recule en continuant notre baiser avant de basculer a la renverse sur son canapé. Ses lèvres et sa langue quittent ma bouche pour plonger dans mon décolleté et m’embrasser le haut des seins !  J’adore sa fougue et qu’il y aille aussi franchement sans même me dire un mot depuis qu’on entrés chez lui ... Il m'excite. Ce garçon que je ne connaissais pas il y’a 20 minutes est en train d’enlever mon haut et sortir mes seins de leur soutif pour me dévorer les mamelons, je gémis comme la salope que je suis alors qu’il me suce les pointes et malaxe d’une poigne ferme ma poitrine. Mes gémissement de plaisir semblent le déranger car il enfonce rapidemment deux doigts dans ma bouche comme pour me faire taire ou m’ordonner d’essayer d’endurer sa fougue le plus discrètement possible. Je commence alors a sucer ses doigts, promener ma langue autour de ceux-ci, ce qui a pour effet de le faire devenir plus bestial, il commence à mordiller mes tétons et m'assenne même des claques sur les seins. J’aime qu’il me traite ainsi, je me sens comme une Femelle réduite à l’usage de ce Mâle, il est si sauvage que plaisir et souffrance se mêlent mais j’ai la sensation d’être sa chose et ça m’excite carrément.  Je commence à avoir mal aux seins, mes tétons ont étés maltraités et le tripotage sans retenue ainsi que les multiples coups administrés a ma poitrine me donne la sensation de n’être plus que deux énormes bleus ... Je n’allais pas tarder à arrêter de lui sucer les doigts pour lui demander de laisser un peu de répit a ma pauvre poitrine quand il se redressa de lui meme pour déboutonner son pantalon face a moi et me donner un ordre des plus directs « Suce moi ! ».   Je me redresse sur le canapé alors qu’il grimpe dessus, la situation m’embarrasse, son sexe est en érection face a moi, je l’ai littéralement sous le nez et je trouve cela légèrement rabaissant, il ne m’a pas laissé le plaisir de découvrir sa queue, de l’extirper de son pantalon/caleçon, la prendre en main, la lécher, jouer avec avant de le prendre en bouche … Il me l’a mise directement sous le nez, à quelques centimètres de moi et m’a donné l’ordre de le pomper, cette posture avec les mains sur les hanches alors qu’il bande aussi virilement devant moi me gêne, c’est comme si cette situation affirmait sa supériorité sur le jouet sexuel que je semblais être pour lui, ça m’excitait autant que ça me gênait qu’il soit si à l’aise. Je m’exécute tout de même, j’empoigne sa grosse queue gonflée de désir, elle est chaude et plus dure que toutes les queues que j’ai le souvenir d’avoir un jour prise en main ...  Je le branle délicatement alors que ma langue se pose sur sa verge, je prends conscience du morceau et réalise qu’elle est vraiment monstrueuse, une vraie bite d’acteur porno … Je lèche cette queue d’une rigidité inquiétante en me demandant si elle ne va pas me faire mal quand je l’aurais en moi ? Ma langue parcourt son chibre et ses veines donnent du relief à « l’objet », sa queue est encore plus impressionnante qu’en photos, il était définitivement le meilleur choix ! Son énorme bite me fait fondre d'excitation autant que je la crains pour la suite ... Je suis complètement excitée par la situation, être les seins à l’air avec le soutif encore agrafé sur mon ventre dans le salon d’un parfait inconnu en train de goûter à la bite la plus virile qu’il m’a été donnée de voir est super excitant. J'adore cette liberté que je m'accorde, cet interdit que je brave, je me sens cochonne et supérieure à celles qui n'osent pas vivre ça. Je décalotte pleinement le gland de mon partenaire et enfonce sa queue dans ma bouche, je la lèche, la suce, l’aspire, la pompe et la goûte comme si je n’en avais pas eue en bouche depuis des années, je me sens affamée, j’ai envie de la déguster encore et encore, je prends du plaisir à le sucer. Je commence à me laisser totalement aller et faire tout ce qui me passe par la tête, ma fellation devient plus obscène et baveuse, je lui fais du « sâle » alors que ma chatte est en feu, j’ai l’impression d’être trempée, j’ai envie de me caresser le clito pendant que je le pompe, d’enfoncer un doigt en moi pour constater l’effet qu’il me fait … D’un coup, il se mets à me tenir le crâne et me baiser la bouche, ses pouces sont au-dessus de mes oreilles alors que ses 8 autres doigts m’écrasent le crâne, il ne fait preuve d’aucune délicatesse dans sa manière de me tenir la tête et encore moins dans la manière dont il me baise la bouche. Ses couilles volent au rythme de ses vas et viens, elles claquent parfois contre mon menton tellement il y va vite, il me fourre la bouche comme si c’était une chatte, je le trouve encore une fois beaucoup trop a l’aise et humiliant pour un plan avec une parfaite inconnue mais là aussi ça m’excite d’en être déjà à faire des choses si obscènes/intimes avec un mec que je connais à peine ... Il me fait soudainement basculer en arrière bloquant ma tête entre le dossier du canapé et son pubis afin de me la mettre plus profondément, j’ai son énorme queue en plein dans la bouche, j’étouffe comme je n’ai jamais étouffé mais je prends sur moi … Ma langue est coincée sous sa queue, il a trouvé la bonne inclinaison pour se payer ma gorge, il me baise la bouche plus calmement mais bien plus loin ! Je n'y arrive pas, sa queue tient à peine dans ma bouche et me coupe totalement la respiration, son énorme morceau de chair appuie sur ma langue et me donne envie de vomir. Ma gorge se fait malmener un moment sans que je puisse gérer ce qu’il se passe, m'avouant vaincue, je commence à taper sa cuisse pour lui demander de me laisser respirer mais sans succès, il ne m’écoute pas et continue son œuvre. J’essaie alors de m’extirper mais il me tient fermement par les cheveux, coincée contre le canapé et le poids de ce gars sur moi, je n’y arrive pas. J’ai l’impression que je vais lui gerber sur la queue et m’étouffer par manque d’oxygène, c’est un énorme relent qui m’aidera finalement à le dévier en m’extirpant dans un rejet qui frôla le vomissement ! Ce fut un véritable haut de cœur et j’en bondissa hors du canapé pour saliver abondemment sur son parquet comme une vulgaire pute … « Mec, c’était quoi ça ? T’es malade ! » lui reproche-je alors que je reprends péniblement mon souffle et ravale ma salive. Il me redresse, essuie mon eye-liner qui dégouline sur mes pommettes, m’embrasse à pleine bouche alors que je suis encore pleine de bave, dégrafe mon soutien-gorge qui tombe au sol puis me pousse de nouveau sur le canapé où il se mets a enlever mon pantalon, je reprends encore mes esprits après avoir étouffée sur sa queue lorsqu’il me donne un nouvel ordre : « A quatre pattes maintenant » … Il me fait cambrer devant lui afin d’admirer mon cul en string puis l’écarte pour plonger un doigt en moi, il m’informe que je suis trempée (comme si j’en doutais) puis il baisse mon string avant de venir plonger son visage entre mes fesses afin de me lécher les deux trous avec gourmandise. Je suis décontenancé, il ne s'est meme pas excusé pour m'avoir faites presque vomir avec sa gorge profonde. J'en reviens pas qu'il ne m'a même pas répondu quand je me suis plaintes. Ce mec m'a embrassée, déshabillée et mis dans la position qu'il souhaite et je me suis docilement laissée faire ... Il me traite comme un jouet dont il peut disposer et je le laisse faire ...  Je prends conscience de la chienne qu'il croit avoir chez lui, son attitude me renvoit brièvement a mes séances de psy ... Suis-je capable de me laisser encore traitée ainsi par un homme ? Puis-je laisser un homme faire ce qu'il veut de moi ? Suis-je d'accord avec ça ? Est-ce normal de finir toujours dans cette posture, ce rôle, cette façon de coucher ? Est-ce qu'une femme est faites pour se faire prendre de la manière dont l'homme en a envie ? Ne suis-je pas faites pour ça ?  Voulais-je baiser avec un inconnu ou me faire utiliser par un inconnu ? Pourquoi ce traitement toxique m'excite-t-il ? Suis-je une chienne qui ne veut que ça ? Servir les besoins des hommes ? Ces questions se bousculent dans ma tête alors qu'il me dévore sucessivement les trous. Sa façon de me bouffer le cul est animale et sale, il salive beaucoup trop et ma raie finit trempée ce qui est loin d’être agréable. Il enfonce plusieurs fois sa langue dans mon anus ce qui n’est pas ce que je préfère. En revanche, sa manière de me lécher la chatte est plus maitrisée et fait mouche, il embrasse mes lèvres du bas avec les siennes et sa langue se promène dans mon trou ou sur mes lèvres, de bons coups de langues bien précis et quelques frottements du doigt titille à souhait mon clitoris et me font fondre sous ce traitement. Je m’agrippe au dossier du canapé totalement excitée par le fait de sentir son front et son nez complètement enfoncés dans mon cul, lui aussi est a son tour en apnée entre mes fesses. Mes pensées s'estompent pour ne laisser place qu'à une image où je me vois à quatre pattes en train de prendre mon pied avec l’intégralité du visage de cet animal dans mon cul, on ne m’avait jamais fait ça dans cette position ! Il se redresse après de longues et délicieuses minutes, il me dit de ne pas bouger, fait quelques pas puis revient vers moi avec une capote, il la déchire et l’enfile avant de venir frotter sa queue contre ma chatte. Je me crispe instantanément en me demandant si commencer par la levrette est une bonne idée avec une telle bite ? Il ne me laissera pas le temps d’en débattre et me la mets lentement, cela me coupe le souffle, elle est énorme et l’absorber est incroyable. Je me fais prendre avec patience et maitrise, ma chatte s'habitue à son membre avec bonheur, elle est trempée et était finalement totalement prête à l’accueillir. Mon amant est bon, on vient de commencer mais je sens instantanément qu’il sait y faire, il me lime doucement pour bien que je sente sa verge sur toute la longueur.  Je constate qu'il sait se jouer d'une femme quand il me lime l’entrée plusieurs fois rapidement en me pénétrant peu puis pousse d’un coup vif et puissant au fond pour me faire l’encaisser profondément et m'arracher a coup sûr un cri/gémissement ! Je m'habitue a le laisser m'entendre jouir sous ce traitement, il tape deux fois tout au fond avant de reprendre une dizaine de courtes pénétrations pour me faire saliver et espérer de plus gros coups de reins, pas de doute, il sait y faire pour asservir une femme à sa queue. La véritable levrette débuta après m'avoir totalement décomplexée, de vrais coups de reins en cadence me faisaient dorénavant couiner comme une chienne en chaleur et ma chatte aspirait son épaisse bite comme si elle avait toujours été aussi dilatée. Ses mains parcourent mes fesses, il les malaxent, les écartent, les remuent ! Il s'aggripe à mes fesses et les broient entre ses doigts, il me secoue le cul sur sa bite sans qu'on bouge comme pour se branler avec ma chatte, il me fait remuer dessus seule, il profite de tout ce que j'ai à offrir ... Les minutes passent et ma chatte se fait pulvériser, de grands coups de bites s'abattent dorénavant en moi pendant qu'il me tient par les hanches, il me frotte l’anus du pouce, passe une main sous mon ventre pour me caresser le clito ou par moments il tripote mes seins qui pendent dans le vide. Il m'arrache de nombreux gémissements intenses et me fait jouir a répétitions. « T’as l’air d’apprécier être ma chienne, dis-moi que t’aimes cette queue !  - Je l’adore, elle est trop bonne ! Et toi ? T’aimes ma chatte ? - Tu mouilles abondement, ma bite glisse si facilement en toi ! J'aime le bruit que ta chatte de salope fait, ça m’excite grave ! - C’est parce-que tu me rends folle, baise-moi plus fort ... - Oh, tu veux y aller à fond ? Voyons ce que tu peux encaisser ! - Défonce-moi, je suis là pour ça » Une levrette brutale, intense et mémorable débuta.   Il retire sa queue de ma chatte, me repositionne à l’avant du canapé alors qu’il se met cette fois debout face a mon cul. Il ôte mon string que j'avais sur les chevilles depuis un moment, j'allais l'aider a retirer mes talons quand il refuse et me dit de les garder, ça l'excite. Il rentre de nouveau en moi et débute alors une série de coups de bites bien plus brutaux. Je suis le cul en l’air avec le visage contre le canapé, un étalon me prends sans retenue et fracasse mes pauvres fesses contre lesquelles son pubis et ses cuisses claquent a toute allure. Il est brutal, ses coups de reins sont effrénés et sa lance me perfore trop profondément, j’ai l’impression qu’il tape contre mon utérus, j’en ai mal au ventre mais l’intérieur de ma chatte et mon clito se régalent, mes parois vaginales sont limées sans ralentissements, j’hurle de plaisir/surprise/douleur sous ses assauts. Quelques insultes/compliments accompagnent ses coups de reins, on se lâche complétement verbalement et physiquement, il n’est plus qu’un chien en rut, vulgaire et violent et je ne suis plus qu’une chienne en chaleur, obscène et soumise. Le bruit de son corps qui s’entrechoque avec mon fessier, nos gémissements décomplexés, nos obscénités verbales et le bruit que fait son canapé qui avance sur son parquet par moments me font penser aux voisins qui doivent nous entendre, ça m’excite, on est des putains d’animaux. Je prends mon pied, je couine, gémis, hurle par moments et j’ai les larmes aux yeux car je commence à ne plus supporter tout ça, j’en perds le souffle, la tête et ma chatte ressent trop de choses, du bon comme du mauvais, il me la broie de l’intérieur, j’ai l’impression de n’être plus qu’un trou béant qui ne se refermera plus, sa grosse queue me fait autant de bien que de mal et je ne sais pas si j’ai envie de pleurer de plaisir ou de douleur. Une fessée puis deux puis trois s’abattent sur mes fesses, je sens déjà ma peau rougir, il m’insulte de chienne et autres joyeusetés alors qu’il me frappe. Le paradoxe se fait de nouveau sentir, est-ce que j’aime qu’il fasse ça ? Pourquoi je me sens mal à l’aise ou humiliée/rabaissée à être traitée ainsi ? Pourquoi est-ce que ça me dérange qu’il se permette ça sans m’en avoir parler ? Pourquoi est-ce que je ne l’arrête pas alors que ça fait mal ? Pourquoi est-ce que je me sens excitée par le fait qu’il me manque de respect comme ça, me réduise a ça, se permette ça, me traite comme ça ? Pourquoi est-ce que je le trouve viril et excitant a se comporter ainsi ? Pourquoi est-ce que j’aime du coup qu’il fasse ça ? Est-ce que ça fait du bien ou juste mal ? Je suis partagée et est-ce que ce n’est pas cette dualité entre mes sensations/sentiments qui m’excite autant justement ?   Quelque-chose grimpe en moi, quelque-chose d’intense, j’ai envie d’ouvrir les bras a cette sensation autant que la fuir pour qu’elle s’éloigne. Mon bras commence alors à freiner instinctivement mon partenaire, je pose ma main contre son ventre pour réduire sa capacité de pénétration et sa vitesse, je constate qu’il est en sueur. Cela m’excite ... NON !!! Ce n’est pas le but ... Pourquoi je n’arrive plus à me tenir ? Il me prend alors le bras puis l’autre et me voici encore plus vulnérable avec les deux poignets l’un sur l’autre alors qu’il me menotte de sa main. Il me baise moins vite mais pas moins fort, je n’arrive plus à tenir, ça fait mal, ma chatte n’est plus en mesure de le servir, je le supplie d’en finir l’informant que je suis hors-service ! Il me soulève alors le haut du corps a la force de ses bras en tirant sur les miens, il bascule son dos légèrement en arrière et me pilonne sans aucune retenue ou pitié alors que je viens de lui dire être détruite ... Mes seins volent dans tous les sens, je suis droite, à gémir de douleur et de bonheur sous le traitement que je subis, je suis empalée sur sa queue, il va définitivement me détruire la chatte, je serre les dents et attends qu’il finisse me fiant a sa respiration haletante et la vivacité de son assaut, il ne tiendra plus longtemps. C’est alors que l’impensable arriva, dans un dernier élan destructeur pour moi et salvateur pour lui. Il passe son bras droit entre mon dos et mes deux bras, fermant mes bras entre son avant-bras et son biceps et me redresse contre lui, je me retrouve le dos contre son torse avec les deux bras maintenus fermement par le sien ! Sa main gauche me malaxa un moment les seins et les tétons avant de se fermer sur mon cou, il m’étrangla alors dans un dernier élan de sauvagerie et ce n’était pas un étranglement délicat ou pour le jeu sexuel ... C’était un étranglement réel, bestial, brutal qui aurait pu s’avérer fatal car je sentais qu’il ne relâcherait qu’après avoir joui. J’entends cet homme en rut râler de plaisir alors qu’il me déboite, mon corps est tordu en deux, mon cul et mes hanches sont cambrés sur sa queue et le haut de mon corps fait une arche, ma tête est sur son épaule, il me lèche la joue alors qu’il m’étrangle de toute ses forces comme s’il allait me tuer. Je n’arrive plus à parler, je ne respire plus depuis un moment, j’ai mal au dos, à la chatte et je commence à perdre connaissance, je ne l’entends bientôt plus gémir, le bruit de ses coups de reins disparait et je ne ressens plus rien. Rien sauf sa queue qui me pilonne, la sensation que j’ai cherchée à éloigner accélère subitement et je me tords alors sentant le bas de mon ventre imploser, c’est intense, c’est comme s’il avait rompu quelque-chose en interne dans ma chatte. J’essaie d’hurler mais j’étouffe, je suis de retour dans le monde réel et me débat, j’essaie de me jeter en avant tout en remuant ma tête dans tous les sens, il relâche subitement ma gorge, je tousse et m’écroule, ses bras me libèrent, je suis sur son canapé à trembler de partout et m’agripper à l’accoudoir ... Je pousse enfin un long gémissement de plaisir alors que ma chatte semble jaillir, je viens d’avoir mon premier orgasme. Je reste un moment affalé sur le canapé avec les jambes qui tremblent, je reprends mon souffle péniblement, quelques larmes coulent, j’ai la gorge en feu et ma chatte semble n’être plus qu’un trou béant. Mon corps accuse un sérieux contre-coup, j’ai mal partout mais je suis aussi comme sur un petit nuage, je me sens légère, je flotte hors du temps et je me sens en paix. Une palpation de mes fesses me ramène avec lui alors qu’il s’approche de ma chatte détruite. Je m’extirpe aussitôt hors de son contact refusant qu’il me la touche de nouveau. Je me retourne face a lui pour lui dire que je suis hors-service et que je vais le finir avec ma bouche mais je constate qu’il commence à débander et que la capote est pleine de sperme. « Doucement, je suis plus en capacité de te laisser la toucher … - Haha, ok ! - Je ne savais pas que t’avais joui, t’es venu quand ? - Bah en même temps que toi, quand tu te tordais dans tous les sens, j’étais en train d’envoyer la sauce. - Tu veux dire qu’on a … jouis en synchro ? - Oui, ensemble, te voir avoir un orgasme m’a achevé ! - Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme ... En tout cas pas d'avoir joui aussi intensément et ça ne me parle pas non plus d’avoir joui en même temps que mon partenaire, je trouve ça fou ... - On était compatibles, que veux-tu ! - Ouais … plutôt … - En tout cas, peu de filles arrivent a encaisser ma bite comme tu l’as fait ! - C’est vrai ? Bah, je dois avouer que j’ai super mal au ventre maintenant mais c’était le pied. - C’est normal, j’ai tellement tapé dans le fond … Tu veux boire un truc ? - Un verre d’eau s'il te plait puis je vais y aller … - Ah ouais, tu ne veux pas passer la nuit ici ? On pourrait recommencer tout à l’heure puisque t’as l’air d’avoir aimé ça ? - Haha j'apprécie ton entousiasme mais je suis plus du tout en état, je t’assure que là c’est impossible. - Ok, pas de soucis, c'est toi qui vois - Ta salle de bain est où, je vais aller me passer un coup d'eau » Il retire sa capote, la jette dans la poubelle de la cuisine, m'indique la salle de bain et ouvre son frigo. Je m'éclipse péniblement, mes jambes flageolent, j'atteins la salle de bain et découvre une fille en piteux état ! Mon maquillage est ruiné, je ressemble a un panda, mon eye-liner a coulé partout, mes cheveux sont en bataille, je suis hideuse. Je me rince le visage, tente de me redonner une apparence présentable et me passe un coup d'eau sur les cuisses. Je retourne dans le salon pour y retrouver mon hôte, il est toujours nu, je suis encore nue aussi ne portant que mes talons, on boit un dernier verre ensemble en se complimentant mutuellement physiquement et pour cette bonne baise puis je me rhabille et quitte ce dangereux étalon. Il m’embrasse sensuellement devant le bas de sa porte, mon cœur s’emballe, je rentre chez moi avec une sensation de plénitude. C'est dingue, je pourrais tomber amoureuse du premier mec qui me baise ? Je m'étais jurée de ne jamais remettre le couvert une autre fois avec mes futurs plans culs alors pourquoi j'ai déjà envie de le revoir ? Je sais depuis le début que ce queutard est incapable de se poser et qu'il va en baiser d'autres alors un peu de sérieux Charlotte ... Il m'a fait prendre mon pied comme jamais ce mec, bien foutu, bon coup, un brin dangereux et pervers, quelle rencontre ! Raison de plus, si un parfait inconnu peut me baiser aussi bien, autant en essayer pleins d'autres et vivre d'aussi bons moments ! En rentrant dans l'appartement je croise Ines qui me demande si j'ai passée une bonne soirée, je lui dis avoir été au restaurant avec un mec mais qu'il n'était pas très intéressant. Elle me réponds que c'est dommage. Je lui mens ouvertement afin qu'elle ne se doute pas un instant que sa coloc vient de se faire démolir par un inconnu. Je lui explique que je suis morte et que je file prendre une douche avant d'aller dormir. Une fois nue dans la salle de bain, je constate les dégats ! Mes seins ont des rougeurs, mes fesses gardent des traces de ses fessées, ma chatte est hyper-sensible, le passage du jet d'eau ou de mes doigts est une sensation trop vive. Comment ce gars a-t-il pu me faire jouir plus fort que tous mes exs et me démolir plus que tous mes partenaires ? J’ai envie de me toucher en me mettant au lit mais je n’y arrive pas, je ne suis pas en état alors que j’en crève d’envie. Je m’endors péniblement, je repense a sa main sur ma gorge, a sa grosse bite dans ma bouche, a ce qu'il a fait de ma chatte ... Ma chatte resta sensible le lendemain, impossible encore de me masturber, mes seins et mes fesses gardèrent quelques jours des ecchymoses, les voirs m'excitait, ça me ramenait à lui, aux coups que j'ai pris, au traitement que j'ai subis, au plaisir qu'il m'a donné. Ces bleus étaient de courts trophées, ils s'estompèrent comme mon envie de le recontacter laissant place a une soif d'aventures, de nouvelles bites, de nouveaux amants, de nouveaux souvenirs mais cette 10ème bite me resta en mémoire comme l'une des meilleures baises de ma vie et je m'étrangla moi-meme en solitaire quelques fois dans les semaines qui suivirent en me masturbant ... L'année ne faisait que commencer, ce premier coup d'un soir avait été un franc succès et avait éveillé de nouveux vices en moi, plus motivée que jamais a me découvrir sexuellement et profiter des hommes pour ce qu'ils sont, je débuta ma nouvelle vie.  
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Par : le 27/06/23
Satyne a besoin de nouvelles robes. Enfin besoin... Sa penderie est pleine à craquer comme beaucoup de femmes. Mais là elle veut une robe cache coeur ou boutonnée pour jouer à s'exhiber plus facilement.   Comme toujours elle est nue sous sa robe pour partir à cette session de shopping-exhib, et reçoit la consigne d' obéir sans poser la moindre question.   Premier arrêt, premiers essayages, jolie robe, mais le rideau de la cabine d'essayage est bloqué, impossible de le laisser à moitié ouvert. Deuxième arrêt, beaucoup plus intéressant. Je vous décris le lieu, c'est important : le stand est ouvert sur deux côtés dont un est plus ou moins '' fermé'' par des portants de robes. Et sur l'avant deux petits portants réduisent l'ouverture. Nous pénétrons dans l'espace exigu, je remarque qu'il n'y a pas de cabine. Ma chérie a repéré deux robes parmi celles proposées par le vendeur. Elle essaie la première par dessus la sienne (je me dis qu'elle manque d'initiative, elle sera punie si elle continue comme ça). Deuxième robe j'interviens, je dis au vendeur que s'il sort, elle pourra se déshabiller dans son stand vide de client. Il s'exécute et ma petite exhibe se dénude. Elle constate que des passants la voient entre les portants sur l'avant du stand. Mais elle ne repère pas tout de suite le vendeur qui se rince l'œil en '' arrangeant '' des vêtements sur le portant latéral. Passants et vendeur se régalent de son corps nu, les passants ne remarquent peut-être pas les piercings aux tétons et aux grandes lèvres de ma salope , mais le vendeur a tout le temps nécessaire.   La robe est jolie, s'ouvre facilement, elle va la prendre. Nouveau déshabillage, pour le plus grand plaisir du vendeur.   La connaissant, ça doit énormément l'exciter d'être nue, au milieu du marché, à la vue de n'importe qui (elle a maintenant remarqué le manège du vendeur). Elle finit de se rhabiller, mais ... C'était la première fois que je l'emmenais au marché mais ce ne sera pas la dernière : nous y retournerons, surtout sur des stands sans cabine...
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Par : le 26/06/23
Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM. - Allo - Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte. - Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ? - Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ? - Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres. - On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ? - Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle. - C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ? - Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  - J’ai encore une question ? - Je vous en prie ! - Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ? - La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes. - Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places. - Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ? - Oui c’est ça ! - A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location. Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM. Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client. Pauvre Damien.... Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.   Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence.... A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».    Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres) A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage. - Cela vous plait ? Demande Damien    - Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier ! - Au gîte fétichistes ! - C’est assez surprenant répond Master Paul. - Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider ! Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou. Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting. Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien. Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.   Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit. Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques. Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky. Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony. - La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter. Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain. - Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier ! - Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ? - Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ? - Non jamais ! - Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter. Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ». Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout. Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.      Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.   Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour. Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^. N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir... Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive. Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné. - Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices. Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain. Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage. - Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café. Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui. La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes. Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner. C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max. - Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir. C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   FIN TSM - Si Marc existe réellement - Si le gîte fétichistes existe réellement - Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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Par : le 25/06/23
-Mais à peine sortis du magasin ,poussant le cady le plus vite possible pour atteindre notre voiture ;des cris ;des rires !ce sont eux !!!regardez comme ils filent –Oui, les voleurs !rires ! -Une femme agée, ses cheveux gris en bataille hurle :moi je trouve qu’elle n’en n’a pas eu assez ! -ouais !!! -Bientôt, hommes femmes et même gamins nous entourent !tous ages et tout sexe confondu ; les yeux brillants, l’insulte à la bouche ! -Salope voleuse, putain pour ma femme, et moi cocu p’tite bite !!! -Chiche qu’on leur en met une bonne de fessée déculottée ! -Oauis, aux deux ! -Allez, cul nu la fessée !hihi ! -Tous nus plutôt insiste la vieille, on les fout à poils ! -Morts de peur, tétanisés par cette foule haineuse, je suis incapable de nous défendre , ma petite femme encore moins ! -De plus la foule qui nous entoure a grossit ; tous ne sont pas actifs mais les regards ironiques et les mines éxcitées me font comprendre qu’aucune aide ne viendra ;ils sont là pour s’en mettre plein la vue. -Dailleurs, à voir les portables et les tablettes numériques brandies vers nous,ce qui les interesse c’est de nous filmer à poils ! -Nous sommes alors empoignés ; des mains fébriles s’attaquent à nos vêtements ! -Inutile de resister, ma petite femme est mise rapidement nue, -On garde leurs fringues !oui ils repartiront à poils !rires ! -Amon tour, je suis dénudé ;malgré ma honte où peut-être est-ce- la cause je me mets à bander ! -Regardez le cochon il a la trique !!rires !!! -on nous met à quatre pattes ,et des claques commencent à nous rougir le cul !chacun leur tour avec plus où moins de force -La plupart des hommes ayant claqué le cul de ma femme en profitent pour glisser leurs doigts dans son sex,et les ressortir luisant de mouille en ricanant ! -Lui il bande, elle, elle mouille ! -Alors les insultes redoublent de vigueur !grosse salope ;ça la fait mouille la pute ! -Mettez lui un doigt dans le cul on va voir si elle aime ça aussi !rires ! -Ils ne se gênent pas pour doigter le trou du cul de ma femme qui couine de plus belle ! -Si elle aime ça, vous n’avez qu’a l’enculer hurle la vieille qui semble la plus virulente ! -Oui, on l’encule allez ! -Déjà des mecs se présentent devant le cul de ma femme, leur queue sortie du slip !Et sous mes yeux hagards mon épouse se fait enculer en public !l’un après l’autre des mecs, surtout des jeunes viennent lui fourrer le cul ! -Elle se met immédiatement à couiner sous les rires et les quolibets !elle aime ça la pute !!! Heureusement l’arrivée de Pascal de ses deux adjoints met fin à cette folie ! -Ils arrivent armés de matraques électriques ! -Ça suffit hurle Pascal !laissez- les et barrez- vous ! -Seule la vieille vache se met en travers ; virulente !a Laissez- nous la punir ! -Attend , toi tu vas voir ce que ça fait d’être mise à poils en public ! -Et, sous nos yeux il sort un poignard et lacère la robe  de la vieille ,qui pousse un cri de terreur, ensuite il tire sur son soutien-gorge et l(arrache, il continue avec sa culotte qu’il lui arrache, et voici la vieille Entièrement nue, frissonnante de honte essayant de cacher son pauvre corps, des seins flasques qui lui tombent sur la poitrine, des cuisses pales, des jambes bleuient de varices, un cul mou et laid ! -Si vous voulez enculer une salope elle vous atttend lance Pascal ! -Il récupère le soutien-gorge en lambeaux pour lier les mains de la vieille dans le dos, incapable de se défendre, elle est alors entourée et attrapée ;avant de voir ce qui va lui advenir, nous profitons de l’occasion pour grimper dans notre voiture et nous enfuir, non sans avoir lancé un Merci vers Pascal qui rigole ! -A ce soir les jeunes !je viendrai vous faire une petite visite. -Je m’y attendais mais pas si rapidement ! -Après être rentrés, nus courses rangées, ma petite femme enlacée nue,le cœur battant : -Alors maintenant tu vas me dire tout ! -Oui chéri ! -Tu m’as trompé ? -Oui soufle t-elle ! -Beaucoup où un peu ? -Euh !!! -Je veux dire avec un mec où  deux où plus ? -Plus, répond – elle les yeux baissées ? -Oh !plus de cinq où moins ? -Plus ! -Oh ;plus de dix ? -Oui ! -Je n’ose pas aller plus loin dans les investigations, j’ai peur qu’elle me réponde plus de vingt !!! -Je la prends dans mes bras et l’embrasse, je t’aime quand même ! -Tu me pardonnes ? -ça t’excites un peu de savoir que je me fais mettre par d’autres ? -Oui un peu ! -Tu es mon petit cocu chéri ? -Oui ! -Tu es content d’être mon petit cocu chéri ? -Oui ! -Dis -le –Je suis content d’être ton petit cocu chéri ! -Dis-moi que tu m’aimes encore plus quand je te fais cocu ! dis-le ! -Je t’aime encore plus quand tu me fais cocu, ma chérie ! -Elle se serre plus fort contre moi ! -Viens sur le lit et prend moi mon cocu !ce soir Pascal va venir me baiser ! -Fou de désir j’allonge mon épouse, lui écarte les cuisses, et , vite je lui fourre ma petite bite ! quelques va-et vient et je décharge en elle, fou de bonheur ! -Vers 20h,on sonne ;Pascal arrive accompagné de ses deux adjoints . -On vient chercher notre récompense nous dit-il en souriant ! -Voici henri, un type d’une quarantaine d’années, et georges, un sympathique noir costaud et souriant de toutes ses dents blanches ! -Ils vont baiser ta femme, mais avant tu vas les sucer ! -Mais avant on va boire un coup ;il sort deux bouteilles de champagne d’un sac ! -Tu vas faire le service, cocu, pendant qu’on chatouille un peu ta femme !rires ! -Ensuite ils l’emmèneront dans la chambre pour la tringler ! -Quand à moi je vais passer la nuit avec !Oui, ce soir je couche avec Thérèse ! -Je frissonne en entendant cette phrase cet homme va coucher avec ma femme !!! -Je fais le service, on a tôt fait de liquider le champagne ;Thérèse, assise entre les deux hommes, ses jambes écartées, leurs mains plongées entre ses cuisses ;sa culotte baissée à ses chevilles puis, otée, je devine d’après le mouvement de leurs bras, qu’ils la branlent doucement ! -Allez, lance Pascal la chambre est au premier !baisez la, elle n’attend que ça !hihi ! -Mon épouse, évitant mon regard se laisse emmener sans protester ! -On va l’écouter jouir s’amuse Pascal !Georges le noir en a une énorme s’amuse –t-il, tu le suceras la prochaine fois, va !!hihi ! -Ta femme va le sucer , elle ! -Quelques minutes plus tard, j’entends effectivement mon épouse couiner !humm ohhh ouiiiiii oh ouiiii ohhhhhhça y est !!!!ouiiiii ! -Elle vient de jouir ta salope commente Pascal ! -ça t’excite s’amuse Pascal en posant sa main sur ma braguette ! -Je sursaute !je n’ose pas bouger ! -Tu bandes mon salaud ! -Oui ! -Il serre sa main sur moi ! -Je suis tout rouge ! -Tranquillement il se met à déboutonner ma braguette, il ouvre mon pantalon ! -Soulève tes fesses ! -J’obéis ;il tire sur le pantalon et le slip ;me voici déculotté ! -Ma petite bite à l’air, dressée, décalottée ! -C’est à ce moment que les deux vigiles redescendent de la chambre après avoir baisé Thérèse ! Souriant ! -Oh le petit cocu bande ! s’esclaffent-ils ! -Oui il entendu sa femme jouir ! -Sûr qu’elle a bien joui ! -Allez cocu branle toi ! -Oh je je ! -Ma femme arrive ,elle est nue ! -Regarde ta femme comme elle est mignonne, tout à l’heure ça va être mon tour de la tringler ! -Allez astique toi devant nous !Thérèse écarte els cuisses , montre ton minou pour exciter ton cocu ! -Ma femme obéit ; sa craquette ouverte laisse sourde un long filet de sperme qui lui coule vers l’interieur des cuisses ! -sans force, excité , comme un fou j’empoigne ma zezette, et je me branle ,sous les yeux amusés des amants de ma femme ! -flic floc et rien de temps je décharge sous les rires des hommes ! -Pascal recueille mon sperme dans un verre !En riant il me le fait boire ! -Ils prennent congé de ma femme en lui roulant une pelle !A la prochaine ! -Je vais aller laver Thérèse lance Pascal !et il pousse ma femme vers la salle de bain !j’aime bien laver une femme des pieds à la tête ! Tu veux voir ?          
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Par : le 25/06/23
Bonjour, Je recherche près de Nice, une femme Dominatrice ou couple de femmes dominatrice pour me soumettre et leur apporter du plaisir. J'aimerais devenir le soumis de cette ou ces femmes lors de relations suivies. 
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Par : le 24/06/23
Homme dominant de Strasbourg de 57 ans cherche femme soumise sur Strasbourg peut recevoir maitrephke 
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Par : le 23/06/23
À mesure que l'aurore chatouille la rosée, la roseraie du jardin de ma Dame dévoile ses couleurs chatoyantes.  Cette humidité perlée s'ajoute à celle déjà présente sur l'épiderme de mes cuisses. Le contraste de température des deux fluides provoque en moi un excès d'excitation. Pourtant raisonné par cet habitacle métallique que ma Dame m'oblige à porter, je ne peux m'empêcher de gémir tant mes sens sont stimulés. Seul au milieu des plantes, agenouillé dans ce gazon recouvrant l'humus, je suis une statue. Mes bras sont tendus par des liens raccrochés à la structure métallique de la roseraie. Je donne à ma Dame la vue qu'elle désire en lui faisant dos. Pendant qu'elle sirote son Nicaragua dans la véranda, elle s'amuse de mon isolement.  Je dois bien en convenir; ce lever de soleil est magnifique.  La chaleur recommence à monter en moi tant la lumière caresse mon corps nu. Les épines de roses logées entre mes omoplates me rappellent à l'ordre comme ma Dame sait le faire. C'est ainsi qu'elle me marque de son sceau. La douleur se calque sur le battement de mon cœur qui ralentit de plus en plus depuis qu'elle est partie. Pendant que la lumière révèle le reste de la flore, c'est la faune qui se réveille. Les oiseaux gazouillent, s'abreuvent et jouent dans une des vasques du jardin. J'aimerais aussi pouvoir me libérer de cette étreinte et m'envoler... "- Tu les envie n'est-ce pas ? À quoi te servirait cette liberté à toi ? Et pour aller où ? Dit fermement la Dame aux Roses, qui s'était rapprochée à pas feutrés. - Nulle part, Madame, dis-je piteusement en cachant ma surprise. Que ferais-je sans vous ? - Tu n'irais pas bien loin, c'est certain, dit-elle sèchement. Au moins, tu as le mérite de le reconnaître. Décidément, mes chéries ont vraiment un bon effet sur toi." Au même moment, je sens comme une pression sous ma nuque. La Dame appuie avec la semelle de sa botte sur les épines restées ancrées dans le haut de mon échine. Je ne puis m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure afin d'étouffer la moindre plainte. Plus elle appuie, plus les épines déchirent ma chaire laissant couler de légers filets vermillons que je sens rouler jusqu'à mon bassin. Après que mon cou se soit contracté de douleur, me faisant lever la tête et contempler le ciel, ma tête retombe. Je ne vois plus que mon torse suintant et cette cage entre mes deux jambes. Après un rictus sonore, appuyant un peu plus son emprise, la Dame s'en retourne dans sa véranda. Éreinté, je ferme les yeux et m'assoupis peu après.
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Par : le 22/06/23
Comme tous les jours maintenant il faut que j'aille me préparer pour notre séance de 19h. Avant de monter je te demande si faut que je redescende nue tu me réponds oui.  Je monte me doucher. Je me nettoie de fond en comble pour être prête pour toi.  Une fois fait, je mets mon plug et je descends habillée seulement de mon collier.    Arriver au pied de l'escalier, je te vois jouer sur ton pc. Je m'installe à genoux à côté de toi et j'attends tes ordres.  Tu me regardes, me fait une caresse sur la joue et m'ordonnes :  - Va me préparer un thé s'il te plaît. -qu'elle thé, Monsieur ? -Un thé à la cerise. -Je m'en doutais .  Je repars le sourire au lèvre pour lui préparer son thé. Je suis comme toujours heureuse. De faire ce rituel de 19h.  Selon les règles, je dois préparer ce thé en ne faisant rien d'autre alors je m'affaire à  ma tâche.    Une fois le thé prêt, je viens vers toi avec le thé chaud dans les mains.  Je me mets à genoux et j'attends.  Tu te lever et me dit : Je vais aller dans le canapé. Toi tu vas me servir juste de porte thé à côté. Je veux que tu le porte correctement et si y a un goût qui tombe tu sera punie. Je me lève en disant -D'accord Monsieur. Je vous suit.   Je le suit jusqu'au canapé. Il s'installe. Je me pose juste à côté de lui au sol. Je me mets à genoux. Le bras tendus avec le thé. Le thé est chaud alors j'ai du mal à le tenir correctement. Mais je fini par réussir à le tenir droit en tenant sa hanse. Maintenant tu es un porte thé et rien d'autre. Si je te vois regarder la télé ou penser à autre chose ça sera punition. -Bien Monsieur Je ferme les yeux pour me concentrer sur ma tâche. Je fais tourner en boucle la phrase "je suis un porte thé".  J'entends la télé et je reconnais une série que je voulais lui faire découvrir. Le bougre, il l'a mis en anglais pour pas que je sois distraite. Après cette constatation je retourne à ma phrase. Je deviens ce que signifie cette phrase. Je ne pense plus. Je pars petit à petit en méditations. Plus rien n'existe à part cet instant où je suis simplement un porte thé pour Monsieur.    Voilà 30 minutes que je suis à genoux. Mes genoux et chevilles me font mal. Je commence à gesticuler dans tous les sens. Mon Monsieur me remet à l'ordre à chaque mouvement: tu es un porte thé et rien d'autre. En réponse, j'arrête de bouger.   Monsieur a fini son thé et je continue à bouger malgré moi.  Alors il me dit :  Bon on va changer ton utilité. Allonge-toi par terre. Je suis nue, le sol est couvert de carrelage froid.  Je pose mes fesses sur le sol et tout de suite le froid me fait tressaillir.  Malgré ce ressenti, je m'allonge sur le sol.  Le sol froid me fait prendre conscience où je suis mais pour en rajouter à la situation Monsieur pose ses pieds sur moi.  Me voilà humilié, je ne suis plus qu'un paillasson.    -Et bien sûr tu diras en boucle cette phrase : "Je suis un paillasson. " Tu ne penses à rien d'autre.    Je récite cette phrase. Cela me fait partir en méditations. Je ne pense plus à rien à partir de maintenant.  Je ressens seulement le froid du carrelage et le poid de ses pieds.    Pour en rajouter à la situation. Il ne se prive pas de poser ses pieds. Sur ma gorge, sur ma bouche, sur mon sexe, il pose ses pieds là où dicte son envie.    Ce serait mentir si je disais que cette situation n'est pas excitante. Me sentir ainsi rabaissé est très plaisant.    ça fait 30 min à nouveau que je suis ainsi.  Il retire ses pieds et me dit de me lever.  Je le rejoins sur le canapé. -Merci, Monsieur, pour le moment. Lui dis- je en m'installant. -es ce que ça va? Comment tu te sens ?  -ça va bien, je me sens détendu et toi comment tu vas? Tu a aimé ? -oui bien-sûr et toi tu as aimer?  -c'était très agréable. Je ne pensais à rien . Quand mon esprit vagabondait. La phase que je me répétais me faisait revenir.   On reste l'un contre l'autre pendant de longues minutes pour faire redescendre la pression. Mais aussi pour ce montrer qu'on s'aime.
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Par : le 21/06/23
Parlons dévotion,  " Un pied dans les flammes, un autre dans la glace, séduit par les extrêmes j ai trouvé ma place " Lomepal  Ce chanteur fabuleux mets en avant l'équilibre de deux facettes opposées d'une personnalité ou nous pouvons toutes et tous nous identifier, qui creer la complexité de nos desirs et de nombreux paradoxes, comme celui, pour mesdames les soumises, de devenir une femme à travers l infantilisation, une femme responsable, qui prend soin de son Mari, de ces enfants, de son habitat, de son travaille, une femme organisée, disciplinée, serviable et douce, sans oublier bien-sûr très chienne prête à ouvrir sa bouche et ces cuisses pour lacher l'éxcitation de satisfaire son homme, loin des exemples féminins de la femme indépendante, et pourtant, la femme indépendante que fait elle dans son quotidien ? Une vrai pieuvre multifonction n'est ce pas ? La seule différence, c'est la dévotion, la femme soumise ne réalise pas toutes ces taches que pour elle même, mais aussi pour l'homme qu'elle admir, au delà de son satut, qu'elle vénère et qu'elle aime, une passion envahissante qui l'à fait aimer être punie, être fessée, se faire humilier, recadrer, une dépendance qui l'à fait mettre à genoux aux pieds de son Maitre qui fait reigner son autorité à travers la douceur, son sadisme à travers l'empathie, le dépassement des limites à travers l'analyse. Le fondement des relations bdsm, basés sur deux mentalités contraires pour arriver au même but, une mentalité archaïque dans un monde moderne, le quotidien d'une femme d'affaire à travers la dépendance, le dévouement, et l'infantilisation. Il faut reussir à trouver sa place et son équilibre malgré le faite d'aimer jouer à la balançoire dans ce monde paradoxal. Prochain article davantage érotique, cet article est surtout fait pour présenter ma façon de penser, et qui peut aider aux jeunes novices d'avoir un point de vu sur le fonctionnement de ces relations.  Bisous ;) 
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