La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/05/14
Trop souvent il m est arrivé d être traversé de ce sentiment de lassitude qu 'on éprouve ,y compris à l égard d'une personne chére à mon cœur, en se livrant à une activité sexuelle frénétique ou espacée.l 'usure des sens y' a sans doute sa part mais pas seulement...comme si l ´acte de fornication ne conduisait à rien de plus que ce qu il est, passé les premiers mois de découverte du territoire du corps de l ´" autre".comme s il n apportait pas un + aux deux amants. L ' encordèrement, par un mécanisme d'ordre quasi surnaturel, par un basculement des rapports liant un couple, provoque cette magie d'unir dans une intensité sans cesse renouvelée, deux esprits et deux corps tendus, écartelés, sublimés, dans une douleur voulue aussi comme espoir d'une jouissance unique sans cesse renouvelée....cordes visiblestraçant des fils invisibles reliant à jamais deux esprits dans une complicité secrète presque psychanalytique et muette de fantasmes inavoués de passions inassouvies de bestialité réfrénée de peurs et de conformismes libérés par ....cette corde même symbole de soumission apparente..mais libératrice. Montre moi ton attachement......attaches moi! Oui de toute ma concentration : je t attache!
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Par : le 14/05/14
Aujourd'hui j'ai pris ma matinée sans le prévenir alors qu'il a pris un jour de repos. Il était étonné de me voir revenir alors qu'il était tout tranquillement installé devant son ordinateur. Je lui ai ordonné d'aller se laver bien en profondeur et de revenir habillé en pute. Il a raâé mais il s'est exécuté Smile Je lui ais mis son collier cadenassé et j'ai gardé la clé avec moi pour la journée (= pas de sortie pour lui aujourd'hui Smile Je lui ai parlé comme on parle à une merde, je l'ai corrigé à la cravache et je l'ai longuement enculé, en lui faisant dire à voix bien haute qu'il était une grosse salope qui aimait se faire enculer par des grosses bites bien dures, ce qui est vrai :D Au moment de partir à mon travail, ma salope m'a accompagnée jusqu'à la porte de l'appart et quand j'ai ouvert, la lumière du palier était allumée! Quelqu'un est donc venu d'un autre étage et a allumé car il n'y a que nous sur notre palier. Peut-être à cause du bruit produit par les claques et la cravache? Alors cette personne aurait entendu ma pute dire ce qu'elle était sous mes coups de gros sextoy?... Inquiétant pour lui... mais terriblement excitant pour moi. Bref, je l'ai insulté et giflé en lui ordonnant de faire le ménage à fond pour son jour de repos et en se godant fréquemment (photos à l'appui) et avec interdiction de toucher à mon toy (sa queue). Il a toutefois le droit de jouir mais uniquement par le cul (et oui ça lui arrive :D) mais avec ordre de se filmer jusqu'au moment où il laperait son foutre. Je suis partie au travail Smile Vivement ce soir qu'il me serve de gode et me donne du plaisir...
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Par : le 30/04/14
Tu es entrée dans ma vie, au moment où je ne m'y attendais pas... Des envies qui se croisent et se rejoignent. Entre nous la franchise, rien de dissimulé ou de caché. Même pas les échéances inévitables que nous connaissons. Cette même perception du BDSM qui nous permet de vivre une relation si profonde et si complice. Tes mails m'ont touché ainsi que tes textes quand tu y mets dedans de la poésie. J'ai beaucoup aimé ta manière de te confier, de livrer tes émotions, de faire ressentir tes sentiments comme jamais encore, je n'avais pas pu entrevoir. Ces échanges font partie de notre corrélation et de la découverte pas à pas. Il est rare de rencontrer des soumises qui soient aussi inspirées dans l'écriture. Non seulement tu écris très bien, mais tu exprimes tes désirs que j'ai pu satisfaire ou non en fonction des miens, ainsi que tes émotions et cela m'a aidé pour te faire progresser, te révéler. Au début, j'ai deviné en toi beaucoup de craintes ou de peur, puis tu t'es sentie à l'aise, rassurée, confiante et tu t'es abandonnée. Je t'ai découverte, spontanée, respectueuse et obéissante, prête à endurer tous les sévices qu'il me fut satisfait de t'infliger, libre d'y exprimer ta douleur en les acceptant jusqu'au bout. Tes beaux yeux bleus et ton joli sourire, font que je les garde gravé en moi. Ta soumission, ton dévouement, ton corps offert, prêt à subir et à se donner, comment oublier ? Notre entente faite de sincérité, de complicité et de respect ne pouvait que nous amenez à ouvrir nos coeurs. Tu es une personne exceptionnelle et unique et bien que l'échéance de mars soit arrivée, tu restes à jamais ma seule, unique et dernière soumise dans le profond respect de notre relation. Quatre ans passés ensemble dans cette complicité, cette évidence et le lien fort Maître/soumise. Pendant toute cette période tu as été mon soleil, celle qui m'apportait à la fois écoute, compréhension et plaisir. Nous n'avons eu que de bons moments, nous avons découvert ensemble des lieux passionnants, des personnes, vécu de très belles et fortes émotions. Nous restons liés et c'est très important. Une page se tourne, une nouvelle relation commence, sur des bases différentes, mais pourquoi serait elle moins belle que la précédente ? Sache que tu as énormément compté pour moi et que notre relation reste sincère et solide. 28 avril 2014
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Par : le 28/04/14
Non, vous n'entendrez pas, le vent se lever, dire les mots qui s'envolent, la tempête arrivée, en colère, martelée... Vous ne verrez pas, les nuages s'amonceler, antagonistes dressés, au galop dans le ciel, annoncer la fin de l'été... Qui se doutera que cette fleur qui aura donné, de son meilleur piétiné, inconscience d'un animal ravagée, une larme échappée... Le tonnerre assourdissant aura fait taire la nature stupéfiée, un instant le souffle coupé, qui cherche la paix, dans le calme retrouvé... Qui se penche, fraternité, sur la corolle fanée, attendant que cesse la bruine et les regrets, amitié attentive et désolée... Au matin, un peu de forces retrouvées, délicatement inspirée, dans la brise d'un renouveau printanier, protégée, entourée, presque relevée... Du cœur éternel sa voix retranchée, silencieuse par nécessité, à l'écoute, concentrée, entendre de l'intérieur vibrer sincérité... Et savoir, pleinement rassurée, qu'un jour prochain, d'allégresse et de rire mêlés, la vie toujours victorieuse, de plaisirs renouvelés... Vivante, entière, apaisée, à venir plénitude, intensité... A l'amour et à l'amitié !
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Par : le 20/04/14
Ce soir, comme tant d'autres, nous nous étions cherché n'attendions que cela. Le temps de faire ce que nous avons à faire - nos emplois du temps de la journée sont chargés, et décalés -, et nous nous installons. Un sac ou 2 sont sortis, les cordes sont à portée de main, le collier est ici, les entraves sont prêtes. Le cliquetis des attaches tintent notre soirée, elles sont dans mes mains, mais nous profitons d'un moment de calme et de tendresse. Petit à petit, je te sens de détendre, ton corps, chaud, s'abandonne avant l'heure. Puis, ta respiration change. Elle prend le rythme que je connais trés bien. Elle est difficilement descriptible tellement elle est personnelle et limite intime. Cette respiration est celle de ma soumise et fiancée qui part pour un voyage; un voyage particulier qu'on fait tous les soirs vers un pays de sérénité et de rêves. Le collier retourne dans son sac, les cordes y resteront. Ce voyage de sensations fortes ne sera pas pour ce soir; mais qu'importe. Cet autre voyage, blottit dans mes bras est une autre merveille. Ton Maitre veille sur ton sommeil ; parcourt ce Monde féérique et de sérénité, ma soumise; tu es en sécurité. Bon voyage, mon Amour, je t'aime P.S. les cordes ne sont jamais loin, ce n'est que partie remise P.S2. le martinet sera de sortie pour le prochain film qu'on regardera dans le lit : ca te permettra de regarder au moins la moitié
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Par : le 20/04/14
suite à la demande de Madame je vous livre mon ressenti de notre dernier week-end. Carnet de voyages, l'au revoir. L'île quitte doucement son attache. le continent rapetisse lentement. L'eau clapote sur les plages de sables colorées. Au port d'attache, la brise plie les tiges de bambous, les feuilles vertement fraîches tournoient dans la lumière sépia. J'ai attendu, la poitrine gonflé d'espoir, le ventre serré d'angoisse, dans ma main, un SMS éclate, brisant mon impuissance. je suis là. J'ai attendu veillant sur votre sommeil. En nettoyant sans bruit, ma douleur. L'écoute de votre silence me rassure. Mon corps froid s'anime d'une joie brûlante au bruit de votre réveil. Vos ongles s'accrochent à mon âme, en rayant ma peau, elle chauffe votre corps. Il vibre au point de tremper vos doigts qui pénètre ma bouche. Le goût de votre plaisir est doux, nectar précieux il s'incruste au plus profond de mon cerveau. La nuit et le jour se confondent sur cette île. Parfois se mélangent donnant ou prenant, en se moquant de nous. L'océan qui nous entoure, est multicolore et les heures avancent ou reculent à leur gré. Sur le continent maintenant perdu de vue. Le vent plie des tiges de bambous et les feuilles vertement fraîches s'agitent sous le ciel bleu. La découverte. En longeant les plages de l'île qui s'étaient faites bleues pour l'occasion, nous découvrons un coteau illuminé de soleil. Un coteau herbeux parsemé de prunelliers fleuris. L'île pourtant déserte, se modifie suivant vos désirs, et il se peut que quelques promeneurs égarés viennent à notre rencontre. Votre interrogation s’efface. Le premier claquement est parfait, le deuxième se perd quelque part dans la chair. L'erreur est vite comprise. A ce corps recevant vous donnez votre joie. Que cette bouche gémit sous votre rire moqueur, donne à votre bras la puissance idéale à votre bras. Votre main prolongé de la cravache fait se tortiller votre serviteur. Ses fesses tendues vers vous. Il apprend au son de votre voix ses postures d'humiliation. Sa chair rougie, le souffle haletant, est le fil de l'apprentissage. Artiste peintre, en fond blanc vous zébrez de rouge, votre modèle. En souriant, vous reconnaissez toutefois que votre serviteur à besoin d'apprendre pour encore mieux vous servir. Si son corps se tortille bien sous vos caresses badines, vous déplorez sa faiblesse à les encaisser. Mais il vous rassure et promet de s'endurcir. Quitte à pleurer dans vos bras. Il sera un objet de plaisir pour vous Madame. Sa peau douce attire vos caresses, trois points noirs incrusté dans ses pores vous gêne. Vous aimez enlevez ses choses là. Votre soumis est heureux que son corps soit un terrain de jeux pour vous. Nue, devant l'océan jaune sous le soleil bleu, votre corps se bruni un peu. Votre serviteur le corps brûlant de vos attentions, admire votre beauté et nettoie les gouttes d'urine laissé sur vos jambes. Récompense, bonheur de garder un peu de vous en moi. Gravure. L'océan révèle une infinie beauté aujourd'hui. Dans les tons orange nuancé selon les courants, l'orage gronde en venant vers nous. Nous longeons une autre plage au sable fin et vert, parsemé de coquillage multicolore. Un, particulièrement pointu attire votre attention. Vous le prenez il est fin, dur, et transparent. Il part en spirale pour finir en pointe. Vous le gardez Madame, déjà une utilisation se dessine dans votre esprit. Nous rentrons. Frédéric? Oui Madame? Déshabillez vous s'il vous plaît. Je m’exécute. Allongez vous sur le dos. Je m'allonge. Fermez les yeux Frédéric. Et mettez vos mains dans votre dos. Oui Madame. Vos doigts caressent mes mamelons, mon souffle se fait court. Vous les emprisonnez entre vos doigts et les tirez ou les tournez. La douleur est instantanée, je gémis, mon corps se tord. Voyons Frédéric! Dites vous en léchant mes tétons. Vous n'aimez pas mes coups de langues? Si Madame. Alors vous reprenez la tortures de mes seins. Alternant caresses, étirements, langues, pincements. Je crie un peu, je gémis beaucoup,je me donne passionnément, je me tord à la folie, je ne respire pas du tout. Sur mes seins rouges vous frottez vos mains. Roulant des pointes qui ont doublé de volume. vous m'excitez Frédéric. Vos doigts force ma bouche. Ils sont trempé de votre plaisir. Cadeau Frédéric! Mearcoui Badame! Vous vous éloignez un moment. J'essaie de reprendre mon souffle. J'entends la brise dans les feuillages, douce et langoureuses. Vous vous asseyez sur mon corps, vous m'encerclez de vos magnifiques jambes. Prisonnier. Vos mains, vos doigts caressent lentement mon torse. Je vais vous faire mal Frédéric. … Le voulez vous? Oui Madame. Très bien, vous m'excitez quand vous gémissez Frédéric. Un objet pointu se pose sur mon torse, j'essaie de suivre sa trajectoire, mais la douleur est intense. Je bande. Contre les fesses de Madame. Pendant que la pointe trace des sillons sur ma peau qui brûle de plus en plus. Je bande. Sous vos fesses, Madame. Mes yeux fermés se mouillent. Vous tracez inlassablement. Vos soupirs de joie, sont tuteur de mon plaisir. respirez Frédéric. Je respire, du moins j'essaie. Allongez vous sur le sol. J'ouvre les yeux, et m'allonge. Mes bras me font mal d'être resté si longtemps dans le dos. Vous vous mettez nue, votre pied s'amuse avec mon sexe raide. c'est très bien Frédéric! Votre queue est très belle. Dressée pour sa dominante. Je vais vous récompenser. Vous l'avez mérité. Vous avez été courageux. Merci Madame. En murmurant la bouche sèche. Debout au-dessus de mon corps vous urinez. Au bout de quelques secondes mes blessures me brûlent. Merci Madame. La lumière bleue du soleil inonde les pièces. l'océan c'est calmé l'orage est finalement passé, sans que je l'entende. L'eau est calme d'un joli jaune, les grand acacias frissonnent sous la brise. Je fume une cigarette de tabac oriental. un peu de botanique. Nous marchons sur le chemin bordés d'arbres. Il est étroit. Je vous suit. Mon regard se pose sur vos fesses et ne les quittent plus. Le mouvement doux et nonchalant exprime une danse érotique qui éveille mes sens. Le sentier s'élargit sur une petite clairière. Des touffes d'orties sont là. Elles ont poussé pour vous. Frédéric? Oui Madame? Relevez votre tee shirt. Oui Madame. Je relève mon vêtement, vous le passez sur ma tête. Je suis aveugle. Vous triturez mes tétons endoloris de la veille. Ils sont sensibles, et gonflent de plaisir instantanément. Vous vérifier longuement si cela gonfle aussi ma queue nue sous mon pantalon. Satisfaite vous serrez très fort en tenant ma nuque d'une main ferme. Je vous appartient. L'envie de souffrir pour vous est forte car je sais que vous prendrez du plaisir. Que vous serez heureuse. Je vous entend vous éloigner, faire votre cueillette. Vous caressez mes seins au feuilles d'orties. Vous tournez lentement autour des pointes érigées. Vous écrasez les feuilles doucement les feuilles sur ma peau. Vous contemplez votre œuvre. Pas assez. Vous recommencez. Je bande comme un fou. Je voudrais que vous baissiez mon pantalon, que vous m'attachiez à un tronc, les fesses tendues vers vous, ma posture cambrés en attente. J'aimerais sentir les orties fouetter ma chair, piquer ma peau, j'aimerais hurler. Mes seins me brûlent horriblement. Vous me l'avez dit les travailler est un plaisir pour vous et je dois m'habituer. Nous reprenons notre promenade. Le sentier serpente. Les oiseaux chantent. Mes seins fourmillent. Vos fesses dansent. Les miennes sont vierges, c'est peut être mieux car le tissus sur mes mamelons me fait mal. Et je bande... le retour. Assis sur la plage de sable bleu, je contemple le lever du soleil. L'océan, il me semble, est moins orange. À l'horizon une barre bleutée, se profile. Étrange. Perdue dans mon ignorance, je ne vous ai pas entendu arriver. Un bandeau noir obscurci mes yeux, vos mains pèsent sur mes épaules. Je m'allonge. Aveugle je ne comprend pas tous les bruits qui m'entourent. Vous vous installez à califourchon sur mon pubis vous êtes nue. Moi aussi, bien sur, mais c'est mon état. Vous tirez mes bras derrière ma tête. Vous prenez à pleine mains la peau de mon corps. Vous tirez et tordez, vous m'adressez en chuchotant des paroles d'apaisement, tandis que vous vous acharnez sur mes seins, mon ventre, l'intérieur de mes cuisses. Mon sexe enfle sous vos fesses. Comprimé, il grossit avec douleur. Vous sentez le sang affluer dans cette verge. Et vous pesez encore plus lourd pour stopper cette mutinerie. Le calme se fait soudain. Puis une goutte me surprend, chaude, puis une autre et encore... a chaque goutte je sursaute, je commence à trembler, je suis bien en votre pouvoir. Vous le savez et vous arrêtez la cire. J'aurais aimé que ces gouttes brûlantes me surprennent encore plus loin. Mais je ne suis pas là uniquement pour mon plaisir. Vous vous levez puis vous collez votre sexe sur mon visage. Accroché des deux mains aux tétons de votre soumis, vous recevez ses cris a l'intérieur de votre vagin. Étendu sur la plage, haletant, je reprend ma respiration. Débarrassé du bandeau, je vois l'horizon barré du continent qui se rapproche. Je suis presque sur que des bambous plient dans le vent, et que des feuilles vertement fraîches dansent avec le soleil. Assise à coté de moi vous contemplez l'horizon. Vous murmurez «merci Frédéric».
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Par : le 20/04/14
On est dans ta salle de bain. Mes mains sont appuyées sur l'évier, mon buste est penché vers l’avant et mon cul est relevé vers toi. Tu es derrière moi. Tu as insisté pour que ça se passe ici, devant ton miroir. Tu veux me voir, mais tu veux aussi que je voie mon visage, que je voie l'expression de ma souffrance quand tu t'insinueras en moi, centimètre par centimètre. Tu veux que je voie le tien, que je prenne entièrement conscience de l’emprise que tu as sur moi. Tu veux me faire mal. Tu ne vas pas y aller doucement. Tu ne vas pas me ménager. Tu vas forcer, parce qu’on sait tous les deux que mon cul est étroit. Et surtout, parce que tu sais que ça m’excite. Tu ne le ferais pas sinon… Tu baisses mon pantalon sur mes cuisses et tu relèves mon haut, dévoilant mes reins, mon dos et mes seins. Tu passes tes mains sous mon ventre incliné, et tes doigts se saisissent de mes tétons durcis par la faim de toi. Ton pantalon est collé à mes fesses et je peux déjà sentir ton excitation. Comme pour me frustrer encore plus, tu le retires, te retrouvant en caleçon. Effectivement, tu bandes! Tu pinces mes tétons, les tords, fort et sans ménagement, en frottant ton bas-ventre à mon entre-jambe déjà trempée. D'habitude je mouille "normalement", ni trop vite, ni pas assez, mais on sait tous les deux que ce genre de situation, un peu cérébrale, humiliante et forcée me rend dingue. Je sais que le fait de voir ma chatte trempée t'excite. Je sais que tu aimes le fait de me savoir suspendue à tes gestes, obéissante et dévouée. Je ne tiens déjà plus... Mes fesses, d'un mouvement incontrôlé, se joignent au mouvement de ta queue qui se frotte à moi. J'ai trop envie de toi, ça fait trop longtemps qu'on ne s'est pas vus, j'aimerais que tu en finisses et que tu me délivres d'un coup de queue salvateur. Mais ça ne se passera pas comme ça. No pain, no game !
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Par : le 14/04/14
La vie de tous les jours est faite de routines, de moments pénibles, agréables, inoubliables, ou inutiles ... Elle est aussi faite de moments privilégiés qu'un couple vanille vit tous les jours quand chacun des fiancés changent de role. L'un devient le Dominant et l'autre la soumise. Même si cette répartition peut déteindre au grand jour, elle est marquée comme il se doit lors de ces moments privilégiés. Mais quand ces moments-là deviennent aussi précieux que de l'Or, nous en profitons à fond, nous les attendons avec impatience ...Et nous en reparlons encore par la suite Ils sont précieux par leur intensité, les partages, les sensations, .... mais par le temps. La vie de tous les jours est bien remplie, les agendas ne correspondent pas toujours, les journées trop longues, les nuits trop courtes, et quant aux WE ... C'est ainsi que Je savoure tous ces moments, intense ou doux, vanilles ou BDSM. Ces moments toujours uniques qui permettent une Evasion et qui manquent toujours ... Ma soumise / Fiancée, je t'aime à un point inimaginable. Tu es toujours à mes cotés, avec Moi. Mais ces longues journées sans toi, ces soirées trop courtes à mon gout, sont des calvaires.... Je t'aime Ton Maitre / fiancé
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Par : le 14/04/14
Je quittais le restaurant, fière d'avoir la carte de visite de cet homme qui m'avait observée dans les toilettes,lors de ma prise de ma prestation avec Raphaël. Un contact de plus dans mon répertoire ne peut pas me faire de mal. Je décidais de ne pas en parler à mon Maître. C'était la première fois que s' agissait ainsi de ma propre initiative.Je m'étonnaitmoi-même. En revanche, je décidais de parler du Légionnaire et de sa demande bizarre avec son chien, il vaut mieux tout prévoir avec certains déviants sexuels pas question de s'y rendre seule, on ne sait jamais.Dehors sur le trottoir Pierre et Raphaël m'attendaient.Avant de partir Pierre me demanda de passer à Pigalle, chez Laurent, le propriétaire d'un sex-shop où Pierre avait l'habitude de se fournir en matériel.En fait il avait organisé un "essayage" devant des clients voyeurs et payants. C'était le cas aujourd'hui, le rendez vous était fixé à 16 heures. Pierre demanda à Raphaël de m'accompagner pour cet "essayage " prévu de longue date.Pierre me prit à part et m'ordonna de m'occuper du canadien pour la soirée et la nuitRaymond ton mari est absent pour plusieurs jours,tu es libre cela ne te pose pas de problème me dit-il Je tentais de répondre.Il n'y a pas de mais, tu dois obéir, ce Monsieur à des projets intéressants pour toi.- Bien Maître, il sera fait selon vos désirs.Pierre adressa un clin d'oeil à Raphaël comme pour signifier que tout était sous contrôle et prit congé de nous sans oublier de m'adresser une petite claque sur mes fesses rebondies.J'invitais Raphaël à prendre place dans ma Mini sans oublier de lui donner mon ticket de parking pour qu'il paye, ce qu'il fit sans problème. Normal après le plaisir que je lui avais prodigué dans les W.C. il me devait bien ça. Je composais aussi le numéro de téléphone de Laurent.- Bonjour Laurent ça va ? C'est Safi.Ah c'est répondit Laurent. Où es-tu ? J'ai cinq mecs qui s'impatientent, tu es en retard ma belle.- Fais les patienter avec ma cassette porno, je ne suis pas loin j'arrive dans quinze minutes pour l'essayage.Avant de démarrer, je mis un CD du chanteur Baba Maal, un compatriote sénégalais, originaire comme moi de Louga au Sénégal.Pendant que je conduisais rapidement dans les rues de Paris pour me rendre au sex-shop, Raphaël commença à me caresser les cuisses remontant ma mini-robe jusqu'à la taille.Il était heureux de découvrir ainsi Paris de façon insolite avec une vue imprenable sur mon Mont de Vénus.L'éditeur juif de Montréal devenait de plus entreprenant, réussissant même à introduire un doigt dans ma fente.Surprise, la voiture fit une embardée et je m'immobilisais sur le trottoir.- Je sais bien qu'en tant qu'esclave je n'ai pas de droit de refuser quoi que ce soit de la part d'un invité de mon Maître, mais je vous en prie nous risquons d'avoir un accident et je ne veux pas de problème de ce genre avec mon mari et en plus nous sommes en retard.En terminant sa phrase, Safi posa sa main sur celle de Raphaël dont le doigt était toujours en elle.O.K! tu as raison dit-il en retirant son doigt du vagin de la négresse, mais tu me rends barge avec ton côté étrange et ta cambrure inouïe. Allez roule dit-il en posant son doigt sur les lèvre de la conductrice de charme qu'il avait à sa disposition.Le reste du parcours se passa sans incident jusqu'à Pigalle, Safi se fit guide touristique pour Raphaël, lui expliquant les monuments au passage.Laurent le propriétaire du sex-shop fut soulagé en voyant arriver Safi dans sa boutique. Il attrapa la jeune femme par la taille et la déposa sur le comptoir en l'embrassant dans le cou. Safi présenta Raphaël. Dans le magasin cinq hommes, cinq clients triés sur le volet par Laurent attendaient.C'était une vente privée. L'essayage pouvait commencer.Laurent était un habitué des salles de musculation. Grand, musclé, toujours vêtu d'un T-shirt laissant apercevoir des tatouages sur ces biceps gonflés et d'un Jean's hyper moulant qui montrait que là aussi il était très musclé.Pour l'essayage, les gadgets étaient disposés sur un présentoir notamment une mini-robe en latex rouge avec deux ouvertures à l'emplacement des seins, un porte-jarretelles rouge également.Les godes étaient de couleur chair, pour quelques euros dont un noir moulé directement sur un acteur porno américain, la dernière nouveauté en la matière, le Gode Bélier à piles de 28cm qui ne se contente pas de vibrer comme l'explique Laurent aux clients, mais tel un bélier il se contracte et se rétracte de 5cm en permettant de simuler le coup de rein d'un homme en action.Il y a aussi pour mon essayage un gode gonflable en latex qui caresse le vagin de la femme grâce à l'action de la poire, il peut grossir à volonté. 21cm de long et 4 cm de diamètre qui peut grossir jusqu'à 6cm. Le fin du fin, l'anus-picket, un objet conçu pour des pénétrations extrêmes, confortables et efficaces pour les adeptes de pénétrations anales comme moi. C'est un gode que l'on peut porter toute la journée sous une robe ou un pantalon car il est invisible.Rien que du plaisir en perspective pour Safi qui va devoir essayer en direct ces objets, en faire la démonstration en réel.Messieurs dit Laurent, je vous présente Safi, notre mannequin, certains d'entre-vous la connaisse déjà, pour d'autres c'est la première fois, elle est à votre disposition pour essayer les articles que vous avez sélectionné. A présent me dit Laurent va te déshabiller.Moins de cinq minutes plus tard, j'étais nue en hauts-talons au milieu de cinq hommes plus Laurent et Raphaël, j'avançais vers eux.- Je vous suis très reconnaissante dis-je de m'avoir choisie pour ces essayages. Avant même d'avoir terminé ma phrase, plusieurs mains se promenaient et s'insinuaient en moi.C'est Laurent en tant que Maitre des lieux qui prit l'initiative, il me demanda de me placer, les jambes écartées de façon que ma chatte soit bien ouverte, mes cuisses reposaient sur les accoudoirs.En face moi un homme d'une soixantaine d'années jouait avec la poire de l'anus-picket.J'étais là contre rémunération pour assurer démonstration et la promotion de nouveaux produits de la boutique de Laurent. Ce dernier assurait également la couverture photographique de la vente-privée avec des photos numériques et des polaroïds, souvenirs de leur participation. Les acheteurs avaient droit également en bonus à des pipes complètes, doigtage . Je venais deux fois par mois chez Laurent pour ce genre de prestation selon un accord entre lui et mon Maitre Pierre.Une fois bien installée dans le fauteuil, j'écartais mes grosses lèvres pour laisser voir mon clito turgescent.Mon regard fixait un à un les acheteurs participants. Un regard qui était plus une supplique et une invitation à la pénétration. Un regard qui recelait tous les vices du Monde. Ma bouche pulpeuse et molle, bien dessinée légèrement ouverte laissait apparaître le bout de ma langue.Laurent commença ses explications sur l'utilisation de l'énorme gode anus-picket en gélatinex.Ce gode dilate énormément il faut l'introduire avec beaucoup de précautions,il dilate les cavités les plus étroite, d'ailleurs vous aurez l'occasion de l'expérimenter sur Safi qui est très étroite de partout.Emotions fortes garanties. Un gode dont le diamètre passe de 5 à 10cm, soit la taille d'une petite bouteille de Perrier dans le cul. Une fois bien place, les muscles anaux se resserrent à la base du gadget et le maintiennent dans le fondement de la soumise ou du soumis, ensuite il faut une certaine habitude pour marcher avec.- Bonjour Messieurs, dit Safi avec une voix à peine audible de petite fille. Safi plongea dans les yeux de l'homme qui tenait le gode gonflable, laissant deviner ce qu'elle attendait de lui.Le regard tétanisé de la négresse dégageait une sensialité primitive, sauvage.Baisse les yeux dit l'homme au gode d'un ton autoritaire, ne sois pas insolente;Malgré le désir de punir la salope black, il ne pouvait détacher son regard de la chatte lisse de Safi, se demandant quels mobiles poussait cette magnifique femme noire à accepter les pires perversions.Raphaël en retrait ne perdait rien du spectacle.Les yeux baissés, Safi continuait à masturber son clito qui prenait des proportions volumineuses. De son autre main Safi se caressait les seins. Sa longue tresse noire de sa coiffure pendait devant sa petite poitrine. Pour attiser les mecs elle plongeait ses doigts dans son vagin avant de les porter à sa bouche et de les lécher. Cela faisait partie de son contrat avec Laurent.Assez de salamalecs dit un autre homme, si tu crois que tu vas nous amadouer avec tes simagrées de pute de bas étage, tu es venue pour te faire goder le trou du cul et tu seras godée.Dans la position où elle se trouvait, Laurent n'eut aucun mal de lui menotter les poignets aux chevilles sur les accoudoirs. Raphaël assistait silencieux.Sur l'écran géant, Matalana, la sculpturale congolaise star du X aux seins énormes et Xandra une autre black très fine taillaient une pipe à Roberto Malone.L'homme au gode, s'installa à genoux entre les cuisses de la sénégalaise. Des deux mains il écarté la fente de la petite africaine à la recherche du clito. Du bout de sa langue il humecta ses doigts avant de pénétrer l'intimité de Safi qui poussa un petit cri rauque.C'est plus intéressant de la fister maintenant quand elle est encore serrée,dit l'homme à genoux, après on pourra s'amuser avec les gadgets.Laurent penché sur Safi lui administra un patin tout en lui triturant les tétons. Les choses sérieuses commençaient.La participation de Safi aux essayages de Laurent était digne de figurer au Guinness des Records comme meilleure salope catégorie amateur.L'éclairage tamisé de la boutique adoucissait les traits fins de Safi. Elle n'avait pas besoin de cela. Avec son regard provocant de splendide allumeuse, sa longue tresse tombant au creux de ses reins, l'allumeuse black fit comprendre à l'homme à genoux qu'elle avait enregistré.Malgré les menottes, fébrilement, elle glissa ses doigts en direction de la braguette d'un participant et se mit en devoir d'améliorer son érection déjà convenable.- Tu bandes bien dit Safi à l'adresse du jeune arabe, d'un geste leste, elle administra à son compagnon du moment une fellation digne d'une professionnelle du X et lorsqu'elle le sentit sur le point de jouir, elle enfonça la bite de l'arabe si loin qu'il heurta son gosier avant de s'y déverser en saccades.Raphaël dans un coin se branlait.Laurent remplaça le jeune arabe dans la bouche de Safi, le sexe enveloppé par les lèvres souillées de la pute black. Safi lui administrait une autre fellation très efficace.Tranquillement Laurent sentit le plaisir monter de ses reins. Il explosa lui aussi dans la bouche de la belle black avec un gémissement ravi. Elle l'y garda longtemps pour qu'il s'apaise. Il essuya sa queue sur le visage de la soumise de Pierre.L'homme qui était installé à genoux entre les cuisses de la sénégalaise plongea son visage vers la fente imberbe de la négresse qui sentait le musc et Chanel N° 5 de Nina Ricci, écarta sans ménagement les lèvres vaginales de Safi qui poussa un râle rauque. L'homme faisait courir sa langue sur le clito et dans la fente de la salope comme s'il dégustait un fruit tropical, une mangue, tellement la fille était juteuse comme un fruit parfumé et bien mûr. Il savourait.De brefs sursauts agitaient le bassin de Safi. L'homme chauve remonta lentement le long de la fente, jusqu'au nombril de la négresse soumise, puis lentement il lécha les seins de Safi maculés du sperme de l'arabe et de Laurent. Tout le corps de Safi était parfumé. Il mordilla les tétons dressés, lui arrachant de petits cris au moment même où il fit pénétrer plusieurs doigts dans sa chatte d'un seul coup.Les yeux de Safi se révulsèrent, elle commença à onduler au rYthme du va-et-vient, il enfonça toute sa main dans fourreau chaud et onctueux.Le regard noyé des spermes mélangés, Safi tenta de se redresser, l'homme continuait à la marteler provoquant chez elle plusieurs orgasmes.Elle semblait pouvoir ne jamais s'arrêter de jouir, elle avait une extraordinaire disponibilité sexuelle.Elle s'anima au moment où un homme placé derrière le fauteuil lui replia les jambes sur sa petite poitrine de manière à ce que l'on puisse la pénétrer avec plus de violence. Elle était entièrement ouverte vagin et anus.Un autre client debout, à cheval sur les accoudoirs se branlait près du visage de Safi, il éjacula dans la bouche de la négresse déjà souillée. Elle avala jusqu'à la dernière goutte avant d'entreprendre un nettoyage soigné.A cet instant Safi est un compromis entre une femme Bcbg respectueuse et une chienne.... une bête de sexe. Un charme et une innocence qui cache une perversité extrême. Un tel niveau de soumission, ce n'est plus de l'obéissance mais bel et bien de rage qu'il s'agit pour son Maître, une acceptation de se soumettre ainsi ; une parfaite esclave.Raphaël était troublé par la belle négresse, il la connaissait à peine depuis quelques heures seulement.Il savait qu'elle allait être à sa disposition gratuitement toute une nuit. Il était à la fois attiré et dégouté par cette femelle. Comment une si belle femme pouvait accepter cette dépravation. Il était profondément ébranlé. Jusqu'à présent un seul homme n'avait pas participé aux ébats de pipes et de fistage.Il attendait dans son coin l'anus-picket gonflable à la main, celui qui une fois gonflé pouvait grossir jusqu'à 10cm. Il attendait patiemment que les autres terminent.Il la voulait pour lui tout seul. Il avait un accord avec Laurent. Il avait négocié un supplément.Laurent détacha Safi de sa position inconfortable.La sublime salope debout attendit devant les clients voyeurs que Laurent l'autorise à se retirer. Les quatre hommes réglèrent la prestation de la mannequin africaine et leurs achats de gadgets. L'homme à l'anus-picket attendait toujours dans son coin.Le visage et le corps de Safi étaient barbouillés de sperme.Elle était dans un drôle d'état. Fatiguée mais fière de ce qu'elle avait accompli. Des marbrures de sperme séché parsemaient son corps frêle. Son parfait maquillage avait totalement disparu. Le rimmel mélangé aux différents spermes et à la sueur avait coulé sur son visage, sa tresse et ses cheveux étaient en bataille, elle ressemblait à une pute de gang-bang. Raphaël ne reconnait pas la sublime femme qu'il avait rencontré dans le restaurant. Il l'avait un peu malmenée dans les toilettes mais elle avait encore de l'allure et beaucoup de classe quant ils étaient ressortis tous les deux.Sa chatte était largement ouverte depuis l'intervention de l'homme chauve, les aréoles de ses petits seins avaient triplé de largeur et les gros bouts de ses tétons ressemblaient à des boutons de sonnette.Je n'aime pas les salopes crades dit l'homme à l'anus-picket. Va te nettoyer, tu te présentera à moi maquillée et coiffée. Tu enfileras la robe rouge en latex. Avant de te goder, nous étudierons toi et moi cet objet de plaisir qui sera gonflé au maximum dans ton cul de pute.Compris salope ? - Oui Monsieur, tout ce que vous voudrez dit Safi qui regarda Raphaël du coin de l'oeil. L'homme avait raison de dire qu'elle était crade, avec ce qui l'attendait, il valait mieux qu'elle soit clean pour affronter la nouvelle épreuve d'humiliation sexuelle, l'introduction d'un gode de la taille et de la largeur d'une petite bouteille de Perrier dans le trou du cul.Un élargissement progressif grâce à l'action de la poire, une dilatation extrême. Elle ne savait même pas si elle pourrait supporter cette torture. Elle avait effectué le matin même un lavement en prévision de la journée.Elle aimait qu'on l'introduise quand elle était propre, elle avait horreur de sucer les bites ou les godes maculés de matières fécales. Le sperme elle adorait. Elle était en train de se remaquiller lorsque le jeune arabe fit irruption dans la salle de bains. Visiblement le jeune homme avait apprécié la bouche de Safi.Salut dit-il à l'adresse de la sénégalaise, est-ce qu'on peut prendre un verre ensemble ce soir ou un autre jour. Tu es superbe et j'ai très envie de te revoir pour quelque chose de mieux;- Quoi par exemple dit Safi ? Une double sodo avec un pote à moi à Barbès, ça t'intéresse ? - Oui pourquoi pas il suffit de me louer auprès de mon Maître ou de Laurent, j'ai bien aimé ta bite dit Safi avant de repousser le jeune arabe hors de la salle de bain.Safi avait enfilé la robe de latex laissant apercevoir ses deux petits seins dont les bouts étaient droits, tendus, elle était comme dans un écrin, les fesses rebondies, elle fit son apparition à nouveau dans la boutique.Il n'y avait plus que Laurent, Raphaël et l'homme à l'anus-picket qui était assis dans le fauteuil. Il portait des gants de chirurgien.Viens te présenter dit l'homme, tu sais ce que je veux entendre n'est-ce pas ! - Oui Monsieur.Qui es tu ?- Une salope pour vous servir répondit Safi.Tu sais ce que je veux ? Tu sais pourquoi je paye ? - Oui Monsieur, vous voulez m'humilier par le cul.Parfait répliqua l'homme, vas te mettre à genoux sur le fauteuil sans oublier de remonter ta robe jusqu'à la taille, je veux voir ta petite pastille que je vais élargir.L'homme demanda à Laurent de menotter Safi pour l'empêcher de bouger pendant la durée de la dilatation. Elle était maintenant entravée aux poignets et aux chevilles. L'homme s'approcha du cul de Safi et l'enduisit de vaseline à l'aide de ses doigts. Safi se laissait faire, un petit sourire en coin, elle avait l'habitude de se faire enculer par des déviants de toutes origines sociales et culturelles confondues sans pudeur et sans complexe. Leurs fantasmes étaient souvent extravagants. L'homme au gode était sans doute de ceux là. Dans ce milieu tout le monde y trouvait son compte, il y la demande et l'offre.L'homme fit une photo du cul de Safi la vaseline débordait de son anus serré. Il pointa le gode vers l'orifice de la fille à la peau ébène. Il s'amusa un instant à faire glisser le gadget le long de la fente de Safi avec un mouvement lent. Il écarta légèrement les grosses lèvres. Safi frissonna.Elle savait que l'homme irait jusqu'au bout. Laurent lui avait assuré que Safi pouvait prendre des grosses tailles en elle. Pour l'en convaincre, il avait montré une photo de Safi avec la bite monstrueuse de Turgut dans le cul.L'homme prenait son temps. Tranquillement il planta le bout du gode dans l'anus huilé de Safi. La pénétration fut facile pour l'instant le gode avait une taille normale.Safi aimait ce genre de pénétration et puis il y avait Raphaël, elle devait prouver au canadien ami de son Maître sa totale soumission.Sans prêter attention à l'assistance, l'homme vrilla le gode dans l'anus de la jeune femme qui commençait à haleter faiblement.J'aime mieux te prévenir tout de suite, souffla-t-il avec une haleine fétide au visage de Safi, si tu pousses le moindre cri, je te casse le cul. As-tu compris salope ! Instinctivement elle se cabra pour dégager le sillon de sa croupe, aussitôt, l'homme se plaça derrière elle et lui assena une forte claque sur les fesses.Avec un han de bûcheron il enfonça entièrement le gode de toute sa longueur. Safi se cabra à nouveau, sa bouche s'ouvrit sur un son muet. Pétrifiée, ses beaux traits se déformaient sous l'effet de la souffrance, elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler de douleur. Safi poussait des gémissements étouffés, elle ne devait crier sous aucun prétexte, elle était payée pour ça. L'homme s'arrêta un instant et fit une nouvelle photos de Safi avec le gode planté dans son anus jusqu'à la collerette de protection. Il ajusta la poire.Il appuya à plusieurs reprises sur la poire. L'anneau de chair étroit de la prostituée occasionnelle se crispait sous l'effet de la tension. Le gode se gonflait et les chairs de Safi s'élargissaient. Il injecta trois autres pressions dans le cul de sa victime consentante.Cette fois, Safi ne put retenir un hurlement de fauve blessé. L'homme écrasa sa main sur la bouche de Safi sans cesser de gonfler le gode anal.Safi s'effondra dans le fauteuil en sanglotant, de grosses larmes coulaient le long de ses joues.Avec un mauvais sourire aux lèvres, l'homme fit une nouvelle photo de Safi dilatée à l'extrême par l'anus-picket.Encore une qui ne sait pas apprécier les bonnes choses remarqua son violeur d'un ton calme, ajoutant aussitôt : je crois que cette petite salope a quand même pris son pied.Malgré ses entraves Safi se tordait dans tous les sens, le gode avait atteint la taille d'une petite bouteille de Perrier. Elle tentait d'échapper à la morsure de la dilatation;My God, dit-elle, j'en veux encore, j'en veux plus, ça fait mail mais c'est bon d'être enculée ainsi.Espèce de putain gronda l'homme, tu en veux encore.... Tu veux que je gonfle le gode ? - Oui haleta Safi, enculez moi !A ces mots, l'homme félicité Safi : C'est comme ça que j'aime les vraie putes soumises. Il accentua une nouvelle fois la pression sur la poire qui dilatait les parois rectales de la jeune salope qui hurlait maintenant à la fois de douleur et de plaisir sous les coups sauvages de la poire.Safi jeta sa tête en arrière en poussant des couinements aigus d'une truie qu'on égorge, son visage ruisselait de larmes et de sueur à cause aussi de sa robe en latex.Son corps fut pris de violents soubresauts.L'homme demanda à Laurent et à Raphaël d'écarter les jambes de Safi pour une dernière photo. Elle fut prise en gros plan. Il était 19 heures la séance venait de prendre fin.L'homme aida Safi à se relever. Elle avait du mal à se tenir droite, ses jambes se dérobaient sous elle. Elle essaya de faire quelques pas avec ses hauts talons, sa robe toujours relevée jusqu'à la taille. Sa démarche était gauche, elle marchait toujours les pieds en canard, le gode était toujours en elle.Il dégonfla le gode qui reprit sa taille normale.L'homme régla la séance à Laurent et il demanda qu'une chose en baisant la main de Safi. Je veux que vous gardiez cet admirable objet en vous ma chère, en quittant cette boutique pour aller jusqu'à votre voiture. Il employait le vouvoiement à l'adresse de Safi. Votre compagnon pourra vous l'enlever ensuite. Je pense que l'on se reverra très bientôt, vous êtes une magnifique salope Madame. Mes hommages respectueux.Les désirs des clients sont des ordres dit Laurent, vous pouvez me faire confiance, elle va garde ce bel objet pour rentrer chez elle, je vais m'occuper de cela personnellement cher ami.Une fois seuls dans la boutique Laurent et Raphaël aidèrent Safi à enlever sa robe de latex, elle était en nage. Elle passa sous la douche une nouvelle fois. Le gode était vraiment monstrueux comme un petit balle de tennis entre les deux fesses de la négresse.Rhabillé, Safi tenta de faire quelques pas, Il lui était difficile d'avoir une démarche normale, il fallait qu'elle s'habitue à marcher avec l'anus-picket ainsi placé dans son fondement.Avant de quitter le sex-shop, Laurent tendit à Safi une enveloppe avec ses gains durement gagnés plus sa commission sur les articles vendus. Heureusement que la voiture n'était pas garée trop loin. Avec ses talons-aiguilles en plus du gode, sa démarche était chaloupée, les gens dans la rue regardaient cette belle jeune femme qui marchait d'une drôle de façon, les fesses tendues vers l'arrière.Une fois dans la voiture elle prit la parole immédiatement.- Je sais dit-elle à Raphaël, vous devez penser que je suis une belle salope, une bonne pute, c'est vrai vous avez entièrement raison mais je suis comme ça, je suis entière, j'aime donner du plaisir aux hommes, ma devise " Servir le plaisir", mais de grâce enlevez moi cette horrible chose.Raphaël ne se fit pas prier pour s'exécuter.- Ouf ça va mieux, je n'ai pas l'habitude de marcher avec une telle énormité en moi.En bonne professionnelle elle tira de son sac un tube de crème Xylocaïne et en étale un peu sur ses chairs élargies par l'anus-picket.Avant de démarrer, voilà ce que je vous propose dit-elle, je vous dépose à votre hôtel où vous pourrez m'offrir un verre, je crois que je le mérite bien. Ensuite je passe chez moi pour prendre un bon bain j'attends un coup de fil de mon mari. Vers 21 heures je passe vous prendre à l'hôtel pour le dîner. Bien entendu selon le souhait de mon Maître je passe la nuit avec vous.- Est-ce que cela vous convient Monsieur Raphaël ? Cela me va parfaitement répondit Raphaël, repose toi bien car je pense que la soirée sera longue et torride.A suivre.....
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Par : le 14/04/14
Est-ce possible ? Ou ai-je rêvé ? C'est le seul. Oui le seul. Le seul que j'ai aimé. Le seul. Non c'est impossible. Non je dois me tromper. Le seul. Le seul. Je l'ai aimé. Je l'ai embrassé. Je l'ai enlacé. Le seul pour qui. Treize ans d'âge amoureux. Le seul. Lui tourner autour. Rire. L'embrasser. L'enlacer. Quémander. Quémander Ses baisers. Le seul. Moi qui pourrais tout faire. Tout. Enfin, dans mes rêves. Dans mes rêves je pourrais tout faire. Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je fait ? Rien. Rien ou si peu. Si peu en regard de mes possibilités. Le seul. Le seul. Mes partenaires. Mes autres partenaires. Tous. Lui aussi, lui aussi. Tous. Tous en dessous. De ce que je pourrais faire. Tous. Lui aussi. Le seul. Le seul. Que j'ai aimé. Que j'ai embrassé. Que j'ai enlacé. Mais je mens. Je me mens. Le seul. Le seul. Que j'ai embrassé. Oui, ça c'est vrai. ça c'est vrai. Le seul. Moi qui pourrais tant et plus. Tant et plus. Mais pas ça. Pas ça. Voici mon geste obscène par excellence : embrasser. Embrasser. Je n'embrasse pas. Je pourrais faire tout le reste. Tout. Mais je mens, bien sûr. Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je fait ? Que n'ai-je pas fait ?... Que n'ont-ils pas fait ? Je l'aime. Je l'aime. Non, je mens. Je l'aime. Le seul. Pour un baiser.
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Par : le 14/04/14
J'ai fait un rêve, étrange. Oh, Toi que j'ai tant aimé, le soleil se levait, à contre jour : une ombre. C'était Toi qui approchais. Je clignais des yeux, tentant d'y voir plus clair. Mais la vision persistait : c'était Toi devenu Femme. Dans les mondes merveilleux, tout est possible. Ravie j'étais de ta main tendue, pourtant simple hologramme. Je ne pourrais pas la saisir, et quand bien même... Dans ce songe alors, je décidais de faire semblant. J'agis comme si, je ne savais pas, que c'était Toi. Je ne dirai rien, jamais. Ou si peu. Juste assez. C'était un rêve. Mon rêve. Et je sais, quel prénom tu porterais, s'il était vrai. ... Oh Mon amour, mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour, De l'aube claire jusqu'à la fin du jour, je t'aime encore tu sais, Je t'aime...
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Par : le 12/04/14
Comme c'est curieux, cette ambivalence, cette multitude de désirs, si contradictoires, et en même temps... Si complémentaires... Comme c'est curieux, d'aimer être traitée durement (voire très durement dans les moments de manque intense), et puis, de l'autre côté, aimer une douceur presque... extrême. Est-ce que c'est grave, docteur ? Peut-être que c'est comme ça que ça marche, la vie... Finalement, on jongle entre des états, parfois extrêmes eux aussi, qui, combinés les uns aux autres, réussissent à donner "quelque chose", un ensemble presque harmonieux... Ces états, auraient-ils la même saveur et surtout la même valeur s'ils étaient seuls ? Est-ce cette ambivalence qui les rend si... attrayants ? Est-ce que j'apprécierais les moments agréables de la vie d'une même manière, si il n'y en avait pas des totalement pourris à côté ? Est-ce que j'apprécierais la douleur physique/morale de la même manière, si il n'y avait pas ces moments totalement dénués de SM à côté ? Et puis il y a ces moments où il n'y a qu'un seul état... Pas d'état différent pour contrebalancer le premier... Et il faut s'y faire. Et des fois, on aime ça. Aimer la vanille strictement vanille, c'est grave docteur ? Et aimer une personne, dans sa globalité, sans once de SM ? ...Et aimer tout court ? Apprécier tout simplement la présence de l'autre, l'autre avec ses particularités, ses aspérités, l'autre dans son ensemble... Les caresses, les baisers, la tendresse, la douceur, ces mains qui se perdent partout, dans les moindres recoins... Aimer faire l'amour tout doucement, presque religieusement après une longue séparation... Et puis finir par avoir peur, parce qu'on se dit que ça ne va pas durer, que certaines épices vont forcément finir par manquer... Dis docteur, on fait comment ?
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Par : le 12/04/14
Remise de mon séjour à Toulouse, de retour à Paris, je fixe rendez-vous à mon Maître à midi à la brasserie de notre première rencontre près de la Maison de la radio en face du pont de Grenelle. Cette brasserie me rappelle d'excellent souvenirs, c'est là que ma vie sexuelle a bifurquée.Arrivée en avance je passe quelques coups de fils en réponse aux sms des amateurs qui ont laissé un numéro.Un certain Légionnaire a laissé six messages assez "hard" et sans équivoques sur ses intentions sexuelles en ma compagnie, il veut faire des photos anales.Je compose son numéro, au bout de trois sonnerie, on décroche.Allo dit une voix rauque.- Bonjour Monsieur dis-je timidement, pourrais-je parler à Monsieur Légionnaire ?C'est moi dit la voix, de la part de qui ,Je suis Safi, une jeune femme noire, vous avez laissé plusieurs messages pour me rencontrer je crois !Cela fait plus de trois semaines dit la voix autoritaire, je n'y croyais plus !- Je suis vraiment désolée, Monsieur j'étais absente de Paris, je suis rentrée hier et mon premier appel est pour vous. Que puis-je pour vous être agréable !Tu n'as pas lu mes messages, je veux ton cul, je veux t'enculer et faire des photos;- D'accord, dis-je je suis à votre disposition, combien de temps comptez vous m'utiliser ?On dit de toi sur le réseau que tu es la meilleure salope black de Paris, c'est vrai ? - Si tout le monde le dit c'est que ça doit être vrai répondis-je;Demain chez toi c'est possible me demande l'homme.- Je ne reçois pas mais je peux me déplacer mais je ne suis pas libre avant la semaine prochaine.Moi je suis pressé, je veux ton cul de salope- Ecoutez Monsieur, je vous propose de voir ça avec mon Maitre, c'est lui qui s'occupe de mon agenda.Ecoute bien petite salope, c'est moi le client et je ne veux pas passer par un intermédiaire, je veux traiter directement avec toi, d'accord ? Quand je paye une pute, je veux être seul avec elle, O.K ? - Oui Monsieur, je suis actuellement dans un lieu public et je ne peux pas vraiment parler librement, posez moi des questions et je vais faire mon possible pour y répondre.Tu es d'accord pour te faire enculer et faire des photos?-Oui MonsieurA plusieurs reprises, bite et godes-Oui Monsieur c'est possible avec ceux qui existent sur le marché.Les plus gros alors !-Oui si vous en avezEt mon chien il peut aussi participer ?-Votre chien ? fis-jeOui il adore bouffer de la négresse, alors tu es d'accord!- Pour vous c'est d'accord, pour votre chien je ne sais pas, je n'ai jamais fais ça.Tu es excitée hein, à l'idée de te faire lécher la cramouille par une langue de chien et faire des photos pendant que tu bouffe ma grosse bite, je te donne un supplément si tu acceptes le chien on peut conclure, si tu es intéressée tu as mon numéro, salut.L'homme avait raccroché en me laissant à mes pensées. Encore sous le choc de cette demande bizarre, j'ai juste le temps de descendre aux toilettes pour mettre ma mini-robe en mohair de Dorothée Bis. Je dois être belle pour recevoir mon Maître.Remaquillée de frais, ma robe en mohair me moulait parfaitement, mon décolleté retenu par de fines bretelles descendait jusqu'à la naissance de mes petits seins. Le moindre geste brusque laissait apparaître l'un ou l'autre selon le cas. Je décidais de garder mes lunettes noires et comme à mon habitude j'étais entièrement nue sous ma robe , parée seulement de mes bijoux, collier et bracelets Bulgari, une chaine en or autour de la taille.Moins de cinq minutes plus tard, mon Maître vénéré fit son entrée dans le restaurant en compagnie d'un autre homme. Le serveur indiqua la place où je me trouvais.En bonne esclave soumise, je me levais pour les accueillir.Safi, ma chérie me dit Pierre en m'embrassant sur la bouche tout en m'attirant contre lui en prenant soin de me mettre les mains aux fesses de façon très vulgaire devant son ami et le serveur.Je te trouve très en beauté, ton séjour toulousain a été très profitable, tu vas pouvoir mettre les bouchées doubles à présent. Safi, je te présente Raphaël, il est de passage à Paris pour un projet qui nous concerne toi et moi, il vient du Canada, de Montréal.Bonjour Madame, me dit Raphaël en me regardant droit dans les yeux sans me lâcher la main. Pierre m'a beaucoup parlé de vous- En bien j'espèreSurtout de vos qualités professionnelles dit-il avec un petit sourire narquois qui en disait long sur la connaissance qu'il avait de moi.La commande passée auprès du garçon, nous discutâmes tous trois du Canada pendant un bon moment. Raphaël un juif marocain avait émigré au Québec. Il avait fondé avec sa femme américaine une société d'éditions et il préparait le lancement d'un magazine d'annonces échangistes-bdsm, c'est à ce titre qu'il avait contacté Pierre.Tu sais me dit Pierre, il sait tout sur toi, ce matin je lui ai fait visionner ta cassette porno avec Turgut et il a pleinement apprécié ta prestation. Au début il pensait qu'il s'agissait de Julia Channel, l'ex star black du porno qui était sur l'écran. C'est un compliment n'est-ce pas ? - Pour Julia ou pour moi ?Pour vous s'empressa de dire Raphaël, je n'ai jamais vu une prestation pareille. Pourtant avec Christopher Clark ou Rocco Siffredi elle avait aussi de bon outils entre les dents.Le repas terminé, au moment du dessert, Pierre m'ordonna de venir me mettre debout entre les deux hommes pendant que le serveur prenait commande des digestifs.Droite jambées écartées, les mains derrière le dos, la tête baissée, j'essayais malgré la caresse intime de mon Maitre de garder bonne contenance vis-à-vis du serveur qui ne se doutait de rien ou faisait semblant de ne rien voir, mais aussi vis-à-vis des autres clients du restaurant.Pierre avait introduit une main sous ma mini-robe et s'amusait avec mon clito, il écarta les grosses lèvres et enfonça deux doigts dans mon vagin.Le plus naturellement du monde il s'adressa à Raphaël en précisant verbalement son geste.Tu vois dit-il, elle est là debout en bonne esclave docile, je lui tiens le clito et elle ne bronche pas, mets lui la main au cul et viens me rejoindre dans sa petite chatte. Rapahël hésita un instant, regarda autour de lui. Après quelques hésitations, il glissa lentement une main lui aussi sous ma robe, il fut étonné de trouver des fesses nues. Il palpa un instant chacun de mes deux lobes charnues d'africaine, remontant même la robe jusqu'à la taille.Raphaël fit glisser un doigt le long de ma raie fessière, s'arrêta un court instant sur mon anus serré puis s'enfonça lui aussi dans ma chatte pour rejoindre les deux doigts de Pierre. Pendant quelques minutes les deux hommes allaient et venaient dans mon sexe lisse comme pour une pénétration.Je jouissais en silence, retenant le moindre son. Les deux hommes se retirèrent juste avant le retour du serveur, satisfaits l'un et l'autre.Pierre m'ordonna de reprendre ma place à la table sans oublier de me donner ses doigts à lécher devant le serveur. J'étais fière de réaliser cela au risque d'être surprise par les clients du restaurant. Pierre fit glisser une bretelle de ma robe découvrant totalement un sein dont le téton se dressait fièrement.Tu vois dit Pierre, cette magnifique salope adore ça, c'est ici que nous nous sommes rencontrés la première fois, en bas dans les toilettes, elle m'a sucé, c'est une petite chienne très obéissante.Puis pointant son index sur moi, il m'ordonna de descendre aux toilettes en me disant : Tu vas aller aux chiottes des hommes, tu enlèvera ta robe et tu attendras notre invité, il a le droit de t'examiner à fond, tu lui fers une pipe complète après quoi tu reviendras à table pour recracher le sperme de Raphaël dans ton verre. Tu dois lui prouver ta totale soumission.Tu est O.K. Raphaël pour te faire sucer par cette pute ? Oui pourquoi pas dit Raphaël si elle est d'accord.Elle, elle n'a rien à dire juste qu'à exécuter mes ordres.Les deux hommes claquèrent leurs mains.Je m'installais dans les toilettes dans l'attente du canadien, en quelques secondes je fus complètement nue, vêtue seulement de mes lunettes noires, de mes talons aiguilles et de mes bijoux, j'avais laissé la porte entrouverte on pouvait me surprendre à n'importe quel moment, j'avais conscience d'être le fantasme de tous les voyeurs de la Terre, je me demandais si j'avais une envie refoulée que l'on me voit ainsi. Pour accentuer le désir de Raphaël je pris une pose suggestive, une jambe reposant sur le siège des W.C.écartant au maximum ma fente lisse.A ma vue, Raphaël poussa un sifflement d'admiration.Tabernacle jura-t-il, Pierre m'a dit que tu étais un bon coup, mais je dois dire qu'il était en dessous de la vérité. Raphaël continuait ses investigations en parcourant de ses larges mains mon corps nu, s'attardant sur ma fente rasée et sur mes petits seins arrogants de négresse.Je veux voir ton cul me dit-il, il parait que chez les négresse c'est le cul qui est intéressant.Selon ses désir je me retournais accentuant la cambrure de mes reins, écartant au maximum mes cuisses afin qu'il puisse juger à loisir de tous mes orifices, offerte pour une pénétration.Raphaël s'avance vers moi prenant soin de repousser la porter des W.C. Me forçant à me cambrer d'avantage pour que je sois plus offerte. Il me retourne face à lui, je suis assise sur le siège des toilettes, sans rien lui demander, je glissais mes doigts fins aux ongles très longs peints d'un rouge vermillon dans la braguette de l'éditeur canadien pour en extraire un membre massif et circoncis. Mes lèvres essayaient d'engloutir son membre dur qui avait atteint une bonne taille raide. Raphaël me baisa la bouche en gorge profonde, visiblement content du plaisir que je lui procurais, il se retira et agrippas mes hanches, sa grosse queue palpitante vint se placer entre mes fesses, Raphaël buta sans violence contre mon anus, son sexe tendu à l'extrême, je sentis son membre se diriger à la vitesse grand V, il encula mon petit boyau étroit d'un grand coup.Il parait que tu es une folle du cul me dit Raphaël en me claquant les fesses, tu aimes les coups de bites bien profonds, les mots orduriers- Oui Monsieur, punissez moi comme je le mérite, je suis une salope, une bouffeuse de queues.Tout en m'insultant, le champignon monstrueux de Raphaël cherchait son chemin au plus profond de moi. C'était une punition agréable Pierre mon Maître savait que j'avais un penchant pour les grosses queues qui m'ouvraient en deux et qui me déformaient. A genoux devant Raphaël j'attendais la bouche ouverte qu'il se vide en moi, je devais garder sa semence.De retour à ma place, je recrache le sperme de Raphaël dans le verre de cognac. Elle va trinquer avec nous dit maintenant Pierre.Regardant tout à tour mes deux compagnons droit dans les yeux, je porte mon verre et sa mixture cognac sperme à mes lèvres et l'avale d'un trait.Avant de quitter le restaurant je décide de me refaire une beauté, je passe devant les tables oscillant de la croupe, un homme se lève et me tend sa carte de visite en me disant :j'ai apprécié votre spectacle en bas dans les toilettes, la porte n'était pas fermée, si cela vous tente de recommencer un jour, je suis votre homme.Sans gène, je lui répondis avec plaisir une autre fois aujourd'hui je suis occupée.
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Par : le 08/04/14
Il était une fois une petite idiote. Ravissante. Ou pas. Un jour elle rencontra un grand sorcier. L'histoire se finit mal, bien sûr. Les histoires d'amour finissent mal en général. La, la, la. Il s'éloignèrent. Et elle lui en voulait, oh terriblement. Et puis, chemin faisant, un jour elle le retrouva sur sa route. Elle l'observa. Elle pensa un temps s'enfuir : trop dangereux. Elle voulait cependant, d'abord le mettre en pièce. Qu'il serait doux de le mordre, de le déchiqueter, de l'exploser. A couvert, Elle s'approcha un peu... Et dû se rendre à l'évidence : Ses sortilèges étaient toujours puissants ; Sa simple présence suffisait à les ranimer Pourtant Elle savait, Elle connaissait le danger. Nulle ignorance. Envie de fuir. Envie d'attaquer. Envie de le bouffer. Déraisonnable. Irrationnelle. Ambiguité. Folie. Tremblement. Amour ? Que c'est con, parfois, un être humain.
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Par : le 07/04/14
1er munch à Grenoble (05 Avril 2014) C'etait une soirée prévue depuis longtemps dans les agendas. Cela se déroulera à Grenoble, une première. Ma soumise avions déjà participé à une - et unique - soirée BDSM. C'était à Lyon, nous en avions gardé un bon souvenir, et avions hâte de revenir dans cet univers. Mais nos emplois du temps ne nous laissent pas toujours le choix. Mais ce soir, cela se déroulait ici. L'occasion était trop bonne de rencontrer encore d'autres personnes réelles, avec de vrais prénoms et non de simples pseudos cachant trop souvent des mythos, fantasmeurs ou autres. Nous devions y aller à 4 : Maitre Extase (qui nous avait transmis l'information), Falbala (en plus, cela était l'occasion de la rencontrer aussi en réel) et nous. D'autres personnes de la région semblaient aussi intéressées. Les jours jours passaient et l'excitation montait. Qui allaient êtres ces inconnus ? A quoi vont ressembler les personnes du site qui seront venues ? Comment allait-on s'habiller? etc ... La veilles, Maitre Extase ne pourra malheureusement venir, mais Falbala est sur la route. Nous n'avons pas plus d'infos que cas sur cette soirée, mais qu'importe ! Enfin, le Jour J arrive et Falbala avec. Pour la première fois, nous pouvons discuter ensemble sans écran interposer et échanger librement sur notre passion commune. Pour accélérer le temps, nous partons marcher dans le centre piétonnier de la ville voisine, lécher quelques vitrines. Le ciel est gris, mais l'ambiance est joyeuse. Arrive le moment des derniers préparatifs. Nous ne savions toujours pas qui nous allions rencontrer là-bas au final. Mais nous n'irons pas au rendez-vous habillés n'importe comment. C'est l'occasion de remettre nos tenues gothiques, corsets, talons hauts en vinyl... Quel bonheur de voir sa soumise resplendir de beauté. Cela fait partie du jeu, de ne pas vivre constamment la routine du quotidien. Au moment de partir, un collier est pris pour sa soumise, des fois que .... Conduire de nuit, avec 2 puces - dont 1, en particulier - qui saute de partout n'est pas le plus aisé. Mais c'est un délice. L'ambiance est faussement zen, car comblée d'excitation, d'autant plus qu'il faut marcher un peu dans les rues de Grenoble pour aller jusqu'au bar... Une "épreuve", dans un sens. Le trio ne laisse pas les passants de marbre .... Enfin, nous arrivons au bar, et montons à l'étage rejoindre le groupe ... Ils sont un peu moins une dizaine. L'organisatrice, une magnifique soumise, nous accueille avec un splendide sourire et nous prenons place avec eux. Aprés un rapide tour de présentation, nous lançons la conversation sur le thême du BDSM et des rencontres réels. Un jeune soumis a déjà une domina, un couple D/s est à nos côtés qui s'est aussi habillé pour la circonstance. Les autres découvrent cette pratique et le milieu. Ils ont moins de 25 ans, mais sont ouverts, veulent en savoir plus, mais semblent un peu impressionnés par notre présence (nous avons au moins 10 ans de plus qu'eux et avons déjà de l'expérience). Les discussions vont bon train, l'ambiance est très sympathique. Nous sommes tous motivés pour rencontrer d'autres personnes qui partagent au moins le point de vue central de nos visions du BDSM : le respect de la soumise, de la vie quotidienne de chacun et, surtout, que le BDSM est une pratique d'épanouissement, de complicité, de bonheur, de partage intense. L'un des thèmes de discussion de cette soirée est l'organisation d'autres soirées. Ce munch a réuni un bon nombre de personnes et ca ne pourrait pas s’arrêter la. Nous échangeons nos coordonnées avec l'organisatrice pour que ce genre de soirée recommence, vois +. ******** L'idée est simple. Un groupe de jeunes veut dynamiser et partager leur passion du BDSM à Grenoble. Toutes les initiatives sont bonnes à prendre, et tous les bras sont les bienvenus. Nous avons également besoin de conseils, d'aides pour l'organisation de soirée à proprement parler (logistique, local, ...). La motivation ne manque pas, mais l'expérience dans ce domaine est plus que récente. Ami(e)s Grenoblois(es), des alentours, si vous voulez nous donner un coup de main pour organiser soirées, munchs et autres festivités autour du BDSM, n'hésitez pas à me contacter (Veroso) ou à joindre ma soumise (Hestia). ***** Passionnés, nous ne nous lassons pas de parler du BDSM. Notre trio aurait voulu discuter avec des personnes qui avaient eux-aussi de l'expérience, mais c'est avec beaucoup de plaisirs que nous leur faisons part de nos ressentis, et de nos points de vue partagés. Quel bonheur pour tous de parler librement, sans artifice, de cette pratique, culturellement "interdite" ! Le temps passe également vite et, vers 2h, nous décidons de nous séparer pour nous retrouver prochainement.... La soirée se termine ainsi, la tête pleine de projets et de rêve ..... qui ne demandent qu'à se concrétiser
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Par : le 29/03/14
Un article que j'ai écrit il y a quelque temps déjà.La sexualité et les pratiques qui s'y rapportent, comme le BDSM, font partie de l'Univers, de cette Manifestation cosmique splendide.Le Tantra enseigne l'Unité : l'Origine est Une, et a voulu être connue, et s'est faite Multitude, afin que les composantes de la Multitude se connaissent les uns les autres, et connaissent l'Unité.C'est la beauté du Divin Tantra : tout commence par un Jeu, une non-nécessité issue d'un désir... tout comme le désir de contrainte et de soumission qui m'habite et qui est né en moi ainsi que beaucoup, ou le désir de contrôle et de domination qui chez d'autres réside. Ce désir raffiné est issu du désir brut de l'Origine, être connue.On parle souvent des qualités divines comme de vertus : bonté, générosité, justice, courage, patience... c'est oublier que la Torah parle du Dieu vengeur et colérique, du Dieu qui tue et châtie, du Dieu qui fait toutes les actions que nous avons jugées et enterrées sous le sceau de l'immoral et de l'interdit.Dans la sexualité, on retrouve ces paradigmes, la douceur, la bonté, la patience, l'amour. Chez ceux qui dévient, chez ceux qui ne sont pas enterrés complètement sous la presse des normes sociales, d'autres vertus divines se manifestent. La violence, la colère, la volonté de contrôle, se montrent sous des formes transcendées : c'est Elle la Maîtresse qui joue et Elle manifeste le Divin en Elle. C'est aussi Lui qui joue.Et le soumis, dans tout ça, le soumis lui aussi est part de cette oeuvre transcendantale. Il montre d'autres qualités certes, mais surtout donne un socle à la manifestation des qualités divines chez Celui ou Celle qui lui accorde la grâce du Jeu.Ce n'est pas à prendre d'un point de vue sectaire, mais juste comme la mise en avant d'un parallèle qu'on peut faire et qui met en avant, au delà du plaisir et du fun, les effets des pratiques BDSM sur l'élévation des consciences.Note utile : en tantra, il n'est pas de pur et d'impur, tout est la manifestation et de ce fait tout est vénérable. La pureté et l'impureté sont vues comme d'illusoires contingences.
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Par : le 27/03/14
Croyez vous au coup de foudre ? Mon non plus, je crois en revanche à une attirance profonde, pas seulement physique, au premier regard. Je crois qu'une fois, peut être deux, dans sa vie, on se sent attiré par quelqu'un d'une manière viscérale, immédiate, plus puissante qu'un aimant, c'est ce qui m'est arrivé avec lui. Quelquefois ça s'arrête là, quelquefois ça grandit, prend de l'ampleur et se mue en raz de marée parti pour durer éternellement et quelquefois, on se met le doigt dans l'œil jusqu'au coude. J'ai pensé naïvement que nous deux c'était pour toujours, moi qui avait toujours fui toute forme d'engagement, j'avais su d'emblée, enfin au bout d'une semaine que cet homme là, je donnerai ma vie pour lui et que je ne pourrai plus me passer de lui. Et j'étais là , dans cette cave emplie de monde pour la soirée, lui avec ses longs cheveux et sa barbe de 4 jours, il n'avait même pas regardé dans ma direction, mais je vis sa bouche se crisper, il savait que j'étais là. Ses yeux rivés sur sa nouvelle soumise, elle avait de long cheveux noirs et son corps splendide était moulé dans une guêpière rouge et noire, certains la trouvait somptueuse mais moi j'avais plutôt envie de la baffer, elle tourna la tête et son regard glissa sur l'assistance avant de s'arrêter sur moi, l'espace d'une seconde elle parut me jauger puis décida que je n'étais pas digne d'intérêt. Me tournant vers lui, j'eus l'impression qu'une série d'explosions se déclenchait dans ma poitrine, franchement ce n'était pas une bonne idée de venir. Lorsqu'il commença a la fesser, je sentis mes poumons se contracter, l'air commença à me manquer, j'étais venue , je pense pour m'assurer que c'était bien vrai, je savais à mes dépens qu'il fallait que j'en passe par là pour guérir mes plaies, toutes les bonnes choses ont une fin. A elle seule notre relation avait eu quelque chose d'irréelle, et nous avait arraché l'un comme l'autre à notre routine du quotidien et à notre vie vanille et nous avait permis de vivre des moments magique, c'était peut être ce qui l'avait rendue si extraordinaire le fait de vivre dans une bulle hors de la réalité. Cela faisait 2 ans déjà que cela c'était arrêté et c'est seulement a cet instant que je sus que la page devait être enfin tournée mais qu'il resterait à jamais gravé dans mon cœur et dans mon corps.
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Par : le 25/03/14
Epicé tout !La cuisine comme la sexualité demande une certaine préparation et quelques ingrédients, bien choisis. Pour préparer ma recette, je recherche une épice particulière.- Prenez un œuf, séparez le jaune du blanc dans un cul de poule. Fouettez les blancs en neige. Réservez les au frais.- Attendrir en battant la viande correctement. La Ficeler pour éviter qu’elle s’échappe.- Glacez le fond de la casserole sur le feu doux. Liez la sauce, avec les blancs en neige.- Décorez d’un abricot lisse et juteux et de gingembre frais délicatement épluché, et d’un fruit de la passion.Une gourmandise à déguster à deux, sans faim… Pour la relever, délicatement, il me manque un con-dément, une épice, à la fois sucrée et légèrement pimentée.Alors si vous avez quelques idées, n’hésitez à me contacter…La cuisse in et moi, une passion.Corde-ialement.
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Par : le 23/03/14
Notre histoire est une belle rencontre, il y a 4 ans ce jour. Vous qui m'avez beaucoup appris. Vous qui m'avez guidé, Vous qui m'avez su m'apprivoiser. Vous avez su comprendre celle que je suis, écouter mes peurs, tabous et bribes de mes blessures enfantines. J'ai su ouvrir les yeux sur certaines choses, il y a des "jamais je ne ferais cela" finalement avec Vous, j'ai pu me libérer de certaines peurs, blocages, tabous. Car c’est avec Vous que je suis en confiance, en sécurité, protégé. Je sais bien que ce sentiment d’épanouissement, m'a fait me dépasser, par la belle complicité qui nous 'unit'. Il y a des Personnes ou une Personne que l'on rencontre comme cela, au gré d'un mail reçu, au détour d'un dialogue, parfois par hasard, tout comme Notre relation. Je voulais supprimer mon annonce sur sensationsm, j'ai écouté, entendu mon amie soumise, 15 jours à peine un mail de Vous, court message, le principal était écrit. Il y a ces moments inoubliables dont je sais que je ne pourrais revivre, des instants qui ferons penser à Vous. Il y a Vous qui m'avez aider à accepter ma nudité, à accepter mon corps, tant de larmes à mes débuts à me montrer nue. Je pense que c'est ce qui a été le plus dur pour moi. Je me suis sentie acceptée telle que je suis par Vous, aucune moquerie, aucun jeu de faux semblants. Des mails insultants sur mon physique, j'ai reçu quelque fois, j'y ai toujours répondu en disant ma pensée. Je me montre telle que je suis, tellement facile d'écrire certaines choses derrière son écran et de ne pas mettre une photo récente de soi ou de tronquer son age qui reste le même alors que l'annonce change par son intitulé au fils des années. Ne pas se montrer mais rabaisser celle qui ose affronter ses peurs. Qui rend ainsi hommage à Son Maître. (J'ai du mal à comprendre ceux qui choisissent une soumise ronde ou bien ronde et qui prennent du 'plaisir' à l'humilier pour ses kilos de trop). (Pourquoi choisir une qui ne plait pas physiquement, jouer avec elle, profiter, la rabaisser). Est ce faire grandir une soumise que d'agir ainsi ? Etre soi et mieux que paraître. Avec Vous, j'ai pu affronter certains défis envers moi. Disons à Vous prouver certaines choses en m'acceptant, en faisant fi de mes complexes. Votre attention à mon égard ce premier jour et à ce jour m'a permis de me dépasser, de prendre confiance en moi. Puis il y a ses phrases murmurées que Personne ne m'a jamais dites et que Vous, qui dites peu en parole m'ont touché au plus profond de mon âme, de mon coeur, laissant s'échapper de temps à autre une perle d’eau sur ma joue. De l’élégance et du savoir-vivre, une certaine éducation, Votre courtoisie et IMMENSE respect m'a fait chavirer, j'apprécie certains égards c'est ainsi. Quelques heures volées au temps, Une parenthèse comme j'ai souvent dit dans Votre vie. 4 années à savourer avec Vous dans le respect et l'attention réciproque. Une rencontre d’une saveur exquise, La rencontre qui m'a fait m'abandonner, et des sentiments qui sont venus au fil du temps ainsi que le 'plaisir' bonheur partagé en toute simplicité. Nous nous comprenons instantanément, sans recourir à des flots de paroles inutiles, nos regards parlent pour Nous. J'aime Votre regard positif sur la vie, Votre mental de battant, j'aime les battants Vous le savez et je suis une résiliente. Vous dites peu de Vos sentiments à mon égard, mais parfois quand Vous Vous dévoiler, mes yeux se voilent. Votre présence va me manquer, Votre odeur de parfum de peau que j'aime tant humer. Les effluves de Votre parfum préféré. Votre voix, la voix de Vous mon bel amour de Maître. L'attirance a été présente ce premier jour de Votre invitation au restaurant sans savoir l'issue de cette belle rencontre. Quelques soient nos blessures, fêlures, nous avons d'ailleurs chacun les nôtres, vous avez su touché mon âme et j'en ai été bouleversé. Avec Vous, l'envie d'être ensemble, de partager dans la fidélité, la totale confiance de nos paroles du début qui ont été et à ce jour respecté de chaque coté. Nous avons tous des blocages qui nous inhibent dans notre vie de tous les jours, qu'il s'agisse de timidité ou de manque de confiance en soi en raison de notre physique, de notre intelligence ou de nos origines sociales, on se bat au quotidien pour surmonter nos complexes Grâce à votre soutien, votre regard sur moi, j'ai pu affronter mes peurs avec Vous la force d'y parvenir, de réussir, de grandir. Dans une vie, il y a des rencontres ou Une rencontre que l'on oublie pas ou ne peux pas oublier, celle qui marque une vie entière ou une partie de la vie. Cela peut être une personne qui a cru en nous, qui nous a aidé à grandir, à se construire. Le passé est le passé, il faut avancer et ne pas regarder en arrière. On ne peut revenir en arrière, il faut continuer et se dire que ce que l'on a vécu était beau. La vie et ses choix à faire, toujours une question de choix, on écoute son coeur, son intuition. Je garde en moi ces beaux souvenirs des instants avec Vous des caves parisiennes, au bord de mer, des soirées au club clair obscur, de belles et rares rencontres faites ensemble, ces souvenirs seront présents dans l'écrin de mon coeur. Notre relation de 4 ans m'a beaucoup appris et apporté, même si au final, elle se termine, il faut aller de l'avant, je savais l'issue depuis un an passé. Tout le monde espère que La relation dure et perdure, mais qui sait combien de temps elle durera personne ne le sait. Quand on a vécu quelque chose de beau, se contenter du médiocre, non Comme toutes les histoires, la Notre à une fin, il est temps de tourner la page bientôt, mais le livre comme Vous me l'avez dit le 13 mars 2014 ne se referme pas, il sera autrement et si un jour une opportunité se présente de se revoir, le bonheur sera. Je n'oublierai pas Vous mon bel amour de Maître, une relation sincère et saine qui a été entre Nous. C’est la première fois que j'ai un Maître digne de ce nom. Celui qui, même des années plus tard, la relation terminée pour les raisons qui lui sont personnelles et acceptées, On ne peux oublier. Alors en ce qui me concerne, plus ridée que je ne suis, plus âgée que je serais dans quelque années, jamais je ne vous oublierai. Le 23 mars 2014
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Par : le 23/03/14
Vous êtes tout là-bas, voilà Quelque part, sans moi Je n'entends plus Votre voix Vous me manquez, c'est comme cela Je vous imagine, dans Votre chez Vous Pensant un peu à moi, à Nous Vous me manquez, c'est ainsi Nullement, je ne vous oublie Les pensées se bousculent en moi Des sentiments refoulés, me torturent Comme la vie peut-être dure Et ma vie continue avec des émois Ou êtes Vous ? Que faites Vous ? Me rejoindrez vous ? Tel un chevalier sur sa monture Mais sans armure Les yeux voilés de larmes Seule et sans arme Je patiente et attends le jour Où l'on se rencontrera mon amour Le 30 janvier 2014
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Par : le 20/03/14
Penser à Vous est pour moi source de joie Obéir à Vous est un véritable bonheur Unir nos corps et jouir est merveilleux Respect de Vous Mon Maître aimé Vous et vos attentions, moi et mon abandon Ouragan de désirs, mon corps ressent pour Vous Une belle rencontre et relation nous avons Suis irrésistiblement attirée vers Vous Mon coeur est pour Vous aimer au delà de l'éternité Oublier mes peurs du début, Vous avez su m'apprivoiser Nourrissons nous de ce lien qui nous fait vibrer A vos cotés, je me sens jolie, j'ai pu me dévoiler Me soumettre à Vous Mon Maître est ma vérité Osant braver certaines peurs, je me suis dépassée Un Maître Vous le seul, l'unique de mes pensées Rare, précieux dans mon coeur vous êtes et resterez Le 9 12 2013
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Par : le 20/03/14
Le thème du BDSM étant de plus en plus présent dans les romans parus récemment, vous vous êtes surement déjà poser des questions sur cet art de la fessée érotique. Cette pratique fait partie intégrante des jeux sexuels. Elle est la prémice de plaisirs qui sembleraient interdits mais en même temps elle nécessite une certaine mise en scène dont l’esthétique est une composante essentielle. Par le passé il était impensable d’oser en parler mais les moeurs changeant, elle devient de moins en moins tabou chez ces couples sans cesse en quête de nouvelles sensations. Je dirais qu’elle s’est d’abord libéralisée chez les couples homosexuels, elle y a trouvé façade sur rue sans pour autant signifier que c’était une pratique qui leur était propre. Seulement malheureusement la réputation des relations homosexuelles étant souvent signe de déviance pour les esprits étroits, cet art leur a été imputé d’office. La fessée érotique a de multiples aspects : - volonté de soumission - volonté d’humiliation - volonté de dégradation de l’image - rituel purement hédoniste - cliché pornographique - une gratification - ou tout simplement acte d’amour. Oui je dit bien acte d’amour car dans l’amour, la perversion n’a pas de place, il s’agit avant tout d’un libre échange entre adultes consentants. Vous serez surpris d’apprendre que la fessée existe en tant que pratique érotique depuis le moyen âge d’ailleurs le célèbre marquis de Sade l’évoquait dans ses écrits. A l’instar des autres pratiques BDSM, la fessée est une manière de se libérer du carcan du poids de notre société, elle est libératrice, mais elle doit rester avant toute chose un plaisir partagé car sinon elle devient une pratique égoïste et surtout brutale. Pour les plus curieux, il existe diverses manières de l’appliquer, tout comme divers degrés de force. La plus courante se pratique à main nue, mais un fouet, une cravache, une badine ou tout autre instrument peut être utilisé. Les positions utilisées peuvent aussi être multiples : - Sur les genoux ou entre les genoux - Penché sur un canapé, une chaise… - À quatre pattes (sur le lit ou le sol) - Sur l’épaule du partenaire dominant - Menotté à un lit -Jambes écartées. etc Tout dépend du degré voulu par le ou la fessé(e), le fesseur ou la fesseuse joue un rôle très important car c’est en lui ou elle que le fessé place sa confiance et surtout je dirais son postérieur. ;-) Certaines cultures décrivent la douleur comme un aphrodisiaque. Et dans certains cas la fessée n’est que l’expression d’un fétichisme pour les postérieurs. J’espère que mon article vous aura plu et éclairé un peu sur le sujet. L'article original est disponible sur mon blog
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Par : le 20/03/14
On peut souvent lire des articles, ou autres écrits, où la soumise – ou le soumis – rend hommage au Dominant ou à la Domina. Ce que je m'apprête à faire est ainsi l'inverse. Ma Soumise, nous nous sommes croisés, comme tous ceux qui auront fait comme Nous, via nos 2 identités virtuelles. Faux noms (pseudos), fausse photo (avatars), mais écrits vrais. Je me souviens, à peu prés, la manière dont je t'ai abordé la première fois. C'était par hasard, parce que tes posts étaient sombres, tristes alors j'ai mis mon grain de sel pour tenter de remonter le moral de cette inconnue. 7 mois plus tard, nous portons la même bague, nous avons les mêmes clefs d'appartement dans nos poches. 7 mois plus tard, tu es ma fiancée, une radieuse femme et une soumise qui s'abandonne avec une confiance inégalée entre mes mains. Au tout début, nous avons tracé notre Route. Aujourd'hui, nous la parcourons tout en traçant la suite. Quand je regarde derrière le chemin parcouru, j'en reste impressionné de tout ce qui a été fait, de ce que tu as « subi ». Un déménagement de 500Km, tout l'administratif à gérer, ton nouveau travail et, au final, une nouvelle Vie pour Toi. « Nouvelle » ne serait pas assez fort tant le résultat a été radical. Tout est différent à présent qu'avant. Nous avons été tous les 2 à gérer ce changement de Vie, mais à la vue de ce que tout ce que tu as traversé, je veux te tirer mon chapeau. Je n'ai jamais été autant admiratif envers une personne que Toi. Tu me diras que ma vie a été chamboulé également ; mais il s'agissait de simples habitudes à changer, des détails à ajuster au regard de toi. Alors, Je veux te rendre hommage, Toi, ma femme. Qui a chamboulé sa Vie en chamboulant la mienne. Tes yeux pétillent de bonheur quand tu es là et illuminent ma Vie. A toi qui relève les défis les uns après les autres avec une combativité exceptionnelle et qui fait l'admiration de ton Homme Je te rends hommage, ma soumise, Toi qui te donne avec une totale confiance dans mes mains. Une confiance que j'étais loin d'appréhender au tout début et qu'il a fallu apprivoiser au tout début. A Toi, mon Hestia, ma fierté, ma plus belle et magnifique de Mes possessions. A Vous 2 que J'ai sous Mon aile, mais qui marchez à Mes côtés sur le même chemin ; main dans la main pour l'Une, avec une Laisse pour l'autre. Mon Hestia, mon Amour, Tu es ma Chance, mon bonheur. Puisse ce texte te rendre hommage comme il se doit à une femme si exceptionnelle Ton Homme, Ton Maitre
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Par : le 20/03/14
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Hley », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) 1- J’ai 26 ans et je pense que les gens me donnent moins c'est en partis pour ça que je laisse la barbe de deux jours. 2- Je suis curieux un peu trop même. 3- J'ai fait staps pour être prof de sport et j'en suis sorti conseillé en télécommunication. 4- J'adore le ping pong depuis tout petit, plus qu'une passion une drogue (mais bon je progresse pu trop snif) 5- J'aime les animaux c'est peut étre pour ça que j'aime le petplay. J'ai eu un chat qui s'appelait Titi, une chienne qui s'appelait Mouflette et le dernier est un doudou en forme de golden retriever se nommant Pongo. 6- Je suis douillé mais bon à ce qu'il parait faut souffrir pour être beau (j'ai pas beaucoup souffert ^^) 7- J'ai fait un concours avec mon meilleur ami sur qui tiendrai le plus longtemps sans ce masturber. J'ai tenu trois jours et j'ai craqué. 8- Etant petit j'allais toujours à l'hosto avant de partir en vacances. C'est mes parents qui étaient ravis. (ouverture au front cheville transpercé etc). 9- Aujourd'hui je gaffe toujours autant mais avec les paroles car je ne sais pas tenir ma langue. 10- J’ai découvert le BDSM en regardant des clips vidéos avec des filles en latex que je trouvais archi sexy. 11- Mon ex a tenté de me dominer mais ça c'est fini en fou rire... 12- J'ai eu 5 appartements car j'adore changer de lieux de vie. 13- Avant j'étais timide mais bon ca c'était... (je vous laisse finir) Maintenant je suis une pipelette. (en y réfléchissant bien j'ai toujours était une pipelette.) 14- Je hais la solitude et je déteste encore plus l'ignorance!!! 15- J'ai tendance à trop dire ce que je pense ce qui peut être blessant. 16- Si j'étais une fille je me maquillerai avec parcimonie pour cacher les imperfections. 17- Je me fou du tour de poitrine d'une fille pour moi presque tout ce passe sur le visage mais bon j’admets que je ne suis pas attiré par les extrêmes en terme de poids. 18- J’attends avec impatience ma première séance qui devrait ne plus tarder ^^. 19- J’adore la caipirihna et le mojito sur une terrasse au bord de l'eau l'été. 20- J'ai un petit frère (plus grand) qui est mon strict opposé et on s'entend comme chien et chat (enfin on se soigne). 21- J'aime dessiner quand je me fais vraiment chier. 22- Je suis gourmand mais difficile ce qui est relativement casse bonbon. 23- J'adorais regarder les Razmokets chez ma mamie et j'aime les bonbons. 24- J’adore allez au ciné. 25- Je déteste repasser et les habits détestent que je les repasse. 26- Je pars au quart de tour mais ça dure généralement 10 petites minutes grand max. 27- Je kifferais avoir une garde-robe de vêtements en latex. (oui oui je te copie sur le même chiffre Hley) Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ptitju », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 20/03/14
Le 23 mars 2010 Vous êtes entré dans mon coeur Comme le soleil dans une journée Vous avez changé ma vie Maintenant, je n'ai qu'une seule peur Celle de Vous perdre... Mais pourtant Je savoure à chaque moment Dont Vous êtes présent Qui seront pour moi inoubliable Pour le reste de ma vie. Le 23 octobre 2013
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Par : le 20/03/14
Parce que : - parce que nous ne nous étions pas vus nus, et pas vus tout court, depuis 25 ans, - parce que notre histoire restait à écrire, - parce qu'elle est bi authentique, et alterne ses histoires d'amour à long terme, un garçon-une fille-un garçon-une fille, et que j'arrive à contrepied quand elle sort d'une histoire avec un gars et en commence une autre avec une fille, - parce que je me sens bien avec elle, - parce que nous pouvons rester très longtemps sans parler, et nous sentir bien, - parce que nous nous connaissons, et de longue date, - parce que nous nous découvrons, - parce qu'au changement de tonalité de la ballade #1 de Chopin je l'ai sentie au bord des larmes et lui ai murmuré dans un souffle : "Viens." afin qu'elle puisse se blottir, - parce que je l'ai observée, assise sur le dossier de son canap avec ses jambes de danseuse classique négligemment croisées dans ses bottes à talon, juchée telle une chatte dominante, - parce qu'elle s'est jetée sur moi comme une femelle enragée, - parce qu'elle sait toutes mes envies bédéhèssèmes, mais ne les goûte pas, pas plus qu'elle ne les juge, avec elle, je serai vanille.
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Par : le 20/03/14
Je suis vivanteMerci ma mieTu me tourmentesMais ton méprisM'anime...J'ai mis du tempsJ'ai tant pleuréMais je comprendsQue les regretsM'abîment...Je lève mon verreA notre amourJ'ai bu l'amerJe suis toujoursSucrée
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Par : le 20/03/14
Bonjour à vous Merci pour votre très beau site et très instructif. Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée. La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d'une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir. Ce qui est étonnant, c'est que le risque d'impuissance liée au port prolongée d'un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n'est que rarement évoqué. Médecin et chercheur scientifique de mon état vanille, je me suis penché un peu sur ce problème. Divers problèmes de confort sont susceptibles d'apparaître quand la cage de chasteté est trop grande parce que les corps caverneux peuvent rapidement s'emplir mais moins bien se vider du sang érectif, notamment lors des érections réflexes nocturnes. Ces douleurs peuvent facilement être réduites ou même ne pas apparaître si le dispositif de chasteté épouse parfaitement la taille d'un pénis au repos, soit entre 3,6 et 6cm en moyenne. Plus la cage sera étroite et moins le risque de dysfonctionnement sera grand, évitant le problème récurrent des douleurs nocturnes. Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles. Au contraire, en empêchant le début d'érection, une cage très courte reste confortable, évite les douleurs et peut être portée sur de très longues périodes, pour peu qu'elle soit une cage en métal chirurgical ajourée, comme la "jailbird" ou même les cages "chinoises" par exemple, facilitant un nettoyage minutieux du gland. La cage de chasteté n'entraînera alors qu'une forte frustration, longue et pénible, mais en aucun cas douloureuse et plus le port du dispositif durera, plus la frustration augmentera. C'est le privilège de la chasteté d'être efficace avec le temps. Il faut un minimum de trois jours pour en sentir les effets, qui s'estomperont un peu avec le temps, mais qui, si ils sont attisés sexuellement, peuvent s'avérer très puissants avec les mois et les années. L'effet est quasi maximal au bout de six mois sans interruption, mais peut encore être augmenté sur plusieurs années. Néanmoins, le port prolongé d'un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l'inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l'exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s'avérer plus capricieuse si la chasteté s'est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n'aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s'en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n'engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l'impuissance pourrait s'avérer définitive. Au bout d'un an, l'inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d'érections normales. Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n'a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s'agit seulement d'un état de fait lié à l'âge. Chez la majorité des hommes, la "vidange" de la prostate n'a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d'où vient ce mythe réitérée de la nécéssaire "traite" de cet organe. En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l'éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s'écouler tout seul lors de "pollutions nocturnes". Il n'y a lieu à "dégorger" la glande que dans de rares cas pathologique de d'épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. Quand au cancer de la prostate, bien qu'on ne sache encore pas tout sur sa genèse, il y a tout lieu de penser qu'il n'a rien à voir avec la quantité d'éjaculations. Il s'agit d'abord d'un problème de prolifération cellulaire. La (très mince) corrélation qui existerait avec le cancer de la prostate concerne le nombre déclaré d'actes sexuels par semaine inférieur à 10 ou supérieur à 10 sur un échantillon non représentatif et dont on ne sait même pas l'hygiène de vie réelle. Bien d'autres substances, alcool, drogues et surtout polluants perturbateurs endocriniens peuvent être aussi en cause. Aucune étude ne concerne un lien entre cancer et nombre d'éjaculats. Au demeurant, il n'existe aucune surmortalité due au cancer de la prostate chez les personnes chastes volontaires (prêtres et sectes religieuses étudiées). En revanche, presque tous les hommes finissent par montrer des signes de dérégulation prostatique et de cancer lié à l'âge, et cela, qu'ils soient baiseurs impénitents, chastes, impuissants, prêtres ou éjaculateurs précoces. La recherche porte bien davantage sur les mécanismes enzymatiques de régulation cellulaire. De même, le nombre de cancer de la vessie n'a rien à voir avec le nombre de miction ou le cancer de l'intestin avec le nombre de repas.... En l'absence d'études cliniques réelles, je ne comprends pas d'où vient ce 'mythe urbain" tellement décrit que nombre de participants s'imposent des éjaculats par pression de la prostate dont rien ne prouve ni l'efficience ni l'absence de plaisir. Au contraire, ces éjaculats par pression sont régulièrement l'objet des orgasmes lors de relations sodomiques. La jouissance trouvée par ce biais peut être faible ou importante selon les personnes, mais la "traite" de la prostate ne fonctionne qu'à cette condition de provoquer un orgasme, qui, chez l'homme, est directement lié à l'éjaculation (effet sur les sphincters de la prostate). Aussi, est-il étonnant que des personnes refusant l'orgasme coïtal puisse croire que l'orgasme anal serait inexistant.   Peut-être apparait-il plus contraignant et plus humiliant pour des hétérosexuel peu au fait des pratiques amoureuses, mais en aucun cas, cette libération du sperme ne me semble sujette à éliminer des problèmes prostatiques ou à réduire une jouissance. Malmener votre prostate peut limiter peut-être le plaisir masculin, mais c'est pourtant à cause de la pression du pénis dans le rectum sur cette glande par leur partenaire "actifs" que les homosexuels "passifs" obtiennent leur plaisir. Ma conclusion est donc que une chasteté imposée sur le long terme reste tout à fait possible et d'autant plus frustrante que le dispositif est étroit et que la personne n'obtient aucune éjaculation. Il reste inutile d'exercer toutes ces pressions sur cette "pauvre" glande masculine alors qu'on devrait davantage prévenir les porteurs de dispositif de chasteté du risque vrai, mais faible, d'impuissance à long terme. La culpabilisation des femmes dominantes maltraitant le pauvre soumis ne devrait en tous les cas pas être légitimée par cette pseudo "raison scientifique" et rien ne me semble justifier l'apprentissage de ces techniques de "traite" si ce n'est un jeu d'humiliation par exemple. Il serait sage d'en finir avec ce mythe bizarre, une chasteté sur plusieurs années n'entrainera surement pas de cancer de la prostate, mais en revanche une très longue frustration. Si une dominante souhaite faire perdurer la chasteté de son soumis sur de très longues périodes, il n'existe aucun motif réel de se soumettre à des exercices de pression de la prostate, le soumis, porteur d'une cage de chasteté étroite, de la taille du pénis au repos, pourra être gardé chaste aussi longtemps que les deux protagonistes consentants le souhaitent. Et le moindre paradoxe c'est que la chasteté est à la fois peu douloureuse et encore davantage frustrante avec une cage très étroite qui interdira toute érection normale ! La solution de frustration confortable implique donc une cage aussi courte que votre pénis au repos et portée sur une période aussi longue que votre maitresse le souhaite, et cela sans aucune rémission... Amusez vous bien. Votre Alfred .
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Par : le 14/03/14
Je t attendais déjà depuis un long moment lorsque tu es enfin arrivée. Ton appel de phare me signifiait ton accord pour ce qui allait suivre... Je t avais téléphoné seulement une heure avant puis dans la foulée un sms t expliquant la marche à suivre. Tu te garais juste derrière ma voiture de laquelle je m approchais et après avoir ouvert ta portière et t avoir fait descendre de la voiture je t ordonnais de te mettre nue mais en y allant doucement car je voulais savourer cet instant. Une fois nue je t ai passé un collier autour du cou , puis je t ai demandé de te mettre à 4 pattes et après y avoir attaché la laisse je t ai ordonné d avancer. Nous étions sur le grand parking près d un parcours sportif , désert à cette heure matinale en ce jour de semaine, ce qui ne veut pas dire qu un peu plus tard il n y ai du monde qui arrive. A peine 50 mètres nous séparait de l entrée du parcours et malgré les gravillons tu t es appliquée d avancer doucement en détachant bien tes mouvements sans un mot de plainte. Pour te remercier je t ai ordonné de me sucer, ce que tu as fait avec grand plaisir tant tu aimes cela. Écourtant ce plaisir et tirant légèrement sur ta laisse comme signe qu il fallait poursuivre tu avançais de nouveau et à chaque obstacle je te demandais de me sucer à nouveau et nous reprenions notre chemin. Je n oubliais pas te te féliciter quand à ta bonne tenue allant jusqu à te caresser la croupe , partie de ton corps ultra sensible et réceptive , ce qui te faisais gémir de plaisir et je laisse même glisser mes doigts sur ta vulve déjà bien excitée. D être ma chienne et que je te traite comme telle tu aimes ça bien au delà de ce que l on peut imaginer et je sais que dans ces cas là il t en faut peu pour arriver à te satisfaire, à te libérer totalement d ailleurs tu me le fais savoir assez souvent. Le jappement d un chien au loin nous fait sursauter, quelqu un approche... Et M.... Déjà !! Me tournant vers toi j ai remarqué de suite ton oeil lubrique qui en disait long sur ce que tu aimerais bien faire, voir jusqu ou tu pourrais aller. Hésitant quelque peu car ne sachant pas si ce chien était tenu en laisse ou pas, ton regard presque suppliant de continuer finit par me convaincre. Reprenant doucement notre avancée mais en prenant le chemin du retour nous entendions beaucoup très clairement les jappements de ce chien et au détour d un gros buisson sur notre gauche j ai enfin aperçu le chien , plutôt petit qui heureusement était tenu en laisse. Son maitre était un homme qui semblait plus âgé que moi, genre retraité et il avançait d un pas décidé en notre direction. Ils étaient à environ 50 mètres de nous et avant qu ils nous arrivent dessus j ai crié fort < svp monsieur tenez bien votre chien car ma chienne est très sensible > De suite tu t es retournée vers moi et d un sourire et d un clin d oeil tu m as fait comprendre approuver totalement mon choix. Le monsieur me répondit < ne vous inquiétez pas, il aboie beaucoup mais est très gentil > Je le remerciais mais lui demandais néanmoins de bien vouloir raccourcir sa laisse. Et juste après un petit virage à gauche nous nous sommes retrouvés face à face juste à quelques mètres de distance l un de l autre. Et là il s arrêta net, tirant sur la laisse de son chien pour le ramener au plus près de lui, il était comme hypnotisé , totalement immobile mais les yeux bien ouverts. On est restés ainsi de longues minutes à nous regarder, je voyais bien qu il était embarrassé ne sachant plus quoi faire , j en ai donc profiter pour tirer sur ta laisse et te faire avancer et ce n est qu à moins d un mètre de lui que je repris la parole lui demandant quelle était donc la race de son chien. Il était là comme hébété , serrant fortement la laisse de son chien dans sa main, l obligeant ainsi à rester tout près de lui, incapable de prononcer un mot mais et c était flagrant se rinçait l oeil à mort !! Finalement il me répondit et dans la foulée tout en continuant de mater sans retenue cette fois-ci me demanda la race de ma chienne.. Je lui répondis de suite " de celle qui n ont qu un Maître" ce qui le fît largement sourire et il me félicita même de la bonne tenue de ma chienne tout autant que de son apparence qui me dit-il était peu commune par ici. Je le remerciais et lui dit bonne journée à vous je tirais de nouveau sur ta laisse et nous reprenions notre marche. Tout en avançant je me retournais et le voyais grand sourire aux lèvres nous regardant partir et ce sans en perdre une miette . Et ce n est qu une fois arrivés devant ma voiture et après t avoir autorisé à te relever que nous avons éclater de rire tout en tombant dans les bras l un de l autre. S en suivirent de longs baisers bienvenus après tant d émotions... Et là tu m as dit être fière de m avoir comme Maître et que la chienne que tu es était fière de m appartenir !
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Par : le 14/03/14
Passé les plaisirs inoubliables de part leur intensité de notre première nuit ensemble qui durèrent jusqu à l aube, nous nous sommes endormis enlacés. J avais mis le réveil pour 10:00 afin de pouvoir profiter pleinement de la journée. Le réveil fût plutôt dur et après une nouvelle petite "scéance" et une bonne douche à deux salvatrice nous étions habillés et fin prêt pour partir. Je t ai juste demandé de prendre ton plug vibrant qui pourrait venir égayer certains jeux ludiques lors de notre journée. Tu étais vêtue d une petite robe rouge courte à souhait, sans sous-vêtements et de ton grand manteau. De te voir ainsi je ne pu m empêcher de te prendre dans mes bras et de t embrasser et de fil en aiguilles nous nous sommes retrouvés allongés sur le lit nous câlinant. Je dû faire preuve de beaucoup maîtrise pour faire cesser ce délicieux moment. Une fois sortis de la chambre je t ai demandé d enlever ton manteau et de me le donner puis de te mettre à 4 pattes .... Afin d avoir la vue idéale je t ai relevé ta robe au maximum libérant ainsi tes fesses que j adore tant et me suis placé derrière toi afin de profiter à plein de la vue sublime qui s offrait à moi. Nous étions au 4 ème et dernier étage de cet hôtel et pour pimenter la chose je t ai demandé de bien vouloir descendre les escaliers dans cette position afin que je puisse faire des photos et vidéos de toi. Nous avons descendus ainsi deux étages, tu t es souvent retournée vers moi pour me montrer ton visage de satisfaction malgré et que tu appréciais énormément que je te traite comme une chienne..... Ma chienne !! Passés les deux étages descendus je t ai demandé de te redresser puis je t ai collé contre un mur du couloir situé juste à coté de l ascenseur et ce n est qu après t avoir complètement relevé ta jupe que je t ai caressé et commencer à te branler. Tu gémissais de plaisir et mouillais déjà abondemment , et j ai retiré mes doigts afin de te les faire lécher et t ai ensuite ordonné de te masturber pendant que je te doigterai l anus. Il ne t as pas fallu bien longtemps avant que tu jouisses dans un long râle tout n continuant ta masturbation. Celui-ci fût suivi d un deuxième puis d un troisième mais tu ne cessais toujours pas de te masturber. Alors que tu étais encore en pleine action nous avons entendu l ascenseur arriver à notre étage et aussi vite qu on le put on se redressaient afin de paraître le plus normal possible et ce n est qu après avoir salué les arrivants que j ai décidé de mettre fin à cette scéance, à ton grand dam afin de continuer daller profiter de cette journée qui promettait d être sous un signe lubrique plus que marqué... A notre retour et une fois dans la chambre on a trouvé le plug (noir) mis bien en évidence sur le dessus blanc du lit refait, bien au milieu et là nous avons éclaté de rire. Dire que nous pensions l avoir perdu ! Je pense que cela va beaucoup faire jaser dans cet hôtel et qu on est pas-plus près de passer inaperçu ici Trop drôle.....!!!!
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Par : le 14/03/14
Dans cette très belle ville surnommée la petite venise des Alpes et bien que le temps ne s y prêtait guère car un temps mausade et une légère pluie était de la partie nous sommes quand même sortis nous balader en ce dimanche matin jour de marché, et malgré le temps il y avait beaucoup de monde Tout d abord dans la vieille ville car c est un lieu magique emprunt d histoire ou d étroites ruelles s entremellent avec de petits passages et de petits ponts qui perment de passer au dessus des eaux. Avec tout se monde et les stands disséminés partout il devenait laborieux de se frayer un chemin mais pour nous c est aussi un avantage car cela nous permet de nous coller l un à l autre . Tu étais vêtue d un long manteau noir et toute nue dessous, dans la poche droite de ton manteau j y avais mis un petit gode et dans l autre poche un plug. Nous avons commencer soft histoire de nous mettre "en jambes", je déboutonnais juste deux boutons de ton manteau, à mi hauteur ce qui me permettais de glisser de temps à autre une main afin de te caresser légèrement le sexe allant parfois jusqu à y introduire un ou deux doigts te masturbant mais sans t emmener jusqu à l orgasme, pas tout de suite et ainsi au milieu de la foule moi collé à toi et nous embrasant sans retenue, savourant à plus d un titre ce délicieux moment. Ton désir de plus en plus présent se manifestait clairement, tu mouillais abondament et ton regard en disait long sur tes envies. Je prenais un malin plaisir à te faire souffrir, t amenant ici et là juste au bord de l orgasme , ton regard se faisait chaque fois plus suppliant mais je ne cédais point. Puis à l abri de la pluie qui redoublait , sous un porche en deux ruelles ou nombre de personnes étaient venues s abriter et alors que nous étions comme pressés comme des sardines, collés l un contre l autre j ai deboutonné les trois boutons du bas de ton manteau, l ouvrant légèrement afin de pouvoir te caresser sans retenue, puis tout en nous embrassant et après je me suis approché de ton oreille afin de te sussurer que cette fois-ci oui tu allais pouvoir aller jusqu à l orgasme mais que tu ne pourrais l avoir que me regardant droit dans les yeux et qu à aucun moment tu ne devais quitter mes yeux, puis je me suis mis a te caresser ton corps, effleurant ton sexe à plusieurs reprises puis remontant te caresser les seins sans oublier de te pincer fortement les tétons comme tu aimes. Toujours les yeux dans les yeux j ai sorti ma main pour aller chercher discrètement ton petit vibro, d un coup ton regard se fît plus lubrique et un beau sourire éclairait bien ton visage, et lorsque je l ai introduit en toi tu n as pu retenir un petit gémissement de plaisir. M approchant de nouveau de ton oreille je t ai demandé de faire silence complet ce qui pour toi, bien que nous soyons entourés de gens est un véritable supplice. Retirant le vibro de ton sexe et après l avoir mis en marche je m amusais à le faire passer , glisser de ton clitoris à l entrée de ton antre mais sans l introduire et bien que la situation ne s y prêtais guère vu que la pluie avait redoubler d intensité et qu il y avait maintenant encore plus de gens autour de nous je faisais durer ton supplice plus que de raison. Enfin j ai introduis en toi le vibro tout en mettant la puissance maximale,le bougeant cette fois-ci sans retenue je voyais dans ton regard ton plaisir monter, tu avais du mal à garder les yeux ouverts , tu luttais pour ne point quitter mes yeux et à l amorce de ta jouissance tu m as prévenue droit dans les yeux de son arrivėe par un " je vais jouir" très peu discret au vu de notre situation, mon regard sévère te le rappelait à l ordre. Tu as du te mordre les lèvres très fort pour éviter de partager ta jouissance avec la foule qui nous entourait et j ai du te maintenir bien collé à moi tant tes spasmes incontrolés de plaisir se manifestaient sans retenue. Après un long moment et pour me remercier de ton orgasme tu m as longuement embrasser allant même jusqu à me dire à quel point tu avais jouis et que c était "génial" , à refaire....Je vous aime !! Ce que nous avons fait à plusieurs reprises cette matinée là , alternant au gré des passages vibro et plug (vibrant) avec pour le finish les deux en même temps.
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Par : le 14/03/14
Tu avais encore en mémoire j en suis certain ta première fessée car tu m avais dit en vouloir une vraie , de celle qui marque autant les esprits que la partie si sensible de ton anatomie. Maso comme tu es tu m as dit n en avoir hélas jamais reçue comme tu aimerais tant car à chaque fois l initiateur fatiguait avant toi. Humm pour moi qui aime les défis je m étais préparé mentalement bien avant afin de ne point céder. Et je n ai point cédé , cette fessée a duré longtemps, très longtemps, beaucoup plus que de coutume je dois bien l avouer car tu es résistante comme jamais je ne l avais connu auparavant moi aussi. Et ce n est qu après être enfin satisfait de la couleur de tes fesses que j ai arrêté et te tirant la tête en arrière par ta longue chevelure je t ai dit < alors ?? > D un hochement de tête tu m as fait comprendre que oui cette fois ci tu étais satisfaite. Je t ai caressé longuement afin de t apaiser puis t ai pris dans mes bras. Au soir du deuxième jour, et après plein d autres "expériences" toutes plus savoureuses et réussies les unes que les autres ,alors que nous nous baladions main dans la main nous arrêtant ici et là pour nous embrasser longuement je t ai amené dans ce parc situé juste en face du lac et nous nous sommes assis sur un banc situé près de grands arbres un peu à l écart. A cette heure-ci il n y avait pas grand monde juste quelques promeneurs sur les quais au loin et aussi quelques couples enlacés se bécotant allègrement assis sur des bancs un peu plus loin , pour l instant nous y étions tranquille. Une froide température accompagnait un ciel étoilé donc nous nous étions couverts de circonstance. Faisant fît du froid ambiant nous avions ouvert nos manteaux afin de pouvoir nous caresser tout en nous embrassant. De nous embrasser et de nous câliner longuement on ne s en lasse jamais , c est un peu comme une drogue et peu importe l heure ou le lieu nous ne pouvons nous en passer et faisons durer ces instants plus que de raison. Pour nous tout n est pas que "sévices" et autres délices dans notre relation, la tendresse, les longs baisers interminables y sont prépondérants. Nous étions là nous câlinant depuis un long moment et je t ai demandé après vérification que nous étions bien seuls, de te lever et de te mettre nue , devant ton regard remplit aussi bien de surprise que de crainte je t ai dit < oui, tu as bien compris, toute nue je te veux ..maintenant !! > Non sans essayer de me convaincre que la température extérieure ne s y prêtait guère mais devant mes arguments que sous peu le froid ambiant tu ne le sentirais plus tu as fini par te mettre nue..... Toute nue ne gardant que tes chaussures. Tu étais là debout devant moi grelottant déjà et bien que j adore ton corps et le voir nu j ai écourté ce plaisir en te prenant par la main et t ai allongé sur mes genoux en te disant que je pense que tu as compris ce qui t attendait. Tu as tourné la tête vers moi et déjà un grand sourire approbateur éclairait ton visage. Je commençais doucement mais fortement quand même juste espaçant les claques plus que de coutume , je sentais une certaine impatience de ta part monter doucement et je prenais un certain plaisir à ne pas céder à la tentation d aller plus vite, je frappais juste un peu plus fort à chaque fois mais toujours dans ce rythme lent qui commençait à t agacer, je le voyais bien... Ne voulant surtout pas te faire choper la crève, au bout d un moment j ai enfin accéléré la cadence, et l intensité des claques pour ton plus grand plaisir. Le temps passait et me semblait interminable mais tu ne cédais toujours pas et même en réclamais encore plus, encore plus fort me disais tu. M arrêtant un bref instant pour vérifier l état de ton excitation je fût surpris de voir à quel point tu mouillais, ton sexe était trempé mais à un point..... pffiou...et tu as même gémis de plaisir lorsque j y ai introduit un doigt vérificateur. Non sans jeter un coup d oeil aux alentour j ai repris mon labeur avec cette fois-ci une intensité bien supérieure à celle de ta première fessée. Et je n ai arrêté que lorsque tu as enfin laissé échapper un grand " oh ouiiiiii ", notre code convenu avant pour me signifier ta satisfaction totale. Je ne pouvais hélas savourer la couleur de ton fessier car pas assez de lumière mais vu l état de ton sexe qui coulait à plein je t ai masturbé allant même jusqu à t autoriser à jouir à plein poumons. Tu ne t es pas fait prier et ton orgasme ne s est pas fait attendre, il est arrivé si vite que j en fût moi-même surpris ! Je continuais donc de te masturber et fût récompenser par deux autres orgasmes, aussi puissants que le premier que tu libérais dans de longs cris de plaisir. Pour t aider à "redescendre" je te caressais longuement tes fesses . Puis sans tarder tu t es habillée avant de venir te coller tout contre moi, me disant que c était la première fois que tu faisais cela dans un parc et que cela t avais plus bien au delà de ce que je pouvais imaginer. Tout en me remerciant par nombre de " je vous aime " et de baisers nous sommes rentrés gentiment......
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Par : le 13/03/14
L'amour est une religion Aux cultes parfois bien étranges. Certains adorateurs dérangent Les bonnes mœurs et la raison Mon hérésie en vérité Me donne la place de l'oblation Et ma transsubstantiation Vient par la douleur acceptée. J'avais besoin d'une prêtresse Elle a voulu être initiée J'y ai cru, et je le confesse J'ai trop voulu et j'ai péché Ma foi a été bafouée. Mes stigmates sont vides de sens. Les sacrifices ont été faits Mais mon seul lot, c'est son absence. Je ne suis pas apôtre, je ne suis que croyante Tant de rites ratés, tant de prières à rien J'ai cru qu'elle était vraie, j'ai cru que c'était saint Et me voici maudite, sans amour, errante Je me suis égarée, oui j'ai perdu le fil ! A mon cou, rien, ni perle, ni tissu ni métal. Gamine dépendante, égarée, oui, fébrile J'ai laissé ma boussole à l'entrée du dédale. Ma vie est une suite de portes sans raison Qui s'ouvrent et qui se claquent. Moi ? Je suis paniquée. Mes pas étaient guidés, j'avais une Maison. J'étais sienne. Me voici seule et abandonnée. Une fille a une mère. Une femme, un amant. Je ne suis plus qu'une moitié de moi-même Et tout ce que je suis est réduit à néant S'il me manque ce regard qui me veut et qui m'aime. Convoitez-moi, envieux, me voici res nulla Il n'en est pas beaucoup pour savoir me séduire. De la bonté, j'en ai, de l'indulgence pas. Je sais ce qu'il me faut, et je saurai choisir.
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Par : le 12/03/14
Le miroir : le reflet de l'âme Il reflète plutôt l'extérieur Mais qui montre l'intérieur Notre façon d'être dans notre coeur Nos sentiments au plus profond Nos agissements, notre raison Le miroir reflète que l'apparence Et non ce qui est en transparence Sachons voir, ce qui est caché Sachons écouter notre coeur Se cacher derrière un miroir Pour ne pas se faire voir L'enveloppe corporelle n'est qu'un leurre Apprenons d'abord à apprécier l'intérieur Personne ne se connait vraiment Soyons nous même tout simplement
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Par : le 11/03/14
Ceci fait partie d’une correspondance que j’ai eu avec une soumise dont je n’ai malheureusement plus de nouvelles…. Nous sommes vendredi soir, mon Maître que j’avais contrarié durant la semaine qui avait précédé m'a demandé de le rejoindre à son bureau. Nous sommes allés manger un morceau, l'ambiance était assez tendue, je ne savais pas comment me comporter, il ne parlait pas beaucoup et semblait froid et distant ! En sortant du restaurant , il m'a demandé ; « à quand ? »je lui ai répondu quand vous voulez … « tu peux venir chez moi, j'ai bien aimé la dernière fois » m'a t’il dit...Nous sommes partis à deux voitures.. Pendant tout le trajet, je me suis demandée si je n'allais pas faire demi-tour, j'avais peur, je savais qu’il allait me faire payer mes écarts de la semaine mais ne l'ai pas fait car je savais que là je signais la fin !!! Quand je suis arrivée chez lui, il s'attendait à ce que je me présente nue devant lui( passé sa grille, le port de vêtements est déconseillé) je m'en doutais mais j'ai fait semblant de rien, ( il l'aura bien deviné). « Retourne devant et déshabille toi » Je me suis donc déshabillée devant chez lui, je suis retournée nue vers la grille et pendant ce temps Il prenait des photos. « Met toi en position de chienne « et il mit mon collier et la laisse et je le suivi à 4 pattes à l'intérieur. Il m'avait préparé une paillasse dans la cuisine « couche toi »et je me suis installée comme une bonne petite chienne, je me demandai vraiment ce qui m'attendais, encore une fois j'avais peur, je sais pour l'avoir vécu, que ça peut très vite tourner mal, je devais vraiment me persuader que je pouvais avoir confiance en mon Maître , j'avais vraiment du mal à me détendre. Il s’est approché et a fait couler de la cire sur mon dos et mes épaules. Il m’a mis des pinces sur les seins et tendu un plug, m'a ordonné de bien le mettre et surtout faire en sorte qu'il ne tombe pas !!Il m'a donné à boire dans une coupelle, à quatre pattes, le nez dans la gamelle, j’ai lapé et comme je n'avais pas tout bu, j’ai reçu le reste sur la tête. J'ai dû me mettre à genoux les mains derrière la nuque et j'ai senti les lanières du fouet me caresser, glisser sur moi, passer entre mes cuisses écartées ,s’était très excitant mais j'étais tendue, j'attendais le premier coup. Il a déposé le fouet et a pris la cravache m'a donné de petits coups, sur les seins, entres mes jambes et partout sur mon corps, Il a mis des bracelets de cuir à mes poignets et chevilles et m'a attaché debout les jambes écartées à une poutre séparant la cuisine du living, Il avait bandé mes yeux. Je l'entendais aller venir autour de moi et j'attendais avec appréhension en essayant de deviner la suite!! J'ai reçu le premier coup de fouet, il ne frappait pas avec force, ça m'a rassuré, je ne saurais dire combien de fois Il m’a frappé, je n'ai pas compté mais, je sais qu’il est passé partout et ça m'a excité, je mouillais ! Il m'a pénétré avec un gode, a joué avec les pinces sur mes seins, j'étais entièrement à sa merci et j'ai vraiment aimé ça !!! Il m'a détaché de la poutre et je suis retournée sur ma paillasse, il nous a servi une coupe et comme il y en avait au sol, j'ai dû le lécher, retour à ma paillasse .Après, nous avons un peu parlé, je devais certainement le regarder trop droit dans les yeux, car j'ai reçu du champagne en plein visage, ça pique dans les yeux !!! A 4 pattes et à la laisse, je l'ai suivi jusqu'au divan ou il s'est assis moi à ses pieds, j'avais froid, il m'a mis une couverture sur moi, j'étais bien, j'étais près de lui, c'était bon ! Peu après, j'ai pu le rejoindre dans le divan et je me suis endormie contre lui ensuite il m'a porté au lit. Mon Maître m'a dit qu’il s'était bien occupé de moi toute la soirée et qu’il attendait que je fasse pareil … j'ai pris son sexe dans ma bouche et l'ai sucé, j'aime son sexe dans ma bouche, j'aime le sentir tout au fond de ma gorge, j'aime son goût ! Il m'a prise par derrière, plusieurs fois pendant la nuit, m'a sodomisée et baisée comme une chienne, c'était vraiment bon, après la séance, c'était ce que j'attendais. Maintenant je vais m'appliquer pour devenir la soumise qu'il désire, je ferai certainement encore des fautes, je n'ai pas un caractère des plus facile, il aura parfois du mal mais j'y mettrai toute ma bonne volonté, je ne veux pas le perdre, c'est un bon Maître , à moi de le mériter.
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Par : le 11/03/14
46 choses sur moi, en vrac et dans le désordre, pour ces Messieurs Max et Paradoxal Désolée pour le temps que j'ai mis mais voilà on y est... donc... 1. Je suis ce que je suis, ici, maintenant, à cette seconde. Qui j'étais à quelques moments d'hier appartient à la mémoire subjective. Et qui je serais à quelques moments de demain appartient à la mémoire projective. 2. Donc je suis ce que je suis et comme je suis... et je suis italienne... non! Pas italienne! Je suis Sicilienne!!!! 3. Je dis toujours ce que je pense et je pense ce que je dis... à dire vrai c'est faux... enfin pas vraiment mais d'une certaine façon cela l'est vu que j'oublie de «penser» avant de parler... 4. Je ne suis pas meilleure et pas pire que les autres... je suis comme les autres... et je suis aussi «l'autre»... 5. Autant je suis gentille autant je peux être méchante... Vous en doutez? Essayez de «toucher» à l'un(e) de ceux (celles) que j'aime et vous verrez... 6. Mon plus grand défaut: Ma fidélité 7. Ma plus grande force: Ma fragilité 8. Ma plus grande qualité:??? oups... je n'en ai pas... 9. J'assume, au quotidien et devant tout le monde, ce que je suis. 10. Je n'impose pas mes choix de vie et/ou mes idées aux autres mais je veux qu'on les respecte et donc je fais de sorte qu'il en soit ainsi... et de même je les défends, mais bon pas envers et contre tout non plus. Après tout je n'ai pas la science infuse... 11. Je n'aime pas ce que l'on nomme «les Généralités» (bien que je sache et comprenne que ces dernières soient nécessaires) car je n'en suis pas une et VOUS (tous et toutes) non plus!!! 12. Je suis une nullité en informatique (sauf avec Linux)... mais bon je me débrouille... ben oui... maintenant je sais même éteindre ma tour Windows sans (pour ce faire) devoir enlever sa prise d'alimentation électrique de la fiche... 13. Je revendique ce que j’appelle mon Droit à l'Erreur... ce droit implique, simplement, que je suis humaine et que donc je suis parfaite jusque dans mes imperfections... 14. Je suis «clean» depuis près de 22 ans. 15. Je suis une «bi-polaire» légère (? parfois j'en doute)... enfin d'après mon psy... non sérieux je le suis vraiment et je gère mes «montées» et mes «descentes» avec et au travers (entre autres) de la sophrologie... 16. Je ne ferme jamais ma porte à clé... en même temps je dois vous dire que si je sors de chez moi en y oubliant les clés... ben je me retrouve «coincée» dehors... 17. J'adore bricoler... là je parle des bricolages que l'on fait armé de la scie sauteuse, de la perceuse, de la meuleuse, de la visseuse... et j'aime pardessus tout travailler les bois. 18. J'aime aussi peindre, dessiner, écrire... 19. Je suis une «librivore»... enfin moins depuis quelque temps, cela dit je voue une passion sans limite aux livres. 20. Je suis atteinte d'un cancer des os, mais j'ai de la chance... j'ai «attrapé» celui pour lequel il n'y a pas de traitement... donc ni chimio.. ni rayons et/ou autres trucs de ce genre, par contre (ben oui il faut des compensations non?) je me «shoote» avec le plein accord du corps médical j'ai même le droit de fumer de l'herbe... sans les pâquerettes l'herbe... c'est y pas génial? Aller trêve de plaisanteries... rassurez-vous, je ne fais pas d'abus et ce simplement pour rejoindre le plus tard possible le dosage maximal... parce qu'après.. ben après je risque fort de passer de très, mais alors très, sales moments. 21. J'ai vu les multiples visages de la mort... du plus serein au plus horrible, et j'en connais aussi ses odeurs... celle du sang, de la peur, des chairs en putréfaction... des odeurs qui vous marquent à vie. 22. J'ai vu le pire côté de l'espèce humaine mais j'ai aussi eu la chance d'avoir connu des gens formidables...ce genre de personnes qui vous redonnent espoir et foi en l'humanité. 23. Mes trois plus belles «réussites» sont mes fils...... enfin disons que les deux derniers sont en court de réussite (vu leurs âges respectifs)... les mettre au monde ne fût guère compliqué, par contre l'accompagnement et l'éducation... leur apprendre le «SVP»... le «Merci»... le «Bonjour» ça oui c'est du boulot et pas un boulot facile... mais, heureusement, c'est aussi plein de joie et de bonheur. 24. J'aime la musique... non les musiques... elles m'accompagnent tout au long des mes journées... et souvent me suivent dans mes nuits et me poursuivent même dans mes rêves... 25. Je ne regarde (presque) jamais la télévision... elle ne me fait pas de présence et/ou de bruit de fond... au pire j'allume la radio... 26. J'ai des pulsions auto-destructrices (c'est le terme usité), quoi que pour ma part la douleur physique me serve surtout à mettre en adéquation le corps avec l'esprit (et vice-versa). Histoire de retrouver un équilibre même éphémère. 27. Je connais mes peurs et j'en connais (pour la plupart) les causes. J'ai appris à vivre avec elles, à les gérer, à les esquiver... ben oui... ces peurs-là pour les éliminer il faudrait en éliminer les causes... et ça pour le moment ce n'est pas possible... 28. Dans mes moments libres je restaure... je transforme et/ou je détourne de leur fonction première des objets. 29. Quoi qu'il puisse arriver, mes enfants seront toujours ma priorité... mais pour autant ils passeront quand même après moi!!! En effet l'équation est des plus simple: «Moi aller bien = Enfants aller bien» et si «Moi aller mal = Enfants aller mal» donc vu qu' ils sont ma priorité, pour qu'ils aillent bien, il me faut appliquer la première équation. 30. Je crois, sincèrement, que rien n'arrive par hasard... que toutes nos rencontres réelles et/ou virtuelles, qu'elles soient éphémères ou non, qu'elles soient source de joies ou de souffrances, nous sont données pour une raison précise... mais bon ok, j'avoue que des fois c'est pas toujours évident d'en comprendre les tenants et les aboutissants. 31. J'étais une «jusqu'au-boutiste» et ce même au détriment de ma propre personne, soit au point de me mettre (à maintes reprises) de façon plus ou moins consciente, physiquement et mentalement en danger... mais bon depuis j'ai atteint la «Sagesse»... non je rigole... depuis j'ai surtout pris de l'âge 32. J'aime échanger des idées, parler pour ne rien dire, partager et faire découvrir les choses que j'aime. En plus partager c'est aussi apprendre des autres, c'est donner et recevoir... recevoir une autre vision des choses, comme si on changeait les perspectives... 33. Je déteste devoir faire le repassage mais malgré cela quand je le fais... je le fais dans les règles de l'art. 34. J'aime cuisiner, et d'ailleurs je «mélange» volontiers les différents genres culinaires. 35. J'aime coudre aussi, que ce soit à la main (pour faire du perlage ou des broderies) ou à la machine... sauf que pour le «à la machine»... ben là faudra que je me mette à en potasser le mode d'emploi... parce qu'à ce niveau ce n'est plus une machine à coudre mais un mini-ordinateur à coudre... 36. Je fabrique mon propre sirop contre la toux... et c'est tout simple à faire. 37. Je n'attache que peu d'importance aux choses... sauf aux bricolages fait par mes enfants... et à ma collection de poupées japonaises (mais là c'est parce qu'elles sont tout ce qui me reste de mes grands-parents maternels). 38. Chez moi il ne fait jamais nuit... il y a des petites lumières dans toutes les pièces... dont une qui reste toujours allumée. 39. Je suis profondément croyante... mais je ne suis pas pratiquante... enfin je ne le suis plus. 40. J'ai reçu une éducation des plus rigide, d'ailleurs je peux vous dire que niveau «sadisme» (et ce aussi bien physiquement que mentalement) les bonnes sœurs (qui n'ont de bonnes que l'appellation) sont médaille d'or... en tout cas pour celles qui furent mes préceptrices... et je ne vous parlerais pas de la mère supérieure... une vraie s....e!!! 41. Il y a moins de 10 ans de cela je pesais 230 kg et des poussières... maintenant je dois être autour de 80 kg. 42. J'ai connu et j'ai vécu l'amour avec un grand, mais alors très grand A et même si il n'a pas duré parce Madame la Mort s'en est mêlée, ben c'est le genre de truc que je souhaite à tout le monde... euh pas la Mort... l'Amour!!! 43. Pour moi l'Amitié c'est de l'amour sublimé... en effet on pardonne plus à nos ami(e)s qu'à nos conjoint(e)s et familiaux. 44. Avant j'étais maniaque... propreté quasi clinique (les maladies nosocomiales en moins)... mais ça c'était avant. 45. Je ne mens pas... non pas que je ne sache pas mentir (tout le monde sait mentir), mais comme je n'ai pas de mémoire et que donc je ne me souviendrai pas de mes mensonges, je préfère ne pas en dire. De plus cela m'évite de faire une surcharge neuronale... 46. J'ai repris ma relation avec mon Maître... on prend un nouveau départ.
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Par : le 11/03/14
Pique-nique du 10 et 11 août chez Mr TSM. Après une bonne nuit de sommeil réparateur Daniel et moi (Mon Maître m'avait accompagné vendredi 9 août vers 14 h 15 chez Maître Pierre pour repartir vers 17 heures) étions en forme pour nous rendre à Vauvert en compagnie de Maître Pierre. Nous avions rangés au frigidaire, les plats et boissons apportés pour le pique nique, aider si besoin était. Puis saluer les Personnes présentes, Mr Mistral m'a présenté sa soumise Emeraude, j'ai été ravi de cette présentation. Sacherm, Antarés venu de Cambrai (qui a changé de speudo entre temps et qui est à présent Ossad) deux soumis agréables, Mr TSM bien sur ainsi que ses deux soumises KiO et Ginou, Mr Freddy, et l'invité de ce week end Monsieur Vich qui a la maîtrise du shibari, des suspensions et fouets divers... Nous étions arrivés en avance pour que la croix de St André soit montée, cela devait prendre une bonne heure avec Maud de Nadia, comme Toutes deux n'étaient pas encore présentes Sacherm un soumis, Mr Freddy dominateur et Mr Vich ont pris les choses en mains et en moins de trente minute la superbe croix était en place trônant dans la verdure chez Mr TSM. Ginou en cuisine avait fait des petites étiquettes pour soumis (es), pour apporter les plats divers, apéritifs, entrées, plats, fromages, cafés, débarrasser, amener, il est vrai qu'il faut de l'organisation et avec KiO, elles se partagent bien les tâches et que tout le monde aide, c'est appréciable. L'heure de l'apéritif commençait à poindre, nous avons installé quelque bouteilles sur la table. L'apéritif a duré, c'est ma pensée. Je vais encore me faire des ennemis tant pis... sourire L'heure tournait, la chaleur était là, Maître Mark et sa soumise Saphyr accédaient à la maison de Mr TSM, je suis allée au devant d'eux. Saphyr a de très belles fesses et un superbe tatouage aux creux de ses reins, j'ai un peu caressé ses seins quand son Maître l'avait attaché et qu'elle recevait le martinet au fond du jardin. Elle est curieuse, très souriante, et avait apporté des plats concoctés, cuisinés chez Elle. Partis de Monaco vers midi, ils avaient dormi chez des amis avant de rejoindre Vauvert, un peu avant midi, Belle harmonie avec son Maître qui est son mari, j'ai peu discuté avec eux en fait, beaucoup de monde, je pense savoir qu'ils reviennent pour le pique nique de septembre. Mr Rphdom (sa quiche, un délice, je l'ai savouré) et Insolence que j'ai trouvé super décontracté, gracieuse et aidant beaucoup en cuisine et ailleurs, elle me prenait la vaisselle pour l'essuyer au plus vite, la coquine. Tous deux étaient accompagnés par Melle Sweet (qui avait apporté et préparé de la pâtisserie faite maison) une soumise 'prise' sous leurs ailes. Mr Rphdom la guide, une belle entente avec Insolence qui a son mot à dire bien sur, entre tous trois l'harmonie et ce n'est pas évident quelque fois. Elles ont le même gabarit toutes deux et habillées un peu pareilles elles étaient, même pour les bas. Toutes deux jolis fessiers, j'ai vu Mr Rphdom jouer avec ses martinets, puis à un moment donné Melle Sweet qui a les cheveux courts, a été rasé par lui, il restait des cheveux bien courts et une mèche sur le devant bien longue, le rendu était joli et l'éclat de ses yeux étaient plus mis en valeur à mon humble avis. Princesse ou Insolence, gracile soumise a été suspendu par Mr Vich, le rendu était de toute beauté, celui ci était l'invité de ce pique nique, un Homme qui sait manier le fouet comme j'aime, j'ai pu goûter au fouet corail et d'autres également. Maud et Dame Nadia sont arrivées, quel bonheur de les revoir, je me sens proche d'Elles et aiment leur compagnie. Maud certains jeux toujours prête à montrer son superbe fessier bien dur pour recevoir fouets, martinets, et autre ustensiles, Elle ne bronche pas et a un mental d'acier tout comme ses superbes fesses. Elle a changé de tenues quelque fois, et puis l'apercevoir déambuler avec ses hauts talons, j'aime. J'ai fait la connaissance de Dame Freya et son soumis Allain, ma plus belle rencontre de ce pique nique et j'ai pensé à Mon Maître qui aurait été enchanté de faire la connaissance de cette Maîtresse. Un bon feeling avec Tous deux et quelques larmes d'émotion à voir leur complicité évidente, les regards échangés, j'en ai été bien ému. Mr Mistral a fouetté sa soumise sur la croix de St André. Celle ci a changé de tenues x fois sourire. Mr TSM a été prolixe envers Ginou gourmande, que j'affectionne. Que cela soit les fouets de son Maître, celui de Mr Vich corail et autre canning, elle endure... Allain le fouet lui aussi par Monsieur Vich, Maître Pierre, il a en gardé de belles marques. hum... KiO séance fouet avec son Maître, une re découverte après quelques mois sans y avoir goûté. moi attachée sur la croix de St André, fouetté par Maître Pierre et faire la poupée de chiffon à un moment... Mr Vich a demandé une volontaire pour une suspension, je me suis proposée ... Cette découverte m'a comblé depuis le temps que je voulais découvrir les cordes, bien qu'à un moment donné, une me serrait bien au dessus de ma poitrine, mais comme m'a expliqué Mr Vich : c'est mon poids qui a fait que la tension était ... sourire Etre attachée et suspendue ainsi a été une totale initiation que je pensais à tort impossible vu ma corpulence. Comme quoi quelque fois, on se fait des idées qui ne sont pas ... Saphyr s'est également fait fouetter par Maître Pierre sous le regard de son Maître, des belles marques pour son retour elle a eu, et a découvert la cire samedi soir après que Mr TSM ai posé des aiguilles sur le dos de sa soumise KiO entrelaçant celles ci d'une petite chaîne et faisant couler de la cire en bas de son dos, en forme de coeur. Dessin qu'il a pu retirer avec son couteau et offrir à sa soumise avec la chaîne qu'elle pouvait porter comme un médaillon. Les applaudissements ont été. J'ai répondu à un moment donné dans l'après midi sur un ton qui a déplu à Mr TSM ce qui m'a valu 5 coups de paddle bien frappé quand Maître Pierre se servait de ses cannes, je n'ai rien dit et accepté cette remontrance qui était justifiée. Maître Pierre a la maîtrise, le sérieux, les compétences, l'hygiène est présente, le samedi cela a été le tour de soumis Allain sous le regard de sa Maîtresse Dame Freya de découvrir les sondes d'urètre, j'ai été impressionné par la longueur, par les diverses diamètres, Maître Pierre attentif comme à son habitude. Allain faisait honneur à sa Maîtresse, une première pour lui également et bravo. Moment fort dimanche après midi, Maître Pierre, Dame Freya avaient comploté pour clouer la peau du sexe de Daniel, il y la vidéo sur le site. Ce dernier a été attaché sur une chaise, bras et pieds entravés par JDuroc avec ses cordes suivant les consignes de Maître Pierre pour ne pas qu'il bouge. Daniel a eu droit à un cloutage, c'est impressionnant, j'étais assise proche de lui à voir son visage grimacer de dépassement, de don, j'ai eu mal. Dame Freya étirait comme il faut la peau de son sexe ainsi les clous étaient bien placés, aie . Maître Pierre et son marteau, entendre le bruit et regarder les expression de Daniel, aie Son Maître attentif, à l'écoute, patient, rassurant, c'était une première et le moins que l'on puisse dire, c'est que la réussite a été, bravo à Toi quel soumis, ESCLAVE depuis peu, je suis fière de lui Après les clous... La CBT, je suis partie après les clous, Dame Freya lui a percé les seins avec des aiguilles, Maître Pierre diverses sondes d'urètre, puis des vis, à visionner la vidéo c'est hard. Cet Homme a la maîtrise, l'hygiène est de rigueur il va de soi ainsi que la patience. Revoir certaines Personnes comme Dame Emma et sa soumise Kanaria pour qui j'ai de l'estime et du respect, de belles rencontres à F......, un bonheur que leur venue. Le dimanche 11 août Le Scorpion soumis m'a étonné, par sa façon d'oser certaines pratiques, de se donner à la morsure du fouet, martinets, fessées bien marquées par certaines Personnes, j'ai posé 8 aiguilles sur la hampe du sexe à sa demande, une première pour moi, Dame Freya lui a mis une aiguille à chaque sein et fait un superbe dessin avec un long ruban entrelaçant les aiguilles de son sexe à ceux de ses tétons, le rendu était de toute beauté. Et sous la cagoule Scorpion soumis s'est incliné remerciant Dame Freya. Avant son départ pour Paris, ce gourmand a reçu du champagne sur son corps, sourire. Une bonne douche avec le tuyau du jardin et il était enfin prêt pour faire x kilomètres avant de rejoindre la capitale. Un soumis à revoir si possible ... Léa sylphide soumise avait acheté des gâteaux pour fêter dimanche après midi l'anniversaire de son Maître JDuroc Gracieuse, elle a déposé devant ceLui ci le plateau composé des 3 desserts puis les deux cadeaux accompagnés d'une jolie petite carte écrite. Une soumise offre un présent à son Maître mais là était une excellente occasion. Certains (es) ont eu du fouet, martinet, des fessées, des contraintes, du canning, des dessins à la cire, des soumis lavés et rincés au tuyau d'arrosage, la pratique des aiguilles, et j'en oublie surement. Des photos ont été prises, des vidéos ont été tournés seulement et c'est très bien ainsi, que par l'Organisateur de ce pique-nique. La CBT pour deux soumis qui aiment les beaux égards et qui ne sont pas de couards, sourire Le port d'une ceinture de chasteté Sacherm pour ne pas le citer qui a eu droit à une épilation intégrale de ces attributs. A un moment donné pas moins de 4 Femmes que cela soit Domina, Maîtresse, soumises à ses cotés ainsi exposé, sur une table, le carcan maintenant sa tête et ses mains, les pieds attachés. Pendant le repas de samedi vers 15 heures, il est resté à genoux sous la table pendant x temps. Comme Ginou à un moment donné dimanche après midi, j'ai été également nue dans les jets d'eau, à genoux je devais avancer, Mr TSM avec son fouet, un régal et puis KiO s'y est mise aussi, elle manie avec dextérité cet instrument, l'eau me faisait du bien, puis j'ai eu bien froid et l'on a arrêté. Le dimanche en fin de soirée, à un moment donné petit jeu entre Dame Nadia, Maître Pierre pour que Tous deux arrivent et ils y sont arrivés à retirer des tomates du potager de Mr TSM qui avaient été disposés sur le dos de Maud, avec leur fouet respectif, et la participation de Mr Vich, je ne vous dis pas les rires, la joie, la bonne humeur, pour ce défi. Puis vient le tour des tomates concassées... Tomates éclatées par Maître Pierre à la demande de Maud avec l'aval bien sur de Dame Nadia, les tomates ont été écrasé avec le nunchaku d'entrainement en mousse mais que l'on sent bien en ce qui me concerne. Pour ce trip, j'avais installé ma chaise pour être aux premières loges, Maître Pierre adroit tout comme Dame Nadia avec le fouet à part un raté de chaque coté, petit délire entre gens de bonne compagnie. J'avais demandé à me faire fouetter par Mr Vich qui avait accepté, le fouet corail sur ma peau, hum ... Maître Pierre je l'ai vu à un moment donné était devant moi, pour le fouet enroulé c'est plus prudent et l'on peut voir ainsi les marques sur la poitrine. Je ferme toujours les yeux quand je suis dominée et quelque fois les aient ouverts et aie certains coups comme deux sur mon sexe. Le respect a été aucun débordement Nous étions 26 à ce pique-nique, j'ai bonne mémoire. Les marques des cannes ont été présentes pendant une semaine passée sur mon généreux fessier par contre, les marques des fouets de Maître Pierre le samedi après midi, et Mr Vich le dimanche se sont estompées au fur et à mesure, me reste à ce jour du 26 août, une trace enfin un bleu, sur mon sein gauche, rappel du fouet enroulé de Maître Pierre. Merci à mon Maître aimé qui a la confiance de Maître Pierre, pour m'avoir permis de participer à ce second pique-nique. Merci à ce dernier pour les belles marques qu'il m'a offert et son respect à mon égard. Merci à Monsieur Vich pour la suspension, vos fouets, dont le superbe fouet corail, votre respect et bonne humeur, dialogues. Merci à Monsieur TSM pour son accueil ainsi qu'à ses deux soumises pour l'organisation complexe d'une telle rencontre sur deux jours, il y a du travail avant, pendant et après les départs. De belles rencontres, découvertes à ce deuxième pique- nique, de la convivialité, du respect, de l'amitié, des initiations, de l'écoute. J'ai écrit ce second récit à ma façon avec mes propres ressentis, mes émotions. J'ai demandé l'accord de Toutes les Personnes mentionnées dans cet écrit. Le 27 08 2013
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Par : le 11/03/14
Hier soir une fois la nuit tombée et bien avancée je t ai dit de t habiller d une vielle robe et d un manteau , juste ça. Tu m as regardé d un oeil curieux mais sans rien dire , à quoi bon de toute façon je ne t aurai rien dit. Une fois dans la voiture je t ai bandé les yeux et t ai demandé le silence absolu. Durant le trajet je t ai caresser légèrement le sexe, juste histoire de te faire mouiller et te maintenir dans cet état. Arrivés sur place et après t avoir aidé à descendre de la voiture je t ai enlevé ton manteau , oh qu il faisait froid et devant cette évidence je t ai longuement embrassé laissant libre cours à mes mains te caressant ici et là comme pour te chauffer, réchauffer un peu. Puis te guidant avec ma voix je t ai amené devant un révèbère éclairé. J avais choisi pour l occasion un joki petit village de Haute-Savoie (non je ne vous dirai pas le nom de ce village) désert à cette heure-ci , pas une âme qui vive à l horizon, l endroit idéal pour une nouvelle expérience. Tu étais là en petite robe d été devant ce révèrbère, je t ai demandé d allonger les bras devant toi, de toucher le métal froid de celui-ci et de t appuyer tout contre et de passer les bras de chaque coté, les mains tendues puis je t ai menotté. Et soudain alors que tu ne t y attendais pas du tout je t ai déchiré ta robe, la mettant en lambeaux, te laissant nue.... Toute nue. Après un < ne bouges pas je reviens > je suis aller chercher dans la voiture quelques objets. A mon retour tu étais là, grelottant en silence. Aussi comme pour te donner du courage je t ai dit que j allais te réchauffer sous peu.... Je me saisis d une fine branche de noisetier et sans même t en avertir je te donnais un coup vif qui vu ta surprise t arrachais un petit cri de douleur. < ne t ais-je point dit de respecter un silence absolu > t ais-je demandé. Tu hochas de la tête en signe d acquiessement. Je répètais ce geste une douzaine de fois en attendant une trentaine de secondes entre chaque afin que la douleur se diffuse bien. Tes fesses étaient bien marquées , des stries rouges les décoraient. Marrant mais tu ne grelottais plus .. Je me suis approché de toi , t ai enlacé tout en te caressant un long moment. Et après t avoir enlevé les menottes je t ai demandé de te retourner et de tendre les bras en arrière puis je t ai de nouveau menotté. Puis suis venu me plaquer contre toi pour t embrasser encore et encore. Puis m écartant légèrement je t ai masturbé tout en te pinçant les tétons, et alors que tu m annonçais ton orgasme imminent j ai tout arrêté provoquant un râle de deception de ta part. < pas encore > t ai-je dit puis je me suis retiré vers un buisson ou éclairé d une lampe j ai cueilli quelques orties , et revenant vers toi qui de nouveau grelottais et cette fois-ci t avertissant que ce petit supplice allait te réchauffer pour de bon je t assainnais un premier coup qui te fît sursauter, suivi d une bonne quinzaine d autres mais sur tout le corps. Fière et orgueulleuse comme tu es tu n as pas laisser échapper le moindre cri de douleur, tu m épates chaque jour un peu plus. Après avoir jeté les orties je t ai de nouveau enlacé te remerciant de ta bravoure, et pour t en remercier je t ai couvert de baisers et t ai embrasser longuement, passionément puis je me suis agenouillé et t ai prodigué un cunni , un de ceux dont tu raffoles. Ma langue experte te fouillais doucement d abord puis plus vigoureusement lorsque tu m annonçais ton orgasme. Tu as laissé ėchapper un long et puissant cri, de plaisir cette fois-ci suivi de spasmes incontrôlés. Je me suis relevé et t ai embrassé de nouveau tout en te détachant et t enlevant ton bandeau et t aidant à remettre ton manteau. Un regard mutuel vers les lambeaux de ta robe qui gisaient à terre nous fît éclater de rire... Tout en m enlaçant tu me dis < vous avez bien fait de la mettre en pièce, je ne l aurai pas remise de toute façon.. Merci pour ce merveilleux et délicieux moment > De retour dans la voiture, le chauffage à fond et alors que tu te penchais avec l intention de me sucer, je t ai retenu te disant que rien ne presse...... Que la soirée ne fait que commencer !
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Par : le 11/03/14
Votre calice débordantM'inonde d'un doux plaisir.Vénération par la bouche.Je m'offre. Dans votre couche,Vous savez me faire frémirEt jouir. En me possédant.Pourquoi t'es-tu retirée de moi ?Pourquoi m'as-tu abandonnée ?Je suis seule dans le froidDu monde, et désorientée.La grâce s'est retirée de toiElle ne veut plus t'illuminerTu as perdu ce bel éclatPropre à la vraie divinité.Apparaissez, doux Seigneur !Votre adoratrice est lasseDe ce monde laid, achromique.Ma beauté n'est que plastique.Sans vos regards elle s'efface,Et loin de vous je me meurs.Vous m'habitez, me hantez,Divinité séduisante,Revenez auprès de moi !Mes plaisirs et mes émoisMe torturent et me tourmentent.Mes souvenirs ont tourné.
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Par : le 11/03/14
J'ai aiméJ'ai jouiPleurs et crisMélangésEsthétiqueActe obscèneSainte CèneErotiqueCorps offertAux lanièresOblationÊtre aiméePossédéeObsession
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Par : le 11/03/14
Ce jour était important, je te l avais souvent souligné mais sans jamais rien te dire de plus car j aime te voir et te savoir curieuse de vivre de nouvelles aventures. Nous étions en chemin pour aller voir Catherine, une amie intime qui m est très chère mais ça tu l ignorais J ai rencontré Catherine il y a peu, juste avant toi , très belle femme de mon âge, libertine à ses heures mais également soumise mais pas maso, en fait elle ne supporte pas la douleur, à part pour la fessée, étant très cérébrale elle apprécie énormément les scénarios et ou situations nouvelles. De plus elle est Fontaine ce qui est un petit plus bien agréable. Ce matin avant de partir je lui ai envoyé un long message détaillant bien le scénario de ce jour. Arrivé près de chez elle je me suis arrêté pour te bander les yeux , puis juste quelques minutes à peine après nous étions devant chez elle , j ai avoir klaxonné afin d avertir Catherine de notre arrivée et qu elle soit fin prête. T aidant à descendre de la voiture je te pris par le bras afin de te diriger dans la bonne direction. Une fois devant la porte et après avoir frappé trois coups nous sommes entrés, la porte refermée je t ai demandé d attendre sagement ici sans bouger puis je suis aller voir Catherine dans sa chambre. Elle étais nue sur son lit, les yeux bandés, les bras en croix, les cuisses bien écartées, son sexe déjà humide dans ma direction ,le grand miroir couvrant toute la paroi face à son lit sublimait ma vision... hummm quel spectacle !! Je me suis approché d elle et lui ai caressé doucement le visage la félicitant de sa posture puis après l avoir embrassé je me suis attelé à lui attacher les membres aux quatre coin du lit et suis resté un long instant a observer cette scène savourant déjà mentalement la suite des évènements . ( quelle vue, mon dieu quelle vue !! ) puis suis reparti te chercher. Après avoir rapproché la chaise que Catherine avais préparé, à quelques cinquante centimètres du lit je t ai aidé à t assoir dessus puis t ai pris les bras afin de te les attacher à la chaise mais dans le dos, ensuite je t ai attaché chaque jambe à un pied de ladite chaise qui se trouvait juste face au sexe de Catherine. Ainsi tu étais grande ouverte, offerte à mes yeux lubriques, devant un tel spectacle un désir irrésistible montait en moi. Je t ai caressé la joue puis t ai embrassé doucement. Me retournant vers Catherine je me suis agenouillé devant elle, je sentais tes genoux dans mon dos, devant son sexe rempli de désirs et l ai léché ...comme elle aime . M activant mais surtout m appliquant afin de faire durer au maximum ce plaisir, ses gémissements se faisaient plus sonores et en peu de temps son premier orgasme est arrivé avec grand bruit (elle est très expressive et très bruyante dans ces moments là..lol )me laissant à peine le temps de m écarter. Un premier jet puissant fini par t atteindre sur les cuisses, suivi d un deuxième sur tes seins les arrosant allègrement. Bien qu ayant les yeux bandés l expression de ton visage ne laissait aucun doute de ta surprise. Mais de suite suis retourné à l ouvrage, m aidant aussi de mes doigts te fouillant davantage avec frénésie. Avec ma langue et mes doigts ton deuxième orgasme est arrivé encore plus vite que le premier et cette fois-ci après m être écarté ,ton jet est venu frapper de plein fouet ton visage tu en sursauta de surprise. Au sixième orgasme, tu t es affranchies de ton silence et m as supplier de bien vouloir t enlever ton bandeau car depuis le début tu me disais être trempée d excitation. Comme pour vouloir te faire souffrir davantage je t ai répondu par la négative et me suis mis à te lécher toi aussi m arrêtant juste avant ton orgasme ce qui t as fait crier de rage. Tu m as supplier de recommencer et cette fois-ci de te faire jouir sinon tu allais devenir folle car c était insupportable pour toi de l entendre jouir, et toi rien et que tu voulais voir, tout voir, ton coté voyeuse l exigeait mais devant mon nouveau non tu es partie dans un long râle désespéré. Je n ai pas pu m empêcher d éclater de rire car c est bien la première fois que tu me suppliais ainsi. Et je suis retourné m occuper de Catherine. Deux orgasmes plus tard, trempé, fatigué (beh oui hein ) j ai détaché Catherine puis l ai embrasser d un long baiser pour la remercier. Ensuite Catherine m a aidé à te détacher et enfin je t ai enlevé ton bandeau. Je t ai aussi embrassé longuement, Catherine se joignant à moi tout en te caressant, et là j ai vu dans tes yeux ton coté curieuse lubrique s émerveiller . Puis d une petite voix presque enfantine tu nous as dit que c était à la fois super frustrant mais aussi super super excitant de nous entendre sans ne rien voir. Et que toi , ben t étais encore trempée d excitation et qu il faudrait t interner si jamais t avais pas un orgasme rapidement. Catherine et moi nous nous sommes regardés en souriant puis d une même voix tout en nous redressant te prenant chacun par une main, nous t avons dit : Maintenant c est ton tour.......et les deux ensemble ou chacun notre tour nous allons te faire jouir comme tu n as encore jamais jouis.....
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Par : le 07/03/14
Je suis assis à mon bureau travaillant sur l’ordinateur, elle est dans la pièce d’à côté sur le canapé, les lumières sont éteintes et nos pièces séparé par une arche sans porte sont éclairé par les lumières blafarde venue de l’extérieure et par celle bleutée de nos écrans respectif.Alors que je ne mis attendais pas je voie une forme ce déplacé a quatre patte dans ma direction.Je tourne une tête distraite et j’aperçois ma petite chienne qui a quitté son canapé et qui se dirige vers moi d’un mouvement lancinant.Sa magnifique chevelure brune légèrement bouclée encadre en cascade son visage éclairé par les lueurs blafardes, un sourire aux lèvres.Ses mouvement sont félin, plutôt inhabituelle pour une chienne pensai je en souriant.Elle me regarde et dit « n’y voie aucune malice » mets ses fines mains sur mon pantalon et le descend doucement, prend mon sexe et tout en me regardant me mets dans sa bouche. Je sens mon sexe durcir dans sa bouche sous ses vas et viens, j’apprécie en silence.Apres quelques coups de langue elle arrête et remet mon pantalon.Je la regarde étonné, elle me dit « juste parce que j’en avais envie » et s’apprête à repartir un sourire aux lèvres.Je la retiens par le bras et lui dit « tu crois t’en sortir comme ça ? »elle me répond « oui ,en rigolant, mon film reprend » je ne dis rien mais sourit , finis mon travail, laisse passer quelques minutes puis me lève à mon tour, me met devant elle, la regarde d’en haut. Elle lové sur le canapé, sourie.Je passe une main amoureuse et tendre dans ses cheveux, appuis sur sa tête et la dirige doucement vers mon sexe. Elle rigole mais ne se fait pas attendre.Elle se met à genoux pour mieux me sucer et cela réveille mes envies de soumission.Je lui demande si elle a envie d’une petite séance.Elle me répond de son joueur et habituel « peut-être » un sourire sur le visage.Resserrant ma prise dans ses cheveux je ne lui laisse pas le choix et lui donne le rythme.je l’entend s’étouffé avec mon sexe, comme j’aime cela, puis je la laisse continuer, pendant que moi je la relève en position debout mais penché, elle sait que quand nos séance commence et quel me suce peu importe ce que je fais sa bouche ne doit en aucun cas quitter mon sexe sous peine de punition.Je lui fais enlever son pantalon pendant qu’elle continue à s’occupé de moi puis la remet à genoux, a sa place.Je la laisse la et vais chercher son collier, que je lui mets immédiatement.Sa bouche se jetant sur mon sexe a peine suis-je revenue dans la pièce.A partir de ce moment elle n’est plus rien, elle n’est plus humaine, elle est ma chose, ma chienne, ma larve, mon objet, mon dévidoir.Je le lui rappel en lui faisant baiser mes pieds.Pendant ce temps je lui passe un doigt sur son cul et descend vers son sexe qui dégouline comme je l’aime.Bien.Je l’oblige à me regarder puis lui met une gifles pendant qu’elle me suce, puis une autres, puis encore une autres, cela l’excite.Elle me met dans sa bouche jusqu’à s’étouffer puis ressort, un long fil de bave et de sperme nous reliant.Puis recommence jusqu’à l’étouffement.Je me retire sans prévenir, part dans l’autre pièce et reviens avec des attaches.Je lui attache les deux mains dans le dos et lui dit de continuer. Mais avant je lui retire son haut et lui met quelque baffes sur ses seins comme elle aime. Au moment où je prends mon pied je m’aperçois que les rideaux ne sont pas tirés et que de dehors quelqu’un promène son chien dans le parc en bas de notre immeuble. Il a l’air de regarder dans notre direction.A sa silhouette c’est une femme mais je ne sais pas si elle peut nous voir sans lumière.Tant pis.Je prends ma chienne la relève, pousse tout ce qu’il y a sur la table et lui met la tête dessus et tend sa croupe sensuelle vers moi.Je l’oblige a me regarder pendant que je passe un bâillon dans sa bouche.Et puis la pénètre d’un coup, elle crie dans son bâillon, cela m’excite encore plus et je continue, de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond.Elle hurle.Comme j’aime cela.Je la défonce comme elle aime, ses mains attachées dans son dos se tendant vers moi pour m’attraper ou me repousser suivant la lourdeur des coups.Je me tourne encore vers le parc pour y voir cette silhouette toujours au même endroit.Qui semble regarder vers nous, nous voit elle, ou regarde elle ailleurs, plus haut ou plus bas, peut être discute elle avec quelqu’un sur son balcon, nous observe-t-elle en train de faire l’amour violemment.Le doute est encore permis.Plus pour longtemps.J’attrape ma chienne par les cheveux tout en me retirant puis la relève violement, la plaque contre la porte vitré du balcon.Ses seins aplatis contre la vitre glacée, sa chaleur faisant déjà de la bué causé par le froid extérieur.Les mains attaché dans le dos elle n’a pas de prise lorsque je la pénètre violement, je la prends fort, elle crie à chaque coup, je crois reconnaitre dans ses crie étouffé des je vous aime maitre ou des merci maitre.Pendant ce temps je ne quitte pas des yeux la silhouette féminine sortie prendre l’air avec son chien.Elle ne bouge pas, mais je ne voie pas ce qu’elle fait dans le noir.Ma chienne me dit quelque chose, je ne comprends pas, alors j’enlève son bâillon elle me demande de la mordre à l’épaule.Quelle impudence.JE suis le maitre, JE décide.Puis je réalise qu’elle le sait et qu’elle sait que je vais la punir pour cette outrecuidance.Je souri, elle aurait pu me demander de la punir directement, je l’aurai fait avec plaisir mais c’est plus drôle ainsi.Je lui détache les mains, elle s’appuient contre la vitre et se met sur la pointe des pieds pour mieux me recevoir, comme j’aime quand elle fait cela.Je lui dis de me regarder, ce qu’elle fait et je lui crache a la figure.Elle lâche un petit cri de plaisir suivit d’un sourire que je lui fais vite effacer par un grand coup de queue.Je regarde par la vitre et n’aperçois plus la silhouette. Nous a-t-elle vues ? L’as ton choqué ?Je n’en sais rien et m’en moque.Je prends donc ma petite chienne par le collier, lui passe sa laisse et lui dit de me suivre a quatre patte dans la chambre afin de recevoir sa punition, ce qu’elle fait docilement.D’elle-même elle se place à quatre pattes sur le lit m’offrant sa croupe délicieuse comme support à mes coups de punition, sachant ce que je veux après tout ce temps de relation.Bien sûr en tant que dominant et pour bien lui signifier que JE décide, je refoule mon irrésistible envie de lui fouetter les fesses avec ma cravache qui traine au bord du lit et prend un de ses pieds que je soulève légèrement.Puis lui fouette la plante des pieds.Elle se mort les lèvres pour ne pas crier.Un pied après l’autre subit mon courroux.Puis vint le tour de ses fesses, qui deviennent vite rouge.Mais j’arrête, la met sur le dos et attache ses mains au corde qui traine à chaque coin de notre lit, placer là il y a bien longtemps pour que cela soit disponible de suite lorsque l’on en a envie. Puis lui attache les pieds, la voici donc écartelé, offerte à mes désir et mes envies, sans moyens de s’y soustraire.Je m’assois sur son ventre, lui donne quelque coups sur ses seins, puis sur ses joues.puis m’avance jusqu’à m’assoir sur ses seins et mettre mon sexe dans sa bouche. Elle me suce et me regarde droit dans les yeux pendant que moi je la doigte.Au bout d’un moment, je m’allonge sur elle et la pénètre ainsi, léchant ses seins, l’embrassant, mordant son coup faiblement et ses épaules fortement laissant des traces qui je le sais dureront plusieurs jours.J’alterne pénétration longue et douce, puis courte et puissante, de temps en temps crache dans sa bouche ouverte ou sur ses seins, ou l’étrangle de mes mains jusqu’à ce qu’elle me fasse un signe de tête pour que j’arrête.Tout cela l’excite et elle se lâche, prenant parfois l’initiative d’un rythme, d’un mouvement.Elle me fait monter, je sens que je vais jouir mais je n’en ai pas fini avec elle.je me retire donc la laisse la, reprendre son souffle, son mascara ayant laissé des coulées au coins de ses yeux.Ce qu’elle est belle.Je la détache, la relève, et la plaque contre la vitre de notre chambre qui donne sur la rue passante.Le store extérieur est fermé, personne ne peut nous voir, puis l’attache les bras écarté aux cordes installées à chaque mur, elle aussi a demeure. Je lui mets son bâillon et la fouette avec ma cravache dans le dos.A chaque coup je relève un peu plus le store afin qu’on puisse la voir depuis la rue en train d’être dressé.Elle mouille énormément, cela lui plait je le voie bien.Une fois à la vue de tous (il n’y a personne, il est vraiment tard, seule quelque voiture passe trop vite pour remarquer quoi que ce soit.) je la pénètre violement et lui fait payer son insolence par une relation physique brutale.Elle hurle dans son bâillon et j’aime ça.Je finis par redescendre le store électrique, la détaché pour mieux lui rattaché ses mains dans le dos, et la posé délicatement sur le côté dans le lit.Je viens me placé en culière et la pénètre tout doucement.Lui enlève son bâillon pendant que je la pénètre.Elle me remercie à chaque coup, je la caresse en même temps, les seins, son sexe, ses cuisses.Elle me dit qu’elle va jouir.Moi aussi.Nous finissons ensemble dans un moment de pure extase.Je la détache, lui enlève son collier et la prend dans mes bras pour un câlin.Elle m’embrasse et me dit merci.C’est moi qui la remercie plutôt !Merci d’être ce qu’elle est et de me laisser être ce que je suis.Je lui dis que je l’aime elle me répond moi aussi puis rigole.Je lui demande ce qu’il la fait rire.Elle me dit que là c’est sur elle a loupé la fin du film.
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Par : le 07/03/14
Telle une évidence tu m es apparue, Depuis le tout début j ai su que c'étais toi mais comme par peur que se soit trop beau j'ai fait durer, oh pas longtemps, le moment de me déclarer. Telle une évidence nos conversations se sont toujours déroulées dans la bonne humeur et au fur et à mesure que nous nous dévoilions, l évidence d une osmose parfaite nous a comme sauté aux yeux, et on a eu beau essayer de part et d autre de chercher "la petite bête" rien n y a fait. En peu de temps il nous a fallu accepter l évidence , nous sommes bien fait l un pour l autre. Oui.... L un pour l autre !! Ça fait un peu cliché je le sais et pourtant c est vrai. C est un peu comme un coup de foudre à retardement. Je le ressens ainsi , tu le ressens aussi ainsi, que demander de plus ? Puis vint le moment de notre rencontre, et après t avoir concocté un petit scénario dont j ai le secret rendez vous fût pris afin de vérifier de visu, l évidence de cette osmose si parfaite. Et on a pas été déçus...... bien au contraire Cela a même été bien au delà de ce que nous attendions respectivement et m a permis de découvrir et surtout de te faire découvrir une nouvelle facette de ta personnalité dont tu ignorais en avoir un tel besoin et c est bien de toi même , telle une évidence qui l a recherché presque de suite. Car bien au delà d' une relation BDSM conventionnelle où de délicieux sévices viennent pimenter chaque moments intenses, un besoin commun de grande tendresse nous a envahi devenant par là même le fil conducteur de notre relation. Qu il est agréable et presque contre nature au vu de notre relation et de nos goûts respectifs d allier cette tendresse au No limite. Car de limites nous n en avons point et allons dans les prochains mois, les prochaines années partir sans cesse vivre de nouvelles expériences , à deux, à trois ou à plus, peu importe , l' important est de les vivre ensemble.
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Par : le 07/03/14
On connaissait mon père pour sa sévérité sans faille, infâme personnage arpentant le globe jusque dans ses moindres recoins, traversant mers et montagnes, fouettant durement ceux et celles qui le méritaient. Sa renommée était internationale, ses châtiments exemplaires de cruauté. Rares étaient les peuples qui ne le craignaient pas, et même les esprits fuyaient au son de ses pas. Et je comptais bien perpétuer la tradition familiale, moi, Jean-Balthazar, digne fils de mon père. En parlant de tradition familiale, s’il y en avait bien une que je me devais de respecter, c’était celle du J.L.F, le Jour de Lamentation Familiale. Pendant cette journée, chaque membre de notre (ig)noble famille se parquait dans sa maison, fermait à double tour portes et fenêtres et restait dans une obscurité quasi complète, ne pouvant s’éclairer qu’en cas de circonstances exceptionnelles. La seule lumière autorisée était celle qu’offrait le feu de cheminée. Les occupations comme la lecture, la musique, les discussions, les chants ou encore la danse lui étaient formellement interdites. Le rire y était honni. Tout devait être fait afin que l’ambiance intérieure soit parfaitement étrangère et même opposée à l’ambiance des autres foyers. Seules les lamentations et les plaintes susceptibles de concurrencer celles des pleureuses grecques y étaient autorisées. Ce jour-là, c’était le 25 Décembre, le jour de Noël. Et ce jour-là, c’était demain. --- La maison était presque prête pour le J.L.F. Je déplaçai les meubles afin de faciliter et de permettre au mieux les mouvements malgré la quasi-obscurité, et aménageai un espace près de la cheminée. Tapis fins et coussins y furent disposés, et j’avais mis en évidence ma belle collection de fouets et martinets, emblèmes de la tradition familiale et de la profession de mon père. La nuit était tombée depuis longtemps et il ne me restait plus qu’à aller fermer les volets à l’étage. J’imaginais alors tous ces gens en train de se goinfrer grassement pendant que je préparais ma journée de pénitence. Ces victimes de cette société si consumériste, qui se promettaient puis s’offraient des biens matériels, en général des gadgets plus inutiles les uns que les autres. Les cadeaux étaient à ces gens ce qu’une carotte était à un âne. Quelle ne fut pas ma surprise, en redescendant, quand je vis que quelqu’un, au pied de la cheminée, avait posé quelques… Cadeaux ! Des cadeaux ! Et de voir ce quelqu’un en plus, en train de caresser doucement mes fouets et mes martinets ! Mon sang ne fit qu’un tour et c’est en le saisissant par l’épaule que je m’aperçus que cet inconnu à la longue cape sombre n’était autre que… Marie-Noëlle, ma supposée ennemie jurée. Ma famille et celle de Marie-Noëlle étaient de très vieilles rivales, et ceci de génération en génération. Encore une autre tradition familiale qui perdurait... Nous avions grandi conjointement, fréquentant les mêmes classes et suivant les mêmes enseignements, tout en apprenant à nous éviter mutuellement. Mais le problème, c’est que Marie-Noëlle était d’une gentillesse sans pareil, intelligente et séduisante. Elle était blonde comme les blés, avait un adorable petit minois et un corps souple et gracile digne d’une Venus de Botticelli. Et malheureusement, sa candeur présumée n’était absolument pas pour me déplaire. Mais qu’est-ce qu’elle pouvait bien faire ici, à cette heure ? - Non mais ça va pas ?! Qu’est-ce que tu fous là ? Tu t’es crue où ? m’écriai-je - J’ai fini ma tournée… Je pensais à toi, et je me disais que tu devais t’ennuyer ce soir, tout seul, reclus chez toi comme ça… répondit-elle d’un air désolé. - Bien sûr que non, je me protège de la folie ambiante, tu le sais bien. Et je me prépare pour le J.L.F. Tu ne vois pas que tu me déranges ? La journée va être longue et je dois être en forme pour demain. Retourne t’empiffrer avec tes semblables ! - Humpf… murmura-t’elle en baissant les yeux d’un air décu. - Heureusement que je n’ai pas encore allumé la cheminée, tu aurais pu te brûler. - J’avais vu qu’elle ne l’était pas, sinon je ne serai pas descendue là-dedans, gros bêta. - Gros bêta ?? Clin d’œil et sourire appuyé de sa part. - Et qu’est-ce que tu trafiquais avec mes fouets ? - Je les trouve jolis, et je me demandais quel effet ils pouvaient bien procurer… Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux, l’œil brillant et la pommette rosie. - Ben ça fait mal, mais faut bien ça ! - Tu aimes ça ? - Absolument pas, ce que j’aime, c’est faire subir ! Mais ce mal est necessaire. - Moi, je crois que j’aime bien, quand ça fait un peu mal… Quand ça chauffe bien… - Mais t’es complètement cinglée ma pauvre ! En réalité, notre dialogue et ses allusions de moins en moins innocentes m’avaient bien franchement émoustillé, et le trouble qu’elle avait fait naître en moi était tel qu’il me rappelait mes premiers émois de jeune adolescent. Ah la garce, si elle savait dans quel état elle me mettait ! Lui tournant brusquement le dos, je m’approchai de la cheminée pour mettre le feu aux buches, profitant de ce bref interlude pour me remettre de mes émotions. Mon feu de bois était allumé, je me retournai et constatai que Marie- Noëlle s’était à nouveau rapprochée de ma collection de jouets, jetant son dévolu sur un petit martinet noir peu douloureux sur le court terme mais procurant une douleur certaine sur le long. Elle le touchait, essayait de le manier, et le faisait rouler entre ses jolis doigts. Mais, d’où se permettait-elle de toucher à mes jouets ? Elle n’y était pas autorisée…! Je me levais soudainement, agacé par si peu d’égards, et la saisit par la nuque. - Toi ma p’tite, tu vas voir de quel bois j’me chauffe… A suivre… PS : Si jamais, par le plus grand des hasards, vous trouvez une quelconque référence à un titre de musique ou à autre chose, ne dites rien SVP ! Ou alors venez me le dire en MP
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Par : le 07/03/14
Je finis de mettre mon matériel dans mon sac pendant qu’elle discute entre elle. Ma compagne et ma soumise du jour son toute deux vêtu de la même façon. J’ai insisté la dessus. Jupe, chemise, porte jarretelle, bas et talon, classique mais j’aime cela. Et elles le savent toute les deux. Ce n’est pas notre première séance avec elle. Je suis prêt. Elle aussi. je mets son collier à ma soumise pour lui signifier qu’à partir de cette instant elle m’appartient, elle est ma chose, mon objet, par ce collier une extension de moi et de ma volonté, elle est là pour me servir. Puis nous montons en voiture, ma compagne devant et ma soumise en place arrière. Alors que nous roulons j’ordonne à mon extension, ma soumise de mettre son collier à ma chienne. Elle s’exécute. Comment pourrai-t-il en être autrement, elle est mon bras, mon esclave, ma servante, elle n’est là que pour m’obéir et me servir dans mon dressage de ma chienne. C’est son rôle dans cette soirée. Nous partons donc pour ce lieu ou ma chienne subira mes envies sadiques et sexuelles directement ou par le bien de ma soumise qui pour elle sera une domina. C’est pour cela que je préfère que mes soumises pour ce genre de séance soit des switch, il faut qu’elles aiment dominer, faire subir leur fureur et la mienne à ma chienne par des actes physiques et douloureux mais aussi qu’elles aiment être dominé par moi, et subir à leur tour des punitions physiques si elles ne m’obéissent pas bien. Le plaisir de dominé mais en étant retenue, engendrant une frustration croissante qu’elle peut déverser sur sa soumise, voilà ce qu’il lui plait à ma switch. Et j’aime ça. Sentir sa frustration monter, la restreindre et puis la laisser déversé sa colère et son plaisir sur ma chienne qui aime avoir mal. Nous roulons donc vers l’endroit que je leur réserve et que j’ai découvert il y a pas très longtemps, j’y ai déjà fait quelques séances et je commence à bien aimer l’endroit, j’espère juste ne pas être dérangé, cela n’est jamais arrivé mais dans le BDSM outdoor avec le frisson de l’interdit et d’être découvert viens de temps en temps la frustration d’être découvert. Je suis excité par la possibilité d’être découvert mais ne le suis jamais par l’être. Cela coupe tout. Tout en conduisant je voie les belles cuisses de ma chienne, comme elle m’excite, j’ordonne à ma soumise d’obligé ma chienne à me sucer pendant que je roule. Elle prend donc ma chienne par les cheveux d’une main, se penche dans l’espace entre les deux sièges avant, ouvre ma braguette et sort mon sexe de l’autre. Puis plonge la tête de ma chienne sur ma queue qu’elle tient droite afin de l’obliger à me sucer. Hum un vrai délice, sa langue fait des vas et viens pendant que ma soumise lui tiens les cheveux tout en l’insultant et en lui disant quoi faire. Je donne un ordre d’une voie grave et sourde «plus profond». Oui maitre répond ma soumise et sans prévenir enfonce la tête de ma chienne plus profondément. Je l’entends s’étoufféavec ma queue, comme j’aime cela. Ma soumise soulève et rabaisse la tête de ma chienne au rythme qu’elle veut, lui donne de petite gifles au visage et lui parle mal. Arrivé à un feu rouge, personne aux alentour je lui dit d’arrêter, prend la tête de ma chienne a pleine main et la force à me sucer moi-même, tout en l’insultant et lui donnant des gifles. Ma soumise attend patiemment bien au fond de son fauteuil, je lui ordonne de se toucher en nous regardant. Ce qu’elle fait. Il y a des moments où l’on aimerait que le feu passe vite au vert, ce n’était pas ce genre de moment que je vivais là. Bien trop vite le feu passe au vert et je redémarre laissant ma soumise reprendre l’acte précèdent. je lui ordonne d’arrêter, nous sommes bientôt arrivé. Je gare la voiture et ordonne à ma soumise de mettre sa laisse à ma chienne et de m’attendre devant la voiture. Pendant ce temps je sors et récupère mon sac. Une fois fait je mets sa laisse à ma soumise. Normalement elle marche debout devant moi ,la tenant en laisse qui elle-même tiens ma chienne en laisse qui marche à quatre pattes a même le sol. Mais là il y a de la boue, il fait noir. je préfère garder cela pour des lieux plus intimes et sacrifie l’aspect symbolique pour l’aspect pratique. je me rattraperai plus tard. Nous arrivons devant cet immeuble abandonné que ni l’une ni l’autre ne connaissent. Mine de rien les bâtiments délabré les impressionnent, il apporte une ambiance glauque et malsaine par sa décrépitude, ses murs couvert de tags et son absence de luminosité. Elles ne disent rien, mais cela les excites tout autant que cela leur fait peur. Je le sens à leur façons de respiré et à leur maintien. J’adore ça. Moi j’y suis déjà venue une demi-douzaine de fois afin de faire des repérages, des préparatifs, et des séances. Je connais un peu l’endroit et donc je les guide par-delà les couloirs sombres et couvert de débris jusqu’à la salle du fond. Une grande salle dont trois des quatre murs sont couvert de fenêtre et le dernier, celui par lequel on accède à cette salle est tapissé de miroirs. Les lumières de la ville rentrent indirectement par toutes les directions donnant une illumination blafarde et irréelle à la salle. Les deux poteaux qui supportent le poids de la pièce sont répartie équitablement au centre, dans un angle de la pièce se trouve un fauteuil que j’ai mis la a mon dernier repérage. Je détache ma soumise et lui dit de préparé le matériel, prend une corde dans le sac puis lui tend. Elle se dépêche d’étendre le drap propre que j’ai dans mon sac par terre, a même la moquette et d’y sortir tous les instruments que j’ai emmené avec moi. Pendant ce temps j’attache ma chienne au poteau, bras écarté de chaque côté relier aux poteaux face aux miroirs mais aussi pour que du coin de l’œil elle aperçoive le fauteuil dans l’angle de la pièce. alors même que je l’attache, elle me sourit et essaye de m’embrasser. je l’aime cette nana, elle sait qu’elle va être punis pour ça. Mais elle adore ça. Et moi aussi. J’attache aussi ses jambes, puis demande à mon assistante, ma soumise de me donner le martinet. On va commencer doucement. Elle s’exécute et attend à côté de moi. Quelque secondes passent et elle se rend compte que j’attends quelque chose d’elle. Puis elle se rappelle qu’elle se doit de déshabillé ma chienne. Elle s’excuse et enlève la chemise de ma chienne . Bien entendu comme je l’ai déjà attaché au bras elle ne peut lui enlever totalement, il faudrait la détacher. Elle s’excuse, je hurle, l’insulte, la traite de tous les noms et lui ordonne de se dépêcher. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’ai fait exprès pour assoir ma domination cérébrale en la mettant dans une situation de stress et d’échec. Et cela marche à merveille, je souris intérieurement mais ne montre que de la colère à l’extérieur. Plus je hurle et plus elle galère en proie à un stress grandissant. Je la fait stopper puis lui fait remarquer que la prochaine fois je la punirai. Elle me remercie, je détache un bras et enlève la chemise de ma chienne qui pend au deuxième, puis la rattache. Je profite du spectacle de son dos nue, la lumière de la lune éclairant son énorme tatouage dorsale, elle est si belle, si fragile, à ma Merci. Je passe une main lasse sur sa peau, elle sursaut, je lui chuchote a l’oreille lui demandant si elle est prête. Elle me répond que oui, alors je fais abattre, doucement d’abord puis de plus en plus vite, les lanières du martinet sur son dos d’un blanc laiteux. Il se recouvre vite de marque rouge, là où le cuir a mordu la peau. Elle émet de petit son étouffé a chaque passe. Je sais que cela ne lui fait pas trop d’effets, elle a une grosse résistance à la douleur, mais j’aime la laisser monter doucement. Et puis je ne suis pas pressé, on a toute la nuit. au bout de quelque temps j’arrête, puis ordonne a mon assistante de me livrer le cul de ma chienne. Elle commence donc à enlever sa jupe, entre ses cuisses, un filet de fluide corporel glisse. Comme j’aime ça, savoir que je lui fais cette effets. Je dis à mon assistante de pencher ma chienne en arrière afin de me présenter son auguste derrière et de mettre sa main sur son sexe pendant que je vais lui donner des coups de martiné. Je fais cela pour protégé le sexe de ma chienne car avec le martinet un coup mal placé peut ruiner une séance. Certaine soumise aime les coups sur le sexe et d’autre non, c’est le cas de ma chienne. Je zèbre donc ses fesses magnifiques de rouge, lui arrachant quelques cris timides et retenu au passage. Ma soumise elle aussi souffre en silence, de temps en temps quelques coups viennent toucher ses doigts qui protège le sexe de ma chienne. je souri. Encore quelques coups puis je me lasse, je décide donc de passé à la cravache et en informe mon assistante. Elle s’empresse alors de me la passer et reprend sa position. Je cravache les fesses de ma chienne, lui arrachant alors de vrai cri. Je dis bien haut que je ne veux plus l’entendre, qu’elle fait trop de bruit et donne l’ordre de lui mettre un bâillon. Ce que ma soumise s’empresse de le faire. Je reprends mes coups et dit à mon assistante de doigter ma chienne. Apres quelques coups et quelques vas et viens cette dernière ne sait plus où elle en est, plaisir et douleur se mêle. Je stoppe tout d’un seul coup, ma soumise s’arrête les doigts dégoulinant de mouille. Voyant cela je lui ordonne de les lécher. Ce qu’elle fait goulument. Je passe derrière elle et la prend par les cheveux, je lui demande si elle aime ça, la mouille de ma petite chienne, elle me répond que oui, alors je la mets a genoux et la force à la lécher. Elle fait cela de bon cœur. Puis je sors ma queue repasse derrière ma chienne et lui met d’un seul coup sans prévenir, elle mort son bâillon pour ne pas crier. Je continue, sentant de temps en temps la langue de mon assistante déraper sur mon sexe pendant quelle lèche le clito de ma chienne. Puis d’un coup je sors sans prévenir , la laissant la, relâchant ses membres de la tension accumulé par ma pénétration et ordonne d’arrêter à mon assistante. Range mon sexe et lui dit de venir tenir les jambes à ma chienne. Elle lui tient donc les jambes comme une jument que l’on va ferret afin de me présenter la plante de ses pieds. Je commence à fouetter le pied droit, puis le gauche, ma petite chienne sursaute à chaque coup. Alors que je lui donne un énième coup, le sursaut est plus fort que les autres et sa jambes échappe a la prise de mon assistante. Je la regarde sévèrement, elle se confond en excuse. Je lui explique que j’ai déjà laissé passer sa première chance et que je dois elle aussi la punir. Je lui dis de se pencher contre le poteau, relève sa jupe et lui donne une fessé avec ma main. Un coup, deux coups, trois coups, je m’arrête. Elle a oublié de me remercier pour chaque coup donné. Je le lui rappelle et pour la punir afin qu’elle n’oublie plus, je la fesse avec la cravache. Elle me remercie en criant à chaque coup. Très bien dernière avertissement lui dit-je. Je lui donne la cravache et vais m’assoir sur mon fauteuil. Maintenant je lui ordonne de la dresser et de me la préparé pour que je la baise. Elle lâche alors son courroux sur ma chienne, lui fouettant le dos, les fesses, les seins, enlevant son bâillon afin de mieux l’entendre. De là ou je suis j’apprécie le spectacle, la dirige, l’encourage, la réprimande quand elle fait une erreur. Lui ordonne de taper puis de lécher, d’alterner. Elle s’éclate et moi j’adore les voir toute les deux. Puis je me lasse et lui dit de la détacher et de la faire venir me sucer. Elle lui met sa laisse et la jette au sol, puis la fait marcher a quatre pattes vers moi, relève sa tête en tirant sur ses cheveux et force ma chienne à me regarder. Je ne dis qu’un mot. Suce. Et elle avale mon sexe goulument. Guider dans ses vas et viens par ma soumise qui commence à s’exciter frénétiquement. Dans un mouvement plus appuyé qu’auparavant, elle fait, sans le faire exprès bien sûr, que ma chienne me fait mal au sexe. Je lui dis de tout arrêter. De la lâcher. Je l’engueule et lui ordonne de se mettre elle aussi à quatre pattes et de venir lécher le cul de ma chienne pendant qu’elle me suce. La reléguant ainsi à une position plus basse que ma chienne. Elle comprend s’excuse et s’exécute. Pendant quelque minutes je profite un maximum de cette vue, mes deux soumises à quatre pattes à mes pieds, l’une bouffant le cul a l’autre, pendant qu’elle-même me lèche la queue. J’estime que la punition de ma soumise a assez duré mais je ne compte pas lui faire retrouver son statut de suite. Je lui dis de venir elle aussi me sucer à quatre pattes, elle se retrouve ainsi à la même place que ma chienne et elle se dispute joyeusement mon sexe a coup de langue. je lui explique tout cela. Elle me remercie et me promet de faire attention. Je l’autorise donc à se relever et à m’assister. Et lui ordonne de disposer de ma chienne comme elle veut mais je lui impose de me faire plaisir avec. Elle réfléchit quelques secondes puis relève gentiment ma chienne la tourne afin qu’elle me tourne le dos, prend mon sexe dans ses mains et fait s’y assoir dessus ma chienne, puis lui fait faire des vas et viens. C’est bien. Doucement d’abord puis de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je lui dis de changer, elle la tourne afin qu’elle me fasse face. Pendant qu’elle me chevauche au rythme imposé par ma soumise, je lui donne des gifles sur ses seins, sur son visages alternant avec des baisers et des coups de langues. Puis ordonne de la relever et de la mettre face a un miroirs. Elle la tire par sa laisse et la dispose ainsi cul tendu. Je viens me mettre près à la prendre juste derrière elle, puis ordonne à ma soumise de venir derrière moi, de se coller à moi, de prendre mon sexe dans sa main et de venir baiser ma chienne comme si c’était le sien. Elle donne donc des coups de reins collé à moi, et je pénètre ma chienne sous son rythme. Je regarde ma chienne dans la glace et lui ordonne de me regarder à son tour. Je la voie fermer les yeux sous certain coups, elle prend son pied. Et ainsi moi aussi. Je prends ses seins et les colles sur la glace du miroir. Le froid rajoute un petit quelque chose qui m’excite. Ma soumise aussi, elle s’enflamme et se permet des commentaires que je n’aime pas. J’arrête tout, lui dit qu’elle a était trop loin, que cette fois il faut que je la remette a sa place. Tout en disant cela je mets ma chienne à genoux et la force à me sucer pendant que je passe un savons à ma soumise qui se confond en excuse. Je la rassure, ce n’est pas grave, mais il faut que je la punisse, et durement, très durement. Elle acquiesce. Je lui dis de ce mettre nue mais de garder son porte jarretelle et ses talons. Pendant qu’elle se déshabille ma chienne me suce toujours. Je lui demande si ça lui plait elle me répond que oui et lui demande ce que je devrais faire pour punir ma soumise. Elle me répond avec un sourire que je devrais l’attacher et la fouetter et peut être si elle continue a être insolente la pénétrer de force. Du coin de l’œil j’observe ma soumise qui écoute d’une oreille distraite. Je demande à ma chienne si c’est ce qu’elle ferait, elle. Elle me répond que oui. Je lui demande alors qui lui a dit d’arrêter de me sucer. Elle reste surprise et s’excuse à son tour. Mais l’occasion est trop belle. Je la relève par les cheveux, de l’autre main attrape les cheveux de ma soumise et les mènent ainsi au centre de la pièce. Je les fais se prendre dans les bras l’un de l’autre, nue, leur peau se confondant, leurs seins s’entremêlant. Et attache leur mains en l’air ensemble. Les voilà pendu toute les deux face à l’autre. Je prends ensuite une corde et les saucissonnes ensembles, passant sur leur seins, leur hanche, leur culs, entre leur jambes, les brulant parfois en faisant passer la corde sur leur peau. Puis je les laisse ainsi pendu quelques secondes pendant que je cherche quelque chose dans mon sac. Elles ne voient pas ce que c’est. Je reviens avec une boule à attache. Je la mets dans la bouche de ma soumise et bâillonne ma chienne. Puis je tourne autour d’elle, les faisant se balancer ou tourner sur elle-même, elle galère à marcher ou tourner et cela m’excite. Je sors alors ma cravache et les fouettes tout en tournant autour d’elle, frappant sans discernement, je peux laisser ainsi ma fureur éclater, leur partie sensible de l’une sont protéger par le corps de l’autre de sorte que peut importe comment je frappe je ne tape que le dos ou les fesses de chacune. Tout en faisant cela je leur rappelle leur place, à mes pieds, à genoux, à plat ventre. Elles m’appartiennent tant qu’elles portent ses colliers. Je fais ce que je veux d’elle. Elles sont mes chiennes, mes larves, mes putes. Elles hurlent dans leur baillons à chaque coups, c’est jouissif. Puis j’en pénètre une de force, puis je sors et tape, continue puis change jusqu’à ce que j’estime que cela suffit. Elles sont la tremblante pendant que je les détache. Elle s’écroule à mes pieds et je leur ordonne de les lécher. Elle s’exécute toute en s’excusant et en me suppliant de les garder auprès de moi. Je ne sais pas pour les autres maitres mais pour moi cette instant la est le plus jouissif que je puisse connaitre. Je relève ma soumise doucement. Lui demande si elle a compris la punition. Elle acquiesce. Je me penche pour embrasser ma chienne dont le rimmel a coulé sous ses larmes de douleurs. Quel vision enchanteresse . elle tremble et n’a presque plus de force. La séance a était un peu intense et dur ce soir. Je décide de l’écourté, tant pis pour les bougies , les couteaux et les aiguilles. Ce sera pour une autre fois. Je demande à ma chienne si elle veut continuer. Elle me répond que oui. Alors je la met à quatre pattes et la pénètre doucement puis de plus en plus fort. Ordonne à ma soumise de la caressé en même temps. Elle lui touche ses seins , son dos , ses fesses , son sexe. Pendant ce temps moi, alternativement je lui griffe le dos , lui mord les épaules et lui tape les fesses Je la sens monté, elle se lâche. Je lui demande alors de me regarder et au moment où elle tourne la tête, je lui crache au visage. Elle jouit. Je la sens tremblé. Comme j’aime ça. Une fois l’orgasme passé, je sors doucement sachant que la moindre caresse lui fait du mal et du bien simultanément . Puis ordonne ma soumise de la mettre à genoux devant moi, de venir dans mon dos , de prendre mon sexe avec ses mains et de me branler sur le visage de ma chienne encore un peu dans les vappes. Ma chienne tire sa langue pour me recevoir. Je ne mets vraiment pas longtemps à venir et à voir mon sperme tout chaud se rependre sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche. J’ordonne a ma soumise de l’étaler sur ses seins avec ses doigts. Ma chienne me sourit, heureuse. Ma soumise aussi. Et moi aussi.
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Par : le 07/03/14
La nudité est, sous la forme d'un truisme, l'état de ce qui est nu, non recouvert, dévoilé. La question de la nudité n'est pas considérée de la même manière selon le temps et selon les latitudes. Objet d'indifférence parmi certains peuples premiers, la nudité est plus souvent un objet d'opprobre parmi les différentes civilisations. Cette défience à l'égard du nu n'est pas propre aux religions monothéistes, bien que ce soit à l'aune de celles-ci que la plupart d'entre nous l'appréhende. Cette appréhension ne va pas sans ambiguïté. Le premier homme et la première femme, en effet, surgissent nus dans le récit de la Genèse. Cela apparaît dans l'épisode dit "du pêché originel" quand Adam et Eve goûtent au fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Alors seulement ils prennent conscience de leur nudité et se cachent sous les branches d'un figuier. Il existe donc une équivoque derrière cet état qui nous fait "tel que Dieu nous a fait", selon une formule populaire. L'équivoque tient sans doute dans le caractère imparfait de l'homme auquel la notion de morale lui tient lieu de secours. Il cache pour ne pas enfreindre les règles que la vie en société lui impose. Ces règles sont clairement, non l'impudeur qui ne correspond pas à grand chose et reste très relative dans sa définition, mais la prohibition de l'inceste et de l'adultère. Cette idée est clairement exprimée dans un autre passage biblique imposant aux femmes de se voiler pour que (paradoxalement !) l'homme ne viole pas le commandement contre l'adultère (entendez le sexe hors liens du mariage) qui ne s'impose qu'à lui. Couvrir la nudité induit un autre effet. Celui de détourner ou de tromper sur ce que nous sommes. Le vêtement ne voile pas seulement, il indique à autrui ce que nous entendons dire de nous. Il désigne une appartenance, un rang social ou autre. En cela, le vêtement peut, parfois aussi, être une tromperie. Il s'apparente à l'hypocrase, le masque de l'acteur hellène qui nous a légué le mot hypocrisie. La fashion victim se trompe-t-elle elle-même ? Il n'en demeure pas moins que, à l'opposé de la couverture du corps, la nudité devient l'allégorie de la Vérité (en tant qu'absolu d'où la majuscule). La Vérité est-elle immorale ? Elle est au-delà du frisson de l'interdit. Elle est elle-même. Elle révèle le moi profond, l'intime, le secret. "Se mettre à nu" signifie se présenter dans sa Vérité, le secret de l'intimité dévoilé, offert au regard. N'est-ce qu'une formule rhétorique ? La mise à nu est un acte difficile. Elle signifie un renoncement dans un cadre et à un moment déterminés à une norme sociale mais aussi culturelle. C'est un renoncement cependant à un paraître au profit de l'être. S'abandonner ainsi est une offrande faite à l'autre, un tiers de confiance. Car la confiance et la compréhension favorisent l'expression de la liberté, y compris dans ce cadre contraignant qu'est le BDSM. Le dominant est le guide souverain sur ce chemin de Vérité de la personne soumise. Les sentiments de honte ou de gêne suscités par la mise à nu objective du soumis ne relèvent pas d'une humiliation mais d'un conformisme socio-culturel devant être dépassé.
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Par : le 07/03/14
Je finis de mettre mon matériel dans mon sac pendant qu’elle discute entre elle. Ma compagne et ma soumise du jour son toute deux vêtu de la même façon. J’ai insisté la dessus. Jupe, chemise, porte jarretelle, bas et talon, classique mais j’aime cela. Et elles le savent toute les deux. Ce n’est pas notre première séance avec elle. Je suis prêt. Elle aussi. je mets son collier à ma soumise pour lui signifier qu’à partir de cette instant elle m’appartient, elle est ma chose, mon objet, par ce collier une extension de moi et de ma volonté, elle est là pour me servir. Puis nous montons en voiture, ma compagne devant et ma soumise en place arrière. Alors que nous roulons j’ordonne à mon extension, ma soumise de mettre son collier à ma chienne. Elle s’exécute. Comment pourrai-t-il en être autrement, elle est mon bras, mon esclave, ma servante, elle n’est là que pour m’obéir et me servir dans mon dressage de ma chienne. C’est son rôle dans cette soirée. Nous partons donc pour ce lieu ou ma chienne subira mes envies sadiques et sexuelles directement ou par le bien de ma soumise qui pour elle sera une domina. C’est pour cela que je préfère que mes soumises pour ce genre de séance soit des switch, il faut qu’elles aiment dominer, faire subir leur fureur et la mienne à ma chienne par des actes physiques et douloureux mais aussi qu’elles aiment être dominé par moi, et subir à leur tour des punitions physique si elles ne m’obéissent pas bien. Le plaisir de dominé mais en étant retenue, engendrant une frustration croissante qu’elle peut déverser sur sa soumise, voilà ce qu’il lui plait à ma switch. Et j’aime ça. Sentir sa frustration monter, la restreindre et puis la laisser déversé sa colère et son plaisir sur ma chienne qui aime avoir mal. Nous roulons donc vers l’endroit que je leur réserve et que j’ai découvert il y a pas très longtemps, j’y ai déjà fait quelques séances et je commence à bien aimer l’endroit, j’espère juste ne pas être dérangé, cela n’est jamais arrivé mais dans le BDSM outdoor avec le frisson de l’interdit et d’être découvert viens de temps en temps la frustration d’être découvert. Je suis excité par la possibilité d’être découvert mais ne le suis jamais par l’être. Cela coupe tout. Tout en conduisant je voie les belles cuisses de ma chienne, comme elle m’excite, j’ordonne à ma soumise d’obligé ma chienne à me sucer pendant que je roule. Elle prend donc ma chienne par les cheveux d’une main, se penche dans l’espace entre les deux sièges avant, ouvre ma braguette et sort mon sexe de l’autre. Puis plonge la tête de ma chienne sur ma queue qu’elle tient droite afin de l’obliger à me sucer. Hum un vrai délice, sa langue fait des vas et viens pendant que ma soumise lui tiens les cheveux tout en l’insultant et en lui disant quoi faire. Je donne un ordre d’une voie grave et sourde « plus profond ». Oui maitre répond ma soumise et sans prévenir enfonce la tête de ma chienne plus profondément. Je l’entends s’étouffé avec ma queue, comme j’aime cela. Ma soumise soulève et rabaisse la tête de ma chienne au rythme qu’elle veut, lui donne de petite gifles au visage et lui parle mal. Arrivé à un feu rouge, personne aux alentour je lui dit d’arrêter, prend la tête de ma chienne a pleine main et la force à me sucer moi-même, tout en l’insultant et lui donnant des gifles. Ma soumise attend patiemment bien au fond de son fauteuil, je lui ordonne de se toucher en nous regardant. Ce qu’elle fait. Il y a des moments où l’on aimerait que le feu passe vite au vert, ce n’était pas ce genre de moment que je vivais là. Bien trop vite le feu passe au vert et je redémarre laissant ma soumise reprendre l’acte précèdent. je lui ordonne d’arrêter, nous sommes bientôt arrivé. Je gare la voiture et ordonne à ma soumise de mettre sa laisse à ma chienne et de m’attendre devant la voiture. Pendant ce temps je sors et récupère mon sac. Une fois fait je mets sa laisse à ma soumise. Normalement elle marche debout devant moi ,la tenant en laisse qui elle-même tiens ma chienne en laisse qui marche à quatre pattes a même le sol. Mais là il y a de la boue, il fait noir. je préfère garder cela pour des lieux plus intimes et sacrifie l’aspect symbolique pour l’aspect pratique. je me rattraperai plus tard. Nous arrivons devant cet immeuble abandonné que ni l’une ni l’autre ne connaissent. Mine de rien les bâtiments délabré les impressionnent, il apporte une ambiance glauque et malsaine par sa décrépitude, ses murs couvert de tags et son absence de luminosité. Elles ne disent rien, mais cela les excites tout autant que cela leur fait peur. Je le sens à leur façons de respiré et à leur maintien. J’adore ça. Moi j’y suis déjà venue une demi-douzaine de fois afin de faire des repérages, des préparatifs, et des séances. Je connais un peu l’endroit et donc je les guide par-delà les couloirs sombres et couvert de débris jusqu’à la salle du fond. Une grande salle dont trois des quatre murs sont couvert de fenêtre et le dernier, celui par lequel on accède à cette salle est tapissé de miroirs. Les lumières de la ville rentrent indirectement par toutes les directions donnant une illumination blafarde et irréelle à la salle. Les deux poteaux qui supportent le poids de la pièce sont répartie équitablement au centre, dans un angle de la pièce se trouve un fauteuil que j’ai mis la a mon dernier repérage. Je détache ma soumise et lui dit de préparé le matériel, prend une corde dans le sac puis lui tend. Elle se dépêche d’étendre le drap propre que j’ai dans mon sac par terre, a même la moquette et d’y sortir tous les instruments que j’ai emmené avec moi. Pendant ce temps j’attache ma chienne au poteau, bras écarté de chaque côté relier aux poteaux face aux miroirs mais aussi pour que du coin de l’œil elle aperçoive le fauteuil dans l’angle de la pièce. alors même que je l’attache, elle me sourit et essaye de m’embrasser. je l’aime cette nana, elle sait qu’elle va être punis pour ça. Mais elle adore ça. Et moi aussi. J’attache aussi ses jambes, puis demande à mon assistante, ma soumise de me donner le martinet. On va commencer doucement. Elle s’exécute et attend à côté de moi. Quelque secondes passent et elle se rend compte que j’attends quelque chose d’elle. Puis elle se rappelle qu’elle se doit de déshabillé ma chienne. Elle s’excuse et enlève la chemise de ma chienne . Bien entendu comme je l’ai déjà attaché au bras elle ne peut lui enlever totalement, il faudrait la détacher. Elle s’excuse, je hurle, l’insulte, la traite de tous les noms et lui ordonne de se dépêcher. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’ai fait exprès pour assoir ma domination cérébrale en la mettant dans une situation de stress et d’échec. Et cela marche à merveille, je souris intérieurement mais ne montre que de la colère à l’extérieur. Plus je hurle et plus elle galère en proie à un stress grandissant. Je la fait stopper puis lui fait remarquer que la prochaine fois je la punirai. Elle me remercie, je détache un bras et enlève la chemise de ma chienne qui pend au deuxième, puis la rattache. Je profite du spectacle de son dos nue, la lumière de la lune éclairant son énorme tatouage dorsale, elle est si belle, si fragile, à ma Merci. Je passe une main lasse sur sa peau, elle sursaut, je lui chuchote a l’oreille lui demandant si elle est prête. Elle me répond que oui, alors je fais abattre, doucement d’abord puis de plus en plus vite, les lanières du martinet sur son dos d’un blanc laiteux. Il se recouvre vite de marque rouge, là où le cuir a mordu la peau. Elle émet de petit son étouffé a chaque passe. Je sais que cela ne lui fait pas trop d’effets, elle a une grosse résistance à la douleur, mais j’aime la laisser monter doucement. Et puis je ne suis pas pressé, on a toute la nuit. au bout de quelque temps j’arrête, puis ordonne a mon assistante de me livrer le cul de ma chienne. Elle commence donc à enlever sa jupe, entre ses cuisses, un filet de fluide corporel glisse. Comme j’aime ça, savoir que je lui fais cette effets. Je dis à mon assistante de pencher ma chienne en arrière afin de me présenter son auguste derrière et de mettre sa main sur son sexe pendant que je vais lui donner des coups de martiné. Je fais cela pour protégé le sexe de ma chienne car avec le martinet un coup mal placé peut ruiner une séance. Certaine soumise aime les coups sur le sexe et d’autre non, c’est le cas de ma chienne. Je zèbre donc ses fesses magnifiques de rouge, lui arrachant quelques cris timides et retenu au passage. Ma soumise elle aussi souffre en silence, de temps en temps quelques coups viennent toucher ses doigts qui protège le sexe de ma chienne. je souri. Encore quelques coups puis je me lasse, je décide donc de passé à la cravache et en informe mon assistante. Elle s’empresse alors de me la passer et reprend sa position. Je cravache les fesses de ma chienne, lui arrachant alors de vrai cri. Je dis bien haut que je ne veux plus l’entendre, qu’elle fait trop de bruit et donne l’ordre de lui mettre un bâillon. Ce que ma soumise s’empresse de le faire. Je reprends mes coups et dit à mon assistante de doigter ma chienne. Apres quelques coups et quelques vas et viens cette dernière ne sait plus où elle en est, plaisir et douleur se mêle. Je stoppe tout d’un seul coup, ma soumise s’arrête les doigts dégoulinant de mouille. Voyant cela je lui ordonne de les lécher. Ce qu’elle fait goulument. Je passe derrière elle et la prend par les cheveux, je lui demande si elle aime ça, la mouille de ma petite chienne, elle me répond que oui, alors je la mets a genoux et la force à la lécher. Elle fait cela de bon cœur. Puis je sors ma queue repasse derrière ma chienne et lui met d’un seul coup sans prévenir, elle mort son bâillon pour ne pas crier. Je continue, sentant de temps en temps la langue de mon assistante déraper sur mon sexe pendant quelle lèche le clito de ma chienne. Puis d’un coup je sors sans prévenir , la laissant la, relâchant ses membres de la tension accumulé par ma pénétration et ordonne d’arrêter à mon assistante. Range mon sexe et lui dit de venir tenir les jambes à ma chienne. Elle lui tient donc les jambes comme une jument que l’on va ferret afin de me présenter la plante de ses pieds. Je commence à fouetter le pied droit, puis le gauche, ma petite chienne sursaute à chaque coup. Alors que je lui donne un énième coup, le sursaut est plus fort que les autres et sa jambes échappe a la prise de mon assistante. Je la regarde sévèrement, elle se confond en excuse. Je lui explique que j’ai déjà laissé passer sa première chance et que je dois elle aussi la punir. Je lui dis de se pencher contre le poteau, relève sa jupe et lui donne une fessé avec ma main. Un coup, deux coups, trois coups, je m’arrête. Elle a oublié de me remercier pour chaque coup donné. Je le lui rappelle et pour la punir afin qu’elle n’oublie plus, je la fesse avec la cravache. Elle me remercie en criant à chaque coup. Très bien dernière avertissement lui dit-je. Je lui donne la cravache et vais m’assoir sur mon fauteuil. Maintenant je lui ordonne de la dresser et de me la préparé pour que je la baise. Elle lâche alors son courroux sur ma chienne, lui fouettant le dos, les fesses, les seins, enlevant son bâillon afin de mieux l’entendre. De là ou je suis j’apprécie le spectacle, la dirige, l’encourage, la réprimande quand elle fait une erreur. Lui ordonne de taper puis de lécher, d’alterner. Elle s’éclate et moi j’adore les voir toute les deux. Puis je me lasse et lui dit de la détacher et de la faire venir me sucer. Elle lui met sa laisse et la jette au sol, puis la fait marcher a quatre pattes vers moi, relève sa tête en tirant sur ses cheveux et force ma chienne à me regarder. Je ne dis qu’un mot. Suce. Et elle avale mon sexe goulument. Guider dans ses vas et viens par ma soumise qui commence à s’exciter frénétiquement. Dans un mouvement plus appuyé qu’auparavant, elle fait, sans le faire exprès bien sûr, que ma chienne me fait mal au sexe. Je lui dis de tout arrêter. De la lâcher. Je l’engueule et lui ordonne de se mettre elle aussi à quatre pattes et de venir lécher le cul de ma chienne pendant qu’elle me suce. La reléguant ainsi à une position plus basse que ma chienne. Elle comprend s’excuse et s’exécute. Pendant quelque minutes je profite un maximum de cette vue, mes deux soumises à quatre pattes à mes pieds, l’une bouffant le cul a l’autre, pendant qu’elle-même me lèche la queue. J’estime que la punition de ma soumise a assez duré mais je ne compte pas lui faire retrouver son statut de suite. Je lui dis de venir elle aussi me sucer à quatre pattes, elle se retrouve ainsi à la même place que ma chienne et elle se dispute joyeusement mon sexe a coup de langue. je lui explique tout cela. Elle me remercie et me promet de faire attention. Je l’autorise donc à se relever et à m’assister. Et lui ordonne de disposer de ma chienne comme elle veut mais je lui impose de me faire plaisir avec. Elle réfléchit quelques secondes puis relève gentiment ma chienne la tourne afin qu’elle me tourne le dos, prend mon sexe dans ses mains et fait s’y assoir dessus ma chienne, puis lui fait faire des vas et viens. C’est bien. Doucement d’abord puis de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je lui dis de changer, elle la tourne afin qu’elle me fasse face. Pendant qu’elle me chevauche au rythme imposé par ma soumise, je lui donne des gifles sur ses seins, sur son visages alternant avec des baisers et des coups de langues. Puis ordonne de la relever et de la mettre face a un miroirs. Elle la tire par sa laisse et la dispose ainsi cul tendu. Je viens me mettre près à la prendre juste derrière elle, puis ordonne à ma soumise de venir derrière moi, de se coller à moi, de prendre mon sexe dans sa main et de venir baiser ma chienne comme si c’était le sien. Elle donne donc des coups de reins collé à moi, et je pénètre ma chienne sous son rythme. Je regarde ma chienne dans la glace et lui ordonne de me regarder à son tour. Je la voie fermer les yeux sous certain coups, elle prend son pied. Et ainsi moi aussi. Je prends ses seins et les colles sur la glace du miroir. Le froid rajoute un petit quelque chose qui m’excite. Ma soumise aussi, elle s’enflamme et se permet des commentaires que je n’aime pas. J’arrête tout, lui dit qu’elle a était trop loin, que cette fois il faut que je la remette a sa place. Tout en disant cela je mets ma chienne à genoux et la force à me sucer pendant que je passe un savons à ma soumise qui se confond en excuse. Je la rassure, ce n’est pas grave, mais il faut que je la punisse, et durement, très durement. Elle acquiesce. Je lui dis de ce mettre nue mais de garder son porte jarretelle et ses talons. Pendant qu’elle se déshabille ma chienne me suce toujours. Je lui demande si ça lui plait elle me répond que oui et lui demande ce que je devrais faire pour punir ma soumise. Elle me répond avec un sourire que je devrais l’attacher et la fouetter et peut être si elle continue a être insolente la pénétrer de force. Du coin de l’œil j’observe ma soumise qui écoute d’une oreille distraite. Je demande à ma chienne si c’est ce qu’elle ferait, elle. Elle me répond que oui. Je lui demande alors qui lui a dit d’arrêter de me sucer. Elle reste surprise et s’excuse à son tour. Mais l’occasion est trop belle. Je la relève par les cheveux, de l’autre main attrape les cheveux de ma soumise et les mènent ainsi au centre de la pièce. Je les fais se prendre dans les bras l’un de l’autre, nue, leur peau se confondant, leurs seins s’entremêlant. Et attache leur mains en l’air ensemble. Les voilà pendu toute les deux face à l’autre. Je prends ensuite une corde et les saucissonnes ensembles, passant sur leur seins, leur hanche, leur culs, entre leur jambes, les brulant parfois en faisant passer la corde sur leur peau. Puis je les laisse ainsi pendu quelques secondes pendant que je cherche quelque chose dans mon sac. Elles ne voient pas ce que c’est. Je reviens avec une boule à attache. Je la mets dans la bouche de ma soumise et bâillonne ma chienne. Puis je tourne autour d’elle, les faisant se balancer ou tourner sur elle-même, elle galère à marcher ou tourner et cela m’excite. Je sors alors ma cravache et les fouettes tout en tournant autour d’elle, frappant sans discernement, je peux laisser ainsi ma fureur éclater, leur partie sensible de l’une sont protéger par le corps de l’autre de sorte que peut importe comment je frappe je ne tape que le dos ou les fesses de chacune. Tout en faisant cela je leur rappelle leur place, à mes pieds, à genoux, à plat ventre. Elles m’appartiennent tant qu’elles portent ses colliers. Je fais ce que je veux d’elle. Elles sont mes chiennes, mes larves, mes putes. Elles hurlent dans leur baillons à chaque coups, c’est jouissif. Puis j’en pénètre une de force, puis je sors et tape, continue puis change jusqu’à ce que j’estime que cela suffit. Elles sont la tremblante pendant que je les détache. Elle s’écroule à mes pieds et je leur ordonne de les lécher. Elle s’exécute toute en s’excusant et en me suppliant de les garder auprès de moi. Je ne sais pas pour les autres maitres mais pour moi cette instant la est le plus jouissif que je puisse connaitre. Je relève ma soumise doucement. Lui demande si elle a compris la punition. Elle acquiesce. Je me penche pour embrasser ma chienne dont le rimmel a coulé sous ses larmes de douleurs. Quel vision enchanteresse . elle tremble et n’a presque plus de force. La séance a était un peu intense et dur ce soir. Je décide de l’écourté, tant pis pour les bougies , les couteaux et les aiguilles. Ce sera pour une autre fois. Je demande à ma chienne si elle veut continuer. Elle me répond que oui. Alors je la met à quatre pattes et la pénètre doucement puis de plus en plus fort. Ordonne à ma soumise de la caressé en même temps. Elle lui touche ses seins , son dos , ses fesses , son sexe. Pendant ce temps moi, alternativement je lui griffe le dos , lui mord les épaules et lui tape les fesses Je la sens monté, elle se lâche. Je lui demande alors de me regarder et au moment où elle tourne la tête, je lui crache au visage. Elle jouit. Je la sens tremblé. Comme j’aime ça. Une fois l’orgasme passé, je sors doucement sachant que la moindre caresse lui fait du mal et du bien simultanément . Puis ordonne ma soumise de la mettre à genoux devant moi, de venir dans mon dos , de prendre mon sexe avec ses mains et de me branler sur le visage de ma chienne encore un peu dans les vappes. Ma chienne tire sa langue pour me recevoir. Je ne mets vraiment pas longtemps à venir et à voir mon sperme tout chaud se rependre sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche. J’ordonne a ma soumise de l’étaler sur ses seins avec ses doigts. Ma chienne me sourit, heureuse. Ma soumise aussi. Et moi aussi.
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Par : le 07/03/14
Un superbe week end, de belles Rencontres que cela soit Maître (sse) dominateur, trice, soumis (e) abdl De riches découvertes avec des Personnes souriantes, conviviales, charmantes, intelligentes, j'en oublie surement. Le partage des repas préparés apportés par les participants (es) j'ai aimé, en cuisine Ginou et Kio qui savent toutes deux ce qu'est l'organisation d'un tel événement, beaucoup de travail derrière ; KiO sait manier avec brio les ordres pour que tout se passe au mieux que cela soit pour ranger, desservir, apporter ainsi que sa soeur de soumission, merci à Toutes deux et à Emma pour la recette de cuisine ainsi qu'à Ginou pour une entrée chaude préparée sur place. Le débat m'a semblé long mais utile pour les participants (es) ne connaissant pas trop certains sujets. J'ai bien aimé que chaque personne se présente brièvement cela permet de savoir qui est qui. 23 Personnes présentes, une belle complicité, des connaissances avec autres Personnes, des partages, des émotions, des sensations, des initiations que cela soit : soubrette à plateau, ballbusting j'ai été impressionné par Daniel et Kanaria, Emma superbe complicité, une Maîtresse jeune par son âge, qui a la maîtrise, elle m'a époustouflé. La pratique des aiguilles avec le Dr Attila et Nurse Eva, Léa gracile soumise a expérimenté cette découverte sous le regard bienveillant de son MaîtreJDuroc, merveilleux partage que j'ai admiré. Dame Nadia accompagnée de Maud qui a été intenable, tellement électrique, sur piles dois je dire ce jour là. Merci pour vos sourires, ta gentillesse à mon égard, ton petit conseil au sujet de mains .... chut Un réel bonheur Tous deux et cela ravi mon coeur. Les cravaches musicales, bien que je ne sois pas musique en bdsm, aie ! Je vais me faire des ennemis tant pis. J'ai apprécié, je l'avoue d'admirer Nurse Eva qui a pris un réel bonheur à frapper en tempo. J'ai moi même à un court moment pris la place de Chienne 34 (qui était accompagné de son mari pour le pique nique) pour être fessée par Mr TSM en musique. sourire. Je n'allais pas faire la tête et bouder de mon coté, j'ai participé. Nous sommes là pour découvrir, pour partager. Par contre, pour les bougies et la suspension bondage kinbaku, shibari un pur moment de bonheur, la musique douce est la bienvenue, je dis à ma façon ce que j'ai vécu et mes ressentis qui ne sont pas ceux que tout le monde a vécu bien sur, chaque personne ressent les émotions différemment. Une personne m'a et me fait toujours pleuré c'est Ginou, douce soumise blonde, une belle Soumise et l'éclat de son visage, son regard sous le fouet de son Maître, elle m'émeut tout simplement, c'est de toute beauté en regardant les photos prises, que tu es belle dans ton abandon. KiO dans les cordes de toute beauté également, un réel bonheur de te voir t'envoler dans la suspension, radieuse, magnifiée si besoin était dans ces cordes de chanvre, ton regard magnifique, je suis très regard. Le canning Aie, Ginou, KiO, Daniel et ceux que j'oublie. Tenir les mains de Ginou avec Mr Mistral et que son Maître lui fasse un certain comptage plus la tva si j'ai bonne mémoire. Quelle endurance et que dire de Daniel, Soumis oh combien agréable, maso, toujours à rire, sourire, et qui reçoit beaucoup, gentil provocateur toujours en recherche de marques. Maître Pierre, son Maître est fier de lui et moi qui les ai accompagné Tous deux pour ce pique-nique, j'ai été sous le charme de ces deux Personnes et d'autres. Sourire. La cage de chasteté de Daniel et j'ai su plus tard qu'il y avait des pointes dedans aie, Ginou et KiO qui se sont amusés à lui faire des chatouilles. Aie Léa en cage, un merveilleux instant de quiétude, son Maître lui souriait, veillant sur Elle à un moment donné où KiO était allongée dessus pour un fist pratiqué par Son Maître. Puis plus tard Ginou enfermée elle aussi, une prochaine fois j'aimerai être dans la cage... Les martinets ont été à l'honneur ainsi que les fouets divers, les paddles, les cravaches certains (es) ont eu des révélations, se sont découverts des talents cachés, sourire Joffrey jeune et joli soumis abdl qui a été féminisé, maquillé, le rendu était superbe, il a joué le jeu, il s'est abandonné, a goûté au martinet, a servi de table pour qu'Emma et Kanaria puissent déjeuner, je ne suis pas branchée abdl et respecte les pratiques des uns et des autres qui font à leur guise. En ce qui me concerne les bébés et l'enfance, c'est pour moi un sujet qui me tient à coeur et vu ma sensibilité, je ne pourrais pas, bien que cela ne soit qu'un jeu, une pratique, que certains font par amour de l'autre et qui m'a beaucoup ému, j'aurais du mal, j'avoue. J'ai accompagné Sylvie pour la jouissance forcée enfin chacune à notre tour, il était tard et quelques personnes étaient présentes, Mr TSM a changé les serviettes, le vibro recouvert d'un préservatif, je suis axée sur l'hygiène qui doit être en toute circonstance. Je suis pudique et me montrer nue sexe et clitoris offert, allongée, sanglée pieds, cuisses et les mains, mon bandeau noir cachant mes yeux bleus, ainsi je n'ai pas vu les regards et ai pu me concentrer et entrer dans ma bulle comme j'aime. J'ai mentalement offert ma jouissance à Mon Maître et j'avais demandé à Maître Pierre si je pouvais lui tenir la main pendant ce temps, il a acquiescé. Toutes deux avons découvert l'électro avec Maître Pierre bien que la musique un peu forte à un moment donné pour moi m'a déconcentré, mais dehors autre pratique faites en musique, une autre fois au calme je découvrirais à nouveau l'électro. Le water-bondage que j'ai voulu découvrir étant de nature curieuse, impression bizarre, sensation diverses, la peur, la panique un court instant, le coeur qui cogne, les pieds que je remuais et Mr TSM qui ne me fait pas remonter la tête tout de suite, le mental qui est là, les bulles qui se forment à coté de ma bouche, Daniel qui a pris les photos pour que mon Maître voit mes initiations. SM 30 et son regard coquin, ses mains agiles. Aie Libellule au fouet ravissante brune Merci à Mr TSM et ses deux adorables soumises pour ce pique-nique riche en découvertes, à ces deux dernières pour toutes la préparation que l'on a pas vu derrière et que l'on a bien apprécié, gentillesse, moments de partage, mots réconfortants, petits conseils, et le massage que m'a prodigué KiO à un moment donné. Merci à tous les participants (es) et si j'ai oublié quelqu'un (e), je vous présente mes excuses. Je voudrais associer Ludic avec qui je converse depuis 2 ans passés ici, qui m'a fait découvrir l'autre site, grâce à lui, j'ai pu faire de belles Rencontres des rares personnes m'ont marqué à leur façon marques visibles ou invisibles que je garde dans l'écrin de mon coeur. Merci à Mon Maître aimé pour m'avoir permis d'aller à ce pique-nique, de découvrir beaucoup avec la confiance et le respect de Maître Pierre. PS : J'avais demandé l'accord des participants (e) à la fin du week end pour écrire ce récit plus tard. le 27 07 2013
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Par : le 26/02/14
Hommage Esclavage Usage Réglage Engage Usage X Age Nouage Nourrissage Image Visage Envisage Rouage Sage Apprentissage Imagée Ravivage Encourage Le 25 juin 2013
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Par : le 20/02/14
Elle vient d’arriver, ma soumise du jour. Elle fait partie de mon petit groupe de soumise qui vienne de temps en temps jouer avec moi et ma compagne. Elle est là, en attente de savoir ce que je vais lui infliger ce soir. Je le lis dans son regard entre deux coup d’œil furtif qu’elle m’envoie pendant que ma compagne et elle discute, le temps de préparer mon matériel. Ce soir ses séances extérieur. Pour une fois je vais faire plaisir à ma soumise du jour. J’en ai parlé avec ma chienne, ma femme, ma soumise, ma compagne et elle est d’accord pour qu’en récompense de tous nos jeux avec cette soumise particulière, je m’occupe d’elle et lui fasse plaisir. Ainsi cette séance n’est que pour elle, ma compagne ne vient pas. Elle n’a pas envie de subir de domination aujourd’hui et moi j’ai envie de violence et de domination alors nous avons pensé à elle. Je suis prêt, elles se disent au revoir, j’embrasse ma compagne, ma soumise, mon aimée, ma chienne, mon esclave, mon amour. Elle me souhaite une bonne soirée et me regarde partir sur le pas de la porte. Nous montons en voiture. Elle est toute tremblante, d’excitation me dit-elle car elle ne sait rien de la séance qui va suivre. Je préfère lui garder la surprise. Avant toute «prise en main» de «soumise d’un soir» ou de «switch» qui partage nos jeux, je souhaite toujours d’abords une rencontre pour faire connaissance et savoir ce qu’il lui plait et ne plait pas, comme tout maitre qui se respecte je pense. Et donc je sais que cela va lui plaire. Je démarre la voiture et lui passe son collier de chienne lui signifiant ainsi que la séance commence maintenant. Ainsi elle sait qu’elle n’est plus rien à partir de maintenant. Elle est moins que rien, une larve, un objet, une chose. Nous partons donc en pleine nuit pour un lieu qui lui est inconnue. Alors que nous roulons je lui ordonne d’enlever sa culote, le seul sous-vêtement, avec ses bas que je l’ai laissé mettre. Elle s’empresse de m’obéir, puis je lui dis de remonter sa jupe afin que de l’extérieur on puisse furtivement la voir si un camion, un bus ou un automobiliste avec une voiture légèrement surélevé venait se mettre à côté de nous. Il est tard mais la circulation est bien présente. Je garde le silence pour maintenir une pression psychologique. Nous roulons ainsi un petit moment, cela l’excite. Je l’entends à sa respiration et à ses coups d’œil furtif à chaque feu rouge ou des voitures s’arrête près de nous. Mais personne ne remarque rien. Je décide au prochain feu de m’arrêter au niveau d’un camion. Je regarde le conducteur et ordonne à ma chienne de faire de même, au bout de quelque seconde il tourne la tête vers elle, je vois ses yeux s’ouvrirent en grand devant ce spectacle inattendu. Le laisse profité de cette vision fugitive quelques secondes. Ma soumise est gênée mais je sais que cela l’excite. Alors je lui ordonne de mettre ses seins sur la vitre gelé, et vite le feu va passer au vert! Elle s’exécute, le chauffeur se remet de sa surprise et veut dire quelque chose mais le feu passe au vert et je démarre. Je souri car nous sommes déjà loin avant que lui ne démarre, il aura surement envi de nous rattraper mais nous serrons déjà loin. Mon esclave a toujours les seins contre la vitre froide, en bonne petite chose elle attend que je lui donne la permission de les retirées. C’est bien, un bon point pour elle .je lui donne. Et met ma main entre ses jambes pour savoir si ça lui a plu. Juste une caresse car nos séances ne comportent pas d’actes sexuels. Ses derniers sont réservé à mon Unique, ma Soumise, ma Chienne, ma Femme, mon Amour et à mes soumises mais seulement quand ma Chienne est présente. Une des règles que je me suis fixé et que les gens qui ne connaissent pas notre monde ne comprenne pas. Ils leurs est souvent difficile de comprendre que je peux avoir des rapports avec d’autres femmes et être fidèle à la mienne. Mais c’est un autre sujet, un autre débat. Ma caresse donc m’apprend que cela lui a plu, j’en ressors ma main trempé. Quelque minute plus tard nous arrivons au lieu de notre séance. Un immeuble décrépi à l’abandon. Elle semble troublée. J’aime cela. Nous passons les portes éventrées du bâtiment, des chaises cassées et des débris de meubles jonchent le sol. Ma soumise en talons galère pour rentrer. Une fois arrivé dans le hall, je l’arrête lui ordonne de me tendre ses mains que j’attache avec une corde. Lui enchaine les pieds ensemble mais assez lâchement pour quelle puisse marcher avec cette gêne. Puis la bâillonne avec un foulard et lui met sa laisse. Je la tire par la laisse sans un bruit la forçant à me suivre dans les ombres du couloir. Il fait nuit nous n’y voyons pas très bien, je nous éclaire avec une lampe. Le couloir est plongé dans le noir, des débris nous gênant dans notre progression, je prends la main à ma soumise pour l’aider à avancer. Certaine porte ouverte éclaire quelque peu le couloir d’une lueur bleuté dû aux rayons de la pleine lune à l’extérieur, révélant des pièces vides lorsque nous passons à leur hauteur. Je sens le pouls de ma soumise accéléré alors que nous nous rapprochons du bout du couloir. J’ouvre la porte et là, elle découvre une salle immense baignée et éclairée par la pleine lune et les lumières extérieures de la ville. J’éteins ma lampe car tout le tour de la pièce est composé de fenêtre qui donne un éclairement naturel maximum à la pièce et le mur ou se tiens la porte est recouvert de miroirs augmentant l’effet de grandeur et la luminosité ambiante. Je tire ma soumise par la laisse et la conduit au milieu de cette immense pièce vide supporter par deux poteaux centraux. Elle est impressionnée, la lumière blafarde, le lieu, ses extrapolations sur son supplice physique et le sentiment d’interdit apportant énormément a l’ambiance et à sa domination cérébrale. Et aussi à son excitation. Je la mets face aux miroirs entre les poteaux, lui détache les mains, pour mieux les lui attacher aux cordes qui pendent des poteaux. Des cordes que j’ai installées et vérifiées moi-même quelque temps auparavant. Ainsi que ses attaches sur le mur, et tout l’immeuble. L’acoustique, la lumière, la visibilité tous ses paramètres ont été pris en compte avant cette séance. Car pour moi un Maitre digne de ce terme se doit d’assuré la sécurité et l’intégrité de sa soumise. Et puis j’aime contrôler, dominer, ma soumise comme mon environnement. Même dans une séance improvisée, dans un lieu non connue, le BDSM ne permet pas de faire les choses à la légère, sinon l’accident est vite arrivé et dans nos jeux cela peut avoir des conséquences graves. Et elle le sait, comme toutes mes soumises occasionnelle ou habituelle, avec qui j’en discute longuement avant. Et puis ce n’est pas nôtre première séance ensemble. J’aime à croire que c’est pour cela, et pour mes séances plaisante bien sûr, qu’elles reviennent .mais surtout parce qu’elles savent qu’elles peuvent totalement s’abandonnée, être mes objets, se donner à moi en toute sécurité. Ne plus réfléchir et ne plus s’inquiété de rien, juste la douleur et le plaisir, s’abandonner et obéir car je m’occupe de tout… La voilà donc les bras écarté, attachée aux poteaux, bâillonnée dans une pièce sombre faiblement éclairée. Sa faiblesse et sa fragilité reflétée par les miroirs lui renvoyant son incapacité a contrôlé quoi que ce soit. Elle n’a prise sur rien, je contrôle tout, son image avec les miroirs et les fenêtres, ses sons avec le baillons, son corps. Elle m’appartient totalement. Ses yeux suivent mes mouvements dans la glace. Je prends dans mon sac un drap blanc, propre que je pose derrière elle a même la moquette qui recouvre le sol. Et je commence à déballer mes instruments, doucement, pour qu’elle puisse les voir et laisser son imagination s’emballer. Je prends quelque attache que je lui mets aux pieds puis attache ses pieds aux poteaux, elle est ainsi en position de croix de saint Andrée. Je tourne autour d’elle d’un air satisfait tout en lui susurrant alternativement des mots doux et des insultes. Puis je me penche pour ramasser quelque chose sur le drap, doucement, son coup se tend pour essayer d’apercevoir ce que cela est. Je me relève le lui montrant, c’est un couteau, tout en courbe et en lame, je l’aime beaucoup, il est d’inspiration fantaisie avec des runes gravée sur la lame. Elle tremble un peu. Un frisson la traversant au moment de cette vision. Je m’approche d’elle doucement, fait glisser le plat de la lame le long de sa joue, la regardant dans les yeux, descendant vers son coup, puis caressant avec ses seins. Arriver en bas de sa chemise je fais sauter un a un tous les boutons, lentement mais d’un coup sec. Elle sursaute à chaque coup. Puis lui écarte sa chemise révélant son ventre nu et ses seins. Je passe derrière elle, ramasse le martinet et la fouette dans le dos à travers sa chemise quelques coups sec et rapide, elle ne s’y attendait pas et sursaute. Puis la caresse sur ses blessures tout en jetant le martinet au sol. Je commence à lui retiré violement sa chemise, tirant et découpant au couteau la réduisant en lambeaux. Elle en tremble, mord dans son bâillon, ferme les yeux et lâche de petits cris étouffés à chaque coup de couteau ou mouvement sec. Bien sur ce sont des vêtements qu’elle a choisis exprès pour cette séance et dont elle savait d’avance qu’ils seraient coupés et déchiré toujours avec son accord. Je m’attaque à sa jupe et lui réserve le même sort. Elle se retrouve nue, attaché en bas sexy. Je lui murmure à l’oreille que maintenant qu’elle est préparé je vais pouvoir m’occupé d’elle. Puis je pars, sans me retourné, sous son regard, dans le couloir plongé dans le noir, ou je disparais. Elle n’entend que mes bruits de pas qui s’éloigne. Je n’ai rien à y faire mais la laisser là, nue, attaché, ou elle ne peut rien faire, ni bougé, ni couvrir son corps nue et moi partant sans prévenir, à la vue du premier passant venue, ne sachant si je vais revenir ou pas est excitant, pour moi comme pour elle. Cela ajoute à sa pression et sa domination cérébrale et aussi sur son excitation. J’attends quelques minutes puis reviens doucement à pas bruyant, pour que son excitation et son imagination s’emballe. Me voyant émergé de l’ombre elle lâche un soupir rassuré. Sans le vouloir, tout le temps de mon approche elle a retenu sa respiration et c’est tétanisé de peur. Maintenant elle relâche la pression et ses muscles, tremblant de soulagement. Je lui met sans prévenir une gifle au visage, elle se tend et étouffe un cri. Puis je lui en mets une autre plus forte. Puis une sur ses seins, une sur ses fesses, je tourne autour d’elle. Lui assenant des gifles alternativement sur ses endroits mais aussi sur son sexe, sur ses cuisses. Je finis par une forte gifle sur sa joue et la caresse de suite après. Passe derrière elle et lui enlève son bâillon. A peine enlevé elle me remercie comme il se doit. C’est bien, c’est une bonne petite soumise, je n’en attendais pas moins d’elle. Elle est un de mes objets préféré et elle le sait, c’est aussi pourquoi je lui offre cette séances que pour elle. Je prends ma badine en bambou et lui fouette le dos, un coup, puis un autre, bien espacé. Elle se tend sous le coup se mettant instinctivement sur la pointe des pieds pour accompagner les coups, mordant ses lèvres pour ne pas crier. Je lui dis qu’ici personne ne peut l’entendre et qu’elle a tout le loisir de crier si elle en a envie. Ce dont elle ne se prive pas. Je zèbre son dos blanc de rouge résultant de mes coups de badine. Au bout d’un moment j’arrête et la prend par les épaules et la repose sur ses pieds délicatement lui signifiant ainsi que c’est fini. Elle se détend et retrouve son souffle. Je passe alors un doit langoureux sur ses zébrures, lui demandant dans un murmure si elle est prête pour la suite. Elle me répond dans un souffle que oui. Je donne donc un peu de mou a ses cordes de bras, passe une main entre ses jambes sous ses fesses et lui saisit le sexe pour la pencher en avant, de cette façon elle se retrouve cambré en arrière ses bras tirants sur les cordes. Dans cette position Je me mets a fouetté ses fesses, elle crie et me remercie à chaque coup. Au bout d’un moment je reçois un message sur mon téléphone portable. J’arrête ce que je fais, elle reprend son souffle pendant que je le lis. Bien! Ma surprise est arrivée. Je lui dis que je vais revenir et disparait à nouveau dans le couloir. Au bout de quelques minutes je reviens, elle me voit pénétrer dans la pièce puis écarquille les yeux bien grands parce que je ne reviens pas seul. Je suis accompagné de trois hommes, ils sont nue, deux porte une cagoule et le troisième un loup. Les deux cagoulé portent une chaise. Je la regarde avec un sourire en coin, je la voie se tortiller, elle ne s’attendait pas à être vue par d’autre homme ce soir. Les trois hommes posent la chaise et je m’assois dessus. Ils viennent m’entouré dans le silence le plus complet. Elle ne dit rien. Je ne dis rien. Personne ne bouge. Je me délecte de sa peur et de sa gêne causé par le silence. Puis je fais signe à l’homme à ma droite d’aller se placé derrière elle. Et au deux autre de se mettre à ses flancs. Là je lui explique que comme elle a été une bonne petite chienne, une bonne petite soumise, un objet qui ma fidèlement servie lors de nos différentes séances à ma femme et moi, ou elle n’était qu’un objet n’ayant droit qu’au plaisir d’être utilisé, de me servir et se voir refuser bien des fois la jouissance. Aujourd’hui je vais la récompenser et l’offrir à ses trois hommes. Je lui explique qu’ils vont la «violer» avec mon accord et comme je le veux puisqu’elle est mon objets, qu’ils vont la salir, la briser. Je vois dans son tremblement que cela l’excite. Je sais bien que cela l’excite, c’est un des fantasmes qu’elle a, et je me suis permis ce scenario parce que je sais qu’elle le veut et que l’on en a discuté souvent. En effets avant chaque séances avec mes soumises, d’un soir ou non , je discute longuement de ce qu’elle aime , ce qu’elle ne veulent pas faire , leur limites , les fantasmes , les surprises que je peux leur faire ou pas. Et celle-ci fait partie des siennes. C’est ça première fois avec moi en tant que maitre et je peux lire par son tortillement que cela lui plait. Bien sûr elle peut tout arrêter quand elle en a envie, elle le sait il lui suffit de donner le «safe code » et tout s’arrête instantanément. C’est aussi pour cela que j’aime le BDSM, dans ce monde un «safe code» est beaucoup plus parlant qu’un non dans la vie de tous les jours. Et je mets un point d’honneur a bien le faire comprendre à mes soumises. Bref je dis à l’homme de derrière de saisir le martinet et de commencer à la fouetter gentiment sur le dos et les fesses. Pendant ce temps j’autorise les deux sur ses flancs à la caresser et à la lécher ou ils en ont envie. Leur main parcourt son corps, ses seins, son entrejambes dégoulinante, ses cuisses pendant qu’elle subit le martinet. Elle se laisse aller à lâcher des petit bruits de plaisir. Puis j’ordonne à un des deux de la doigter. Il s’exécute. Elle souffle quelque râle alors que les premier vas et viens se font et ferme les yeux. Je lui ordonne de les ouvrir et de se regarder dans la glace. De mon fauteuil je lui parle, l’insultant et la complimentant tour à tour. Elle commence à se lâcher au plaisir, c’est ce moment-là que je choisie de tout arrêter. Pour la frustrer et lui rappeler qui est le maitre. C’est moi qui décide de son plaisir. Je me lève d’un coup, passe près d’elle, et la caresse au passage. Elle ne cesse de me remercier. J’aime ça. Ça me fait plaisir de lui faire plaisir. Elle s’est bien occupée du mien et de celui de ma chienne assez souvent. Puis j’ordonne à celui qui est derrière elle de la prendre en levrette. Il met un préservatif et la prend violement de plusieurs grand coup sans prévenir, excité comme il est. Elle crie, je dis à ce dernier d’y allez doucement pour commencer. Il s’exécute et y vas plus doucement, puis en retournant à ma chaise j’ordonne aux deux autres de continuer ce qu’ils faisaient mais je leur dit de rajouter quelques gifles sur ses seins. Au bout d’un moment je dis à celui qui est à l’arrière d’accélérer et d’y allez plus fort. Il s’exécute dans un râle, elle cris et prend son pied. Apres plusieurs coups le troisième homme jouit et se retire, donnant un répit à ma soumise mais qui est de courte durée car j’ordonne au deuxième de le remplacer. Il met un préservatif et le manège recommence. Cela dure plusieurs minutes et à chaque fois que je vois qu’elle se lâche, qu’elle va prendre son pied ou qu’elle prend l’initiative je leur ordonne de s’arrêter, la frustrant ainsi dans son plaisir et gardant la main mise dessus. Au bout d’un moment je me lève, détache ses mains pendant qu’elle se fait prendre, pour ne pas tomber en avant sous les coups, elle pose ses main libres sur les épaules des deux a ses flanc, se met sur la pointe des pieds pour atténuer la douleur des coups et se penche en avant pour profiter pleinement. Je la laisse profiter quelques secondes jusqu’à ce que le deuxième homme jouisse. Celui qui reste me regarde et je lui fais un signe de la tête lui donnant l’autorisation de la prendre à son tour. Préservatif et c’est reparti. Sauf que je dis à ma soumise de sucer le premier qu’il l’a prise en même temps (avec un autre préservatif neuf bien sûr). Elle s’exécute avec joie. Je profite de la vue quelque minute jusqu’à ce que le troisième jouisse en elle. Je leur ordonne de la laisser maintenant qu’il on jouit tous les trois. Puis leurs ordonne de nous laisser. Il reparte sous son regard dans les ombres du couloir. Elle est là au sol, pauvre petite chose épuisé, recroquevillé, reprenant son souffle la tête vers le sol. Je m’agenouille près d’elle, lui prend la tête pars le menton et la force doucement, tendrement à me regarder. Elle me sourit, je lui demande si ça va, elle me répond que oui. Je lui demande si on passe à la suite, un air étonné se dessine sur son visage, puis un sourire et un oui donné dans un souffle. Alors je la prends par les cheveux et la tire vers le drap par terre. Je la mets à genoux et l’attache avec une corde, cela prend un petit peu de temps mais c’est aussi ça qu’elle aime. Je l’attache face contre le sol, ses mains attaché entre ses jambes relier a ses cuisses qui sont attacher avec ses mollets, ce qui la met en position fesses offertes. C’est une position de shibari que j’adore. Je la re-bâillonne et la laisse la dans cette position pour rejoindre les autres hommes dans une pièce plus loin dans le couloir. Ils sont la discutant et rigolant, parlant de cette expérience. Leur affaire sont mis en vrac dans des sacs au coin de la pièce. Il m’accueille en rigolant, en me remerciant. Je leur souris et leur dit de parler moins fort parce qu’elle pourrait nous entendre et je ne souhaite pas briser l’ambiance que j’ai instauré. Je leur dit qu’ils ont été très bien. On en a discuté longtemps avant, ils ne se connaissent pas et c’est mieux ainsi .Mais moi je les ai rencontré un par un avant en préparation de cette soirée. Recruter serait plus exacte car je leur ai bien expliqué qu’ils ne sont que des objets pour faire plaisir à ma soumise, qu’ils doivent m’obéir en tout, à tout moment même en plein cœur de l’action et surtout garder le silence, pas un mot. C’était les conditions absolues pour participer à ce moment de domination. Ils m’écoutent quand je leur explique la suite, leur demande si il cela leur a plus et si ils veulent continuer, tous sourient et me dise que oui. Bien. Je leur dit de patienter un peu et que je vais revenir les chercher. Je retourne donc dans la salle ou ma soumise m’attend le cul a l’air, offerte et bâillonner. Je prends ma badine, lui tourne autours et lui fouette les fesses, puis un peu ses dessous de pieds, je prends mon temps, me fait plaisir. Elle suit mes mouvements des yeux, se tend avant chaque coup et se relâche après, mord dans son baillons ou crie à travers selon la douleur. Puis subitement j’arrête. Je prends mon couteau et lui fait de petit trou dans ses bas, je lis dans ses yeux qu’elle se demande ce que je fais. Puis je sors une bougie et un briquet de mon sac. Elle comprend. La douleur reprend à chaque goutte et le plaisir avec, le sien mais aussi le mien, je verse la cire doucement sur ses cuisses par les petits trous, sur ses fesses, son dos. Puis me met dans son champ de vision et souffle la bougie. On s’arrête là pour ça, comprend-t-elle. Je lui enlève son bâillon, lui demande si ça va et si on continue. Elle me remercie et me supplie de continuer. Je pars sans prévenir dans le couloir et reviens avec mes trois hommes-objets. Je m’approche d’elle, m’agenouille et me penche pour lui susurré ce qu’il va suivre. Elle a un peu peur mais elle acquiesce. Je dis à un des hommes cagoulé de sortir un gel du sac pendant que les autres caressent son corps attaché et offert. Puis dit à l’intéressé de mettre du gel et de préparé doucement le cul de ma soumise à la sodomie. Il s’exécute doucement, elle se tend mais aime ça. Au bout d’un moment d’un signe de tête, j’autorise l’homme a la sodomisé, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Pendant quelques minutes seul les cris de ma soumise résonnent dans la pièce. Puis alors que l’actif joui je coupe les liens de ma soumise, la libérant de tous et je vais m’assoir sur ma chaise. Tous s’arrête et se tourne vers moi, attendant mes ordres pour la suite. Comme j’aime ce moment. Je regarde ma soumise droit dans les yeux et lui dit que malgré que ses entraves physique soit enlevé elle m’appartient toujours et que je vais l’offrir encore à ses hommes dans un «viol collectif». Comme le mérite la larve et l’objet qu’elle est. Depuis ma chaise bien calé, j’ordonne à un des hommes de s’allonger au sol, puis à ma soumise de venir s’empaler face contre lui et de me regarder pendant qu’elle prend son pied, ce qu’elle fait. Après quelques coups, j’ordonne au deuxième de venir la sodomiser en même temps. Elle hurle et moi j’aime ça. Puis à celui qui l’avait sodomisé en premier et qui a déjà joui de mettre son sexe dans sa bouche pour la faire taire. Tous la baise. Elle est là, se faisant prendre par trois hommes masqués, trois anonyme qui ravage son corps pour mon plaisir, pour son plaisir. Offerte par son maitre. je leur fait changer de position, inversant leur rôles puis la mettant face à celui qui la monte ou encore la faisant s’assoir sur celui au sol, le chevauchant pendant qu’elle suce les deux autres. Au final je la fait s’allonger a même le sol, la bâillonne, et ordonne aux trois hommes de retiré leur préservatif et de lui jouir sur le visage ou les seins pendant qu’elle se touche. Ils jouissent presque en même temps, et au moment où elle est recouverte de sperme elle-même joui, c’est l’explosion pour elle, je la voie se tortiller de plaisir et étaler les spermes sur ses seins les yeux fermé. D’un geste silencieux j’oblige les hommes à partir dans le couloir. Me laissant seul avec elle, les yeux fermé, ce badigeonnant de sperme. Elle ouvre les yeux et me regarde un sourire apparait derrière son bâillon. Je la détache, et lui dit que cette fois c’est fini. Elle me sourit et me remercie pour cette séance. Elle est extenué, je lui tends une serviette pour qu’elle se nettoie, mais elle me dit préféré laisser sécher le sperme sur elle. Alors je la laisse tranquille et lui dit de prendre tout le temps qu’il lui faut et après s’être habiller qu’elle me rejoigne en bas devant la porte de l’immeuble. Pendant ce temps je range mon matériel, remet tout en place dans mon sac et rejoint mes hommes-objets dans l’autre pièce. Lorsque j’arrive ils sont en train de se rhabiller et sont content de la séance, ils me disent que si j’ai encore besoin d’eux que je n’hésite pas, et qu’ils ont vraiment apprécié. Moi aussi je les remercie, leur dit que je n’hésiterai pas et une fois tous habillé leur dit de filer avant que ma soumise ne revienne, car cela aussi fait partie du contrat, pas de contacte en dehors de ce qu’ils leurs étaient demandé avec ma soumise. Ils s’exécutent et je leur dit que moi aussi je suis content de la séance et que peut-être je les recontacterai pour faire presque la même chose avec une autres de mes soumises bien fidèle que j’aimerai récompenser. Une autre fois, je vais y réfléchir. Ce que je fais alors que je suis seul attendant ma soumise en bas de l’immeuble. Pourquoi pas, il y’en a une ou deux qui méritent vraiment d’être remercié pour tout le plaisir qu’elle nous on aider à avoir lors de séance avec ma petite chienne. A ce moment-là ma soumise arrive, un sourire aux lèvres. Me fait un bisou sur la joue et me dit encore merci pour ce soir. Je suis content, cela me fait plaisir qu’elle ait apprécié la séance. Sur le chemin du retour elle s’endort d’épuisement dans la voiture. Je la réveille arriver chez moi, elle monte encore endormie les escaliers jusqu’à mon appartement ou ma femme nous attend. Récupère ses affaires encore endormie et s’apprête à rentrer chez elle. Ma femme et moi, inquiet de la voir prendre la route dans cet état lui proposons de rester dormir dans la chambre d’amis. Elle refuse car demain elle a des choses à faire, nous remercie et nous promet d’être prudente. Puis nous embrasse et prend congés de nous. Nous lui disons au revoir à regret. Mais d’un côté je suis content qu’elle soit partie parce que cette séance ma donnée très envie et j’ai bien envie d’une séance privé avec ma femme. Elle le lis dans mon regard et mon attitude puis me dit d’un air faussement saoulé partant vers la chambre, «ca va j’ai compris je vais ramasser c’est ça?» Je sourie sur place et me dit que c’est pour ça que je l’aime. Puis un petit «tu viens?»Susurré depuis la chambre met fin à mes pensées. Je m’exécute …
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Par : le 20/02/14
J'entre tranquillement chez lui Tout n'est qu'absence dans son palais Aucun meuble, aucun bruit Enfreindre sa solitude me plait ! Son souffle est imperceptible Sa voix, une inconnue Mais son étreinte est terrible Sa puissance me laisse à nu ! Je lui livre toutes mes confidences Dans son miroir, où je me reflète Je m'abandonne à lui par d'agréables souffrances Mon âme en est folle, il me tourne la tête Sa froideur, sa chaleur m'enlacent Son parfum si pâle me grise tant Je me perds dans ses appartements immenses J'aime ! Chez lui le temps n'existe pas ! Nos secrets et nos délices Sont aux regards d'autrui ! Interdits ! Amour si intense Il m'appartient ... Le silence
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Par : le 13/02/14
Je te donnerais mon plaisirTa robe sera mon désir Ta crinière sera mon plaisirTes charmes marqués de désirsAux pointes balancées de plaisirD’un baiser tout ton corps apaiséPlaisir des sens, plaisir d’offrirJe taillerais ta peau à en souffrirA genoux donnes moi ton désirTu seras mon plaisir, mon désir
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Par : le 13/02/14
Il y a quelques mois, je me suis inscrite sur ce site à la demande de mon Dominant avec un but à la fois aussi simple que difficile à atteindre, celle décrite dans mon profil. Je cherchais la perle rare, la personne avec qui j'aurais envie de faire de ce moment une expérience enrichissante, la personne qui peut-être à défaut de comprendre, tout du moins accepterait les conditions, respecterait ses engagements écrits quand nous ne serions que tous les deux. La personne en qui j'aurais assez confiance pour être l'espace de quelques heures sa soumise par extension. J'ai fini par trouver cette personne. J'ai partagé avec elle un moment qui fut pour moi unique et dont je n'ai pas encore tiré tous les enseignements, il faut laisser décanter ce genre d'émotions. Mais par la présente, nous, mon Dominant et moi, la remercions. Discrètement car elle se reconnaitra Publiquement c'est avant tout les personnes comme elle qui méritent d'être mises en avant. Alors, tout simplement Merci.
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Par : le 13/02/14
Jamais je n'aurais pensé que ce sois possible.. Galère après galère je me suis faite une raison.., j'attendrai une prochaine vie pour trouver mon équilibre et LA personne qui saura m'apporter ce que je cherche.. Et pourtant Voilà bientôt 1 an que je suis.. -Entre vos mains mon Maître. -Entre tes bras mon homme. MERCI pour.. -Votre patience mon Maître. -Ton écoute mon homme. -Votre expérience qui me guide. -Tes projets qui me font avancer. -M'avoir réconcilié avec ma sexualité et mes envies mon Maître. -M'avoir réconcilié avec la vie à deux mon homme. -Votre attention à mes besoins mon Maître. -Ton amour mon homme. Je ne pensais pas pouvoir concilier les deux mondes et pourtant ils ne vont pas l'un sans l'autre, nous jonglons entre les deux et je m'épanouie, je vis ma vie de femme et ma vie de chienne, je me sens bien, libre et heureuse.. Merci mon Maître, merci mon amour...... _
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Par : le 13/02/14
Bon...ça rigole plus; -j'aime l'humour. Autant d'esprit que burlesque. -J'aime la musique. Toutes les musiques si c'est joué avec tripe. -Je suis abscons des fois dans ce que je veux exprimer. -Je suis rapide, peut-être trop des fois, à percevoir une personne. -Je me moque beaucoup de moi-même. -J'adore une bonne pizza et les pâtes. -Je m'interesse à l'Autre, à ce qu'il ressent. -J'aime mettre en liens des évènements, des idées, les gens. -Il y a beaucoup de gratitude en moi. -J'ai horreur de la vénalité, c'est à dire, le mélange de l'argent avec l'irrespect. -Je suis mystique, sans excès. -J'aime les films, j'en ai besoin, et pas les series (evidement il y a toujours une exception). -Je suis ému par la beauté. Ça peut être une nuque, une cheville ou un arbre. Ou une Jaguar XJK. -J'aime la lumière et cet air magique à respirer en Corse. -Je suis orgueilleux (mais je me soigne). -Je n'aime pas voyager désormais mais j'aime voir mes amis là ou ils vivent donc je voyage. -Je n'aime pas le tourisme. -Je crois en l'éducation et en la patience pour ce faire. -J'aime le sport (pas bizness). Bien que je ne pratique plus, je fais en sorte dans chacuns de mes gestes de sentir la fluidité, le bon mouvement. L'économie et une efficacité. -J'ai une grande attirance pour la médecine. Toutes les médecines. -Je ne fais pas de hyérarchie entre ce qui compose...heu...l'univers, tout ça. -Je ne crois pas plus en dieu que lui croie en moi ce qui nous fait un point commun. -J'aimerais contribuer à un bien être envers une personne, plusieurs, l'humanité. -Je ne comprends pas comment fonctionne ma mémoire. -Un jour j'ai compris qu'un mensonge en disait plus que nombre de plates vérités. -J'adore P. Desproges et me demande comment sa fulgurance et son irrévérence pourraient s'exprimer aujourd'hui. -J'ai une sainte horreur des journalistes qui ne disent rien et sollicitent sans cesse et en vain leurs interlocuteurs. -J'aime le cul. -Je ne suis pas un queutard. -Je suis romantique et Rome Antique. -Je suis succeptible mais arrive à en rire peu après. -Je ne peux me sentir impuissant face à une douleur. Et des fois je l'ai été. -J'ai horreur de la grandiloquence et de la flagornerie. -Je trouve que le mot mur sur les réseaux sociaux est bien trouvé tant ce que je peux lire sur ces dit-murs ressemble pour moi à des traces d'urines que des incontinants de l'érotisme ne peuvent s'empêcher de laisser. -J'aimerais être femme, ressentir ce qu'elle ressent. -Je suis triste de constater que j'effrais une femme la nuit ou dans une situation anodine. C'est malheureusement une réalité. -Je suis d'une grande pudeur. -Je parle aux enfants d'égal à égal et me ravie de vivre ce que ça produit. -Je cherche une économie pour vivre plus intelligement. -La cigarette électronique représente pour moi un des passages vers une nouvelle époque. Done!...
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Par : le 13/02/14
Amour quand tu nous tiens Par ta force démente D'un jour ou pour toujours Nous attache de liens Pense Pense et puis oublie Ce qui te mets en transe Un combat destructeur Qui a atteint ton coeur Réfléchis Cette force qui émane De cet univers pervers Ne t'apporte que blâme Tu as besoin de prendre l'air Réagis Fuis cette façon d'aimer Avance vers d'autres contrées Oublie ce goût amer D'un amour devenu pervers Fuis Avance vers d'autres horizons Où tu seras respecter Essaye de mettre de coté Les blessures du passé Libérée Le 30 mai 2013 (Tourner la page n'est pas facile Il faut le vouloir, le pouvoir) Récit écrit pour deux soumises. En ce qui me concerne tout va très bien avec Mon Maître, je suis chanceuse .
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Par : le 13/02/14
A la croisée de nos chemins, une belle rencontre qui dure depuis trois ans. Que celle-ci perdure dans le temps, et bien au-delà... Bien que je sache depuis l'année dernière qu'elle se terminera en mars 2014. Nous n'en sommes pas encore là, alors savourons ces instants présents. J'ai accepté d'être votre soumise en toute connaissance de cause. Pour fêter cet anniversaire, un séjour de deux jours était prévu depuis x mois. Un imprévu pour Vous a fait qu'un jour et une nuit étaient de Votre présence. J'ai donc pris le train seule, Vous aviez réservé pour moi une chambre d'hôtel. Comme la fois précédente, un rappel, tout près du Moulin rouge. Arrivée en début d'après midi, j'ai déposé ma valise. Je repars aussitôt pour rendre visite à une amie dans 78. A mon retour, il est déjà 21 h passées, je suis fatiguée et me couche. Je me réveille tôt, j'ai peu dormi en fait. Je descends pour le petit déjeuner puis m'affaire. Vous arriverez vers 13 h et quelque, il faut que je sois en forme. Je me prépare tranquillement. Heureusement que je suis partie avec mon manteau en ce début de saison. Sur Paris, il fait froid ce jeudi, tout le monde est vêtu chaudement. Je décide d'aller faire quelques pas en Vous attendant. L'heure approche et je patiente à la sortie du métro. Je n'ai pas écouté Votre conseil à rester au chaud dans la chambre. Sortir un peu pour voir comment j'allais et si je tenais le coup... Vous êtes là avec ce sourire malicieux que j'aime tant. Nous nous dirigeons vers l'hôtel, Vous déposez Vos effets et nous allons déjeuner. Après le repas, nous partons en direction de la boutique Démonia bien connue. J'aime cet endroit, il y a tant de nouveautés à l'entrée et dedans. L'agencement des articles a été modifié, des vêtements vinyles et cuir à profusion La couleur noire et rouge est de rigueur de toute beauté pour femmes graciles De sublimes masques en métal dentelle, merveilleux d'originalité. Nous arrivons vers la caisse et à gauche se trouve une vitrine fermée à clef contenant divers bijoux comme rosebud, collier, bracelet, bague d'O. J'essaye les deux bracelets acier et opte pour le premier qui convient à mon poignet. Un joli présent pour cet anniversaire, nos goûts sont communs sur le choix de certains articles. Comme entre autres, cette cagoule fine laissant entrevoir mes yeux bleus et ma bouche. Vous aimez tant mon regard et n'appréciez pas que je le baisse, Vous m'en aviez fait part lors de Notre belle rencontre le 23 mars 2010. Vous pouvez y lire tant dedans et toutes mes émotions y passent... Je l'incline quand j'ai honte, quand je me sens humiliée ou qu'il le faut. Nous quittons les lieux et nous nous installons à la terrasse intérieure d'un café. Dehors les gens vont et viennent, travail, courses et autres, toujours le mouvement. A notre retour, une sieste s'impose pour moi, Vous en profitez aussi. Nous allons à Cris et Chuchotements ce soir, il faut que je sois bien, sourire. La nuit commence à tomber, Vous m'invitez dans un joli restaurant italien Les tables sont bien dressées, des petites fleurs dans leur vase ornent le centre. Face à face comme toujours, nous en profitons pour discuter en attendant les plats. Délicieux repas, belle ambiance, joli décor, il y a beaucoup de monde. L'heure de se préparer pour la sortie se profile, douche, habillage, maquillage. Je vêts mon serre taille avec les jarretelles et bas noirs que Vous m'aidez à attacher. Ma jupe en cuir, un haut noir assorti aux talons, mon collier acier, le bracelet acheté l'après-midi, et mon manteau complète ma tenue. Vous également, vêtu dans la même teinte, dans ce costume qui vous sied si bien. A pied pour nous rendre au club, il fait frais dehors. La porte s'ouvre et une sublime jeune femme au corps de liane, cheveux courts Nous annonce que nous sommes en avance et qu'elle n'a pas terminé la mise en place. Nous nous promenons dans les rues adjacentes attendant l'heure d'ouverture. De retour devant la porte, nous donnons nos manteaux et prénoms avant de descendre. Il y a rien de nouveau au club comme aménagement. Vous me dominez en m'attachant à la croix de St André, avec martinet et fouet. Vous ne voyez pas bien l'état de ma peau puisqu'il fait sombre. Puis nous nous dirigeons vers le bar pour nous désaltérer et nous dialoguons tous deux. Un couple est arrivé qui part prestement dans une pièce, un homme seul les suis à un moment donné. Une jolie domina M et son soumis H qui porte un harnais de chanvre sur son torse vont dans une autre salle, j'entends quelques coups de cravache. Nous décidons de partir quand M fait connaissance avec Vous, Elle aimerait me dominer et Vous en fait part. Vous m'attachez les mains, et sur une autre croix je suis. Elle me signifie que je n'ai pas écarté les jambes... Des fessées à mains nues, puis vient le martinet et la cravache. Elle regarde de chaque côté et caresse ma peau pour constater que cela chauffe. En même temps, Elle fait des réflexions à son soumis et j'ai envie de rire, je me contiens. Vous me fouettez et je commence à compter. Certaines marques sont là qui resteront le temps de mon séjour sur l'Essonne M Vous demande si son soumis peut lécher mes fesses pour atténuer les coups. Vous acquiescez. Il porte la barbe et cela me chatouille. Quelque dialogue échangé entre Vous par ci par là. Elle me demande de retirer le bondage de son soumis. La corde de chanvre est douce. Je tourne auprès de H pour défaire les noeuds, passant, repassant à certains endroits. La corde est très longue ; je parle un peu à H. Je n'y étais pas autorisée. Elle me reprend et continue la conversation avec Vous. J'entends un peu ce qui se dit, mais je ne dois pas prêter l'oreille ... Je fais défiler la corde, et la plie comme il faut, M est ravie et m'en fait part. Nous quittons le club et disons au revoir aux personnes présentes, M m'embrasse ainsi que H, Pascal nous raccompagne à la porte et nous nous dirigeons vers l'hôtel à pied. Un peu de marche fait du bien, nous conversons de la soirée passée. Une bonne nuit de sommeil à Vos cotés ; un copieux petit déjeuner avec la vue sur le jardin d'hiver ; il nous faut partir et chacun ira dans sa direction à un moment donné. Je suis à nouveau affaiblie, j'ai tenu le coup jusqu'à votre départ. Dans le métro, nous nous séparons, Vous rentrez chez Vous dans le Sud Je rejoins l'Essonne où mon amie m'héberge jusqu'à mon départ le 26 mars. Merci à Vous pour cet anniversaire, Vous m'avez comblé par Vos nombreuses et diverses attentions tout au long de ce court séjour, où je n'étais pas au mieux de ma forme. Le 29 avril 2013. Ajout de Mon Maître Comme toujours en pareilles circonstances, le hasard d'un profil sur un site SM, un profil qui en croise un autre, quelques messages échangés et juste l'envie de faire connaissance. Et puis la magie de la rencontre, des caractères si complémentaires, des envies partagées pour aboutir à une symbiose parfaite et une relation sincère, durable dans le respect et l'attention à l'autre. Que de bons moments passés ensemble et de belles escapades parisiennes. A toi aussi merci mon amour de soumise.
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Par : le 11/02/14
Un contre-temps, tout ne se déroule pas comme il le pensait. Leur disponibilité n'est pas au rdv ce soir.Ceci n'est pas un réel problème. Sa soumise est à demeure, Il peut se permettre d'adapter en fonction du contexte. Il est loin le temps où tout devait se jouer en une ou 2 soirées...Ainsi, elle ne mangera pas à ses pieds ce soir-là, ni ne lui fera la surprise de l'accueillir en tenue de soumise (qui l'a déjà charmé). C'est avec sa femme qu'Il partage cette première partie de soirée.L'heure avance et, enfin, ils peuvent tous les 2 profiter de leur passion.Profitant qu'elle est sous la douche, Il prépare quelques affaires, inspiré par les consignes qu'Il avait auparavant envoyé à sa soumise. Quand elle ressort, Il la fait coucher nue sur le lit.Se faufilant jusqu'à elle, Il la caresse sensuellement et, très vite, sa main vient titiller son sexe et son clitoris, déjà bien trempés.Sa réaction ne se fait pas attendre. Sa soumise est déjà en train de partir ... Sa respiration s'accélère, les gémissements sont de plus en plus forts, Il continue les caresses, les doigts passant du clitoris au vagin, aléatoirement, malicieusement, sans retenu.La caressant, Il prend la cravache qu'Il avait préparé juste avant et la première claque tombe à l'intérieur de la cuisse, puis sur l'autre. La cravache s'abat tour à tour sur ses seins, son sexe, en haut et en bas des cuisses, mélangeant la douleur et le plaisir naissant. Les claques sont de plus en plus rapides, tantôt violents, tantôt plus douces, aucun coup n'est prévisible; le corps de sa soumise reste presque impassible, en apparence, sous la cravache; seuls sa respiration et ses gémissements trahissent la montée intense de son plaisir.Il pose sa cravache entre les dents de sa soumise pour avoir les mains libres. Soudain, Il la voit se redresser, enlever la cravache saisir Son sexe et le mettre en bouche aussitôt. Trop content de cette initiative, Il ne dit mot. Au contraire, Il la caresse et encourage son affamée de soumise. Ce sont toujours des moments uniques. Un mélange de plaisir, de tendresse, d'insatiabilité, de bestialité, de partage intime. Il la lui offre à son appétit, l'abandonne à ses lèvres exquises, sa bouche chaude et humide, à ses mains expertes de plaisir.Tout Son sexe passe ainsi, mettant le temps entre parenthèses.Alors que l'extase approche, Il la fait remettre sur le dos, prenant place entre ses jambes, devant son intimité avec lequel il joue de longues minutes du bout de son sexe. Flirtant avec la ligne rouge, éveillant la douce frustration, Il lui ordonne de se caresser en même temps.Puis, sans prévenir, Il la prend. De grands va-et-vient émaillent ce moment intense. A 2 doigts de la voir jouir, Il se retire pour la finir avec des caresses et la contempler partir vers le 7eme ciel.De retour sur Terre, Il lui fait mettre des talons. Des talons hauts d'une vingtaine de centimètre en semelle compensée, en vinyle noir. Elle se retrouve ainsi debout, à la même taille que son Maître qui apprécie particulièrement (il en est fétiche) cet accessoire, comme tant d'autres du BDSM...Une corde serpente alors sur sa soumise piégeant et gonflant ses seins. Ses mains sont menottées derrière son dos. Une autre corde part de son cou vers son sexe, l'emprisonnant aussi. Les liens sont serrés, mais tous les nœuds ne sont pas encore terminés qu'elle part à nouveau. Debout et offerte, son corps accueille chaque claque de la cravache, frappant tour à tour les seins, le sexe. Un autre larron entre en scène, échauffant à sa manière les mêmes parties du corps. Avec le martinet, la teinte rouge et chaude apparaît ci et là. Sa soumise reste stoïque, debout, face à Lui, offerte ,vulnérable mais ô combien désireuse. Il ne se languit pas de la fouetter ainsi, son esprit flotte dans un mélange d'excitation, de plaisir. La voir ainsi lui procure un sentiment délicieux vice inégalé. Lui qui, 6 mois auparavant, n'avait pas osé toucher le martinet, Il s'en sert généreusement sur elle, se délectant de tous les claques, un son magique ... Décidé à la prendre à nouveau, Il lui défait son bondage, non sans grincement de dent (il était bien réalisé), mais lui fait garder ses talons, très sexy.Après avoir fixé les bracelets d'attache aux chevilles et poignets, Il lui attache les membres ensemble 2 par 2. Elle est ainsi sur le dos, ouverte, le sexe très offert. Il ne fait pas languir sa chienne qu'Il la prend de suite en possession. Pendant qu'Il la pénètre, Il lui met un bâillon afin qu'elle déchaîne ses gémissements, un autre son qui ne Le laisse point indifférent. Elle est déjà au nirvana depuis bien longtemps. Abandonnée à son Maître qui joue de son corps, elle Le laisse faire, s'ajustant pour mieux s'offrir. Offerte, à Lui, Il ne peut ralentir son étreinte, ni ses mouvements … jusqu'à l'extase. l Les cordes rangées, au milieu de la nuit, ils se glissent dans les bras de l'un et l'autre s'abandonnant tous les 2 dans un moment de tendresse et d'amour, au creux des bras de Morphée ... C'est encore un de ces soirs inoubliables que ta dévotion, confiance et abandon envers Moi font que la Vie avec toi est si délicieuse, que notre complicité est si intense. Quel bonheur de t'avoir dans mes bras et à mes pieds. Quel cadeau tu me fais de Toi, offerte à Moi.Je t'aime, ma femme / ma soumise.Ton Homme / Maitre
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Par : le 10/02/14
Chacun (e) de sa planète Est descendu (e) un jour Ayant pour seule quête La recherche d'un 'toujours' L'unique, le seul, le pur Le fort, le vrai, le beau Qui fait que nos armures Peuvent devenir lambeaux Les yeux sont là pourtant Qui font mentir les corps Si profonds, si puissants Qu'on en réclame encore De cet instant jaillit Un bonheur arrogant Et l'on a qu'une envie Redevenir vivant Pouvoir enfin donner Ce qu'on a tant gardé Par peur de se tromper Par peur de trop souffrir Donner à volonté Cet amour jugulé Et enfin s'épanouir L'armure s'est dénudée Elle s'est abandonnée Lui a su la guider, la garder Mais aussi la respecter Ainsi elle a pu s'offrir A ses maux et désirs Mon Maître Vous appartenir Subir et souffrir est un 'plaisir'
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Par : le 10/02/14
Mon Maître, je Vous offre ma docilité Sur cette croix quand Vous me dominez Avec sincérité et confiance absolue C'est tout mon être qui se met à nu Mon Maître, à Vous je suis dévouée De pile ou de face, même de coté Sur cette croix, Mon Maître aimé J'aime me dépasser, m'abandonner D'un geste savoureux, Vous appliquez le châtiment Une cadence imprimée de Votre vigoureux allant Puis Votre main nue claque sur mon postérieur Tombe d'abord avec légèreté puis avec ardeur Mon séant s'empourpre, le bas de mon dos s'enflamme Mes yeux se sont baissés, seule Vous regarde mon âme Votre main est soudain remplacée par la badine Moi votre soumise appréciant cette partie fine Marbrée est ma peau, le temps est suspendu D'une correction jaspant lestement ma peau nue Laissant poindre la passion telle une éruption Qui s'offre libre présent de ma soumission Quand cette phase se finit, mon coeur s'assombrit Et c'est dans les limbes que je suis, telle évanouie Jusqu'à rééditer notre jeu, ou à nouveau je serais épanouie En hommage à Vous, à Votre domination qui m'embellit... Le 30 novembre 2012
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Par : le 10/02/14
Deux ans que je porte Votre collier. Le 6 juillet 2010 en me rejoignant sur Paris en fin d'après midi, Vous m'avez offert ce symbole d'appartenance. Votre emprise est positive, Notre confiance mutuelle et cela participe à mon abandon. Vous/Nous avons été et sommes francs sur nos vies, nos envies, nos désirs. Je suis une parenthèse dans Votre existence, j'en suis consciente, je l'ai accepté et heureuse de Vous connaître. Je ne me fais pas de plan sur la comète ou ailleurs, je vis les instants présents avec Vous. Les personnes libres de chez libre sont peu légion sur le site. Il faut être capable d'accepter que certaines personnes ne soient qu'une partie de notre vie. Il est préférable d'affronter un désir que l'on craint, que de vivre dans le soin éternel de l'éviter. Vous êtes digne de ce titre de Maître que je vous ai donné quelque mois après Notre belle rencontre. Entre Vous et moi, l'attirance physique qui ne s'explique pas, elle s'exprime en complicité, spiritualité, cérébralité. La beauté du coeur, de l'âme à mon humble avis est celle qui dure et perdure. Parce que c'est Vous, parce que c'est moi, parce que des ressentis au travers de nos dialogues via le site au début. Parce que le son de Votre voix et la photo que Vous m'aviez fait parvenir me "parlait". Parce que rien ne vaut une rencontre face à face, là cela passe ou cela casse ...Sourire Les 5 sens sont en éveil, s'il n'y a pas quelque chose de positif à la première rencontre, pourquoi un autre jour cela serait différent ? Votre regard posé sur moi me fait me dépasser, me fait grandir, me donne plus de confiance. Je me revois à mes débuts, aie ma nudité, certains mots, certains gestes je ne pouvais pas et puis. Grâce à Vous, par Vous et avec Vous, Votre écoute, Votre patience et respect ont fait que j'ai pu me libérer. Vous me connaissez bien à présent et Vous me devinez. Sur mon visage Vous savez y lire ; par les expressions de mon corps Vous en savez encore. Chaque rencontre est une joie ou l'échange cérébral Nous conduit à des heures de 'plaisir' partagé. Quelque fois des aléas, la patience, l'attente et la confiance sont toujours présentes. A Vous je suis dévouée, à Vous va ma préférence, Vous l'unique de mes pensées. Dans ce milieu du BDSM, certains (es) désespèrent de ne pas rencontrer la personne qui convient, Vous en démontrer le contraire. J'ajouterai que rien ne vaut la réalité, cela n'engage que moi. Et que la communication est essentielle dans la réussite d'une relation. Avec Vous les compliments déguisés ne sont pas de mise, simplement la sincérité de Notre lien. Les flatteries je n'apprécie pas, que cela soit pour Vous, pour moi, pour autrui. J'aime ce que Nous avons construit, ce que Nous avons partagés, ce que nous partagerons encore. Les rêves se réalisent et les désirs quand on y croit, le veux. Quand une belle âme est là et que le feeling est présent. Vivre ses rêves et ne pas rêver sa vie. Chaque personne agit à sa façon, suivant ses convenances, sa vie ...
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Par : le 10/02/14
o B servation p O sition prése N tation domin A tion atte N tion commu N ication soum I ssion ré V élation acc E ptation respi R ation sen S ation excit A tion fus I on inspi R ation d E votion libér A tion e V olution em O tion ed U cation sugge S tion Le 25 juin 2012 Pourvu que l'alignement soit comme sur mon écran
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Par : le 10/02/14
Sa journée s'était déroulée assez classiquement. Le train le matin et le soir, et le bureau le reste de la journée.Certains jours sont pimentés par des entraînements le soir, ou d'autres activités physiques, mais ce jour-la, il n'y a rien de prévu. Un mal pour un bien, car Il va pouvoir rentrer pas trop tard.Il le fait savoir à sa soumise.Il aime particulièrement l'accueil qu'Elle Lui fait à son retour. Depuis qu'Ils vivent ensemble, leur Vie a particulièrement changé et leur Chemin vers l'avenir bien tracé.Homme et Maitre, Femme et soumise, ils se sont connus voici 6 mois. Nul n'avait pensé à l'époque partager leur quotidien avec l'autre.Quotidien classique, vanille, ils jouissent de leur passion, le BDSM, essentiellement le soir, quand Ils sont tranquilles, mais les allusions tout au long des journées ne manquent pas.Cette passion est leur point commun; elle a été leur Fléche d'Eros, celle qui les a unit.Ainsi, ce jour, profitant d'un horaire favorable, Il lui notifie qu'Il ne rentrera pas trop tard et qu'Il veut que ce soit Sa soumise qui L'accueille. Le plaisir de sa soumise est de Le servir, d'être Sa fierté. Son plaisir à Lui est de l'avoir, comme sa plus Grande possession. Elle Lui appartient, et c'est ainsi lié ensemble qu'ils avancent ... Ce soir, sa soumise l'accueillera en jupe noire, corset (un de Ses cadeaux) et talons (elle choisira la paire, elle connaît Ses goûts; Il aime également avoir des surprises). Enfin, sa tenu sera complétée par son collier et la laisse qu'elle Lui donnera.C'est elle qui Lui servira son repas (un indice : Il a exigé qu'elle pose un coussin à côté de Sa chaise). Après manger, elle sera à Sa disposition. Il lui a fait préparer tout le matériel afin qu'elle devienne Son jouet, Leurs plaisirs. Ce matériel est le couple cravache / martinet qui la fait tressaillir à chaque claque, rougir sa peau pour Son plaisir et le sien. A mesure que ces instruments claquent, le plaisir monte autant que l'excitation et le plaisir. Une autre route à destination directe du Nirvana est le gode qu'Il utilise sans modération, assouvissant son plaisir de la voir se torsader, gémir, convulsionner sous l'effet de puissants orgasmes continus.Il ne boudera pas non plus son plaisir de voir les différents baillons-boule sortis, prêts à l'emploi pour prendre possession, sans protestation sa soumise. Enfin, les cordes; des cordes blanches. Des longues, des courtes. Toutes pour sublimer le corps de sa soumise, la contraindre à Ses désirs, lui faire subir le Plaisir, la posséder.Il sait qu'Elle est toute à Lui, et Lui est tout à Elle, c'est ce qui les unit.Comme d'autres moments passés, et beaucoup à venir, Ils vont à nouveau vivre ce moment de complicité intense, de partage intime, d'abandon et de don de soi.Le soir, Il arrive enfin ....
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Par : le 10/02/14
Le soir après notre rencontre, souvent devant ma glace, je me regarde... Un sourire vient de plus profond de moi. Je vois ses morsures; ce jour la mon Maître avait des envies autres, je le pressentais. Je sentais des envies plus fortes... Sur mes fesses sa main claquait doucement d'abord et de plus en plus fort... Et je n'avais pas honte de lui dire "encore Maître". Je me sentais autre, je ne sais si je mouillais, si ses claques me faisaient mouiller mais j'en réclamais encore plus et des plus fortes... J'aimais entendre sa main qui claquait mes fesses, s'arrêtait, me caressait et repartait... Mon Maître me relève, me regarde: il sait que je deviens sa chienne qui en veux plus... Mon Maître pose les pinces sur mes tétons qu il a mordillé avant, qui sont tout durs, tout rouge. J'aime le regarder faire sa...ses pinces qui serrent fort mes tétons , me font gémir ........ Mon Maître sort le martinet, me dit "je fais te fouetter avec, les seins et ta chatte". Je rougis, j'en ai envie... Il me caresse longtemps avec les lanières qui me frôlent tout le corps... Les lanières s'abattent sur mes seins... La douleur vient, je me tais et gémis en même temps... Il me fouette, parfois je me dis "comment je peux aimer cela?". Je regarde mon Maître, il ne sourit pas mais je le sens si près de moi, en osmose avec moi... Mon Maître me fouettera longtemps. Il me retourne et c'est sur le haut du dos que les lanières s'abattent. Je gémis plus fort... Et ne dit plus rien, je pars je crois loin, , dire dans ma tête ou je vais ,je ne serais le dire , j'adore ça. Il descend sur mes fesses, il s'approche de moi , lache le martinet, et me mord fort longtemps la fesse et ensuite mon épaule; je frémis du plus profond de moi. , je n'ose le regarder, je sens en moi que je suis une chienne, une louve qui en veux plus. Mon Maître se place devant moi, je me jette sur lui, je suis affamée de lui. Il me repousse me regarde... Je sais qu il aime me voir ainsi... Mon regard se trouble. Je ne suis plus moi même... Je suis à lui... Oui le soir, je me suis regardée; j'ai caressé du bout de mes doigts ses morsures. La trace d'une lanière avec fierté... Hydréane
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Par : le 10/02/14
Au fond de Vos yeux, mon regard j'aime plonger Bâillonnée avec la vision de Vous posée sur moi Chaque moment passé avec Vous est une joie Dans l'iris de Votre âme, je me suis abandonnée Enserrant mon cou, ce collier redouté et porté avec fierté Frissons d'excitation quand Vos mains me touchent Gardien de mon intégrité, et douce est Votre bouche Hommage à Vous Mon Maître qui m'amenez à me libérer Il y a parfois par les aléas de la vie, des imprévues Je découvre avec Vous des sensations inconnues Kyrielle de maux colore ma peau d'une parure nacarat Laissant sous la lanière du cuir des marques incarnats Mon Maître, Vous savez me rassurer avec bienveillance Notre lien précieux, délice de notre commune attirance Oublier mes peurs de ces blessures enfantines infligées Pour avec Vous, accomplir enfin certains actes refoulés Qu'importe le temps, vivons les instants présents Respect mutuel, entre nous tout est transparent Sentir les pulsations de mon coeur, moi votre soumise Timbre de Votre voix, Vos gestes qui s'harmonisent Un bonheur de Vous appartenir au gré des saisons Vous devant qui je m'incline, offrant ma soumission Week-end où le silence et l'attente sont de raison X sont ces jeux à deux où perlent Notre passion Y a t-il plus beau son que celui gémissant (au) Zénith de volupté de deux adultes consentants Le 23 mai 2012
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Par : le 10/02/14
BoumBoum, BoumBoum, Boumboum... C'est l'infime pulsation que je sens à travers mes doigts quand je les passe sur ton cou. Là juste au croisement de tes clavicules, quand j'appuie doucement sur ce petit creux, quand tu halètes parce que tu prends du plaisir. Quand tes yeux se plissent et que tu te retiens. BoumBoum BoumBoum Boumboum... C'est le battement frénétique qui résonne dans mon crâne, à m'en exploser les tempes, quand ma respiration se coupe, quand mes oreilles se bouchent, quand ma tête se balance, quand mes doigts se crispent et mes yeux se ferment. C'est la seule chose que je perçois juste avant l'orgasme. Boum,Boum, BoumBoum, Boum,boum... C'est le son de mon coeur qui ralentit sa course entre mes poumons. C'est le son du répit, légèrement accordé à mon souffle qui se fait de plus en plus régulier. Tes mains sont dans mes cheveux, les miennes sous ton t-shirt et caressent la petite ligne de poils qu'il y a sous ton nombril. Boum, boum, Boum, boum, Boum, boum... C'est le son de ton coeur qui bat maintenant dans mon oreille, faible berceuse sur laquelle je m'endors à mon tour. Je ne me suis jamais sentie aussi vivante.
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Par : le 09/02/14
24 mois se sont écoulés depuis Notre première rencontre. 24 mois de respect, d'écoute, d'attention, de complicité, de plaisirs partagés. 24 mois que nos regards se sont croisés, que la confiance est installée. Vous avez su m'apprivoiser. Vous avez su m'interpeler. Vous avez su me révéler. Vous avez su asseoir Votre emprise. Vous avez su entendre mes doutes et mes peurs. Vous avez su me faire grandir sans me meurtrir. Vous que j'ai tant attendu. Marquée de Votre signature. Confiance totale en Vous. Votre collier ornant mon cou. Fait de moi votre soumise. En ce symbole de l'appartenance. Ma soumission est faite d'évolution, de dépassement, de découvertes. Vous servir, Vous obéir, respecter Vos consignes, Vous faire honneur est un bonheur. Par nombre de ressenti, d'émotion, de sensations, de pleurs quelque fois. Par le trop plein qui déborde, parce qu'une lutte intérieure a été livré. Par ce lien qui nous unit comme une évidence. Parce que c'est Vous qui avez les clefs. De mon corps, de mon âme, et celle de mon coeur. L'exaltation des sens, l'essence de votre parfum de peau. Ma progression avec Vous en cette place à Vos pieds. A Vous je suis attachée, à Vous je me soumets. Avec Vous des frissons et quand survient la jouissance. Votre main sur ma bouche pour étouffer mes cris. Vous Mon Maître Vous m'amener, Vous m'éduquez. Par Votre maîtrise et la connaissance de moi. Qui me permet d'avancer bien plus loin que j'aurais pu l'imaginer. Votre attention, Votre ouverture d'esprit. Et le temps surtout qu'il faut pour construire une saine relation D/s. Sans omettre le dialogue sincère qui est la base de la construction. Avec Vous, je ne me perds pas, je garde ma spontanéité. Le 23 mars 2012 Ajout de Mon Maitre Un hiver long, froid et ennuyeux. Puis tout à coup quelques mots échangés, un parking réchauffé par les premiers rayons d’un printemps naissant. Deux regards qui se rencontrent, profonds et francs, deux regards qui disent déjà oui avant même les premiers mots. Une bout de route en toute quiétude, un repas pour échanger nos souhaits, nos envies, puis en toute confiance un premier abandon. Ainsi tout commença, ainsi tout s’accomplit durablement, deux ans déjà.
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Par : le 09/02/14
Bonheur et connivence Savourant Votre présence Abandon d'appartenance A Vous, va mon attirance Fusion d'essence Excitation des sens Profondeur des silences Face à certaines évidences Soumise en dépendance Vous et Votre ascendance Le manque de Votre absence Patience et parfois impatience Silence, obéissante pendant Vos vacances A Vous Mon Maître aimé va mon allégeance Maux et 'plaisirs' partagés dans la confiance Désirs, soupirs, sourires et cris de jouissance
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Par : le 09/02/14
Je me suis habillée d’un manteau de silence Pour oublier le froid de Votre absence Puis je me suis accrochée à un combat Qu'il me faudra gagner malgré les aléas Elle peut être ta meilleure amie Comme ta plus grande ennemie Dans tes jours de gaieté Elle est ton alliée Te permet de mettre en action Toute ton imagination De te révéler à toi Dans un profond émoi D’un rêve évanescent Plonger dans ton inconscient Par une musique en laquelle tu crois Te remettre sur la voie... Dans les méandres de tes pensées Tu te mets alors à rêver Qu’un jour, tes plus profonds souhaits Deviendront réalité Car au fond de toi tu sais Que le rêve Est le début de la trêve
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Par : le 09/02/14
Mon autoportrait ?... Pour « Arc en ciel » qui me fait un petit rappel (sourire). Certes j’ai tardé : je devais me reconstruire après ma dernière relation BDSM, étant passée par la colère, la tristesse aujourd’hui que j’en arrive au mépris, que je vois le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide ; je peux m’exprimer objectivement.Par où commencer un auto - portrait ? N’est-ce pas notre parcours de vie qui nous conduit pas à pas vers le BDSM ?Enfant rebelle, face à une maman, strict, autoritaire, exigeante et pas assez câline pour moi à l’époque, déjà je ne me sentais pas à ma place, m’ennuyais à l’école, m’évadais en rêveries et dans le dessin. 4 années passées hors du foyer familial à l’adolescence m’émancipèrent rapidement. Il me fallu toutefois encore m’affirmer dans le choix d’une orientation artistique : lycée, puis Fac où je dû autofinancer des études dans lesquelles personne ne croyait avec un poste de surveillante d’externat qui me guérissait d’une timidité maladive.A 25 ans, j’étais professeur d’Arts plastiques, je peignais, exposais, le conservateur du musée d’arts modernes de la ville Paris m’avait contacté, un poste en université m’était proposé, je devenais seule propriétaire de la maison où je vis actuellement. J’avais grandit et appris à me débrouiller par moi-même dans bien des domaines : Ceci je le dis pour certains Dom qui pensent que s’afficher soumise, signifie être une pauvre fille paumée, sans caractère ayant besoin qu’on la guide pour qu’elle s’en sorte et nous savons tous qu’il y en a !!! A peu prés à la même période je vivais un amour passion, avec un homme de 15 ans mon ainé : grand, très charismatique, un brin dominant. J’adorais ça : je me sentais belle, aimée et protégée, c’était si bon. Du fait d’un éloignement géographique, je compris vite que je n’étais pas volage mais libertine, car non jalouse : encore un truc hors des sentiers battus.Quelques années plus tard, l’attrait pour le BDSM commençait à titiller sérieusement : Je m’informais, lisais, allais sur des forums. Puis je croisais quelques partenaires de jeu dominants : Et oh combien il fût délicieux de pouvoir enfin « lâcher prise », ne pas avoir à décider tout en pouvant dire non, de s’abandonner à quelques jeux D/S et coquins, me grisant de sensations jusque là inconnues.Il y a quelques années je rencontrais un homme : rapidement je lui parlais de ma vie libertine passée et de mon attirance pour les moments de soumission. Quelle ne fût pas ma surprise et ma joie lorsque lorsqu’il vint me voir la fois suivante, avec du matériel BDSM qui ne sortait pas de magasin ! Pas de Maître, ni soumise, mais durant 7 ans, nous formions une couple joueur et libertin, bien qu’au fil du temps le jeu se fît de moins en moins présent.Six moins après notre rupture, je rencontrais un pseudo Maître, et compris vite qu’il me conduirait à des dépravations que je ne souhaitais pas : en une semaine ce fût plié. Déléguant facilement, il me fît croiser un autre Maître qui se montrait joueur, taquin, attentif (enfin les premiers temps), et sa présence m’était agréable : il ne m’en fallu pas plus pour franchir le pas. La troisième fois que nous nous sommes vus, le collier me fût proposé, mais je le déclinais pour l’instant, cela me semblant bien trop prématuré. Rapidement il me fît rencontrer d’autres personnes avec qui je découvrais de nouvelles pratiques : ce Maître avait-il lui-même déjà donné tout ce qu’il pouvait en termes de pratiques BDSM ? Je fus ensuite amenée à dominer avec lui, cela pouvait m’amuser, mais n’était pas mon trip : peu à peu, je me sentais de plus en plus frustrée. La suite et fin restera privée, n’étant pas là pour alimenter des rumeurs.Je tire des leçons de tout ceci : cela m’aura permis d’avancer et de rencontrer des gens très bien, de construire pas à pas des amitiés qui me sont précieuses. Avoir à dominer m’a appris des choses côté soumise : il m’arrive encore de switcher occasionnellement toujours accompagnée, pour le plaisir de faire plaisir, dans l’échange et par goût d’apprendre ; mais j’ai retrouvé ma place et tant pis si certaines personnes m’auraient mieux vu en Domina : je suis la seule à connaître le côté qui m’épanouie le plus !Je ne suis pas retournée au libertinage, devenu à la mode et qui a perdu ses valeurs : Savoir-vivre, courtoisie, respect, raffinement, subtilité, un brin de séduction... Le respect des autres m’est naturel, mais ne faut-il pas commencer par se respecter soi même ? De toute évidence, le BDSM ne sortira plus de ma vie. Si je n’ai plus de Maître à ce jour, je peux encore quelques fois pratiquer le BDSM dans un contexte amical, bienveillant, respectueux, sécurisé et continue d’apprendre beaucoup, de découvrir.Si je suis à la recherche d’un Maître ? Je dirai oui et non : mon profil est là, et j’aime à penser que la bonne personne se présentera au bon moment.
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Par : le 09/02/14
Écartelé sur le lit, tu gis, les membres attachés aux pieds du meuble. Tu n'as pas de bandeau. Tu en as rarement.... J'aime voir tes yeux. J'aime les voir quand je m'approche, en mode fauve, lorsque tu sais que tout peut arriver, que tu le redoutes, ô combien, tout autant que tu le souhaites... Ce fauve qui te fascine, et dont la sauvagerie t'effraie... Je met mes gants, machinalement. Puis prend un coton, y met de l'alcool. Je le passe sur ta peau, c'est froid, ça pique un peu. Tu regardes la boite que j'ai sorti de mon sac, peu de temps auparavant. Tu me vois l'ouvrir, et tes yeux s'agrandissent. Tu n'en mènes pas large, en voyant le manche du scalpel. Je sors une lame stérile de son étui, la pose sur le manche.... Je te regarde, je plonge dans tes yeux, j'y guette un signe de recul, un signe que tu n'es pas prêt. Mais je n'y vois que de la fermeté. Comment peut-on avoir peur et confiance en même temps.... Parce que tu es conscient des risques et que tu n'aimes pas la douleur, ton don me transporte, ton abandon me touche, ton amour me prend au tripes. Ca y est, la lame s'approche, et pèse sur la peau tendre juste sous le sein. Tu trésailles, et le sang coule. Une goutte roule sur mes doigts posés sous l'entaille. Couleur rouge. Ta vie. Ce sang traitre... Je dessine en couleur sur ta peau, un E. Je lèche mes doigts, vampire amoureuse, qui veut tout de toi. Puis je te désinfecte. Tu gémis, sursaute, les yeux froncés. Je pourrais utiliser un antiseptique qui ne fait pas mal, mais tout comme ta peur, le fauve se nourrir de ta douleur... Je pose une compresse, j'attends que le saignement s'arrête. Un sparadrap, et c'est terminé. Une cicatrice de plus....
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Par : le 09/02/14
Ma compagne est assise la sur le canapé en train de regarder la télévision en pyjama. D’habitude elle est ma petite chienne, mon objet, ma chose, mon dévidoir, mon sac a sperme, mais pas ce soir. Ce soir elle n’en a pas envie, mais moi je suis pris d’une pulsion de domination, de violence. Ce soir c’est une autre qui va subir ma domination. Nous en avons discuté et avons décidé d’un commun accord que je pouvais me livrer à une séance avec une autre. Un de mes autres objets avec lequel nous avons déjà joué. Qui n’est là que pour subir ma domination. Elle n’est en rien un désir sexuel. Notre séance ne comporte pas de relation sexuelle directe d’un commun accord. Bien sur chaque séance a un côté sexuel à des degrés divers mais elles sont plutôt cérébral que physique. De temps en temps si, avec l’accord et/ou la participation de ma compagne mais pas ce soir. Ce soir je veux juste assouvir ma perversion sadique de domination. Et faire plaisir à une dominée qui elle ne recherche qu’à assouvir sa perversion masochiste de dominance. Ainsi donc ma compagne regarde la télé en mode détente et elle a accepté que je mène une séance a côté avec une autre. Ma soumise d’un soir est arrivé il y a quelques minutes et est en train de se déshabiller dans la chambre d’à côté. Je fini de préparé mon côté du salon pour recevoir ma séance. Puis fait un bisou à ma compagne sur le front et lui demande une dernière fois si elle ne veut pas participer. Elle me dit que non, qu’elle n’en a pas envie ce soir et qu’elle regarde une émission super intéressante. Je n’insiste pas. Puis ma soumise du jour arrive. Elle rentre nu dans le salon, les rideaux sont tiré, et viens s’agenouiller devant moi. Je lui ordonne de baiser mes pieds à travers mes chaussures. Ce qu’elle fait de suite. Ma compagne continue de regarder la télévision, je lui demande d’éteindre la lumière du plafond. Notre salon étant coupé en deux cela ne la gêne pas pour regarder sa télé. Je passe le collier autour du coup de ma chose, lui signifiant ainsi qu’elle est ma chienne ce soir et qu’elle m’appartient totalement tout le temps qu’elle portera se collier. Je lui mets ça laisse et la balade à quatre pattes dans la deuxième partie du salon. Là, mon matériel nous attend. Je lui demande de se relever puis je lui passe des menottes au bras et aux jambes. Ensuite avec les anneaux accroché à chaque côté du mur de notre partie du salon, je l’attache bras et jambes écarté. Elle est donc la, nue, à ma merci, moi dans la pénombre et son dos éclairée par la lumière blafarde et changeante venant de la télé de l’autre côté du salon. L’ambiance est en place. Une sorte de moment irréel ou se côtoie deux monde. Un monde commun avec une femme en train de regarder la télévision sur un canapé, les fenêtres sans rideau laissant rentrer les lumières extérieur et un monde caché, avec une femme attaché nu, les rideaux fermés loin des regards. J’allume quelques bougies pour nous éclairer mieux. Je commence par bâillonner ma chose du soir, puis lui attache le corps avec « la pointe de diamant », une pratique shibari des plus simples qui consiste à « revêtir » le corps de sa « prisonnière » avec une corde. Enfin à mon sens. Au moment où je passe la corde entre les jambes de ma chose, je sens que cela lui plait. Une fois fini, je lui explique ce qu’il va se passé. Elle le sait bien sûr mais j’aime a l’exposer à mes objets. Je vais commencer doucement. Je lui assène quelques claques tout en tournant autour d’elle. Sur son visage, ses seins, ses fesses, ses cuisses, tapant quelque fois son sexe. Puis je m’arrête et lui annonce que ça va devenir pire. Alors je lui mets un bandeau sur les yeux. Je pars quelque minutes la laissant la, nue, tremblant, ne sachant pas ou je suis, ni quand je vais revenir, privé de parole et de vision. Elle n’a plus que le son, le son de la télé à côté d’elle et le silence. Puis des bruits de pas, ce que je fais en revenant un martinet à la main, sans prévenir je lui fouette le dos, elle hurle dans son bâillon. Plus de surprise que de douleur, j’y suis allez doucement. Je lui chuchote a l’oreille ce que je vais lui faire, elle frémit. Un autre coup vient zébrer son dos. Elle m’entend tourner autour d’elle et tremble ne sachant pas quand le prochain coup va venir. Un autre sur ses fesses, elle retient son souffle, ses muscles tendus dans l’attente du prochain. Il semble qu’une éternité passe ainsi, et au moment où elle se détend, croyant que j’étais passé à autre chose, un autre coup vient bruler ses fesses. Un autre cri étouffé. Du coin de l’œil je regarde ma compagne sur le canapé, elle se tortille, feignant ne pas regarder. Mais je la connais, même si ce n’est pour l’instant qu’inconscient, mon travail l’intéresse. Elle se tend et se tiens droite. Quelques coups de plus puis j’arrête et détache le bandeau autour des yeux de ma soumise. Elle me regarde la détacher, du coin de l’œil je voie ma compagne se calmer sur le canapé et retrouvé une position moins « tendu ». Je dis à ma chose que je vais la détaché mais que ce n’est pas fini. Je l’attrape par les cheveux et la jette au sol. Ma compagne sur son canapé se « retend » discrètement, toujours intéressé par la télé. Je souris. Je l’attache avec des cordes dans une autre composition de shibari, les mains attachées au cuisse, la tête au sol, et le cul tendu en arrière. Un autre classique qui a l’avantage d’être simple a réalisé, humiliant et de mon point de vue excitant. je lui explique alors que les bougie ne sont pas là que pour le décorum. Je lis dans ses yeux qu’elle comprend. Je me dirige vers une bougie violette et la prend avec moi. Doucement je tourne autour de ma chose prostré au sol lui chuchotant ce qu’il l’attend. Je verse donc de la cire sur ses fesses, sur la partie charnue d’abord, doucement, puis partout et de plus en plus vite et d’un seul coup je m’arrête. Je reviens dans le champ de vision de ma chose et lui demande si ça va. Elle me signifie de la tête que oui. Ce à quoi je rétorque en refaisant coulé quelque goutte de cire sur son cul. Puis je lui explique que la ca va faire mal. Elle ne comprend pas. Je lui verse alors quelques gouttes sur ses cuisses proches de son sexe lui donnant l’impression que je déverse la chaleur sur ce dernier justement. Elle cri dans son baillons. Je lui dit que c’est bientôt fini et que l’on vas passer a plus dur. Je pose la bougie devant elle pour lui faire voir que je ne l’ai plus et que son imagination fasse grandir sa peur quand à la suite. Alors je la fouette avec une cravache sous ses pieds. Elle hurle dans son bandeau. Puis encore une autre fois, puis une autre. Se pieds sont zébré de mes coups. Alors je m’approche d’elle et lui susurre a l’oreille que maintenant cela va faire mal et récupère la bougie. Je verse alors la cire sur ses pieds à l’endroit où je lui ai mis les coups pour qu’elle en sente encore plus la douleur. Elle se tord de douleur et moi j’aime ça. Je la détache doucement. Elle se laisse faire. Puis je la relève, elle a du mal a marché à cause des coups reçu sous ses pieds. Je l’aide et la rattache au anneau du mur, jambes et bras écartés. Rien que la position lui fait mal. Je lui enlève son bâillon et lui remet son bandeau sur les yeux. De plus je rajoute une attache supplémentaire, en attachant son collier au plafond ce qu’il l’étrangle légèrement. Je me mets ensuite dans son dos, tournant le dos à ma compagne sur son canapé que je sens changé de position de temps en temps. Je souris car je sais que cela la démange et l’excite même si elle continue de feindre l’intérêt pour son émission. Je commence alors à fouetté proprement le dos de ma soumise. Lui arrachant des cris à chaque coup qui ne sont plus retenue par un bâillon. Je prends mon temps. Je savoure cette instant ou ma soumise coupe sa respiration et tend ses muscle dans l’attente du prochain coup. J’adore la voir sursauté quand elle le reçoit et se détendre en lâchant un cri dans un souffle une fois reçu. Puis je repasse devant elle. Bien sûr elle ne me voit pas, je récupère la bougie et sans attendre lui verse quelques gouttes de cire sur les seins. Elle cris. Ma compagne continue de « gigoter » sur le canapé, je sais qu’elle ne suit plus du tout son émission. Puis j’alterne entre coup de cravache doux, fort, coulé de cire et claques. Un coup sur ses seins, puis un autre sur ses fesses, sur son dos, ses cuisses. Son visage lui ne subit que des claques. Au bout d’un moment je regarde ma compagne du coin de l’œil elle ne regarde plus du tout son émission et ne fait que nous observer. Alors j’enlève son bandeau des yeux de ma soumise, lui détache les bras et les attachent avec ses jambes, debout. L’obligeant à me regarder je sors mon sexe. Elle s’étonne, notre séance ne devait pas comporté d’acte sexuel direct, c’était notre contrat. Mais je la rassure bien vite car cet appel ne la concerne pas. D’un signe de la main j’appelle ma compagne à venir à quatre pattes me rejoindre. Ce qu’elle s’empresse de faire dans son pyjama. Elle avale goulument mon sexe. Me suçant comme seule elle sait si bien le faire sous le regard de ma soumise du jour. Je glisse ma main dans le pantalon de ma compagne et en ressort des doigts dégoulinant de mouille. Comme j’aime cela. Je les donne a lécher a ma soumisse attaché, ce qu’elle s’empresse de faire. Les y remet, doigte un peu ma femme et les ressorts charger de cyprine afin de les essuyer sur le visage de ma soumisse. Puis me penche vers elle pour lui chuchoter a l’oreille quelque chose. Je lui demande sa permission pour un truc qui n’était pas prévu ce soir. Elle me la donne. Ma compagne suit l’échange les yeux levé vers nous tout en me suçant. Je lui dis de ne pas quitter mon sexe de sa bouche et me déplace pour détacher ma soumise et la rattacher bras écartés vers le haut. Puis j’ordonne à ma femme de venir se mettre dans mon dos et de me caresser d’une main, de me branler de l’autre et de m’embrasser dans le coup. Elle s’exécute, intrigué, puis je lui dit de me faire jouir sur ma soumisse attaché, de la recouvrir de mon sperme. Elle a un moment de flottement étonné car elle sait que la séance ne doit pas comporter d’acte sexuel directe et sais que je ne ferai jamais rien sans l’accord préalable de ma dominé du moment. Puis elle comprend que c’est ce que je lui ai demandé tout à l’heure chuchotant a son oreille. Elle hésite, mon sperme n’est que pour elle d’habitude, elle est mon sac a sperme, mon dévidoir. Même a plusieurs mon sperme lui est réservé sauf si elle me demande l’inverse bien sûr. Mais en bonne petite chienne que j’ai bien dressé elle me branle quand même. je jouis alors, mon sperme sous la pression giclant jusqu’au sein de ma soumise du jour, dégoulinant sur son ventre. J’ordonne alors à ma compagne de me lâcher, lui prend les cheveux l’oblige à se mettre à quatre pattes et lui ordonne de lécher le corps de la soumise afin de ne laisser aucune goutte de mon sperme tout chaud sur elle. Ma compagne me sourit d’un air amoureux et ravi. Mon sperme n’est bien que pour elle. Elle lèche goulûment le sperme arrachant quelque soupir a la soumise. Puis reviens à mes pieds pour lécher les gouttes qui perlent sur mon sexe. Comblé je détache ma soumise qui tremble de fatigue après cette éprouvante séance. La remercie, on débriefe pour savoir ce qu’il lui a plu, les choses a amélioré, les choses à revoir puis d’un sourire je l’invite à se rhabiller dans la chambre pendant que moi je rejoins ma compagne sur le canapé qui essaye de comprendre la fin de son émission en aillant loupé une bonne partie. Elle me prend dans ses bras et me dit qu’elle m’aime. Ma soumise du jour reviens dans le salon habillé, nous sourit, nous embrasse et prend congé de nous en nous disant au revoir et a très vite.
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Par : le 07/02/14
Dans mes yeux bleus reflet de mon âme. Brille l'insolente lueur de celle qui se damne En enlaçant fiévreusement la douleur De mes lèvres s'enfuit un gémissement Révélateur de ce feu qui me dévore lentement Un peu plus et à chaque jour nouveau De mes zébrures s'échappe cette obsession De n'exister que par Votre regard, révélation Charnelle de cette envie si troublante Dans mes yeux bleus, lueur apaisée S'affiche farouchement la fierté d'exister Enfin sous le joug de Votre domination Regard baissé A Vos pieds Je suis votre Dans mes yeux s'épanouit ma soumission
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Par : le 02/02/14
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ......»,3) publier ce texte dans votre section « articles »4) me le faire savoir.Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire. 1) Je suis soumis aux femmes depuis aussi loin que je me souvienne. 2) Je suis Gynarchiste. 3) J'aime être bien habillé. Pas forcément toujours classe, mais bien. 4) J'aime beaucoup la musique, pas toutes les musiques non plus. 5) j'aime les voyages. 6) Je suis sportif. 7) J'aime me balader, et cela pas forcément pour aller quelque part. 8) J'apprécie les femmes qui prennent soin d'elle, et mettent en avant leur féminité. 9) J'aime les animaux, mais je n'en ai pas. 10) J'aime cuisiner. 11) Je suis assez joueur. 12) J'aime discuter par écrit. 13) J'apprécie le cinéma, mais j'ai une préfèrence pour les films avec une intrigue bien ficelée. 14) Je suis serviable 15) Je suis encore étudiant( heureusement plus pour longtemps.^^) 16) Je suis assez cérébrale. 17) J'aime les femmes dirigistes. 18) Je considère l'intrsansigence comme une qualité pour une femme dominatrice. 19) Je n'arrives pas à obéir aux hommes en dehors du travail. 20) J'apprécie toujours un bon repas. 21) Je suis un amateur de vins, mais pas un gros buveur. 22) J'aime satisfaire, et surtout une femme intransigente. 23) Je suis assez fonseur. 24) Je n'ai pas l'habitude de faire les choses à moitié. 25) J'aime danser, je n'en suis pas doué pour autant.^^ 26) J'aime les calins. 27) Je suis fétishiste. 28) Je suis un peu timide. 29) J'aime la vie. 30) Je n'aime pas rester enfermé toute une journée à l'intérieur, d'autant plus quand il fait beau.^^ 31) Je ne dirais pas que je suis fan d'Eric Stanton, mais aucun de ses désseins que j'ai vus ne m'a déplut. 32) Je ne suis pas un geek. 33) Je n'ai pas l'habitude de me coucher tôt. 34) Je suis galant. 35) Je serais fan de beaucoup de pages sur ce site, si je prenais la peine de toutes les lires. 36) Je suis plutôt poilu, heureusement que cela se retire lol. 37) Je ne suis pas à l'aise avec le fait de participer à une soirée BDSM non privée. 38) Je n'aimes pas courir. 39) Je fais attention à moi, et entretient mon corps. 40) J'aime ce site, qui m'as permis de faire des rencontres très intéressantes. 41) J'aime beaucoup voir une femme en talons, c'est une des choses que je regarde en premier. 42) Je déteste les hopitaux, et surtout l'odeur qu'il y a. 43) J'aime bien conduire. 44) Mon animal préféré est le léopard. 45) J'aime les peluches. 46) Je ne portes pas de lunettes. 47) Je me coiffe tous les jours. 48) Je suis curieux de nature. 49) Pour finir, je suis ravi de poster cet article sur moi afin de satisfaire l'envie de Mademoiselle Cythérée. docilité.
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Par : le 02/02/14
Des règles ont été fixées pour le quotidien. En plus de la nudité et du port de la cage de chasteté auxquels j'étais désormais en permanence astreint, je devais prendre mes repas dans une gamelle. Dans deux gamelles précisément: une pour l'eau, l'autre pour la nourriture qui était choisie par ma Maîtresse, souvent du riz ou des féculents, sans aucun accompagment. Il arrivait également que je doive patienter pour attendre les restes de son repas, et elle me faisait parfois l'honneur de me donner de la nourriture à la cuillère pendant qu'elle mangeait. Il va de soi que tous les repas étaient préparés par mes soins, et dîner à sa table était pour moi exceptionnel. L'ensemble des tâches ménagères était de mon ressort, et les coups pleuvaient en cas de faute. J'étais battu quotidiennement: gifles, martinet, fouet... Je faisais dans mes tâches d'esclave de moins en moins de fautes qui le justifiaient, donc ces punitions étaient totalement gratuites, pour son plaisir à elle, et cela contribuait fortement à me maintenir dans le statut qu'elle m'avait assigné. Du fait des coups, j'étais marqué quasiment en permanence. Mon sexe, constamment enserré dans la cage, ne pouvait plus se dresser, et je voyais dans ses yeux la satisfaction de m'avoir réduit à cet état. Les humiliations pourtant ne faisaient que commencer...
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Par : le 31/01/14
Bon voilà, c'est un peu mon coup de gueule de la nuit, j'essaie de m'endormir depuis des heures, et ça fait des heures que je réfléchis, et j'en arrive finalement à la conclusion qu'être amie avec une femme c'est quand même plus compliqué qu'être amie un homme. (je sais, c'est hyper sexiste ce que je vais dire, mais franchement c'est ce que je remarque) J'ai autant d'amis hommes que d'amis femmes, mais plus le temps passe et plus les femmes me font.... AAAAAH ! Sérieux, je suis toujours obligée de prendre des détours pour dire ce que j'ai à dire, je suis obligée de calculer mes gestes qui sont en général interprétés et retournés dans tous les sens, je suis obligée de faire face à votre médisance, à vos a-propos, à vos cases de merde... PUTAIN ! Alors que les hommes... C'est pas pour rien que ma meilleure amie est en fait mon meilleur ami, c'est pas pour rien que mes amis sont de "vrais amis", des personnes avec qui je peux parler/rire de tout sans avoir à me cacher, avec qui je peux rire gras, faire des blagues dégueus, parler de sujets pas forcément glamour, ou même, parler de rien sans se soucier de la profondeur des sujets qu'on évoque... Vous êtes tellement moins compliqués, tellement moins chiants, tellement plus cools... Tellement moins auto-centrés, tellement plus à l'écoute... Pourtant, mes amies(jeunes) femmes m'apprécient, je suis souvent la "confidente", le gros nounours à qui on confie ses secrets... Je n'ai rien contre les filles, au contraire, en général on s'entend bien, mais dès que je deviens amie avec quelqu'un d'autre qu'une fille, là... Ca passe moins bien... Les femmes sont de grandes adeptes du "slut-shaming"... Dès qu'une femme a trop tendance à parler à des hommes, à discuter avec eux, à rire avec eux, ça y'est... C'est LE mot... C'est une salope. On utilise TOUT le temps ce PUTAIN de mot pour désigner les femmes amies avec les hommes. Pourquoi ? Pourquoi appeler comme ça une femme capable d'être amie avec quelqu'un d'autre quel que soit son sexe ? Pourquoi ce besoin d'érotiser toutes les relations homme-femme, pourquoi vouloir rajouter de l’ambiguïté sexuelle à une relation qui n'en a aucune ? Pourquoi on peut pas juste être pote avec des mecs sans qu'on veuille obligatoirement se les taper ? Et sur ce site, j'imagine parfois que je dois être très mal vue, parce que la plupart des gens avec qui j'échange ce sont des hommes. Perso je m'en tape complet, je n'ai pas de quota homme/femme à remplir... J'en ai tellement rien à foutre, sérieux... Mais je trouve ça incroyable qu'il faille être amie avec des femmes pour faire "bonne impression" ou "bonne figure"... Je trouve ça incroyable que sur un site BDSM où les gens sont censés être ouverts d'esprit, il y ait encore ce type de préjugés et ce genre de pensée rétrograde. Alors OUI mesdames, j'aime les femmes ET les hommes. J'ai des amis femmes ET des amis hommes. Et ce n'est pas parce que je ris avec des hommes sur ce site que je veux tous me les taper, que je ne sais plus où donner de la tête, que je suis en chasse ou je ne sais quelle autre connerie encore. Ne vous inquiétez pas, je n'irai JAMAIS vous voler votre soum/dom, je n'irai jamais draguer votre conjoint/partenaire, de toute manière je ne vais jamais draguer qui que ce soit, les personnes à qui j'envoie par moi même des messages personnalisés sont très rares, et si cette personne est en couple j'évite, pour éviter toute embrouille ou malentendu. Voilà, je ne sais pas si tout est dit, mais je me sens plus zen, là. Je pourrais même essayer de m'endormir. Une Heartbeat (un peu moins) en colère.
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Par : le 31/01/14
Il y a un jeu, un peu bêbête en ce moment sur le site, qui consiste à s’ouvrir à son sujet. Comme ça. Oui... Bon. Allez. 26 choses sur moi… pour BDSM. 1. J’ai eu une enfance et une adolescence type drama-drama, comme dans les livres. Mais depuis que je n’ai plus eu à subir les choses, j’ai réussi à reprendre les rennes de ma vie. Elle est assez stable, je trouve, et j'en suis fière. Pour le reste, je ne peux cependant pas y faire grand chose, cela a définitivement marqué ma personnalité. 2. Oversensitive. J’ai du apprendre à contrôler mes émotions. Mais à présent, je suis devenue une control freak de mes émotions. Heu… Qui veut toujours être mon ami ? 3. Ma première expérience D/s remonte à mes 20 ans. J’ai eu une relation soumise avec un couple pendant une petite année. 4. Mon ex était une femme, on est restée plus d’un an ensemble. 5. Il y a eu un moment de ma vie où j’ai pensé être lesbienne et ne plus jamais revenir aux hommes. 6. Ma plus courte relation : 6 mois. Je suis une serial loveuse je crois. 7. Serial voyageuse également : J’ai parcouru bien des terres pour mon âge. Je veux une vie d’expat’ pour mon avenir. 8. J’ai été un jour kidnappée en Afrique. Je ne m’en rappelle pas beaucoup, sauf les cris et les mitraillettes sur ma tempe. 9. J’adore les chiens, tous les chiens. Je suis une dingue de chien. C’est assez grave je pense car je ne pourrai pas vivre sans cet animal. Chien. Chien. Chien. Chien. 10. Ma grande question en ce moment, c’est de savoir comment une soumise doit réagir quand elle ne veut pas exécuter telle pratique alors qu’on est en pleine séance. Cela fait des mois à présent je pense que je reviens sans cesse avec cette question vers mon Maître. Il est d’une telle patience. Cela me fascine. 11. Je suis chrétienne. Pire. Je suis une vraie chrétienne. Celle qui croit au mariage, qui lit la bible, qui fait travailler sans cesse sa conscience, qui voit le monde coupé en deux : le bien et le mal. Assez traditionaliste, j'aurai bien aimé avoir une tonne d’enfants et être femme au foyer. Mais c’est trop tard. En plus ‘parait que c’est ringard. 12. Moi l’avortement, le mariage gay, les bébés dans des éprouvettes et tout ca, ce n’est pas trop mon truc, non. Mais je respecte les choix des autres et que cela puisse être un droit. Même si je trouve cela très triste. 13. Je sais quelle tête tu as à l’instant même de cette lecture ; 14. Souvent je n’ose pas écrire sur le forum parce que je trouve que les autres saisissent bien l’essence du BDSM. Pas moi. 15. Je me demande inlassablement ce que mon Maître fait avec moi. Non pas que je me dénigre. Je connais ma valeur (c'est à dire: +++) et je sais que des comme moi y en a vraiment pas beaucoup (c’est le moins qu’on puisse dire haha. Ha ?). Cependant, je pense très sincèrement que de 1 à 10, en tant que soumise : je vaux un 2. 16. Je trouve qu'il y a beaucoup de soumises sur ce site qui sont des sadomasochistes sentimentales. Elles ont besoin qu’on les maltraite émotionnellement. Des sadomasochistes dans le sens où elles se complaisent dans un état de malheur car elles en ressentent le besoin en établissant une relation amoureuse avec un homme qui ne respecte pas sa personne, ni ses émotions. Sur ce site cela grouille de ces femmes mal dans leurs peaux, qui sont malheureuses, mais ont tendance à croire qu'elles ne méritent pas mieux. Oui. Je suis psychothérapeute à mes heures perdues. 17. Je ne sais pas si je ne reviendrai pas vers une vie vanille. Je sais en tout cas que c’est un besoin crucial en ce moment, d’être soumise. Mais ce n’est pas une priorité. 18. Tous les 7 jours en moyenne, je remets tout en question. Mes études, mon couple, ma soumission, mon couple, ma soumission, et puis mon couple et ma soumission. Il est vrai que j'ai quelques difficultés personnelles en ce moment avec ma soumission. Je ne trouve pas de réel confident avec qui en parler. A part mon Maître bien sûr, qui sait tout. 19. Je t’avais dit qu’en tant que soumise, je vaux un 2. Tu vois pourquoi à présent? 20. Quand je vais à Nice, mon Maître m’amène toujours chez Carrefour car j’adore cela. 21. Si je rentre en Belgique sans y avoir mangé des palourdes, je tombe dans le mélodrame, mes yeux tristes n’ont plus d'étoiles d'eclat. Et c’est la fin. 22. Je suis anosmique. 22b. Non, relis. Je n’ai pas écrit anorexique. 23. Par contre, j’ai un chien boulimique. Parfois on le confond avec un missile à la maison. C'est passionnant. 24. Je sais que maintenant grâce à ce superbe jeu, tu me vois comme ceci : Avoue. 25. Mais pour ton information, moi je me vois plutôt de la sorte : 26. Je n’ai PAS 26 ans. .
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Par : le 28/01/14
1)J’ai été pendant plusieurs années photo-reporter, spécialisation chambre noire/chambre blanche et une spécialisation en milieux hostile (conflit armée,BNC) et J’ai beaucoup travailler a l’étranger, . 2)J’ai un félin que J’ai élever au biberon qui ressemble a une panthère noire,elle s’appelle «Khally» et partage ma vie depuis 10 ans. 3)Je vis dans un corps de ferme que je répare petit a petit. d’ailleurs a ce propos je ne vis pas a Avignon, même si ma résidence reste assez proche de ce lieux. 4)J’exerce depuis bientôt 9 ans une activité professionnelle atypique. qui au début fut en doublon de mon premier métier. Je m’épanouis pleinement dans ce métier, il Me correspond parfaitement. 5)étant jeune J’ai vécu a Paris quelques mois a quelque pas du «divans du monde» et de la bute Montmartre. 6)J’ai trois piercings et un tatoo ne bois jamais d’alcool, cafeinomane inconditionnel, Je suis fumeur et adore faire la cuisines 7)Je n’est pas de télévision et ne dispose pas de ligne téléphonique fixe, je me connecte a internet via mon téléphone cellulaire. 8)Curieux de tas de choses, J’aime apprendre dans la mesure ou Je n’est pas pu suivre une scolarité normale eux égard a un problème d’addiction. 9)Je suis actuellement en train de mettre a jour Mon site internet. J’apprend le html5 et le css3 ainsi que les bases du php et des notions de mysql. (des lignes de codes a la Matrix). 10)Il n’est pas rare de Me voir en kilt ou en hakama chez Moi. 11)La sexualité a une place importante dans Ma vie, J'aime cela et Je ne M' en cache pas. 12)Je n'ai aucun regrés ni remord et assume tout ce que Je fait et ce, en toute occasion. Le mot honte ne fait pas plus parti de Mon vocabulaire. Pour autant Je reconnais facilement Mes éventuelles erreurs. 13)J’ai la chance d’être libre,et ceci n’est pas un euphémisme. J’ai choisis d’organiser Ma vie pour avoir le moins de contrainte possible. 14)En tant que Maitre, Je suis hold School. J’apporte de l’importance au Vous, et au respect du collier. 15)J’aime les bas couture et les porte jarretelle, Je voue une forme de fétichisme au jambière, au talon haut, et au jupe plisser.Allez comprendre… 16)Je ne supporte pas le rap et la techno, mais Je suis ouvert a tout les autres style musicaux.Je suis admirateur des «Sister’s of Mercy». 17)Mon parfum est «le 3 eme Homme» de Caron. 18)Mon style vestimentaire va du «Slim, avec brettelle qui pendouille, basquet,chemise de grand couturier négligemment porter sous une veste col colonel et chapeau de cuir viser sur la tête» au «costume cravate» ou plus simplement «kilt et news rock» un vrai caméléon. 19)Je ne m’ennuis jamais et suis très indépendant. Je sais que cela et pénible quelques fois mais J’ai besoin de solitude pour vivre. 20)Pour finir, Mon niveau en orthographes et passablement mauvais, j’espère que cela ne V/vous auras pas trop «piquer les yeux» Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ......», 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire.
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Par : le 28/01/14
1 - réfléchir avant de cliquer sur j'aime, j'ai le même problème quand je parle, je suis trop impulsive et je pars au quart de tour. 2 - Mon chien mort il y a 5 ans déjà, me manque tous les jours. 3 - Je ne pleure à la télé que quand un animal meurt. J'arrive pas à me dire que c'est de la fiction. Par contre 15 personnes qui se font massacrer en même temps, ça m'émeut pas. 4 - J'adore mon boulot. 5 - Ma mère m'a fait la guerre quand j'étais jeune (et moins jeune) pour que je mette des chaussons, que je range ma chambre.... J'ai jamais fait, mais dés que j'ai pris mon indépendance et mon premier appart, je suis devenue maniaque et je supporte pas de marcher sans mes chaussons. Je suis un paradoxe sur patte. 6 - J'ai beaucoup de regrets et de remords. 7 - J'ai perdu ma meilleure amie et ma plus grande confidente, ma sœur d'adoption, le 10 juin 2010. Je pense souvent à elle. C'était mon pilier. 8 - Je sais plus quoi dire de plus sur moi à part que je suis une personne entière, qui ne doit rien à personne et j'ai appris à avancer et à être indépendante. 9 - Je ne cliquerai plus sur j'aime enfin comme je suis un paradoxe, c'est pas certain.. Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Paradoxal », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire.
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Par : le 28/01/14
Lentement, tel un serpent qui se déroule Au creux de mes reins sa chaleur coule Laissant sur ma peau une marque écarlate La lueur des bougies se reflète sur mon corps Habillée de ma seule nudité, voulant encore Aller plus loin dans ces sombres tourments Mon corps s'éveille au fur et à mesure D'un jeu sensuel sans commune mesure Au regard de Vous, Mon Maître Dans les sillons déjà creusés par le cuir Sa blancheur s'infiltre sans me faire fuir Vous Mon Maître, Vous imposez ces marques Sur mes yeux, une étole de soie noire Décuple les meurtrissures naissantes Au fil du temps qui passe sans savoir Sensations extrêmes pour un jeu hors normes Connu des seuls (e) initiés (e) que nous sommes Je suis soumise à Vos jeux et désirs A mes poignets, des liens de cuir se posent Pour annihiler toute envie de retraite Sans réserve aucune, en cet endroit, Vous osez Possédée, enivrée de ces sensations Vous me menez au plus profond de mon âme Vers le 'plaisir' ultime engendré par la soumission
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Par : le 28/01/14
Elle est nue devant moi, à genoux, les yeux baissés car telle est sa place et elle le sait. Elle est ma chienne, mon objet, ma chose depuis longtemps déjà et connait ça place. Je viens me placer devant elle, temps un de mes pieds quel s’empresse d’embrasser. Je l’attrape par les cheveux, lui remonte la tête l’arrachant à son devoir de force. Met ma main sous son menton, serre, et la force à me regarder dans les yeux. Elle sait ce qui lui reste à faire, elle défait ma braguette, sort mon sexe et le met dans sa bouche, timidement d’abord, en me regardant cherchant une approbation du regard. Que je le lui donne par un hochement de tête. Alors elle continue goulûment. Je sais qu’elle adore ça, je glisse ma main doucement sur son sexe et sens son envie dégouliner sur mes doigts. Je l’oblige à arrêter de force, ce qui la frustre mais l’excite également. Pendant tout ce temps nos deux « assistantes » sont elle aussi nue chacune dans un coin de la pièce, elles sont restées stoïque et silencieuse depuis le début. Telle des statues elles ne bougeront que lorsque je leur en donnerai l’ordre. Car elles ne sont que des objets, des choses, des extensions de ma pensée, elles ne sont là pour me servir, elles ne sont que des instruments qui prolonge ma volonté lors de cette séance. Elles ne sont que mon bras exécutant ma domination sur ma chienne à genoux lorsque je le décide. Lorsqu’elles ne sont pas cela, elles ne sont que simple observatrice. Leurs plaisir passe par le miens. Ici je suis le Maitre, celui qui décide de la jouissance ou de la douleur de tous les êtres rassemblée dans cette pièce. Mais ses assistantes ne m’intéressent pas, d’ailleurs elles changent à chaque séance, ce ne sont que des femmes du monde BDSM qui ne cherchent qu’à être des objets et que j’utilise seulement une fois pour mon plaisir. Certaine ce révèlent alors, et de temps en temps revienne à mon service mais seule celle qui accepte de n’être que des objets le font. Elles savent qu’à mes yeux elles ne sont rien. À partir du moment où elles sont entrée dans cette pièces, elles sont devenue des choses, des larves, moins que cela encore, plus rien de vivant, seulement des objets que je manipule sans rechercher leurs approbation, ni leurs désir. Seule ma chienne, par mon bon vouloir aujourd’hui, c’est élevée au-dessus du rang d’objet banal et anonyme, de chose usuelle. Elle est maintenant MA chose, mon objet a moi, elle m’appartient, elle reste un objet mais MON objet et je m’efforce de la dresser pour qu’elle devienne une bonne chienne. Là où est sa place, sa vraie place. Elle est donc là la bouche ouverte, mon sexe dur devant son visage, elle a envie de le mettre dans sa bouche mais elle sait qu’elle n’en a pas le droit. Seulement quand et si je le décide. Je souris et lui met une claque sur le visage. Elle me remercie comme elle se doit. Je regarde alors mes assistantes, d’un signe de tête je leur fait signe de s’approcher. Elles viennent vers moi les yeux baissés, lentement. Je tends les bras sur les côtés et leur ordonne de me déshabillé. Ce qu’elles s’empressent de faire. Je n’y mets pas du miens, elles doivent se débrouillée pour que cela soit sensuelle et me soit le moins désagréable possible. Pour renforcer la pression qu’elles ont, je leur lâche un regard noir à chaque soubresaut, un regard qui promet douleur et tourment si elle ne s’applique pas. Ma chienne attend sagement qu’elles finissent, assise et sans un bruit. Une fois nue, d’un geste je les renvoie à leurs postes, prend ma chienne par le menton lui soulève la tête. Fait signe à mes choses de prendre le collier de cuir noir près d’elle ainsi que la laisse en chaine argenté qui va avec. Elle s’approche de ma chienne, et sous mon autorité, l’une lui soulève les cheveux pendants que l’autre lui passe son collier autour du cou. Puis lui mettent la laisse, me la remette en main propre et rejoigne leur poste d’observation. Je tire sur la chaine pour l’obliger à se déplacer à quatre pattes comme j’aime. Puis je la soulève pour qu’elle soit debout. Cela l’étonne car d’habitude flanqué de mes assistantes, je l’attache au anneau dans le mur, m’assoit nue sur mon fauteuil en face d’elle et commence la séance de domination, de douleur et de plaisir infligé par mes objets selon mes ordres et mon bon plaisir. Mais pas aujourd’hui, elle a était une bonne petite chienne pendant les dernières séances, j’ai envie de la récompenser. Je le lui dis, elle me remercie et me dit qu’elle m’aime et qu’elle est à moi, mais ça je le sais déjà, je lui souris de nouveau. Puis je la prends par les cheveux, la jette au sol et l’oblige à me suivre a quatre patte Jusqu’au lit au milieu de la pièce. Je m’allonge alors, et elle attend au pied du lit. Elle sait que les petites chiennes ne montent pas sur les lits sans que leur maitre ne leur en donne l’ordre. Je souris. C’était un test, elle a bien réagit. Dommage, Je comptais la punir un peu, je le pourrais si je le voulais, après tout je suis le maitre et je n’ai pas à me justifier quand à mon comportement, je n’ai pas à être juste, je décide, je suis arbitraire, pervers et dur. Mais ça bonne réaction mérite une récompense. Je suis content de son dressage. Je lui fais donc signe de venir s’allonger dans mon dos. De me serrer contre elle. Plus fort, plus fort encore lui dis-je. Je lui dis de caressé mon corps avec ses mains, elle s’exécute, puis lui dit d’embrasser mon corps partout, de me lécher. Elle commence doucement, tendrement puis ne met pas longtemps avant de se laisser allez a ce petit plaisir. Elle commence à y allez plus frénétiquement, plus sauvagement. Je sens que cela l’excite, qu’elle monte. Alors je la coupe dans son élan, lui rappelant ainsi que c’est moi qui décide de sa jouissance et de son plaisir. Je lui donne l’ordre de se frotter contre moi, je veux sentir sa mouille contre mes jambes, contre mes fesses pendant que ses mains et ses lèvres parcours mon corps. D’une intonation j’ordonne à mes deux assistantes de se rapprocher de nous et leur dit de laisser glisser leurs mains sur nos corps. Une pour moi, une pour ma chienne. Elle s’exécute avec un plaisir non dissimulé. Le faite de sentir ses caresses en plus redonne de l’ardeur à ma chienne, elle mouille de plus en plus je le sens. Elle caresse mon torse d’une main et me branle de l’autre. Je prends la main d’une de mes assistantes et lui ordonne de caresser mes couilles en même temps. Elle vient et lèche à son tour mon corps. J’incite la deuxième, celle qui s’occupe de ma chienne, à caresser son sexe et de la lécher. Pendant que ma chienne me branle, l’assistante qui s’occupe de moi, n’en pouvant plus, approche sa bouche vers mon sexe afin de me sucer. D’un regard noir je l’arrête. Elle oublie qui décide. Je leur dit à toute d’arrêter. Me lève devant le regard apeuré de mon assistante rebelle. La prend par les cheveux et la met à quatre patte. Ensuite je dis à l’autre assistante de relever légèrement le buste de ma chienne afin qu’elle soit dans une position allongé, mais assez relevé pour faire face à la punie et la voir. Je lui dis de continuer à la caresser, de la lécher tout en me regardant toute les deux punir l’impudente. Cette dernière, à quatre pattes, me montre son cul mais fait face aux deux autres. Je vais chercher mes menottes, lui attache les mains ensemble devant elle, les deux jambes entre elle et lui met une boule de soumission dans la bouche. Elle tremble, j’adore ça. Je prends ma cravache puis change d’avis, prend une badine en roseau et me dirige vers elle. Ma chienne et l’autre assistante on tout suivit du regard, en continuant leurs attouchements. La puni ne me voit pas, elle ne peut que deviner ce qu’il l’attend par rapport au regard des deux autres. Je m’en vais lui expliquer sa punition quand les bruits et râle de jouissance de ma chienne ainsi que les succions bruyante de ses seins par mon assistante, m’oblige à élever la voie pour leur dire de se taire. A partir de maintenant je ne veux plus rien entendre, elles se doivent de ne plus faire de bruit tout en continuant. Ma chienne ferme les yeux et se mord les lèvres pour ne pas lâcher de bruit de plaisir pendant que l’autre lui fait du bien, une main sur son sexe et la langue sur ses seins, la léchant sans bruit en me regardant. Elles savent que si elles font du bruit elles le payeront très cher. J’oblige d’un ordre ma chienne à ouvrir les yeux et à regarder. Elle s’exécute et se mord plus fort pour contrôler ses bruits. Bien, j’adore lui imposer ma volonté, même sur sa jouissance, et elle aussi car elle sait qu’elle m’appartient. Je peux enfin reprendre ou j’en étais. Je me penche alors vers l’oreille de la punie et lui explique pourquoi elle va être punie. Elle hoche la tête pour me signifier qu’elle comprend. De la bave coule à la commissure de ses lèvres, la boule l’obligeant à garder la bouche ouverte. Je me positionne derrière elle et lui donne un coup de badine fort qui zèbre ses fesses blanches de rouge. Elle sursaute sous le premier coup, puis sous le deuxième, et le troisième, lui arrachant des cris étouffé par la boule à chaque fois. Les deux autres aussi sursautent à chaque coup. Comme la punie elle tende tout leur muscle, arrêtant leur respiration, attendant le prochain coup puis une fois reçu se relâche totalement dans un cri étouffé. Au bout du dixième, j’arrête, et examine ma puni. Tout son corps tremble de douleur et de plaisir, son sexe dégouline de mouille et de ses lèvres part un fil de bave. Je lui enlève la boule doucement sans me presser. Elle me remercie, une larme roulant sur sa joue. Je prends ses cheveux dans ma main et l’oblige à avancer à quatre pattes, toujours attaché, vers le sexe de ma chienne. Puis je lui ordonne de lécher. Elle s’exécute, ma chienne se retient toujours de faire du bruit malgré le plaisir clairement affiché par son visage. Mes deux assistantes lèchent et caressent ma chienne sous mes ordre, la punie bougeant son beau cul blanc zébré de rouge sous mon nez, mes ardeurs reprennent. Je m’assois sur mon fauteuil en face du lit. Et ordonne a toute de se lâcher, leur permettant de faire autant de bruit qu’elles le désirent, les libérant ainsi de ma soumission sur leur jouissance. Ce qu’elle s’empresse de faire. Très bien. Au bout de quelques minutes je leur donne l’ordre de s’arrêter et de venir se présenter devant moi. Elles viennent toute les trois à mes pieds. J’ordonne à ma chienne de me mettre dans sa bouche, a la première assistante, celle attaché de me toucher les couilles, et a la dernière de venir se placer derrière moi pour me caresser pendant ce temps. Là je profite pleinement de ma domination et me laisse allez a la jouissance. Me laisse allez au plaisir qu’elles me donnent. Non ! Je me reprends. JE suis le dominant, JE donne la jouissance, C’est moi qui décide où et quand. Je me relève vivement les surprenant toute les trois. Ma petite chienne, mon sexe encore dans sa bouche, a suivi le mouvement. C’est très bien. C’est ce que j’attends d’elle. J’ordonne à ma deuxième assistante de l’attaché et de la mettre à quatre pattes, le cul tendu, prêt à me recevoir. Elle s’exécute. Une fois sans défense, prête a me recevoir, je viens dans le sexe de ma petite chienne, la labourant de mes coups de reins sans retenue, comme elle le mérite. A savoir durement et sauvagement. L’une de mes assistantes, celle encore attaché, sous mon ordre viens se placer sous nous et alterne avec sa langue entre mes couilles et le sexe de ma petite chienne. La deuxième se place devant ma chienne et lui donne des claques quand je le lui dis. A chaque coup de mon sexe en elle, ma chienne me remercie. Je la défonce ainsi jusqu’à ce qu’elle me cri qu’elle n’en peut plus. A ce moment-là je sors mon sexe et ordonne à celle en dessous de doigter ma chienne. Puis me lève, passe devant elle et tend mes pieds à ma chienne. Elle baisse la tête pour les lécher. L’assistante, sous mon ordre prend le martinet qui est à côté et fouette le dos de ma chienne à un rythme que j’impose. Au bout de quelques coups je lui prends le martinet des mains et lui ordonne a elle aussi de lécher mes pieds. Elle s’exécute. Je lui donne des coups de martinets dans son dos, alternant un coup pour ma chienne, un coup pour elle. Au bout d’un moment, j’arrête le tout sans prévenir et repasse derrière ma chienne pour la saillie. Et nous reprenons là où nous en étions, elle cris de plaisir et les gifles reprennent sous mon contrôle. Au moment où Je sens qu’elle monte, J’ordonne à mon assistante devant elle de la forcer à me regarder, elle met sa main sur son visage et l’oblige à regarder dans ma direction. C’est alors que je lui crache au visage. Elle jouit de plaisir et me dit qu’elle va avoir un orgasme. Je le lui accorde, elle se lâche en criant, tremblant et serrant les points. Quand elle se calme, je continue à lui mettre quelques coups de reins, je sais qu’une fois qu’elle a jouie elle est plus sensible et que cela lui fait mal, très mal, mais je sais aussi qu’elle adore ça. Je continue donc de plus en plus doucement presque jusqu’à l’arrêt. Alors je me retire. Mes deux assistantes se relèvent la laissant la tremblante a même le sol. Elle lève ses yeux vers nous trois qui la contemplons d’en haut et cette image la frappe, elle sait au fond d’elle que ça place est là. Je savoure l’instant mais je n’en ai pas encore fini avec elle. J’ordonne à mon assistante de détacher sa collègue, puis lui dit de relever en position assise ma chienne. Pendant ce temps je dis à ma deuxième assistante de venir ce placer derrière moi, de blottir son corps contre moi et de prendre mon sexe dans sa main. Puis leur dit de mettre mon sexe dans la bouche de ma chienne, de me faire bouger dans sa bouche à la première et de faire des vas et viens avec la tête à ma chienne à la deuxième. Elles s’exécutent, doucement d’abord puis prenant manifestement du plaisir à cela, de plus en plus vite. Ma chienne bave et s’étouffe sous leurs assauts. Comme j’aime cela. Je dis à ma deuxième assistante d’arrêter les vas et viens, et a la première de me branler sans autre explication. Sans prévenir, je jouis enfin sur ma chienne, mon sperme aspergeant son visage et ses seins par à-coup. Elle pousse un petit cri de surprise puis tire la langue les yeux fermés pour me recevoir. Mon sperme coule entre ses seins, sur ses joues. Elle adore cela et moi, j’adore la voir recouverte de mon sperme chaud. J’ordonne à ma deuxième assistante d’étaler le tout pour que ma petite chienne brille pour moi. Une fois fait, je demande à mes assistantes de détacher ma petite chienne et part m’allonger sur le lit. Une fois détachée cette dernière coure me rejoindre et se blottir dans mes bras. Et la séance se finit par des câlins, elle l’a bien mérité et puis j’en avais envie ce soir.
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Par : le 28/01/14
1) je suis, parait-il, intrinsèquement salope, et je l'assume totalement 2) j'adore le jazz et l'opéra, mais j'ai aussi plein de Mike Brant sur mon iphone 3) Ma 50aine ne m'empêche pas de danser sur les tables dans des bars enfumés 4) J'ai un faible pour Chapeau Melon et Bottes de Cuir période Tara King 5) Je suis amoureux d'Elizabeth Montgomery 6) Je suis heteroflexible, c'est a dire que j'aime me pencher en avant, si il y a un truc miam derrière moi 7) Il y a peu, je suis tombe raide dingue d'une femme Domina ... mauvais timing, mais major major crush, et la certitude que je ne m'étais pas trompé 8) Un jour lointain, alors que pour me faire des sous je jouais du piano dans un bar à Saint MIchel, j'ai pique la voiture de mon papa (chirurgien), parce que étais à la bourre.. me suis fait gaule par des motards sur l'autoroute.. c'était le soir.. je leur ai montre le caducée sur le pare-brise, ma montre (genre, j'ai une urgence).. ils m'ont ouvert la route jusqu'à l'hôpital de la Pitié Salpetriere.. coup de bol, m'ont pas suivi DANS l'hôpital ! 9) Je suis un fan de SF ...John Brunner, Silverberg, Van Vogt, K.Dick... 10) J'adore Certains l'aiment Chaud.. . 11) Si j'étais une fille, je serais folle de moi (bah ouais, les soumis ont un ego et un orgueil hors norme !!) 12) Je pourrais dépenser des fortunes en fringues (mais je me contrôle)... 13) Je passe 2h dans ma salle de bain le matin (bah a mon age, faut bien ca ) 14) J'adooore me faire draguer par des mecs (et les allumer aussi, bien que je sois quand même hetero de base) 15) Il reste encore plein de choses que je ne peux pas dire ici.. on se connait pas assez ! BONUS TRACK 16) Je suis hyper sensible des seins
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Par : le 26/01/14
après plusieurs discutions avec différente personne qui m'ont toutes dit quasiment la même chose, j'aimerais beaucoup avoir votre avis sur la question : "une soumise ou un soumis à t'il le droit de ressentir et d'exprimer le manque de son Maître/Maîtresse et vis versa ?" la question peut paraître bizarre pour certain mais pour moi elle est essentielle, nous ne somme pas des robots, nous somme constitués de chaire, de sang et doter pour certains d'entre nous d'un coeur qui bat et qui ressent les choses. la question est posée sous forme général comme n'importe qu'elle autres questions n'y voyait pas une demande personnel de ma part, mais je pense que certains généralise trop et qu'il parte du principe que la soumission est un carrer dont on ne sort pas, je ne suis pas d'accord avec cela, nous somme tous unique et ces cela qui fait de nous des personne différente tant dans la soumission que dans la Domination, je ne suis pas venue au monde avec le livre de la parfaite soumise dans la main, d’ailleurs quand j'y pense cela aurais choquée ma mère j'ai échanger avec plusieurs personne ici même et ces même personne on remis en question m'on implication et mon dévouement à mon Maître, pourtant chaque jours je lis et regarde les publications de ces même personnes et n'y trouve rien, elle sont vide de tout dénués de sentiments elle me font souvent pensée a une toile de peinture avant que le peintre la touche avec son pinceau, blanche et vide !!!!! mais chacun le voie avec des yeux différent ..... je ne fait pas de règlement de compte oulala pas besoin, je demande juste l'avis de cette magnifique communauté sur la question. chaque jours je me remet en question, je m’améliore et progresse dans mon dévouement et ma condition, alors oui aujourd'hui je vous pose cette question ici a vous toutes et tous ....... au plaisir de vous lire
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Par : le 23/01/14
47 ! ça fait un paquet,non ? Mais bon, si c’est un souhait de maîtresse Isis, je m’exécute. 1.Homme de bientôt 48 ans, 1m75, 72 -74kg, bien dans ma peau, pas trop mal dans ma tête, je suis d’origine vanille mais depuis toujours attiré par le reste du monde. J’aime les sentiers rocailleux ou l’on se fait surprendre agréablement. 2 Je ne suis pas typé méditerranéen et pourtant, dans mes veines coule le sang chaud de l’Espagne. J’en suis fier, même si je ne le revendique pas au quotidien. 3 Plus jeune, j’étais très branché « Sex, drug and Rock’n’Roll « 4 Je ne partage pas ma vie BDSM avec mes amis de tous les jours, du moins pas encore ;-) 5 je suis tombé dans ce drole de monde par pur hasard…et le hasard fait bien les choses !!! 6 Je possède 6 guitares. Chacune d’entre elles a une histoire. La guitare est instrument que l’on serre contre soi, c’est enivrant et sensuel. 7 J’ai déjà eu une aventure avec des hommes, mai je préfère les femmes. 8 J’ai un chat tout noir et super gentil. Il s’appelle Hector. 9 Je suis un homme sensible et très très calin. J’aime la douceur d’une peau de femme et je pourrais passer des heures à caliner une femme avant d’aller plus loin. 10 Les jeux de cordes, ça me plait enooooormement ! 11 J’aime boire avec mes amis et refaire le monde. 12 J’avoue, je suis bagarreur…. La dernière fois que j’ai rossé un mec, c’était au CM2 ! 13 J’ai beaucoup voyagé à moto. Je roule depuis 25 ans 14 Ma partenaire de jeux, en mode domina, est à tomber raide !!!! 15 J’ai déjà fait de plan sexe à 3. 16 Depuis que j’ai découvert le monde BDSM mes attirances évoluent à vitesse V. 17 J’aime faire plaisir au quotidien à ceux que j’apprécie. 18 Dans ma tête, il y toujours de la musique. 19 Je ne planifie jamais mes vacances, toujours à l’arrache. 20 J’ai un kyste sur mon testicule droit qui me fait mal de temps à autres. 21 Je suis skieur. J’adore skier en poudreuse avec mes 2 potes. Je me sens libre. Je suis libre. 22 Je suis très souvent de bonne humeur. 23 Je ne suis pas soumis et je ne suis pas dominateur…. J’aime la savoir à ma merci pour son plus grand plaisir et j’aime être à ses pieds pour la satisfaire. Compliqué ? Nan ! 24 Je passe des heures à caresser mon chat. J’aime les chats. Tous les chats. Les chattes aussi. Ok, je sors…. 25 J’ai été plusieurs fois amoureux, vraiment très amoureux. Toujours de femmes. A chaque rupture subie, j’ai cru mourir. Pourtant, je suis toujours prêt à recommencer, quitte à souffrir plus encore. Je pense que mon coté maso est là.  26 Dimanche 19/1, j’ai participé à mon premier munch. J’ai flashé sur JunonBee et sa crinière… Cette fille, c’est du pur rock’n’roll, sur ! 27 Je ne suis pas très bon guitariste. Helas. 28 Ma partenaire de jeux est une fée. Etre à ses coté me rend profondément heureux. 29 J’aime le jazz, en live si possible. Sinon, Eric Legnini, Ibrahim Maalouf ou Peter Wolf…. Whaou ! 30 Je n’ai pas d’enfant, par choix. Je commence à penser que ce choix n’était pas le bon. 31 Quand mes amies pleurent, c’est vers moi qu’elles viennent pour se faire consoler. 32 La tarte à la myrtille est ma spécialité ! 33 Je ne supporte pas la douleur, et je n’aime pas faire mal… sauf si c’est pour son plus grand bien ! 34 Mon boulot ne me passionne plus, c’est juste alimentaire. Triste, non ? 35 Isis, t’as vraiment forcé : 47, pfiuuuu 36 Je me suis deja fait pincer les fesses par une femme dans la rue ! 37 J’ai beaucoup d’imagination et je suis bon bricoleur. Ça vous donne des idées ? 38 J’aime courrir et faire du VTT. J’aime l’effort, suer, rentrer couvert de boue et les jambes en coton, content d’aller prendre une douche. 39 Ce we, j’ai fait des choses à ma partenaire de jeux que je n’avais jamais fait à personne. 40 Je suis gourmand, j’aime le chocolat et les sucreries en general. 41 Je suis un ancien fumeur pas très tolérant ave les fumeurs. 42 Je suis attiré par la photographie, depuis toujours. J’ai des dizaines d’idée de mise en scène. Va quand même falloir que je me cotise pour m’acheter un bon appareil photo. 43 J’ai eu une relation hot avec une de mes collègues. 44 Je suis troublé quand je sens que je plais à une femme, et gêné quand il s’agit d’un homme. 45 J’aime faire la cuisine, surtout des prototypes que je prends un malin plaisir à faire goûter à mes amis. Personne n’est encore mort d’empoisonnement ! 46 Je ne veux pas perdre toute ma couleur vanille. Je l’aime bien. 47 Je repense souvent à Lydia, une jeune espagnole rencontrée à 17-18ans avec qui j’ai passé un superbe été. Finalement, ca n’a pas été aussi long que ça ! A qui le tour? Daninou
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Par : le 22/01/14
tina 1) Le parfum du cuir m'enivre... 2) Je tressaille de plaisir sous la caresse du fouet. 3) Je suis incapable de resister à une envie... 4) Je suis très, trop, gourmande ! 5) Je fais rien que des bétises, des bétises.... s'il n'est pas là... 6) La douleur me fait souvent rire 7) L'humiliation me fait parfois pleurer 8) La provocation me stimule toujours 9) Un tournevis, un marteau, une clef à pipe...bricoleuse heureuse 10) ST John Perse, Verlaine, Baudelaire encore et encore... 11) Lire, lire jusqu'à plus soif ! 12) Ecrire, parler sont les deux faces de mon 33 tours. 13) Je suis une vraie mère juive... 14) Mes enfants ont donc besoin d'un Psy ! 15) Moi aussi, moi aussi..... moi aussi ! 16) J'aime mon homme et je le lui dit. 17) J'aime qu'il m'aime et qu'il me le dise . 18) J'aime le paradoxe qui trouble la ligne droite ... 19) Mon miroir provoque en moi et colère et dépit... 20) ... Et faire l'amour jusqu'à plus soif...
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Par : le 21/01/14
1 Ma mère a abandonné l'idée de me faire des frères et sœurs, je lui ai suffit... 2 Je ne l'ai pas embêté longtemps.. à 15 ans je volais de mes propres ailes 3 Je les ai brulé quelques fois mes ailes mais je reste un ange... 4 La phrase précédente fait allusion à mon prénom.. devinez... 5 j'ai horreur de l'injustice sous toutes ses formes, je peux devenir une vrai tigresse pour défendre ce qui me semble juste 6 Ma devise est "Quand on veut , on peut" 7 Pour l'instant je trouve la vie belle! Espérons que ça dure... 8 Quand je mourrai, je voudrai faire éparpiller mes cendres sur la prairie de mon cheval.. un peu d'engrais, ça peut pas faire de tort.. 9 Je pleure devant la petite maison dans la prairie, après je me traite d'imbécile.. 10 Mes genoux sont moches, moches, moches, bhouuuuuuuuuuuu!!(Je pleure) 11 j'ai(à ce qu'il parait) beaucoup d'humour(quand je veux!!) 12 j'aime les loups.. 13 C'est moi!!!! 14 L'âge de ma dernière fille
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Par : le 20/01/14
1) Rouge comme certaines marques incarnats sur ma peau fine, sensible, réactive, dont certaines traces de fouet que j'ai adoré recevoir que cela soit au Club Cris et Chuchotements par Pascal le Maître des lieux, ou Monsieur Pierre qui sait manier le fouet qui me fascine. A ces deux personnes ainsi qu'à Mon amour de Maître qui le manie un peu et la confiance est. Dame Nadia à qui j'ai offert ma peau, et Monsieur Wich cet été, Mon Maître protecteur et respectueux a confiance en ces Personnes. 2) Orange à ce jour, je n'ai pas encore dit ce mot dans ma soumission, un jour peut être. 3) Jaune quand certaines marques qui commencent à s'effacer au fil des jours... 4) Vert comme la nature que j'aime, les arbres fruitiers, les pâturages, l'herbe coupée, le jardinage qui me rappelle ma petite enfance chez une nourrice à la campagne, j'aime la terre et l'odeur de celle ci après la pluie. 5) Bleu comme certains bleus sur ma peau dans ma soumission, je marque facilement. Bleu était mon premier speudo sur le site sensationsm. Bleu comme la mer que j'aime par tous les temps 6) Indigo un peu la couleur du lapis lazuli. Comme la profondeur de la mer et de l'océan. 7) Violet comme certaines empreintes de fouet, cravache qui sont présentes quelque jours après avoir été dominé. Violet comme les violettes délicates, et cette couleur que j'aime. 8) Je ne bois aucun alcool, ou une petite larme de champagne de rare fois. J'ai peur quand je vois une Personne saoule, qui s'agite, crie, invective... 9) Ma drogue est le thé, j'en ai plein de petits sachets ou boites décorées, j'aime les jolies tasses, les théières, les salons de thés, j'en bois tout au long de la journée. 10) La lecture me passionne, je suis de nature curieuse, j'aime apprendre, découvrir, ma prédilection depuis 7 ans est pour les livres ou l'on apprend sur soi, je n'ai plus de place. Je suis inscrite à la médiathèque de chez moi. Quand je travaillais sur Paris en tant que secrétaire pour l'armée de l'air, en ayant une heure de train pour l'aller et le retour, j'ai beaucoup lu ainsi quand pension et j'ai toujours de quoi lire dans mon sac à main si je dois me déplacer et que l'attente sera, le temps passe toujours plus vite avec de la lecture. 11) Le cinéma a ma préférence y aller seule n'est pas un souci. 12) J'aime l'opéra avec le film Philadelphia et la voix de la Callas. Placido Domingo, Pavarotti, Carreras, et autre. Mais aussi le rnb, le rock, rhythm and blues. 13) L'histoire découvrir encore et toujours. 14) Je suis fan de talons, j'ai x paires dans des boîtes bien rangées, dont certains que je n'ai jamais porté sauf pour les essayer. j'en prends le plus grand soin et j'aime les cirer, les lustrer Dernièrement, j'ai fait le tri parce que certaines paires, j'ai du mal à marcher avec. 15) J'ai deux chiennes une croisée berger belge rousse de 13 ans passés qui est aveugle depuis 3 ans à cause du diabète et depuis cette découverte, je lui fais deux piqûres par jour, matin et soir. Une autre de 6 mois de différence, teckel à poils durs qui me suit partout, partout et qui pleure quand je pars et m'attends près de la porte, puis se résigne. Des tortues terrestres, les enfants veulent des animaux et qui s'en occupe Maman et j'aime. Un petit lapin depuis un an et demi. J'aime les animaux et leur amour inconditionnel. J'ai un petit jardin et les animaux ont de la place. 16) Mon grand père était Polonais 17) Mon père de Détroit Etats Unis, ses parents avaient immigrés là bas, puis revenu en France il était gamin. 18) J'aime les parfums et ai une collection de miniatures importantes, ainsi que des parfums et eaux de toilette de Lolita Lempicka, Jean Paul Gauthier, je n'ai plus de place et depuis 7 ans j'ai arrêté mes achats divers. Shalimar de Guerlain, Angel de Muggler que j'adore et porte bien souvent. 19) Les marchés, j'aime y flâner, découvrir, sentir, respirer ces odeurs de fruits , fleurs etc. 20) J'ai découvert la série Les Tudors et j'en suis fan, j'ai les dvd et j'aime ces ambiances en costume d'époque, les pourpoints, les décors, les bougies, les pièces froides, les églises, les paysages, les joutes etc. Tous les films, séries, en costume d'époques j'affectionne. 21) Les uniformes ont ma prédilection, en travaillant pour l'armée de terre et air en tant que civile, j'ai été servi. Les cheveux courts, rasés, les consignes, le respect, l'obéissance, l'ordre, la propreté ont mon attirance. j'ai épousé un militaire de carrière que je n'ai pas connu sur mon lieu de travail et à la retraite celui ci a porté un autre uniforme. 22) Les flics n'ont pas mon attirance. 23) Date du jour de la belle rencontre avec Mon Maître, le 23 mars 2010. 24) Le chocolat au lait, il ne faut pas que la tablette soit entamée sinon elle y passe. 25) La solitude j'aime et m'isoler, être au calme. Habiter dans un phare, être toute seule comme la sauvage que je suis parfois suivant les miens. 26) J'aime l'eau, je suis verseau... L'eau qui purifie, lave, qui m'apaise, qui me plait, qui me fait du bien, l'eau qui coule... Aie ! Quand je me douche...J'ai du mal à fermer le robinet. Je me rince, et me rince et me rince. 27) Je fait un peu de gym, du vélo chaque jour, de la zumba depuis l'année dernière, et le stepp avec la musique qui fait boum boum. 28) Les kilos et moi c'est une longue histoire, kilos perdus, on me dit que je suis malade, kilos pris pour cacher mes blessures pour que les Hommes ne me regardent plus, kilos d'une carapace, etc. J'avoue être gourmande et attirée par le sucré. Parait que suis cuisine bien. Tout ce qui est gras ne me plait pas, friture, panés, trop d'huile, charcuterie, etc . 29) Le fouet me fascine depuis que je l'ai découvert, un de mes rêves : être fouettée au sang. Un autre souhait serait d'avoir un branding au fer avec une fleur de lys. J'ai un tatouage rêvé en mai 2011 et réalisé en novembre, des anneaux sur mes lèvres intimes symboles de mon appartenance. 30) J'ai du mal à dire : je t'a... Je l'ai peu entendu dans mon enfance. Je n'aime pas le mot 'plaisir' que je remplace souvent par bonheur ou un autre mot. Certains mots étaient interdits par moi, j'ai appris à les prononcer et les dire, les écrire depuis 5 ans. J'aime la subtilité, la vulgarité que nenni. Les joutes verbales, les taquineries, ce qui est dévoilé, une attirance pour les mots plus que tout, les belles écritures, les belles âmes, les enfants, l'innocence, la pureté, les petits anges blancs. J'aime écrire, et coucher sur papier les mots de mon coeur, de mon âme, de mes tripes, chaque soir en principe, avant de reposer mes yeux, j'écris à Mon Maître c'est lui qui m'a encouragé pour que je publie mes récits, poèmes, acrostiches. Je suis heureuse, j'ai une famille et j'y tiens. Je suis positive, combative et comme j'aime à dire et redire, il faut savoir se relever malgré les épreuves de la vie, la vie est faite de choix, parfois le choix n'a pas été, j'ai du subir mais c'était avant... La vie est belle. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. 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Par : le 20/01/14
A genoux, installée entre mes cuisses ouvertes, tu me défies du regard. Tu aimes ça, me tester, m'allumer et finir par guetter mes réactions... Petite effrontée, va...! D'un coup, je plie ma jambe, la relève et le bout de mon pied frôle ton visage. Tu esquisses un sourire… Mon pouce suit doucement la ligne de ta mâchoire pour terminer sa course au bas de ton menton. Un léger coup sec et te voilà tête en arrière, menton relevé et gorge dévoilée. ...Ca t'apprendra, à me dévisager avec ton petit ton air insolent! Tes cils, écrins de ton beau regard, papillonnent légèrement et finissent par se rabattre sur eux-mêmes. Est-ce un début d'abnégation...? Tes lèvres s’entrouvrent et laissent échapper ton souffle qui a l’air régulier. On dirait que tout va bien, pour le moment... J’ai envie de toi, quand tu es comme ça, un peu vulnérable et tout juste docile… Quand tu appréhendes silencieusement la situation en évaluant les risques... Quand tu te demandes : « mais qu'est ce qu'elle va bien pouvoir me faire ? » C’est en me délectant sans un mot que j’observe ton trouble. Je me lève discrètement en me mettant à tourner autour de toi. Je t'observe sous tous tes angles. Je détaille tes courbes, tes creux et tes sillons. Qu'est-ce que tu es désirable, sans tes vêtements... Tu ouvres rapidement les yeux mais à mon claquement de langue, tu comprends qu'il vaudrait mieux pour toi qu'ils restent clos. Seul bémol : tes cheveux relâchés cachent tes épaules et ta jolie nuque... Je m'agenouille derrière ton dos et les rassemble en un chignon désordonné. Un murmure impérieux s'échappe alors du bord de mes lèvres : « Écarte les cuisses... » Tu t’exécutes sur le champ, et instinctivement tes fesses se relèvent et se collent davantage à mon bassin. Ma main droite s'amarre progressivement à ta gorge offerte, pendant que la gauche se saisit fermement de ta poitrine. Ta charmante petite oreille est juste au niveau de ma bouche; c'est parfait, je vais pouvoir te chuchoter un tas d'insanités tout en les ponctuant de bisous glissés ici-et-là. Tu es délicieuse, cambrée de cette manière. Petite chose, tu es complètement à ma merci...
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Par : le 18/01/14
1) Je suis soumis depuis bientôt 9 ans (première rencontre avec une Maîtresse car je m'intéressais au BDSM depuis quelques temps déjà...). 2) J'ai été marqué durant mon adolescence par des récits de torture durant la guerre d'Algérie et en particulier la "gégène" 3) J'ai été à une certaine époque plus ou moins obsédé par l'idée de sévices et en particulier sexuels ... 4) Jusqu'à ce que je découvre le BDSM, j'ai pratiqué assez souvent sur moi des sévices et auto-flagellations ... 5) Le fantasme qui m'a conduit au BDSM était d'être "torturé" par des Dames. Ma Maîtresse actuelle s'en est souvenue et a monté, en décembre dernier, avec son ex. soumise devenue dominatrice un scénario "d'interrogatoire" assez génial ... (récit, photos et vidéos dans de prochains articles sur son blog et sur le mien). 6) La soumission m'a progressivement soulagé de mes obsessions. Et des rencontres BDSM avec mon ancienne Maîtresse, puis - et surtout- ma Maîtresse actuelle, se sont substituées partiellement au début, puis totalement depuis plusieurs mois aux sévices que je m'infligeais. 7) Ma première Maîtresse m'a initié à la soumission et commencé mon éducation. C'était une Maîtresse vénale, que je ne rencontrais que tous les 3 mois environ, et avec qui je n'avais que peu de contacts entre 2 rencontres...Elle était plus "bondages et contraintes" que flagellations et j'étais un peu frustré de ne pas avoir de marques ou d'en avoir peu... 8) Il y a 3 ans et demie, j'ai découvert le blog d'une grande Dame qui m'a tout de suite impressionné tant par ses qualités de Maîtresse que ses qualités humaines et sa culture qui apparaissaient dans ses articles. J'ai tout de suite rêvé de devenir son soumis. 9) Après un premier refus lié en particulier au fait que j'étais un homme marié, j'ai gardé contact via son blog et 1 an et demi plus tard, Elle a accepté (alors que je ne me faisais plus guère d'illusions) de me rencontrer. Ce fut le début d'une merveilleuse aventure ! 10) Je suis progressivement passé, à partir du moment où j'ai découvert son blog et lu ses articles, et encore plus nettement à partir du moment où je l'ai rencontrée pour la première fois, d'une "pseudo-soumission" où je cherchais surtout à satisfaire des pulsions masochistes (et où d'une certaine manière la Maîtresse était à mon service -payant- pour çà), à une soumission où mon but premier est de satisfaire ma Maîtresse, de lui procurer du plaisir, d'être à son service, ce qui est fondamentalement différent. 11) J'adore ma Maîtresse. Je ne vis pas 24h/24 avec Elle puisque je suis marié et Elle aussi, mais Elle est présente dans mon esprit 24h//24. Je La respecte infiniment et, même si je ne le demande pas, Elle aussi me respecte. 12) Nous partageons les mêmes préférences pour les pratiques (la flagellation) même si ma Maîtresse me fait découvrir plein d'autres pratiques. 13) Dès que je n'ai pas de nouvelle d'Elle pendant plus de 2 à 3 jours, je suis fou d'inquiétude... 14) Elle a connu l'an dernier un dramatique évènement. J'en ai été moi-même terriblement affligé. 14) Très rapidement après nos premières rencontres, je me suis mis à éprouver beaucoup de plaisir à ressentir le plaisir qu'Elle avait à me dominer. 15) Je tire maintenant la plus grande partie de mon plaisir quand je me soumets à Elle, à sentir qu'Elle s'amuse en me dominant. 16) Je peux aller très loin avec Elle. Je peux aussi aller loin avec d'autres dominant(e)s si Elle est présente. J'ai pu constater que c'était beaucoup moins vrai si Elle s'absentait... Sa voix, son regard, le contact de ses mains peuvent me faire oublier complètement la douleur. 17) Ma Maîtresse est une grande Amie, une confidente; Elle en sait plus sur mes pulsions, mes fantasmes, que mon épouse... mais Elle est infiniment plus que çà... c'est ma Maîtresse et le restera, j'espère, pour toujours ! Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour arc_en_ciel». 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 17/01/14
Avant toutes choses, sachez que vous pourrez liker sans crainte mais aussi partir si cela vous déplait... Voici donc 50 citations diverses et variés... 1. Les aigles ne volent pas avec les pigeons... 2. Chienne en chaleur… Mais taureau en rut!!!! 3. La chaleur du lit ne fait pas bouillir la marmite 4. Qui pisse contre le vent… Se rince les dents! 5. Qui loupe le trou … Fait des gouttes partout 6. Les seins, c'est comme les trains électriques, c'est fait pour les enfants mais c'est papa qui joue avec. 7. Après l'orgasme, 5% des hommes s'arrêtent, 5% continuent et 90% ferment leur ordinateur. 8. Quand y a trop de poils, je vois pubiens. 9. On ne doit pas de se masturber pour deux raisons. La première, c'est que cela fait perdre la mémoire. La seconde... J'ai oublié. 10.Faut pas pousser mémé dans une orgie! 11. Marre des faux-culs. Où sont les vrais culs ? 12. Quand chatte mouille, jamais bite ne rouille. 13. Qui fait le malin, privé de vagin, qui fait la maline, privée de pine. 14. Je suis pas venu ici déguisé en laitue pour me faire brouter le cul par des lapins. 15. Si mon cerveau réagissait comme mon sexe, j'aurais souvent de grandes idées. 16. L'égalité des sexes est un mythe, car leur longueur varie beaucoup. 17. la beauté est éphémère, la laideur est éternel… Ou presque. 18. La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit. (Coluche) 19. On dit toujours qu'on peut pas être et avoir été. Eh ben, j'en connais un, dis donc, il a été con et il l'est encore ! (coluche) 20. Une masturbation intellectuel qui devient ainsi bien stérile… 21. Les enfants… C'est comme les pets… On supporte surtout les siens 22. Tous égaux devant la mort et les impôts… Ou presque... La encore... 23. Bonbon et trou du cul… Les deux se sucent mais non pas le même gout 24. A force de se faire sodomiser par le gouvernement, le peuple s’appellera désormais la raie publique. 25. La police municipale vous conseille de ne pas téléphoner au volant. En effet des études ont démontré que le volant ne répondait jamais. 26. Si l'alcool vous gène au travail… Changer de travail… 27. Ne buvez pas au volant… Vous pourriez en renverser… 28. Fumer tue… Peter pue… 29. Le masochisme est une perversion absurde qui consiste à se faire du mal à soi-même, alors qu'il y a les autres pour cela. de Georges-Armand Masson 30. L'optimiste est un masochiste malgré lui. Paul carvel 31. L'oeuvre d'art ne s'obtient que par contrainte et par la soumission du réalisme à l'idée de beauté préconçue. André Gide 32. Le pape est une idole à qui on lie les mains et à qui on baise les pieds.de Voltaire 33. Je courrais toujours pour aller partout, mais je ne pensais pas pour autant que ça allait me mener quelque part. de Forrest Gump, dans Forrest Gump. 34. Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible. Dans Alice au pays des merveilles, le chapelier fou. 35. Rien ne coûte plus cher à un marchand d’arme que la paix.”Lord Of War 36. Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. (Robin Williams dans Le cercle des poètes disparus, de Peter Weir) 37. La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. (Tom Hanks dans Forrest Gump, de Robert Zemeckis) 38. Payer ses dettes, enrichit soi même... Merci SB 39. Le trou : premier passage, dernière destination. 40. Sachez maîtriser quatre choses: l'estomac, le sommeil, la sexualité et l'emportement - Pythagore 41. Rien ne nous trompe autant que notre jugement. Un certain Leonard 42. La simplicité est la sophistication suprême. Toujours le Leonard 43. Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. Nait de la confusion!? 44. De quoi vivrait l'Eglise, si ce n'est du péché de ses fidèles ? Triste quand on sait de qui cela vient 45. Sur une durée suffisamment longue, l’espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro." 46. Il ne suffit pas de se mettre une plume dans le cul pour ressembler a un coq. 47. Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime: mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. 48. Les objets que nous possédons finissent par nous posséder (T.Durden) 49. On aura tous le temps de se reposer au moment de la mort. 50. Vivait maintenant votre vie et arrêter de lire mes conneries… Merci pour ce temps que vous m'avez accordé. Vous pouvez toutefois continuer à enrichir en ajoutant vos commentaires.
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Par : le 17/01/14
Zéro, ou la tentation du néant. J’ai toujours rêvé d’avoir un flingue. Pas pour me supprimer mais plutôt pour en avoir la possibilité, en soupeser le poids et le poli au creux de la paume. Un zéro potentiel, quoi… Un, ou le contraire de l’autre. J’aime dormir seul, j’aime me réveiller seul, j’aime décider seul de ce que je vais faire de ma journée. Ma solitude est sans doute ce que j’ai de plus précieux. Mais j’ai bien conscience que c’est parce que j’ai une vie sociale que je peux me payer le luxe de l’énoncer en ces termes. Deux, ou le problème de la dualité. En moi coexistent un monstre d’égoïsme et d’arrogance et un monstre de générosité et d’humilité. La plupart des gens qui me côtoient se contentent de voir tantôt l’un ou tantôt l’autre, sans se rendre compte que les deux sont inséparables. Je suis la réunion de toute mes contradictions. Trois, l’art du trio. Dans la musique comme dans l’alcôve, j’aime bien les trios. C’est le point d’équilibre d’une collectivité qui laisse de la place à l’expression des individualités qui la composent. Dans une assemblée de plus de trois personnes, j’ai tendance à penser que l’intérêt qu’on peut porter aux humains est généralement inversement proportionnel à leur nombre. Je songe déjà à sauter le quatre, ou la tyrannie du carré. Je n’aime pas les carrés, je préfère caresser des courbes, mais je concède que les parties carrées peuvent arrondir les angles. Je n’aime pas les mesures binaires à quatre temps, parce qu’elles sont en position hégémonique dans la musique occidentale. Par conséquent je m’emploie à en jouer et à en entendre le moins souvent possible. Cinq. C’est actuellement le nombre de femmes qui se disent ouvertement amoureuses de moi. Deux au moins espèrent vivre avec moi une relation exclusive. C’est beaucoup trop pour moi, et cela les condamne à être malheureuses. L’excès d’amour est aussi problématique que sa carence. Sans affects, la vie serait décidément plus simple. Mais sans doute aussi bien plus ennuyeuse, il faut l'admettre. Six. Voilà un chiffre qui ne m’inspire rien du tout. Si, à y bien réfléchir, c’est la première énigme du nombre d’œufs dans la boite destinée à leur commercialisation. Pourquoi six? Je me pose parfois de drôles de questions. Sept. J’ai probablement beaucoup plus que sept amis. D’ailleurs je ne veux surtout pas entreprendre de les dénombrer: cela m’obligerait à faire des choix, à les mettre dans des cases, à les y inclure ou à les en exclure. Il m’est beaucoup plus agréable de penser qu’il y a un nombre indéterminé de personnes avec qui j’ai des relations indéterminées mais globalement sympathiques et parfois sexuelles. Huit. C’est le nombre de bit dans un octet dans le système binaire, que je m’efforce ne pas partager avec mon ordinateur. C’est ce refus du système binaire qui motive ma décision de ne jamais me positionner en terme de «j’aime» ou «je n’aime pas», raison pour laquelle je n’ai aucune raison de participer à ce jeu du portrait québécois autrement que par cette proposition spontanée, puisque jamais je ne dirai que «j’aime», même si je lis souvent avec intérêt. Neuf. Quoi de? Je m’autorise volontiers les glissements de sens. Rien ne me glace autant qu’un logement neuf, qu’une voiture neuve, qu’un instrument neuf. J’aime la patine des choses qui ont vécu. C’est vrai aussi pour les gens; je m’acoquine souvent plus facilement avec ceux qui sont un peu cabossés. Dix. Je déteste le rapport que beaucoup entretiennent à l’endroit des chiffres ronds: cette manière de fêter les décennies, les centenaires, en perdant complètement de vue que cela n’a de sens que dans le système décimal, dont l’adoption est le plus arbitraire des choix humains. Onze. En référence au point précédent, je confesse que par esprit de contradiction un peu puéril, je suis enclin à développer une affection particulière pour les nombres premiers. Douze. La facilité conduirait à dire que c’est là la deuxième énigme de la boite d’œufs. Il m’arrive de ne pas reculer devant la facilité. Treize. En années, c’est l’âge où j’ai commencé à caresser les seins de Soraya. Elle avait dix-sept ans et ne semblait pas moins émue que moi. Il y a peut-être des affinités particulières entre les nombres premiers successifs? Quatorze. J’ai tendance à fuir les habitudes sociales de la période dite «des fêtes». Je préfère débrancher mon téléphone, m’enfermer chez moi avec des réserves de pâtes et de riz et attendre que ça passe pour remettre le nez dehors. L’affluence des foules dans les magasins me déprime. Mais indépendamment de la date retenue pour le faire, je peux concevoir qu’on se souhaite la bonne année parce que c’est un truc cosmique: une année, c’est un tour de manège autour du soleil. J’en profite pour vous souhaiter que la prochaine rotation vous soit délicieuse. Quinze. Ça y est, je commence à me lasser de la linéarité des chiffres énoncés les uns derrière les autres. C’est déjà étonnant que je sois parvenu jusque là. Je vais dorénavant en sauter quelques-uns. Et puis je trouve ça plus éloquent de laisser des trous et des zones d’ombre, ça laisse marcher l’imagination… Dix-sept. Aujourd’hui nous sommes le dix-sept janvier et j’ai une amie qui projette d’aller à la soirée «girl-power» avec moi… Ça peut être intéressant, et en même temps je ne suis pas sûr de m’y sentir très à ma place. Nous verrons bien: c'est dans plusieurs heures et tout peut arriver... Ou pas. Dix-neuf. Je n’aime pas trop parler de moi à la première personne, pas plus qu’en général je n’aime lire ou écouter des gens qui parlent d’eux à la première personne. Sans doute parce que je suis persuadé que quoi qu’on dise, on ne fait jamais que parler de soi, alors autant tenter de le faire avec un peu d’élégance et quelques détours. J’aime bien lire ce qu’écrivent les contributeurs de ce forum parce que j’ai cependant une insatiable curiosité des autres. Oui, parce que pour moi, bdsm.fr est avant tout un forum. D’ailleurs, je ne lis presque jamais la rubrique «articles», trop souvent nombriliste à mon goût, et je crois bien que c’est la première fois que j’y publie quelque chose. Autrement dit, c’est un «dit-neuf»; oui, j’admets que c’est un peu tiré par les poils. Vingt-trois. Pourquoi le dire au début ou à la fin? C’est le jeu du portrait québécois, importé ici par Wondersalope qui a eu là une idée foutrement sympathique parce qu’il y a des gens qui écrivent des chouettes choses à leur sujet, et qui en plus se débrouillent pour être agréables à lire. Vingt-neuf. Pour une raison mnémotechnique très personnelle sur laquelle je ne m’étendrai pas, me fait penser au jeudi noir de la crise éponyme. Trente-et-un. Je n’aime pas me mettre sur le mien, j’ai l’impression d’être dans un déguisement qui ne me va pas. Je garde et porte mes fringues très longtemps. D’ailleurs je mets encore parfois des choses que j’avais déjà au lycée. Trente-sept. Impossible de me rappeler avec précision si, enfant, j’érotisais la prise de température rectale. Mais à y bien réfléchir, je crois que oui... Quarante-et-un. C’est le nombre exact d’ampoules électriques qu’il y a dans l’endroit où je vis. Mais elles ne sont pas toutes en état de marche parce qu’il m’arrive de négliger de les remplacer, parfois pendant plusieurs années. Quarante-trois. C’est le dernier nombre de bougies que j’aurais pu souffler si je me prêtais au jeu des cérémonies familiales avec leur protocole. Mais je fuis tous les protocoles et me soustrais à ces obligations: pour mon anniversaire, je me débrouille toujours pour laisser mon téléphone éteint. C’est une fête secrète, entre moi et moi, mais une fête tout de même: j’aime bien vieillir, et j’ai même tendance à penser que je me bonifie avec l’âge. Quarante-sept. Voici qu’approche la cinquantaine… de points, quand bien même il restera des trous noirs. Il est donc grand temps d’arrêter là la logorrhée. Bien le bonsoir.
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Par : le 17/01/14
1) A 19 ans j'ai manqué me noyer dans la seule flaque de boue d'un terrain de rugby.2) J'ai une peur du vide terrible3) j'ai fait du vol à voile pour tenter de vaincre cette peur4) Jeune l'océan me fascinait et le « monde du silence » de Cousteau a été une révélation5) J'ai fait ma 500 ème plongée a l'orée de l'année 20146) Je supporte la vue du sang mais si quelqu'un vomit je suis « hors circuit »7) J'adore relever les lapsus dans le discours des gens8) Pendant cinq ans ma vie s'est partagée entre le Québec et la France.9) Certaines phrases toutes faites m'énervent ! Exemple : « ce qui ne me tue pas me rend plus fort ».........mouais, tu peux être gravement mutilé en fait (physiquement et/ou psychologiquement)10) J'ai un problème avec l'autorité11) Je suis de nature relativement bordélique, assez peu soigneux sauf de mon matériel de plongée12) Je ne sais pas m'extasier devant une bagnole. Pour moi c'est « quatre roues et un moteur ». Un outil pas un substitut phallique.13) Je ne supporte pas le sport à la télévision14) je ne sais pas résister à sortir une connerie même si ce n'est pas le moment. Cela m'a valu des coups de coudes dans les côtes assez souvent15) le seul vrai manque de ma vie : ne pas être père.16) Mes films préférés : la trilogie du « seigneur des anneaux » et « Magnolia »17) J'adore le mobilier contemporain.18) J'ai un tatouage. Il est temps, pour des raisons personnelles, de le modifier parce qu'il me relie à une autre époque.19) J'adore l'humour noir, teinté de cynisme, l'humour à froid. On m'a déjà traité de « Dr House » à cause de çà.20) Mon métier m'a appris la tolérance. Finalement dans la vie chacun fait ce qu'il peut avec ce qu'il a.....21) La mousse au chocolat maison est ma grande faiblesse22) Je suis fan des bijoux de la marque Fossil. Je porte 24/24 un bracelet et d'un pendentif23) Si je regarde ma vie je la résumerais à trois phases : une où je considérais la raison avant les émotions, une où j'ai fait des émotions le moteur de ce que j'étais et enfin une que je vis comme l'équilibre. J'y ai retrouvé mon estime de moi, l'assurance de mes choix même difficiles.24) Je suis d'un naturel tétu, même si il y a une chance sur des millions je la tenterais. Mais çà c'était avant....j'ai découvert ce qu'est lacher-prise.25) Mettez moi devant un feu de cheminée et je suis hypnotisé pour des heures et des heures26) Lors d'une période particulière et difficile de ma vie j'ai compris que ce qui motive certains à en finir est le besoin que la douleur s'arrête, que le moyen n'importe pas et que la décision peut se prendre en une fraction de seconde et à n'importe quel moment.27) J'adore la sensation de narcose des profondeurs.28) Je ne me souviens que rarement de mes rêves29) Mon plus grand moment de solitude et en même temps d'auto-dérision : lors d'un trek dans le désert de Tunisie, je me suis éloigné du groupe pour satisfaire un besoin pressant. Loin du groupe, bien installé derrière une dune mon rouleau de papier-toilette en main …....j'ai vu sortir de derrière une dune, juste en face de moi à même pas 20 mètres deux bédouins et leurs chameaux alors que cela faisait cinq jours que nous n'avions croisé âme qui vive dans ce désert !...30) Moi et le café noir et fort ! Une histoire d'amour !!31) je vis dans une région de vins mais je suis une truffe pour ce qui est de choisir et goûter un vin !32) Je crois fondamentalement que la théorie des catastrophes (une battement d'aile de papillon …) régit ce que notre esprit nomme « coïncidences »33) Je peux avoir des remords mais pas des regrets. Regretter est vouloir rejouer une situation à la lumière de la connaissance de faits que nous n'avions pas au moment d'un choix et on ne refait pas le passé.Rappel des règles :Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour X »,3) publier ce texte dans votre section « articles »4) me le faire savoir.Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 16/01/14
1/ C'est en toute sincérité que je chuchote ces 49 petites indiscrétions, humblement positionnée aux pieds de Maître Sensei... Ces petites indiscrétions n'ont rien à voir avec le BDSM, mais font partie intégrante de l'humble petite chienne que je suis devenue... 2/ Je suis née aux pieds des Alpes il y a un peu plus d'un demi-siècle... 3/ A six mois... j'étais propre, jour et nuit... Oui, oui, en toute humilité... 4/ J'avais 7 ans lorsque la télévision, en noir et blanc est arrivée dans notre foyer... C'était en 1969, et l'achat avait été fait par mes parents afin que nous puissions voir les premiers pas sur la lune... Je me souviens encore de l'émotion ressentie... 5/Trois ans plus tard, nous avions la télévision en couleur... Avec juste 3 chaînes... Penser avoir vécu cela, avec le progrès et la technologie actuels me semble irréel... J'ai l'impression que c'était hier, sourires... 6/ Pendant mon adolescence, j'ai été somnambule... Mon père a passé des nuits à dormir devant la porte d'entrée pour éviter que je sorte pendant une crise... Cela heureusement n'était pas trop fréquent... 7/ J'ai toujours été depuis mon enfance entourée d'amour, avec 3 petits frères très protecteurs, des parents strictes, mais justes qui nous ont inculqués, je pense humblement, les valeurs de la vie... Nous n'avions peut-être pas beaucoup de moyens, mon père additionnant deux emplois afin de subvenir à nos besoins, mais nous n'avons jamais manqué de rien... 8/ Nous avions crée un groupe avec mes frères et un copain, je chantais, et nous animions des fêtes de villages... J'ai arrêté le chant suite à un problème de cordes vocales... Je suis restée aphone pendant 9 mois... 9/ Je n'ai jamais été une élève assidue, et je n'en faisais pas plus qu'il n'en fallait... J'ai la chance d'avoir une bonne mémoire, et le fait d'écouter en cours suffisait à ce que je sache mes leçons, sourires... 10/ J'ai vu la mer pour la première fois à 18 ans... Je n'aime pas les plages, où nous sommes les uns sur les autres... Par contre j'adore nager en haute mer... 11/ Fan de New wave, j'ai adopté le style « Indochine » pendant quelques années... 12/ J'ai été traumatisée par le film « Les griffes de la nuit », que j'étais allé voir au cinéma... J'avais peur de m'endormir, et que Freddy sorte de mes rêves... sourires... Cela s'est vite arrêté... D'autres films m'ont marquée, pour des tas de raisons différentes... 13/ J'ai été une adepte de parapente... J'ai participé une année, à la coupe Icare, avec un vol en duo... J'aime les sensations éprouvées en l'air, plus aucun bruit... le calme, la plénitude... Ma plus longue balade aérienne fut en duo, 48 minutes à jouer avec les courants ascendants ou descendants... 14/ Paradoxalement, j'ai peur de sauter en parachute... 15/ J'adore prendre l'avion, bien que mon coeur reste sur la piste au décollage, et dans le ciel à l'atterrissage, sourires... 16/ J'ai été, pendant près de 10 ans pilote et co-pilote automobile... 17/ J'ai fait, lors d'un rallye en tant que co-pilote, dans les Alpes 21 tonneaux, en tombant dans un ravin, à l'arrêt, en attendant notre tour pour le départ de la spéciale... 18/ J'ai eu la chance de participer à une finale de coupe de France de Rallye, à Arras, en remplaçant une co-pilote blessée, et de terminer troisième, dans une Golf 16S, boite 6, sortie d'usine... Des sensations, une montée d'adrénaline difficilement explicable... 19/ J'ai eu quelques accidents spectaculaires, pendant cette période, sans aucune gravité... La seule fois où je fus évacuée par les pompiers, c'était aux 24 heures de Chamonix, où j'étais en tant que spectatrice, j'ai glissé et me suis fait une entorse, sourires... 20/ J'ai également fait du circuit en super tourisme, et de la formule 3000... Je ressens encore l'impression d'avoir le souffle coupé lorsque l'on est installée dans la monoplace, et que l'on nous fixe le harnais de sécurité... Sans parler de la vitesse atteinte très rapidement... 21/ J'ai été aimée, adulée dans ma vie amoureuse... J'ai eu 3 compagnons, qui font partie aujourd'hui de mes amis, et sur lesquels je sais pouvoir compter... je les ai tous trois aimés très sincèrement, et très différemment... Je croyais qu'on ne pouvait aimer qu'une fois, cependant, j'ai appris qu'on pouvait aimer plusieurs fois, tout autant profondément, et différemment... Ma Condition aux Pieds de Maître Sensei m'a fait connaître l'Amour Inconditionnel... 22/ J'ai un fils qui est la prunelle de mes yeux... 23/ Il y a 19 mois, la prunelle des yeux de la prunelle de mes yeux a vu le jour... Un tout petit bout prématuré qui a changé beaucoup de choses dans mon humble vie... J'ai découvert le bonheur de devenir grand-mère... Ce petit Mâle me remplit de joie jour après jour... 24/ J'ai appris il y a quelque jours, qu'une nouvelle petite paire de pieds avait commencé à pousser... je serais donc une deuxième fois grand-mère dans quelques mois... 25/ Je suis adepte de la médecine douce, et évite le plus que possible les médicaments, préférant les huiles essentielles et la médecine naturelle... 26/ Je suis également adepte de la lithothérapie que j'utilise sans compter... Les pierres ont, à mon humble avis, beaucoup de pouvoirs que peu connaissent... Je crois humblement aux énergies qui nous entourent et qui peuvent nous être bienfaitrices. 27/ Je n'ai pas peur de la mort, et crois en la réincarnation... 28/ J'ai commencé ma ménopause... Cela m'effrayait il y a encore quelques années, alors que je la vis très bien... Moins de contraintes, et aucun effet secondaire... Vraiment que du bonheur... 29/ Je n'ai jamais été au chomage, j'ai toujours fait en sorte de trouver du travail... J'étais secrétaire, et j'ai cotoyé des corps de métiers très différents les uns des autres, en passant par le médical, la peinture, le juridique, le commerce, les pompes funèbres, l'imprimerie, et d'autres... 30/ Le travail ne courant pas les rues dans notre belle région, je me suis reconvertie, et m'occupe maintenant d'enfants depuis près de 15 ans... Je m'épanouie dans ce nouveau métier... 31/Je me suis fait tatouer à 49 ans... J'en avais toujours eu envie, mais n'avais jamais franchi le cap... 32/ Je n'aime pas la bêtise humaine, ni la méchanceté gratuite que j'ai beaucoup de mal à comprendre... 33/ Je ne supporte pas de ne pas comprendre, et cherche toujours les réponses à mes questionnements... 34/ J'accorde assez facilement ma confiance, n'ayant aucune raison de ne pas le faire... Je ne pardonne cependant pas la trahison, et celui ou celle qui la trahie n'existe plus pour moi... 35/ Je ne pourrais vivre sans musique... J'aime la musique pour la musique, et suis touchée par des artistes très différents les uns des autres, en partant de Mylène Farmer, jusqu'à Métallica, en passant par Nougaro, Prince, Maître Gims, Indochine, Bob Marley, Mickaël Jacskon, Enya, Within Temptation et tant d'autres... 36/ Je suis téléphile... La télé est la première chose que j'allume le matin... lorsque je ne m'endors pas devant, sourires... 37/ Je suis gourmet, et gourmande... J'aime cuisiner, et pense humblement être une assez bonne cuisinière... Je cuisine facilement les spécialités lyonnaises que j'aime particulièrement... 38/ Je suis une lectrice assidue depuis ma plus tendre enfance... Mes auteurs préférés actuels sont Maxime Chattam, Stephen King, Jean-Christophe Grange, et tant d'autres... J'ai adoré la saga « Les enfants de la Terre » de Jean M. Auel, dont j'ai attendue la sortie du dernier volume pendant près de 5 ans, sourires... 39/ Je suis fascinée par la préhistoire en particulier, mais aussi par les civilisations Aztèques, Mayas, Incas, Egyptiennes... 40/ Je suis également fascinée par l'espace... J'aurais aimé pouvoir l'explorer... Je peux rester des heures, l'été, à regarder le ciel... J'ai passé de nombreuses nuits des étoiles, avec des amis tout autant passionnés, couchés en haut d'une montagne, admirant les étoiles filantes... J'aime tout autant l'astronomie que l'astrologie... 41/ J'aime écrite, poser mes émotions sur le papier... J'ai commencé cet exercice à la mort de l'un de mes petits frères... 42/ Comme tout un chacun, je pense, j'ai également eu de mauvais, voir très mauvais passages dans ma vie, dont certains m'ont parus insurmontables... Cependant, j'ai toujours essayé de regarder en face ce qui se passait, afin de l'accepter, et de l'intégrer à ce qui faisait ma vie, afin de me rendre plus forte et sereine... Comme on dit à juste titre, ce qui nous tue pas nous rend plus fort... 43/ J'ai une véritable passion pour les escarpins qui donne un si beau galbe à la jambe... Depuis que j'ai 20 ans, je les enfile le matin, et les quitte lorsque je rejoins ma couche... Je déteste par contre les escarpins plates formes... Je ne porte que des escarpins, ouverts ou non, ou des sandales avec un minimum de 10 cm de talons, ou je marche pieds nus... 44/ Je ne porte jamais de pantalons, ni de sous-vêtements... J'ai toujours été sexy, tout en restant élégante... J'ai toujours aimé la féminité, même pendant ma période New wave, ou même lorsque je faisais du rallye... 45/ Il y a beaucoup de films que j'ai aimé, que j'aime voir et revoir, découvrant de nouveaux détails à chaque nouveau visionnage... Pour en citer quelque uns, je dirais la saga des Star Wars, les Aliens, Pulp Fiction, Cheval de guerre, Apocalyse Now, Harry Potters et tant d'autres... Je ne suis pas très cinéma français, sauf pour les films de Besson... Je préfère, et de loin, le cinéma américain... 46/ Actuellement, j'adore certaines séries comme « Les Experts » et « Esprits Criminels »... 47/Lorsque j'étais enfant, passé la cinquantaine, je pensais qu'on était très vieux, sourires... Maintenant que j'ai passé le demi siècle, je pense humblement que plus j'avance dans la vie, plus j'aime la maturité que j'acquière, et celle que je suis... 48/ J'accepte pleinement ma Condition de soumise que je vis humblement 24/7 depuis 2011 aux pieds de Maître Sensei, et je m'épanouie ainsi... 49/ Tu as dis 49, wonder... Alors, ce sera 49, sourires... Je ne regrette rien de tout ce qui a pu m'arriver, bon ou pas, j'en ai humblement retiré la leçon qui m'était donnée... Je finis ces indiscrétions en déposant une douce bise sur ta joue, WS... Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire... Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 16/01/14
1) Vlan01 veut savoir quelle partie de moi est la plus à croquer, j’aurais bien envie de lui répondre qu’elles sont toutes autant à croquer les unes que les autres, mais je crains qu’il ne se satisfasse pas entièrement de cette réponse, je vais donc tâcher d’être un peu plus précise… 2) Quand j’étais petite, j’ai toujours été la plus grande de ma classe (vous savez, j’étais parmi ceux qui sont toujours au dernier rang sur les photos de classe), j’étais également la seule à avoir de la poitrine, je courais plus vite que tous les mecs et je les battais tous au bras de fer. Je pensais donc qu’une fois adulte j’aurais les jambes d’Adriana Karembeu, la poitrine de Monica Bellucci et la force physique de je ne sais plus trop quelle sportive de haut niveau. 3) Résultat : je suis quand même plus grande que Mimi Mathy, mais pas tant que ça, j’ai la poitrine de Jane Birkin, et quand on me demande pourquoi je ne fais pas de sport, je cite Churchill qui avait répondu à un journaliste que son secret pour rester en forme était le sport : il n’en faisait jamais… 4) Je fais quand même de la danse classique, mais certains disent que ce n’est pas un sport…. 5) En théorie, mon Maître pourrait profiter de ma souplesse, mais depuis un an j’ai mal à l’adducteur gauche et j’ai l’impression d’avoir un corps de mémé avant l'heure. Je repense alors à Churchill et je me dis que j’aurais dû l’écouter, car si je n’avais pas fait de sport, je n’aurais jamais eu cette douleur et j’aurais gardé mon corps de jeune fille ! 6) Mais rassurez-vous Vlan01, mon corps n’est pas encore ridé, l’intégralité en est lisse comme un abricot… 7) J’ai l’impression de faire un gros hors-sujet, mais je me dis que cela serait un peu prétentieux d’expliquer en long et en large quelle est la partie de moi la plus à croquer, je vais donc continuer à développer mon hors-sujet 8) Quand j’étais petite, je voulais être médecin, coiffeuse, caissière et actrice. Résultat : je passe mes journées à répéter à de jeunes gens qu’un verbe conjugué dans une subordonnée se place à la fin de la phrase en allemand… C’est on ne peut plus passionnant… 9) Pour échapper à ce quotidien passionnant, j’aime repenser à mes rêves d’enfance et je me rappelle que je voulais être avant tout princesse. D’une certaine manière, cela se combine assez bien avec le métier d’actrice et j’étais donc très jalouse d’Isabelle Adjani qui a joué dans la Reine Margot. 10) Pour compenser cette frustration (j’ai compris un jour qu’il allait y avoir peu de chance que je sois actrice ou princesse), je me suis intéressée à l’histoire. J’avais décidé d’écrire un livre sur la Reine Margot, ce qui m’aurait permis, par procuration en quelque sorte, d’être princesse. 11) Résultat : je vais travailler de longues années et sans doute écrire un livre sur les causes de la Première Guerre mondiale. Je n’ai toujours pas compris le lien de cause à effet entre la Reine Margot et le déclenchement de la Première Guerre mondiale. En tout cas, si je le trouve, je vais révolutionner la recherche en histoire, ou alors être prise par les historiens pour une illuminée… 12) Je parle beaucoup de mes rêves d’enfance non réalisés, devrais-je aller voir un psy ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, je m’enfonce dans le hors-sujet, je devrais sans doute retourner à l’école. 13) Revenons-en à notre Reine Margot ! Pour être honnête, je n’ai jamais lu le pavé d’Alexandre Dumas ; en revanche, dans le film de Patrice Chéreau, il y a une scène où Margot est maltraitée par ses frères et où ils sont à deux doigts de la violer. J’avais enregistré le film, et je faisais systématiquement retour arrière dès que cette scène était passée ; en tout, j’ai dû la voir une cinquantaine de fois. 14) Je continue ma thérapie en 28 points et, en repensant à mon vif intérêt pour cette scène, je me dis que j’ai commencé très jeune à penser au BDSM, sans en avoir conscience. 15) D’où vient ce fantasme ? Aucune idée. Et vous ? Sauriez-vous dire d’où il vient ? 16) Au fait, Isabelle Adjani a interprété le métier que je fais actuellement dans « la journée de la jupe », je me dis que par procuration de procuration de procuration, je suis une princesse. 17) Je ne suis pas sûre d’utiliser à bon escient l’expression « par procuration ». Qu’en penses-tu Hearbeat ? Je dis Hearbeat, mais ça peut être quelqu’un d’autre, évidemment, c’est juste que je suis béate d’admiration devant un tel maniement de la langue française. 18) Si après la lecture de cette thérapie en 28 points, mon Maître ne comprend pas que je veux qu’il me traite comme une princesse, c’est qu’il manque un peu de perspicacité, et si Hearbeat ne comprend pas que je suis impatiente de lire le tout premier livre que j’espère qu’elle écrira un jour, c’est que…..hum… je ne sais pas comment finir ma phrase, je ne connais pas assez Hearbeat pour savoir de quel trait de caractère cela relèverait. 19) Je ne suis pas en train de dire que mon Maître manque parfois de perspicacité, mais si après lecture de ce texte je vois qu’il ne change en rien son comportement vis-à-vis de moi (comportement qui, par ailleurs, me convient très bien), je préfère penser que c’est juste une question de perspicacité : il me suffira alors de l’éclairer ou d’être encore plus explicite et mon rêve se réalisera ! 20) Quand je lis une recette de cuisine, il faut que j’aie un dictionnaire à côté de moi et que j’aie accès à intérêt pour regarder l’aspect des ingrédients que je dois acheter. 21) Pardonnez-moi, je n’ai pas fait de transition, mais je sais que vous avez tous ici l’esprit alerte. 22) Bref, ce n’est pas en raison de mes talents culinaires que je suis à croquer. 23) Un jour, je me suis énervée contre quelqu’un ; cette personne m’a : « on dirait ta mère ». Depuis, je suis devenue la fille la plus calme au monde. Peut-être que ça fait de moi une soumise à croquer ? 24) Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais j’essaie désormais de traiter le sujet. 25) Mine de rien, en parlant de ma taille dès le début, je crois que je traitais déjà un peu le sujet : avant de découvrir le monde du BDSM, je me trouvais trop petite pour séduire, et dès le premier jour où je me suis inscrite sur un site BDSM, j’ai compris que ma taille était un atout ! Ces grands mâles dominateurs ont davantage l’impression de dominer s’ils peuvent s’emparer entièrement du corps de leur soumise…. Même remarque pour la taille des seins. 26) D’un autre côté, je me suis dit que c’était peut-être aussi parce que les grands mâles dominateurs sautaient sur tout ce qui bougeait : grande, petite, peu importe, ils disent toujours que c’est parfait. Alors les grandes soumises ? Est-ce que les dominateurs vous ont dit que votre taille se prêtait tout particulièrement au BDSM ? 27) Quelle que soit votre réponse, j’oserai faire confiance à mon Maître et continuer à croire que mon petit corps lui plaît beaucoup. En revanche, je suis quand même très curieuse de connaître votre réponse. 28) Vlan01, vous ne m’avez pas demandé dans quelle mesure j’étais une « petite soumise », mais, pour conclure, je vais quand même répondre à cette question (quand on veut éviter de faire des hors-sujets, c’est très pratique de faire les sujets soi-même) : vous aurez compris que c’est parce que je suis petite, mais c’est surtout parce c’est ainsi que m’appelle mon Maître. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 15/01/14
1/mi chieur mi adorable je suis a eviter les jours de mauvaises nuits 2/j exerce dans le domaine de l aide a la personne ce qui peut paraitre paradoxal^^ 3/ rien ne me soule plus que les conflits pour rien pour peu que j en sois la source je le regrette apres 4/ce site m a permit de tres belle rencontres dont tu fais partie 5/je m applique a developper ma zenitude pas simple tous les jours ^^ 6/specialiste des blagues tordues j en arrive souvent a me faire rire tout seul 7/je suis gameur incurable et je l assume 8/ rien ne me detend plus que d observer la nature 9 / je ressens moi meme ce que ressentent les autres je n aime pas voir ceux que j aime dans le desarroi 10/on me surnomme le dominours surnom qui me plait et m amuse ^^ 11/ jai une forte tendance a faire complique quand je pourrais faire simple ^^ 12/reveur et cœur d artichaux ce n est pas simple tous les jours lol 13/je ne peux pas rester sans nouvelles des personnes que japprecie 14/j ai envisage pendant un temps cesser le bdsm mais chassez le naturel il revient au galop 15/ce petit exercice etant termine jespere qu il t eclairera un peu plus ^^
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Par : le 15/01/14
Je dois faire un autre portrait et les couleurs demandées par Lissia et Miss G serons dans le second. 1) Mon Maître est le premier que j'ai et aurai, Il est et sera le seul, l'unique. 2) A la fin du mois, je vais avoir 3 fois 20 ans... 3) Les 3 hommes de mon enfance qui m'ont volé quelque chose ou tentez de le faire, dont un a voulu m'ôter la vie sont morts depuis longtemps, j'ai survécu, je suis toujours en vie, aucun n'a pris mon âme d'enfant et j'y tiens à celle là. 4) 4 ans, c'est le chiffre de la relation avec Mon amour de Maître (fin mars 2014). 5) Je suis du matin et toujours de bonne humeur, contrairement aux miens et cela me plait d'être tranquille et d'écouter de la musique. 6) deux mois avant mes 6 ans ma mère m'a abandonné, avec ma soeur qui avait un an et demi de plus. 7) Nous avons été confié toutes deux à la Dass... 8) Après de nombreux placements en famille d'accueil toujours avec ma soeur, j'ai été séparé d'elle vers mes 12 ans et demi et placée chez les Soeurs dominicaines et autres. Puis de 15 à 18 ans à Laval chez d'autres Soeurs ou j'ai raté de peu mon cap d'employé de bureau. Au dernier pensionnat, il y avait 5 sections de 15 jeunes filles qui avaient toutes été placées pour avoir subi ou connu : la maltraitance, les souffrances, la douleur, et parfois l'indicible. Depuis ma sortie, je garde toujours contact avec la Soeur de ma section. J'ai retrouvé par hasard dans un grand magasin parisien, il y a quelque années, l'amie de ces 3 ans passés là bas et nous avons gardez le lien depuis ce jour. 9) Mon père était alcoolique, violent, inc... il aimait à nous insulter, nous rabaisser, quand il avait bu plus que de raison, lorsqu'il nous avait pendant les vacances scolaires. 10) Les gifles je les crains, elles me font penser à lui, nous devions nous tenir bien droite, les mains sur la tête, le menton relevé. Je marque facilement et mes joues étaient en feu, les larmes étaient là et la colère aussi. Une fois, nous avions caché son nerf de boeuf. aie ! il faisait si mal ce truc là. La première et seule fois que Mon Maître m'a giflé, il a vu mon regard bleu qui est devenu noir et bordé de larmes, de colère, j'ai eu du mal à me contenir, j'ai éclaté en sanglots. 11) J'ai 3 grandes filles, elles sont les amours de ma vie, j'aurais pu les appeler Désirée. J'aurai dû avoir un fils en premier, hélas à 5 mois de ... il s'en est allé. 12) Aucune, ne m'a fait Maminours à ce jour. 13) Il ne m'a jamais porté malheur. 14) J'ai en horreur les fêtes de Noel, bien que depuis 7 ans enfin, je suis parvenue à ne plus penser à ce jour de ma petite enfance ou j'ai eu le tort de voir le visage du Père Noel. Il a piétiné nos deux jouets dont ma poupée noire avec son pagne vert autour de la taille. Depuis que je suis Maman, chez moi, on ouvre les cadeaux à minuit pile, jamais le lendemain. 15) Je n'aime pas les hôpitaux, les blouses blanches, le milieu médical. 16) A ma demande, j'ai fait une thérapie il y a quelque années, pour aller mieux et arrêter de me faire du mal ; accepter mon corps, ma nudité m'a toujours posé problème. 17) Depuis le départ de ma soeur, il y aura 7 ans bientôt (le crabe a eu raison d'elle) je m'aime un peu, il était temps, et ce n'est pas encore gagné. 18) En faisant une demande à la Dass, j'ai pu après un rendez vous, consulter mon dossier et retrouver ma mère à l'âge de 37 ans et demi. Je l'ai écouté, entendu, ce qu'il y avait écrit sur le papier n'était pas sa version, ni celle de mon père, je lui ai pardonné son abandon... J'avais pour ce jour de retrouvaille, achetée un gros bouquet de roses rouge mes préférées et j'étais enceinte de 4 mois en ce jour particulier. 19) Je suis une femme et gamine quelque fois, impulsive, entière, pire qu'une bourrique, parfois je n'en fait qu'à ma tête, impatiente, patiente, un peu capricieuse, (chieuse/chiante selon les miens). Je suis sensible, intuitive, émotive, caractère assez indépendant. On me dit souriante, attachante .... Je suis expressive et si je ne dis rien en paroles, mon visage parle pour moi, toutes mes émotions y sont inscrites, mon visage est un livre ouvert, c'est mon éducatrice spécialisée qui me disait cela. Elle a été comme une Maman pour moi, elle qui n'a pu avoir d'enfant (Elle en a eu beaucoup par procuration) son mari m'a conduit à l'autel le jour de mon mariage. 20) J'ai une maladie chronique diagnostiqué depuis 10 ans, après deux traitements de l'espoir en 2012 qui n'ont pas eu gain de cause, un nouveau traitement lourd sera en mars 2014 pour 6 mois ou plus, je garde espoir et confiance, je vais me battre, je suis combative. 21) En ce qui me concerne, le regard est important, je sais y lire certaines choses. Je suis très regard et ai du mal à baisser les yeux, Mon Maître apprécie mes yeux bleus et comme il m'a dit le premier jour de son invitation au restaurant pour faire connaissance, avec Lui les yeux baissés ne serons pas de mise, je les baisse quand j'ai honte... J'aime la vie pour avoir failli la perdre par trois fois. Deux fois j'ai vu le tunnel, la lumière, ce n'était pas mon jour, mon heure. J'aime sourire, rire, l'humour, la vie est belle. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour arc_en_ciel». 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 15/01/14
1 – Quand j’étais petite j’étais grande mais ça n’a pas duré… maintenant que je suis grande je suis toute petite… 2 – J’aimais jouer aux voitures et aux billes, grimper dans les arbres pour être plus proche du ciel plutôt que des humains, je me faisais des cabanes où je vivais dans mon univers. 3- J’ai grandi à la campagne, j’aimais arracher les pattes des sauterelles et pousser les filles dans les orties…. 4 – A l’école, je me retrouvais souvent toute seule parce que les filles m’ennuyaient beaucoup, j’ai donc décidé de m’allier avec les garçons de ma classe et je me suis mise à jouer au foot. 5 – J’ai fini par avoir tous les garçons à mon service et ça rendait les filles folles et jalouses et ça m’amusait beaucoup. 6 – J’avais un vélo bleu et comme j’étais un peu kamikaze, je ne l’oublierais jamais car la plupart de mes cicatrices sont des souvenirs de nos ballades en tête à tête. 7- Près de chez moi il y avait un lavoir, il m’arrivait enfant de me demander ce qui se passerait si je poussais quelqu’un dedans, un fantasme que je n’ai malheureusement jamais réalisé ! 8 – Mes premiers émois sexuels ont eu lieu dans les toilettes de mon école avec une fille…..bizarrement, celle que tout le monde rejeté…. 9 – J’ai grandi entouré de vinyles (non non, pas les tenues…sourires) les fameux 33 tours, ceux qui se sont faits rares quelques temps et qui reprennent doucement leur place. 10 – Je passais des heures et des heures à écouter de la musique, grâce à cela sans le savoir je traçais mon avenir. 11 – Au fil de mes découvertes musicales mon style vestimentaire changeait, c’est comme ça qu’en une année je suis passée des jupes longues de baba cool au blouson de cuir et jeans déchirés. J’ai gardé mon amour du cuir, allait savoir pourquoi…sourires.... 12 – Un soir, alors que j’allais sur un festival, je me suis arrêtée prendre un verre avec des amis dans un bar perdu en plein milieu de la campagne. Un billard au milieu de la salle m’appelait, j’ai joué avec un jeune homme, une partie, deux puis trois etc…. il a fini par nous inviter à finir la soirée dans son hôtel. C’était un des musiciens de Nino Ferrer, nous avons terminé au petit matin en sa compagnie à chanter à tue tête, un beau souvenir de ma période travellers…. 13 – J’ai fait du bénévolat pendant longtemps pour des associations organisatrices de concert, vu passer des groupes qui n’étaient alors pas connus à l’époque et j’ai eu la déception de les recroiser plus tard quand ils avaient rencontrés le succès. Ils auraient mieux fait de ne jamais être connus, je confirme, le succès rend parfois très très cons…. 14 – Je me suis faite renvoyer de mon collège pour incitation à la grève mais c’était bien marrant d’avoir fait ça. 15 – Un de mes meilleurs amis était le fils du commandant de la gendarmerie de ma ville, j’ai fait les pires bêtises avec lui comme entourer toutes les voitures du commissariat de papier toilette, heureusement son père n’a jamais su tout ce que nous avions fait sinon il aurait démissionné ! 16 – J’ai réussi à m’endormir à côté des baffes pendant un concert au Printemps de Bourges, j’ai un sommeil de plomb, je dors n’importe où, dans n’importe quelle situation si j’en ai besoin, des amis m’ont longtemps appelé marmotte à cause de ça…. 17 – Je me suis retrouvée à faire le marché en portant dans un sac 4 petits chiwawa avec une copine Domina, qu’est ce qu’on ne ferait pas pour ses amies…. 18- J’ai eu les cheveux très très long, jusqu’aux fesses mais trop contraignant pour moi donc je me suis rasée la tête. Il ma fallu au moins un quart d’heure pour réussir à convaincre la coiffeuse de mettre le premier coup de ciseau, je crois que mes cheveux ont ensuite été récupérés pour faire une perruque, j’adorerai un jour la voir si elle existe ! 19- Je me contente de peu, je ne suis pas matérialiste pour un sous, je préfère de loin m’intéresser à l’être humain. 20 – J’ai une facilité déconcerte à faire disparaître quelqu’un de ma vie si j’estime que cette personne est nocive pour moi, pour vivre heureux vivons tranquille pourrait être une de mes devises. 21 – J’aimerai que les gens comprennent que ce n’est pas parce qu’il m’arrive de vivre comme un ours dans ma grotte sans donner signe de vie que je ne les aime pas et que je ne pense pas à eux. 22 – J’ai travaillé pendant longtemps dans le secteur social en pensant pouvoir sauver le monde ou tout du moins le petit monde dans lequel j’exerçais, après 18 ans de bons et loyaux services j’ai jeté l’éponge, écœurée par les faux semblants et l’hypocrisie des têtes bien pensantes qui ne pensent qu’à une chose, le pouvoir et leur image…. 23- J’arrive à passer de ma paire de Doc Martens à une paire de cuissardes sans aucun problème. 24 – Je suis autant à l’aise dans un squat d’artistes que dans un appartement luxueux des champs Elysées ce qui m’a permis de faire de fabuleuses rencontres et de déstabiliser plus d’une personne qui elles seraient en état d’apoplexie dans un squat…. 25 - Je suis cash et sans détours, ce qui m’a joué bien des tours mais quel plaisir de se sentir en accord avec soi même ! 26 – J’ai déménagé de nombreuses fois, tout plaquer pour tout reconstruire ailleurs, j’adore ! 27 - J’ai dompté mon côté obscur il y a longtemps, je l ai transformé en plaisir c’est ce qui ma mené vers le SM et je n’ai jamais été aussi épanouie que depuis ce moment. 28 – Je fais toujours ce dont j’ai envie, quand j’en ai envie, peu importe que ça plaise ou non. Je me fiche éperdument de ce que les autres peuvent penser de moi. 29 – Je ne suis pas très branchée tenue et talons aiguilles, on ma dit une fois que j’étais vulgaire lors d’une soirée parce que j’étais nus pieds, ça m’a fait sourire et ce n’est pas pour autant que je n’enlève pas mes bottes dès que je suis posée dans un lieu. 30 – J’ai une faiblesse par contre pour les accessoires, j’en prends grand soin et je trouve que je n’en ai jamais assez. Imagination débridée quand tu nous tiens…. 31 – J’ai créé Eveil des Inconsciences par pur égoïsme, pour me faire plaisir, frustrée de ne pas pouvoir participer à de belles soirées dans ma région, de ne pas rencontrer des artistes ou des intervenants du milieu SM qui m’émerveillaient, et bien je les ai fait venir à moi. 32 – Maintenant je prends plaisir à partager ma passion, à faire découvrir au public qui fréquentent mes soirées de belles personnes, à leur permettre à leur tour de pouvoir exprimer leur penchants SM dans la joie et la bonne humeur, comme quoi être égoïste peut aussi avoir de bons côtés. 33 – Je suis sadique et je l’assume pleinement, j’aime ce qui est hard, j’aime cette excitation que provoque chez moi les gémissements, les cris, les marques, le sang, j’aime voir un corps qui s’abandonne sous mon fouet, pour rien au monde je ne changerai. 34 - Je suis exaspérée de constater chaque jour le nombre de personnes qui sont intolérantes et si peu ouvertes d’esprit dans notre milieu mais bon, on ne change pas la connerie humaine, vaste sujet qu’on pourrait développer des heures…. 35 - Je suis émerveillée de constater chaque jours que de belles relations se nouent, que le SM c’est aussi de belles histoires d’amour loin des clichés et des codes, loin de ce que l’on peut voir sur la toile ou sur des photos qui a mon sens ne reflètent pas du tout l’image de notre univers. 36 – J’aime la sensualité brute, la douceur épicée, la tendresse sauvage, la beauté décalée, ce qui dérange, ce qui heurte, ce qui provoque des réactions, ce qui ne laissent pas insensibles. 37 – J’aime le calme de la nuit, m’asseoir en pleine ville sur un banc pour écouter le brouhaha ambiant, observer le monde qui tourne à toute vitesse ; 38 - Mais ce que j’aime plus que tout… c’est le chocolat !!!! Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 14/01/14
Paul Valéry, Mélange, Pléiade, Oeuvres, Tome I, p.318 Psaume Y Tout à coup ma main sur toi, prompte et puissante, s’abattra. Je te prendrai par la nuque pleine et ronde, A la base du savoir et du vouloir, entre l’âme et l’esprit. Je te tiendrai par le support de ta tête rebelle, Par le pivot de tes lumières; Je te presserai vers ce que je veux, et que tu ne veux Et que je veux que tu veuilles; Je te mettrai rompue et belle sous mes pieds, et je te dirai que je t’aime. Et je te ploierai par le col jusqu’à ce que tu m’aies compris, bien compris, tout compris, Car je suis ton Seigneur et ton Maître. Tu pleureras, tu gémiras; Tu chercheras une lueur de faiblesse dans mes regards; Tu lèveras, tu tordras tes mains suppliantes, tes belles mains très suppliantes, tes blanches mains comme enchaînées à tes yeux clairs. Tu pâliras, tu rougiras, Tu souriras, tu saisiras dans tes bras nus mes jambes dures; Tu m’aimeras, tu m’aimeras, Car je suis ton Seigneur et ton Maître.
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Par : le 14/01/14
1. IRL Très peu de gens savent que je suis bisexuelle. 2. En terminale, mon prof de philo, en parlant du masochisme mental, a fait une petite parenthèse sur le masochisme sexuel. Pour illustrer ses paroles il a affirmé qu'il fallait vraiment être taré pour dire "oh ouiiii, mets des clous sur ton fouet et frappe plus fooort"... Je me suis dit qu'il avait quand même l'air de bien maîtriser le sujet !! 3. Ca va faire mégalo mais j'aime mon prénom. 4. J'adore mes jobs d'été et de vacances, je m'éclate dans ce que je fais, j'ai parfois l'impression que c'est une chance... 5. Je déteste partir de chez moi le matin quand il fait nuit. Ca ne me booste pas du tout ! 6. Une exception : quand il fait super froid, les grillages sont givrés, ils scintillent, c'est tellement joli... De quoi me donner le sourire dès le matin ! 7. D'ailleurs tous les matins je cours après mon bus en mode Usain Bolt, je me tape des crises d'asthme, je fais tomber des trucs en chemin (le nombre de fois où j'ai retrouvé mon étui à tabac posé dans le hall d'entrée, haha!), mes nunga nunga se balancent dans tous les sens comme si ils étaient au niveau max de l'échelle de Richter, mais au moins j'ai (presque) toujours mon bus ! 8. Je vous raconte pas la déception quand j'ai pas mon bus. Tout ça... pour rien... Je broie du noir toute la matinée après. 9. Je suis fan des chaussures à talon 10. ...Mais je n'en mets presque pas, ça fait tellement mal aux pieds ! 11. Mardi-gras est mon jour préféré de l’année ! 12. Dans mon ancienne fac, il y avait des moutons qui se baladaient dans le parc avec leur berger, c'était bien marrant! 13. Une fois, j'avais un oral blanc qui tombait un mardi gras. Pas de bol pour moi, il pleuvait. J'avais mis des pantoufles roses (ne mettez jamais de pantoufles quand il peut) très neuneu (assorties à mon pyjama à coeurs rose) et je me suis méchamment rétamée dans une pente boueuse et glissante (sûrement à cause de mes pantoufles). Je me suis présentée à l'oral en retard, pleine de boue et en panique. La classe totale, première impression réussie et tout et tout. 14. Je suis fétichiste des robes Elie Saab, les dentelles, la finesse, la transparence... Rhâââaaaan ! 15. Je suis aussi (un peu) fétichiste des dos masculins et féminins. Les petits creux, les sillons, les lignes, c'est super beau. Mais je ne suis pas sectaire, le verso me plait beaucoup aussi ! 16. Je ne supporte pas les aigri(e)s, les gens qui comparent et qui systématiquement regardent dans l'assiette des autres (façon de parler), les fouinasses qui guettent dans l'ombre les gens tomber et qui leur sautent dessus une fois qu'ils sont à terre. Je constate (IRL et ici aussi) que parfois, des gens que je connais de vue (donc pas du tout en fait, avec qui je n'ai jamais eu l'occasion d'échanger) manifestent une certaine animosité, je sais pas trop comment l'expliquer, mais un truc bien lourd et négatif à mon égard. A ces gens : allez vous faire cuire un oeuf, pour rester polie. 17. Avant, je n'étais pas comme ça, on me disait que j'étais trop gentille. Mais ça c'était avant ! On se permet souvent des choses, des mots, des avis sans aucune délicatesse parce que j'ai l'air d'être une bonne poire (on doit se dire "oh allez elle va pas le prendre mal" ), que je fais des blagues et que je "rigole tout le temps" (sic) mais je ne me laisse plus faire. 18. Je suis rancunière. Quand on me fait chier, qu'on se comporte mal avec moi, qu'on se permet des choses que je ne me permettrais jamais, je m'en souviens bien. 19. Ca marche aussi dans l'autre sens. Je marche vachement à l'affect... Quand quelqu'un vient vers moi, m'aide, m'écoute ou me fait du bien je m'attelle à lui rendre la pareille et à le soutenir quoiqu'il fasse. 20. C'est le nombre d'étés que j'aurai bientôt vécu. Brace yourselves, HB is coming !! 21. Ce que je préfère dans le BDSM, c'est l'humiliation et la discipline. J'aime obéir et lâcher prise. 22. J'adore passer mes vacances dans mon lit, mais j'aime encore plus les passer "ailleurs"... J'aime les voyages, on en revient bien souvent avec des découvertes, des rencontres et des expériences plein la tête... 23. J'aimerais bien me débarrasser de mes complexes... 24. J'sais pas trop comment m'y prendre, mais un jour, j'y arriverai ! 25. J'ai toujours eu un peu de mal avec les gens obséquieux et maniérés qui prennent 10 000 détours pour dire un truc. 26. C'est la fin !
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Par : le 14/01/14
1/ Je joue 80% du répertoire de Cabrel à la guitare 2/ Je n'aime pas les gents... Je les supporte par obligation, seul de très rare perles trouvent grâce à mes yeux 3/ Je cours après quelque choses sans vraiment savoir quoi: Le temps, l'argent, le bonheur... Éternel insatisfait, la phrase qui revient le plus dans ma bouche c'est: Vivement demain! 4/ J'ai une véritable préférence pour les gens de moins de 30 ans: Rien à voir avec le sexe (quoi que! ceci n’empêche pas cela!) mais je trouve qu'après 25/30 ans, la masse devient trop conne, chiante et convenue... Bref, elle m'ennuie. 5/ Ne faites pas d'enfants! les plus beaux et les plus intelligents, je les ai déjà fait!! Vous ne pourriez que faire moins bien!! 6/ J'ai lu plus de 10 fois "fortune de France" (13 volumes de 800 pages!)et 4 fois "les rois maudits"!! Je suis incollable sur la période: Philippe le bel / louis 15!! 7/ Je parle de tout très bien, y compris de ce que je connais pas du tout! Avec de l'assurance, on peut inventer presque n'importe quoi, l'inculture ambiante ne se rend compte de rien! 8/ Je suis un bordélique né... Ranger m'ennuie, nettoyé m'ennuie, bref, si vous arrivez chez moi à l'improviste: Attendez vous à un paysage de zone de guerre! 9/ Je cuisine merveilleusement bien.... Les plats que je prend chez le traiteur!! 10/ Si je n'aime pas les gens: J'adore les rencontres: C'est comme une pochette surprise: Dans 99% des cas, c'est un truc à deux balles, mais parfois, c'est une vrai merveille: Et je suis un éternel optimiste pour ça!! 11/ Ne me provoquez jamais: Je suis bien assez con pour mettre dans ma réponse une énergie complètement disproportionnée pour avoir raison! (quoi que j'essaye de me soigner) 12/ J'ai toujours raison jusqu'à preuve irréfutable du contraire 13/ Je suis un amoureux des théories du complots: Prenez ce que vous voyez ou entendez, imaginez le scénario le plus retord et le plus tordu: Multiplié cela par 1000 et Vous vous approcherez de la vérité... 14/ Je suis un ardent défenseur des "causes perdues"! Je ne me place presque jamais du coté des majorités: Pour moi, les masses ont toujours tord: Un de mes grand principe pour réussir: Si tout le monde le fait, fait autrement... 15/Je suis hyper sociable: Je peux m'entendre avec tout et avec tout le monde (ou presque)... Mais ne vous fiez pas à mes sourires... Je ne suis pas mauvais acteur... 16/ Je suis patron parce que je ne supporte pas l'autorité...Et je suis un patron qui ne supporte pas d'être autoritaire 17/ J'ai collé 4 de mes anciens employeur au prud homme et j'ai gagné à chaque fois! 18/ Je me moque complètement de l'écologie! 19/ J'ai le porte feuille à droite... Mais le coeur à gauche: Et il m'est arrivé de voter au centre... 20/ Le BDSM est pour moi une vrai passion: Je ne peux concevoir de construire durablement une relation vanille. Mille millions de merci @Heartbeat! 20 c'est largement suffisent!!
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Par : le 14/01/14
1- Je ne voulais pas trop participer à ce jeu, c’est Vlan qui a insisté encore et encore, pour voir toutes les bêtises que je pouvais raconter. J’ai cédé, fallait il que j’ai envie de lui faire plaisir ! 2- Eh oui, montrer mon corps est une chose, mon âme en est une autre 3- Ce que je préfère dans mon corps, ce sont mes oreilles, 4- Ce que je préfère dans mon âme c’est mon humour grinçant. Ne venez surtout pas avec de l’huile, ce ne serait plus drôle (très dommage l’humour pas drôle !) 5- J’écoute de la musique, tout le temps… en bossant, en marchant, en courant, dans mon bain, en cuisinant… tout le temps 6- Ce qui fait que j’associe des chansons à certains moments de ma vie et que quand elles repassent, je peux soudainement changer d’humeur… 7- J’ai d’ailleurs des playlists pour chaque état d’esprit , aux intitulés pragmatiques : « quand tout va bien », « pour se petit suicider au yaourt périmé», « pour courir », « pour baiser », « pour faire l’amour »… 8- Parfois quand j’écoute Placebo, je me dis que mon alter ego c’est Brian Molko et qu’il n’en saura jamais rien. Et que ça c’est dommage quand meme ☺ 9- J’ai failli répondre en première intention les paroles d’une chanson que j’aime beaucoup et qui dit de façon toute à fait vraie me concernant « I have my mother's dreams, I have my father's eyes, You can't take that from me, Just go ahead and try. » 10- J’aime bien l’art moderne, parce qu’il n’y a rien à comprendre et tout à ressentir 11- Je ne peux pas jeter un livre, c’est juste inconcevable. Mais je ne peux pas tous les garder, faute de place. Alors je les abandonne dans les trains avec des post it disant qu’il faut en prendre soin et qu’ils peuvent apporter des bons moments d’évasion. 12- Ma doctrine de vie est shadockienne « si il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème » 13- Suivi de « si t’as des problèmes, sors toi les doigts du cul et trouve un moyen pour les résoudre », l’empathie ça va 5 minutes. 14- Car oui, je peux parfois être horriblement grossière, parler gras et sortir des horreurs en parant d'un grand éclat de rire (jaime beaucoup cela d’ailleurs) 15- Ce qui est terriblement accentué par le contraste avec mon coté prout-prout. 16- J’ai fumé un paquet par jour pendant 15 ans. J’ai arrêté du jour au lendemain il y a 6 ans. Je n’ai pas pris un gramme, je n’ai hurlé sur personne, mais il n’y a pas un jour qui passe sans que j’aie envie d’une clope ! (Désolée pour ceux qui avaient pris ça comme bonne résolution 2014) 17- Je déteste le café (qui va avec la clope). Tout ce qui est au café. Et je déteste encore plus quand au resto je préviens que si il y en a dans la mousse au chocolat « maison » je n’en veux pas, qu’on me dit que non et que je grimace à la première cuillère. 18- C’est d’ailleurs une des punitions favorites de mon Dominant, de me faire boire un petit ristretto ! 19- En parlant de lui… c’est lui qui m’a initiée, il n’a pas d’égal à mes yeux et je déteste quand il me dit « si ce n’est pas moi, tu trouveras quelqu’un d’autre, peut etre même mieux ». Je ne veux personne d’autre. Et quand je veux pas… 20- Je suis une impatiente de première. Je déteste perdre mon temps mais par contre je sais le prendre pour atteindre mes objectifs. 21- Je suis une angoissée chronique. Mais sur certains sujets seulement. 22- Paraît aussi que je suis maniaque parce que chez moi c’est rangé, propre et que j’accorde mes vêtements, mes accessoires systématiquement. Ce à quoi je réponds que je n’y peux rien si je suis entourée de bordéliques crados qui se sapent comme des épouvantails. Si vous trouvez ça pas aimable, reportez vous au point 4 (et vlan lol) 23- J’aime les belles choses et le confort mais je ne suis pas matérialiste. Tout cela n’a pas d’importance pour moi, si tout venait à bruler, ca m’énerverait mais ne serait pas grave. Les objets auxquels je tiens tiennent dans une toute petite boite. 24- Parmi ces objets, un anneau à mon annulaire gauche. Qui y ressemble mais qui n’est pas une alliance. 25- J’aime observer les gens. Et imaginer leurs vies. 26- Gamine et ado, mes cheveux étaient nazes, s’abimaient avant même de pousser (forcement, le chlore de la piscine les rongeaient) et je prends aujourd’hui grand soin de ma tignasse au raide naturel envié de toutes mes copines armées de leurs lisseurs! 27- J’ai été très sportive à une époque, j’en ai gardé un gout de l’effort et un cœur qui bat très lentement. 28- Et un jour je me suis vautrée, toute seule comme une grande. Je me suis retournée le genou. Il ne fonctionnera plus jamais correctement, j’ai mis 4 ans avant de pouvoir courir à nouveau et connaît toute la vie de mon kiné ! 29- J’ai rencontré ma meilleure amie le premier jour de classe en maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées. 30- Un jour noir, où j’étais au fond du trou, où tout le monde venait me voir en pleurant de compassion, elle est arrivée avec un jeu de société à la con et m’a dit, « vient on joue, ça te changera les idées et pour une fois je pourrais te mettre une raclée ». Et le temps de cette partie, j’ai arrêté d’avoir mal. C’était un premier pas et il m’a redonné espoir. 31- Et pourtant ce n’est pas à elle que je confie mes zones d’ombres, j’ai trouvé pire que moi et je le fais avec lui ! 32- Je ne suis pas superstitieuse, ça porte malheur. 33- Oui Docteur ! Anecdote médicale qui devrait plaire à Vlan : j’ai été un des rares individus à ne pas être vacciné et à ne pas avoir attrapé la rougeole gamine. Ce qui a transformé le responsable du labo de virologie où j’étais en stage en véritable vampire de mon « incroyable sang sans anticorps ». Du coup j’ai passé un tiers du stage interdite de manip et à me farcir de la biblio… autrement dit je me suis faite chier comme c’est pas permis 34- Je n’ai jamais dit a personne pour qui je vote. Et ça agace plein de monde. Du coup ça me fait marrer et je garde le secret ! 35- Mon âge pour encore quelques mois. Et je suis bien plus heureuse aujourd’hui qu’ 20 ans ! 36- J’ai un métier un peu bizarre, personne ne comprend ce que je fais. Donc je dis fréquemment que je suis une collègue de Chandler (oui, celui de Friends, dont aucun des amis ne comprend le job. Faut tout vous expliquer) 37- Je vis chaque jour comme si c’était le dernier. Parce que la vie m’a montré qu’elle pouvait tout faire basculer en un instant. 38- Du coup je suis incapable de me projeter dans l’avenir. Visibilité à un an maximum. Je peux pas faire mieux ! 39- J’ai un petit tatouage qui résume tout cela. 40- Je viens de faire des choix très importants dans ma vie. Professionnels et personnels. Je flippe un peu de voir ce que tout cela va donner. 41- Il y a quelques jours, j’ai été nulle et j’ai fait de la peine à quelqu’un que j’aime de tout mon cœur. J’ai lu la déception dans ses yeux et j’ai cru le perdre. Il n’y a pas pire souffrance pour moi que cette peur. Je n'en ai toujours pas retrouvé l'appétit. 42- Je vais essayer de finir ce questionnaire sur quelque chose de léger, histoire de vous faire oublier comme je peux être sérieuse et pas marrante. 43- Faudrait que je trouve une blague bien pourrie en fait… 44- Qu'est-ce qui est transparent et qui coure dans un champs ? Un troupeau de vitres. Ah oui je vous avais pas dit, mon humour aussi est pas tout net (comme les vitres... ok, je sors) Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 14/01/14
1- Je ne sais pas quoi dire.2- Je suis timide et peu sur de moi, sauf quand je maîtrise mon sujet… 3- Je suis dominant, d’autres le disent en tout cas…4- Je crois en la Vie, j’aime la vie.5- J’aime l’humain. 6- Je cherche à comprendre ce qui m’entoure. 7- Je suis intransigeant. 8- Je suis une vraie peluche. 9- J’aime l’art, c’est une expression de l’âme.10- Je suis (hyper) sensible, c’est une de mes forces.11- Je ne juge personne, j’apprécie ce qu’elle peut m’apporter… ou pas.12- J’aime la Femme et la féminité !13- Mes colères peuvent être destructrices.14- J’aime les dessins animés, les reportages animaliers. 15- Je suis passionné par la photo. 16- Je suis entier. 17- Ayant eu une vie particulière et chargée, j’ai mes propres codes.18- J’ai un cœur d’artichaut, un peu romantique, mais c'est bien caché ^^19- Je suis une épaule, protecteur.20- Je suis un ours blanc pas comme les autres…
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Par : le 14/01/14
1 - Je m'y colle que pour toi. 2- Je trouve Bruce Willis des années 80-90, super sex avec son Marcel blanc dans Piège de Cristal, une journée en enfer.... 3 - J'adore Charlie Sheen et notamment dans Platoon, bref, j'adore les bad boy. 4 - J'aime mater des films d'horreur ou bien gore, seule et tard la nuit. Même pas peur !!! 5 - Je suis au lit avec mon doudou (cf. Ma première peluche refaite). 6 - J'ai fêter mes 30 ans à NYC, et mon fantasme est de coucher avec un américain. Je sais pas pourquoi, sûrement le côté bad boy.... 7 - J'ai presque tous les péchés sauf l'avarice, l'orgueil, l'envie, la paresse.... Bon ben en fait non, juste le pêché d'être génial et formidable. 8 - Ma plus grande douleur avoir perdu un bébé, 48 h seulement après avoir appris que j'étais enceinte. 9 - J'ai déjà fait une opération de chirurgie esthétique.....remboursée par la sécu. 10 - J'ai adoré donner des lignes à des dominants pour qu'ils les fassent juste pour moi. 11 - J'adore les animaux, ils me déçoivent jamais et me rendent au centuple mon amour 12 - J'ai mal au doigt 13 - J'aime pas l'humour "cour de recrée" 14 - Je suis fan d'un chanteur qui fait pas l'unanimité. 15 - Je donne souvent un petit truc à un SDF que je croise avant d'aller au boulot. Il a 2 chiens, dont une âgée et il fait toujours attention à elle. Il me touche, il est très gentil. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour JolieRose», 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 12/01/14
J'avais déjà partager avec vous un texte faite par ma meilleure amie, elle et le BDSM, ça faisait 10 il y a encore quelque mois, quand je lui ai annoncé que j'aimais ça, elle s'y est intéressée et aime même certaine pratique... Elle fait des petits textes sexuel ( des lemons ) et m'en fait très souvent profiter. Voici l'un d'entre eux... Pour vous remettre dans l'histoire, le couple ici ( Jennifer et Till, aussi dit Abigor) viennent de se marier, les deux sont des démons ( parce que ça viens de son histoire fantastico-érotique... Bref ? Oui bien sûr !)..."— J'ai envie de toi, princesse de mon coeur, chuchota Abigor. — Je... J'en ai très envie aussi... Répondit-elle excitée. — Domine-moi... Fais de moi ton soumis, susurra-t-il amoureux, fais de moi ton chien.Faire de lui son chien ? Au premier ou second degré ? Jennifer ne savait pas trop bien, elle était très surprise par cette annonce et se retrouva un peu bête. Till, amusé par sa réaction, pris la main de sa belle et sorti, fier comme un coq, de la petite chapelle. Une fois dehors, le démon la regarda, la dévora des yeux et se mit à quatre pattes. Au début, Jennifer fut amusée de voir ce qu'il faisait, mais le fait de le voir se comporter comme... Un chien, lui procura une sensation bizarre. Il s'approcha d'elle de façon sensuelle, sans la lâcher du regard. Elle frissonna, un peu plus à chaque centimètre gagné par Till, et lorsqu'il fut à sa hauteur, il s'assit et lui tendit la main comme si elle était une patte. La demoiselle sourit et lui prit tout en lui caressant derrière les oreilles. C'était officiel, Till voulait être dominé et dresser comme un chien par sa maitresse. L'idée de dominer Till excitait la jeune femme qui ne cessait de découvrir de nouvelle facette de son époux. Elle tourna la tête et vit, sur un piédestal sombre, un collier de soumission en cuir blanc. Son sang ne fit qu'un tour et elle s'approcha de lui, l'effleura du bout des doigts et le pris. Et elle revint très lentement vers Till qui lui souris et pencha sa tête en arrière, lui offrant son cou. La belle lui attacha le collier autour du cou musclé de son époux et lui attacha une laisse. Elle tira dessus pour le faire venir avec elle, mais Till en soumis désobéissant, se bloqua et tira sur la laisse. Jennifer insista, mais plus elle insistait, plus Till se bloquait, ce qui le faisait rire. La belle compris très vite ce qu'elle devait faire. Elle attacha Till à un pied de table et se dirigea dans la pièce que Till lui avait montrée il y a quelques jours. Elle chercha dans chaque recoin et prit dans sa main un martinet. Elle revint vers le démon et lui présenta le martinet. Till, en voyant et sachant ce qui l'attendait, frissonna et gémit tel un chiot qu'on allait punir. D'ailleurs, il allait être puni. Jennifer passa le bout du martinet sur ses fesses, et sans prévenir, elle l'abattit sèchement, faisant couiner son époux sous la douleur et l'excitation. Elle tenta une dernière fois de tirer sur la laisse et Till se laissa enfin faire. Elle put enfin le diriger dans « la chambre noire », pièce de tous les vices en ce qui concerne le BDSM. Lorsqu'elle pénétra dans ma pièce, elle fit face à un cheval d'arçon où le somment formait une pointe, un poteau, une croix, une table et un fauteuil. Comme son nom l'indiquait, la pièce était entièrement noire où seules quelques bougies illuminaient chaleureusement la pièce. Elle entra avec Till et l'attacha au poteau en ne lui laissant que peu de marge pour bouger. Till n'aimait pas cela, être ainsi retenu. Il se débattit tant qu'il peut, en grognant et souriant, tournant autour de son poteau à quatre pattes. Jennifer réagit immédiatement en serrant son visage entre ses mains, le regardant droit dans les yeux. Till la défiait, il aimait ça, il voulait savoir de quoi elle était capable, à quel point elle pouvait lui faire mal pour leur plaisir. Jennifer hésita longuement, préférant ne pas lâcher son regard. Elle se décida finalement en se redressant. — Tu auras cinq coups de fouet pour me résister. Tu compteras. Chaque fois que tu oublieras un chiffre, tu auras deux coups en plus ! Fit-elle avec fermeté.Elle abattit le fouet une première fois très sèchement, faisant hurler Till de douleur et de plaisir, oubliant de compter. — Compte ! Cri-t-elle en abattant le fouet une nouvelle fois. — Un ! Hurla Till surprisJennifer frappa chaque fois un peu plus fort sur les fesses de Till qui cuisaient au fur et à mesure, ce dernier prenant bien soin de ne pas oublier un seul chiffre. Le démon reçut sept puissants coups de fouet. Jennifer le regarda, lui sourit et l'embrassa avec amour. Elle le détacha de ton poteau et l'assis sur le fauteur, terminant de le déshabiller, et de lui attacher fermement les mains et les pieds. Elle prit une paire de ciseaux et coupa le boxer de son époux, laissant sortir son sexe très long, très large et très dur. Till descendit les yeux et sourit en murmurant : « Tu m'excites Liebe ». Mais il n'eut pas le temps de finir que sa belle lui posa un bâillon boule avec des pinces tétons, qu'elle attacha fermement. Chaque mouvement de tête qu'il pouvait faire lui tirait sur ses tétons, le faisant hurler de plaisir. Il fit rapidement l'expérience et il eut le réflexe de serrer les accoudoirs du fauteuil. Jennifer approcha un plateau du fauteuil avec différents instruments de torture. Elle prit d'abord une roulette à pics. Elle le lui présenta, et la reposa. Surpris, Till la regarda avec de gros yeux. Jennifer lui sourit, passa derrière lui en effleurant son torse velu du bout des doigts. Elle approcha ses lèvres de son oreille et poussa un gémissement très sensuel et excitant pour le démon qui ne put s'empêcher de se mordre le bâillon d'envie et de frissonner. — Tu as envie Abigor, n'est-ce pas ? Sourit-elleLe démon fit rapidement oui de la tête, oubliant ses pinces tétons. La douleur était telle qu'il se cambra et étouffa son hurlement à travers le bâillon, ce qui fit rire sa belle qui caressa son cou. Elle prit un bandeau et le lui posa sur les yeux. Les sens de Till étaient décuplés, il n'osait bouger par peur de se faire mal. Jennifer repassa devant lui, prit un Ring cock et le lui installa à la base du sexe de Till, serrant son membre et ses bourses. Till se mit à grogner sous la pression qu'il pouvait ressentir dans tout son sexe. Sa respiration s'accéléra et le démon pouvait sentir son coeur battre la chamade tant il avait envie de sa belle. Jennifer reprit la roulette à pics et la fit glisser sur le bas ventre de Till qui gesticula de surprise. Elle remonta le long de son ventre, son torse et fit le tour des tétons dressés et douloureux de Till qui n'en pouvait déjà plus. Il baragouinait des mots incompréhensibles à cause du bâillon, mais ce n'était pas pour autant qu'elle cèderait aux pulsions de son homme. Elle fit ce petit manège durant plusieurs longues et interminables secondes aux yeux de Till. Lorsqu'elle s'arrêta, Till se demandait ce qu'elle préparait encore et s'il allait avoir mal. Mais pas du tout ! Jennifer prit entre ses doigts une plume qu'elle passa sur le bout du gland de Till. Ce dernier donna un coup de bassin instinctif. Il ne pensait jamais l'avouer, mais l'effet de l'effleurement de la plume sur son sexe excitait encore plus le démon qui grognant et gémit de plaisir. Mais Jennifer ne voulait pas laisser ce plaisir-là à son homme. Aussi, elle prit une bougie à portée de main, la pencha pour y verser la cire sur ce gland plein de désir. Till hurla de douleur en se cambrant et en accrochant les accoudoirs. Elle recommença plusieurs fois avec la bougie, faisant couler les larmes de Till tant il avait mal, mais aussi tant il avait envie d'elle. — Alors bel homme, tu as toujours envie de moi ? Sourit-elle avec envie. De quoi as-tu envie ? Tu veux sentir un truc autour de ce merveilleux engin ?Till, tremblant comme une feuille, sourit et fit doucement oui pour ne pas tirer sur ses tétons. La jeune femme lui embrassa la joue, masturba délicatement son époux en prenant une pompe à pénis. Elle n'avait jamais utilisé ce jouet, mais c'est comme si c'était le contraire. Elle plaça la pompe autour du sexe de Till, embrassa son cou et sans prévenir, elle commença à appuyer sur le ballonnet pour aspirer le membre du démon, qui, au fur et à mesure des secondes, se cambra petit à petit. Il n'en pouvait plus, il voulait la sentir, la pénétrer avec amour. Le démon se mit à se débattre violemment, sa patience était sur le point de rompre. Jennifer sursauta et sourit. Elle retira la pompe très lentement, tirant sur ce sexe très dur et sensible, puis l'anneau vibrant. Avec une douceur extrême, elle retira la cire sur le gland de son démon qui grimaça de douleur. Elle retira ensuite son bandeau et le bâillon. Le démon cligna des yeux et les ferma avant de les ouvrir en grand. Sa respiration était courte et bruyante. Il regarda la demoiselle face à lui. C’est avec une lenteur extrême et avec un sourire charmeur que la belle ôta son bustier, puis son jupon tout en léchant ses lèvres, laissant voir un porte-jarretelle. Elle le fit claquer contre ses cuisses en mordillant ses lèvres. — Jenny ! Je t'en supplie fais-moi l'amour ! Baise-moi ! Fais ce que tu veux de moi, mais je veux te sentir ! Hurla Till en la suppliant.La belle n'en avait que faire. Elle s'approcha de Till, le chevaucha, enroula ses bras autour du cou de son homme et frotta son intimité protégée par un shorty trempé de désir. Till ne pouvait pas bouger, et la pression qu'elle exerçait sur son sexe le rendait totalement fou. C'est en toute discrétion qu'elle écarta son sous-vêtement et se frotta plus rapidement au sexe de Till. — Liebe... Je t'en pris... Je n'en peux plus d'attendre... . gémit-il — A quatre pattes ! Vite ! Ordonna-t-elle en se levant et en le détachant.Till s'exécuta aussitôt, tremblant sur ses mains et gêné par son érection. Jennifer lui remit un autre bâillon avec deux god dessus. Elle se mit à son tour à quatre pattes devant lui et lui ordonna de la pénétrer. Till se rebuta un peu. Vexée, Jennifer se redressa, coucha Till sur le dos, pris la cravache, le sexe du démon et tapota rapidement la cravache sur son gland. Till se débattit comme il pouvait, gémissant et versant quelques larmes. Son cerveau lui ordonnait d'avoir du plaisir et de la douleur, il était perdu. De temps en temps elle s'arrêtait pour mieux reprendre aussitôt. Une délicate torture à ses yeux, la pire pour Till qui ne voulait qu'une chose, la pénétrer. Après presque une minute de torture, elle le remit à quatre pattes et se remit devant lui. — Pénètre-moi ! Ordonna-t-elle très sèche.Till approcha les gods de son bâillon et les pénétra en elle très doucement. La belle lécha ses lèvres et gémit de plaisir. Elle n'avait jamais encore été sodomisée et redoutait un peu la douleur. Till fit un premier va-et-vient lent et accéléra très progressivement. Si elle avait mal au niveau de ses fesses, le plaisir qu'elle ressentait au niveau de son intimité surpassait la douleur. À son tour, elle ondula et accompagna Till dans ses mouvements, l'encourageant à accélérer, ce que Till s'empressa de faire. La douleur de la sodomie était passée et avait fait place au plaisir, mais la belle se lassait de ce god. Elle se retira de Till, le poussa pour l'allonger sur un tapis matelassé, le chevaucha en le pénétrant directement. Le démon en eut le souffle coupé. Jennifer posa ses deux mains sur le torse de son homme et ondula rapidement, faisant de petits cercles avec son bassin. Le démon posa ses mains sur ses hanches en gémissant très fort. Il avait enfin ce qu'il voulait, il pouvait enfin lui montrer son amour pour elle. La belle serra le visage de Till entre ses mains et le força à l'embrasser. — J'aimerai être plus souvent forcé de l'embrasser, pensa le démon en souriant.Till ne savait pas si ce qu'il allait faire était bien ou non, mais il prit l'initiative d'accompagner sa femme dans ses mouvements, et bien qu'elle fut surprise par ce geste entreprenant, Jennifer fut comblée. Le sexe de Till allait si loin en elle, presque au bout, et il n'avait pas pénétré entièrement son sexe. Le démon se redressa pour s'assoir, la blotti contre lui en accélérant son bassin. L'étroitesse de son vagin procura à Jenny un plaisir tout autre. Instinctivement, elle enroula ses jambes autour du bassin musclé d'Abigor, caressant ses cheveux avec tendresse et amour. Till ralentit ses mouvements et les fit plus ample, plus doux, mais cette fois il allait au bout d'elle. Jennifer en eut le souffle coupé et elle pouvait sentir un début d'orgasme arrivé. Till reprit un peu le dessus et se retrouva maintenant au-dessus d'elle, la regardant et la dévorant du regard, plus amoureux que jamais. Jennifer embrassa les lèvres fines de son homme et en profita discrètement pour prendre un sextoys vibrant. Lentement, elle le pénétra en lui. Till, sentant quelque chose entrer en lui, sursauta et donna un coup puissant à sa belle qui eut le souffle coupé sous un orgasme qu'elle n'avait pas prévu si tôt. — Pardon mon amour... Bégaya TillLa demoiselle ne répondit pas et pénétra le sextoys plus loin en lui, et une fois cela fait, elle le démarra. Till hurla de surprise et de plaisir alors qu'elle ondulait le jouet rapidement et loin en lui. Abigor ne cessait de gémir, de plus en plus fort et de plus en plus vite. Le couple se sourit et s'embrassèrent alors que Till reprit ses mouvements de bassin, cette fois plus forts, plus puissants et plus secs. Jennifer ne sentait déjà plus son bassin à cause des coups démoniaques et de l'orgasme qui lui avait pris d’assaut tout son bas ventre, et pourtant... Un autre orgasme se préparait, et il allait être plus puissant que l'autre. Till se retira de sa belle, ondula lui-même le toys qu'il avait dans les fesses, grognant et gémissant comme jamais. Jennifer s'assit et s'appuya contre le fauteuil, passant sa main sur son clitoris qu'elle décida de malmener alors que son époux se faisait presque avoir un orgasme. Ils se regardèrent, amoureux et envieux l'un de l'autre. En manque de son époux, Jennifer se leva, retira le jouet des fesses de son époux et le chevaucha avec fougue et passion. Till la blotti de nouveau contre lui en l'accompagna avec amour. Lui aussi sentait l'orgasme arriver, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, mais le ring cock autour de son sexe bloquait un peu et retardait son éjaculation. Le démon grimaça, souffla en resserrant ses mains sur le dos de sa belle tandis que cette dernière planta ses ongles dans son dos. Le démon n'en pouvait plus et c'est avec un coup de bassin plus puissant que les autres, le corps tremblant et des râles rauques qu'il répandit sa semence en elle, la faisant hurler de plaisir et atteindre un orgasme encore plus puissant.Blottis à même le tapis l'un contre l'autre, haletants et trempés de sueur, les deux démons tentaient de reprendre tant bien que mal leur souffle. Till avait pris la fâcheuse habitude de poser sa main sur l'un des seins de sa belle sans pour autant avoir une connotation sexuelle, mais plutôt amoureuse et affective. Jennifer se retourna pour lui faire face, caressa son torse doux et chaud. — Liebe...? Murmura-t-elle. — Oui mon amour ? — Est-ce que... je... J'ai été bien...? Demanda-t-elle un peu apeurée. — C'était parfait pour ta première fois, je t'assure, sourit-il en la blottissant contre lui coeur. — Mais... Tu as aimé...? Je ne t'ai pas fait mal? — J'ai eu mal, mais j'aime la douleur, surtout quand mon épouse me maltraite, répondit-il très rassurant."
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Par : le 12/01/14
1. J'ai cliqué sur j'aime parce que je trouve le principe amusant. Et sur ce profil en particulier, parce que j'ai lu suisse, et qu'on en croise pas si souvent.2. J'ai 35 ans, il paraît. En ce moment j'ai plus l'impression d'en avoir à peine 20. Je (re)vis. Et fait tout ce que je n'ai pas fait à cette époque.3. J'ai un garçon de 11 ans et une fille de 8 ans. Ils sont les amours de ma vie. J'aimerai les protéger de tout ce qui pourrait leur faire du mal. Et dans le même temps j'aimerai qu'ils vivent toutes les libertés que je n'ai pas eue. C'est paradoxal je sais. 4. J'ai longtemps été accroc à World of Warcraft. Et surtout aux gens avec qui je jouaient. Certains ne sont que des souvenirs de pseudos, d'autre des connaissances, trois ont passés le cap de véritables amis et il y a mon meilleur ami. Celui qui sait tout de ma vie de a à z. 5. J'ai perdu des années à détester mon corps. Le jour où j'ai arrêté j'ai commencé à perdre du poids. Aujourd'hui si je perd encore tant mieux, sinon tant pis. Tant que je ne prend pas ça me va. Mon corps et moi c'est une relation compliquée et lui et moi on en aura jamais vraiment finit je pense. On est en trêve.6. Mon pseudo vient d'un manque d'imagination. Je ne pouvais pas prendre celui qui me "suit" habituellement sur le net. Évidemment je regardais le 5eme éléments quand je l'ai "créé" (copié serait plus honnête). Le 78 c'est simplement mon année de naissance. Je pensais pas que ce "nom" me suivrait si longtemps. Encore moins qu'il deviendrait une partie de moi. De pseudo internet, Lilou est aussi devenu mon nom de soumise si nous sommes avec d'autre personnes. Mon vrai prénom il est le seul à pouvoir l'utiliser dans des moments bdsm. 7. J'ai en partie été élevée par mes grands-parents paternel. J'ai passé avec eux au moins autant de temps, si ce n'est plus, qu'avec mes parents dans mon enfance. J'en garde des souvenirs cher à mon cœur et des valeurs simples d'avant que je transmet à mes enfants. 8. Je suis très timide et réservée. Il faut du temps pour que je m'ouvre à quelqu'un. Et en même temps j'adore rencontrer de nouvelles personnes.9. D'aussi loin que je me souvienne l'univers bdsm m'a toujours attirée. Sans y mettre de mot au départ. Dans comprendre qu'elles étaient ces envies "bizarre". 10. Je béni l'arrivée d'Internet qui m'a permis de comprendre que non je n'étais pas folle. Que oui y'avait d'autres personnes avec les mêmes idées. Ce qui n'empêchera pas que je mette des années avant d'assumer en "vrai" mes envies.11. Je suis gourmande dans la vie, comme dans le sexe. C'est mon explication à moi de pourquoi j'aime autant coucher avec un homme qu'avec une femme. 12. J'ai un chat appelé Maou. Il a très bien compris son nom et passe ses journées à l'hurler dans tout l'appartement. Ce qui me donne des envies de meurtre. Surtout vers 3h du matin quand un MAOUUUU roque et déchirant me sort du sommeil que j'ai difficilement trouvé 10 mns avant.13. J'ai aussi un chien. Qui objectivement ne ressemble à rien. C'est un croisement fortuit entre un jack Russell et un chien nu. Ça donne un chien avec des cheveux dessus et nu dessous. Bizarre. Mais tellement câlin, gentil, qu'on craque forcément devant lui. 14. Mon chat et mon chien s'aime. Trop. Ce qui fait dire à mon fils qu'on à les seuls animaux "homo zoophile" du monde. 15. J'adore conduire. Ça me détend. Sauf en ville où je m'énerve vite contre les c**** incapable de prendre un rond point double correctement. Me manque juste une vraie jolie voiture qui accélère pour être heureuse. En attendant je conduit ma vieille voiture qui au moins roule, je lui en demande pas plus.16. Je ne suis pas sportive du tout. Je vis dans le paradis du ski, j'ai bossé en restaurant d'altitude et pourtant mon seul rapport amical à la neige c'est en luge que je peux le concevoir. Je me suis remise au patin à glace juste pour accompagner ma fille. A la base mon rapport à la patinoire, c'est a chanter dans les gradins.17. Il y a presque un an, j'ai pris le risque fou de répondre à une annonce. De me rendre au rendez-vous. De faire fi de toutes les règles de sécurités. J'ai eu de la chance je le sais. Je ne le referais sans doute pas. Mais malgrès tout je me réjouis encore et toujours de l'avoir fait. J'ai ainsi pu connaître celui qui depuis ce jour m'accompagne, me guide, m'ouvre des plaisirs pas encore imaginé. Me permet d'être moi, juste moi pleine et entière. ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
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Par : le 12/01/14
1- j'ai 43 ans et toutes mes dents 2- je trouve ce jeu très con mais j'aime les.. (à quoi pensez vous ?) 3- j'assume ma vie vanille et quatre mini-moi 4- ma sévérité est toujours justifiée 5- mon vice est toujours apprécié 6- mes chevilles n'ont pas gonflé.. hé hé 7- j'aime l'élégance, en verbe, en être 8- je suis félin 9- deux chats chez moi expliquent le point précédent 10- j'aime offrir la badine 11- j'aime jouer avec les cordes 12- j'aime mélanger douleur et caresse 13- j'aime le foie gras, le bon vin, les huîtres du Bassin, et ... oh ce serait trop long 14- mon métier consiste à diriger.. des projets 15- mes yeux bleus savent paraître noirs 16- je savoure l'odeur de mes feux de cheminée.. 17- ..et les ploufs en été 18- je suis de corpulence normale (plus fin que celui qui se dit "normal".. rue du faubourg St Honoré) 19- je m'intéresse à l'actu.. une curiosité naturelle 20- je suis voileux, golfeur (en remplacement du rugby, et oui.. à mon âge), pelotari.. quant au ski, j'arrive à descendre.. 21- j'aime les femmes.. pour ce qu'elles sont et ce qu'elles savent exalter 22- j'ai eu la chance de faire le tour du monde 23- je me suis mis à la cigarette électronique.. et ne tousse plus 24- je fais mon propre piment d'Espelette (un basque reste un basque) 25- merci à celles et à ceux qui ont lu jusqu'ici.. la suite sera justement épicée 26- j'ai vécu le libertinage.. une alternative un temps à ce que je suis 27- je pense que maîtriser permet de guider.. 28- ..mais il convient de savoir se maîtriser 29- j'ai toujours dominé (toujours = vingt ans).. un naturel qui s'est imposé 30- j'ai une certaine expérience mais je me remets toujours en question.. un réflexe jusqu'ici bénéfique 31- j'aime jouir et partager ce moment, qu'il soit simultané ou objet de fierté 32- j'aime l'appartenance tout autant qu'offrir mes séances 33- je suis endurant dans le jeu chère Lissia Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Oplum », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire,
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Par : le 10/01/14
1- Nous avons monté le site BDSM.FR par hasard, parce que nous avons découvert un jour que le nom de domaine était libre 2- Certains d'entre nous sommes à l'initiative de www.charnelleattitude.com 3- Les mêmes sont tout en rondeurs ou amateurs de femme ronde 4- La plupart des membres de l'équipe ont une expérience du BDSM plus ou moins poussée 5- Dans l'équipe, il y a une personne ayant connaissance de la soumission 6- Dans l'équipe, il y un switch 7- Dans l'équipe, il y a une domina 8- Dans l'équipe, il y a un couple dom 9- L'un de nous a un doctorat de sciences 10- Un ou deux vont tous les ans aux Festival des Vieilles Charrues à Carhaix (qui promet une superbe édition 2014) 11- Nous manquons de temps pour faire tout ce que nous souhaiterions pour le site 12- La plus vieille rencontre en ligne "sexuelle" faite par un membre de l'équipe date de 1990 (Minitel) 13- L'un de nous est électricien 14- Qu'on nous accuse de lire les MP dès gens est la pire insulte qu'on puisse nous faire ... 15- ... car quitte à être voyeur, on préfère l'être en vrai 16- On a voulu faire un site gratuit par idéologie et militantisme 17- ... et c'était encore plus vrai pour CharnelleAttitude 18- Notre site BDSM payant préféré est SensationSM 19- On met de la publicité sur le site pour payer les deux serveurs qui font tourner le site 20- Quand le serveur plante, on est plusieurs a recevoir des SMS pour réparer, ca nous reveille (ou pas) parfois à 3h du matin 21- On a envie de foutre des baffes à ceux qui agissent ou réagissent comme des clients/consommateurs 22- On vire parfois des membres qu'on appréciait mais qui enfreignent les règles, dura lex, sed lex 23- On supporte au quotidien des membres qui nous insupportent, on aimerait tant qu'ils transgressent les règles, mais dura lex bis repetitae 24- Gérer une communauté, c'est comme travailler dans un restaurant toute la journée, ça donne pas envie de faire la bouffe 25- ... et oui, la modération entame plus ou moins la libido 26- Comme ce n'est pas une activité alimentaire, on veut pas trop s'emmerder non plus ... 27- ... on fait les choses par instinct, par conviction, pas par intérêt 28- on ne doit rien à personne. 29- On ne sait pas à quel prix on accepterait de vendre le site si on nous le demandait 30- ... mais comme tout bébé, le prix qu'on demanderait serait sans doute suffisamment déraisonnable pour qu'en fait ca ne se fasse pas 31- Nous sommes propriétaires d'un autre joli nom de domaine orienté BDSM qui mériterait un site ... mais pas le temps ! 32- Il y a deux modérateurs principaux 33- D'autres font de la technique, du brainstorming, du cheerleading ... 34- Il nous arrive de tomber sous le charme d'un(e) membre, et que cela nourisse le fantasme 35- ... mais nous n'avons jamais fait de rencontre sur notre propre site (voir 24-) 36- Certains membres de l'équipe sont bisexuel(le)s 37- Nos outrances "kinky" sont malgré tout surtout derrière nous 38- Deux d'entre nous voulait devenir journalistes mais ont fait autre chose 39- Nous sommes très attachés à la liberté d'expression, y compris pour raconter des énormités. Chacun prend ses risques... 40- ... mais à condition que cela ne blesse pas son prochain de manière directe et personnelle 41- La modération a déjà été faite sur un portable à partir de 3 continents différents 42- Quand on nous menace de procès, on rigole. On sait ce qu'on fait. Même pas peur. 43- 0% des lettres recommandées et des assignations en justice qu'on nous a promis n'est parvenue. Grandes gueules, pipeau ! 44- Le jour où on en aura marre, on est du genre à tout envoyé chier plutôt que de vendre le site 45- Un membre de l'équipe a une maladie chronique incurable (Sclérose en plaques) mais ça va quand même pour le moment 46- Certains membres de la communauté nous touchent dans leurs écrits 47- Une plume élégante nous rend parfois d'une indulgence excessive ("O" tempora, "O" mores) 48- Pour avoir une plus belle communauté, il faudrait que les membres en parlent à leurs amis pour qu'ils nous rejoignent, mais on ne veut pas saouler les gens avec ca, donc on laisse les choses se faire naturellement (sauf là ) 49- On aime Cavanna : "La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne." 50- ... et Maupassant, qui terminait son roman "Une Vie" par la phrase suivante : "La vie, voyez-vous, ca n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croît ..." ---- Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Oplum », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire, ---
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Par : le 10/01/14
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) 1- Je suis bloquée à 26 ans psychologiquement depuis 10 ans.... 2- À force de le répéter à tout le monde, on dit que je suis formidable. 3 - Je suis addicte aux séries américaines, et totalement frigide aux fictions françaises 4 - Je tiens pas en place, je voyage dès que je peux. Il faut donc m'attacher pour me garder sur place 5 - Je fais du volley et du badminton 4 fois par semaine afin de me défouler et taper dans quelque chose 6 - J'adore les guilis aux pieds et dans le dos. Je m'en lasse pas. 7 - Je dors avec ma première peluche (elle a été refaite plusieurs fois) 8 - Mon meilleur amant fut mon meilleur ami 9 - j'habite Bordeaux et j'aime pas le vin 10 - Je suce encore mon pouce (à défaut d'autres choses ) 11 - Je fais les meilleures lasagnes du monde ( enfin presque...), mes amis m'obligent toujours à en faire 12 - Je suis maniaque et bordélique dans certains domaines. Bref, paradoxale 13 - Je suis susceptible mais avec un grand cœur donc pas rancunière 14 - Au strip-poker, je joue depuis l'âge de 14 ans et je perds pas....ou on me laisse gagner (à méditer) 15 - Mes amis sont primordiaux dans ma vie, n'ayant pas de famille, ils sont ma référence. 16 - À cause de mon boulot, j'ai perdu un bébé et depuis je n'arrive plus à y croire. 17 - J'aime pas le café mais je ferai un effort si George le demande 18 - Je ne suis pas frileuse sauf à l'intérieur. Toujours paradoxale 19 - J'adore la lingerie sexy 20 - L'âge tardif à laquelle j'ai perdu ma virginité. Je me suis bien rattrapée depuis qu'on se rassure. 21 - J'adore faire une sieste quand je peux...
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Par : le 10/01/14
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ptitju », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) 1. Je suis con et très fier de l'être, Coluche disait "Être con, c'est tout un art", ça fait 33 ans que je cultive cet art. 2. J'ai un grand frère que j'aime beaucoup, mais j'aurais bien aimé avoir en plus une petite sœur, je l'aurais grave fait chier. Vu que j'en avais pas, je me suis "vengé" sur mes animaux (jusqu'à 3 chats et une chienne). 3. Mes grands-parents étant agriculteur, on passait souvent nos vacances d'été à la ferme, on tirait la queue des vaches, montait sur le tracteur, faisait des cabanes avec des ballots de pailles, se perdre dans les immenses champs de mais et garder un fil sur soi relié au départ pour faire le retour sans se perdre. 4. Mes grands-parents sauf ma grand-mère côté paternel sont morts jeune. Étant jugé trop jeune par mes parents, je n'ai pas pu assisté aux funérailles. Pourtant j'aurais bien aimé leur dire au-revoir. 5. J'ai vécu une enfance plutôt heureuse. 6. Je suis fan de séries, et en particulier 2. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai regardé Breaking Bad et Friends. Je vais aussi souvent au cinéma, j'ai une carte de fidélité Gaumont. J'aime bien lire (bds, mangas, romans principalement) 7. J'ai une toute petite tv mais je ne la regarde jamais, sauf pour Roland Garros ou un événement sportif important. 8. J'ai arrêté de fumer pour la 2ème fois il y a environ 6 mois. La 1ere fois, j'ai tenu presque 2 ans, j'espère que c'est la bonne cette fois-ci 9. J'aime bien discuter autour d'un verre (une pinte en générale) de tout et de rien, refaire le monde, ne plus savoir pourquoi on discute de tel sujet, s'engueuler, se réconcilier, rigoler, râler, bref, je suis français 10. J'ai quelques origines lointaines italiennes voir peut être turc, j'en ai hérité la peau mat. On me prend souvent pour un arabe. Parfois même plus qu'un "vrai" arabe. Par exemple, mon meilleur ami d'enfance était arabe et on trainait tout le temps ensemble, tout le monde croyait que c'était moins l'arabe. Une fois, en buvant une bière dans un bistro, un mec me demande si je suis arabe, je lui réponds que non. Il me dit: Mais pourquoi t'as honte d'être arabe? 11. Je suis très mauvais perdant, je suis prêt à tout (à part tricher) pour gagner, je m'énerve et je suis de mauvaise humeur si je perds. Au final, les gens s'en amusent et se lie contre moi pour me faire perdre. 12. J'aime bien énerver et me moquer des personnes que j'aime (Domina incluse, hi hi hi hi), provoquer aussi. 13. Je suis plutôt scientifique, cartésien, très terre à terre. 14. J'étais super timide et réservé quand j'étais plus jeune. Maintenant, je me suis un peu guéri. je drague super mal, je dis souvent THE truc à ne pas dire. 14. La 1ère fille que j'ai embrassé vers l'age de 8 ou 9 ans, je l'ai recroisé par hasard il y a quelques années dans un bar parisien. On en a profité par "terminer" notre histoire comme des "grands" et on s'est dit rendez-vous dans 10 ans ^^ 15. J'adore l'eau, je me sens tout zen dès que je rentre dans l'eau, je fais de la plongée et de l'apnée. j'ai nagé avec des dauphins à l'Ile Maurice. Pour une fois, j'étais content car l'entrainement à la piscine servait enfin à quelque chose, j'ai nagé jusqu'à ce que je sois complètement essoufflé, c'était magnifique, à un moment, ils étaient à à peine 2 mètres de moi. 16. J'accorde beaucoup d'importance à la politique et j'aime bien en discuter, j'ai presque jamais raté une élection (2 fois de mémoire). Mais pourtant je continue de voter, élection après élection, pour le parti le plus pourri qui existe en France... Mais malheureusement pour moi, ce parti représente le mieux mes idéaux. 17. Au lycée et au début de la fac, je fumais énormément. Mais une fois, en partant, je suis tombé dans les pommes en me relevant. j'ai eu de la chance, j'ai juste eu une grosse bosse sur la tête. Depuis ce jour, l'odeur me répugne et je ne fume plus. 18. Une des plus grosse honte de ma vie s'est passé dans un bar où j'étais un habitué. je savais que la porte des toilettes fermait mal et j'ai eu une grosse envie. je laisse imaginer la suite... 19. J'ai découvert que j'aimais être soumis en voyant une photo sur internet. j'ai été un fantasmeur pendant quelques années, j'ai probablement raté quelques bonne occasions. je faisais du virtuel mais je n'osais pas passer au réel. 20. Je n'aime pas les discussions sur le vrai et avec les dogmatiques du bdsm 21. Je trouve que les soumis(e)s ont plus de caractère que les Dominant(e)s et que c'est plus jouissif d'être soumis 22. Je me soumets avant tout pour moi, j'ai du mal à comprendre ceux qui proclament le faire uniquement par plaisir de son partenaire 23. Je ne suis ni dominant ni soumis dans la vie de tous les jours, plutôt du genre insoumis, je suis un poil têtu et j'en fait un peu qu'à ma tête. 24. Je n'aime pas parler de moi, je préfère parler des autres, j'ai fait un effort pour ce "jeu". 25. Une fois mort, j'aimerais me réincarner en chat, ça a l'air cool d'être un chat, ça fout rien, ça fait ce que ça veut et on le caresse, et en plus il peut se blottir comme il veut sur les poitrines des femmes. Mais bon, je ne crois pas en la réincarnation. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ptitju », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 10/01/14
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Averamm », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope). 1. Trouver 15 (enfin 14, vous êtes en train de lire le 1) choses sur moi, facile a dire, par contre demander a mon cerveau de réfléchir apres le déjeuner... 2. Il paraitrait que je suis brun et ténébreux (brun oui, ténébreu...je cherche encore) je ne me teint pas les cheuveux, ils sont déjà assorti à mes sourcils....meme si j'avoue ne pas y faire attention. 3. je ne suis pas du tout du matin, on peut facilement me comparé a un ours, l'idée est de ne surtout pas me parler avant d'avoir pris ma douche, non pas en raison du parfum "masculin", mais j'envoi un peut tout balader. 4. mon caractère, on peut vite le définir, si je me suis rasé le matin....je suis de très bon humeur (ou alors que ma barbe dépasse les 5 jours). 5. N'ayant pas une grande passion pour la lecture (au grand dam de mes grands parents) les seuls livres qui ont marqué mon attention sont proche de Sade et autre, pouvant susciter en moi un désir et une excitation. Dans la catégorie film, taken, m'a beaucoup marqué (12 fois je l'ai vue). Pleurer devant un film? non pas encore à l'ordre du jour, rire aux éclats oui, jouir à l'orgasme, aussi, m'emmerder cela arrive. 6. d'après certaines connaissance, je sais écouter les gens, les conseillers aussi, apporter un soutien voir meme le dirigé vers un choix. Est ce mon coté sécuritaire ou paternaliste qui joue? je ne sais pas, et je ne me pose pas la question. 7. ce qui, à mon sens est un paradoxe, je ne vais pas naturellement, vers les gens, pas par timidité, mais j'aime la qualité, je préfére discuter avec 3 personnes, plutot que d'avoir un auditoire de 50. 8. Je suis extremement raciste envers les produits venant de la mer, je le reconnais, quand certains se delecte de moule, huitres, poissons et autres, j'éprouve un rejet complet, qui est parfaitement assumé (rire) et j'avoue etre assez difficile, la viande doit être bien cuite, et je rejete certains aliments (choix). 9.l'alcool et moi nous nous sommes rencontré, un soir autour d'une bouteille, je l'ai bue avec déléctation et plaisir, au point de me noyer dans un torrent orgasmique, et tel un coup du soir, le landemain elle c'est envolé, me laissant seul avec un esprit et un corps tourmenté, j'avoue que cette séparation fut salvateur, jamais je n'ai cherché a la revoir, malgré ses avances régulières. 10. Certains diront qu'ils sont tombé dans la marmitte BDSM enfant, personnellement, j'ai pris le temps de savourer et découvrir ce précieux néctar, en lui ajoutant mes propres ingrédients, les dosants au grés des envies, de la ou des personnes avec qui je partage ce nectar. Une recette est fait pour être re travailler, sublimé, modifier, sinon elle devient fade et sans saveur. 11. j'aime tous ce qui est nouveau, quel que soit le domaine, bien que je n'ai pas en ma possession le dernier smartphone ou derniere console (marche avec le reste) je trouve fascinant que l'Homme, crée et développe de nouvelle technologie, pour satisfaire un besoin (médecine) un loisir, facilité la vie au quotidien, au travail, pour son environnement. 12. D'un point de vue politique, j'ai mes propres idées, je ne me retrouve pas dans les deux partient qui se font la gueguerre depuis 30 ans. J'aime chercher par moi meme une information et ne pas me contenter d'écouter ce que me disent les uns et les autres. 13. Suis je parfait? non, et heuresement, qu'est ce que je me ferai chier si je l'étais....avoir tout, sans le gagner, sans le rechercher, le dénicher? ou est le plaisir? nulle part. 14. Si je devais changer quel que chose....je pense que j'enleverai l'option tétu (une mule a coté est compréhensif) quand je suis sur une chose, on peut tout essayé, je reste dessus 15. FIN (je sais je sais, j'aurai pu conclure de maniere différente, mais je suis tétu ;p )
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Par : le 09/01/14
- Allez, vas-y, vide ton sac : dis-moi ce que tu as à dire... Ah, c'est un salaud ? Oui, mais encore ? C'est un peu court, tu ne crois pas ? C'est pour ça que tu me réveilles la nuit ? un salaud dis-tu ? Et que t'a t-il fait ? Ah oui, il t'a écrasé autant qu'il pouvait. Ah oui, tu l'aimais. Ah oui, tu ne croyais pas ça de lui. Mais il l'a fait. Et maintenant quoi ? C'est loin, non ? Tu n'as pas autre chose à faire que de penser à lui ? Tu n'as pas autre chose à faire que d'espérer régler tes comptes ? Tu espères quoi ? Que l'on va te dire : "Oui, c'est un méchant" ? Et après ? Y'en a qui te diront "oui". Y'en a qui te diront "non"... ça changera quoi ? Nombre d'amis t'ont déjà dit ce qu'ils en pensaient... ça t'a calmé ? Eh bien non, alors ? Qu'est-ce que tu fais à penser encore à lui ? Lâche l'affaire ! Bon sang... Tu es maso ou quoi ? Tu t'emmerdes à ce point là ? C'est quoi ton problème ? Tu n'as personne à aimer ? Et alors quoi ? Tu vas aller te jeter à ses pieds ? Non mais t'es pas bien dans ta tête ? Tu crois quoi ? Déjà tu sais que l'homme que tu aimais et celui qu'il est ça fait deux. Déjà tu sais très bien que même si vous vous revoyiez ça ne marcherait plus... - Mais, si je le revoyais, je guérirais peut-être... - Bien sûr, belle idée ! Tu sais déjà que tu ne l'aimes plus. Ou plutôt que tu n'as aimé qu'un homme qui n'existe pas. Ne me dis pas que quelque part tu y crois encore ? Si ? Ah, merde... Guérir en le revoyant, bien sûr... Tu sais déjà tout ce que tu as à savoir. Tu sais surtout combien il est dangereux pour toi. - Que pourrait-il vraiment me faire ? - Ne me dis pas que tu as déjà oublié. Sa violence... La puissance de sa violence psychologique... Tu sais bien quand même, merde ! - Oui, mais je suis plus forte aujourd'hui. J'ai appris encore plus de choses depuis. - Ah tu crois ça ! Tu voudrais lui rentrer dans le lard pour régler tes comptes avec lui ; Tu es prête à reprendre contact avec lui ; tu as un petit service à lui demander ; tu ne serais pas contre discuter avec lui pour qu'il te donne encore ses conseils ; quelque part en filigrane tu aimerais bien qu'il te baise... Et tu crois que tu es plus forte qu'hier ? Mais tu rêves ! Tu n'es déjà même pas capable de le virer de ton esprit. Il va te réduire en miettes si tu te mesures à lui... Ah non... ne me dis pas qu'en prime tu es fichue d'aimer ça. Oh, réveille toi ! Ok, tu aimes peut-être le trouble que ce salopiaud éveille toujours en toi. Mais je te garantis que ce n'est pas cela que tu veux dans ta vie. Allez, patiente : tiens toi tranquille et loin de lui. Tu verras : demain ça ira mieux. Et si ce n'est pas demain, ce sera après demain. - Oui, mais j'ai un truc à lui demander. Et puis, la vie n'est drôle que lorsqu'on prend des risques. J'aimerais bien m'y frotter. - Merde. Tu fais chier. Tu es probablement aussi cinglée que lui... mais à tes propres dépends. Après, tu pleureras. Et qui te ramassera à la petite cuillère ?
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Par : le 09/01/14
oici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) _______________________________________ 1. J’ai demandé à mes potes de m’aider un peu, on a fait 1/5eme du travail ensemble. Mais 50 trucs, c’est dur quand même !!! 2. Mes cheveux sont châtain voire châtain clair, mais je les teins en brun très foncé pour qu’ils soient assortis à mes sourcils. J’aime beaucoup les choses assorties, c'est agréable à l'oeil. (j'ai pas encore beaucoup d'inspiration, vous m'en voudrez pas hein?) 3. En parlant de sourcils je suis incapable de trouver une forme correcte pour les miens. Du coup, en ce moment, ils sont fins et très courts. C’est très moche et j’ai peur qu’ils ne repoussent plus jamais. 4. J’écris « comme un garçon ». Je n’ai pas de « style » d’écriture. Certains ont une écriture ronde, soignée, serrée, filiforme ou encore aérée… Moi, c’est tellement désordonné et irrégulier qu’on ne peut absolument pas lui attribuer de style ! =D 5. C’est là que je me dis « heureusement qu’il y a Internet »… Si je correspondais avec vous par le biais l’écriture manuscrite, vous ne me comprendriez même pas. Merci la technologie ! 6. «Le radeau de la Méduse » est le tableau devant lequel je me suis arrêtée pour la première fois. Avant, je « voyais » vaguement les croutes devant lesquelles je passais, sans m’intéresser à la manière dont ils étaient réalisés, sans vraiment faire attention à leur histoire… Sans les regarder, en fait. 7. J’ai une cicatrice sur la fesse gauche, parce qu’un jour, je suis tombée dans mon lave-vaisselle, BIM, tout droit sur les fesses ! Bizarrement, je n’ai pas du tout le souvenir d’avoir eu mal… 8. J’ai un problème relationnel avec le trottoir du lycée où j’étudie, trottoir parsemé de nids de poules et de crottes de chiens, un vrai parcours du combattant le truc ! Au moins 20 « trébuchements », 6 gamelles et une entorse à mon actif. Maintenant, je préfère marcher sur le côté de la route, je m’y sens bizarrement mieux. 9. J’adore la viande tendre et surtout bien saignante, au grand dam de ma famille paternelle (pied-noir) qui a pour habitude de manger « bien cuit ». A traduire par « cramé » ! =D 10. Quand j’étais bébé, il arrivait que mon cher padre m'affabule du doux surnom de « la Castafiore »… Je vous laisse imaginer pourquoi. En grandissant, ça a changé pour « la syndicaliste »… Je vous laisse imaginer pourquoi, aussi. En parlant de syndicaliste, une de mes profs m’a dit qu’elle me verrait bien syndicaliste… Je n’ai pas trop su comment le prendre. 11. Quand je suis sortie du ventre de ma mère, j’avais un « V » rouge sur le crâne parce j’étais toute serrée contre ma sœur jumelle dans son ventre. Ma maman a quand même sacrément du douiller avec nous deux. Elle a été vraiment courageuse. 12. J’aime ma sœur jumelle à la folie. 13. Une fois, je me suis fait voler mon sac par un type dans la rue à Dublin (on l’a rattrapé et pendant qu’il se faisait embarquer, il a essayé de s’échapper en mordant les policiers, c’était... sympa) et ma sœur (qui n’était au courant de rien) m’a appelée le soir même en me disant qu’elle avait senti qu’il s’était passé un truc pas net. 14. Quand je vous une femme mince, je me dis qu’il faut sérieusement que je me mette au régime. Tout de suite après, prise d'un élan limite divin, je me mets à monter les escaliers à pied, je mange une feuille de salade par ci par là, je prends de grosses résolutions (étant une championne olympique de la proscrastination, ça m'arrange) ou bien je refuse une part de gâteau « parce que tu comprends je fais attention à ma ligne ». Et le lendemain c’est reparti comme en quarante. 15. Tous les régimes que j’ai essayé m’ont fait prendre du poids !! =D (autant en rire) 16. J’adore nager, c’est un des seuls sports que j’aime pratiquer. Je me sens bien dans l’eau, ça détend tous mes muscles (bien cachés mais présents !!), j’aime la sensation de « plénitude » que m’offre l’apnée… J’aime l’espèce d’apaisement que je ressens une fois sous l’eau. J’aime aussi faire du vélo dans la forêt, ça me rend zen. 17. La forêt a toujours été pour moi un lieu a FORT voire TRES FORT potentiel érotique. 18. Je n’ai pas d’orientation politique particulière, je ne sais pas trop où et comment me positionner. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir des idées ! Cet été, je n’ai jamais autant ri en voyant le Petit Journal se foutre de la gueule des culs bénis de la Manif Pas Pour Tous. « C’est contre-naturannnnnh »… 19. L'apogée du couple, c'est quand on peut prouter en toute sérénité sans avoir peur de dégoûter l'autre. 20. Je déteste les alcools « forts » comme la vodka, le rhum ou la tequila… 21. J’ai beaucoup de mal avec tout ce qui sort de la mer. Le poisson et les fruits de mer, c’est impossible pour moi. Je ne suis pas difficile, je mange de tout… Mais ça, franchement… Je crois que si j’étais sur une île déserte, je mangerais du sable… 22. Je suis pressée d’avoir 20 ans !!! 23. Je n’ai rien de la « Parfaite Petite Soumise du Vrai BDSM Digne De Ce Nom ». 24. C’est pas faute d’avoir essayé … Le côté très protocolaire du BDSM me fait carrément « débander », j’aime les relations et les rapports spontanés. J’aime taquiner, chambrer, provoquer, titiller… Tout un préliminaire ! 25. Du coup je crois que je suis parfois très souminatrice ! Mais je m’en fous, je suis une ignare du Vrai BDSM Digne De Ce Nom, je ne pense qu’au cul et c’est très bien comme ça ! 26. La soumission masculine ne m’attire que dans certains contextes. J’aime les retournements de situation, ainsi imaginer dégrader une personne qui m’a dégradée auparavant m’excite énormément. Les hommes qui représentent un « challenge » à mes yeux me donnent envie de les soumettre, en fait... 27. J’aime bien discuter avec mes voisins du banc sur lequel j’attends le bus. La dernière fois, j’ai discuté de l’Islam avec une femme qui avait l’âge de ma mémé… Même si je suis athée, j’ai trouvé sa foi et ses convictions très belles… 28. J’adore la nourriture asiatique, les pâtisseries marocaines et les tartes au citron meringué. 29. J’adore aussi la mythologie grecque. 30. Je vais souvent vers les autres et j'apprécie rencontrer de nouvelles personnes. Mais quand on me fait chier trop longtemps, je me mets très vite en très grosse colère. Du coup, c’est déjà arrivé qu’on me prenne pour une schizophrène. 31. Je suis très directe avec les gens que je n’apprécie pas ou ceux que je n’aime que très moyennement. Mais avec ceux que j’apprécie, je prends plus de pincettes. 32. J’ai porté un appareil dentaire au palais pendant un petit bout de temps. Il paraît (mais les potes qui me disent ça sont des peaux-de-vache !!) que j’en ai gardé un léger zozotement. 33. J’ai déjà goûté les croquettes de mon chat (paix à son âme) et je n’ai pas trouvé ça mauvais. 34. J’aime beaucoup les chiens mais je trouve que ça pue. Et c’est envahissant. Alors qu’un chat, c’est tout un concept, un chat ça se conquiert, ça se séduit, ça s’apprivoise. 35. Un peu comme la soumission en fait. Je vois ma soumission ou celle d’un éventuel soumis comme un terrain d’éternelles découvertes, comme quelque chose qui ne sera jamais vraiment complètement acquis. 36. Je suis 'achement vanille. J’aime les bisous, les caresses, les mots doux. J’aime faire l’amour tout doucement et les préliminaires langoureux. C’est l’âge, ça me passera ! :D 37. Ecouter mon partenaire jouir, c’est merveilleux. L’ultime abandon… 38. A part moi-même (et encore), je n’ai jamais fait jouir une femme. 39. Je crois que je ne me marierai jamais. J'adore les gosses, vraiment, je m'éclate avec eux et ils m'apprennent plein de trucs mais.... Je ne sais pas si j’en aurai un jour... Un humoriste que j’aime bien a dit « le mariage est un cercueil dont les enfants sont les clous » (pour du rire) mais je crois que dans le fond il y a un peu de vrai. Enfin j’ai encore le temps de changer d’avis… 40. Je me suis toujours promis de ne pas pleurer en regardant un film. J’ai souvent souri en voyant quelqu’un essuyer une larme devant l’écran. Et puis un jour, j’ai vu « Million Dollar Baby » et je crois que j’ai chialé l’équivalant d’une baignoire. Depuis, j’ai pu pleurer librement devant Le patient anglais et La vie est belle… 41. Mon film préféré est « Les Fils de l’Homme » d’Alfonso Cuarón. Un de mes bouquins préférés est 1984 d’Orwell. C’est pas un hasard, j’aime beaucoup le fait d’essayer d’imaginer le futur… Et surtout quand ces prédictions contiennent une part de vrai… Souvent, je voudrais pouvoir faire un saut dans le futur et voir comment ça se passe, là-bas ! 42. Le suspense me rend folle. C’est donc très souvent que je me rends à la fin d’un livre ou sur un site de spoilers pour découvrir le dénouement de l’histoire que je suis. 43. Les gens qui viennent me parler le matin m’horrifient. Le matin, je suis un ours grincheux à l’haleine de chacal, un rien m’insupporte, je rembarre tout le monde. 44. J’adore le goût de la cigarette ajouté à celui du chocolat chaud !!! Je n’aime pas du tout le café, c’est criminel comme boisson, je sais pas comment on peut boire un truc pareil. 45. Je suis bordélique. Je me retrouve très bien dans mon capharnaüm, et les choses rangées sont mon désordre personnel. 46. En ce moment j’ai trouvé un truc merveilleux contre le froid et le temps moche : en début de soirée, quand il fait nuit noire, que les lampadaires sont allumés et que les guirlandes scintillent, je me mets une playlist de jazz et plus particulièrement des titres d’Armstrong dans les oreilles. Et ben je peux vous assurer que c’est une grosse dinguerie, un orgasme auditif et visuel. 47. J’ai souvent trouvé certaines filles avec les cheveux courts très sexy. Du coup ça me hérisse un peu (beaucoup) le poil de lire –parmi certaines habituelles conneries- que les cheveux longs c’est le top de la féminité, ou bien que pour être Fââââme (avec un grand F) il faut porter des talons, être maquillée, découvrir ses jambes… 48.J’adore dessiner des femmes toutes nues, les femmes en sous-vêtements, et les chaussures de femmes. 49. Je peux paraître très assurée et très confiante… Mais un homme qui me plaît vraiment, me fait perdre bien souvent mes moyens, ça m'arrive peu, mais quand ça m'arrive c'est le retournement de cerveau complet... Une fois que je me suis rends compte que quelqu'un me plaît et que je suis attirée par lui, je disjoncte avant, pendant et après l'avoir vu... Je suis bien souvent complètement larguée ! - La phase "avant" : je me dis qu'il doit/va me trouver vraiment trop/pas assez ceci/cela - La phase "pendant" : je dis n'importe quoi, je bégaie, je me trompe de mots, je parle de sujets bateaux, je rigole nerveusement en me disant "mais qu'est-ce que t'es conne ma pauvre" - La phase "après" : c'est je me rembobine toutes mes casseroles, et ça fait vraiment mal ! 50. FIOUUUUUUUUUUU !!! C’EST FINI !!!! Je te remercie, toi, lecteur, de m'avoir lue jusqu'ici ! Et je confirme, WonderSalope est bel est bien sadique !! :D Merci beaucoup à Oplum pour l'idée de titre !!! Et toutes mes excuses au staff pour avoir supprimé au moins 10 fois mes articles !
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Par : le 09/01/14
1- J'ai 48 ans et 3 enfants et le pire , je suis belge ... 2- Je n'aime pas les huitres.. 3- j'ai la posture d'un camionneur (dixit mon Maître)mais si je veux, je sais être très féminine.. même un peu pétasse.. 4-J'adore les animaux 5-J'ai un chien, un berger allemand 6-J'ai une jument, depuis 25 ans déjà 7-Le chiffre 13 est mon porte bonheur 8-J'aime la nuit, regarder les étoiles 9-J'adore danser 10-Je chante comme une casserole 11-J'aime faire des marches dans les bois 12-Je regrette de ne pas avoir plus de temps pour lire 13- Je ne porte des sous-vêtements que pour travailler 14-J'écoute aussi bien Aznavour que Ramstein, enigma ou Brassens 15-Je trouve qu'il y a des gens parfois bizarres sur ce site 16-J'ai eu il y a quelques années une vrai mauvaise expérience bdsm 17-J'ai un très bon Maître maintenant... 18-Ma vie professionnelle actuelle me comble vraiment, j'ai changé complètement d'orientation il y a 10 ans et j'ai bien fait! 19-Je te déteste sluttyboy 20-j'ai prévenu que j'allais mentir!!!! 21-J'aime beaucoup que mon Maître me pince les seins 22-l'optimisme est une de mes qualité principale (j'en ai d'autres aussi!) 23-La mort ne me fait pas peur.. 24-j'ai du mal à faire confiance à un homme 25-J'aime les gens, je pense que leur manière d'être est le reflet de ma manière d'être avec eux 26-Dans chacune de mes galères, j'ai trouvé quelque chose de positif et ça m'a fait avancer, j'en suis fière.. 18-
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Par : le 09/01/14
1- J'assume parfaitement mes conneries, même les pires (et il y en a eut...) et puis de toute façon, j'ai pas le choix, je les collectionne. 2- J'ai des moments de pure lucidité mais il sont beaucoup moins nombreux que mes moments de pure folie. Bon en fait, je suis totalement folle mais personne ne s'en ait encore aperçu jusque là donc, du coup, je continue comme ça pour les rassurer. 3- Je peux être la pire sadique qui soit et pas forcément avec un fouet, martinet ou autre à la main. 4- J'ai vécu une enfance merdique qui m'a profondément blessée et qui laissera à jamais une trace indélébile sur mon âme. 5- Wondersalope m'a délibérément achetée pour que je like son texte en me donnant que 5 trucs à dire mais comme je suis inspirée, je continue. 6- Bon, je suis folle aussi donc cela n'aide pas. 7- Qui sait, je trouverais peut-être 50 conneries à dire et puis ça ne me changera pas de d'habitude. 8- Je trouve la normalité très surfaite de nos jours. Je la mettrais même au même niveau que la perfection et le (la) prince(sse) charmant(e), c'est à dire que cela n'existe pas, sans épiloguer plus que ça sur ce que je pense de tout cela, ça me foutrait de mauvaise humeur et je n'ai personne sur qui me passer les nerfs. Quoique... Wonder, tu te dévoues ? 9- Je suis super chiante mais c'est inhérent à ma condition féminine. 10- Mon humour est la seule arme qui ne m'ait jamais fait défaut, surtout dans les moments difficiles. 11- Je sais plus si j'ai dit que j'étais folle... Si ? Bon bin tant pis, je le remet pour être sure que tout le monde l'ait bien compris. 12- J'ai des goûts musicaux très éclectiques mais ma préférence va au métal, sans doute un héritage de ma période goth. 13- Goth un jour, goth toujours même si ce n'est que dans la tête ! 14- Mon débit de conneries augmente avec la quantité d'alcool que j'ingurgite. 15- Suite à mes années de fac à Rennes, j'ai acquis une résistance à la biture. 16- Malgré toutes les sorties à la fac et les soirées lourdement arrosées (d'alcool, pas de pluie...), je n'ai eu qu'une seule fois la gueule de bois qui n'est apparue que le surlendemain, le temps que touuuuuuuuuuuut l'alcool dans mon sang disparaisse. 17- J'adore faire chier mes voisins en foutant ma musique à fond car ils me soulent à pas savoir lever leurs chaises quand ils s'attablent. 18- J'adore Alien et surtout Sigourney Weaver. Et là du coup, j'ai un peu peur car je me rend compte que j'ai des points commun avec Wondersalope... C'est grave docteur ? 19- Que ce soit au niveau des films ou des livres, je suis très SF et fantasy. 20- De temps en temps, il m'arrive de dessiner des trucs mais je suis pas très douée. 21- Je préfère écrire, du moins quand j'arrive à chopper l'Inspiration... Quand c'est le cas, je l'enchaine à mon bureau, aller savoir pourquoi... 22- J'ai toujours détesté lire les bouquins imposés à l'école. Mais j'en relirais à présent certains avec plaisir sauf les Zola. C'est trop lourd à digérer pour moi... 23- J'envisage de déménager loin, tellement la ville où je vis me déprime. 24- Finalement je me rend compte que j'ai beaucoup de conneries à dire... 25- Je craque très facilement sur les brunes, me demandez pas pourquoi, c'est comme ça... 26- Pour ceux qui auraient oublié, je préfère redire que je suis très chiante. 27- J'ai toujours vécu avec des animaux (oiseaux, chats, chiens, tortues) même si ce ne fut pas toujours amusant, surtout quand tu es gamine et que tu dois donner à bouffer à tout ça... 28- Il y a bientôt deux ans, je suis allée à la SPA et j'en suis repartie avec une chienne super affectueuse mais très collante. Je déteste toujours autant le nom qu'ils lui ont donné mais bon, elle le connaissait donc je ne l'ai pas changé. 29- Je déteste qu'on s'apitoie sur mon sort surtout quand les personnes en question ne connaissent qu'une fraction de ma vie. S'ils en connaissaient tout ou presque, je n'ose imaginer comment ils réagiraient... 30- J'ai beau me creuser la cervelle, je ne voie pas à qui Wondersalope fait allusion quand elle parle de "l'imbécile en justaucorps argenté avec ses deux petites ailes ridicules qui brâme « papa, maman ! »" 31- Je donnerais volontiers quelques coups de martinet/cravache à la personne qui m'éclairera sur le point 30. 32- J'adore les jeux vidéos, j'en ai toute une collection et j'assume complètement le côté geek qui va avec. 33- J'adore les animaux mythiques et mythologiques notamment les dragons. 34- Je n'ai pas la panoplie de Zorro que Wondersalope affectionne tant, je me contenterais juste du fouet. Et puis je suis une fille... Et puis je suis pas sure que le pantalon moule-bite et la chemise ouverte m'irait vraiment... 35- J'adore Star Wars. Je parle de la trilogie la plus vieille, pour moi l'autre n'existe pas. Oui je boycotte et alors ? Oui bon, ça ne m'empêche pas de les avoir en dvd dans un coin... R2 me fait rire, j'ai envie de démonter cette saloperie de droïde protocolaire et j'adore imaginer Chewie en carpette. 36- Je ne me prend pas au sérieux car j'aurais trop peur de m'emmerder avec moi-même. 37- Mon Moi, mon Ça et mon Sur-Moi sont tout à fait d'accord avec le point 36. 38- Ai-je précisé que je ne soignais pas mon côté folle à lier parce que je préfère attacher qu'être attachée ? Non ? Bon bin c'est fait. 39- J'avoue, je cherche délibérément à avoir les 50 points car comme ça si je like un autre portrait de ce genre, je n'aurais pas à le refaire quelque soit le nombre donné. 40- Je déteste souhaiter mon anniversaire. Cela n'a rien à voir avec mon âge (redemandez-le moi dans 10 ans, on verra si je tiens le même discours) mais c'est simplement parce que je ne l'ai jamais réellement fêté. Bon sauf à la fac mais c'était juste une excuse pour picoler avec des potes (comme si on en avait besoin à l'époque... XD). 41- Vu que je suis dans la partie "je déteste", autant continuer. Je déteste les fêtes de noël depuis la mort de mon grand-père quand j'avais 9 ans. 42- Plusieurs années à la suite, j'ai eu des nouvel an pourris. Du coup, maintenant, je ne le fête plus et je reste à chaque fois chez moi à squatter mon canapé ou mon ordi. 43- Je me rend compte que j'avais beaucoup de conneries à dire. 44- J'évite de parler religion et politique car j'ai des opinions bien tranchées qui ne plaisent pas à tout le monde. 45- Je me creuse la cervelle pour compléter mes conneries avec davantages de conneries mais je commence à ne plus en avoir sous le coude. 46- Mon subconscient me dit de regarder sous mes fesses, on ne sait jamais où les conneries peuvent trainer ou se cacher. 47- Mais j'ai préféré aller voir dans le panier de ma bestiole. 48- Quoiqu'il en soit, mon subconscient et moi n'avons rien trouvé mais c'est pas grave car on s'est rendu compte que nos conneries avaient remplies la feuille. 49- Quand je me relis, je constate que j'avais beaucoup de conneries à dire ou alors je n'avais que ça à foutre... On ne saura jamais... 50- J'ai honteusement copié/collé les règles de ce jeu. Oui bon d'accord, la vérité c'est que je n'avais plus d'Inspiration. Elle a réussi à se libérer de ses chaines et s'est barrée par la fenêtre avec la voisine... Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Kasondra », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 07/01/14
Ma main parcourra alors de sa cheville au genou avec douceur et légèreté... Puis je m'arrêtais là, contemplant ce somptueux spectacle qu'Amandine m'offrait... Elle savait que j'aimais jouer à faire attendre...que généralement l'attente était toujours suivit de quelque chose de plus fort que la précédente action... Ce qui là, ne rata pas... Laissant ma main sur son genou, de l'autre je puis ouvrir le tiroir de la table base et j'en saisi l'objet de mon jeu favori dans l'attente...les boules de Geisha... Elle entendit le « cliquetis » des boules entre elles, et elle sourit, comprenant alors mon manège... Je me mis derrière elle, ma main vint alors se reposer à nouveau sur son genou, celui dont la jambe était sur le canapé...Je remontais alors doucement vers sa Rose...humide et chaude par l'envie, l'excitation réel de tout cette mise en scène... Mes doigts vinrent caresser le bord de ses pétales si doux et nus mais au combien humide... J'en profitais alors pour lui délivrer un tendre baiser dans le cou...sa tête se penchant en arrière... Mon autre main vint avec ses délices de sphère à la rencontre de ses pétales... Délicatement de l'autre main, j'écartais les pétales...ouvrant ainsi la voie royale à la première boule... Amandine se contracta légèrement, et à mesure que la boule entrait en elle, elle se relâcha, lâchant au passage un petit soupir de plaisir si caractéristique.. Je laissais là un moment Amandine, puis je revins à l'attaque si j'ose dire.. Je venais de mettre de la musique douce et délicate... Je me mis juste face à elle, elle toujours dans la même position... Et là, j'entrepris d'explorer son endroit interdit... De par sa position il me fut aisé d'accéder à celui-ci, usant de la Rose de sa belle fleur j'humidifie l'antre, mais très vite un doigt trouva son passage en elle... J'adorais sentir par cette endroit le contact de cette sphère qui était en elle.. Ce qui me valut encore plus de son si plaisant de la bouche d'Amandine...qui venait de mettre ses mains sur mes épaules pour conserver son équilibre... Je jouais ainsi un temps... qui dû paraître une éternité mais au combien délicieux pour Amandine... Ses réactions de plus en plus présentes, plus fortes en étaient la preuve... Mais je voyais l'heure tourner, et ce n'était que le début de son tourment de cadeau... Je m'arrêtais alors de jouer à ce supplice, en achevant d'offrir à son antre de désir, le chapelet de ses tourments, mais avec toujours lenteur pour faire 'souffrir', durer cet instant d'égarement que m'offrait ma belle Fleur de Nacre... Je fis doucement descendre sa jambe pour qu'elle rejoigne l'autre. Puis, je fis remonter avec délicatesse cette étoffe, protectrice et rempart à sa fleur... Amandine ouvrit alors ses yeux... pleins d'étincelles, de douceur, et de plaisir... Je lui souris, puis en me redressant, j'en profitais pour embrasser le sommet de chacun de ses monts... Elle m'enlaça... Je la pris dans mes bras... Nous restâmes un court instant, ainsi serré fort, l'un contre l'autre... La musique était douce, et nous fîmes quelques pas... Je devinais que les démoniaques sphères lui apportaient plus que notre étreinte par les frissons qui la parcouraient... Nous nous arrêtions cette valse, plaisante... Je pris alors, le foulard de soie noir qui était près sur la table... Je la regardais une dernière fois droit dans les yeux, lui sourit... elle me sourit... J'entrepris alors de masquer les yeux de ma chère et douce Amandine... Cela fut fait rapidement... Je pris soin alors de prendre le coffret que je venais de lui offrir...et je mis aussi sur les épaules de ma Fleur de Nacre un châle Noir. Nous descendîmes rapidement, par l'ascenseur, au sous-sol...Amandine était quelque peu habituée à avoir les yeux bandés lorsque je l'amenais 'jouer' en extérieur...et cette descente donc fut tout naturel pour elle...une main posé sur mon épaule et toujours derrière moi. Arrivé à la voiture, j'ouvris la portière arrière pour y faire entrer ma chère et tendre... Elle prit place tranquillement, assise confortablement dans cette petite voiture...à l'époque je n'avais qu'une Super5...mais vraiment super cette petite voiture.... Puis nous prîmes la route, et je fis quelques détours pour faire perdre le sens de l'orientation à Amandine... Pendant le trajet, Amandine tenta bien de me faire dire ou nous allions et au bout d'une demi-heure de route...je devins plus ferme...en lui interdisant de me parler... Après une heure de route, j'arrêtais enfin la voiture... Amandine, devenue silencieuse, ne manquait pas, par son habitude, d'impatiences certaines, se trémoussant sur le siège arrière, espérant que je vienne rapidement lui ouvrir la portière... J'attendis quelques minutes, écoutant simplement la radio, faisant encore plus languir cette chère Fleur devant plus impatiente que jamais... Puis je sortis de la voiture...ordonnant à Amandine de rester tranquillement dans la voiture et que j'allais revenir... Elle ne dit mot, mais me fit un signe de la tête pour me dire "Oui"... Je fis semblant de m'éloigner de la voiture...et j'attendis, le temps d'une cigarette, la regardant assise dans la voiture... J'adore ce simplement moment d'attente, d'incertitude quant à la suite des événements...et je savais qu'Amandine en appréciait tout autant ce terrible tourment....
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Par : le 07/01/14
Cet homme et cette femme se sont rencontrés via Internet sur un site de rencontre SM. Après un certains temps passé en virtuel, elle a accepté de venir passer le weekend chez lui en tant que soumise. Cela fait 5 minutes qu'elle est arrivée par le train et elle attend que son futur maître passe la prendre. C'est vendredi soir et il est quelque chose comme 23h30. Son portable vibre. Elle a reçu un sms comme quoi il n'est qu'à quelques centaines de mètres de la gare. Elle ne tarde pas à le voir arriver. Elle met son sac dans le coffre et grimpe à ses coté. Il démarre sans attendre. Au cours du trajet ils échange quelques banalité, il lui demande si ça va, si elle a fait bon voyage ... Alors qu'il son sortis de la ville, il s'arrête le long de la route sur une petite aire de repos. Il lui dit de prendre descendre, de prendre le sac sur la banquette arrière et de se changer. Elle ouvre le sac et vient au niveau de la vitre passager. Il baisse la vitre et se contente de lui dire qu'elle a 5 minutes pour se changer sans quoi il la laisse ici. Elle s'execute et se mets toute nue. Puis elle enfile le contenu du sac qui ne contient que des vêtements en cuir, à savoir une sublime catsuit, des cuissardes, une pair de long gants et un corset qu'elle enfinle sans le serrer. Elle se remontre à son niveau. Il baisse à nouveau la fenêtre et lui ordonne de se plaquer contre l'arbre qu'il y a à quelques mettre. Lorsque c'est fait, il arrête la voiture pour la rejoindre et reserre son corset. Il lui dit de respirer doucement afin qu'il puisse bien resserer le corset. Une fois qu'il a terminé, il lui dit qu'elle peut regrimper en voiture. Il la laisse s'habituer à cette tenue très osée mais très confortable - il n'a choisi que des vêtements de qualité, agréables à porter. Même si elle s'y sens à l'étroit elle aime se savoir moulée de la sorte. Il lui demande ensuite d'ouvrir la catsuit au niveau de l'entrejambe et de se donner du plaisir. Au bout de quelques instants, alors qu'elle commence à prendre son pieds, elle se calme car ils rentrent dans une ville un peu animée. Elle a peur d'être vu ainsi. Il lui dit de continuer et d'ouvrir la boîte à gants. Elle en sort un gode. Elle comprend qu'il veut qu'elle se l'insère et obeit malgré la peur d'être vu ainsi. Lorsque le gode est bien au fond d'elle, il lui dit de refermer la catsuit et de se mettre à se masser les seins au travers de la combinaison en cuir. Ils sont arrêtés à un feu tricolore et plusieurs automobiliste la regarde avec des yeux de pervers. Elle se calme un peu lorsqu'elle sent que le gode se met à vibrer. Il vient de l'activer grâce à une petite télécommande. Malgré le plaisir que cela lui procurre, elle essaye de se calmer vu la situation, mais a beaucoup de mal. Il sortent de la ville et sont à présent sur une petite route de campagne. Malgré l'inconfort, elle apprécie ce petit jeu et ce demande ce qu'il va lui imposer ensuite, car elle sent qu'ils ne sont pas encore arrivés. Il fait à nouveau une halte au bord de la route et la fait descendre. Il lui de se mettre face à la voiture et de se pencher sur le capot. Il ouvre sa catsuit au niveau de l'entrejambe et la laisse un moment ainsi. Puis elle sent qu'il lui met du lubrifiant sur l'anus. Elle pense qu'il va la sodomiser ainsi, mais il se content de lui insérer un plug. Puis il la laisse un peut comme ça et lui cravache un peu les fesses avant de refermer la catsuit et verrouiller les zip avec un petit cadenas. Elle pense que c'est fini, se redresse et se raproche de la portière. Il lui dit qu'il ne lui a jamais dit de faire ça. Elle s'attend à être cravachée à nouveau. Au lieu de cela, il lui dit de mettre les mains dans le dos et il les bloque avec un armbinder. Puis il lui passe un cagoule en cuir avec un petit trou au niveau de la bouche. Ce n'est qu'en suite qu'il la fait asseoir dans la voiture et reprend le trajet. Elle est excitée et en même à peur d'être surprise ainsi par quelqu'un d'autre. Elle s'imagine être arrêtée ainsi par la police ... quelle honte ... mais quelle excitation aussi. Ils roulent un petit moment ainsi puis il arrête la voiture et la fait descendre. Il accroche une laisse à l'anneau se trouvant à la base de la cagoule et lui dit d'avancer en tirant dessus. Il la fait marcher ainsi. Elle a du mal à suivre ainsi vêtue et attachée. La cagoule n'ayant pas d'orifice pour les yeux, elle est obligée de lui faire totallement confiance. Il fini par la faire entrer chez lui. Il la fait mettre à l'équerre sur la table à manger et attache ses chevilles aux pieds de la table. Il enlève le cadenas et ouvre à nouveau sa catsuit à l'entrejambe. Il enlève le gode. Bien qu'elle ne s'attendait pas à quelque chose d'aussi pervers dès le départ, si elle n'avait pas la cagoule sur le visage, elle lui demanderait de la fourrer par le trou qu'il veut quitte à être cravachée avant. Elle a droit à la cravache, mais au lieu de la prendre, il lui fait un cuni avant de lui insérer le gode à nouveau et de refermer la combi. Il s'approche d'elle et lui dit en rigolant doucement de ne pas bouger, qu'il revient dans un petit moment pour la suite ...
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Par : le 06/01/14
Votre odeur de peau m'attire, m'envahit . Qui s'offre à mes songes, à mes envies. Déclaration De l'ombre à la lumière, je suis votre. Et l'attachement fait de moi une autre. Initiation Notre histoire est une évidence. Comblant jusqu'à nos cinq sens. Inspiration Au creux de ma nuque Vous découvrez. Ce présent en acier que j'aime porter. Satisfaction Vous connaissez l'éclat de mes yeux. Quand mon sourire se livre, gracieux. Invitation Au rythme de Vos maux, de mon coeur. A Vous, je m'abandonne avec ferveur. Palpitation Il arrive qu'une image, une situation. Requiert par son trouble, mon attention. Emotion Repoussant les frontières de mes inhibitions. J'obtempère pour Vous donner satisfaction. Humiliation La cire coule au creux de mes reins. Réveillant la douleur créée de Vos mains. Soumission A mes poignets les bracelets de cuir Vous posez. Sans retenue aucune, en ces lieux, Vous imposez. Possession Sur ma peau, Vous dessinez des entrelacs. Zébrures, je n'entends plus que Votre voix. Passion Le temps passe, l'envie monte crescendo. A la mesure des marques gravées sur mon dos. Tentation La danse se fait sensuelle, je m'enflamme. De ce feu intérieur qui asservit mon âme. Domination Vos doigts effleurent les sillons rouge sombres. Traçant le chemin menant vers cette terre d'ombres. Sensation De Vous à moi, de moi à Vous, je suis soumise. A genoux ou debout, je me soumets avec délice. Excitation Et quand tout cesse, que Vous déliez mes liens. Nos corps se cherchent pour ne plus faire qu'un. Abdication
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Par : le 23/12/13
Quand deux personnes se rencontrent et que leurs regards se croisent .... Quand certaines attirances apparaissent et que le feeling est là, en la réalité. Quand le respect, la confiance, la sincérité sont là, le bonheur est à portée de soi. Le temps passe vite lorsqu'on se retrouve et demain Vous et moi. Heureuse de Vous appartenir, d'être Votre soumise. Votre respect, Votre regard posé sur moi me permet d'aller loin, de me dépasser, de grandir, de m'épanouir. Mon caractère entier ne vous déplait pas, tout comme le fait que je sois taquine... Aie la badine. En ce qui Vous concerne, je peux TOUT Vous dire, vous préférez la sincérité aux non dits qui ne nous leurrons pas se découvrent tôt ou tard. Les mots, ils sont toujours trop fort ou pas assez et pourtant, il faut bien les utiliser. Ils sont aussi doux qu'ils peuvent être acide et pourtant parfois se sont eux qui décident. Mais, ne laissons pas les mots nous diriger trop rapidement se serait réagir avec trop d'empressement. Ecoutons le langage du coeur qui a bien plus de ferveur car c'est un langage universel d'amour qui n'a ni frontière et surtout pas d'atours.... Pour ces moments intenses que nous avons passé et passerons encore ensemble. Je n'ai pas de mots.... Ils ne seraient pas assez ou trop.. Il est des mots Qu'on enseveli au fond de soi Il est des mots si difficiles A prononcer Qu'un jour, on arrive à les dire Lorsqu'on est en confiance Que la personne est sincère Alors on dit tout bas Ces mots gardés pour soi Et que les autres n'entendent pas Mon Maitre, je Vous a... Le 30 janvier 2012.
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Par : le 22/12/13
FemElle, libérée, tu déploies tes ailesLoin de toi le déshonneur des maux,Femme et Elle ne sont que motsEnsemble ils sont ta fierté d’être,D’être FemElle.Le calice de ton lys te fait ElleTu coules de ton plaisir d’êtreFemme et femelle, à bouts d’ailesFemme et Elle, libre d’être,De devenir Ma FemElle.
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Par : le 18/12/13
Au mois de mai, un joli rêve j'ai fait. Un dessin significatif en ces représentations m'est apparu. Je ne sais dessiner, j'ai mis sur papier cette ébauche. Votre marque sur ma fesse, n'est pas anodine Elle engage ; il y a eu le temps de la réflexion. La réalisation du dessin explicite, les petites modifications à y apporter quelque fois. Et enfin ce jour tant attendu. Votre signature et ma détermination de porter Votre marque, a été réalité en ce jour. Le 15 novembre 2011 restera gravé en moi, symbole de mon engagement. Pour la vie, je porterai Votre cachet. Assise à califourchon sur une chaise, mes mains reposant sur son dossier, tête un peu baissée quelque fois, j'étais prête pour ce tatouage. Au fur et à mesure de la concrétisation du motif, j'ai ressenti des petits chatouillis, quelque traits appuyés par endroit, aucune douleur. Chaque personne perçoit et ressent à sa façon tatouage et/ou percing. J'étais concentrée, bien qu'à un moment donné, le son d'une musique comme j'aime, m'a donné envie de bouger, je n'en ai rien fait. Mon Maître présent en ce partage, son regard posé sur moi. Je désirai cette trace indélébile dans ma peau. A gauche Votre cravache, à droite le fouet qui me fascine, dedans mon collier. Au milieu formant comme un v Votre initiale sur un fouet enroulé, j'aurais aimé Votre prénom en entier. Vous avez préféré que seule l'initiale soit ..Sourire Cela me prouve si besoin était Votre respect à mon égard. Le graphisme de l'initiale a été choisi par Vous, cela forme Nous. Heureuse, je suis que votre empreinte soit. Fierté teintée de trouble par la communion de cet acte, gage de mon abandon.. L'émotion m'a submergé quand vous avons regagné Votre voiture pour se rendre chez Vous. Mon regard s'est voilé, ma voix tremblait, elle s'est tue, la Votre j'ai entendu. Vous dites peu et Vos mots m'ont émus. Les mois s'écoulent, sereine en osmose de Vous. Vos/Les marques qui s'inscrivent dans ma peau scellent mon appartenance. Lien indéfectible imprimé sur et dans ma chair. Entre Vous et moi pas de contrat. Cet acte signifie beaucoup, nul besoin de papier. Le respect de Vous, de moi, de Nous. La confiance et la fidélité que nous avons l'un envers l'autre. Ce n'est pas un bijou de peau, c'est un symbole fort en ce dessin songé, symbiose de Nous. Ce tatouage me correspond, je l'ai rêvé pour Nous, il parle de Nous, c'est Votre signature. Comme une évidence, soumise je suis à Vous. Dépendance de Vous, profondeur de Notre relation. Mes anneaux ont été stretché fin novembre, ils sont à présent en acier et d'une autre taille, deux mois après la cicatrisation et la première pose ou vous n'étiez pas présent en ce partage. Ceux ci ont la valeur du passage à l'acte car votre présence était et pour moi cela est important. Je suis la première à être percée pour Vous et j'en suis fière. Il y a un sceau plutôt un branding que j'aimerai avoir un jour... A Vous Mon Maitre qui m'emmenez vers des plaisirs d'une rare intensité. Attentionné, respectueux, vous me conduisez sur les chemins de la soumission. Avec délice, je me soumets à Vous. Notre complicité est l'essence de notre relation tout comme l'authenticité . Cette connivence qui n'a pas besoin de mot, quelque fois juste un regard, un sourire, on se comprend. Cette preuve de mon attachement, de ma dévotion, du rêve devenu réalité en cette signature en accord de Nous. Ajout de Vous Un Maître fier de sa soumise, de son obéissance et sa dévotion, une marque indélébile pour sceller à jamais son appartenance.
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Par : le 12/12/13
Ni obsession, ni tentation, une soumission, une explication, une possession. Silence, quelques pas, des froissements, quelques pas, recul, quelques pas. La tapette tapote un tempo tempéré, tout en montant en tempête, têtue dans le tapotage. Caresses, paroles apaisantes, caresses, obscénités à voix douce, caresses. Ce simple serpent dessine ses stries, si souple, sassant ses sensations lancinantes et lascives. Larmes, aux coins de l’œil perlent doucement, larmes, caresses, larmes. Abandons, prêt aux amis experts, silences, abstinences, décadences, doutes, déchéances. Retrouvailles, joie, à genoux sans même demander, joie des retrouvailles. Conquis, vaincu courbant sa fière couronne, adulant la conquérante, l'aimer carrément.
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Par : le 11/12/13
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés. Vous avez 'touché' mon âme, et mon corps a chaviré. Un ressenti au fur et à mesure et puis la réalité. C'est à ce moment précis que notre histoire est née. Notre complicité, notre relation grandit de jour en jour. J'aime être dominée par Vous encore et toujours. Avec Vous, je m'épanouis, c'est merveilleux. Quand je plonge mon regard dans vos yeux. Des sentiments partagés se sont créés. Il faut les conserver et ne jamais les briser. Chaque instant passé avec Vous me permet de m'envoler. Dans la confiance absolue de Vous en ce monde salé/sucré. La flamme de mes yeux s'est allumée. Le jour où l'on s'est rencontré. Aujourd'hui le destin nous appartient. A nous deux de savourer ce chemin. Ma soumission envers Vous est acquise Votre domination, respect m'ont conquise. Depuis une semaine, votre signature encrée orne ma peau. Bientôt deux mois que mon intimité percée en mes anneaux. Ma détermination à Vous obéir, Vous servir est constante. Me montrer digne de Vous en tous lieux et ou circonstance. Que Vos/mes paroles du début soient la sincérité en la continuité. Vous me dites que l'on s'est bien 'trouvé', j'avoue que c'est réalité. 20 mois que l'on s'est rencontré. Que nos sentiments sont partagés. A Vous je suis liée, liens visibles invisibles intactes. Notre relation est saine et profonde en nos actes. J'aime avancer avec Vous avec délice et passion. Dans la gourmandise et la sérénité de l'abandon. A Vous je suis dévouée et cela me plait. Le 23 novembre 2011
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Par : le 08/12/13
Attachée et confiante à Vous je le suis Bien des mails écrits pour Vous la nuit Ce poème alphabet, est pour Vous Délivrée de mes peurs et tabous Exhibée est source de conflit en moi Fouettée est source d'immense joie Générant le respect et puis l'humilité Histoire de Nous, en mon âme habitée Ivresse et jouissance, aussi bien que bonheur Jalonnant, cela est sur, les confins de mon coeur Kyrielles d'instants passés ensemble se bousculent en moi Livrant certaines batailles intérieures, d'où sort Votre 'loi' Mêlant gémissement, désir, cri et parfois larmes Nappant, étendant votre domination à mon âme Ode à Vous mon Maître aimé Portant Votre collier avec fierté Quémandeuse de Vos marques Réalité avec Vous, j'embarque Symbole de soumission en ma chair Traces et liens de Vous en corollaire Union de nos désirs, expressive Valeur de nos places respectives Wagon du train, lorsque je Vous rejoins dans l'Hérault X non un prénom Vous avez, et j'aime subir Vos maux Y a le respect mutuel qui prime entre Nous Zen, totale confiance, sincérité j'ai en Vous
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Par : le 08/12/13
Pour apprécier la deuxième partie, il faut impérativement lire la première ici : http://www.bdsm.fr/blog/997/naissance-dun-dominant-1ere-partie/ ----- La voici, cette deuxième toile... Ce qui était de l’érotisme soft, du porno chic, de bon ton au premier niveau de ce vernissage est beaucoup plus chaud et explicite ici, dans ce niveau pour « public averti ». Sophie se remet spontanément à genoux devant moi, la tête baissée. - Maître ? permission de parler ? - Vas-y, Sophie, je t’écoute. - Je n’ai jamais, vraiment jamais, fait ça, Maître. Veuillez bien me pardonner, ou me punir, pour me guider. - Sophie, je prendrai en compte ton inexpérience mais aussi ta bonne volonté. Au fond de moi, je me dis que je suis aussi inexpérimenté qu’elle, mais que j’apprends très vite, tout comme elle. Fascinant de voir cette complicité naissante, ces envies découvertes par le hasard d’une rencontre… - Sophie, laisse moi regarder cette deuxième toile. Ne bouge pas. Ou plutôt si, remets toi à me sucer, mais extrêmement doucement. Montre ton admiration pour ma queue. Sophie ne réponds pas et recommence à me sucer. Sa bouche est voluptueuse, velouteuse, caressante. J’ai parfaitement intégré le fait qu’elle connaît toutes les toiles de sa galerie, et qu’elle n’a pas besoin de la regarder pour parfaitement connaître tous les détails de la toile devant laquelle nous nous trouvons. La scène sur la toile représente un couple de dos, en contre-plongée (ce terme signifie une représentation qui va du bas vers le haut, comme si l’artiste s’était vu au ras du sol pour imaginer la scène au-dessus de lui). La femme est debout, cambrée, jambes légèrement écartées et s’appuie sur le dossier de ce qui semble être un fauteuil. L’homme est derrière elle et la pénètre. Son sexe n’est pas entièrement engagé. Et le point de vue choisi par l’artiste montre clairement deux choses. Premièrement, des pinces sont attachées aux grandes lèvres du sexe de la femme et rejoignent par une chaine légère d’autres pinces sur ses tétons. Et deuxièmement, la pénétration est anale… - Sophie, je n’ai pas de pince ni de chainette avec moi. Mais je te sodomiserai avec grand plaisir. J’ai hésité un faible instant en prononçant cette phrase. J’aurai pu dire que je l’enculerai comme toute une série d’autres termes crus. Je reste dans une forme de respect pour cette femme qui était habillée dans un tailleur très classe il y a quelques minutes et qui s’abandonne maintenant totalement à moi. - Merci pour votre compréhension, Maître, Elle m’a répondu en se mettant à trembler comme une feuille. - Donc tu n’as pas touché un homme depuis trois ans au moins et la première chose dont tu as envie est que je te sodomise ? - Oui, Maître. Je n’ai jamais fait ça non plus, mais je me sens prête à découvrir, Maître. Parce que c’est vous, Maître… Me revoilà dans le rôle de coach, un rôle qui semble me coller à la peau dans tout ce que je fais. Elle a de la chance quelque part. Mes amantes ont toujours adoré la manière dont je les sodomise. Toutes, sans exception, m’ont fait un hommage profond et systématiquement jouissif de leurs postérieurs. Et pourtant, la grande majorité d’entre elles n’avaient jamais pratiqué cette forme de sexualité avant de me connaître. Ou avaient eu des expériences malheureuses. Non, je ne suis pas exceptionnel. J’ai juste eu la chance d’avoir très tôt une amante littéralement accro à la sodomie qui m’a appris tout ce que je devais savoir sur ce sujet au centre de la préoccupation de Sophie. Et l’expérience aidant, je n’en suis devenu que meilleur dans cette pratique… Je suis donc confiant en répondant : - Je vais donc être ton guide. Je veux que cette première expérience te donne envie de recommencer encore et encore, alors tu vas devoir faire exactement ce que je te dis. - Oui Maitre - Ne te mets pas debout comme sur la toile. Mets toi à genoux sur le sofa, en t’appuyant sur le dossier avec tes bras. En fait, je suis un géant comparé à Sophie, et une position debout comme sur la toile serait très inconfortable pour elle comme pour moi. Elle me fait face, la croupe offerte. Elle a un cul fabuleux que je vais me faire vraiment plaisir à baiser. - Voilà. Maintenant tu te laisses faire. Je vais te préparer. Mais avant, j’enfile un préservatif. Comment aurais-tu fait si je n’en avais pas eu, Sophie ? - J’aurais été très embarrassée de ne pas en avoir, Maître. - Je n’aurais pas été embarrassé, je refuse d’avoir des rapports non protégés. C’est non négociable. On aurait dû attendre la fin de la soirée. J’aurai du te punir… - Je savais que je pouvais avoir confiance en vous, Maître. Je récupère un préservatif dans la poche de ma veste, je déchire nerveusement son enveloppe… un peu trop nerveusement… je déchire aussi le préservatif au passage. Heureusement que j’en ai un deuxième. Je fais attention cette fois ci. Je déroule celui-ci sur mon sexe tendu et dur comme de la pierre. Elle m’excite vraiment beaucoup, Sophie… Je me colle contre sons dos, et je lui susurre à l’oreille… - Sophie, je vais utiliser ton lubrifiant naturel si abondant pour te préparer. Je vais pénétrer ton sexe avec ma queue pour l’enduire avec ta mouille. - Maître, je vais jouir, je suis trop excitée, j’ai trop envie. - Sophie, garde ton orgasme pour ton cul. Contrôle-toi ! - Oui, Maître En fait, je n’ai pas besoin de la pénétrer pour récupérer sa mouille, elle est si totalement trempée que la surface de son anus est déjà lubrifiée. Je soupçonne une femme fontaine qui s’ignore… Je ma place à l’entrée de son sexe, et je la pénètre tout doucement. Son vagin est particulièrement étroit et palpite de manière très sensible autour de ma queue. Elle est visiblement déjà au bord de l’orgasme. J’ai encore envie de la faire exploser, de la prendre brutalement… mais ce n’est pas le jeu. Et j’ai très envie de son cul… Je ressors ma queue, et la glisse entre ses fesses afin de déposer sa mouille sur son anus. J’exécute alors successivement les trois actions clés d’une sodomie fabuleuse… trois actions techniques dont les fondamentaux ne sont connus que par quelques rares initiés. Ne cherchez pas sur Google, vous ne trouverez pas, ces secrets sont très bien gardés. D’abord le « massage des Cyclades». Un massage que j’ai appris d’une amante d’origine grecque, qui la détend et surtout lui donne terriblement envie d’être pénétrée… terriblement est un faible mot. Sophie halète d’une envie insoutenable. Ses mains se crispent régulièrement, son anus palpite, s’ouvre, se ferme, tente d’aspirer tout ce que je lui présente. Ensuite, deuxième action clé, la stimulation de la FAVPA (Concours : la première soumise qui trouve ce que ça veut dire gagne une soirée avec moi et aura l’opportunité d’en apprécier l’efficacité). Et là je ne donne aucun indice supplémentaire. A la suite de cette stimulation, Sophie n’a plus qu’une chose en tête, que je m’enfonce profondément en elle, de me sentir la remplir totalement avec ma queue. Je me mets mon gland contre son anus, et ma queue se prépare à une pénétration selon l’Angle d’Or, dernière caractéristique clé de ma trilogie d’action. Oui, l’angle qui donne les sensations les plus intenses… le meilleur compromis vers le plaisir. - Sophie, à toi de jouer. Viens t’empaler lentement sur ma queue. Son anus s’ouvre délicatement et fait le passage à mon gland. La couronne de mon gland vient de passer, son anus est terriblement serré malgré mon travail de détente. Le plaisir et l’excitation sont tellement intenses pour moi aussi que je vais lui demander de s’arrêter. - Sophie. Ne bouge plus et détends toi. - Tout va bien Maitre. J’ai envie de votre queue au fond de moi, Maitre. - J’ai dit NE BOUGE PLUS Si son plaisir est aussi intense que le mien, que va être la suite ? Je reprends le contrôle. J’étais encore une fois au bord du point de non-retour. Je sens son anus se décontracter un peu. Elle s’habitue au diamètre de ma queue qui lui dilate le cul. - Sophie, continue maintenant, tu es en bonne voie. Je n’ai pas besoin de le dire deux fois. Elle s’empale à fond en poussant un cri de plaisir qui me surprend par son intensité. Les brouhahas de la réception au-dessus de nos tête ont du le couvrir… j’espère… Je suis maintenant enfoncé jusqu’à la garde dans son cul, et son anus a recommencé à palpiter autour de ma queue. Des spasmes. Douleur ? Plaisir ? Mélange des deux ? Je saisis ses hanches pour bloquer son bassin, et je commence à la travailler progressivement. Je recule juste un peu, et je me renfonce jusqu’à la garde. A chaque butée, Sophie émet un cri, un espèce de feulement. Elle tremble de plus en plus. Elle se contient. Oui, elle contient un orgasme gigantesque en préparation… - Sophie, je vais compter jusqu’à trois, et tu pourras jouir. Je compte « UN», en m’enfonçant lentement au fond d’elle. Je recule jusqu’à sentir mon gland près de s’échapper de son cul. Je compte « DEUX», en m’enfonçant plus violemment au fond d’elle. Ses tremblements sont incroyables. Au moment où je compte « TROIS », je mets toute mon énergie, toute ma masse pour m’enfoncer dans son cul et je lui pince simultanément les tétons. Sophie émet un râle et son orgasme explose, de longues vagues puissantes. Mon excitation est à son paroxysme. Je me déchaine dans son cul. Je synchronise mes coups de boutoirs avec les vagues de son orgasme. Je ne sais pas combien de temps ça dure, j’ai perdu la notion du temps. Son anus est totalement ouvert et vient resserrer ma queue à chaque vague. Je suis près de l’explosion. J’ai vaguement conscience que si je me laisse aller, je n’ai plus de préservatif en réserve pour continuer le jeu… C’est trop intense. J’explose, moi aussi dans un râle de plaisir intense. Mon sperme vient remplir par longues saccades mon préservatif. Je reste collé à son cul, je reprends mon souffle. Longuement. Quelle intensité dans les sensations, quelle sauvagerie !!! Sophie semble hoqueter. Elle commence à rebouger son bassin… Elle en veut encore ? - Sophie. Cette première sodomie t’a plu ? tu en veux encore ? - Maitre, c’était fabuleux. Dire que j’ai attendu 39 ans pour connaître ça. Merci Maître, merci. Oui, j’en veux encore, Maître. Elle ne répond pas en hoquetant, en fait elle pleure. - Ca ne va pas, Sophie ? - Si Maitre. C’est juste trop d’émotion et de plaisir. Merci de me faire vivre ça, Maitre. Elle recommence à onduler du bassin autour de ma queue. Je n’ai toujours pas débandé malgré l’orgasme que je viens d’avoir. - Tu devras attendre un peu. Je dois reprendre des forces, et surtout trouver des préservatifs. Je pense que nous allons en consommer quelques uns… Je me retire, Sophie… Je sors lentement de son cul. Elle se retourne. Dans le feu de l’action, son chignon s’est à moitié défait, son maquillage n’a pas résisté à ses larmes et une partie de son gloss est sur ma queue. Elle reste superbe malgré tout. Elle me regarde avec un grand sourire épanoui… - Maître, il reste encore 22 tableaux à voir... ------ je continue ? ou pas ?
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Par : le 06/12/13
mes larmes... Un homme ne doit pas pleurer. Pourtant... ELLE m'a pris dans ses filets, victime oh combien consentante. Je l'avais rêvé tant de fois. Quand sa voix si impérieuse m'a ordonné de me mettre nu, mes yeux se sont fermés, une sourde angoisse m'a envahi. Ce moment ou l'air devient pesant, mon souffle plus court. Je sais pourtant qu’Elle m'a pris sous ses ailes, qu’Elle veille sur moi, et que ma confiance en ELLE est totale.. Seulement... Si je ne suis pas à la hauteur? Si je n'arrive pas à supporter? Si... je suis médiocre? Toutes ces craintes tournent dans ma tête.. La laisse est venue s'accrocher au collier, et fermement, ELLE m'a fait comprendre de me mettre à ses pieds. Ma langue est venue tout naturellement lécher sa chaussure, comme je sais qu'ELLE aime me voir. Croupe bien haute... D'autre desseins m'attendaient, je le savais, je le sentais. Il fallait bien qu'ELLE aille la voir, cette frontière. Nous l' avions approchée déjà plusieurs fois... Ses cordes sont venues m'enserrer, m'arrachant à chaque tour un cri. J'ai gagné ma bulle, je me suis recentré sur ELLE. Sur tout ce qu'ELLE me donne... Et sur le peu que je lui apporte. Mes mains se sont élevées au dessus de ma tête, mes chevilles ont été emprisonnées. Sa main s'est posée sur mon épaule, ses doigts ont couru sur mon dos, sur mes seins. Ses doigts ont croché mes cheveux, tiré ma tête en arrière. Sa bouche a frôlé mon oreille. J'y ai senti son souffle chaud. Puis ELLE s'est écarté de moi. J'ai su que le moment était arrivé. Le flogger a commencé sa danse, d'abord léger, aérien. Mais très vite plus lourd. Les coups se sont succédé , sur mon dos, sur mon torse, mes fesses, mes cuisses.Implacables.Imparables.Impitoyables. Des gémissements sourdent de ma bouche. Je lui offre ma douleur. Le flogger est remplacé par la cravache. La nature des coups change totalement, secs, bruts. Je sais ou ELLE veut aller, Mes cris sont de plus en plus forts. Mais je ne suis pas encore là ou ELLE veut m'amener. J'ai commencé à craquer quand les coups sont tombés en travers de mes cuisses. La douleur a irradié d'un coup. J'ai poussé un long hurlement. C'est le fouet qui a pris le relais. Quand il s'est enroulé autour de moi, il a atteint mon sein. Une onde de mal m'a parcouru. Les larmes ont inondé mes yeux. Mais les coups ont continués. Jusqu’à ce que des sanglots me secouent, pantin accroché, ravagé de larmes. Impression d'un torrent ouvert. Fragile...Plus de barrières. Tout à cédé, la façade s'est effondrée. La mise à nu est totale, entière. Des montagnes de frustrations? de bienséance? qui n'existent plus. Je deviens primal, dans le sens ou plus aucune digue ne me protège, je suis juste animal, douleur, sensation...Amour? ELLE l'a vu, ELLE sait qu'ELLE est arrivée là ou ELLE voulait m’amener, que plus rien ne sera pareil dorénavant. Aucune conscience du fouet qui tombe, mais SES mains sur ma peau... Qui me délient, qui me portent / soutiennent... Canapé... Contre ELLE... Blottis , cajolé.. Froid de sa jupe en cuir... Lèvres qui sèchent mes larmes, mains qui apaisent mes souffrances. Froid de l'huile, chaleur de SES mains, douceur de son contact. Plus de nuances de temps...Paradis? Mais un doigt...Pointé vers le sol... J'oubliais ma place.
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Par : le 06/12/13
Talons aiguilles, bel escarpinRegarder tes traits finsReflets au fémininEst un plaisir sans faimFends l’air, claque la terre,Mais jamais tu ères.Supplice pour certainsProvoque un désir certainLa femme, son image tu fascinesSensualité de jambes finesEnveloppée de mystèresGainées de soie et de jarretièreDe tes aiguilles vers le ciel,Peut être lances tu un appel ?« Trouvez chaussure à son pied »Nanook.
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Par : le 06/12/13
La soumission rime avec bonheur. Son alliée est quelque fois douleur. Générant la complicité. Comme la sincérité. Ce chemin à Vos cotés, comme Votre emprise. Fait de moi, pour un temps inconnu, votre soumise. Mon attachement envers Vous s'étend et se propage. Irradiant mon âme, mon corps, mon coeur, en ce partage. Des émotions, sensations renouvelées qui me font découvrir. De nouveaux jours, de nouveaux rêves et de nouveaux désirs. Le temps reste complice de ce destin. Partageons ensemble ces lendemains. J'apprécie chaque moment. Dont Vous êtes présent. Qui seront pour moi inoubliable. Parce qu'ils auront été réalisable. Grâce à Vous. Et par Vous. Certaines batailles intérieures. Sont livrées avec des pleurs. Que je dépose à vos pieds En ces avancées libérées Pas un jour, il ne se passe. Sans que je ne repense. A ces heures intenses. Qui ont laissé des traces. Des traces indélébiles et gravées en moi. Des heures de plaisir, le son de votre voix. Garder mon sourire. Vivre Vos Nos désirs. Et savourer avec Vous autant que permis. Tous ces moments où nous serons réunis. Mon choix de Vous appartenir a été fait en toute connaissance de cause. Au vu de nos vies respectives. J'ai accepté d'être votre avec ce que cela implique. Et de la sincérité de nos échanges et ce depuis bientôt 19 mois.
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Par : le 06/12/13
Intensité de l'instant, puissance du moment, Vos anneaux. Difficile de décrire certaines sensations, émotions, il faut les vivre. Les mots ne peuvent écrire certains actes. Il y a des actions impensables et réalisables, réalisées, réalité par le don en Son Maître, Son respect en Ses paroles et actes. Signe d'appartenance à mon Maître. Symbole fort dans la relation qui est la Notre. Appréhension, pudeur. Vous m'avez accompagné, présence indispensable en ce partage, acte. Détendue, allongée sur la table, pour que le perceur fasse les points au marqueur à l'emplacement choisi par Vous, Vous déplaçant pour regarder si les marques convenaient avant de procéder à l'ultime étape... Dommage de Vous demander de quitter la pièce, quelques minutes le temps de percer. Nos regards échangés à cet instant.... Quand il m'a dit prête : j'ai fermé mes yeux pour mieux apprécier ce moment, je les ai vite ouvert devant ce serrement, cette compression qui a été l'espace d'une minute voir deux, en respirant par le ventre pour me détendre. Le temps de passer les anneaux, puis il m'a tendu un psyché, j'ai pu visionner mon intimité ornée. Il Vous a appelé, Vous me demandant comme cela s'était passé, Vous positionnant en face de moi pour 'admirer' mes et Vos anneaux d'appartenance. Quelque photos vous avez prises. Acte accompli en accord de Notre relation, le temps de la réflexion, le temps de l'écoute. Des pas à Vos cotés dans la confiance totale de Vous. Avec des anneaux des possibilités : un petit cadenas... Des étirements au moyen de poids divers, lien, petite chaine. J'aime porter Vos marques, marque de mon appartenance, marque de ma dépendance. Certaines symboles se décident à deux et quand la relation est forte, que les choix sont communs, pourquoi ne pas les avoir sur et dans sa peau, comme une empreinte, une signature. Ces anneaux me lient à Vous, force de Nous. ====================================================================================================================== Don de ma merveilleuse soumise, offrande de son intimité acceptée en témoignage d'appartenance. Ton Maître.
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Par : le 28/11/13
Garce, salope, infâme créature Tu me séduis, tu m’avilis, tu m’humilies sans mesure Tu me précipites dans ton univers de luxure Tu me fascines de tes rondeurs de tes courbures Tu m’enivres du parfum de ta longue chevelure Tu provoques mes sens de tes insolentes cambrures De ton corsage tu ouvres l’échancrure Ton arrogante poitrine tu exhibes avec désinvolture Pour mieux troubler mon âme, me posséder sans mesure. Je ne suis plus rien que ton sujet, ton objet de luxure Tes gifles ne sont rien comparées à aux injures Que tu me craches en pleine figure Tu t’esclaffes quand je sursaute sous tes affronts les plus durs Quand je trépigne sous les plus vives de tes morsures Quand je me cabre sous les plus cruelles de tes piqûres Qui s’abattent comme la grêle sur ma membrure La transperçant de mille et une brûlures Tandis que Tu t’esclaffes de ton rire si dur Ma bouche n’est pour toi qu’une monture Que tu chevauches avec désinvolture Dans laquelle tu te soulages de ton infâme mixture Que j’avale comme le nectar le plus divin le plus pur Pour bafouer ma vanité, tes mots sont toujours plus durs Pour toi les males ne sont que d’inférieures créatures Qui voudraient se dissimuler derrière une pitoyable armure Que tu tailles en pièces , dont tu décries l’imposture L’orgueil masculin n’est pour toi qu’une cible impure Dont tu aimes voir tomber le pantalon pour prendre la ceinture Et y imprimer de rougeoyantes zébrures…. De tes talons tu écrases ces bouffissures A tes pieds tu en fais cracher la souillure Avant de me faire lécher tes chaussures Et tu contemples ravie la male déconfiture L’orgueil masculin en fâcheuse posture Le male mis en face de sa petite chose miniature Maîtresse, Déesse, Amazone vengeresse, je t’‘en conjure Diabolique et fascinante créature, je T’abjure Entends les aveux que dans murmure A tes oreilles je susurre Je T’en supplie, sublime Créature Laisse moi m’enivrer de ces parfums si purs Avec Toi je veux explorer cette démesure
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Par : le 28/11/13
Vraiment c’est un régal pour Vous D’avoir le male insignifiant à genoux Nu et menotté devant Vous Honteux, furieux comme un pou Il est à poil, votre jupe dévoile tout Il est à genoux, Vous êtes debout, Belle et désirable comme tout Sa queue n’est rien pour vous Qu’une limace dont vous étrillez le bout Sans qu’il puisse esquiver vos coups, De le gifler à lui mettre le feu aux joues Pour qu’il écarte bien les genoux Et expose ainsi ses grotesques bijoux A vos coups de pied par-dessus par-dessous Par devant par derrière, qu’il sursaute comme un fou Son ridicule et misérable coucou Ce bout de viande tout mou A la colère de votre courroux A la furie de Vos coups, Coups de pieds, coups de ceinture, Coups de talon, coups de chaussure Dans les couilles et en pleine figure Dans sa bite, infâme pourriture Nauséabonde créature De la couvrir de zébrures…. De le narguer de votre majestueuse poitrine Qui se gonfle d’adrénaline Tandis que vous lui cinglez la pine… Vraiment si c’est un régal pour Vous De le rendre furieux comme un pou De le sentir devenir teigneux, furieux De le toiser de votre regard dédaigneux De ricaner à ses propos haineux De redoubler de conviction Quand viennent ses supplications De vous moquer de sa capitulation Quand votre plaisir serait de le meurtrir Quand votre jouissance, se nourrit de sa souffrance….
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Par : le 27/11/13
En ce jour de l'automne, dix huit mois se sont passés. Le 23 mars 2010 : un feeling réciproque, des désirs partagés. Le respect était au rendez vous, comme aux rencontres qui ont suivies, et qui se suivent avec Vous. La confiance, la complicité, la sincérité et le dialogue qui sont le ciment de Notre relation. Vous avez su m'apprivoiser, devant Vous, je plie. Pourquoi je me soumets : parce que c'est Vous que j'ai choisi comme une évidence, c'est Vous qui avez su faire naître cet élan d'abandon, de progression, de découvertes. Il est des émotions que je garde dans ma peau, comme des empreintes de plaisir sublime, éphémères ou temporaires, mais inoubliables. Il est des petites victoires sur moi, comme certaines peurs qui ne sont plus, parce qu'enfin avec Vous, j'ai pu y parvenir. Pourquoi cela : parce que c'est Vous, Votre façon de Vous comporter, de me respecter qui m'a encouragé à le faire, pour franchir certains obstacles, une lutte intérieure en moi, puis le dépassement. Vous et cette subtile alchimie qui enflamme mon esprit et embrase mes sens. Vos mains habiles et indécentes, celles qui me fouillent, me caressent, me marquent, s'introduisent. Addict à Vous, je suis. Vous avez su faire naître par Votre sincérité, courtoisie et savoir vivre, des découvertes, du plaisir, de la jouissance, de l'humiliation, des sensations, des émotions. Ce qui était caché en moi, a été révélé par Vous. D'un mot, d'un geste, Vous faites avec mes complexes, pudeur et retenue et m'invitez à l'abandon total. Avec Vous le lâcher-prise. La fusion de nos esprits. L'alchimie de Vos, Nos désirs. La valeur de Nos places respectives. Avec Vous une communication sans mot quelque fois, faites de ressenti, d'approche instinctive, la spontanéité est dans l'authenticité. Confiante et sereine des demains, encore et encore. Chaque rencontre est un moment fort. L’échange cérébral conduit à des heures d’un partage très intense, sans limite, d’une grande sensualité et gourmandise. Parfois dans le BDSM, certains (es) désespèrent de ne pas rencontrer La personne de confiance, de respect, de sincérité. Il faut garder espoir et la persévérance. Patience tout arrive à qui sait attendre, le vouloir et y croire.
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Par : le 25/11/13
Dix-huit mois bientôt. Dix-huit mois d’un merveilleux chemin sur lequel tu avances en toute confiance. Un chemin fait de respect, de dialogues, d’écoute, de compréhension et d’attention. Un chemin parfois périlleux fait de marques, de douleurs ; quel plaisir de te voir souffrir pour moi, de laisser mes marques sur ta peau, de te savoir prête et offerte à mes sévices. Un chemin de solitude à accepter comme tu le fais avec courage lorsque les circonstances de la vie nous tiennent parfois éloignées plus longuement l’un de l’autre. Un chemin de complicité depuis notre première rencontre, le premier regard échangé qui en disait déjà long sur nos envies. Un chemin de progression pas à pas et de découverte du bord de mer aux caves parisiennes. Ton endurance et en particulier sous le fouet, fait de toi ma merveilleuse soumise. Ton Maître
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Par : le 25/11/13
Avec les vagues de plaisir...Son dévouement, sa dévotion...On se prendrait à s'attendrir, à s'attacher même...A l'heure du départ :"Donne-moi mes bottes !Ravi, avec enthousiasme et un sourire, il va les chercher, me les tend.- Mais non, pas comme ça !Je tends un pied.- Ah oui...Rougissant, souriant mais confus, il se penche, met un genou à terre, entreprend de me les enfiler, une puis l'autre...- Oui, c'est mieux !"Mmm...Rien que pour ce moment (et le reste...), ça valait la peine de venir...
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Par : le 25/11/13
Chère Martine, vos yeux bleus m'ont éblouis mais je ne me rappelle plus comment nous faisions l'amour en unissant nos langues, en mélangeant nos membres. Chère Marie, vos yeux gris m'ont ému, mais je ne me rappelle plus comment votre jouissance vous tirait des larmes que je léchait, vos seins si fermes qu'ils me blessait. Cher Patrice, vos yeux vert, jaune en colère, m'ont fait oublier comment je me suis donné à vous, comment mon corps fut votre jouet, si tendre, si doux, si bon. Chère Geneviève vos yeux noirs m'ont donner espoir, mais je ne me rappelle plus votre soif d'amour, qui épuisés, ruisselant, vidés, nous terrassait, dans le fond des draps chiffonnés. Chère Murielle vos yeux marrons étaient bons, mais je ne me rappelle plus comme vos caresses semblaient douces, comment d'une main malhabile vous me preniez en vous. Chère amis perdus je voulait vous écrire ceci Madame à des yeux arc en ciel et elle me donne du miel, de temps à autre, j'ai le droit de jouir avec mes doigts, avec tendresse j'embrasse ses pieds, mes amis disparus, priez pour moi, j'aime être perdu.
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Par : le 22/11/13
Votre repos estival. Il fut long, entre imprévus et aléas de la vie. 6 semaines sans pouvoir se rencontrer et demain bonheur de Vous. Patience, obéissance, impatience cette dernière semaine. Respect de Vos consignes, de Votre silence pendant certains jours. Des écrits pour Vous en cette pause. Vous parler, vous dire, exprimer mes ressentis. Certains faits sont là, on se découvre autrement, quand patience se veux. L'appartenance n'est pas simple. C'est dans certaines épreuves que l'on voit l'attachement, le ciment qui est là, quoi qu'il arrive, le soutien de chaque instant, jour est précieux. Bien que lointaine et proche, mes pensées vont vers Vous. Demain, Vous signerez Vos maux sur ma peau. J'ai à découvrir avec Vous, comme cette signature sur ma peau bientôt. Hâte de plonger mon regard dans le Votre. Hâte de Vous retrouver. Je sais qui Vous êtes, depuis ce premier jour et à ce jour Vos paroles et actes ont toujours été, avec Vous la réalité. Notre confiance partagée, Notre complicité, suffit d'un regard parfois. Et ce respect que Vous avez en TOUTE circonstance de Vous, de moi, de Notre relation. Je suis heureuse d'être votre. Kocham Cię moja milosc Mistrza Le 17 août 2011. 23h23
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Par : le 22/11/13
Le silence ne s'entend qu'à travers l'attente Le silence est 'Hérault', partage ma présence Le silence est magie, il porte l'espérance Le silence est sérénité dans la confiance Le silence a ces aléas de la vie Il faut respecter celle et celui ci
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Par : le 22/11/13
Monsieur en Vous, j'ai reconnu Mon Maître Vous êtes celui de mes pensées secrètes Celui qui me donne l'envie de me soumettre Avec Vous des envies et désirs sont partagés Des avancées se sont faites dans la réalité Mes yeux par Votre regard est captivé
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Par : le 22/11/13
Blotti sous la tiédeur des nymphes repliées Comme un pistil de chair dans un lys douloureux Le Clitoris, corail vivant, cœur ténébreux, Frémit au souvenir des bouches oubliées. Toute la Femme vibre et se concentre en lui C’est la source du rut sous les doigts de la vierge C’est le pôle éternel où le désir converge Le paradis du spasme et le Cœur de la Nuit. Ce qu’il murmure aux flancs, toutes les chairs l’entendent À ses moindres frissons les mamelles se tendent Et ses battements sourds mettent le corps en feu. Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouges Luisant comme un bijou sur le torse d’un dieu Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges !
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Par : le 22/11/13
Il y a le cercle, l'accord entre le soumis et le dominant. Cet accord relève du monde sous contrôle. Et il y a le cercle lui-même où le contrôle et l'abandon ne relèvent plus d'une seule individualité mais sont distribués entre les partenaires, à chacun selon son rang. L'abandon de soi au soumis, son contrôle confié aux mains du tiers dominant. La séance est un jeu. Ce jeu est le renversement du moi, un autre je. Je suis mis à nu, dans ma vérité. Une vérité oubliée sous les contingences du monde sous contrôle. Pourtant comment ne pas se sentir ridicule, grotesque ? Cette nudité est devenue étrangère. Et pourtant c'est moi-même. Je suis donc étranger à moi-même ? Au ridicule s'ajoute la honte de la situation. Honte de s'exposer à un autre regard. Ces sentiments témoignent du basculement dans un autre univers, inconnu, dont les valeurs échappent aux normes habituelles et familières, au-delà du cercle. Ici, rien de caché et de secret où s'enfermer dans son intimité. Du contraste naît l'inconfort et l'embarras du novice. A cela s'ajoute la crainte et l'insécurité. Ce contrôle connu n'a plus sa place désormais. Il m'échappe. Il est à l'autre, dans sa voix et dans ses gestes. L'obéissance et la discipline ne sont plus de la dimension de mon être mais dans un dialogue des partenaires. Le cadre fixé dans un moment où le désir le dispute au fantasme prend soudain une silhouette vague et confuse, terrifiante même, ajoutant à l'anxiété. Le soumis se fait proie. Une proie consentante. En se soumettant à l'autre, il se soumet à lui-même. La règle et les épreuves subies sont celles dont il a lui-même défini le cadre avec le partenaire dominant. Pourtant peut-il échapper aux effets de cette loi auto-infligée par l'entremise du dominant ? L'humiliation, l'inconfort, la douleur ressentis sont inéluctables. Ils ne sont pas recherchés pour eux-mêmes seulement inéluctables. Il cherche à en dominer les effets et à se dominer lui-même. Lâcher prise dans l'offrande de la soumission n'est pas de la passivité. C'est le renversement induit par l'entrée dans le cercle. Je m'offre à moi-même ma docilité, mon obéissance, ma soumission. La dualité soumis/dominant crée une unité. Celle du collectif à travers la réunion des individualités. L'acte de soumission sous sa forme de passivité dans l'exécution de l'acte révèle la participation du soumis aux épreuves. Le gage ou la punition relèvent de sa demande. Le dominant qui agit en devient l'exécutant, dans une forme d'action passive. Ainsi, s'abandonner au plaisir de l'autre reviendrait à se soumettre à son propre plaisir. Je me soumets pour lâcher prise, afin de mieux prendre conscience de moi-même. Luciole, soumis patient aux portes de la soumission.
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Par : le 21/11/13
J’ai choisi de vous narrer ici-bas ma première expérience en tant que Dominant. Cette expérience a conditionné ma vie sexuelle à partir de cet instant. Si vous désirez lire la suite, commentez… --- Une très grande ville de Province, un soir d’hiver. Ce vent froid en rafales puissantes me brûlait les oreilles et me demandait de ne pas m’attarder dans les rues mal éclairées par des lampadaires vacillants et trop peu nombreux. J’avais été invité par un ami proche à un vernissage d’une exposition de peinture contemporaine, et quelques mètres me séparaient encore de ma destination. Il m’avait promis de rencontrer des personnes intéressantes, un public passionné, des discussions enflammées au sujet de l’artiste qui exposait enfin dans cette galerie. Le froid humide avait presque pris en défaut et percé mon lourd manteau. La galerie est là. J’ouvre la porte, créant un appel d’air qui siffle et résonne dans la galerie. Toutes les personnes présentes se retournent. Manifestement pour jauger la personne qui vient de faire s’échapper bruyamment quelques calories de cette salle surchauffée. Mon entrée produit un effet inattendu sur l’assistance. Ma stature, je suis déjà grand, 2m, est amplifiée par le jeu d’ombres et de lumières. Je lis fugacement du respect et de la jalousie dans le regard des hommes. Je note de l’effroi, de la surprise, dans le regard de certaines femmes. Arrivée peu discrète une fois de plus. Je sais que je laisse rarement indifférents les personnes qui me rencontrent, mais là c’est la version lourde, version éléphant débarquant dans un magasin... vous connaissez l'image. Mon ami lève son bras et agite sa main pour que je le repère dans la foule… rires… je l’avais déjà vu, avantage de ma vision en hauteur. Je me fraie un chemin jusqu’à lui. En fait la foule s’écarte devant moi au fur et à mesure de ma progression, les personnes qui s’écartent continuant de me dévisager, certaines me souhaitant la bienvenue d’un hochement de tête. - comment va-tu, Benjamin ? dis-je en arrivant à la hauteur de mon ami. - très bien, Philippe. Viens, je vais te faire visiter l’exposition et te présenter à quelques connaissances Nous voilà parti à faire ce tour. Nous visitons le premier niveau de l’exposition. L’artiste réalise des compositions à base de photos et de surcharge de peinture. Une grande partie de son œuvre dégage une charge érotique de très bon ton. Intéressant, mais rien de ce que je vois ne pourra entrer en harmonie dans mon intérieur. Mes commentaires, même pertinents, sont, comme souvent, emprunts d’un humour sarcastique que je suis d'habitude seul à comprendre. Arrivée au bout du premier niveau, nous sommes accompagnés de plusieurs femmes et d’un couple, qui écoutent et rient au gré de mes saillies. - on va faire un tour au buffet, et on passe au deuxième niveau ? c’est pour un public plus averti, mais je ne sais pas encore pourquoi, il semble que ce soit encore un secret bien gardé… m’informe Benjamin. - le buffet est là-bas, poursuis-je, aidé par ma vision périscopique. En cherchant le buffet de loin, mon regard croise fugitivement celui d’une femme qui semblait me scruter. Mon regard revient en arrière, je la fixe. Elle me regarde deux secondes, droit dans les yeux, puis baisse ceux-ci. Intrigué, je reste à la fixer. Elle relève ses yeux encore une fois, soutient mon regard en rougissant délicatement, et rebaisse les yeux. Benjamin vient d’assister à ce petit échange de regards avec un air amusé. - Ca y est, une victime de plus du charisme de Philippe, tu lui as grave tapé dans l’oeil. Tu veux que je te la présente ? c’est la directrice de la galerie, s’exclaffe-t’il. - Dis m’en un peu plus sur elle. C’est une bombe, cette femme… - Je crois qu’elle est divorcée, mais je n’en suis pas vraiment sûr. En tout cas tu sembles avoir une ouverture. - On va vite le savoir, présente la moi. Cinq mètres nous séparent, qui me laissent le temps de la déshabiller du regard. Elle doit avoir entre trente-cinq et quarante ans, une posture que je qualifierais de conquérante, elle est l’organisatrice de ce vernissage et elle est visiblement fière du succès de celui-ci. Elle a des formes qui sont un appel criant au sexe. Elle sait se mettre en valeur avec classe. Elle porte un tailleur Dior et son chemisier avec un décolleté assez ouvert fait la promesse visible d’une poitrine généreuse. Ses escarpins lui dessinent des jambes de folie. Des cheveux blonds cendrés coiffés en un chignon élaboré lui donne une touche de sévérité et d’austérité qui contraste avec ses formes. Intrigant au plus haut point, ma curiosité est vraiment piquée au vif. Nous avançons vers elle, elle soutient maintenant mon regard totalement. Je m’arrête. Mon regard parcourt lentement l’intégralité de sa personne. Elle fait de même avec moi. Un jeu vient manifestement de démarrer… un jeu de séduction, sans aucun doute… - Sophie, permet moi de te présenter Philippe, un ami proche en visite dans notre belle ville. Je l’ai invité à ton vernissage en me disant que ce serait une opportunité de le sortir et pour lui de tisser ici un réseau social. - Enchantée, Philippe. Vous êtes des nôtres pour longtemps ? - Enchanté de même de vous rencontrer, Sophie, j’ai un contrat qui me garde ici pour les trois mois à venir. Je suis impressionné par ce vernissage. - Vous en avez déjà fait le tour ? - Non, pas encore. Benjamin vient de me dire qu’il y a encore une deuxième partie de l’exposition, pour public averti ? - C’est exact, mais nous n’ouvrirons cette partie du vernissage qu’à minuit. Ça fait partie du concept. C’est un teaser pour exciter un peu nos invités et les inciter à sortir leurs carnets de chèques. - Dommage… je ne suis pas sûr de rester jusqu’à minuit. Faites moi donc une visite privée en avant première ! - Je ne peux pas… je le regrette vraiment, d’ailleurs… - Ce n’est pas une demande, c’est un ordre ! J’appuie cette dernière phrase, cette boutade insolente, d’un grand sourire carnassier souligné par un clin d’œil discret. Sophie reste interloquée, les yeux grands ouverts. Et après une pause de quelques secondes qui me paraît une éternité, réplique avec un sourire désarmant : - En fait oui, je vais vous faire cette faveur. Une visite privée. Très spéciale. Mon rythme cardiaque vient d’accélérer soudainement. Serait-ce une proposition ? Le doute subsiste, et je décide de le lever. - Avec plaisir, Sophie. Mais je tiens à ce que soit une visite vraiment privée. Nous deux et personne d’autre. - Absolument. Nous y allons ? - Je vous suis, Sophie. C’est donc vraiment une proposition. Sophie passe devant moi en me frôlant très ostensiblement. Je suis passé à 180 pulsations/minute… Benjamin a la délicatesse de se faire discret et de s’écarter en m’adressant une moue assez évocatrice que j’interprète comme : « bien joué mon gars, fonce ». Je le soupçonne d’avoir très envie d’être à ma place. Je suis Sophie vers un escalier descendant, protégé par un panneau « Ouverture de la deuxième partie de l’exposition à minuit ». Nous contournons le panneau, descendons les degrés jusqu’à une porte en bois massif. Sophie tape un code sur le système de sécurité et la porte s’ouvre. Nous entrons dans la salle, celle-ci est dans une pénombre prononcée pour que les œuvres, éclairées par des spots concentrés, bénéficient d’un contraste propre à leur mise en valeur. Sophie referme la porte et précise : - Voilà, il n’y a que moi qui ai le code pour ouvrir la porte de l’extérieur, nous sommes tranquilles. - Très bien, nous allons pouvoir interpréter ces œuvres comme bon nous semble. Quel est le sens de lecture de l’exposition ? la première toile à admirer ? Je suis Sophie qui se dirige vers la première toile. L’artiste a été probablement très inspiré des dessins érotiques de Luis Royo, qui mettent en œuvre des personnages fantastiques, souvent des monstres, et de superbes créatures féminines dédiées à leur bon plaisir. Cette toile représente un monstre mâle en érection, debout, et une superbe femme nue agenouillée à ses pieds lui procure une fellation avec un regard conquis. Je sens Sophie figée et frémissante juste contre moi, le regard fixé sur cette première toile. Elle ne bouge plus, comme fascinée. Je me lance. - Sophie, la puissance érotique de cette toile m’inspire de manière impressionnante. Pas vous ? - Très certainement. Juste une petite mise au point entre nous si vous le voulez bien. - Bien sûr. Dites-moi ? Sophie, toujours le regard fixé sur la toile, commence à parler avec un débit très rapide et saccadé à la fois. Une émotion intense la submerge visiblement. - Ne vous faites pas d’idées sur qui je suis. En fait je n’ai pas touché à un homme depuis ma séparation avec mon ex-mari il y a 3 ans. Et aucune envie d’en toucher un. Vous avez déclenché en moi une envie que je ne me connaissais pas. Je n’ai pas envie d’une relation banale. J’ai envie de jouer, de provoquer, de découvrir… de faire des choses qui m’ont toujours fait envie… J’ai une envie terrible. Votre regard, votre manière de me parler me font fondre. Dites-moi que je ne me trompe pas sur vous ? Dites-moi ??? Elle se tourne vers moi et me regarde. Je déglutis. Gêné mais toujours excité. Où veut-elle en venir ? - Heureux de voir que j’ai ressuscité votre désir. Dois-je comprendre que je suis un moyen privilégié d’assouvir certains de vos fantasmes ? - Oui, Maitre En une seule réponse de deux mots, la lumière vient de m’éclairer avec force. Je viens de comprendre ce qu’elle veut. C’est la première fois qu’on m’appelle Maître, mon surnom étant plutôt de temps en temps « double-mètre ». Il va falloir que je comprenne vite les règles du jeu, c’est la première fois aussi pour moi. Ça me plait. Mon niveau d’excitation vient de bondir d’un cran. - Sophie, nous allons réinterpréter la toile à ma façon. A genoux ! - Oui, Maître Sophie se met lentement, très lentement, à genoux devant moi, sa bouche arrive à la hauteur de mon sexe qui ne demande qu’à être libéré de sa prison de tissus. Elle ne bouge plus. Après quelques secondes, j’ouvre ma ceinture et dégrafe mon pantalon. - Sophie, libère-moi de ce piège de toile - Oui, Maître Sophie s’exécute, elle fait descendre mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Inutile de dire qu’elle découvre un sexe en pleine érection. Mon excitation est telle que je suinte déjà du liquide pré-séminal. Elle le regarde avec gourmandise mais semble se retenir. Je comprends qu’il faut que je la guide par des ordres et des directions précises. - Sophie, suce-moi et branle-moi - Oui, Maître - Mais attention, je ne veux pas jouir. - Oui, Maitre - Tu t’arrêteras net quand je dis stop ! - Oui, Maître Sophie commence par happer avec sa langue le bout de mon gland pour récupérer ma liqueur pré-séminale. Elle parcourt ses lèvres avec sa langue pour me montrer qu’elle en apprécie le goût. Elle entreprend une longue exploration avec sa bouche de l’ensemble de mon sexe, et vient de lécher les testicules avec douceur. Elle me regarde de temps en temps pour vérifier si j’apprécie… Elle n’a pas oublié comment donner du plaisir à une homme… En fait non, je n’apprécie pas tant que ça, car la position debout pour une fellation n’est pas agréable sur le long terme. Il y a un sofa qui nous tend les bras à deux mètres de là, et je compte bien en profiter. - Sophie, tu ne respectes pas l’œuvre originale de l’artiste. Tu devrais être nue. Déshabille-toi immédiatement ! - Oui, Maître Sophie ouvre sa veste de tailleur, retire son chemisier échancré. Pas de soutien-gorge, ses seins sont juste superbes. - Sophie, tu gardes uniquement tes bas et tes escarpins - Oui, Maître Je lui ai demandé de garder ses bas, j’espère qu’elle n’a pas eu la mauvaise idée de mettre des collants. Soulagement, une fois la jupe de son tailleur retirée, elle retire son string et se retrouve dans une tenue minimaliste qui me fait baver. Entre temps, je me suis dirigé vers le sofa avec une démarche de pingouin (toujours le pantalon sur les chevilles) et je me suis enfin débarrassé de mes contraintes vestimentaires. Je suis maintenant nu sur la partie inférieure de mon corps, et habillé sur la partie supérieure. J’en profite pour vérifier que j’ai bien mes préservatifs de secours dans la poche droite de mon veston… Oui, ils sont là. J’en ai seulement deux, il va falloir que je gère mon excitation… Je me vautre sur le sofa, enfin une position confortable. - Sophie, viens entre mes jambes, et fais ton travail consciencieusement. - Oui, Maitre La position que j’ai prise lui permet une grande liberté et de me lécher vraiment partout. Elle passe sa langue brièvement sur mon anus et semble hésiter. - Lèche moi l’anus. Fais moi plaisir. - Oui, Maître Elle se déchaine en poussant de petits cris. Elle fait ça très bien. Instinct ou expérience ? - C’est très bon… Tu as fais ça souvent ? - C’est la première fois Maître. C’est la journée des premières fois, Maître. Elle vient sucer les bords de ma hampe, l’englouti de temps en temps pour mieux la branler la seconde suivante. Je sens mon excitation monter autant que la sienne. Nos souffles sont courts et accélèrent. Il est temps de calmer le jeu si je ne veux pas jouir, je suis proche du non-retour... - Sophie. STOP !!! - Oui, Maître Je reprends le contrôle. L’éjaculation n’était vraiment pas loin. Je souffle un grand coup. - Debout devant moi que j’admire un peu ton corps. Sophie se met au garde à vous. Je suis assis au bord du sofa, j’ai ses seins juste devant mes yeux, ses tétons érigés d’excitation. - Ecarte un peu les jambes - Oui, Maître Ma main se dirige vers son sexe. Elle a fait le choix d’un sexe glabre, ce qui me convient tout à fait. Je caresse délicatement son clitoris, elle se met à vibrer, ses jambes chancellent. Son sexe est trempé à un point difficilement imaginable. L’intérieur de ses cuisses est une vraie patinoire… - Sophie, je t’interdis d’avoir un orgasme avant de t’en avoir donné l’autorisation. On est bien d’accord ? - Oui, Maître Heureusement que j’ai discuté un peu avec elle avant, sinon je pourrais penser que son vocabulaire est très limité… J’ai une folle envie de la prendre tout de suite, sauvagement. Mais le jeu m’attire. Je suis sur un nuage. Je suis venu à un vernissage, et je découvre une complice de jeux d’une manière très inattendue… - Sophie, cette première toile nous a bien inspiré. Que nous dit la seconde ? Montre la moi. - Oui, Maître Nous nous dirigeons vers la deuxième toile, elle avec ses bas et ses escarpins, son sexe dégoulinant de désir, et moi en chemise et veston sans rien en dessous à l’exception d’une érection triomphante proche de l’explosion… --- voulez-vous lire la suite ? vous avez la parole...
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Par : le 21/11/13
Amoureux d'une femme ? Je ne pensais plus que ça puisse m'arriver. Et puis, surtout, pas comme ça; un désir à découvrir encore, une histoire D/s à son état embryonnaire, Tout à faire. Juste cet élan amoureux et tendre, indécent, presqu'inutile. Quelle folie. Aurais-je été seul, mais non, la garce m'aime aussi dirait-on. Folie partagée. Impossible de passer une journée l'un sans l'autre. Amoureux, vous dis-je.
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Par : le 19/11/13
Une fois le service fini, elle me fit m’assoir à table sur le banc en face d'elle. Nous nous instamment tranquillement, buvant nos café, et elle me donna mon profil pour mon rôle à jouer. Je m’appelle donc Virginie Desbas, jeune fille timide et réservée, qui sort juste de son école de secrétariat mais qui n'a pas eut son diplôme à cause d'une orthographe déplorable et d'une maladresse compulsive. En plus de ça, je ne sait pas m'habiller correctement, j'ai beaucoup de mal à m'assumer et à me mettre en valeur et je m'habille comme un sac, en garçon manqué et passe au mieux inaperçue partout ou je vais. J'ai loupé des douzaine d'entretiens d'embauche de secrétaire et je fais des ménage pour gagner de l'argent en attendant mais personne ne veut me garder à cause de ma maladresse et je casse plus d'objet que je n'en nettoie. C'est donc mon entretiens de la dernière chance, la patronne est connu pour avoir des méthode plutôt originales et se basant plus sur la motivation que les compétences et toute celles qui sortent de chez elle trouvent des emploie de secrétariat prestigieux au prés de patrons, fonctionnaires et politiques très haut placés. Je pris cinq minutes pour lire mon script et essayer de me mettre dans le rôle, et ça n'allait être ni facile ni très agréable... Je prenais le temps d'assimiler le texte lorsque je senti qu'elle perdait patience : - "Hum hum... Bon s'il te fait une demi heure pour lire quelques lignes va falloir revoir tes cours de secrétariat depuis la base..." Me dit-elle en me faisant sortir de mes penser... - "Mais c'est pas du tout moi ça comment veux-t-tu que je joue cette pauvre fille..." - "Ho t'inquiète pas, tu lui ressemble beaucoup plus que tu ne le crois. Bon aller hop, on passe aux choses sérieuses si tu veux bien." - "Bhen, c'est juste un rôle hein c’est pas vraiment sérieux..." - "Et ce n'était pas vraiment une question... !" Nous commençâmes donc l'entretiens. Elle me demanda des choses classiques, nom prénom, etc.. Mes études, mes expériences... Rien de bien hors du commun. Mis à part le fait que j'étais habillé(e) en mini tailleur jupe, et que je n’arrêtait pas durant l'entretiens de devoir rabaisser un peut ma jupe trop courte. Elle n’arrêtait pas de remonter à cause des talons bien trop haut et très inconfortable que je n'arrivais pas à oublier et je ne pouvais m’empêcher de remuer les jambes, mais avec bien 15cm de talons, j'avais les cuisses collées à la table, je ne pouvais pas croiser les jambes une sur l'autre et je remuais de plus belle. Elle continuait pendant ce temps de jouer son rôle d'employeuse, elle avait toute une série de questions sur tout un paquet de fiches et je me dit que ça risquait bien de prendre toute la journée, dans cette tenue. Pour couronner le tout, ma veste n'avais plus de boutons, elle n’arrêtait pas de s'ouvrir largement comme je n’arrêtais pas de bouger, et je commençais à être de plus en plus mal à l'aise. Mon chemisier était très visiblement transparent, c'était la première fois que je portait un soutient gorge, devant mon amie et j'avais le nette impression de me retrouver directement exposée devant elle en lingerie... Et plus j'essayais de refermer ma veste et de trouver une position pour la garder en place, plus ma jupe remontait, et plus j'essayais de garder ma jupe en place, plus ma veste se retrouvait ouverte et ma lingerie exposée... Je répondais machinalement à ses questions, quand une en particulier me ramena brutalement à la réalité, me fis rougir et me mis plutôt mal à l'aise : "Est-ce que vous compter tomber enceinte durant votre contrat de travail ?" Je me mis soudain à bafouiller une réponse négative bien sur, la fixant dans les yeux, cherchant sa réaction en demandant pourquoi cette question... - "C'est une question de routine pour n'importe quelle femme, tu peux répondre "oui" ce n'est pas pour ça que tu échouera dans l'entretiens, mais l'employeuse doit le savoir pour s'en arranger à l'avance. Mais je répondis toujours par la négative, ne pouvant assumer ni imaginer ce rôle. - "Ho aller, tu peux être honnête, tu DOIS répondre "oui", pour que je puisse continuer l'entretiens et prévoir l'arrangement." J'arrivais donc finalement à dire "oui". S’ensuivit toute une série de question toutes plus gênantes les unes que les autres. A quel moment, avec qui, si j'avais un homme dans ma vie, si je comptais faire une insémination pour l'élever seule, ou si j'étais lesbienne. Jusqu'à quel moment je comptais travailler au fil de ma grossesse, si je comptais prendre un congés maternité ensuite, etc... Toutes ces questions me mettaient horriblement mal à l'aise et en plus de gigoter sans arrêt à cause de ma tenue, j’avais maintenant des tics nerveux... Mais je ne remarquais pas à quel point cela commençait à l'agacer et à la déconcentrer elle même. Je commençais à me gratter les lobes d'oreille, je les avais percées il y a longtemps, mais je n'avais jamais mis de vrais boucles de femme, et leur poids se faisait sentir et elle remuaient à chaque mouvement. Je sentais le rouge à lèvre comme une fine couche humide et n’arrêtais pas d'essayer de les passer une sur l'autre. Le fond de teint, particulièrement sous le nez me démangeait tout le temps. Le mascara sur les cils les rendait si long et épais que je n’arrêtais pas de cligner des yeux. Tout cela n'avait rien de naturel pour moi et me gainait horriblement. Lorsqu'elle se coupant en pleine question en me demandant si je voulait faire une petit pause, question à laquelle je répondit immédiatement oui. - "Bien, fini ton café, va aux toilettes si tu as besoin et on va juste papoter tranquillement pendant une heure pour se détendre." Je suivis son conseil et reviens m'assoir à ma place un peut plus détendue. Elle se mis derrière moi, me positionnant me dos bien droit, les jambes droites et collées, le buste bombé, les bras le long du corps, les mains sur les cuisses et la tête haute. - "Bon on va faire une pause, tu va te détendre, et garder une position convenable sans gesticuler ni me déconcentrer sans arrêt !" Me dit-elle sur un ton amical, mais qui me faisait tout de même comprendre un début d'agacement. Je dit que j'allais faire de mon mieux et je l'entendit s'éloigner un instant me lançant un "Ne bouge pas !", depuis le couloir. Lorsqu'elle revint je l'entendit se positionner juste derrière moi, j'allais me retourner par réflexe lorsque que je senti sa main sur ma joue pour tenir ma tête droite en position, et elle me murmura à l'oreille : "On va voir si tu arrive à rester tranquille cinq minutes." Juste cinq minutes... Mais ça me paraissais interminable. Ne pas bouger en attendant quelque chose n'est pas difficile et j'ai suffisamment de patience. Mais ne pas bouger en cherchant consciemment à ne pas bouger est une autre histoire.. Et le temps passe comme au ralentit. Je l'entendait faire les cents pas derrière moi, se marmonnant des choses à elle même, je la sentais me frôler, tout faire pour me déconcentrer. Je sentais ma jupe serrée sur mes cuisses, genoux contre genoux... Sentant le douceur de mes bas l'un contre l'autre même si je faisais mon possible pour éviter tout mouvement involontaire le plus imperceptible qui soit. Les talons très haut et trop petits qui ne se faisaient jamais oublier, mes jambes serrer l'une contre l'autre qui poussaient mes cuisses au plus haut à appuyer contre la table qui n'était pas prévus pour abriter des jambes si haut en talons aiguilles. Ma veste entre-ouverte et mon soutien-gorge quasiment à découvert devant supporter le poids de ma poitrine d'emprunt... Soudain je senti un souffle dans mes cheveux. Elle me soufflait dessus prés de l'oreille droite, je n'avais pas l'habitude d'avoir les cheveux lâchés et j'ai le malencontreux réflexe de les refaire passer derrière mon oreille d'un geste de la main. Je compris de suite mon erreur, mais n'en réalisa pas immédiatement les conséquence. Elle s'empara de mon poignet et y glissât une corde et avant que je puisse réagir l’enroulât autour de mon bras en m’immobilisant dans cette position. - "Même pas cinq petite minutes sans bouger, à peine une petit quelque chose te déconcentre, et je demande à mes secrétaire de rester concentré, et disponible pour moi, à tout instant. Il va donc falloir travailler sur ces vilains réflexes et cette déconcentration si tu veux vraiment travailler pour moi..." - "Hey.. mais... ! Qu'est-ce que tu fais... ?!" - "Tu veux travailler pour moi où pas ? VIRGINIE !" Dit-elle en appuyant sur le prénom de mon personnage, je compris qu'elle voulait que je reste dans le rôle... - "Oui madame." Répondis-je d'une vois tremblante sans imaginer, sans même chercher à comprendre, ce qui se passerait ensuite. - "Bien, alors première leçon, rester tranquille, détends toi et laisse moi faire, je te garantie que tu sera une bien meilleure secrétaire après mes leçons." Sur ce, je la laissa faire, sans rajouter un mot de plus, je me réfugia dans mon rôle, me disant que cette situation des plus improbable ne m'arrivait pas à moi, mais à Virginie... Et que si cela était vraiment en train d'arriver à virginie, dans cette tenue, j'aimerais bien voir ça en spectatrice... heu spectateur... Voila que je commençais à m'embrouiller moi même... Je laissais donc la scène se dérouler paisiblement, je ne disais pas un mot et je m'imaginais la scène depuis l'autre coin du salon, détaché, et trouvant cela terrible ment excitant, sexy, sensuel, nouveau... Elle pris ensuite l'autre main de Virginie, la mienne en fait, la plaquât contre mon dos et tira une corde entre mes deux poignets, immobilisant de ce fait mes deux bras. - "Ça va comme ça ? Tu es à l'aise ? Ça fait pas mal ?" Me demanda-t-elle, me ramenant directement à la réalité, prenant réellement conscience que c'était mon corps qui se faisait ligoter, et que j'étais bel et bien à l’intérieur à ressentir tout ce qui m'arrivait. - "Oui c'est bon, je suis pas super à l'aise mais ça ne fait pas mal." Répondis-je d'un air timide. Elle tira un peut plus sur la corde, jusqu'à ce qu'un petit "Ha !" timide mais présent ne m’échappe. - "Ca fait mal là ?" - "Non ça va encore, mais c'est vraiment pas confortable..." Je le senti faire un geste sec dans mon dos, elle venait de faire un nœud à cette endroit scellant ainsi la position de mes bras, pour un temps qui me semblerais interminable. - "Bien ! C'est quand c'est comme ça qu'on retient une leçon et que tu t'en rappellera." En effet, impossible d'oublier la corde, c'était inconfortable, bien plus que le début de l'entretiens, mais cette fois je ne pouvais plus gesticuler, et ce n'était qu'un début... S'ensuivit ensuite quelques cordes pour sécuriser ma positions, elle passa quelque fois autour de ma poitrine, dessus, dessous, m'enlaçant à chaque passage, son étreinte douce et chaleureuse, et en même temps forte et très présente. A chaque passage de corde, en m’enlaçait un peut plus fortement, à chaque fois qu'elle s'éloignait, la corde serrer un peut plus, comme si son étreinte restait en place pour que je ne puise plus penser qu'à ça. Elle me ligotait le corps, mais elle ligotait aussi mon esprit, la sensation trop présente des cordes me retenait à l’intérieur, je ne pouvait plus m'échapper dans mon esprit pour imaginer Virginie, j'étais coincée à l'intérieur de Virginie, j'étais Virginie. Elle me faisais un petit sourire en coin à chaque fois que nos regard se croisaient, et j'étais tout de même heureuse de la voir s’amuser comme ça, cela faisait longtemps que nous n'avions pas eut, mine de rien, une conversation aussi longue, que nous ne nous étions pas amusé comme ça, comme si nous retrouvions nos jeux d'enfants, à rigoler ensemble pour un rien, et sans mot dire, nous comprendre d'un simple regard... Et malgré mon inconfort, ma situation que je trouvais gênante au possible, habillée en femme, secrétaire hyper sexy, en train de me faire ligoter, quand nos regard se croisaient, le miens ne pouvait vouloir dire que "Vas y continue et amuse toi !" Elle passât ensuite sous la table, et je referma instantanément, de gène, mes jambes l'une contre l'autre. Le temps de me faire ligoter les bras et la poitrine, je ne me contrôlai plus, et mes jambes avait reprise une position plus confortable, écartées et ouverte, mais on ne peut plus embarrassante quand elle arriva à se tenir sous la table juste en face de moi, et j’imaginai un instant ce qu'elle avait put voir. Si un jour elle m'avait dit qu'elle se tiendrais à un moment donné sous une table, à regarder sous ma jupe, mes jambes écartées et ma culotte bien visible... Sans dire un mot, elle commençât a passer une cordes autour d'une cheville, puis autour de l'autre, mais je ne sentais pas mes deux cheville se serrer. Au lieu de ça, je la vie se tourner d'un coté du pied de la table, puis de l'autre coté à un pied opposé du banc... - "Non, non non. Tu es plus à l'aise avec les jambes écartées ?" Avant même qu'un seul mot ne sorte de ma bouche, elle tira d'un coup sec sur les deux cordes de chaque coté. Chaque cheville fut tirés à l'opposé l'une de l'autre, mes jambes s'écartèrent, et je rougie instantanément. Elle avait laissé une trentaine de centimètre entre chaque cheville, et elle fit un nœud de chaque coté, au pied de la table et du banc, de manière à ce que mes jambes se retrouvent coincé à une certaine distance l'une de l'autre, ne pouvant ni plus les rapprocher, ni moins... - "Je veux que tu sois à l'aise pendant la pause, si tu es plus à l'aise comme ça, grand bien te fasse." Elle se relevas pour venir s’assoir en face de moi. "Et puis tu as une si jolie culotte, j'aurais eut tord de m'en priver . Bon on avait dit une heure de pause, alors tu va tenir la pose maintenant." Je rougie de plus belle, mais elle avait le chic pour me détendre, et pendant une heure, nous nous mimes à discuter de tout et de rien, comme deux adultes qui se retrouvent à une réunion d'anciens élèves avec plein d’anecdotes à se raconter. Comme si de rien n'était, ma position actuelle ne semblait pas plus inappropriée que ça, et en devenait simplement ludique. Elle mangeait sa tarte pendant que je la regardait. - "Tu a le droit de manger aussi." Me dit-elle d'un ton joueur en me coupant un bout de tarte dans mon assiette. Je m’amusais aussi de la situation, j'essayais de me pencher pour manger sans les mains, mais des cordes reliaient mes chevilles à mon dos et m’empochaient de me pencher suffisamment, je n'arrivait même pas à lécher mon bout de tarte, mais j'arrivais à la faire sourire. Au bout d'une heure, une minuterie se mit à sonner. - "Bien ! T'es prête à reprendre ?" Me lançât-elle d'un air enjouer. - "Héhé, oui madame." Elle se leva et se tins derrière moi, en passant chaque cordes de mon dos en revues, tirant de ci de là pour voir si tout restait bien en place. - "Tu as bien retenue la leçon pour la position j'espère." - "Oui, c'est bon j'ai bien compris là." - "Tant mieux..." Je commençais à avoir des fourmis partout, et ma condition me revins à l'esprit après ce petit moment de détente, et je trouvais ma position bien plus inconfortable que je l'imaginais après qu'elle m’aie fait ressentir de nouveau chaque corde. Elle se replaçât sous la table, j'avais les chevilles écartées, mais je serrait mes genoux autant que possible. Elle mis chaque main sur une cheville, testant là aussi les cordes. - "Et pour tes jambes..." Elle se mis doucement à me caresser les chevilles, elle remontât doucement les mollet, je sentais ses mains par dessus le voile de mes bas, sa caresse me donnât un frisson dans tout le corps. Elle remonta jusqu'à mes genoux. Et elle les écarta d'un geste net. - "Et tes jambes, tu compte toujours poser les jambes écartées ? A montrer ta culotte à n'importe qui ?" - "Heu non madame, j'ai bien retenue la leçon, on ne peut mieux." - "Tu vas garder les jambes bien serrées même si ce n'est pas confortable alors ?" - "Ho oui madame, promis et je n'en bougerais pas cette fois." Elle redescendis alors ses mains sur mes chevilles, et elle défit doucement les nœuds. Sans même me toucher, je sentais ses caresse à travers la corde qui glissais sur mes jambes, le léger crissement sur mes bas me fit replonger un instant dans mon monde de fantasmes. Des bas si doux sur de belles jambes si douce également, à même la peau, une peau de bébé bien épilée... Elle s'affairait à commencer à me libérer pendant ce temps, et je me disais quand même que ce n'était pas trop tôt. Je pouvais m'habituer à la tenue de secrétaire, mais être ligoter comme ça tout une heure, plus le temps qu'elle avait mis à me ligoter depuis le début... Je n'était pas mécontenta de pouvoir recommencer à bouger un peut. Je me dégourdissait un peut les cheville en faisant des petit rond le temps qu'elle me libérait enfin. - "Ho mais je sais que tu les serrera, et que tu ne bougera plus. Parce que je vais te l'apprendre maintenant." Mes chevilles étaient libre, mais j'avais toujours une corde noué autour de chacune d'elles. Et d'un coup sec, elle tira sur une cordes et me chevilles se retrouvèrent collée l'une à l'autre sans aucune autre possibilité de mouvement. Elle se relevant, se mis derrière moi, en tenant à la main un long bout de corde, celui relié à mes chevilles. Elle le fit passer à ma verticale sous al table et sous le banc, et fit remonter la corde jusque dans mon dos, en serrant bien plus cette fois, forçant mes pied à revenir en arrière jusqu'à ce que le hauteur de mes cuisses colle à la table, et sécurisa cette position d'un nouveau nœud. Elle ne me libérait pas, elle m'enfermait dans une nouvelle position. Elle sécurisa sa prise avec plusieurs allés et retours entre mes chevilles et mon dos, la passant même autour de ma poitrine de sorte qu'en tirant sur mes jambe la pression se faisait sentir sur ma cage thoracique. Elle se releva, vérifia son ouvre une dernière fois. - "Bien !" Je me retournais vers elle d'un air interrogateur... - "Il est 10H30, on a encore bien 2H d'entretiens pour se matin, on a pris du retard avec tout ça mais ça peut aller..." Me lançât-elle amusée et en fredonnant tout en retournant s'assoir en face de moi pour trier ses fiche et recommencer l'entretien d'embauche de sa secrétaire...
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Par : le 19/11/13
Un bandeau sur les yeux Cache mon regard bleu Une porte fermée Mes poignets menottés Je Vous entends arriver Vous allez me dominer Je laisse mon corps exulter Et Vos mains me caresser Ivre de Vos baisers Mes désirs se laissent exaucés Je sens Votre glaive en mon corps Et j'en veux plus encore Je me livre à Vos instants Vous m'attirez tel un aimant J'aime être attachée Je me sens libérée Vous détachez mes poignets Et Vous m'enchainez Chaîne reliée à mes pieds Mais la nuit est passée Et je réalise que j'ai rêvé
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Par : le 19/11/13
Franc Respectueux Attentif Naturel Complice Ode Instinct Sensations Ferveur Regard Abandon Nuque Cravache Offrande Instants Sincère
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Par : le 19/11/13
Vendredi 15 novembre Première séance à trois Moment enfin arrivé. Je suis très émue et très excitée. De savoir que nous allons commencer notre première séance à trois me bouleverse et me stimule. J’attendais tellement ce moment, pouvoir réaliser un de vos rêves, un de vos rêves que je partage pleinement aujourd’hui. Rêve d’avoir deux soumises qui s’abandonnent à vos perversions. Vous nous placez l’une face à l’autre, marine à genoux, cuisses ouvertes lisant un texte que vous avez écrit avec les règles de base pour devenir une bonne soumise et moi attachée sur le fauteuil. La lecture de marine me replonge au temps où j’avais moi aussi découvert les règles, vos règles pour devenir une bonne soumise, votre soumise. Je me souviens à l’époque le ras de marée en moi, bouleversée entre ce que représentaient ces règles dans la réalité et mon souhait de les vivre. Vous installez la love machine entre mes cuisses ouvertes, mon sexe est déjà trempé de désir et pendant qu’elle commence à me pénétrer, la voix émue de votre soumise Marine me berce dans un océan d’amour. Je suis heureuse d’entendre à nouveau ces règles qui pour moi me confirme encore une fois ma volonté et mon désir d’être votre soumise et de m’abandonner à notre amour. Pendant que marine lit, vous sortez la badine. Elle a la chance de recevoir les premiers coups. À chaque coup reçu par marine, ma peau frémit de désir. Je vous regarde entre deux vagues de jouissance qui me traversent. Quelle joie immense de vous voir mon Maître profiter de cette instant et d’exprimer votre domination sur une autre soumise que moi. J’ai pris un plaisir immense à vous regarder tous les deux. D’entendre et de voir marine sous votre badine ainsi que chaque supplice qu’elle recevait, mon excitation augmentait. J’avais envie de devenir chienne de jouissance pour vous servir. Quand j’ai entendu marine s’étouffer avec votre sexe dans sa bouche, je ne vous voyais plus, la love machine était plus rapide, impossible pour moi de me contrôler. Une rage de désir s’empare de ma tête et de mon corps. L’envie de vous sucer mais surtout de recevoir votre jouissance m a rendu folle. Heureusement vous m’avez rejoint avec votre badine et j’ai trouvé du réconfort quand votre badine a rencontrée la peau de mes cuisses ouvertes plus que jamais. Durant cette première séance, nous avons fait plusieurs petites pauses. Mais je restais dans mon monde magnifique de plaisir, entendant vos paroles avec Marine. Je n’arrivais pas à redescendre. Je prends soin de ne pas perdre une miette de cette état de grâce si précieux. Nous nous retrouvons allongés tous les trois, tendre moment de câlins. Vous exigez de marine qu’elle se baisse et qu’elle commence à vous sucer. J’attendais, impatiente, que vous me demandiez la même chose. Nos regards se sont croisés et vous avez pu voir dans mes yeux le désir qui débordait. Nous finissons toutes les deux sur votre sexe. Deux gourmandes, heureuses de vous montrer à quel point nous étions reconnaissantes de toutes vos attentions pendant cette première séance à trois. Mon envie de vous donner du plaisir était décuplé, je vous suçais et vous léchais avec fougue. Pour finir cette séance, vous installez marine sur le fauteuil, attachée, cuisses ouvertes, la machine entre ses cuisses. Je suis assises au sol, face à marine en position d’attente. Position inverse du début de séance. Vous me tendez un godemichet et me demandez de me rapprocher de marine. Pendant qu’elle se fait prendre par la machine, je vous vois lui torturer ses mamelles. Je découvre en moi un plaisir intense de voir mon Maître faire mal à une autre. J’avais envie au fond de moi que vous lui fassiez mal. Je n’ai pas compris ce ressenti sur le moment. Mais je comprends aujourd’hui que cette envie est liée au besoin que j’ai de me dépasser et de m’abandonner à vous, que ce soit dans le plaisir ou la douleur, pour que vous puissiez vous exprimer complètement. Notre relation je la vis dans mon abandon à vous pour que vous puissiez vous exprimer alors j’ai transféré cela sur marine. J’avais envie que vous puissiez vous exprimer avec elle et comme je sais que vous aimez faire mal j’ai souhaité que vous lui fassiez mal. J’entends gémir et crier votre soumise. Je vois son corps se tendre retenu par les cordes. Je me caresse avec le vibromasseur que vous m’avez donnez et je m’évapore dans ce monde de jouissance. Mon Maître d’amour, je repense à votre magnifique visage qui regarde vos deux soumises. Magique cette image. Nous avons tellement bataillé tous les deux pour en arriver là. Je vous remercie de prendre autant soin de moi, vous avez su gérer cette première séance à trois, toujours avec attention et amour pour moi et j’espère du plus profond de mon coeur être toujours à la hauteur, par mon abandon sans fin à vous et à votre amour.
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Par : le 19/11/13
Setting up all those hidden cameras when you were contracted to upgrade the ladies lockers, showers and sauna seemed like such a good idea at the time. And for the last six months, it had been a dream come true for a voyeur like you—a seeming endless supply of extremely fit, athletic women for you to fantasize about submitting to. But now you had been caught! As the police were about to be called, you begged for any alternative—and now here you are—about to be punished and humiliated in front of all the women whose privacy you had violated. Unfortunately, you didn’t quite grasp the severity or duration of your comeuppance. Several minutes later as you are crying and begging for an end to your anguish, you find out the true nature of these ladies retribution. Not only will your suffering continue into the wee hours of the morning, by any lady present; the ladies will also be filming all of your humiliation. You will report back for weekly punishment for as long as long as they see fit—or the films will be posted on the internet. And now it seemed like a good idea to be very afraid…
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Par : le 19/11/13
Il me semble que ce n'est pas exactement la même chose, un soumis ou une soumise...Question de vocabulaire, peut-être ? Dans le mien :Un soumis obéit, se prosterne, adule et vénère.Une soumise obéit, respecte, craint, admire.Un soumis est un objet, un jouet magnifique, un instrument de plaisir.Une soumise est une chose. Ou une petite chose.Un soumis se donne, se prend.Une soumise se gagne, et puis s'offre.Une soumise vous touche.Un soumis vous émeut.Un soumis est un valet, un serviteur zélé.Une soumise est une soubrette... mais elle reste une princesse.
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Par : le 18/11/13
Chapitre IV suite et fin. Après Daniel, c'est au tour de Jean-Louis de venir s'installer dans ma bouche. C'est plus aisé pour pour moi, il a une petite bite fine et pointue. En face, Maitre Henry est penché entre mes cuisses largement ouvertes au dessus de ma chatte et de mon anus, tenant à la main le petit étui à cigare métallique. Le tube sort du freezer du frigo. L'eau qu'il contient s'est transformé en glace. De son pouce Henry force mon petit oeillet de plusieurs va-et-vient et sans ménagement enfonce le tube gelé dans mon trou du cul. L'effet est surprenant, le tube glacé est entièrement avalé en moi, une dizaine de centimètres. Il n'est pas gros mais pour éviter l'expulsion Henry maintient la pression sur le bout du tube qui dépasse. Je bouge dans tous les sens, ce n'est pas la taille de l'objet qui me fait souffrir, c'est le froid. Le froid s'étale en moi comme une brûlure. Jean-Louis toujours accroupi, la bite enfoncée dans ma bouche me tient par la taille pour m'éviter de trop bouger. Sous l'effet du froid, mes chairs se contractent. J'essaie d'expulser ce curieux suppositoire de métal. J'ai en moi comme une stalagmite de glace plantée dans mon anus. Manu au bord de l'excitation remplace Jean-Louis dans ma bouche avec sa grosse queue je n'arrive pas à reprendre mon souffle. Maitre Henry lâche le tube à cigare planté en moi. Ravi de son pouvoir, Maître Henry va chercher une bougie posée sur l'étagère. Il demande aux invités de prêter attention à ce qui va suivre. D'un geste leste il enfonce la bougie dans mon vagin déjà électrisé par les gâteries des hommes. Le bout de la bougie dépasse de mon vagin. Les hommes sont satisfaits et encourage Henry à l'allumer. Maître henry gratte une longue allumette en enflamme la bougie blanche qui contraste avec ma peau noire. Même si je suis écartée au maximum, je sens la chaleur de la petite flamme à l'intérieur de mes cuisses. Henry demande à Jean-Louis de bien me maintenir ainsi afin d'éviter des mouvements trop brusques, je suis suspendue comme une toupie. L'effet du froid dans mon cul s'estompe, cela devient supportable. C'est au moment où je pense que tout est terminé que la cire chaude s'écoule par gouttes entre mes lèvres de mon vagin et la raie fessière jusqu'à l'anus. Plus je bouge, plus je sens la flamme de la bougie contre la peau de mes cuisses. Henry demande à mon mari d'éteindre la lumière, je suis ainsi offerte aux regards des hommes, la bougie se consumant entre les lèvres de ma chatte. Voilà Messieurs dit Henry, la Liberté sexuelle éclairant le Monde, elle est quand même mieux que celle de New-York, dit-il. La Liberté pour les Maîtres bien sûr, la liberté de baiser, de punir, de jouir, de fouetter, d'utiliser les esclaves. Des photos sont prises pour immortaliser cette pose mémorable. Il invite aussi ses clients et amis à allumer leur cigares à la flamme de mon sexe. C'est la première fois que je sers d'allume-cigares à des hommes. Raymond me dira plus tard ne pas avoir apprécier cette façon de faire. Je ne vais pas être au bout de mes surprises, Daniel se met à pisser sur moi en dirigeant bien son jet sur mon visage. Surpris Manu quitte ma bouche pour ne pas être éclabousser par l'urine de Daniel qui se comporte comme un soudard. Daniel s'approche de moi , me tient la tête et introduit sa queue dans ma bouche et se remet à pisser dru, je ne peux rien faire d'autre que d'avaler son urine, la tête en bas ma bouche déborde, je ne peux pas tout avaler. Ce sera ma première et dernière expérience uro. J'ai fait savoir à Maître Henry que je n'appréciais pas ce genre de chose. Chez Maître Henry à Toulouse c'est le dressage extrême. Dégoulinante de pisse, de sperme, de bougie, et de sueur, Henry me détache. Ainsi barbouillée, il me fait mettre à quatre pattes et me fait tenir en bouche un petit panier en osier. Il est temps pour les invités de passer à la caisse. Daniel, Manu et Jean-Louis déposent leur offrande sans rechigner. En bonne chienne je rapporte le panier à mon Maître qui me flatte la croupe satisfait de mon comportement. Après une bonne douche et une demi-heure de répit, la séance baise-gang-bang peut commencer. On se retrouve tous dans le salon. Même Raymond est à poil. Maître Henry déclare aux hommes que je suis la pute de service et que je peux être utilisée dans toutes les positions, à deux, à trois ou plus, autant de fois qu'ils le désirent, tous mes orifices sont disponibles. Les cinq hommes sont attablés, je dois commencer mon service seulement vêtue de mes bas noirs, des mes hauts talons et de mon collier de chienne. Tout est permis. J'éprouve à la fois un plaisir et une inquiétude indescriptible d'être ainsi livrée à la lubricité des invités de la soirée. Je suis la pute offerte et consentante. Une nouvelle fois je vais être fouillée, saccagée, malmenée, baisée, sodomisée. En sortant de la cuisine avec un plat, je m'approche de la tablée avec les petits fours et les canapés. Pendant mon service je sens des milliers de doigts me palper, s'insinuer en moi. Je dois accomplir le service dans les meilleures conditions, ce n'est pas facile. Je sers à boire, je frissonne sous les caresses. Mes lèvres sont gonflées à bloc, je mouille comme une fontaine. Les hommes boivent et mangent en échangeant des propos orduriers me concernant. Je suis traitée comme une moins que rien. Il faut dire que depuis ce matin ,je ne suis rien. Rien qu'un trou à plaisirs. Les bouchons de champagne tonnent à un rythme effréné comme les suçages, les enculades et autres frivolités du moment. A genoux aux pieds de Daniel je suce sa grosse queue, mon va-et-vient fait flic-flac, il s'enfonce au maximum encouragé par les autres. Je suis entre lui et Raymond, je suce sans réserve le gros bengala de Daniel devant mon mari, par moment je déglutis, il ahane, il fait des han, han, han en avant de décharger ses batterie nullement gêné par la présence de mon mari à ses côtés. Il essuie sa bite sur mon visage. De son côté Henry est encore allé cherché un étui à cigare dans le frigo, il veut procéder à une nouvelle opération dans mon anus. Il demande à Raymond de bien me tenir. A mon grand étonnement mon mari me ceinture afin que je ne puisse pas bouger pendant l'intromission du tube glacé. Daniel me tient fermement la tête, la bite enfoncée dans ma bouche. Des regards avides me regardent, me matent avec au dessus de moi des forêts de bites grosses comme des branches. Les hommes se branlent. Raymond est aussi debout la bite à la main, il se branle comme les autres. Je suis heureuse qu'il se joigne enfin à nous, la situation de voir sa femme prise depuis le matin par des hommes différents devait être trop excitante pour lui. Pour le final, je suis contente car je vais recevoir la semence de cinq hommes en même temps.Un bukkake. Ma récompense. Allons, Messieurs dit Maître Henry, nous allons honorer cette belle salope de la meilleure façon qui soit pour elle, nous allons cracher notre jus d'homme sur son visage. En moins qu'il ne faut pour le dire, je suis arrosée de sperme, de grosses giclées épaisses souillent mon visage, mes paupières, mes seins. Ma bouche gourmande et pulpeuse a du mal à retenir le trop plein de sperme, c'est un florilège qui explose en même temps. Pour finir, Je suce au hasard, je nettoie les bites qui se présentent à moi. J'ai des aspirations goulues d'une femelle lubrique qui avale les tiges jusqu'aux testicules de mes compagnons. Les pompages de noeud se succèdent, je ne suis plus qu'un jouet, un automate. Je ne sais plus qui je suce, qui je nettoie, je le fait mécaniquement. Je pratique maintenant le sexe avec une assiduité exemplaire et je voue au culte d'Eros et aux braquemarts tendus vers moi une dévotion sans borne. Après une dernière coupe de champagne, Maître Henry mit fin à la séance. Cela faisait cinq heures que j'étais entre les mains de Maître Henry et de ses invités. Une première journée enrichissante à tous points de vue. Neuf hommes en tout dont cinq en même temps. Vingt trois invités au total pour les trois jours. Raymond me calma,me rassura, me félicita en me traitant de sublime salope. Je ne sais pas où cela va nous mener dit-il mais tu à l'air tellement heureuse dans ce que tu fais qu'il est difficile de t'interdire quoi que ce soit. Par la suite, je suis retournée une fois par mois chez Maître Henry en organisant des soirées à thème rien que pour moi. A chacune des mes visites Manu, le cafetier de Carcassonne n'en ratais pas une. Ils sont devenus mes amis. Avant de quitter Toulouse pour retourner à Paris, Maître Henry nous invita Raymond et moi dans une magnifique auberge pour un dîner aux chandelles où le sexe n'avait pas sa place A suivre.
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Par : le 18/11/13
Joyeux anniversaire Ode à Mon Maître Y a du désir, de l'émotion, des sensations Enchaînée dans cette enivrante passion Une joie à Vous retrouver chaque fois Ximenia pourrait qui sait, orner une croix Annoncer en ce jour, le bonheur de Vous Nous et ce lien qui m'unit à Vous Ne jamais renoncer à ses rêves Il faut être prêt (e) quand ils arrivent Vivre ces moments de partage Etre digne et Vous rendre hommage Respect de ce collier, de notre relation Sous vos maux distiller avec délectation A vos pieds, je m'épanouis Ivresse, lâcher prise, je jouis Ravie de Vous connaître Et tous mes voeux pour Votre anniversaire Le 25 juin 2011
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Par : le 16/11/13
Chapitre IV suite. J'étais là, nue fixée à la croix de St-André. Les spectateurs ne perdent rien de la scène qui se déroule, ils sont nus en érection et échangent entre eux de propos obscènes à mon encontre J'ai vraiment envie de fouetter ton beau sexe ouvert me dit Maître Henry en ricanant. Qu'en pensez-vous Messieurs ! Le martinet de cuir vint cingler une premier fois mes chairs intimes. Je baisse la tête et serre le dents pour ne pas crier. Maître Henry introduit un doigt dans ma chatte épilée, Je me trémousses de plaisir et d'excitation. Tu aimes qu'on t'écarte bien, tu dois aimer les grosses bites de nègres, hein salope ? Tu peux crier tant que tu veux, je vais te dilater au maximum, ces Messieurs sont venus pour voir ça avant de défoncer comme une chienne. Henry demande à Jean-Louis de tirer sur la corde afin de tendre mes bras encore plus haut. Mes bras sont tendus à l'extrême dans cette position je suis sur la pointe des pieds. Je tremble de tout mon corps dans cette position sur la croix de St-André, Je supplie mon mari du regard. qui hélas ne peux rien pour moi. Lentement Maitre Henry insère plusieurs doigts dans l'étroit passage de ma chatte. Sous la pression je suis prise de soubresauts très forts. Maitre Henry me pénètre plus en avant dans mon sexe. J'ai mal. Maitre Henry est un Maître sévère, il est réputé pour sa dureté. Une fille qui vient chez lui sait pourquoi elle est venue. Un dressage chez Maître Henry de Toulouse, c'est comme recevoir un prix d'excellence dans le milieu sadomasochiste. Les esclaves passées entre les mains de Maitre Henry sont très demandées ensuite, c'est une bonne carte de visite. Maître Henry me fistait. Les yeux exorbités, je me rendis compte que Maitre Henry avait introduit sa main jusqu'au poignet à la limite de sa montre Rolex. Je poussais un hurlement de louve blessée. Qu'est-ce qu'elle jute cette pute dit Manu à ses compagnons qui applaudissait l'exploit de Maître Henry. En dressage, c'est le Maître qui est à l'honneur, pas l'esclave qui est simplement là pour subir. J'avais mal mais je jouissait en poussant des cris de sauvage, ma chatte était à la limite de l'éclatement. Henry avait le poing planté en moi, il vrillait, allait de droite à gauche. Manu faisait des photos. Maitre Henry enleva délicatement son poing de ma chatte. Les hommes présents prirent conscience à ce moment précis que j'étais devenue une véritable soumise lorsqu' Henry me donna son poing à lécher. Ce que je fis goulûment. La séance n'était pas terminée, Maitre Henry invita les invités à venir admirer l'ouverture béante de la chatte de Safi. Le Maître de maison demanda à l'assistance de prêter attention à la prochaine punition de Safi. Les pinces et les poids sur le bout des seins et les lèvres vaginales. Pour détendre l'atmosphère, Henry invita les Daniel, Jean-Louis et Manu à fouetter mon ventre et mes seins. Une chaîne fût placée entre les deux pinces crocodile sur les bouts des tétons sensibles de Safi. Maître Henry y accrocha un poids en plomb ce qui eut pour effet de tendre vers le bas les gros tétons de Safi. Manu s'approcha d'elle avec un autre poids. Sa queue tendue, gonflée frottait contre le ventre de Safi, il essaya de s'introduire en elle. Henry lui demanda de ne rien faire. A contrecoeur, Manu s'exécuta. Il avait envie de me baiser. En bon Maitre, Henry cravacha mes seins. Je ressentis une double douleur, les lanières de cuir et les pinces sur mes tétons. Chacun y alla de cinq coups que je devais compter à voix haute. Un, deux, trois.... Manu prenait un malin plaisir à s'occuper de moi ainsi. Ses deux premiers furent mesurés. Le troisième claqua dans la pièce, il fût si violent qu'une pince se détacha d'un téton. Les poids étaient maintenant suspendus à un seul téton. J'ai lâché un cri horrible à réveiller tout l'immeuble, tant la douleur était vive. Raymond se leva pour intervenir. Je l'arrêtais. Non Chéri, je dois être punie, je le mérite, laisse faire ces Messieurs, je dois remplir mon contrat, ils ont raison, je ne suis qu'une pute dis-je avant d'éclater en sanglots. Laissons la récupérer un peu, allons sabler le champagne. Qu'en pensez-vous ? Elle est endurante cette petite, elle est très motivée, c'est un bon élément, je suis reconnaissant à tous les Dieux du monde Sm de l'avoir mise sur mon chemin. Prochaine épreuve : la poulie. Henry détacha Safi et lui proposa de venir se désaltérer avec du champagne comme une chienne dans une écuelle. Je lapais le délicieux liquide avec la langue. Manu trempa sa bite dans la flute et me la donna à lécher.Malgré ces quelques minutes d'attention, les brimades ne sont pas terminées pour autant. Je venais à peine de récupérer que je fus aussitôt empoignée et plaquée, la poitrine contre un mur froid, où je fus fortement fouettée sur le dos les fesses et les cuisses sans préparation. Pour augmenter ma peur, Henry me banda les yeux. Allongée sur le sol, mes cuisses furent ouvertes sous la pression de mains fermes de de langues douces qui rendaient un vibrant hommage à mon intimité vaginale. Ce traitement ne dura guère. Henry voulait me "bonder" avec ses cordages. Tenues bien droite par Manu et Daniel, les deux costauds, il entreprit de me lier les seins. La tâche n'était pas facile compte tenue de la petitesse de ma poitrine. Il y parvint cependant. Mes deux seins ressemblaient à deux petites figues. Henry tira dessus et me fit mal. Après quoi il m'ordonna d'écarter les cuisses et fit passer une corde rugueuse dans ma fente et particulièrement sur mon clito en tirant très fort pour la faire glisser dans ma raie fessière pour le nouer avec la corde qui retenait mes seins . Le chanvre pénétrait fortement mon intimité et comprimait mon clitoris et aussi l'oeillet de l'anus. Henry me faisait tourner et pivoter sur moi même pour parfaire sou oeuvre de saucissonnage à ses invités. Maître Henry s'adresse à ses amis ; Ce n'est pas la peine de lui mettre une grosse bite dans le cul, une simple ficelle suffit à la faire jouir au maximum. Ainsi ficelée la poulie m'attend, des cordes, des chaînes pendent du plafond,et des poutres, une poulie en bois avec une espèce de barre de trapèze. Un trapèze avec à chaque extrémités des bracelets en cuir. Allongée sur le dos, mes poignets et mes chevilles sont entravées par les bracelets de cuir. Ainsi attachée, lentement il actionne la poulie et je suis lentement soulevé du sol, je suis dans la position d'un crapaud à l'envers il peut me travailler à loisirs. Daniel prend des photos. Sans ménagement Maitre Henry m'introduit toutes sortes de godes, des gros, des petits, en métal, en bois, en latex, des vibrants,des gonflables. Je suis un jouet vivant. Nu Daniel m'enjambe, il écarte ses cuisses sur mon visage et me donne ses grosses couilles épilées à lécher. Ma langue s'insinue dans son anus, je lui titille l'oeillet avec plaisir. Daniel est heureux je lui bouffe les burnes en essayant d'en mettre le maximum dans ma bouche. Lui continue de se branler. Ma tête est enfouie dans ses fesses, je le lèche comme un enfant qui lèche un fond de casserole. Soudain Daniel lâche un pet odorant et sonore. J'essaie de trouver un espace pour respirer, l'odeur nauséabonde m'incommode. Fier de lui Daniel m'enfonce sa grosse bite dans la bouche. Je suis là suspendue Daniel, Jean-Louis et Manu me palpent, pincent, tirent. Ecartelée, j'offre ma vulve et mon anus à la caresse buccale des invités. Après quelques minutes d'absence, Maître Henry revient dans la pièce avec un petit tube en métal, un tube à cigare. Il demande Daniel de rester là où il est, c'est à dire dans ma bouche chaude et baveuse. De l'autre côte la langue de Manu le cafetier de Carcassonne viole mon oeillet sa langue est devenue habille, il est infatigable. Malgré la position humiliante dans laquelle je me trouve , écartée, ouverte, obscène, j'aime être là. C'est hommes bandent pour moi,ils ont envie de moi. Ils payent et ils peuvent m'utiliser comme bon leur semble. J'aime ça. Si on m'avait prédit un jour que je ferai ce genre de choses, je me serai fâchée et je me serai sentie salie, choquée, outrée. Pourtant je suis là contente, et j'espère que je vais être utilisée de la sorte. Je ne peux pas définir cette sensation d'abandon total, la négation de soi. A suivre....
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Par : le 15/11/13
Chapitre IV suite. Mes rencontres de la demi journée, n'étaient que de mises en bouche selon Maître Henry. Je n'ai qu'une heure pour me préparer,pour installer le buffet, puisque ce soir en plus du dressage je dois aussi faire le service pour ces Messieurs avant d'être livrée aux invités. Maître Henry me donne ses dernières consignes une dernière fois. Ce que je dois faire, comment je dois me comporter. Au niveau habillement il choisit finalement le string et le soutien gorge en perles que j'ai amené avec moi, une fabrication 100% sénégalaise. Les petits fours et les canapés sont disposés sur la grande table, les boissons aussi. Toute la vaisselle et les ustensiles sont rangés dans la même pièce afin que je ne disparaisse pas aux regards des invités. En principe ce soir les invités ne se connaissent pas, c'est à moi en quelque sorte de les mettre à l'aise, je dois aussi répondre au téléphone et à l'interphone de l'appartement, je n'ai ni le droit de boire, ni le droit de manger sans l'autorisation du Maître. Maître Henry demande à mon mari Raymond s'il souhaite participer au dressage et s'il doit le présenter comme le mari de la soumise. Raymond décline l'offre de participation mais accepte d'être présenté comme le mari de la salope à punir. Je suis fébrile. Je vais être baisée,dressée, battue, devant l'homme que j'aime par des inconnus. Pour mieux m'humilier, Maître Henry m'ordonne de lui sucer la queue. La cravache à la main il s'installe dans le fauteuil et sort sa grosses bite violacée. A genoux aux pieds du Maître, j'entreprends une magistrale fellation sous les yeux de mon mari. Mes deux bras sont posés sur les cuisses de Maître Henry, mes lèvres décalottent le gros gland de mon Maître jusqu'à la naissance des couilles. J'étouffe, je suffoque. Maître Henry me parle pendant que je le suce, me demandant d'aller plus loin en me tenant fermement le cou. Je n'ai pas le droit de me servir de mes mains. Je fais ce que je peux. D'une main il me cravache les fesses. Je crie sous la brûlure du cuir sans pour autant pouvoir lâcher la belle grosse bite de mon Maître. Ce dernier me force à aller plus loin en m'insultant. Tu as intérêt à travailler mieux que ça tout à l'heure sur mes invités si tu ne veux pas recevoir le fouet. Sa bite cogne à l'intérieur de mes joues. Son gland prend des proportions considérables sous ma succion, ma bouche travaille très vite, ma salive coule le long du pénis de mon Maître. Maître Henry m'inonde le palais et la luette d'un jet chaud et épais. Je m'empresse d'avaler le tout et de nettoyer la grosse tige de chair souillée de sperme et de salive sous peine d'un coup de cravache. Il ne laisse pas de trace mais il sait faire mal. Juste au moment où le travail de nettoyage de bite est terminé,la sonnerie de l'interphone retentit, c'est le premier invité qui arrive.... Debout rapidement, je décroche l'interphone en disant : Oui bonsoir, résidence de Maître Henry. A l'autre bout de l'appareil une personne me répond : Bonsoir , je suis Manu, je viens pour la soirée. Oui Monsieur, vous êtes attendu fis-je d'une voix suave en indiquant l'étage et le numéro d'appartement avant d'actionner l'ouvre-porte et de raccrocher l'interphone. A toi de jouer maintenant dit Maître Henry. Mon coeur bat très fort, mes petits seins se soulèvent à un rythme saccadé, le soutien gorge en perles ne cache rien, je regarde mon mari qui me sourit et qui m'envoie un baiser du bout des doigts. La sonnette du palier retentit, je suis derrière la porte ainsi vêtue presque nue pour recevoir les invités. Après une légère hésitation j'ouvre enfin la porte, toute souriante comme si de rien n'était, comme si j'étais habillée pour recevoir des amis. En ouvrant la porte, je découvre sur le palier un homme de grande stature, brun, frisé, une petite moustache, bien habillé. Il est visiblement étonné de me voir presque nue. Je l'invite à entrer. Il se présente : Bonsoir, je suis Manu, je viens de Carcassonne et je suis l'invité d'Henry me dit-il. Bonsoir Monsieur, soyez le bienvenu, je suis Safi, je suis ici pour vous servir et accéder à tous vos désirs, même les plus secrets. J'ajoute la phrase rituelle, n'hésitez pas à user et abuser de moi. Puis-je vous débarrasser de votre veste ? Asseyez vous. Puis-je vous offrir à boire ? Whisky, Ricard, Martini, gin, Porto, Bière,Jus de fruits ? Une bière s'il-vous-plait ! Tu es prévenue me dit Henry, si tu fais trop de mousse, tu auras une punition au choix de notre invité. Tremblante, je présente à Manu sa bière sur un plateau, je sers la bière en faisant attention de ne pas faire de bêtises. Raymond dans son coin me regarde avec tendresse. Une fois la collation servie, je vais m'asseoir aux pieds de mon Maître. Les trois hommes discutent de tout et de rien, je reste à genoux les mains derrière le dos la tête baissée. Maître Henry parcours mon corps avec sa cravache comme pour montrer à l'invité ma docilité au bout de quelques minutes, mon punisseur m'invite à me lever et à me présenter. Je commence à égrener ma ritournelle. Je m'appelle Safi, je suis en dressage Chez Maître Henry pour trois jours avec l'accord de mon mari ici présent, pendant ces trois je serai sa chienne sa soumise, sa salope sa pute et si vous le voulez bien la vôtre. Henry me pousse vers Manu en disant : Montre-lui ce que tu as à offrir. Je me place debout en face de Manu qui est assis. Son visage est juste à la hauteur de mon ventre. Il me regarde avec intensité et me pose une question. C'est toi la salope de service ce soir ? Oui Monsieur. Il me fait pivoter sur moi même,de sorte à avoir mes fesses devant son visage, mon ensemble de perles ne cache rien de mon corps. Manu me demande de me baisser et d'écarter au maximum mon cul. En bon connaisseur de salope, il soupèse les deux globes de mes fesses comme s'il s'agissait de deux melons bien mûrs. Il écarte brusquement mes fesses pour mieux apprécier l'oeillet de mon anus qui frémit sous son regard. Il tâte ensuite mon sexe lisse et les plis de mes lèvres. Il fouille profondément à l'intérieur m'obligeant à lâcher un petit cri. Tout en m'examinant il continue à parler avec Henry, le félicitant d'avoir un beau petit bijou pareil à sa disposition. Il s'adresse également à Raymond en lui disant que je suis un bel animal sauvage. De nouveau face à lui il me demande si j'aime avoir mal. Oui Monsieur dis-je, j'aime ça, je suis ici pour ça pour vous donner et vous faire plaisir. Tu es bien rasée, j'aime les femmes lisses. Sans attendre, il commence à me couvrir le ventre de baisers avant de descendre plus bas à la naissance de mes lèvres. A genoux, les jambes écartées, les mains derrière le dos, Manu examine ma poitrine. C'est tout ce que tu as à m'offrir comme nichons salope ! Subitement il m'administre une énorme claque sur un sein. Surprise je crie de douleur. Aussitôt il tire le tétons droit vers lui. Je croyais que tu aimais avoir mal me dit-il Oui Monsieur j'aime ça, tirez plus fort, je vous en prie dis-je d'une voix faible. Il n'attendit pas deux fois pour se satisfaire. Tu sais sucer aussi parait-il ? Oui Monsieur, mon mari dit que je suis la meilleure suceuse black de Paris répondis-je effrontément. Il me regarda étonné la bouche ouverte : Tu ne crois tout de de même pas que c'est moi qui vais sortir ma queue tout seul, c'est toi la salope de service.... c'est ce que tu m'as dit tout à l'heure. Oui Monsieur excusez moi. Immédiatement j'entreprends de lui ouvrir sa braguette et de défaire sa ceinture. Ma main cherche sa bite; à mon contact son énorme braquemart se dresse comme un diable à ressorts qui sort de sa boite. Manu est fort bien pourvu. Surprise par la taille je saisis la bite à deux mains en le décalottant au maximum avant de l'enfouir dans ma petite bouche. L'homme m'attire à lui et s'installe confortablement pour sa première fellation. Visiblement Manu apprécie ma prestation en félicitant mon mari. Sa bite est grosse et lui bouge sans arrêt à tel point qu'elle glisse souvent hors de mes lèvres. J'espère dit-il que tu aimes le jus d'homme car il n'est pas question pour moi de jouir hors de ta bouche. Sa phrase à peine achevée qu'il décharge sa jouissance au fond de ma gorge. Surprise par le flot de sa semence, j'ai failli m'étouffer. Manu s'adresse alors à Raymond pendant que je nettoie sa bite : Avec une petite pute comme ça, tu ne dois pas t'ennuyer tous les jours, elle est très bonne, c'est une super pipeuse, il faut l'essayer pour s'en rendre compte. J'ai à peine le temps de me nettoyer le visage que l'interphone sonne à nouveau. En ouvrant la porte palière, je suis surprise de voir deux hommes. Ils ne se connaissent pas mais ils sont arrivés en même temps. Ils s'installent dans le salon. Il y a Daniel le plus jeune et Jean-Louis qui est aussi fort que Manu. Je suis là nue devant les nouveaux arrivants. Toute cette faune mâle examine la marchandise que je suis devenue. Je dois prendre des poses plus ou moins humiliantes selon les directives de l'un et des autres. Chacun y va de son commentaire plus ou moins salace. Chacun m'examine de près écartant les chairs de mon sexe et de mon anus. On s'intéresse aussi à ma bouche que l'on me fait ouvrir en grand. On me fait sucer des doigts qui l'instant auparavant étaient plantés en moi, je dois déguster sur les conseil de mon Maître ordonnateur et sous les yeux de mon mari. Messieurs dit Henry, nous allons passer aux choses sérieuses, nous allons dresser cette chienne qui en meurt d'envie. Elle a fait plus de 800 kilomètres pour être baisée et dressée. Les quatre hommes plus mon mari s'installent dans la pièce d'à côté où une crois de St-André est fixée au mur. Tout autour sur des étagères divers instruments : chaînes, cordes,godes de toutes les tailles, poids, pinces, cravaches, martinets, masques, menottes, bougies et plein de choses encore. A quatre pattes tenue en laisse, je passe devant chaque invité dont certains ont déjà la bite dehors et se branlent. Je passe une fois, on me flatte la croupe comme un gentil toutou. Henry me demande de faire la belle, je dois me redresser sur les genoux les mains à hauteur du visage, en tirant la langue comme une chienne qui attend son sucre. Henry me donne sa main à lécher, puis tout d'un coup, il sort son sexe que je suis obligée d'engloutir devant tout le monde. C'est bien me dit Henry. Qu'est-ce qu'on dit : Merci Maître. C'est bien tu es une bonne chienne, va dire bonjour à mes amis maintenant. Toujours à quatre pattes je me dirige vers le premier, c'est Daniel, il a un bel engin très long, que je lape à plusieurs reprises. Je le quitte pour aller faire la même chose à Manu qui m'attend avec impatience, il connait déjà la douceur de ma bouche. Je passe ensuite à Jean-Louis qui à mon grand étonnement à une très petite bite pointue comme celle d'un chien, je m'attarde sur lui aussi longtemps que sur les autres. Je termine mes salutations en suçant mon mari sur lequel je m'applique. Les présentations d'usage terminées, Henry me place sur la croix de St-André bras et jambes écartés, maintenus par des mousquetons et des chaînes. Je suis ainsi offerte aux regards des invités d'Henry, cet attirail me métamorphose en une sublime putain. Mes seins sont libres, simplement rehaussés d'un support métallique,une armature de soutien gorge dépourvu de tissu, comme si deux mains d'hommes les soutenaient. Les pointes sont droites et excitées. Avec des mots orduriers, Henry prend mes tétons et les pincent avec rage. Tu mérites une dérouillée salope dit -il en me fixant droit dans les yeux. A suivre.
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Par : le 15/11/13
à une éternelle "petite fille" au regard si bleu et qui se reconnaitra Cela ne pouvait plus durer ainsi…. Partout dans les villes et les cités la violence masculine s’exerçait en toute impunité… Un viol toutes les cinq minutes, les rackets, les agressions, …Dans les entreprises les patrons abusaient de leur situation pour exiger des services sexuels…. La police corrompue laissait filer les violeurs et les agresseurs quand elle ne leur prêtait pas « main forte » pour accomplir leurs méfaits… La justice était complètement débordée, les coupables à peine arrêtés et jugés à de courtes peine de prison, aussitôt relâchés….La société était au bord du chaos… Aucune Femme n’osait plus sortir seule… Les femmes étaient les victimes des appétits des hommes… Bien que majoritaires elles ne parvenaient pas à faire entendre leurs voies, étant cataloguées comme des féministes ringardes et sexistes…un comble. Mais chacun savait au fond où se situait la clé du problème..et de la solution. C’est ainsi que quelques groupes de femmes, refusant la fatalité de la dictature des mâles, décidées à passer à l’action se constituèrent…officiellement pour réclamer des mesures de réelle protection et des lois…clandestinement sous forme d’un appel à la résistance féminine…et à l’action. C’est ainsi que se constitua la Milice des Amazones du Var. Ces femmes étaient en guerre, contre les mâles et le patriarcat… Elles décriaient l’imposture masculine, proclamaient la supériorité de la Femme, et appelaient toutes les Femmes à les rejoindre autour d’un projet de société Gynarchiste. Elles étaient décidées à rendre coup pour coup : « une paire de couilles arrachée pour chaque femme violée, un pénis tranché pour chaque femme battue ». La terreur allait changer de camp. Une révolution était en marche. Des troupes féminines de choc furent constituées et entrainées… Elles défrayèrent bien vite la chronique par leurs actions spectaculaires… Leurs premières cibles furent les violeurs et les maris violents… Des violeurs disparurent mystérieusement kidnappés à leur sortie de prison. On retrouva leurs corps torturés et mutilés, jetés dans des buissons… Tous avaient le sexe horriblement mutilé, tranché, crucifié ou ébouillanté…Un panneau portant l’inscription : « Cette fois je ne violerai plus !!! », écrit de leur sang, le sang de leur queue était accroché à leur cou. A la place du sexe un clé informatique sur laquelle le film de leur interrogatoire, de leur jugement, de leur condamnation et de leur exécution avait été enregistré… Tous étaient passés aux aveux. Il faut dire que les amazones avaient des méthodes d’interrogation particulièrement persuasives et humiliantes… Celui qui acceptait de passer aux aveux « spontanément » pouvait prétendre à une émasculation rapide…la bite et les couilles passées à la guillotine… Il lisait alors une déclaration (filmée) où il reconnaissait ses torts, implorait le pardon de ses victimes et demandait à subir le châtiment féminin….il était alors traîné plus que conduit à la guillotine à pines…on introduisait de force ses attributs dans l’orifice….chacune des femmes venait lui cracher au visage, puis le couperet s’abattait et ses attributs chutaient dans le sable….l’homme était ensuite pendu…. les autres étaient exposés à la vindicte féminine…pendant des heurs voire des jours et des nuits entières…Il était mis au pilori, nu et subissait à son tour le viol anal…sodomisé à sec en public par des Femmes vengeresses… Après trois jours de ce traitement il était crucifié par les quatre membres et les couilles, sur une croix, la tête en bas… les femmes venaient lui pisser dessus….ou lui cracher à la figure…sa queue et ses couilles étaient enduits d’essence et les femmes y mettaient le feu…. L’Organisation Secrète des Amazones aimait faire parler d’elle et faisait parler d’elle. C’était au départ un groupe de Femmes radicales et bien décidées dont le but était bien évidement d’établir une société Gynarchiste. Aussi irréaliste qu’aurait pu paraître leur entreprise quelques décennies en arrière, le principe d’une société dirigée par les Femmes avait fait son chemin dans les esprits. Plusieurs constats étaient venu alimenter cette évolution des mentalités : - Le pouvoir des hommes, avides de conquêtes, de guerres et de destructions avait conduit la planète au bord de l’asphyxie. Les femmes étaient naturellement beaucoup plus proches de nature et de la préservation de l’environnement. - Les sacro saintes valeurs « viriles » , basées sur la force physique , apparaissaient depuis longtemps non seulement ringardes mais dangereuses. Elles n’avaient engendré que la violence dans les villes et les banlieues, et des guerres sanguinaires qui n’en finissaient jamais. - Les hommes apparaissaient de plus en plus comme des êtres primaires ayant pour principale préoccupation de satisfaire et soulager leurs instincts bestiaux. Ils ne considéraient les femmes que comme des objets sexuels ou des servantes qu’ils jetaient aussi vite qu’ils les avaient possédées ou violées….Tous les prétextes étaient bons pour eux, les hommes au cours de l’histoire avaient toujours gardé le pouvoir pour en abuser aux dépens des femmes. L’image de l’homme sage ne faisait plus illusion : la sagesse avait changé de camp ou de sexe. - Les Femmes ayant accédé, grâce au travail et aux sacrifices des féministes, à la culture et à l’instruction, et à des postes de responsabilité, y avaient démontré leur supériorité sur les hommes Bref ! La Métaphysique de l’homme fort, du soldat vainqueur, de la femme au foyer, et de l’ordre patriarcal. ..était morte. L’ordre masculin s’écroulait, le pouvoir du phallus état en miettes… Ce pouvoir était mur voire blette…prêt à être ramassé par les Femmes, pour peu qu’elles s’en donnent les moyens… L’idée d’un pouvoir féminin faisait ainsi son chemin. Il n’était qu’à accélérer les choses pour précipiter quelque peu un mouvement qui paraissait inéluctable. Les mouvements féministes prirent une orientation plus radicale. On entendit des appels à la castration des violeurs (plus chimique cette fois) , des appels vibrants et argumentés … réclamant que la justice et l’administration pénitentiaire soient confiées aux femmes, et que les châtiments corporels soient rétablis pour garçons violents dans les écoles, pour les hommes dans les prisons. . Les témoignages de Femmes battues ou violées étaient publiés dans des journaux féministes dont la diffusion s’étendait chaque jour. Des journées de grève des femmes furent lancées, elles connurent des succès grandissants. Les femmes avaient été les grandes dupes de la Révolution de 1789 censée leur apporter l’égalité. Elles étaient déterminées à réussir la leur. Mais les plus avisées d’entre elles savaient que cette action publique forcément raisonnable ne mènerait à rien de concret. Les hommes s’accrocheraient à leur pouvoir auquel ils tenaient autant qu’à leur dard. C’est ainsi que se constituèrent des organisations secrètes, des milices féministes inspirées de l’action de la résistance que les hommes qualifiaient de mouvement terroristes… (dont se réclamaient volontiers les plus déterminées d’entre Elles). Ces Femmes entraient dans la guerre clandestine contre le pouvoir mâle. Elles usaient de la terreur comme arme psychologique de conquête du pouvoir. Le recrutement était simple : des femmes qui avaient été battues ou violées, quittaient spontanément leurs casseroles et leurs foyers pour venir grossir les rangs des miliciennes. Les associations de femmes battues fournissaient d’excellentes recrues qui ne demandaient qu’à assouvir leur besoin de justice. Elles participaient à des manifestations et des distributions de tracts.. Les violeurs et les violents étaient dénoncés. Les usines des patrons harceleurs étaient placardées d’affiches portant ce genre de slogan : « Tremble Violeur, ta bite et tes couilles répondront de tes actes!!!! » Mais ces menaces n’auraient eu qu’un coté folklorique et aucun réel impact psychologique si elles ne s’étaient accompagnées de quelques actions d’éclat. Le but était double : terroriser les machos et montrer aux femmes qu’elles ne devaient plus se cantonner dans le rôle confortable de victimes. La violence masculine n’était pas une fatalité mais un fléau qu’il fallait combattre et terrasser..à la racine. Tel chauffeur routier, appelons le Pablo, en fit la cruelle expérience. Il se frottait déjà les mains quand au petit matin il eut la surprise de « ramasser » une ravissante auto stoppeuse sur le bord du chemin. La route était déserte et la fille seule. C’était la bonne aubaine pour lui, il aimait les filles peu farouches et s’imaginaient que toutes celles qui montaient dans son camion devaient s’acquitter d’un « impôt sexuel »… Il leur rendait service, c’était bien normal qu’elles écartent les cuisses pour qu’il puisse les fourrer comme un lapin. Tout à son désir il n’avait pas pris garde aux deux motos qui lui avaient emboité le pas, à peine sa future victime grimpée dans sa cabine. Il était assez direct et rougeaud, râblé et costaud. La fille portait une mini jupe…et semblait peu farouche. Tout s’annonçait pour le mieux. Pablo ne tarda pas à faire des allusions…graveleuses, évoquant ces soi disant amazones qui n’étaient à ses yeux que des mal -baisées qu’il se proposait de calmer à coups de dard entre les fesses… C’est de ça dont les filles avaient le plus besoin selon lui. La fille l’excitait comme un taureau, il fonçait tête baissée la queue en avant dans le panneau qu’elle lui tendait. Il voulut la culbuter dans la cabine, elle lui dit préférer les fourrés… C’est ainsi qu’il arrêta son bahut au bord d’un chemin de terre en lisière de la forêt… Son plan était clair : il allait la baiser , et la laisserait ensuite se débrouiller…l’abandonnant au bord du chemin. Tout en se dirigeant vers une clairière, il lui pelotait les fesses outrageusement… Déjà il la poussait contre un arbre et de sa main cherchait à baisser la culotte… La fille, appelons la Maria, lui demanda de baisser son pantalon.. ;elle voulait voir sa queue … il ne se le fit pas répéter. Et aussitôt se retrouva pantalon et slip baissé, la queue à l’air au milieu de la clairière. Il s’approcha d’elle, il bandait… Il ne vit pas arriver le coup de pied qui lui percuta les couilles et l’envoya par terre… « salope ! » cria t il dans un juron…..tout en se tenant les couilles à deux mains. « Tu veux qu’on la joue comme ça ! Tu vas voir ce que c’est qu’un mec !!! » Maria lui souriait, l’air moqueur : « j’ai invité deux copines, Pablo ! ça te dérange pas ? « » Interdit Pablo se retourna. Les deux motardes étaient là… chacune un fouet à la main. Elles avaient poussé leurs motos jusqu’à la clairière. Et contemplaient la scène. Pablo sentit que quelque chose ne tournait pas rond. Il voulut remettre son pantalon et prendre ses jambes à son cou…. Mais les filles l’encerclèrent, le défiant du regard. Il allait devoir se battre…Il cranait encore : « allons les filles, je ne vais pas me battre contre des gonzesses…ce ne serait pas du jeu !!! » Pour toute réponse il reçut un crachat en plaine figure et un nouveau coup de pied dans les couilles de Maria, par derrière… La lutte fut brève, les filles étaient entrainées au combat et Pablo ne faisait pas le poids. Roué de coups il se retrouva menotté, puis attaché les jambes écartées entre deux arbres. Son visage n’était plus qu’une bouffissure tant il avait pris des coups de bottes en pleine figure. Ses deux arcades saignaient abondamment, il était maculé de sang. Les filles s’offrirent une séance de punching ball… prenant les couilles pour cible, elles se déchainaient pour faire valser ses malheureuses valseuses…qui sursautaient à chaque coup. Pablo avec ses jambes attachées, écartées ne pouvait esquiver les coups. Maria exultait : « tu as toujours envie de me baiser, connard ???? ». Elle exhibait ses seins dressés devant lui, malgré sa trouille et la douleur dans les couilles, il regardait avec envie cette poitrine arrogante. « C’est vrai que tu m’excites, Pablo. Quand tes couilles vont éclater, je crois que je vais jouir ! » Déjà le gland avait éclaté et saignait abondamment... Les deux amazones commencèrent par le fouetter , de tous les cotés… Maria avait ramassé une badine et s’acharnait à lui cingler la pine. Il gueulait mais ces beuglements ne faisaient que renforcer l’acharnement des filles… Quand il s’effondra dans ses liens, les filles le trainèrent jusqu’à une fourmilière…là elles le firent basculer et lui recouvrirent la queue et les couilles de fourmis rouges, qui attirées par le sang aussitôt s’attaquèrent aux bas morceaux de Pablo. Il se débattait comme un diable mais les filles le tenaient fermement. Chacun à son tour elles l’enculèrent à sec. Tandis que les autres le giflaient et lui crachaient à la gueule…Pour gueuler , il gueulait. Ce qui excitait encore plus ses tortionnaires. Les filles retirèrent leur culotte et lui pissèrent dessus…elles lui firent lécher par terre… Il suppliait qu’on le laissa partir… Mais les intentions des filles étaient tout autres… Avec un sadisme raffiné elles lui firent croire que s’il leur obéissait, elles le laisseraient partir… C’est ainsi qu’il avala leur urine, et se branla à genoux devant elles sous les gifles et les crachats… Elles lui avaient détaché une main, et l’encourageaient de la voix et du geste simulant les mouvements ridicules d’un type qui se masturbe. « branle toi connard ! bientôt tu ne pourra plus, car tu n’en auras plus »… Elles pouffaient de rire des sarcasmes et des « bons mots » méprisants dont elles l’inondaient entre deux paires de gifles ou deux crachats. Quand elles jugeaient qu’il ne mettait pas suffisamment d’ardeur à la tâche, elles lui cinglaient la pine d’un coup de badine , ou lui mettaient un solide coup de pied dans les couilles. Maria extirpa de son sac une fiole de piment dans lequel elle lui trempa le gland, et dont elle lui enduit les mains…. « ça va te réchauffer, coco… !!! » « Oh ! mais ça te brûle ….pauvre chéri ! Tu fais moins le malin , crétin ! » C’est vrai qu’il ne faisait plus du tout le malin. Il reprit sa masturbation forcée et finit par éjaculer, sous les applaudissements , aux pieds des trois filles qui se marraient comme des folles. Il s’affala face à terre en sanglotant. Les filles l’attachèrent solidement à un arbre suspendu à une branche par les poignets. « C’est ta dernière épreuve Pablo » lui dirent elles en riant. Elles le fouettèrent à nouveau… son dos était en sang, son sexe n’était plus qu’un amas de chairs sanguinolent. Le gland était éclaté les couilles lacérées… Il était au bord de l’évanouissement… Maria trempa sa culotte dans le bidon d’essence et la noua autour de ce qu’il restait du sexe de l’homme… Elle alluma une cigarette qu’elle fuma tranquillement en toisant sa victime… qui sentant qu’il n’en réchapperait pas chialait et suppliait… Maria jeta le mégot sur la culotte nouée autour des couilles. Le feu prit instantanément… Maria se masturbait en regardant le supplicié…qui hurlait dans les flammes. Elle ressentit plusieurs orgasmes à voir ainsi se consumer devant elle les attributs du malheureux…quand le corps sans vie ; les attributs calcinés (il n’en restait plus rien) s’affala dans ses liens elle posa le pied dessus et dit : « Tu m’as fait jouir Pablo !!!» Les deux autres filles filmaient la scène….la vidéo ne tarderait pas à circuler sur le net. Les amazones savaient que dès le lendemain de nouvelles dénonciations de violeurs arriveraient en masse sur leur site clandestin.
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Par : le 15/11/13
Le p’tit contrôleur C’est un p’tit contrôleur Frustré et sans saveur Arrogant et rouspéteur Avec une tronche de percepteur Il aurait bien voulu être enquêteur Savant, Inspecteur, ou Docteur Se rêvait bourreau des coeurs Mais il n’est qu’un médiocre poinçonneur ….de billets, Elle a bien son billet la Dame Mais elle s’est trompée d’heure Intraitable le contrôleur….. Il verbalise toujours avec bonheur On voit que ça lui réjouit le cœur Ça met du baume sur ses rancoeurs De médiocre contrôleur…. D’un regard brillant et prometteur La Dame l’invite chez sa « Sœur » Absente prétend-elle pour affaire de cœur. Persuadé que son charme de contrôleur Lui permettra de poinçonner cette dame d’honneur Sans même avoir à lui offrir des fleurs Il en oublie de verbaliser, le contrôleur…. La dame a conçu quelque rancœur Contre ce misérable contrôleur Racketteur, misogyne et dragueur Elle en a parlé à sa consoeur Et les deux diablesses la rage au coeur Vont s’occuper de ce crétin de contrôleur Les deux Garces au sourire moqueur Et aux bustiers provocateurs Vont lui faire passer quelques sales quarts d’heure Leur regard inquisiteur Sous la menace d’un extincteur Elles lui passent les menottes comme à un malfaiteur Le voici menotté Attaché, à poil, au radiateur Sous leur regard accusateur Ça se voit qu’il a peur Il en pue la sueur Sur son visage l’angoisse et la stupeur Voilà la Dame devenue procureur « Chienne de garde » avant l’heure Sous le regard désapprobateur De sa complice, sa soi disant « sœur » Elle fait le récit des méfaits du contrôleur L’empoignant fermement par les « éjecteurs » Elles se mettent à le gifler en chœur Puisant dans leur juste colère, une invincible ardeur Ecrasant sa limace sous un talon vengeur Elles lui crachent au visage toute leurs rancoeurs … Le giflant, l’injuriant, avec un vrai bonheur Ce ne sont plus des mains qui giflent, mais un ventilateur C’est qu’il commence à prendre de belles couleurs Il en a même le feu aux joues, Notre p’tit contrôleur Mais, c’est qu’il voudrait se rebeller le contrôleur Il n’est au fond pas très joueur Certainement mauvais coucheur Le voilà qui insulte les deux « sœurs » Avec une telle rage au coeur Que ça déclenche une terrible fureur Chez nos deux « sœurs » Qu’elles lui assènent avec vigueur Des coups de pied dans le récepteur En plein dans ses bidules de procréateur Des coups de ceinture sur le valseur Il se tord de douleurs, Il en a les yeux en pleurs Mais plus que tout c’est la terreur Les boules qu’il a , la trouille pour ses choses de géniteur Qui fait ricaner les deux Femmes, et redoubler de vigueur Elles lui font bouffer sans douceur Elles lui font avaler sa carte d’électeur Et son badge de contrôleur Menaçant de poinçonner sa bite de contrôleur De leurs talons en fureur Tellement elles lui tordent ses carburateurs Avant de lui rincer la gorge de leur liqueur Lâchant sur lui, au fond de sa gorge un flot libérateur Qu’elles lui font avaler sans douceur….
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Par : le 15/11/13
Un regard, un sourire, un visage empreint de bonheur Nul besoin de pression, c'est à Vous que va ma ferveur Avancer vers Vous, se rapprocher et s’unir Regarder m'incliner, sentir monter le désir Caresses du fouet ou du cuir, rougir de plaisir Enivrée par Vous, j’avance en toute sérénité N’écoutant que mon cœur, vers cette destinée Ces regards échangés, intenses moments partagés Inutile de chercher, j’ai rencontré Mon Maîre aimé Ecoute, confiance, sincérité, forment un ciment essentiel Loin de Vous, et si proche, Vous êtes mon bel arc en ciel Après la pluie, le beau temps, l'arc en ciel Vous n'êtes pas éphémère, Vous êtes réel Quinze mois, Vous et moi. Le 23 juin 2011
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Par : le 15/11/13
Chapitre IV. Bien remise de mon aventure à Neuilly, je laisse malgré tout passer quelques jours avant de consulter ma b.a.l. De part mes fonctions comme documentaliste dans un grand magazine féminin, je dispose non seulement l'accès à Internet mais aussi de l'abonnement à plusieurs diverses revues spécialisées. Mon job consiste à classer les informations par groupes d'intérêts, de confectionner des dossiers pour mes collègues journalistes. C'est ainsi que je suis tombée sur une annonce d'un magazine spécialisé SM. Une annonce particulièrement tentante pour moi : Maître exigeant, cherche esclave noire docile, obéissante, soumise pour dressage intensif dans résidence équipé à Toulouse - accepte jeune femme présentée par Maître ou mari - Pas sérieuse s'abstenir. Suivait le pseudo Maître Henry et un numéro de téléphone. Pour obtenir une réponse il fallait envoyer une lettre de motivation, une description complète et une photographie, comme pour une embauche. Le fait d'être présentée par mon mari me stimulait. Depuis longtemps, j'avais envie que Raymond assiste à mes séances. Je lui fit part de mon désir de répondre à cette annonce. Je demandais également l'autorisation à Pierre qui était mon Maître de fait. A mon grand étonnement mon mari promit de s'occuper de prendre contact et de téléphoner au mystérieux Maître Henry à Toulouse. Dix jours plus tard Raymond mon mari et moi prenons le TGV pour la ville rose. Raymond a décidé de m'accompagner pour mon dressage comme l'exige Maître Henry. C'est la première fois que Raymond accepte de remplacer Pierre l'initiateur de mes turpitudes. Je suis très contente, je vais pouvoir enfin exercer mes talents avec amour durant trois jours de dressage devant mon mari. Jusqu'à présent il avait toujours refuser de m'accompagner et d'assister à ma totale soumission à Pierre et à ses invités occasionnels. Le rendez-vous était fixé à la gare de Matabiau, Maître Henry serait à la gare pour nous attendre. Maître Henry avait les cheveux blancs et une petite moustache de la même couleur. L'accueil fut amical et jovial. Maître Henry avait un bel accent du sud-ouest. Il complimenta Raymond pour ma beauté. Nous primes tous les trois un petit déjeuner au buffet de la gare avant de nous rendre à son appartement près de la Place Jeanne d'Arc, aménagé en salle de tortures tout près de la gare. Auparavant nous nous arrêtâmes dans un hôtel tout proche de son domicile pour déposer nos bagages ne gardant que le nécessaire, maquillage, tenues pour les trois jours. Maître Henry avait calé des rendez-vous pour moi pour ces trois journées. Mon nouveau Maître était fort connu dans la région , il est l'auteur d'un ouvrage sado-maso fort apprécié. Il pratiquait depuis plusieurs années, beaucoup de soumises étaient passées entres ses mains expertes mais jamais de jeunes femmes noires. Son appartement était situé dans un vieil immeuble rénové près de la gare. Maître Henry n'habitait pas là, il se servait de cet appartement uniquement pour ses dressages. Raymond était visiblement mal à l'aise, il vendait sa femme à un inconnu. En bonne esclave soumise je laissais les deux hommes faire connaissance, ils faisaient le tour du propriétaire s'attardant sur les installations. Raymond fit les présentations d'usage. Voilà dit-il je vous présente mon épouse Safi, comme convenu je l'accompagne cela signifie mon total accord pour sa soumission et son utilisation maximale. A mon adresse et assez vivement Raymond me dit : déshabille toi complètement pour que ton nouveau Maître t'examine. J'ôtais mes vêtements avant de me placer à genoux les mains derrière le dos devant Henry et la tête baissée. Bonjour Maître je m'appelle Safi, je suis à votre entière disposition, usez et abusez de moi comme bon vous semblera, je suis ici pour obéir aveuglément et totalement dis-je d'une faible voix, c'est un honneur et un privilège que d'être dressée par vous en présence de mon mari. Raymond avait prit place dans un fauteuil dans un coin du salon, moi j'étais nue au centre de la pièce. Maitre Henry se tenait debout une cravache à la main. Très bien enchaîna Maitre Henry, tu es une bonne esclave et une bonne épouse, maintenant avant de t'expliquer ce que j'attends de toi durant ces trois jours, je vais t'examiner sous toutes les coutures pour voir s'il n'y a pas de modifications à apporter à ton physique. Mets toi à quatre pattes et écarte bien les cuisses, je dois pouvoir juger de tous tes orifices. A l'aide de sa cravache, il a parcouru tout mon corps en s'arrêtant plus particulièrement sur mon sexe rasé qu'il écarte avec sa cravache. Il titille mon clito avant de faire glisser sa cravache vers mon anus qui déjà s'excite sous la caresse. Je n'ose pas regarder Raymond. Maître Henry me demanda de me relever et de lui faire face debout. Il trouve mes petits seins pas si inintéressants que ça. Il admirait mon corps fin et menu, écarta mes cuisses à l'aide de sa main en me caressant de façon très obscène devant Raymond afin de lever toute ambiguïté. Il dit à Raymond : C'est une belle femelle que tu as là, j'espère qu'elle est aussi bonne qu'elle est belle. On va pouvoir s'amuser avec cette belle chienne black. J'ai prévu tout un programme. Au même instant, un doigt de Maître Henry était parvenu dans mon anus serré, mon dressage commençait. Maître Henry enchaîna : Safi tu me plait, mais ce n'est pas tout de me plaire il faut aussi me satisfaire, non seulement mes propres désirs mais aussi ceux de mes invités. Ici c'est moi qui décide de tout, de ton utilisation, du prix de ta location ! Est-ce que tu as bien compris petite chienne salope ? Oui Maître je ne vous décevrai pas. Bien dit-il, on verra si ton discours est sincère, ce soir tu feras la pute, tu iras racoler des clients sur les bords du Canal du Midi, juste à côté d'ici, on verra si tu est une bonne pute et une bonne soumise, pas question de refuser, ok ! Tu as déjà fais ça ? Non Maître répondis-je timidement en tentant d'accrocher le regard de Raymond. Dans mon esprit faire la pute est un jeu, être une pute sur le trottoir ce n'est pas ce que j'avais envisagé. Ce n'est pas la peine de regarder ton mari me dit-il, Depuis que tu es nue chez moi, tu ne lui appartiens plus, c'est moi qui décide de tout. Tu as déjà oublié, rien que pour ça tu seras punie après ton premier client qui doit arriver à 11 heures. Tu devras aussi répondre au téléphone pendant tout ton séjour ici. Effectivement Maître Henry parlait de client, j'étais donc une pute. Comme prévu Roger mon premier client arriva à l'heure prévue. Nue comme au premier jour, j'ouvris la porte. Roger n'en revenait pas. Il sentait rien qu'à regarder Safi marcher devant lui dans le couloir qu'il bandait. Roger était petit, rougeaud, obèse, il sentait la campagne, il était un habitué des rendez-vous de Maître Henry. Au moment où Safi, l'invita à entrer dans la pièce aux instruments de torture, Roger sentit son ventre se contracter. Safi l'invita à se déshabiller complètement. Entre ses cuises ses testicules se gonflèrent d'un poids nouveau. Sa pine se dressa vers le plafond. Dans la petite pièce aménagée, Safi avait déposé un genou sur la table basse. Elle offrait ainsi un spectacle hallucinant à Roger. Les grandes lèvres de sa chatte effleurèrent le goulot de la bouteille de whisky, elle versa le liquide dans un verre qu'elle tendit à Roger. Ce dernier soufflait et se branlait Safi tira sur sa vulve, faisant surgir aussi gros qu'un haricot son clitoris, puis lentement roulant des hanches, elle fit avaler à son con le goulot de la bouteille de whisky. Appuyé du regard de Safi, Roger s'approcha. Safi vit la queue du rougeaud s'approcher de son visage, le gland huilé de sperme, elle huma l'odeur, repoussant plus en avant la bouteille en elle. Le goulot disparu dans sa chatte aidé par la main ferme de Roger. Bouche ouverte elle lécha le gland humide. Roger se branla violemment, ses reins se cabrèrent, il déchargea sur le visage de la salope africaine. Elle respirait fort, elle se sortit la bouteille, essuya de la main le foutre qui souillait la pine de Roger et s'en enduisit la moule lisse. Safi pinçait et branlait son clitoris sous les yeux de Maître Henry et de son mari Raymond. Les cuisses largement ouvertes, elle s'assit sur le guéridon. Roger s'agenouilla entre le ciseaux de ses jambes gainées de soie. Sa bouche plongea dans la chatte humide vers le clito luisant de désir, soumis à des secousses de plus en plus brutales à mesure qu'il la fouillait. Safi s'arracha à la bouche de Roger pour s'enfoncer la queue dans la chatte. Malgré son obésité, Roger l'enfila sans discontinuer jusqu'à qu'il sente l'os pubien lui écraser la naissance du noeud, puis elle la ressortit pour se faire prendre dans le cul. Safi humidifia son anus, le gland et le préservatif de l'homme de salive puis guida délicatement Roger vers son trou du cul Ca y est Monsieur vous y êtes dit Safi. L'homme réalisa qu'il était en train d'enculer l'orifice serré de la sénégalaise. Les yeux fermés il se répandit dans les entrailles de Safi qui émit un soupir de contentement avant de remercier son enculeur. Toujours à genoux sur le guéridon, Safi attendait les ordres du Maitre. Raymond n'en revenait pas de voir sa femme se comporter comme une actrice de films porno. Pour terminer, Safi avait léché le chibre volumineux de Roger. Elle riait légèrement fière d'elle, elle adressa une moue espiègle et une langue obscène en direction de son mari tout en continuant de sucer le gros rougeaud. Elle avalait le sperme qui débordait de sa bite à chaque contraction de ses couilles. Maître Henry regardait sa nouvelle recrue, l'anneau de ses lèvres à moitie de queue. Henry ouvrit sa braguette et s'agenouilla entre les fesses ouvertes de la négresse. Du bout de sa langue il mouilla l'anus de Safi,testa son élasticité de ses doigts. Henry écarta de nouveau les fesses de Safi et regarda sont trou du cul s'élargir sous la poussée de son noeud qui forçait l'entrée. Le foutre de Roger coulait en filaments sur le doux visage de Safi. La queue d'Henry s'enfonçait millimètre par millimètre. Roger jouissait maintenant debout, Safi essaya de lui aspirer les bourses sous le ragard inquiet de Raymond qui assistait à la scène. Elle entendit de nouveau son Maître souffler. Un orgasme comme une décharge électrique lui secoua le ventre lorsqu'elle constata que toute la longueur de la bite de Maître Henry était maintenant dans son cul. Les débuts de Safi à Toulouse s'annonçaient bien. Tout en se rhabillant, Roger déposa une enveloppe dans un petit panier d'osier. Contrairement à Maitre Pierre, Maître Henry louait son appartement et prélevait un quart des sommes fixées par lui destiné à l'esclave. A Toulouse chez Maître Henry les soumises étaient aussi des putes occasionnelles. Maître Henry se payait à la fois en espèces et en nature. Cinq clients sexe dans l'appartement et deux sur les bords du Canal du midi pour cette première journée. Le lendemain je passais la matinée à répondre aux téléphone, et à organiser la soirée dressage plus baise prévue avec plusieurs personnes. Je vais être la soubrette de service. Henry m'a offert une belle tenue, corsage noir string noir, bas noir, escarpins vernis, mon collier fétiche avec le S pour médaille, tablier et coiffe blanche, c'est comme ça que je dois accueillir les invités. A suivre.
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Par : le 15/11/13
Chapitre III, suite et fin. Le taxi payé par Pierre me dépose Jean et moi au Châtelet où je dois récupérer ma voiture que j'ai laissé au parking de l'Hôtel de ville. Sur la place j'en profite pour passer un coup de fil à mon chéri qui doit s'inquiéter car je n'ai pas donné de nouvelles depuis ma sortie du bureau, j'ai juste laissé un message en lui disant que j'avais une "mission" imprévue avec Maitre Pierre. Raymond me demande où je suis à cette heure tardive. Qu'as tu fait, où es-tu m'interroge-t-il. Je dis à mon mari que je suis encore avec les connaissances de Pierre et que je ne vais pas tarder à rentrer. Je n'ai pas envie de lui expliquer là sur le trottoir le déroulement de ma soirée de location, je lui dis une nouvelle fois de ne pas s'inquiéter, que tout va bien et je raccroche un peu énervée et inquiète de sa réaction à mon retour à la maison. Je crois que mon mari Raymond regrette de m'avoir autorisé mes folies.En plus je vais devoir lui dire que j'ai été sodomisée à plusieurs reprises par trois hommes et que j'ai apprécié cette situation. Le terme sodomisé est faible, j'ai été enculée durement. Je ne sais pas comment il prendra la nouvelle.J'ai promis de ne rien lui cacher. Jean m'accompagne jusqu'à ma voiture.En gentleman il paye le parking; après ce qu'il m'a fait subir il me doit bien ça Je lui propose de le déposer à son hôtel. Il est soudainement très affectueux avec moi alors que durant toute la soirée il s'est comporté comme un goujat dominateur. Chemin faisant, il me propose de prendre un dernier verre près de son hôtel. Où allons lui demandais-je timidement. Au 10bis, tu connais ? C'est une boite échangiste, c'est sympa tu verras dit-il en me glissant quelques billets au creux de mes cuisses. Viens me faire une dernière pipe devant mes amis dit-il en rigolant. Je suis fatiguée mais j'accepte. Pendant que je conduis, Jean n'arrête pas de me caresser, les cuisses et le sexe. Ma micro-jupe Kookaï est remontée jusqu'à la taille et mon Perfecto est ouvert, il a tout le loisir de tirer sur mes tétons nus. Je me concentre sur ma conduite et sur les indications de Jean, je n'ai pas envie d'avoir un accident. A cette heure la circulation est aisée et je n'ai pas de problème pour trouver une place de stationnement près de la Porte Maillot. Je suis à nouveau louée pour une autre "mission" avec Jean et cette condition m'oblige à lui obéir comme si je lui appartenais. Sur le trottoir, il m'interdit de fermer mon Perfecto et me tient par la taille comme si nous étions un couple d'amoureux. L'ouverture de mon Perfecto laisse entrevoir ma petite poitrine, cela ne me gène nullement. Devant la boite, il y a un groupe d'hommes qui discutent et fument. Jean s'entretient quelques instants avec eux puis me présente. Les trois hommes jettent sur moi un regard envieux. Je sens une main qui circulent sur mon corps et principalement sous ma micro-jupe qui est relevée au dessus de mon sexe épilé. La rue est sombre, la nuit est douce et tiède. Un doigt s'arrête sur ma fente et me pénètre assez loin dans mon vagin. Les hommes sont admiratifs et félicitent Jean pour mon look. Un autre qui avait écarté les pans de mon blouson semble assez déçu par faible poitrine? Je ne dis rien je me laisse faire comme il est de coutume pour une soumise . Celui qui avait osé introduire un doigt dans ma chatte me le donne à lécher. Jean est aux anges, il est fier il est visiblement content de mon comportement devant ses amis, il est fier de présenter "sa" soumise. Ca, Messieurs dit-il en me faisant pivoter sur moi même, c'est de la bonne salope black sauvage. Une fois à l'intérieur, Jean salue tout le monde, il à l'air d'être connu ici, visiblement ce n'est pas la première fois qu'il vient dans cet établissement. Devant le vestiaire, il me conseille de me mettre nue en ne gardant que mes bas, mes hauts talons et le collier de chienne avec le S pour médaille. Après un claque amicale sur les fesses, il m'invite à monter le petit escalier pour accéder aux différents salons du club. Arrivée en haut des marches, je découvre un bar meublé de banquettes basses où plusieurs couples ou trios sont blottis les uns contre les autres. Ils sont trop occupés pour s'intéresser à nous. Assis sur des hauts tabourets deux hommes se font sucer par une grande fille blonde aussi nue que moi. Jean en habitué serre les mains des deux hommes et s'adresse à la fille : Alors Chérie dit-il, tu n'as pas bouffé ce soir.... Je t' amène de la relève une bonne suceuse africaine. Soudain mon coeur s'emballe, je commence à regretter l'invitation de Jean dans cet endroit. Il me présente à tout le monde de sa voix forte en me tenant par le cou. Je vous présente Safi, la meilleure salope black de Paris, vous pouvez me croire, elle a à son actif plusieurs kilomètres de bites, je viens de la pratiquer durant six heures avec trois potes et je peux vous dire qu'elle aime les queues et surtout le jus, elle est très bonne. Vous pouvez regarder, et toucher, éventuellement vous faire tailler une pipe mais pas la baiser, elle est à moi. Si elle vous intéresse, je vous donnerai ses coordonnées pour la louer. Je ne savais plus où me mettre, il me présentait comme une vraie prostituée mais je restais digne. Après ces présentations il me demande d'aller l'attendre à genoux au fond du salon devant la banquette sans oublier de me faire servir une flute de champagne. A quelques mètres de moi, la blonde continue de sucer ses deux partenaires, elle me regarde la bouche déformée par les énormes pieux de chair et me lance un clin d'oeil complice, j'esquisse un sourire de compréhension. Pendant que j'attendais Jean, une femme nue s'approche de moi, m'examine partout et me caresse les seins. Tu es belle me dit-elle avec ton sexe épilé et ta poitrine plate tu ressemble à une adolescente. Tu aimes le cul ? me dit elle ouvertement. Oui répondis-je gênée. Est-ce que Jean est gentil avec toi au moins. Oui Madame, il est dur mais juste, il s'occupe bien de moi. Que pouvais-je dire d'autre ! La femme avait de très gros seins lourds qui tombaient sur son ventre, elle était rasée, les lèvres de sa chatte étaient grasses et brunâtres, elle devait avoir la cinquantaine, fardée à outrance. Je n'avais pas envie de me gouiner avec elle. Heureusement Jean arriva et elle s'esquiva. Jean s'installa dans la banquette en face de moi, j'étais toujours à genoux, sa bite était déjà dehors de son pantalon, il me prit violemment par le cou et me dit : Suce salope, tu es venue pour ça non ? A cet instant, toutes les personnes présentes dans le salon formèrent un arc de cercle autour de nous pour ne rien perdre du spectacle. Ecartes toi bien, répéta Jean, je veux que tout le monde voient le fond de ton cul et de ta chatte pendant que tu savoures ma bite Je m'applique avec beaucoup de vigueur sur le gland circoncis de Jean que je commence à bien connaitre; il bande toujours aussi fort que la première fois. Ce type est insatiable, il aime vraiment se faire sucer et pomper sans arrêt. L'agilité de ma langue et mon habileté à faire des pipes viennent d'avoir raison de son endurance. Je tente d'avaler son sperme qui dégouline de ma bouche en le fixant droit dans les yeux pour le montrer que j'aime sa queue épaisse. Les spectateurs applaudissent. Je suis contente et Jean aussi. Il me prit de venir m'installer près de lui sur la banquette. Il m'embrasse goulûment et nettoyant tout le sperme que j'avais encore sur les lèvres. Tu n'es pas une poufiasse, tu es une vraie femme dit-il. De sa part je pense que c'est un compliment. Nous restâmes une heure à boire tranquillement notre champagne moi nue et lui son sexe hors de la braguette que je branlais. De temps en temps des hommes venaient déposer leur numéro de téléphone pour des rendez-vous futurs si toutefois cela m'intéressait. Je ramassais les cartes de visites pour les remettre à Pierre.Certains me contactent encore aujourd'hui. Monsieur Jean il est tard il faut que je rentre chez moi le suppliais-je. Il alla chercher mes vêtements au vestiaire, pendant ce temps j'allais me remaquiller aux toilettes. Il insista pour me raccompagner jusqu'à ma voiture dans la rue. Installé près de moi Jean me dit : Safi je suis très surpris par tes prestations de ce soir, tu es superbe, je ne m'attendais pas à cela quand je t'ai vue au café, surtout compte tenu de ton gabarit et l'absence de nichons. Tu es obéissante, endurante, sérieuse et intelligente,tu es cultivée, tu as de la classe très bcbg, tu es mignonne et ce qui ne gâche rien tu es salope, je peux te placer dans des partouzes et des gang-bang payants, je veux m'occuper de toi à temps plein. Ton corps est ton capital, il faut le faire fructifier. Ca serait dommage de ne pas en faire profiter le plus de monde possible. Ecoutez Monsieur Jean j'ai un emploi, je suis mariée et j'ai un accord avec Monsieur Pierre, je ne peux pas me multiplier, je ne suis pas une pro, je fais des séances sm-sexe occasionnellement, je m'éclate c'est tout. Réfléchis à ma proposition Avant de me quitter il m'embrassa longuement sur la bouche en enfonçant sa langue. Je vous promets de réfléchir à votre gentille proposition. Casses toi salope me dit-il en guise d'adieu amical. Je n'avais qu'une envie, celle de retrouver Raymond à la maison et de me blottir dans ses bras. Ce qui fût fait moins de trente minutes plus tard. Heureusement que le lendemain je ne travaillais pas Avant de m'endormir je caressais le sexe de mon mari pour me rassurer juste pour voir si je lui faisais aussi de l'effet malgré mes incartades, il se mit à bander. En fermant les yeux j'ai repensé à la proposition de Jean. C'est incroyable le nombre de personnes qui veulent s'occuper de moi. A suivre .
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Par : le 13/11/13
Bonheur quand vous m'avez rejoint sur la capitale. Complicité qui est la notre, joie de Vous retrouver. Pour fêter l'anniversaire de notre belle rencontre. Le soleil était présent pendant ces jours. L'occasion également de se promener tous deux. Les cent coups de cravache reçus l'après midi de votre arrivée. Aucune punition, marques désirées pour imprimer l'année de notre premier rendez vous. J'ai compté les coups, j'avais énoncé au hasard le chiffre 80 et Vous m'avez dit 100. Rendre hommage à Mon Maitre, me dépasser, qu'il soit fier et heureux. Aucun temps d'arrêt ou caresse (sourire) comme le soir à ce club. Un peu plus tard, nous avons été dans ce magasin Démonia. Lieu incontournable de diversité d'accessoires, d'articles BDSM. Vous m'avez offert entre autre, cette bague d'appartenance. Votre choix était le mien au vu de mes doigts fins. Anneau symbolique, obéissance à Vous Mon Maitre. Bague rêvée, désirée, fierté de la porter. Après avoir diné dans un restaurant, nous nous sommes préparé pour nous rendre à C et C. Toute de noir, j'étais vêtue : serre taille, mes talons favoris avec bride à la cheville. Jupe que vous affectionnez, haut noir avec petits volants sur mes épaules. Vous portant ce joli costume noir qui vous sied à merveille, chemise foncée grise. Cela vous change des diverses chemises blanches que vous aimez à porter. Vous connaissez P le propriétaire des lieux, nous étions venu à ce club début juillet 2010. Ce jour là, Vous m'aviez en fin d'après midi, je me souviens : Offert ce collier qui me rappelle ma condition, Votre domination, mon appartenance. Collier qui orne mon cou, collier redouté, collier désiré. Nous avons pris le métro, pour nous rendre à ce club. J'étais assise bien droite, mes seins pointant sous le tissu fin. Un peu de marche, puis avant d'arriver devant la porte, Vous avez placé mon collier. J'ai pris une grande respiration avant d'entrer. Peu de monde, l'occasion de converser de passions communes, c'est agréable de découvrir Maître soumise et d'autre personnes présentes au fil de la soirée. Le dialogue est important dans une relation, il est la base de la continuité, de la complicité, de l'abandon total. Connaitre l'autre permet d'avancer, de se dépasser, de progresser, de ne plus avoir de tabous ou peurs. A C et C, à un moment donné vous m'avez intimé l'ordre de retirer ma jupe et mon haut, aie la honte qui arrive, deux personnes étaient présentes. Vous m'avez attaché à la croix de st André à gauche : 200 coups de cravache, je n'ai pas fait la 'maline', j'ai tenu à respecter le chiffre que j'avais énoncé en fin d'après midi, aucune punition, simplement des marques désirées. Après un certain temps, j'ai entendu des pas, ressenti des présences, les yeux clos, les sens sont décuplés. Deux personnes ont parlé de mon fessier, certains compliments, aie Qu'il se prêtait à la cravache, coups divers. J'ai eu de la honte, de l'humiliation à me savoir regardé. Il me fallait me dépasser, connaitre et accepter ce fait. J'ai attiré des regards sans le vouloir, et ce n'est pas à cause de ma plastique, sourire. Aucune gêne à avoir en fait. J'ai pris sur moi, le lendemain cela a été bien mieux J'avais mis ma honte au vestiaire. Vous me dites certains mots, ils sont sincères, je le sais. Plus tard dans la soirée, autre domination deux couples Maitre et soumise, c'est agréable de regarder quelque instants des personnes qui aiment ce que nous affectionnons. Parfois certains gestes et attitudes communes. En club SM, à priori tout le monde connait les règles que cela soit Dominateur ou Maitre/soumise, celles ci ne sont pas à sens unique, le Maitre est le garant de sa soumise, respect d'elle et des autres soumises, les codes sont à tenir de chaque coté, n'est ce pas ? Sourire. En passant près du bar, j'avais remarqué un superbe fouet accroché. J'ai émis le souhait de me faire fouetter par le propriétaire de celui ci avec l'accord de mon Maître, sa présence. Homme de talent, qui maîtrise ce art à la perfection. Mon Maître le connait et a confiance en lui. Ce magnifique fouet cinglant mon dos, mes épaules dénudées ce premier soir. Mon Maître ne va pas me confier à un abruti, il y en a. Qui sont capables de meurtrir à vie une soumise. Que cela soit par un coup de cravache, coup de fouet, et autre. De martyriser une soumise en frappant fort ses seins, ou une autre partie de son corps. N'écoutant qu'eux, ne s'inquiétant pas de celle qui leur appartient. Ou de celle qui leur est confié quelque fois. Ce n'est pas une question de savoir-faire, je pense ; c'est une question de respect. Un Maître ou dominateur qui casse une soumise psychologiquement ou la marque physiquement comme un animal aveugle marque son territoire. Il ne s'agit pas seulement de respecter l'intégrité de sa soumise, mais aussi et surtout de contribuer à son épanouissement, à son dépassement personnel. C'est toute la différence entre un Maître, un dominateur et un sadique...Sourire. J'ai aimé certains mots entendus, et ai pensé la même chose. Un Maître veille sur son soumise, il prends soin de celle qui c'est abandonné à lui, qui lui a offert son corps, son âme. La soumise fait honneur à son Maître en toute circonstance, inutile de lui glisser à l'oreille : fait moi honneur. A dire ce mot, sois il doute de lui, soit il sait qu'il va outrepasser ses droits, (cela n'engage que moi, c'est ce que je pense). Nous avons quitté le club, quelque pas dehors, puis un taxi pour rejoindre l'hôtel. Vous avez pris quelque photos dans la chambre, l'empreinte des coups de cravache, du fouet. Nuit courte, du mal à trouver le sommeil, votre présence à mes cotés... Seconde soirée, autre ambiance, peu de dialogue et puis. Certaines choses se font, nouvelles découvertes, présences. Un shibari effectué sur M par une autre jeune femme. Ses mains derrière le dos, jolie posture. Une dextérité pour passer les cordes de trois couleurs différentes. J'avais les yeux rivés sur la façon de procéder. Bien qu'en face, je ne voyais pas les noeuds effectués Quelque mousquetons, de la force dans les bras pour hisser les cordes. Une suspension a été faite, merveilleux moment ou le corps s'incline. De toute beauté, devant le résultat de cet art. Cela a été rapide à défaire les noeuds, j'en ai été bluffé. L'assistance a été captivé par la réalisation de cet envol dû aux cordes et à la manière de procéder de cette petite fine et brune jeune femme. Nous avons rejoint la pièce de droite où se trouve l'autre croix de st André. Après m'avoir attaché de face, coups de martinet sur la poitrine et le sexe. Devant les marques de mes fesses laissées la veille, Vous avez fait attention de ne pas aggraver leur état. Bien que 10 coups de cravache, ont été sollicité pour ma gourmandise, merci à Vous. Une boisson Vous m'avez commandé, l'occasion de s'asseoir, de bavarder. De voir les personnes qui étaient arrivées. Près de Vous, un homme s'est présenté, et Vous n'avez pas donné suite à sa demande. J'aime Votre façon de Vous comportez, toujours ce respect que Vous avez, que cela soi dans les gestes et paroles. Un peu plus tard, une jeune Maîtresse et son soumis, des tenues qui ne laissent pas indifférents, ils avaient mis un moment à revêtir celles ci sur place. Des merveilleux talons pour Elle et lui également qui était bien grand, il faut pouvoir marcher avec, cela n'a pas été évident pour lui quand il a suivi sa Maîtresse à un moment donné. J'avais exprimé le désir de me faire fouetter à nouveau pour notre seconde soirée à C et C. Vous avez accédé à ma demande, une soumise peut dire, en ce qui me concerne vous aimez que je m'exprime, et faites à votre guise concernant la réponse, Vous n'éludez jamais une question. Pendant Votre ou la domination, je reste silencieuse. Laissant mon corps s'exprimer, se tordre, onduler. Tard dans la soirée, l'ambiance change, un certain dialogue s'installe. J'écoute, j'entends, C jolie soumise blonde, quelle classe, élégance elle a. A un moment donné, elle reçoit des coups de martinet par M. Ses jambes et cuisses écartées au maximum, sa magnifique petite robe noire relevée. Superbe cambrure, un fessier de toute beauté. Sa façon de s'exprimer est excitante. Ses mains sont posées en dessous du cadre du grand miroir. Puis P commence à la fouetter. Instant de silence, en attente du fouet. Celui ci fend l'air, claque. Je suis près d'elle à un moment donné. En tirant nos mains l'une vers l'autre ou pourrait se les joindre. J'ai ôté ma jupe et mon haut de moi même, étonnant mon Maitre .... Sourire Aucune gène, ou peur des regards, être soi. Recevoir des coups de fouet ou cravache en étant couverte, ce n'est pas l'idéal. Je me sentais en confiance, en serre taille et talons. Ph m'a fouetté le haut du fessier, pas les reins bien sur, disons sur les cotés au vu de mes traces de la veille (cravache). Duo de fouet, je ferme mes yeux, ne pensant qu'à Vous, qui étiez assis à me/nous regarder. Au bout d'un certain temps, je crois que C pleure, j'ouvre mes yeux, son corps se tord, j'ai mal pour Elle, j'aimerais la réconforter. Je reste à ma place, je vois son corps se recroqueviller comme s'il voulait épouser la forme du cadre, se fondre en lui. Elle se fait petite, elle est dans sa 'bulle'. J'ai su un peu plus tard en parlant avec C, qu'elle n'avait pas pleuré et ne pleurait jamais. Simplement une impression à l'entendre s'exprimer. C'est troublant ce fait, comme quoi les sensations et ressentis sont différents. P étant libre, il prends la place de Ph avec son fouet également fait sur mesure; le sien est couleur argent, celui de Ph est noir, et il en a deux en fait, qu'il m'a montré avant que nous quittions le club, curiosité de femme soumise, admirer les fouets magnifiques, les soupesés, le prendre dans ma main, les laisser glisser sur ma paume, comme une caresse. Je suis au milieu de la pièce, des personnes sont présentes. Mes mains posées en haut sur l'encadrement de la glace. P m'intimide l'ordre de me cambrer plus, encore plus. Je lui obéis. En exprimant le fait de vouloir des marques pour fêter un an de notre première entrevue. Il me faut tenir la parole dite la veille et renouvelée à mon arrivée, ne pas décevoir ou se défiler. Envers son Maître, où la personne que Mon Maître connait et en qui, il a confiance. Il ne va pas me laisser entre les mains d'un parfait inconnu qui ne maitrisera pas l'art du fouet, pouvant meurtrir ma peau, mon corps par un instrument de domination. Désir du fouet sur ma poitrine, je suis à présent de face. Les mains derrière le dos, la tête bien droite. Le fouet cingle, il fouette, il claque à mon oreille, j'aime le son qu'il émet. Je suis impassible, les seins offerts au fouet, marques désirées, P me demande de me tourner un peu. Mes épaules sont sollicitées, c'est merveilleux, cette caresse du fouet, cette sensation de chaleur, ma peau réagit, mes yeux sont clos, les sens sont décuplés. P me signe les seins de son fouet, je suis bien. M et C ont peur pour moi, j'entends des : oh non ce n'est pas possible, je ne regarde plus, je les pense (peureuses)... Désolée, nous avons parlé après et vous n'êtes pas ainsi. D'où vous étiez, vous voyez les marques laissées par le fouet, marques incarnats que je ne voyais pas et pour cause. Mon Maître qui est attentif à celle que je suis, apercevait les marques laissées par le fouet, a fait signe à P d'arrêter, je l'ai su après. Un Maître protège sa soumise parfois d'elle même. Quoique certains n'écoutent qu'eux parfois, outrepassant les limites qui ont pu être fixé, ou si aucun code énoncé, le plaisir d'entendre leur soumise suppliée. Sourire. J'ouvre les yeux : les marques sont là, je ne pensais pas qu'elles seraient ainsi, incarnats. Aucun regret, désir du fouet, marques de lui, vivre l'instant présent, sans se poser de question. Je vêts ma jupe et mon haut, l'impression d'être ailleurs. C nous offre une boisson, nous bavardons assises, échanges d'impressions. M et C me demandent comment, j'arrive à supporter le fouet ainsi. Je ne sais que leur répondre, à part que : j'ai le visage de mon Maître gravé en moi, et qu'à un moment donné, j'ai eu l'impression de 'flotter' ne sachant plus ou j'étais. Que mes yeux soient clos ou ouverts, ma seule pensée est Lui. Souffrir pour Lui, lui obéir, qu'il soit heureux. Je suis un peu ailleurs pendant un laps de temps, puis tout revient comme avant. Le sourire de mon Maître, son regard qui en dit long. J'ai fait abstraction des personnes présentes et assises. Seul mon Maître, son regard sur moi, que je devinais. M regarde ma médaille gravée qui est à mon collier, un an que je connais Mon Maître. C'est peu me dit-elle, en effet ou peut être, force de l'emprise, du lien qui m'unit à mon Maître. Il est presque 3 heures, nous allons quitté le club, je remercie les deux personnes qui m'ont fouetté. Ph m'a noté sur un papier, les deux produits que je devais acheter en pharmacie le lendemain matin, ils sont été efficaces, pour les traces et coups qui se sont estompés au fil des jours. Début juillet, nous serons de retour quelque jours sur Paris, l'occasion de revenir à C et C. De revoir P et C, peut être Ph que nous avons apprécié à ces soirées. Un peu de marche dehors, puis un taxi nous ramène devant l'hôtel. Vous prenez des photos, merveilleux souvenirs. J'ai du mal à m'endormir, tant d'instants forts ressentis, vécus. L'heure tourne, je vous regarde dormir, n'arrivant pas à trouver le sommeil. Je m'endors enfin, nuit courte peuplée de cette soirée riche en sensations, découvertes. Le petit déjeuner ensemble, puis je file à la pharmacie, il nous faut quitter Paris. Ensemble nous prenons le métro, pour nous quitter à un moment donné vers nos destinations. Mon regard se trouble, les larmes perlent de mes cils. Aie ! émotion à me séparer de Vous. Vous à me dire : tu n'as pas pleuré avec le fouet et là tu pleures ! Oui Mon Maître, je pleure parce que : le trop plein déborde. Tous les instants vécus, passés avec Vous ont été source de : respect, confiance, joie, sourire, rire, gémissements, émotions, sensations, abandon, don, attentions, protection, découvertes, sincérité, complicité, intensité, désirs et envies partagés. Que cela soit aux divers restaurants, ou les petits déjeuners pris à l'hôtel avec vue sur un jardin. Face à face toujours, mon regard plongeant dans le Votre. J'aime à Vous regarder, Vous sentir, y puiser une certaine force. Vous qui êtes le premier Maître que j'ai et aurai. Vous qui êtes digne de ce titre, que je vous ai donné, après vous avoir appelé Monsieur pendant quelque mois, J'ai reconnu en Vous, de Vous nommer ainsi et Vous le méritez. Vous et ce respect que Vous avez depuis ce premier jour et il n'a jamais démérité. Vous êtes toujours d'humeur égale, jamais de colère, d'emportement, la maîtrise de Vous. Vous ne connaissez pas l'impulsivité qui est la mienne (sourire) taquine je suis. Aie la badine... Ps : Pub que nous voyons sur les abris bus, souvenir de ces affiches, et de la grande ballade, le jeudi matin sur les quais de la Seine, notre passage aux Tuileries et ce parc aux fleurs odorantes.
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Par : le 13/11/13
le jour était arrive, leur premiere rencontre était prevue pour l apres midi. une chose faisait de cette journee une journee doublement importante. en effet,le moment était venu pour elle de passer ce collier tant espere. elle l avait choisi en accord avc son maitre de cuir noir pare de clous d argent. ce collier représentait pour elle cependant une source d angoisse. serait elle digne de revetir ce collier signe d appartenance et de de don de soi total. toutes sortes de sentiments la submergait.mais n était ce pas normal?seul le temps pourrait repondre a ses questions
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Par : le 13/11/13
Pour jouer entre amis au coin du feu je vous ai préparé un petit jeu de l'oie à ne pas rater Un cadeau utile pour les Maitresses et leurs soumis Bon jeu Cordialement Saint Ange
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Par : le 13/11/13
Le fouet, c'est comme un appel... Avant qu'il commence sa danse, il y a le silence, l'attente, une certaine crainte. Puis soudain, le fouet claque, il fend l'air. Le fouet fait un bruit particulier, un claquement sec, c'est la mèche qui en est responsable, elle est du au franchissement du mur du son. (Un phénomène scientifiquement prouvé) La mèche vous atteint, vous mords, vous signe, vous cingle, vous pique, vous brûle, vous enveloppe, vous caresse. SENSUALITE Plus cela dure et plus la peau, le corps est emporté dans une danse enivrante, des sensations étranges, une volupté. Un peu comme les vagues qui vont et viennent sur le rivage. Avec le fouet, je me suis échappée, me laissant emportée, brûlée, captivée, ensorcelée par lui. Sublime voyage ou plus rien n'existe, j'ai ressenti l'impression de 'flotter'. Les marques incarnats se sont imprimées sur ma peau. Elles ont changé de couleur au fil des jours. Pour ne laisser que quelque traces. Maux que seul le fouet écrit et rappelle. Un instrument cinglant à manier avec précaution. On peut le craindre parce qu'on sait qu'il peut faire très mal et laisser des marques durables. On peut l'espérer, le souhaiter. On peut être bouleversée par lui. Son maniement est particulier et spectaculaire, Il n'est pas à mettre dans n'importe quelles mains afin de ne pas blesser la personne soumise. Un coup qui tombe mal, qui ne suis pas la voie qu'il aurait dû prendre, la peau éclate et s'ouvre. Il faut la confiance en celui qui le manie et le respect. Ce qui me fascine, c'est sa morsure. Ne pas savoir ou le coup va claquer, brûler. L'attente de connaitre l'endroit ou il va terminer sa course, sur le parchemin de ma peau. Le fouet a troublé mon corps et j'en désire encore. Le 13 mai 2011
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Par : le 13/11/13
Chapitre III, suite. Je suis toujours suspendue dans l'obscurité. Au bout d'une demi heure environ, les trois hommes viennent me détacher retirant sans ménagement le gode en bois que j'ai dans mon petit oeillet. Mon cul est maintenant dilaté à l'extrême. J'ai toujours des résidus de fruits dans la chatte. A peine remise sur pieds, ils me poussent fortement vers le salon, mes mains sont toujours prises dans les menottes dans le dos. C'est Jean qui mène à nouveau les opérations. Il me force à me mettre à genoux devant ses camarades de jeu. Après avoir caressé mes seins de ses grosses pattes, il poursuit ses attouchements jusqu'au bas de mon ventre. Mon clito dilaté compressé par le noeud d'une chaînette en or qu'il avait placé avec l'aval de Pierre, le noeud le fait sortir hors de mes lèvres vaginales. Une simple caresse d'une langue ou d'un doigt sur la pointe décapuchonnée suffit à me faire bondir de jouissance. Son index a déjà fouillé la jonction de mes grandes lèvres humides souillées par la mixture fruits-oeufs, cela provoque chez moi des gémissement. Son action est si bonne que je tortille frénétiquement mon pelvis. Jean marque des pauses. Je suis en son pouvoir. Il a tout le loisir de nettoyer de mon entrecuisse les traces de jus de fruits, d'abord sur la face externe, puis sensuellement à l'intérieur, là où la peau et les chairs sont particulièrement douces. Je gémis en sentant monté l'orgasme. Les deux autres soudards rigolent et continuent à se branler dans le verre en de moi. Cette situation décuple mes envies de sodomies sauvages. Vicieusement j'ai écarté mes cuisses au maximum afin d'offrir ma chatte entrebâillée et dégoulinante et mon anus dilaté à leur concupiscence. Robert a maté mon anatomie intime en souriant. J'ai cru un moment qu'il voulait me lécher la chatte ou peut-être me baiser. Il n'en manifeste pas l'intention, je l'implore d'avoir une bite dans ma fente. Il menace de me bâillonner. Je suis en transes. Le fait d'être entravée par les menottes m'émoustille, mon vagin et mon anus palpitent, j'ai conscience de ma condition. De salope sauvage, je suis devenue une salope d'élevage.... en un rien de temps, ma simple rencontre avec Pierre dans ce café a transformé ma vie. Robert lâchant enfin sa queue qu'il branle depuis son arrivée dans le salon, se pose entre mes cuisses. Sa langue bienfaisante prend possession de ma vulve béante, c'est délicieux, il cherche les restes de fruits au fond de ma chatte. Après avoir ramoné, asséché, nettoyé ma chatte à grands coups de langue, Robert s'est agenouillé entre mes cuisses pour déposer sa queue entre mes mains menottées tout en titillant le bout de mes seins sans oublier de me faire très mal. Son gland frotte à la fois mes doigts et la face interne de mes fesses en un mouvement continu. Je l'implore : Défoncez moi je vous en supplie, je n'en peu plus dis-je. Je le supplie de mettre sa pine bien au fond. Enervé par ma demande, il demande à Jean de me faire taire une fois pour toutes. Jean enfonce sa grosse queue dans ma bouche à la limite de l'étouffement. Comme une éponge saturée ma chatte ruisselle de sueur. Robert plonge brutalement sa longue et fine queue dans mon oeillet dilaté et me pistonne le rectum. Ainsi prise Jean se laisse glisser sous moi pour s'installer dans le tendre fourreau de mon minou. J'ai mes deux orifices limés sans relâche. D'un mouvement brusque, Pierre m'agrippe par ma tresse pour me faire relever la tête et m'enfonce sa pine excitée dans ma bouche. Pour la première fois de ma vie et ce ne sera pas la dernière, je suis pénétrée par trois hommes blancs en même temps. Je n'en reviens pas moi même d'être arrivée à ce stade de perversion sexuelle, moi la petite femme timide, musulmane. Peu après j'ai joui par vagues successives de plaisir. Ils se sont mis à gicler dans mes entrailles et dans ma bouche pratiquement ensemble. Tu voulais être défoncée salope me dit Robert, tu vas être servie comme il se doit ma belle, on en a pas terminé avec toi, nous allons tous profiter de ton petit trou, cela t'apprendra à vouloir jouer à la pute occasionnelle. Tu n'es qu'un trou à bites. Je dois me rendre à l'évidence à ce moment précis, je n'ai plus rien à voir avec la petite documentaliste bcbg. Je suis souillée de sperme de partout. Ma coiffure est défaite, mon maquillage a disparu, mes bas pendant sur mes chevilles, je suis vraiment à cet instant qu'un trou à bites, Robert n'a pas tort. Robert m'enlève les menottes pour que je me repose un peu. Allongée dans un canapé, je ferme les yeux et je pense à Raymond. Mon mari ne sait pas où je suis. Pierre m'a conseillé de venir au rendez-vous et d'en parler à mon mari après. Très excité d'être sollicité par des hommes mûrs, j'ai accepté tout de suite ce rendez-vous parce que je l'avais initié , je n'ai pas mesuré les conséquence. J'aurais voulu lui demander son avis et surtout son autorisation pour les sodomies. Sera-t-il content d'apprendre ça ? Va-t-il m'interdire de continuer de fréquenter Pierre pour ce genre de rencontre. Ma tête est pleine d'interrogations. Raymond sait-il que j'aime être traitée de la sorte ? C'est pour moi aussi une révélation. Pierre a été un déclencheur, il a osé me faire prendre conscience de ce que je suis : Une salope. Je n'ai pas le temps de plonger plus loin dans mes réflexions intimes. Je suis happée par les bras et les jambes. Jean est en train d'ouvrir une bouteille de champagne millésimé Cristal Roëderer. Oui chérie dit Jean en me regardant, tu l'auras dans le cul cette bouteille. Je commence à être fatiguée, cela fait près de cinq heures que je suis ici. Soulevée du sol par Jean, je suis placée à genoux sur les bords du canapé, la tête enfoncée dans les coussins. Il m'écarte bien les fesses, cherche ma fente et mon petit trou, il hésite entre les deux? Depuis plusieurs heures, tous mes orifices sont mis à rude épreuve. D'un seul coup il se plante dans mon anus jusqu'au couilles. Je gueule à mort comme une chienne blessée. Ca fait mal, mais c'est bon, finalement j'aime être enculée. Jean a la bite la plus courte mais aussi la plus épaisse des trois, il s'active en moi en me tenant fortement par la taille et me demande de bouger mon cul et de m'empaler moi même. Il me fesse pour que je lui obéisse immédiatement. Je suis bien lubrifiée mais sa bite est trop grosse pour mon petit trou déjà bien dilaté. J'ai peur de la faire sortir, je ne veux pas qu'il me l'enfonce une nouvelle fois jusqu'aux bourses? Comme il est circoncis, son gland se décalotte jusqu'aux burnes sous la pression de mon anneau anal. Il me tient le cou avec ses deux énormes mains tout en me martelant le cul avec son énorme bâton de chair raide. Je suffoque, j'étouffe, je ne peux plus respirer jusqu'au moment il décharge dans mon petit boyau. C'est tellement brusque et fort que j'ai l'impression qu'il décharge dans ma cavité anale des litres de sperme. Il faudra que j'ai une discussion avec Pierre, il doit exiger dorénavant le port du préservatif, par respect pour mon mari, mais aussi par sécurité. Avec la quantité de liquide qu'il vient de déverser en moi, la grosse bite de Jean agit comme une ventouse vu l'étroitesse de mon anus. Il a du mal à se retirer? En a t-il vraiment envie ? Je suis maintenant collée à lui, il m'embrasse le cou, les joues, la bouche en m'enfonçant sa langue, me tire les seins en les écartant fortement avec ses grosses mains rugueuses. Il est toujours planté en moi, je n'ai pas envie qu'il se retire, son dard est gros mais j'en veux encore, je veux être enculée, déformée par d'énormes queues animales. Sans me lâcher, il prend la bouteille de champagne, boit directement au goulot, me tend sa bouche pour que je lape quelques gouttes du liquide. J'exulte lorsqu'il fait couler le champagne sur mon corps. Il se retire doucement, mon anneau de chair est libéré de la bite du rugbyman mais pas pour longtemps. C'est au tour de Pierre de s'introduire dans mon petit trou qui n'est plus si petit que ça après la sodo de Jean. Je suis toujours à genoux sur le canapé, Pierre monte à pieds joints sur le rebord. Dans cette position sa bite rentre directement dans mon rectum sans effort. Il me pilonne le cul, me ramone durant près de cinq minutes. Jean s'amuse à enfoncer le goulot de la bouteille de champagne dans ma chatte ouverte. pierre éjacule à son tour dans mon cul qui ressemble plus à une bonde d'évier engorgée tellement il déborde de sperme. Pierre fut le seul à me demander de sucer sa bite, elle est souillée de sperme de ses prédécesseurs et du sien. J'hésite à le faire. Voyant cela, Pierre m'enfonce directement sa queue dans ma bouche en forçant mes lèvres. Je suis obligée de capituler devant les exigences de mon Maître. Je me souviens qu'il avait fait la promesse de ne pas m'enculer sans l'accord de mon mari. C'est un salaud, mais je ne lui en veut pas. L'occasion fait le larron comme on dit. J'ai un peu honte de moi d'être ainsi traitée, mais cela en vaut la peine Une triple pénétration. Repus et fatigués, nous sommes tous les quatre affalés dans les différents canapés du salon. Cela fait plus de six heures que l'on baise. Robert, le maitre de maison se lève et va chercher les coupes de champagne. Je suis étonnée de le voir revenir avec seulement trois coupes. Et moi dis-je,j'ai soif! Toi grosse cochonne ton verre est posé sur le buffet, c'est celle pleine de foutre que tu vas boire devant nous comme une bonne esclave obéissante que tu es. J'avais oublié cela, le verre dans lequel ils ont éjaculés tous les trois à plusieurs reprises. A l'aide d'une paille, Robert mélange les trois spermes avant de me tendre le verre. J'ouvre la bouche et laisse couler le liquide assez constant et visqueux sur ma langue au goût indéfinissable , ma langue et mon palais sont entièrement barbouillés par ce breuvage assez spécial, je fais des gargouillis. En fermant les yeux je m'exécute en prenant le temps de savourer cet élixir de jus d'hommes. Ils sont ravis de ma prestation. Je gagne ainsi le droit de trinquer au champagne avec eux. Il est deux heures du matin quand je sors de la douche. Une douche bien méritée.J'ai pris congé de Robert en le remerciant pour cette magnifique soirée. Il a commandé un taxi. A suivre....
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Par : le 13/11/13
C'est un rituel : le carré de chocolat. Il le lui donne dans le creux de sa main, et elle l'attrape dans sa bouche. Elle le mange ainsi en embrassant Sa main. C'est un petit moment de complicité très fort, mais discret. La seconde partie de la soirée débute ainsi. Elle avait débuté bien plus avant, au moment du repas. Ils l'avait préparé tous les 2, comme un couple vanille. Sauf qu'au dernier moment, Il lui ordonna de venir avec un coussin. Elle Lui donna et le mit par terre, tira sa chaise à cote de la Sienne et mit le coussin devant. Puis, Il mit ses couverts et son assiettes sur la chaise. Il la prend derrière son cou et, sans avoir besoin de parler, elle se mit, docile à genoux, sur ce coussin, devant sa "table". Il revint, la surveillant en même temps, avec un collier. C'est un collier en cuir assez gros, avec de la fourrure à l'intérieur. Sa soumise est précieuse pour Lui. Assis, Il lui mit, accrochant la laisse et Lui souhaitant bon appétit. Elle mangeait ainsi, à Ses cotés, à Ses pieds. Aucun mot n'est échangé; Il n'est d'ailleurs pas un grand bavard, et encore moins pendant les séances. Le geste et le regard font une bonne part du travail. Par contre, plusieurs fois, Il la caresse sur la tête , sur le cou, derrière la nuque. Comme une chatte, elle répond à ses caresses a se frottant à Sa main, tentant de l’attraper de temps à autre pour l'embrasser. Le premier plat arrive a sa fin. Il détache la laisse qu'Il avait fixé à la chaise, sans beaucoup de mou, afin qu'elle débarrasse son Maitre et apporte la suite. Enfin, Il la rattache à ses pieds. Le repas se déroule ainsi. Sa soumise à Ses pieds et à son Service. Il loi donne de temps à autre de l'eau et le pain en plus de son assiette, ainsi que des caresses. Le repas touche à sa fin. Il la détacha pour le dessert, mais il Lui ordonna d'aller sur le lit, en position d'attente. Elle monte donc sur le lit, docile. A genoux, tête baissée, elle attend. Il débarrasse la table qui lui servira par la suite. Enfin, Il s'approcha d'elle pour son dessert. Quelques caresses, et Il lui pose, aux chevilles et poignets, des bracelets. Prenant Son temps, Il les serre fort; Il sait que ce moment fait partie de ces nombreux instants, riches en sensation qui décuplent les plaisirs de sa soumise, sentant son abandon à son Maitre s'amplifier. Il profite également de ces quelques minutes pour savourer ce délicieux plongeon dans cet autre Monde... Poignets fixés au cou via le collier, Il la fait coucher sur le dos, jambes écartées. Il prit une cravache et entame une petite série de tapes sur l'intérieur de ses cuisses. Des tapes sèches, n'importe où, alternées avec des petites caresses faites avec le bout de la cravache. Chaque tape la fit sursauter. Brusquement, la tape devint plus large : c'est Sa main qui s'abattit. Plus forte, la peau rougit très vite, ainsi que son excitation. Chaque frappe, alternée la main et la cravache, lui fait lâcher des soupirs de plus en plus importants, conjugués avec son corps qui s’entortille de plus en plus. Il lui fixe ses poignets a une corde qu'Il avait attaché au lit, et pu ainsi continuer sa séance de douce torture. La voir rougir, se torsader et limite crier Lui fait monter Son plaisir et rajoute le martinet, sans vraiment de ménagement. Le sexe n'est pas épargné; il est récompensé par des caresses et les doigts de son Maitre, très vite remplacé par un godemichet, sadiquement manipulé. Sa soumise est mise à 4 pattes, chevilles et poignets solidement fixés aux 4 coins du lit. Il fait complétement fi de ses plaintes. Elle est bâillonnée afin qu'elle crie tout ce qu'elle veut. Il la rend folle. La maintenant fermement en plus avec l'un de ses bras, Il joue du gode pendant de longues minutes, la forçant ainsi à jouir sans contrôle, sans arrêt. Malgré ses protestations, Il continue. Les cordes sont solides, elle se débat, tente de sortir de ce carcan, Il la maintient toujours aussi fermement, l'obligeant à rester dans cet état second, au Nirvana, l'interdisant de retrouver ses esprits. Si elle tente de fermer ses jambes pour bloquer Ses mains, Il a toujours le moyen de la torturer tant elle est devenue sensible au moindre toucher.... Enfin, Il la relâche, la détache et s'allonge à coté d'elle; elle se détend et reprend petit à petit ses esprits. Mais c'est de courte durée, il lui rattache aussitôt ses mains au lit afin qu'elle Lui soit offerte pendant qu'Il prend, Lui aussi, son plaisir suprême en sa soumise. Ce troisième supplice, le plus délicieux, est la récompense qu'Il lui accorde. Longtemps réclamé, et jamais offert, son Maitre lui donne enfin ce qu'elle voulait depuis le début. Mais pour Son plaisir - et le sien, elle a du subir ce tourment de sensations intenses au milieu de cordes et de baillons, de cravache et de mains, de sueur et de plaisir. Enfin, le 7e ciel est atteint et ils redescendent ensemble, enlacés l'un dans l'autre. Elle goute au repos mérité pendant qu'Il lui masse le dos avec un crème au citron. Le temps s'écoule sans qu'ils s'en aperçoivent goutant ces moments intenses, de douleurs, de claques, de douceurs, de tendres caresses et de mots doux. Ils auraient pu s'en tenir là. Mais l'histoire dit qu'ils recommenceront trés vite, dés la prochaine occasion venue ....
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Par : le 13/11/13
Cette idée avait germé en moi il y a bien longtemps déjà puis était tombée dans l oubli . Et elle est réapparue toute seule au hasard d' une conversation légère que nous avions eu sur skype. Après t en avoir fait part et devant ton engouement non feint j ai décidé que nous le ferions sous peu mais à mes conditions..... Et comme d habitude tu ne sauras rien de plus que l idée de départ La mettre en application ne fût pas chose facile car pour la première fois nous allions compartir nos plaisirs. Rendez vous bientôt t ais-je dit en souriant. La veille je t ai envoyé un mail explicatif , oh rien de bien révélateur quand au contenu de cette journée si spéciale, juste l adresse de l endroit ou allait se passer cette petite fête , l heure précise à laquelle tu devais arriver, et puis ce que tu aurais à faire en arrivant. J ai fait de même pour les autres invités. Cela allait se passer dans une ancienne grange qui a longtemps servie d étable et qui a été légèrement restaurée tout en lui conservant un aspect rustique et minimaliste bienvenu , un petit hall avant d acceder à une grande pièce ou il y a encore en place des anneaux qui autrefois servaient à attacher les bêtes parsèment la pièce principale , peu de mobilier, juste une grande table et deux bancs et tout au fond une grande cheminée suffisante pour réchauffer la pièce. Surtout elle est située en pleine campagne loin de toute habitation. Le jour J tu es arrivée la première, pile à l heure, j avais bien insisté là dessus et après être entrée dans le hall tu y as vu sur la petite table que j avais placé là une feuille explicative de ce que tu devais faire. Il était écrit que chaque arrivant devait se deshabiller complêtement puis se mettre la cagoule sur la tête et ensuite frapper à la porte afin que je vienne le chercher. Une fois prête et après avoir frappé à la porte je suis venu t ouvrir et te faire rentrer en te tenant fermement et en silence comme demandé précedement dans la grande pièce ou je suis allé t attacher les bras en croix avec une chaine à deux des anneaux disposés sur l un des murs. Tu as bien essayé d en savoir un peu plus quand au déroulement de cette petite fête mais un silence ferme et un coup de cravache t ont dissuadé d insister. Un quart d heure plus tard la deuxième personne est arrivée et même procédure. De nouveau un autre quart dheure et même chose. J avais fais exprès d espacer les heures d arrivées afin que vous ne puissiez vous rencontrer vous laissant ainsi remplis de doutes Le feu que j avais allumé avant votre arrivée crépitait mais surtout réchauffait la pièce ou maintenant il faisait chaud. Une fois tous les "invités" arrivés j ai pris la parole afin de vous remercier d être venus et que petit à petit , au cours de cette soirée si spéciale vous aurez les réponses aux nombreuses questions que je ne doute pas vous avez. Mais qu en attendant vous deviez rester dans le silence absolu sauf autorisation ou demande de ma part. Le seul qui parlerai c est moi !!! Après vous avoir laissés quelques minutes dans le silence je l ai interrompu par un : Que la fête commence ............
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Par : le 13/11/13
Chapitre III. Au contact de Pierre et sous son impulsion, je pris de plus en plus confiance en moi et consciente de l'intérêt que je suscitait auprès des hommes européens. A un point tel que Pierre m'ordonna dorénavant de prendre des contacts moi-même. Quelques semaines après ma séance à Villeneuve-sur-Lot, j'étais seule à mon bureau. Il est presque 16 heures, je tapote sur mon ordinateur sur un site où Pierre m'a ouvert une b.a.l. Au bout de quelques minutes, j'accroche un pseudo intéressant : Deux hommes cherchent une esclave motivée. Je saute sur l'occasion afin de prouver à Pierre que je suis une bonne soumise obéissante je réponds tout de suite au message des deux inconnus. Jeune femme noire soumise dispo. Ils sont o.k pour me rencontrer. Ils me demandent de me décrire en détail et si je suis disponible pour la soirée. Je fais savoir que oui mais qu'il faut auparavant prendre contact avec mon Maitre pour connaitre les conditions du rendez-vous. Moins d'une demi heure plus tard, Pierre me téléphone. Le rendez-vous est fixé à 19h00 dans un café.Rejoins-nous au Sarah Bernhart et sois sexy me dit Pierre à la sortie du métro Châtelet. Lorsque j'arrive sur place, Pierre est déjà là. Il est attablé avec deux hommes, la cinquantaine grisonnante. Pierre me présente en me faisant remarquer que je suis en retard et qu'il ne le tolère pas. Je suis encore debout devant eux car je n'ai pas encore eu l'autorisation de Pierre pour m'asseoir. Un des deux hommes, le plus grand et le plus gros avec une carrure de rugbyman, possède une moustache qui lui barre le visage me dit en me fixant droit dans les yeux : Tu seras punie poufiasse pour ton retard, je n'aime pas attendre lorsque je commande les services d'une soumise, tout en passant une main sous ma minijupe au vu et au su de tous les consommateurs du café. L'homme se nomme Jean, il vient de Nice, l'autre Robert est parisien. Pierre m'ordonne de m'asseoir entre les deux hommes sur la banquette en face de lui. Je suis assez sexy, je porte une minijupe noire en nylon mousse qui épouse toutes mes lignes de mon corps, surtout de mes fesses. Je porte également un blouson Perfecto en cuir rouge, mon collier de cuir avec ma médaille S autour du cou et des talons aiguilles noirs assez hauts. Coiffée comme Sade, les cheveux tirés en arrière avec une longue tresse qui tombe sur mon dos. Un maquillage discret sur une bouche gourmande bien dessinée d'un rouge vif. Après une nouvelle consommation et une discussion sur mon utilisation de la soirée, mes loueurs n'ont qu'une hâte, celle de me prendre par tous les côtés disponibles. Ils ne veulent pas perdre de temps. Dans la voiture qui nous mène chez Robert, Jean le niçois m'a déjà prise en main dès la sortie du café. Ses mains se font de plus en plus pressantes sous ma micro-jupe en nylon mousse. Elle n'a que 27 centimètres entre ma taille et le bas de mes cuisses. Robert conduit, Pierre est devant avec lui. Moi je suis à l'arrière avec le rugbyman de Nice. La turgescence de mon clito le met dans tous ses états. Robert habite un hôtel particulier à Neuilly. La nuit est tiède, ce qui favorise le rapprochement des couples. En guise de rapprochement je vais être le jouet de trois hommes, car, comme à son habitude, Pierre est de la fête sa présence me rassure. J'appris par Jean dans la voiture qu'il me connaissait de réputation. Dans ce milieu les choses vont vite. Dès que l'on apprend qu'il y a une excellente soumise, la nouvelle fait vote le tour des habitués et des amateurs de séances SM. Et selon Pierre qui vantait mes qualités auprès des deux hommes, j'étais le meilleur coup de Paris L'alcool que j'ai bu au café commence à faire son effet, je suis toute excité à l'idée d'être prise par trois hommes en même temps. Ce sera une première pour moi. Comme à chaque sortie avec Pierre, je suis tenue en laisse avec mon collier de chienne obéissante. Dans la cour de l'hôtel particulier sans vis-à-vis, Pierre m'ordonne de me foutre à poil. Je suis seulement vêtue des mes bas, de mon collier, des mes escarpins très hauts. La maison est superbement meublée. Le salon est très grand avec une multitude de canapés de cuir, avec au centre une table basse en plexiglass. En un rien de temps les trois hommes se retrouvent entièrement nus avec leurs bites au garde-à-vous. Moi je suis nue à genoux au milieu de la pièce. Jean s'approche de moi. Il est grand et fort avec un ventre assez volumineux, une bite courte mais grosse, il est circoncis. Jean se plante devant moi, j'ouvre ma bouche fardée que je referme immédiatement sur son gland mauve et épais. Je le suce tranquillement, sans hâte. Sa queue se raidit,grandit, je l'avale presque entièrement jusqu'aux bourses vu qu'elle n'est pas longue. Pendant ce temps il se fait servir un whisky par son ami. Excité par ma caresse buccale, la pine de Jean glisse hors de ma bouche et son gland s'accroche à mes dents. Cet incident le met dans une fureur indescriptible. En colère il s'enfonce dans ma gorge d'un mouvement brusque jusqu'au fond de mon palais. J'ai honte pour l'erreur commise. Ma tête me fait mal, elle sous l'effet de l'alcool quand une seconde bite, celle de Robert, longue et large droite, plantée comme un arbre, remplace celle de Jean qui se branle devant moi furieux. Débarrassée de tout sentiment de culpabilité, j'absorbe la queue de Robert en prenant soin de la décalotter avec mes lèvres. Centimètre par centimètre, j'arrive jusqu'aux couilles du maître de maison, remontant pour redescendre dans un va-et-vient régulier. Je lâche cette superbe queue pour celle de Pierre déjà mouillée de sperme. Pendant dix minutes, ils restent tous les trois silencieux, on n'entend que le bruit de ma bouche, ils apprécient avec délectation mes gâteries particulières. Ma main enlace la plus grosse des trois, celle de Jean, je la branle lentement, je vais de bite en bite, de l'une à l'autre, fermement accrochée à ces pieux comme une noyée à sa bouée de sauvetage. Je n'ai plus de rouge à lèvres, je bave beaucoup car je n'ai pas le temps d'évacuer ma salive, ma bouche n'est pas libre un seul instant. Pendant que je le suce, Robert me caresse la joue tendrement : Tu veux boire quelque chose me dit-il, un whisky ? Avec de la glace s'il-vous-plait Monsieur, comme ça ma bouche sera froide ! Robert se retire pour aller au bar, aussitôt Jean prend sa place. Sa grosse bite me déforme le visage. On va alterner fit une voix derrière moi. C'était Robert qui revenait avec un verre à la main en me tendant la boisson alcoolisée. L'alcool glacé coula dans ma gorge. Tu pourras boire à nouveau quand ta bouche sera redevenue chaude dit l'un des trois hommes. Je crois que je commence à être soûle, c'est bon dis-je. Les trois hommes se branlaient devant moi en parlant. Je gobe la queue de Robert, d'abord son gland, il a remarqué que j'ai un petit faible pour lui. En un mouvement gracieux, je fais glisser sa bite jusqu'au fond de ma gorge, puis je commence à le pomper avec une certaine maladresse au début, car de ma main droite je branle le pénis de Jean. Cela ne dure pas longtemps, Robert commence à s'agiter, à souffler très fort, à trembler de tout son corps pour enfin se cabrer avant d'expédier une longue giclée de sperme que j'avale délicieusement. Entre mes doigts agile ,la pine énorme de Jean palpite à son tour. Vite je quitte la queue de Robert pour coiffer le dard du rugbyman. A peine enfoui dans ma bouche encore barbouillée du sperme de Robert, il décharge à son tour en m'étouffant. Pour ne pas être en reste, Pierre mon Maître qui se branlait en nous regardant décharge lui aussi ses munitions sur mon visage défait, prenant soin d'étaler sa semence partout. Malgré ces décharges successives, mes partenaires sont toujours en érection, Jean et Robert se collent ventre contre ventre, je prends les deux pines en même temps, je bave, je dégouline de sperme. Ma tête est en feu,je tente d'avaler la double épaisseur, ce n'est pas facile, de son pouce Jean écarte mes lèvres pour que je puisse faire une double pipe, le sperme coule à flots, je suce ainsi mes trois partenaires à deux reprises. Sauvée par le gong. Le téléphone sonne, hésitant, Robert s'enfonça à nouveau dans ma bouche puis se retira. Je suis en train de m'étrangler avec la grosse masse de chair de Jean sans oublier les nombreuses décharges de sperme qui s'y engouffrent. Je vais répondre, toi ne bouges pas me dit Robert autoritairement. Je cherche à reprendre mon souffle quand à nouveau Jean s'introduit dans ma bouche ouverte, le gland tout d'abord, le reste de sa courte pine ensuite. Le rugbyman tenait fermement ma tête de ses deux mains. Je pressentais l'instant. Le foutre jaillit. Il me sembla que Jean déchargeait durant plusieurs minutes tant il y en avait. Comme toute bonne soumise que je suis, j'avalais une nouvelle fois la semence onctueuse de Jean giclée après giclée. L'un après l'autre ils se branlèrent dans ma petite bouche. J'avalais les trois bites, j'avalais les trois décharges chaudes et demandai un autre whisky pour faire descendre le tout. C'était la première fois qu'on me baisait par la bouche de cette façon et nous n'en étions qu'aux préliminaires. Pierre m'invita à prendre un peu de repos, ma mâchoire me faisait mal à force d'avoir la bouche ouverte, j'avais mal aux genoux aussi. Sans vouloir l'avouer, les mecs aussi avaient besoin de recharger leur batterie génitale. Je n'en revenais pas moi même de mon endurance d'avoir subi ce que je venais de subir, c'était la première fois que j'avais trois queues à ma disposition, je ne sais pas si mon mari me reconnaitrait s'il m'avait vu ainsi prise. Affalée dans le canapé en cuir blanc, lovée dans les bras de Jean. Ce dernier me caresse le bout des seins qu'il trouve trop petits. Il tire aussi sur mon clito qui dépasse de mes lèvres. Bien que musulmane, je n'ai jamais été excisée. Jean n'est comme Robert, il n'a pas de délicatesse envers moi, un humour lourd à la limite de l'obscénité mais je suis obligée d'obéir et de faire ce qu'il me demande, je dois faire plaisir aux gens que je rencontre. Jean m'interroge sur mon passé, je reste dans des généralités , il n'a pas besoin de savoir qui je suis. Pour lui je ne suis qu'une salope louée par Pierre; Jean me demande pourquoi mon sexe est lisse comme celui d'une petite fille. Je lui raconte n'importe quoi, je dis que je suis Peule et que chez les Peules c'est une tradition. Tous les matins je me rase la chatte comme lui rase sa barbe. Il me demande aussi pourquoi je fais la pute... Je ne suis pas une prostituée répondis-je outragée, je suis une femme soumise qui obéit à son Maitre, c'est différent. Je sais que mon Maitre demande des offrandes lors de mes rencontres, je ne m'occupe pas de ça. Pour Jean je suis une pute, une poufiasse. Sur ces dernières paroles, il m'empoigne par la taille en me retournant dans la position d'un 69 et me gobe le clito avec ses lèvres, sa moustache drue me chatouille, il parcourt mon intimité de long en large, pendant ce temps je le suce, j'ai la tête en bas la grosse queue de Jean dans la bouche. Je me cramponne à ses cuisses. Il m'insulte tout en me léchant la chatte et le cul. Il rappelle à tout le monde que je suis arrivée en retard au rendez-vous et que je dois être punie comme il se doit. J'avais complètement oublié ça. Je vais l'enculer dit-il à l'adresse de Pierre et de Robert, je vais lui défoncer le cul à cette pute noire, tu vas voir poufiasse, tu vas te souvenir de moi et de ma bite. Jean continue à m'insulter. Je vais t'enculer à sec salope, je vais t'écarter l'oeillet. Je regarde Pierre, ce dernier esquive mon regard Pierre ne m'a rien dit de sa transaction avec les deux hommes, il ne m'a rien dit au sujet d'une éventuelle sodomie. Je commence à avoir peur. Ma petite porte c'est privé, c'est réservé à mon mari Raymond. Il est le seul à avoir le droit de passer par là. Les trois hommes parlent de moi comme si je n'étais qu'un objet sexuel dont ils vont se servir à leur guise.Je suis manipulée comme une poupée gonflable Quand je tente de dire quelque une seule réponse fuse de la part de Jean. Ta gueule salope. Subitement Jean me prend sous le bras vigoureusement, pour lui je ne suis qu'une plume avec mes 45 kilos. J'ai toujours la tête en bas, je me retrouve avec lui dans une pièce entièrement tapissée de miroirs du sol au plafond. Il y a aussi une potence suspendue aux poutres, des chaînes, des cordes pendent avec des fermoirs en cuir. Aidé par Pierre, Jean me suspend par les chevilles.Pierre m'attache les mains dans le dos avec des menottes. Mon corps est suspendu et je repose sur les épaules. Je suis très écartée. Ma fente est offerte. Je suis à la hauteur de bouche de mes loueurs. Ils ont chacun un gode énorme dans la main? Jean insinue sa langue dans le repli de mon sexe. Robert qui avait été sympa avec moi jusque là commence à m'introduire un gode en bois habillé d'un préservatif. En fait ce n'est pas un gode mais un pied de lit lisse et très gros bombé au centre. Je ne sais pas si mes orifices accepteront cette énorme chose. Déjà quand mon mari Raymond me sodomise, j'ai très mal, pourtant Raymond possède un sexe de taille normale. Les deux hommes parlent à voix basse : Ils interrogent Pierre à mon sujet : Qu'est-ce qu'elle peut prendre ta pute comme taille dit Jean. Tu crois que c'est assez gros ? On a qu'à essayer répond simplement mon Maitre, c'est sa punition, cela lui apprendra d'être à l'heure ricane Jean. Sur la table il y des fruits, des grosses fraises, des bananes, des oeufs, de la crème chantilly. Je me sens mal,le sang me monte à la tête, les jambes écartées, le mélange de whisky-sperme fait son effet, j'ai envie de vomir.Je suis euphorique. Jean et Robert dégustent des fruits à pleines dents avant de me les introduire dans le vagin. D'abord deux grosses fraises et des tranches de bananes. D'un seul coup, Jean m'enfonce son gode comme un pilon et écrase les fruits dans mon sexe avec un bruit de succion, je sens dégouliner le liquide sur mon entre et sur mes seins pour finir sur le sol. Jean demande à Robert de m'écarter les parois du vagin avant d'y casser un oeuf, le premier oeuf tombe à terre. Jean s'exécute une seconde fois. Robert écarte de ses deux mais on orifice. L'oeuf disparaît en moi, l'introduction du gode fait déborder mon orifice, le jaune et le blanc de l'oeuf sont expulsés par ce piston. Il tient le gode à deux mains et me l'enfonce sans ménagement. Des morceaux de fruits tombent sur moi. Je crie, je supplie, mes mains sont entravées par les menottes d'acier. Putain dit Jean, elle est petite, mais elle est profonde cette négresse, il faut tout un régiment de tirailleurs sénégalais pour la remplir à ras bord. Les trois hommes éclatent de rire. Une banane entière est plantée en moi, elle tient droite avec la crème chantilly qui déborde. Les trois compères sont satisfaits du spectacle. Tout mon corps et mes cheveux sont barbouillés par cette mélasse. Je ne savais qu'en acceptant cette invitation , que je pouvais être humiliée de la sorte. Après tout je n'ai que ce que je mérite.... C'est moi qui ai accroché Jean et Robert. Tranquillement Robert force mon anus avec son gros gode en bois. Je demande qu'on m'accorde un peu de pitié et que l'on ne me sodomise pas avec ça, c'est trop gros, cela va déchirer mon anus. Je dis aussi que cet endroit est réservé au seul usage de mon mari. J'ai dis ce qu'il ne fallait pas. Cette simple phrase met Robert dans une colère incroyable. Lui qui était doux avec moi depuis le début de la séance, m'enfonce d'un trait ses deux pouces dans le cul en prenant soins de bien écarter les chairs de ma pastille fripée. Je gueule comme une perdue. Furieux il reprend son engin de bois et tente de me l'enfoncer dans l'anus, le bout du gode est là planté là en moi comme un obus dans la terre. Les trois hommes rient, plaisantent et applaudissent l'exploit de Robert. Moi je ne compte pas, je ne suis qu'un objet que l'on loue. Pierre, Jean et Robert se branlent, ils ne tardent pas à jouir dans un verre. Rassasiés, ils me laissent pendue par les chevilles et quittent la pièce en éteignant la lumière. Laissons cette salope mijoter dans son jus dit Jean. Avant de partir j'entends Robert dire à Jean : Tu as vu elle a le trou du cul très étroit, elle ça va vachement nous comprimer la bite lorsqu'on va l'enculer tout à l'heure. La débauche anale ne fait que commencer A suivre....
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Par : le 10/11/13
Marquée je le suis Depuis ce jour, où Vous m'avez écrit Une intuition j'ai ressenti Une impression, serait-ce Lui Marquée je le suis Dans mon corps, dans ma tête Vous le Maître que j'ai choisi Et mon coeur pour Vous, ne s'arrête Marquée je le suis Quand à genoux je plie Quand je ne peux m'exprimer Et Vous sens me posséder Quand mon corps danse À jamais possédée Dans cette transe Par Vous, je suis marquée ! Par Vous je suis marquée Partout où Vos doigts sont passés Sur mes seins, mes fesses, au plus profond de mon intimité Par vous, je suis possédée ! Le 29 avril 2011
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Par : le 10/11/13
Chapitre II. A la suite de cette première et décisive rencontre, j'ai revu Pierre à plusieurs reprises. C'est ainsi que Pierre est devenu mon Maître. Quelques temps après cette première aventure dans ce café, Pierre m'attendait à la sortie de mon travail et me proposa de partir le week end suivant avec l'accord de Raymond à Villeneuve-sur-Lot. Pierre avait été contacté par un homme de 60 ans qui voulait rencontrer une petite salope black pour lui lécher la chatte. Il payait le voyage plus un per diem intéressant pour que je sois à son entière disposition pendant quelques heures. Raymond et moi avions conclu un accord avec Pierre. Ce dernier trouvait des séances payantes sm et sexe et en échange il pouvait user et abuser de moi à sa guise. Un deal satisfaisant pour tout le monde. A près quelques heures d'autoroute et plusieurs arrêt fellations, nous arrivâmes chez Marcel à Villeneuve-sur-Lot. Pierre me tenait en laisse. Marcel était un homme âgé assez négligé. Sa femme était absente. Tenue en laisse comme une chienne avec un collier de cuir noir autour du cou avec un S pour médaille. Un S à la fois pour Safi, salope et soumise ce que je tentais de devenir après ma première séance avec Pierre. La maison de Marcel sentait le pipi de chat, Pierre me présenta à notre hôte et m'ordonna de me mettre à poil en ne conservant que mes talons aiguilles, mes bas et mon collier de chienne. Je m'exécute immédiatement et m'installe à genoux à ses pieds. J'étais en dressage. Pierre vanta mes qualités, mon loueur me flatta la croupe en caressant mes fesses, mes seins, puis introduisit deux doigts dans ma chatte épilée pour les ressortir aussitôt en me les donnant à lécher. Marcel expliqua ce qu'il attendait de moi, il ne voulait pas d'initiative de ma part. Je devais obéir à ses ordres. Il me montre un énorme gode. Je le remerciait pour sa sollicitude. Il me gifla vivement en me disant que je n'avais pas la parole. Surprise je laissais couler quelques larmes mélangées à mon Rimmel. Comme j'étais tenue en laisse, Pierre tira dessus brusquement ce qui me fit perdre l'équilibre et me dit que si je devais pleurer je devais le faire en silence. Il me signala également de ne jamais oublier pourquoi j'étais là avec pour devise : Servir le plaisir. A cet instant je pris conscience de ma condition d'esclave. Malgré son âge, Marcel m'empoigna vigoureusement par la chatte pour m'aider à me relever. Il décida qu'on avait assez perdu de temps et demanda à Pierre de m'attacher bras et jambes écartés sur la table de gynécologue qu'il avait dans sa cave. J'étais là, soumise, nue, écartelée. Marcel vint s'asseoir devant moi le visage collé sur mon sexe et mon anus. Sa langue après avoir glissé sur mes chairs roses et tièdes s'est incrustée dans ma fente ainsi offerte. Une fente qui n'en était plus une tellement les parois étaient ouvertes aux désirs les plus obscènes de Marcel. Son visage mal rasé complètement enfoui dans mon sexe lisse m'égratigne. C'est insupportable. Mon loueur sent mauvais et je dois subir. J'ai donné mon accord à Pierre. Son odeur me fait perdre la raison, son nez, sa langue vrillent entre mes lèvres grasses largement ouvertes par un écarteur chirurgical. C'est maintenant au tour de mon clito d'être convoité par le pépé ; il suce d'abord, le lèche ensuite avant de mordre à pleines dents. Sous l'effet de la douleur, je pousse un cri indescriptible, je ne peux pas me protéger, je suis attachée pieds et poings liés à la table. De son côté, Pierre me cravache les seins à l'aide d'un martinet de cuir. Je ne sais plus où je suis, j'ai mal mais cela m'excite aussi. Mon cul attise les convoitises de Marcel, il me lèche l'anus tout en enfonçant son pouce à l'intérieur. C'est le plus beau cul que j'aie jamais vu dit-il, tu es une belle salope, une grosse cochonne. Je tortillais sous son nez, imaginez deux fruits bruns, un grain de beauté sur le côté et une raie largement incurvée qui les réunissait ! Marcel salivait d'envie et de désir, il bavait, il haletait entre deux râles bestiaux. D'une main il écarte mes chairs tièdes dévoilant mon petit trou du cul fripé et serré d'une nuance plus foncée. Comme un chien, il renifle mon odeur intime, puis lentement il passe sa langue rugueuse le long de cette crevasse écartée par son pouce jusqu'à ma fente frémissante. Je gémis, je le supplie d'arrêter son supplice, de m'enlever les écarteurs qui me font souffrir, ils sont de plus en plus tendus. A cet instant il me lèche encore le cul et son pouce qui allait et venait sans ménagement dans mon boyau, l'humectant progressivement de sa salive avant de plonger toute sa langue dans mon trou du cul dilaté qui palpite sous ses lèvres et ses coups de dents. Pierre est maintenant nu, me tire les seins, son sexe effronté bien tendu. Il se branlait juste à côté de moi près de mon visage. J'essaie de me mordre les lèvres pour ne pas crier, mais je crie c'est tout ce que je peux faire dans cette position. Je subis. Après avoir bien ramoné mon trou du cul avec son pouce et trois doigts ensuite, Marcel avec beaucoup de vigueur pour son âge change d'orifice pour remettre sa langue dans mon vagin de plus en plus ouvert et de plus en plus humide. Je constate que je mouille, mon liquide coule le long de mes fesses et de mes cuisses. Marcel jubile. Il est content de me voir jouir, il déguste mon liquide savoureusement avec avidité. Je continue à crier très fort, Marcel se fâche et demande à Pierre de me faire taire. Tais toi conasse me dit Pierre en m'enfonçant sa bite au fond de ma gorge. Je n'ai pas le temps de dire ouf, il s'enfonce dans ma bouche en même temps qu'il éjacule en plusieurs giclées successives son sperme chaud. N'en pouvant plus je déglutis à mon tour, il n'y a plus de place pour son sperme, ma salive et la masse de chair plantée au fond de mon palais. Je constate que Pierre applique nos accords à la lettre. Il use et abuse de moi gratuitement puisque que c'est Marcel qui paye. Pourquoi se gênerait-il ? Je suis consentante, je suis là de mon plein gré avec l'accord de mon mari. Devant mon état de fatigue, les deux hommes décident de me laisser un peu souffler mais pas longtemps. Je suis barbouillée de foutre, celui de Pierre qui déborde de ma bouche et du mien qui coule de mon sexe ouvert. Je ne vois plus rien j'ai du sperme dans les yeux. J'ai à peine le temps de reprendre mes esprits que la langue de Marcel s'insinue dans ma chatte. Les écarteurs prennent un nouveau tour de vis. Je suis écartée, jambes en l'air,je pense que Marcel va prendre un peu de repos car il est essoufflé par l'effort. Ma chatte est béante, dilatée à la fois par les écarteurs et l'excitation. A cet instant je voudrais que Raymond soit présent pour m'admirer dans cette position, je veux qu'il soit fier de moi. Marcel demande à Pierre de prendre sa place, je dois être enfilée par la grosse bite de Pierre avant de recevoir la visite de la large main de papy Marcel. C'est chez lui à Villeneuve-sur-Lot que je fus initiée au dur apprentissage du fist, l'introduction complète d'une main dans le vagin. Cela faisait maintenant trois heures que j'étais là attachée les jambes en l'air, le cul et la chatte ouverts comme une moule. Les écarteurs font leur office. Trois heures de souffrance. Papy Marcel bave devant ce spectacle qu'il a mis en scène. Un pot de vaseline à la main,il frictionne mon vagin avec cette crème, toutes les parois de mon sexe accueillent ce badigeonnage qui doit faciliter l'introduction. Pendant ce temps Pierre toujours en érection prend des photos de moi sous toutes les coutures, il est aisé pour lui de faire des gros plans de mon intimité largement offerte. Mon visage est encore barbouillé de sperme séché? J'ai été à trois reprises le dévidoir de Pierre. Pour accentuer ma douleur deux poids en plomb sont placés sur le bout de mes seins à l'aide de pinces crocodile. Marcel est maintenant nu, il est vieux et plissé, il ne bande pas, sa longue queue est flasque alors que celle de mon Maitre est toujours raide et tendue vers le plafond. Marcel debout vient se placer juste au dessus de mon visage. Placée comme je le suis sur la table de gynéco, ma tête pend en arrière et ma nuque repose sur les rebords du collier de chienne que j'ai toujours autour du cou. J'ai au dessus de mes yeux l'entrejambe de Marcel, il vient se coller sur moi, je sens sa bite rouler sur mon visage, il sent l'urine, Marcel dégage une odeur fétide, malgré mon dégout, je gobe ce morceau de chair, ma langue se promène partout. Je n'ose pas bouger car les deux poids tirent fortement sur mes tétons jusqu'au sang, cela me fait atrocement souffrir. Marcel ne bande toujours pas malgré mes efforts. Pour changer il me dit de lui bouffer les couilles et de lui lécher le cul. Dans cette position je fais ce que je peux. Pierre m'encourage en m'insultant et en disant que les négresses aiment bouffer du blanc. Tout en mettant sa bite molle dans ma bouche Marcel m'insulte lui aussi parce que je suis plate et que je dois avoir beaucoup de problème lorsque je fais des branlettes espagnoles entre mes deux seins. J'ai hâte que mon supplice prenne fin, je ne supporte plus les poids et encore moins l'odeur nauséabonde de la bite de Marcel, je pompe plus que je ne suce. Sa pine glisse hors de ma bouche pour laisser perler quelques gouttes de sperme jaunâtre. J'ai terriblement envie que l'on me caresse les seins, qu'on m'enlève les pinces.Mais je n'est pas fini. Marcel est un spécialiste du fist, il aime qu'on le regarde quand il procède à cette opération sur une femme, observant la chatte ou l'anus qui frémit sous l'agression. Le papy fait aller et venir sa large main dans mon vagin déjà bien dilaté par trois heures d'écartèlement, de léchage intensifs. Pour accentuer son plaisir il utilise un énorme cierge, un concombre, une courgette qui peut atteindre parfois une taille impressionnante et même une bouteille d'Obao en plastique. En ce moment j'accepte tout, comment faire autrement dans cette position ? Je me trémousse quand il introduit sa main. Devant le peu de résistance qu'offre mon vagin il s'émerveille à haute voix. Il est étonné de la profondeur de mon vagin, de son élasticité. Tu es dit-il une petite femme mince mais assurément une grosse salope Safi, tu aimes te faire mettre. C'est vrai, les paroles de Marcel me ramènent à des souvenirs de Dakar, à l'époque où j'étais encore étudiante à l'Université, j'allais tous les mois passer des examens gynécologiques à l'Hôpital Central alors que j'étais vierge. Dans cet hôpital il y avait un médecin libanais qui me faisait mettre à quatre pattes sur la table. Entièrement nue, il m'examinait à loisir en introduisant ses doigts dans mon vagin et mon anus. J'y revenais tous les mois. De cela je n'en ai jamais parlé à Raymond mon mari. Dans la cave de Marcel, il commence à faire chaud, je sens le souffle du papy qui se fait saccadé. Pierre me regarde avec un sourire qui en dit long. Il semble satisfait de sa soumise. Moi je ruisselle, je crie à Marcel de m'empaler de me traiter comme une salope, comme une pute, de me faire mal, de me punir. Aussitôt il obéit, il enfonce sa main puissante jusqu'au poignet et fait un mouvement de vrille. J'ai l'impression qu'il m'arrache les entrailles tellement j'ai mal. Marcel me pince les fesses et installe une pince à linge sur le bout de mon clito qui a doublé de volume. De son côté Pierre m'enfonce le gros gode en latex dans la bouche. Mes lèvres se referment sur lui comme pour une fellation en même temps qu'il étouffe mes cris de douleurs et de jouissances. Je gémis, je hoquette, je pleure et supplie Marcel d'arrêter. Il retire sa main pour l'enfoncer poing fermé en moi d'un coup vif. Je perds connaissance. Lorsque je me réveille, je suis sur le canapé du salon, une couverture sur moi. Je suis toujours nue mais je ne suis plus attachée. Les deux hommes sont en train de boire un verre. Marcel m'interpelle : Alors petite chienne sauvage comment vas tu ? Bien Maitre répondis-je les yeux baissés. Quelle pute tu fais ! Merci Maitre pour le compliment, je suis un peu fatiguée mais je suis ravie que vous vous intéressiez à moi de cette façon dis-je en me mettant à genoux devant lui. Relève toi me dit-il, la séance est terminée, tu es une super salope endurante, Pierre a beaucoup de chance dit-il de t'avoir dénichée à Paris en introduisant quelques billets dans ma chatte. Je vais te recommander à plusieurs de mes amis qui sont encore plus vicieux que moi. Il me caresse une dernière fois les seins qui me font terriblement mal et me donne une tape amicale sur mes fesses. J'ai remis l'offrande de Monsieur Marcel à mon Maitre. Je suis retournée plusieurs fois chez Monsieur Marcel et je dois l'avouer, j'y suis retournée avec beaucoup de plaisir. Il n'étais pas question de reprendre la route la nuit. Bien que novice au dîner, Pierre m'a félicité pour ma prestation et mon comportement.A l'hôtel, je me suis lovée contre le corps de Pierre mon ventre collé contre son sexe en érection je me suis endormie nue dans les bras de Pierre pour une repos bien mérité. A suivre...
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Par : le 09/11/13
Notre belle rencontre aux prémices du printemps, il y a un an. Ce chemin parcouru ensemble dans la réalité. La compréhension et une grande complicité. Beaucoup de dialogue entre nous De merveilleux moments vécus avec Vous Des moments intenses Nos cinq sens Qui sont nécessaires Pour une relation sincère Le respect que nous avons de Nous. Ce lien qui m'attache à Vous Ce collier qui est un symbole Vous qui êtes de parole L'empreinte de Vos maux Sur ma sensible peau Votre voix qui m'a troublé Qui me fait m'abandonner Mes peurs ont disparus Je me suis montrée nue Dans la confiance absolue C'est Vous que j'ai 'élu' L'homme que Vous êtes : mon Maitre Vous qui avez su me faire renaitre Avec Vous point de tristesse L'émotion qui me bouleverse Les moments de partages intenses Quand se rejoignent nos jouissances Quand Votre peau frôle la mienne Quand je deviens votre chienne Vous qui m'appréciez Avec Vous est né cette suavité Sous vos doigts, je frémis Sous la cravache, je gémis Avec Vous, une telle harmonie Des avancées, des pas accomplis Qui fait que par la confiance réciproque Par nos liens, et la sincérité qui provoque Sérénité, espoir en demain Il y a des lendemains Je souhaite que ce chemin nous mène longtemps encore vers de nouvelles découvertes et ce plaisir partagé que nous aimons tant. Le temps, l'écoute, la patience sont importants. Tout comme le respect, la confiance en toute circonstance. Respectueusement à Vous, votre soumise.
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Par : le 09/11/13
Chapitre premier. Je ne suis pas ce qu'on appelle une bombe sexuelle. Rien dans mon éducation musulmane ne me destinait à devenir une fervente adepte du milieu sm-porno.Jolie avec un mètre soixante treize avec un visage d'une candide naïveté Côté mensurations, je ressemble davantage à Jane Birkin pour ce qui est de la poitrine, à peine 75A, c'est à dire plate avec des aréoles larges et de gros tétons sensibles qui pointent sans arrêt. Je possède une taille fine et je suis cambrée avec de belles fesses rondes et dures comme la plupart des négresses minces. Je suis originaire du Sénégal, une peule au teint clair aux cheveux lisses, je n'ai pas le type négroïde comme on dit souvent pour désigner une femme noire. Je m'appelle Safiétou, Safie pour les intimes.Agée de 27 ans au moment de la découverte de ce milieu très spécial pour une jeune femme timide et musulmane de surcroît. A Paris, je travaille comme documentaliste dans un magazine féminin. Je suis mariée avec un européen que j'ai épousé à Dakar où il était coopérant. A la fin de son contrat, nous sommes rentrés en France. Durant notre période africaine Raymond mon et moi avons fait l'amour sous toutes ses formes. Il m'a fait découvrir le vrai plaisir sexuel. Avant lui je n'avais fait l'amour qu'une seule fois avec un camarade étudiant. Amour est un grand mot, je dois plutôt dire que ce camarade m'a "déviergée" comme on dit chez moi au Sénégal. Ma première expérience a été rapide et je n'ai gardé qu'un mauvais souvenir de cet instant qui aurait dû le plus beau de ma vie. Deux ans après cet épisode douloureux qui ressemblait plus à un viol, j'ai rencontré Raymond, plus âgé que moi d'une douzaine d'années. A Paris, cliente fidèle et assidue d'un café près du travail de mon mari où il m'arrive de l'attendre pour rentrer à la maison, je ne peux pas dire que je connais beaucoup de monde dans ce café, mais beaucoup de monde, des habitués me saluent avec politesse à chacune de mes visites. Je dois dire que si je n'ai pas l'allure du mannequin Naomie Campbell, je suis une femme que l'on remarque. Mon habillement et mon style de coiffure vont plutôt dans le sens de celui de la chanteuse nigériane Sade, même style de coiffure et maquillage. Une grande bouche ornée d'un rouge vif qui fait éclater mes dents blanches comme des perles. Je sais que souvent lorsque je rentre dans ce café le regard envieux des hommes présents se prolonge sur moi et en particulier sur mes fesses. Il faut que je vous dise aussi que j'aime particulièrement m'habiller de façon très moulante. La cambrure de mes reins accentue ainsi mes formes. Musulmane, au Sénégal je n'ai jamais pu m'habiller de cette façon. Là-bas je portais des vêtements classiques et le vendredi le boubou traditionnel. Une fois à Paris tout a changé. Je me suis vêtue très court. Mini l'été et caleçon l'hiver abandonnant définitivement le port du slip. Voilà vous savez presque tout de moi. J'attendais Raymond à l'intérieur de la brasserie, c'était le début de l'été et j'étais nue sous ma mini-jupe et sous mon tee-shirt où les bouts de mes deux petits seins plats pointaient outrageusement. Il y a en face de moi, un habitué, un homme, la cinquantaine qui lit son journal. Derrière mes lunettes de soleil, je remarque que son regard est plus concentré sur mon entrecuisse que sur les dernières nouvelles du soir. Il me mate ouvertement. Bien que timide de nature, c'est en France que je me suis rendu compte que j'étais un brin exhibitionniste. J'aime recevoir le regard des hommes. Je crois aussi que ma façon de m'habiller est une invitation pour eux. Le fait d'être dans un lieu public excitait tous mes sens. Je pris la décision de soutenir le regard de cet homme. J'écarte carrément mes cuisses afin qu'il n'ait aucun doute sur mes intentions de lui montrer ce qu'il cherche à voir depuis plusieurs minutes. J'imagine qu'il voit ma chatte gonflée comme un fruit mûr, l'absence totale de poils lui laisse le loisir de savourer sa vision, mes lèvres entrouvertes luisantes de mouille et peut-être le haut de ma fente, une vue sur mon clito... que j'ai, je dois le confesser assez gros. Pour moi cela est un jeu. Je ne savais pas encore que cette rencontrer allait décider de mon avenir de petite salope. Je sais par expérience que les hommes d'âge mur sont très souvent attirés par les jeunes femmes de couleur. Pour exciter davantage sa curiosité, je croise et décroise les jambes, je fais rouler mon Bic à quelques mètres de lui, pour qu'en allant le chercher je puisse m'accroupir et lui montrer de plus près ce qu'il cherche tant à regarder. En me relevant, je lui adresse un sourire qui en dit long pour lui montrer que cela ne me gène pas qu'il voit. Ne tenant plus en place, soudain il se lève et vient dans ma direction, se présente. Il s'appelle Pierre, il me demande s'il peut me tenir compagnie en m'offrant un verre. Je l'invite à prendre place à mes côtés. Il est ravi de faire ma connaissance. Il m'a remarquée souvent dans ce café. En fait il vient ici pour me voir. " Ne perdons pas de temps dit-il, je suis ici pour vous, cela fait longtemps que je veux vous rencontrer" Je fais l'étonnée : " Vous vouliez me rencontrer , pourquoi ? " répondis-je. " Depuis que je vous vois, j'ai un fantasme assez particulier à vous demander, j'ai remarqué que vous ne portiez rien dessous, vous venez de m'en faire la démonstration il y a quelques instants. J'ai envie de me faire sucer, je suis prêt à payer cher pour ça" dit-il sérieusement. Je m'étonne moi même. Pour jouer le jeu, je le joue à fond. Assise tout près de lui, je fixe ostensiblement la bosse qui commence à déformer son pantalon. Cette vision m'excite. Il est vieux mais il bande dur. De plus son engin doit être d'une taille plus que la normale. Sous la table ses mains remontent ma minijupe au maximum. Pierre a ainsi une vue imprenable sur mon compas ouvert. Il ouvre des yeux grands comme des sous-bocks de bière. Je suis excitée mon clito doit avoir grandi d'au moins un centimètre.Je pose innocemment ma main sur le pantalon de mon compagnon de rencontre qui pousse un soupir de satisfaction quand sa bite se détend en une érection des plus convenables. Le visage de Pierre est tout congestionné. Il vient d'introduire un doigt dans ma fente juste au moment où le garçon de café passe près de nous. Il arrive à prendre mon clito entre deux doigts et tout d'un coup il pince vivement mon clito qui est gonflé au maximum, je pousse un petit oh. J'ai vraiment envie d'aller jusqu'au bout. Pour me donner du courage je commande un gin-tonic. Je n'aime pas trop l'alcool à part le champagne mais je sais que je vais en avoir besoin. Pierre se fait de plus en plus pressant. Sa main s'occupe maintenant d'un de mes seins. J'ai peur que les autres consommateurs nous voient. Ne t'inquiètes pas dit-il, tu vas descendre aux toilettes et tu vas laisser la porte ouverte, je vais venir te rejoindre, tu verras, c'est discret, tu vas savourer une vraie bite.... Je le regarde et j'avale d'un coup mon gin-tonic avant de me lever et de me diriger vers les toilettes au sous-sol. Pierre me regarde avec un sourire moqueur. Une fois sur place, je n'ai pas longtemps à attendre, Pierre s'engouffre dans l'étroite cabine. J'ai un peu peur, je tremble. C'est la première fois que je suis confrontée à une telle situation. Je n'ai pas le temps de me poser trop de questions. Pierre remonte ma minijupe afin de juger mes fesses, mon sexe qui est déjà tout humidifié par l'excitation que me procure la situation. Je pose ma main sur le pantalon de Pierre,je suis assise sur les WC, il est debout devant moi. Je me penche et ouvre d'un coup de doigts agiles le zip du vieux Monsieur. Surpris, il soupire mais me laisse faire jaillir sa longue queue tellement tendue qu'elle est agitée de soubresauts. Je ferme les yeux et ma bouche s'ouvre pour gober son gland. Pierre n'est pas content et me le fait savoir. Tu vois dit-il, tu es trop pressée, tu n'as même pas le temps de prendre conscience de ton désir, que tu songes déjà à l'assouvir comme une pute. Une bite comme la mienne se mérite. Excitée mais inquiète, je n'avais qu'une hâte, le finir le plus vite possible. Je n'avais pas envie que l'on me surprenne dans cette posture dans les toilettes d'un café que je fréquente assidûment. Pierre dit, je crois qu'il est grand temps que je t'enseigne la soumission et l'obéissance sexuelle. Tremblante, je branle la bite de Pierre avec une certaine maladresse de ma main gauche. Ca ne dure pas très longtemps, elle est déjà très grosse entre mes doigts de plus en plus agiles et habiles. La pine de Pierre palpite, je ne fais plus attention au lieu où je me trouve, mon regard est fixé sur le sexe que je branle de plus en plus vite. Une grosse veine bleutée se gonfle sous mes assauts répétés. Pierre se met à souffler, à s'agiter très fort à se cabrer, il me tient fortement la tête, la bite se colle sur mon visage,je sens son odeur âcre, elle roule sur mes lèvres, sur mon nez, ma langue la parcourt sur toute sa longueur jusqu'aux couilles qui sont pleines, je lèche ses poils. D'un seul coup Pierre enfonce toute sa bite dans ma bouche profondément, j'étouffe un petit cri. Complètement enfouie en moi,je suce cette énorme queue barbouillée de rouge à lèvres. Tout d'un coup, je me sens saisie de sensations contradictoires, à la fois de dégoût et d'envie d'être humiliée de la sorte dans un lieu public, où à chaque instant on pouvait nous surprendre, la porte du WC étant restée entrouverte. Pierre a à peine effleuré mon corps du bout de ses doigts, que déjà je suis au bord de la jouissance par le désir que m'inflige la douleur causée par son dard complètement enfoncé au fond de ma gorge que la fellation a échauffée, je ne vois rien venir que déjà il éjacule en plusieurs giclées que j'avale d'un seul trait. Un sperme au parfum délicieux. Il décharge son liquide en gueulant comme si sa vigoureuse éjaculation lui arrachait les couilles. En dehors de mon mari Raymond, c'est la première fois que je bois le sperme d'un autre homme. Pierre est content de moi. Après m'être refait une beauté devant les miroirs des toilettes, je rejoins Pierre dans la salle du café sous le regard complice du garçon. A nouveau installée à table je pris la décision maintenant que je connais la recette d'user et d'en abuser en allant encore plus loin dans ma démarche, fière de mes premiers gains, gagnés c'est le cas de le dire à la force du poignet. Pierre me dit à l'oreille : Avec la bouche et le cul que tu as , ton avenir est assuré. Forte de cette affirmation, je pris la décision de continuer dans cette voie. Nous étions en train de rire de notre aventure lorsque mon mari fit son entrée dans la brasserie. Une fois à la maison je racontais à Raymond mon mari ma petite aventure avec Pierre dans le café. Après quelques minutes de réflexion Raymond me dit : Si tu en as envie, va jusqu'au bout de tes pulsions. Il fallait pas me le dire deux fois. A suivre.....
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Par : le 07/11/13
- "Ouvre ta bouche. Tire ta langue. Pose-la sur ma queue. Il t'est interdit de déglutir dorénavant. On est bien d'accord ?" - "mmmh mmmhf."
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Par : le 07/11/13
Les mois passent et le lien qui m'unit à Vous s'est avivé. Mes sens sont en éveil, jouissance des instants partagés. Positive de ce chemin à vos cotés avec Votre patience, Votre RESPECT en toute circonstance. Sensations sans cesse renouvelées. Votre protection, votre tendresse et fermeté. Notre relation faite de communication réciproque, de bonheur partagé. L'emprise qui est la Votre, signature de Vous. Me sentir posséder par Vous. Votre domination alliant douceur, fermeté et virilité. Quand votre main effleure mon dos, mes épaules, mon corps s'enflamme, vous attisez mes sens. Lorsque ma peau rougit et que se dessine vos marques. Les instants avec Vous, sont source de gourmandise. Sans cesse Votre voix me transporte, m'enivre. Depuis ce jour ou mon regard a croisé le Votre, je suis votre. Des émotions, des sensations, des ressentis, des instants rares et précieux où tout bascule quand la complicité s'instaure. Quand le plaisir nous envahit, quand la vague de jouissance irradie nos corps. Vous qui veillez sur moi, qui savez écouter, entendre ce qui n'est pas la même chose Vous à qui je me confie, Vous en qui j'ai placé ma confiance, elle n'a jamais démérité. Vous qui savez me devinez, Vous à qui je me suis 'livrée'. Une intuition, une sensation à Vous découvrir, à Vous entendre, à Vous écouter, puis la réalité. Le ressenti au plus profond de moi, ce que j'avais espéré, rêvé depuis des années, enfin est arrivé. Dans un mois, cela fera une année auprès de Vous. Des découvertes, des expériences, des avancées, des rendez vous parfois décalés par les aléas de la vie. J'aime les 5 sens et certaines essences de parfum de peau, tout comme la Vôtre dont j'aime à exhaler. Ma pudeur j'ai déposé à vos pieds, mes peurs je vous ai expliqué, sans me brusquer, vous m'avez apprivoisé, vous m'avez respecté. Mes peurs et tabous ne sont plus par la confiance et le respect de Vous. Le dialogue est important de part et d'autre, savoir dire les mots, cela permet d'avancer de construire une relation, de resserrer les liens et permet de se connaitre. Mes appréhensions ne sont plus, j'ai confiance en Vous. Vous avez su me rassurer, me protéger. Le respect que Vous avez de Vous, de moi, de nous, de notre relation par la confiance partagée. Je suis tombée sous votre charme. A vos pieds, j'ai déposé mes armes. Il faut s'entendre, se convenir, se plaire n'est ce pas ? Un dominateur ou Maitre choisit sa soumise et vis versa. A quoi bon dominer celle qui ne convient pas. Sans artifice, je suis devenue votre complice, votre soumise. Ma patience a été 'récompensé', les 'expériences' et déceptions du passé, ont porté leur fruit ; je n'ai plus été la même, moins candide, j'ai retenu la ou les leçons. Oubliés les couards, les virtuels, les manipulateurs, les prédateurs, ceux qui s'en connaitre la personne en réalité se permettent de juger, d'écrire, de menacer, derrière un écran c'est si facile ou par téléphone, j'ai connu cela il y a quelque années. J'avais replié mes ailes à un moment donné. Puis je les ai déployé avec Vous qui avez été clair sur votre situation, tout comme mon annonce le disait en parlant de moi. Mon caractère est entier, je ne juge et ne flatte, je taquine quelque fois, rien de plus. Nul n'est parfait. Chaque personne a droit au bonheur ici et ailleurs. A Vous je ne suis dévoilée, Vous savez tout de moi, je ne vous ai rien caché de mon vécu d'avant, de celle que je suis à présent. Du bonheur partagé quand on se retrouve, quand nos corps sont en accord avec nos envies et désirs. J'apprécie le fait que Vous ayez toujours le contrôle de Vous, jamais d'énervement, de chantage affectif comme il y a parfois, de reproche ou critique sans remise en question du Maitre qui vilipende sa soumise. La maitrise de soi est l'apanage d'un Maitre digne de ce nom, c'est ce que je pense et crois, je n'ai pas la science infuse, il va de soi que cela n'engage que moi. Sourire ! Mon Maitre, j'avais envie de vous dire que depuis notre première rencontre, je savoure chacun de nos rendez vous. De cette complicité, j'ai trouvé mon équilibre. L’épanouissement et le plaisir partagé étant la priorité d'une relation suivie et d'une construction dans le respect mutuel.
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Par : le 07/11/13
Le père de SAS était non seulement un romancier prolixe fin connaisseur de l'Afrique, mais aussi un éditeur, il a publié de nombreux récits et histoires personnelles sur le SM mettant en avant ces pratiques. Sur l'insistance de mon ex Maitre qui a prit contact avec un auteur, je suis devenue l'héroïne de deux récits par C. Joackim Les Folies de Safi aux Editions GdV Classé X N°52 Safi, fist Lady aux Editions Vauvenargues, Série X N°15 Ces deux ouvrages sont aujourd'hui épuisés Servir le plaisir , telle est ma devise. Safi
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Par : le 03/11/13
Chaque fois que je me connecte ici, quelque chose réussit magiquement à m'énerver. J'ai mis du temps à intégrer qu'il me fallait absolument éviter le mur général, au risque de prendre en pleine gueule de quoi m'agacer pour le week-end rien qu'à y lire l'insoutenable et intarissable ineptie qui s'y exprime en un flood continuel. Poliment, je suis passée ici pour répondre à un mail d'une copine. Et pendant ce court laps de temps, quelqu'un s'est bien sur empressé de me "demander en amie" au détriment total de toutes les recommandations du site. (Qui indiquent très clairement d'écrire le petit mot d'accompagnement qu'il s'est bien naturellement dispensé d'écrire, puisqu’il s’est également probablement dispensé de lire les quelques règles à observer ici, qui lui ont été envoyées a son inscription). Dans la mesure où ce pénible comportement est coutumier des nouveaux inscrits mal éduqués, fainéants et/ou illettrés, il est certain que je ne devrai sans doute pas m’en émouvoir autant. Mais ce qui finit de me décider à agir, c'est que j’ai également pris la peine depuis un moment déjà d’indiquer en toutes lettres dans mon annonce (que personne ne lit), que je faisais mes demandes de contact moi-même. Ce qui veut dire que non seulement ces morts de faim contournent les règles que le site tente de nous imposer avec (selon moi) beaucoup trop de souplesse, mais qu’en plus ils contournent également très irrespectueusement les limites que JE prends la peine de leur indiquer. Tas de médiocres. Misérables morts de faim. Vous me fatiguez. Donc plutôt que de continuer sans fin ni résultat à vous écrire à quel point j'en ai ma claque que vous vous torchiez le cul avec les règles que la plus élémentaire bienséance devrait vous pousser à respecter, uniquement pour imposer les vôtres, je vais ériger un mur pour vous éduquer. Votre mur. Dorénavant, chaque demande merdique de ce genre deviendra une pierre de plus à cet édifice qui n'aura pour fonction que de bien mettre à jour QUI sont les beaufs capables d’énerver ou de faire fuir ce site. Je décide de mettre en évidence QUI, de part son comportement délibérément irrespectueux de cossard, contribue à la pénibilité de ce site. J’entends déjà certains défendre l’originalité de sortir des balises et des règles, et prétendre que c’est d’ailleurs "l’essence du BDSM"... D’autres s’esclaffer que l’on puisse s’agacer pour si peu, ou encore rétorquer hargneusement que je dois sans doute être moi-même parfaite pour me jeter si rageusement sur ceux qui ont simplement fait une "petite erreur" : Je laisse ces fins penseurs à leurs petites branlettes laxistes pour excuser des comportements dans lesquels ils se reconnaissent sans doute : Je ne crée pas ce mur pour "débattre" de ça pour la énième fois. Non. J’essaye à présent de faire avancer les choses en les exposant au grand jour sur un post qui aura la possibilité de remonter ponctuellement, plutôt que de me livrer à une de ces traditionnelles interventions excédées qui finissent par se perde dans le flood insignifiant d’un mur principal que de plus en plus de gens préfèrent fuir. Et j'emploie ce moyen parce qu'il me semble le plus efficace. Pour peut être enfin cesser de subir ce que je considère comme une agression directement liée à la grossièreté et la facilité, et la médiocrité de certains. Point. Note : Afin d’éviter que les gens ne réitèrent 50 fois leurs demandes dont je ne veux pas, je les laisse croupir dans mon listing de demandes entrantes afin de les y immobiliser. Je précise donc que les personnes listées ici ont bien fait leur demande au moment où mon annonce précisait déjà explicitement de ne PAS la faire. Je précise également que dans un immense élan de bonté, j’ai retiré de cette capture d’écran ceux qui s’étaient donné la peine d’écrite quelques mots avec leur demande impromptue. J’invite donc chacun (et surtout chacune - car je pense que c’est plutôt les nanas et les trans qui sont concernées en fait), qui se sentirait comme moi démunie devant tout ça, d’apporter leurs pierres à l’édifice si elles le souhaitent, et le jugent utile. Bon week-end, mais sans doute pas à bientôt. Hire youngboy237 laaurent subTom taminod PedroSoum soumisx hard89 larve92
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Par : le 03/11/13
Aujourd'hui je me réveille, comme tous les matins, en homme heureux. Pourtant je suis comme vous, j'ai mon travail, mes responsabilités, mes factures à payer, mes soucis de santé, mes projet interminables, mes rêves qui ne se réalisent pas... Je ne suis pas heureux parce que j'ai gagné au loto, ni parce que j'ai trouver l'amour sur qui je fait reposer toute ma vie, ni parce que j'ai du pouvoir et de l'influence sur les autres Non, en fait je suis comme vous, la grande majorité, la classe moyenne, qu'on exploite un peut d'un coté, qu'on chouchoute assez de l'autre, celle des gens qui ne se révoltent pas, qui ne s'indignent pas, de ceux qui pensent que la moralité est une question de majorité et d’homogénéité. Vous ne me remarqueriez même pas dans votre rue, dans votre supermarché, dans votre métro, ni même dans votre hall d'entrée d'immeuble. Je marche parmi vous, et pourtant je ne suis pas des vôtres. Je suis heureux, simplement parce que j'ai choisi de l'être. Et aujourd'hui je me lève de bonne humeur, mais aussi de bonne heure, un peut trop peut être même, mais je vais rendre service à une amie. Elle m'avait contacter en début de semaine pour me demander de passer la journée de vendredi avec elle afin qu'elle s'entraine à faire passer des entretiens d'embauche, étant donné sa récente promotion elle recherchais une secrétaire et avait besoin de tester son affirmation à un post à responsabilité, et son autorité et juger de la pertinence de ses questionnaires. Je fit donc ma toilette, pris un petit déjeuné copieux, en caféine surtout, et me mis en route pour rejoindre mon amie chez elle. C'était un jour férié, et il n'y avait presque personne sur la route, et pour une fois, je prie le bon chemin du premier coup, peut être que pour une fois je serait ponctuelle... Mais je me suis rappeler que la montre sur ma voiture retardais d'au moins dix minutes, je n'allais toujours pas déroger à ma réputation de "toujours en retard"... Et ça ne manqua pas, j'arrivais finalement devant son lotissement et je sonnais le bouche en cœur à sa porte, et elle me recevait d'un glacial "Tu es en retard !" qui me laissa pantois car ça ne lui ressemblais pas... Mais elle ne put se retenir longtemps de pouffer en voyant ma tête déconfite, me pris dans ses bras pour me saluer chaleureusement en me disant qu'elle commençais simplement à s'entrainer à jouer la patronne autoritaire. Elle me fit m'assoir en face d'elle à table finissant son café tout en m'en proposant gentiment un à moi aussi. Chose que je ne refuse jamais. "Hé bien il faudrait en refaire, si tu peux attendre 5minutes je vais te mettre directe dans le bain. Je vais devoir jouer la patronne autoritaire, ça ne sera pas facile parce que tu sais que je t'apprécie beaucoup, alors prends ça un peut comme du théâtre, ou un jeu de rôle..." Me dit elle en me présentant le déroulement de la journée dans les grandes ligne. Le matin entretient sur les compétences, l’après midi test de motivation et en suite on se ferais une soirée détente entre nous deux, plateau télé et série sympas confortablement pour évacuer le stress de la journée. "Bon on est partie !?" Me demanda-t-elle soudainement pleine d'entrain, limite à trépigner d'impatience comme une petite fille le matin de noël. - "Si tu veux être une bonne secrétaire, il va falloir que tu fasse du bon café." - "Heu, bonNE secrétaire ?" - "Oui, je veux unE secrétaire, alors tu va aller enfiler ça !" Et elle pris un cintre auquel je n'avais même pas fait attention qu'elle avait placé sur l'étagère avec une jupe courte, une veste de tailleur, un chemisier en satin. Elle m’accompagnât à sa chambre, ou sur le lit m'attendait un ensemble de lingerie blanc, culotte et soutient gorge, une paire de bas, et une paire de faux seins en silicones, et au pied du lit, une pair d'escarpins au talons vertigineux. - "Bon dépêche toi de te changer et va faire la café si tu veux avoir le temps de le boire avant qu'on commence. Je sais que tu sais mettre tout ça et que tu es déjà toute épilée je t'ai croisé hier dans la rue alors que tu allais à ta fête d'Halloween... en soubrette!" D'un coup mon cœur se mit à pomper tout mon sang dans ma tête, jusqu'à ce qu'il m'en sorte par les yeux et les oreilles peut être... Mais nous n'étions pas dans un dessins animé de tex avery, c'était la vrai vie... - "Ho t'en fait pas pour ça, tu sais avec moi tu fais ce que tu veux, je t'aime comme tu es même si c'était juste un déguisement ou si c'était plus sérieux que ça pour toi, ça t’allait super bien, j'étais juste jalouse que t'aille t'amuser en soubrette hyper sexy sans m'en avoir parler parce que j'aurais bien aimer venir. Enfile ta tenue de secrétaire et dit toi que c'est une partie de ma revanche pour pas m'avoir laisser profiter de tes belles jambes cette soirée." Sur ce elle me laissa seule et tranquille dans la chambre, un peut devant le fait accomplie. J'allais donc devoir jouer La secrétaire pour la journée, et au premier jugé de la jupe, courte, une secrétaire vraiment sexy. Je commençait donc à enlever mon haut, commencer par mettre le soutien gorge, en ajustant et réajustant les faux seins à l'intérieur pour essayer d'obtenir un résultat le plus naturel possible. Je pris ensuite une grande respiration et me décidais enfin à enlever mes tennis, jean et caleçon, pour ne plus me retrouver qu'avec un simple soutient-gorge, en train d'enfiler les jambes une après l'autre dans la culotte, sentir le lycra satiner glisser contre mes jambes épilée pour finalement se retrouver en place sur un organe qui ne savait surement pas ou se mettre, ni quoi penser, de se retrouver pour la deuxième fois en moins de 24H dans une affriolante lingerie trop petite et inconfortable pour lui... J'enfilais ensuite les bas, qui se font toute douceur remontant précautionneusement le long de mes jambes, me caressant plusieurs fois de bas en haut pour faire remonter la jarretelle en haut de la cuisse et avoir un rendu lisse du tissu. Je ne mis pas la jupe ni le tailleur ensuite, mais j'enfilais les talons. Je me mis debout, et malgré leur hauteur, plus grande que toutes les paires que j'avais mises jusque là, je pouvais néanmoins marcher avec un minimum d'aisance, et je me surpris à m'admirer devant le haut miroir de la chambre, des pieds à la tête, à admirer non pas avec narcissisme, mais à admirer la femme que je pouvais être, que je pouvais devenir, avec une superbe lingerie, avec mes jambes et ma taille fine qui me valent des taquineries des copines qui me les jalouses à la plage, où les raillerie des autres hommes qui prennent ma féminité naturelle comme une atteint à leur virilité légèrement surestimé. Mais ce matin, dans cette tenue, je me dit que la nature est bien faite. Plus que de l'admiration, c'est de l'acceptation que je voyais dans ce miroir. Ne voyant pas le temps passer, comme à mon habitude... Je me décida enfin à enfiler la jupe, comme revenant doucement à la réalité en sortant d'un beau rêve. Le chemisier en satin, que je trouvais magnifique, étant un peut aussi fétichiste de cette matière, mais je n'était pas à l'aise, mes mouvements limité par l'amplitude du vêtement, les manches trop courte non adaptées à mon bon 1m80, et mes mouvement d'épaule volontairement limités de peur de craquer le tissus dans mon dos qui reste tout de même, génétique oblige, un dos d'homme... Je sorti donc en faire par à on amie, qui me le fie enlever sur le champs, me retrouvant en soutient-gorge devant elle en train de m'expliquer qu'il était primordial pour la journée que je soit totalement à l'aise dans ma tenue et libre de tout mouvements. Elle allât donc dans la chambre fouiller dans son armoire et revins avec un autre chemisier un peut plus ample, sans manches, dans un tissu magnifique et que j'imaginai déjà très doux à porter, mais qui me fit rougir instantanément à l'idée de devoir le porter toute la journée tellement il était transparent. Je l'enfilais tout de même de bon cœur, il était très agréable à porter et mes mouvement n'était plus entraver de nulle part, quand à être à l'aise, oui... mise à part le fait de me sentir exhibée, ma poitrine, dans son soutient gorge, complétement offerte à la vue.de tous. Enfin nous allions dans la salle de bain, elle me prêtât un peut de son maquillage et me regarda patiemment m'affairer à ma tache avec toute la concentration que ma faible expérience me demandais. Me peignant le visage avec l'expression d'une petite fille qui s'applique de son mieux sur son cahier de devoir à dessiner ses première lettres et oubliant tout le reste de son environnement. Une fois cette étape fini et satisfaisante, je me mis enfin à ma première tache de secrétaire. Même si je me disais qu'il s'agissait d'un horrible stéréotype, que de penser que faire la café et le servir à sa patronne fait partie intégrante des taches de la secrétaire, je le fit de mon mieux et commençait à m'habituer aux chaussures, à a nouvelle posture cambré à cause de ses hauts talons en faisant des aller retour entre la cuisine et le salon, pour faire le service, apporter les tasses, le sucre, "oubliant" les petites volontairement les petites cuillère pour profiter un peut plus longtemps, un peut plus loin, chaque pas avec ses talons et avec cette jupe courte qui n'en finissait pas de vouloir remonter à chaque enjambée, m'amenant un peut plus loin dans ma condition de secrétaire au service de ma patronne et grande amie pour la journée.
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Par : le 02/11/13
J'ai entendu la porte s'ouvrir Mes yeux étaient clos, je Vous attendais Je prenais patience, mon corps déjà offert Je frémis quand le bandeau vient voiler mes yeux Je trésaille en sentant la chaleur de Vos lèvres sur mon cou Je frissonne quand Votre main tire mes cheveux Je vibre quand Votre main caresse ma joue Nue, je m'offre à Votre désir Nue, j'accepte Vos envies Je tremble quand Vos doigts effleurent mes seins Je geins quand Vous serrez mes aréoles Je souris quand Votre bouche aspire mes tétons dressés Je grimace quand Vous tirez sur mes pointes érigées J'ondule quand Votre main glisse le long de mon ventre J'ondoie quand mon mont de vénus trouve sa place sous Votre paume. Nue, je me donne à Vos envies Nue, Vous m'invitez à Vos désirs Je me cambre quand Vous m'allongez sur le lit Je me courbe quand Vos doigts découvre mon sexe Je retiens mon souffle quand Vous saisissez mon clitoris Je contiens ma respiration quand Vous le pincer entre Vos doigts Je gémis quand Votre main s'enfonce dans mon intimité Je jouis quand je suis fouillée par Vous ainsi Nue, je m'abandonne à Votre plaisir Nue, je me livre à Votre désir Je crie lorsque Votre glaive me pénètre Je m'exprime quand Vous allez et venez au fond de moi Nue, je hurle mon 'plaisir' Nue, je m'abandonne à la jouissance Votre soumise expressive. Le 31 octobre 2013
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Par : le 02/11/13
Ma Fouetteuse et Fesseuse préférée Celle qui désormais manie la canne Ma tourmenteuse dont je n'aurais jamais osé rêver Ma Griffeuse irremplaçable Ma Noueuse en progrès permanents Mon Enfileuse à ses heures Ma sadique Cireuse Mon Emballeuse en devenir Mon unique Travestisseuse La Reine de mes froides chaines La seule Electrifieuse que j'accepte La Propriétaire de mon collier et de mes menottes En résumé ma Maitresse Adorée
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Par : le 31/10/13
B onheur de Vous appartenir. O smose de vivre nos envies et désirs. N otre sincérité qui est de mise. N om qui est le votre et celui de Maitre que je Vous donne. E motions à votre contact, à votre voix qui m'attire. F ace à face, et les émois qui sont légions quand je Vous vois. E xhaler le parfum de votre peau qui m'enivre. T ouchée par votre RESPECT. E xprimer ce que je ressens. A ttente et impatience parfois de Vous revoir. V ivre les instants précieux avec Vous. O béissance et appartenance en ce collier porté. U ne rencontre et l'alchimie qui est passée entre nous. S ensations sans cesse renouvelées. M arquée par Vous, marques visibles ou invisibles. O bscurité sous le bandeau qui couvre mes yeux quelque fois. N ous et cette confiance mutuelle qui est le ciment d'une relation. M ains qui me caressent, mains qui m'électrisent. A bandon dans ma soumission, Vous aimez mes expressions. I nstants précieux, instants de partage ou la jouissance explose. T enue de Vous, tenue de moi, tenue que Vous appréciez. R espect qui est primordial de chaque coté. E couter pour progresser et grandir dans la sérénité.
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Par : le 29/10/13
L'année s'achève bientôt ; 9 mois que je vous appartiens. Nous avons traversé les 4 saisons, sans Vivaldi, mais avec harmonie. Nous avons fait connaissance, le printemps venait d'éclore. Notre dernier rendez vous, ce premier jour d'hiver, avec la neige qui a déroulé son blanc manteau dans de nombreux départements avec une certaine avance, surprise, provoquant pagaille, retards, annulations, reports, etc. Je suis sereine, heureuse en ce chemin à vos cotés, en ces demains par le Maitre digne de ce nom que Vous êtes, Vous qui avez su m'apprivoiser au fur et à mesure de nos rencontres. Toujours le respect avec Vous, que cela soit dans la domination, en sortie comme ce club SM sur Paris, au restaurant, ou que l'on se promène, dans Votre élégance, Votre comportement, Votre attention, gestes, attitudes, écoute, à me rassurer, me faire grandir, cela me comble de bonheur tout simplement. J'apprécie la sincérité qui est Votre, qui est notre, qui est de mise entre Maitre et soumise. Avec Vous, aucun faux semblant, j'apprécie grandement. Votre patience, la maîtrise de Vous, jamais sous l'emprise de la colère, de l'agacement, de l'impatience, un Maitre ne se défoule pas sur sa soumise, elle lui rend hommage, elle se dépasse, et lui fait honneur. Par le respect, ce maitre mot qui est le sésame indispensable, tout comme la confiance réciproque des avancées, des progressions, des dépassements, des limites sont franchies. Vous qui avez touché mon coeur et bien au delà, que cela soit ce premier jour et les jours qui ont suivis, qui se suivent et se suivrons dans cette relation d'une intensité particulière. Que de bonheur avec Vous, avec la patience, on arrive à beaucoup. J'ai mis du temps, qu'importe le temps, qu'importe l'age, sourire. Quand l'évidence, l'attirance, la connivence se fait, la personne qui convient, nous convient et avec qui le temps suspend son envol. Vous avez attisé ma curiosité par ce premier mail, depuis mon chemin est près de Vous, nous nous sommes bien 'trouvés', c'est ce que Vous me dites quelque fois et cela est vrai. Bonnes fêtes de fin d'année à toutes et tous, gardez espoir, tout arrive à qui sait attendre. Que les belles relations durent et perdurent, que celles qui viennent d'éclore garde leur intensité, que celles qui ont pris fin restent positives en leur parcours et chemin. Moje marzenie stalo sie rzeczywistoscia, z moją milosc Mistrza. Le 23 décembre 2010.
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Par : le 28/10/13
Abandon avec Vous attachée ou pas avec des bracelets de cuir que Vous reliez dans mon dos ou ailleurs. Badine que j'ai découvert avec Vous. Cravache dont les coups comptés forment des marques de couleurs différentes suivant l'intensité, et qui s'estompent au fil des jours. Don de soi sans lequel rien ne va. Expressive et Vous appréciez que je sois ainsi. Fouet que j'affectionne, fessées qui rougissent ma peau. Grimacer sous la douleur. Humiliation, j'ai du mal avec cela et pourtant, j'ai pris sur moi les rares fois ou .... Ivresse des sens et de certaines essences qui enivrent mon nez et ma peau. Jouir si on le peut, crier et hurler sa jouissance. Kilos qu'il me faut perdre... Liens qui entravent, qui attachent, qui lient, liens visibles et invisibles. Maitre Vous à qui j'appartiens. Noeuds de bondage que j'aimerais connaitre... Obéissance que j'ai pour et envers Vous. Pinces qui emprisonnent le bout de mes seins, mes lèvres intimes, les poids cela viendra bientôt je l'espère. Questions que je peux vous poser, Vous n'en éludez aucune, toujours la sincérité. Rosebud, c'est un très joli bijou anal de différents motifs, couleurs, tailles, poids. Sensations variées, alternées, les sensations que j'éprouve pour et avec Vous. Tenue qu'il faut porter pour respecter le dress code dans certaines soirées ou lieux. Unique c'est Vous mon Maitre. Vaincre ses peurs, cela se fait au fur et à mesure de la relation en confiance totale. Week end et le manque de Vous qui est présent. X non, Vous qui avez un prénom. Yeux bandés, les sens et plaisirs décuplés, entendre des bruits parfois et ne pas savoir ou et quoi. Zébrures du fouet et les marques qui en découlent.
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Par : le 26/10/13
Quand on a été si longtemps vanille... Que les relations étaient toujours égalitaires, recherchant le consensus, n'osant rien imposer... Que tout cela fonctionne ainsi par éducation, imitation, par valeurs humaines certes, mais par facilité de caractère aussi et conformisme un peu... Que tout cela devient tiède et gris, et ne suffit plus... Quand on bouscule tout cela, qu'on franchit la barrière, qu'on bascule vers le terrible, l'impensable, l'inimaginable domination-soumission... Qu'on s'autorise à vivre ces plaisirs colorés en rouge et noir, qu'on ne se reconnaît plus mais qu'on se retrouve... Que l'on vit des moments décomplexés, d'abus choisis... Comme cela libère et enivre, enfin ! Bien sûr ce sont des jeux, d'adultes consentants, de deuxième degré, de confiance et de non violence... (Et patati et patata) Mais qu'il est bon de se donner, se soumettre, s'abandonner... Mais qu'il est bon d'abuser, de soumettre, de jouir de prendre les rênes !
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Par : le 26/10/13
Abandon avec Vous, Vous appartenir. Bougie, coulée de cire se déversant sur ma peau. Croix de Saint André ou j'aime être attachée. Donner l'envie de recommencer. Envahie par le désir de nos passions communes. Fermer les yeux pour mieux ressentir. Garder jusqu'à la dernière minute le cri d'extase. Hurler quand le bâillon n'est pas présent et que je ne peux me contenir. Inventer des jeux. Journées auprès de Vous, le temps passe toujours trop vite. Kilomètres qui nous séparent et qui nous lient. Limites à dépasser avec et près de Vous. Marquée par Vous. N'entendant que Votre voix qui m'enivre. Obscurité j'ai sous le bandeau. Photos que je ne voulais pas au début et puis Vous voyez le résultat... Que le chemin avec Vous dure et perdure.. Respect réciproque qui me comble. Sérénité avec Vous que j'apprécie et plus encore. Tendre mon visage vers Vous, et être heureuse. Un regard, le Votre posé sur moi. Vouloir et être votre au plus profond de mon esprit. Waouuuuu ! La réalité avec Vous et rien ne vaux cela. Xérès étanche notre soif. Y a-t-il quelque chose à dire : Kocham Master. Zeste d'humour, j'apprécie et Vous également.
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Par : le 25/10/13
La punition imprévue, immédiate, méritée, pour mon insolence, ma désobéissance, mon impatience, le 14 octobre 2010. Combien de coups pour ton insolence ? 150 coups ai-je répondu, tu en auras 200, voyons si tu vas tenir le coup. J'ai tenu le coup, beaucoup de larmes sont venus au fur et à mesure des coups reçus sur mes fesses, sur mon sexe, sur mon dos, mes épaules, sur mes cuisses. Que cela soit sur le ventre, sur le dos, sur les genoux ou à quatre pattes. La badine qui cingle, la douleur des pinces sur ma poitrine très fragile. La cravache qui marque ma peau laiteuse, fine et sensible. J'aime être marquée Vous le savez et cette seconde punition était la plus douloureuse. Je retiens la leçon... Merci à Vous, pour ces marques et plus particulièrement les paroles que Vous m'avez dit ce jour là. J'ai accepté votre punition, j'ai tenu bon, je n'allais pas Vous supplier d'arrêter, quelque chose en moi c'est passé ce jour là. J'ai compris certaines choses qui grandissent en moi et envers Vous. J'étais totalement nue, comme Vous le souhaitez, ne gardant que mes talons. Pour une punition, il vaut mieux si les coups sont portés sur divers endroits du corps, avec une cravache, des pinces, vos mains, un long martinet qui fouette, une badine que j'affectionne et qui fait rougir ma peau tout de suite. Le drap blanc avait des traces noires, mon mascara n'était plus. Aucun bandeau couvrait mes yeux, ceux ci étaient clos, nudité complète. Entre mes sanglots, je me disais mentalement, pourvu que je tienne le coup, que je ne le déçoive pas. Votre fierté, je l'ai entendu, par les mots que vous avez prononcé après. Je ne voulais pas de geste tendre, de marque d'attention, de réconfort. Je ne voulais qu'une punition, Vous avez agis à Votre guise, la soumise peut parler et dire, Son Maitre a toujours le dernier mot. Il fait selon son bon vouloir, Il fait ce qu'il désire Lui, pas ce qu'elle désire elle, sinon trop facile d'être soumise, à accomplir ce qu'on affectionne et aime. Où est le dépassement. J'ai eu honte de mon insolence, à Vous répondre : à un moment donné pour ne pas avoir senti sur ma peau, les 4 premiers coups sur mon sexe, les 6 autres je les aient bien reçu, cela m'apprendra à Vous répondre, à Vous braver, à vouloir Vous défier peut être, peine perdue, je le sais et c'est bien ainsi. Je ne Vous ai pas attendri sous mes sanglots, et c'est bien de la sorte. Je n'aurais pas apprécié que Vous arrêtiez avant la fin de la punition. J'aurais eu un gout amer, ce qui est mérité doit être exécuté. De Votre coté, le fait que j'ai enduré Vos coups, vous a plu. Je compte pour Vous, je l'ai compris, et Vos mots pour moi. Oui, cela a été douloureux, mais qu’est ce qui fût le plus pénible ? Vos coups marquants ma peau sensible, ou le fait de me dire, je mérite cette punition, si je ne tiens pas le coup, qu'est ce qui se passera ? Une soumise incapable d'accepter la punition, il me fallait aller jusqu'au bout. Il ne faut pas se crisper, on ressent moins les coups si l'on se détend, facile à dire me direz vous, pas facile à effectuer parfois. Sourire. Le mal de tête par tant de larmes, des sanglots étouffants mes cris, d'ailleurs, je ne pouvais pas crier, je n'étais pas chez Vous, pour ce rendez vous, il me fallait me contenir. Soumise insolente à ce rendez vous, taquine, je n’en éprouve pas moins pour Vous un respect et des sentiments qui se sont révélés plus fort qu'ils étaient. L'humiliation par l'insulte que Vous avez proféré à mon encontre, mes larmes ont redoublé à Vous répondre encore, en répétant ce mot blessant et en appuyant dessus. Vous défiant peut être, je dis bien peut être, et à quoi bon le faire. J'ai beaucoup de mal avec les humiliations, Vous le savez, et pourtant ! L'insulte marque plus que le ou les coups suivant que l'on complexe ou pas. Je Vous a... pour cet après midi de punition. Je Vous a... pour vos marques sur ma peau. Je Vous a... pour votre présence. Je Vous a... pour votre patience. Les erreurs, les épreuves, les punitions font grandir. Ce qui est important dans une relation, c'est le DIALOGUE, la complicité, la sincérité, le respect. J’ai vu dans Vos yeux ce que je cherchais depuis si longtemps. L’important est de ne rien se cacher, de ne pas vouloir jouer ou être la soumise parfaite (utopie). La perfection n'existe pas et si cela était quel ennui. Il faut dire les choses quand on ne se sent pas bien, si l'on a des états d'âme, nous ne sommes pas des robots, des automates, nous avons un coeur, un cerveau, des émotions. Pourquoi faire croire, ou vouloir faire croire à son Maitre que tout va bien, alors que l'on sent parfois perdue, que le manque de lui est éprouvant. Un Maitre s'est écouter, entendre, dialoguer, protéger, rassurer, réconforter. Est ce qu'il doit se laisser aller à la colère, à l'emportement, n'avoir aucune maitrise de soi, se défouler sur sa soumise. Vous avez su m'apprivoiser. Vous aimez mes sourires, mes yeux bleus embués par les émotions qui me bouleversent. Je Vous offre mes rires, mes sourires, mes gémissements, mes sensations, mes émotions, mes larmes d'abandon. Je m'offre à Vous sans retenue. Je peux tout Vous dire, Vous pouvez tout entendre, je me rappelle Vos paroles de notre première rencontre, il y a 7 mois passés. Vous préférez ma spontanéité, à la superficialité, ma sensibilité à fleur de peau, je suis de descendance slave ! Et une certaine fragilité que Vous appréciez. Je m'offre à Vous telle que je suis, authentique, expressive, taquine, sensuelle, avec mes émotions diverses. J'apprécie nos regards ou tout mot est inutile. J'apprécie nos sourires, le Votre malicieux, le mien coquin. J'apprécie cette sincérité, complicité qui nous unis. J'apprécie la confiance que nous avons qui est réciproque. J'apprécie la façon que Vous avez de me faire plier par Votre voix. J'apprécie la fierté que je lis dans Vos yeux brillants. J'apprécie Vos mains qui effleurent mon dos et me font frissonner comme cela n'est pas permis. Il y a mon envie de Vous surprendre, de m'abandonner plus. Il y a le manque de Vous qui me fait mal parfois. Il y a ce besoin de découverte qui m'anime. Il y a cet amour de Vous, qui me fait dépasser mes limites. Je rentre toujours épuisée, le soir de notre rencontre, gardant en mémoire et imprimé sur ma peau, vos marques, vos caresses qui me font frémir, qui me font gémir, qui me font jouir, qui me font pleurer quelque fois quand le trop plein déborde. Par dessus tout votre IMMENSE respect de la femme et soumise que je suis. Je suis sereine, heureuse de Vous connaitre, de Vous appartenir, de porter Votre collier symbole d'appartenance, d'être à Vous simplement. J'ai du bonheur, du plaisir, des émotions, des sensations, des marques. J'aime avec Vous, tous les instants précieux que nous passons ensemble et aucune rencontre ne se ressemble. Le respect mutuel, la confiance réciproque, la complicité, la sincérité sont les maitres mots de notre relation et cela me comble de bonheur. Respectueusement à Vous. Merci pour cette punition Mon Maître. Kocham Cie moj mistrz milosc
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Par : le 24/10/13
Il pleut à verse. Des trombes d'eau.Il fait frais dans la forêt d'octobre...Je t'envoie te doucher sous la pluie !Tu le fais : tu t'élances, nu, sans hésiter.Tu frissonnes. Tu te frottes.Tu me regardes.Tu souris.Je teste ton courage, l'apprécie.(Je l'admire... mais ne te le dis pas : c'est toi le soumis !)Tu souris...Je ris...On rit comme des gosses !
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Par : le 23/10/13
Dès notre rencontre, quelque chose en moi s'est passé quand je vous ai vu sortir de votre voiture et aller au devant de moi. Une émotion, sans savoir qu'à l'issue de votre invitation au restaurant, vous me donneriez votre décision. Votre RESPECT, votre personnalité, votre écoute, votre motivation, votre disponibilité, votre sincérité, m'ont ravis, vos mots ont touchés mon âme. Je réalise que cette belle rencontre, n'était que le début d'un magnifique chemin à vos cotés. Vous êtes celui qui est entré dans ma vie. Ce que les yeux peuvent regarder, et les oreilles écouter, n'est rien à comparer de ce que le coeur peut éprouver. Par la confiance et la compréhension, par une caresse ou un geste, par un regard qui, à sa façon, peut dire tout, par un baiser, un silence, un sourire qui peut traduire tout ce que je pense. Ce collier qui orne mon cou, représente beaucoup. Ce collier qui sans que vous le sachiez, était tant redouté, ce qui enserre mon cou....et pourtant. Je vous ai confié, il y a peu, le pourquoi de cela. La chaine qui vous aviez placé autour de mon cou, un après midi chez vous, elle me serrait ... Je n'ai rien dit, faisant abstraction de !! me disant mentalement : détends toi, tu vas y arriver, laisse toi aller, respire doucement, son regard est sur toi. Je m'étais toujours dit : le jour où je rencontrerais la personne avec qui, je pourrais m'engager en confiance. Je lui donnerais beaucoup. Pour Lui, je me dépasserai, je briserai mes deux tabous qui ne sont plus, depuis peu, par et avec Vous. Vous ne m'avez pas forcé à ... Vous m'avez écouté, respecté, rassuré, réconforté, vous n'avez pas exigé, vous avez été patient, rassurant, vous ne m'avez pas brusqué. Vous deviez savoir ou penser, que le jour où je me sentirais prête, je pourrais y arriver, ne plus avoir peur, ne plus pleurer, ne plus vouloir tout arrêter pour un geste. Cette peur enfantine n'est plus, laissez moi vous dire MERCI. J'aime à me rappeler l'instant où nous nous sommes rencontré pour la première fois, Vous êtes de parole, toujours à l'heure à me prévenir si un imprévu pour ne pas que je m'inquiète. Je n'aime pas les surprises, je ne veux pas savoir ce qui se passe lorsque vous me donnez rendez vous. Je vous fais confiance, l'avenir réserve des nouvelles découvertes, expériences, sensations. J'ai beaucoup à apprendre. Mais ce que je préfère par-dessus tout, c'est profiter pleinement du présent avec Vous. Souffrir pour Vous, aller au-delà de mes peurs, de mes craintes, me dépasser ; pour et grâce à Vous, c'est là l'essentiel. Sur le moment quelque fois, il me faut me faire violence pour les accepter, mais ensuite je suis ravie d'y être parvenue, malgré les larmes qui étaient au début, et qui ne sont plus depuis peu. J'ai une totale confiance en Vous, par votre écoute, patience. Le principal est que nous puissions entretenir la confiance mutuelle qui enrichit notre relation et qui permet à celle-ci de s'épanouir. Je suis votre soumise et fière de porter Votre collier depuis peu. Six mois ce jour, entre Vous et moi, avec la sincérité, la complicité, les sentiments partagés, les (nos) envies et désirs communs qui nous sont propres. Mon Maitre c'est Vous, et Vous seul êtes parvenu à trouver la clé qui ouvre tout. Moja milosc Mistrza. Le 23 septembre 2010.
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Par : le 23/10/13
A mon arrivée sur le site SM en mars 2009, un récit m'a interpellé..... Ces mots écrits au début, on fait appel à un certain vécu, je me suis reconnue aux travers de quelque mots dévoilés, subtils : chemin, perdition, blessure, goujaterie, lâcheté, mensonge, etc .. Un bon ressenti tout de suite envers cette soumise, parfaite inconnue. A la lecture de son récit, dès les premières lignes, tant de choses ont rejailli, l'émotion m'a submergé. Une femme de caractère sans nul doute, pas une gourde, oh non !! J'ai lu et relu tant de fois son sublime récit, je le relis encore et ne m'en lasse pas. Je le lis différemment à présent et toujours avec émotion. Un jour, je me suis permise de lui faire un mail, je voulais le faire depuis la découverte de cette écriture qui m'avait captivée, émue, je n'avais pas osé le faire tout de suite, puis je me suis lancée, j'ai fais le premier pas, en respect et courtoisie. Elle est prolixe et avait écrit à nouveau, de sa jolie orthographe, ses ressentis, ses mots pour son Maître, ses avancées, ses désirs cachés, de l'espoir pour celles qui étaient en recherche. Elle a répondu à mon message, et entre nous un dialogue a commencé à s'installer. Pas de mièvrerie, pas de perfidie non ce n'est pas elle. Humaine elle est, généreuse, respectueuse, à elle je me suis confiée un peu, être nous une amitié est née et depuis 9 mois et plus, nous sommes à converser jour après jour. D'abord entre nous le vous, respect toujours, après quelque mois, tu m'as fait part que l'on pouvait se tutoyer. J'ai eu un peu de mal, et (de fil en aiguille), sourire !! Malgré nos 'différences', certains points en commun, bizarre la vie n'est ce pas ? Après l'envoi de mon visage pour que tu saches à qui tu parlais, une photo de toi est arrivée en retour. Une brune piquante, au sourire éclatant, yeux pétillants, regard expressif, intelligence vive. Un peu de malice, une pointe de gourmandise. Sereine de ses choix, sagesse, tempérance, impatiente et patiente. Ton soutien sans faille, quand je n'allais pas bien, que je doutais et avait pensé à supprimer mon annonce, merci de tes mots ces jours là et les autres jours parfois et qu'avec tes mots, tu me réconfortes, et m'aide encore comme il y a peu, à me faire sourire par tes petits mots quand les larmes sont aux bords de mes yeux bleus. Ton Maitre qui m'avait écrit un mail, et un autre pour me souhaiter les voeux en réponse aux miens, et ces mots à la fin, souhaitant pour moi, une belle histoire, merci à lui également pour son soutien et le tien. Vos voeux pour moi en janvier, ont porté leur fruit : une belle rencontre, l'éclosion d'une belle relation que nous vivons mon Maitre et moi depuis mars de cette année. Nos échanges quotidiens. Une invitation de ta part à se rencontrer en réalité, lors de mon séjour près de chez toi. Tu es venue me voir en juillet, tu m'as invitée chez toi, un dimanche par un bel après midi de soleil. Dans ton jardin, les glycines odorantes, parcourant et ombrageant la tonnelle blanche. Vêtue de cette tenue blanche qui te vas si bien, tes cheveux noirs encadrant ton visage, ce sourire qui reflète le bonheur qui est le tien, avec des étincelles que j'ai vu brillé de mille feux à un moment donné, et puis l'émotion quelque fois, et mon regard qui se portait ailleurs pour que tu ne vois pas mes yeux voilés, à se confier toi et moi, découvrir ce que j'avais ressenti de toi, à lire ce sublime récit, mon instinct ne m'avait pas trompé, tu étais bien celle là, par tes mots écrits, j'avais deviné sans te dire, on ne se connaissait pas, et pourtant tant de choses en communs différemment . Certaines femmes et soumises ont connu des désillusions, puis avec le temps, la patience, une confiance, une écoute, une sincérité, un respect, on se livre plus, on déploie ses ailes, on fait confiance, envolée certaines peurs, briser les tabous, franchissement des limites au fur et à mesure de la relation empreinte de certains sentiments. Je suis heureuse de te connaitre, de parler, échanger avec toi en tout bien, tout honneur comme il se doit. Pas de chasse entre nous, Diane est tranquille (sourire). Oui, il y a de belle rencontre réelle sur le site, rare et précieuse, que l'on garde dans l'écrin de son coeur, et qui nous apporte beaucoup. Il y a des soumises qui sont respectueuses, tolérantes, adorables, jolies comme tout, qui ont touché mon coeur par leurs écrits, tu en fais partie, tu es la première avec qui j'ai conversé. Merci de ton aide précieuse, de ton/votre soutien, que tu es belle à ses pieds, parée de ses symboles d'appartenance, vêtue de ses chaines que tu portes à merveille. Ravie de ton/votre bonheur.
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Par : le 23/10/13
Des milliers d'étoiles dans vos yeux Eclairent mon regard bleu Sourire, étincelle dans ma vie Le ciel est devenu soudain clément Et depuis le jour de notre rencontre Nous sommes en phase Des avancées se sont faites et se ferons encore Envolés mes deux tabous depuis peu avec Vous Maintenant, je porte votre collier offert sur Paris début juillet A présent, je vous appartiens plus encore Ivresse des sens, bonheur de vous connaitre, sereine de cette belle rencontre Notre nuit dans ce bel hôtel, son restaurant du jardin, le petit déjeuner Soirée une première pour moi, découverte totale du club SM du 17e arrondissement Que j'aime cette relation avec vous, RESPECT, écoute, patience, confiance, complicité Unie à vous je suis depuis ce premier jour, pour longtemps je l'espère et le souhaite Il y a des regards qui en disent long quand les mots ne sortent plus Sous votre regard, je m'enflamme, le son de votre voix me plait, m'excite Coeur, âme et corps je m'abandonne Impatiente et patiente, je découvre avec Vous, canne anglaise, fouet, etc Nos désirs communs, unis dans le respect Tous vos gestes, vos paroles, vos actes Instantanément me transportent en émotions diverses Loin et mon corps se tord parfois des cris, des soupirs, des gémissements, des râles L'étoile bleue arrive Et par Vous, j'exulte Nuque ployée, regard baissé, je me laisse aller en toute confiance Tout cela par et avec Vous, depuis quatre mois ce jour Mon désir est de découvrir plus encore avec Vous De nature curieuse, j'aime apprendre... Avec certains sentiments partagés on se dépasse, et s'abandonne. Le temps et la durée sont nos alliés, dans mon chemin avec Vous. Osmose de nous, trouble de Vous. Avec Vous point d'illusion, toujours attentif à celle que je suis, et cela me ravie. Avec Vous, je plie et ploie, mais ne romps pas tel le roseau. Parce que c'est Vous et que vous avez su, être patient, rassurant, réconfortant, au fur et à mesure, mes larmes sont moindres. J'ai fait la paix avec mon corps si je puis dire ainsi, oui pas facile de me voir en photo, je fais avec, et Vous m'appréciez telle que je suis, naturelle sans artifice. Merci de m'avoir rejointe un jour et demi sur Paris, lors de mes vacances. Vos désirs toujours en adéquation avec vos paroles qui ne sont pas vaines, ni futiles. J'ai osé aller là bas, ce qui était prévu a été, malgré ma crainte et mes peurs du regard des autres, comme vous le savez, à me réconforter et à me dire : si tu ne veux pas y aller, on reste tous les deux. Non, il me fallait affronter ma peur, ne pas Vous décevoir, Vous prouvez si besoin était que j'étais capable de.. Me prouver à moi que je le pouvais, ne pas reculer, oser, malgré la tempête intérieure en mon coeur, certain premier pas coûte plus que d'autre. Beaucoup de respect, il y a eu, j'étais la seule à porter un collier et une laisse.. Puis à l'arrivée d'une autre soumise parée ainsi et descendant l'escalier un bandeau sur les yeux, son Maitre l'a guidant pour ne pas tomber, j'étais réconfortée un peu plus. J'ai pu être confronter aux autres regards quand vous me dominiez, et ceux ci n'ont pas été source de peur, rassurée j'étais par votre présence, confiante ; heureuse d'avoir franchi le pas, de porter ce collier symbole de votre appartenance, en présence de personnes qui aiment comme nous le BDSM. Mon attachement à Vous est réel, tout comme ma confiance, mon respect, ma sincérité, cela est réciproque et cela me comble de joie. Je suis heureuse d'être à Vous, voila simplement mes mots pour Vous mon Maitre.
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Par : le 23/10/13
B onheur O ffrande N ature E xtase T ranse J ouissance O béissance Y eux bandés E coute U n X .... A bandon N om N uque I nstants V énère E rotisme R egard S ensation A ttentif I ntense R éalité E motion A ttachement V aleur O béir U s s oumise le 25 juin 2010.
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Par : le 22/10/13
C était une journée grisâtre et tristounette, de celle qui ne motive en rien sinon rester au lit ou à flemmarder dans la maison... Bof rien de bien excitant là dedans et une nouvelle fois l envie de sortir, d expérimenter de nouvelle choses se fît sentir en moi. L imagination déjà en éveil de bon matin je t ai dit que ce jour nous allions allez faire les magasins et de suite tu m as dit " te connaissant cela ne doit pas être pour juste aller faire du shopping car ça ne te ressemble pas". Sourire aux lèvres je t ai répondu qu effectivement j avais bien une petite idée autre que juste faire du lèche vitrine mais qu inutile d insister je ne te dirais rien. Comme d hab m as tu répondu avec ce beau sourire interrogateur que j aimais tant chez toi. Je t ai demandé de t habiller de ta petite robe courte et moulante à souhait et naturellement sans sous-vêtements. Une fois dans la voiture et tout en conduisant je te caressais d un doigt un seul ton sexe lisse et doux comme j aime. Il y avait bien longtemps que tu avais assimilé le fait que j appréciais que tu sois toujours jambes bien écartées lorsque tu te trouvais à mes cotés , il faut dire aussi que tu avais fini par y trouver du plaisir , celui d être ainsi ouverte, offerte aussi bien à mes yeux lubriques qu à mes doigts inquisiteurs qui à chaque petits voyages allaient te fouiller parfois doucement et parfois sans ménagements aucun mais jamais, du moins dans la voiture t emmenaient jusqu à l orgasme, car tu l avais bien compris pour moi c était une façon de te maintenir en excitation permanente. Après quelques kilomètres nous sommes arrivés au "Grand Epagny" , immense centre commercial qui regorge de boutiques. A cette heure matinale il n y avait pas grand monde aussi bras dessus bras dessous nous marchions en silence le long des allées. Je sentais bien que ta curiosité autant que ton envie d entrer dans certains magasins était on ne peut plus présente , tes regards te trahissaient mais non je faisais comme si de rien n était tant cela m amusais. Arrivé presque devant un magasin de chaussures je me suis arrêté et tout en te prenant par la taille te serrant un peu plus contre moi je t ai chuchoté à l oreille < nous y voilà, nous allons entrer séparément comme si nous ne nous connaissions pas , toi tu vas demander à essayer plusieurs paires de chaussures et à chaque fois que tu seras assise tu écarteras bien les cuisses, comme si c était naturel mais sans exagération aucune et tu feras comme si de rien n était offrant ainsi la vue de ton sexe épilé à la vendeuse ou au vendeur tandis que moi je te filmerai la scène tout en faisant semblant d écrire des textos > Bien qu habituée à certaines de mes demandes particulières , là tu objectais non pas par peur de te montrer nue ,cela généralement t excitais beaucoup, mais plus car cela allait se passer en public avec tous les risques que ça pouvait comporter mais devant mon insistance et mon regard sans appel tu as fini par entrer. En cette période de soldes même à cette heure-ci il y avait déjà quelques personnes , trois femmes seules et deux couples. Je souriais de te voir si mal à l aise et bien que je te l avais interdit tu jetais sans cesse un oeil inquiet presque suppliant dans ma direction, implorant presque que je renonce à cette petite expérience. Mais à chaque fois mon regard autoritaire ne te dissuadais de toutes possibles fuites et finalement après tant d hésitations tu as fini par choisir plusieurs paires et de demander à la vendeuse si tu pouvais les essayer, après t avoir demandé ta pointure et t avoir fait assoir elle est partie en réserve te les chercher ce qui m a laissé le temps de me placer dans un angle idéal afin d immortaliser cet instant. Au retour de la vendeuse et après avoir déballé plusieurs paires elle s agenouilla devant toi afin de t aider à enfiler les chaussures. Ton stress était au niveau maximum mais même ainsi tu as écarté gentiment les cuisses évitant absolument de croiser le regard de la vendeuse, cherchant plutôt le mien comme pour te rassurer et devant mon large sourire approbateur je t ai vu écarter encore plus tes cuisses offrant ainsi sans plus aucune retenue la vue de ton sexe à cette femme, j ai filmé la vendeuse quand elle s est mise à rougir, surprise de la vue qui s offrait à elle et qui elle aussi essayait par tous les moyens dont elle disposait d éviter de regarder ton sexe nu. Situation ubuesque ou chacune essayait d éviter le regard de l autre, ce qui finalement a fini par t exciter, oh oui je te connais bien et de voir cette vendeuse aussi mal à l aise, encore plus que toi a fait tomber la barrière que tu avais dressé, tes peurs du début laissaient place à une certaine excitation et je voyais bien à quel point tu y prenais du plaisir allant jusqu à presque provoquer cette "malheureuse" vendeuse dont le mal être se faisait on ne peut plus voyant. Cette fois-ci ce n est plus mon regard que tu cherchais à croiser mais le sien alors que la pauvre faisait tout et usait de tous les stratagèmes possibles pour l éviter toi tu la regardais tout en lui parlant, exagérant tes poses afin de lui en montrer encore plus ,la provoquant exprès. Voyant que cela risquait de dégénérer , la femme d un des couples présents se montrant du coup d une curiosité exagérée doublé d un accès de pudeur non feint je décidais de mettre fin à cette expérience en allant vers toi et te dire que désolé je te rappelle qu on est pressé . Comprenant de suite la situation tu t es excusée et nous sommes sortis du magasin et après quelques mètres nous sommes partis dans un éclat de rire bienvenu puis tu t es approchée de moi et après m avoir embrasser tu m as remercié m avouant y avoir finalement pris beaucoup de plaisir et que bien qu au début tu ne te sentais pas capable de le faire petit à petit ton excitation pris le pas sur tes peurs et que sans mon interruption jamais tu ne te serais arrêtée de toi même , et que là tu avais le sexe trempé , ce qu au détour d un recoin collé à toi je ne manquait pas de vérifier..... Hummmmm tu disais vrai et alors que je t embrassais et te fouillais fouillais délicatement tu m as avoué être prête à recommencer cette expérience lorsque mon désir s en fera sentir...
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Par : le 21/10/13
Désir plaisir Désir souffrir Désir inassouvi Désir épanoui Désir attendu Désir suspendu Désir présence Désir souffrance Désir retenu Désir voulu Désir enivrant Désir palpitant Désir corps Désir accord Désir passion Désir attention Désir secret Désir fouet Désir silencieux Désir audacieux Désir acier Désir collier Désir latent Désir ardent Désir enfoui Désir envahi Désir caché Désir deviné Désir liée Désir attachée Désir demain Désir lendemain Désir envoutant Désir éprouvant Désir abandon Désir don Désir enchainée Désir marquée Désir émoi Désir croix Désir sensation Désir émotion Désir cuir Désir jouir Désir feu Désir lieu Désir obéissance Désir appartenance Que le vent emporte mes écrits près de Vous. Que le vent me porte près de vous. Que le vent me lie à Vous. Que le vent m'attache à Vous. Que le vent m'enlace à Vous.
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Par : le 21/10/13
Vous que j'apprécie Vous à qui je me confie Vous qui me comblez Vous qui m'excitez Vous qui me ravissez Vous qui me rassurez Vous qui me faites jouir Vous qui me faites sourire Vous qui me respectez Vous qui me dominez Vous qui êtes plaisant Vous qui êtes élégant Vous qui me fessez Vous qui me punissez Vous qui me faites me dépasser Vous qui m'enlacer Vous qui m'attachez Vous qui me liez Vous qui me regardez Vous qui me devinez Vous qui êtes sincère Vous que je vénère Vous qui êtes attachant Vous qui êtes élégant Vous qui êtes courtois Vous qui êtes adroit Vous qui êtes attentif Vous qui êtes positif Vous qui êtes à l'écoute Vous que j'écoute Vous qui êtes ponctuel Vous qui êtes appel Vous qui êtes mon Maître Vous que j'aime connaitre Vous et moi, trois mois ce jour.
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Par : le 21/10/13
[ATTENTION, CET ARTICLE EST ""CRU"" ET "EXPLICITE".] [D'ailleurs, ça rappellera peut-être des souvenirs à quelques-uns/unes d'ici ] Aaah, putain… J’ai envie de ta bite dans mon cul… A quatre pattes, accroupie, sur le dos, sur le ventre, qu’importe. J’ai envie que tu me dépraves, que tu m’avilisses, que tu me baises et que tu me démontes. J’ai envie d’être chienne. D’être salope. D’être une pute qui ne vit l’instant présent que par ta queue et surtout par ton bon vouloir. Envie de ton sexe grossissant entre mes lèvres. Je le lécherai d’abord d’un air provocateur, les yeux pleins de malice, la bouche grande ouverte, sourire aux lèvres. Je te ferai languir, te masturbant doucement en te donnant des petits coups de langue. Ca finirait par t’énerver. Hi-hi-hi-hi. Toi, la mâchoire crispée et les sourcils froncés, pilonnant ma bouche et ma gorge, une main agrippant ma tignasse et l’autre autour du cou. Moi, accrochée autour de tes cuisses et à tes fesses, la tête tanguant au rythme de tes va-et-vient, ma bave dégoulinant sur mes lèvres et par terre. Je veux sentir ta poigne, sentir ta main chauffer ma peau rougissante, sentir les coups s’abattre sur ma fesse gauche, puis la droite, et encore la gauche... Ou ailleurs… Je veux tester la souplesse de ta ceinture, la sentir s’enrouler autour de mes fesses tendues qui n’attendent que ça… Je te désire comme tu es, je désire ton animalité, la brutalité de tes paroles et de tes gestes… Je désire ton visage, ta bouche, tes épaules, ton torse, tes cuisses, tes jambes, ta queue, TON CUL, ton corps, tout chez toi… J'ai besoin de ta dureté de mec et de tes coups de rein. De toi...
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Par : le 20/10/13
Vous et moi Plus de deux mois Et cet émoi Quand je vous vois L'émotion qui me submerge. Quand votre regard se pose sur moi. Et que dire de votre voix. Elle m'attire, m'excite, m'interpelle, m'appelle. Comme une évidence, un appel. Est ce que mes mots sont bleus. Est ce qu'ils ont la couleur de mes yeux. Ils ont la couleur de vous. La couleur de votre coeur. La couleur de votre odeur de parfum de peau. La couleur de votre âme. Vous savez réconforter, apaiser, écouter, exiger, protéger, entendre. Vous me comblez par votre personnalité, fermeté. Vous êtes un bel homme, beau dedans, beau dehors. Ce qui n'est pas donné à tout le monde. Avec ce charme qui est le votre, et cette élégance. Avec vous point de faux semblants, la réalité, la complicité, la sincérité. Vous avez su conquérir mon âme, mon coeur, mon corps. Vous que j'apprécie et bien plus encore ... Vous et ce RESPECT qui vous honore. Vous et notre sincérité réciproque. Vous êtes mon destin. Vous que je garde dans l'écrin de mon coeur. Vous êtes Vous, ils étaient eux : qui s'octroyaient des titres qu'ils n'avaient pas. Vous savez ceux (celles) qui parlent sans avoir jamais vu la personne de visu. Vous savez ceux (celles) qui écrivent avoir rencontré la personne et jamais vu en réalité. Vous savez ceux (celles) qui médisent et sont jaloux peut être, je ne sais. Vous savez ceux (celles) qui aiment la méchanceté gratuite. Vous savez ceux (celles) qui ont la critique facile. Vous savez ceux (celles) qui exigent cam et ne montrent pas leur visage. Vous savez ceux (celles) qui écoutent les autres et qui savent toujours mieux que l'intéressé(e). Vous savez ceux (celles) qui voudraient tout connaitre de la personne. Vous savez ceux (celles) qui aiment les dialogues à sens unique. Vous savez ceux (celles) pour qui le virtuel est leur pain quotidien. Les voleurs d'instants que nenni pour moi. Vous qui êtes un Maître digne de ce nom, un homme de qualité, élégant, passionnant, attachant. Ha !! Ce petit instinct qui ne m'a pas trompé, et que dire de ce regard.... Vous êtes digne de celui que je désirais pour moi. Vous avez dû vous reconnaitre et vous vous êtes reconnu dans mon annonce, je ne sais peut être.. Tellement d'émotions avec vous, tellement de choses en commun sans le savoir. Par votre douceur, fermeté, par cette voix qui me fait vibrer, qui m'excite, me fait pleurer, me fait du bien, me fait croire en demain, me fait être sereine. Que j'aime cette voix, la voix de mon Maître, la nuit, le jour, les yeux bandés ou ouverts, je vous suivrais là ou vous voudrez m'amener. Votre voix qui m'attire, m'électrise, cette voix douce et ferme La voix de celui que j'apprécie, de jour en jour quelque jour grandit, quelque chose de tapi que je ne pensais pas ou plus revivre ou entendre et là, bonheur de vous, de cette belle rencontre, qui est gravée en moi. De la relation que nous avons, et de votre sincérité, RESPECT. J'aime votre présence, votre patience, votre écoute. Sentiments divers, empreint de qualité par celui que vous êtes et votre personnalité. Je me suis attachée à vous et vous êtes 'attachant'. Etre attachée à vous me plait et me fait du bien. Confiante de vos actes et paroles depuis le début. Espoir de vos demains qui ne serons pas vains. J'apprécie vous êtes à l'écoute, patient, progressif, tendre et ferme. Enfin découvert le plaisir dans la douleur ce qui était inconnu de moi, certaines peurs sont encore là et ne serons plus prochainement avec votre patience et respect. Votre domination faites de fermeté cuisante alternée de douceur. Quand les personnes s'apprécient pourquoi attendre x temps, si l'on sait que la personne en face est celle qu'on attendait depuis des années. J'ai laisse parler mon coeur et mon intuition, comme vous m'avez dit les premiers instants sont décisifs ou pas, cela dépend. Il faut se parler, s'écouter, s'entendre, apprendre à se connaitre et ce premier msg que vous m'aviez écrit, je me suis pensée et aie eu raison, un homme motivé, expérimenté qui sait ce qu'il veut et qui ne va pas tergiverser, qui laisse son tél, son mail, qui veut une relation dans la durée et pas une simple séance pour voir. La relation se construit avec la durée, on se parle plus encore, on se découvre, certains sentiments naissent entre le Maitre et sa soumise, et la soumise à son mot à dire, oui vous êtes bien celui qui me convient, mélange de courtoisie, de savoir vivre, de respect, de fermeté, de douceur, de confidence, de maîtrise de soi, un Maitre qui plait cela est important pour se dépasser et franchir certaines limites, peurs ou craintes. Sans une certaine harmonie et complicité comment arriver à faire plus pour faire plaisir à celui qu'on a choisi, on le fait parce que c'est lui, on se dépasse, on lui fait confiance et on est bien avec lui, les peurs s'envolent, on se donne, on s'abandonne, on est sereine, il rassure. Votre regard quand vous voulez voir et lire l'expression de mes yeux que vous appréciez quand sous le bandeau mes paupières sont toujours closes, que vous relevez mon visage à me dire : regarde moi, que j'apprécie cet instant particulier du début, fort d'émotions, de sensations, d'intensité. Sentir votre présence et les yeux bandés, ne pas savoir ce qui allait m'arriver. Confiante par votre écoute, certains mots que vous m'aviez dit au restaurant, qui sont toujours à ce jour réalité, actes, paroles, l'accord des deux, aucune fausse note. Un homme de parole qui respecte sa soumise. Les mots me manquent pour vous exprimer certaines choses surement, quelque fois devant vous, je suis sans voix, l'émotion, les sensations. Vous n'êtes pas les autres, vous êtes Vous. Avec vous, je peux me confier sans "gémir", vous êtes à l'écoute, vous savez me rassurer, de temps à autre, j'en ai besoin, doute, peur en moi, beaucoup moins depuis Vous. Quand j'accorde ma confiance, j'ai dû mal et mal si on me ment, si on joue, je suis intuitive, je ressens des choses, parfois je vais au bout de certains ressentis tout en sachant que cela ne se fera pas. Pour voir ce que la personne a dans la ventre, pour pouvoir fermer la porte, faire comme la louve, cacher ma peine et panser mes blessures. Revenir avec le sourire, apprendre des erreurs. Le passé est le passé, on ne peut revenir en arrière, l'avenir compte, il est gage de bonheur avec Vous. Ce qui est important, c'est la sincérité, la franchise, le respect. Sans cela à quoi bon, tout ou tard tout se lézarde. On ne bâtit rien sur le mensonge, les fondations ne sont pas solides. Je sais de quoi je parle, certains secrets de famille et autre, qu'on apprends plus tard, alors qu'on le devine un peu sans le savoir vraiment et que personne fait cas de cela, se voile la face, croyant protéger l'enfant, l'adolescente ou l'adulte. Fragile, sensible, émotive, compréhensive, et forte à la fois je suis, tout le monde a ses faiblesses sur certaines sujets cela dépend de tant de choses dans la vie. Il faut tenir bon, faire face, savoir 'se relever' comme j'aime à dire. Notre complicité, notre belle relation, notre sincérité réciproque et cet attachement qui nous lie. Je sais par ces mots, que je peux compter sur vous, ma confiance envers vous est totale. Si la confiance, la sincérité et le respect sont là, je me livre plus, je me dépasse, je me donne, je m'abandonne, mon respect est immense sans aucune mesure. Je donne sans rien attendre en retour, je donne avec mon coeur et mes tripes. Je n'aime pas les calculateurs, les profiteurs, les prédateurs, les manipulateurs, 'candide' j'ai été par le passé, comme certaines sur le site, encore et à venir. Ceux pour qui les mots sont faciles et vide de sens. Tellement facile pour certains de jouer derrière un écran, parole de miel et rien qui suit, comment savoir parfois, le choix n'est pas facile à faire entre la personne sincère et celle qui ne l'est pas, qui veux juste tester ou jouer. Je suis bien avec vous, votre présence rassurante, votre voix que j'aime et qui me fait vibrer au plus profond de moi, que cette voix m'attire, m'ensorcelle, ferme et tendre comme vous êtes et votre regard que j'aime aussi et vous en votre entier. J'ai placé ma confiance en vous. Vous savez comme moi que parfois les sollicitudes se font et que les réponses ne sont pas. Pas la bonne personne, pas ce que l'on recherche, pas sa recherche, pas de feeling, pas de disponibilité, pas de sincérité, pas d'attirance, il ne faut pas se leurrer, se plaire veut bien dire ce que cela veut dire même si la beauté se cache parfois ailleurs et au delà de certaines apparences et physiques. Se plaire, pour accepter de se soumettre à lui car sans une certaine attirance physique rien ne se fait aussi bien pour la soumise que le Maitre. C'est la soumise qui choisit son Maitre et vis versa. Lui sans, elle n'est rien et vis versa également. Il faut une certaine alchimie !! A toutes et tous ici, gardez espoir, confiance et courage, volonté et motivation, vous saurez le (la) reconnaitre, celui ou celle qui aura ce Respect tant demandé qui n'est pas à sens unique ; celui ou celle qui sera digne de ce nom. Un peu plus de trois ans et demi passés sur Sensation/SM avec une annonce supprimée pendant 7 mois. Un autre speudo créé le 25 mars 2009 et le 23 mars 2010, tel un soleil, Il est entré dans ma vie, à Lui je suis soumise.
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Par : le 20/10/13
Une relation D/s ce n'est pas juste des mots. C'est des actes également. L'inconnu fait toujours peur. L'important est de ne pas rester bloqué face à cet inconnu et d'avoir assez de confiance dans son Maître pour le suivre et progresser à ses cotés. Se montrer nue !! Nue devant son Maître. La honte, les complexes, pour moi une humiliation. Pourtant, il faut bien passer par là n'est ce pas ? Il faut considérer plusieurs choses par rapport à cela, (il y a mon corps, il est ce qu'il est). Il y en a qui apprécie les formes, les rondeurs, d'autre pas du tout. Certains ne sont attirés que par la minceur, l'âge de la soumise, le tour de poitrine, une taille fine, des fesses rebondies, un visage admettons qu'il est 'joli' ne suffit pas. C'est une soumise en son entier et non une partie d'elle même. La soumise n'est pas toujours nue, quand son Maitre l'invite au restaurant ou se promène avec elle, elle est vêtue, qu'est ce qu'on regarde en premier : son visage, son allure, sa tenue, ce qu'elle dégage, ce qui émane d'elle, sa sensibilité, sa féminité, sa sensualité, etc Ce qui m'importe c'est la démarche, l'état d'esprit, l'offrande. Une soumise complexée qui prend sur elle, qui s'oublie pour satisfaire son Maître, lui obéir, ne rien lui cacher. Elle se transcende. Elle met sa soumission et son appartenance à son Maître plus haut que ses propres peurs, sa pudeur et ses complexes, elle se dépasse. Ensuite, il convient de ne pas penser à la place du Maître. La notion de dépassement et de don est primordial, il appréciera peut être d'autant plus l'obéissance, s'il demande qu'on se montre nue, il faut prendre sur soi, se dépasser. Ce n'est pas évident pour moi et je le fais, j'oublie mon corps, j'ai laissé ma pudeur de coté.. Dans ces moment là, je ne pense pas à moi, je pense à Lui qui me 'regarde' peut être, qui 'apprécie' ma soumission, la force de son pouvoir qui m'aide à me dépasser. Finalement, moi nue devant Lui, considérée d'un oeil D/s..... Suis je 'belle', je ne sais pas et qu'importe. Simplement moi. Toute femme ou soumise est 'belle' dans les yeux ou le regard de celui qui l'a choisi et vis versa, ne l'oublions pas !! La beauté est subjective, elle dépend de là où on la place, elle peut se placer dans l'abandon et le don de soi, penser au plaisir que l'on fait à son Maître qui mesure la portée de cet abandon. Le plus dur, c'est les premières fois, après on s'habitue !! On considère sa nudité comme une 'fierté' de soumise, une grande preuve de son abandon, réussir enfin à faire fi de ses peurs. Il ne jamais oublier que notre soumission, notre abandon, ce sont des richesses, des actes précieux, ils ont de la valeur en eux même. C’est peut être toute nue qu’une soumise est la plus troublante et aussi la plus 'belle' Ou juste vêtue d'un joli serre taille, qui lui fait une autre silhouette, des superbes talons. Quand son corps dénudé est exposé et offert, quand il est mis en valeur par la position ou la soumise est liée, ou suspendue par les poignets, bras et jambes écartés, toutes ces positions qui font saillir ses seins et affinent son corps. On le fait par obéissance, par plaisir d'être exhibée peut être, pour voir dans les yeux de son Maître qu'il est fier et heureux qu'on lui obéisse, qu'on montre sa soumission. Il y a le dress code et la soumise n'est pas intégralement nue. Par les sentiments que j'ai pour Lui, je lui obéirai, si un jour... Cela me fait peur, mais je ne me dépasserai. On obéit à son Maître, peu importe la honte ou humiliation qui fait partie de la soumission, à part celle qui apprécie les exhibitions, qui sont à l'aise avec leur corps, et pour qui se montrer, n'est pas un souci bien au contraire, une fierté même et je le comprends. Fierté d'être prêtée, exhibée, sollicitée, offerte tout dépend de chaque domination, du Maître, de ses et leurs désirs, fantasmes, voir autre. Est ce que la soumission, c'est faire que, ce qui nous convient ? A quoi bon soumettre celle qui est prête à TOUT, ou est le dépassement de soi ? Pour certains, une aubaine, je ne sais !! Affronter ses peurs, c'est grandir et se dépasser. Enfin, la nudité fait partie de la soumission, les parties les plus intimes du corps de la soumise, sont exposées à la vue de tous parfois. La honte ou le plaisir qui l’envahira fera partie de sa jouissance ou de son humiliation, en tous les cas de son abandon pour Lui. Parfois, les larmes, la colère contre moi, l'humiliation et puis, devant Lui, je me suis inclinée, j'ai mis ma pudeur de coté, même si cela m'a gêné voir 'coûté', je ne me suis pas 'défilée', sourire. Je Vous avais dit que j'étais prête à beaucoup pour Vous et pas prête à tout, respect de mes interdits et de ce que Vous savez. Par la galerie qui va suivre et que Vous me demander de montrer, je vous témoigne, si je puis dire de mon respect pour Vous et par certaines de mes paroles suivies d'actes. Vous qui connaissez mes peurs, qui ne sont plus pour certaines à vos cotés. Merci d'être Vous, de Votre respect, et sincérité avec moi, par certains sentiments partagés, on se dépasse, on s'abandonne en confiance et sérénité. La beauté est éphémère !! Est ce que la beauté est un critère de bonheur !! Je ne sais pas. La beauté du coeur ou de l'intérieur ne se fane jamais, elle dure, perdure et se bonifie avec le temps. L'authenticité l'emporte sur la superficialité. Sourire. A chaque personne, je vous souhaite de 'trouver' celui ou celle qui vous convient. Se dire que pour Lui, on est capable de, et se prouver à soi qu'on peut le faire, pour moi un simple premier pas, pour certaines rien du tout, tout dépend de tant de choses. Vaincre ses peurs, s'est s'élever !!
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Par : le 18/10/13
Misouh ayant quelques difficultés à publier son récit concernant notre soirée de samedi au Donjon Nomade, je le publie en son nom...... <<j'ai été tenté,un peu envoûte a l’aéroport,notre rencontre est de suite chaleureuse... vous dégagez,une aura paisible je suis soumis a votre gentillesse,votre sourire... la prise en main fait son petit bonhomme de chemin j'irai ou vous voulez comme cela...... jamais un tel sentiment m'habite... je découvre Maîtresse Estelle,Muse,son Maître.... un agréable moment de rire,de cocasseries.. un grand moment intime Lady L m'offre une surprise, un joli string,qui depuis le matin, habille l'intimité de Lady L,,,,,, des parfums suaves caresses mon nez,,, le plaisir de la récompense !!! nous arrivons au Donjon, je suis dans un rêve.......une réalité qui m’envoûte!!!!!! Lady L retrouve ses amies, et moi je vais prendre mal devant ma chambre d’hôtel, il fait froid,humide,et tristesse m'agresse..... je pose mes affaires personnelles... et me demande ce que je fais là..... un instant,les clefs de voiture en main,je me lève pour rentrer a Toulouse j'ai envie de pleurer,ces quelques minutes passées là, on détruit ces moments de bonheur avec Lady L, sur le pas de porte,le sourire de Lady L apparaît, tout ses efforts pour rien,c'est stupide..... je me retourne,m'assois sur le lit, un brin de toilette d'usage pour la soirée!!! je texto te a Lady L... manière de sentir sa poigne sur moi, je revis,impossible de m'assoupir pour un peu de repos donc,j'enfile mes dessous dessus,et repart vers ma muse, sous sa coupe rien ne peux m'arriver..... soumis et heureux,je suis Lady L est magnifique dans sa tenue de Domina, Quelle Beauté,je suis complètement subjugué.. je n’existe plus,juste un petit soumis a ses pieds le bonheur est revenu dans ma tête... comment ai je pu douter un moment.... ensuite,Lady L saura jouer de moi,avec ses accessoires..... mes rondeurs lui sont encore redevable de plaisir, mon corps a tremblé ,s'est laissé emporter dans cette tornade ces ongles qui s'affairait a vouloir punir mes tétons, alors que nos regards ce croisaient,dans un feu d'artifice, vous avez pris possession de moi,Lady L il n'y avait plus que nous deux,VOUS et moi, dans un moment de bonheur,de douleur de plaisir....... MERCI ,Lady L,pour cela.... pour ses attentions ,même dans ma tenue, Vous avez été une Grande Lady L >>
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Par : le 18/10/13
Providence, évidence Il faut toujours espérer en la providence !! Un jour, il m'a écrit un long mail suite à mon annonce et ma recherche, se dévoilant un peu, il a attiré mon attention, je ne lui ai pas répondu tout de suite. J'ai été 'séduite' par certains mots qui étaient ma recherche, sans trop y croire, déçue quelque fois par le passé comme certaines ici. J'apprécie les mots sincères, les paroles de miel que nenni pour moi. Il y a l'homme qui possède les mots et puis il y a le baratineur !! Les mots ne sont que des mots, les actes comptent !! Des mails échangés entre nous, je lui ai fait part de mes peurs, craintes, de certains tabous (bribes de mes blessures enfantines), mon coté pudique. Mais ce qui importe en fait, c'est le dialogue, l'écoute, la sincérité n'est ce pas. Pour se faire, je lui ai parle de moi sans faux semblants, de mes attentes, expériences, pratiques, lui dire que les marques n'étaient pas un souci pour moi. Lui faire part de mes 'désirs cachés', cela permet de se libérer, d'avancer, de faire fi de certaines peurs, et de comprendre pourquoi et de tout faire pour y arriver, même si cela demande du temps ou des années, qu'importe le temps. Certains font des annonces et sont peu disponible pour différentes raisons, travail, vie de famille, sport, convenances personnelles, planning à gérer, x et y motifs. Est ce qu'ils auront du temps à consacrer à leur soumise, si il y a une !! Un suivi, c'est entretenir la flamme, l'alimenter de diverses façons, texto, coup de fil, mail, message, passage sur le site suivant les disponibilités, savoir qu'on pense à lui (elle). Se rencontrer quand on le peut et l'a décidé, c'est entendre une voix au téléphone, découvrir le timbre de sa voix, cela rapproche un peu et l'on ressent beaucoup dans une voix. On prends patiente, on attends. Dire sur soi, écrire et puis, ne rien voir venir, espérer peut être. Ecrire ce que l'on pense, sans faire de reproche, ni autre. Comment savoir si la personne nous apprécie telle qu'on est ... La beauté est suggestive, la critique est facile, l'art difficile ! Belle par rapport à qui et à quoi, sur quel critère Quand on apprécie une personne, on l'apprécie comme elle est, c'est elle en son entier et pas une partie d'elle même. Le regard est très important, il est la base de beaucoup pour la suite à donner parfois, simple séance, ou relation suivie, je préfère la seconde, je ne suis pas un objet qu'on utilise et jette après consommation, 'essayer' et ne pas convenir, j'aime autant qu'on me le dise tout de suite, mais comment savoir si cela se passera bien sans se voir, je ne vais pas voir x personne pour trouver le bon. Combien de soumise se sont faites avoir et se ferons encore avoir peut être, si la personne en face n'est pas sincère, si elle joue !! Tôt ou tard tout se découvre, le masque tombe !! Une séance par ci, une par là et puis s'en va, voir ailleurs une autre soumise A dire de soi, cela porte "préjudice". Je crois que c'est le silence qui porte préjudice et qui corrode à jamais tout espoir de relation. Plus l'autre se dit, plus il accepte de mettre à nu ses pensées, son esprit, ses peurs, ses fantasmes, ou désir, plus la relation peut être profonde, dense, solide. On ne peut partager avec un masque ou une carapace. C'est pourquoi, je me suis dévoilée à vous. L'écrit permet de dire des choses que l'oral rend difficile. Une soumise se donne, non pour avoir une récompense, donner parce qu'elle se sent bien avec la personne, parce qu'elle est confiante, parce que son désir est de progresser, de se dépasser, de s'oublier pour ne penser qu'à lui, son plaisir à elle, est son plaisir à lui, voila comment je vois la relation de soumise à Maitre Les sentiments forts et partagés, que ne ferait on pas pour son Maitre si la confiance est là ; les tabous, les peurs, les craintes, tout cela n'est plus avec lui à nos cotés. Notre relation vient d'éclore, prémices de beaucoup avec vous près de moi . Vous êtes patient, à l'écoute, et pour moi cela est IMPORTANT, se dire les mots, dire ce qui ne va pas, ou déplait, si des incompréhensions, cela permet d'avancer, de corriger, de se dépasser, de se relever, de grandir. Il y a certaine évidence, attirance qui font que pour lui, celui qu'on a choisit, son élu, on se dépasse, on s'abandonne, on se donne dans la confiance de lui. Pour construire, il faut être SINCERE, complice, avoir du respect, de la connivence, de la confiance, certains sentiments partagés, je ne pourrais pas faire autrement, je fonctionne avec mon coeur et mes intuitions. Maintenant que vous avez attiré mon attention, prouvez moi vos pouvoirs !! Le dialogue s'instaure, suivi d'un rendez vous, une invitation au restaurant deux heures à converser, à dire sur soi, à se dévoiler face à face, être sincère de chaque coté. Vous m'avez fait part de votre décision, sans l'ombre d'une hésitation, je vous ai donné ma réponse. Une histoire commence entre nous, une progression avec vous à mes cotés, un suivi Parfois la providence, l'évidence, l'attirance, les points communs, des affinités, une disponibilité, une sincérité, une décision à prendre, je ne pensais pas en acceptant votre invitation que, cette suite serait, loin de moi cette idée ou pensée. Comment attendre celui qui vous 'voudrait' peut être et avec qui peu d'échange. Comment comprendre certaines choses en ne se voyant pas. Comment dire oui sans le connaitre, sans entendre sa voix, ni le voir de visu. Comment se soumettre à une personne que l'on a jamais vu, le virtuel lasse !! La réalité est plus passionnante, vibrante, marquante, captivante, émouvante, troublante, excitante, et les 5 sens sont en éveil !!
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Par : le 18/10/13
Il est plaisant de lire certains récits ou de rares Maîtres osent écrire et dire les sentiments qu'ils éprouvent pour leur Soumise, cela est rare et précieux, et cela ravi mon coeur. Ce n'est pas un signe de faiblesse non du tout, signe d'appartenance sincère, de complicité, de découverte, de plaisir, de désir, de sourire, de cris, de larmes, de peurs, de pleurs, d'humiliation, de mots, de maux, de crainte, de dépassement de soi, d'émoi, de bonheur, d'écoute, de connivence, de RESPECT, d'attachement. Quoi de plus beau qu'un regard posé sur soi, qu'une voix qui écoute, qui rassure, qui apaise, qui donne envie de se dépasser, qui donne envie de lui donner plus encore. La voix à laquelle, on obéit parce qu'on aura choisi celui qui sera 'sien' et à qui on pourra donner ce Titre tant galvaudé !! Aucun voyeurisme, aucun exhibitionnisme, aucun étalage, simplement la sincérite entre deux adultes consentants : Maître et Soumise, cela se respecte et il ne faut pas être jaloux ou envieux du bonheur des gens. Savoir que tout ou tard tout arrive à qui sait attendre, à qui sait etre patient, à qui sait etre sincère, à qui sait prendre le temps de découvrir la personne, de l'écouter, de l'entendre ce qui n'est pas la même chose, de l'aider à dépasser ses peurs, et tabous si il y a. Comprendre avant d'EXIGER, savoir apprivoiser celle qui s'abandonnera à lui avec la confiance, le respect, qui lui offrira sa soumission, qui lui fera don de son coeur, de son âme, de son corps, qu'il soit digne de ce don merveilleux. Chaque personne est différente, selon son enfance, son vécu, ses blessures diverses, son éducation, sa vie privée, ses épreuves, etc Toute personne a droit au bonheur, au respect ici ou ailleurs. Nul n'a le droit de juger !! Bonne chance à chacun (e) d'entre vous, que vous trouviez l'élu (e), que certaines jolies rencontres et histoires durent et perdurent. Que certaines éclosent peut être, je vous le souhaite. Merci à une amie soumise qui se reconnaitra avec qui je converse depuis quelque mois sans faux semblants, son amitié SINCERE, son (votre) soutien m'est précieux. Que la belle histoire que vous écrivez à deux, depuis un an et plus, dure et perdure, cela ravi le coeur.
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Par : le 16/10/13
Mon amour, ce texte décrit mes désirs, mon ressenti et ma vision du couple comme je souhaiterai le construire et le vivre avec vous. Ce que je vais écrire plus bas ne sort pas comme par magie d’un chapeau, c’est bien de notre histoire d’amour passée et présente que ce texte est possible aujourd’hui. Les sentiments que je ressens pour vous dépassent l’amour entre un homme et une femme, entre un mari et son épouse. Je me sens bien plus que ça,je vous sens bien plus que ça. J’ai envie et besoin de donner bien plus que cela. Depuis plus de treize ans, vous me faites découvrir et réfléchir sur le monde BDSM. Nous pratiquons souvent avec des jeux et parlons beaucoup de la philosophie BDSM et à chaque fois que je comprends un peu plus ou simplement mieux cette philosophie ainsi que votre vision, je trouve un endroit où je me sens bien, un endroit où je trouve un équilibre où je me sens vivante et où je prends beaucoup de plaisir. Je me découvre, je me comprends mieux. Je me souviens quand j’étais toute jeune, mon rêve, mon fantasme qui revenait chaque jour était celui ci : «j’ étais retenue prisonnière dans une tour, comme un donjon, par un homme fort et puissant et j’étais à sa disposition, corps et âme.» Ce rêve m’a poursuivi pendant longtemps et je m’y réfugiais à chaque fois que j’avais besoin de réconfort ou de sécurité. Malgré mon état de captivité, j’aimais cet homme, car il était pour moi mon protecteur. J’étais sa soumise et j’y trouvais là une magnifique place. Aujourd’hui, je réalise que cet homme c’est vous. Je l’ai compris grâce à tous nos échanges. Depuis bientôt vingt ans, sans jamais vraiment poser les mots, vous agissez comme mon protecteur, comme une lumière vers laquelle je me tourne quand j’ai peur, quand je me sens perdue. Je réalise qu’au niveau de mon corps ainsi que de mon esprit et dans tous les domaines de ma vie, je suis épanouie et heureuse seulement quand je ressens votre présence physique ou mentale. Présence pleine de respect et d’amour, qui m’aide et me permet d’avancer dans ma vie. Comme dans mon rêve de jeune fille, m’imaginer être votre soumise, être à votre disposition, vous avoir comme Maître c’est bien cela que je souhaite plus que tout au monde. Alors aujourd’hui, je souhaite enfin poser ces mots pour vous décrire ma volonté d’engagement et affirmer mon consentement pour vivre avec vous une relation BDSM au quotidien afin qu’il nous permette d’avancer ensemble dans la même direction avec toujours cette ouverture vers d’autres possibles … Oui depuis des années, je prends mon plaisir quand vous me dominez, que ce soit par l’intellect ou par le sexuel. Oui depuis des années, je prends mon plaisir quand je m’offre à vous que ce soit par l’intellect ou par le sexuel avec toute ma confiance et mon amour. Je souhaite que vous me preniez comme esclave d’amour, pour cela je vais décrire mes objectifs et mes envies pour que vous puissiez connaître le fond de mes pensées et ainsi accepter devenir mon Maître officiellement. Voici mes objectifs et mes envies : J’ai besoin et envie que vous exerciez votre autorité sur moi en tous lieux et à tous moments pour utiliser mon corps et mon esprit de quelque manière que ce soit. Pour cela, je serai totalement à votre disposition, ce qui implique que j’accepte les règles de soumission et d’obéissance qu’impose ma condition; que mon seul devoir sera d’obéir, de vous servir et de vous satisfaire ; que je serai punie pour tout manquement. Je souhaite que vous choisissiez mes vêtements que je porterai avec fierté devant toute personne. J’aime ressentir la douleur quand c’est vous qui me la donnez et je vous demande que notre relation se poursuive et se développe dans une pratique sadomasochiste. Cette douleur, vous serez le seul à savoir et à décider de son intensité, de sa nature et de la méthode employée pour me la faire vivre. J’ai besoin d’aller dans mes limites pour me sentir vivante et je vous donne toute ma confiance pour me conduire sur cette route. J’aime le bondage et tous autres moyens de contraintes et je souhaite me laisser totalement entraver. J’aime également porter des traces ou des marques sur mon corps me rappelant que je vous appartiens. Chaque marque sur ma peau est une preuve que je vous appartiens et une preuve d’amour que je reçois qui me remplit de joie. De plus, je serai fière de les porter afin de les montrer pour que tout le monde sache que je suis votre soumise. J’aime l’humiliation quand elle sert à me rappeler ma condition de soumise et j’espère que vous continuerez à trouver de nouvelles situations ainsi qu’à me surprendre. Je souhaite laisser mon corps à tout homme ou femme que vous aurez choisi, pour vous prouver mon niveau d’abandon pour vous. Je sais que si vous décidez de me prêter, vous le ferez pour votre plaisir, mais je n’ai aucun doute que votre démarche sera de me permettre de me dépasser et de trouver un bonheur encore plus grand en dépassant mes limites. Encore une fois la confiance que j’ai en vous est au moins aussi grande que l’amour que j’ai pour vous. Je sais que de vivre notre relation avec une autre soumise vous tient à coeur depuis bien longtemps. Il y a eu bien souvent des malentendus dans le passé. Aujourd’hui j’ai assez confiance en vous, confiance en moi, mais également en nous pour vous dire que j’aimerai que notre relation BDSM évolue dans cette voie. Ce serait pour moi la preuve ultime que mon amour est le plus grand, le plus fort et le plus beau et que mon appartenance pour vous est sans limites. Arriver à repousser mes limites sur cette voix serait pour moi la plus belle preuve de mon lâcher-prise et la plus belle preuve de mon amour pour vous. Car l’essentiel pour moi, c’est vous et notre amour. Voici mon rêve exposé et pour le réaliser j’ai besoin de vous, j’ai besoin d’un Maître qui me conduira à ce lâcher-prise que je désire tant. Un Maître qui saura repousser mes limites en toute sécurité, je n’ai pas de doute sur votre amour, sur votre écoute et votre respect pour moi. Je réalise chaque jour un peu plus la chance de vous avoir rencontré. Je me donne à vous avec mon corps et mon esprit pour que chacun de nous trouve cette part de soi, totalement libérée, pour accéder à une conscience toujours plus grande.
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Par : le 15/10/13
Début de malaise en fin d après-midi , elle veut appeler les pompiers mais je refuse catégoriquement car dans deux jours c est mon anniversaire. Hors de question pour moi de me retrouver encore une fois à l hôpital non pas pas peur, ni pour l ambiance qui généralement est plutôt bonne car je ne sais pourquoi mais autant que je me souvienne , j ai toujours eu d excellents rapports avec le corps médical , ma compagne de ce récit, mon ex-femme et plusieurs ex-compagnes travaillaient également en milieu hospitalier. Cela me fais sourire à chaque fois , mais n allez pas croire que je le fasse exprès ou que j orienterais mes recherches dans ce sens , non. D ailleurs je n ai jamais fais de recherches précises quelles qu elles soient préférant et de loin laisser le hasard choisir à ma place. Mon malaise ne passant pas , elle décide de passer outre mon refus et téléphone aux pompiers qui ne tardèrent pas à arriver et après les examens correspondant à mon état décident de m emmener en vitesse à l hôpital . Une fois de plus je me retrouve aux urgences , ne voulant pas me quitter une seconde elle se tient à mes cotés et après fait les présentations avec le personnel soignant et y avoir décliner sa profession similaire dans un hôpital d une autre région ils lui autorise à rester près de moi. Les infirmières sont charmantes et bien que la douleur soit présente je ne peux nullement m empêcher de plaisanter avec elles, l ambiance est plutôt bon enfant bien que nous nous trouvons aux urgences , puis arrive le médecin , enfin je dis le médecin mais c est une femme, petite brune, la trentaine , charmante à souhait avec malgré la situation un grand et beau sourire et moi qu une jolie femme me sourit et de suite je me sens mieux, ma compagne en fait la remarque devant tout ce petit monde ce qui provoque quelques rires bienvenus. La médecin nous dit hésiter entre une crise cardiaque et une péricardite car les premiers examens donnaient un début de crise cardiaque et les suivants non. Moi je me laisse bercer par son sourire jusqu au moment ou elle me dit que je vais devoir rester plusieurs jours ici. J essaie de négocier ma sortie mais refus catégorique et sans appel de toutes les personnes présentes dans cette pièce ma compagne y compris. Là du coup je ne rigole plus , un brancardier vient me chercher afin de m emmener au service de cardiologie ou je suis très bien reçu et le personnel y est tout aussi charmant. Ma compagne refait les présentations auprès du personnel soignant de ce service, qui du coup la traite avec le même égard qu aux urgences. On me place dans une chambre ou il n y a qu un lit et une grande baie vitrée donnant presque juste en face du bureau des infirmières., ma compagne réussit l exploit de se faire apporter un grand fauteuil inclinable à souhait , on me pose les perfusions d usage puis on m annonce que l infirmière de nuit passera tout à l heure. Peu après elle arrive, superbe fille d environ 25 ans tout aussi agréable et charmante que la médecin des urgences. Du coup malgré ma situation je sens poindre un début d envie que je masque par quelques boutades et plaisanteries, et juste avant qu elle parte je lui demande de bien vouloir baisser le store car la lumière du couloir me gêne et qu ainsi je n arriverai pas à dormir, elle le baisse gentiment et me dit d appuyer ur la sonnette en cas de besoin mais qu étant aussi bien accompagné elle ne se faisait guère de soucis . Juste après qu elle soit sortie je me suis tourné vers toi te disant que toutes ces émotions me provoquaient une certaine envie voir une envie certaine. Voyons m as tu dis ce n est ni l heure ni l endroit pour penser à "ça" . Voyant que je n obtiendrais rien que par la parole j ai donc soulever les draps et t ai montré la belle érection que je tenais là. La vue de mon sexe dressé t as fais sourire mais que nenni m as tu dit , tu es à l hôpital et tu dois te reposer , et puis l infirmière pourrait rentrer à n importe quel moment, que non , qu il fallait que je comprenne que c était trop risqué aussi bien pour ma santé que le risque de se faire surprendre. Mais voilà, moi quand j ai une idée dans la tête et bien je l ai pas aux pieds et après négociation tu as finalement accepté de me faire une fellation , de celle dont je ne me lasserai jamais. Je repliais donc ma jambe gauche et calait les draps , ainsi si une personne venait à entrer tu serais masquée ce qui te laisserais le temps de te dégager. Après de longues minutes de ce délicieux traitement (de faveur) , je t ai demandé de monter sur le lit et de venir t empaler sur mon sexe. Et là bien qu usant du même stratagème que précédement , là tu as tenu bon, pourtant ce n a pas été faute d insister et pour me consoler tu m as dit vouloir me sucer jusqu' à que j explose de plaisir dans ta bouche. Vu mon état de faiblesse j ai fini par accepter non sans tenter une dernière tentative aussi vouée à l échec que les précedentes. Je dois reconnaitre que tu t es appliquée et je n ai pas tarder à inonder ta bouche de mon sperme, tu n en as pas laissé une goutte ne voulant absolument pas laisser une quelconque trace de cet acte et te payer la honte. Après m avoir bordé , puis de longs et savoureux baisers tu m as dit de dormir qu il fallait que je me repose...... Franchement elle est pas belle la vie ?
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Par : le 12/10/13
Interracial cuckolding ? Pute à blacks ? Chiennes à rebeus ? Quelques réflexions (qui ne sont PAS une analyse – je n’imagine pas en avoir ni les facultés ni la légitimité) sur ce thème intrigant que je croise de plus en plus fréquemment dans le milieu libertin que je fréquente. (Et qui est installé depuis un bail dans celui de la pornographie - ce qui est d’ailleurs peut être une des raisons de son apparition dans la sexualité réelle de certain(e)s…) Tout d’abord un petit rappel du concept dont je souhaite parler, au cas où nous ne partagerions pas exactement les mêmes définitions des choses : Je ne parle absolument pas du fait d'être en couple mixte ou des couples vanille interraciaux! Non. Rien à voir : Les « pute à blacks » dont je parle sont le plus souvent des personnes de genre féminin*, qui dans une optique alambiquée de « soumission » voire « d'humiliation » réservent quasi-exclusivement leur sexualité aux hommes blacks, (ou qui fantasment de leur réserver), et ce, parfois sous l’influence d’une autre personne lorsqu’il s’agit de jeux (notamment D/S) en couple. (*J’entends par « genre » féminin les femmes et les travs trans qui se revendiquent au féminin, indépendamment du sexe – J’imagine aisément que le phénomène existe aussi chez les gays, mais n’étant pas passionnée ni excitée par ce milieu, je confesse ne pas avoir fait énormément de recherches dans cette direction). Notons que des variantes existent, comme « pute à arabes » par exemple. ( http://www.lyly75.com/ ). Et globalement dans ce genre de cas, quelles que soient les origines recherchées et mises en avant, le concept me semble être : « pute à étrangers ». Bien. Donc déjà premier constat : Il me semble déceler dans ces pratiques un racisme évident. Non pas un racisme « anti-blancs » qui surgirait d’une rancœur de blanche à se sentir exclue, mais bel et bien un racisme envers les blacks, arabes, turcs en question, puisque ce qui compte aux yeux de ces personnes, c’est bel et bien la couleur de peau (voire l’origine) avant tout. Et ce, pour des raisons qui ne sont pas forcément très flatteuses si on gratte un peu plus. L’homme de couleur présumé « étranger » se retrouve objetisé. Qui qu’il soit, quel que soit son physique, sa sensibilité, sa classe sociale, son niveau d’études, ou ses responsabilités, l’homme à peau noire reste … une bête : Une bête de sexe. Résumé à un ensemble de préjugés raciaux qui peuvent le rendre particulièrement excitant aux yeux de certaines personnes (ou de leurs « cocus de maris »). Et ce, complètement au-delà du moindre rapport avec les qualités HUMAINES de ces personnes « convoitées » uniquement en fonction de leur couleur, et non pour qui elles sont. Ces personnes se retrouvent donc bien déshumanisées. Généralement certaines races prisées sont mises en avant uniquement pour leurs spécificités physiques et comportementales présumées : La taille de la bite, l’endurance, l’excitante odeur particulière de la sueur, le côté « mâle dominant » etc. Les caractéristiques étant différentes selon la race recherchée. (Les arabes sont caricaturalement fantasmés comme étant forcément intégristes violents, autoritaires et irrespectueux par exemple…) On se croirait au marché aux esclaves (sexuels). Car parallèlement à la bien connue « soumination » (dont je ne vous ferai pas l’affront de rappeler la définition), ne nous y trompons pas : Les putes à blacks et autres Kabha à rebeus (sans s’en apercevoir le moins du monde) ne sont pas « au service de leurs présumés Maîtres » comme elles le fantasment : C'est en réalité bel et bien le gibier qu’elles chassent qui se retrouvent à leur service. Pour régaler bobonne quand elle a ses chaleurs, et qu’elle a besoin du coup de bite exotique qui l'excite. Bobonne, ou Monsieur d’ailleurs. Car il est apparemment pas mal d’hommes qui adorent l’idée de voir leur femme (ou même plus généralement les femmes) être résumées à des « salopes pour étrangers ». (Exemple ici : http://sousmembre.centerblog.net/ ) Chez les hommes aimant être humiliés (revendiqués ou non), l’humiliation ressentie (et donc l’excitation) semble souvent décuplée par la race de celui qui humilie... (Et ça me semble aussi valable avec certains rapports cocus / cocufieur). Cela doit bien avoir une origine inconsciente et profonde ? Et tout ça me semble donc bien révélateur du fait qu’il se sentent soit inférieurs soit supérieurs, mais en tout cas sûrement pas à égalité : Il y a donc là encore une évidente forme de racisme, pourtant inexplicablement déguisé en l’inverse, comme en attestent par exemple ces quelques photos du site que je viens de mettre en lien : Bref vous avez compris où je veux en venir. Là je me suis attardée sur l’idée du « à blacks ». Mais sans doute serait il également intéressant de s’interroger aussi sur la 1ere partie de l’expression : « Pute ». Ces nanas ne sont pas des putes au sens propre, puisqu’elles baisent gratos. Alors pourquoi « putes » ? Bien évidemment pour s’humilier elles mêmes, et par jeu une fois encore. Se traiter (et se faire traiter) de pute, c’est potentiellement dans leur esprit « se mettre à niveau » des blacks sur lesquels elles focalisent leurs fantasmes de copulation. C'est-à-dire une « dégringolade ludique et affriolante » de l’échelle sociale. Et qui résulte du fait non seulement raciste mais également insultant pour les travailleuses du sexe que les termes « pute » ou « black » conservent indéniablement des connotations particulières. (Péjorative pour le premier, et garnit de préjugés pour le second). Au point de provoquer une excitation née de l’humiliation de se rabaisser à devenir non seulement une « pute », (à savoir ressentir l'humiliation et la honte de pouvoir disposer de son corps beaucoup plus librement tout en prétendant le contraire) mais qui plus est, la pute des « étrangers ». Tiré par les cheveux ? Exemple sur ce site : http://lucyfemellesoumise.erog.fr/ Je recopie cette petite phrase écrite apparemment par le Maître de la dame, et visible sur la page d’accueil : « Bravo ma chienne, ton Maitre est fier de toi et tu vas tres bientot devenir cette pute a black dont tu rèves. Tu es déjà bien avilie et celà n'est qu'un debut tu finiras comme une truie de ferme juste bonne a satisfaire les instincts primaires des animaux. » Je terminerai sur le racisme supposé de tout cela, en faisant remarquer que dans le porno dont je parlais au début, le racisme est presque aussi largement exploité que les femmes : Exemple : Allez sur un site de vidéo x généraliste : Je vous mets au défi de ne pas trouver une rubrique « blacks » ou « interracial ». C’est devenu un style à part entière, relatif à l’objetisation totale d’une sorte de « fétichisme négrier ». (Exemple : Les cartoons de John Person, consacrés quasi exclusivement à l’interracial et regroupant à peu près TOUS les préjugés racistes sur les blacks et misogynes pour les femmes : http://www.johnpersons.com/index2.shtml .) Eh bien vous voulez que je vous dise ? Je suis parfois cliente non seulement de cette pornographie, mais même de cette fantasmagorie. (Ex : Je suis fan de John Person, et les gang bangs de blacks ça m'excite! ) Suis-je de fait raciste ? Probablement un peu, indéniablement. (Difficile de ne pas le constater après cette petite démonstration). Mais ? Au fait ? Suis-je également misogyne en consommant du X, et en préférant m'avilir dans un rôle "féminin" ? Oui, aussi, un peu d’une certaine façon. Misandre ? Ah ça... Peut être encore plus que le reste… Homophobe ? Transphobe ? Misanthrope ? Oui oui oui, j’avoue. Mais j’ai toujours l’impression que ce n’est pas « grave »… Parce que j’ai naïvement l’impression possiblement fausse que mes haines et phobies sont « dosées correctement ». Comme vous le constatez, une fois de plus, je ne m'exclus donc pas de la mécanique que je prétends dénoncer. Loin de moi l'idée prétentieuse de moraliser quiconque, ou de faire la leçon à ces gens que je cite pour illustrer mes propos : Ils pourraient eux aussi très légitimement disserter sur mes nombreuses petites particularités comportementales. Tout ça pour dire qu’il me semble que la phobie et la haine existe en chaque personne à des degrés différents. (Puisque chaque haine/ tolérance a son inverse : « fachos » et « anti-fachos » ne sont que les deux faces d’une même pièce, d’un même ying-yang, qui ne me semblent acceptables que tant qu’ils ne sont pas déséquilibrés au point d’influer négativement sur la vie des autres… (Mais c’est finalement toujours un peu le cas malheureusement…) La prochaine fois, je m’attarderai peut être aussi sur l’esthétique nazie qui s’invite parfois de façon dérangeante – ou non, dans les fantasmes de domination / soumission de certain(e)s, et qui ne manque jamais de choquer lorsque cette imagerie érotique devient publique : C’est finalement un peu le même thème au fond, en y réfléchissant bien : Est il malsain ou non d’érotiser nos propres déséquilibres ? Et cela va-t-il dans le sens de nous « rééquilibrer » en les exorcisant, ou au contraire de cultiver nos aliénations ? Je n’ai pas de réponse. Un peu des deux sans doute…
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Par : le 12/10/13
Reçu le lendemain. Pour éviter de relancer la polémique, elle sait que je le publie ici où elle n'est pas connue. ------------------------------------------------------------ Cette seconde rencontre je l attendais avec impatience , je rêvais de céder sous ton regard pénétrant . Je n avais plus peur de l endroit ou tu m emmenais , seul , mon esprit avançait au fil de mes pas qui me menaient vers toi. J allais vers ton emprise heureuse et palpitante . Nous sommes descendus dans le donjon j avais compris lors de notre première rencontre que tu étais sensible a l abandon de l autre j espérais me montrer a la hauteur de ton attente ... Une fois descendue tu m'as dévêtue et jeter un œil sur ma nouvelle intimité puis tu m as habillée sans mot d'un soutien gorge , d un corset et porte jarretelles de liens . Tu tournais autour de moi en silence muni de tes cordes Que voulais tu faire ? Tu me déplaçais , me tournais dans un sens puis dans l autre nous formions un couple de danseurs étoile qui nous déplacions sur un opéra muet . Mon cœur et mon esprit chantaient une mélodie muette . Tu es reste longtemps ds mon dos je n avais aucune idée de ce que tu voulais faire . Tu prenais ton temps . Insoutenable attente ! Pour occuper mon esprit je me repérais a une ombre sur le mur ou j essayais de comprendre a quoi tes mains s affairaient ... De temps en temps des frissons parcouraient mon corps. Le bruit des chaînes est arrive enfin ! Quelque chose se passait cette attenavait été trop longue mais qu allait il se passer ? je n avais pas compris ... Mon corps se soulevait déjà doucement j étais entrain de comprendre que j allais être à ta merci . N était il pas mieux de rester la , immobile , toi derrière moi a manipuler les cordes . Mon corps se détachait du sol à chaque traction sur la chaîne , Mon cœur se soulevait . Mon esprit allait s offrir a ce que je ne savais pas encore " l inacceptable " ou le graal pour la femme docile que je suis . La liberté d être docile , attachée . Asservie , annihilée. Libérée des principes , des conventions . Je n avais envie que de ton envie . Je n ai plus été que frissons . Je ne me rappelle pas bien ce qui s est passe pendant tout ce temps , l immortalité à du m atteindre ... L insoutenable légèreté de l abandon... Je n ai jamais connu un tel bonheur , un tel bien être . J étais si près de toi, si absente du reste . Les cordes entraient dans ma chair et me torturait peu importe ! Tu étais la ! Tu m avais fait entrer dans ta dimension . Quand je suis redescendue j étais infiniment reconnaissante de ce que tu venais de me faire. Vivre je n avais qu une envie ...que tu me permettes de toucher ton corps . Merci de ton attention , de ce merveilleux partage . Merci d'être TOI. Voici M. le compte rendu de mon ressenti . Toujours écrit d un jet sans relecture . J espère qu il te plaira . Il est sincère . Merci pour ce beau moment C.
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Par : le 10/10/13
Demain sur le quai de la gare grise, je l'attendrai. La furie mécanique sera en retard. Forcément. Eigengrau. Je fumerai clope sur clope et ma bouche sentira le tabac et l'impatience. Je sais que mon corps tremblera. Sur le quai de la gare grise, nous nous reconnaîtrons instantanément. Elle laissera tomber son lourd sac, lentement. Nous marcherons, lentement, l'un vers l'autre. Comme au ralenti. Arrivés en face l'un de l'autre, je lui tendrai ma main, paume ouverte au ciel. Sa main viendra se caler en la mienne. Que se passera-t-il après ? Je ne sais. Peut-être, piètre danseur que je suis, la guiderai-je à exécuter un demi-tour, la prendrai-je par les hanches et m'enivrerai-je du parfum de sa nuque et de son cou. Peut-être fixerons-nous nos yeux ensemble, dans un instant d'éternité, avant de goûter nos lèvres pleines d'impatience, de tabac, de café et de désir ? Peut-être tout autre chose. Demain sur le quai de la gare grise, je ne sais.
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Par : le 10/10/13
(suite de cette partie http://www.bdsm.fr/blog/872/jouir-de-sa-douleur-partie-2/) Chloé se laisse faire et reste docile, consciente du fait qu’elle ne ferait qu’aggraver sa peine. Louis prend ses poignets et les emprisonne avec deux menottes en tissu auxquelles des courts et solides câbles sont attachés. Il se saisit des câbles et les fixe sous le matelas. Chloé est désormais amarrée au lit, écartelée du haut, sa capacité de mouvement étant plus que réduite. Il fixe doucement les pinces, prend le temps de voir la douleur s’installer dans le regard de sa soumise. Il aime voir cette expression contrainte sur son visage, ses yeux qui se plissent et sa bouche qui se tord. Il aime savoir que sa demoiselle a mal et qu’en plus c’est grâce à lui. Tout ça l’excite bien trop. Si ça ne tenait qu’à lui, il l’aurait déjà « honorée » depuis belle lurette. Louis respire un grand coup et recommence à la câliner, à la caresser, à lui faire des petits bisous pour l’habituer à la douleur grandissante que connaissent ses tétons. Sa langue frôle ses seins, pendant que ses grandes mains caressent ses côtes et entourent ses hanches. Sa bouche descend inexorablement, et c’est sur le sexe de Chloé qu’elle finit par atterrir. L’homme caresse légèrement le clitoris gonflé de sa belle, qui est tendue comme un arc. Elle a la tête renversée, et Louis distingue clairement du plaisir sur son visage. En continuant à caresser son clitoris, il ré-approche son visage et pose sa langue sur l’entrée de son vagin. Il la pénètre lentement de sa langue dure, pour l’ouvrir d’avantage et pour ne pas la blesser. Chloé est, comme l’avait préconisé Louis, détendue. Elle accepte tranquillement la douleur. Elle arrive à la rendre acceptable. Elle arrive à la supporter. Il faut dire qu’elle est aidée par le plaisir que lui procure Louis. Maintenant qu’elle est bien ouverte, Louis inverse sa langue et ses doigts. Il la pénètre avec son index pendant que sa langue passe sur son clitoris. Alors que sa bouche s’engage dans un duo effréné avec le sexe de Chloé, sa main remonte tout doucement le long de son ventre pour tirer un coup sur la chaîne. Chloé lâche un petit cri de plaisir. Elle se sent bien, et est déjà proche de la jouissance. Sa respiration s’est accélérée d’elle-même, et elle halète. Louis, habile marionnettiste sachant jouer avec les ficelles de son plaisir, accélère la cadence de sa langue et y ajoute progressivement son majeur et son annulaire. --- Il tire alors rapidement et d’un coup fort sur la longue chaîne qui relie les pinces à seins. Chloé se cambre encore. Elle a les yeux fermés, sous l’emprise des assauts répétés de la langue et de doigts de Louis - qui provoquent chez elle des gémissements de plus en plus élevés . Il sort une pince à linge de sous le lit (il avait tout prévu, le bougre), en la fixant au milieu de la chaîne. Chloé sent ses tétons qui se tiiiiirent comme jamais ils n’ont été tirés, et en même temps son sexe très sollicité par les doigts de Louis. Elle qui a les yeux fermés ne se doute pas que dans quelques secondes, Louis va fixer une pince à linge sur son clitoris ressorti, faisant également travailler encore plus ses tétons grâce à la chaîne fixée à la pince à linge. Il la pose rapidement. Elle ne s’en était effectivement pas doutée… Elle hurle, dans cocktail alliant plaisir, douleur, et début de jouissance. La cadence des doigts de Louis dans son sexe s’accélère, et Louis la pénètre de plus en plus rapidement et fermement. - « Viens, viieeeeens…. Viens, ma belle… » Elle ne s’est sûrement jamais sentie aussi bien dans sa vie, tous ses sens sont exacerbés, son corps est en ébullition, cocotte-minute dont la soupape sera son proche orgasme. Sa mâchoire et ses membres se crispent, son vagin se contracte, et c’est dans un râle de plaisir que Chloé jouit, explosion salvatrice et délivrante. Tout son corps se confond en tremblements. Quelques minutes plus tard, Louis retire doucement ses doigts d’elle, enlève les pinces pour immédiatement couvrir ses seins de baisers, et entoure son corps du sien, la laissant « redescendre » et s’apaiser, en prenant son temps. Ils sont serrés l’un contre l’autre, en » petite cuillère », Chloé a la bouche de Louis dans son cou. Elle lui chuchote à l’oreille un « merci, mon ange… » en lui expliquant combien elle a aimé ce moment avec lui et combien elle lui en est reconnaissante. Elle se rend compte qu’à aucun moment il ne s’est déshabillé ou qu’elle l’a stimulé physiquement. Comme si il devinait ses pensées, il lui sourit tendrement, les yeux entrouverts, pour s’endormir paisiblement sur elle. « Cette nuit, Louis jouira. Et fort. Il va voir ce qu’il va voir » se dit-elle… Après tout, la nuit leur appartient…
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Par : le 10/10/13
(suite de ce texte http://www.bdsm.fr/blog/867/jouir-de-sa-douleur/) Chloé commence à être plus détendue. Louis caresse son sexe du bout de ses doigts, les imprégnant de la cyprine qui en déborde. Délicatement, il écarte ses grandes lèvres et voit que son clitoris n’a pas totalement pointé le bout de son nez. Il approche son visage et passe sa langue doucement autour, sans toutefois frôler le petit bourgeon. Sa langue tourne lentement mais sûrement pendant qu’il lui caresse les cuisses et les jambes. L’effet qu’escomptait Louis ne tarde pas à se manifester : le clitoris de Chloé est désormais décalotté. Et en prime, Chloé est toute haletante. « C’est le moment, elle est prête !», se dit Louis en sortant de sous le lit une paire de pinces à sein. Chloé n’a bien évidemment pas vu le coup venir. Elle connait cet objet et la douleur qu’il peut lui procurer. Cette douleur lui plaît d’habitude, mais elle est tout de même appréhensive. - « Relax… Tu sais que tu aimes ça… » Il caresse sa poitrine avec les pinces, en dessine le contour et prépare ses seins en les pinçant de ses doigts. Elle sent son téton droit qui s’oppresse… Ca piquote, rien de plus, c’est presque agréable. Une fois la sensation installée, c’est au tour de son téton gauche de ressentir la même chose. Là, c’est moins agréable… Presque lourd. La douleur s’installe réellement, et ce sont ses tétons entiers qui commencent à s’engourdir. Les pinces sont désormais posées, et Chloé sent qu’elle ne va pas tenir longtemps. - « Hmmm…Aie… Ca fait maaaaaaaal…! » Elle se tortille, se crispe, serre les poings, inspire et expire rapidement, rien n’y fait, elle n’arrive pas à rendre la douleur « agréable »… Curieusement, cette douleur l’excite et la met dans tous ses états… - « Ne bouge pas… Ce n’est pas comme ça que ça va s’améliorer ! Laisse-toi faire, laisse-moi te montrer » Chloé ne tient plus, et d’un geste arrache les pinces... S’en suit un cri immédiat ... « Aaaah, la conne, j’avais oublié à quel point ça faisait mal, quand on les retire ! » Louis est plutôt mécontent et a les sourcils froncés. Non seulement elle lui a désobéi et en plus elle aurait pu se blesser bêtement à cause de son geste irréfléchi. La petite étincelle sadique qui résidait dans son regard se transforme en un feu de forêt. - « Mon ange, je vais devoir t’attacher ! » (la suite ici http://www.bdsm.fr/blog/873/jouir-de-sa-douleur-partie-3-fin/)
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Par : le 10/10/13
Ca faisait longtemps. Obligations professionnelles et familiales ou emplois du temps mal accordés… Ils allaient se rattraper. Sa tendresse lui manquait, son corps lui manquait, tout lui manquait. Elle espérait des retrouvailles torrides, son désir était animal, fouillis et brutal. Elle aurait été capable de lui sauter dessus. Lui aussi, d’ailleurs. Elle est en face de la porte. Elle l’ouvre doucement en sachant que le petit studio n’est pas fermé à clef. Il est torse nu, habillé seulement d’un boxer noir, et il l'attend. -Viens là ma belle… Allonge-toi, là, sur le lit. Tout en lui crie le cul. Ses yeux luisent le cul, ses mains reflètent le cul, ses gestes transpirent le cul, bref, elle a soif. Une putain de soif de lui. Il fallait qu’elle se calme… Elle ne souhaitait pas gâcher cet instant. Elle souffla un bon coup en fermant les yeux, essayant de larguer ses pensées lubriques hors de sa tête. Peine perdue…. ! «Bon, tant pis » se dit-elle. D’une œillade aguicheuse, Chloé estime rapidement le terrain. Ce lit double qu’elle connait bien a l’air tout ce qu’il y a d’inoffensif, comme à son habitude. Elle fait un pas, puis deux et arrive à son niveau. Elle y pose ses fesses puis s’allonge tranquillement, sous le regard mi amusé mi énervé de son homme. En deux secondes, il est à califourchon sur elle, tenant ses poignets vers le haut. Il pressent tout le désir qu’elle couve, boite de Pandore n’aspirant qu’à s’ouvrir. Louis effleure sa bouche, l’embrasse sur le visage, lèche son cou, mais ne perd pas de temps. Parallèlement, il déboutonne lentement son chemisier d’une main, tenant ses poignets de l’autre, s’arrêtant pour scruter les tétons de Chloé qui pointent ostensiblement… Sûrement l'expression formelle de la frustration qu'éprouve la jeune femme ! - « Well, well… » L’œil gourmand, il se soulève pour baisser le short de sa belle puis le retire, dévoilant sa culotte blanche. La demoiselle est visiblement à fleur de peau. Par ses poils dressés et par la « texture »de sa peau, Louis devine qu’elle a la chair de poule. - « Détends-toi, respire tranquillement… Ouvre tes jambes. » Il se place à genoux entre ses cuisses écartées et recommence à l’embrasser. Ses mains furètent partout sur son corps, pinçant et mordillant çà et là. Chloé a fermé les yeux et sa bouche est désormais entrouverte. L’homme se recule et caresse les cuisses de sa soumise. Il constate qu’elle est trempée. Ni une ni deux, il ôte sa culotte et ne peut s’empêcher d’y goûter. Il aime et a toujours aimé le goût de Chloé… (suite ici http://www.bdsm.fr/blog/872/jouir-de-sa-douleur-partie-2/)
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Par : le 08/10/13
Pour moi je dirai qu il y a un avant et surtout un après Pendant de nombreuses années ceci est resté pour moi tel un mythe, et bien que sachant que cela était vrai jamais il m avais été donné l opportunité de le vivre. J ai du attendre la cinquantaine pour enfin goûter à ce plaisir tant attendu, pourtant je l ai souvent rêvé, souhaité , désiré. Et comme tout dans la vie cela arrive au moment ou l on s y attend le moins. La toute première fois qu il m a été donné de vivre cette expérience ce fût totalement par hasard et ma surprise fût partagé par celle qui allait aussi le découvrir, se découvrir. On se connaissait depuis peu de temps et lors de notre première rencontre intime alors que nous étions en pleine découverte de nos corps respectifs alternant baisers et caresses le 69 s est imposé de lui même sans mot dire , moment délicieux s il en est un ou chacun à son oeuvre l on découvre le trésor caché de l autre. Gourmand et gourmet il faut l être pour apprécier comme il se doit de goûter ce fruit si délicieux et d en retirer autant de plaisir que l on en donne à prodiguer ces caresses intimes , explorant chaque petites parcelles de chair, léchant doucement puis sans retenue, enfonçant sa langue voir aussi un ou plusieurs doigts les invitant dans cette danse ,les faisant bouger , faisant durer et durer encore afin que le plaisir en soit plus que décuplé. Point de précipitation il faut parfois être armé d une grande patience faisant ainsi durer son plaisir...notre plaisir. J en étais là , ses gémissements ainsi que ses trémoussements se faisant plus accentués, plus vifs, plus expressifs encore quand ,d un coup sans prévenir une première salve est sortie me prenant par totale surprise, de suite je n ai pas compris ce qu il m arrivait mais n est pas essayé pour autant de me libérer de cette étreinte, puis une deuxième salve ou là du coup je n y voyais plus rien et par réflexe j en ai fermé les yeux non sans continuer mes caresses linguales, ah gourmandise quand tu nous tiens ! Puis encore une salve et c est là que j ai enfin compris de quoi il retournait. J étais là en apnée totale, à moitié noyé ,recevant sourire aux lèvres le jus de sa jouissance qui semblait ne pas vouloir s arrêter mais peu m importait car j était heureux, de ce bonheur incommensurable d avoir été enfin l heureux élu de ce plaisir si rare, le mythe devenait réalité. Ma surprise fût aussi la sienne car bien qu ayant le même âge que moi elle s ignorait "fontaine", jamais cela ne lui était encore arrivé. Je me souviens qu elle a fondu en larmes juste après, je me suis empressé de la prendre dans mes bras, et ce n est qu une fois blottie contre moi qu elle m a confié que jusqu à présent elle se croyait frigide car son ex mari jamais ne l avait fait jouir. Ses larmes s étaient transformées en sanglots, je comprenais oh combien les émotions qu elle ressentait devait être fortes, passer en une après midi de "frigide" à femme fontaine avait de quoi en retourner plus d une, entre deux sanglots elle me remerciait de ce cadeau que je lui avais fais , je l écoutais "vider son sac" tout en la couvrant de baisers. Cette première fois fût suivi de bien d autres comme si la vie avait voulu me récompenser de ma patience , mais maintenant homme expérimenté que je suis devenu de la chose, je sais ressentir les prémices de l éjaculation d une femme fontaine et donc sait m écarter à temps, surtout les premières fois. Jamais je n avais perdu espoir de vivre un jour une telle expérience. Plusieurs amies ,elles aussi fontaines, depuis m ont affirmé que toutes les femmes étaient des "fontaines" en puissance et qu il fallait être bon amant pour savoir en tirer toute la quintessence... Hum , ceci me laisse perplexe car personnellement et bien que je sois capable de me remettre en question quand il le faut, je n ai pas eu l impression d avoir changé quoi que ce soit dans mon approche de ma pratique du sexe. Du plaisir j en ai toujours donné , alors pourquoi depuis ce jour ,et ce sans jamais le rechercher j ai rencontré plusieurs femmes ayant cette particularité ? Serais-devenu meilleur amant ? A l âge ou certaines facultés commencent à baisser cela me fait sourire, voir carrément rire , mais cette idée est loin de m être déplaisante bien au contraire et ceci serait une certaine compensation que la vie m offrirait ? Car il faut bien le reconnaitre, arrivé à un certain âge, voir un âge certain la fougue de nos 20-30 ou 40 ans commence à s estomper quelque peu et c est là qu entre en jeu l expérience. Heureux homme que je suis d avoir pu vivre autant d expériences dans ma vie et d arriver aujourd hui étant considéré comme un meilleur amant encore qu auparavant. La vie est belle...... il faut savoir la vivre comme telle......
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Par : le 08/10/13
Ce récit était dans les forums. J'aime faire rédiger un compte rendu aux soumises, toutes ne le font pas, j'ai tenu des blogs avec certaines. Voici le CR d'une toute nouvelle soumise que j'ai rencontré une fois auparavant lors notre première rencontre réelle. Je le reproduit tel quel avec ces hésitations rédactionnelles. ---------------------------------------------- J'avais été séduite lors de notre premier rendez-vous par ta force tranquille et ta sensualité. J'ai été infiniment surprise par l’électricité qui parcourait mon corps dès que tu posais ta main sur ma nuque. Je vous retrouvais donc avec plaisir pleine de ces images. Reprenant nos échanges d'hier soir, je me sentais à l'aise excepté lorsque mes pensées se dirigeaient vers ce fameux donjon. Repère de brigands pour moi. Je vous ai suivi comme promis dans ce logis de rêve et de torture, la boule au ventre. Nous sommes entrés dans le donjon et tu as fermé la porte. Je me suis dit que personne d'autre ne viendrait. J'étais très crispée, tu t'es approché doucement et c'était très rassurant. Tes bras autour de moi, tes baisers généreux et ton toucher d'une infinie douceur m'ont fait venir vers toi, libérer ems tensions et j'étais en attente de TOI. Je devenais une femelle docile à l'écoute de tes regards, tes gestes, tes mots susurrés à l'oreille. Tu m'as exposée cul nu à ton regard, j'étais honteuse de cette position. Tes doigts faisaient connaissance avec ma chatte et j'étais si partagée entre l'idée que je te connaissais à peine et l'envie de tes doigts allant plus profond en moi. La fessée est arrivée, j'oscillais entre l'état de petite fille punie et la femme en manque de punition. Tu 'es penché sur moi de nombreuses fois et j'ai pensé à une sorte de ballet, un corps à corps particulier. Tu m'as posé des «chevillères», moment inoubliable. J'ai toujours révé d'être attachée au fond de moi mais ne l'ai jamais accepté. Ta douceur à m'attacher m'a émue à tel point que les larmes sont venues. Attachée, jambes écartées.... quelle impudeur! Je devais me libérer l'esprit pour ne pas juger la situation. J'avais les joues brulantes du plaisir de la fessée et du corps à corps intemporel. Nouvelle surprise, j'ai mouillé des sextoys que ta main animait dans mon intérieur de tes mains et ta bouche. En découvrant combien le plaisir pouvait être plus infini que ce que j'ai connu jusqu'à présent. Ta bouche m'a aspiré, la langue m'a titillé le sexe, ma joie inconnue mais si puissante. Je me suis offerte à toi comme jamais te laissant prendre mon corps et mon esprit, j'en suis encore bouleversée... Tu es un magicien. Je me suis mise à tes pieds spontanément reconnaissante de ce plaisir, ce lâcher prise que tu as obtenu de moi. Je n'ai jamais connu de moment aussi intense dans ma vie de femme. Je t'en remercie ici de nouveau. Être femelle obéissante et si agréable. Merci d'être TOI. --------------------------------------------------- Comme il manquait la fin à mon goût, elle sera punie pour cela (sans doute un bondage) et a du écrire la suite. --------------------------------------------------- Je me suis mise a tes pieds en reconnaissance du pouvoir que tu a eu sur moi , de mes craintes que tu as su vaincre , mon laisser aller sous le martinet , ton regard qui me fascinait et me vidait de moi même . Tu m as amené sur le canape ou j essayais de remettre de l ordre a mes pensées et ma main a eu le désir de toucher ta réalité , la texture de ta peau douce . Tu t es dénudé . Tu étais si beau . Grand et fort comme j aime . J ai caresse ton corps offert et il semble que tu aies pu de détendre un peu j'en ai été heureuse . Il nous a fallu sortir de ce donjon ou ma vie de femelle a basculé . Dehors c était l'irréalité , la fadeur , le monde si conventionnel mais tu étais encore auprès de moi . Je n avais pas envie de quitter cette emprise que tu avais sur moi et comme si toi aussi tu n en avais pas envie tu m as proposé d aller au restaurant . Rester encore un moment avec toi m'a permise de revenir petit a petit a la réalité . Tu as été un poison qui est entrer doucement dans mes veines , m'a possédée et est parti en douceur de mon corps et mon âme . Voilà la fin du récit . J espère que tu trouveras celui ci a ton goût . Comme tu peux le voir cela a été un grand moment pour moi -----------------------------------------------
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Par : le 05/10/13
Nous y étions enfin !! Je dis enfin car la veille, de part votre déclaration oui vous vous êtes fait mienne, acceptant de fait ma domination sur vous . Le mot Maître que vous refusiez de dire jusqu à présent est sorti de votre bouche spontanément alors que vous étiez prosternée , nue face à moi, geste symbolique s il en est un pour l un comme pour l autre, de par cette action et de vos mots prononcés vous m avez offert ainsi votre soumission totale envers moi et je l ai accepté ,confiant quand à vos capacités et vos réelles envies de progresser dans ce domaine. Pour vous remercier de votre confiance, cette nuit je vous ai envoyé un mail ne détaillant que le début de notre rencontre de ce jour, vous permettant ainsi de vous imaginer mille façons dont se pouvait se dérouler le reste de cette journée. Vous connaissant je sais oh combien cela vous met en émoi et voir même vous stresse dans le bon sens du terme bien sur. Maintenant que vous étiez mienne je vous avais prévenue que je vous voulais également chienne, il n y a rien qui m excite plus qu une bonne chienne soumise vous avais-je dit ce a quoi vous m avez répondu que l idée était non seulement séduisante mais aussi et surtout très très excitante.... Mais le sujet de ce jour, de ton premier jour avec moi serait basé sur la confiance, totale, oui totale voir aveugle car c est seulement celle-ci qui t aideras à progresser voir te surpasser . sans elle aucune relation quelle qu elle soit ne peut être envisagée sur le long terme. Je suis arrivé avec un peu d avance, restant dans ma voiture car il pleuvait très légèrement. Cet endroit habituellement agité était ce matin bien désert, quel dommage , du coup je regrettais un peu mon choix du lieu , j aurai tant aimé pour votre 1er jour de soumise vous mettre à l épreuve dans ce genre d exercice, a voir si un peu plus tard il y aura un peu plus d animation je me suis dit. Pourtant l endroit est très touristique en été , ce que ne rend pas ce grand parking si vide, mais en observant l entourage je voyais bien que la veille il avait du y avoir du passage car il restait quelques immondices au pieds de certaines tables de picnic disséminées ici et là. 10:00 tapantes et j apperçois ta voiture entrant sur le parking, tu me dépasse et part te garer dix mètres plus loin coupant de suite le moteur. Je te devine t affairant à te préparer telle que je te l ai demandé, cela dure quelques minutes puis enfin tu sors de ta voiture.. De suite je saisis mon appareil photo et te mitraille, tu es resplendissante avec ton côté chienne bien mis en avant, la vision que tu m offres ainsi est super excitante... Tu es vêtue d une robe moulante blanche avec un décolleté à la base très échancré mais aujourd hui et comme je te l avais exigé tu as sorti tes beaux et gros seins lourds écartant de fait au maximum ce décolleté, tu avances doucement mais même ainsi à chacun de tes pas tes gros seins exposés ainsi à l air libre ballottent gentiment de droite à gauche, Tu marches la tête haute le dos bien droit mettant bien en avant et en valeur ta belle poitrine, la pluie si fine de mon arrivée laisse la place à une autre plus drue mais en aucun cas tu ne te dévies de ton devoir , ta robe déjà bien imbibée d eau se fait à chacun de tes pas de plus en plus transparente, maintenant on voit plus qu on ne devine que tu es bien nue sous ta robe qui laisse bien voir clairement ton dos et surtout tes fesses... Tu traverses ainsi ce grand parking jusqu à aller te poster devant une de ces table de picnic et tu m y attend totalement immobile. Après avoir pris un petit sac ou j avais placé quelques affaires et objets je me suis dirigé vers toi et une fois arrivé juste derrière toi, presque collé à toi je t ai dis : Penche toi en avant sur cette table, et mets tes bras le plus loin et en avant possible aussi. Une fois fait, d un coup sans te prévenir je t ai remonté ta robe jusqu à la taille puis te l ai retirer complêtement laissant tes fesses nues à ma vue. La pluie ne les recouvraient pas et l eau ruisselait sur celles-ci allant jusqu à s écouler dans ton intimité , vision super excitante que celle-ci, j adore ... Je t ai ordonner d écarter un maximum les cuisses et t ai posé des menottes aux chevilles . De celles avec une chaine en métal entre chaque extrémités , puis de mon petit sac j ai sorti un plus anal taille moyenne que je n ai eu aucune difficulté à t introduire , doucement quand même ,vu l écartement de tes fesses, ensuite j ai pris tes mains et je les ai nouée dans ton dos et pour finir je t ai bandé les yeux et t ai aidé à te redresser. Le temps semblait jouer au yoyo avec nous car il ne pleuvait presque plus, juste quelques fines gouttes tombaient encore , et les températures malgré ce temps étaient encore très douce en cette saison. Je t ai pris par le bras te guidant ainsi durant quelques mètres ,jusqu à que tu te trouves en plein milieu du parking puis t ai fait faire un tour sur toi même avant de dire qu à partir de cet instant il faudra que tu te fies à moi voix et à ma voix seule , je te demandais de ne pas bouger et de ne réagir et agir seulement que sur mes ordres. Ensuite je me suis éloigné d un pas rapide te laissant seule et désemparée Je me suis posté à une bonne quinzaine de mètre de toi t observant, de sereine au début, ton angoisse se faisait plus présente au fil des minutes qui passaient. J ai laisser filer le temps une bonne dizaine de minutes ainsi avant de te demander de faire à nouveau un tour sur toi-même , seule sans aide les chevilles entravées et les mains nouées dans le dos, et sans un appui quelconque tu as peiné manquant de peu de tomber à plusieurs reprises puis tu as stoppé. Alors d une voix forte je t ai demandé de venir me rejoindre en t aidant de ma voix comme guide et qu il fallait que tu me fasses complètement confiance et que j allais t aider à passer et surmonter certains obstacles voir même certaines peurs bien ancrées en toi. Ce petit jeu a duré pendant presque une demie-heure et finalement, fatiguée à la limite des larmes tu es arrivée à mes pieds. Je t ai enlevé tes entraves , des pieds, des mains ainsi que ton bandeau puis je t ai pris dans mes bras tout en te félicitant chaleureusement et en t embrassant et te frictionnant un peu. Je suis fier de toi, vraiment très fier , cette épreuve oh combien difficile tu l as passé haut la main et je sais aujourd hui qu à partir de maintenant, nous allons toi et moi allez très loin dans cet univers que nous avons choisi t ai-je dit en te regardant droit dans les yeux. Tu as mérité ta récompense , une très bonne récompense même, viens ... Je t ai pris par la main et nous sommes retournés vers les tables, je t ai demandé de t allongé sur une table ,sur le ventre ,de bien écarter tes bras et tes cuisses, et surtout de ne rien dire, pas un mot , pas un cri . Quel spectacle c était de te voir ainsi toute nue sur cette table, je t ai remercier de cela, hum que j aime te voir ainsi... J ai sorti de mon sac un petit fouet et t ai demandé combien de coup de fouet tu estimais avoir mériter pour ta prestation de tout à l heure , Le nombre qu il vous plaira Maître m as tu répondu. J ai bien insisté sur le fait que c était ta récompense et que donc en gage de remerciements aujourd hui et seulement ce jour tu aurai le droit de choisir . Tu m as répondu par un merci Maître, alors svp j en voudrai 30. D accord mais c est toi qui va les compter, je vais aller de doucement à de plus en plus fort , mais si jamais tu avais trop mal dis le moi et je stopperai tout car il est hors de question que je te blesse. Les cinq premiers à peine appuyés ne t ont même pas fait effets mais à partir du sixième et ce jusqu au trentième ton corps n a cessé de sursauter de plus en plus haut et fort mais jamais tu n as laissé échapper un cri , pourtant je t ai vu parfois agripper très fortement la table tu en avais les muscles tendus à l extrême , surtout sur la fin. Quand je me suis approché de ton visage pour t embrasser j y ai vu couler des larmes , que j ai prises pour des larmes de douleur m empressant de te prendre dans mes bras tout en te disant que je ne comprenais pourquoi tu ne m avais pas demandé d arrêter ? Et là esquissant un petit sourire au travers de tes larmes tu m as répondu de ta petite voix toute douce , non mon Maître, je ne pleure pas de douleur , je pleure de bonheur , celui d être à vous....totalement à vous , je vous aime . Aujourd 'hui grâce à vous j ai réussi a surmonter tant d épreuves ,tant de blocages que j avais enfouis au plus profondément de moi-même et en plus j y ai ai pris énormément de plaisir, et je vous en remercie beaucoup... Je suis à vous pour toujours... Maître .
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Par : le 05/10/13
C était en plein été, et comme d habitude l envie d espace, de bouger et d aller profiter du soleil ne s'est pas fait attendre. Après avoir préparé nos sacs à dos, pris la voiture nous sommes arrivés près du pont de la Pyle ou nous nous sommes garés. il y avait un monde fou, le camping qui bordait le lac était bondé et il y avait plein de bâteaux sur l eau. Tu m' avais dit vouloir me faire découvrir une petite crique normalement uniquement accessible par bateau du lac de Vouglans mais dont tu avais découvert l existence au hasard de tes nombreuses randonnées autour de ce lac que tu aimais tant. A peine descendus de la voiture que déjà nous avons échangé de longs baiser collés l un contre l autre tout en se caressant mutuellement et presque discrètement.... juste presque car le désir se faisait déjà bien présent. Tu étais habillé d une petite robe blanche avec sous vêtements assortis . Sacs à dos en place nous nous sommes mis en marche, empruntant un petit sentier très étroit ,toi devant car ce jour là tu étais ma guide et surtout cela me permettais d apprécier ton déhanché et ton pti cul que j aimais tant dans cette montée presque sans fin, je t en fît part , tu me répondîs que le contraire venant de moi t aurais beaucoup étonné. Chemin faisant à chaque petite halte avec comme excuse de souffler un peu nous devenions de plus en plus osés hum. Le spectacle offert à nos yeux arrivés en haut était sublime, nouvelle pause ou cette fois-ci je te demandais entre deux baisers de te mettre toute nue ne gardant que tes chaussures de randonnée, sourire aux lèvres tu t es exécutée allant même jusqu à te caresser un peu pour me provoquer , espérant je le savais certaines caresses dont tu en appréciais vraiment les bienfaits. Mais non au lieu de ça je t ai dis de reprendre la marche , petite moue de ta part et regard de deception , tu allais pour reprendre tes habits lorsque je t ai stoppé net dans ton élan , non tu ne te rabilles pas et vas continuer à marcher ainsi toute nue.....pour mon plaisir! Contre toute attente, tu m as répondu avec un " comme monsieur voudra" sourire malieux tout en dandinant ton petit cul de façon exagérée. Nous sommes repartis amorçant la descente, sourire aux lèvres et les allusions sexe de plus en plus hard fusaient des deux parties , cette journée allait sans nulle doute être placée sous le signe des plaisirs... Il faisait très chaud , la marche était bien longue cela faisait des heures que nous marchions et une certaine fatigue commençait à se faire sentir. Devant mon impatience d arriver que je manifestais de plus en plus ouvertement tu m as répondu " encore un peu plus de quinze minutes et nous devrions y être monsieur" ce à quoi je t ai dit "beh vaudrait mieux pour toi petite". Et puis, enfin la petite crique tant promise s ouvrait à nous, je te récompensais d un long baiser et quelques caresses bien appuyées.....là oui juste là ou tu aimais tant. A mon tour je me suis mis nu et nous avons déballé nos petites affaires. Je te félicitais de l endroit choisi par toi , personne à l horizon et l autre côté du lac était bien loin ,on ne distinguait qu à peine les personnes pressées comme des sardines allongées sur la plage juste en face de nous. Après nous être restaurés légèrement et d avoir rapproché nos serviettes de bain nous nous sommes allongés sur le dos pour ainsi profiter du soleil et de la chaleur ambiante. Tu n as pas mis longtemps avant que d une main tu viennes caresser doucement mon sexe qui sous l effet de surprise , j avais les yeux fermés, s est redressé gentiment t invitant à poursuivre tes caresses , pas besoin de prononcer un quelconque mot , tu étais une experte questions caresses, baisers, et même fellation, et cette fellation que j espérais ne s est pas fait attendre, tu t es penchée vers moi et a pris délicatement mon sexe en bouche tout en me caressant doucement les testicules, humm mon excitation et la preuve de celle-ci t excitait grave et cela se voyait. Sans un mot, nous nous sommes mis en 69 , goûtant et savourant tout d abord délicatement puis nous lâchant sans retenue nos sexes déjà très excités. Et c est alors que tu t es rendu compte qu un petit bateau venait s approchant de nous , tu m en fît part tout en me suppliant de ne pas m arrêter tant cette situation t excitait. Bon prince (charmant) j accédais à ta demande tout en jetant de plus en plus de regards de moins en moins furtifs en direction de ce bâteau, lequel avait stoppé à une dizaine de mètres juste en face de nous. Sur ce bâteau se trouvait un couple , plus ou moins la soixantaine qui nous observait sourire vicieux collé aux lèvres. L envie de tout stopper me pris et malgré tes suppliques je me suis redressé, non pas par pudeur excessive mais plutôt afin de vérifier qu ils n étaient pas en train de nous filmer , pas envie de nous retrouver à faire la une de Youtube de dis-je. Vérification faite , non ils ne faisait juste que nous observer, ce n était qu un couple de voyeurs donc nous pouvions reprendre notre activité là ou nous l avions laissé. Et nous avons repris oui, mais de plus belle encore et visiblement cette situation t excitait terriblement , tu te déchainais de plus en plus et après ton 1 er orgasme tu m as dit de leur demander de venir se joindre à nous ou tout du moins de venir juste à côté de nous, me redressant de nouveau je leur ai formulé ta demande et sans surprise ils m ont répondu non sans façon, alors je leur dit que je leur laissais deux choix possibles.... Soit ils participaient eux aussi aux même activités ludiques que nous mais tout en restant sur leur bâteau , soit nous allions partir les laissant seuls. Leur curiosité ainsi que leur excitation leur ont fait choisir ma première option ce qui provoqua un éclat de rire général. Nous avons continué à faire l amour, chacun de notre côté toute l après midi , les gémissements de cette dame paraissait bien exagérés ou alors était-ce dû à l excitation que cette situation si inatendue lui provoquait nous ne le sauront jamais mais en attendant ils ont provoqué chez toi des réactions que je ne te connaissais pas me permettant ainsi de te découvrir plus encore...
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Par : le 05/10/13
En week-end prolongé nous avions décidé d aller nous balader dans ce beau jura que nous apprécions tant. Sans but précis ni lieu bien définis nous allions au gré des panneaux qui parsemaient la route afin de visiter les villages et autres endroits touristiques que nous ne connaissions pas. Et c' est ainsi que nous avons atteri dans un tout petit village surmonté d un grand et beau château. Après nous être garés dans le bas du village , j ai pris le sac à dos et nous en avons sillonné chaque recoin et finit par emprunter un petit chemin qui menait à une petite église , une longue allée bordée de marronniers menait jusqu à elle et étrangement la porte de celle-ci était grande ouverte et personne à l horizon ni aucune voiture garée aux alentours. Nous en avons fait tout d abord le tour, puis arrivés de nouveau devant l entrée je t ai pris par la taille afin de te coller à moi et embrasser doucement. Après ce long et doux baiser je me suis approché au plus près de ton oreille afin de te chuchotter < aujourd hui une occasion peut-être unique nous est donné, stp ne bouge pas et ferme les yeux et surtout ne dis rien> Tu es restée silencieuse , immobile, je t ai observé un moment puis t ai demandé d ouvrir les yeux et d avancer jusqu à la première rangée de sièges et de stopper une fois arrivée à hauteur de celle-ci , je me plaçais derrière toi et d une voix sans appel t ai ordonné de te déshabiller et te mettre nue...toute nue et de déposer tes habits sur une chaise, puis une fois nue d avancer doucement jusqu à l autel, je te suivais lentement me laissant guider par tes jolies petites fesses hummm. Une fois devant l autel je te demandais de monter dessus t aidant même à y acceder car il était haut , puis de t allonger sur le ventre les bras et jambes en croix. Tu me fît remarquer que c était froid car il était en pierre mais d un geste appuyé je t ai fait signe de t executer. Là je t ai demandé de fermer les yeux et de ne surtout pas bouger, j ai sorti du sac à dos une paire de menottes avec lesquelles je t ai attaché les mains dans le dos, puis un foulard pour te bandé les yeux et enfin une paire de boules quies que je t ai mises. Puis je suis sorti de longues minutes dehors afin de vérifier que personne n approchait. Rassuré je suis revenu vers toi à pas de loup sans faire de bruit, je percevais chez toi une certaine apréhension voir inquiétude, ta respiration se faisant plus rapide. Au bout de quelques minutes ton impatience se transforma en début d angoisse , tu laissas échapper quelques petits cris tout en m interpellant, plus pour savoir si j étais bien toujours dans le coin, pour te rassurer je t ai caresser doucement, effleurant d un doigt ton corps qui tressaillit de surprise. D un doigt je suis passé à ma main et je continuais à te caresser ainsi passant de tes pieds et remontant jusqu à ta nuque en veillant bien à éviter ton sexe. Puis d une voix ferme, après t avoir retirer tes boules quies, je t ai fait part de mon mécontentement face à tes petits cris alors que je t avais demandé le silence le plus total te disant que je n étais pas content du tout que tu transgresses ainsi mes règles et que cela changeait la donne. Je suis ressorti dehors ,cette fois-ci en faisant exprès de bien marquer mes pas qui résonnaient sur le sol de pierre , toujours pour vérifier que nous étions bien seuls. Nous l étions , et en revenant vers toi j ai pris tes habits de la chaise sur laquelle ils se trouvaient afin de les poser sur une des chaises du 1er rang, sait-on jamais.... Ensuite je me suis approché tout près de ton visage et je t ai dit qu avant de te faire l amour sur cet autel comme initialement prévu j allais d abord te punir pour m avoir désobéïs, j enlevais donc la ceinture de mon pantalon que j enroulais autour de ma main droite et de l autre commençais à t administrer des claques de plus en plus appuyées sur tes fesses afin de les préparer à plus fort encore. Au bout de quelques minute de ce traitement tes fesses ont commencé à prendre de la couleur, jolie couleur rouge pâle, trop pâle à mon gout. Tu ne disais toujours rien et j ai vite compris pourquoi en mettant ma main sur ton sexe, il était déjà bien trempé, humm que j aime quand tu mouilles ainsi, je te l ai carressé allant jusqu à y introduire un, puis deux doigts, te fouillant de plus en plus profondément , puis les retirait brusquement et revenait te branler cette fois-ci sans retenue, ta mouille commençait à couler abondament , tu gémissais de plus en plus fort allant même jusqu à me demander l autorisation de jouir tant cette situation t excitait... Et là, alors que tu étais presque sur le point de jouir, d un coup j ai retiré ma main ce qui t as fais réagir par un Noon, oh non Maître pas ça , qui eut comme réponse un <tais toi, ta vraie punition va commencer, prépare toi bien mentalement car je ne veux aucun cri de ta part> De nouveau je suis sorti dehors puis re-rentré car nous étions bien seuls. Arrivé à ta hauteur , toujours sans bruit et sans même te prévenir je t ai assainé le 1 er coup de ceinture, suivi d un deuxième et ainsi de suite jusqu à dix , au 1er tu n a pu t empêcher de lâcher un cri, plus de surprise car mon coup n était pas appuyé, les suivants oui de plus en plus même mais aucun autre cri n est venu troubler la quiétude de ces lieux et je t en ai remercié . Puis je suis sorti une toute dernière fois et complêtement rassuré je suis revenu vers toi et suis monté moi aussi sur l autel, te demandant de te retourner te mettant ainsi sur le dos et tout en écartant délicatement les cuisses je t ai prodigué un cunni dont j ai le secret qui t as très vite apporté ta jouissance tant attendue, puis t aidant à te mettre en levrette je t ai pénétré et t ai pilonné sans ménagement jusqu à ta jouissance puis la mienne.... A peine quelques minutes pour récuperer et nous sommes descendus puis tu t es rabillée et après un long, très long baiser nous sommes sortis de cette jolie petite église où nous venions de commettre notre plus gros pêché.... L endroit était toujours aussi désert qu à notre arrivée...... Vraiment étrange ou était-ce un signe, voir une invitation masquée du Maître des lieux ??
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Par : le 03/10/13
Sur le premier baiser, on en raconte des choses... ! Et le deuxième aussi, on le veut rassurant, qui stabilise un peu l'incertitude du premier "Le voulait-il vraiment ?". Mais le troisième ? Envolé, oublié... La routine déjà...? On devrait y faire attention au troisième. Bien sur, vous me direz, offusqués, "Mais pas du tout ! Il est tout autant passionné ce baiser, peut-être même plus que le précédent, car l'on se découvre encore plus, on apprend à s'apprécier encore mieux !" Peut-être bien que oui. Peut-être bien que non. Pour certains c'est un pallier dans la montée vers l'apogée amoureuse et passionnelle. Pour d'autres le moment de s'apercevoir que ce n'est pas la "bonne personne", si tant est qu'il y en ait une. Le troisième baiser, c'est un peu comme quand on arrive, en apnée, à la moitié d'une longueur de bassin après en avoir déjà fait une entière. Il faut respirer un grand coup ! Après, soit on se relance vers ces inconnus sous-marins, soit... le 13 mai 2009
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Par : le 01/10/13
L' Amour, ce sentiment puissant, si puissant qu il bouleverse à chaque fois que nous le ressentons notre vie, la rendant plus légère, plus agréable, plus plaisante et plus facile à vivre, ou l on se sent comme transporté voir intouchable tant l univers dans lequel on est plongé nous rempli de joies. Existe t-il un autre sentiment aussi puissant et bienfaisant que celui-ci? J en doute ! Ce sentiment incontrôlable se manifeste de différentes façons, pour certains il crée une énergie nouvelle qui semble inépuisable. Ou vous procure une joie non feinte que l on ne peut ni ne souhaite dissimuler aux yeux des autres tant vous rayonnez de bonheur. Qu il est plaisant et agréable de le voir lorsqu il touche certaines personnes , deux êtres touchés par la grâce divine et qui ainsi semblent vraiment être faites l une pour l autre , cela nous redonne le sourire et même l espoir, cet espoir que l on garde bien caché mais pourtant toujours à portée de main..... au cas ou ! Pour d autres les effets peuvent êtres dévastateurs tant ils en deviennent accroc, et lorsque qu l disparaît les laissent totalement désemparés ne pouvant plus avancer. Que de sensations nous apporte ce sentiment, on le ressent de tant de manière différentes, ce petit frisson qui nous parcoure l échine sans jamais s arrêter passant par toutes les parties de notre corps.... même et surtout là ! Nous procurant une excitation qui ne connaîtra point de faiblesses, nous donnant l envie, encore et encore.... Mais contrairement à ce que l on pourrait croire ce n est pas en le cherchant qu il arrive mais justement le contraire. À chaque fois il nous prend par surprise ,lorsqu' on s y attend le moins, chamboulant notre vie bien organisée la rendant du coup presque ingérable. Mais personne ne s en plaint car tous même les plus irréductibles le souhaite et le désire secrètement. Qui n a pas aimé au moins une fois dans sa vie ? Et bien qu il n apporte lorsqu il est naissant que des joies et des plaisirs, lorsque peu à peu il disparaît nous laissant souvent comme abandonnés, nous faisant souffrir plus que de raison, on a tous qu une idée en tête , retrouver de nouveau les plaisirs et la joie incommensurable qu il nous procure. Mais pourquoi disparaît-il ? Pas toujours certes et heureusement ,mais souvent hélas sans que l on comprenne vraiment pourquoi il s éteint , tel un feu auquel nous n aurions pas apporté de combustible en quantité suffisante pour le maintenir en vie. Serait-ce là la seule raison de sa disparition voir de sa mort lorsqu enfin on se réveille un beau jour, seul, désemparé, le cherchant en vain allant parfois jusqu à pleurer de désespoir voir même prier pour qu il revienne aussi vite qu il est parti. Que d erreurs commises car le croyant indestructible, et qu il suffisait de l avoir attraper une fois pour que jamais plus il ne soit épris de liberté. Sans lui on se sent vide, rendant du coup notre vie bien morne et bien que faisant semblant de ne pas y attacher d importance, de que son absence ne nous affecte point, au fond de nous plus le temps passe et plus le manque se fait présent. Laissés trop longtemps seuls parfois on se surprend à vouloir désespérément lui courir après ce qui est une grave erreur, c est un peu comme vouloir saisir le vent, on le ressent mais ne pouvons l attraper . Le plus sage est de l attendre ,patiemment , qu il veuille bien de nouveau s arrêter à notre hauteur et nous éclairer de ses puissants rayons bienfaisants. Mais que le temps est long lorsqu il reste éloigné de nous mais ce n est rien comparé aux souffrances qu il nous inflige parfois lorsqu il nous frôle ne nous laissant pas l attraper, créant en nous ce sentiment d injustice et d incompréhension. Mais point de pessimisme, et bien que je l ai rencontré à plusieurs reprises et n ai pas su le garder, ou bien que la vie en ai décidée autrement, je reste confiant et sais que tôt ou tard il reviendra frapper à ma porte.. Il ne peut en être autrement..........
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Par : le 30/09/13
Par un beau dimanche matin pluvieux, le petit déjeuné à peine fini, tu me demandais ce que nous allions faire ce jour... Du tac au tac je t ai répondu que j avais déjà une petite idée , ce qui te fît sourire. Bien entendu, curieuse comme pas deux tu t es empressée de me demander de quoi il s agissait et devant mon air rigolard et surtout mon silence tu as pris ta petite voix "d hôtesse de l air" tout en me suppliant légèrement, et moi devant ce spectacle je te demandais t appuyer un peu plus tes suppliques te disant que tu pouvais encore faire mieux......beaucoup mieux. Tu redoublais d efforts et cela m amusais beaucoup mais voulant faire court je te demandais de te mettre à genoux, les mains jointes en avant et de bien formuler ta requête, ainsi et seulement ainsi elle aurait des chances d aboutir.... Sans plus attendre tu t es exécuté et oui j avoue avoir pris plaisir à te voir dans cette situation. Donc, étant un homme de parole je te dis que oui, ta prestation m ayant convaincue j allais enfin te dire ce que j avais en tête.... Tu étais là comme suspendue à mes lèvres, humm j adore ces moments là et surtout les faire durer... Finalement après t avoir fait signe de m écouter je te dis : Mets toi au milieu de la pièce debout, les mains dans le dos et ferme les yeux, et surtout ne bouge pas !! J allais dans la chambre prendre un bandeau pour te couvrir les yeux et de retour, sans un mot je te le mettais tout en m approchant de ton oreille et à voix basse t ordonnais qu à partir de cet instant tu ne devais plus dire un mot. Je t ai pris doucement la main, te tirant délicatement en avant et t ai emmené dans la salle de bain et t ai placé juste à coté de la baignoire, t es enlevé ton peignoir te laissant en petits dessous, puis t ai ordonné de te mettre à 4 pattes et t attendre mes nouvelles directives. Tant bien que mal, à l aveugle et tout doucement tu t es exécuté , moi pendant ce temps là j ai fais couler l eau pour un bon bain chaud, y ajoutant quelques sels parfumés bienvenus. Je voyais à ta respiration que cette situation t intriguait beaucoup tout autant qu elle t excitait. Pendant que la baignoire se remplissait doucement et que déjà les vapeurs de chaleur recouvraient le grand miroir je t ai demandé de bien vouloir cambrer tes fesses afin de recevoir ta récompense, car oui recevoir une fessée est pour toi une récompense tant cela t excite et te fais mouiller d excitation. Je m appliquais donc à te récompenser comme tu l espérais, y allant même à faire un petit peu de zèle, et vérifiant de temps à autre que ton excitation était bien présente ,histoire de bien marquer le coup lol. Puis tout en t aidant je t ordonnais de te relever, de te mettre bien droite, de mettre tes mains dans le dos et d écarter les cuisses je t enlevais ton soutien-gorge afin de libérer ta lourde poitrine et là tout en t embrassant je te masturbais ainsi jusqu à ton 1 er orgasme qui vînt très vite te provocant quelques cris bien appuyés accompagné de spasmes que tu étais bien incapable de contrôler. Te laissant quelques minutes pour reprendre tes esprits je mîs à profit ce temps mort pour de longs baisers savoureux, hummm Puis tout en t aidant je t ai ordonné de rentrer dans la baignoire et une fois dans celle-ci de te mettre à 4 pattes dans l eau, qui t arrivait juste à hauteur du bassin. Tes beaux seins ressemblaient à des flotteurs placés dans une mer un petit peu agitée. Beau spectacle excitant que celui-ci, toi à 4 pattes dans l eau, la tête relevée, les yeux bandés, ta croupe bien relevée et tes seins ballottant au gré des mini vagues que ton entrée dans la baignoire avait crée. Je m agenouillais juste à coté de la baignoire et tout en te caressant le dos je t aspergeais d eau a certains endroits stratégiques de ton anatomie ce qui te faisais frémir, puis d une vois douce mais sans appel je te demandais de te masturber, de la main droite, que tu plongerais tans ton string trempé en consolidant bien ton appui de la gauche de te masturber de nouveau mais cette fois-ci d attendre mon autorisation pour jouir, tu t activais ,je le voyais avec beaucoup d application mettant beaucoup de coeur à l ouvrage et devant ce spectacle de toute beauté je te mettais un doigt dans ton anus afin de te le masturber comme tu aimes tant et enfin te disais que oui, là oui tu pouvais te lâcher complêtement et aller jusqu à l orgasme. Ton orgasme fût violent, beaucoup plus que le 1er, tes cris résonnèrent dans toute la maison et tes spasmes provoquèrent un mini ras de marée qui inonda en partie la salle de bain. Alors que tu étais Toujours à 4 pattes, haletante j entrais moi aussi dans la baignoire et m asseyais face à toi. Tout en t aidant à te relever afin d être à genoux dans l eau je te demandais de retirer ton string et de me le donner . De mon coté je m allongeai autant que faire ce peut et te saisis la tête pour la baisser en direction de mon sexe déjà dressé et te demandais de bien vouloir ouvrir la bouche, et d un coup te l enfonçai dans la gorge, là je t autorisais avec l aide te tes mains de me sucer et caresser comme j étais endroit de l attendre. Mais pour compliquer un peu ta tâche, dans de lents mouvements de bassin je m enfonçais dans l eau ce qui t obligeais à garder la bouche bien ouverte dans l eau afin de laisser coulisser mon sexe en toi... Pour moi cette situation était on ne peu plus agréable mais j ai due l écourter devant ton début de noyade car visiblement tu n arrivais pas à ne pas avaler l eau, te laissant reprendre tes esprits je me mis hors flottaison ,mon sexe légèrement hors de l eau et cette fois-ci et te demandais de bien vouloir me branler d une main tout en me caressant et léchant les testicules de l autre tout en alternant mon sexe et mes couilles.... Hummmm Taquin comme je suis, parfois je descendais tres légèrement dans l eau ce qui te compliquais la tâche et moi me faisais sourire. Au bout d un long moment de ce plaisir dont je ne me lasse pas, je te demandais de te relever complètement, le faisant moi aussi et t ordonnais de te pencher en avant et de bien saisir les robinets car là ça allait secouer grave, voyant qu à l aveugle tu semblais si hésitante d une main ferme je te mettais en position puis sans plus attendre te pénétrais ainsi dans une levrette légèrement glissante, voir casse gueule. Moi afin d avoir une bonne prise te prît les cheveux tout en te les tirant sans ménagement en arrière te relevant ainsi bien la tête, mes coups de butoirs ainsi que les claques que je t assénais sur tes fesses résonnaient bien forts mais même ainsi n arrivaient à peine à couvrir nos gémissements... L orgasme nous prît sans surprise tant nous l avions voulu. Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes avant de récupérer quelque peu nos esprits.. Enfin je t enlevais on bandeau et te pris dans mes bras , t enlaçant tout en t embrassant doucement, tendrement. La salle de bain ressemblait à un sauna, l air y était devenu rare .... Par contre de l eau il y en avait partout , il y avait plus d eau en dehors que dans la baignoire ce qui nous fît bien rire. Et là tu t es approchée de moi, me remerciant pour cette vision si ludique et jamais expérimentée par toi jusqu à présent de prendre un bain. Sourire aux lèvres je déposais un petit baiser sur tes douces lèvres et te dis : attends de voir ce que je te réserve pour l après midi...........
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Par : le 30/09/13
Voilà bientôt 4 ans Maître, que nous partageons tendresse, bonheur, amour, passion, périodes de doutes, pleurs, BDSM, épreuves, mais toujours en confiance. J’ai toujours eu Confiance, j’ai toujours cru en vous….et Aujourd’hui ce jour tant attendu est arrivé. Oui, aujourd’hui vous êtes enfin à moi, nous vivons ensemble…. J’ai tant attendu ce moment, que je ne peux y croire encore. Très souvent vous m’avez demandé de Vous faire part de mes envies, de me fantasmes, aujourd’hui je suis capable de les coucher sur le papier, car je sais que rien ne viendra troubler nos jours et nos nuits, nos semaines, nos week-end, nos vacances. Nous pouvons enfin prévoir les choses, entrevoir des escapades. Aujourd’hui je rentre du travail, je sais que vous n’avez pas travaillé, vous avez pu vous reposer et laisser votre imagination vagabonder, au gré de vos fantasmes les plus secrets, les plus pervers aussi peut-être, et puis, Vous me connaissez si bien Maitre, mes attentes, mes peurs, ma soumission envers Vous, et aussi mon envie d’être toujours meilleure, de dépasser certaines de mes limites, celles que Vous savez franchissables…. D’ailleurs, à plusieurs moments cet après-midi, Vous m’avez envoyés des sms pour me « conditionner », pour me mettre dans cet état de demande, d’attente, dans lequel Vous adorez me voir. Je viens de passer la porte, il n’y a pas de lumière dans l’entrée, j’allume et j’accroche mon manteau, je retire mes chaussures. Je remarque de suite, sur la petite desserte, mon collier, et ma laisse. Sans attendre, et avant de venir Vous embrasser, je le mets à mon cou. Vous êtes installé sur le canapé, Vous regardez la télé, tranquillement. Je me glisse à Vos pieds, Bonsoir Maître, et je vous baise les pieds, Vous êtes pieds nus, comme toujours lorsque Vous endossez Votre rôle de Maître et que nous allons passer une soirée plus dédiée au BDSM qu’aux câlins…. Vous passez Votre main dans mes cheveux, elle descend et se fait plus appuyée sur ma nuque, Vous savez que ce geste me rend folle et me signifie instantanément ma condition de soumise, j’adore cette sensation, l’emprise que Vous avez sur moi grâce à ce petit geste. Puis Vous me dites, va vite te faire belle et chienne pour moi, tu as 1h devant toi, alors ne stresse pas. Ouf 1 heure ! Merci Maître, j’arriverai à être prête à temps, toute l’après-midi j’ai réfléchi à ma tenue, sachant ce qui allait arriver ce soir, en lisant vos sms. Je ne perds pas de temps, je commence par mon lavement pour être impeccable au plus profond de moi, puis ma douche, je me maquille, regards très noir comme Vous aimer, je m’habille: la jupe d’écolière à carreaux que Vous aimez bien, mon corset rouge en satin qui laisse mes seins libres et accessibles, un boléro en résille que je ferme devant pour les cacher au départ, des bas et des escarpins. Je n’ai pas oublié de mettre mon rosbud bien sûr. Je Vous rejoins au salon, pour me présenter à Vous. Vous me félicitez pour ma tenue, « tu es très belle ma petite chienne d’Amour »… Merci Maître. Je Vous demande si je peux aller préparer le repas, « Fais vite, j’ai acheté du carpaccio, cela suffira, tu prépares 1 seule grande assiette ». Je me hâte, je prépare une grande assiette avec le carpaccio, j’y rajoute des copeaux de parmesan, comme Vous aimez. Je sors une bouteille de vin rosé du frigo Je dépose le tout sur la table. Je viens de me rendre compte que Vous passez du temps à envoyer des sms….Je sais que sans doute notre soirée ne va pas être qu’en seul tête à tête, Vous avez du contacter quelqu’un…. « Maître, Vous êtes servi » « Oui Laika, j’ai vu, mais cela ne refroidira pas, vient me rejoindre, et sert nous un verre de vin blanc» Je me presse à Vos pieds, bouteille et verres à la main. « Alors ma Laika, comment te sens-tu ce soir…tu es bien ? Tu es prête à être mienne…à te plier à mes envies les plus perverses… Oh oui Maître, je suis prête, j’y pense sans arrêt depuis notre vie commune, qu’en fait maintenant, plus besoin de prévoir de date, de trouver un prétexte pour se voir un peu plus longtemps….Maintenant Vous pouvez abuser de moi comme Vous en avez envie, sans me prévenir….et rien que d’y penser, chaque jour, me rend encore plus dépendante de Vous. « Allez, j’ai faim ». Vous Vous installez à table, devant l’immense assiette de carpaccio ! Je pose un coussin à terre et je m’agenouille à vos côtés. Vous commencez à diner, j’ai faim aussi, mais je ne dis rien, j’attends. J’adore le carpaccio et c’est un supplice de Vous voir le déguster alors que je suis là….à attendre. Vous le savez…soudain un morceau de carpaccio au bout de Vos doigts, je dois tendre la bouche pour l’attraper, humm merci Maître, un 2e morceau que je dois attraper au vol, ainsi de suite Vous alternez le repas entre vos morceaux et les miens. De temps en temps je dois me redresser car Vous me donnez à boire, non pas dans un verre, mais de Votre bouche. C’est encore meilleur. Le repas se termine, je débarrasse rapidement et je reviens à vos côtés. J’ai bien vu que Vous aviez de nouveau votre téléphone en main… Mon cœur bat, à la fois d’inquiétude mais aussi d’une excitation que je sens monter au fond de mon ventre. Il est temps… Sur la table, il y a les boules Kies, Vous me demandez de les mettre, cela n’arrive pas souvent, mais Vous savez que privée de mes sens je suis encore plus à votre merci ; puis le bandeau qui est posé sur la table depuis le début du repas, je n’entends plus rien, je ne vois plus rien. Les poignets de cuir se ferment et me voilà attachée, bras en l’air, à l’entrée du salon. Je sens votre présence autour de moi, je la devine, Votre regard doit être en train de me dévisager et Vous êtes là, à me faire attendre. Le temps me parait interminable. Je sens une corde qui s’enroule autour de moi, Vous commencez à bondager mes seins et les voilà offerts à vos tourments. Des pinces s’agrippent à mes tétons, des gouttes de cire viennent les orner, l’excitation provoquée par la douleur inonde mon sexe, vos doigts passent régulièrement entre mes jambes pour vérifier…. Le fait d’être privée de la vue et de l’ouïe décuple les sensations. Je sens votre présence autour de moi, Vous m’effleurez, je sens Votre souffle dans mon cou ; d’une main ferme, Vous ôtez les pinces de mes seins. Soudain la cravache s’abat sur mes fesses, plusieurs coups de suite, par série de 5 de chaque côté…pour équilibrer, comme Vous dites toujours. La cravache est suivie par le martinet, dans le dos…Depuis quelques temps j’ai découvert que la sensation des lanières qui s’abattent sur mon dos me fait frissonner, la douleur m’irradie certes, mais elle m’excite de plus belle. Vous alternez les coups, tantôt légers, aériens, tantôt appuyés, le dos, les fesses, les cuisses… J’ai peur car mes seins me font mal, ils sont douloureux car bondagés depuis longtemps. Vous avez remarqué, à l’expression de mon visage, qu’il était temps de défaire le bondage. Le temps de défaire les cordes me permet de me reposer, Vous me détachez les bras, que je peux reposer sur la table en face de moi. Vous me donnez à boire, une gorgée de vin blanc, puis une autre, de votre bouche. Puis Vous me guidez vers le canapé, j’ai toujours les yeux bandés et les boules dans les oreilles. « Repose-toi un peu Laika, la soirée n’est pas terminée » Je suis couchée sur le canapé, jambes repliées, je masse un peu mes seins endoloris par le bondage. Il m’a semblé entendre un bruit, mais avec ces boules dans les oreilles, impossible de définir de quoi il s’agit. Je ne tarde pas à le savoir…. Votre main gantée de latex vient me caresser, écarte mes cuisses et me pénètre….L’excitation est telle depuis le début de la séance qu’à peine quelques vas et viens m’arrachent un premier orgasme…J’inonde le canapé…. Puis Vous me demandez de me mettre sur le bord du canapé, à genoux, fesses bien ouvertes, tête dans les coussins…. Je m’attends à sentir votre main venir me fouiller au plus profond de moi, Vous dégagez mon rosbud d’une main douce, pour ne pas me blesser. Mais ce n’est pas Votre main que je sens à présent contre mes fesses….mais un sexe qui vient s’appuyer doucement sur mon orifice dilatée et lubrifié…. Voilà donc ce que Vous mijotiez au téléphone…. Je sens des mains qui me caressent, les Vôtres, mais d’autres mains aussi, et ce sexe qui m’empale et commence à me labourer. Je suis Votre chienne, Maître, je Vous appartiens, je Vous aime. Je sais que Vous êtes attentif à tout ce qui se passe et que je peux être en confiance, je me laisse emporter, Je sens votre main sur ma joue, qui vient me rassurer. Doucement Vous ôtez les boules de mes oreilles, puis le bandeau, afin que je puisse découvrir l’homme à qui Vous m’avez offerte. Mes doutes et mes craintes se sont évanouis très vite, car j’ai reconnu notre ami F. et sa façon de faire, toujours très respectueux et attentif. Merci Maître, de me donner autant de plaisir. Je Vous aime Laika
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Par : le 29/09/13
mon Week End. L'atmosphère est lourde, pesante. Comme quand on sait qu'il va se passer quelque chose. Déjà, avant d'aller récupérer le repas, les apartés entre les convives étaient nombreux. Ce qui augmentait ma boule d'angoisse au creux de l'estomac. Angoisse d'avoir mal, angoisse de ne pas être digne de Mademoiselle, angoisse de montrer ce corps , ce qui m' est si dur . Il faut dire que les soirées précédentes ont été mouvementées pour moi. Une grande découverte de fouet, de grosses doses de cire. Soirée en club, soirée privée, toutes avec des mètres de cordes qui m'emmènent si loin, qui me laisse pantelant. Ambiance électrique, donc. La musique d'ambiance crée un climat tellement propice. Mademoiselle est dans son fauteuil. Je sens son regard sur moi, et je tourne la tète vers Elle. Ce regard... Qui me découpe, me pénètre... Comme une lame qui entrerait jusque dans mon cœur. Regard que je crains tant, que j'ose aussi affronter. La lutte dure quelques instants, mais je baisse les yeux devant Mademoiselle. Hier, un gros vague à l’âme m'a fait craquer. Elle a su me parler, dire les choses. Elle aussi s'est mise à nu... Au propre comme au figuré. Et cela m'a fait du bien, de sentir sa fragilité, encore plus grande que la mienne. Maintenant, son doigt me fait signe d'approcher. Je me lève et me tiens debout devant Elle. Mais son doigt impérieux me montre ma place, à ses genoux. J'adore ce signe, pas besoin de parole pour Mademoiselle. Juste ce geste, ordre impératif. Avec les deux cravaches qu'Elle a en main, Elle me force à me déshabiller. Dans le silence qui a gagné les convives, je m'exécute... même mon dernier rempart doit tomber. Ses cravaches se promènent sur la peau, aériennes, je frissonne. Mes yeux sont fermés depuis longtemps, j'ai gagné ma bulle. Lorsque le bandeau se pose sur mes yeux, m'arrachant un gémissement, je passe encore un cap, dans ce nirvana.. Elle m'a fait lever, m'a pris par la main, Sa main dans la mienne, puis m'a fait tourner sur moi même. Plus de repères, je ne sais plus ou je suis, qui me regarde, je suis perdu... Une corde se pose sur moi. Elle glisse, me frôle, m'enserre et se relâche , tendre, forte tout d'un coup. Mademoiselle joue avec moi, me guide dans Sa volonté. Furtivement, ma joue effleure Sa main. Puis Elle l'enroule autour de mon cou, en plusieurs tours, juste serrés comme il faut pour me faire une sorte de "collier- minerve". Mes mains, maintenant. Serrées devant moi le nœud se bloque, m'arrachant un gémissement. Puis Mademoiselle me tire par la corde, je sens mes bras qui s'élèvent et se retrouvent en l'air, je dois etre devant la porte, mais est ce important? Ma respiration s'est accélérée depuis un moment. Quelque chose me frôle dans le dos. Froid et doux. Je reconnais des lanières. Elles se promènent sur moi... je gémis, je frémis, je tremble... Les premiers coup, si légers pourtant m'arrachent un cri. En fait il y a deux martinets qui se relaient. Ma peau chauffe. La cadence s'accélère, la force aussi, je gémis presque continuellement. Puis la nature des coups changent, certains "piquent", d'autres me font me tordre, toujours maintenu par mes cordes. je suis si loin, maintenant. Je rentre dans un monde de sensations, il n'y a plus aucun son, ou alors juste un brouhaha. Je me sens faible, mais tellement bien. Les coups tombent régulièrement, entretenant ce climat. Je suis dans ma nuit, dans ma douleur. Mon esprit ne m'appartiens plus, je ne sais pas trouver les mots pour dire , pour décrire cet état. Par moment, les coups stoppent, des mains viennent me frôler, me caresser, me griffer. Brièvement une main caresse ma joue...Mademoiselle...? Et à partir de là, plus rien, ou presque... On m'a détaché, guidé. Une voix ( Mademoiselle?) m'a dit de m'assoir, j'ai ressenti le froid du carrelage. Les cordes ont repris leur danse, me tenant un bras replié sur lui même. Froid vif quand je me suis retrouvé allongé sur le sol, sensation de serrage autour du pied, ma jambe qui se plie, mon autre bras se replie dans le dos... Noir. Rideau, plus rien a dire. Un visage, de la lumière, des mots, "tu vas bien?". j'essaie de me relever, mais Sa main me retiens. Je n'arrive pas à fixer Mademoiselle. Sa main caresse ma joue, mes cheveux. Je sens une couverture sur moi, j'ai froid.. je suis si bien. Épuisé, mais bien. J'arrive à me redresser, je les vois, ils sont tous là, une me fait un petit signe de la main. Pas de cire pour tout de suite, je n'en ai plus la force. Je me blottis contre Mademoiselle, j'en ai besoin... D'Elle... Qu'Elle soit là... et Elle est là... Merci.....Mademoiselle... Merci.
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Par : le 29/09/13
Nous gravîmes l'escalier qui menait à la mezzanine, suivis de Kiko . Je commençai à avoir un début d'érection. L'espace était assez dégagé ; c'était un genre de studio de photographe, avec des projecteurs, ombrelles, et rideaux de différentes couleurs pour mettre en fond d'écran. Il y avait un pôle métallique qui allait du plancher jusqu'aux grandes poutres de la charpente en bois. Tout un assortiment d'accessoires de bondage était accroché sur une petite penderie à roulettes. Le photographe était là et réglait les derniers détails.Zaza accrocha la corde qu'elle tenait à un palan à chaînes qui pendait puis la tira vers le haut jusqu'à ce que je me tienne bien droit.« Le masque, Zaza » dit sèchement Kiko. L'assistante me posa une sorte de bandeau en latex, assez serré, qui comportait trois ouvertures, deux pour les yeux, une pour le nez, et qui me couvrait les oreilles.« Avec ça, peu de chance que l'on vous reconnaisse, si jamais ces photos sont divulguées quelque part. »La japonaise choisit un paquet de cordes qu'elle dénoua puis m'attacha les bras dans le dos, de manière horizontale, avant d'enrouler la corde autour de mes bras et de sécuriser le tout par de multiples entrelacs et nœuds ; ce fût exécuté assez rapidement, et j'appréciai ce mélange de frôlements et de caresses furtifs de la part des cordes et des mains gantées de Kiko: « Ushiro takate kote » fit-elle d'un ton guttural assez sérieux, que je trouvai drôle. Je souris. Le photographe avait mitraillé l'action sous tous ses angles. Je ne pouvais absolument plus bouger les bras mais la position n'était pas inconfortable.Kiko fit un petit rictus qui avait l'air de vouloir dire « ah, tu trouves ça drôle ? ». A l'aide d'une autre corde, elle attacha mes deux jambes ensemble, puis les deux chevilles, et tira sur la chaîne du palan. Loin de m'attendre à cela, je me sentis tirer vers le haut et perdre mon assurance en même temps que mon équilibre ; j'étais presque sur la pointe des pieds, à la limite de tournoyer sur moi-même.Je la vis se saisir de sa badine et passer derrière moi. Elle m'asséna deux coups assez violents sur les fesses. Je ne pus m'empêcher de pousser un cri de surprise et de douleur.« Le problème, avec les amateurs, c'est qu'ils ne prennent rien au sérieux... et qu'ils font trop de bruit ! Zaza, le baillon ! »On aurait dit que Zaza était en train de rêver toute éveillée ; elle sursauta tellement elle était subjuguée. Ses joues étaient en feu. Son cœur devait battre à tout rompre., elle paraissait en manque de souffle.« Ou... oui, tout de suite, Maîtresse » . Le lapsus était révélateur et elle s'en aperçut, mais c'était dit. Elle me posa un baillon-boule assez imposant que lui tendit Kiko, qui faisait comme un harnais sur la tête. Je ne pouvais ni sortir un mot, ni articuler quoi que ce soit d'intelligible, je ne pouvais qu'émettre des sons grotesques qui me rendaient ridicule, pitoyable. Je sentais la chaleur du corps de Zaza contre moi. Les coups avaient relancé mon érection. Les flashes crépitaient.« Serre plus fort, tu vois bien que c'est trop lâche ». La voix claquait comme la badine, et elle tutoyait Zaza comme une domestique. Zaza arriva maladroitement à s'acquitter de sa tâche, puis demanda :« J'ai besoin d'aller aux toilettes » avant de redescendre rapidement les escaliers.Si je n'avais pas été dans une situation aussi délicate, j'en aurai rigolé, mais je ne pouvais me le permettre ; Kiko menait la barque, Jean-Marc se faisait le plus petit possible, caché derrière son appareil, et Zaza mouillait sa culotte pour la japonaise.Celle-ci alla discuter en aparté avec Jean-Marc, sans doute au sujet des photos, de l'éclairage ou je ne sais quoi. C'était vraiment une belle femme, non pas une beauté classique, mais elle avait quelque chose qui la plaçait au-dessus du lot, sa manière de se mouvoir, son assurance à toute épreuve, son autorité naturelle.On entendit la chasse des toilettes et la porte s'ouvrir. Kiko se retourna vers la rambarde de la mezzanine et ordonna tout fort :« Quand tu auras fini, remonte-moi un verre de Cognac ; assez traîné, ça fait un quart d'heure que tu es là-dedans ».L'écho répondit : « J'arrive tout de suite ! ».Kiko revint vers moi et lâcha un peu de mou au niveau de la corde que j'avais au cou. Mes talons touchaient maintenant le plancher. Ce n'était pas pour me déplaire.On entendit Zaza arriver, toute essoufflée, un ballon de Cognac à la main. « Pour vous ». Kiko prit le verre, en but une longue gorgée, le reposa.« Et maintenant, c'est toi qui va travailler, Zaza. Attache ses testicules, et ne fais pas semblant, cette fois. Tu l'as déjà fait ? »« Non » « Non qui ? »« Non Maîtresse »« Et bien , improvise, ce n'est pas compliqué , enroule bien autour de chaque boule, puis, à la base du pénis, je finirai le reste » ; en disant cela, elle avait saisi mon entrejambe d'une main ferme et gantée. Je retins mon souffle et mon érection reprit de plus belle.Une fois le travail fini, je crus que mon sexe allait éclater. Les cordelettes me faisaient un mal de chien, et impossible de débander. Zaza était en extase et le visage de Kiko prit une expression qui me fit comprendre pourquoi j'étais là. Les photos étaient un prétexte. Cette femme éprouvait régulièrement le besoin d'étancher ses penchants sadiques. J'étais mal parti.« J'ai cru comprendre que notre invité craignait pour son anonymat, ne le laissons pas dans l'inquiétude une minute de plus ; apporte-moi la cagoule, Zaza ».« Bien Maîtresse ».« C'est bien, tu fais des progrès ».« J'ai encore besoin d'aller aux toilettes, Maîtresse ».« Pas avant de lui avoir mis sa cagoule . Vas-y, et ajuste la bien ».Zaza prenait maintenant son rôle à cœur. Pendant que Kiko finissait son verre de Cognac, elle me mit une cagoule en cuir totalement dénuée d'ouvertures, excepté deux orifices munis de petits tuyaux qui me rentraient dans les narines pour me permettre de respirer. Un système de fermeture à lacets depuis le haut du crâne jusqu'au cou permettait de l'ajuster parfaitement. Un large et solide collier en cuir, intégré à la cagoule au niveau du cou, rendait le dispositif entièrement hermétique. J'étais dans le noir total. Les bruits de l'extérieur étaient à moitié étouffés, et surtout couverts par le bruit de ma respiration et les battements du sang dans mes tempes. Je n'étais plus qu'une marionnette entre leurs mains.Ma machoire me faisait souffrir ; elle était presque ankylosée, quant à mon sexe, c'était insupportable.J'entendis Kiko dire à Zaza :« Tu peux y aller maintenant, et remonte-moi un autre verre, non, la bouteille ! ». Kiko commença à jouer avec les deux petits tuyaux par lesquels je respirais ; elle les pliait de temps en temps, coupant l'arrivée d'air pendant quelques instants qui me paraissaient des siècles. Puis elle les relâchait pour éviter que je ne suffoque, pour recommencer aussitôt, générant dans mon esprit une angoisse grandissante. Cette femme avait mon sort entre ses doigts, elle le savait et en jouait à merveille. J'aurais accepté n'importe quelle condition pour que ce jeu s'arrête, mais j'étais un pantin entre ses mains.A partir de ce moment là, je perdis la notion du temps, de l'espace. Je sentis la corde à mon cou se relâcher et elle fut fixée dans mon dos, puis d'autres passèrent sous mes cuisses, entre les jambes et les genoux. J'entendis le cliquetis des chaînes et mon corps se souleva lentement, sans à-coups, offrant mes fesses à la promesse d'un châtiment que je n'osais envisager. Je ne pouvais absolument rien faire, ni protester, uniquement subir ce qui allait arriver.Zaza était remontée et Kiko se délecta d'un deuxième verre. Combien de temps avait-elle mis cette fois-ci ? Longtemps, il me semble, mais je me disais que c'était mieux ainsi : plus longue était la trêve. Ce que je redoutais arriva.« As-tu déjà fouetté un homme, Zaza ? ».« Non, Maîtresse ».« En as-tu envie, Zaza ? »« Oui, mais... c'est cruel, Maîtresse, il ne le mérite pas. »« Tous les hommes le méritent, Zaza, mets-toi bien ça dans la tête, et lui, peut-être plus que les autres. Pourquoi crois-tu qu'il a accepté de venir ici si ce n'est pour avoir du plaisir avec des femmes qu'il ne connaît même pas ? »« Vous avez raison Maîtresse »« Approche-toi de lui, et regarde le bien, dis ce que tu ressens. Ne dirait-on pas un cochon pendu qui va à l'abattoir ? »Je sentis des mains qui me tâtaient, qui touchaient mes fesses, mes testicules, mon dos, puis qui me poussèrent pour que je me balance. Je tentai de remuer pour me sortir de ce pétrin, pour leur faire comprendre que je voulais arrêter ce jeu qui dégénérait, mais cela fit l'effet contraire.« Cest vrai, Maîtresse »« Alors prends ce martinet et défoule-toi ; tiens, bois un verre de Cognac cul-sec avant, je vais m'en resservir un autre »Kiko lui expliqua quand et comment frapper, et, quelques instants après, une série de coups s'abattit sur mon arrière train ; mon corps se balançait d'avant en arrière, et les coups, bien synchronisés, amplifiaient le mouvement. La douleur devint vite insupportable mais Kiko, en professionnelle, arrêta la correction au moment adéquat.« Tu peux repartir aux toilettes, Zaza, et y rester le temps que tu voudras, je m'occupe de lui ».« Merci Maîtresse, je vous adore ».Je remerciai le ciel pour ce moment de répit. Je pensais être arrivé au bout de ma capacité d'encaissement, je n''étais que douleur.J'entendais faiblement les « oooooh » et les « ah » que poussait Zaza, en bas, elle ne s'en cachait même plus, quant aux deux autres protagonistes, je ne savais pas ce qu'ils faisaient, mais il le faisaient en silence.
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Par : le 28/09/13
« Bonjour, oui, c'est bien ici, je suis Isabelle, l'assistante de Jean-Marc, le photographe ; c'est au 3e étage, je vous ouvre. » C'était la voix d'une fille qui paraissait toute excitée, tout sauf une professionnelle . Elle était certainement l'assistante d'un jour, choisie parmi ses dernières conquêtes ; c'était peut-être la seule qui était libre ce jour là pour jouer le rôle. Je pris le monte-charge, arrivai au 3e étage, la porte était entrebaillée, elle m'attendait. Je ne m'étais pas trompé, c'était le genre de fille potiche, qui rigole d'un rien et qui était venue par curiosité et par excitation. Son look de petite bourgeoise snob en disait long : pantalon en cuir très moulant, dont l'entrejambe était parcouru par une discrète fermeture-éclair, blouse blanche très ajustée aussi sur une petite paire de seins qu'on devinait fermes, bottes jusqu'au dessus du genou, de multiples bijoux dont des bracelets qui s'entrechoquaient bruyamment, paire de lunettes noires plantée dans une opulente chevelure brune qu'elle secouait régulièrement ; une très jolie fille, mais point. Je rentrai. Kiko, la japonaise, ne s'était pas vraiment fait un look geisha. Elle portait des vêtements en cuir appropriés pour l'occasion : corset et jupe serrée noirs, bottines très fines à hauts talons, soutien gorge qui mettait en valeur une belle petite poitrine, collier fin qui lui serrait le cou, et casquette assortie. Plus une badine dans la main droite. Je sentais qu'elle s'impatientait et je compris rapidement qu'elle était la patronne, Jean-Marc, le photographe était aux petits soins, m'avait salué et n'avait plus dit un mot ; il préparait son matériel pour la séance. Le loft était assez grand, très clair, avec des espaces privatifs : je pensai aux toilettes, salle de bain, chambre et cuisine, placards... puis, plus haut , une grande mezzanine surplombait la moitié de l'espace. « 5 minutes de retard, ça commence mal, mon ami » dit-elle avec un sourire qui en disait long. Elle jouait son rôle avec application. Mais était-ce bien un rôle ? « Vu que nous n'avons pas beaucoup de temps devant nous, je propose que nous commencions tout de suite. Déshabillez-vous et laissez tout sur la chaise. » Je sentis glousser l'assistante, mais elle se retint. Kiko, lui désigna une malle avec sa badine. « Zaza, vous rangerez tout ça là-dedans. » Zaza n'en perdait pas une miette, j'étais assez gêné, mais je devais jouer le jeu, j'avais un « contrat ». Cette fille était chaude, je voyais ses joues se teinter de rose, elle commençait légèrement à se trémousser en joignant ses genoux. Une fois que mes vêtements eurent disparu dans la malle, Kiko demanda à Zaza de me mettre une corde servant de laisse autour du cou et de me mener dans l'espace du dessus.
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Par : le 28/09/13
C'est une partie de moi. Depuis un long moment. Je ne saurais dire si je m'en réchapperai un jour. Au détour d'un coin de rue, d'une allée de supermarché ou l'ombre d'un mot, elle soupire. L'envie. Il suffit d'une ballade, d'un bout de chemin et d'y croiser un chat domestique pour que sa clochette hérisse le duvet sur mes avant bras. Et ravive des souvenirs. Des choses sans rapport, aucun. Traverser des rayons et entendre le bruit de chaines de roues pour l'hiver pour que d'autres chaînes m'apparaissent en tête. Voir des déménageurs monter un meuble au troisième étage à l'aide de cordes. Un rien anodin, même juste fermer les yeux, pour me dire comme un réveil incessant que je suis comme cela. Avide d'emprise. D'une hiérarchie particulière. Le coeur se resserre. Les frissons apparaissent. L'échine se tend. A chaque bruit du clavier, la respiration se fait plus rapide, plus chaude. Comme le soufflet entretenant la faible braise, qui parvient fébrilement à reprendre sa couleur avant d'embraser son foyer, cette bête intérieure qui renait dans des râles de dépendances et de manques. Je suis comme cela. Non Je suis cela. Mais je ne l'ai pas. Une gangrène de l'esprit qui ronge, l'absence d'une voix. Le silence. Sans présence. Sans ordre. Une anomie singulière et solitaire. La pire chose pour l'h(H)umain. L'anomie. Aucun ordre ni loi ni structure. L'anarchie serait intéressant. Certains s'y prêtent lors d'orgie consentie et contextuelles. Démocratie? Trop simple. Et trop bien huilé pour que cela marche à tous les coups. Et puis sous réserve de changement de mandat. Se faire dégager pour un autre parti et si vite arrivé. Les dernières monarchies ont vu leur règne se faire étêter. Et pourtant, dans mon cas cela serait presque l'idéale. Pas la décapitation. Le règne. Du moins le subir. Que je puisse ôter mes responsabilités comme une veste. Que j'accroche mon ego au porte manteau. Que je me déshabille de ma civilité et que je range ce cerveau qui cliquette telle un mécanisme d'engrenage dans un tiroir. Que je sois nu de tout ceci pour être ce que je suis. Mais ce que je suis, c'est aussi de garder ma personnalité comme l'on garde ses chaussettes sous les froides nuits d'hiver. Mes craintes et mes doutes, attachés à moi tel mon élastique à cheveux. C'est moi. Et le dire aux nombre, anonyme... au fond ne changera rien dans l'immédiat. Le dire aux proches. Encore moins. Dans tous les cas même pas le souffle qu'un aveu rend. Pourquoi le dire dans ce cas? Au nom de l'espoir? De la pitié? Sans certitude de ce que ni si cela engendrerait. L'envie? Le besoin? Qu'importe maintenant. Je suis habitué à me torturer l'esprit pour chaque note qui laisse sujet à. C'est moi aussi... Et cela fait un bien fou d'écrire depuis le temps que la plume grattait sans encre. Et sans muse. *content*
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Par : le 27/09/13
Cette annonce, je me la repasse en boucle depuis un bon moment déjà. Combien de temps ? Impossible à évaluer, sauf à écouter les bruits qui remontent de la rue, complètement estompés par la cagoule. J'ai mal partout, je suis à bout de forces, mais jusqu'ici, je n'ai pas cédé à la panique ; combien de temps vais-je pouvoir tenir ? La position commence à devenir inconfortable, très inconfortable même, alors qu'au départ, c'était plutôt plaisant. J'avais répondu à une annonce sur la toile : sur un site dédié au fétichisme, bondage et pratiques plus extrêmes, quelqu'un cherchait un homme, ordinaire, qui accepterait d'être photographié en train de se faire ligoter, et cela de manière anonyme, le visage serait masqué. Les occasions de se faire plaisir dans ce domaine étant plutôt rares, et étant grand amateur de bondage, je notai le numéro de téléphone portable et j'appelai. Une voix masculine me répondit, je pensai à un homme d'une trentaine d'années à peu près ; c'était un photographe amateur, qui, à la demande d'une amie japonaise, de passage dans la région et experte en shibari, mettait à sa disposition son loft équipé, au dernier étage d'un petit immeuble qui en comptait trois. Cette dame n'avait pas pratiqué son art depuis quelques mois et cela lui manquait ; de plus, elle voulait garder un souvenir de cette expérience. Rendez-vous fut pris pour le vendredi, à la terrasse d'un café. Le couple (le photographe et la dame japonaise) m'ont tout de suite inspiré confiance ; de nature joviale, aux physiques agréables et aux visages ouverts, tout prédisposait à penser à une « équipée » inoubliable, tant sur le plan convivial que ludique, et lourde de perspectives et de promesses délicieuses et jouissives. La jeune femme qui s'occuperait de m'attacher avait des manières posées, de belles mains, s'exprimait à la fois en français et en anglais, mais de façon calme, malgré ses difficultés pour se faire comprendre. Elle respirait l'intelligence et je rêvais d'être son jouet, de lui appartenir. J'acceptai le deal : quelques heures de mon temps contre le fait de les passer de la manière la plus agréable qu'il soit. La jeune japonaise serait assistée par une amie française, qui s'occuperait de l'intendance (sandwiches, biscuits, boissons, et que sais-je?), tandis que le photographe immortaliserait la scène sous tous ses angles ; de manière anonyme répétai-je un peu inquiet. Aucun souci à se faire pour cela me répondit-il. C'était prévu pour le lendemain après-midi, la veille du départ de « Miss shibari » pour le Japon, et, à quinze heures tapantes, je sonnai à l'adresse indiquée...
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Par : le 27/09/13
Elle frissonne d'impatience. Il frémit de hâte. Depuis combien de temps se parlent-ils par écrit, chaque jour ? Qu'importe. Seul importe le décompte. Six cents kilomètres. Trente jours. Il lui arrive, à lui, quand il est installé à sa place habituelle à sa terrasse habituelle, de se dire qu'il est pile en face de de sa nouvelle Mecque à lui : son Très Saint Cul, à Elle. Six cents kilomètres. Six cent mille mètres. Soixante millions de centimètres entre leurs peaux. Quinze jours de marche. Il lui arrive d'avoir envie de partir tout de suite, à pied, comme ça, maintenant, pour être auprès d'elle deux fois plus vite. Trente jours. Sept cent vingt heures. Deux millions et demi de secondes. Ils décomptent, prisonniers barrant les jours aux murs de leurs cellules. Prisonniers de l'espace et du temps. Libres, leurs esprits se connectent, par-delà les océans de la fatalité.
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Par : le 26/09/13
Que de temps et d expériences passées depuis ma première branlette d adolescent pré-pubère un soir seul dans ma chambre. D extrêmement timide à mes débuts je suis passé, au fil de mes expériences à l homme plein d assurance que je suis aujourd hui. Des femmes, j en ai connu dans ma vie , beaucoup, j ai eu très tôt l avantage de leur plaire ce qui m a grandement facilité la vie je dois bien l avouer. De curieux je l ai toujours été et ce même à mes débuts , mon attirance pour le sexe et tous les plaisirs qui en découlaient ne s est jamais démenti bien au contraire allant jusqu à multiplier les expériences afin d en découvrir chaque jour davantage. Et plus je faisais de découvertes plaisantes plus cela m excitais et m encourageais à aller de l avant. Au fur et à mesure de mes rencontres et devant le succès rencontré, j en demandais chaque fois un peu plus , ce petit plus qu on me refusait guère tant les plaisirs étaient bien au rendez-vous. Mais pour moi mon plaisir est et a toujours été celui de ma partenaire, il n y a rien de plus enivrant à mes yeux que d entendre une femme prendre du plaisir , petit à petit cela devient comme une drogue . Chaque femme a sa propre façon de l exprimer , certaines juste dans un souffle, seul leur corps montrant son expressivité dans un élan de soubresauts non contrôlés, d autres plus expressives laissant échapper quelques petits cris bienvenus dont elles essayent d en maîtriser l intensité et enfin les plus plus démonstratives, celles dont bien des années après l on se souviens encore, qui hurlent leur plaisir , hurler est bien le bon mot, et même quelques perles rares qui allient hurlements et soubresauts violents non contrôlés allant jusqu à se cogner dans presque tous les recoins et ou meubles de la pièces tant (j exagère très peu) elles sont incapables de se maîtriser. La première fois qu on entent hurler de jouissance une femme, le premier réflexe est de lui mettre la main sur la bouche afin d en diminuer le volume, pensant de suite aux voisins et à leurs futures plaintes, puis après avoir acquis une certaine maturité due au contact régulier de femmes ayant cette particularité on se surprend à vouloir la faire crier plus fort encore pour ainsi le lendemain et les jours suivants croiser ses voisins la tête haute tel un gladiateur entrant dans l arène, et aussi ses voisines elles plus qu envieuses bien que se refusant à le montrer... Comme quoi les hurlements de plaisir de votre partenaire vont vous procurer certes un grand plaisir immédiat mais aussi qui devrait durer plusieurs jours voir semaines tant les regards que les gens poseront sur vous vous amuserons. Femmes je vous aime comme l a si bien chanté Julien Clerc , j ai eu la chance de rencontrer des femmes merveilleuses, délicieuses, passionnantes, attachantes, J ai longtemps chercher la femme parfaite ,celle qui me correspondrait totalement qui comme chacun le sait n existe pas tout comme l homme parfait d ailleurs. On m a souvent prêté plus de relations que je n en ai eu en réalité, me gardant bien de démentir telle ou telle affirmation car servant à ma cause lol. Petit à petit mes désirs et ou orientation de domination se sont fait de plus en plus présents, allant presque à devenir une obsession, j ai donc orienté mes recherches dans ce sens et j ai eu la chance encore une fois de rencontrer des femmes qui avaient les mêmes aspirations que moi dans ce domaine si particulier parmi lesquelles certaines avaient déjà eu des expériences BDSM et d autres étaient de fait réellement soumises. Grâce à mon imagination débordante et bien qu étant relativement novice dans ce milieu, aucune d elles ne s est offusquées de mon manque d expérience, et il m a fallu peu de temps pour en comprendre les effets bienfaiteurs que ceci pouvait apporter dans une relation. Bien qu appréciant de plus en plus les relations D/S , j alternais durant des années les relations "vanille" avec celles bdsm, que voulez vous, le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas et lorsque j étais en mode "vanille" au bout de peu de temps, a chaque fois j ai essayé d éduquer l autre pour l amener vers cet univers dont bien qu amoureux d elle je ne pouvais masquer davantage et bien que j ai connu quelques belles avancées plutôt spectaculaires avec certaines, elles n en avaient hélas pas l esprit , beaucoup trop de contraintes souvent incontournables ont fait que ces relations se sont toujours soldées par un échec, car finissant par me lasser je les quittais. J ai souvent fait souffrir je le sais et le regrettes vraiment. Et des souffrances après le décès de ma chère Isa j en ai infligé plus que de raison. Multipliant les rencontres je rompais des que je sentais poindre les prémices de quelques sentiments forts et ou l amour, que se soit de leur coté ou bien du mien. J ai ainsi gâché quelques belles relations avec des femmes dont leur investissement , leur amour ne méritait pas pareille sanction . Il m a fallu du temps, plusieurs années avant qu enfin je m apaise et retrouve en moi cette tranquilité d esprit . Maintenant au jour d aujourd hui ,oui je me sens prêt , prêt pour explorer, vivre, et découvrir sereinement, à deux , ce monde merveilleux qu est le BDSM
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Par : le 26/09/13
Le ruban de l'autouroute semble interminable. Les phares trouent la nuit avec ceux des autres voitures, voisines et compagnes de route éphémères. Il rongeait son frein depuis si longtemps, et aurait volontier mordu pour que le Sablier de Chronos s'écoule plus rapidement. Mais il a fallu faire preuve d'une impitoyable patience.Le village est endormi. Pas un bruit. Il l'appelle en lui envoyant un message afin qu'elle sorte et qu'elle le découvre. Il avait changé depuis la derniére fois qu'il s'était vu. Déjà, il n'était plus le même... tellement de choses avaient changé, évolué, ... voir chamboulé.Elle sort. Moment magique de retrouvailles, tant attendues. Moment de douceurs et de tendresses, échanges de regard; ils mangent ensemble et lui se détend. De la route, certes, mais de la suite. Leur première rencontre était la découverte, mais il sait qu'un grand pas va etre fait. La base de leur rencontre était le BDSM. Notion connue par Lui, mais uniquement en virtuel. Jamais de réel, que des discussions en tchat, forums, ou la lecture de livres et articles ou le visionnage de films ou clips. Ce monde correpond à ce qu'il rêve depuis plus de 10 ans, mais il est toujours resté à l'état de fantasme, d'imaginaire. Et il est à 2 doigts de concrétiser cela.Ils en avaient parlé longuemment avant. Il lui avait exprimé ses gouts, ses attirances, ses espérances, mais aussi ses doutes et son point de vue sur cette passion et le role du Dominant, à ses yeux. Le Dominant, pour Lui, est la personne privilégiée qui peut tout faire de sa Soumise. Mais cela signifie qu'il se retrouve, sous ses mains, avec un corps donné, offert, inoffensif et terriblement vulnérable. L'Ame aussi lui est offert. Quelle responsabilité de se retrouver en quelques secondes avec Tout Ca dans ses mains, soumis à ses Envies, à sa Merci. Ce concept prend une toute autre tournure quand ce moment approche .... C'est un peu comme le plongeur qui découvre pour la premiére fois le grand plongeoir, en vrai et plus en photos.Elle l'avait rassuré, calmé ses doutes. Et puis, ce n'etait pas la premiére fois qu'il se voyait. Mais un grand monde inconnu se dessinait. Lui qui ne connaissait ni ses réactions, ni celles de sa Soumises. Allait-il être à la hauteur et pourrait-il prolonger ce rêve qui a débuté merveilleusement bien ? Elle avait beau le rassurer, il était inquiet. Au fond de Lui, il n'oubliait pas une chose. Il n'y avait que cette petite crainte du pas à faire pour que sa personnalité BDSM ressorte. Comme le plongeur qui sait sauter et nager, mais qui lui manque la petite impulsion pour se jeter à l'eau et nager comme un poisson. Il connait son rôle et veut le jouer. Rôle qu'il veut jouer et convoiter depuis si longtemps; il l'a. Il a ce rôle. Mais ce n'est pas sans émotion qu'il s'assied dans le canapé et appelle sa soumise pour qu'elle le rejoigne. Il la fait mettre à genoux devant Lui. Il pose sa main sur sa joue et améne sa tete contre sa cuisse. C'est une caresse riche en émotion et si intense qu'il sent lui même battre son coeur. La tête de sa Soumise sur sa jambe, appuyée pas sa propre Main ... Quel geste riche en symbolique ! Puis, il lui offre un peignoir afin qu'elle n'est plus froid chez elle. Sa Soumise n'est pas qu'une simple soumise, un objet de désir; il tient par dessus tout à son bien-être, son bonheur. C'est ainsi, pour lui, qu'un Dominant vit avec sa Soumise. Elle lui offre son Corps et son Ame, a Lui de Veiller sur Elle et à son bonheur.Cassé par le voyage, et affectionnant particuliérement les massages, Il va prendre une douche avec elle, Lui demandant de le masser le long de la colonne. Le voyage a été épuisant et il l'a mérité.Enfin, encore un petit moment de complicité quand ils se retrouvent tous les 2 dans leurs peignoirs respectifs, à se blottir l'un dans l'autre pour se réchauffer.Le moment tant attendu approche, mais elle fait durer en Lui demandant de s'allonger pour lui offrir un autre massage, fortement apprécié. Il ne s'en lasse pas et se détend intégralement.Enfin, les objets du désir, fantasmés sont sortis. Il les prend en main, les teste sur Lui. C'est donc ca, en vrai. Ca fait donc ca, en vrai. Elle l'avait rassurée sur de nombreux points, dont leur utilisation. Il commence alors doucement, demandant a sa soumise son ressenti. Trop fort ? pas assez ? Il jauge, ajuste. Mais trés rapidement, son esprit réfléchi se détend et est progressivement remplacé par celui qui était enfermé jusqu'à présent. Ces objets de fantasme deviennet des jouets, des instruments de plaisir pour le Sien et ceui de sa Soumise. Il prend ce plaisir intense de la voir sursauter, gémir sous ses mains et prendre du plaisir.Il joue, il laisse parler son Coeur de sadique, son imagination; il joue avec les réactions de plaisir de sa Soumise; il joue a faire monter le plaisir et le désir de chacun d'eux. Il joue. Ces gestes qu'il appréhendait il y a encore seulement quelques heures sont devenus naturels et déconcertants en plaisir. Quel bonheur intense de pouvoir manier cette cravache qui se balade partout sur Elle, lui arrachant des cris et gémissements de plaisir. Quel bonheur de la fouetter avec le martinet en laissant parler ses sentiments. C'est un véritable soulagement pour Lui qui craignait ce moment de passage au réel. Il est à présent comme le poisson dans l'eau. Une véritable délivrance s'est emparée de Lui au moment même où une étrange agréable sensation de légèreté et de bonheur s'empare de Lui. C'est un moment unique que cette premiére fois. Il est là, sa soumise sous ses mains. Elle s'abandonne à Lui, à ses mains, a ses claques, coups, fessées, toutes ses volontés. Moment délicieux que ne peuvent égaler nul autre cadeau. Recevoir ainsi le Corps et l'Ame de sa soumise est d'une valeur inestimable qu'il s'applique d'honore en faisant rougir et chauffer cette douce peau, perturbant les sens, usant tant qu'il veut de la cravache et du martinet.Le jeu est si délicieux qu'il prend plusieurs formes. Il se laisse aller a tester autres chose. La curiosité d'en savoir plus, mais le bonheur de pouvoir toucher enfin du réel le pousse à aller un peu plus loin, a tester d'autres materiels. Mais il restera là. Le moment est déjà intense et magique. Ils sont comblés et partagent enfin pour de vrai leur passion, cette passion qui les a fait tchater, telephoner, discuter, se rencontrer, puis, s'aimer.L'aube ne tardera pas a se lever quand ils s'arrêtent, surpris du temps qui est passé si vite mais ô combien unique et délicieux.Retrouvant un moment de tendresse amoureux, ils s'endorment ensemble, emportés par des rêves d'espoir, de plaisir, d'avenir, de bonheur partagé vécu et à vivre prochainement.Il n'est de plus beaux rêves que ceux qui deviennent réalité. Ils sont comblés, heureux d'avoir avancé sur Leur Chemin à Eux Deux, heureux d'avoir vécu ce premier jeu ensemble. Ces 2 jours exceptionnels passent sous un ciel sans nuage, garnis de moments de rire, de tendresses, de partages, de complicité, de petits gestes, de bonheur.Il a envie d'aller loin avec Elle. Il sait, et Elle aussi, que leur Route ne fait que commencer. Lui sait que cette route sera particulière. Ayant horreur de voir des aiguilles, ou autres machins de ce genre, rentrer dans la peau, il se surprend à choisir et voir la pose des nouveaux piercings aux tétons d'Elle. Il se surprend aussi à vouloir, en toute sincérité, assister à la création de la suite du tatouage de son Bijou.Beaucoup de choses ont changé en Lui depuis Leur rencontre. Il sait que ce n'est pas fini. Par la tendresse et le fouet, par les calins et la cravache, par les petits gestes d'affection et les cordes, par les moments de complicité et de Domination , par les rires et les cris, Ils s'aiment tous les 2 et peuvent vivre leur passion intensément et librement.Mais le Sablier coule toujours, et vient le moment pénible de se séparer. Torture commune subit par tous les 2, mais moment aussi unique où chaque mot, chaque phrase a une valeur inestimable pour l'oreille de l'autre.Mais encore plus fort que les mots ou les caresses intenses et désespérées : le regard. Ce regard qui traduit toute la tristesse de la séparation, mais tout l'espoir de se retrouver rapidement. Ce regard, à la fois celui du Dominant et de l'Homme, de la soumise et de la Femme qui vient taper le Coeur pour lui rappeler qu'un autre Coeur bat aussi pour lui.Les yeux pleins d'étoiles et d'emotion, le Coeur rempli d'Amour, dans un Esprit nouveau et libéré, il reprend le volant sur ce long ruban qu'il espére voir fortement réduit.En attendant, ils se reverront trés bientot pour vivre leur Amour 2 semaines d'affilées....Je t'aime....
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Par : le 26/09/13
Arrivé devant chez toi et à peine descendu de la voiture je t ai envoyer un sms, Ce sms que tu attendais je le sais avec beaucoup d impatience car il était le signal du début du passage du virtuel au réel Je te donnais cinq minutes , pas une de plus pour te préparer et te mettre en place avant mon entrée chez toi, dans ton univers car c est bien ainsi que tu l avais voulu, au moins pour la toute première fois. La veille au soir je t avais envoyé un mail détaillant chaque point et chaque détail de ce que j espérais de toi, et je sais que surprise tu as dû l être car bien que tu avais une petite idée du scénario que tu espérais, ainsi tu me l avais confié à plusieurs reprises essayant par là même d induire mon choix définitif, celui que je t ai envoyé ne correspondait pas et j en avais le sourire aux lèvres à ceux qui t avais tant plu. Une semaine auparavant je t avais envoyé plusieurs "petits scénarios" concernant notre 1er rendez-vous parmi lesquels deux ont retenu toute ton attention, tu les avait trouvé tous très excitants mais quelque peu trop osés ou trop hard pour toi ou demandant de toi une implication que tu n étais pas sure de pouvoir accomplir du moins ce jour là. Pour pimenter un peu la chose je tai dit dès le début que ce serait moi qui choisirai le scénario de cette première rencontre parmi tous ceux que je t enverrai et que les autres scénarios n étaient là que pour t indiquer ce que nous ferons par la suite, ainsi tu pourrais commencer à te préparer doucement et mentalement à ce qui devrait t attendre dans les prochaines semaines, mois. D accord tu l as été de suite, excitée à l idée de ne pas pouvoir choisir celui qui pimentera cette rencontre , même si au fond de toi tu l aurais quand même souhaité t évitant ainsi cette longue attente faite d incertitude quand à mon choix final. Les cinq minutes s étaient écoulées et c est le sourire aux lèvres que je montais les escaliers menant à ton petit chez toi. Arrivé devant la porte je l ai trouvé entrouverte, comme convenu et après l avoir poussé légèrement je te découvrais enfin. Tu étais debout face contre mur, je suis resté ainsi a t observer quelques minutes, sans un mot, sans bouger puis je me suis approché de toi , tu avais les yeux bandés, les mains menottées dans le dos , les jambes écartées, tu étais habillée d un chemisier transparent sous lequel je voyais très bien tes seins lourds se soulever au rythme de ta respiration , hummmm vue très excitante , et pour le bas une toute petite jupe courte que tu avais relevé afin que je puisse voir d emblée la naissance de tes jolies fesses à peine couverte d un joli tissu qui les rendaient encore plus excitantes. Ton visage était maquillé a outrance te donnant l impression d être une femme facile, ce que tu n étais de loin pas. Ce contraste ainsi que ta tenue on ne peut plus osée te rendait encore plus excitante, plus désirable... Je m approchais tout près de ton oreille et d un chuchotement te dis : < dis le moi enfin petite brune> Tu hésitais quelques secondes, je l ai bien noté ,tant l enjeu était important. Tu étais en passe de franchir cet obstacle que représentait cette barrière ,plus psychologique qu autre chose qui t avais maintenue dans une frustration que tu ne supportait plus ,tant tes désirs de soumission réelle se faisaient présents, pesants , cette barrière que tu n avais fait qu enjamber jusqu à présent et bien qu attirée par le monde qui se trouvait de l autre coté tu avais attendu longtemps m avais tu dit car il te fallait d abord trouver le guide qui saurai te diriger et t aider à aller de l avant dans cette exploration. Puis d une voix décidée sans aucune hésitation tu me dis < Monsieur, je suis à vous , toute à vous , veuillez accepter ma soumission envers vous comme une preuve que vous êtes bien celui qui me guidera , me dirigera, et m éduquera dans la nouvelle vie que j ai choisi . Ce fût le début d une longue, passionnante et excitante histoire.......
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Par : le 25/09/13
La fin d'un cycle, et le début d'un autre. Déchéance et rédemption. J'étais très amoureux de cette femme. Elle avait été ma soumise pendant 4 mois, avions vécu une histoire de couple pseudo-vanille, après, pendant 2 ans. Elle m'avait rendu mon Collier, mais avec le recul, aujourd'hui, je me dis qu'elle était encore ma soumise, sauf que je ne le voyais plus. Nous nous quittions en nous déchirant 3 fois par semaine, en moyenne. Pathétiques. Elle me quittait souvent, avec un discours humiliant à mon endroit (mon envers ?). J'étais amoureux. Un jour je l'ai quittée. Sans appel. La garce a tourné dans mon quartier, m'a trouvé, emboîté le pas. J'ai essayé de la semer, fait des tours de pâté de maison, accélérant aux coins des rues. Rien n'y fit. Comme j'essayais de trouver refuge en ma grotte, elle a réussi à glisser un pied dans ma porte. Est rentrée chez moi par la force. Une fois à l'intérieur, elle a résisté à mes injonctions verbales de quitter les lieux. Devant son refus, j'ai essayé de la foutre dehors, manu militari. Le pugilat qui s'ensuivit ne tourna pas en ma faveur : Je sortais de chez mon ostéo, mon corps était fragile. La Salope mesurait 1m80 (enfin, c'est ce qu'elle dit à qui veut l'entendre, en réalité c'est 1m78 1/2) pour plus de 80 kg. Et une Bête animée par la Rage. La gifle était pour moi une limite très dure. Pas question de frapper quelqu'un, et encore moins une soumise, au visage. J'ai vécu une relation vanille avec une femme qui m'a donné 2 enfants. Et en 20 ans de vie commune, nous nous sommes donné 1 gifle chacun. Méritées. Pour elle comme pour moi. Je ne suis pas un homme violent. Et là, le Diable me pardonne, ou pas... La gifle est partie sur sa joue. Pas une beigne, non. Une gifle. D'autant plus mesurée que je connaissais ses problèmes dentaires. Elle a tendue l'autre joue, la conne, et en a pris une 2ème. Elle a demandé "encore". S'est pris un aller-retour. Cela faisait 4. Nous nous sommes regardés, elle a abdiqué. Le pugilat a repris pour qu'elle sorte de chez moi. Elle avait réussi à me rendre fou, hors de moi, d'une violence que je ne me connais pas. Nous étions au sol, je lui ai donné 4 coups dans le gras de la cuisse. 4 droites : "SORS-DE-CHEZ-MOI !!!!" La Furie s'est mise à hurler : "BAISE-MOI ! BAISE-MOI CONNARD ! JE MOUILLE PUTAIN ! BAISE-MOI !". Sauf que moi, je ne bandais pas. Mais alors, pas du tout. J'ai appelé les flics. J'avais peur. Elle est partie. Le lendemain, je suis allé poser une main-courante. Quelque mois après, j'ai rencontré une autre personne, une belle personne. Une très belle personne. Férue de gifles. J'ai eu du mal la 1ère fois. Comment la gifler ? Elle me faisait sentir si gentiment qu'elle aimait ça... Et puis, elle m'a fait comprendre la puissance furieusement érotique de la salade de phalanges. C'est devenu notre préliminaire. Je la giflais, jusqu'à ce qu'elle pleure. Et je léchais ses larmes. Ce n'étaient pas des larmes de tristesse, non. Un jour, je lui ai demandé de se charbonner les yeux comme une pute, comme ma pute. Je l'ai giflée, elle a pleuré. Magique, émouvant et beau. J'ai fait un portrait d'elle, les yeux humides, le rimmel sur les joues. Un faible sourire sur ses lèvres. Et ce regard. Ce regard. Et mon Collier à son cou. Je ne regrette rien. Seuls elle et moi avons vu cette photo. Ou presque. Vous ne la verrez pas.
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Par : le 24/09/13
De la Femme Dominatrice.... Je sais que je vais "ramasser grave", mais m'en fout... Femme Dominatrice disais je ... Je pense que cela ne s'improvise pas. Comme on ne s'improvise pas "soumis". J'en ai cotoyé, j'ai été aux pieds de certaines. J'ai pu mesurer certaines fois leur grandeur d’Âme (et à chaque fois, j'ai retrouvé la FEMME, fragile, mais si forte, tellement plus forte que nous... respect, il n'y a pas photo...) ,mais souvent leur bassesses. On peut avoir des tendances dominatrices, et être très loin de cette stature... A des années lumières. Et je ne veux pas qu'a ce stade, vous me taxiez de partialité. Une Dominatrice a une hauteur de vue, une classe, une prestance, devant lequel le soumis ne peux que s'incliner. Et ne venez pas me dire que je suis dans un monde de bizounours, comme j'ai entendu récemment. Une Dominatrice ne s’arrête pas à ça. Elle EST. Point. Le soum doit se fonder dans les pas de sa Maitresse, œuvrer pour son plaisir. Ne pas penser que c'est à sens unique. Maitresse est là, qui veille sur son soum, qui va l'emmener plus loin, qui va lui apporter (un peu) ce qu'il attend, mais encore plus loin, vers des domaines qu'il ne soupçonne même pas. Non, pas de récriminations du style, je rêve, je suis à l'ouest , nul, j'y connais rien etc, je sais que vous etes plus affutés pour ça que moi... Dans cette relation, un mot et un seul doit émerger: Communication. Parole, dialogue, échange, appelez ça comme vous voulez. Mais les yeux dans les yeux, bugne à bugne... Pour avoir les intonations de la voix, les nuances dans les yeux, les frissons de la relation en LIVE. Reprendre ses propres erreurs comme un boomerang, DIRE ses frustrations,recevoir en pleine face ses propres insuffisances... Parler... Avancer, progresser vers l'autre.... Mais une telle relation reste , pour moi "transitoire", je veux dire que ce moment reste exceptionnel, car la vie, les emm... vous dezinguent rapidement. Et ceux qui arrivent à vivre une relation " long shot" sont pour moi des extraterrestres. Certaines se reconnaitront ... Maitresse Marika, qui ne doit pas etre sur ce site, Maitresse Ophélie, qui hélas, n'est plus de ce monde... ( cf Cactustory, idem). Bon, je m'égare. Dominatrice, disais je.... Pas de gestes "grandiloquents", de pseudos coups grand guignolesques.... Pas d'injures déshonorantes ( bon, certains aiment, respectons la diversité)), juste un geste du doigt, impérieux, qui vaut toutes les paroles... Mais aussi une tendresse, une , comment dirais je?, indifférence mais " je suis touchée que mon soum ait pensé à ça"... Et un merci... Attention, pas merci...merci. Un remerciement par oserai je dire une "amoureuse sévérité" qui va encore resserrer les liens ( ben wi on ne s'en sort pas) entre Tori et Uke.... Alors , je fatigue de vivre des choses avec des "impostrices???? Pour le moment, dans ma vie, la seule chose qui ne trompe pas, c'est la corde. Pas ces pseudos dominas qui cachent leur propre insuffisance derrière tellement de paravents. La corde. Elle qui m'envoie si haut, qui me fait tant décoller que j'en perd conscience... Elle qui ne trahi pas, qui juste serre et fait voyager. Soul... Feel....... & Ropes ...... Just Kinbaku ! Vous reconnaitrez cette devise, elle n'est pas de moi... Mais elle est tellement vraie. On dit qu'il faut regarder le verre à moitié vide ou à moitié plein... (dur quand on est " presbyte" comme j'ai entendu..) La corde me fait remplir le verre, une Maitresse me le fera déborder... Mais une MAITRESSE.
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Par : le 23/09/13
Nous nous retrouvons à la terrasse d'un café. Elle sort mon Collier de son sac à main, le passe à son cou. Nous nous regardons.L'instant est suspendu. Je scelle le Collier, la petite pièce aimantée vient se loger à sa place. Clic. - Aujourd'hui tu vas pisser pour moi, dehors. - Je ne vais pas y arriver, Monsieur. - Tu y arriveras. Nous partons nous promener un peu au hasard, nous arrêtant de temps en temps quand un endroit me semble propice à une miction, suffisamment peu fréquenté pour ne pas choquer d'éventuels passants qui n'ont pas demandé tel spectacle. Mais à chaque fois, rien ne vient. Il faut dire que la garce a une énorme vessie, et ça je l'ai appris plus tard. Pouvant passer 3 jours sans uriner, elle était allée consulter un médecin qui lui avait diagnostiqué... juste une vessie de compétition, hors catégorie. Rien ne vient. Ne voulant pas bloquer la docile, me vient alors une idée. Nos pas nous avaient menés sur les quais. Et là, à cinq minutes de marche, je connais un endroit secret. Nous allons jusqu'au pont. Comme un passage magique, un petit portillon avec une poignée, qui s'ouvre, entrez, c'est ouvert... Une petite échelle. Une plateforme sous la pile du pont. Le fleuve laisse couler ses eaux grises sous nos pieds, loin dessous notre plancher grillagé. Au loin, des voitures, des gens, tout petits. La sensation d'être en poste d'observation, et de ne pas pouvoir être vus. - Pisse maintenant. Le port de la non-culotte étant de rigueur, elle n'a qu'à soulever un peu sa jupe et s'accroupir. Mais rien ne vient. - Met-toi à genoux, ouvre ma braguette et sors ma queue. Je la prends par les cheveux, et je pisse, sous son nez. Ses yeux, à quelques centimètres à peine de mon sexe gonflé de désir, ne perdent pas une miette du spectacle. - C'est à toi maintenant. Elle s'accroupit. Les secondes passent. Une goutte. Les secondes passent encore. Trois gouttes. Et les secondes passent. Puis comme une digue qui cède, l'eau relâchée soudain du barrage inonde la vallée. Un flux de vie, un flot de furie qui jaillit avec une puissance et un déferlement inouïs. Et elle pisse, et elle pisse, et elle pleut par trombes à faire déborder le fleuve qui coule en bas. Et c'est interminable, et ça n'en finit pas, le jaillissement ne faiblit pas et dure, encore encore encore. Combien de temps cela peut-il durer encore ? Après quelques siècles, l'ouragan finit par se calmer. Trois gouttes perlent. Elle a réussi. Ils s'aiment. Dessous, le fleuve coule ses eaux grises.
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Par : le 22/09/13
Les soumises sont des sadiques ! Prenez une soumise réelle qui vit réellement sa soumission comme un Art de vie et confiez-lui des soumis en lui ordonnant de leur faire du BDSM. Au départ la soumise refuse et râle en vous disant qu'elle n'est pas Maîtresse. Elle insiste même en vous rappelant qu'elle est soumise dès fois que vous l'auriez oubliée...... ! Insistez en lui rappelant qu'une soumise n'a pas à discuter les ordres de son Maître. Si besoin est, annoncez qu'une protestation ou un refus sera sanctionné d'une punition. (Chez moi les punitions sont redoutées car ce ne sont pas des jeux BDSM) Regardez-la partir en râlant et observez attentivement. Vous constaterez que si la dite soumise est bien soumise, passé les premières minutes l'ordre de dominer sera exécuté avec une certaine forme de sadisme. CONCLUSIONS PERSONNELLES et plusieurs fois constatées : Les réelles soumises ne sont pas domina et ne switchent pas, dominer ne les intéresse pas et les ennuie fortement, elles feront l'effort si elles n'ont pas le choix. La domination qu'elles mettent en place (puisqu'elles n'ont pas le choix) risque de vous surprendre de part leurs côtés pervers et sadiques. ET LE PIRE c'est que si ces soumises sont maso, les pauvres soumis risquent de souffrir car elles adaptent la puissance des coups et actions en fonction de leur propre masochisme ! Aie aie aie si le soumis n'est pas maso..... Personnellement (en grand pervers que je suis) j'adore faire dominer mes soumises parce qu'elles râlent mais exécutent mes ordres et les regarder m'amuse beaucoup. J'aime voir les rictus sur leur visage. Si comme moi vous aimez observer, vous serez surpris. Les soumis n'apprécient pas toujours (rire) mais ont-ils le choix ? Après une séance de domination réalisée par une soumise contrainte de dominer, une reprise en main de votre part est aussi salutaire qu'une bonne douche pour Hercule après ses grands travaux. La soumise ne vous en sera que plus reconnaissante...... J'ai fait le test avec deux soumises, si les approches sont différentes, les résultats sont les mêmes, les soumis « dégustent » et je m'amuse. TSM Maître et psychopathe en chef chez Fessestivites
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Par : le 21/09/13
Il me fut signifié que la nudité serait désormais ma "tenue" normale en intérieur, agrémentée d'un collier de cuir noir avec anneau, et d'une cage de chasteté en métal, que j'avais jusque là portée épisodiquement et qui m'enserrerait désormais la verge en permanence, y compris au travail. Elle me fit comprendre qu'il ne fallait plus guère compter sur la possibilité de l'utiliser. Dès que je franchissais le seuil de la porte de l'appartement, que ma Maîtresse - puisque c'est ainsi que je devais l'appeler dès que nous étions seuls - soit là ou non, je devais systématiquement me dévêtir. Elle plaçait ensuite mes vêtements dans un dressing qui fermait à clé. Les mois d'hiver, le chauffage était réglé pour son confort et en aucun cas pour le mien. Cependant, si j'ai au début parfois eu à souffrir du froid, je me suis très vite habitué à mon nouvel état. La cage de chasteté était un modèle haut de gamme en métal, qu'elle avait longuement choisi, et qui s'adaptait parfaitement aux proportions de mon sexe. Je devais avoir le sexe intégralement épilé et elle était très attentive à ce point. Elle gardait la clé toujours dans son portefeuille et avait conservé un double en un lieu que j'ignorais. Les premières semaines de port permanent de la cage furent douloureuses, car j'étais pris d'érections violentes, puis elles se firent de plus en plus rares, jusqu'à disparaître. Ma psychologie avait intégré l'état de servitude, et c'était ce qu'elle voulait. La libération venait une fois par mois. Elle m'autorisait alors à me masturber à genoux devant elle. Elle ouvrait le cadenas, et je vidais mon membre mou à même le parquet. Une jouissance de quelques secondes, sous son regard dédaigneux. Je nettoyais et, pour éviter que je retrouve certaines velléités d'indépendance après cette éjaculation, elle saisissait la cravache et me donnait une sévère correction, frappant tout le corps y compris les testicules.
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Par : le 20/09/13
Nous nous étions trouvés sur un site ou les forums sont rois Moi je fréquentais plus les forum sexe et toi plus ceux traitant de psychologie. A cette époque j avais une certaine réputation voir une réputation certaine et rien ne nous prédisposait à nous rencontrer. Ma présentation sur ce site était on ne peu plus explicite donc personne ne me contactait par hasard ce qui était bien le but recherché. Pourtant un jour , j ai reçu une demande d ami assez particulière et pour le moins innatendue.... Accompagné de ta demande tu avais mis un mot, me disant que cela faisait presque 30 ans que tu étais en couple avec le même homme , qui avait l esprit aussi fermé qu une huitre et dont les prouesses sexuelles se résumaient à prendre son plaisir et quelques fois par pur miracle de t en procurer un plus mécanique qu autre chose aussi ,mais point d aucune fantaisie particulière , toujours la même position ...le missionnaire qui cela faisait bien longtemps qu elle ne t excitait plus. Tu me dis aussi qu à ton âge tu avais envie de connaitre autre chose de plus excitant et que mon profil ne t avais pas laissé indifférente, bien au contraire, donc tu me demandais cash d être ton amant au moins le temps d un week-end et plus si affinités car tu en avais marre et voulais absolument tromper ton compagnon. Cela faisait des mois que tu en avais envie mais certes tu voulais le tromper, mais pas avec n importe qui... Tout d abord interloqué je finis par répondre par l affirmative à ta demande, car elle avait su éveiller en moi une grande curiosité. Après avoir discuter presque deux semaines, te découvrant aussi charmante qu intelligente voir même attachante nous avons convenu d un rdv qui se passerait chez moi. Tu habitais très loin de chez moi, moi près de Genève et toi près d Agen aussi vu mon emploi du temps nous avions convenu que se serait toi qui viendrait me voir. Tu es arrivée en train et à peine descendue je suis tombé sous ton charme presque immédiatement, tout en allant chez moi en voiture, je m attendais à une certaine timidité de ta part et au contraire tu parraissais déterminée dans le choix que tu avais fait. Durant ce week-end nous ne sommes pas sortis de chez moi, du plaisir, celui que tu étais venue chercher je t en i donné comme jamais me disais tu tu n en avais eu. Ta beauté et ton sourire ressortaient encore plus à chaque orgasme que tu as eu. En plus de faire l amour nous avons beaucoup parlé, de tes motivations bien sur mas aussi de ta vie , de tes choix, de tes désirs et fantasmes... Toi si terre à terre dans ta vie de tous les jours , si droite dans ton métier d expert comptable tu n en revenais pas d avoir trouvé le courage d être venue chez moi et ne regrettais juste que de ne pas l avoir fait avant, d avoir attendu si longtemps. Le dimanche soir en te raccompagnant à ton train tu me dis vouloir revenir ,qu actuellement en arrêt maladie tu pouvais te le permettre et qu après avoir découvert tous ces plaisirs tu savais qu avec moi comme guide tu en découvrirais bien d autres inimaginables pour toi jusqu ici. J acceptais car ta personnalité m impressionnait beaucoup et aussi surtout tu avais si bien su me charmer. Une semaine plus tard tu es revenue passer 15 jours chez moi. 15 jours de bonheur et de plaisirs.... Là tu m as raconté être en arrêt maladie suite à un cancer et que la partie semblait gagnée, que tu avais beaucoup souffert et que d être passé si près de la mort t avais en quelque sorte ouvert les yeux quand à tes désirs enfouis jusque là, masqués par le paraitre à maintenir coute que coute face à la société . Tu avais pris conscience, d un coup, que la vie passait trop vite, beaucoup trop vite et que tu ne voulais pas arriver à l antre de la mort nourrie, voir pourrie de regrets. Tu es reparties chez toi et est revenue de nouveau chez moi pour cette fois-ci y rester , tu avais tout préparé en conséquence ne laissant aucun autre choix à ton maintenant ex-compagnon. Au fil des jours et des semaines, nous sommes devenus hyper complices ,de cette complicité rare qui vous transforme , nous n avions point de secrets l un pour l autre et une totale confiance l un en l autre, l amour avec un grand A était notre quotidien. Nous étions en totale osmose de celle qui reste comme utopique pour la plupart des gens mais qui pourtant lorsque qu on l atteind enfin ressemble au graal ... Ensemble mais ne faisant qu un, rien ni personne ne pouvait nous atteindre, nous blesser d une quelconque façon, nous étions comme "intouchables" Les mois sont passés dans ce bonheur sans nom qui grandissait chaque jour un peu plus, nous étions heureux, totalement heureux.. Et puis un jour une mauvaise nouvelle est tombée, ton cancer refaisait surface, oh rien de bien méchant selon les médecins mais ils te fallait rentrer afin d aller te faire soigner sur Bordeaux. Je t ai accompagné , tu as dûe refaire plusieurs chimio , les médecins nous disaient qu ils avaient confiance que tu t en sorte , qu il ne fallait pas trop s inquieter... Après nous sommes rentrés chez moi, je te voyais en chute libre bien que notre amour te donnait la force de lutter, ton courage a toujours été présent et exemplaire et c est toi, toi la malade qui essayais de minimiser tes souffrances qui me perçaient le coeur, toi encore qui te voulait rassurante quand à l évolution de ta maladie, toi encore qui bien que très affaiblie me donnait la force de continuer d avancer. Et puis un jour, tu es parti ... Me laissant juste un mot sur la table de la cuisine me disant que tu partais afin que je ne te vois pas perdre le peu de dignité qui te restait , tu voulais que je garde toujours une bonne image de toi et non celle d une femme déconfite par la maladie.. Et puis un jour, j ai appris que tu étais parti pour toujours ......dans l au-delà Je t ai beaucoup pleuré moi qui ne pleurait jamais et j ai eu du mal à remonter la pente cachant à mon entourage les raisons de ma si grande tristesse. Je ne pouvais exprimer ma douleur de n avoir pas pu être là quand tu es passée de vie à trépas. Ce poids je l ai porté des années durant avant de vraiment comprendre ton choix et les raisons qui t on poussé à agir ainsi Repose en paix
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Par : le 20/09/13
Je passerai les circonstances dans lesquelles nous nous connûmes. Notre histoire :  Elle avait 35 ans, moi 25, et j'ai tout de suite été subjugué par sa beauté hautaine, ses manières de reine et sa féminité exacerbée. Tout de suite nous avons parlé de nos envies. Il s'est trouvé qu'elles concordaient parfaitement. De mon souvenir, je me suis toujours imaginé servir une personne impérieuse et dure, subir des humiliations et châtiments corporels, même ceux que je n'aurais pas d'emblée imaginés. La maturation de ses désirs avait pris plus de temps, mais elle me confiait ses rêves de perversion et de cruauté sur ce qu'elle appelait un "esclave total". C'est ce que je suis devenu. Elle était blonde, grande, élancée, féminine de par ses activités de "working woman" et de par ses coquetteries personnelles. Je ne l'ai jamais vue sans jupe ni talons. Mais l'essentiel n'était pas là. Il était dans sa cérébralité, son raffinement, ses envies particulières qui à mon détriment se sont très vite matérialisées. Moi-même bel homme, j'avais souvent été sollicité par le beau sexe, mais elle avait très vite compris que les tourments qui m'habitaient, qui me faisaient chaque nuit rêver de vivre aux pieds d'un être supérieur, me rendraient d'une absolue fidélité, m'engageraient dans une soumission de plus en plus complète. Nous nous sommes fréquentés épisodiquement, et ces rencontres nous ont permis d'affermir nos désirs, et de déterminer quelle vie serait la nôtre une fois que nous aurions emménagé ensemble. Cela fut fait assez vite, et comme il avait été décidé, un contrat écrit a scellé nos destinées. Elle aurait désormais tous les droits, et moi aucun. Il fallut concilier les vies professionnelles, sociales et privées. Ce ne fut pas toujours chose aisée mais nous y parvînmes. Autoritaire dans tous les domaines, de cette autorité froide qui rayonnait de ses yeux de princesse baltique, c'est bien entendu lorsque nous étions seuls, dans le cadre strictement privé, que sa nature pouvait le mieux s'exprimer. Elle se constituait un corpus doctrinal en lisant des livres ayant trait à la gynarchie, et ces idées rencontraient en elle quelques correspondances secrètes. Sans qu'elle le sache au moment de sa rédaction, le contrat qui me liait à elle comprenait dans sa teneur l'essentiel de la théorie de la suprématie féminine. Le ton d'abord changea, devint plus sec, plus cassant, de ces tons auxquels on obéit, qui ne supportent pas le "non". J'appris assez vite à bannir ce mot de mon vocabulaire. J'y étais disposé, mais il est parfois des inclinations qui se heurtent de front aux contingences de la vie quotidienne. La nécessité de les surmonter explique que le début très dur, de l'ordre de ce que d'aucuns appellent "dressage", que beaucoup fantasment et que j'ai vécu, littéralement, dans ma chair et dans mon esprit.        
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Par : le 18/09/13
A mon réveil, je me suis retourné, et je t'ai vu, dormant à coté de moi. tu était sur le coté, ton dos vers moi. une jambe tendu, et l'autre repliée. Je soulève un peu la couette, pour admirer tes courbes. Là, un air frai te fais frissonner, sans te réveiller. Je respire ton délicat parfum, je pose ma main délicatement sur ton épaule, qui se déplace avec légèreté sur ton bras, ta hanche, tes fesses... Un merveilleux spectacle qui me fait frémir d'envie. Alors, je me rapproche, me colle tout contre toi, doucement, pour ne pas te réveiller. Ton corps est chaud, mon sexe durcie déjà de plaisir. Je laisse ce moment magique se poursuivre un moment. Contre toi, j'entends ton cœur battre, un rythme régulier. Le désir monte de plus en plus, et bientôt je n'y tiens plus, j'ai envie de toi... Alors je te fais basculer sur le dos, doucement. Tu ne te réveille pas, mais tu bougonne un peu, ton sommeil est léger maintenant. La encore, j'examine avec attention ton magnifique corps qui s'offre à moi, et je m'extasie devant tant de beauté, et mon sexe durcie toujours un peu plus.. Puis je me glisse entre tes jambes, que j'écarte. Je regarde ton sexe, encore endormi lui aussi. Je caresse ta cuisse, caresse les lèvres de ton sexe, puis ton clitoris, et finalement je l'embrasse. Tu commence a remuer au dessus de moi, a demi-réveillé, tu pose les mains sur ma tête. Je lèche bien ton clitoris et l'entrée de ton vagin, j'enfonce un peu ma langue dedans. Maintenant tu es complètement réveillé, et tu me dis que c'est bon, et de continuer, tes mains dans mes cheveux accompagne mes coups de langue. Ton sexe est bien réveillé lui aussi, et m'offre sa mouille que je déguste, avant de faire glisser un doigt, puis un deuxième. Je fais des va et vient, et avec mon autre main, je prend ton seins entre mes doigts, et pince ton tétons tout dur. Ton corps ondule sous ma langue, et tu es bientôt au sommet de l'orgasme, alors je ne m’arrête pas, je lèche et je pénètre un peu plus vite, un peu plus fort. Tu me dis que c'est bon, que tu va jouir, que tu aime ce que je te fais, et maintenant tu t'accroche à mes cheveux, tu te prépare à la chute vertigineuse... l'orgasme est là, explosifs, tu hurle de plaisir, ton corps est prit de spasmes incontrôlés. Puis la tension retombe, ton corps se repose contre le lit, tes plaintes de plaisirs de muent en gémissements de satisfactions. Alors je retire mes doigts que je lèche pour avaler ta mouille, et je viens m'allonger à coté de toi, collé à toi. là, au creux de ton oreille, je te murmure : "bonjour ma douce".
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Par : le 17/09/13
Week-end fetichisme ou week-end de la tolérance fétichiste ? Pour clôturer la saison d’été des week-ends offerts aux membres, le dernier pique-nique 2013 de Fessestivites était ouvert à tous les fétichismes. Un pari osé car la tolérance entre les divers fétichistes est souvent assez limité........ Rêve ou réalité ? J'avoue que je me suis réellement posé la question même si j'étais l'organisateur de ce week-end ! Réunis en même temps et un même lieu il y avait : Une fille totalement vêtue comme un bébé Une soumise qui passait du statut de soumise au latex puis à l'ABDL Une soumise avec collier et corset ultra serré et un magnifique bustier en shibari le tout recouvert de cellophane Quatre soumises en tenue avec leur collier Un homme totalement vêtu de latex Un soumis en couche et sous camisole de force et équipé d'un plateau pour le service Transgenre et trans Un bébé 100 % plastique et en blouse avec une tétine en bouche Un DL très discret Un soumis nu sous ceinture de chasteté Un soumis en collants sous cage de chasteté Des libertins échangistes et des femmes bi Des Maîtres et Maîtresses et nurses dont un en fauteuil roulant qui au lieu de se lamenter sur son cas est devenu un expert en fouet et CBT. Et tout ce beau monde aux profils et fétichismes totalement différents discutaient à bâton rompu un verre à la main sans que personne ne juge personne. LES ACTIVITES / PRATIQUES REALISEES pendant ce week-end (chacun a fait ce qu'il désirait avec qui il désirait) Il y a eu ce week-end et donc pendant 2 jours : ABDL ou simplement AB et DL / infantilisme Fétichisme du latex et du plastique SM pur et dur (fouet / croix de Saint André / cage / carcan......) DS ou simplement SM Dog trainning Fessées simples / canning sévère Shibari et des suspensions Aiguilles Bougie CBT Uro Libertinage / bisexualité entre filles / fist Et tout cela sans que personne ne fasse de réflexion désobloigeante ! Elle n'est pas belle la vie ??? Un grand bravo aux participants de cette rencontre Fessestivites, ils ont fait très belle démonstration de tolérance fétichisme. Devant mon étonnement soudain face à autant de diversité, petitgeo m'a fait part d'une de ses questions : Comment on peut critiquer des pratiques un peu spéciales des autres si les siennes sont aussi un peu spéciales ? Qu'en pensez-vous ? TSM
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Par : le 17/09/13
Il était "marié". Marié non, mais vivant maritalement avec la mère de ses enfants depuis presque 20 ans. En secret, mensonge par omission, il était allé chercher une soumise sur le Net, soumise novice qui ne lui convînt pas. Il créa un événement, une "soirée" (ah non c'était en après-midi, un dimanche !) shibari. Une réussite, plutôt. Malgré l'humidité des caves, la peinture pas sèche, la vie quoi, le bordel. Après des heures passées à attacher chacune, dans une ambiance bon enfant, il la vit, là. Elle. Touchante. Morte de fatigue. La gueule en vrac. Rousse comme elle respire. Un potentiel. Il alla (Ali ? Allô ? Oulala ! C'est l'hallu ! L'hallali !) lui proposer de l'attacher, ce qu'ils firent. Sous le regard des spectateurs, pour la plupart hors-circuit BDSM, ce qui était une grande victoire pour lui en tant qu'organisateur, ouvrir cette pratique au plus grand nombre, il essaya de la suspendre... malgré son mètre 80 à elle (enfin 78,5) et son format XL, du genre qu'on n'escalade que par la face nord. Erreur d'inexpérience. La douleur et la peur de la femelle accrochée se faisant sentir et manifester, il la décrocha instantanément. Un ratage, pas un râteau. Ils échangèrent leurs numéros de téléphone afin de ne pas rester sur cet échec. Une quinzaine de jours après, retour sur les lieux du crime. Pour une session shibari et photo privée. Après la session, pantoufles et robe de chambre pour le modèle dans la cave voûtée fraîche et humide, ils burent une pinte de bière ensemble. Ou peut-être deux. Ou trois, qui sait ? - Lui : quel est ton rapport à la D/S ? - Elle : J'ai été soumise, je suis Domina, je ne souhaite plus ce type de rapport pour l'instant. Sauf si... De ce jour, il ne se quittèrent plus sur le Net, passant leurs journées ensemble à tchatter ardemment.. Jusqu'au jour où... elle évoqua l'idée qu'elle puisse le dominer. - Lui : tu mérites une bonne punition pour avoir eu une telle pensée impie. - Elle : Pardon Monsieur. - Lui : tu as 1/2h pour qu'on se retrouve devant la mairie du 4ème, prends dans ta cuisine une spatule en bois, ce sera l'outil de ta punition, tu en auras 30 coups. Il était 23h30. L'automne frappait à la porte. Une petite pluie fluette essayait de mouiller la terre et les corps, sans y parvenir. 23h59. Il la voit qui attend devant la mairie, pantelante de peur encore d'être en retard. Il lui fallait 40 minutes pour qu'elle vienne, et elle a tenu le délai. Elle s'est mise en danger pour ça. Il se dit que plus jamais, il ne commettra cette erreur, encore une prise de risque de cette femme qui fait tout pour se rendre digne de l'Homme, du Dom qu'il apprend encore à être à l'époque.... De chaque côté de la mairie il y a un square. A gauche un square pour enfants, en général assez fréquenté, et surtout dans l'ensemble assez accessible visuellement. A droite de la mairie, le square des vieux, beaucoup plus à l'abri des regards. Mais de toute façon, en cette nuit d'automne pluvieuse, personne dans les rues ni le nez aux fenêtres des nombreux vis-à-vis potentiels. Il l'entraîne par la main jusqu'au parc des chenus. S'assied sur un banc, lui fait baisser culotte. L'installe OTK. Elle lui donne sa spatule. - Compte. Et remercie-moi. Et le premier coup tombe. - Un. Merci. - Un qui ? Merci qui ? - Un Monsieur. Merci Monsieur. Et les 30 coups de spatule marquent son cul à elle de sa marque à lui, sublime cul rouge offert et frémissant. - Met-toi à genoux, tu as mérité l'autorisation de me lécher la queue à travers mon pantalon, dit-il. Et elle s’exécute, léchant et suçant le chibre dur à travers l'épais coton du treillis, tandis que le crachin s'échine et s'acharne à essayer de les humecter tous les deux, sans succès. Il la fait se relever, la prend dans ses bras, ils s'étreignent tendrement, et il l'embrasse. et ils ne passèrent plus un jour sans se voir physiquement. Jusqu'à ce que... Il apprendra plus tard que sans ce geste de tendresse, elle n'aurait pas donné suite à l'histoire. Mais la suite de l'histoire ne sera pas dite ici.
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Par : le 17/09/13
Midi sonne sur l’horloge numérique. Le Smartphone vibre par intermittence, mais n’émet aucun son, l’écran diffuse une pale lumière bleuté. Il est posé sur la table de nuit, mais il n’y a personne dans la pièce. Il continue de vibrer, comme un message SOS répété sans cesse, sans que personne ne reçoive le signal de détresse. Midi, c’est également l’heure du dernier repas de Jean. Midi de la veille. Pourtant il meurt de faim, son ventre cri famine, son estomac se tord dans tous les sens, à l’agonie. Il mangerait bien, mais il n’en a pas le droit. C’est sa punition. Sur le coup, il pensait que ça ne le dérangerai pas, trop fière pour admettre qu’il est comme tous les hommes, et qu’un homme a besoin de manger. 4 repas par jours. Aujourd’hui, alors qu’il n’a rien avalé depuis 24h, il regrette amèrement, et surtout, il ne fait plus le malin. Il repense avec mélancolie aux événements de la veille Il était chez sa Maîtresse depuis quelques heures, et tout se passait bien. Il était heureux de la rencontrer pour la première fois, et de pouvoir passer du temps avec elle, à la servir et à l’honorer. La rencontre avec sa Maîtresse avait été un moment intense pour lui. Avant d’arriver chez elle, il angoissait complètement, se demandant comment elle allait le traiter, et ce qu’elle attendrait de lui. Mais Maîtresse Kiala s’était révélée être douce et aimable, bien que autoritaire et ferme. Il avait reçu l’ordre de se mettre à quatre pattes, puis de sonner à la porte d’entrée, ce qu’il avait fait sans se poser de question. Il avait gardé la tête baissée lorsque la porte s’était ouverte devant lui, laissant apparaître les pieds de sa Maîtresse dans de hautes chaussures à talon noirs. Ouverte sur le devant, il voyait une jolie pédicure rouge qui lui donnait déjà l’eau à la bouche. Elle s’était mise sur le côté et avait annoncé d’une douce voix « entre mon petit chien ». Il est midi, Jean attends désespérément la levée de sa punition. Il est nu, sur le carrelage froid de la salle de bain, plongée dans le noir depuis quelques heures déjà, sans aucun repère. La folie s’approche pernicieusement de lui, prête à lui sauter dessus à la moindre faiblesse. Il a faim, il a soif. Maîtresse Kiala lui a interdit de manger et de boire, à par ses propres déjections. Alors, pendant que midi sonne, Jean accepte l’humiliation ultime, décision qu’il refusait de prendre, mais au bord de l’aliénation, il se rend à l’évidence, il n’a pas le choix. Il se relève, doucement, dans cette obscurité totale, et s’accroupie par terre. Là, il se laisse aller, il chie sur le sol froid. Pendant qu’un étron lui dilate l’anus, son urine, chaude, lui coule sur les jambes. Cette bestialité lui plait, comme un retour aux origines, mais les odeurs lui gâchent le plaisir. Il doit respire par la bouche, pour ne pas sentir cette puanteur qui le dérange. Face à face avec son destin, Jean prend un temps, le temps de ravaler sa fierté. Il se penche au-dessus de sa merde, en prend un petite du bout des doigts, et la porte lentement à ses lèvres. Il l’aval instantanément, puis il recommence avec une autre petite crotte moulé par ses fesses. L’odeur est nauséabonde, mais sa merde n’a pas vraiment un mauvais gout. Ces deux morceaux ne suffisent pas à le rassasier, alors, mue par un nouvel instinct animal, il attrape son paquet de merde à pleine main, ce contact chaud et cette texture lui plait, l’excite même, et, plutôt que de l’avaler, il se l’étale sur le corps, sur les tétons, sur le ventre, puis sur son sexe qui durcie de plus en plus, et enfin sur ses couilles. Il se recouvre de merde et prend du plaisir à se caresser dans sa crasse la plus totale et à lécher ses doigts pleins de merde. Puis Jean revient à la réalité, et prend conscience de sa déchéance. Dégoûté de lui-même, misérable, lamentable, il s’allonge sur le sol recouvert de sa propre merde, qui le répugne à cet instant. Il est midi passé. Jean est en proie à d’impensables sentiments, de honte, d’humiliation, de dégoût, et la faim le taraude toujours autant. Et c’est à cet instant, que la porte s’ouvre. La lumière du couloir l’éblouie, il cligne des yeux, puis distingue dans l’encadrement de la porte, la silhouette de sa Maîtresse. Il essaye de voir ses traits, et remarque qu’elle arbore un léger sourire. Un sourire plein de malice, de satisfaction… et il comprend. Il comprend que sa Maîtresse avait attendu de lui cette débauche. Il comprend que sa réelle punition était non pas la faim, mais l’auto humiliation. Puis il voit l’objet de cette infâme punition. Elle tenait dans les mains ce jouet, énorme, démesuré. Il comprit autre chose à ce moment. Il n’y avait pas d’échappatoire. Cette grosse bite en plastique informe, qu’il avait refusé de se prendre dans le cul la veille, il n’aurait pas le loisir de refuser une seconde fois. Il est midi passé, et, résigné, humilié, il baisse la tête devant sa Maîtresse. Il se soumettait entièrement à elle.
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Par : le 17/09/13
Tu m'attachesTu me nouesTes gestes déliésMe lientTes liens me serrentM'entraventMe contraignentEt me font un peu mal parfoisMais c'estAussiD'une douceur infinieJe m'y laisse allerTu le saisTu me lis...EtC'estÉtrangeEt beauEt bon...Ton cocon me lieM'unitEt me délie...
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Par : le 17/09/13
Que de nuits et de jours passés à la faire crier encore et encore.... Mais il arrive un moment ou l on se sent à l étroit même chez soi et surtout le regard à la fois curieux, envieux voir énervé de certains voisins vous incite à aller explorer d autres horizons.... Après avoir parcouru la campagne environnante et ce sous tous les temps possibles afin de rendre la chose encore plus ludique , hum il n y a rien de plus excitant que de le faire , nus comme des vers, sous une pluie fine dans un endroit isolé. et puis un jour, je lui ai fait une petite surprise..... Je lui ai demandé de préparer une petite valise, et non nous ne partons pas en voyage lui ai-je dit , en fait ce soir nous n allons pas très très loin. Son regard interrogateur en disait long sur sa curiosité mais elle n essaya même pas de me poser la question tant elle me connaissait bien , et comme je souriais ,de ce sourire coquin qui en disait déjà bien long sur mes intentions elle laissa échapper un long hummmmm qui me mit en émoi. À peine monté dans la voiture je couvrais ses yeux d un voile sombre, et surtout de ne pas parler jusqu à que l on soit arrivés à destination. Silence appréciable qui la faisais cogiter encore plus, je la voyais se tordre les doigts d impatience, cela m amusais beaucoup. Arrivé sur le parking et une fois le moteur éteint je lui ai enlevé le voile, un grand sourire coquin éclairait son visage. De voir ou on était je crois qu elle a deviné de suite mes (basses) intentions lol D ailleurs elle me fît état de sa surprise quand à l endroit choisi, visiblement elle ne comprenait pas bien pourquoi je l avais emmené là Pourquoi avais-je choisi un hôtel Formule 1 me demandait elle? Comme si elle ne méritait pas mieux ? Avant que ça parte en cacahuètes je lui ai donc expliqué la raison de mon choix. Comme chacun sait cet hôtel est dénué de tout confort, les douches et toilettes sont dans le couloir et les murs séparant les chambres sont si fines que lorsque l on éternue c est le voisin de la chambre d à côté qui se mouche...ou presque (vous plaignez pas j aurai pû être moins délicat lol) et généralement se sont des gens qui bossent pas loin qui viennent juste pour se reposer et y dormir. Et c est là tout l intérêt de cet hotel lui ais-je dit car vu la finesse des murs j avais bien l intention de la faire crier comme jamais afin de pourrir la nuit de tous les occupants de l hôtel... Et là du coup elle éclata de rire et accepta , enfin, avec une grande joie non dissimulée mon petit délire..... Après nous être enregistrés et poser notre valise nous sommes allés diner dans un bon petit restaurant pas trés loin. La nuit était déjà bien installée à minuit et demie lorsque nous sommes rentrés à l hôtel, un grand calme y régnait bien que le parking soit remplit de voitures. Sourire très prononcés nous sommes rentrés dans la chambre et à peine avais-je refermée la porte que nous sommes partis dans un grand éclat de rire ! Que la fête commence lui ais-je dit !! Cette situation si peu ordinaire l a excité comme jamais je ne l aurai crû. Nous avons commencé doucement ,tout doucement, histoire de bien savourer cet instant puis petit à petit, emportés dans notre élan l échange se fît plus intense. Elle était déchainnée, jamais je ne l avais vu ainsi et ses premiers cris de plaisir ne tardèrent pas. Bizarrement aucune réaction apparente ne se faisait entendre de la part des occupants de l hôtel qui devaient sûrement dormir profondément, aussi là désapointé que j étais j ai dû sortir le grand jeu ..... Et lorsqu enfin vers les 02:00 les voisins ont commencés à se manifester je crois que tu as un peu exagéré la puissance de tes cris, exprès ou pas ça je l ignore encore, mais quel bonheur de t entendre t exprimer ainsi. Et surtout quelle rigolade, tout d abord intérieure , puis carrément franche ,lorsque les premières manisfestations de mauvaises humeur de nos "voisins" ont commencé à se manisfester . Les " vos gueules" "vous avez pas finis" ,"c est quoi ce bordel" ," bande de tarés" , nous on veut dormir" , " c est honteux" , " connards" , " pouvez pas allez faire ça ailleurs" , elle va pas la fermer cette connasse" etc etc etc Quel bonheur et quel pied !!! Vous n imaginez même pas...... Et le pompon si je puis dire a été lorsque, prise dans cette tourmente , cette euphorie, tu m as demandé de t enculer et ce le criant de plus en plus fort.... Et là ,plusieurs voix masculines sesont faites entendre en gueulant très fort " ben vas y encule là cette pute qu on puisse dormir" , " va l enculer ailleur" , et même un " si vous continuez c est moi qui vais vous enculer tous les deux" Et il y en a même qui sont venus frapper à notre porte en nous hurlant d arrêter... Ah ah ah ah ah , Quelle nuit, mais quelle nuit nous avons passé ..... Extraordinaire , Sensationnelle, Géniale, Incroyable !!!!! Par contre et pour éviter de nous faire foutre sur la gueule surtout, nous sommes partis trés très tôt de l hôtel, avant même que les premiers occupants ne se lèvent...
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Par : le 14/09/13
La Première fois... C'était un cadeau de mon Maître; on toque à la porte, il me dit va ouvrir... Je traverse la chambre à pas lents, je ne sais ce qui m'attend derrière cette porte. J'ouvre et je découvre une soumise à genoux, les yeux bandés, habillée d'une robe sexy noire. Mon Maître me dit "elle est là pour toi... Elle est à toi..." Il va s'installer sur une chaise dans la chambre et me regarde, m'observe... Je la relève, elle est un peu plus petite que moi je lui tiens les mains. Je repousse la porte, je mets la soumise adossée à la porte; je la détaille, je la soutiens. Elle est habillée comme moi... Je lui dis d'enlever sa robe... Dessous elle porte un joli soutient-gorge noir à balconnet avec un string noir ...et un porte jarretelles qui lui tient ses superbes bas sombres. Je souris de plus belle... Elle a les mêmes dessous que moi, je lui ordonne de se mette nue mais de garder son PJ et ses escarpins (une soumise est toujours belle avec ses escarpins et des bas ). La soumise est surprenante, elle obéit! ^^ Je la vois enfin nue, ses jolis seins, ses tétons érigés qui appellent la main. Je lui pince légèrement les seins, elle gémit; je la pince plus fort, ses lèvres de serrent, sûrement pour s'empêcher de crier. Je lui dis "tu aimes cela" .. Elle le répond "oui Maîtresse". Je lui dis de m'appeler Ma Dame... Je lui prends la main la guide dans la chambre, je m'assieds et l'allonge sur mes genoux.. Je me sens un peu maladroite, je lui parle, je lui dis que je vais la fesser. Je commence par lui caresser les fesses, et je la fesse d'abord doucement, à l'extrémité de ses fesses et au milieu. Au début je me sens gauche puis je prends de l'assurance (j'oublie tout, que mon Maître est là où je me trouve). La soumise se tortille sous moi, elle gémit de plus en plus fort, je la caresse aussi longuement, elle adore cela... Et je reprends de plus belle; je suis moi même ailleurs, en connexion avec elle... Je m arrête, continue de caresser ses fesses si rouges, si brûlantes sous mes doigts; je lui donne du plaisir... Je l'apaise avec de doux mots...Elle est si belle... Puis je lui demande de mette ses mains sur le mur, j'ai envie de la cravacher mais je choisis le martinet; je la frôle d' abord avec les lanières. Je commence par ses fesses, des zébrures apparaissent... Je sais que je dois me maîtriser mais ses cris de plaisir me chauffent le corps. Je remonte et lui fouette le dos, encore plus haut plus fort sur les épaules la nuque le haut du dos (j'adore quand mon Maître me fouette là où je la fouette alors je pense qu'elle aime...). Ses cris se perdent dans la chambre, elle adore ça, elle est vraiment chienne... des marques de zébrures apparaissent , et j'avoue aimer voir cela comme ses fesses si brûlantes... Je la retourne, lui fouette les seins, le ventre; je lâche le martinet... Je la cajole, l'embrasse, la caresse et elle a du plaisir encore et encore... Je l'allonge sur le lit lui enlève son bandeau, nos regards se croisent; je vois tant de plaisir dans ses yeux... Elle glisse un "merci" timide, je la remercie d'avoir accepté de venir, d'avoir été ma soumise d'un moment... Je la câline encore et encore, elle veut me caresser, mais je refuse... J'ai juste envie de profité d'elle. .Mon Maître impassible n'a pas bougé. Il est l heure pour elle de partir... Je l'embrasse et la remercie encore...peut etre un jour nous nous recroiserons... J'ai remercié mon Maître longuement d'avoir vu en moi ce désir d'avoir une soumise à moi... Ce fut comme sa la première fois que je fus Domina, la deuxième fois, c'est une autre histoire... ^^ Hydréane
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Par : le 12/09/13
Transparent.... je les adore.. Ces imperméables transparents, si beaux sur les peaux nues (ou pas) de mes rares Maitresses... Je les aime, quand j'en revêt un, ce qui à le don de m'emmener si loin.... Mais à force de les aimer , je pense être devenu comme eux...Transparent. Soumis, homme, célibataire, âgé ( un peu mais pas encore trop), ayant un corps de top modèle avec ( une) tablette de chocolat, lourd handicap à tirer.. Cette semaine, je voyais sur le site la photo d'une nouvelle arrivante.. Et je me disais que jamais je n'aurais sa force, sa conviction, pour me présenter comme ça devant vous. Mes complexes sont là, présent, incontournables, inébranlables. J'y ai travaillé, ai accepté par moment, ( étrange, à chaque fois que j'ai une Maitresse... Bon.. enfin , une fois..). Mais quand je regarde ce mur général, avec ( et je ne VEUX pas être médisant envers personne) ses Ken et Barbies, images d'une vie formatée, ou la personne de tout les jours n'a pas sa place... On dirais la plage de Malibu, sauf que j'y suis allé à Malaubus, et ce n'est pas comme ça. Ou êtes vous les vrais BDSMeumers, de la vraie vie, Le BDSM s’arrête a 40 ans? quand le nombril arrive entre les seins? Quand on n'arrive plus à fermer son jean vinyle?... Désolé, je m'emporte... Cela m'arrive parfois quand la soupape lâche.... Remarquez que j'aurais pu vous la faire avec des trans, ou autre... ( amitiés VRAIES à Raphaëlle...)... Des gens crèvent... De ne pas vivre leur passion, de l'indifférence des autres... Oh, ils ne demandent pas l’aumône, non... Faut vous dire , Monsieur, que chez ces gents là, on ne demande pas, Monsieur, non... On ne demande pas.... Je vous souhaite à tous une bonne journée....
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Par : le 11/09/13
Après t avoir laissé dans le coin de la pièce, je me suis dirigé au bout de la table et m adressant aux convives de ce repas je leur dis : << Messieurs, pour que la punition que je souhaite infliger à ma soumise soit aussi exemplaire que possible je viens vous demander votre collaboration>> Là je voyais bien sur leurs visages l intérêt soudain que ma petite phrase venait de susciter . Tous me fixaient attendant la suite. << je vous demanderai donc dans un 1 er temps de bien vouloir déplacer cette table et les chaises pour la placer dans un coin , puis m adressant au Maitre de cérémonie je lui demandais de bien vouloir faire apporter un banc, de ceux assez haut qui servent à éduquer certaines soumises insolentes, ainsi que plusieurs "ustensiles" , il me répondit positivement et alors que tout le monde s affairait, moi je suis allé vers toi "petite brune" , tu étais face contre le mur les mains dans le dos, une fois arrivé près de toi , je me suis approché de ton oreille pour te chuchoter à voix basse ce qui allait t arriver. << ton comportement de ce soir mérite une sanction exemplaire, tu comprends bien petite que la honte que tu m as infligé devant mes amis doit être réparée , cette fois-ci il va te falloir te montrer à la hauteur...... de mes espérances , donc je ne veux point entendre de cris de ta part, tu devras supporter ce Châtiment , car c en est bien un , les dents serrées , je veux que tu leurs montre à tous quelle soumise tu es !! Je veux pouvoir repartir de ce dîner la tête haute. Tu as certes fauté gravement , je vais mettre cela sur le compte de ton inexpérience et je sais qu il me faudra dorénavant me montrer beaucoup plus ferme et plus dur avec toi, mais je garde confiance je sais que tu y arrivera n est-ce pas ? >> Tout en me disant oui, oui mon Maître tu te tournais vers moi, je te stoppais net par un << ne bouge pas !! >> Je retournais vers les membres de cette soirée et leur dit : << Messieurs comme Châtiment pour ma soumise j ai décidé que nous l allongerons sur un banc, puis nous l attacherons , bien serré afin qu elle ne puisse en aucun cas bouger , sa jolie robe sera déchirée afin de mettre à nu la partie charnue de son postérieur , puis chacun de nous 6 la punira à son tour , mais étant son Maître je me réserve le droit de lui infliger cette punition à mains nues, tandis que vous, Messieurs, utiliserez chacun un ustensile différent que j ai demandé au Maître de cérémonie de bien vouloir nous apporter . Êtes vous d accord ??>> Applaudissement général avec des bravo Maître , nous apprécions à sa juste valeur votre demande signifiant l accord tacite quand à ce Châtiment . Je repris la parole << je demande deux volontaires pour aller la chercher puis l installer sur le banc et l attacher, je me réserve le droit de lui déchirer sa robe >> De volontaire ils l étaient tous , aussi je dû en choisir deux au hasard..... Une fois installée et attachée je suis venu m accroupir tout près de ton visage et d une voux douce, très douce je t ai dit : << Prépare toi "petite brune" et n oublies surtout pas, que cette fois-ci je veux pouvoir être fier de toi >> Je me levais puis saisissait le bas de ta robe avec les deux mains qui en les écartant fortement la déchirèrent et ce jusqu à l encolure. Me retournant vers le groupe de Dominants je leur dit << Commençons Messieurs et surtout je vous demanderai de n avoir aucune pitié ni aucune faiblesse pour cette soumise qui n a eu aucun respect à votre égard >> Devant l approbation générale , je remerciais chacun des membres de cette soirée et m approchais de toi main levée....... ............. Suite ......
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Par : le 11/09/13
Tiens quelqu un sonne à la porte ? La porte à peine ouverte je vois ton sourire malicieux et tes yeux rieurs. <<France, quelle surprise !! Que me vaut le plaisir de te voir de si bon matin lui dis-je >> <<Assis toi et dis moi tout, je suis vraiment curieux de savoir ce qui t amène>> Un grand sourire illuminait son visage , mais elle esquivait mon regard me taquinant sans rien me dévoiler de sa venue , intrigué et plus que curieux cette fois-ci je l étais bien et ne manquait pas de lui en faire part. Nous nous connaissions depuis longtemps, 10 ou 12 ans , elle avait été la compagne d un copain de qui elle s était séparé il n y a pas si longtemps, je l ai toujours connue rieuse, taquine, belle femme qui aimait la vie mais qui selon ses dires n en avait pas vraiment profité et regrettais souvent d être passé à coté de tant de choses. Depuis sa séparation d avec Jean je l avais revu plusieurs fois , nous croisant à plusieurs soirées et ou sorties entre copains , toujours avec le même plaisir, depuis le tout début nous avons toujours eu un super feeling et comme nous sommes aussi taquin l un que l autre à chaque fois cela se termine dans de franches rigolades. Elle appréciait beaucoup ma-nos conversations car elle savait qu avec moi elle pouvait parler sans crainte d être (mal) jugée et que moi question discussion je n avais aucun tabous. Elle connaissait mon "coté obscur" , nous en avions discuté à maintes reprises et bien que cela l intriguait , voir même éveillait sa curiosité elle ne se disait pas intéressée , elle elle voulait autre chose, plus romantique même si parfois les sensations extrèmes auxquelles elle aspirait tant en était le plus souvent absentes, voir aussi le plaisir , obligée de "se finir" elle même une fois rentrée chez elle. Jolie contradiction , d un coté le romantisme voulu et de l autre la frustration souvent présente..... Donc ce jour, après un début de conversation rempli de non-dit , de taquineries devenant de plus en plus légères elle se fît soudain très sérieuse et me dit : << tu sais oh combien je t apprécie , nous nous connaissons depuis si longtemps, tu es pour moi un ami et même plus qu un ami >> Elle s arrêta pour me regarder , bu un peu d eau et repris << je sais que demain c est ton Anniversaire mais hélas je ne pourrais être là>> Elle s arrêta de nouveau me fixant droit dans les yeux comme si elle voulait que je devine la suite... Mais là non, j étais dans le flou total, ou voulait-elle en venir? Elle repris la parole tout en baissant les yeux, sa voix se faisant presque discrète, je m attendais au pire << donc comme d anniversaire je t offre ma volonté d être à toi juste une journée, je veux aujourd hui que tu me fasse découvrir quelque peu ton côté obscur ...... Oui je sais j ai toujours dit que j étais contre etc etc mais que ceux tu il n y a que les imbéciles qui ne changent pas d avis >> Là je suis resté bouche bée , sans voix, la dévisageant ouvertement comme pour y déceler une trace de plaisanterie.... Mais non, tu étais on ne peut plus sérieuse, attendant le sourire aux lèvres et le regard pétillant ma réponse. Tout d abord surpris , on ne saurait l être à moins et après ne longue réfflexion je finis par accepter, à condition que l on joue ce jeu avec mes règles et uniquement celles-ci. Elle accepta me disant avoir la volonté de se soumettre totalement à un homme au moins une fois dans sa vie et que j étais pour elle celui en qui elle avait le plus confiance. De suite comme ne voulant ne pas perdre un instant elle me dit << stp emmène moi dans ta chambre>> Là de suite je levais la main en signe de sto tout en lui disant << non France, ce jeux ne se jouera pas dans la chambre !! >> Stoppée dans son élan elle me regardait fixement l air plus interrogateur que jamais et avant qu elle puisse formuler une quelconque question je luis pris la main et lui dit : << Viens, n aies pas peur>> Suite...............
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Par : le 10/09/13
A peine rentrée de shopping et ton baiser sur mes lèvres donné je te dis etite brune, ce soir pour fêter notre 1er mois ensemble je t emmène à une soirée hum, spéciale , inutile de me poser des questions car je ne te répondrais pas. Ta curiosité maladive se lisait sur ton visage et avant même que tu aies ouvert la bouche je te dis : Dépêche toi car nous devrons partir au maximum à 20:00 et il est déjà 18:20 donc ne traine pas stp Vingt heures tapantes, tu es là , resplandissante, que dis-je , sublime en robe noire mi longue ,les épaules dégagées parée d un joli collier assorti à tes boucles d oreilles, maquillée juste ce qu il faut..... Très très classe , je suis sous le charme et pour te remercier te donne un long baiser. Avant de partir et comme le veut la tradition, celle qui régit nos rapports si spéciaux, tu me laisses t examiner , je soulève ta robe afin de vérifier que tu es bien nue dessous et te passe mes mains sur ton corps plus que de raison, humm tu es si craquante que je ne m en lasse pas... Un petit: Maître ne m avez vous pas dit que nous devions partir? me rappelle à l ordre. Chemin faisant dans la voiture tu essayas bien de savoir ou nous allions et ce n est qu une fois arrivés à destination ,après avoir couper le moteur que je me suis tourner vers toi et d une vois calme, douce mais ferme je te dis : écoute moi bien petite brune, ce soir et ce pour la 1 ère fois depuis que nous sommes ensemble tu vas être confrontée à d autres soumises, aussi j espère que tu sauras te montrer à la hauteur, voir même leur être bien supérieure , tu en es capable je le sais, mais surtout ne me déçois pas, allez c est parti allons y. Nous étions invité chez un couple de connaissance qui avait eu la bonne idée de faire une petite fête en comité restreint, juste 6 couples pour une soirée BDSM ou chaque homme devait présenter sa nouvelle soumise afin d en juger ses capacités. Après avoir sonné le Maitre de cette maison m accueillit chaleureusement avec juste un regard souriant pour petite brune.... L ambiance était donnée ! Nous étions les derniers arrivés et après les salutations d usage, entre hommes uniquement, nos soumises se trouvant réunies ensembles dans une petite pièce , nous avons pris un petit apéro spécialement préparé par la maitresse de maison. Une fois l apéro fini et après avoir fait sortir nos soumises devla pièce nous nous sommes dirigés tous ensemble vers la salle à manger. Grande pièce dont les murs ressemblent à ceux d un château , poutres apparentes et quelques objets de torture comme seule décoration sur les murs donnait à cet endroit un côté quelque peu lugubre. Une grande table prônait au milieu de la pièce avec et cela me sauta immédiatement aux yeux, seulement 6 couverts de préparés, trois de chaque côté de la table, bien espacé entre chaque..... surprenant !! Avant que l on puisse formuler la moindre question le Maître de cérémonie nous dit : Messieurs prenez place ou vos noms sont indiqués , quand à vos soumises elles mangeront sur de petites tables basses d enfant , juste à vos côtés car comme vous l aurez remarqué nous sommes suffisement espacés les uns des autres . on les leur apportera lorsque vous serez bien installés. Le Maître de cérémonie se permis de rappeller à nos soumises leur condition et aussi les devoirs qu elles avaient en tant que telles. Elles devraient manger en silence, tête baissée , ne pas parler et surtout sans se mêler de notre conversation !! Le repas était délicieux , les mets tous plus fins les uns que les autres défilaient sans aucun temps mort et la conversation plutôt réservée du début faisait doucement place à celle de franche camaraderie, alliant légèreté et hard sans retenue. Et soudain, alors que Maître Jacques me charriait allègrement sur mon manque de fermeté tu éclata de rire..... Toi, petite brune tu te permis de transgresser les règles établies en te moquant de moi , moi qui suis ton Maitre !!! D un coup tout le monse se tût me fixant et attendant ma réaction. Elle ne se fît pas attendre, je reculai ma chaise et d une voix grave les fixant tous tour à tour , je leur présentais mes excuses pour le manque d éducation de ma soumise tout en leur demandant de bien vouloir me permettre de la punir immédiatement pour le manque de respect à mon égard mais aussi du leur. Après acceptation de leur part je me suis tourné vers toi petite brune et d une voux dure mais posée je t ai demander de te levet, puis de venir dans un coin de la pièce et de ne pas bouger. Suite ?
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Par : le 09/09/13
Avions hier des "envoyés spéciaux" ( ) à l'un des concerts de Mylène Farmer à Bercy dans le cadre de sa tournée "Timeless Tour" entamé dans la foulée de la sortie de l'album "Monkey Me". ---------------------Cliquez pour voir les photos en plus grand et l'article associé sur le site de l'Express. Cette tournée affirme un peu plus encore, Mylène Farmer comme une icône gay (et lesbien dans une moindre mesure) au regard de la composition du public. Il est probable que la chanteuse rousse joue probablement depuis un moment avec un certain nombre de "codes" pour construire un personnage par opportunisme marketing. Pour autant, qu'elle met en lumière aux yeux du grand public (puisque le concert a fait l'objet de pastilles dans les grands journaux de 20h nationaux) les dits codes (dans une version acceptable et aseptisée diront les plus chafouins). La tendance de cette tournée allant aux danseurs exclusivement masculins, en Shaolin (voir photo de l'Express) ou men in black corsetés , aux services de la diva. Cliquez pour voir les photos en plus grand et l'article associé sur le site de l'Express Pas de photo des danseurs en costard façon Men in Black, mais porté avec un corset, la tenue ne manquait pourtant pas de classe ! Si ce n'est pas nécessairement par adhésion au marketing de Mylène Farmer (ni forcément à toute sa musique), vous pouvez vous y rendre, c'est une ambiance particulière (en fosse aussi) et le spectacle (au sens strict du terme) est très réussi.
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Par : le 08/09/13
J étais dans mon bureau classant des papiers lorsque tu es rentrée. Après t être débarrasée de tes affaires tu es venue me voir, et tu es restée devant la porte du bureau pourtant grande ouverte. Tu me regardais fixement , sans bouger, je levais donc la tête vers toi et te dis un bonjour petite, ton voyage s est bien passé, tu n as pas eu de soucis sur la route, tu as bien fais "tes devoirs" ? Elle venait de rentrer d un séminaire de trois jours. Toujours immobile elle ne répondait rien, aussi devant son mutisme je l invitais a entrer et a venir s assoir près de moi, mais rien, pas un geste, pas une parole. Du coup je me suis levé de mon fauteuil et suis allé vers elle et droit dans les yeux je lui ai demandé ce qu il se passait ? Elle me fixait elle aussi du regard, nous sommes restés ainsi face à face plusieurs minutes avant qu elle se décide enfin à prendre la parole. D une voix légèrement tremblante elle me dit: maître je vous ai désobéî , je n ai pas fait ce que vous m aviez demandé. Je la regardais sans mot dire, ses yeux fixant les miens comme par défi, comme par provocation ! Je ne disais toujours rien , nouveau silence, cette fois-ci il se faisait pesant, et dura bien trop longtemps à mon goút. Elle prit de nouveau la parole et me redit les mêmes propos, mot pour moi que précédement s attendant , je le voyais bien à une réaction de ma part . Mais non je ne disais rien , mon regard se faisant plus sévère elle fini par baisser les yeux et d une petite voix presque enfantine me dit : Maître de vous avoir désobéî je mérite une punition je le sais. Nouveau silence de ma part tout en continuant de la fixer du regard et là je commençais à la voir perdre l assurance qu elle avait eu en arrivant. De nouveau elle me redit mériter une punition sévère et qu à on avis une féssée digne de ce nom suivi de nombreux coups de fouet devrait lui être infligé sans plus tarder. Mais toujours aucune réaction de ma part , je venais de repenser aux deux jours précedant son départ ou elle me faisait remarquer qu il y avait déjà un certain temps que je ne l avais pas féssée et fouéttée et que cela lui manquait, voilà la vraie raison de sa déobéissance.... Mon silence si prolongé la troublait de plus en plus et elle en perdait non seulement son assurance mais aussi ses moyens je le voyais bien. Elle me dit : Allez y Maître punissez moi et surtout ne soyez pas tendre avec moi je mérite amplement que vous passiez votre colère ainsi contre moi , je le mérite tant !! Je pris une grande inspiration et je suis retourné m assoir dans mon fauteuil lui tournant ainsi le dos tout en continuant à faire comme si j étais seul dans la pièce. Du coup elle avança dans la pièce pour se poster debout juste à mes cotés et d une voix cette fois-ci suppliante me dit: Maître je sais que vous êtes très en colère contre moi, je le sais , désolée de vous avoir décue , punissez moi oh mon Maître et surtout qu aucune indulgenge ne votre part vienne troubler cette punition que je mérite tant, elle continuait de nouveau ses suppliques cette fois-ci à genoux les mains tendues en avant comme faisant une prière tout en me demandant d être totalement intraitable avec elle de que je fasse de cette féssée celle dont elle se souviendra toute sa vie !! Je me suis touné vers elle ce qui a eu le mérite de faire stopper le débit intenable de ses paroles. Elle sanglottait et tremblait en même temps. Toujours sans un mot je la dévisageait lentement faisant durer le , mon plaisir plus que de raison . De ses yeux larmoyant elle m implorait , me demandant pardon et qu il fallait vraiment que je la punisse, que c était mon devoir de Maître et qu il n y avait pas un seul Maître au monde qui ne punirait pas sévèrement de tels agissements. Je lui fît un signe du regard et aussitôt elle se mît en position de proternation devant moi tout en me disant qu elle savait qu elle la méritait sa pinition suivi d un merci, merci Maître... D un tiroir du bureau je sortais des menottes et des cordes ,puis lui demandais de se lever et de me suivre jusqu au jardin sans mot dire. Une fois dans le jardin je m arrêtais devant le beau marronnier qui l ornait, là je lui ordonnais de se mettre complêtement nue et apres je lui dit : Approche toi lui dis-je et colle toi face en avant contre le tronc d arbre , je vais t attacher à celui-ci Je lui ordonnais d une voix sévère, dure ,de ne surtout pas bouger , elle me répondît par un oui spontanné qui eut comme réponse : tais toi je ne veux pas t entendre . Je l attachait donc au marronnier puis d une voux douce mais trés ferme lui dit : La seule punition que tu aimerais tant avoir n est pas celle que tu auras, tu vas rester ainsi aussi longtemps que je le déciderai et cela peut prendre des heures, voir plus d une journée si tel est mon désir et plus tard, oui tu recevras une féssée digne de ce nom et je te fais la promesse que ce jour là tu ne pourras plus t assoir pendant plusieurs jours. Sans même me retourner je suis rentré dans la maison directement dans le salon d où l on voyait si bien le marronnier qui n était au plus qu à 10 mètres de la baie vitrée que j ai ouverte en grand et après m être servi une petite Chartreuse et avoir mis de la musique je me suis installé dans un fauteuil que j ai tourné face à la baie vitrée pour t avoir en ligne de mire collée à ce si beau marronnier .......
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Par : le 08/09/13
Au départ une simple conversation, qui de fil en aiguille au fur et a mesure du récit-témoignage de votre vie se révèle être intéressante, surprenante ! Je vous lis patiemment ne vous interrompant que pour vous signifier mon interêt ou mon opinion concernant certains sujets me risquant même parfois à plaisanter lorsque le sujet devenait grave comme pour en atténuer ses effets. Votre vie, peu ordinaire au demeurant évoque en moi certains souvenirs que je préfère garder pour moi seul. Vous la racontez avec beaucoup de brio, mots simples presque dénués d émotion comme pour masquer les souffrances que vous avez enduré, vous êtes maitre-sse de votre plume, cela se ressent. Votre parcours parsemé de tant d embûches ne vous a nullement freiné dans la voie que vous avez, au détours d une rencontre, finie par trouver. Je ressent votre détermination quand a vivre pleinement votre nouvelle vie dans laquelle, enfin vous vous épanouissez. Votre voie trouvée, elle semble dessinée à votre mesure, maintenant plus aucun doute ne viendra troubler la quiétude de votre choix. Vous me dites avec trouver l amour celui avec un grand A , vous êtes si sure de vous qu il ressort de vos écrits et une sereinité certaine. Je prends beaucoup de plaisir à vous lire et à échanger avec vous. Les heures défilent sans même sans rendre compte. A la fin de votre récit vous voulez savoir également le mien mais avec une pointe d humour je botte en touche vous disant que plus tard je vous en ferai part. Et puis je ne puis vous dire qu étant votre ainé j en ai forcément, vu mon vécu, beaucoup plus a raconter que vous ce qui nous prendrait au moins toute la nuit. Je ne me souviens plus si je vous ai remercié de vous étre ouverte et ainsi livrée à moi, mais juste après la fin de votre histoire, ne voulant surtout pas que la conversation s arrête là je vous ai formuler une requête, celle de mettre la cam , juste un court instant, histoire de mettre un vidage sur l interlocutrice généreuse que vous aviez été , ce qui vous a semble t-il surprise et de fait vous avez bien essayer d esquiver ma demande par un je suis dans mon lit et j ai les cheveux tout ébouriffés ...... Humm réponse typiquement féminine qui me fît sourire et a laquelle je répondit par , si cela vous dérange tant vous n avez qu à mettre un chapeau ou une casquette et je crois que voyant que je ne lacherai pas le morceau aussi facilement vous avez fini par acceder à ma requête me demandant juste un peu de temps pour vous arranger. J en profitais pour une petite pause clope bienvenue. Une fois revenu et après vous l avoir annoncé vous avez lancé la cam Et là, vous m êtes apparue..... De suite j ai remarqué que vous ne correspondiez pas à l image que je m étais fait de vous et je vous en fait part , jolie petite brune, vous ne faisiez pas du tout votre àge mais bien 10-15 ans de moins, ça je ne vous l ai pas dit, joli visage presque angélique, presque d adolescente mais beaucoup d plomb et surtout très sure de vos convictions, prêtes à épiloguer en douceur sans jamais vous dévier de vos certitudes. Physiquement et je m en suis fait la refflexion vous faisiez " gamine" dans le bon sens du terme mais vraiment femme lorsque vous preniez la parole et défendiez avec verve vos différents points de vue. Vous sachant prise et même éprise la conversation ne tenait plus lieu d être aussi rigide et elle devenait de fait plus légère et le tutoiement s installa tout naturellement. Du coup je me suis trouvé charmé autant par votre visage d ange que par votre personnalité si attachante. Vous étiez allongée sur votre lit face à moi, vêtue d un simple tee-shirt couleur orangée qui ne couvrait que le haut de votre corps, ce qui au gré de vos mouvements me laissait tout à loisir de découvrir le reste de votre anatomie si plaisante à regarder. A un moment vous vous êtes même levée me laissant de fait admirer votre plastique si avantageuse. Humm....jolies petites fesses qui auraient bien méritées quelques petits sévices bien appuyés que de vous même finissez par m avouer n avoir plus reçu depuis plus de 6 mois ( quel gachis !!) et que le manque se faisait bien présent. Intérieurement je souriais , de charmé je passais a excité mais, vous sachant si éprise, si amoureuse et surtout trop loin en distance de moi je n essayais même pas d aller plus loin, non pas par manque d envie.... Elle se faisait déjà bien présente... Dans la conversation vous m avez dit faire peur aux hommes, le répétant même plusieurs fous comme pour me tester, ce à quoi, avec un grand sourire et droit dans les yeux je vous ai répondu ... pas à tous, pas à tous , deux fois pour bien vous signifier que je ne faisait pas partie de ceux là. Et comme si vous lisiez dans mes pensées, de suite vous m avez dit qu il était inutile que je nourisse quelconques illusions à votre égard et que j arrivais trop tard.... ou trop tôt joli sourire à l appui. Sourire franc, sincère, craquant ! Le court instant cam demandé s était transformé gentiment, au gré de nos discussion et petits délires en un long moment bien agréable.... 1:35 que nous étions là à discuter, il était bien tard ou très tôt, c est selon et la fatigue commençait à vous submerger , vous m en fîtes part, votre tête déjà couchée sur l oreiller tandis que vos paupières trop lourdes se refermaient sur vos yeux. Après une dernière petite boutade nous nous sommes souhaiter une bonne nuit. Merci beaucoup Petite Brune pour ce petit moment de plaisir en votre compagnie Charmé de vous je resterai......
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Par : le 08/09/13
Elle s appellait A...., plutôt grande,un petit peu plus que moi, brune, un corps d ancienne gymnaste à rendre un eunuque fertile, un vrai avion de chasse comme disent les adolescents. En très peu de temps nous sommes devenus hyper complices, tant de points communs nous unissaient, cela en était même inquiétant, à ce point là je n avait jamais connu ça et puis aussi l humour , nos conversations tantôt softs , tantôt hard, tantôt sérieuses étaient presque toujours teintées d humour. Entre les mails, sms puis au téléphonne, que d heure passées ne dormant presque plus dans nos discussions et découverte commune. Elle habitait à près de 250 km de chez moi et entre mon travail et le sien il nous a fallu un certain temps afin de pouvoir fixer une date pour notre rencontre... La First One . Pourtant l envie était bien plus que présente et je crois même que si nous avions pu on l aurait fait dès les 1 ers jours. Le grand jour arriva enfin, ne tenant plus elle decida de venir en voiture me retrouver. Elle avait à peine retirer son doigt de la sonnette que déjà je lui ouvrais la porte et je suis resté planté là quelques instants, sourire idiot rivé aux lèvres tant sa beauté m a subjugué, elle me souriais également puis je l invitais à entrer tout en la débarrassant de ses affaires. Puis je lui pris la main l attirant vers moi , nos corps se touchaient déjà , et je déposais un petit baiser sur ses lèvres suivi d un long, tres long baiser passionné puis fougueux, nous sommes restés ainsi debout à nous embrasser pendant de longues minutes. Quel plaisir !! Elle embrassait divinement. Puis je lui ai propser une petite accolade qu elle s est empressée d accepter . Tout en continuant de discuter et nous embrasser, nous sommes passés à table. A la fin du diner, les deux assis sur le canapé l un à côté de l autre je commençai a me faire plus entreprenant la couvrant de caresses et de baisers tout en la déshabillant doucement. Son soutien-gorge retiré laissait à mon regard admiratif une paire de seins bien fermes que l on aurait pu croire ceux d une jeune femme, pourtant elle avait 50 ans mais personne ne les lui aurait donné. Mes mains et ma bouche attirées comme des aimants entreprirent de s en occupper illico, elle très sensible à ce genre de caresses gémissait déja bruyamment. Je parcourais son corps méthodiquement tel un explorateur ne voulant surtout pas laisser m échapper un quelconque trésor en cours de route. Arriver au niveau de son pubis je glissais mes doigts à l intérieur de la couture de son string et les ai fait coulisser de tout son long tout doucement, elle frémissait, gémissait et quand, enfin je lui retirai ce minuscule rempart et posais doucement mes lèvres sur son intimité naissante elle sursauta tout en laissant échapper un petit cri de plaisir. Je l aidai à se relever afin de passer à la chambre pour y continuer nos ébats .une fois sur le lit, les deux nus, elle entrepris une fellation dont elle se disais experte.... et bien croyez moi ou pas mais experte oui elle l étais bien, jamais je n avais été sucer ainsi , elle avait une façon très particulière, bien à elle de le faire mais c était bougrement efficace, puis de nouveau enlacés tout en s embrassant partout.... partout partout même et surtout là, elle gémissant de plus en plus fort, cette situation m excitait terriblement , puis profitant d un léger relachement de notre étreinte je descendis doucement jusqu à son sexe alternant baisers et caresse afin de lui prodiguer un cunni dont j ai le secret. Et là , à peine avais-je commencé que déjà elle criait très fort de plaisir, quand je dis fort c est....fort !! Au début j étais un petit peu décontenancé par l ampleur de ses cris si bruyants , pensant, je ne sais pourquoi aux futures plaintes que j allais avoir de mes voisins au petit matin, je me repris vite et continuais avec ma bouche et ma langue à lui procurer tout le plaisir qu elle en espérait. Et d un coup elle se cambra et dans un cri profond, d une puissance inconnue de moi jusqu à présent, très prolongé elle eut son 1 er orgasme. La puissance et la longueur de ce cri restera gravé à jamais dans ma mémoire. Motivé comme jamais je ne baissais pas la garde et continuait de la lecher ainsi jusqu à son 3ème orgasme. Cette fois-ci j ai fait exprès de " donner le maximum" afin que mes voisins tout comme moi gardent un souvenir mémorable de cette nuit si bruyante. Après une courte pause , nous avons repris nos ébats , la faisant crier encore et encore et encore jusque tard dans la nuit. Puis nous nous sommes endormis enlacés et fatigués. Le lendemain matin au petit déjeuné, sourire radieux collé à ses lèvres elle me fit une révélation dont je ne peux que m enorgueuillir .... Je savais qu elle était Bi elle me l avais dit lors de nos précédentes conversation et là elle me félicita pour mes cunni qui selon ses dires étaient du même niveau , voir mieux que ceux prodigués par ses copines lesbiennes. En une phrase, une seule je me suis senti comme un dieu du stade , médaille d or accrochée autour du cou , j étais prêt à courir jusqu à Paris en la montrant à tout va !!! Comme quoi Mesdames, un homme peut faire aussi bien , voir mieux que vous lol ........................................................................................................................................................................................................................... Suite ........
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Par : le 05/09/13
Les liens du sang…. Lier son âme à une autre et qu’un coup de cravache Vienne bénir et graver cette sublime attache Déposer enfin mes armes pour cesser d’être un autre Terrassant d’un rire, mes craintes mes doutes et mes fautes Avoir le bonheur de Vous toucher, de Vous sentir, de Vous caresser, Et laisser Nos deux corps se mêler dans un ultime brasier Assumer ses démons, et les changer en plaisir Séduire, enfin, pour les partager, les offrir et en jouir Rattraper un oiseau qui s’est perdu en vol Panser ses plaies, le chérir jusqu’au nouvel envol Découvrir un univers aux mœurs différentes En goûter les saveurs, voilà ce qui me tente Me repaître de ton œil, de ton souffle, de ta sueur, Et voir naître enfin le plaisir qui succède à la peur Avancer pas à pas dans l’immense obscurité Pour malgré la pénombre, voir bien plus de clarté Ressentir votre fouet s’approprier mes fesses Et savourer ce geste comme une douce caresse Abandonner sous Vos yeux toutes résistances Maître, Vous l’êtes désormais de mes sens Éclairez mes pas qui naissent par Vous dans l'ombre Et oublier en jouissant que c’est Vous que je comble Découvrir ensemble La subtile alchimie Vous offrir ma reddition qui lui donnera vie Naviguer sans relâche entre les mots et les maux Ne cesser de nager, de se perdre entre ces deux eaux… S'offrir des marqueurs pour dessiner sur nos murs, Nos postures, nos brûlures et nos luxures au cyanure Te réduire à néant et dans un souffle d’amour brûlant Te faire naître à nouveau plus fort encore qu’avant Fondre dans ses bras, renaitre dans ses mains, Craindre de Le décevoir, s'abandonner enfin, Frémir sous Son souffle, exister dans Ses regards, Accepter d'être aujourd'hui pour devenir plus tard Mourir entre Tes mains de mille petites morts, Te subir, Te craindre, mais T'espérer encore, Tressaillir dans le silence précédant Tes assauts, Puis le déchirer de mes râles quand Tu éprouves ma peau, M'abandonner enfin à Tes tourments les plus doux, N'être plus rien, m'oublier, mais pour toi, être tout Me soumettre, c'est ce plaisir d'être à Ses pieds, de L'honorer, C'est être Sienne, impatiente de combler Ses volontés... Me soumettre, c'est tisser des liens de chairs et de sang, Et ressentir le moindre désir, le moindre chuchotement... Etre ton idéale, ta féérie, ton ultime abandon T’accorder sous mon fouet la totale absolution Participation et réécriture : Empire Merci pour leur vers à : Heatbeat, Camille, Lady Liliam, Panthère, Mistrall, Maestria, Meline, Joliepulpeuse, Paradoxale, Lilirose, Inoha, Laikadomsoum, Maîtresse Valandréa, Hopen, Tily, Lise, sluttyboy, Selena Sensei et un modérateur de BDSM.fr
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Par : le 05/09/13
Pour se plaire sur notre site, faire des connaissances, rencontrer, nous vous conseillons d'appliquer cette recette : Pour lier connaissance, vous allez devoir demander des membres en amis pour discuter, échanger, rencontrer. Pour qu'un autre membre vous accepte comme ami, il doit savoir quelle est votre recherche, où vous habitez, ce que vous aimez, comment vous êtes … Une annonce bien renseignée, c'est une des clés du succès. Cliquez ici pour revoir votre annonce/profil et l'améliorer. Notez-bien : repérez qu'il y a 4 onglets dans la partie supérieure de l'écran, voir ci dessous: ETAPE 2 : TROUVER DES MEMBRES COMPATIBLES AVEC VOTRE RECHERCHE Pour cela, cliquez ici pour vous rendre dans la rubrique "Annonces" Par défaut s'affiche à cet instant toutes sortes de membres (Dominatrice, Dominateur, Soumis, Soumise, etc) sans critères géographiques. Certains ont une photo, d'autres un pictogramme par rapport à leur recherche. Dans la partie gauche de l'écran, vous allez pouvoir préciser le type de personne que vous cherchez (Dominatrice, Dominateur, Soumis, Soumise, etc). Vous allez pouvoir aussi indiquer le pays (et compléter par la région, si vous le souhaitez). Indiquez vos préférences et cliquez sur le bouton rouge "Valider". Ne soyez pas trop restrictifs sur vos critères de recherches (surtout sur les critères géographiques). Cliquez sur les membres qui vous intéressent, et LISEZ BIEN CHAQUE ANNONCE AVANT D'ECRIRE, d'une part pour voir si elle vous convient, mais aussi si vous convenez à la recherche de la personne. C'est très important, si vous ne correspondez pas à la recherche de la personne, vous allez perdre votre temps, et elle aussi ! Une personne à qui vous aller faire une demande d'ami va très très probablement venir voir votre fiche/annonce, mais aussi voir ce que vous avez publiez sur le site (en visitant votre mur) : posez-vous ces questions : "est-ce que ma fiche/annonce, est-ce que ce que j'ai posé sur mon mur est informatif sur ce que je suis ? est-ce que c'est en correlation avec ce que cherche la personne que je m'apprête à demander en amie ?" LES MAUVAISES PRATIQUES : Ecrire directement sur le mur des personnes avec qui ont est pas amis est une mauvaise pratique, car elle est intrusive. En conséquence, elles incitent de plus en plus de personnes à interdire l'accès de leur mur aux personnes avec qui elles ne sont pas amis. Ne pas prendre le temps, c'est perde son temps : lisez les annonces et les profils des personnes que vous souhaitez demander comme ami : quelqu'un qui indique sur son profil : un soumis ou une soumise qui indique qu'elle est en "Couple BDSM" ne pourra sans doute rien pour vous si vous cherchez un(e) soumis(e). Consultez le mur de la personne s'il est ouvert à tous pour comprendre sa recherche. Ne pas tenir compte des conseils de cette recherche : se dire que prendre une heure pour envoyer 80 demandes d'amitié sans avoir lu les fiches des personnes ciblées aura de meilleurs résultats que d'utiliser cette même heure à soigner 5 demandes est définitivement une mauvaise idée ;).
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Par : le 04/09/13
Je suis toujours surpris quand je lis un Dom se plaindre de son soumis qui "ne se comporte pas comme il faut"... De mon point de vue, c'est le soumis qui conduit une relation D/s, pas le Dom. Un Dom n'a que le pouvoir de le soumis lui donne (voir mes autres articles). Sans un soumis, un Dom n'est rien : un Dom n'existe que grâce à un soumis. Le but d'un Dom est de répondre aux besoins de son soumis, pour aider ce soumis à explorer ses désirs intérieurs (parfois ignorés, refoulés), à se développer, à expérimenter de nouvelles sensations en toute sécurité. Bien entendu, le Dom doit aussi y trouver son avance en réalisant ses désirs, mais pas au détriment du soumis ! Abuser n'est pas dominer (si un soumis demande à être abuser, ce n'est plus de l'abus, puisque volontaire). Manipuler n'est pas dominer (si un Dom arrive à ses fins en manipulant son soumis, c'est de l'abus pas de la domination). Concernant la modification comportementale, ce n'est pas à mon sens de la domination. Il s'agirait plutôt pour moi de «coaching». Bien entendu, cela sous entend une demande de la part du soumis. Si les modifications comportementales, sont imposées par le Dom, ou obtenues par manipulation, il s'agit là d'abus de la part du Dom. Une fois de plus, la communicaion est fondamentalle pour identifier la limite entre abus et domination. Il est du devoir d'un soumis de toujours s'interroger si les demandes du dominant correspondent à ses attentes ou si c'est le dominant qui tente d'abuser de la situation.
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Par : le 03/09/13
Après une belle soirée riche en échanges de toutes sortes, préalable impératif de tous N/nos moments physiques en commun, ceci autour d’une bonne table que j’ai méticuleusement préparée en l’honneur de Sa venue dans mon humble demeure, mon Maître me donne l'Ordre de me préparer en vue de N/notre séance... Je m'exécute, et prends un bain, me rase soigneusement... Je sais que mon Maître va procéder à une inspection minutieuse, et gare aux poils qui pourraient être restés... Je sors de mon bain, me sèche, passe du lait parfumé sur mon corps... Mes idées vagabondent... Bien que je connaisse parfaitement tous « les Amis » dont mon Maître se sert, je ne sais jamais comment se déroulera la séance... Il a le Don de toujours me surprendre... Je me coiffe soigneusement, me maquille telle qu'Il l'aime, refais mon vernis, qui se doit d'être toujours rouge et parfait sur les ongles des pieds et des mains... Je lisse ensuite une paire de bas résilles sur mes jambes, et enfile mes escarpins noirs... J'avais Ordre de me présenter ainsi devant Lui... mais j’ai aussi besoin de Le représenter du mieux possible, j’aime cela… Je reviens aux pieds de mon Maître, m'y prosterne humblement comme j’aime à le faire pour N/notre plaisir et N/notre façon d’être... Il me demande de me relever, et me dit de Sa voix grave et autoritaire : « Préparation pour Présentation et Inspection, Ma chienne... ! » Des frissons me parcourent l'échine... Je recule de quelques pas, me positionne jambes écartées, regardant droit devant moi, mains derrière la tête, immobile... J'aperçois furtivement « tous les accessoires » de mon Maître méticuleusement placés sur la table du salon, parfaitement alignés...peut être dans l’ordre dans lequel ils seront utilisés… mes pensées foisonnent en cascade… Confortablement installé dans le canapé, mon Maître allume une cigarette, en finissant de déguster Son Malt, tout en admirant de son oeil inquisiteur Sa propriété... « Tournes-toi.. » Je m'empresse de m'exécuter avec élégance et féminité comme Il lui plait à l’exiger, mains toujours derrière la tête... « Penches-toi en avant, et ouvres-moi ton beau cul... » L'Ordre est exécuté, mes mains sur chaque lobe de mes fesses ouvrant largement mes orifices... Il peut s'apercevoir que mon entrecuisse est déjà dégoulinante... J'aime me retrouver ainsi devant Lui, sans pudeur aucune, offerte, ouverte... Il se lève, je Le sens et Le respire, Il tourne autour de moi, tout en palpant, caressant tantôt doucement, tantôt fermement, soit mon cul ouvert, soit mes mamelles pendantes dans cette position, soit ma chatte coulante, soit mon ventre... Il se saisit de mon rosebud, et me le place en bouche pour l’humidifier baveusement afin qu’il puisse, me dit-Il, se glisser aisément quand Il l’enfournera dans mon fondement... C’est chose faite… avec délicatesse et attentions constantes et je sens qu’Il prend plaisir à me l’introduire ainsi prouvant que tout de moi est à Lui… Il me relève doucement, retourne s'asseoir, m'ordonne de me positionner à Ses pieds, tête respectueusement posée sur Ses genoux afin de mettre et refermer le cadenas de mon Collier autour de mon cou, gardant la clé, Tel le Gardien du Temple... Il y accroche la laisse, et me promène, remuant de la croupe ainsi dans le salon... Puis Il me fait sortir, toujours à quatre pattes, dans le jardin, et m’ordonne de me déverser là tout de suite, telle une bonne chienne... Passées les premières secondes d'humiliation que je ressens au plus profond de mon être, Il me donne Son accord pour commencer à couler, car Il avait refusé toutes demandes préalables dans la soirée pour uriner, me forçant ainsi à en avoir vraiment envie le moment venu… Et c’est à quatre pattes que je me vide en quantité, sous l'œil satisfait de mon Maître, telle une chienne, Sa chienne... Mon ventre bouillonne... Dans la douceur de la nuit, Il me fait me relever, s'approche de moi, me bande les yeux, et me pare d'un magnifique corset noir, qu’Il serre de toutes Ses forces… du coup, j’ai le souffle court, mais je crois surtout qu’une certaine appréhension m’envahit… Il positionne ensuite mes bracelets de cheville, qu'Il fixe sur la barre d'écartement que j'ai fabriquée sur Ses ordres, puis attache mes poignets à la monture de la tonnelle... Je sens Ses mains sur ma croupe et sur mes mamelles dont Il raffole comme Il aime à le rappeler, qui se tendent à la rencontre de Ses mains... et là, à ma grande surprise, Il me dit que la séance ne commencera qu’après une petite punition, en suspend depuis le début de la matinée... Et d’un coup, je ressens une première morsure sur ma fesse gauche, dont la douleur m'est inconnue... Qu'utilise-t-Il ? Je compte les coups, sans omettre de L'en remercier... Dix coups me seront ainsi assénés, tout autant sur ma croupe que sur mes cuisses, la douleur est vive et brûlante... Je n'aime pas les punitions... Non pas par rapport à la douleur engendrée, mais du fait de ce qu'elles représentent : un manquement de ma part... Une insatisfaction de mon Maître... Depuis le 7ème coup, je ne retiens plus mes larmes qui coulent en silence le long de mes joues... Il se place derrière moi, et je sens la fraicheur apaisante de Sa main sur ma croupe... Il me félicite d'avoir fièrement reçu cette punition, utile pour mon Education, et je baise respectueusement Sa main qu'Il me tend... Je lui demande humblement ce qui a été utilisé pour cette punition, et, avec un sourire pervers, il me fait voir Sa ceinture qu'Il remet dans les passants de son pantalon noir... Il me détache, et N/nous rentrons à l'intérieur, prenant le temps de N/nous poser un peu avant de procéder à la séance proprement dite... Il me veut nue, et veut voir mes yeux... Pour la première fois depuis que je suis à Ses pieds, je ne serai pas privée de la vue pendant une séance... Il ôte le corset, puis place un masque noir et blanc sur mon visage... Il me demande de me positionner au centre du salon, jambes écartées, mains derrière la tête... Il s'approche de moi, et positionne une chaine à pinces sur mes tétons érigés qu'Il avait préalablement fortement pincés et étirés auparavant, Son regard sévère et froid, mais rempli d’attention, que j’aime tant dans le mien... Assis dans le canapé, Il m’écarte encore plus les jambes et positionne des pinces d'un cintre à pantalon tordu, afin que mon sexe reste bien ouvert, et une pince en bois, avec un peu de difficulté sur mon clito gonflé et honteusement mouillé... Il se recule dans le fond du canapé en fumant une cigarette, tout en admirant Son oeuvre... Puis, Il se saisit de son flogger, et commence à jouer Sa symphonie qui s'enchaine, sur mon dos, mes épaules, ma croupe, mes reins, mes cuisses... Je dois avouer que la douloureuse caresse du flogger est ma préférée (je suis toujours accueilli par une vingtaine de coups de flogger, à chacune de N/nos rencontres.) Sa mise en action fait naître un souffle profond et chaud, un peu lourd, qui atteint le corps avant les lanières. Puis leurs extrémités viennent frapper la peau, produisant une sensation de picotements rapides et léger qui se ressent en un dixième de seconde... Ces picotements et caresses réveillent chaque centimètre carré de mon corps. Mon Maître a décidé de varier les plaisirs... Après une quinzaine de coups de flogger, (Je ne compte jamais le nombre de coups lors de séance), il prend Sa cravache et caresse cette fois, uniquement ma croupe qui se tend malgré moi, à la recherche de cette caresse... Petits coups rapides qui rougissent et chauffent mes fesses... L'humidité de mon entrecuisse s'intensifie... Il la vérifie constamment en introduisant Ses doigts dans ma partie qui ne demande que ça, d’ailleurs… Il dépose Sa cravache, puis, se place devant moi en allumant deux bougies blanches, dont il laisse couler la cire d'une hauteur de 5/6 cm environ sur mes mamelles et mes tétons toujours pincés... Extase parmi les extases, plaisir des plus voluptueux, surpassant pour moi de très loin absolument tout le reste... Les premières gouttes sont un peu difficiles, j'ai l'impression que de petites épines, très fines, viennent titiller ma poitrine, aussitôt fondantes, formant de petites plaques chaudes. Gouttelettes brûlantes, dès qu'elles se posent sur moi, rafraîchies par l'air ambiant, elles se changent en un doux cataplasme apaisant. Je me cambre, tout en laissant échapper des râles de plaisir, Lui offrant mes seins en toute confiance... Une fois mes mamelles et tétons recouverts, Il approche les bougies de mes lèvres, afin que je les éteigne en soufflant délicatement dessus... Il se recule, admire encore Son oeuvre, avec un sourire pervers et satisfait, et de Sa voix calme et posée, Il m’apaise… puis Il se saisit de Son long fouet en cuir... C'est un serpent au venin puissant… j’ai encore beaucoup de mal à l’apprécier, car je le trouve beaucoup plus cinglant et mordant que les autres... j’ai besoin de faire plus d’effort pour appréhender, accepter et transformer les multiples douleurs qu’il procure. J’adore cependant son claquement et son souffle... ce son très chaud, sec et grave, comme chargé d’électricité qui me grise en quelques secondes alors que mon Maître ne m’a pas encore effleurée. Son souffle est magistral : c’est un serpent qui s’élance sur sa proie et qui siffle autour d’elle pour mieux l’hypnotiser, et l’enlace, jouant avec elle afin de mieux la happer, au moment où elle s’y attend le moins, s'enroulant autour de mon corps... Les multiples sensations proviennent à la fois de la force que mon Maître emploie à appliquer ses touches, et de la façon dont il fait se coucher son fouet sur moi. Suivant la force des coups, et la manière de le faire claquer, cela peut être une morsure franche qui me transperce jusqu’à l’intérieur de mes os, j’ai le sentiment d’être percutée par des billes brûlantes... Je ne peux, pendant la flagellation au fouet, m'empêcher de crier lors de l'impact, ni ne peut retenir mes larmes, malgré l'excitation montante qui est la mienne... Pendant ces flagellations au fouet ou au flogger, mon Maître est venu plusieurs fois apaiser mon corps brulant avec la fraicheur de la caresse de Ses mains, déposant un baiser sur mes lèvres, et s'assurant de Ses doigts de mon excitation grandissante de part l'écoulement entre mes cuisses, m'ordonnant en même temps de respirer plus doucement... Il a ensuite décidé de retirer la cire de mes seins à l'aide d'une petite brosse à ongles... Nouvelle perversité de mon Maître, qui la retire normalement à la cravache ou au flogger... Autre sensation découverte... mes mamelles étaient joliment rosées après ce traitement... Il a retiré d'un coup les pinces de mes tétons, et s'en ai saisi entre les doigts... Quelques cris se sont échappés de mes lèvres tant la douleur est fulgurante lorsque le sang afflue à nouveau... Désirant en Maître Absolu prendre possession de Sa chienne, mon Maître a ensuite exigé que je me positionne à quatre pattes, et après avoir retiré le rosebud qu'Il avait introduit en début de séance, Il a investit sauvagement mon anus, m'ordonnant de réciter la table de multiplication de 2... Waow... exercice tout nouveau pour moi... Qu'il me fut difficile de me concentrer... A la fin de la table de deux, Il s'est retiré, puis a ré-investit mon anus en exigeant cette fois la table de 3... puis celle de 4, et enfin de 5... moi qui trouvait ces tables faciles, et qui ai eu un petit sourire lorsqu'Il a eu cette exigence... je me suis trompée 5 fois en tout... Bien entendu, je dus recommencer du début... Mon excitation et mon plaisir montant, cet exercice, à l'apparence simple fut plus difficile que je ne crus, et mes erreurs allaient être comptabilisés pour une nouvelle punition... Il se retira, et ma bouche Lui servit d'écrin, honorant Son Noble Membre avec un plaisir non dissimulé, de la manière dont Il m'a enseigné, afin de Le satisfaire au mieux... Il m'installa ensuite sur le tabouret du bar, et les yeux dans les yeux, me prit la chatte que j'avais littéralement dégoulinante, avec l'interdiction de jouir... Je dus lui demander plusieurs fois humblement avant que l'autorisation me soit accordée... N/nous avons partagé un orgasme intense et libérateur, les yeux dans les yeux, avant que me soit assénée ma punition des tables de multiplication pour clôturer cette séance : 5 coups de canne anglaise : un sur chaque sein, et 3 sur ma croupe, debout, mains derrière la tête... A la fin de cette punition, j'ai humblement remercié mon Maître, en lui baisant la main, et me positionnant à quatre pattes, je Lui ai humblement demandé un dernier coup de canne anglaise sur ma croupe... très fort... J'ai aujourd'hui encore la marque de ce dernier coup... Mon Maître m'a relevée, remerciée, et à déposer deux baisers dont je connais la signification : l'un sur mon front, l'autre sur mes lèvres... Je Vous remercie humblement mon Maître, de ce merveilleux moment partagé avec Vous, dans la confiance et le respect les plus Absolus..
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Par : le 03/09/13
Je me souviens de vous Madame. C était il y a bien longtemps et pourtant, je ne sais pourquoi vous êtes restée bien présente dans ma mémoire. Vous qui m avez surpris et ce à plus d un titre. De notre rencontre éphémère qui ne devait pas l être. Après plusieurs journées et nuits à discuter de manière intense sur le net, nous avions convenu d un rdv dans une brasserie. Là nous avons beaucoup discuté et déliré , l ambiance était très plaisante , vous étiez aussi charmante qu agréable. Après plusieurs heures vous m avez dit vouloir passer la nuit avec moi, et moi fatigué que j étais je vous ai répondu que pas ce soir car cela faisait plus de 24 heures que je n avais pas dormis après avoir enchainé 5 nuits d affilées. Vous avez (plus) qu insisté et devant mon refus poli vous promettant de remettre cela nous nous sommes levés et vous m avez demandé de vous raccompagner avec ma voiture à la votre qui était garée bien loin. Naturellement j ai accepté et chemin faisant vous avez de nouveau essayé de me convaincre sans résultat. Après m être garé près de votre voiture, j ai coupé le moteur et là vous m avez embrassé fougueusement en insistant de plus belle pour que l on passe la nuit ensemble. Nouveau refus poli de ma part qui au lieu de vous freiner décupla votre motivation. Là vous avez pris ma main pour la poser sur votre opulente poitrine qui ainsi offerte je ne pu m empêcher de caresser allègrement. Nouvelle demande de votre part et nouveau refus insistant bien sur mon état de fatigue. Et là vous avez repris ma main pour la glisser dans votre string sous votre jupe...... Vous étiez trempée... grave !!!! Mon sang n a fait qu un tour et là je vous ai dit de suite : ok vous gagnez (lol) Je me rappelle vous avoir caressé ainsi pendant tout le trajet, l excitation de votre humidité abondante provoquait en moi un état d excitation extrème . Arrivé chez moi, la porte à peine refermée , nous étions déjà enlacés, nous embrassant et caressant sans retenue aucune. Sans plus attendre je vous deshabillais tout en vous caressant et en vous embrassant. Une fois nue,alors que nous étions toujours de pied, mes mains au plus près de votre intimité je commençai à la fouiller vigoureusement ce qui vous arracha un 1 er orgasme bien trempé. Alors que j allais attaquer les choses sérieuses, ainsi, au beau milieu de la pièce, vous m avez demandez avec un grand sourire de passer à la chambre car vous vouliez un pti peu plus de confort. Sans nous lacher et toujours collés l un à l autre nous y sommes allés et de suite vous vous êtes allongée à même sur le lit sans le défaire. Ma fatigue avait disparue comme par enchantement , nous étions là nous caressant et nous embrassant passionnément , la situation était brûlante de notre excitation commune. Sans même nous concerter nous avons entrepris un 69 endiablé . Quelle excellente suceuse vous étiez et il m a fallu vraiment me contrôler afin de ne pas exploser dans votre bouche. Vous vous étiez aux anges et gémissiez de plus en plus fort jusqu au moment ou après un début de contorsion vous avez de nouveau crié et explosé. Explosé c est bien le bon mot , un long cri suivi de spasmes et là j ai découvert en pleine figure que vous étiez femme fontaine. J en avais partout sur mon visage , le bonheur total. Cette situation a décuplé mon envie et de suite je suis retourné vous faire un cunni qui a eu pour effet d avoir les mêmes heureuses conséquences. Je suis passé de grand fatigué à fougueux passionné en un éclair , nous avons fait l amour plusieurs fois avec à chaque fois le même bonheur. Au petit matin ,alors que le soleil se levait nous étions là, repus, assis dans le canapé du salon à discuter et délirer au sujet de cette folle nuit que nous venions de passer. Je vous faisais remarquer qu il aurait été sympa de me prévenir avant qu elle était femme fontaine ce à quoi elle me répondit n avoir pas osé de peur que ça me gène. Un comble !!! Et là , contre toute attente , vous m avez dit que j avais été l un de vos deux meilleurs amants et que vous me téléphonnerez de temps en temps lorsque l envie de bon sexe se fera pressante. Je suis resté tout d abord bouche bée , puis je me suis permis de vous remettre en mémoire l objet de cette rencontre, qui selon ma recherche devait être de longue durée et non éphémère. Vous m avez répondu que vous disiez toujours cela mais qu en fait vous ne vouliez pas de vraie relation. Touché dans mon orgueil avec ce sentiment désagréable d avoir été trompé je vous ai répondu qu il vous faudrait vous passer de mes services car je n étais pas de ceux que l on siffle lorsqu on en a envie et que bien que cette nuit fût à plusieurs titres super méga excitante je préfèrai arrêter là et vous congédiais sans plus attendre. Une fois partie, j allais dans ma chambre et là oh desastre !!! La couette était trempée , je la retirai donc , les draps l étaient également ainsi que le matelas qui du coup était lui aussi tout taché de votre abondante mouille. Moi qui n aspirait qu à me coucher pour dormir j ai dû me résigner à aller sur mon canapé en priant que ça sèche très vite. Oui je me souviens de vous Madame , De votre prénom je l ai oublié Vous n étiez pas la 1 ère femme fontaine que je rencontrai ni la dernière d ailleurs mais bien celle qui m a le plus marqué !! Cette histoire est authentique de A à Z Je vous la devais bien Madame, vous que je n ai jamais oublié
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Par : le 02/09/13
Voici mon humble avis du jour...Qui sommes nous pour juger! Critiques, reproches... Cela fut pendant bien longtemps les signes de réprimande... L'enfant que nous étions dispose de son environnement propre et qui sera l'origine de l'Homme (ou la Femme). Aux travers des Erreurs commises... Volontairement... Ou pas! Tout le monde apprend et se forme... La perfection n'étant en rien humaine, on prend initialement des remarques pour nous faire évoluer sans pour autant toujours les accepter. L'acceptation ne peut se faire qu'au biais de deux choses! - d'une confiance en la personne qui vous donnera son "conseils" - ou aux travers d'un recul sur nos erreurs et son analyse. Chacun se pourvoit alors de son propre avis sur la chose... Complexité de l'Age avançant et alors de l'étude environnemental... L'enfant ouvre les yeux et de par son vécu va comparer son monde... Rien de tout Blanc ou Noir mais la nuance des gris qui nous entoure. L'opposition esprit/réalité déclenche des lors un conflit. La notion de morale se forme et le libre arbitre s'ensuit... La logique n'a parfois plus de sens car nos raisons varient en fonction de chacun. Les actes de chacun ne sont alors pas toujours compris, Parfois même subit comme un choc malgré la logique initiale de l'auteur. Quid du Jugement! Qui sommes nous pour dés lors intervenir. Juger. Nul n'a ce pouvoir sur autrui! Nul n'a le droit! Nul ne peut avoir la prérogative de pouvoir Juger! Viendront les commentaires sur les désaccords (car nous sommes tous bel et bien différent... ) d'une mère sur son fils... D'une victime sur son agresseur... Tous les sentiments d'injustices et de vengeances. Et je vous l'accorde, lecteurs que vous êtes... Une sanction se doit d'avoir lieu après chaque dommage. Œil pour Œil... Dent pour dent... Mais ou cela mène? Cela ne permet en rien d'évoluer. Je me détourne du sujet mais c'est pour pourtant la meilleure manière de répondre au préjudice et donner le jugement le plus impartiale... Sans attention, signification, sans jugement... Comment évaluer l'importance d'un évènement? A vous de juger!
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Par : le 31/08/13
Analyse d'un échange afin que vous appreniez à reconnaître et à déjouer les pièges ... Il est clair qu'ici je fais part de mon interprétation quant-aux propos du maître XY, et que donc cela implique le fait que je puisse me tromper... c'est pourquoi je suis toute prête à entendre vos interprétations... alors n'hésitez pas... maîtreXY: bonjour sara soumise (le maître fait un rappel, en douceur, des statuts de chacun) Moi: bonsoir Monsieur maîtreXY: comment vas-tu ? (le «tu» implique une emprise) Moi: je vais fort bien et vous même ? maîtreXY: très bien merci soumise (le maître renforce son statut... statut que j'accepterais si il était mon maître, ce qui n'est pas le cas) Moi: Monsieur je me nomme Sara... le mot soumise est et sera réservé à celui qui sera mon maître. (compte tenu que le maître n'est pas MON maître, je me permets de remettre les choses au clair) maîtreXY: ok ok sara si cela te fait plaisir (le maître souligne qu'il accepte ma demande pour me faire plaisir, et il en attend donc un remerciement.) Moi: ce n'est pas par plaisir Monsieur (sauf que je fais remarquer au maître que c'est un état de fait et non un plaisir) maîtreXY: tu mérites d'être cravachée sara (réaction normale du maître devant le fait que j'aie omis de le remercier) Moi: oui c'est fort possible Monsieur (je lui fait comprendre que mon omission est des plus volontaire) maîtreXY: sûr, c'est cela qui te manque un bon dressage (le maître me fait comprendre qu'il sait que mon omission est volontaire et il me donne sa solution au problème) Moi: si vous le dites Monsieur (j'essaie de lui faire remarquer que ceux sont là ses paroles et non les miennes) maîtreXY: tu es habillée comment sara ? (le maître prend de l'assurance, un peu trop à mon goût) Moi: et pourquoi devrais-je vous le dire Monsieur ? (je lui fait comprendre qu'il a été présomptueux) maîtreXY: tu dois obéir sara (le maître se place en tant que tel tout en me faisant comprendre où est ma place) Moi: non je ne dois obéissance qu'à mon maître quand j'en aurais un !!! (je recadre les choses et je reprends le pouvoir) maîtreXY: tu dois apprendre à obéir et à respecter les maîtres (rappel à l'ordre des statuts, le maître exige mon obéissance) Moi: je respecte les Maîtres mais je ne suis pas tenue à leur donner obéissance. Je ne confonds pas le "LES Maître" avec le "MON Maître"; Monsieur. (je reprends le pouvoir en lui disant ma façon de penser) maîtreXY: tu as la langue trop bien pendue sara (le maître sous entend que je serais une «mauvaise» soumise et que j'ai besoin d'être dressée, et ce bien entendu, dressage donné par ses soins) Moi: Non du tout Monsieur, je ne suis pas votre soumise et de ce fait, oui je vous dois le respect du à votre titre de la même façon que je le dois à tous les autres Maîtres, mais en aucun cas je vous dois obéissance; Monsieur. (je fais comprendre au maître que je l'ai entendu, mais que je refuse sa proposition) maîtreXY: je comprends pourquoi tu n'oses pas les rencontres, tu as trop peur d’être punie (le maître essaie de me culpabiliser... ) Moi: Peur d'être punie Monsieur ? Moi: Au cours d'une rencontre ? maîtreXY: et de devoir te soumettre Moi: Non pas du tout, au risque de me répéter... vous n'êtes pas MON Maître Monsieur, de ce fait je ne me soumettrais pas à vous et de même je n'accepterais pas d'être punie par vous. (je refuse cette pseudo culpabilité et je le lui fait savoir) maîtreXY: si tu ne veux pas être ma soumise alors salut (le maître semble avoir compris qu'il ne sera pas Mon Maître) Moi: je vous souhaite donc bonne chance Monsieur ainsi qu'une bonne soirée (là je me permets une moquerie tout en finesse... ) maîtreXY: bonne nuit sara fait de beaux rêves Moi: Merci Monsieur maîtreXY: salut Moi: Au revoir Monsieur À ce moment je me dis que le maître a compris et que de ce fait l'échange s'arrête là... mais non... maîtreXY: ton skype sara (le maître voudrait reprendre la main sur et dans un autre «lieu» ) Moi: pourquoi faire Monsieur ? (je lui en demande la raison, bien que je la connaisse déjà) maîtreXY: pour te voir sara (le maître me donne en effet la seule réponse possible) Moi: me voir Monsieur ? Moi: et dans quel but ? (je demande au maître un complément d'information) maîtreXY: faire mieux connaissance et voir qui est sara (le maître m'explique le pourquoi de sa demande tout en me faisant comprendre qu'il aimerait aller plus loin avec moi) Moi: Je me permets Monsieur de vous remettre en mémoire le fait que vous m'avez congédiée il y a peu et ce pour le fait que je me refuse d'être votre soumise. Ce qui est vrai. Du coup je ne vois pas l'utilité que nous allions sur skype pour faire plus ample connaissance, d'autant plus que vous m'aviez déjà fait cette demande en m'ordonnant de m'y montrer nue. (je remets certaines choses passées au clair et je reprends le pouvoir) maîtreXY: et bien tu veux ou tu veux pas me donner ton skype sara (le maître sent que je lui échappe et cela ne lui plaît pas) Moi: Monsieur, je vous l'avais déjà donné et vu la conversation que nous avions eu je pense que vous m'avez, par la suite, aussi congédiée de votre skype. (Je lui rappelle à nouveau des mots dits il y a peu ainsi que la finalité de l'échange qui eu lieu entre nous sur skype) maîtreXY: votre skype ne discuter pas (le maître perd de son statut car il me donne du vous... de ce fait c'est comme si il me considérait comme son égal) Moi: Vous n'êtes pas MON Maître Monsieur ! Je n'accepte donc pas vos ordres. (j'ai le pouvoir et je lui confirme le fait que je suis en pôle position) maîtreXY: ok donnes (le maître tente une ultime fois tout en me passant de la pommade pour m'amadouer) Moi: Non Monsieur. Je ne vous le redonnerais pas. (je lui fais comprendre que la pommade ne sert à rien... ) et là a-t-il enfin compris ?... à priori oui... ACT II avec maîtreXY... maîtreXY: bonjour sara Moi: bonjour monsieur maîtreXY: comment allez vous Moi: je vais bien merci maîtreXY: toujours rebelle (le maître prend la température... ) Moi: en voilà une drôle de question Monsieur (je lui faire part de mon étonnement...) maîtreXY: et pourquoi çà (le maître ne comprend pas...) Moi: car cela sous-entends que je l'ai été il y a peu Monsieur (... d'où mon complément d'explications) maîtreXY: pour moi tu mérites d'être traitée très sévèrement et dresser sans ménagement (le maître se souvient fort bien de mon côté rebelle... et par la même occasion il me redonne sa vision des chose) Moi: ha oui? et pourquoi Monsieur ? (je demande un complément d'information) maîtreXY: pour que tu deviennes une très bonne soumise et faire la fierté de ton maître quand il t'offre (le maître tente de me culpabiliser et de me faire douter des mes capacités à être une bonne soumise) Moi: oui mais cela incombera à MON Maître, Monsieur; si tel sera son désir. (je refuse cette pseudo culpabilité et je lui donne par la même occasion MA vision des choses) maîtreXY: oui si vous voulez vraiment un maître? (le maître essaie d'insinuer en moi le doute quand à mes envies et désirs) Moi: oui je veux un Maître mais je veux MON Maître. (je coupe cette tentative en lui mettant clairement par écrit ce que je cherche) maîtreXY: vous êtes surtout une esclave devant être la propriété d'un maître, pour l'instant une chose, un meuble, qui bien dressé fera de vous une bonne soumise (le maître essaie de reprendre le pouvoir en accentuant les positions de chacun.... tout en me laissant entrevoir que je pourrais, entre ses mains, devenir une bonne soumise) Moi: et tout ceci pour dire quoi Monsieur ? (j'oblige le maître à abattre son jeu) maîtreXY: que j'aimerai bien vous voir pour vous testez et vous punir (le maître me fait comprendre que pour pouvoir être sa soumise je dois accepter une mise à l'épreuve, sauf que ce faisant il a «oublié» que je ne suis et que je n'ai jamais été intéressée par son offre) Moi: pour me tester Monsieur? Moi: Ben voyons... c'est clair... quoi qu'il en soit je suis désolée, je me permets de refuser votre offre. (ce que je lui fait comprendre de suite...) maîtreXY: je le savais (le maître abdique... ou presque..) Moi: nos visions sont opposées ce qui fait que nous ne serions jamais d'accord Monsieur (je lui donne un complément d'information pour expliquer mon refus) maîtreXY: vos visions sur quoi ???? (le maître ne fait comprendre qu'en fait il n'en a que faire de ma façon de concevoir une relation D/s) Moi: sur la relation Maître/soumise Monsieur (simple rappel de ma part... ) maîtreXY: je ne sais pour quelle raison vous avez disparu de mon skype (le maître s'étant rendu compte de son impair tente de passer à un autre sujet) Moi: je n'en sais pas plus que vous Monsieur maîtreXY: c'est quand même bizarre (le maître met en doute ma parole) Moi: je ne sais pas Monsieur... c'est ainsi... parfois le hasard s'en mêle... maîtreXY: tu en fais une belle de hasard, tu aurais pu me prévenir (le maître fait une accusation en bonne et due forme) Moi: pardon Monsieur ? Moi: vous prévenir de quoi Monsieur ? (étant accusée je lui demande un complément d'information...) maîtreXY: de m'avoir retiré de tes amis sur skype Moi: non Monsieur... vous y êtes toujours sur mon skype... le retrait ne vient pas de mon côté. (je lui fait comprendre que l'erreur vient de sa part...) maîtreXY: bon ok, j'ai du faire une fausse manœuvre. mais vous n'êtes plus là (le maître avoue qu'il a fait «une fausse manœuvre»...) Moi: et donc ? que suis-je sensée faire ? maîtreXY: remettre les chose en l'état Moi: c'est à dire Monsieur ? maîtreXY: que vous me contactiez sara Moi: et pourquoi le ferais-je Monsieur ? maîtreXY: parce que je pense que vous n'êtes pas une pétasse. (le maître me passe la pommade «flatterie» ... ) Moi: et bien c'est gentil pour toutes les autres soumises Monsieur Moi: donc si je vous comprends bien, toutes les soumises qui vous ont dit non sont des pétasses... et pour ne pas l'être je me dois donc de vous dire oui... est-ce cela Monsieur ? (je fais comprendre au maître que la flatterie ne fonctionne pas sur moi... bien au contraire.) maîtreXY: vous avez des ondes vraiment très négatives, soyez ce que vous voulez sara (et rebelote le maître essaie à nouveau de me culpabiliser tout en voulant me faire douter de ma capacité à être une soumise... ) Moi: non Monsieur je n'ai aucune onde négative (je refuse, à nouveau, cette pseudo-culpabilité) maîtreXY: vous l'êtes tellement que vous n'arrivez plus à vous situez dans votre vie (le maître tente encore de me déstabiliser... ) Moi: et je suppose que vous seriez tout prêt à m'aider à reprendre pied... n'est-ce pas Monsieur ? Moi: sauf que, Monsieur, pour votre information... je me situe très bien dans ma vie et dans mes envies. (je lui fait donc comprendre que cela ne fonctionne pas... ) maîtreXY: je le voulais oui, mais maintenant je pense que je ne peux pas grand chose pour vous rendre heureuse (le maître avoue qu'il avait des vues sur moi, mais il avoue aussi son incapacité...) Moi: et bien vous vous y êtes pris comme un manche avec moi Monsieur... vous avez juste oublié que derrière toute soumise il y a d'abord une femme et que pour avoir la soumise il faut avant charmer la femme. Moi: sur ce Monsieur je vous souhaite bonne chance dans votre recherche. maîtreXY: je ne cherchais pas à être ton amant mais ton maître, mais là vous avez un blocage qui prouve que vous n'êtes pas encore une soumise (le maître se sent attaquer dans son statut...et comme il ne peut reconnaître sa propre incapacité, il voudrait me la mettre sur le dos en essayant de me culpabiliser) Moi: les amants, comme vous dites Monsieur, je peux en avoir quand je veux... mais cela ne change en rien qu'une soumise est aussi et avant tout une femme... si vous n'avez pas compris ça vous n'avez rien compris... Moi: de plus vouloir me culpabiliser ou vouloir me faire douter de ma soumission est indigne d'un Maître. (je suis fatiguée de ce dialogue de sourd, du coup je lui fais savoir que je ne suis pas dupe quant-à ses tentatives de culpabilisation et autre, tout en lui faisant comprendre que cela accentue le fait qu'il ne soit pas digne de son statut) maîtreXY: ouh ouh ouh on arrête là si vous voulez bien, une seule chose à dire " dommage" (le maître a fort bien compris, du coup il prend la sortie de secours...) Moi: oui Monsieur, il me semble que c'est le mieux à faire faute de quoi mes mots pourraient dépasser ma pensée. maîtreXY: et des pensées vous en avez Moi: bien sûr Monsieur, autant si ce n'est plus que vous. maîtreXY: oui, mais moi je suis simple Moi: moi aussi Monsieur je le suis maîtreXY: alors tout est bien sara, et tout le monde a sa place. Moi: oui Monsieur maîtreXY: CQFD Moi: CQFD Monsieur maîtreXY: bises Moi: bonne continuation Monsieur maîtreXY: merci, au plaisir Cela dit je me permets de dire à toutes les soumises... "Ne laissez JAMAIS un maître vous faire douter de votre soumission et/ou de votre capacité à être une bonne soumise... et refusez toutes tentatives de culpabilisation de sa part... sur ce prenez soin de vous mes toutes belles... (PS... cela s'adresse aussi aux soumis!!!)"
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Par : le 30/08/13
Il faisait encore bon en vendredi de fin août. Une petite brise accompagnait l'été crépusculaire. Cela arrangeait bien mon cas, je n'avais ni trop chaud ni trop froid sur ma motocyclette anglaise. Je me dirigeais vers les appartements de Dame Saphire, mon sac en bandouilère, situés quelque part dans un quartier tranquille de la ville de S. La résidence de Madame n'était pas difficile à trouver, en face de l'immeuble se trouvait une forêt qui annonçait la fin de la zone urbaine. Je garais donc ma moto en face de l'immeuble beige de trois étages . Après avoir retiré mon casque intégral je me dirigeais vers la porte d'entrée en métal et m'apprêtais à appuyer sur la sonnette qui répondait au nom de Madame S. J'eu la surprise d'entendre une voix féminine et un peu lasse: -C'est ouvert, et vous avez trois minutes de retard.... C'est au troisième étage, la porte est ouverte. Je me hâtais de prendre l'escalier et de trouver la dite porte, et y toquais enfin. Dame S. me dit d'entrer, de bien refermer la porte, d'enlever mes chaussures et mes chaussettes et enfin de la suivre au salon. Ce que je fis, tout en gardant mon sac. Le couloir était fait d'un parquet en chêne gris, et les murs étaient également gris, mais de ce gris clair qu'on peut étrangement trouver chaleureux et agréable à l'œil. Cela semblait être un leitmotiv que l'on retrouvait dans le salon, dont le mobilier était moderne, mais classieux. Rien à voir avec les promotions d'une enseigne scandinave reconnu, le design contemporain à l'italienne primait. Dame S. m'ordonna de poser mon sac et pris ses aises sur une méridienne ovale en cuir capitonné beige, et dont l'assise et le dossier formaient un bloc qui s'arrêtait au tiers de de l'ensemble, et croisa les jambes. Je pouvais enfin contempler mon hôtesse, elle était gironde, dans le genre qui était encensé au dix-neuvième siècle ainsi que dans les représentations réalistes de la Renaissance, son visage, me rappelait celui de Tarja Turunen, avec la mâchoire moins agressive et des yeux vert-de-gris. Ses cheveux foncés mi-longs et relâchés parachevait le tableau. Elle portait une robe que je devinais être en cuir ou en simili qui laissait apparaître ses jambes mises en valeur par une paire de bas tenues par des jarretelles, alors que ses pieds étaient protégés par des escarpins noirs dont les extrémités de l'avant et les rebords étaient blancs comme le petit nœud papillon qui les ornait au niveau des orteils. Son ventre et sa poitrine étaient maintenus par un corset noir avec des motifs représentant des roses et des crânes. Elle était très désirable et imposait l'obéissance absolue par son aura. -Déshabille-toi, et mets tes frusques dans le couloirs, m'ordonna-t-elle d'un ton autoritaire. Complètement soumis à sa volonté, j'obéis et retirait plus ou moins adroitement mes vêtements et les posais dans le dit couloir. J'eu ensuite la bêtise de vouloir ouvrir la bouche et d'arborer un sourire. Je n'eu pas le temps de dire un premier mot, qu'elle me fit signe de me taire, d'un doigt sur sa bouche et dit: -Tu n'as pas à m'adresser la parole si je ne te le demande pas. Tu es sensé savoir comment te comporter, alors cesse de faire l'idiot, tu es là parce que je suis bien bonne de te laisser ta chance de me prouver que tu es mesure au minimum de me distraire. C'est clair? -Oui, répondis-je les yeux baissé et dénudé. Elle se leva et vint prestement vers moi, approcha son visage du mien et me tira les cheveux, en demandant, visiblement irritée: -Oui qui? Tu crois que je suis ta copine? Ou un clown peut-être? Elle me relâcha les cheveux et regagna sa méridienne. -Oui Madame, je ne voulais pas disconvenir aux règles de base, baragouinais-je, confus. -Maintenant tu vas te mettre à genoux et me jurer obéissance absolue. Je vais faire de toi un esclave à mon service. Tu seras ma propriété. Mais si tu ne fais d'effort je te jetterai comme on jette une ordure dans les poubelles, tu n'es pour l'instant rien de plus pour moi, mais je crois que je pourrai tirer quelques plaisirs à te mettre à mon service. Alors pour la première et dernière fois, es-tu sûr de vouloir devenir mon soumis et ma petite putain, de m'appartenir corps et âme, et de faire au mieux? -Oui Madame, je le désire ardemment, répondis-je à genoux et ému aux pieds de Dame S.
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Par : le 29/08/13
Tu te trouvais là au beau milieu de ce chemin, Qui tu t en doutais n étais pas sans fin Allongée, nue , ventre à terre De mes chaussures tu en sentais le fer A tes cotés debout je me tenais La laisse qui nous unissaient pendait De ramper à même le sol je t ordonnais Quelques dizaines de mètres suffisaient Dans la douleur et dans la boue Ta volonté ne se joue Au détour d un virage apparut Mon choix voulu De sa verte couleur On n en voyait pas la douceur Un coin remplit de hautes orties Qui allaient , je le savais te redonner vie Ton regard effrayé touné vers moi N en fût pas récompensé comme il se doit De tirer sur la laisse en cette direction Plaisir je me fît d attirer ton attention Et d une voix autoritaire et sans appel T ordonnais d y aller sans querelle Afin de te faciliter la tâche Je t enlevais ton attache Et dans un élan d extrème bonté Tu te plias à ma volonté Ne voulant pas l exercice trop facile Te bander les yeux je donnais dans le mille A 4 pattres te fît mettre Afin que les morsures enfin pénètrent Chaque centimètre de ton corps rétif Pour que tu le sentes plus actif De douleur tu poussas un cri Lorsque le premier mètre tu fîs De te protéger ,les mains en avant tu essayas De te passer les menottes me motiva Tes larmes ,à flots coulaient Mais fermé à tes suppliques, je te retenais Ton corps se couvrait de piqures Qui ressemblaient presque à des morsures Plus que cinq mètres te dis-je Juste encore quelques tiges Au sortir de ce douloureux parcours Tu me dis dis que tu m aimeras toujours Après tant de souffrances Tu voulais ta récompense De te prendre dans mes bras ne me fîs prier Telle était ta volonté Fier de toi Je te le dois
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Par : le 29/08/13
Il était une fois une fille sans joie, Qui bien que gardant la foi De ses rêves jamais enfouis S en allait sous la pluie D un pas rapide elle avançait Sans se retourner jamais Vers son destin Qui était au bout de ce chemin Son choix étant fait Point elle ne doutait De que sa vie devait changer Afin de ne pas sombrer De retour en arrière il n y en aurait point Elle se voyait déjà très loin Sa libido de s exprimer voulait A son maximum elle s exprimerait De limites ,d en avoir elle s en voudrait Que de ne pas en avoir ,de plaisirs elle en attendait Ce n est pas donné a tout le monde Même en y regardant des kilomètres à la ronde Que de vouloir passer sans plus douter De fille sans joie A fille de joie
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Par : le 29/08/13
Enchainée vous l étiez depuis la veille Ainsi vous êtes restée sans sommeil Attachée tout contre cet arbre Vous en avez versé des larmes Si dure était l écorce Qu elle vous laissait sans forces Ainsi laissée profitant de votre punition Votre retour sera bien dans la soumission Votre dos lacéré Par tant de coups de fouet De par ses douleurs vous relançait Presque sans arrêt De vos lointaines pensées La punition faisait effet Un souvenir sans cesse vous revenait Votre désobéissance jamais se renouvellerait De m implorer vous le voulez Pour ne pas devenir mon boulet Entre deux larmes mon pardon vous le demandiez Tout en me promettant ne jamais recommencer Ma clémence vous l accordait Contre promesse que vous ne recommenceriez jamais
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Par : le 29/08/13
Après de longs moments passés a échanger sur le net arrive enfin LE moment de se rencontrer ! Conformément aux directives on ne peut plus détaillées que je vous ai envoyé , vous êtes là garée a environ 50 mètres de ma voiture ou dans cet endroit inconnu de vous, vous allez enfin pouvoir exprimer ce dont vous m avez tant parlé, votre désir d être à la merci totale du dominant que je suis. Situé près d un parcours sportif, il y a déjà, bien qu il soit tôt plusieurs voitures stationnées ici et là. Il pleut, non d une pluie drue, plutôt fine mais continue, la température avoisine les 15* guère plus. D un appel de phare vous me signaler votre arrivée, je réponds par un, puis trois rapides ce qui signifie le début de cette aventure. Vous savez maintenant ce que vous avez à faire, je vous ai tout écrit et bien détaillé chaque phase de ce que j attendais de vous. Bien qu éloigné et sans pouvoir vraiment distinguer clairement vos gestes, je vous sais accomplissant vos devoirs sachant très bien la difficulté que je vous ai imposé , je savoure déjà votre début de soumission. Il vous a fallu bien 10 bonnes minutes afin d être prête et qu enfin une fois la portière ouverte vous m apparaissiez..... Vous êtes là, toute nue, tout d abord immobile, puis faisant doucement un tour sur vous-même afin que je puisse me faire une idée de votre physique qui je l avoue ne me laisse pas indifférent. Après avoir fermé votre voiture, vous avancez lentement ainsi sur environ 30 mètres, puis vous vous arrêtez de nouveau , vous savez que je veux vous découvrir petit à petit, aucune précipitation de prévue même si le temps pluvieux lui ne l était pas. De nouveau vous faites un tour sur vous-même encore plus doucement que tout à l heure.... Je vois l eau de pluie ruisseler sur votre corps, vous ne grelotter même pas, sans doute est-ce l excitation de cette situation qui vous maintient en température? D un appel de phare je vous indique de passer à l étape suivante . D un hochement de tête vous me signifiez votre accord , puis vous vous baissez afin de vous mettre à quatre pattes, le postérieur bien relevé et de venir jusqu à ma voiture tout en décomposant bien chaque lents mouvements que je vous ai imposé. Une fois arrivé à hauteur de ma portière, vous vous immobilisez, votre postérieur bien offert à ma vue, vous le relevez un peu plus vous cambrant davantage. De voir l eau dégouliner jusque dans votre intimité m émeut . Je baisse ma vitre ce qui signifie de vous relever, obéissante vous le faite, et tout en ayant les yeux baissés vers le sol vous vous tenez là, face a moi. .......................
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Par : le 23/08/13
nous avons rendez-vous à quinze heures, au café de l'horloge, j'arrive un peu en avance, sans être inquiet, une petite appréhension m'étreint tout de même. je m'assois en fond de salle. Comme à un rendez-vous d'espions. L'impression que tous mes sens sont sur-développé est agréable, excitante, je guette les passants, les clients, je cherche celle que je dois rencontrer. Qui changera peut-être le cours de ma vie. J'en suis conscient. la peur me glace. Je frissonne. Étonnamment cela me plaît. Un rendez-vous classique aurait moins d’effet. Faire marche arrière, me lever,partir, ne me vient pas à l'esprit. Je désire vivre cette émotion qui me gonfle la poitrine. Ces éclairs électriques qui parcourent mon corps, me semble indispensable à ma survie. Je sursaute quand mon téléphone se met à sonner. Vite, mes doigts tremblant prennent l'appareil, mon genou heurte la table le bruit résonne dans l'établissement comme une bombe. Maîtresse s'affiche sur l'écran. Tous les passants, tous les clients ce sont arrêtes et me regardent. le monde entier retient son souffle. La voix claire, nette, de Maîtresse chatouille mon oreille d'un «ou est tu? En terrasse ou à l’intérieur?» Le monde entier attend ma réponse les yeux rivés sur moi. Un son rauque, malhabile sort d'entre mes lèvres « à l’intérieur Maîtresse au fond de la salle» le monde entier pousse un soupir de soulagement et reprend ses occupations, je me met à trembler doucement, c'est pourtant une chaude journée. J'essaie de reprendre mon souffle. Elle arrive. Elle arrive, oui. Mais comment cela est arrivé. Un soir ma copine du moment, après avoir réalisé ensemble plusieurs de ses fantasmes, me demanda quels étaient les miens. Je lui répondis qu'être soumis à une dominatrice, me plairait beaucoup. Elle m'avoua que ce qu'elle aimait justement chez moi et dans cette relation uniquement sexuelle que nous pratiquions,était le fait que j’étaie très doux. Canada dry, l'apparence d'un homme, la force d'un homme, mais un coté féminin au lit. Elle me proposa de faire une soirée à trois, ou je ferais l'amour à un homme. De toutes les femmes que j'ai connus, c'est la deuxième qui me proposait cette situation. Nous l'avons fait, et j'ai pris beaucoup de plaisir. J'ai alors compris que je devais allier les deux possibilités. Assumer mon rôle de soumis, et un coté féminin très fort. Le dieu internet vint en renfort, et j'essayais quelques sites. Après un long temps, quelques flops et de gros flippes, je la découvris par hasard au détour d'une demande bien comprise, les mots ce jour là sonnaient justes, ils s'accordait aux envies, elle recherchait un homme canada dry, je cherchais une femme canada dry. Ils ne se marièrent pas et n'eurent pas de bouteilles, mais un rendez-vous ce jour. Et elle est là devant moi. Souriante, je me lève en tremblant, elle est belle, on s'embrasse, elle pose sa main sur mon épaule. Mon esprit plie, fond, je ne m'appartient plus.
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Par : le 21/08/13
En ce jeudi automnal, il pleuvait légèrement, quelques gouttelettes qui rappelait que l'été n'était plus qu'un souvenir. Il faisait frais également, pas suffisamment pour sortir de lourds manteaux, mais suffisamment pour inciter à se mettre plus qu'une chemisette sur le dos. Et donc en ce jeudi après-midi, Maître Margraf s'en allait fournir ses bons offices. On l'appelait "Maître", car il était avocat auprès du barreau de la ville de S. Il avait tout du bon citoyen bien établi, c'est à dire un métier respectable, un appartement spacieux et confortable dans un quartier tranquille, ainsi que des amis de marque avec lesquels il se plaisait à partager des activités de bons goûts. Il était plutôt bel homme, ses cheveux blonds cendrés étaient coiffés de telle sorte qu'apparaisse une raie sur le côté gauche. Ses yeux noisettes contrastaient avec une la pâleur de sa peau. Sa mâchoire carrée apportait la touche de virilité qui s'imposait à son visage impeccablement lisse. De plus, il se rendait de temps à autre à la salle de sport afin de parfaire sa plastique. Mais sans en abuser, il estimait que l'équilibre était un des piliers d'une vie réussie. Maître Margraf se rendait à l'hôtel de police sur la demande d'un officier de police judiciaire. En effet lors d'une interpellation, l'un des droits du mis en cause était de pouvoir consulter un avocat, soit de son choix, soit désigné. Il ne se souvenait plus pourquoi il avait accepté de figurer dans la liste des avocats joignables, après tout ses revenus lui permettait de s'épargner ce genre de mission. Peut-être cela lui fournissait un prétexte pour se forcer à sortir en milieu de journée, ou alors espérait-il croiser des gens intéressants à l'occasion d'un déplacement. Le bâtiment n'avait pas quinze ans d'existence, mais quelques traces orangeâtres au niveau des zones de contact entre différents matériaux tels que le béton et les parties métalliques laissaient deviner un souci constant de mégoter sur la qualité et une attention suivie sur les économies de bout de chandelle. Les préposées à l'accueil le reconnurent, et l'une d'entre elles l'accompagna dans la salle réservée aux entrevues entre gardés-à-vue et avocats. L'accès à cette salle se faisait par une porte située à l'opposé de l'entrée principale du grand bâtiment. Il fallait ensuite descendre au sous-sol où était parqués les gens interpelés, puis passer par un double-sas ouvert à distance par un fonctionnaire qui vérifiait les entrées au moyen d'une caméra. Alors que Maître Margraf et la jeune contractuelle entraient dans le premier sas, une odeur nauséabonde commençait à agresser les narines des deux visiteurs. Un pot-pourri d'odeurs de chaussettes, de sueur et d'urine flottait effectivement dans cet endroit; la raison était l'inexistence de douche pour les "pensionnaires" ainsi que la mise à disposition unique d'un seul sanitaire mal conçu. D'autres problèmes existaient, mais il ne serait pas séant d'en donner une description. Heureusement la salle où se rendait Maître Margraf était accessible à la droite du premier sas, et juste en face se trouvait une salle de visio-conférence. La salle était petite, pas plus de dix mètres carrés. Elle était insonorisée et mal éclairée par l'unique ampoule. Les murs étaient grisâtres et le seul élément de fantaisie était un petit bouton qui actionnait une sonnette afin d'avertir les fonctionnaires des geôles quand un entretien était fini ou quand il y avait un problème. Il s'installa donc, posa son porte-documents, et attendit quelques minutes qu'on lui amène son client. L'entretien fût bref, il s'agissait d'un voleur à la tire déjà connu des services de police locaux. Le contraste était saisissant, l'un vêtu d'un survêtement jaune tâché, et l'autre portant un costume noir qui le mettait en valeur ainsi qu'une chemise de couleur Bourgogne. L'entretien fini, il actionna la sonnette et attendit l'officier chargé de son dossier afin de dire si oui ou non, il avait des remarques à formuler, et également pour savoir s'il était possible de procéder à l'audition du mis-en-cause sur le champ. L'officier en question fût prévenue de la fin de l'entretien et descendit dans la salle ou l'avocat attendait. Elle était plus petite que le Maître, et sans être adipeuse elle avait quelques petites rondeurs qui lui donnait un air mignon. Sa tresse châtain claire accompagnait une tête faite d'un visage au teint pâle que certains décriraient comme étant un océan de douceur dans lequel on se noierait volontiers. Elle était plutôt agréable à vivre et compétente dans les tâches qu'elle accomplissait, et on ne lui connaissait pas d'activité particulière. Bien que franche du collier avec les quelques personnes qui avaient son amitié, elle était quelque peu timide. Maître Margraf demanda d'une voix claire quand est-ce qu'ils pourraient partir en audition: "Il serait de bon ton que nous procédions à l'audition de ce jeune homme". Alice, c'est ainsi qu'elle se prénommait, appréciait les visites du Maître, il avait ce charme de l'Homme moderne avec un grand "H", viril et raffiné à la fois, avec cette aisance à s'adresser à ses interlocuteurs, et à diriger. Il lui plaisait c'était certain. Possédée par son charme, Alice rougit un peu, et perdant un peu de son assurance elle baissa un court moment les yeux et lui répondit ainsi: "Je... je suis désolée Maître..., mais j'ai besoin de temps pour collecter certaines informations". Maître Margraf, devinant le trouble d'Alice, se mit dans l'idée de voir à quel point il pouvait étendre son autorité sur elle. Le Maître se leva donc, dominant d'une tête Alice et pris un air courroucé. Sa voix se fit impérieuse et son regard sévère: "Je ne puis tolérer un tel manque de rigueur... Ce manquement sera signalé à votre hiérarchie ainsi qu'aux autorités judiciaires compétentes qui accordent les fonctions judiciaires dont vous usez. Ils n'ont pas besoin d'incompétents de votre espèce. Si vous êtes incapables de faire les choses les plus élémentaires, laissez la place à d'autres!" Alice, baissa la tête et croisa les mains. Elle bafouilla: "Mais... vous n'avez pas à, à... je suis fonctionnaire de..., vous ne...". Elle peinait à trouver ses mots. A ces mots le Maître tapa du poing sur la table et augmenta d'un ton le volume sonore de sa voix, c'est à dire assez pour prendre un ton un peu plus agressif, mais pas trop pour qu'on le n'entende pas. "Vous savez pertinemment que dans ce pays vos dires ne valent rien face à un avocat bien placé! Je sais en outre que cela arrive fréquemment, donnez-moi satisfaction ou je me verrai dans l'obligation de sévir!". En effet la pauvre Alice avait quelques soucis à gérer ses dossiers, cela était connu, mais on ne pouvait décemment lui reprocher ses carences. Le manque de temps et de moyens, ainsi que les lourdeurs administratives faisaient que l'on mettait deux à quatre fois plus de temps pour gérer les affaires. Ces remarques lui avaient déjà été adressées, mais sur le ton de la blague, car tout le monde était concerné à vrai dire. Mais Aline avait tendance à prendre certaines remarques un peu trop à coeur. De plus, elle savait qu'on ne pouvait jouir que de peu de considération face au Maître. Maître Margraf, satisfait de son effet, poursuivit. "Je crois que je vais devoir saisir vos supérieurs, mais comme semblez être une gentille fille, je puis régler cela d'une manière privée... Cependant vous devez me jurer de faire exactement ce que je dis!" Alice laissa couler quelques larmes, et répondit en ces termes, d'une voix étouffée par l'émotion: "S'il vous plait... épargnez-moi.. j'ai.. j'ai investi tellement de temps pour en arriver là! Pi..pitié Maître..." Le Maître reprit en reprenant un ton plus posé, et en affichant un petit sourire. "Bien, vous allez donc posez vos mains sur la table et baisser votre pantalon." Alice laissa couler d'autres larmes et fit mine de parler. Le Maître l'interrompit aussitôt: "Je ne veux pas vous baiser petite idiote, je vais vous punir? Vous allez faire ce que je vous ordonne, et à la prochaine tentative d'interruption, j'irai faire sauter votre carrière? Est-ce clair dans votre petite tête?" Aline répondit d'une voix résignée: "Oui..." "Oui, oui qui?" questionna sèchement le Maître, accompagnant la question d'une petite claque sur la joue trempée par les larmes. "Oui, Maître! Par...pardonnez-moi, Maître!" répondit Alice. La pauvrette était toute chamboulée par son état de soumission, offerte au désirs sadiques de Maître Margraf. Mais celui-ci était un homme raffiné, il savait jusqu'où aller et ne pas transformer ses jeux pervers en simple déchaînement de violence bête et méchant. Le Maître était un artiste pour cela, une sorte de vampire aristocratique qui vous subjuguait et vous hypnotisait avant de vous sucer le sang, et ce, de votre plein gré. Le Maître sorti de son porte-document une règle en plastique et commença à donner des coups sur la croupe d'Alice d'un geste assuré. Elle gémit, et commença à éprouver en son for intérieur une autre honte que celle qui la voyait cul nu, à subir les outrages du Maître. Chaque coup porté se concluait par un bruit de claquement sourd qui s'accompagnement d'un raidissement d'Alice. Au bout d'une vingtaine de coup, les fesses d'Alice, présentait de longue marques claires. Une honte mêlée au plaisir masochiste d'être humiliée et rudoyée ainsi, d'être soumise et d'appartenir à quelqu'un. Elle découvrait ce plaisir honteux comme un prêtre dévôt s'abandonnant à la masturbation. La conséquence fût que son sexe larmoyait de cyprine, ce qui n'échappa pas au Maître. Le Maître empoigna fermement la base de la tresse d'Alice, approcha son visage et lui susura :"je constate que cela vous plait. Vous êtes une petite traînée qui s'ignore, je vais faire de vous une vraie salope qui s'assumera en tant que tel. Dites-le!" Alice, complètement chamboulée, laissa maladroitement ses émotions parler, ses larmes étaient devenues des larmes de honte et des larmes de plaisir. D'une voix enrouée elle admit les faits: "Je...suis..." hésita-t-elle. "Dites-le! Ayant le cran de l'admettre petite garce!" grogna le maître. "...Je..suis...une...une...salope!" admit enfin Alice, qui ferma les yeux, vaincue et humide. N'en pouvant plus, elle se laissa doucement tomber à genoux, la tête baissée et les yeux fermées. Le Maître s'écarta d'elle, alors qu'elle se laissait glisser vers le sol. Il approcha son visage sévère et lui d'un ton neutre: "je vais vous laisser un choix, et je vous le proposerai une seule et unique fois. Devenez ma soumise, et vos chaînes seront votre lien vers la libération de votre être intime. Refusez, et vous resterez dans vos petites certitudes ineptes et vos frustrations quotidiennes." Le Maître s'écarta alors de celle qui avait à choisir entre une soumission libératrice ou un retour à la liberté bien-pensante et en désaccord avec son moi profond, et déposa une carte de visite en carton avec son numéro de téléphone. Ses derniers mots furent les suivants: "relevez-vous, et rhabillez-vous, nous n'avons pas besoin de montrer votre être véritable dans ce lieu crasseux. Vous serez MA soumise, et pas celle des autres, j'espère que c'est clair. Vous avez jusqu'à ce soir, vingt-et-une heures pour vous décider." Alice obéit, elle se rhabilla maladroitement et sêcha son visage encore rougit par l'intensité des émotions et les attouchements. On vint donc leur ouvrir et le Maître s'en alla sans se retourner vers Alice, en direction du sas et des escaliers. Alice passa le sas juste après lui, mais resta dans les escaliers pour prendre un répis. Un choix s'imposait à elle. La vérité ou le mensonge? L'expression sincère des tréfonds de son âme ou un mensonge couplé à de l'hypocrisie?
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Par : le 20/08/13
D humeur badine ce matin au réveil , Mes pensées étaient aussi légères que mon érection, qui bravant les lois de l apesanteur semblait vouloir s envoler vers le plafond. Bien que ne me souvenant pas des rêves m ayant provoqué cet état , Nul n en fût besoin tant mon esprit bouillonnait déjà. Me tournant vers toi, toujours dans ton sommeil Je te pris doucement la main ,pour la poser sans peine Sur mon sexe mouvant qui faisait déjà des siennes Espérant ainsi secrètement Ta main s agitant en avant Ne voyant aucune réaction de ta part De te secouer avant qu il ne soit trop tard J entrepris sans ménagement Tout en me redressant Sortie de ton sommeil, les yeux à peine ouverts Tes mains se refermèrent Sur mon sexe bouillant, dressé Que tu avais sous ton nez Au delà de mes espérances Tu le suça jusqu à avaler ma semence
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Par : le 20/08/13
Si il y a un mot que je n aime pas , c est bien celui-ci . Il signifie tant de contraintes et nous empêche souvent d aller plus loin Depuis toujours on nous assène qu il faut l être , mettant ainsi un frein à nos envies d évasion. Pourquoi ne pourrions nous pas tout simplement nous laisser aller , sans contraintes aucunes Sois raisonnable nous dit-on souvent ... Mais pourquoi ? Souvent pour , ainsi, faire plaisir a telle ou telle personne qui portant un jugement de valeur sur ce qui serait bien ou pas pour nous Nous privant ainsi du pouvoir de l expression , quelle soit écrite, orale , gestuelle ou autre et de nous plonger parfois dans des excès pourtant salvateurs. Mais c est oublier un peu trop vite le plaisir que l on trouve à ne pas l être De cette liberté de se laisser aller au gré de ses envies, sans compter. Seulement ainsi , aucun frein ne vous retient Sans aller sans cesse dans les excès, vous pouvez , quand vous le voulez les tutoyer De cette liberté bien ancrée, vous en faite ce que vous voulez
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Par : le 19/08/13
Je suis une personne faisant aisément confiance, donnant ma confiance presque inconditionnellement. Si ma confiance est trahie, alors je la retire et pour toujours. Dans le monde vanille, je fais pleinement confiance dans les autres et je m'attends à la même chose een retour. À titre d'illustration, je suis membre de la communauté CouchSurfing, où les membres proposent de s'héberger gracieusement les uns les autres. J'ai ainsi accueilli des dizaines de personnes de tout pays, ce qui conduit à de riches échanges d'expériences. Dans le monde BDSM, je fais confiance de la même façon, mais je ne m'attends à recevoir la même confiance en retour. Celle-ci doit être méritée, elle n'est pas acquise. De mon point de vue, c'est parce que la confiance est très précieuse dans une relation BDSM, encore plus que dans une relation vanielle. Se sentir trahi peut avoir un impact profond pour une soumise. Gagner la confiance d'une soumise peut être un processus long et difficile. Si je me sens trahi dans une relation BDSM, je ne vais pas immédiatement retirer ma confiance comme dans une relation vanille. Tout d'abord, je vais essayer de comprendre ce qui s'était passé et tenter de reconstruire la confiance entre ma soumise et moi. Donc, étant dominant, je donne ma confiance à mes soumises, les respecte, comprends qu'elles peuvent avoir des doutes, des moments d'incertitude et des problèmes de confiance. C'est à moi de gagner leur confiance et de la mériter. Rien n'est gagné d'avance, rien n'est dû.
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Par : le 18/08/13
Voyageur intemporel je suis Dans ma je le vis Du temps qui passe, mais pas seulement Jamais je ne me ment Maître de mon destin , je ne le fuis Sachant toujours qui je suis Point de destinées Ne me mettront en difficulté De les surmonter Souvent je le ferai à pied De n en être jamais satisfait Un devoir je m en ferai De ce voyage sans fin Jamais n en connaitrai la faim Quand de pénible la fatigue deviendrai Des forces je récupèrerai Loin d être perdues mes illusions Toujours en mémoires me reviendront Dans les victoire je trouve ma force De celle qui me transporte La vie est belle Il faut savoir la vivre comme telle.
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Par : le 18/08/13
Dans une relation BDSM, celui qui détient le contrôle est le dominant mais celui qui détient le réel pouvoir est le soumis. Le contrôle est accordée par le soumis au dominant. C'est une délégation de pouvoir. C'est pourquoi il existe une relation de soumission : parce que les soumis laissent le dominant prendre le contrôle. Mais si le dominant va trop loin, le soumis peut révoquer cette délégation. C'est pourquoi celui qui a le pouvoir et bel et bien le soumis. Et non l'inverse comme j'ai souvent vu des "dominants" le penser. Cette délégation nécessite une mise en confiance. Cette confiance doit être méritée par le dominant. Elle n'est pas dûe.
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Par : le 18/08/13
Vous voici enfin arrivés Madame, au croisement de vos désirs les plus fous. D un coté , il y a cette sagesse qui vous rassure mais ne vous comble point. A droite un chemin qui certes ne vous est pas inconnu mais dont vous savez pertinement la difficulté qui vous y attend. A gauche enfin, ce petit chemin, étroit, très étroit et serpenté avec de grandes montées suivies de grandes descentes, qui vous emmenera vers l inconnu , vers ce monde nouveau qui vous attire tant , autant qu il vous effraie, celui dont vous ignorer tout. Vous semblez hésitante, perturbée entre vos désirs de partir à la découverte de ce nouveau monde qui semble être celui dans lequel vous devrez puiser jusque dans vos ressources cachées, si bien cachées que vous les aviez presque oublié. Mais la curiosité est là et le désir d avoir a se surpasser aussi. Car pour vous il n y a rien de plus excitant que celui de tutoyer les extremes , vos extremes. Vous sentir sur le fil du rasoir en permanence , vous y êtes habituée , et bien que cette situation d apparence si peu confortable semble vous convenir, vous n en êtes, toujours pas satisfaite. Certes vous en maîtrisez les rouages mais au fil du temps cela fini par créer un manque. Ce manque cruel de sensations nouvelles, de celles qui vous prennent aux tripes , qui dans ce mélange si particuler entre excitation et peur vous permet autant de vous surpasser que d aller au delà de vos extremes. Ces extremes qui sont l essence même de votre vie , de ceux qui vous transportent vers un plaisir incomparable que vous ne trouvez nulle par ailleurs. Pourtant vous le savez, d hésitations au fond de votre âme il n y en a point. Tout comme vous savez qu hésitante vous ne pourrez rester bien longtemps. Vous êtes tiraillée entre la peur de l inconnu et la peur de passer à coté, de passer tout près jusqu à presque toucher cet univers qui vous attire depuis toujours. Faire demi-tour jamais vous ne pourrez car vous n avez pas marché jusqu ici juste pour vous en donner l envie. Votre choix ancré au plus profond de votre être est déja fait. Il ne vous reste plus qu à l exprimer.
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Par : le 18/08/13
De votre regard si profondément ancré dans le mien, Je pu en déceler un grand bien. Sans ciller ne serait-ce qu une paupière Vos yeux sans cesse brillèrent Votre bouche si finement découpée Etait légèrement humectée De ce désir si voyant Durant un certain temps Vous me fîtes miroiter Me laissant bouche bée De baisser les yeux vous vouliez m indiquer Qu offerte, déjà vous l étiez Bouche légèrement entrouverte, apparaissante Votre langue sortis en reconnaissance La faisant délicatement tournoyer Je n en fût que plus excité Puis dans votre main entrouverte Votre adresse m était offerte M invitant à vous suivre Vous me fîtes un large sourire Sans même vous retourner De ne pas trainer vous me disiez Chez vous j arrivai très vite Sans même aller vite Doigt à peine sur la sonnette Que la porte était déjà ouverte Sans même un mot dire Enlacés , cela va sans dire De baisers nous nous couvrîmes Ma main déjà dans votre string Vous doigtant sans ménagement Dd un râle vous me fîtes part de votre contentement M invitant à poursuivre de fait Ce qui pourrait devenir sa fête La suite...... Beh je vous laisse l imaginer ... hé hé hé
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Par : le 18/08/13
L endroit rêvé enfin trouvé, bien intallés sous l ombre de ce bel arbre, la nappe posée sur un petit rocher plat , et alors que tu allais t assoir je te prie par la taille, te pressant contre moi, tout près puis t ai murmurer à l oreille qu avant de passer a table je voulais profiter de la belle lumière ambiante pour te prendre en photo et ce sous toutes les coutures, même nue..... surtout nue. Tu me regardais fixement dans les yeux ne sachant pas si je plaisantais ou pas. Finalement mon hochement de tête fini par te convaincre que l ayant décidé nous ne pourrions passer à table tant que je n aurais pas été rassasié Appareil photo en bandoulière , je m approchais de toi afin de te deshabiller, tout en t embrassant longuement afin de finir de faire tomber les dernières barrières qui te bloquaient encore. Une fois toute nue, resplendissante sous les rayons de soleil qui filtraient au travers du feuillage de l arbre je te demandais tout d abords de bien vouloir t allonger sur le dos de tout ton corps sur ces rochers ce qui te fît râler car selon tes dires la position n avait rien de très confortable, non sans humour je te dis de penser a la pureté de la photo qui avec une telle modèle ne pourrait faire que l admiration de tous, ton "ce que je ferai pas pour toi" accompagné d un sourire je le pris pour un grand oui et te poussais gentiment afin que tu prennes la pose, aussitôt redressée une fois la photo prise, je cassais ton élan car je n étais pas satisfait de cette photo , certes en couleur c est joli mais je décidais de partir pour une longue serie de nouvelles photos en noir et blanc et te priais donc de te rallonger. Là plus convaincu que jamais de que mon choix était le bon je te fît voir le résultat et devant ton approbation ,de toi même tu m empressa d en faire plein, des tonnes disais tu . Animée d un regain d enthousiasme que je n aurai imaginé , tu me demain de t en faire mais en couleur cette fois-ci, tu pris telle pose, puis une autre, toutes plus osées les unes que les autres, me mettant dans un émoi tel qu il m était déjà difficile de rester concentré ,puis tu grimpas dans l arbre afin que je puisse photographier ton sexe aussi lisse et aussi doux qu un galet , depuis le bas , n oublies pas de bien regler la profondeur de champs chéri me disais tu,humm ... puis tu me demandais de sortir mon gros zoom (sic) afin de ne rater aucun détail de ton anatomie... Au travers du zoom je voyais avec une infinie précision ton état d excitation qui me faisait zoomer plus que de raison et que j arrivais même à "piéger" au travers du feuillage , ce petit jeu dans l arbre dura un long et agréable moment (ce jour là restera en ma mémoire comme l un de ceux ou j ai du prendre le plus de photos) , une fois redescendue de ton arbre , sans plus attendre je te plaquais contre face contre lui, sans aucun ménagement, et te prenais là , te saisissant les cheveux pour te tirer la tête en arrière et de mon autre main te prenais à la gorge que je serrai fortement, mes vas et viens étaient rudes, tu gémissais. Bien que pris dans cette excitation si longuement contenue je ne voulais conclure ainsi, sans te prévenir je stoppais tout puis te saisissant par la crinière je t obligeais, de force à venir te pencher en avant sur l un des rochers couvert de petits glands piquants, tout en te maintenant fermement et bien qu essayant de te débattre tentant d échapper a cette torture je te maintenais dans cette position, appuyant même de tout mon corps sur le tien afin que tu ressentes bien la douleur liée à ta position, celle de soumise et en cet instant de chienne soumise qui sera prise comme telle, cette position et les conditions si particulières qui l accompagnais me procurèrent un état d excitation peu commun, toujours penchée en avant avec le poids de tout mon corps pressant sur elle j entrepris de l enculer et je lui en fît part, une main sur sa gorge, la serrant fort ,tout en lui relevant un peu le menton pour rendre sa position encore moins confortable, je la pénétrai sans préparation aucune et surtout sans ménagement et de mon autre main je lui enfonçais les doigts dans la bouche le plus profondément possibles... elle gémissait autant de douleur que de plaisir tant cette situation si inattendue l excitait, et malgré la position si douloureuse dans laquelle elle se trouvait elle commençait à manifester au travers de râles plus longs et plus forts l arrivée de son plaisir, ce qui me fît monter le mien. Dans un râle commun on explosait , à l image du final du feu d artifice du 14 juillet à Paris . grandiose , ce fût Grandiose, sublime.... inoubliable !!! Nous sommes restés longtemps ainsi sans bouger, profitant de chaque seconde de la lente descente du plaisir jusqu à retrouver un certain calme mais aussi ma respiration (..) puis je me relevais, l aidais a en faire autant pour l assoir délicatement sur un bout de rocher , el là je ne pu que contempler l étendue du "supplice" qui fût le sien durant ce moment de pure passion , de pure folie ou déchainés comme jamais nous avons atteints une certaine osmose. Sur son corps martyrisé il y avait des centaines de petits et gros glands piquants plantés dans sa chair, parfois même profondément, Ce spectacle, pourtant si cruel était emprunt d une beauté rare ,et délicatement, un à un je les retirais te couvrant aussitôt de petits baisers sensé t aider à te soigner plus rapidement . Que le temps te parût long avant que j en viennes à bout, et une fois fini je te serrai délicatement contre moi et t embrassais longuement. Une fois bien restaurés nous avons repris notre petite séance photo mais cette fois-ci juste du noir et blanc, nous concentrant plus sur le coté artistique qui permettrait de bien mettre en valeur ton corps endolori. Journée inoubliable, de celle qui restera à jamais gravé dans ma mémoire ...
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Par : le 18/08/13
Un petit baiser sur ton cou pour mieux te désirer Un petit baiser sur tes lèvres pour mieux t'aimer Un petit baiser sur ton front pour te comprendre Des caresses sur ton dos pour mieux te détendre Un petit baiser sur tes seins pour mieux te faire gémir Un petit baiser sur tes fesses pour mieux te faire rougir Un petit baiser sur ton clitoris pour te prendre Beaucoup de désir pour ainsi mieux te fendre Un petit baiser sur tes pieds pour mieux te vénérer Beaucoup d'amour pour ensemble nous souder Toute mon affection pour te garder Et des mots doux pour te rassurer
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Par : le 13/08/13
Que de plus beau souvenir que celui de votre lune De tant la regarder, j en serai presque passer pour un oiseau nocturne De son cratère, jamais n en fût rassasié Ni de ses formes à peine voilées Mes mains reconnaissantes lui seront Mais jamais ne suis allé tout au fond Ma langue experte en explora chaque recoin Vous n en demandiez pas moins Mon sexe brûlant de désir Vous faisais plaisir Votre sourire disparaissait Quand j allais et venais En douceur au début Puis sans aucune retenue De crier vous n échappa Quand le plaisir vous submergea
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Par : le 13/08/13
J'étais inspiré ce matin au réveil, allez savoir pourquoi... Je pensais le texte un peu plus long, mais en fait non. -------------------------------------------------------------------------------------- Il fait encore sombre.. Une de ces pénombres qui donne des idées folles. Elle est là, allongée, le visage serein et le souffle régulier. Il est là, éveillé, pris d'une folle envie de la posséder. Sa main suit la courbe du drap sur la peau nue de sa belle, et termine sa course sur ses cuisses. Il a envie d'elle, de la prendre telle une chienne... Ses lèvres effleurent le corps de cette femme qui le rend fou. Elle gémit, comme pour lutter contre cet intrus dans son sommeil, mais la raison est toute autre... Elle le veut, elle veut le sentir en elle. Ses caresse se font plus présentes.. Une main qui caresse ces seins, cette poitrine qui l'a toujours fait bander comme un cheval. Sa bouche ne tarde pas à remplacer sa main, et cette dernière disparait entre les cuisses de la belle. Il sait qu'elle ne dort plus, il l'a vu se mordiller la lèvre... Elle le veut, et il le sait.
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Par : le 13/08/13
La journée s annonçait radieuse, le soleil était déjà bien haut dans le ciel azuré, pas un nuage à l horizon, une légère brise adoucissait la chaleur ambiance. Tu étais ravissante dans ta jolie robe à fleurs, courte à souhait, comme j aime. Ton sourire éclairait ton doux visage , pendant que tu t affairais dans les derniers préparatifs de notre pic-nique estival, je t observais de loin déjà pris dans de légères pensées te concernant. Puis , chemin faisant ,notre discussion anodine laissait peu à peu la place à des mots coquins empreints d un désir mutuel. Tu me disais que c était une belle journée pour vivre de nouvelles expériences et que tu aimerais beaucoup que je te surprennes comme tu appréciais tant. Je te souriais, de ce sourire coquin que tu aimais tant car il laissait présager de futurs délices. Je m arrêtais près d un chemin et après avoir charger nos préparatifs , l appareil photo en bandoulière, nous nous sommes mis en marche. Je connaissais bien ce coin car j y étais déja souvent venu. Le départ fût difficile car le chemin montait beaucoup , la pente etait très accentuée, tu me maudissais , d abord en rigolant puis plus sérieusement tant l effort que tu devais fournir était important, je ralentis un peu et tendant ma main vers toi tu essayas de la saisir, mais je l esquivais pour venir saisir tes fesses que je palpais allègrement afin ,te disais-je de te motiver à avancer. Tes lamentations cessèrent tant le panorama qui s ouvrait à nos yeux ebahis nous coupa le souffle. Je t indiquais un endroit qui me parassait idéal , situé sous un gros arbre , quelques rochers disposés tout autour donnait à ce lieux un coté quelque peu mystérieux, dans une petite clairiëre qui dominait toute la vallée, de là on pouvait voir aussi bien le lac d Annecy que le début du lac du Bourget , la vue y était exceptionnelle et surtout nous y étions seuls. Un vrai petit coin de paradis ou tels Adam et Eve nous allions pouvoir explorer le coté extrème de notre sexualité débordante.
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Par : le 13/08/13
Plaisirs des sens que de se sentir sous l emprise d un esprit plus fort que le sien. Vous le sentez , aucune échappatoire possible . Et bien qu essayant de résister en vain, votre lutte, perdue d avance vous le savez, vous pousse vers de nouveaux horizons , de nouveaux espoirs. Il y a longtemps que vous attendiez cela , vous complaisant dans de furtives rencontres, de celles ou l on exige finalement que peu de vous, juste ce dont vous voulez bien montrer, donner. Mais votre vraie personnalité se trouve enfouie, au plus profond de votre être intérieur et ne demande qu à se libérer.... Enfin !! Cette libération , vous le savez , ne se fera pas sans mal car il vous faudra écarter de votre esprit vos peurs. De celles que l on finit par croire qu elles se sont effacées dans l oubli dans lequel on les y avait plongé. Ce retour à la réalité vous l appréhendez tant l afflux d adrénaline vous summerge. Mais ce qui aurait été impossible de réaliser seule, vous pouvez, sous la contrainte exercée , vous abandonner totalement, vous laissant guider, diriger afin de ressortir au grand jour tous ces secrets souvent inavouables . Votre désir si bien masqué n est en fait que la recherche d une sensation d appartenance totale, dans laquelle , plus nue que nue vous vous abandonnerez sans retenue aucune désormais aux plaisirs les plus subtils qui en découleront. Ma domination sur vous finira par s imposer d elle même tant votre désir d appartenance est fort. Je su réveiller en vous, de par mon esprit fort votre besoin de vous libérer de vos carcans jusqu ici si bien cachés et qui ne demandent qu à se donner-libérer telle une offrande envers celui qui en aura découvert leur cachette. Car de pouvoir jouir de vôtre moi profond, cela ne pouvait que se mériter.
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Par : le 12/08/13
Après quelques échanges presque anodins, le courant passa très vite entre nous , puis au fil de nos conversations nous nous sommes découverts des points communs.nous n étions qu au tout début de notre découverte mutuelle et pourtant, nous nous parlions au travers de mots postés par écrans interposés comme si l on se connaissait déjà. Très vite nous avons abordé de façon légère tout d abord puis plus sérieusement , mais en laissant tout de même volontairement des zones d ombres , les points clé , ceux dont l existance même de toute relation D/S feront la différence. Bien que voulant rester dans le vague , surtout ne pas trop en dire..... pas tout de suite .... Nous savions l un et l autre que nous avions non seulement le même intérêt pour ce mode de vie si particulier mais aussi la même vision de que les plaisirs futurs passeraient aussi par certaines souffrances, de celles qui savament administrées ne puvaient que conduire a repousser les limites du plaisir commun tant attendu. De ces souffrances futures je les avais esquivées, il sera bien temps de les détailler plus en profondeur, me concentrant plus sur votre personnalité, de ce que vous me dites mais aussi surtout de vos non-dit qui finalement m en apprendrons d avantage sur vous. Je me laisse bercer par votre belle écriture , ma curiosité d abord timide enfin réveillée je brûle d impatience de vous poser mille questions mais ne le fait pas, je veux faire durer ce moment le plus possible en vous laissant vous exprimer avec le talent qui est vôtre. Arriva le moment crucial de nos présentations respectives, exercice délicat et oh combien difficile dont pourtant vous en maîtrisez chaque mot, me laissant du coup à deux doigts de renoncer à la mienne mais devant vos encouragements je m y plie volontier. Vous êtes a n en pas douter une essence rare, de celle dont on est fier qu elle nous appatienne tout en sachant qu il nous faudra " lutter " pour la conserver. Votre esprit rebelle en envierai plus d un , quoi de plus satisfaisant que de batailler pour l emporter car " vaincre sans gloire n en vaut pas la peine " , il est fort et subtil mais ne demande qu à s abaisser afin de jouir enfin des fruits de votre soumission si durement gagnée. Vous êtes, je le pense, du même acabit que moi, méprisant la facilité dans laquelle beaucoup se complaisent, préférant tenter de déjouer les pièges tendus afin de vous affirmer guerrière. J apprécie a sa juste valeur votre comportement de future vaincue se débattant bien que sachant l issue de ce combat perdu d avance par vous. Je ne connais presque rien de vous et pourtant vous accaparez déjà mon esprit , j imagine de fait de nombreuses situations sinon délicates, du moins imprévues, voir surprenantes ! Mon esprit est en émoi , il bouillonne de mettre en pratique tout ce dont je rève de faire de vous.....avec vous . En aucun cas vous ne m êtes indifférente , bien au contraire. Les mails s en suivent avec toujours autant d intérêt que les messages, je sens poindre en vous quelques exigeances masquées , votre demande est bien réelle. Bien qu éloignés géographiquement l un de l autre je nous sens pourtant plus proches. De cette situation si particulière, pour le moment nous en parlons peu , vous la première, vous demandant même si cela ne serait pas un frein a une possible entente entre nous et si mes aspirations en la matière n en seraient pas affectées. Je perçois déjà non pas une peur mais bien une apréhension de votre part, que tout ceci s écroule avant même d avoir commencé et m empresse de vous rassurer... La distance n est pas incompatible avec la relation que nous voulons, elle la rend juste différente , combien de personnes vivant sous le même toit ne se parlent presque pas, voir ne partage plus rien si ce n est que l ennui ? Notre relation déjà bien différente de par son concept n en sera pas moins , du moins je l espère , intense et passionnante ! Pour pimenter un peu plus la chose, je décide de vous pousser dans vos derniers retranchements afin de tester votre capacité de réaction et là vous êtes allée au delà de mes espérances.......
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Par : le 09/08/13
( Je partage avec vous et avec son autorisation, un petit bout du bouquin d'une amie, elle ne s'y connais pas trop en BDSM mais elle a tenue a le mettre dans son histoire fantastique / érotique, je vous laisse donc lire et me donner votre avis qu'il sera retranscrit mot pour mot )— Tu es vraiment sûre de le vouloir... ? Demanda Till plus qu'inquiet. — Liebe... Je sais ce que tu es... Je sais comment se passe cette «cérémonie» et donc oui, je suis sûre et certaine de me lier à vie à toi, murmura-t-elle pour rassurer le démon. — Tu ignores tout de ce que je dois te faire... Il ne s'agit pas d'une simple cérémonie comme un mariage avec une signature de contrat. Il s'agit vraiment d'un... d'un rite charnel... Sadique... Violent... — Lindemann... Je suis sûre et certaine... Répéta-t-elle. — Je refuse de te faire du mal... Trembla Abigor. — Till... Je t'aime, tu le sais, et tu sais aussi que je ne suis pas éternelle. Je n'ai que 21 ans, certes, mais alors que toi tu ne changeras pas d'apparence, moi je grossirai, je serai laide et toute ridée, sans compter que j'aurai la peau qui pend... Super le mythe de la bombe sexuelle... Surtout que je le suis pas à la base alors... Argumenta-t-elle.Till ne pouvait que sourire. Elle était décidée à lui appartenir physiquement, mentalement et sexuellement. Il ne cachait pas qu'il était terrifié à l'idée de devoir lui faire ça, mais l'idée de lui faire l'excitait d'une certaine façon. Son instinct démon prenait de temps en temps le dessus, et malgré son rebut psychologique, Till ne pouvait retenir son excitation. — Till... Je serai tienne et je n'aurai aucun regret, sourit-elle en lui caressant le visage. — D'accord... Soupira-t-il mort de trouille. Suis-moi... Continua-t-il en lui prenant la main.Ils se regardèrent une dernière fois. Jennifer caressa tendrement sa main en lui adressant un magnifique sourire. Elle se posait souvent la question de savoir comment un si bel être avait pu tomber sous son charme, elle qui était si banale, sans «truc» particulier comme Pauline ou Sophie. Elle était une simple humaine, rien de plus, rien de moins, alors comment avait-il pu? — Jenny... Combien de fois je vais devoir te dire que l'amour ne se contrôle pas et que tu auras beau te transformer en sorcière, en gnome ou même en goule que je t'aimerai toujours. T'es très belle, superbe même, alors... CHUT! Fit le démon en posant son index sur les lèvres de sa belle.Elle voyait bien dans son regard qu'il l'aimait, qu'il était fou d'elle et surtout, qu'elle pourrait lui faire faire n'importe quoi. Elle devrait peut-être essayer après ça. Ils se sourirent, et descendirent directement en enfer. Le long couloir semblait interminable, il faisait noir, on ne voyait absolument rien. Mais comment faire pour se repérer là-dedans? La porte se referma, faisant sursauter la demoiselle qui se blottit immédiatement contre le torse brûlant de son homme. Le démon sourit, tourna sa main, paume vers le ciel, et fit apparaitre une flamme dans le creux de sa main. Elle dansait et virevoltait tel un petit rat de l'opéra. — Tes pouvoirs m'étonneront toujours Liebe, sourit-elle maintenant rassurée.Enfin... Presque... Lorsqu'elle s'aperçut que les murs étaient tous, sans exception, incrustée de cadavre frais, de squelette, que des bras sortaient de nulle part... Oh elle n'avait pas spécialement peur, pas encore du moins, mais elle avait perdu son assurance. — T'en fais pas, tu ne risques rien, sourit Till en la blottissant contre lui.Les deux amants avancèrent dans ce long couloir où seule la flamme de Till éclairait leurs pas. Plus ils avançaient et plus la température montait. Bientôt, une odeur de soufre prit d'assaut le nez de Jennifer et la demoiselle fut prise d'une grosse nausée. Au fond d'elle, elle angoissait terriblement de ce qu'il allait se passer, d'où elle allait et ce que Till ferait d'elle. Le démon ressentait bien ça, et il commençait vraiment à se demander si ce n'était pas une mauvaise idée. Les secondes passaient, le couloir n'en finissait pas. Jennifer resserrait et caressait la main de Till pour se rassurer. Le démon rassura sa belle, la blotti contre lui, lui embrassa le front en lui murmurant des mots doux et rassurant, mais rien n'y fais, son estomac était noué, l'angoisse la prenait, elle avait envie de pleurer, de dire à Till de faire demi-tour, qu'elle n'était pas prête pour pénétrer dans les enfers, mais une petite voix en elle lui disait de continuer, d'aller au bout de ce qu'elle faisait, qu'elle pouvait y arriver. Elle s'arrêta quelques secondes, prit une grande inspiration et souffla tout l'air qu'elle avait dans les poumons. — Tu es vraiment sûre... ? Questionna à nouveau Till.Elle lui lança un regard noir et Till leva les mains en l'air, histoire de dire qu'il se tait. Ils reprirent leur route et ce n'est que cinq minutes plus tard que le démon s'arrêta net. Que se passait-il? Y avait-il une attaque? Till prit une grande inspiration, se mit à pousser un grognement très rauque, sourd et puissant. Le démon serra les poings, deux cornes se mirent à pousser de part et d'autre de sa tête et bientôt, Till laissa la place à Abigor. Jennifer ne l'avait vu qu'une fois en démon, lorsqu'il lui avait montré sa véritable nature. Il l'impressionnait, et contrairement à ce qu'on pouvait penser, elle n'avait pas peur de lui, il l'intriguait. Le démon posa sa lourde main sur la porte et la fit voler en éclat. Jennifer ne put que se cacher pour ne pas recevoir un morceau de bois, mais aussitôt la porte explosée, Till repris sa forme humaine, regarda sa belle et sourit. — Tu étais obligée de faire exploser la porte? Tu pouvais pas l'ouvrir? Grogna-t-elle en se relevant. — Hmmmmmm... Non, c'est pas drôle sinon, et puis faut les faire bosser les esclaves, on ne les a pas faits prisonnier pour qu'ils restent croupir dans leur cellule, rit Till. — Liebe... Tu es ignoble... Soupira-t-elle, mais je t'aime comme ça.Le démon sourit et passa la porte en lui tenant la main.La chaleur était étouffante, l'odeur de soufre nauséabonde, les bruits de fers, de machines et de cris des esclaves et des chefs assourdissants. La belle regardait tout autour d'elle, complètement subjuguée par ce qui l'entourait. Les coups de fouet résonnaient partout, en haut, en bas, à droite, à gauche, l'un des esclaves chuta devant les yeux du couple. Jennifer se précipita et se pencha par-dessus la barrière et vit le gnome disparaitre dans la lave en fusion sous les rires des chefs. Bizarrement, elle n'était pas choquée de ce qu'il se passait, comme si tout cela était... Normal. Elle se retourna et fit face à un gnome qui la reniflait. Surprise, elle poussa un cri strident, faisant sursauter Till qui arriva au pas de course, attrapant le gnome par la gorge. — Maître, gémit la créature, vous avez donc une soumise. — T'ai-je ordonné de l'ouvrir? Vociféra le démon en resserrant sa main. — Mais maître, c'est du grand spectacle que vous aller nous offrir, continua le gnome en riant tout en posant son regard sur Jennifer. Sale soumise! Cria la créature en riant.Till avança vers la barrière où se trouvait sa belle, plaqua le gnome contre le bord et appuya, de toutes ses forces, jusqu'à ce que la tête se détache du corps. Il balança ensuite le corps dans la lave et garda la tête dans sa main. — Tu viens? Dit-il naturellement — Euh Till... Trembla-t-elle. — Oui? — Tu... C'est pas contre toi hein, mais... tu... Tu as une tête dans ta main... Répondit-elle en montrant la tête saignante.Till la regarda et rit en lui disant que c'est pour donner à Cerbère. Le sang de Jennifer ne fit qu'un tour. Elle déglutit et avança prudemment vers Till. Il n'était pas l'homme qu'elle connaissait. Il était cruel, sadique, mais... terriblement sexy et excitant. Il lui sourit avec amour et prit tendrement sa main. Ils continuèrent de marcher, de descendre toujours plus loin en enfer. On aurait pu croire que la chaleur serait insoutenable, bien au contraire, plus le couple descendait dans l'antre du diable, plus la température baissait. Jennifer ne pouvait s'empêcher de se dire que c'était très étrange, mais cela lui importait peu, elle pensait surtout à cette fameuse cérémonie. Tant de question qu'elle se posait, mais elle n'osait pas les poser à son homme, ne le reconnaissant plus à vrai dire, et pourtant, elle était encore plus folle de lui, il était tendre et doux avec elle, et pourtant si cruel et odieux avec les autres. Elle poussa un long soupir pour faire descendre la pression en elle. — Tu as peur? Demanda Till. — Pour tout dire, non je n'ai pas peur, je suis juste... Anxieuse de savoir comment tout cela va se passer, avoua-t-elle. — Tu seras avec d'autres soumise, elles t'expliqueront, répondit Till avec froideur. — Mais pourquoi des soumises? En quoi je serais comme elle? Répliqua l'humaine avec froideur. — Tu verras bien quand tu seras dans le truc. — Mais quel truc?! S'agaça Jennifer.Till ne répondit pas et avança, regardant droit devant lui. Il était si mystérieux. Pourquoi un tel changement de comportement? Telle était la question. Till n'était pas fou ni dupe, il savait et ressentait ce que sa belle avait et pensait, il avait honte de son comportement, mais pour le coup, il ne pouvait se contrôler, après tout, il était «chez lui» et son naturel ne pouvait qu'être présent.Le couple arriva devant une nouvelle porte, et Till hésitait entre la faire exploser de nouveau ou bien l'ouvrir tranquillement, comme une personne civilisée. Il opta pour une ouverture tranquille. Il prit la poignée de la porte, mais ne contrôlant pas sa force, lorsque Till l'ouvrit, la malheureuse lui resta dans la main. Till et Jennifer se regardèrent, cette dernière lui faisant les gros yeux. — Si tu veux qu'on habite ensemble, fais-moi penser à prendre un stock important de portes... Lança-t-elle blasée.Till lui sourit et se prosterna pour la laisser passer. Elle le remercia et passa devant le démon, l'attendant un peu plus loin, le temps qu'il remette la porte en place, puis il la rejoint. Ils marchèrent, encore et toujours, puis Till poussa une nouvelle porte et ils arrivèrent dans une salle, immense éclairée seulement par la lumière des flammes sur les torches. Les murs étaient des plus simples, de la lave solidifiée et sculptée, des figurines sorties directement du kamasutra trônaient partout dans la salle, différents gods et autres sextoys figuraient en tableaux, sculpture ou dessin. Il y avait une grande scène au milieu de cette pièce où se dressaient des barres pour les strip-teases et des cages. Jennifer était surprise de voir ça et se demandait ce qu'était cette pièce et à quoi elle pouvait servir. Elle n'avait jamais vu de telle salle à l'extérieur, même dans les salles de strip-teases. Intriguée, elle lâcha la main de Till et fit le tour de chaque table, chaque tableau, chaque sculpture, observant chaque dessin. Elle tomba sur l'un d'entre eux, très surprenant. Elle le regarda, l'admira et finit par admettre qu'il était très beau. Ce dessin représentait un acte sexuel entre un démon et une elfe. Ils étaient dans la position du loup, on pouvait lire sur le visage de l'elfe de la douleur, mais aussi beaucoup de plaisir, quant au démon, il semblait impassible. Les couleurs étaient principalement noir, rouge, bordeaux et bleu pour l'elfe. Jennifer reconnut un endroit de la salle et sembla surprise. Elle passa au dessin au dessin suivant qui représentait un autre démon avec une tête de chacal en train de se masturber. La taille du phallus lui paraissait disproportionnée. Elle se retourna vers Till et lui montra le tableau. Le démon s'approcha d'elle et regarda à son tour. — C'est sympa la déco, mais les proportions sont exagérées non? Demanda Jennifer. — Non, c'est bien sa vraie taille, expliqua Till très calme.Jennifer sursauta et regarda le dessin en le dévisageant. Till la regarda et fit un sourire en coin très amusé. — Ne t'inquiète pas, mon sexe n'est pas de cette taille là malheureusement, tu l'as constaté, sourit-il. — Quel dommage, j'aurai voulu savoir ce qu'on ressentait, taquina-t-elle. — Je peux vous le faire découvrir, fit une voix rauque derrière eux.Les amants se retournèrent et firent face au démon à tête de chacal. Jennifer rougit et était gênée de le voir. Il s'approcha d'eux et regarda Till, l'air sceptique. Ils se mirent à parler en hindi, et Jennifer se sentit bien seule à ce moment-là. — Abigor, on ne t'a pas vu en enfer depuis des siècles, cingla le chacal. — Je ne veux plus avoir à faire ici, répliqua Till sèchement. — Que viens-tu faire ici puisque tu nous renies? — Je viens pour le rituel de fusion, souffla Till. — Oh je vois, tu as trouvé une soumise, sourit le chacal en regardant Jennifer avec envie. — Fais gaffe! Je te rappelle que tu me dois le respect et donc celui de ma soumise. — Pour le moment, elle n'est rien à part une pauvre humaine qui vend son âme à un traitre!Till attrapa la gorge du chacal et l'empala sur un trident accroché au mur. Le chacal gémit de douleur puis se mit à rire alors que Jenny était pétrifiée devant l'excès de colère de Till et se demandait réellement s'il allait être aussi brutal dans ce rituel dont elle ignorait tout. Le démon à tête de chacal se mit à rire et s'extirpa de ce trident. — Je ne ferais rien à ta soumise. Quand veux-tu le faire ton rituel? — Ce soir! Tu envoies les invitations à tout le monde et je veux voir la salle remplie dans une heure maximum, imposa Abigor avec autorité.Le chacal soupira et se mit à grogner et aboyer avec force. Le silence fut maître après cela durant plusieurs secondes, puis un bruit de talons se fit retentir. Ils se retournèrent tous les trois et virent des femmes, au nombre de dix, toutes nues avec des talons aiguilles. Elles avaient la particularité de ne porter sur elles que des caches-tétons et une sorte de string ou la ficelle pénétrait l'intimité et les fesses. L'une d'entre elles n'était pas à l'aise. Elle semblait gênée par quelque chose, quelque chose qui la fit s'effondrer en poussant un gémissement puissant. — Quel orgasme ma belle, mais t'ai-je demandé de l'avoir? Demanda le chacal en s'approchant d'elle. Retourne dans la loge, je te punirais pour ça, ordonna-t-il.Elle fit demi-tour, toujours autant gênée tandis que les autres se tinrent en rang d'oignon devant Till et Jennifer. Il y avait des elfes, des démons, des humaines, et même un troll. — Je vous présente mes soumises, celle qui est partie est toute nouvelle, elle ne supporte pas encore tout ce que je peux lui faire, rit-il en embrassant un des elfes. Les filles je vous confie la demoiselle. Vous me la préparez comme il faut, je veux que dans une heure elle soit prête, ordonna-t-il.Les filles sourirent et tirèrent Jennifer par les mains en niquassant et se trémoussant. L'humaine ne pouvait que se demander ce qu'on lui réservait, mais de toute façon, elle n'avait plus le choix et ne pouvait pas reculer. Elle finit par disparaitre dans les coulisses, laissant Till et le chacal, seuls. Les deux démons se regardèrent — Tu as une tenue de prévue? Questionna le démon. — Oui, je sais quel est son fantasme vestimentaire, sourit Abigor. — Alors, viens avec moi que l'on puisse te préparer.Les deux hommes disparurent dans un recoin de la salle, cachée derrière un rideau noir et épais.À peine rentrées que les filles fermèrent la porte derrière elles, bandèrent les yeux de Jennifer en souriant et riant. Certaines se mirent à la déshabiller entièrement, d'autres l'épilaient, ou même encore lui vernissait les ongles. Une elfe glissa ses doigts sur les tétons de Jennifer pour les lui faire pointer, mais gêner, il n'y eut aucune réaction. Deux humaines poussèrent Jennifer et l'installèrent sur une chaise. Elle devait impérativement être maquillée et coiffée. La séance dura de longues heures et Jennifer n'avait pas ouvert une seule fois les yeux, même pour le maquillage. Elle ignorait pourquoi elle était nue, elle appréhendait beaucoup, mais au fond de ses entrailles, elle ressentait une certaine excitation, et dans sa tête, elle s'imaginait mille et une scènes sexuelles avec Till. Les filles ne cessaient de rire, de glousser et de se raconter leurs ébats avec leur maître. — Mais pourquoi les appelle-t-on des soumises et les hommes des maîtres? C'est un délire de démon ? Se questionna Jennifer très intriguée. Le silence fut soudain. Plus aucun son ne sortait de la bouche des filles. Que se passait-il? Jennifer ne voyait rien et elle ressentait un mélange d’excitation et de terreur. Des pas se firent entendre. Ils étaient lourds, lents et puissants, mais Jennifer aurait reconnu ces pas parmi des milliers. Ils se rapprochaient d'elle, bientôt seul son souffle pouvait se faire entendre. L'inconnu s'approcha de son oreille et respira lentement. Ce souffle... Des milliers de frissons parcoururent le corps de la belle. Elle sentit rapidement quelque chose autour de son cou, comme une sorte de collier en cuir et très large. Une légère pression sur sa nuque la fit frissonner à nouveau et elle n'avait pas d'autre choix que de suivre cet inconnu, inconnu qui ne l'était pas tant que ça. La porte s'ouvrit et un brouhaha intense se fit entendre, accompagné de musique dure, du bon vieux thrash métal. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, mais son instinct et son intrigue l'encourageait à le faire.L'inconnu, qui n'était autre que Till, tira Jennifer par une corde, relié à ce fameux collier qui avait en lui tout un symbole qu'il expliquerait à sa douce plus tard. D'un pas lent et décidé, il s'avança vers le centre de la scène, là où trônait la plus grande des cages. Les démons présents hurlaient et encourageaient Till. Abigor la fit entrer dans la cage avec brutalité, la bousculant presque. Il lui ordonna de monter sur de petite marche. Elle s’exécuta sans broncher, comme si c'était naturel pour elle. Une fois installée, Till lui attacha les mains de part et d'autre de la cage, puis remonta chacun de ses pieds pour les lui attachés également. Il mit un grand coup de pied pour enlever les marches. Elle se retrouva en suspension, simplement soutenue par ses attaches. La position excitait plus Jennifer qu'elle ne l'aurait pensé. Elle était totalement dans l'inconnu, aveugle et démunie, offrant son corps à un inconnu qui ne l'était pas, livré à lui, sans aucune limite. Till referma la cage et avança vers une petite table où se trouvait divers objets: Bougie, gods, cravache, pince-téton et intimité, glaçon, plug et boule de geisha. Il passa le bout de ses doigts sur chaque jouet puis regarda sa belle avec envie. Il ne pouvait pas le cacher, il avait une érection comme jamais il n'avait eu et il n'avait qu'une hâte: montrer à sa belle son costume. Il s'approcha des barreaux, passa ses bras au travers et dénoua le nœud du bandeau. — N'ouvre pas les yeux où tu auras à faire à moi, susurra-t-il dans son oreille.Curieuse et provocatrice, la demoiselle ouvrit un oeil. Grossière erreur! Till s'approcha de la cage et serra son visage entre ses doigts. Elle lui avait désobéi. — Regarde, mais tiens-toi prête à être punis pour m'avoir désobéis.Till se recula. Une corde descendit du plafond et Till l'attrapa, ordonnant à sa soumise d'ouvrir les yeux. Elle s’exécuta et son sang ne fit qu'un tour, son ventre fut envahi de papillon et elle sentait que son intimité devenait humide d'excitation. Son fantasme? L'habit marin. Till portait un pantalon blanc où son érection impressionnante se faisait voir, une chemisette blanche, une veste blanche et une casquette. Elle n'en pouvait plus, il l'excitait, elle ne prêta même pas attention aux démons qui les regardaient avec envie. Till lui sourit sadiquement et tira sur la corde. Plusieurs mètres cubes d'eau s’abattirent sur lui alors qu'il penchait la tête en arrière. L'eau transforma ses vêtements en simples tissus transparents. On pouvait remarquer la pilosité de Till, mais aussi ses tétons qui pointaient de désir, mais ce qu'on remarquait le plus, c'est bien le sexe de Till, large et grand, mais pas du même niveau que le dessin dans la salle. Jennifer tira sur ses liens, provoquant ainsi le démon qui s'approcha d'elle. Il lui remit son bandeau et l'embrassa en pinçant doucement son téton gauche. Elle se mordit la lèvre et tira sur ses liens. Il lui adressa une petite gifle en riant sournoisement, puis se recula pour être à la hauteur de la table où se trouvaient tous les jouets. Il les regarda un par un et fini par choisir les boules de geisha, prenant le tube de lubrifiant pour les recouvrir, même s'il n'y en avait plus besoin vu le liquide qui brillait et coulait entre les cuisses de sa belle déjà très excitée par la vue de son amant en marin. Il s'approcha d'elle, approcha sa tête de ses lèvres et lui mordit doucement le cou, glissant sur ses seins et ses tétons et il pénétra en elle une première boule. Jennifer sursauta et gémit de plus en plus fort au fur et à mesure que la boule entrait en elle. Il pénétra la seconde avec lenteur et en profita pour laisser ses doigts en elle. — Que... Que fais-tu...? Gémit-elle d'excitation — Vouvoie-moi! Ordonna-t-il avec sévérité. — Till... Je t'en p...Till saisit la cravache et la claqua sur ses fesses avec force, arrachant un cri de plaisir et de douleur. Elle sentait les boules bouger en elle, elles la gênaient, mais les vibrations qu'elles lui procuraient étaient tellement bonnes. Till pénétra à nouveau ses doigts en elle, jouant avec les boules et profitant de la situation pour appuyer sur le clitoris avec son pouce. Jennifer sentait la chaleur monter et devait avouer que les boules en elle lui faisaient plus d'effet qu'elle ne l'aurait imaginé. Abigor se décida enfin à enlever ses doigts et se dirigea vers la table, laissant quelques secondes de répit à sa douce qui ne cessait d'onduler son bassin, mais plus elle gesticulait, plus les boules de geisha frottaient l'une à l'autre, procurant un plaisir toujours plus puissant. Elle sentait l'orgasme arriver, elle ne pouvait le retenir. Jennifer se mit à hurler, bougeant dans tous les sens tant il était fort. Till se retourna, sourit et prit à nouveau la cravache. Il passa derrière elle et frappa fort. — T'ai-je ordonné d'avoir un orgasme? Grogna le démon en claqua à nouveau ses fesses. — N... Non, gémit-elle de plaisirLe voit sourire et revenir à la table. Il reposa la cravache et prit des pinces tétons et intimité. Jennifer ressentit une vive douleur aux tétons et hurla en se cambrant, faisant bouger les boules en elle. Puis les douleurs se firent ressentir sur ses lèvres intimes. Till s'amusa ensuite à lui mettre un baillon, prétextant en avoir marre de l'entendre hurler, profitant pour attacher ses seins et les faire ressortir. Il passa furtivement son doigt sur chaque téton dressé et pincé, la faisant hurler de plaisir. Au fond de lui, il n'aimait pas lui faire ça, mais son âme de démon était excitée par ça. Il voulait la faire jouir de douleur et de plaisir, qu'elle soit livrée à lui et rien qu'à lui, qu'elle soit en quelque sorte son jouet. Il prit ensuite le bac de glace et pinça deux glaçons qu'il posa directement sur les tétons, en les bougeant. Le corps de la belle se couvrit de frisson et elle gémit avec puissance tout en sursautant. Till prit ensuite d'autres glaçons et les pénétra en elle. Elle eut le souffle coupé tant c'était froid, et tout en jouant en elle avec les glaçons et les boules, Till s'empara de la bougie en riant sadiquement. Ce rire inquiétait la demoiselle et lorsque la cire brûlante entra en contact avec les tétons douloureux. Elle ne put retenir ses larmes tant la douleur et l'excitation étaient fortes. Il s'amusait à lui en mettre sur tout le corps, la faisant crier un peu plus à chaque fois. Il aimait ça, sa nature aimait ça, mais au fond de lui, il avait envie de son corps, de lui faire l'amour comme une reine, mais aussi brutalement comme le devait la tradition et le rituel. Il laissa les autres jouets de côté et la détacha. — Fais attention en descendant, murmura-t-il à son oreille.Elle se laissa glisser, tremblante sur ses jambes, au bord de l'orgasme. Il tira doucement sur la corde reliée au collier et la fit sortir. Chaque pas qu'elle faisait était une torture et elle comprenait maintenant ce qu'avait la soumise du chacal. Les boules ne cessaient de s'entrechoquer, de vibrer en elle, elle savait que l'orgasme n'était pas loin. Till colla le dos de sa belle à l'une des barres de la salle et lui attacha fermement les poignets à cette dernière. Elle cambra son dos sous la fraicheur de la barre et se mit à gémir fort en se débattant. Till venait de poser un vibro sur son clitoris, tenant de l'autre main un martinet qu'il claquait doucement sur les fesses de sa belle. Elle n'en pouvait plus. Ses jambes se dérobèrent sous la violence de l'orgasme. Till la retint, inquiet, mais il ne le montra pas. Il rattacha sa douce et retira d'un geste vif les boules, provoquant en elle des orgasmes multiples. Jennifer se laissa glisser le long de la barre, se retrouvant à genoux. Till retira ensuite toutes les pinces avec douceur, prenant tout son temps pour que le sang revienne bien comme il faut. Elle grimaça et gémit bruyamment. Till s'assura que tout allait bien puis prit le martinet et commença à fouetter doucement le ventre, les seins et l'intimité de sa belle. Elle ne pouvait pas bouger, juste se débattre, son corps était plein d'envie et d'excitation, toutes ses zones érogènes la faisaient souffrir le martyr, mais Dieu qu'elle aimait ça. Le seul truc que Till laissait c'était les liens autour de la poitrine de sa belle. Till sortit son impressionnant sexe, força Jennifer à ouvrir la bouche et le plaça directement à l'intérieur. Il ondulait d'abord lentement et avec douceur. Sa langue jouait autour du gland de Till. Elle jouait avec sa langue. Pour la première fois, Till se mit à gémir en ondulant son bassin. Subitement, il se mit à accélérer, laissant à peine le temps à sa maitresse de respirer, pénétrant entièrement son sexe dans sa bouche et en y restant quelques secondes. Chaque fois que Till se retirant, elle fut prise d'une quinte de toux. Till recommença plusieurs fois puis il la détacha. — Ton corps est mien... Je vais te faire jouir comme tu ne l'as jamais fait... Gémis Till.Till la tira par la laisse, la plaqua contre le mur en grognant à son oreille. Instinctivement, elle releva sa jambe, jambe que Till prit aussitôt dans sa main et pénétra en elle quatre de ses doigts, les bougeant rapidement en elle. Jennifer gémissait, toujours plus vite et toujours plus fort, c'est ce qu'elle attendait d'une certaine façon et ce que lui faisait Till à l'heure actuelle était tout simplement divin. Dès l'or où Abigor avait pénétré ses doigts dans l'humaine, les mâles s'étaient levés, hurlant, braillant et sifflant telle une horde d'animaux sauvages. On pouvait entendre «Vas-y! Baise-la! Soumets là!» ou bien encore «Domine-la Abigor! Fais-la mouiller comme jamais! Fais-la hurler!» La délicatesse des démons, pensa Jennifer en hurlant. Elle sentit les doigts de Till se plier. En effet, lé démon cherchait le point G de sa belle et il parcourait son vagin dans les moindres recoins tout en mordillant ses fesses et en les claquant de temps à autre. Abigor eut une idée. Sans crier garde, il pénétra entièrement son poing en elle, provoquant les hurlements de joie des spectateurs, ainsi que les hurlements de surprise de l'humaine. Quelle surprise! Mais quel bonheur et quel plaisir cette sensation. Elle n'avait jamais ressenti ça et ne pensait même pas que cela pouvait être possible. Elle avait la sensation d'être remplie. L'orgasme n'était encore pas loin et Till accélérait encore et toujours son poing. — Ti... Till... Gémit-elle. — Mon capitaine! Grogna le démon en accélérant. — Mon... Mon capitaine... Je t'en pris...Till attrapa la cravache et donna un coup sec sur les fesses déjà meurtries de sa bien-aimée. — Tu me vouvoies, je t'ai déjà dit! Fit Till avec autorité. — Mon capitaine... Je vous en prie... Je veux vous sentir... Gémit-elle. — Tu me veux? Tu veux mon corps? Mon sexe? — Oh oui mon capitaine...Till se redressa, plaqua plus sa belle en la maintenant contre le mur et pénétra avec fougue son sexe dans l'antre des désirs, leur arrachant un gémissement puissant, ainsi que les sifflements de la centaine de démons. Il était si puissant et sec, elle n'avait jamais vécu ça avec son démon, et elle se l'avouait, elle voulait recommencer. Les gémissements du démon se transformèrent en grognements rauques. Till n'en pouvait plus, dès lors qu'il avait ouvert son pantalon, il ne pensait plus qu'à ça, s'unir à elle, la transformer en démon par sa semence. Abigor alternait entre rapidité et violence et lenteur et douceur. Jennifer ne sentait plus son bassin tant elle avait été submergée par les multiples orgasmes et la puissance du démon et de l'acte en lui-même. Till se retira, retourna sa belle pour qu'elle lui fasse face. Il posta ses bras sous ses fesses, la souleva, la bloqua à nouveau contre le mur rugueux, posant sa main sur sa gorge et la pénétra à nouveau avec force, suçant ses tétons encore douloureux, arrachant un gémissement puissant à Jennifer. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, se laissant totalement faire. On aurait pu croire que Till n'avait aucun respect pour elle, qu'elle était un simple objet sexuel ou un «vide-couille» comme on le dit vulgairement, mais non. On pouvait vraiment ressentir le respect qu'a le démon pour elle. Après une ou deux minutes, Till se retira à nouveau, la fit glisser avec prudence et la força à se coucher sur le sol, écartant bien ses jambes et les repliant sur elle. Cette fois, il pénétra son sexe très doucement pour accélérer sans prévenir. Il prit une inclinaison et fit mouche. Il toucha le point G de Jennifer. Son souffle se coupa, son dos se cambra. Aucun son ne sortit de sa bouche. Elle n'en pouvait plus. Till avait toujours la main sur sa gorge et accélérait, encore et encore, en étant toujours plus puissant, plus sec. Till sentait qu'il allait atteindre apothéose. Alors, pour calmer sa pulsion, il ralentit et embrassa sa chère et tendre. Il se redressa après quelques secondes, il se retira, tira sur la laisse et lui mit une petite gifle. — A quatre pattes maintenant, ordonna-t-il — Oui mon capitaine, gémit-elle.Elle s'exécuta, et se mit à quatre pattes en cambrant son dos pour bien présenter son postérieur. Till ne se fit pas prier. Il appuya sur les omoplates de sa belle, s'accroupit en la bloquant fermement et la pénétra en étant toujours plus rapide. L'humaine n'en pouvait plus, elle était épuisée et avait perdu toute notion de temps, tout ce qu'elle savait c'était son plaisir et celui de Till. D'ailleurs, le démon se mit à grimacer et à souffler très fort. Il sentait que l'orgasme était là, qu'il allait bientôt la transformer en démon. Il fut pris d'une violente hésitation, un doute très important, il se demandait si elle allait le regretter, s'il était bien pour elle, s'il allait contrôler ses pulsions démoniaques. Il doutait de lui, pourtant il voulait tellement qu'elle vive à ses côtés à jamais, pour l'éternité. Il ne put répondre à ses questions. Till se cambra violemment, resserrant ses mains sur les parties charnues de Jennifer. Le cri qu'il sortit résonna dans tous les enfers, assourdissant tout le public de voyeur présent. Jennifer l'accompagna et hurla. Abigor répandit sa semence en elle, la brûlant en même temps. Il devait faire vite. Il prit un couteau et s'ouvrit le bras, laissant couler un peu de son sang dans la bouche de sa belle afin de finir la transformation. Le goût du sang ne lui plaisait guère et elle fut prise de nausée.Till se retira doucement d'elle et la regarda. Jennifer se retourna et resta allongée, incapable de se lever tant les orgasmes avaient été puissants. Tous les démons présents se levèrent et applaudir puis en un instant, tous disparurent, ne laissant plus que Till et Jennifer. Le démon la regarda tendrement et s'allongea à ses côtés en la blottissant contre son cœur et en lui caressant son ventre. L'humaine se retourna en grimaçant et se blottit en caressant tendrement son torse transpirant. — Pardonne-moi pour tout ce que je viens de te faire... Fit-il angoisser. — Till... T'excuse pas... Je crois que j'ai jamais autant ressenti de plaisir même si je ne suis que débutante, sourit-elle en lui embrassant le ne.Till regarda chaque parti de son corps qu'il avait torturé. Il retira les liens autour de la poitrine de sa dulcinée et se leva. — Liebe... S'inquiéta Jennifer. — Je reviens, je vais te nettoyer tout ça, une infection peut vite arriver, expliqua-t-il rassurant.Till referma la fermeture de son pantalon après avoir rentré son sexe dans son pantalon et il disparut quelques secondes à l'arrière de la scène pour revenir avec une boite de gant en latex, de la biseptine et une boite de gaze. Jennifer se redressa, curieuse de voir ce que Till faisait avec ça. Doucement, il appuya sur son buste pour la recoucher. — Que fais-tu...? Demanda-t-elle. — Je te soigne... Je n'ai pas très envie que ça s'infecte et... Que tu sois mal... Répondit le démon en soignant autour de son intimité et de ses tétons.Jennifer grimaça au contact de la gaze, mais elle était heureuse, il prenait soin d'elle. Till se mit à sursauter et avoir le souffle coupé. Jennifer se redressa paniqué et regarda Till. Il semblait en transe. Elle l'appelait encore et encore, mais il ne répondait pas. Ce qui paraissait quelques secondes pour le démon était en réalité plusieurs minutes. Lorsque Till revient à lui, épuisé. — Till?! Il s'est passé quoi? Paniqua-t-elle. — Euh... Je... Rien... Rien... Répondit-il choquéLes larmes lui montaient aux yeux et Jennifer le prit dans ses bras. Ce qu'il venait de voir était tout simplement... Superbe... Il n'aurait pu faire plus belle vision. Il enroula ses bras autour d'elle et la berça tendrement en caressant le creux de ses reins.
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Par : le 09/08/13
Cela faisait plusieurs mois que nous nous fréquentions et à force de patience et grace aux sentiments qui nous animaient nous avions doucement fait évoluer notre relation. Quelques mois auparavant, lorsque l on s étaient rencontrés, elle ne savait pas vraiment ce qu elle recherchait, tout juste était-elle capable de dire que ces jeux l attirait inexorablement et qu elle n envisageait pas de vivre pleinement sa sexualité sans qu ils ne soient présents. Quand à moi, j avais une idée plus claire de ce que j attendais de cette relation même si je ne l avais encore jamais vraiment expérimenté. Comme nous ne vivions pas encore ensemble l attention que je lui portait ne se traduisait pas forcément par un contact physique. Mais au fil des jours, mon emprise sur elle grandissait et bien que de l extérieur rien ne transparassait chacun de nous savait que c était bien moi qui tenais les rênes. Elle si dynamique. si indépendante s était laissée prendre dans mes filets et trouvait dans les quelques contraintes que je lui imposait un réel bien être qui transparaissait. Je n usais de mon autorité reconnue qu elle m autorisait qu avec parcimonie et justesse. Depuis quelques semaines elle ressentait me disait-elle le besoin de me céder encore plus le contrôle et de s abandonner totalement. Au fil des jours, semaines, j ai progressivement renforcer les règles et il était bien rare qu il se passe plus de deux jours sans que je la punisse, le plus souvent parce que d elle même elle transgressait les dites règles afin que je puisse " abuser " de mon autorité. Un soir, me trouvant dans mon bureau je l appelle , elle me rejoins la démarche mal assurée à cause des liens que j avais placé plus tôt sur ses chevilles , je l accueille sourire aux lèvres et l embrasse pendant que mes mains parcourent son corps, doucement , lentement , et je tapote gentiment sur ses fesses encore marquées par la correction infligée hier soir. Puis je lui demande de s assoir sur le bord du bureau et après lui avoir retiré ses liens je l attache aux pieds du bureau de manière à disposer d un accès direct à son intimité , ensuite je lui attache les poignets avant d étirer au maximum ses bras au dessus de la tête. Je la regarde , une fois encore totalement impuissante , offerte à mon regard , offerte tout simplement , situation que j apprécie énormément. Ensuite je place un bandeau sur ses yeux et décide de la laisser ainsi un certain temps puis je pars vers d autres occupations. De retour aussi discrètement que possible je vous administre un coup de martinet qui lui provoque un long gémissement... Je joue avec son corps alternant coups de martinet et caresses, mes mains glissent sur son corps et mes doigts finissent par pénétrer son intimité que je fouille sans retenue puis je les retirent afin de jouer avec ses petites lèvres que j étire doucement, je me baisse et bientôt ma langue rejoint mes doigts afin de goûter son fin nectar. Je sais comment l exciter et aussi identifier les signes précurseurs de sa jouissance , aussi d une voix ferme je lui demande de ne pas jouir sans mon autorisation préalable , elle acquiessa . Elle sait qu elle aura beau et se débattre autant que ses liens le lui permettront et de tout tenter pour m amadouer rien n y fera. Pour ajouter un petit plus à son supplice j enfonce lentement un oeuf vibrant télécommandé dans son vagin plus un plug anal de bonne taille dans son anus déjà détendu sous l effet de son plaisir et je reprend mes caresses tantôt buccales que manuelles tout en activant de manière progressive l oeuf vibrant qui dans un bruit de fond s anime en de légères vibrations. Son corps réagit immédiatement et ses gémissements se font de plus en plus présents , sonores et je sens son sexe se liquéfier sous mes doigts. Voulant faire durer encore plus son supplice je m arrête à chaque fois que je sens les prémices de son plaisir arriver, je fais une pause pour lui mettre des pinces sur ses tétons puis d une voix douce lui dit que cette fois-ci je l autorisais à prendre son plaisir sans retenue et surtout sans plus d interruptions .. Au fil des mois nous sommes allés très haut , très loin , explorant et repoussant sans cesse nos limites, sans retenue , sans tabous mais toujours dans la confiance réciproque et dans le dialogue et la communication qui ne nous ont jamais quitté. Mais un jour, entre la différence d âge qui nous opposait et la grande distance qui nous éloignait notre belle histoire a pris fin So
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Par : le 09/08/13
Bientôt cela va être l'anniversaire d'Amandine, celle qui fut pour moi cette première réelle personne avec qui j'ai partagé cette passion si profonde de façon suivi... A chaque année, je ne peux m'empêcher de penser à elle, il est vrai que pendant 3 à 4 ans que notre relation à durer, nous avons vécu de très très fort moment...riche tant en passion, qu'en émotion mais aussi en partage de chaque petites choses que la vie a pu nous offrir... Je me souviens souvent de son dernier anniversaire un peu comme si c'était hier ... Tout commença le matin...Amandine me laissait seul, devant se rendre à son travail de bon heure. Pour ma part je profitais un peu de ce temps de répit pour lui préparer une petite surprise pour la soirée.... Je lui préparais une petite lettre lui décrivant tout ce qu'elle devait faire dès son arrivée du travail. Je lui demandais dans cette lettre de revêtir les vêtements que je lui avais choisit, Pour les dessus : une jupe noir longue portefeuille un bustier Noir...un peu juste pour elle... Une paire de chaussure à talon aiguille Pour les dessous.... Des bas blancs Un sous-vêtement en dentelle blanc Puis de se maquiller d'une façon très spécifique... Les yeux bien marqués de noir se dessinant fortement et le dessous remontant après les yeux légèrement Les sourcils marqués et tirés vers le haut Les lèvres noires Les ongles tout aussi noirs Et pour finir...je lui demandais de ne pas porter de suite ce qui cacherait sa Fleur....mais elle devait avoir cela près à être remis en bonne place...et donc devait être juste au niveau de ses chevilles.... J'avais déposé l'ensemble du nécéssaire sur le lit....ils n'attendaient que le retour d'Amandine pour qu'elle les portes. J'avais passé toute la journée à préparer cette soirée...vers 18h je rentrais enfin à la maison, enfin à l'appartement d'Amandine... Lorsque j'ouvris la porte...Amandine était debout dans le salon, tête base, les mains dans le dos... Elle était vêtue exactement comme je lui avais demandé... Elle arborait fièrement cette tenue si délicate et attendait avec une grande impatience la suite des événements... Je passais à proximité d'Amandine...toujours sans avoir dit un mot... Puis je lui dis alors... « Vous êtes délicieusement parée...je vous en remercie » Lorsque que nous « jouions » nous usions toujours du vouvoiement...c'était entre nous comme un code...qui marquait le passage à notre relation des plus iques au monde des jeux des passions folles qui étaient aussi notre crédo ... et qui plus est marquait également un respect, et un cotés très mondain ... Je mirais pendant un temps cette belle créature qui d'Amandine était devenue cette Fleur de Nacre qui avait ma passion, mon dévouement pour la conduire par de-là les frontières du raisonnable. Je défis le bandeau qu'elle avait apposé pour d'abord mirer son regard si bien dessiné comme je l'avais désiré... mais aussi pour lui présenter son premier cadeau.... Je lui tendais alors un coffret rouge... Elle l'ouvrit délicatement... Au vue de son contenue, son visage s'illumina de milles feux...la boîte renfermait un superbe objet qui était sa convoitise avant même qu'elle ne fut mienne... et dont elle avait rêvée mainte fois... C'était un plug anal qui se terminait par un panache tel une queue de cheval...Amandine avait rêvée de pouvoir un jour participer à un Poney-girl...avec un tel objet en sa possession... Mais je lui réservais encore une autre surprise.... Je lui dis alors que ce cadeau n'était pas encore à porter...et je pris alors simplement soin de remettre délicatement le bandeau sur ses yeux.... Puis je lui demandais de mettre les mains derrière la tête, tendue... Elle sourit alors comprenant que ce petit geste n'avait qu'un but... Lorsque mis ses mains derrière la tête...de son bustier trop juste pour elle, sortit immanquablement ses monts si beau... La pointe sortant juste au dessus de cette étoffe si douce sur sa peau... Je m'approchais alors de son corps... J'embrassais son cou puis progressivement, je descendais entre sa vallée et ses monts, rejoignant ses pointes que je pris soin de faire poindre par d'adorable baisers tendre et quelques morsures... Puis je pris entre mes mains les hanches d'Amandine...puis une main vint prendre sa jambe...et je la mis sur le canapé... Bien sur sa robe fit entrevoir ses charmes et mon but fut volontairement de pouvoir entrevoir ce qu'elle avait de si précieux...
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Par : le 06/08/13
Le film est terminé depuis longtemps… La neige remplis leurs pupilles dilatés. Leurs regards se perdent, s’accrochent, se tiennent désespérément un instant et se perdent à nouveau. Pour toujours… Allongé sur le sol, il tire par automatisme sur le cône de papier. La cendre est tombée sur ses joues.. Elle fixe ce point rougeoyant à ces pieds. … C’est le signe qu’il respire : Ce point rouge dans la pénombre qui s’anime et meurt pour s’animer à nouveau. C’est le signe que son cœur bas, que son sang circule, coule dans ses artères, dans ses veines… Dans sa vie…Dans sa verge…. Dans sa verge… Dans sa verge… Dans Sa belle verge, Sa queue, Sa bite ! La Sienne ! A elle ! Comme mu par une force extérieur, elle regarde sa cuisse glissée doucement. Son pied prendre son envol, et venir se poser sur la branche de chaire. A son contact, l’arbre immobile semble reprendre vie…... Flash ! Une seconde, chaque détail de la pièce explose et lui brule les yeux qu’elles plissent : Lui, nu, sur le sol. Les pilules multicolores qui jonchent le sol, les cendriers renversés, les godes souillés, les bouteilles brisées, les fouets, les restes de pizza, les aiguilles encore figées dans ses tétons, sa culotte déchirée, se sang qui perle par endroit sur l’écorce déchirée … Et l’écran qui se met en veille… Ou peut-être n’a-t-il jamais été allumé. NOIR Juste le membre qu’elle sent sous son pied. L’arbre qui gémis au loin à son contact et sa rivière qui soudain gronde à nouveau en elle, encore plus fort, se gonfle, hurle, lui brule le ventre et jaillit d’entre ses cuisses ouvertes, l’inonde et la submerge. Envahi la pièce, le sentier, la foret… Les pilules qui flottes et danse avec les bouteilles vides… Le niveau monte, monte vite, trop vite !!! C’est un torrent de mouille qui va la noyer ! L’emporter ! Elle ne peut refermer ces cuisses, le flot est bien trop puissant ! il l’écartèle ! S’accrocher ! Vite ! A n’importe quoi !!! N’importe quoi qui flotte !!! A l’arbre ! à la branche ! Planté son trou sur cette bite et faire cesser le flot ! Elle lance son bassin vers le sol et s’empale littéralement… Mais l’arbre réagit peine ! Pourtant elle à tout sentie. Millimètre par millimètre. Elle a senti chaque veine, chaque aspérité lui remplir la chatte. Révulsant ses pupilles dans une vibration qui l’emporte là-haut. Tout là-haut ! Jusqu’à ce que la queue butte contre sa matrice. Que le frottement cesse. Alors un instant elle flotte dans les airs, loin, si haut. Le sexe écartelé sur sa queue. La sienne, en elle…. Et puis la chute ! Elle tombe, elle hurle ! Elle a envie, besoin, absolument, maintenant ! Dans un élan désespéré, elle lance ses bras au ciel. Le mouvement la soulève… Elle reprend son envole quand la hampe glisse à nouveau hors d’elle. Ses lèvres s’entrouvrent, la salive s’écoule. Le mouvement prend fin, la retombée l’empale a nouveau. Lui permet de voler encore un instant… Puis plus rien… Et l’arbre qui ne bouge pas… Il gémit, mais ne bouge pas ! « Bouge !!! », « bouge » , « Baise moi salope », « baise moi putain !!!! Ahhhhh !!! » Elle le gifle.. Un sursaut, un mouvement dans son ventre… un court envole… Elle serre son poing et frappe, un autre mouvement plus violent, elle s’envole à nouveau. Elle ne veut plus descendre ! Elle frappe, frappe et frappe encore. Chaque coup plus violent impose sa secousse plus violente encore… « Encore ! Encore ! T’arrête pas »… Comme si elle se parlait à elle-même, comme pour oublier l’insoutenable douleur dans ses phalanges, et les bruits des os qu’on frappe, des mâchoires qui s’entrechoquent, du nez qui se brise !! Elle est encore loin de jouir ! Et la musique envahi son crâne, un bit lourd qui la prend toute entière ! Elle frappe en rythme, chaque fois plus fort, chaque fois plus dure ! Des deux mains ! Partout ! il faut qu’il bouge ! Elle ne le peut pas ! Trop terrifier par sa mouille qui monte et va la noyer, par sa mouille et par le sang qui coule de l’arbre… Elle jette sa tête en arrière. Pour la maintenir hors du flot. La bouche grande ouverte pour avaler l’air vitale à son voyage. Jouir !! Jouir avant de mourir mais jouir ! « Encore bon dieu !! »… Mais il ne réagit plus ! Plus du tout ! Elle attrape les tessons de bouteille qui flottent dans le jus sanglant. Elle le frappe à nouveau ! il Bouge enfin !!! Enfin !!! Enfin !!! Bientôt ! Encore ! Maintenant !!! C’est sur ses propres cuisses qu’elle frappe à présent ! Pour les forcer à réagir ! A l’empalé !!! « Oui ! Oui ! Oui ! OUI !!!! Arhhhhhhhhhhh » Ca y est ! Enfin !!!! Elle s’est libérée !!! Elle flotte ! Dans l’arborescence secrète d’un arc en ciel qui lui cède le passage en souriant ! Elle n’a qu’à avancer le doigt pour toucher le vol des palombes et des cithares mélodieuses… Alors l’arc en ciel se déploie pour la prendre avec lui. L’immense porte des enfers s’ouvre devant elle et Satan se branle frénétiquement en hurlant de rire : - « welcom Lady ! » Quand les pompiers enfonceront la porte, elle laissera échapper dans un dernier soupir, le visage plaqué sur le masque de chair ensanglanté de son amant : « ………….Ne fermer pas la porte, je ne vais pas rester………………………………….. »
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Par : le 05/08/13
Suite de initiation a la promenade une fois arrivés sur l herbe, je vous demande de vos mettre a genoux ce qui ne fut pas aisé car vos mains toujours attachées dans le dos. redressez vous et tacher de maintenir cette position vous ai-je dit d un ton sec et pour être sur de ne plus entendre vos jérémiades je vous baillonne. je m approche très près de vous et vous sussure que jusqu a maintenant et contrairement a ce que vous pensiez cela avait été facile mais que là il allait vous falloir vous contrôler car de marcher à genoux le buste bien relever à l aveugle et les mains attachées dans le dos avec collier et laisse cela allait être une autre histoire.... et pour enfoncer le clou je vous dit en haussant la voix qu à chaque faux pas de votre part vous recevrez une punition, punition qui variera selon mes envies. A peine vous ai-je lancer allons y pour 500 m que déjà vous gémissez. Après a peine 20 mètres sans que j intervienne au niveau de la laisse vous vous relachez et poser votre postérieur sur vos talons tout en émettant des gémissements. je vous donne l ordre de continuer , vous vous redressez avec peine et comme remerciement d un coup, un seul je vous fouette les seins avec une petite branche ramassée plus tôt. vous laissez échapper un long cri qui n a comme réponse que chose promise chose due et qu à l avenir j ose espérer que vous ne nous ralentirez plus. Nous reprenons la marche et pour aller un peu plus vite et vous rendre la tâche encore plus difficile je décide de tirer sur la laisse par petits à coup , en même pas 5 m vous f trébuchez de nouveau ce qui m oblige de fait à vous punir de nouveau, vous êtes là ,la tête plongée en avant dans l herbe et votre postérieur légèrement relevé, je vous ordonne de ne pas bouger et vous administre rapidement deux gros coups de fouet sur votre postérieur avec la même branche que précedement. votre cri est encore plus fort et accentué et la douleur vous fait vous relever d un coup . Avec ma voix la plus douce je vous avertis que dorénavant les punitions iront crecendo et que vu la distance qu il nous reste à parcourir il voudrait mieux que vous vous concentriez un maximum, et pour vous motivez je me baisse pour vous caresser votre postérieur que j aime tant marquer de mon empreinte ,et vous embrasse doucement dans le cou. Bien que prévenue , vous ne parvenez que très peu a garder votre équilibre ce qui engendre de nouveaux ralentissements et donc de nouvelles punitions. Puis arrivés devant un cours d eau dont l origine du bruit ne vous avait pas échapper je vous permet une pause et vous allonge donc sur le dos, toujours ligotée mais vous enlève votre baillon afin de vous embrasser pour votre effort. Suite au prochain épisode
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Par : le 05/08/13
(Petite nouvelle sans prétention écrite à la va-vite, je corrigerai les fautes et la syntaxe plus tard, je suis fatigué asteure) C'était un jour de milieu de semaine, un jeudi je crois bien. Ce jour qui précédait la fin de semaine, qui annonçait un vendredi détendu pour pas mal de mes connaissances et un week-end de beuverie et de fête. L'automne s'était présenté, accompagné d'un petit vent discret. J'attendais à la lisière d'une forêt à côté de la frontière, sur le petit parking d'un bar. J'habitais une ville qui avait la particularité de compter quelques espaces verts et un accès à des forêts; ainsi qu'une situation géographique près de la Germanie, pays du latex et du fétichisme en général selon les stéréotypes en vigueur. Oui, j'attendais. Qui? Mystère... Au fond tout ce que je savais d'Elle c'est que c'était une fille, ou plutôt une jeune femme avec qui j'échangeai nos points de vue et nos désirs. Des points de vue sur les relations entre une Dominatrice et son soumis, des désirs charnels et psychologiques, des envies d'explorer de nouveaux horizons. Et vu que nous nous sommes rencontrés sur un forum consacré aux déviances, je suppose qu'Elle est au moins en grande partie sincère. Elle m'avait confié qu'elle ne savait pas trop si elle se sentait soumise ou Dominatrice, mais qu'elle adorait tout le côté vestimentaire de ce petit monde. Elle aimait particulièrement les corsets en vynil et le port du latex, malheureusement les occasions d'en porter était bien rares. Elle me confiait aussi qu'elle se sentait plus féminine, ses courbes étant mises en valeur avec une certaine classe. Personnellement, je ne connaissais pas grand chose, les possibilités de constater et de rencontrer d'autres amateurs fétichistes étant proche du vide absolu dans mon bout de terre. Je devais la rencontrer aujourd'hui, sur le parking de la forêt. Par sécurité nous avons décidé de nous croiser dans un lieu dit "public". Après tout elle n'était pas sensée me connaître. La sécurité avant tout. Ainsi je l'attendais, alors que le soleil entamait sa retraite. Une quinzaine de minutes avaient suivi mon arrivée. Puis je vis un petit roadster rouge entrer sur le petit parking, avec une jeune femme à la chevelure châtain-cuivrée, légèrement bouclée, mi longue. Ca lui donnait un petit côté dryade et princesse. Elle descendit de son automobile et me sourit. En effet , j'avais précisé que je viendrai avec un puissant destrier de fer des temps modernes; c'est ainsi que je désignais ma motocyclette. Avec mon cuir et mon casque noir, seul sur le parking, elle ne pouvait pas me rater. Elle avait la démarche assurée, de celles qui savaient où elles allaient, et portait une petite robe de couleur bordeau et des talons aiguilles de la même couleur. J'aimais le contraste qu'offrait ses vêtements et sa chevelure par rapport à son teint et sa peau pâle. Elle me rappelait une collègue à qui j'avais proposé un jour un rendez-vous et dont la réponse ne vint jamais... Soudain, je réalisais qu'il s'agissait de la même personne, la même grâce, le même air sûr et dominateur. Elle s'approcha de moi et me salua avec un petit sourire: "Alors petit mâle, on a perdu sa langue? Ou alors tu es encore plus idiot que d'habitude?" Je bafouillais quelques mots, comme un prêtre surpris dans une boutique érotique se justifiant. Voyant ma gêne et ma surprise, elle m'ordonna de la suivre dans le petit bar. Elle commanda un café noir pour elle et un jus de fruits pour moi et m'ordonna de régler d'avance la petite adition. L'établissement était presque vide, deux groupes de touristes Néerlandais et Suisses dégustaient quelques boissons et sandwiches. Nous nous étions installés dans un petit coin de la salle en forme de "L", avec un mur derrière moi. J'osais enfin lui parler et exprimer ma surprise. Sa réponse était accompagné d'un petit rire: "Mais tu crois que je ne t'ai pas percé à jour? Ta façon d'écrire tes messages, certaines descriptions... Tu es bien un mâle comme les autres, imbécile et incapable de produire la moindre once de subtilité et de raffinement! J'avais envie de voir si tu étais aussi pathétique qu'au travail. J'espérais qu'il y aurait quelque chose à récupérer...". Sur ces dernier mot le patron du bar apporta les boissons et s'en alla reprendre le cours de son match de football. Elle me fixait d'un air qui oscillait entre la déception et l'irritation. Je réussi enfin à aligner quelques mots: "Mais Elaine, je ne t'ai rien fait de mal, si c'est pour l'invitation, je voulais juste mieux te connaître." A peine j'eu fini ma phrase qu'elle me gifla. D'un petit mouvement sec et énergique. Curieusement la présence des touristes ou du patron du bar n'était pas ma priorité, j'avais surtout honte d'avoir eu la prétention de m'imaginer tout les deux marchant main dans la main. Oui je l'aimais, je voulais vivre pour elle, me consacrer à Son bonheur. Je désirais me consacrer à Son être tout entier. Mais au fond qu'avais-je à lui offrir? Si peu en réalité... Elle reprit la parole dans ces termes: "Tu voulais surtout me baiser, comme toutes les paires de couilles que je croise. Même si tu crois que être sincère dans tes sentiments, tu n'es qu'un homme, tu ne penses qu'avec ton petit bout de chair d'entre les jambes. Je veux maintenant voir jusqu'à où tu serais prêt à aller pour moi. Ta gentillesse et ta bonne volonté ne suffisent pas, et tu n'es certainement pas en mesure de m'offrir une vie de rêve! Mais je te laisse une chance de me prouver que je ne perds pas entièrement mon temps ici. Et surtout ne m'appelle plus par mon nom, je te l'interdis. Et sache que tu ne me baiseras jamais, c'est compris?" J'étais au bord des larmes, mais j'avais perdu tout fierté. Je ne pouvais que dire oui. Les yeux baissés devant Celle dont je n'avais plus le droit de prononcer le prénom. Je devais me soumettre à Elle. Lui montrer qu'elle était ma priorité, je me devais de satisfaire Ses moindres caprices. Elle se leva, et je m'apprêtais à la suivre. Elle me regarda d'un air fâché, rapprocha son visage du mien, et cracha sa désapprobation: "qui t'a dit de me suivre? Tu vas m'attendre quelques minutes et me rejoindre plus loin dans la forêt sur le banc." Elle désignait un petit endroit à deux cents mètres environ, il y avait effectivement une petite table en bois avec deux bancs. Le chemin était goudronné pour permettre le passage de certains véhicules, ce qui me rassurait par rapport aux talons d'Elaine. Elle me détestait peut être, mais je ne supporterai pas qu'il Lui arrive du mal. Je la rejoignis cinq minutes après. Je commençais à m'asseoir, mais Elle se leva brusquement et me gifla de nouveau. "Tu te mets à genoux! Tu voulais apprendre à me connaître? Et tu voulais rencontrer une Dominatrice? Et bien tu es servi! Mais je veux être sûre de ton engagement." Elle prit une petite pause alors que je m'agenouillais, les yeux baissés, et me souleva le menton de sa main. Elle reprit alors: "Veux-tu sincèrement devenir mon soumis et me prouver que tes sentiments sont un peu plus que le fruit pourri du travail de tes hormones? Réfléchis bien, car je te le rappelle, tu ne me possèderas pas, et je serai exigeante. Tu m'appartiendras. Si tu acceptes, dis-moi oui, et jure-moi d'être toujours sincère et de me traiter comme il se doit." Je sortis un petit "oui", et elle ajouta: "oui qui?" "Oui Madame! Oui je veux me soumettre à Vous, et Vous prouver la sincérité de mes sentiments!". Elaine, ou plutôt Dame Elaine, prit un air satisfait et m'adressa à nouveau la parole tout en se déchaussant. "Tu pourras m'appeler Maîtresse aussi. Ca me plait bien. Pour être sûr que tu as bien compris quelles sont nos places l'un envers l'autre, tu vas embrasser mes pieds. Simple tâche, si tu tiens vraiment à moi". J'embrassai donc ses pieds comme si c'était les choses les plus précieuses. En fait ça l'était effectivement, c'était les pieds de Dame Elaine, et les embrasser était la preuve de ma soumission. A ce moment-là j'embrassai et léchai ses pieds avec une grande passion. Elle me repoussa doucement avec l'un de ses pieds, et dit: "c'est bien, il y a peut être quelque chose à faire avec toi. Tu es désormais mon soumis, nous parlerons de notre contrat de Dominatrice et de soumis ce soir, je t'enverrai un message. Et je t'interdis de te masturber, je ne suis pas là pour te servir de fantasme sexuel après tout." Sur ces mots elle se leva et passa doucement sa main dans mes cheveux. Dame Elaine me parla avec une douceur qui contrastait avec le ton d'avant: "Je ferai de toi mon esclave docile, tu seras à moi, uniquement à moi. Et je ne te laisserai jamais partir."
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Par : le 31/07/13
Par une belle journée ensoleillée je vous invitais à aller faire un tour en voiture, a peine installée je vous bandais les yeux et vous demandais de ne poser aucune question. Bien entendu , au fil des minutes votre impatience se fît remarquer par quelques questions aussi innocentes qu inutiles . D une voix douce je vous répondis par un chuttt Patience Je vous sentais légèrement nerveuse et cela m amusa beaucoup. A l approche du lieu inconnu de vous je vous pris la main en vous sussurant que nous arrivions et vous demandais de bien vouloir rester dans la voiture et de ne surtout pas enlever votre bandeau. Une fois garé je descendis et fît le tour de la voiture afin de vous ouvrir la porte et vous aider à descendre , puis doucement, tout doucement , alternant petits baisers et caresses soft sur votre doux visage j entrepris de vous déshabiller vous laissant au final aussi nue qu un vers ne vous laissant même pas vos chaussures. Je vous fît tourner sur vous-même afin d apprécier une fois encore vos contours, puis je vous ordonnais de vous mettre à genoux devant moi. Une fois à genoux, je vous mis votre collier puis vous pris par la taille afin de vous relever et vous tournais et vous demandais de mettre vos mains derriere le dos pour vous passer les menottes. Enfin pour finir j attachais la laisse à votre collier. Vous étiez là, immobile me demandant qu elle allait être la suite et surtout ou nous étions, ce que à quoi je répondis par un on y va sans plus d explications. A peine passés quelques mètre que déja vous rouspétiez et rechignais a avancer davantage sous pretexte que de marcher pieds nus vous faisait mal, je vous priais d arrêter de gémir que nous allions arriver sur de l herbe et vous pinçait fortement les tétons afin de dissiper vos douleurs de pieds en changeant votre centre de douleur. La suite au prochain épisode
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Par : le 31/07/13
Elle dort à poings fermés. J’ai encore le temps… Comme chaque matin, je me suis extrait du lit en mesurant chaque geste. Ce n’est qu’une fois la porte de la chambre refermée que je relâche un peu mon attention. Je ne peux m’empêcher de sourire, c’est mon premier plaisir de la journée : Comme toujours, la poignée et la porte n’ont fait absolument aucun bruit. Je les démonte discrètement chaque mois pour les graisser. En semaine, je serais déjà sorti chercher des croissants frais et à 7h00, tout serais déjà prêt sur la table du salon. Elle n’aime pas déjeuner au lit . Mais nous sommes samedi, et il est presque 8h lorsque je sors. C’est toujours un moment critique. Il est possible qu’elle se réveille avant que je ne revienne. Oh, bien sûr, elle ne m’en tiendrait absolument pas rigueur. C’est juste moi qui serais déçu. Même si pour rien au monde je ne le lui montrerais. Je suis de retour à peine 15 minutes plus tard. Rien n’a bougé dans la maison. Ma Reine dort toujours. Le café est prêt dans la machine, j’ai pressé des oranges qui attendent au frais dans un verre parfaitement propre dans le frigo. J’ai vérifié la nappe immaculée. Second plaisir de la journée : Je suis prêt, tout est prêt… Il ne me reste plus qu’à attendre, dans le plus grand silence, guettant le bruit si ténu des draps qui se froisseront. Je suis assis à côté de la machine à café, les sens en éveils. 10h00… Le silence est absolu. J’ai appris avec le temps à différencier les bruits de notre lit. Je sais quand elle ne fait que se retourner ou quand elle se lève. 10h47… Le signe que j’attendais arrive : Je mets le café en route… 27 secondes interminables… C’est le moment que je ne maîtrise pas. Elle peut entrer trop vite dans la pièce et me trouver en mouvement. Or, c’est un tour de magie que je veux pour ma Reine… Ce matin encore, je le réussi. Quand elle entre, le café fumant est déjà servi, tout est parfais, et je suis installé dans le canapé en train de lire. J’ai fait très vite. Mon cœur bat un peu fort. Mais elle n’en verra rien… Troisième plaisir de la journée. - « Bonjours mon amour » - « Bonjour ma chérie, bien reposé ? » Elle s’installe et plonge ses lèvres dans son jus frais… - « Hum.. Hum » (ça veut dire oui !) elle le murmure en buvant. Elle aime le calme le matin. Je me lève donc. - « Je vais prendre ma douche ma chérie, à tout à l’heure ». Je lui dépose un baisé tendre sur le front, elle prend ma tête entre ses mains et dépose un baisé sur mes lèvres - « Merci » - « de rien ma belle, à tout de suite » J’ai le temps, inutile de me presser, Malgré tout, je prends une douche rapide et tiède. Je ne veux pas que la salle de bain soit pleine de buée. Je vérifie rapidement mon corps : L’épilation à la cire est très efficace, mais certains poils s’obstinent à ne pas pousser au même rythme que les autres. Rasé de près, parfumé, parfaitement épilé, je remets la salle de bain un place : Un drap de bain propre et doux posé sur le sèche serviette pour qu’il soit parfaitement chaud, et je change la serviette au pied de la douche. Elle ne prend que très rarement des bains. Et jamais le matin. Je m’habille et reviens dans le salon. Elle a fini de déjeunée et s’est installée dans le canapé. D’un coup d’œil, j’ai vu qu’elle avait ramassée et déposée dans l’évier sa tasse et son verre, le plateau est resté sur la table. A mon entrée, elle se tourne vers moi et me tend une main. Je souri et viens m’installé à côté d’elle. Elle me parle d’un film qui va sortir dans quelques semaines dont elle vient de voir la bande annonce à la tv. Puis elle me parle d’une de ces amis. J’ai retenu le nom du film, je le noterais plus tard et je vérifierais la date de sortie. Nous discutons un long moment. Je blague, écoute, m’intéresse vraiment. Je donne mon avis quand je sens qu’elle me le demande. En discutant, ses pieds nus sont venus sur mes cuisses. Je les masses doucement. C’est extrêmement naturel. Il est presque 13h quand elle se lève pour prendre sa douche. J’en profite pour ramasser le plateau et mettre la tasse et le verre dans le lave-vaisselle avant de préparer le repas. Une salade composée, avec une escalope de poulet que je passerais au grill au dernier moment, et une salade de fruit frais. C’est mon gros point faible, je suis un bien piètre cuisinier. J’ai beau m’acharner à faire des essaies, le plus souvent, c’est un échec. Heureusement pour moi, elle aime cuisiner ! Mais quand je peux, je le fais. J’ai deux projets de prêt pour cette après-midi : Une expo de sculpture en cuir ou un film que j’ai téléchargé (je sais, ce n’est pas légal !!). Il fait gris et froid, elle n’aura peut-être pas envie de sortir. Et pour ce soir, trois possibilités ! Ce n’est pas toujours autant bien sûr !) : L’un de mes amis m’a proposé d’aller boire un verre dans un club ou joue un groupe qui pourrais plaire à ma belle, un second film téléchargé (je sais ce n’est toujours pas légal) si elle a envie de cocooning, et enfin, restaurant qu’elle avait adorée et où nous ne sommes pas retourné depuis très longtemps. Le téléphone sonne : C’est sa sœur. La douche s’est tue, elle doit être en train de s’habiller. Je lui amène le téléphone et je sors. Elle vient me rejoindre toujours au téléphone. Elle n’est pas encore habillée et son peignoir entrouvert m’est un merveilleux spectacle. Je ne me lasse pas de son corps. Ne vous y trompez pas. Elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Et l’effet qu’elle me fait. L’ouverture de son peignoir n’est pas le fruit du hasard. Je ne suis pas le seul à faire attention à l’autre. Je comprends à la teneur de la conversation que je n’aurais pas besoin de mes projets : Sa sœur vient passer l’après-midi avec son mari et ses enfants. Mentalement, je passe en revue les placards de la cuisine : soda, gâteau, et s’ils restent ce soir, pates à la Carbonara (c’est l’un des rares plat que je maîtrise ! lol), vin blanc à mettre au frais. Dans l’après-midi, je servirais tout le monde, je mettrais deux machines à laver en route, puis au sèche-linge, je débarrasserais la table, servirais le café… Sans à aucun moment me couper vraiment des conversations, ou me départir d’un sourire. Alors qu’ils seront en pleine conversation, je m’éclipserais pour changer les draps et refaire le lit. Ils ne repartiront qu’à 1h du matin après une belle soirée très gaie et très arrosée ! Ma reine à un peu bu, elle semble fatiguée et se glisse avec bonheur dans les draps frais… Comme je pose ma main sur sa hanche, elle me tire vers elle et se blotti contre moi. je bande très fort, je veille à ce que ma queue ne la touche pas. Alors qu’elle semble s’endormir, sa main s’égare entre mes cuisses… Sans bouger, elle joue avec ma hampe, doucement… -« Bonne nuit mon amour »… -« Bonne nuit ma chérie » Et parce que ma Reine sait se laissé aller à ses envies, elle plaque ses fesses contre mon sexe tendu. Elle ondule doucement… Je l’embrasse délicatement dans le cou… Alors elle se retourne, m’embrasse à pleine bouche, me mord les lèvres et se plaque violement contre moi… C’est de l’homme dont elle a envie… Elle m’attire sur elle, ses cuisses se relèvent, ses chevilles s’enroulent derrière mon cou. « Baise-moi ! » Je la prends… J’entre d’un seul coup jusqu’à la garde et reste un instant planté à fond. Elle aime cet instant où elle se sent empli… Elle gémi, sa tête part en arrière, je la sens qui se plaque contre mon ventre… Avec force… Ses ongles s’enfoncent dans mes épaules, lacèrent ma peau… Et puis elle relâche l’étreinte et une danse infernale commence… Elle me gifle, me griffe, rugit… Alors qu’elle est toute proche, elle trouve la force de penser à moi : « Garde ton jus ! Tu m’entends ! Garde le que je puisse te traire demain ! » Je n’aurais pas trop de mal à me retenir… Elle jouit vite… Fort… Voir jouir ma Reine… Le plus beau des cadeaux… Et demain, peut être…. Elle trouvera le sommeil blottie dans mes bras, après de long baisés et autant de « je t’aime »…. Demain… vers 8h, je me réveillerais… Une question d’habitude… Et une nouvelle merveilleuse journée commencera….
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Par : le 30/07/13
Vivre! D’espoirs fondés, de rêve ou de fantasmes, on avance sur le chemin de la vie. Respectant ses idées, mordant la vie à pleines dents, on avance sur le chemin que l’on fait nôtre. D’espoirs en désespoirs, essayant d’éviter les déconvenues on tache de garder le cap. Atteindre ses objectifs, les toucher du bout des doigts, est à la fois une victoire et une grande joie. Quand par malheur, alors qu’on croyait un rêve sur le point d’être atteint, ce dernier nous échappe, on peut se mettre à douter, à redouter, le chemin semble alors très long, trop long, l’envie de s’asseoir, d’attendre, ne plus avancés se fait sentir. Se reposer peut-être une solution, souffler peut permettre de repartir d’un bon pied, mais parfois l’envie, le courage, la force, la volonté, la détermination n’y sont plus… Le désespoir prend place, la dépression peut naître, les bras baissés, ou courbe l’échine et baisse la tête. C’est alors que les plus forts, les plus motivés, ce qui veulent encore y croire, recherchent ou acceptent l’aide de quelqu’un. Au sein de notre univers, cette aide peut être matérialisée sous la forme d’un Maître. C’est alors que ce dernier aidera à relever la tête, se cambrer à nouveau, se relever, y croire à nouveau. Les plus forts d’entre eux, se remettront à marcher. De nouveaux objectifs, de nouveaux espoirs naîtront à nouveau. Un Maître est avant tout un guide, il connait sa soumise, il sait de quoi elle a besoin, doit savoir comment le lui apporter, comment y répondre. Ils avancent alors sur le même chemin, lui, légèrement en retrait, la laissera aller de l’avant, conservant un œil sur elle, la protégeant, la guidant. Vivre n’est jamais aisé, le faire pleinement, y croire, peut se faire seul. Mais être guidés, sachant ses convictions respectées, ses croyances respectées, se savoir respecter, acceptant d’apprendre, de grandir, permet parfois d’aller plus loin. Vivre est un don! Respecter cette vie, se respectant alors, c’est respecter ce don! Se soumettre à son Maître, c’est lui offrir cette vie, c’est accepter de suivre son Guide. C’est accepter de vivre! ©Monsieur Le Vicomte
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Par : le 26/07/13
Un partage d’émotions… S’offrir, offrir du plaisir… Ce plaisir commun qui nous réunis alors pour cette passion commune. La voilà devant moi, attendrissante, belle… Elle s’offre à moi, remets entre mes mains son corps et son âme. Ma victime, victime de mes caprices, victime de son plaisir, victime d’un instant… La passion, passion des cordes, passion de cet art qu’est le Bondage Ces mêmes cordes qui s’enroulent maintenant autour de ses poignets, ses mêmes cordes si douces, si souples, qui d’un coup deviennent prison, tendues, contraignantes… Et ses poignets fermement maintenus dans le dos, joints limitant alors les mouvements de ma captive. Ma captive, captive de mes cordes, captive de mon désire, captive d’un instant, mais captive consentante… L’amour, l’amour de cet art, l’amour de ma prisonnière? Mais l’amour de cette passion qui nous réunis. Réunis comme le sont maintenant ses chevilles, joints comme ses poignets, ses chevilles si frêles. Aussi frêle que peut le devenir alors ma soumise, qui maintenant ne peux plus que subir… Subir, comme le fait sa poitrine et ses bras que mes cordes enserrent maintenant… Oui, maintenant elle est miennes, prête à subir ce que je voudrais bien lui offrir. S’offrir, offrir du plaisir… Ce plaisir commun qui nous réunis maintenant dans un élan de douceurs et de douces souffrances. Cette souffrance… Partagé entre souffrir de plaisir et le plaisir de souffrir, cette émotion partagée ne sachant plus où l’on est, comme aveuglé… Aveuglée comme par ce bandeau posé sur ses yeux, ses émotions s’emmêlent, et l’emporte alors dans un tourbillon de sensations angoissantes. Angoissante comme l’ambiance qui règne à ce moment là, angoissante comme l’inconnue. L’inconnue, ne pas savoir ce qui va suivre, mais rassurée, car la confiance et le respect commun sont présent, comme un partage. Un partage d’émotions… ©Monsieur Le Vicomte.
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Par : le 25/07/13
Une main tendue. Une main qui s’avance, sortant d’une brume épaisse. Une main qui s’ouvre délicatement. Une main qui invite… Prends ma main, lève-toi, et suis-moi. Sent sa fermeté, ressent son emprise. Laisse-là te Guider. Cette main, à la fois réconfort et assurance t’entraine vers l’inconnu. Cette main t’entraine vers ton horizon. N’ais pas peur de cette brume qui l’entoure. Dépose ta main au creux de cette main. Laisse sa chaleur s’en dégager, te réchauffer. Laisse-là faire. Cette main est ouverte pour toi. Cette main ne peut en prendre qu’une autre. C’est ta main qui fût sa préférence. Cette main, sure, forte et apaisante. Cette main est là, pour toi. ©Monsieur Le Vicomte.
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Par : le 25/07/13
e l'ai rèvé si souvent, si longtemps...j'en ai eu mal, physiquement, moralement...j'ai prié (si, on ne sait jamais, ya quelqu'un là haut, au bout du fil...). Mais aujourd'hui, je suis le plus heureux des hommes quand je gare ma voiture au parking de la gare.Car Elle arrive, là, dans le train de 8h19... Alors , pour Lui plaire , j'ai fait le grand jeu..j'ai mis un jean un peu long, chemise, veste de costume...La longueur du jean me sert à cacher mes talons aiguille...). J'ai complété par des bas dim up en lycra, bien gainants, un peu foncés, avec une couture derrière... Et là, je suis sur le quai, tordu par l'angoisse...je guette chaque voyageur..... Je La voit, enfin, un étau se desserre autour de ma poitrine...Je Lui embrasse respectueusement la main et prends rapidement son sac, pour qu'Elle ne se fatigue pas.. Je vole, plane, suis dans un monde parallèle...Elle sourit, Elle sait que je suis le plus heureux du monde...Pas besoin de discours, de paroles, juste nos regards on suffit. Le sac est dans le coffre, je lui ai ouvert la porte de la voiture..je me suis allongé par terre , Elle est montée dans la voiture en se servant de moi comme marchepied .... Rien à faire du regard des autres..qui s'en soucie??? Au volant je l'épie du coin de l'oeil.J'aime sa jupe de cuir, ses bottes et son imperméable de vinyl noir sanglé à la taille.Elle me raconte son voyage...Je plane..Elle est là, à coté de moi... Arrivés à destination, je me précipite.Avant toute chose, une coupe de champagne pour lui permettre de se détendre... Ses yeux rieurs m'observent..je sais qu'elle sait... Dans le fauteuil, son index me fait un signe, celui de me mettre à genoux devant Elle...J'ai tellement attendu ce moment.Imperieusement, elle me fait signe de tomber mon jean , ce que je fait.Je suis devant Elle , maintenant, en chaussures à talons aiguille, bas autofixants, et avec ma petite culotte de vinyl noir, celle qui a des sangles sur les cuisses...Un regard m'oblige à baisser les yeux.Sa botte se tends vers moi, je n'entends qu'un mot : " Leche".... Ma langue s'enroule autour de sa botte, de son talon, pendant que ses doigts se perdent dans mes cheveux... Doucement elle se lève, me domine du haut de ses talons.Je la voit prendre son sac, en sortir un ballgag rouge et des cordes. D'un petit geste du doigt, Elle me fait signe de me relever...Pas besoin de mots, pas besoin de sons...Elle est là, je suis noyé dans ses yeux.Délicatement, elle m'enfile l'imperméable translucide que j'ai négligemment laissé trainer là...Le boutonne , lentement, tendrement, amoureusement...Ses mains caressent mes épaules, ma poitrine.j'ai fermé les yeux...Je vis chaque minute, chaque seconde comme si c'était la dernière de ma vie.Ses mains remontent ma capuche , en resserre le cordon, bien tendu.Je suis un peu aveuglé par le plastique qui tombe sous mes yeux...Que m'importe de voir?...tout mon corps est sensation. Elle se colle derrière moi, je sens sa tete sur mon épaule, je sens les petits bisous tendre dont Elle m'enveloppe.Une main caresse mes fesses, collant le plastique de l'imper. Mes mains me sont ramenées dans le dos, une corde les entoure.Sans précipitation, Elle me ligote les mains, serrées, impitoyablement.Je la sens qui passe devant moi, sa main effleure ma joue..Elle pose sa tète contre ma poitrine, me serre contre Elle. Le ballgag arrive, rouge , large.Ses doigts le forcent entre mes lèvres.Je sens la sangle se refermer.encore , encore ,encore.Inconsciemment je voudrais que cela ne soit pas si serré, enfin si, mais pas tant...Mais c'est Sa volonté qui s'applique, moi je ne peut que subir. Se mettant à genoux devant moi, Elle saisit une corde, entrave une de mes cheville, passant la corde sous le talon de ma chaussure.Se relevant, Elle m'oblige à relever la cheville ligotée et attache celle ci fermement à ma cuisse.Me voici en équilibre sur un seul talon...Moi qui ai déja du mal à me déplacer sur deux... Tout en ferme tendresse, ses mains courent sur moi, sur mon ciré qui me colle à la peau, moite, torride....Elle passe alors une corde sur la poutre au dessus de nous et y relie mes poignets, qui remontent, remontent.Je suis obligé de me pencher en avant,pour ce strappado en équilibre.. Elle rit....S'amuse de me voir dans mon infortune si totalement consentie...Elle explore toutes les parties de mon corps, caresse , pince, lèche, embrasse, cajole... Je la sent fouiller dans son sac, elle en sort quelque chose, reviens vers moi...Sa main se pose sur mes fesses, relevant délicatement les pans de l'imperméable...Douces caressses....Une chose dure, en cuir, se promène sur mon dos............ Ses talons, si magnifiques, claquent sur le plancher....Bruit divin, incarnation de la puissance de la Femme.Elle passe devant moi, s'arrète.je relève un peu la tète.Elle est là, devant moi, Impératrice de plaisir et de fermeté...Elle se tiens jambes légèrement écartées, toujours sanglée dans son ciré noir qui crisse...Un son qui fait des ravages dans mon crane.Dans ses main, une petite cravache noire, courte, avec une petite spatule en cuir.La passant sous mon menton, Elle me force à relever la tète un peu plus haut, dépose un coquin baiser sur le bout de mon nez...Elle est espiègle quand Elle m'annonce que les séries seront de 10 coups....pas pour me punir,non, mais parcequ'Elle aime ça et que je l'adore aussi. Toujours en équilibre instable sur mes talons, je sens ses mains divine caresser ma peau, mon dos, mes épaules, ma nuque...Un frisson s'empare de moi.Sa chose est au paradis..Je suis surpris quand tombe le premier coup, sec, rond, net, impitoyable.La douleur est tres supportable.Les autres suivent , rapprochés, espacés, entrecoupés de caresses si douces sur les fesses qui me brulent.Tendrement entrecoupés de bisous dans le cou, de tendres caresses sur le dos, les cuisses. Je me tortille dans mes liens, dans ma précaire verticalité...Les coups se font plus secs, les caresses plus appuyées..L'arrière de mes cuisses me chauffe aussi.Je suis dans un monde inconnu, les yeux fermés..Est ce bien ma voix qui murmure " encore" à travers le baillon?? Sa main s'est insinuées entre mes cuisses, sous ma culotte de vinyl toujours soigneusement bouclée...Ses doigts ont joué avec mon sexe, pendant que la cravache entretenait la rougeur de mon posterieur...Elle m'a "trait", là debout dans mes liens et mon ciré...Le hurlement que j'ai poussé a dépassé l'efficacité du baillon.Un hurlement primal, animal.Une perte de conscience totale.Nos anciens disaient de l'orgasme " une petite mort".. Je ne suis plus rien, qu'une pauvre chose qu'Elle délie tendrement.Je retrouve mes deux pieds, un semblant d'équilibre.Je suis dans Ses bras.Sur le canapé, Elle me berce, ciré contre ciré, sa langue et ses baisers sont comme une maman lionne qui cajole ses petits...Je reviens petit à petit à un degré acceptable de conscience...Elle me sourit... Il va falloir te préparer pour le restaurant me dit elle, avec son sourire qui me désarme tant. Son visage d'ange est illuminé.Elle rayonne de joie et j'ose penser que j'y suis un peu pour quelque chose, tant moi aussi je vole... Elle sait pourtant que je ne suis pas à l'aise en public...Mais la caresse qu'elle me pose sur la joue efface mes craintes...Misericorde, quelle tendresse...c'est comme si le coeur s'ouvrait pour laisser passer des flots de bonheur.. Elle m'ote mon imper, me met nu et me conduit à la salle de bain..Après la douche, Elle me bouchonne avec la serviette, frottant fort, faisant rougir la peau...Elle rit...son rire est cristallin comme l'air de Fevrier...Pur.. Elle me force à me pencher contre le rebord de la baignoire.Ses mains caressent mes fesses, aériennes, les écarte doucement.Le plug entre, millimetre par millimetre, la sensation est....bizzarre, de se sentir rempli, distendu.Je suis déstabilisé un moment mais son regard, envouté, moqueur, rieur, me transporte. Elle me redresse, me fait tourner, me serre contre elle.Son baiser est long , profond , torride. Viens maintenant le temps de poser la cage, en inox , rigide, fermée par le petit cadenas dont Elle récupère la clé.Sensation divine de contrainte..Mon émotion est maintenant complètement bloquée..Prenant une cordelette, Elle me fait rapidement une ceinture avec deux brins qui passent entre mes fesses.Le pug est dans l'impossibilité de ressortir. Bas, porte jarretelle, culotte noire en dentelle..Elle se moque, me traite de demoiselle...Mais ajuste fermement les bas...jean, chemise, veste;Mes chaussures a talon de 7.5 cm, heureusement cachés par la longueur du pantalon... Mon petit collier de chien???? Non, cela va se voir...Mais Elle me le boucle autoritairement autour du cou.Un foulard sorti de son sac va cacher tout ça...Me voilà pret, à son gout, vraiment pret???? Son index s'agite, son sourire irradie, je me rapproche.Elle me fixe une petite laisse en chaine à mon collier..Nous pouvons partir..Fermement maintenu, je reste derrière Elle, respectueusement. Le trajet dans la rue, jusqu'a la voiture est un calvaire de sensations érotiques... Mes pas sont calqués sur les Siens, légèrement à coté d' Elle. Je sent imperceptiblement aux crispations de sa main sur la laisse, qu 'Elle me regarde du coin de l'oeil, moqueuse... Je sais que son sourire, qui me désarme tant, transfigure son visage. La voiture est là...Elle lache la laisse, déverouille le coffre, l'ouvre.....Elle ne va pas..... Oh si, son index me fait signe d'avancer, et indique sans ambiguités ou je dois me placer. Je ne peux m'empecher de jeter un coup d'oeil alentour pour voir si... Sa tete bouge négativement ,ironique, sa main reprend la laisse et tire fermement. Je m'allonge sur le coté , plié en chien de fusil. Elle attrape mes poignets, les tire dans mon dos... Une paire de menotte viens se refermer dessus, le coffre claque, nous partons. Les sensations se bousculent en moi, je perd pied. Trop, c'est trop.Pourquoi moi? Comment tant de bonheur peut il arriver, comme ça, d'un coup, venu d' une déesse si tendre,mais si ferme, si... Elle a mis de la musique, je l'entend en sourdine, perdu dans mes rèves. Je suis à l'etroit, je me sens rempli par le plug, mes mains sont impuissantes, ma cage me serre...Je suis bien, en paix avec moi mème. Ici j'ai trouve ma place.. Le moteur se coupe, nous devons etre arrivés. Le stress monte d'un coup. Comment vais je sortir du coffre devant les gens? La lumière d'un réverbère m'aveugle. Elle me retire les menottes et m'aide à me relever. Le regard angoissé que je promène la met en joie. Ouf, nous sommes à l'écart sur le parking. La laisse m'est remise. Elle ne va pas entre au restaurant comme ça... Non, pitié Maitresse...Je vous en supplie... Je l'entend rire, des notes d'eau qui tombent d'une cascade cristalline, onde pure de plaisir... En marchant vers l'entrée, me vient un éblouissement, une bouffée, une révélation. Pourquoi stresser? Je me sens fier, tout à coup, fier de cette situation, fier d'etre au bout de la laisse de ma sublime Reine. Tout est à sa place. Le garçon à ouvert des yeux grands comme des soucoupes, et je dois dire que cela m'a réjouit. Une fois à notre table, au milieu des visages suspicieux, le long échange de regard que nous échangeons contient mille années de tendresse , d'amour, de douce compréhension. Jamais je ne pourrais oublier cet instant, cette paix. Le garçon arrive pour prendre la commande et romp le charme. Au moment ou je vais lui annoncer nos désirs, une intense vibration m'envahi, me faisant bégayer...Elle affiche un visage si innocent, si pur. Nos regards se croisent . Le plug vibrant a une commande à distance, Elle est machiavélique. Péniblement j'arrive à faire le tour de la commande . Le repas se passe, enchanteur... Entre les coups de vibration , le talon de Sa botte qui vient frotter l'intérieur de ma cuisse, j'ai beaucoup de mal à avaler. Surtout que ma cage empèche toute velleité de prise d'envol de mon " oiseau". Le " tout s'est bien passé ?" ironique du garçon en partant est délectable, surtout qu'Elle n'a pas laché la laisse le temps que je fasse le chèque. Car , innocemment, Elle a décidé que ce serait mieux que la CB. Le coffre encore, menottes, ma place.... De retour, sans les enlever , Elle m'emmène directement dans la chambre, accroche la laisse à la poignée du placard.Son doigt mutin se place en travers de mes lèvres, me faisant signe de l'attendre. Ses talons résonnent . Ma bouche se fait sèche quand elle entre, vétue de son ciré noir. Son visage à changé, plus grave, plus concentré, mème si ses yeux pétillent... Les menottes tombent, je suis mis à nu, sauf mes bas et mes talons.Elle retire mon plug, mais pas la cage. Pourtant, j'aimerais bien, Maitresse, s'il vous plait... Elle me pousse sur le lit, je dois m'allonger au milieu, sur le dos, les cordes entrent dans la danse, précises, efficaces, redoutables . Ecartelé, nu, en bas , porte jarretelles, talons et cage de chasteté, je ne suis plus qu'une pauvre chose.Pourtant , Elle s'avance sur le lit, un instant j'entrevois qu'elle est nue sous son ciré.Ses lèvres se collent contre mon oreille, son ciré froid se colle contre ma peau.Sa main gantée se pose sur mon sein. J'entends sa voix qui sussure, frémissante de désir, qu'il va bien falloir le traire ce petit oiseau encagé... Mais là, je vais garder la suite dans mon petit jardin aux secrets. Car il y a trop de choses précieuses que je ne puis vous narrer...
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Par : le 25/07/13
Un soumis doit il avoir connu l'autre facette de sa soumission?? A vous de me répondre.. la cité de Carcassonne est magique.Non seulement cette merveille nous offre un spectacle magnifique,mais elle nous replonge dans un monde perdu, oublié, fait de trappes, de cachots, de donjons,......d'inquisition..... L'hotel retenu avait ceci de somptueux, la vue sur la Cité. Illuminée, elle entrait par la fenetre de la chambre, faisant comme chez elle. Je verifiais que le champagne trempait bien dans la glace ,les coupes étaient pretes, je me mis un moment sur le lit, mon materiel étant disponible . Un grattement contre la porte. Etait ce un rongeur de l'ancien temps égaré, à la recherche de quelque fromage? Le clic du pène qui se libère me confirma que non. La voilà donc, ma belle amie, future prisonnière consentante.Jupe fluide, talons hauts, chemisier mettant en valeur sa somptueuse poitrine, et ce que je soupçonne etre des bas...Elle entre donc, pose ses affaires, et après la bise, je l'installe dans un fauteuil.Servant le champagne, nous nous mettons à deviser. Parlant de tout et de rien, de la route, de l'hotel......Je la vis tendue, crispée, sur ses gardes. Au bout d'un moment, la sentant un peu plus détendue, je me levais pour lui resservir une coupe. J'en profitais pour baisser un peu le store , nous isolants un petit peu. Je passais derrière elle, et posait ma main sur son épaule.Premier contact physique , au combien important...primordial, capital. Je la sentis frémir. S'était elle rendu compte que ma main tremblait aussi et que mon coeur dépassait la vitesse autorisée ? Ma voix aussi avait changée, devenue beaucoup moins forte, plus rauque aussi. Je lui expliquais notre jeu, ses regles de sécurité, doucement, tendrement.Mettant un genoux à terre, toujours derrière elle, je caressait ses cheveux. Posant ma tete sur son épaule, je sentis la sienne venir en arrière, yeux fermés.Le moment était venu. Sortant de la poche de mon jean un masque pour les yeux, je le lui passait sur le visage, la privant d'un de ses principaux repères, la vue.La débarassant de sa coupe, je la fit se lever et s'avancer près du lit. Tournant derrière elle, je laissais mes mains courir sur ses épaules, ses bras, symphonie de sensations, opéra de vibrations et de caresses..Approchant ma bouche de son oreille, je lui murmurais ces quelques mots : " ta culotte, tu sais , tu n'en as plus besoin maintenant", en joignant une petite pression de ma main sur son épaule. Ses levres entrouvertes, sa tete légèrement de coté, je la vis retrousser sa jupe, et quelques instants plus tard, un petit tas de dentelle noir gisait à ses pieds.Docile, et sans que je ne lui demande nullement, ses mains s'étaient rejointes dans le dos .Appel muet à des cordes bienveillantes qui n'allaient pas tarder à faire leur offices.Soumise parfaite, vestale solennelle d'un moment hors du temps. Entourant son poignet d'une corde doublée, je me mis à ligoter ceux ci .Tout en laissant un doigt de liberté, je les rapprochais au maximum, finissant par une tresse entre les poignets. Libération totalement impossible. Me collant contre elle, je posais ma tete sur son épaule, sentis la sienne se rapprocher, se tourner, vers la mienne, invitation muette, érotisme débridé, ses main ne restant pas inactives dans son dos. Attrapant une autre corde, j'entrepris de lui ligoter les coudes, le plus rapprochés possible, puis les lui fixais contre le torse, passant une corde en dessus et en dessous des seins. A chaque tour, je sentais ma belle captive secouée de frémissements, comme si chaque corde lui arrachait une tension , la menait à chaque tour un peu plus près du paradis. Je la fis s'avancer jusque sur le lit, l'installant à genoux en plein milieu.Je recuperais au milieu de mon matériel, un ring gag, que je lui présentais doucement.Sa bouche s'entrouvrit, et malgré un petit gémissement de protestation, la belle fut baillonnée. Lentement, en lui expliquant tendrement que la position que j'avais choisi pour elle l'exigeait, je fis tomber l'agraffe de sa jupe et la lui retirais, révélant de somptueux bas en dentelle, fixés tres haut. Puis , saisissant deux larges courroies de cuir, j'entrepris de relier une de ses chevilles à sa cuisse, l'obligeant à rester la jambe pliée.Faisant à l'identique de l'autre coté, je finis cette immobilisation par quelques caresses sur ses cuisses, arrachant un gémissement.Ma main, s'égarant sur son ventre, se perdit dans un endroit interdit.Un doigt aventureux plongea dans un pot de miel, tandis qu'une sourde plainte continue s' exhalait de sa bouche maintenue ouverte . L'approchant de sa langue, je la sentis le lecher maladroitement, génée par l' anneau du baillon.Remplaçant mon doigt par ma langue, nos deux animaux vivants s'entremelèrent, tendrement abandonnés, tandis que mes mains couraient sur son corps si bien contraint. Je m'écartais pour récuperer un collier, un peu large, que je lui passait autour du cou, reliant une corde à l'anneau. Puis , fermement, je dégrafait le beau chemisier, l' écartant sous les cordes, dévoilant un superbe soutien gorge noir, tellement bien rempli.Ecartant les bonnets, je liberais ces joyaux de leur prison de dentelle, les parcourant de petites caresses, déclanchant des secousses de plaisir chez ma belle ligotée. J'attrapais alors la cordelette du collier, et la faisant s'incliner vers l'avant, reliais le collier au pied du lit, l'obligeant à se tenir coubée vers l'avant.Je relevais sa jupe sur ses hanche, revelant l'irreverancieux spectacle de ses fesses. Allongé à ses cotés, je laissait mes mains courir sur son corps, me regalant des ondes de plaisir qu'elles déclanchaient. Puis attrapant un petit gode souple vibrant, je le mis en marche et commençant a le promener le long de ses cuisses, puis au bord de son puit de miel.Le son qui s'échapait de sa bouche était un long soupir, rauque, profond, entrecoupé de gemissements, et de tentatives de déglution de la salive qui s'écoulait du baillon.. Ayant bien humecté l'objet, je le présentais devant sa cible, déclanchant une houle de tempète, sous un concert de gémissements.Doucement, millimetre par millimetre, l'instrument pris sa place, vitesse maximale, Un feulement répondis, secouant ma prisonnière au plus profond de son etre.Je decrochais sa laisse et la laissait se coucher sur le coté, liberant aussi sa vue. Allongé à ses cotés, je tourmentais ma belle, caressant alternativement ses seins magnifique, ses cuisses bien maintenues, sa grotte d'amour... Trouvant sa perle nacrée, je l'agaçait doucement, augmentant la houle de ses hanches.Le son qui s'echappait de ses levres ressemblait à : " ui...ais.....oi...."....Ses yeux, perdus, semblaient ne plus appartenir au meme monde.Les secousse de son ventre, invites muettes, prenaient de l'amplitude. Jouant encore un peu avec ses mamelons , maintenant durs comme de la pierre, je le agaçait encore un peu.Puis me relevant, je me versait une petite coupe, puis aprochant le fauteuil, m'installait dedans, sous les cris etouffés de ma prisonnière, sa tete roulant de gauche à droite, dans un signe de dénégation impérieux.Je lui expliquais doucement que j'allais la laisser profiter de ses liens un petit moment, en admirant le spectacle. C'est quand mème le maitre qui décide de la jouissance de sa soumise, n'est il pas vrai ? Rassurez vous, le champagne etait encore frais... Et les " tourments" de ma belle ne durèrent pas longtemps.L'ayant détachée, il ne me restait juste à tirer un rideau bien épais sur la suite. La suite regarda une soumise et son "tourmenteur".Le cadenas que j'avais posé sur le store empéchait hélas,toute vue extérieure...
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Par : le 15/07/13
Une vie entière de servitude,Me remplit le cœur de plénitude.A vos pieds rampantComme un toutou obéissant,Rien de plus épanouissant.Un collier de chien méchant,Fait de moi votre fidèle serviteur,Prêt à tout pour votre bonheur.Pour ma Princesse,Ma Divine Maîtresse,Je me dévoue corps et AmeTant que brulera ma flamme.
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Par : le 12/07/13
"Qu'est-ce qui nous pousse sous les arbres sauvages ?La douleur vit sous les chênes,fais attention à ses rêvescar il s'avancera doucement et prudemment sur ses racines.Un infirme se trouve près de l'arbre-dévoreur.Ses deux jambes brisées,la rivière crache son écume de rouille,demandant à être sa compagne.Le bûcheron se trouve près du bouleau.Ses deux jambes brisées,il était trop beau pour mouriret se trancha seul avec le fer.*Contre l'écorce de l'aulne se trouve un enfant perdu.Ses deux jambes brisées,une branche céda sous le vent fort.Il ne resta pas ici très longtemps.Sous un vieux tilleul,se trouve celle que j'aime.Un coeur est gravé dans l'écorce d'été;elle s'endormit doucement.Qu'est-ce qui nous pousse sous les arbres sauvages ?On peut admirer le vol au travers des prés de l'oiseau.Mais en des lieux oubliés, murmurent des anges aux grandes ailes."[ By Till Lindemann]
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Par : le 11/07/13
"Je suis en chaleur depuis des jourset vais chasser mon gibieret jusqu'au matin je me tiens prêtà tirer un coup mortelUne biche timideva bientôt venir icije dois renoncer à sa garnitureje ne peux la juger à ses boisUne faible daine* arrive à portée de tir elle a pris le soleil dans les roseauxelle laisse de belles traces dans les fourrés**le miroir scintille, je reste collé***La queue frétille comme un poissonle fusil surgit du fourreauje prends les cornes comme trophéeet lui assène le coup fatalElle sent la puissance du coupUne sueur rouge coule sur sa cuissej'en fais un appât à l'endroit propice****et suis essoufflé de ma chasseDe ses boucles coule la graisseje grone sur sa belle robealors je la traîne dans un coin et l'accroche à mon plafond"[By Till Lindemann]
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Par : le 08/07/13
Oui, je sais... j'aime les cordes et les cirés... C'est une histoire vécue que j'avais postée sur un autre forum. Moins " sensible" que les autres textes, ( on ne peut pas etre toujours au niveau "international"...LOL), j'ètais en relation avec une Dame que j'avais branché sur les imperméables. Miraculeusement, elle avait aimé ça, et nous passions des soirées au téléphone, tout les deux habillés de cirés. Elle n'avait pas de webcam mais ses soupirs dans le combiné étaient prometteurs. Surtout qu'elle m'avait avoué posséder une paire de menottes...qu'elle utilisait en plus pour nos soirées délire. La dame étant de Besançon, je l'ai rejoint plusieurs fois. Et nos jeux de coquins furent rapidement détournés sur des journées de ligotages poussés, tout les deux vêtus de nos chers imperméables.. Un samedi pluvieux, elle a décidé de me faire découvrir la campagne des alentours...Nous nous sommes donc équipés pour la promenade , à vrai dire, elle s'est vêtue de bottes en caoutchouc noires, d'un pantalon en cuir, et d'un long ciré jaune, brillant, magnifique, fermé par de petits brandebourgs en cuir ...Moi je la regardais sagement s'habiller, obéissant à son ordre d'attendre qu'elle ait fini. Une fois qu'elle fut convenablement vêtue, elle s'occupa de moi. A vrai dire, elle pris une cordelette qu'elle entoura à ma taille,passant deux brins entre mes cuisses, pour les rattacher derrière le dos. Puis avec une ficelle fine, fit un " paquet " de mon pauvre appendice, qui devint de ce fait un joli rôti.. Elle me fit enfiler ma combinaison en plastique, me fit mettre mes bottes en caoutchouc. Puis me ligota sévèrement les mains croisées dans le dos. Elle passa ensuite une forte sangle par dessus mes bras qu'elle serra dans le dos, me plaquant les bras au corps. Je la vis fouiller dans son armoire et revenir avec une cape en ciré bleu nuit, assez longue, qu'elle me posa sur les épaules. Une fois boutonnée, elle me ramena la capuche sur la tête.. Nous descendîmes alors dans son garage ou elle me fit monter dans sa voiture, sur le siège arrière. Et avec une longue corde, attacha mes bottes.. Jetant un sac à coté d'elle , nous partîmes en ballade, moi complètement impuissant... Arrivés dans un chemin perdu au milieu de nulle part, elle arrêta la voiture, sortit et vint m'ouvrir la porte, me fit mettre debout. Je sentit sa main se poser entre mes jambes et caresser mon "paquet" qui répondit allègrement...Détachant mes pieds, elle reposa la corde au niveau de mes genoux, en faisant deux sortes de boucles. Le lien me laissait quelques centimètres d'espace me permettant de faire de tout petits pas , tout en étant invisibles sous la cape. Prenant son sac, elle me passât une cordelette autour du cou, en une sorte de collier, et m'emmena promener. Nous n 'allâmes pas loin, une clairière semblait nous attendre. Choisissant avec soin un fourré un peu épais, elle me plaqua contre un arbre. La pluie commençait à tomber dru, je voyais,les gouttes ruisseler sur sa capuche. Et le crépitement sur la mienne, mon impuissance qui allait encore s' aggraver me mettait dans un état chargé d'érotisme. Dénouant mes genoux, elle les rattacha très serrés. Puis prenant dans son sac une longue corde, elle commença à me ficeler contre le tronc, en commençant par les épaules. Une fois le haut du corps bien fixé, elle pris une autre corde et me ligota les chevilles. Voir cette magnifique Dame baissée devant moi, la pluie tombant à seau sur son ciré, pendant que la corde serrait mes chevilles me fait frémir encore aujourd'hui. Une autre corde fut serrée sur mes genoux et mes cuisses, les plaquant au tronc. Puis prenant un gros bâillon boule noir, avec une courroie souple, elle me l'enfonça fortement dans la bouche, avant de boucler la lanière au dernier cran. Violemment. Totalement impuissant. Un rouleau se scotch noir à la main, elle entrepris de me coller littéralement la tête contre le tronc, passant par dessus mon bâillon, recouvrant celui ci de plusieurs tours. Le plastique de la capuche se plaquait contre mes joues, la pluie dégoulinait sur mes yeux.. L'odeur de terre mouillée nous enivrait . J'essayais bien de remuer un peu, rigoureusement impossible. Je vis alors ma belle dominatrice se reculer un peu. Somptueusement belle dans son ciré tout luisant de pluie. Je vis ses mains dénouer les fermetures de l'imperméable, l'écarter. Ses doigts ouvrir le haut de son pantalon de cuir, et sa main s'insinuer dessous. Jambes légèrement écartées, elle commença à faire aller et venir ses doigts, jusqu 'a un spasme violent qui la secoua , là, devant moi, sous la pluie. Tenaillé par un désir tellement violent, je remuais un peu, je la vis se rapprocher de moi, venir se coller tout contre ma cape. Sa main caressant mon sexe..... La pluie tombait toujours.......................
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Par : le 06/07/13
En effet, je reçois des demandes d'amitiés d'hommes... Normalement, je devrais être contente... mais... ils ne savent pas souvent lire ce qui est bien connu de toutes les femmes en général... On croirait qu'ils écrivent à toutes les femmes du site, comme s'ils étaient un logiciel hystérique de spamming... Ou (et parfois "et" !) ils mettent en avant leur centre d'intérêt principal : leur bite, parfois leur bagnole/donjon ou, comble d'élégance : les deux ! (ou 3) Là encore, que du connu... banal, triste, ne donnant pas envie mais récurrent, je dirais même obsessionnel (avec la liste de course des soumis qui, elle aussi, vous donne envie de gerber tellement cela montre une absence d'intérêt pour la Femme à qui c'est adressé) Parfois, il y en a qui arrivent à fixer un instant leur attention et qui se forcent à répondre aux questions de mon profil et cela donne systématiquement (j'ai rétabli l'orthographe et la grammaire pour aider à la compréhension) : "je pense être ouvert à beaucoup de choses différentes, appréciant sorties, soirées comme beaucoup de monde. J'ai un attrait peut-être plus particulier par la décompression après une journée de travail dans les parcs où je découvre une diversité urbaine étonnante surtout en ce moment avec le développement de la végétation. je vais aussi de temps à autres au cinéma, peu aux spectacles, peut-être par lassitude ou manque de temps." Ça me donne un aperçu hyper pertinent de l'absence de personnalité totale de mon interlocuteur : n'importe qui peut écrire ça sincèrement quels que soient ses goûts ! (à moins d'être totalement psycho) Alors, là, oui, j'ai envie de me poignarder avec une petite cuillère jusqu'à ce que mort s'en suive...
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Par : le 05/07/13
LLE a ordonné de me mettre nu... Ma gorge se serre, l'angoisse de mes propres blocages est là. Mes complexes sont bien présents.Pourtant, je vais le faire, les yeux fermés. Pour ELLE, parce que c'est ELLE...Ma respiration s'est accélérée. Mon cœur bat la chamade.Ses talons claquent quand Elle tourne autour de moi, doucement, lentement.Sa main effleure mon épaule. Je frissonne.Debout devant moi, ELLE remonte mon menton, me demande de la regarder, dans les yeux.Son regard transperce mon âme, lit au plus profond de mon être.. ELLE sait tout, mes craintes, mes joies, mes attentes.Sa main caresse ma joue, si tendre. Je vis par sa main, c'est mon énergie, ma raison d’être. Ma tête s'incline, se repose dessus..Combien sont purs ces moments de tendresse, d' abandon total. Le temps n'existe plus, seul l'instant compte.Elle est passée derrière moi, à posé sa tête sur mon épaule. Ses lèvres effleurent ma joue...Et quand ses mains prennent possession de mes épaules, je ne suis plus là, je suis si loin...Le bruit de la corde qui se déplie en claquant est si doux. Doux comme ses mains qui prennent mes poignets, les réunissent dans mon dos. Les cordes se serrent, implacables.Elles tournent sur mon torse, tirant de mes poumons des gémissements.A chaque tour, mon cerveau s'envole, loin, si loin. L'odeur du chanvre me fait chavirer.Et sa bouche, si tendre, si douce, qui viens d'une voix rauque, à peine audible, me demander si tout va bien ouvre encore une porte, libérant encore l'émotion. Je tremble...Pourtant Elle finit son ouvrage, m'immobilisant totalement. Entièrement à sa merci.Devant moi, Elle s'est collée contre moi, à croisé ses bras derrière mon cou. Je sais qu' ELLE va me faire souffrir. Parce qu' ELLE aime ça.ELLE m'a accroché quelque part, pour que je ne remue pas. Et les premiers coups sont tombés encore doux, juste pour prendre possession de ma douleur..Puis ils sont montés en force, lentement, implacablement.. Ses mains ont caressé là ou ELLE a puni, ses lèvres ont dit les mots qui consolent à mon oreille...Tendrement... Mais sa main n'a pas tremblé... Et la correction s'est poursuivie, malgré mes cris, malgré ma douleur, malgré mes larmes...Maintenant, ELLE m'a décroché, ses mains dénouent mes liens. Sur le canapé, ELLE m'a pris dans ses bras, m'a bercé, doucement, comme on berce un enfant... ELLE a caressé mon dos, a calmé la brulure.Mais bien vite, son index a désigné ses pieds... Et je m'y suis agenouillé...Car c'est là qu'est ma place.A SES PIEDS....
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Par : le 05/07/13
Je reviens à l'instant de ma première séance avec une "dominatrice". J'y ai pris du plaisir, mais je dois dire que j'ai quand même été déçu. Je l'ai rencontré en répondant à une annonce sur internet. On a commencé par discuter via le site de petites annonces. Elle m'a dit que normalement, elle ne fait pas les initiations, mais qu'elle pouvait faire une exception si j'étais très motivé. Elle m'a même demandé si je voulais appartenir à une maîtresse. Je lui ai répondu que oui, mais que je pouvais changer d'avis, étant donné que je n'avais jamais été soumis. Elle m'a dit que c'était pour ça qu'elle ne faisait pas les initiations. Je lui ai répondu que si j'ai dit que je pouvais changer d'avis, c'était pour pas faire de promesses en l'air, mais que j'étais vraiment motivé. Elle m'a demandé si je pouvais venir tout de suite avec une enveloppe contenant 150 euros et faire tout ce qu'elle m'ordonnerait. Nous avons donc convenu des limites. J'ai pris une douche et je suis allé chez elle. Quand je suis entré, elle m'a ordonné de me déshabiller, puis j'ai eu droit à tout ce qu'on avait convenu, sauf l'uro. Je lui ai léché les pieds, le sexe et le cul. Par moments, elle était sur son lit, et moi à 4 pattes par terre. À d'autres moments, j'étais couché par terre et elle assise sur moi. Elle m'a craché au visage, dans la bouche, m'a ordonné de me doigter le cul ou de me branler pendant que je la léchait. Elle m'a également doigté le cul pendant que je me branlais à 4 pattes. C'est à ce moment là que j'ai jouit. Elle m'a ordonné de chercher du papier toilette et de nettoyer le sperme sur le sol. Elle m'a ensuite demandé ce que j'avais pensé de cette première séance. Je lui ai répondu que ça avait été un peu rapide. Elle m'a dit que j'avais jouit et m'a demandé si je voulais continuer. Je lui ai dit que oui, et on a recommencé : Léchage de pieds, de sexe, de cul, doigtages, crachats et branlette. Au bout d'un moment, elle a vu que je ne bandais plus (je venais de jouir). Elle m'a dit qu'elle le savais que ça serait comme ça et m'a ordonné de me rhabiller et de dégager. J'ai pris du plaisir, mais je l'ai trouvé trop mécanique. Elle utilise toujours les mêmes insultes (chien, chienne et salope). Pour elle, le but était que j'éjacule et la domination, un moyen d'atteindre ce but. Alors que pour moi, la soumission était déjà une fin en soi et la jouissance très secondaire. J'aurais même pu ne pas jouir du tout, ça ne m'aurait pas dérangé. J'avais l'impression qu'elle se faisait chier par moments. Il m'est même arrivé de la plaindre quand j'étais à 4 pattes en train de me branler pendant qu'elle me doigtait le cul. Je me dis qu'elle fait pas un métier facile. C'est clairement l'argent qui l'intéressait. Suite à cette expérience, je n'irai plus voir une dominatrice qui demande de l'argent. Mais j'espère toujours rencontrer une femme, avec qui j'aurais une vraie relation qui contiendra, entre autres, de la domination.
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Par : le 04/07/13
Tightlacing Mot d'origine anglaise, n'ayant pas d'équivalent en français. Pourrait se traduire approximativement par "corsetage", au sens de "port d'un corset lacé très serré" (laçage serré). Le tightlacing est une pratique consistant, par le port constant d'un corset sur une longue durée (généralement 23h/24, 7 jours/7, en l'enlevant uniquement pour prendre sa douche et en dormant même avec), à réduire progressivement son tour de taille. Technique Elle consiste à acheter d'abord un corset réduisant le tour de taille naturel de huit à dix centimètres (réduction maximale possible pour la plupart des gens quand on porte un corset pour la première fois ou de façon occasionnelle), à le porter nuit et jour pendant plusieurs semaines jusqu'à y être bien habitué(e) et s'y sentir confortable, puis, quand on peut le fermer totalement sans inconfort, à acheter un autre corset qui réduira la taille de 2 à 5 cm de plus, à le porter plusieurs semaines jusqu'à ce qu'on puisse y être totalement habitué, etc. Au fur et à mesure, chaque centimètre gagné est de plus en plus long et difficile à obtenir, et il arrive un moment au bout duquel une personne ne pourra plus rien réduire. Le degré de serrage du premier corset, la rapidité de la progression et la réduction "finale" à laquelle on arrive, dépendent énormément des particularités de chaque individu : tour de taille de base bien sûr, mais aussi écart naturel entre les côtes basses et l'os des hanches, "compressibilité" naturelle (qui varie beaucoup entre deux personnes ayant pourtant les mêmes mensurations de départ)... et bien sûr assiduité au port du corset. Pratiquer le tightlacing est un sacerdoce auquel on ne s'adonne pas sur un coup de tête, et qui suppose des mois voire des années de dévouement au port du corset, avec une modification des habitudes quotidiennes (on ne bouge pas de la même façon avec un corset très serré, on ne fait pas les mêmes activités ou on apprend à les faire différemment). Il existe sur le net des sites donnant les conseils et expériences des tighlacers d'aujourd'hui : faire de petits repas fractionnés plutôt que trois gros repas, apprendre à bien hydrater sa peau pour qu'elle ne s'abîme pas sous l'échauffement du corset, s'habiller différemment sous et sur le corset, l'enlever une heure par jour pour se doucher et faire quelques exercices de gymnastiques afin de conserver sa ceinture abdominale... (voir liens) Effets physiologiques Peu à peu, les côtes basses flottantes se resserrent, les organes vitaux se répartissent au-dessus et au-dessous de la taille, permettant l'affinement progressif de celle-ci 1. Ces modifications sont lentes et très progressives, il est illusoire de vouloir réellement changer son corps par le port occasionnel d'un corset. Ceux qui espèrent affiner définitivement leur taille par le port occasionnel voire unique d'un corset (que ce port rare ne leur permettra de toutes façons, biologiquement, de serrer que de moins de 10 cm) voient leur corps reprendre le même aspect qu'avant dès qu'ils enlèvent le corset. Esprit et histoire Le tightlacing peut être considéré comme faisant partie des diverses pratiques de modifications corporelles (body modification) comme le piercing, le tatouage, le branding... il s'agit là aussi d'imprimer volontairement une marque personnelle sur son corps, de le modeler de la façon dont on le désire, en en tirant fierté et personnalisation esthétique - dût-on subir, comme pour toute modifications corporelles, la désapprobation de ceux qui ne partagent pas les mêmes choix ou ne les respectent pas chez les autres. Il a été pratiqué de façon beaucoup plus occasionnelle qu'on ne le pense aux XVIIIe et XIXe siècles : seules quelques rares femmes de la haute société s'y consacraient, par choix personnel, et étaient souvent critiquées comme coquettes excessives voire vivement réprouvées par les médecins et moralistes religieux. La très grande majorité des femmes de tout statut social portaient le corset, mais assez peu serré, plus comme un soutien pour se tenir droite et affiner très légèrement la taille mais sans excès, et l'enlevaient pour dormir. Aujourd'hui, il existe une poignée de gens pratiquant le tightlacing, essentiellement aux États-Unis mais aussi quelques-uns en Europe. Tighlacers actuels La femme amatrice de tightlacing la plus connue aujourd'hui est Cathie Jung, une Américaine d'une soixantaine d'année qui pratique le tightlacing depuis plusieurs décennies et a aujourd'hui la taille la plus fine au monde : 38 cm mesurés sur le corset. Son physique extrême et surprenant provoque parfois l'admiration esthétique, parfois le respect pour sa démarche personnelle pleine de volonté et d'originalité, et plus souvent des critiques très agressives et épidermiques... Elle fait occasionnellement des apparitions télévisées, dont la plus récente dans l'émission de Tyra Banks a été accompagnée d'une attitude très irrespectueuse de la présentatrice et du public. Parmi les autres tighlacers connus on peut citer les Allemandes Lacie et Sylphide, les Américaines Michaela Grey (qui milite pour les droits de la femme, le féminisme et plus de respect pour les minorités) et Dita von Teese, célèbre pin-up moderne. On peut aussi citer l'impressionnant Mr Pearl qui est corsetier à Paris depuis 2004 et travaille avec des stars comme Victoria Beckham ou Kylie Minogue. Mr Pearl a la taille la plus fine pour un homme : 43,5 cm "On peut aussi citer l'impressionnant Mr Pearl qui est corsetier à Paris depuis 2004 et travaille avec des stars comme Victoria Beckham ou Kylie Minogue. Mr Pearl a la taille la plus fine pour un homme : 43,5 cm" La plus grande singularité de Mr Pearl lui-même est certainement qu'il pratique lui-même le tighlacing ( ou fait de réduire volontairement sa taille par le port constant d'un corset (23h/24, 7 jours/7), de plus en plus serré au fil des mois et années). En cela, l'excentrique homme ne fait que poursuivre une mode instaurée par les dandys et les militaires au début du xixe siècle, où le corset n'était pas réservé aux seules femmes : les uns comme les autres recherchaient un maintien droit et altier allié à la minceur d'un taille bien prise. Complèment d'information apporté par @Poison J'espère ne pas être hors sujet en soulignant pourquoi le port du corset de nos jours se fait rare et est devenu un précieux fétish d'une sensualité incomparable, de part le fait que Herminie Cadolle le découpa pour inventer le "corselet de gorge". "Au cours de l'exposition universelle de 1889 (celle de la Tour Eiffel)Herminie exposera sa nouvelle invention. Elle venait en effet d'avoir une idée simplement géniale : pour le confort de la femme elle avait coupé en deux le traditionnel corset féminin : elle venait d'inventer le premier SOUTIEN-GORGE dont elle déposera le brevet et qu'elle appelle initialement le "corselet gorge". http://www.cadolle.fr/FR/histoire2.shtml
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Par : le 03/07/13
J'envie ceux réunis aujourd'hui Pour le meilleur comme pour le pire Et qui jouissent sans fin D'un plaisir que je n'atteins pas. J'attends avec impatience le jour Où tes mains carresseront avec amour Mon corps Froid et mort. Je guette la lueur Que je verrai dans tes yeux Et l'impatience Que je sentirai dans ta voix. Car, mon unique souhait, pour l'heure, C'est de t'appartenir Et faire battre mon coeur Perdue dans les voluptés et le plaisir. Le 20 décembre 2010
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Par : le 28/06/13
Personnellement je trouve que l'esthétisme est plus dans le port de vêtements, certes adaptés à la situation et la nudité préférable dans certains cas d'humiliation (genre en public avec des gens habillés) ou pour les jeux eux-mêmes....
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Par : le 27/06/13
Ce n'est pas être faible. Il est fort celui qui s'accepte tel qu'il est vis à vis de moi. Malgré la société autours qui lui indique que pour « être un homme » il lui faut être un goujat et un dominateur à la maison et au lit. C'est être fort que de constamment respecter les règles de la galanterie à l'ancienne, me tenir la porte, de porter mon sac, de supporter mes petits caprices et les trouver mignons... C'est être fort que de prendre soin de moi, de s'occuper de mon bien être, de m'éviter toute fatigue et contrariété, d'alléger voire effacer de mon esprit mes lourds soucis quotidiens. C'est être fort que de faire sa priorité de vie de moi et notre futur foyer. C'est être puissant que de jouer avec moi, aucun éjaculateur précoce ou impuissant ne le peut. Tenir jusqu'au point où j'ai donné mon aval, aucun faible ne le peut. C'est être fort d'esprit que de savoir passer de mon chevalier servant, mon rempart, à l'esclave de mes jeux et inversement. C'est être fort que de construire sa vie avec moi, avec le monde qui nous entoure, la société, les amis, les familles, les carrières professionnelles, les soucis et notre unicité.
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Par : le 24/06/13
C'est un soir où tu es avec moi, nue sous ta robe à dos nu, aux fines bretelles ... Tu as demandé que je sois en string, portant ma ceinture, des bas et mon costume ... Nous arrivons au restaurant où l'on nous indique une table en terrasse un peu à l'écart où se tiennent Madame et Monsieur ... Ils ne se lèvent pas et tu baises leurs mains comme convenu, tandis que je tire ta chaise pour te laisser t'assoir ... Je les ai vue de loin mais j'ai aussitôt baissé le regard "Bonsoir Madame", "Bonsoir Monsieur", dis-tu avec ta voix de femme mariée, légèrement troublée ... Tu t'installes entre eux,^pendant que je m'installe sur une chaise un peu sur le coté ... Les sourires semblent de mise. Monszieur m'indique que je peux me comporter normalement et je les regarde. Nous discutons sur le restaurant, son élégance et le choix de ce lieu où les bougies embelissent les personnes ... Monsieur semble te plaire. A un moment, il te glisse un mot à l'oreille que je n'entend pas ... et tu fais tomber la bretelle de ta robe laissant quasiment apparaître un sein ... La conversation continue et je te sens ailleurs alors que Monsieur a une main sous la table comme Madame ... Elle se penche vers moi et me murmure d'écarter mes cuisses de pute ... je m'exécute et je sens son beau talon venir se figer sur mon paquet ... Elle se penche à nouveau "Sors-le" ... je sors mon sexe et la cage ... et le talon appuie dessus lourdement ... je me crispe ... Madame fronce le sourcils ... et je me reprends ... Monsieur dit à voix haute "elle est toute mouillée, ta belle catin ..." Tu es rouge. Monsieur te sert un verre de vin rouge ... comme toi ... Madame écoute et intervient "Relève ta robe belle salope" ... Tu t'exécute dans un mouvement que tu veux discret mais quand tu te rassoit, Monsieur tient ton autre bretelle, tes seins sont à la vue de tout serveur qui viendrait ... Le voici qui arrive pour passer les commandes, Monsieur te dit de ne pas les remettre ... Il murmure quelque chose et je vois ta main disparaître sous la table, après que tu ais humidifiée tes doigts maquillés ... Avant même que nous ayons commandés, le serveur repart avec deux commandes, celles de Madame et Monsieur ... "Nous avons déjà commandé pour vous" ... La conversation va bon train sur tes envies, tes confessions, comment me dresser ... me prendre et tes commentaires sur la taille du sceptre de Monsieur à qui tu renouvelles tes compliments et ton accord pour être sa catin ... entre deux gémissements ... je te reconnais et suis heureux de voir que tu te libères ... Madame jette sa serviette au sol et me demande de la ramasser ... Comme je vais pour rentrer mon paquet, elle me gifle et me maintient la tête contre ses escarpins ... en public derrière la nappe ... je vois ainsi la main de Monsieur plongée dans tes cuisses écartées, ta robe relevée et ta main enserrant le pieu de Monsieur ... Vous vous levez tous les deux et disparaissez ... Je reste ainsi à lécher et écouter Madame m'expliquer que je vais être leur soubrette et salope ... Quand ils reviennent, je te vois épouse rire avec Monsieur, un peu gênée ... ton décoletté semble luire et je reconnais la semence de Monsieur étalée sur ta peau ... Madame me convie à la suivre en rentrant mon sexe et en laissant ma braguette ouverte ... J'ai l'impression que tout le monde me regarde ... Dans les toilettes où elle me demande de me mettre nue la tête renversée sur la cuvette. Là, j'attends peu de temps avant que son champagne me coule entre les lèvres "Bois, catin ...", j'entends des flashs de son appareil crépité ... Puis, Madame ouvre la porte des toilettes, me fesse durement, les flashs continuent. Madame me fixe ensuite des poids à mon paquet ... Puis, elle prend une photo et m'attache une laisse qui enserrent mes testicules que Madame laisse sortir de ma braguette après avoir sortie ma chemise de mon pantalon ... "Suis moi" .Des femmes nous dévisagent ... Nous regagnons la table où tu n'es pas ... Monsieur me regarde en sirotant son verre de rouge ... le sourire aux lèvres ... Je comprends que tu es sous la table ... Il me dit de regarder et je te découvre les seins à l'air et la robe troussée, tes jolies lèvres avalant le chibre de Monsieur ... Le déssert arrive et nous sommes autorisés à parler entre nous ... et avec eux ... Madame et Monsieur nous demandent si nous souhaitons poursuivre et c'est toi qui hésite .. Madame montre les photos qu'elle a prise de moi, où l'on me voit nue en porte jaretelles et bas en train de boire le champagne de Madame, puis mes fesses rougies et mon entrejambe avec une laisse et des poids ... Je vois deux photos de toi pompant Monsieur avec le sourire et le sperme qui jaillit sur tes seins nus, toi totalement dénudé, nu dans ces toilettes de grand restaurant ... Il nous propose de prendre un dernier verre et que nous verrons ... Monsieur se propose de nous précéder avec toi dans son véhicule ... Je sais qu'il sait y faire et tu le sais aussi ... Tu me demandes si je suis d'accord et je t'embrasse
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Par : le 21/06/13
Eloge de cette drogue... Cela commence par une simple bouffée de cigarette... L'idée est qu'il n'y aura aucune répercussion... Illusion du voile de fumée... Tu viens ensuite a rechercher l'apaisement dans le Cana... Mal nécessaire qui s'installe doucement... Puis tu sniffes une ligne de coke pour cet euphorie éphémère... Tous se dissipe... L'esprit à l'envers... Tu te demandes qu'es qui t'arrive... Tu pars en vrille complet... Une folie s'installe... Vient alors l'héro... Effet immédiat qui s'enfonce en toi... A venir te prendre au fond de toi... Cela te depossede totalement... Tu perds tout controle... Nul pouvoir mais la sensation de bouillir en toi... Et ce manque qui vient aprés cet sur enchere... Mon esprit n'est plus ... Obsession et vertige de ma chute... Avant de sombrer... Je prend une bouteille... Nul message a y mettre une fois l'avoir vidé... La bouteille d'absynthe roule ainsi le long de la table avant de me suivre dans ma chute... Les plaisirs du seXe ne sont tout autant qu'instanné... Explosion de l'instant... Cette jouissance se dissipe comme toutes les autres tel la brume d'hiver... La route interminable se dessine devant moi ... Elle m'offre l'adrénaline a cet esprit torturé... Suffit de rouler... Encore et toujours... Les Paysages qui défilent... Tout les chemins menent quelques parts... Je ne sais plus ou je suis... Je ne sais pas qui je suis de toute maniere... Je m'arrete. Enfin... L'apaisement naturelle surprend mon esprit. Que se passe t il?... Un pavot Psychotrope s'offre pour finir... Me finir... Je viens te prendre... Te fume pour sombrer au fond de cette folie qui m'aura poursuivi et aura eu enfin raison de moi... Tu me possedes enfin. Doux reve par l'Op!um...
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Par : le 18/06/13
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Par : le 12/06/13
! Comme chaque année, le réseau ***LIEN COMMERCIAL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** organise sur une propriété privée isolée des regards des week-ends de rencontre qui sont 100% gratuits. (Les thèmes sont BDSM ou ABDL ou Fessée ou shibari ou …..) Les 8 et 9 juin 2013, la thématique était ABDL et fessée sur la petite propriété camarguaise. Si le vendredi soir la météo était clémente, le week-end fut dès plus humide ! La pluie a contraint les membres à se replier dans la maison mais est-ce la promiscuité ou la motivation des membres, le moins que l’on puisse dire c’est que l’ambiance fut chaude ! ! ! Les nurses ont pu changer les ABDL mais également tanner les fessiers des plus espiègles sous le regard inquiet des nouveaux. Que l’on se rassure, cette inquiétude n’a pas durée et pour cause, avec autant de fous furieux, la folie devient contagieuse ! Les plus timides se sont donc aventurés à murmurer « j’aimerai bien essayer pour voir ». Les fous ! ! ! Il y eu donc des initiations à la fessée et des initiations à la canne anglaise pour les plus téméraires ce qui a généré des vocations y compris pour une nurse qui a trouvé cela très plaisant. Nous en déduisons qu’il y a de fortes chances qu’elle récidive lors des prochaines rencontres. Après les discussions, apéro, repas, un spectacle de marionnettes humoristiques, une dictée de masochiste humoristique, les changes, un atelier body paint et même un défilé de mode, les sens se sont enflammés pour générer des idées sadiques. UN GANG BANG FESSEE ( sans sexe) Le Maître de soumise Kioki-san, également connue sous bébé Kio, avait décidé de lui offrir une monstrueuse fessée plaisir pour satisfaire les plaisirs masochiste de cette soumise dès plus gourmande. Les fesseurs et les nurses et même les soumis et soumises se sont donc invertis pour satisfaire la grande gourmande de fessée. Elle fut fessée quasiment une heure non stop ! Le Maître de Kioki-san a fait « l’ouverture » de ce gang bang fessée avant de passer la main aux personnes désireuses de participer à cet évènement rare. Vers la fin de l’heure, l’a sentant prête à jouir (au sens propre du mot) le Maître de TSM a repris la main pour la dernière ligne droite la conduisant à la jouissance. Si l’entrejambe de cette soumise était mouillé, je peux vous affirmer que le front des fesseurs et fesseuses l’était également pour cause de transpiration ! Du vendredi soir au dimanche soir, les fesses rouges ont été talquées et mises à l’abri sous d’épaisses couches voir même sous des grenouillères, tout cela dans une ambiance cordiale où chacun a pu participer à ce qui le séduisait. Les trois prochains week-ends auront pour thème : Un week-end Ecole du BDSM (rencontre entre expérimentés et débutants) Un week-end SM pur avec un artiste du fouet Un week-end toutes activités confondues RAPPEL : Les soirées puis les fessestory puis les week-ends sont gratuits pour les membres du réseau TSM        
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Par : le 03/06/13
"Marco entre dans une ville ; il voit quelqu'un sur une place vivre une vie ou un instant qui auraient pu être siens ; il aurait pu être à la place de cet homme, maintenant, s'il s'était, autrefois, jadis, arrêté, ou encore si, jadis, à un croisement de chemins, au lieu de prendre d'un côté il avait pris du côté opposé et qu'après un long périple il en fût arrivé à se trouver à la place de cet homme sur cette place. Désormais lui-même est exclu de ce passé, qu'il soit véritable ou hypothétique ; il ne peut s'arrêter ; il doit continuer jusqu'à une autre ville où l'attend une autre de ses vies passées, ou quelque chose qui peut-être a été l'une de ses vies futures possibles et qui est maintenant le temps présent de quelqu'un d'autre. Les avenirs non advenus ne sont rien d'autre que des branches de son passé : des branches mortes." Italo Calvino - Les villes invisibles
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Par : le 24/05/13
Par un soir d'été, rien au programme nous buvons notre café, il fait chaud un regard, un sourire, la dernière à l'eau à un gage piscine a 27°, l'eau tiède sur notre peau tu as perdu, trop de temps avec tout tes froufrous ma tunique en deux temps j'ai enlevé nue enfin j'ai plongé le gage pour une fois que je le gagne pour plus tard te dis-je en souriant, je le veux drôle histoire que l'on rigole encore plus fort...... enfin détendu on sort mais la fraicheur nous surprend vite grelottante nous filons à la salle de bains tu frissonne toi qui vient du soleil je te frotte le dos, essuie chaque goutte un désir me surprend, celui de te toucher comme on touche une statue légèrement, lentement, ma main quitte la serviette, caresse ton dos tu ne bouge plus, ton sourire bloqué, les yeux fermés ma main descend lentement sur tes reins, je me colle à toi «tu n'as qu'une chose à faire obéir, » et te voilà prette à te retourner, mais pas assez rapidement je te bloque saisi tes poignets de mes mains, te plaque contre le mur, mon corps pousse le tien ma voix te murmure à l'oreille «tu savais que l'on y arriverait un jour» «maintenant tu vas filer sur le lit allonge toi sur le dos et attend» tu veux lutter, tu te retourne, me défie du regard mais là je comprend aussitôt ma main se dirige vers ton sexe, mes doigts te touche tu mouille abondamment je retire mes doigts, les lèches lentement «file maintenant» mon cœur tape dans mon corps, une vague de plaisir m’envahit l'envie de te soumettre me fais gémir j'arrive dans la chambre, tu es là ton corps couleur sable, encore humide, tes seins que je connais tu ferme les yeux....je sais c'est plus facile tu entends le son du coffre que j'ouvre, tu sais ce qu'il y a dedans je te sens fébrile, ton souffle est cours, tu as peur, cette peur qui fait du bien qui te fait vivre je sors quelques babioles, les disposent sur la commode en ligne mes mains commence par te toucher, les pieds je suis à genoux fasse à toi, lentement j'écarte tes cuisses tu résiste un peu, pour la forme mes mains remontent, caresse ta chatte si lisse, un doigt te pénètre lentement profondément, tu t'écarte, je continue un doigts, deux doigts, trois doigts tu résiste j'insiste, te maintiens avec mon autre main ma langue vient titiller ton clito, je te leche encore je sens tes muscle se relâcher sous mes doigts je te pénètre encore plus, tu gémis mais tu ne résiste plus je te laboure le vagin de ma main, il ne reste que le pouce à l'extérieur je me retire et écarte tes cuisses, je te contemple ouverte face à moi lentement je me saisis des menottes et t'attache les poignets sur la barre en tête de lit ma main caresse ta bouche, ma bouche la recouvre, ma langue te caresse les dents ton palais, je te mordille les lèvres «tu vas jouir , mais seulement quand je te le dirai» mes doigts pincent tes seins, j'y met les deux crochets, je tiens la laisse et je tire petits coups secs, tu te tortille «ne bouge plus» tu reste immobile là devant moi et je te contemple tes jambes se ressèrent petits à petits une claque retentis sur tes cuisses «écarte» une autre «encore plus» tes genoux pliés tu m'offre une vue de tes orifices luisant d’excitation je te caresse au passage, tire sur les pinces tu gémis de douleurs je te masse les seins, laissant tes bouts à la douleurs de l'acier encore un peu, mais je ne peux résister à l'envie de lécher tes auréoles si brunes si congestionnées, j'en profite ma langue, fait bouger les pinces ma main sur ton sexe, mon index qui presse ton clito, qui le tapote, le triture doucement, tu alterne gémissement de plaisir et petits cris je me remets face à toi a genoux sur le lit.......
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Par : le 24/05/13
combien d'entre nous on souffert de l'indifférence, beaucoup, trop certainement petit à petit c'est comme une gangrène, cela nous envahis, cela nous ronge de l'intérieur, on commence par perdre confiance en soi, on se remet en question pourquoi ? qu'ai je fait de mal ? Que n'ai je pas fait ? On redouble d'effort, mais rien n'y fait alors on attend le «coup de grâce» qui ne vient pas!!!!! on ne veut pas «lâcher l'affaire» on veut comprendre, pourquoi, pourquoi ca fait si mal, pourquoi on passe de «indispensable» à «inutile» et pourquoi on ne nous le dit pas en face, et là généralement arrive l'absence, plus de nouvelles «silence radio» c'est la fuite, disparaître parce que l'on n'a pas le courage, peut être pour nous avoir à l'usure !!!!! alors que simplement nous n'attendons que ces mots « c'est fini, terminé», indispensable pour permettre de tourner la page, mais non, il arrive souvent que nous devions prendre l'initiative, dernier sursaut avant de toucher le fond, s'amputer de l'indispensable sinon mourir, l'indifférence concerne tout le monde, que cela soit dominant, dominé, on abrège bien les souffrances aux animaux, alors prenez «vos couilles» ou «autre chose» a deux mains et hop un peu de courage!!!!!!! toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite
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Par : le 22/05/13
D'un fantasme à une réalité il faut peu de chose juste un homme, un Maître, juste Lui c'est le soir, la nuit est tombée, je marche dans une rue que je ne connais pas je sais que je dois vous attendre là,le temps passe, a chaque bruit je sursaute j'ai la gorge sèche, le cœur qui bat a tout rompre a 21h00 précise jem'arrête de marcher, je m'assois a même le sol et j'attends, tête baissée j'entends des pas,ils s'arrêtent tout prés de moi je sens une main qui glisse sur ma nuque, je sens sur mon cou se glisser un collier, il est installé sans ménagement, serré bloqué je ne bouge bas, je sens que vous me bandez les yeux vousrepartez et je sens que cela tire, j'ai non seulement un collier, mais une laisse y est attachée je me redresse, et vous suit, je traine un peu, je résiste, mais d'un main ferme vous me remettez dans le rythme de vos pas, et je suis, a chaque fois que mes pas me mène dans la mauvaise direction, je ressens un coup sec et j'aime çà, j'aime a flirter avec la désobéissance, et la j'en rajoute, j'ai besoin de vous tester, la claque retenti magistrale, elle me coupe le souffle, mes oreilles sifflent, je sent la chaleur envahir mon visage, je sais maintenant que vous ne tolèrerez aucune désobéissance Nous entrons dans un hall, des escaliers, je monte avec peine, vous êtes derrière moi, je vous ressent, je vous devine, je feinte ce qui me permet de m'agripper a vous de vous toucher, de sentir votre parfum, vous n'êtes pas dupe vous me connaissez mieux que quiconque, nous arrivons enfin, vous ouvrez une porte, nous entrons «A genoux», j'obéis à la seconde, vous enlevez ma veste «tends tes mains», j'attends, le temps passe vous vous mettez à l'aise, je sens que l'on pose quelque chose dans l'une de mes mains «allume là», c'est une cigarette et un briquet délicatement, je l'allume, je profite de cette bouffée car c'est votre cigarette vous me la reprenez, je vous entend marchez et fumer «tends les mains en avant, paume vers le ciel , ouvre la bouche et tire la langue» et je reste là, vous vous approchez «rentre la langue et avale» j'obéis, l'odeur de cendre envahie ma bouche, mais j'avale cette cendre vous terminez sa cigarette comme cela , et retirer mon bandeau «regarde moi» mon regard plonge dans le votre, j'ai toujours les mains tendues vous posez votre cigarette dans une de mes paumes «écrase là», je referme l'autre paume dessus fermement, je frotte mes mains l'une contre l'autre pour atténuer la douleur, mais en aucun cas mon regard n'a quitté le votre
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Par : le 17/05/13
comment accorder une confiance aveugle lorsque celle ci a été trahie a maintes et maintes reprises quand la confiance à disparue depuis tant d'année quand on se méfie au plus profond de soi quand on a banni ce mot depuis trop longtemps quand on a décidé de ne plus rien donner, ne plus rien offrir par peur, par protection quand on érige des barrières a tout sentiment quand on est devenu froide et insensible que mêmes les larmes ne peuvent plus couler quand on a vécu avec ce monstre froid tapi au fond de notre être quand on a pris l'habitude de ne plus faire confiance en l'être humain Puis arrive ce jour, ou tout est remis en question toutes ces protections tombent, involontairement, on a beau lutter c'est impossible il est là devant vous et on lui ouvre son être, la confiance lui est offerte entièrement, sans peur, sans regret on pense avoir perdue la raison et avec le recul, on comprend simplement parce que c'est lui, parce que sans lui on n'est rien qu'une coquille vide alors notre être se rempli de cette chaleur qui fait mal, ou les sentiments se bousculent, que toute cette souffrance accumulée disparaît alors on ferme les yeux et on suit sa voix, on se cale sur ses pas on sait que l'on peut a nouveau sourire, ou pleurer que la douleur que l'on va ressentir sera celle que l'on a choisie que le plaisir extrême va enfin arriver que sa perversité va combler la notre On se rend compte qu'il n'y aura aucun retour en arrière que cela causera peut être notre perte, mais qu'importe car Il a posé sur moi son regard Un regard plein de tendresse Il a posé sur moi un regard Un regard long de promesse Il a posé sur moi son regard Il m'a dit : «viens et suis-moi» Il a posé sur moi son regard Et m'a dit : viens, ne crains rien» et je le suis, je marche dans son ombre, sous sa protection, tête baissée, le cœur gonflé de ma dévotion, la route sera longue, je trébucherais peut être mais je ne m'arrêterais jamais
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Par : le 16/05/13
Notre rendez vous est fixé comme d'habitude dans son bureau, je suis prête depuis des heures, j'ai les mains qui tremblent, la petite boule dans mon ventre est réapparue. Cela fait deux semaines complètes sans se voir, sans se parler ( vacances vanille obligent). Je me gare comme à mon habitude derrière le bâtiment, mon cœur bat à 100 à l'heure, j'ai hâte, il m'a manqué, j'ai envie de sentir son odeur, de le sentir contre moi, en moi. Mes pas résonnent sur le sol en béton, les bips du code et enfin la porte s'ouvre, je retrouve cette odeur un peu aigre, la fraicheur des lieux, la pénombre aussi, j'allume. J'accroche mon sac sur la paterre, et me dirige vers le canapé, je jette un coup d'œil sur le bureau pour être sure qu'il n'y ai pas de consignes particulières.......... rien. Sur le coté du canapé se trouve une malle, une vielle malle, de celle que l'on voit dans les spectacles de magie, je suppose qu'elle à été oubliée par une troupe ayant fait intervention au club. Je m'installe sur le canapé et attend sagement, religieusement, j'ai hâte de le revoir, j'ai peur, peur de découvrir ce qu'il a pu encore trouver comme idée. C'est que MonSeigneur est inventif et les souvenirs affluent :….... table basse, descente de lit, déchiqueteuse a papiers, statue, et d'autre encore La sonnerie du téléphone me sort de mes songes « Comment vas ma petite pute» «bien Mon Maître» «tu vois la malle?» «Oui Maître» «Tu vas te mettre à l'intérieur» «Mais Maître, vous savez bien que j'ai peur d'être enfermé» Un cri me coupe la parole «ferme là, tu m'a compris, écoute bien ce que je vais te dire tu vas te déshabiller, entrer dans la malle, tu refermera le couvercle» «Oui Maître, et après?» «Je rêve ou tu viens de me poser une question?» «Excusez moi Maître» le bip bip bip résonne......Il a raccroché, je suis prise d'un angoisse terrible, je ne supporte pas les endroits confinés, une peur m’envahit petit a petit, j'ai peur, peur d'être enfermée, peur de ne pas y arriver, peur qu'il se fâche, peur de le décevoir. Il faut que je me dépêche, si il arrive et que je n'ai pas obéi, il sera tellement en rage Ne lui ais je pas juré une obéissance à toutes épreuves. Je me déshabille lentement, ouvre la malle, me glisse dedans, enfin non me plie dedans, je me mets accroupie, essayant d'être la plus petite possible. Mon dieu, je suis trop grosse, je vois bien que le couvercle ne retombe pas bien. J'entends les bips du code, il arrive, mon cœur cogne dans ma poitrine, l'humidité envahi mon sexe, je ne me retiendrai pas, je pousserais un gémissement, mais je n'ai pas le droit, silence doit être fait. Il s'approche, appuie sur le couvercle, la malle se referme, sa main passe dessus je l'entend il ouvre, regarde, sa main passe sur mon dos, ma nuque, ma tête est enfouie dans mes bras, il remonte dans mon dos, caresse mes fesses, glisse sa main, son doigt fait des va et viens de ma vulve a mon anus, je suis trempée. «Ta main» Tant bien que mal, j'extirpe le bras, et tend en arrière ma main, il saisit mon doigt, je plisse les yeux, il a piqué le pouce, il se baisse et introduit mon pouce dans sa bouche et aspire pour que le sang coule encore plus. Il repose ma main, me tapote la tête «Bien petite saloperie, maintenant je vais refermer le couvercle, et passer un bout de tissu dans les anneaux, dis toi bien que j'ai repéré comment c'était mis, si tu bouge ne serais ce que d'un centimètre je le verrai et tu aura droit à une sévère correction, et je t'informe que celle de la dernière c'était du pipi de chat comparé à ce que tu va prendre. Tu as compris?» «Oui Maître» Je suis terrorisée, je me remémore la dernière erreur, j'avais eu tellement eu peur que je n'avais pu retenir quelques gouttes d'urine, ce qui l'avait fait beaucoup rire et bander encore plus. Le temps passe, lentement, j'ai les sens en affut, je commence a avoir des crampes aux genoux, je me dandine doucement pour essayer de soulager un coté puis l'autre, je sens la crise de panique arriver, je me concentre et respire doucement, je suis trempée, a chaque fois que je soulage un genoux le frottement de mes cuisses me procure du plaisir. Je ne sais plus, j'ai perdu la notion de temps, 30 minutes, 1 heure, je ne sais, je me dandine de plus en plus, soulève parfois un peu les fesses, tout doucement, dés que je sens le couvercle, je me rabaisse mais il n'est pas loin qu'a 1 ou deux centimètres. Trop tard en bougeant j'ai senti le couvercle se lever, oh non mon cœur tape fort dans ma poitrine, je ne peux m'empêcher de pleurer, silencieusement , j'ai mal, la douleur dans mes articulations est insupportable chaque minute de plus et un défi, je veux sortir, mais je ne peux pas, enfin si peux mais je ne veux pas. Du bruit enfin il reviens, clic clac il déplie le canapé, mon cœur se gonfle de joie, a nouveau une vague humide inonde mes cuisses, il est là tout prés de moi, le couvercle s'ouvre «sors» Ce que je fais péniblement, en sortant de la malle je manque de tomber, mes jambes ne peuvent plus me porter, tétanisées. Il me rattrape, je me love contre lui, il me lève la tête, mon maquillage qui a coulé a du ravager mon visage, il passe sa main pour en étaler encore plus, il aime me voir comme cela. Il me pose sur le canapé, plutôt je m'écroule, j'ai mal partout, les jambes, les bras, le dos, le cou. Deux mots résonnent : «Musée Grevin» Je deviens inerte, je ferme les yeux, poupée de chiffon je suis devenue. Il reprend ma main, mon index me repique encore une fois aspire, je sais qu'il fera tous les doigts et que demain en travaillant a chaque touche que je taperais sur l'ordi je penserais à cela. Je suis auscultée, fouillée, léchée, pincée, mordue, défoncée, enculée, aucun son ne sort de ma bouche. Plusieurs fois il m'amène au bord de l'orgasme s'arrête, instinctivement je veux m'échapper, car je ne veux pas jouir car seul sa jouissance compte. A chaque fois la gifle part, cinglante qui me coupe le souffle, chauffe les joues et la tempe, il joue avec les limites s'arrêtant a chaque fois que mon corps cède. Je suis sur le dos, il me pousse un peu, ma tête sors et pend du canapé, ma gorge offerte, il écarte mes cuisses, me pénètre et commence un va et viens profond sa main s'appuie sur ma gorge, il accélère en même temps que sa main appuie, je ne bouge pas. Il se retire, me rajuste sur le canapé, se couche sur moi, se frotte, je sens son sexe qui joue à l'entrée de ma vulve, je suis trempée, ça glisse, il entre et sors je suis béante, il écarte mes lèvres avec ses doigts, mes jambes mortes le gêne un peu «écarte » mes cuisses s'ouvrent, mes mains passent sous mes genoux je tire et bascule un peu offre ma vulve et mon anus a vue, jambes écartées au maximum. Il me sodomise avec ses doigts, pendant que son autre main fouille mon sexe, me pince. Il attrape mon clitoris fermement entre le pouce et l'index , le roule le serre, la douleur est fulgurante, je crie, il serre plus fort, la douleur est insupportable, son autre main appuie sur mon ventre pour m'immobiliser, je me contracte, je ne sais plus qui de la douleur qui de la jouissance a été la plus forte. Je me détend, il se couche sur moi, «ouvre les yeux» je suis éblouie , je vois trouble, mon visage est trempé de larmes, de sueur, ses mains caressent mon visage, il m'embrasse doucement, me lèche, ses doigts entrent et sortent de ma bouche, il me pénètre lentement. Sa main se pose sur ma bouche, il accélère le mouvement, chaque coup et violent rapide, sa main qui recouvre ma bouche passe aussi sur mon nez, je ne peux plus respirer, je le regarde, l'air commence à manquer, mes joues se gonflent, une fois deux fois, rien n'entre. Mes yeux le supplient les siens m'observent, je ressens chaque coup de reins, mes mains s'agrippent a ses bras, mon corps se secoue des spasmes du manque d'air qui ne rentre pas, il jouis sa main se relâche, je reprend ma respiration, mon corps lâche et je me mets a pleurer , il me serre dans ses bras et me câline et m'embrasse longuement, il n'est plus que tendresse et douceur et je redescend tout doucement. Je suis au paradis
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Par : le 16/05/13
Ou ma vision d'une relation D/s (Navré pour les fautes la syntaxe, grammaire, tout ça tout ça, j'écris comme je parle et bien entendu c'est incomplet, ce ne pourrait être autrement) Je ne vais pas faire dans la Théorie, parce qu'en Théorie tout le monde aimerai y vivre, on le sait tous, tout ce passe bien en Théorie. Je ne peut établir une théorie sur une relation basé sur le schéma 1+1=3 (merci Mr Werber) je ne le ferais donc pas car c'est ainsi que je vois cela. Changez l'une des 1 et vous aurez un autre 3. Je vais me contenter donc de vous narrer quelques tranches de vie, la vraie, pas la Théorie, à vous d'en tirer vos conclusions, vous ne croyez tout de même pas que je vais vous mâcher tout le travail et régurgiter ?! Moi plus Vous égale Trois, à chacun sa part. Royo de son prénom Luis, pour ceux qui connaissent, il a évolué au fil du temps en même temps que moi ou moi de lui. Un Maître dans son art. Je ne le site pas sans intérêt. Adolescent j'étais cul et chemise avec une jolie blonde, nous passions nos été à nous affronter épée de bois d'une main bouclier de l'autre, nous finissions invariablement au sol, elle sur le dos mes mains sur ses clavicules. Ce n'est jamais allé au delà, nous n'avions pas eu le courage de nous exprimer, de parler, se confier. Il y a quelques années, les nouvelles technologies aidant nous avons discouru de tout cela, évoqué le passé, il y a eu des silences ... et tu m'as avoué avoir éprouver ton premier réel émois alors que d'une plume prolongeant ma main parcourant ton dos nu des épaules à la bordure du jeans, que je n'ai jamais vu plus bas que la naissance de tes fesses, je dessinai mes pensés. Elle est mariée, ne le quittera pas. Je ne veux pas d'une femme engagée, et ne suis pas briseur de ménage. Quoi que, j'ai conduit une amie très proche à divorcer d'un mari qu'elle n'aimai pas et à qui elle se sentait redevable, liée. Elle est remariée, maman et heureuse. Elle m'a assis par terre en m'annonçant que tout cela était de mon fait. J'ai appris l'impact des mots. Si je jette un regard en arrière sur mes différentes relations, peu en importe la durée, que ces femmes soient plus jeunes ou plus âgée que moi, je ne fais pas une fixation sur la jeunesse elle a ses promesses d'avenir, l'age à l'expérience et je suis assez souple en ce qui concerne l'écart dans un sens ou dans l'autre. Je peux noter une constante, elles on toutes (sauf une) un penchant D/s plus ou moins affirmé, mais toujours croissant en affirmation, en besoins de ... Et moi même telle les œuvres de Royo j'ai fais mon chemin, allant de même toujours plus loin, j'ai commencé par forger des menottes sans verrou, de simples bracelets, ouverts mais liés entre eux, et je continuerai, celles que vous avez pu voir sur mon mur sont une commande. Ou le choix d'être entravé reste au libre arbitre de la personne qui les porte. De sa Volonté. Celles sur fond blanc sont visibles sur mon site pro (pour diverse raisons, j'ai du fermer) Elles m'ont fait vivre de savoureux instants lors de foires et marchés, présentes sur ma table, et noter les différence de perception des chalands, jusqu'au sourires de connivences ... J'ai trainé mes basques sur des sites de rencontre vanille, rien d’extraordinaire. Un jour une miss passe en silence sur mon profil. Je vais voir, des photos ordinaires mais parmi elles une qui passerai pour quelconque à la majeure frange de la population, m'interpella, j'interpellai donc la miss. Moins de deux heures plus tard nous parlions D/s ... quelques semaine plus tard, un samedi rentrant du taf, une voiture venue d'un département non limitrophe stationnait chez moi. Ses fringues négligemment laissé tomber au sol tel que le petit Poucet l'aurait fait me laissait présager un futur agréable moment de partage. Je la trouvais donc allongées nue sur mon canapé, couverte de ma cape de polaire noire par mes mains cousus et usée par les médiévales. Couchée sur le flanc droit à ma demande de sorte qu'elle ne me vois pas arriver, elle ne m'a pas entendu non plus, surprise elle déposa le Prohibited de Royo qu'elle avait pioché dans la bibliothèque, j'ai levé son menton d'une main, baisé ses lèvres, défait ma boucle de ceinture. Je garde la suite pour moi. Nous n'avons à ce moment là pas échangé un mot. Nous avons cessez de nous voir quand je lui ai parlé de relation continue, elle souhaitait "une bulle", des séance quoi ... nous en avions parlé, j'ai fauté, je l'ai perdu. En fait non, nous ne cherchions pas la même chose, mais j'ai malgré tout voulu tenter les coup. J'ai compris que j'ai besoins d'une relation continue. Puis en vint une autre, rencontré ici, au passage cela fera dans moins d'un mois un an que je traine de manière irrégulière parmi vous, discrètement, à pas de loup, un peu plus assidument dernièrement, un peu plus mordant aussi. Une rencontre en un an, on me dit il y à peu ce propos "cela reflète il une médiocrité du site" je répondis que non, je suis simplement, pas pressé et pas grand consommateur, plutôt, fin gourmet. Belle, cultivée, intelligente, hautes responsabilité, une vrai D cette s là, et c'est la que le bas à blessé. J'ai pris une première claque quand elle c'est faite silencieuse, qu'à cela ne tienne, pour la première fois j'offrais une seconde chance, elle y répondit et je pris ma deuxièmes baffe quand elle se fit de nouveau muette. J'ai compris que je ne suis pas fait pour la soumination. Et il y a Toi. Et là, je vais vous confier ce Trois de nous Deux. Avec son accord bien entendu (merci de la respecter). Les noms sont remplacés, je ne vais pas vous faire l'outrecuidance de vous expliquer pourquoi. Elle lira certainement, commentera ou pas. Vous vous demanderai peut être ce que cet échange vient faire là, pourtant, cherchez bien, il contient sa part de vision. Parce ce que je partage très largement la sienne. Début de citation. Moi 4 mai (Il y a 10 jours) à Epona Bonsoir doux rêve! J'ai le sentiment que tu t'éloigne depuis quelques jours ... mon ascendant sagittaire optimiste met ça sur le compte de ta vie très occupée mais mon capricorne de base s'inquiète et oui le feu sous la glace ...et ce capricorne imagine que dans la rude concurrence de bdsm quelqu'un de plus proche lui a volé la place. Certes il n'y a rien mais il pourrait encore peu être ... alors je me raccroche à ces petites chose comme le soleil que tu m'as envoyé hier, l'ajout à tes cercle sur G+, des petits rien quoi, qui peuvent très bien n'être qu'une simple marque d'amitié pour ne pas perdre le contact ... bref je garde espoir et espère encore t'entendre et pourquoi pas que nous discutions de cette distance ... Te souhaite une belle soirée et un doux dimanche Bisou Epona 6 mai (Il y a 8 jours) à moi Bonjour Je te l'accorde j'ai été très lointaine ces derniers jours, j'avais besoin de faire le point d'une part, sur ce que je voulais vraiment d'une relation BDSM, et d'une relation en général, de ce que j'étais prête à y perdre aussi. D'autre part, j'ai également été très occupée, avec un gros coup d'accélérateur côté boulot, et pas mal de choses à faire pour mon voyage pro de cette semaine. Et bien que j'adore True Blood et sa BO, encore un point commun visiblement, je ne pense pas que notre relation ira plus loin qu'une amitié. Nous avons beaucoup de points communs, beaucoup de goûts communs, mais une distance bien trop grande. J'ai eu suffisamment de relations compliquées, longue distance ou autre, que l'on vit par épisode. Cela a son charme, on mène son quotidien comme on l'entend, on ne partage que les bons moments. Mais c'est lassant, en tous cas pour l'heure j'en ai fait le tour. J'ai envie d'autres choses, j'ai envie de partager plus qu'un week end ou une semaine de vacances. Et c'est encore plus vrai pour une relation BDSM. Nous en avions parlé, les jeux ce n'est pas mon truc. Vivre ma soumission quelques jours par ci par là non plus. Tu me diras qu'il est toujours possible de déménager. Ce à quoi j'ai deux objections. La première ce sont nos situations respectives : tu ne déménageras pas, et je le comprends, tu as tes attaches, ta famille, ton héritage, tes responsabilités électorales, ton fils. Je ne déménagerai pas. Je n'ai que peu de tout ce que tu as, mais je touche enfin à la réalisation d'un rêve qui m'a coûté tant de sacrifices, à tous les plans, que je ne le remettrai pas en jeu. J'ai tout perdu une fois déjà, ou presque, j'arrive enfin à un embryon de stabilité, mon ciel s'éclaircit et je commence à respirer. Et ça cela n'a pas de prix. La seconde objection porte sur le fait même de déménager pour une relation. Bien évidemment cela ne se fait pas du jour au lendemain. Sauf que vu la distance qui nous sépare, si un jour le sujet vient sur le tapis, ce sera alors que l'on n'aura partagé en réel que très peu de choses. Donc un énorme pari sur le fait que cela puisse fonctionner de manière plus continue. De plus, cela met une énorme pression sur la relation, de la part de celui qui déménage comme pour l'autre, l'investissement aura été tel qu'on ne veut pas qu'il ait été inutile. on se comporte différemment, on étouffe un peu, et cela risque fort d'exploser. Avec un coût immense. Je ne me laisse peut être pas assez de possibilités, je suis peut être rigide sur mes principes, mais j'ai déjà trop perdu une fois, je connais trop bien le prix. Tu me demanderas sans doute pourquoi j'ai discuté avec toi. Parce que c'était agréable, parce que quand tu m'as ajoutée en contact je ne pensais pas que c'était dans un but de relation, mais plus sur le plaisir de la discussion, la curiosité, en gros le fait de pouvoir discuter virtuellement de manière bien plus large qu'IRL. Une bonne surprise que cette rencontre virtuelle, et j'aimerais beaucoup que nous restions en contact, voir à l'occasion se rencontrer si je viens en vacances dans ma famille. Mais point de BDSM entre nous, à part en discussion. Je t'apprécie beaucoup, but we'll never do bad things together. Bises Elle Moi 6 mai (Il y a 8 jours) à Epona Bonsoir ! Je pourrait me battre, objecter, argumenter, mais j'ai moi même tout investi et beaucoup perdu pour ma passion jusqu'à finir à l'hôpital, aussi je comprend parfaitement ton point vue, et ne vois rien contre ce que tu avance. Et si un jour en vacances ou non tu voulais t'essayer au damas c'est avec grand plaisir que je t'enseignerai ce que je sais mais tu trouvera certainement plus proche en cherchant un peu. Il n'y a aucune raisons que nous ne restions amis, tu es une perle rare que je compte bien garder parmi mes contacts ! Si en plus tu me fait l'honneur de la primeur de tes shooting "osés" ... mais ça je ne peut l'exiger ... tu ne me doit rien. Si tu as besoins d'un regard extérieur masculin sur tes histoires bdsm n'hésite pas, ne fuit pas non plus le site où l'on s'est découvert sous prétexte que j'y suis, je ne t'y ferai pas d'ombre même si je garderai toujours un œil discret sur ce qui s'y passe mais sans intervention au delà du conventionnel. Vole haut belle forgeronne et réalise tes rêves, c'est tout ce que je te souhaite ! Farewell ! Bisous Epona 7 mai (Il y a 7 jours) à moi Bonsoir Mon délai de réponse reste long comme tu le vois, et mon voyage à venir en (somewhere) ne va guère l'améliorer dans les prochains jours. Je te remercie pour ce mail. Je n'ai pas l'intention de déserter BDSM à cause de toi, mais j'ai assez peu de temps en ce moment pour cela. J'ai quelques discussions en cours, hors du site, on verra bien. Pour les shootings... peut être pas la primeur, si un jour je trouve mon Maître, il en aura la primeur, mais je ne vois a priori aucun problème pour les partager avec toi. Pour se voir quand je passerai par (là bas), ce sera avec plaisir. Vraiment, j'ai vraiment envie de te rencontrer dans la vraie vie, et de laisser la conversation dériver et perdre la notion du temps. Bises Elle Moi 7 mai (Il y a 7 jours) à Epona Bonsoir Y a aucuns soucis, ma porte te sera toujours ouverte, je te souhaite de le trouver Ce Maître et je doute qu'il aura la primeur, ça me parait normal ! Enfin si jamais tu ne trouvais pas :p ok j'arrête :D Courage pour le taf et bonne de shooting Bises Moi 12 mai (Il y a 2 jours) à Epona http://www.youtube.com/watch?v=nS5Qn4ntV3E Beaucoup de petites choses étranges ces derniers temps, surtout depuis que tu t'es faite distante. Et bah voila tu me manque ... Je me suis battu toute ma vie depuis très jeune, pour moi, pour ma famille, mes rêves. J'y ai laissé mes économies, failli y laisser ma peau. Dans ces petites choses de ces derniers jours il y a pas mal d'échanges écrits ou verbaux, avec des personnes parfois sans rapport avec le milieu qui nous a mis en contact, et non moi non plus je ne m'attendais pas à trouver quelqu'un comme toi en engageant la discussion. Je me suis donc, toujours battu, pourquoi cesserais je ? Le risque d'un échec ... ils font grandir. Et si le jeux en valait la chandelle ? Le lien d'intro je l'ai posté hier soir sur bdsm suite à une intéressante discussion avec une miss un peu dans le même soucis que moi, quel choix faire, parler ou ne pas parler ... je lui souhaitais donc bonne nuit, après l'avoir un peu motivé à prendre son destin en main et lui parler à "son rêve", mais c'est en pensant à toi que je l'ai fait, au mien de rêve. Je crois qu'elle a un peu bouclé cette boucle, c'est toujours instructif de ce voir écrire à quelqu'un d'autre ce que l'on pourrait s'appliquer à soi même. Beaucoup voient leur soumise en soubrette, moi je la vois comme ça http://www.youtube.com/watch?v=euiykCwVvM0 Prête à tout pour son maître y compris se battre et mourir. Oui je suis exigeant et mes rêves peut être trop grands, inaccessibles, certains. Je ne veux rien moins qu'une guerrière, une reine, une déesse à mes pieds (et non je ne fais une crise d'égo ) T'en sentirai tu l'âme ? Arriverai tu à me faire bouger? Ouvrir un nouveau cycle. Là son mes réflexions. Baiser de braise d'un forgeron illuminé ! Epona 12 mai (Il y a 2 jours) à moi P...... Tu te trompes, je ne suis pas une guerrière, je n'aspire qu'à déposer les armes. Je suis une survivante, je vis au domaine de Marche ou Crève. J'ai choisis de vivre, et de faire un pas après l'autre quel que soit le prix. J'ai appris à endurer, à enfermer les mauvais souvenirs, à supporter la déception, la douleur, la souffrance. Et je rêve de trouver auprès de Mon Maître l'apaisement, cet endroit où je pourrai me défaire de cette armure rationnelle qui m'empêche de vivre, de respirer. Celle qu'on ne cesse de me dire de retirer, mais c'est impossible, si je l'enlève je tombe. Et aujourd'hui nul ne me retiendra et je me briserai. Alors je serre les dents et j'avance. Je serre les dents et je demeure écorchée sous ma carapace, j'encaisse mais je saigne longtemps après, je fais mine de rien mais un rien peut me transpercer, sans même le vouloir. Tu connais Royo, alors tu vois ces femmes à la fois guerrière et saignant des épines qui les transpercent. C'est moi, une armure extérieure, une impression de force, mais qui recouvre simplement une plaie à vif, ravivée sans cesse. L'armure en elle même est similaire à ces cages de tortures hérissées de piques intérieures. Je rêve sans trop d'espoir de celui qui l'enlèvera, qui guérira la blessure en m'apaisant de sa main, qui n'aura pas peur de mes démons, qui saura me protéger de lui pour que je puisse enfin me livrer totalement. Mais je doute fort de le trouver un jour... En attendant, j'arrive enfin à un embryon de sécurité, un petit noyau, un semblant de vie normale. Et quelque soit mon aspiration à me soumettre, elle sera toujours moins forte que l'instinct de protéger cela, de garder ma base de repli. Je ne pourrai même me soumettre qu'en ayant cette certitude d'être indépendante par ailleurs. Je crains d'ailleurs que cela ne rende impossible ma soumission, car je ne quitterai pas ce que je bâtis et qui prend enfin forme. Et comme je te l'ai dit, je n'accepterai pas non plus que quelqu'un joue sa vie sur un coup de dés, car c'est cela croire en une relation à distance au point de déménager. Je n'accepterai pas cela d'une personne que j'apprécie car je refuse de la voir malheureuse. Je n'accepterai pas cela pour ma relation car elle sera à coup sûr ou presque condamnée par excès d'attente d'un côté, excès de culpabilité de l'autre. Je l'accepterai d'autant moins que je l'ai déjà vécu, il a renoncé à sa stabilité, et nous avons tous deux tout perdu. Il a renoncé à sa vie bien rangé et il a failli m'ôter la mienne de bien des manières, il l'a ôtée de bien des manières. Et j'ai accepté car il avait tant sacrifié. Et jamais je ne veux ressentir cela, accepter, continuer parce qu'il a tant sacrifié. Ma soumission, et même toute relation ne peut exister que dans le respect des individualités, sans les détruire. Et c'est effectivement plus dur quand on a une vie plus installée, quand on a déjà construit, et quand les personnes qui partagent nos goûts sont rares. Je ne te ferai pas bouger, pas ainsi. Dans nos échanges, nos discussions, avec joie. Mais pas ainsi. Avec toute mon amitié Elle Moi 12 mai (Il y a 2 jours) Epona Si j'aime royo c'est justement pour ce que tu en décris, il a choisi les femmes pour thème mais Ô combien ça me touche ... c'est dans l'esprit que je cherche quelqu'un de farouche, oui ton besoins d'indépendance pourrait rendre ta soumission difficile, vois tu je disais à Paradoxal que je ne pourrais prendre de soumise qui ne soit indépendante qui soit capable de l'être et d'entreprendre comme tu le fait. Tu l'est guerrière, et comme moi qui suis me continuellement battu tu aspire à la poser cette armure, la mienne est tellement fissurée que j'ai de plus en plus de mal à la garder sur le dos les réparations sont souvent plus longues, parce qu'à la longue elle c'est quand même renforcé et que lorsque ça passe au travers ... J'arriverai à vivre en te sachant loin, convenant que trouver le mix de ce que nous sommes relève de l'improbable .... il fallait que je le dise, quitte à ce tu me répète des arguments que j'ai déjà reçus pour justes. Demain est un autre jour, cette Lune va bien finir par finir de tourner. Nous nous verrons à tes vacances ici Prends soins de toi avant tout ! Et merci pour cette amitié ! P...... Moi 12 mai (Il y a 2 jours) à Epona Et plus terre à terre quand tu auras les photos du shooting penses à moi Bonne soirée! Fin de citation. Avant hier matin je recevais buvant mon café une photo de ce shooting, agréable surprise. Ce matin encore à mon levé, une bien belle image... Un peu plus tard je t'ai demandé par sms l'accord au partage de ce fil, tu me l'as donné, puis j'ai entendu ta voix, ... J'espère que mes paroles ton aidé à faire un point sur tes tourments, en tout cas à te lire en cette fin d'après midi il semble que tu ai fait le tri dans les chemins qui s'offraient à toi. Merci d'exister. Hier j'ai forgé, la faim au ventre, c'est ainsi, ça passe par là, parfois, et principalement voir en fait toujours quand il s'agit d'un article bdsm. La paire de menottes que vous avez pu voir est incomplète, j'ai pour principe de recycler, partir d'une pièce usée par son vécu et en extraire ce qu'elle voudra bien révéler, à contrario de l'école conventionnelle qui veux que l'on parte d'une matière prédéfinie pour en obtenir un résultat parfaitement Maitrisé. L'axe était un long loquet de porte, combien de mains l'on poussé, tiré, malmené? Qu'a t il surpris que cachait à la vue sa porte ? Du chocolat, de la vanille ? Ou de la farine qui sait ? La pièce manquante la voici. Je n'ai retravaillé que les oreilles, supprimant le surplus inutile, le délestant de se qui l'encombrait. Visiblement il voulait parler, cette partie devait faire office de poignée, cet acier est vieux, de type puddley, il se travaille avec délicatesse et toujours à la bonne température, j'ai manqué d'attention, il c'est fendu, j'ai bien tenté de recoller les morceau, mais en pure perte, l'animal était vexé, il est tombé. Parallèlement dans le temps voici ce que j'ai écrit à l'une d'entre vous S. "Et que ce soit xxxx ou moi nous ne cherchons pas l'autorité pour l'autorité. Ce n'est qu'un moyen pour une fin. Tirer le meilleur de ceux qui veulent s'en donner la peine, sur les chemins que l'on a choisi d'arpenter" Ceci dit on me reconnait volontiers une certaine autorité naturelle. Autant la mettre à profit et si ça aide autrui. Lisez, commentez, mais n'attendais pas de retour de moi. Au mieux vous aurez un like, au pire un dislike, probablement ... rien. Il y a dans tout ceci des choses qui pourraient avec un peu de doigté, me révéler à mes pairs, proches voisins, et ? Certains savent, nombreux sont ceux qui soupçonnent, je suis qui je suis, je l'assume, n'en fais pas étalage par convenance et parce qu'il faut parfois se plier au politiquement correct de notre société. Quand la caissière de ma papèterie favorite m'a envoyé un sms me disant que je donnais trop de fessé je lui répondu, "ou pas assez". On se fait la bise, mais n'avons jamais pris même un café, on se croise très souvent, je me fou qu'elle sache et qu'elle puisse raconter. Et elle en vois, du monde que je connais. Quand à toi, oui toi, toi qui m'a ouvert cette porte à mon ouverture, m'a réveillé, je ne puis que t'en remercier. c'est chose si rare chez moi que wouaaa ça fait du bien! Mais de grâce, à m'insulter, ai le courage de le faire en face sans perturber celles qui me sont chère à coup d'sms nocturne pour te servir de messager, épargnes leur ta vilénie respecte au moins leur vie et leur choix. Mais pour qui te prends tu ? Dieu le père ? toi oui toi, regarde moi dans les yeux et dis toi... que je te vois. A tous, je vous souhaite de réaliser vos rêves. A vaincre sans périls on triomphe sans gloire. Un loup.
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Par : le 12/05/13
Parce qu'il est bon parfois de ressortir des vieilleries ... et que je n'ai encore rien posté ici. Il était là. Devant cette porte lisse et sans serrure, il n'y avait de toute évidence pas d'autre issues. Le signal passait au travers, si fort qu'il en avait déjà franchit huit, comme autant de semaines à déjouer leurs mécanismes, la neuvième serra-t-elle la dernière. Ses références et la présence de cette statue d'humanoïde à tête de bouc assise sur son trône l'incite à croire que oui, mais que fait donc là ce lapin sur les genoux d'un dieu ou ce qui s'y apparente. Question de culture se dit-il, manger dans la main d'un dieu ne lui plait guère et ne sied pas à côté dominant. Sa nature magique même, bien qu'engendrant une certaine voracité, lui soufflait que ce pourrait être une clé, hors de question donc de se repaitre du petit animal. Il avait déjà plusieurs fois feuilleté le grimoire des ses pensées mais n'y avait pas trouvé de note pouvant l'aider, pas de pilules bleu ou rouge qui aurait animé ce lapin blanc et qu'il aurait suivit par delà cette porte. Les inscriptions sur le piédestal ne l'aidaient pas non plus, sinon qu'il en émanait une certaine souffrance, égale à ce que peu promettre l'être qui les surmonte, angle de vu ce dit-il encore une fois. Perspective, le mot lui claqua entre les crocs, il se souvint que tout les rayons du spectre lumineux ne sont pas visibles de face, l'oeil est ainsi fait qu'il se protège. Il avait donc la porte et la clé, restait à trouver la serrure. Il tournait en rond, les paroles du dernier être surnaturel qu'il avait croisé lui revinrent, "tu es là" avait-il dit faisant suivre à son doigt le bord d'une spirale se refermant. Certes, un jour le centre serra atteint ! Mais le lumineux avait aussi ajouté, pointant cette fois ci son index sur le plexus du loup-garou "c'est fermé, là, tu n'atteindra ta véritable puissance que lorsque ce sera ouvert". Il tripotait l'anneau brisé, gravé du carpe diem, usé par ses nombreux voyages, qu'il portait en pendentif, surmonté d'un disque d'argent pur, présent du vieil illuminé, toutes les mythologies ne sont donc pas bonnes à croire mais il le savait déjà. Illusions donc, cercles est disques s'imbriquaient dans son esprit, il lui fallait en sortir, cesser de tourner en rond, la solution serait la. La fissure de son petit anneau accrocha sous son doigt. L'énigme des mots gravés sous la statue se révéla. Son regard se braqua sur le lapin blanc. Dans la périphérie il perçu la serrure. L'espace et le temps se lièrent. Il plongea.
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Par : le 12/05/13
Nous avons tous et toutes notre histoire... celle qui explique le pourquoi-comment de notre venue dans cet univers du BDSM. La raconter ici, sous le couvert d'un pseudo... pseudo qui donne une certaine forme d'anonymat peut être source de délivrance et les lire peut être source de compréhension... d'enrichissement... d'ouverture d'esprit. Alors pourquoi ne pas les raconter, non pas pour les donner en pâture, mais bien plus pour faire prendre conscience que derrière chaque «costume et masque» de Maître(sse) et de Soumis(e) il y a, avant tout, un homme... une femme... et un vécu. Et puis, il y a les histoires qui sortent de l'ordinaire (ce qui ne veut pas pour autant dire qu'elles soient extraordinaires)... Non !...pas tant l'histoire en elle-même... mais bien plus son cheminement. Voici la mienne... Afin que vous compreniez mon cheminement, je dois remonter jusqu'à fin août 2009 environ. J'ai rencontré un homme duquel je suis tombée amoureuse. Nous nous sommes fréquenté pendant presque 4 mois et ce en faisant quasiment du 24/24 heure ensemble. Et au 5ème mois nous nous sommes mariés. 10 ans de mariage dont 9 en enfer, et deux enfants que j'aime par-dessus tout. Cet enfer je ne l'ai pas vu venir, il est entré dans ma vie par la petite porte, tout doucement... comme sur la pointe des pieds. Au commencement, au premier jour, il y eu les insultes... pas tous les jours... mais qui à force devinrent récurrentes. Elles finirent par faire partie de mon quotidien au point que cela en était devenu ma normalité. Au deuxième jour, à la violence verbale... la violence physique fit son apparition. Les symptômes en furent les côtes cassées... les contusions... les hématomes... et j'en passe. Au troisième jour, à la violence verbale et physique... survint le viol. Au quatrième jour, du viol une vie pris racine. Au cinquième jour, à moins de 3 mois de sa future venue au monde, à force de violence physique, cette vie quasi formée rendit son dernier battement de cœur (in utero). La culpabilité est chose étrange... au réveil à la maternité je n'ai pas su dire que ma fille était morte en moi à cause de la violence de mon mari. Les seules mots qui sortaient de ma bouche étaient:«C'est de ma faute!» et je le ressens toujours ainsi, car j'aurais dû protéger ma fille... je n'ai pas fait mon devoir de mère, ce devoir qui impliquait que je me devais de protéger cette vie qui était en moi. Au sixième jour, vint la séparation accompagnée du tout dernier sursaut de violence physique. Ce dernier sursaut de violence de la part de celui qui était déjà légalement devenu mon ex-mari m'a valu d'avoir de multiples fractures et fissures aux deux mâchoires sans compter les dents cassées. Pour les 3ème, 4ème et 5ème j'aurais voulu pouvoir vous dire les choses mieux que ce que j'ai pu vous dire, mais je n'en ai pas le droit vu que ces affaires sont encore en cours, elles sont, actuellement, au pénal. Mon avocat se «bat contre moi» à cause de mon sentiment de culpabilité et de bien entendu, l'avocate de mon ex-mari utilise ce même sentiment contre moi en le mettant à faveur de mon ex-mari. J'arrive tout doucement à la troisième année de bataille juridique, je ne pourrais même pas vous dire par et chez combien d'experts je suis passée... je sais juste que j'ai appris à être patiente et que ma patience est sur le point de payer. Durant ces six jours (qui ont comme équivalence temporel 10 longues années) pour cet homme qui fût mon mari, de l'amour je suis passée à la haine et de la haine, en faisant une halte dans le grand Domaine du Pardon, j'en suis arrivée à l'indifférence. Et au septième jour, vint la nouvelle rencontre. D'abord dans le monde du virtuel... puis pour finir dans celui du réel. C'est une journée ensoleillée et je me rends à l'endroit convenu... à la terrasse d'un restaurant situé dans un parc public. Je prends place à une table... tiens les tables sont numérotées... cool je lui envoie un sms avec le numéro de ma table...je commande un café et j'attends en observant la foule... en observant les gens... un homme attire mon regard... ses mouvements sont fluides comme ceux d'un danseur... je ne le connais pas et pourtant je suis charmée... sa fluidité de mouvement m'enchante. Et voilà que cet homme prend une chaise de la table d'à côté et après l'avoir déplacée vers ma table s'y assoit...et dit: «Salut!» On discute de tout et de rien... on joue même au «détective policier»... LOL Le temps passe trop vite... il est déjà l'heure que je m'en retourne chez moi... sur le chemin du retour je me dis «Laisse tomber... tu n'es pas son genre.» Mais on se reparle... il est pris ... je demande un temps de réflexion. On continue de se parler... on se revoit... et je pose des règles «Si l'un de nous tombe en amour on doit... on devra stopper tout net la relation.» On est d'accord tous les deux... dans la théorie cela semblait si simple, si facile mais dans la pratique c'est autre chose car dans cette foutue pratique l'Amour est venu... et ironie des choses, c'est en moi qu'il est venu le premier... moi qui avait eu l'outrecuidance de poser des règles, comme si l'on pouvait, d'avance, commander les élans du cœur. Mon amant (?!) est tendre, doux, attentionné, à l'écoute. Il me fait doucement reprendre confiance en moi, parfois facilement, parfois difficilement... et plus le temps passe et plus je l'aime... et plus je l'aime et plus je me libère... il libère mon corps tout en emprisonnant mon cœur. L’Amour règne en maître et ce des deux côtés. Mais voilà, que les jours, les mois passant, cet amour me devient souffrance... je veux plus que ce qu'il peut (et pourra) me donner. Alors JE décide de mettre fin à la relation. Je n'ai pas le choix, je l'aime... oui je l'aime... mais j'ai trop mal quand il s'en retourne chez lui et je ne veux plus de cette souffrance. Donc oui JE décide... sauf que je suis prise au piège... avec lui je ne pourrais jamais vivre et sans lui je ne vis plus. On souffre les deux... on s'éloigne l'un de l'autre... et on revient l'un vers l'autre, pour une dernière fois... enfin en théorie... mais la théorie... ben c'est que de la théorie. Bon sang, il doit bien y avoir une solution... un moyen qui ferait que je ne l'aime plus quitte à en arriver à le détester... ne plus l'aimer, le détester pour pouvoir le quitter sans souffrance. C'est là que j'ai repensé à mon ex-mari... au fait que je l'ai haï à cause de ce qu'il m'avait fait subir... et je me suis dit que si mon "amant" pouvait me faire la même chose par la force des choses je le détesterais et que donc il me serait ainsi plus facile de couper court à la relation. J'ai donc laissé le choix à mon «amant»... soit il acceptait de changer de registre soit il sortait définitivement de ma vie... dans un cas comme dans l'autre je pensais en sortir gagnante. Mon amant a accepté, pour ne pas me perdre, ma demande... Dans ma conception de cette relation version BDSM aucune limite aucun tabou. Je ne lui donne rien... Il veut ? À lui de prendre ! Je «suis» donc dans le registre de la constante insoumission et de la rébellion avec les conséquences que cela impliquent. De plus je ne lui faciliterai guère les choses vu que si j'y arrive, au moment même où sa vigilance baisse, je n'hésiterai pas à lui faire mal (mais ce sans le marquer). Dans ma tête tout est clair... c'est certain ainsi je vais le détester... et enfin je pourrais le quitter. Oui, mais c'était sans compter que dans la vie les choses ne se passent pas toujours comme on l'avait imaginé. La théorie... toujours cette foutue théorie!!! Donc arrive le jour J... ma première séance... Et M....! Malgré le fait d'avoir été contrainte par tous les moyens... il se trouve que je n'ai jamais ressenti un tel plaisir... ni une telle sensation de Liberté... ce fut une véritable révélation... Oui! Je me sens Moi... je suis Moi... Moi en entier... Moi en accord avec Moi. Depuis je n'ai qu'un désir... devenir véritablement une soumise aussi bien de corps que d'esprit. Vous pourriez penser, en me lisant, que je joue un jeu dangereux... un jeu destructeur... et ce pour nous deux. Il en est rien... cette relation BDSM me donne la force de gérer «son absence»... et cette «gérance de l'absence» est devenue un vecteur de plaisir. Ainsi était ce que je pensais et ressentais il y a encore 4 mois (environ) de cela mais depuis je me suis rendue compte que le jeu est destructeur... et il est à cause des motivations premières... de mes propres motivations... j'essaie de faire machine arrière... car si tout est juste les deux derniers paragraphes ne le sont plus... et que si je n’arrive pas à faire marche arrière je sais aller droit dans le mur. Ma question sur le forum en est l'illustration même... une chute libre avec parachute mais sans en connaître le fonctionnement d'ouverture. Mais comme me disait ma référante, le pire à faire dans une situation d'urgence est de céder à la panique... alors j'essaie de garder la tête froide.... j'ai dit j'essaie! Et j'ai réussi... nous avons réussi mon Maître et moi... Rebelle
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Par : le 04/05/13
COUP DE GUEULE - Edito Sur les clichés de ce qu’est la représentation de la Soumission, et en particulier la Soumission féminine….car Je trouve que seules les très jeunes femmes (et Je n’ai rien contre elles) font l’objet du « beau » sur toutes les images que nous recherchons et trouvons, Je suis comme amateur d’images BDSM, le premier concerné d’ailleurs ! C’est, hélas, le mal de notre société qui se reflète aussi dans notre Domaine ! N’y aurait il justement pas une plus grande place à faire à la maturité, valable dans les faits comme sur les images, qui se doit d’être justement compte tenu de la complexité de ce Domaine…or rien ou très peu…seulement le soi disant « beau » au travers les images de la jeunesse ! Jeunes, nous l’avons tous été, et des jeunes il y aura encore après notre passage, mais la logique veut que nous la perdions pour acquérir autre chose de bien moins éphémère et de plus consistant, au fil du temps !Alors sachons apprécier ces beaux corps et belles attitudes de soumises « matures » ! Alors oui, il y a de beaux clichés où la jeunesse éclatante permet de magnétiser la plupart des regards, mais faisons aussi une part belle à en trouver avec des soumises d’un bel âge (over 35/40 à Mon sens), elles sont toutes aussi belles et d’autant plus car la plupart du temps, c’est au travers d’une longue réflexion mûrement réfléchie qu’elles sont près de nous et nous servent si bien ! Paroles d’un vieux Maître un peu révolté….ça Me rappelle Ma jeunesse, de l’être !
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Par : le 03/05/13
Les murs ont des oreilles.... Si ils pouvaient parler, ils diraient qu'ils ont entendu son doux gemissement quand il l'a touché... Sa voix ferme et charmeuse en lui parlant. Les différents cries qu'elle pousse quand Il l'a touche... Le claquement d'un martinet sur sa peau... les plaintes de douleur à peine audibles... Leurs respiration se faisant plus forte. Ses soupires de plaisir, et leurs jouissances eclatant enfin... Les murs ont des yeux.... ils pourraient dire comment elle se mord la levre dans l'attente de ses caresses... Son corps se raidissant sous les coups d'une badine...Son regard quand il la fouette... Ses yeux qui ne le quitte pas quand il la pocéde... Son sourire quand enfin elle jouit... Les gestes qu'ils ont l'un envers l'autre... Son visage d'ange et ses yeux de salope... Son expression diabolique quand il la regarde... Les murs ont une peau... Ils pourraient dire qu'ils ont ressenti son dos plaqué contre eux... ou alors ses mains en appui... La chaleur qui s'en degage. Sentir la dentelle d'un sous vetement... Le souffle d'une respiration... une etreinte plus douce quand ils sont épuisés... ou celle plus fort pendant leurs ébats... Les murs ont un nez.... Ils pourraient dire comment elle sentait bon le gel douche et lui le savon et la mousse a raser... comment l'odeur de la piece s'est changé... Les effluves des bougies allumées... Celles des cordes caressant sa peau... les murs ont une bouche.... Ils pourraient dire le goût salé de leurs deux peau... celui de leur salive echangée... le doux-amer de leur intimité... Mais voila, les murs n'ont pas tous ca et ils ne livrerons pas leurs intimités si precieusement gardées....
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Par : le 29/04/13
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être : - Sûres - Saines - Consensuelles Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger ! Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré ! Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE. Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : le 23/04/13
La fessée aux orties fait peur autant qu'elle fascine. Elle renvoie à des gravures anciennes de fillettes fouettées, à toute une littérature qui faisait la part belle à la flagellation aux orties. Je vous parlerai ici de la flagellation (mot terrifiant) aux orties appliquée sur les fesses dans le cadre de jeux de fessées ou BDSM appliquée à une "punie" qui bien évidemment joue son rôle de "punie" volontaire en quelque sorte. N'y voyons surtout pas l'apologie d'une violence faire aux femmes mais de jeux en adultes consentants et complices. Certes, il faut reconnaître que la vue d'un derrière bien fouetté aux orties, couvert de cloques blanchâtres, rougi, impressionne toujours. Les cloques rappellent aux spectateurs de douloureux souvenirs quand enfants, les mollets accidentellement piqués par quelques orties, ils rentraient à la maison en pleurnichant. On plaint alors de tout cœur la pauvrette au derrière couvert de terribles cloques parcouru de crispations et de frissons nerveux, qu'on suppose livrée aux affres d'une torture sans nom. En fait, passés les premiers effets des orties, la fessée n'est pas si désagréable qu'on l'imagine: loin de là ! Voici pourquoi. Le dessous des feuilles et des tiges des orties est garni d'une multitude de poils urticants qui secrètent un liquide contenant de l'acide formique et des enzymes analogues à ceux de certains venins de serpent. Lors de la fessée aux orties, le contact des poils urticants avec la peau diffuse dans celle-ci ce "venin" et on ressent alors comme des centaines de piqûres sur le coup parfaitement insupportables. Aïe... ça pique !!!!!!!!!! épouvantablement, si bien qu'à la première application des orties sur la peau de la "punie", celle-ci fait immédiatement des bonds et pousse de hauts cris et généralement s'écrie: (surprenant non ?). C'est pourquoi il est recommandé de ficeler auparavant solidement "la punie", ce qui donne davantage de piquant, si j'ose dire, à la mise ne scène et décuple l'angoisse de la "patiente' tout en s'assurant que le film ne s'interrompra pas avant la fin. Aux premiers coups, la peau fouettée s'empourpre et la douleur immédiate est extrêmement intense au point que retenir ses larmes et ses supplications est difficile. Les fesses se mettent à danser, tentent d' échapper aux piqures, sont parcourues de crispations. Je n'ai jamais vu un derrière rester stoïque ni une "punie" rester muette sous les premiers caresses! Les témoins d'une telle fessée sont horrifiés par le spectacle de la pauvrette qui tord désespérément ses fesses en tous sens et supplie qu'on arrête. Non seulement l'agitation et les supplications de "la punie" sont impressionnants mais la vue des fesses rapidement couvertes d'innombrables petits points rouges qui se transforment aussitôt en petits monticules blanchâtres qui ne cessent de grossir, incite à penser que la souffrance est insoutenable. On n'a pas tord, d'autant qu'il n'est pas rare qu'une "punie" peu aguerrie à ce genre de caresse laisse échapper ses larmes . On la plaint beaucoup. Mais...mais... mais... s'il est vrai que dans les premières minutes la souffrance réellement intense, dans les suivantes un phénomène curieux va convertir la douleur en plaisir. Si, si ... Celle-ci se dissipe assez rapidement car toute la zone fouettée est lentement anesthésiée. La sensation de "piqûres" s'estompe et la punie finit par ne plus ressentir qu'une énorme chaleur qui embrase ses rotondités et va petit à petit insensibiliser la peau aux effets "piquants". Cette chaleur intense et anesthésiante diffuse dans les alentours de la zone fouettée et précisément dans les zones érogènes voisines si bien que les supplications de la punie font bientôt faire place à de douces plaintes. Il est toujours extrêmement étonnant pour le néophyte ou le "Maître" débutant de constater que "la punie" qui aux premiers coups suppliait et se tordait dans ses liens, semble très vite supporter la poursuite de la fessée jusqu'à désirer celle-ci une fois la douleur apaisée, apprivoisée et la peur surmontée. Il ne faut jamais se fier aux paroles d'une femme fouettée mais uniquement à lecture de ses fesses. Dès lors que celles-ci cessent de se crisper et de se tordre c'est que le plaisir d'être "punie" est là. Quand on voit des fesses qui ondulent délicieusement et s'offrent complaisamment, on peut continuer la fessée. Les vertus aphrodisiaques des piqures d'ortie connues depuis l'antiquité pour stimuler le désir, lutter contre la frigidité, l'impuissance...etc, s'expriment pleinement et la punition devient plaisir. Alléluia ! Objectif atteint. Car dans les jeux BDSM, et vous l'avez compris, il ne s'agit nullement de "punir" et encore moins de "torturer" mais de donner à chacun du plaisir. C.Q.F.D Il m'est arrivé de retourner cueillir de nouvelles orties à la demande d'une de mes partenaires pas suffisamment fouettée à son goût et qui appréciait particulièrement la caresse des orties au plus secret de son intimité. J'ouvre ici une parenthèse pour dire que la fessée aux orties peu de se transformer en fouettée aux orties sur les seins ou sur le triangle de jambes bien écartées et pour l'avoir expérimenté, la flagellation aux orties de ces zones oh combien sensibles produit des effets secondaires surprenants.
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Par : le 22/04/13
Saint Barth le 5 aout 2010, Ce jour là où Justine était partie faire une promenade en bateau, je restais seule à la villa. Installée dans une alcôve au bord de la piscine, Sylvestine, la gouvernante vint me demander si je voulais un massage. « Oui, volontiers, c’est vous qui le faite ? » « Non » me dit-elle, « c’est le professeur, » « le professeur c’est qui ce monsieur ? » « Bien, c’est Bartemy le coach, dit le professeur », me répondit-elle avec son accent créole et un soupçon d’agacement. Mais c’est bien sûr, c’est évident pourquoi je n’y avais pas pensé plus tôt. Elle partit et revint quelques minutes plus tard avec « le professeur » Ce grand black, était torse nu, avec des traits de visages très fins, si je voulais faire une comparaison, je dirais qu’il ressemble à un présentateur d’un certain journal télévisé. Ca changeait tout, mais pourquoi pas, et j’acceptais. Je m’équipais d’une serviette autour de ma taille et suivis l’homme dans la salle de sport, je m’installais sur le ventre sur la table de massage, je calais ma tête dans le coussin creux, il m’enduisit le dos d’une huile très parfumée et commença de me masser. Ses mains étaient douces, il faisait cela en vrai professionnel. C’est peu être pour cela qu’on l’appelait « le professeur ». Au bout d’un moment, visiblement ma serviette le gênait, et sans me demander mon avis, il la retira. Je me retrouvais nue les fesses à l’air. Il continua son travail, mais n’ayant plus d’obstacle, je sentais ses mains descendre sur mes fesses, me masser l’intérieur des cuisses que je serrais le plus possible, descendre sur mes jambes puis remonter en n’oubliant pas au passage un petit détour entre mes jambes. Après un quart d’heure côté pile, il me fit mettre côté face. C’est alors que je m’aperçus ce que je ne pouvais pas voire avant, ayant la tête dans le coussin creux, c’est qu’il était complètement nu! Il sourit en voyant ma surprise et il me dit, « il fait chaud, je suis plus à l’aise comme ça ». Comme si tous les masseurs se mettaient à poil pour masser leurs clientes. Il recommença la même opération sur mes seins, mon ventre, l’intérieur des mes cuisses, trouvant d’ailleurs qu’elles étaient trop serrées, il m’écarta les jambes d’un geste autoritaire. De ma position, j’avais une vue imprenable sur son sexe au repos, mais d’une taille plus qu’acceptable et de surcroit complètement épilé. Mon éphèbe, entrepris alors de me masser une partie particulièrement sensible aux caresses, la naissance de mon sexe, juste au dessus de mon clitoris. Je commençais à perdre pieds, et ouvrait inconsciemment mes cuisses. Il n’attendait que cela, pour pénétrer un doigt, puis deux, dans mon sexe, et me masturber délicatement. Il faut dire qu’après plus d’une semaine passée entre les bras d’un seul amant, j’avais du mal à résister à ses avances. Je percevais un début d’érection chez mon masseur et puisque de toute façon ça se terminerais par une partie de baise, je décidais de l’encourager dans le développement de son sexe, je le prenais dans la main et commençais à mon tour un doux et long vas et vient, qui provoqua immédiatement chez lui une érection digne de celle que j’avais connue lors de soirées avec des blacks. Il me demanda de me remettre sur le ventre, mais au moment ou j’allais remettre ma tête dans le coussin creux, il présenta son sexe juste devant ma bouche. Le message était clair et j’avalais son membre tendu à l’extrême. Il me tenait la tête et il se branlait entre mes lèvres. Je ne sais pas combien de temps cela à durer, mais il avait une résistance à la jouissance hors norme. Puis trouvant que ce petit jeu avait assez duré, il monta sur la table, se couchât sur moi, écarta mes jambes et me pénétra d’une seule poussée. J’avais l’impression d’être complètement coupée en deux, puis il accentua le rythme de ses pénétrations. Je sentais son sexe taper au fond du mien, ses testicules se frotter contre mon clitoris, et il continuait de plus belle. J’explosais en orgasmes à répétition, et quand il jugeât que j’étais prête pour l’assaut final, il jouit à son tour en de longs jets brûlants. Il se retira, je restais dans le vague, incapable de bouger, tellement j’étais bien. Debout devant moi, je constatais que son érection n’était pas retombée, Comment faisait-il ? J’avais connu des amants endurants, mais à ce point là, jamais car la séance avait durée plus de trente minutes. « Si mademoiselle veut que je recommence, c’est comme elle veut » me dit-il avec une formidable assurance et son accent créole « Maintenant il y a une autre solution, je peux demander à mon collègue de venir ». Là ça tournait à la partouze, je lui demandais, « il est comme toi ton copain », Il me regarda avec un grand sourire et dit « non, moi on m’appelle le professeur, lui son surnom c’est le perforateur ! ». Ca voulait dire quoi, le perforateur ? Pas de réponse. Vous commencez à me connaître, je n’ai jamais sut dire non a des nouvelles expériences sexuelles, et j’acceptais la participation du « perforateur » dans notre salle de jeu. Il s’absenta un moment et revint avec Joé. Habillé d’un simple short comme en porte les surfeurs, il était aussi bien foutu que le premier. « Bonjour mademoiselle, je suis à votre service». Les présentations faites, je leur demandais de pouvoir prendre une douche. Tout était prévu, une douche était installée directement dans la salle, sans porte ni cloison. Je fis couler l’eau, tout en réfléchissant, pourquoi on l’appelait « le perforateur ». Je n’ai pas eu le temps de me sécher, qu’ils étaient tous les deux venus me rejoindre sous la douche, le premier nu, mais son copain avait gardé son short ! Je sentais leurs mains se promener sur mon corps, fouiller mon intimité, devant, derrière. Je tenais dans ma main droite un sexe, que je connaissais déjà, mais je cherchais de l’autre main à attraper le sexe de son Joé. C’est là que j’ai eu un moment de panique. Au travers du short, je commençais à sentir une sorte de batte de baseball se dresser sous le tissu. Il se décida enfin à retirer ce vêtement qui cachait l’objet du délit, et là, pour la première fois de ma vie, j’ai eue peur. Même mon copain des Beaux Arts à Paris était battu par cet homme, à l’époque je l’avais mesuré, 25 cm sur 7 cm de diamètre, mais là on dépassait tout les records. Imaginé et ça va être dur, une batte de baseball avec une tête encore plus grosse. Le tout monté à la verticale, son sexe se dressant comme un obélisque. Je comprends maintenant l’origine de son surnom, et pourquoi il avait gardé son short aussi longtemps, car bons nombres de filles de race blanches doivent fuirent en voyant un tel engin. J’étais devant le fait accompli, et ne pouvais plus reculer. Nous sommes sortis de la douche, Bartemy se couchât sur un banc de musculation, il m’invita à venir me mettre à califourchon sur lui en lui tournant le dos, mais quand mon sexe toucha le sien, il le recula de la main pour le présenter à l’entrée de mes reins. Doucement, je descendais sur ce pieu de chair chaude et dure. Quand, je sentis qu’il ne pouvait pas aller plus loin, je montais et redescendais tout doucement en savourant cet instant. J’ai toujours aimé la sodomie, elle procure d’autres sensations, et là c’était merveilleux. Son copain toujours dans les mêmes dispositions s'étais mis face à moi et regardais le sexe de son copain s’enfoncer dans mon l’orifice le plus étroit. C’est alors qu’il me fit pencher en arrière sur le torse de Bartémy, je vis la batte de baseball s’approchée de mon sexe, de ses doigts il écarta mes lèvres intimes, puis tout alla très vite. En trois poussées il avait fait pénétrer la moitié de son sexe dans le mien. J’ai criée, j’avais le souffle coupé, mais ils ne semblaient pas entendre mes cris, et ils accélèrent leurs mouvements de vas et vient. La douleur aigüe du début fit face à un plaisir intense. Il s’enfonçait de plus en plus, et finit par toucher le fond. Connaissant ce que je pouvais faire pénétrer, ayant fait l’expérience avec un sextoys, j’avais vingt bons centimètres de chair brûlante devant et derrière. La séance dura un bon moment, puis ils décidèrent de changer de position. Dans un état second, Ils me retournèrent, toujours couché sur le dos, j’enfourchais face à lui le sexe toujours dans une forme olympique de Bartémy, il me pencha en avant pour m’allonger sur lui, mes seins plaqués contre sa poitrine brillante de sueur et dans cette position, mes fesses se présentaient à mon deuxième assaillant. Joé me pénétra doucement l’anus déjà lubrifié et dilaté comme il l’était, la pénétration fut moins douloureuse que je ne pensais. Un pendule sur le mur égrainait les minutes, mais toujours aucune jouissance de leur part. Par contre, je jouissais régulièrement, secouées de spasmes, qui m’envoyait presque dans les pommes. Chacun sait que le degré le plus élevé de la volupté chez la femme qui baise est atteint lorsqu’elle se sent injectée par le produit de l’éjaculation de l’homme et que, plus cette éjaculation est abondante et copieuse, plus son plaisir est vif. C’est après plus de vingt minutes de ce traitement, que d’un commun accord, ils jouirent pratiquement ensemble, ce qui provoquât l’orgasme le plus formidable que je n’ai jamais eue. C’est qu’en effet, ainsi qu’ils l’avaient dit, ils m’injectèrent dans le corps, à eux deux, une quantité énorme de sperme. J’en étais gonflée, je le sentais, alors que leurs décharges inouïes et incroyables continuaient encore. Cela dura plusieurs minutes et ma matrice, noyée dans le foutre, pompait quand même les deux sexes. Mais elle ne pouvait suffire à absorber le torrent qui la submergeait. A ma grande surprise, il ne se retirèrent pas de moi, et ils se mirent à me baiser une deuxième fois. Ils s'enfonçaient de plus en plus, forçant le plus loin possible. Je sentais leurs testicules frappées mes fesses, j'imaginais la longueur de leurs sexes au plus profond de moi. Mon sexe et mon cul déjà lubrifié par leurs premières éjaculations faisait qu'ils pénétraient de plus en plus loin. Ils me perforèrent encore un bon moment et ils se vidèrent une deuxième fois en quantité égale à la premières fois. Je sentais mon vagin se gonfler en recevant tout ce liquide chaud. Quand ils se retirèrent, je les inondés en ne pouvant plus m’arrêter. De là, je fus agitée par des spasmes violents et je suis tombée dans les pommes. Cette jouissance est invraisemblable et impossible à donner par une éjaculation simple. Je sentis qu’ils me portaient sur la table de massage, qu’ils me caressaient doucement les seins, le front, ils m’apaisèrent ainsi de cette séance inoubliable. « Mademoiselle, il est 17h30, nous devons partir, Joé doit aller chercher mon patron et votre amie au port, vous savez, vous êtes une des rares femme blanche à avoir accepter mon ami, vous êtes fantastique, nous pourrons recommencer quand vous le voudrez. » me dit mon présentateur télé. Oui et bien pour le moment, il faut que je me remette doucement, en me demandant comment j’allais pouvoir m’asseoir ce soir pour diner, sans faire paraître que j’avais encore le feu de leurs sexes dans mon intimité. Je reprenais une douche, mon sexe et mon cul n'en finissait pas de se vider des quantités de sperme qu'ils m'avaient injecté, puis me dirigeais vers ma chambre, Je croisais Sylestine la gouvernante, qui avait un petit sourire aux coins des lèvres. Je m’approchais d’elle, et sans un mot, lui faisait une bise sur les deux joues. « Ca a du vous changer des petites bites de vos amants blancs » Et elle éclata de rire. Je rentrais dans ma chambre, me faisait couler un bain tiède, et je restais un long moment à rêvasser en contemplant, cette baie merveilleuse. Vers 19 heures, J’entendis Justine revenir avec nos hôtes. Elle frappât à ma porte et entrât. Elle me trouvât sur mon lit. « Tu ne te sent pas bien » me dit-elle. « Oh si, je n’ai jamais été aussi bien qu’aujourd’hui ». « Et bien raconte moi » rétorquât Justine. Et je lui racontais dans les moindres détails mon après midi. Elle écoutait, et quand j’eue fini mon récit, elle s’approchât de moi, elle m’embrassât d’un long et tendre baiser. Quelques jours passèrent toujours partager entre la piscine, le bateau, les invitations dans d’autres villas, ou je fis la connaissance d’une foule de personnes, ce qui enrichît mon carnet d’adresses, etc. Je refis quelques de séances de massage, auxquels j’associais Justine, lui faisant connaître les plaisirs des dilatations vaginales et anales. Elle n’aurait jamais imaginée pouvoir se faire baiser par des sexes aussi gros. Il y aura des déceptions à notre retour à Lyon. Un soir où j’avais du mal à m’endormir je m’étais installé dans une alcôve au bord de la piscine, je suis restée là un long moment en pensant à la chance que j’avais de pouvoir vivre ces vacances dans ce cadre et ce luxe. Je rejoignais ma chambre quand j’entendais des bruits de voix, c’était Joé et Melissa qui sortait de la chambre de David et Johanna. Maintenant je savais que Johanna s’envoyait en l’air avec Joé « le Perforateur » et que David baisait la douce Melissa. Cette fille était vraiment sublime, elle inspirait l’amour, grande avec des seins à faire pâlir Paméla Anderson, mais chez Mélissa tout est naturel. Je me disais que si l’occasion se présentait, je passerais bien une nuit avec elle. Le lendemain, je faisais part à David de ce que j’avais vu la veille au soir, et lui demandais de me raconter cette fameuse soirée dont il avait commencé à évoquer. « Tu es curieuse de tous les détails », me dit’ il. Et il me raconta. « Une nuit alors que Melissa et Joé était dans notre chambre, j’ai demandé à Joé de sodomiser Johanna. Elle m’avait toujours refusée cette pénétration, n’appréciant pas ce genre de rapport. Pour lui faire accepter, j’ai proposé, que si elle acceptait, Joé me ferait la même chose. Sûr qu’elle refuserait, j’avais fais cette proposition un peu à la légère. A ma grande surprise, après avoir réfléchi, elle accepta. Je me trouvais dans une situation inconfortable, n’ayant jamais pour ma part subit ce genre de traitement. Johanna, après avoir mis en forme Joé, ce dernier se plaça derrière elle, prit un tube de gel, masturbât Johanna avec un, puis deux et enfin quatre doigts en prenant bien soins de faire pénétrer le gel le plus profond possible, puis il présenta son énorme sexe sur son anus, il appuya, d’abord doucement puis de plus en plus fort. Centimètre par centimètre le sexe de Joé pénétrait le cul de Johanna. Je la maintenais sur le lit et l’empêchais d’avancer devant la puissance de pénétration de Joé. Rien ne pouvait prédire que son sexe pourrait pénétrer ses reins, et pourtant, malgré ses cris, ses pleurs, le sexe de Joé entra de plus de la moitié de sa longueur à l’intérieur. Il s’arrêtât un moment et commença des vas et vient de plus en plus rapides. Johanna gémissait non plus de douleur mais de plaisir, elle avait un sexe de plus de huit centimètres de diamètre à l’intérieur de son intimité la plus étroite. Maintenant les trois quart du sexe de Joé entrait et ressortait à un rythme de plus en plus rapide et il explosa en l‘ inondant de son sperme chaud et abondant. Elle s’écroula sur le lit, complètement hagard, ne pouvant s’arrêter d’être secouée de spasmes d’orgasmes». « Et après », demandais-je à David. « Bien il a bien fallut reconnaître qu’elle l’avait fait, et qu’il me restait plus qu’à honorer ma promesse. Joé demanda un moment de répits pour faire reprendre vie à sa matraque, et quand il fut dans de très bonnes dispositions, aidées pour cela grâce aux fellations de Mélissa, il recommençât la même opération avec moi. Moi en position de levrette, Mélissa entre mes jambes suçant mon sexe, pour faire diversion, et puis tout alla très vite, je sentis le sexe de Joé à l’entrée de mes reins, mais à l’inverse de Johanna, il appuya de toutes ses forces, me pénétrant d’un seul coup. Je me souviens avoir hurlé, prié qu’il ressorte, mais Mélissa me tenait fermement les testicules dans sa main m’empêchant d’avancer sur le lit. Johanna regardait ce spectacle dans une excitation non dissimulée. Elle se masturbait allègrement, puis décida de se mettre sous Mélissa pour lui sucer le sexe, Celle-ci explosa dans sa bouche. Puis Joé joui à son tour suivi par moi quelques instants plus tard. Mélissa reçu mon sperme dans sa bouche et le bu jusqu’à la dernière goutte !. Quelle expérience ». Je restais médusée qu’un homme puisse avouer s’être fait enculer devant sa femme. Au fond de moi de ressentais une douce chaleur humide m’envahir. David du le voir, car il m’entraina dans le garage, ferma la porte arracha presque ma robe, me coucha brutalement sur le capot de l’Audi de sa femme, et me baisa d’un seul coup. Notre excitation mutuelle fit que nous avons jouis très rapidement. Se retirant de moi, je me baissais, prenais son sexe encore raide dans ma bouche et récupérais le maximum de son sperme. Il s’excusa presque de sa brutalité, mais je l’ai rassuré en lui disant que ce « viol » avait été pour moi fabuleux. A suivre
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Par : le 22/04/13
Dans toutes les soirées passées, j’ai fait connaissance de beaucoup de monde et mon carnet d’adresses était bien rempli. Un jour que j’étais invitée chez des amis, la conversation est tombée sur ce sujet. Chacun notre tour nous avons évoqué des fantasmes que nous avions en tête. Comme beaucoup de femmes et je suppose d’hommes, nous avons tous des fantasmes. Pour avoir lu des études sur ces fantasmes, il en ressort qu’en fin de compte ils sont sains, et permettent d’entretenir une certaine libido. J’évoquais le fantasme d’un viol collectif ou de se transformer pour un soir en prostituée, une amie aurait souhaitée être baisée par un inconnu dans la rue, devant son mari. Une autre voulait connaître ce que procurait la douleur physique pour ensuite arrivée à la jouissance. Un homme évoqua le fait d’être violé par plusieurs femmes devant sa femme, un autre par des hommes également devant sa femme, une autre femme raconta que depuis son adolescence au pensionnat, elle rêvait de faire l’amour avec une femme déguisée en bonne sœur etc. Tout un programme. Le tour de table terminé, nos esprits étaient assez échauffés, mais la soirée s’est terminée sans que personne ne prennent l’initiative d’une soirée plus érotiques (pour une fois). Avant de partir un de mes amis évoqua l’idée que nous pourrions organisés chacun de notre côté le fantasmes d’un autre, tout cela dans le plus grand secret. Après un court instant de réflexion, l’idée fut adoptée à l’unanimité. Donc chacun d’entre nous fera tout pour réaliser les fantasmes d’un autre ou d’une autre. Je rentrais chez moi, en me demandant quels fantasmes allait-on réaliser pour moi et lequel j’allais réaliser pour mes amis. Je décidais d’organiser le viol de cet ami par des hommes, je trouvais l’idée intéressante, n’ayant jamais vue d’hommes entre eux. Trois semaines plus tard, sous prétexte d’un service à demander, j’organisais chez moi un diner en tête à tête avec le couple dont l’homme avait émis le souhait de se faire violer par des hommes. Le diner se passa sans visiblement qu’il ne se doute de quoi que se soit. Passé au salon, je m’absentais un moment, pour aller ouvrir la porte d’une chambre ou étaient depuis le début de la soirée 4 copains, prêt à tout pour satisfaire mon ami, bien qu’ils ne soient en rien homosexuels. Ils firent irruption dans le salon, saisirent le « condamné », le déshabillèrent complètement, et commencèrent le travail pour lequel je les avais conviés. Le pauvre ne s’attendait pas à un tel assaut, il dut faire une fellation à un, se faire sodomiser par un autre. Sa femme regardait la scène médusée, visiblement le fait de voir son mari abusé par d’autres hommes, le mettait dans un état d’excitation extrême, Je m’en aperçu, je m’approchais d’elle, commençais à lui caresser les seins, puis ma main est descendue vers son sexe, elle ouvrit immédiatement les cuisses, se laissa pénétrée, les yeux rivés sur les fesses de son mari entrain de se faire sodomiser pour la troisième fois. Ne pouvant pas la laissée dans cet état, je demandais à un des 4 « invités » de s’occuper d’elle, Il l’a fit mettre à quatre pattes sa tête en face de celle de son mari et lui pénétra les reins. Ils se faisaient sodomiser en même temps. D’un fantasme, j’avais réussi, sans le vouloir, à en réaliser d’eux. Elle n’avait pas avouée qu’elle souhaitait être enculée en même temps que son mari, de peur que celui-ci refuse. Il faut toujours dire ce que l’on souhaite faire ou se faire faire, dire la vérité sur soit, dire ses fantasmes, dire que les autres sont des hypocrites, qui trompent leurs femmes ou leurs maris au lieu de faire ça ensemble, la jouissance est alors multipliée à l’infini. Et puis le temps passa, sans que je repense trop cette organisation. Un soir après un diner avec un de mes meilleurs amis, je l’appellerais Michel, qui était présent à cette fameuse soirée, dans la voiture qui nous conduisait à son domicile, à un arrêt au feu rouge, il me tendis un bandeau noir et me demanda de le mettre sur les yeux. Je m’exécutais, un peu inquiète tout de même. Nous avons roulé encore quelques temps, et nous nous sommes arrêtes. Cette mise en scène me rappela le roman « Histoire d’O » lorsque « O » est emmené par son amant René dans le château de Roissy. Je l’entendis couper le moteur, descendre de la voiture, m’ouvrir la portière et m’aida à descendre. J’ai entendu des voix autour de moi, puis une porte s’ouvrir, mes pas résonnaient sur ce qui devait être un sol en carrelage. Nous avons monté un étage et j’ai senti qu’on me faisait rentrée dans une pièce qui résonnait aussi à mes pas. Toujours les yeux bandés, une main vint me faire descendre la fermeture éclaire de ma robe, ensuite retirer mes chaussures. On m’allongea sur ce j’ai cru être une table, mais légèrement rembourrée, on me leva les jambes, j’ai senti qu’on les reposait en hauteur et qu’on les attachait avec des sangles. Je compris instantanément que j’étais allongée sur une table de gynécologue. On m’a prise par la taille et tirée vers le bas, je me suis retrouvée dans la même position que chez mon toubib, les fesses justes au bord de la table. Michel qui était toujours là, me dit alors que je devais garder mon bandeau. On m’attacha également les mains aux sangles de la table. A ma droite, j’entendais des bruits, des gémissements, des râles. Et puis ça a commencé, j’ai senti un homme me pénétrer brutalement, mon sexe pas encore humide reçu ce sexe assez gros avec une forte douleur. Puis au bout d’un temps assez court, je l’entendis jouir et se retirer aussitôt, par contre je ne sentis pas son sperme dans mon vagin, il devait porter un préservatif. Puis un autre aussitôt arriva et tout recommença. J’étais où ? La question me taraudait l’esprit malgré la douleur persistance du premier assaut. Et une suite sans fin de pénétrations se succédèrent à une rythme soutenu, je n’arrivais pas à jouir et à me libérer complètement pour pouvoir apprécier cette séance. C’est quand mon ami me dit, « ça fait vingts mecs qui te baisent » qu’est venu mon premier orgasme. Était-ce le fait du nombre, l’idée que trente hommes m’avaient pénétré et joui en moi qui m’a fait cet effet, en tout cas je jouissais. La séance continua, je devenais folle, mon sexe commençait à me faire très mal, je sentais que de temps en temps on me mettait dans le vagin un gel lubrifiant. J’appelais mon ami, et quelqu’un me dit alors qu’il était parti. Prise de panique je hurlais, mais une main ferme me cloua la bouche et un bâillon termina d’étouffer mes cris. Combien de temps je suis restée sur cette table à recevoir sans dis continué des dizaines d’hommes en moi, je n’en avais pas la moindre idée. Puis brusquement tout s’arrêta, je reconnus la voix de mon ami, on me détacha les mains, et me retira le bâillon et le bandeau. Un spectacle d’horreur s’offrit à moi, sur une table à droite, était attachée une femme, et une longue fille d’hommes attendaient le sexe à la main, de se soulager en elle. Elle était visiblement très jeune tout au plus 18 ans. Elles subissaient les assauts des hommes, certains la baisait, d'autres l'enculait, mais, à l’inverse de moi sans préservatif, alors je vis une vieille femme arrivée un tuyau d’arrosage à la main l’introduire dans le sexe de la fille et ouvrir le robinet. L’eau gicla avec violence, le sperme mélangé à l’eau s’évacua, puis elle retira le tuyau et l'introduit dans l'anus et recommença puis elle la sécha rapidement avec une serviette et sans autre soin, le supplice recommença aussitôt. Elle semblait dans un état second, certainement droguée. On me détacha complètement et on m’emmena dans une autre pièce où j’ai pu prendre une douche. Je demandais à Michel ou je me trouvais, Il me répondit dans une maison close du 18eme arrondissement de Paris, fréquentée uniquement par des maghrébins et des africains, il ajouta une maison d’abattage, ou les femmes récalcitrantes étaient amenées pour être punies. Je lui demandais, « combien d’hommes m’ont baisée », « tu veux vraiment le savoir » me dit’ il. Il hésitait un moment et me répondit « Bien plus de 70 hommes t’ont baisée, tu es restée 7 heures sur la table, mais tu sais ils sont tellement excités qu’ils jouissent au bout de 3 ou 4 minutes surtout dans une femme blonde ». Comment j’avais pu supporter cela. Il me dit : «ce n’est rien, les femmes qui sont amenées ici subissent plus de 300 passes par jour. Elles restent en moyenne entre 8 et 30 jours, elles dorment 2 à 3 heures par jour. Le bordel étant ouvert 24h sur 24. Ils y a celles qui sont amenés également sur les grands chantiers. Elle sont enfermées 24h/24 dans un bungalow et subissent aussi autant de pénétrations sans compter les coups qu'elles prennent si elles se rebellent. Et puis il y celles qui sont envoyées dans des soirées privées, et là tout est permis sur elles". Puis il ajouta, " j'ai eu connaissance de trois filles qui ont été torturées à mort, les seins coupés, le clitoris coupé ainsi que les petites et les grandes lèvres intimes. Quand elles ont été retrouvées dans un décharge, elles avaient dans le vagin et l'anus des bouteilles de biere qui avaient été cassées à l'intérieur, sans doute à coups de marteau. Elles avaient les doigts coupés pour ne pas pouvoir les identifiées. L'autopsie à prouvée que la mort avait été provoquée non pas par les tortures, mais une balle dans la nuque. Ces "soirées" sont généralement filmées et les cassettes sont vendues à prix d'or par des réseaux spécialisés. Le pire ça été dans une grande propriété abandonnée, près de Chantilly, il a été trouvé une fille suspendue par les mains dans une cuve d'acide, son corps ou plutôt ce qui en restait était plongé dans le liquide jusqu'à la taille. Ses seins avaient été perforés de long en large par une longue tige métallique type fer à béton qui avait été affuté et qui entrait dans le sein gauche et ressortait par le sein droit a laquelle était attaché aux extrémités deux parpaings ce qui faisait pendre ses seins jusqu'au milieu du ventre. Son visage intact mais avec la langue coupée, montrait des traits déformés par la souffrance. L'horreur à l'état pur". Il continua " Aux USA, on a trouvé une femme qui avait été découpée vivante suivant le supplice chinois des sept couteaux. Un couteau servait à découper les seins au raz de la cage thoracique. Un petit couteau servait pour retirer chez les hommes les testicules de leurs enveloppes et ouvrir le sexe dans sa longueur et pour la femme la totalité du clitoris et des lèvres, un autre à couper les muscles des bras et des cuisses, un plus grand, les articulations des coudes et des genoux. Le bourreau terminait son œuvre par l'ouverture de l'abdomen, laissant ainsi échapper tous les organes. Le bourreau s'appliquait à laisser la femme ou l'homme ainsi torturé vivant le plus longtemps possible". J'atais blême au bord d'être malade. Nous sommes ressortis de ce bordel, il faisait grand jour, des hommes faisaient la queue devant la porte. Je remarquais la façade de l’immeuble, ça ressemblait à un ancien cinéma. Je demandais alors à Michel, « mais les flics n’interviennent pas, les maisons closes sont interdites en France» Il me répondit, « c’est vrai que les maisons closes sont interdites, mais la police ferme les yeux, ça permet de diminuer l’agressivité dans ce quartier ». Il me semblait bien au courant, et il avait de drôles de fréquentations, comme je ne lui avais jamais demandée le métier qu’il exerçait, je profitais de l’occasion : « Moi je suis flic, Inspecteur Principal si tu veux savoir ». Et comme pour se dédouaner, il ajouta : « Tu sais on fait des descentes de temps en temps,… pour la forme , et pour ce qui est des trois filles torturées, c'est moi qui avait été chargé de l'enquête ». Le jour où j’avais parlé de se transformer pour un soir en prostituée, j’avais imaginé plutôt en call girl ou sur le trottoir, faire une fellation et me faire sauter dans une voiture, j’étais loin de m’imaginer qu’on me mettrait dans une maison d’abattage. J’aurais mieux fait de me taire, mais j’avoue qu’avec le recul, l’expérience que j’ai subie m’a fait comprendre le calvaire de ses femmes soumises à ces tortures physiques et aussi morales, car pour tenir le choc pendant un mois voir plus, si la fille est très jeune et jolie, à ce rythme là, beaucoup reçoivent des doses importantes de drogue. Elles ressortent de cet enfer complètement détruites moralement et physiquement. J’avais pour ami un flic ripoux. Bon ripoux j’oublie, mais flic, ça pouvais toujours servir. Mon fantasme avait été exhaussé à la puissance 100. Mais juré promis, craché, je ne recommencerais jamais. Quelques temps plus tard ou je prenais le métro à Stalingrad pour allez vers la place Clichy, du métro aérien à la station Barbès, je me remémorais ce qui c’était passé dans ce bordel devant lequel s’allongeait une file d’hommes prêts a assouvir leurs besoins sexuels sur des femmes esclaves du sexe. Je repense souvent à elles. Si cet ami ne m’avait pas fait connaître cette partie cachée de l’univers de la prostitution, je n’aurais certainement pas cru qu’une telle dégradation de la femme puisse exister. Ces maisons ont été fermées quelques temps plus tard. Ce qui n’a rien changé au problème de la prostitution. A suivre
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Par : le 18/04/13
§ Nous y voilà enfin : Un tâtonnement sur le mur, quelques réponses positives, quelques "j'aime", un conseil... Et me voilà lancé ! Je vois vos yeux s'arrondir, votre sourcil droit se rend circonflexe : "Mais lancé dans quoi ?" "L'expression simple et libre de nos esprits !" Tout du moins du mien. Je précise immédiatement qu'il n'est pas ici question de m'affirmer écrivain (vain!) ou poète (pouet!). J'aime écrire même si je suis "dyslexique compensé" ce qui veut dire qu'il me faut réfléchir et me relire bien plus que n'importe qui pour produire ce qui pourrait vous sembler simple à écrire. Après création de la catégorie "Travaux d'écriture" je compte y attacher quelques écrits de ma création. Cela pourra être, un poème, un essai, une chanson, une simple prose, un proverbe... Tout ce qui pourra émerger de mon imagination. Je vous invite à contribuer par vos créations que je n'hésiterais pas à lire, commenter, et je l'espère, aimer. La seule condition étant que cette création doit vous appartenir. Pour inaugurer cette nouvelle catégorie je vais partager un de mes textes les plus récents. Ce sont donc des vers que je coucherai ici en quatre strophes de quatre vers chacun. Plus précisément : quatre quatrains isométriques. Isométriques car tous écrits en alexandrin. Ce choix n'est pas un choix fortuit : L'alexandrin représente la fierté de nos grands écrivains et versificateurs. Il est normé par des règles tortueuses que je m'attelle à Maîtriser. § Voici donc mon premier poème ainsi formé : Le prétendant rêveur Je pourrais longuement te conter mots d'amour, Discourir tout autant de finesse d'esprit. Te donner en présent de ces vers chaque jour; Ceux-là mêmes dont tes yeux et lèvres sourient. Charmer cordes et vents, composer ta musique; De celles qui mènent nos deux pas si légers. Le nouveau rythme, la nouvelle dynamique; Entrelace nos danses exhibe ta beauté. Par delà toute peur accomplir nombre d'actes, Qui de leurs simples fait prendront noble valeur. Point n'est utile d'user de sciences exactes, Dès lors que l'on s'exprime au travers de son cœur. Nulle chose ou nul être ne pourrait ôter, Ce que sagesse et folie ont ancré en moi. Utopiste inconscient dans ses rêves plongés, Si je dors je t'en prie, ne me réveille pas. W.S
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Par : le 18/04/13
La bete... Incroyable délice qui s'est présenté à moi... Aprés nombres regards sur le moindre détails... J ai succombé... A mon gout, et cet essai plaisant, et je l ai emporté! Si simple soit il, elle demeure chez moi. En permanence enfermée, je veille sur elle... Lui fournissant le necessaire, je la dépoussiere de temps en autre, la recouvrant durant les fraicheurs hivernales Lui rappellant que je ne l oubli pas dans cette obscurité... L hiver dure, mais le printemps vient... Enfin, je la nettoi... La sublimant comme elle doit l etre! Je me prépare chaque fois que je la sors... Rituel devenu indispensable... Il est toujours préférable de sortir couvert, et me fait faire tant de folie... Je la chauffe avec délicatesse, allant à son rythme! Ne la brusquant pas, j aurai loisirs et plaisirs à la tourmenter... Voila donc nos folies qui débutent... Elle est à ma disposition... Elle suis la moindre de mes exigences et s abandonne sans retenue... Le controle se fait selon mes limites... Elle n en possede que tres peu et me les insulfle avec violence ... L abandon total est incroyable et les sensations sont toujours présentes... Sensation de liberté, poussé d'adrénaline... Tout est exquis dans ces moments la... Mais tout a une fin, je la ramenne avec douceur et la laisse reprendre ses esprits... La fait briller et la range à nouveau dans ce lieu obscur à l'abri pour la retrouver ainsi lors de mes prochaines envies... Motard, vous l aurez peut etre compris, je ne partage pas ma moto... Pur égoisme, je m en excuse ;-)
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Par : le 18/04/13
Rendez-vous… Nous avons rendez-vous à 17 heures. En plein centre-ville de Strasbourg. Il fait si beau, presque chaud. Un monde fou se croise ici et là. J’arrive pile à l’heure. Elle aussi, presque en même temps. Elle m’avoue qu’elle était déjà là depuis un moment mais n’osait pas trop se montrer. Je l’aperçois rapidement. C’est elle. Je l’embrasse sur ses joues et je la touche. Un premier regard, qui en dit long… Elle me dit « J’ai cherché à regarder les chaussures des personnes qui attendaient là comme vous, car on voit beaucoup de photos de vos pieds sur votre blog ». Ses paroles me font sourire et cela me flatte un peu. Originale entrée en matière et j’apprécie. Elle a eu raison, j’ai mis des chaussures plates certes, mais ouvertes et qui laissent apparaître mes petits petons vernis de rouge. Nous faisons quelques pas. Nous nous dirigeons à une terrasse. Au soleil. C’est si bon de retrouver les rayons qui réchauffent nos cœurs en Alsace. Elle me fait découvrir un endroit que je ne connaissais pas. Un repaire de lesbiennes me dit-elle. Pourtant, j’ai dû y passer cent fois, je ne savais pas. J’aime me dire que je suis là, avec elle et que toutes les filles pourront se poser cette question : « Sont-elles ensemble ? »… Je m’assois face à elle. Je suis trop près. Je me recule, volontairement, un peu. Le remarque-t-elle ? Je veux garder cette distance, symbolique. Je la regarde. Elle aussi. Nos regards, se croisent et communiquent. Naturellement. Nous parlons ; De tout, de rien. De domination, bien sûr. Elle semble curieuse de découvrir qui je suis. Je réponds à ses questions, sans détours. Elle semble intéressée par celle qu’elle découvre encore un peu plus. Un client semble écouter notre conversation. Et alors ! Je m’en fiche. Elle aussi. Nous l’avons remarqué et cela ne nous empêche pas de poursuivre notre discussion de plus belle. En toute complicité. Je l’observe. Détaille ses gestes, ses mouvements, ses mains. Sa bouche. Certaines postures trahissent ses émotions. J’aime son sourire. A quoi pense-t-elle quelquefois alors que nous parlons ? Quelques silences, courts, mais qui eux en disent long… Et soudain, des paroles, qui posent un trouble. Nos regards changent. Est-ce que je la trouble ? A-t-elle envie de se rapprocher ? Je sais, je vois que je ne lui suis pas indifférente. Elle aussi m’inspire… Deux heures, qui passent bien trop rapidement. Je dois, partir… Elle demande à me raccompagner à mon parking. Nous arrivons place Broglie. Je lui signifie que c’est ici que nous nous séparerons. Je la regarde dans les yeux. M’approche. Je l’embrasse sur la bouche, d’un baiser appuyé mais dont j’avais envie. Devant tous les passants. Perverse situation, qui m’excite. Puis deux petits baisers sur ses joues. Elle bafouille. Ne sait plus dans quelle direction repartir. Nous tournons les talons. Troublées… Une belle rencontre, que nous n’oublierons pas. Nous nous quittons, pour nous retrouver… Mercredi… A toi, ma jolie et attendrissante wondersalope… Vous avez envie d'en savoir plus;.. Allez sur le profil de wondersalope. Ou sur mon blog ; http://madame.s.erog.fr
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Par : le 16/04/13
Après avoir refermé le placard, je pause les différents objets sélectionnés. Le premier est un martinet, identique à celui de la boutique et sur lequel Pauline fantasmait, le second une cravache, instrument délectable pour celui qui sait s’en servir et enfin j’ai choisi la cane, redoutablement efficace et laisse une très jolie signature sur une paire de fesses. J’ai également pris deux objets supplémentaires, le premier est un rosebud et le second une plume, pourquoi la plume me demanderez-vous ? Cet objet est vrai mystère à lui tous seul, il peut être doux et éveiller la caresse comme plus « taquin » et chatouillé le corps, mais l’un comme l’autre il met en éveil les sens du corps. Après avoir posé les instruments sur la table, je m’approche de Pauline, lui demande de se retourner et de se tenir devant moi. Elle s’exécute, me regarde….regarde derrière moi et voit enfin le résultat de mon exploration, elle découvre les instruments. Elle me regarde de nouveau, son regard est plein d’interrogations. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir : - Bien Pauline, maintenant que tu as découvert la fessée manuel, je vais te faire découvrir trois instruments, le premier que tu a vue, le martinet, le second une cravache et enfin je finirai par trois coups de canes. - Bien Monsieur Averamm, et je vois deux autres objets….quels sont leur raison d’être ? - Tu le verras en temps utile, ne soit pas pressés, pour le martinet, tu va aller te pencher sur la table, la même qui t’a servi à écrire ta lettre. Pauline s’exécute, pourquoi la table…simple, entre la table et le coin, elle passera devant la table sur laquelle sont disposé les instruments, tel des trophées . En passant devant elle regarde les instruments, et je la voie frissonner, est ce le plaisir ? la peur ? l’angoisse ? aucune idée. Doucement mais surement Pauline prend position, exposant ses fesses à mon regard, je profite de ce spectacle avec délectation, tel un chasseur planqué attend sa proie avant de bondir dessus. Bien que le spectacle soit diablement intéressant, je m’approche à mon tour….saisi le martinet et arrive à coté de Pauline. Je caresse les fesses de Pauline avec, qu’elle découvre une première sensation, celle du cuir encore « frais » sur ses fesses, qui avec la fessée manuel on prit une jolie couleur rose, de jolie petite pomme que l’ont a envie de manger tel un bonbon. Elle se cambre, désire faire corps avec le martinet, le sentir, l’avoir en elle, enfin….elle va savoir ce que c’est que cet instrument, son esprit le cherche depuis longtemps. Le premier coup tombe, avant de délivrer le second, je veux savoir comment Pauline réagit à cette « attaque » quelle ne connait pas, est ce proche de ce quelle imaginait….je ne sais pas, elle à dit « aie » avec un mot assez grossier dont je vous tairai l’orthographe. Mais elle ne fait rien pour bouger, au contraire elle tend ses fesses, dans l’attente du coup suivant. Ce dernier ce fait pas attendre et viens envelopper les fesses de Pauline de ses redoutables lanières, je ne détaillerais pas chacun de voyages parcourus par ses lanières. Mais celle-ci auront effectué 14 voyages sur les jolies pommes de cette diablotine. Pourquoi 14…simple elle attend depuis 7 ans cette fessée (23-16) et comme je n’aime pas faire de jalouse, j’ai décidé de multiplier par deux, afin que chacune de ses fesses reçoivent un nombre égal de voyage. Pauline ne bouge pas, elle est toujours penché sur la table les fesses tendus, les lanières sont venu décoré sont derrière, passant d’un jolie rose bonbon, à un rouge tomates. Je lui demande de ce lever et de me regarder : - Merci Monsieur Averamm pour cette découverte. - De rien Pauline, mais ce n’est que le début il reste la cravache et la cane. - Oui Monsieur Averamm, je suis prête pour la suite de ma fessée. - J’en doute pas une seconde mais avant de continuer, je vais mettre dans ton anus se rosebud. - Pourquoi ? est-il vraiment nécessaire ? - Oui, il est nécessaire, la fessée est une chose, le rosebud une autre, tu va découvrir une nouvelle sensation, que tu aimeras beaucoup. - Heu….je dois vous avouer que je suis vierge de cet orifice, pas que je n’aime pas cela, mais comment dire, j’ai peur d’avoir mal à cet endroit (me demande si ses joues ne sont pas aussi rouge que ses fesses). - Ce bijou va t’aider à découvrir cet orifice et c’est avec délectation et honneur qu’il va aller prendre place, tel un roi sur son trône.
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Par : le 16/04/13
Look, if you had one shot, or one opportunityTo be everything you ever wanted to be in one sessionWould you capture it or just let it slip?YoHis palms are sweaty, knees weak, arms are heavyThere's wave on his body already, Domme's cogencyHe's nervous, but on the surface he looks calm and ready to drop down,But he keeps on forgetting to bow down,The whole spot goes so hot and warmHe opens his mouth, but the words won't come outHe's choking now, the Domme's joking nowThe clock's run out, time's up over, bloah!Slap back to reality, Oh there goes reactivityOh, there goes subby, he chokedHe's so sad, but he won't give up that easy, noHe won't run out, he knows his whole back's to these ropesIt don't matter, he's dopeHe knows that but he's hookedHe's so stagnant, he knowsWhen he goes back to his vanilla, that's when its dark desires're back again, yoThis fucking devil's melody’s ringingHe better go capture this moment and hope it don't pass him[Hook:]You better lose yourself in her grip, the momentYou own it, you better never let it goYou only get one shot, do not miss your chance to blowThis opportunity comes once in a lifetime yoYou better lose yourself under her whip, the momentYou own it, you better never let it goYou only get one shot, do not miss your chance to blowThis opportunity comes once in a lifetime yo(You better)His soul's escaping, through her words that is enslavingThis world is hers for the takingMake her Queen, as we move toward a new world orderA normal life is boring, but a D/s life gets strongerIt only grows harder, only grows hotterHe blows us all over, these passion is for all them togetherDommes to Dommes shows, he's known as the dumb subbyEndless ruling storm, Goddess only knowsHe's grown farther in his vanilla, he's no motherHe goes home and barely knows his own shelterBut hold your nose 'cause here goes the cold waterHis hoes don't know him anymore, he's odd productthey backs turned from himhe disclosed and his dawgs flown Ah !So the soap opera is told and unfoldsI suppose it's odd partner but the beat goes onDa da dum da dum da da[Hook]No more games, I'm gonna wear what you call cageTear those motherfucking social suit off like two dogs cagedI was playing in the beginning, the mood all changedI've been lied and stolen and blackmailedBut I kept dreaming and stepped right into the next web channelBest believe somebody's paying the pied piperAll the fervant desire amplified by the factThat I can't find out the right half to mineAnd I can't aspire the right type of life for my familyCause man, these goddamn sparking dreams don't wipe outAnd it's no movie, there's no happy endings, this is my lifeAnd these voices are so hard, and it's getting even harderfeeding my mind and water my reality, plusTweeter, net porn, and social networks set me up to be mold and weakaSubby inside drama's screaming onand Too much for me to overcomeStay in vanilla's spot, another day of monotonyHas gotten me to the point, I'm like a stray dogI've got to find out a spot or I end up in asylum or 6 F downSubby is my only motherfucking option, vanilla's notLife, I love you, but this trailer's got to goI cannot grow old in the normal blocSo here I go it's my shot.Knees fail me not, this may be the only opportunity that I got[Hook]You can do anything you set your mind to, man
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Par : le 07/04/13
Adepte du bdsm, est-ce pour éprouver du plaisir dans la douleur ou la souffrance, ou le plaisir de ressentir que nous sommes envie grâce à la douleur ou la souffrance ?Adepte du bdsm, est-ce pour éprouver du plaisir en dominant les autres par la douleur ou la souffrance, ou le plaisir de ressentir que nous sommes en vie en infligeant la douleur ou la souffrance aux autres ?Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs à vos plumes.En espérant pouvoir lire vos commentaires, remarques ou expériences sur ce ou ces sujets. Douce et agréable soirée.
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Par : le 06/04/13
Voilà plus d’un mois que je suis à New York et j’ai l’impression d’y habiter depuis des années. Les plans de la nouvelle galerie sont pratiquement terminés, et les travaux devraient commencés fin novembre, plus tôt que prévu. J’ai prévu de rentrer en France le 16 novembre pour faire connaissance du nouveau propriétaire de ma galerie lyonnaise. Ici ont vit à cent à l’heure, Dans cette ville rien ne s’arrête jamais, jour et nuit la ville fourmille. Ça me change de Lyon ou à 10 heures du soir, c’était le désert. Parmi les amis que John m’a présenté, figure un richissime industriel de 70 ans qui à fait fortune dans le pétrole, et qui a pour habitude d’organiser les fêtes les plus originales. John m’expliqua qu’il organisait régulièrement 4 fois par an, des cocktails à but caritatifs. Dans sa somptueuse demeure, ils invitaient des couples, tous mariés, et au portefeuille bien garni. Le jeu consistait dans un premier temps, à ce que toutes les clefs de voitures de ces messieurs soient mises dans un petit sac de velours, avec leur nom à l’intérieur. En même temps ils devaient faire un chèque de dix mille dollars. Ces sacs étaient mis dans une grande vasque. Ensuite chaque femme tirait un sac et découvrait le nom du propriétaire des clefs. Ils partaient alors ensemble pour terminer la journée et la nuit au domicile du monsieur qui devait rendre la liberté à sa nouvelle maitresse avant 12 heures le lendemain. Bien évidemment, une épouse ne pouvait pas partir avec son mari et tirait un autre sac. Les gens se bousculaient pour être invités à ses journées de bienfaisance. La recette ne descendait jamais en dessous de 800 000 $ qu’il redistribuait aux associations. Une idée qui rapportait beaucoup d’argent, qui ne lui coutait que le champagne et les petits fours, et qui permettaient à ces couples mariés de se tromper mutuellement, mais pour la bonne cause ! L’honneur était sauf. Fin octobre, John m’annonçât que nous étions invités à une des soirées organisées par ce magnat du pétrole. Je demandais à John s’il s’agissait de ce types de soirée, il me répondit que non, qu’il s’agissait d’une soirée costumée sur le thème de « Les nuits de Caligula ». Un peu d’histoire pour ceux qui ne connaissent pas cet empereur romain. On lui a prêté maints méfaits plus horribles les uns que les autres. Il n’avait pas hésité à tué son oncle l'empereur Tibère de ses propres mains, (si on peu dire) pour prendre sa place, qu’il couchait avec sa sœur, (il reproduisait ainsi les mœurs de l’Egypte antique) qu’il organisait des fêtes qui se terminaient toujours en orgies le plus souvent très sanglante. Des hommes et surtout des femmes étaient sacrifiés dans des souffrances les plus horribles pour assouvir sa folie sexuelle et meurtrière. Qu’il humilia les Sénateurs en prostituant obligatoirement leurs femmes et leurs filles. Il avait même nommé son cheval Grand Consul. Vous voyez le personnage. Le thème de la soirée était sans ambigüité. Sur le carton d’invitation, il était écrit que les costumes seraient fournis en totalité sur place. L’adresse était un entrepôt situé au port Newark dans le New jersey Vendredi 29 octobre Quand nous sommes arrivés sur les lieux, c’était sinistre. Des alignements de bâtiments identiques, dans un environnement de containers. L’endroit était lugubre, puis après avoir tourner en rond un bon moment, nous sommes arrivés sur un parking éclairés, des dizaines de voitures étaient déjà garées et surveillées par des gardes armés. Sur le devant du bâtiment, une entrée fortement éclairée. Quand nous pénétrâmes, une surprise de taille nous attendait. Nous nous serions cru dans un décor de péplum à Hollywood. Une vaste entrée avec de chaque côté des colonnes, puis les vestiaires, hommes et femmes. Je quittais John et me retrouvais devant des servantes toutes vêtues à la romaine, une espèce de robe très courte, découvrant la totalité d’un sein et ouverte dans le dos avec une ceinture à la taille. Toutes étaient jeunes et belles. Je me déshabillais avec les autres invitées, mettais mes affaires dans un casier en plastique, ne gardant sur moi que mes bijoux. Les téléphones portables devaient être également déposés dans le casier. Interdiction formelle de photographier. Un couvercle fermait le casier avec un cadenas dessus. Je gardais avec moi la clef. Puis je me dirigeais dans le plus simple appareil vers la salle d’habillement. Là ce sont des hommes vêtus également d’une sorte de jupe qui nous donnèrent nos vêtements. Ils me donnèrent une robe rouge sang, en mousseline, très transparente, très décoltée devant et derrière et des espèces de sandales et un petit sac en forme de besace que l’on pouvait passer autour du cou. Il était rempli de préservatifs. J’y plaçais la clef. Et me dirigeais vers la sortie. Dans ce hall, je retrouvais John, habillé d’une toge blanche et également de sandales. Je le regardais ainsi déguisé, je le trouvais très beau, il me fit le même compliment, ce qui me ravit. Le hall passé, nous sommes arrivés dans une immense salle ronde, avec en son centre une piste comme au cirque et tout autour, des gradins. La pièce suivante devait être la salle à manger. Elle était composée essentiellement de large matelas recouverts de tissus, dans le fond un buffet était dressé avec une multitude de mets et de boisson. Un peu plus loin, un large couloir avec de chaque côté une bonne douzaine d’alcôves simplement fermées de rideaux presque transparents. Nous continuions la visite et découvrait une autre pièce, ressemblant à une cave, des ustensiles de torture étaient accrochés aux murs. « Ca ce n’est pas pour moi » disais-je à John, qui acquiesçât. En retournant dans le hall, John rencontrât le maître des lieux, jouant le rôle de Caligula accompagné d’une sublime créature, aux longs cheveux d’un noir profond et entièrement nue, à l’exception d’un collier autour du coup auquel était attaché une chaine et qu’il tenait à la main, elle portait comme bijoux des boucles d’oreilles en or et diamants d’un bracelet et d’un bijoux assorti placé au dessus de la fente de son sexe complètement épilé, Les présentations faîtes, la fille s’appelle Eva, « Caligula » nous dit que soirée commencerait dans un quart d’heure.. Il nous donnait rendez-vous au « cirque ». Effectivement, une sonnerie de trompette nous invitât à nous diriger vers le cirque. En regardant nous avons constatés qu’il devait ya avoir au moins deux cents invités, qui avaient quand même déboursé mille dollars par personne. « Caligula » pris place sur un trône avec à ses pieds son esclave nue. Je ne pense pas qu’il aurait pris le risque de faire venir des mineures, mais cette fille était visiblement très jeune. Une fois tout le monde installé, il se leva et annonçât : « que les jeux commencent ». Alors deux hommes entrèrent entièrement nus, comme c’était l’usage dans la Rome antique, Ils se placèrent au centre de l’arène. « Caligula » leva la main et la lutte commença. De voir ces lutteurs nus, le sang commençait à monter aux joues. Prises après prises, où tout était pratiquement permis, un des participants, le rasé, immobilisa son adversaire par une prise peu protocolaire, un serrage de couilles avec immobilisation des bras avec ses jambes.cour08b.jpg « Caligula » se leva et le déclara vainqueur. Alors « l’esclave » de « Caligula » se leva se dirigea vers le gagnant, se mit en levrette devant lui en offrant son sexe et le reste. Il ne se fit pas prié, après une simple masturbation, il enfonçait son sexe dans le cul de « l’esclave » et la pilonna jusqu’à la jouissance. Tant qu’au perdant, une autre « esclave » s’approcha de lui, elle tenait devant elle attaché à sa taille un gode d’une bonne taille, quatre autres l’obligèrent a se mettre à quatre pattes et en le maintenant fermement, sans attendre « l’esclave » au gode lui perforât les reins d’une seule poussée. L’homme poussa un cri strident, le spectacle chauffait les esprits, le fait de voir un homme se faire sodomiser par une femme les mains commencèrent à se balader sur son voisin ou sur une voisine proche. « Caligula » se leva et proposa une autre lutte avec cette fois, deux femmes tirées au sort dans les invités. Il plongea la main dans une vasque et tira deux papiers pliés le 15 et le 126, il nous demandât ensuite de regarder dans nos petits sac quels numéros figuraient. Ce que je n’avais pas vu, un petit papier était plié au fond, je le dépliais et montais à John mon numéro, le 127. Ouf sauvée, je n’avais aucune envie de lutter contre une autre femme. Les deux femmes tirées au sort se présentèrent au centre de l’arène. Une avait une trentaine d’année, pas très grande avec des seins imposants. Elle émit le souhait de ne pas participer à cette lutte, « Caligula » lui répondit que si elle refusait, elle serait conduite à la salle de torture. Du coup elle accepta en rechignant. L’autre visiblement plus âgée, à l’opposé n’avait pas beaucoup de poitrine. Je disais à John, que si la mince arrivait à attraper les seins de la plus jeune elle avait gagnée. Ce que j’avais prévu arrivât un peu plus tard, Après quelques prises aux cheveux, la plus jeune voulant enfoncer sa main dans le sexe de son adversaire. La plus âgée l’ayant retourné sur le dos elle lui attrapât les deux seins à pleine mains et tourna violemment. L’autre cria et arrêtât le combat. « Caligula » se leva et déclara la femme aux petits seins vainqueurs. Il lui donna le choix de punir son adversaire, elle choisi le même châtiment que pour le lutteur homme, mais cette fois par un homme. Il appela alors cet homme, un black surgit des coulisses, il était monté comme un âne. Lorsque la femme vit son sexe, elle voulu fuir, mais elle n’alla pas très lion, retenue par l’assistance qui voulait voir ce spectacle. Alors, maintenue au sol sur le dos, les jambes relevées remontées jusqu’aux épaules, le black s’avançât, se plaça devant elle, le sexe tendu au maximum devant le petit orifice, et lentement mais implacablement s’enfonçât dans son intimité la plus étroite. La fille criait, une des esclaves lui plaquât sa main sur la bouche pendant que le black n’en finissait pas de perforé cette femme. Une des esclaves masturbait le clito de la fille qui ne tarda pas à remplacer ses cris par des gémissements. Le black accéléra ses vas et vient et au bout d’un bon moment il se retira et jouit sur le ventre de la fille, qui en jouissant à son tour émis un jet violent qui inonda le black. Pour la gagnante elle eu le choix entre le même black ou un gang bang avec cinq « esclaves » dans une des alcôves. Gourmande elle choisi les 5 hommes. Mais le spectacle n’était pas fini. « Caligula » se leva et annonçât que 3 jeunes filles étudiantes avaient décidées de mettre leur virginité aux enchères, au plus offrant. La défloration se fera au milieu de l’arène après les enchères. Il demanda aux participants d’être doux avec les filles pour leurs premières fois. Les trois filles entrèrent, Elles étaient entièrement nues. Dans la salle les yeux des hommes étaient fixés sur ces trois filles prêtent à connaître pour la première fois la perte de leur virginité. Les enchères devaient revenir aux filles ce qui leur permettaient de poursuivre leurs études sans problème financier, Pas très moral, mais après tout, il fallait bien qu'elle se fasse baiser un jour, alors autant joindre l'utile à l'agréable. On apportât alors trois lits qui furent placés au centre de l’arène. Alors « Caligula » commença les enchères à 5 000 $. Pour la première fille, une petite brune toute frisée avec des petits seins. L’homme derrière moi annonçât 6 000, un autre 7 000. Celui qui a dit 8 000 était un homme d’une bonne soixantaine d’années. Il emportât les enchères à 10 000 $. Cette fille allait pour la première fois de sa vie faire l’amour avec un homme agé. Souhaitons qu’il soit à la hauteur. Effectivement après avoir longuement lécher son sexe il pris sa virginité avec une douceur extrème, pour la première fois de sa vie elle joui d'une pénétration.61f.jpg La seconde fille était brune, grande avec des seins respectables, complètement épilée avec le triangle du sexe largement ouvert. Les enchères reprirent 8 000 $ – 9 000 – 10 000, ça commençait à faire cher pour une défloration. Enfin 15 000 $ et c’est un homme black qui emportât la mise. Je pensais en moi-même, s’il est monté comme l’autre black de tout à l’heure, la fille va le sentir passer.Elle se coucha sur le dos, il lui demandât de lui faire une fellation, son sexe d'une taille honorable au repos développa une érection impressionnante. Après avoir à son tour sucer le clitoris de la fille il lui demandât de se mettre en levrette, il présenta son sexe à l'entrée du vagin et tout doucement il l'a pénétra de toute la longueur de son sexe. Elle émit un cri de douleur, puis il se retira, son sexe portait les traces de la perte de virginité de la fille. Il recommença, elle avait la tête enfouie dans un coussin et commençait à gémir puis n'ayant plus d'obstacle, il la martelât longuement jusqu'à ce qu'elle se mette à crier. Il éjaculât, et ils tombèrent tous les deux sur le côté. L'assistance dans un état d'excitation extrème se mit à applaudir. Troisième enchères, des murmures montèrent dans l’assistance, la fille grande, blonde était magnifique, avec une paire de seins superbes. La bataille s’annonçait rude. C’est alors que « Caligula » annonçât : « Cette fille est vierge des deux côtés, dont il y aura deux gagnants » et de toutes parts les enchères montaient. 15 000 -20 000 les deux vainqueurs de ces enchères allaient baiser et enculer cette fille pour la modique somme de 35 000 $ chacun. Elle alait pouvoir terminer ses études sans soucis. Tant qu’à la troisième fille, un des deux hommes s’était couché sur le dos, il fit mettre a fille au dessus de lui en lui tournant le dos et sans qu'elle n’eu pas le temps de comprendre, l’homme s’était littéralement empalé dans son cul, laissant libre son sexe pour l’autre partenaire. Elle essayât de se dégager, mais le deuxième homme s’approcha plaça son sexe entre les lèvres intimes de la fille, et sans attendre, il s’enfonça d’un coup. La fille se mit à hurler, mais rien n’y faisait, ils continuaient tous les deux à baiser et enculer la blonde à grands coups de reins. Ses seins se balançaient sous les coups de boutoirs. Ils firent durer le plaisir un bon moment, sans doute fallait-il rentabiliser les 35 000 $ qu’ils avaient déboursé chacun. La fille pleurait en les suppliant d’arrêter, mais ils continuaient inlassablement le massacre de ses orifices encore vierges vingt minutes plus tôt. Puis ils se regardèrent et dans un ensemble parfait, ils éjaculèrent ensemble. Ils se dégagèrent enfin, la fille se couchât en chien de fusil sur le lit, son sexe saignait. Les draps en étaient tout souillés. Des hommes entrèrent prirent chaque côté les trois lits et emportèrent les filles toujours couchées dans une pièce annexe. Visiblement ils avaient du se mettre d’accord, pour faire subir à cette pauvre fille un traitement qu’elle ne méritait pas. « Caligula se leva et annonça : « J’avais demandé de la douceur, vous n’avez pas respecté cette consigne, je vous exclu de la soirée et des autres à venir. » et comme si il était vraiment entré dans la peau de son personnage, il ajouta : « Galigula a parlé, partez immédiatement ».Ils quittèrent l’arène sous les huées des autres spectateurs. non sans avoir signer leurs chèques de 35 000 $ chacun. Je regardais John, il était écarlate. Je lui demandais : « Tu aurais été capable de faire subir ça à cette fille ? » Sa réponse fût catégorique : « j’aime trop les femmes pour les faire souffrir de cette façon ». En tout cas, j’espère qu’elle ne gardera pas trop de séquelles morales et physiques de son dépucelage, car c’est des coups à devenir lesbienne. Ce spectacle avait été d’une telle violence, que les spectateurs n’en pouvaient plus, je sentais une main se promener sur un de mes seins, je me retournais et constatais que sa voisine avalait son sexe. Mon voisin de devant se retourna, et constatant que mon sexe n’était pas encore occupé, plongea sa main en avant, et entra plusieurs doigts dans ma chatte très largement humidifiée. A mes côtés John avait sur ses genoux une très jeune fille qui lui offrait son cul pour une pénétration anale. Ce qu’il fit immédiatement. Mon occupant changea de position, sortant un sexe en pleine forme de dessous sa toge, je sortais un préservatif du petit sac, lui enfilait, et il me baisa longuement. On eu droit aussi à une vente aux enchères comme ça ce faisait à l'époque; Sur une estrade un homme officiait en vantant les qualités d'une femme complètement nue, Il décrivait ses performances sexuelles, ses préférences. Il la présentait de face en lui écartant les jambes et ouvrant son sexe, de dos en ouvrant largement avec deux doigts son anus jusqu'à le dilater de quelques centimètres. Les enchères montèrent très vite, et ce fut un vieillard qui l'emporta pour 20 000$. La vente prévoyait qu'elle devait rester avec son maître une semaine et assouvir toutes ses volontés. La soirée commençait bien et tout le monde commençait à baiser avec tout le monde. L’esclave de « Caligula » pratiquait une fellation à un des participants, pendant qu’un autre la baisait. Au bout d’un moment, « Caligula » se leva et annonça que le diner était servit, les corps se détachèrent petit à petit et nous nous dirigeâmes vers ce qui était la salle à manger. En fait nous nous sommes tous installés à la romaine, couché sur le côté, pour déguster les mets que nous proposaient les « esclaves » hommes et femmes. De notre position allongée, nous avions une vue superbe sur les sexes des filles et des hommes sous leurs petites jupes. La promiscuité des corps allongés, la transparence des robes, ont fait que très vite, les mains s’égarèrent à nouveau, et je sentis derrière moi, la présence d’un sexe prêt à servir. Je regardais l’homme, il était pas mal, alors poussant mes fesses en arrière, présentant mon cul à sa disposition, après avoir mis un préservatif, il m’encula de toute sa longueur. J’ai participée à pas mal de soirée, mais aucune ne m’avait procurée autant de sensations. Les coïts succédaient aux coïts et la jouissance à la jouissance. A ce moment là je pensais à Justine, la connaissant bien, je suis sur qu’elle aurait appréciée cette soirée. J’allais d’alcôves en alcôves, changeant les plaisirs du féminin au masculin, les deux à la fois, la continuité des rapports multiples sans dis-continué apportent pas leurs nombres une jouissance extrême. En levant un rideau, je suis tombée sur Annabella la directrice de publication de revues érotiques en charmante compagnie de trois jolies filles qui immédiatement me demanda de venir la rejoindre. Après m’avoir embrassé sur la bouche elle plongeât vers mon sexe, et se mit a exercer sur mon clito une série de petites tortures sublimes. John ne m’avait pas menti, cette femme était une experte du cunnilingus.61a Sa langue collée à mon sexe n’en finissait pas de m’envoyer des décharges de plaisir. N’en pouvant plus, j’ai voulu me dégager, mais elle me tenait ferme par hanches, et cela continua un bon moment, Ses doigts allaient et venaient en même temps dans mon vagin déclenchant des orgasmes à répétition dont elle buvait avec plaisir le résultat, sans qu’une seule fois elle ne cesse de me lécher, sucer, mordiller, mon clitoris qui criait au secours. Les trois autres filles s’occupaient d’elle pendant ce temps là, une sur chaque sein et la troisième enfouie entre ses jambes. Quand enfin elle se retira d’entre mes cuisses, je ne savais plus ou j’étais. Entre les multiples pénétrations anales et vaginales et la séance d’Annabella, j’étais complètement KO. Je prenais congé de ma suçeuse de clito après qu’elle m’ai dit que les photos prisent au studio, seraient prêtes le mardi suivant.61b.jpg A ce moment John apparu devant l’alcôve, il se dirigeât vers moi, et me dit : « Alors c’était comment ? » encore essoufflée par la séance, je répondis : « fabuleux, jamais une fille ne m’avait fait jouir comme ça, c’était divin » il me prit alors par la main et m’emmena vers la salle de torture. Là un autre spectacle s’offrait à nos yeux. Des « esclaves » hommes et femmes entièrement nus, étaient attachés par les mains avec des cordes qui pendaient du plafond. Des fouets et cravaches de toutes sortes étaient à la disposition des « bourreaux » c'est-à-dire, nous, les invités. Une grosse femme se défoulait une baguette de bambou à la main sur le corps gracile d’une jeune femme. Elle visait particulièrement ses seins, elle voulait peut-être lui faire payer sa jeunesse et sa beauté. La pauvre fille pleurait mais aucun son ne sortait de sa bouche, sans doute elle ne voulait pas offrir à son bourreau le plaisir de ses cris de douleur. Le chef des bourreaux intervint et arrêta le supplice. Le nombre de coups était limité à dix. La grosse femme avait les yeux complètement exorbités, si on ne l’avait pas arrêté, elle aurait massacrée cette fille. Comme quoi, lorsque l’on met dans une certaine situation des gens sains d’esprits et sans excès d’agressivité, ils peuvent se transformer en tortionnaires. Je demandais à John qui était ces hommes et ses femmes qui sont volontaires, pour subir ces trainements. John me dit qu’Il y avait des étudiants(es), des secrétaires, des femmes de ménages en fait toutes sortes de gens ordinaires pas forcement portés sur le sado maso, mais comme ils étaient très bien rémunérées par le Maitre des lieux, ils subissaient ces tortures pour améliorer leur ordinaire. De temps en temps, il arrive qu’il y ait des vrais maso, et là ce sont eux qui décident d’arrêter la torture. Des hommes flagellaient des femmes ou des hommes et l’inverse, les cris devenaient de plus en plus terribles, et l’excitation de plus en plus forte. John le vit, il me mit une petite cravache dans la main et me poussant en avant vers un jeune homme. Inconsciemment je commençais à le frapper d’abord doucement, sur le dos, puis sur les fesses, puis de plus en plus fort et comme il se débattait dans ses liens, il se retourna de face et me présenta son sexe en pleine érection. Ce fut plus fort que moi, je me mis à fouetter ce sexe tendu de plus en plus fort, qui prenait une couleur rougeâtre au fur et à mesure des coups. Je devenais incontrôlable, heureusement John m’arrêtât, à ce moment je constatais ce que j’avais fait, le sexe du jeune homme était tout rouge, n’y tenant plus et voulant sans doute réparer mes actes, je m’accroupissais, prenais délicatement le sexe dans ma main, approchais ma bouche, et tout doucement je lui administrais une douce et longue fellation. Toujours suspendus par les mains, il avançait son ventre pour s’enfoncer le plus loin possible mais ni tenant plus il éjacula en longs jets chauds et épais au fond de ma gorge. Quelle soirée, je demandais à John, combien de filles il c’était fait, sa réponse fut évasive : « je ne sais pas cinq, six peut-être plus, je n’ai pas compté, mais là je n’en peux plus.» je lui répondais que j’espérais bien qu’il ait gardé quelques forces pour moi en rentrant dans la voiture. « Oui ne t’inquiète pas pour ce genre de soirée, je prends ce qu’il faut avant j’ai encore de la réserve, il faut simplement que je récupère un peu. Je laisserais la vitre de séparation de la limousine ouverte, comme ça tu seras encore plus excitée ». Je m’insurgeais, « tu ne vas pas recommencer ce coup là ? Si tu fais ça en arrivant je baise avec Holden » Sa réponse ne fut pas surprenante : « Chiche ». Décidément, John était vraiment un mari très tolérant, mais comme je l’était aussi, nous sommes vraiment fait pour nous entendre. Nous avons quitté « Caligula » vers 5 heures su matin, John lui demanda s’il pouvait lui donner le n° de téléphone d’Eva son esclave. Il le regarda et lui dit : « Pas la peine, tu lui demanderas toi-même, emmenez là avec vous ce soir si vous voulez, elle n’a rien à me refuser. » Il nous raconta : «Elle est exilée cubaine, sans famille, abusée depuis l’âge de 11 ans par le personnel d’encadrement dans le centre pour orphelins où elle était hébergée. Quand je l’ai trouvée elle n’avait pas encore 15 ans, elle faisait la manche dans la rue et se prostituait dans les quartiers les plus pourris de N.Y. pour survivre. Elle venait de se faire agresser par une bande. Ils l’avaient séquestrée pendant plus d’un mois enchainée sur un matelas en assouvissant sur elle une multitude de sévices sexuels. Ils l’avaient privée de tout sauf de sexe. Elle avait des brûlures sur les seins et sur le sexe, Ils lui avaient percé le bout des seins et le clitoris et pour empêcher que ca se referme, ils lui avaient mis des clous dans les trous pratiqués. Elle marchait hagarde dans une rue, pratiquement nue et la merci d’autres bandes qui l’auraient à leurs tours utilisée comme jouet sexuel. » Il ajouta : « J’ai appelé la police, et après un coup de fil à mon ami le gouverneur, qui me donna son accord, pour que je l'emmène chez moi après un passage par l'hôpital. Grâce à mes connaissances, je lui avais obtenu rapidement une carte de séjour en règle. Je l’ai soignée, habillée, elle a appris les bonnes manières, J’ai pris à mon domicile un prof qui lui a enseigné l’anglais et les matières essentielles. Depuis elle me voue une reconnaissance extrême. J’ai toujours refusé tous actes sexuels avec elle. Elle est libre de rencontrer qui elle veut, mais je surveille discrètement ses relations. Elle a eu 21 ans le mois dernier, Je suis fils unique, je n’ai pas d’enfant, ma femme décédée d’un cancer du sein, il y a 9 ans n’en voulaient pas. Alors je l’ai adoptée officiellement, étant donné ce qu’elle à vécu depuis sa petite enfance, elle mérite bien ça. Elle a créée une Association qui s’occupe des filles, qui comme elle, on connu des sévices depuis leur petite enfance. Quand je ne serais plus là, et si elle ne fait pas de conneries, elle pourra vivre comme une princesse jusqu’à la fin de sa vie.». Pour preuve que l’on peut rouler sur l’or et avoir un cœur grand comme ça ! Et c’est comme ça que nous sommes rentrés à la maison, Holden en a pris plein les yeux dans son rétro et comme je l’avais dit, arrivé à destination, je l’emmenais dans la grande chambre, rejoint quelques instants plus tard par John et Eva. A suivre
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Par : le 04/04/13
Le salaud! Voila ce qui m’était passé par la tête. Il m'avait prévenu que cette journée serait dur.Il m'avait demandé par mp si j'étais prête avant de m'appeler sur msn. Je lui ai dit "oui" timidement mais je ne savais pas à quoi m'attendre. Prête à quoi ? Rien que la première phrase me fait froid....Au moins maintenant,je suis fixée sur le thème de la journée.Je serais humiliée. Avec lui, il faut s'attendre à tout. Et j'avais raison,tous les moyens sont bons pour me rabaisser. Me faire plier ne serait pas assez. Il veut me voir ramper à ses pieds. J'ai tout accepté. J'ai dit "oui" à tout, même quand il m'a présenté sa "soumise" et qu'il lui a dit de m'humilier à son tours. J'ai tout supporté. Tout mon corps si refusait. J'ai tout supporté. Mon âme se révoltait. J'en ai pleuré. Je ne voulais et ne devais en aucun cas refuser devant elle.Pourquoi? je ne saurais le dire...Mais il fallait que je tiennes.Ils m'ont fait toucher le fond (je l'ai cru ce jours la)Au moment où j'allais leurs hurler que "Non,je n'étais pas ça!" Il m'a demandé si je mouillais, réponse "non". Il m'a demander si je pleurais , réponse "oui". "fin de l'humiliation" cette phrase ne m'a pas soulager pour autant. J’étais si tendue que, quand il m'a demander d'aller boire quelque chose de sucré, j'ai eu du mal à me lever.Je ne sais toujours pas pourquoi il me demande ça après les humiliations. Quand je reviens, je suis plus calme. Mais s'était sans compter la phrase de trop "je te punirais demain pour ne pas avoir mouillée" J'aurais pris le temps de réfléchir, de me rappeler, j'aurais su que ce n'était pas vrai. Il me l'a bien dit que les punitions étaient immédiate. Mais je ne pense plus, je ne réfléchi plus et ma phrase fuse "NON!! je suis soumise pas esclave, Maître". C'est tout ce que je peux lui dire alors que j'ai envie de hurler qu'il n'est qu'un taré, un salaud... et j'en passe. Il se fâche, menace. Je ne veux pas me laisser faire. J'ai peur de ses menaces. Tant pis,qu'il détruise ma vie entièrement, je ne veux plus subir ça. Et là! le ton se fait plus doux. Je ne comprends plus rien. Il ne menace plus, il me pose de simples questions. Oui ou Non ,c'est juste ce qu'il me demande de répondre. Doucement, il me fait rentrer dans mon rôle de soumise. Doucement,je me calme. Et je l'écoute me dire pourquoi il a fait ça. Je reste sans voix.Il a raison, la méthode est rude mais je sais jusqu’où je veux aller.Je ne savais pas répondre à cette question ce matin. La discutions continu tranquillement,il m’apprend que les humiliations sont finis et qu'à présent, je n'aurais le droit qu'au bon coté de la soumission (je rigole maintenant,qu'elle cruche!!!) En 5 heures, je suis passée de "aux pieds sale pute" à " tu peux aller te reposer ma soumise". Il me promet que demain ,je serais plus forte. Avec ce que je viens de vivre ,je le crois entièrement. En résumé, on se laisse facilement avoir quand on est novice. Le virtuel peut parfois causer plus de dégâts que le réel. Il touche plus facilement notre cérébral, la douleur en est encore plus forte. Pour ceux qui se posent des questions, cette histoire aura bientôt 3ans, ne cherchez pas une quelconque personne ici.
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Par : le 03/04/13
Je danse. Mes pieds cavalent. J'ai la tête ailleurs. Je touche l'éternité du bout de ma langue qui escapade ses lèvres. Un goût de lointain. Exotique. Une pointe de rhum et de canne à sucre. Il s'étend avec souplesse sur le fauteuil dont il épouse parfaitement les courbes modernes, dépose son verre sur une petite table basse et ferme les yeux. Je papillonne jusqu'à lui, lui mordille délicatement la lèvre et m'enfuis comme une voleuse de baiser vers un couché de soleil californien. Dans la chambre, j'approche du lit et caresse la joue de la jeune fille endormie, étendue sur le ventre, dévêtue. Puis mes doigts suivent le contour des petites étoiles dessinées dans le bas du dos de la belle. La salle de bain me renvoit mon image, par la multitude de miroirs qui couvre les murs, lorsque je m'y introduis. Mes reflets me sourient. Viki
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Par : le 03/04/13
" Johannes ! Je ne t'appelle pas "mon" Johannes, car je sais bien que tu ne l'as jamais été ; j'ai été assez durement punie pour avoir laissé mon âme se délecter à cette idée ; et pourtant je t'appelle mien ; mon séducteur, mon trompeur, mon ennemi, mon assassin, l'auteur de mon malheur, le tombeau de ma joie, l'abîme de mon infortune. Je t'appelle mien et je m'appelle tienne, et de même qu'autrefois cela te flattait les oreilles, toi qui fièrement t'inclinas pour m'adorer, à présent cela doit sonner comme une malédiction sur toi, une malédiction pour toute l'éternité. Ne te réjouis pas en pensant que j'aie l'intention de te poursuivre ou de m'armer d'un poignard pour t'exciter à des moqueries ! où que tu fuies, je suis pourtant tienne, va jusqu'au bout du monde, je resterai pourtant tienne, donne ton amour à des centaines d'autres, je suis pourtant tienne, oui à l'heure de la mort je serai tienne. Le langage même dont je me sers envers toi doit te prouver que je suis tienne. Tu as eu l'audace de tromper un être de telle façon que tu es devenu tout pour cet être, pour moi, et que j'aurais infiniment de plaisir à devenir ton esclave, - je suis à toi, je suis tienne, ta malédiction. Ta Cordélia. " S. Kierkegaard, Le Journal du séducteur
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Par : le 28/03/13
Tout en étant assis, j’écoute Pauline lire sa confession, avec plaisir je l’avoue, avoir une jeune femme qui vous fait une confession d’une telle pureté, puisant dans son âme, la force nécessaire pour parler de ce qu’elle appelle « cette chose » est un véritable trésor. Pauline me regarde à nouveau, elle cherche quel que chose dans mon regard, est ce qu’elle souhaite se relever ? Est ce qu’elle cherche une réponse à ce qu’elle vient de me lire ? Je ne sais pas, ce que je vois en revanche c’est une jeune fille qui vient de se mettre complètement à nue, elle a posé les dernières armes de son intimité, à mes pieds, moi homme qu’elle connait que depuis quelques heures. Et j’avoue qu’en partant de chez moi cet après midi, je m’attendais à beaucoup de choses mais certainement pas à cela et j’ose avouer, dans un moment de faiblesse, que Pauline me prend au dépourvue et me met dans une situation, dont le contrôle m’échappe, mois dominateur, habitué et ayant une certaine expérience de la vie. Est-ce que cette situation me fait peur ? la question peut légitimement se poser, vais-je répondre à cette demande ? Cette question commence à me traverser l’esprit. Je me lève et m’approche de Pauline qui reste en position, je fais le tour de sa personne en prenant soin de ne pas la regarder dans les yeux, la laissant ainsi avec ses questions sans réponse. En revanche deux de mes sens se mette en éveil, l’odorat, le parfum de Pauline enchante mes narines, ce parfum sucrée est agréable, le second est l’écoute j’entends la respiration de Pauline, elle est saccadé, Aurait elle peur ? Est ce de l’excitation que j’entends ? A moins que se soit l’appréhension de ce qui va se passer dans un futur qui semble proche. Voir un mélange des trois. Après avoir fais le tour je m’assoie à nouveau face à Pauline. Elle va avoir ce qu’elle recherche, cette « chose » comme elle l’appelle, je vais combler son besoin de savoir, mais je vais le faire à ma manière, alliant douceur et sévérité afin qu’elle puisse découvrir les bienfaits de la fessée (quelle soit érotique ou punitive), qu’elle puisse enfin jouir de celle-ci de manière ouverte ! - Bien Pauline, tu a fait ce que je t’ai demandé, tu ma à réussi à écrire ce que tu ressens, et ce besoin que tu a d’être fessée, et je vais t’offrir ce que recherche (Pauline se met à sourire..un peut trop à mon gout d’ailleurs) mais je vais le faire à ma façon. - (le sourire disparait un peut laissant place à un doute) c'est-à-dire ? - Tu verras cela en temps utile, maintenant tu va te lever, t’approcher de moi et t’allonger sur mes genoux. Pauline se lève, s’approche doucement, et ce couche sur mes genoux. Mes yeux se perde dans la splendeur de ses fesses, offrant à mes yeux une vue imprenable sur son intimité. Je vois que la situation ne la laisse pas indifférente puisque son sexe est humide, est ce la situation qui met en éveil le corps de Pauline, ou son corps anticipe la fessée qu’elle va recevoir ? Je prends le temps de découvrir ses fesses, après la vue, vient le toucher, je caresse ses fesses, elles sont douces et ferme. La première claque tombe sur sa fesse droite, marquant ainsi le début de cette fessée. La seconde sur la fesse gauche un peut plus forte, Pauline pousse un premier cri de surprise. La fessée monte progressivement en intensité au point de sentir Pauline bouger sur mes genoux, non pas pour éviter cette fessée, mais pour aller au contact de ma main. Depuis le temps qu’elle attend de découvrir cette « chose » elle veut profiter au maximum de cet instant, au point de ne pas sentir la douleur de la fessée. Ce que Pauline ne sait pas, ceci n’est que le début de la fessée que je lui réserve. Après 10 minutes de cette fessée qui aura permit au sens de Pauline de se mettre en éveil, je m’arrête, elle à l’air surprise et frustré par cet arrêt prématuré. Je demande à Pauline de se lever et d’aller se mettre au coin, elle se dirige vers se coin, et je ne peut pas m’empêcher d’admirer cette paire de fesses, entre le rouge qui est venu prendre possession de ses fesses et la couleur naturelle de sa peau, me yeux se délecte de ce spectacle. A quoi pense-t-elle ? Aucune idée, mais je suis sur qu’elle commence enfin à mettre un nom à ce qu’elle vient de recevoir, que sa curiosité commence à être satisfait. Je m’approche du placard qui avait fait frissonner Pauline plus tôt dans l’après midi, je l’ouvre et en sors trois instruments pour la fessée, ainsi que deux autres objets…….je vous invite à imaginer quels sont ses instruments et objets. A Suivre
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Par : le 26/03/13
Un après midi pas comme les autres. Avant de vous parler de cette après midi je vais, évoquer, le contexte et l’environnement de celle-ci. Une fois n’est pas coutumes, ce moi de mars fut chaleureux et ensoleillé, j’avais donc décidé, d’aller me balader dans les rues commerçantes du quartier Saint Michel à Paris. Sans but précis, juste de profiter de ce merveilleux soleil et flâner au milieux des petits commerces et restaurant qui abonde ce quartier. Bien que nous ne soyons pas en période de vacance, les touristes étaient aux rendez vous. Magasins de souvenir archi plein, et les restaurants ne désemplissait pas, à croire que même a cet heure la, certains estomac criait encore famine. Mais je suis conscient que je ne suis pas la pour vous parler de ce que chacun dégustait (j’en serais incapable ne sachant pas moi-même ce qu’ils avaient pris). Au détour des différentes ruelles de ce quartier je suis tombé sur une petite boutique qui paraissait être délaissé par les touristes et autres passants. Afin de comprendre pourquoi, j’ai osé m’aventuré dans cette boutique. En entrant dans cette boutique rien ne paru me choquer au premier abord, des bibelots ancien, des livres tout aussi ancien… Rien de bien intéressant en soit, me dis je, et puis mon regard c’est porté vers un objet que je n’avais pas vue jusque la….un martinet, me demandais bien ce que cet objet pouvais faire a cet endroit. Et la mon esprit commença a divaguer quand à l’utilisation que je pourrai faire de cet instrument sur une paire de fesses…cette pensée fut vite écourté par le souffle d’une personne se trouvant derrière moi, et que je n’avais pas vue s’approcher…. En me retournant je vis une jeune femme, d’une vingtaine d’année (23 ans, sa je l’apprendrai plus tard). Je la regardai dans les yeux, des yeux magnifique, puis mon regard descendit vers le reste de son visage et je vis un sourire, petit sourire en fait, les lèvres légèrement tendu. Puis je senti quelque chose de particulier, la demoiselle frissonnait légèrement, mais suffisamment pour que sa se ressente (sa respiration était saccadé). J’osai le bonjour de politesse, auquel elle répondit avec une certaine surprise. Elle ne s’attendait pas à ce que je la salut, puis elle engagea la conversation : - C’est la première fois que je vous vois dans cette boutique - En effet j’ai profité du temps pour m’égarer dans les ruelles du quartier, et toi c’est la première fois que tu viens ici ? - Non, je suis habitué, je viens pour lire certains livre ancien, la propriétaire me laisse les lire, en échange je garde la boutique en son absence. - Pourtant en arrivant je ne t’ai pas vue lire, pas vue tout court, et je te retrouve derrière moi a regarder un objet qui ne ressemble en rien à un livre (tournant la tète vers le martinet, son visage devint rouge). - Heu…oui….mais non, hum c’est un hasard, je vous ai vue entrer et comme je surveille la boutique…enfin vous comprenez. - Non je ne comprends pas du tout, sauf que tu me montes un grand mensonge et je suis certain que cet objet (pointant mon doigt vers le martinet) t’aiderai à dire la vérité ! Elle n’en répondit point, mais la couleur rouge de ses joues en disait long sur la réaction produit chez cette jeune femme. Afin de pousser un peut plus loin : - A quelle heure revient la patronne de la boutique ? - (apeuré) pourquoi cela ? - Je vais acheter ce martinet pardi, je suis sur qu’il sera à sa place avec les autres - (avec un ton de voix faible) vous en avez d’autres ? - Pardon j’ai pas bien entendu - (plus fort, mais avec un visage rouge) vous en avez d’autres ? - Je pensais que sa ne t’intéressais pas ? mais oui j’en ai d’autres…et pas que cela. - (encore plus rouge) vous avez quoi d’autres ? - Tu es bien curieuse jeune fille. - (toute rouge mais ne répondant pas) - Laissons ce martinet ici et viens avec moi je vais te montrer ce que j’ai d’autres. Contre mes attentes elle fit signe de la tète et nous quittâmes la boutique….la laissant aussi déserte qu’au début. Pendant le chemin, j’appris qu’elle s’appelait Pauline, qu’elle à 23 ans, qu’elle fait des études de Sociologie et qu’elle est originaire de Toulouse. Je senti quel que chose de particulier en écoutant cette jeune femme, la voix qu’elle prenait, sa façon de marcher, de me regarder, ses gestes. Autant de signes en contradiction avec l’habitude. Que recherchait cette jeune femme et pourquoi accepter cette invitation, alors qu’on ne se connait pas ? Enfin arrivé chez moi, je la fit entrée lui proposa une collation, qu’elle refusa poliment et je senti que sa seule envie était de voir ma collection d’instrument à fesser. Ouvrant le placard aux merveilles je vis son regard alliant charme et envie, elle s’approcha et toucha les instruments qu’elle vit. Je la laissais découvrir chaque instrument tout en me délectant du spectacle, puis au bout de 10 minutes, je m’approchai et ferma le placard. Elle me regarda avec surprise et frustration. Oui frustré car je lui enlevais le plaisir de voir l’objet d’un désir qui se trouve au plus profond de son âme et de son esprit. - Maintenant que tu a vue cette collection, tu va m’expliquer se désir que tu a envers les instruments que tu a vue, touché et senti. - (rouge et serrant ses mains devant elle) heu….je sais pas Monsieur, c’est inexplicable je sais pas ce qui m’attire vers eux. - Dommage j’étais prêt a te faire gouter à certain d’entre eux, afin de satisfaire ta curiosité, mais comme tu n’a pas l’air d’en avoir envie…. - Hein…vous feriez cela, vous utiliseriez ses instruments sur moi ? - Si tu me dis pourquoi ils t’attirent, je veux bien y penser. - (très gêné par la situation) je ne sais pas comment l’expliqué depuis quel que temps je suis attiré par la fessée, mais c’est très compliqué dans parler. - Bien je comprends, tu veux recevoir une fessée, je vais te la donner, mais avant tu va m’écrire un texte dans lequel tu va me décrire ce que tu ressens. Et tu me liras ce texte. - Bien Monsieur. Par la suite je lui donnai un stylo à plume et une feuille blanche, je l’installa en face de mon bureau. Après une bonne heure, je vois Pauline ce lever et se diriger vers moi, elle arrive lentement tète baissé, tel une jeune fille prise en faute. - J’ai fini monsieur - Qu’à tu fini Pauline, je ne comprends pas - (rougissant à nouveau) bah ce que vous m’avez demandé - Je ne me souviens pas, peut tu être plus précise dans ce que tu dis - Le texte….le texte que vous m’avez demandé d’écrire, celui où je parle de mon intérêt pour la fessée - Ahh, nous y sommes enfin, je vais te laisser me lire ce texte, mais avant je veux que tu baisses ton pantalon et ta culotte et que tu te mettes à genoux sur le parquet. Elle relève la tête d’un coup ne croyant pas ce qu’elle venait d’entendre, elle pense même avoir mal entendu. Elle me regarde, essaye de chercher une échappatoire, de trouver du réconfort ou un contre ordre, à ce que je viens de dire. La seule chose qu’elle voit, c’est mon regard impassible qui attend qu’elle fasse ce que je lui demande. Après avoir réfléchis Pauline ce décide à faire ce que je lui demande. Elle porte ses mains vers son pantalon, baisse la braguette de celui-ci et le fait descendre jusqu’à ses chevilles, puis d’un geste fait la même chose avec sa culotte qui prend la même direction que le pantalon. Puis ce met à genoux. - Bien, je t’écoute - Avant de vous parler de mon intérêt pour la fessée, je souhaite vous faire part de mon sentiment de honte. Honte que j'ai à mettre des mots sur une chose qui est ancré au plus profond de mon intimité. Honte également car jusqu'à maintenant je n'ai jamais réussi à parler de cette chose qui me laisse pas indifférente et qui, au contraire, crée une chaleur et une envie à chaque fois que j'y pense. L'intérêt que j'ai pour la fessée n'est pas venu comme çà, où plutôt elle c'est révélé à moi lors d’un repas familiale. Ma cousine âgé alors de 12 ans (et moi de 16 ans) a été surprise entrain de mordre sa petite sœur, provoquant la colère de son père. Pour la punir de son méfait, il appela sa fille et lui demanda de se déculotter. Ma cousine complètement honteuse s’approcha de son père en baissant son pantalon, et à ma grande surprise sa culotte aussi. Après avoir pris place sur les genoux de sont papa, ce dernier lui claqua les fesses avec force. De mon coté la situation me laissa pas indifférente jusqu’à jalousé la place de ma cousine. Une sensation agréable envahie mon intimité, au point de demander l’autorisation de quitter la table un moment pour aller au toilette afin de pouvoir « soulager » cette sensation, qui m’était alors inconnu. Depuis ce repas familiale, mon esprit est hanté par la fessée, mon corps est aussi en ébullition quand mon esprit pense à cela. Au point d’avoir changer mon caractère. Mes parents n’ont jamais eu besoin de me donner la fessée enfant, étant d’un naturel calme et obéissant, elle ne c’est jamais imposé à la maison. Mais après avoir assisté en spectatrice impuissante au spectacle de ma cousine, mon caractère est devenu moins sage et plus rebelle vis-à-vis de mon entourage, au point de subir les pires sermons que ma chère mère me dispensait. J’avais envie de leur dire « au lieu de me souler avec tes sermon prend moi sur tes genoux et donne moi une bonne fessée », jamais eu le courage de le leur dire, peut être par peur d’être jugé et considéré comme folle. En même temps aurait il eu tort, ce n’est pas banale de demander a 16 ans une fessée cul nue. Et à défaut de la recevoir en vrai, je m’imagine souvent le recevant, ce qui me procure un plaisir défendu que je soulage en cachette quand je suis seule dans mon lit. Encore une grande honte que devoir dire que je me masturbe en pensant à la fessée, mais que c’est bon. Ainsi devant vous Monsieur, je me mets à nue, je vous offre cette chose que j’ai de plus secret, et je souhaite que vous me donniez cette fessée qui hante mon esprit depuis 7 ans maintenant. Je vous demande ainsi de me fesser pour, qu’enfin, je puisse découvrir cette chose qui me hante et me procure autant de plaisir.
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Par : le 26/03/13
New York. le 7 janvierNoel et le Jour de l’An sont passés. Ce sont des fêtes que je n’apprécie pas forcement. Pour Noël, mes parents sont venus, et j’ai réussit à faire venir mon frère avec sa femme et ses deux enfants. Il a convaincu sa femme d’enterrer la hache de guerre avec sa belle mère, un événement. De son côté seule la mère de John était présente, ses parents étant divorcés et John en veut à son père de s’être conduit avec sa mère comme un beau salaud. Bruno était resté au grand plaisir de Justine, Melissa et Joé étaient repartis pour passer les fêtes en famille Joé à Saint Barth et Mélissa à la Guadeloupe où habite sa famille.John m’a fait un superbe cadeau, une voiture de sport de marque allemande. Il s’est beaucoup amusé en me voyant descendre de la voiture pour la première fois, il a eu droit à une vue imprenable sur mon entre-jambes nu. Il va falloir que je m’habitue à ne pas écarter les jambes pour descendre de cette voiture. Enfin c’est un détail après tout si ça fait plaisir à ceux qui regarde, moi ça ne me dérange pas, c’est mon côté exhibitionniste.Tout ce petit monde est reparti, à l’exception de Bruno à qui John a proposé un job intéressant dans sa boite d’import-export avec pas mal de voyages en vue, ce qu’il a accepté avec joie. Et la vie à retrouvé un peu de calme.Un soir, en rentrant de ses bureaux, John nous annonça que nous étions invitez à une soirée. Je vous avais parlé de ce magnat du pétrole qui organisait, des soirées échanges de partenaires pour subvenir aux besoins financiers de son association. Et bien il s’agissait de cela.Justine et Bruno faisaient partie de la fête s’ils le voulaient. Un peu inquiet quand même, ne sachant pas sur qui le sort leur ferait partager une nuit d’ébats sexuels car il ne s’agissait que de sexe, les sentiments restant aux vestiaires. Il pouvait s’agir d’un jeune homme ou d’un homme plus âgé, idem pour les hommes.Le jour en question, en fin d’après midi, J’ai pris la Porsche avec John et Bruno empruntât la limousine de John avec Justine pour nous rendre à la résidence d’Aaron. Car il fallait obligatoirement avoir une voiture pour ramener l’heureuse élue au domicile du Monsieur. Aaron possédait une superbe propriété à Mamaroneck, située à quelques kilomètres de New York, ce petit village à la campagne offre un cadre de vie idyllique avec ses plages et son port ou sont amarrés de superbes bateaux de plaisance. Arrivé à la propriété, Aaron nous accueilli en nous remerciant d’être venu tous la quatre à sa petite « sauterie ». Content surtout de récolter 2 fois 10 000$ pour notre participation et celle de Justine et Bruno.l y avait une bonne trentaine de couples, de tout âges, des jeunes mariés comme des couples n’ayant plus grands choses à se dire et qui trouvaient dans ces soirées le moyen de renouer avec leur jeunesse pourvu qu’ils aient la chance de tomber sur des hommes et des femmes plus jeunes qu’eux.Après quelques coupes de champagne et amuse-gueules, le tirage au sort commença.Tous les participants mâles avaient mis dans un petit sac de velours leurs clefs de voiture ainsi que leur noms le tout mis dans une grande vasque en verre. Je tenais serrée la main de John car ayant remarqué quelques hommes d’un âge plus que dépassé, j’avais une peur bleue de tomber sur eux. Justine partageait mon angoisse.Nous avions reçu en entrant un numéro qui déterminait l’ordre de passage. La première sur la liste tira le premier sac, et annonça le nom de l’heureux gagnant. Cette femme d’une quarantaine d’année n’était pas très belle physiquement mais il se dégageait d’elle une superbe prestance doublée d’un rien d’érotisme. L’homme choisit fut un homme nettement plus jeune qu’elle. Elle en parue très heureuse et tant à lui il avait l’air content du choix.Les femmes se succédaient les unes derrière les autres, et puis vient le tour de Justine, elle prit le sac, retira la clef et lu le nom de l’homme avec qui elle allait passer la nuit jusqu’au lendemain midi. Un homme d’une cinquantaine d’année se présenta, vêtu d’un élégant costume sombre, les cheveux grisonnants coupés courts et des yeux d’un bleu soutenu. Justine soupirait, j’étais content pour elle. Il s’approcha d’elle, lui fit un baise main et se présentât. Puis il prit Justine par le bras et l’entrainât après avoir dit à Bruno qu’il ne s’inquiète pas, qu’il prendrait bien soin d’elle. Puis ils partirent tous les deux, sa femme ayant déjà choisi son cavalier.Puis vint le tour d’une femme d’une vingtaine d’année, elle tira un sac et annonçât : « John Steven». Je regardais John et lui disait à l’oreille, « salaud, moi qui voulait que tu te tapes une vieille, c’est raté et tu ne la baises pas dans notre lit OK ? ». John hocha la tête en souriant pour me dire qu’il avait compris le message, me dit au revoir et se dirigea vers la fille. Blonde aux yeux verts, elle avait une poitrine « à l’américaine », et était assez jolie avec un air de salope très prononcé. Bruno s’impatientait quand il entendit son nom, Il regarda qui l’avait appelé et découvrit une fille d’une trentaine d’année, de type asiatique, grande et belle avec des cheveux jusqu’au fesses. Je lui disais «Et bien tu ne vas pas t’embêter ». Il m’embrassât et partit rejoindre la fille. Et vint mon tour. Il restait dans l’assistance une dizaine de couples dont une majorité d’hommes visiblement de plus de cinquante ans. Je tirais un sac et annonçait le nom, l’homme tiré au sort leva la main et je découvris ce que je redoutais, mon partenaire devait avoir au moins soixante ans. Il portait beau, soigné dans son apparence, les cheveux blancs assez longs, mais vieux. Je me disais que peut être, comme il participait à ces soirées il devait être un pas trop mauvais coup au lit, enfin on verra bien.Il me prit par le bras et m’emmena aussitôt vers sa voiture, Son chauffeur attendait, il nous ouvrit la portière et nous sommes installés dans cette limousine grande comme un wagon de chemin de fer, avec télévision grand écran, bar chaine Hi-Fi. Enfin toute la panoplie des gadgets indispensables pour montrer aux autres sa réussite sociale. Il se présenta, il se prénommait Darren, il était retraité de la banque, il avait 65 ans ! Il se mit à rire en me disant que sa femme était parti avec une petit jeune, et que lui avait le bonheur d’être choisit par une femme jeune. Il y avait dans son propos une certaine philosophie.Nous sommes arrivés à son appartement donnant sur Central Park. Dernier étage avec une grande terrasse. Et une vue magnifique sur cet air de verdure en plein milieu des immeubles. Je me débarrassais de mon manteau de fourrure, Il me proposât un verre, que j’acceptais, et au moment de trinquer à notre nuit à venir, il m’embrassât dans le coup, mais sans empressement.Il me dit alors qu’il avait prévu de diner ici, un traiteur devant apporter à 20 heures le repas, et que si je voulais utiliser la salle de bain, elle était à ma disposition. Il se dégageait de cet homme un curieux sentiment, je n’arrivais pas à le cerner. Je luis demandais si il pouvait me faire visiter l’appartement, « bien sûr » me dit’ il « suivez moi ». Derrière le salon il y avait une salle à manger donnant sur une cuisine immense, puis un couloir qui conduisait aux 6 chambres toutes avec salles de bains.Je m’apprêtais à ouvrir la dernière dans ce couloir, quand il me prit la main, la porta à sa bouche et après un baiser, me dit : « non pas celle là ». Je me disais peut-être est’ elle en travaux ou je ne sais quoi. Je lui demandais de me rendre dans une salle de bain pour me refaire un peu de maquillage.Revenu au salon je le trouvais assis dans un canapé buvant une coupe de champagne. Il m’invitât à m’assoir à coté de lui, je me disais que les choses sérieuses allaient commencées. Il m’offrit une coupe, je trempais mes lèvres et reposais le verre. Il s’était mis de côté et me regardais. Je portais pour l’occasion une robe en soie, très décoltée dans le dos, et pour une fois un porte-jarretelles et des bas, mais ne pouvais concevoir de porter une culotte, n’ayant jamais mis de sous-vêtements depuis mon enfance.Il se rapprochât de moi, posa sa main sur ma jambe et remontant le long de ma jambe elle atteint ma cuisse qu’il caressât doucement, puis continuât son ascension. Il eu moment d’hésitation quand il s’aperçut que mon sexe était libre de tout obstacle, sa main alors se posa sur mon sexe, le majeur en avant, j’ouvrais les jambes pour lui permette une caresse plus profonde. Sa main allait et venait sur mon clitoris, il était très adroit, et il ne tarda pas à réveiller chez moi les prémisses d’un orgasme. Il s’en aperçu et appuya encore plus sa caresse qui débouchât sur un orgasme. Je me penchais alors sur lui, dans le but de lui rendre sa caresse, mais il m’arrêtât immédiatement en disant pas tout de suite.Puis il me demandât de me déshabiller entièrement ne gardant uniquement porte jarretelles bas et chaussures. Je luis faisais remarquer qu’il était presque vingt heures et que le traiteur n’allait pas tarder. Il balaya ma remarque d’un geste de la main et posant ses mains sur mes épaules il fit glisser ma robe jusqu’à terre. Je me retrouvais nue dans ce salon, et dans l’attente du traiteur. Quelle tête il fera en me voyant, il détournera les yeux où au contraire me regardera fixement ?. J’avoue que cette situation ne manquait pas de piments et m’excitais plutôt.A vingt heures, sonnerie de l’interphone, c’était le traiteur, Darren me demandât de me mettre debout, et de regarder par la baie vitrée. Pourquoi pas. Cinq minutes plus tard on sonnait à la porte de l’appartement, Darren alla ouvrir et j’entendis plusieurs voix dont celle d’une femme. Je restais impassible quand ils entrèrent dans le salon pour se diriger vers la cuisine. Je devinais leurs regards posés sur moi. Darren vint vers moi et me dis que nous passerons à table dans un quart d’heure. Il était derrière moi, ses mains posées sur mes seins, je sentais le souffle de sa bouche dans mon coup, Il descendit sa main sur mon corps jusqu’à atteindre mon sexe, qu’il recommençât à caresser. Je m’offusquais en prétextant la présence du traiteur et de la femme, mais il continua son travail de sape sur mon clitoris, déjà mis en forme par la séance précédente, je tenais debout à peine, il était très doué. Je n’en pouvais plus, c’est alors qu’en entendis venant de la salle à manger, « Madame est servie ». Darren retira sa main avec regret, et nous nous sommes dirigés vers la salle à manger.Et là énorme surprise, il n’y avait pas une femme et un homme, mais une femme et deux hommes, qui ne portaient pour simple vêtements, pour les hommes un nœud papillons et pour la femme un mini tablier blanc qui ne cachait rien de son anatomie. Ils étaient tous les trois jeunes. Ils restaient donc pour nous servir le repas. Ca c’est typique Etats Unis, on peut faire tout et n’importe quoi, même se faire servir un repas par des hommes et des femmes à poils dans son appartement.Le repas se déroula très bien, Quand un des hommes me servait, j’avais son sexe à vingt centimètres de mon visage, ça ne m’étais encore jamais arrivé. Puis vint le dessert et la fin du repas. Darren m’invita à le suivre au salon pendant que le « personnel » débarrassait la table et rangeais tout dans la cuisine. Darren debout, il me demanda de me mettre à genoux, je compris tout de suite son souhait, j’obéissais, et descendais sa braguette, en me demandant ce que j’allais trouver.Je sortais son sexe avec difficulté en m’apercevant qu’il était dans une bonne forme, je ne devrais pas trop regretter ma soirée et ma nuit. Je prenais son sexe dans ma bouche et commençais une fellation profonde comme je les aime. Darren soupirait, je m’activais de plus en plus vite et de plus en plus loin, jusqu’au moment où n’y tenant plus, il déchargeât au fond de ma gorge en longs jets épais et chauds. C’était incroyable la quantité de sperme que j’ai du avaler. A mon avis il devait y avoir un moment que sa femme ne l’avait pas sucé, pour avoir une telle éjaculation. Quel dessert !Pendant ce temps les serveurs avaient finis de tout ranger, Je pensais alors qu’ils allaient partir, mais pas du tout, ils vinrent nous rejoindre tous les trois dans le salon, la fille avait retiré son tablier ce qui laissât apparaître un sexe complètement épilé et qui commençait très haut. Je me tournais vers Darren en lui témoignant mon étonnement, il me répondit que la suite était comprise dans le service. Un des deux s’approchât de moi me pris par la taille et me fit m’allonger sur une table basse. Il ouvrit mes jambes et posa sa langue sur mon clito. La soirée commençait plus que bien. Il était doué et sentant que j’allais jouir, il vint s’allonger sur moi et me pénétra d’un cou après avoir mis un préservatif..Il fit durer le plaisir un bon moment et n’y tenant plus il joui en même temps que moi. En me remettant de mes émotions, je constatais que Darren était à son tour entièrement nu, que la fille léchait les couilles de serveur pendant que ce dernier sodomisait Darren. Ce beau monsieur marchait à voile et à vapeur.Une partie de la soirée continua jusqu’au moment ou Darren proposa de changer de pièce pour continuer nos ébats. Sur le moment je ne compris pas quand il me mit un bandeau sur les yeux, puis il me prit pas la main et m’entraina dans le couloir. Je l’entendis ouvrir une porte, puis eux bras me soulevèrent et je me sentis posé sur une table. Sans que j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, je me suis retrouvée les pieds et les mains liés aux quatre coins de la table, une sangle passant sur mon ventre complétait mon immobilisation. Les yeux toujours bandés, j’ai été pris de panique, et pour étouffer mes cris ils me mirent dans la bouche une balle en caoutchouc attachées derrière la tête.Dans quel merdier j’étais, qu’allaient-ils me faire ? Tout tournait dans ma tête. Ils me retirèrent mon bandeau et je vis ou je me trouvais. Sans doute dans la pièce qu’il n’avait pas voulu me montrer. Elle était entièrement tapissée de noir, pendaient aux murs des tas d’ustensiles, des fouets de toutes sortes, des pinces, des cordes, des menottes, sur une table était disposés des bougies dans des verres, une boite en métal contenant des aiguilles hypodermiques, des pinces de chirurgie etc.. il y avait aussi une armoire à pharmacie ! Darren s’approcha de moi, me caressant les seins il me dit : « maintenant les choses sérieuses vont commencées. » et ça ne tarda pas.Je ne suis pas une adepte de sado masochisme, et j’ai même une certaine aversion à participer à ces séances, la douleur physique qu’elle soit pour moi ou pour les autres m’a toujours fait peur, mais là on ne m’a pas laissé le choix. Le plus grands des deux hommes, celui qui avait sodomisé Darren, s’approcha de moi, Il avait dans la main un petit objet doré comme un petit tube, d’un centimètre de diamètre. Il l’ouvrit en deux, dans le sens de la longueur ce qui le fit ressembler à une sorte de pince longue de cinq centimètres environ dont les bords étaient munis de petites dents. A l’intérieur il y avait un piston sur un ressort muni à son extrémité d’une aiguille fine et longue d’un bon centimètre. Le piston sortait à l’extrémité du tube. Il m’expliqua alors son fonctionnement. Il allait poser cette pince sur mon clitoris le piston vers le bas et qu’ensuite quand il me baisera, son ventre appuyant sur le piston, l’aiguille rentrera de toute sa longueur dans la partie le plus sensible de mon sexe.Il prit ensuite un tube de crème et m’enduisis mon clito en le massant bien avec cette pommade. Trente secondes plus tard un froid intense suivit d’une forte chaleur fit que mon clitoris avait triplé de volume. Il plaça alors la pince avec le piston à la base de mon clito. Les petites dents mordirent mes chaires et je sentis une forte douleur. Grimpant sur la table je le vis s’allonger sur moi et il me pénétra d’une seule poussée. C’est quand son ventre toucha mon sexe qu’une douleur fulgurante m’irradia mon sexe provoquant comme une décharge électrique. J’étais chez les fous !L’aiguille venait de pénétrer mon clito de toute sa longueur, et la douleur recommença à chaque fois que le ventre de mon bourreau touchait mon ventre. L’aiguille entrait et sortait en permanence. Ce supplice dura jusqu’au moment et il éjacula et grognant comme un cochon, et en s’appuyant de toutes ses forces sur mon sexe. Il se retira, descendit de la table, me regarda puis pour mieux voir ma réaction appuya plusieurs fois sur le piston. Il semblait jouir de me voir torturer de la sorte puis il retira l’engin de torture de mon sexe. Mon supplice avait mis tout tous leurs états ses comparses car les deux hommes se masturbaient et la fille avait pratiquement enfoncée sa main dans son vagin et se tordant de plaisir.Je me demandais comment Aaron avait pu inviter à cette soirée un tel individu. Je pensais avoir fini avec ça, mais j’étais loin du compte. Ils me nettoyèrent mon sexe ensanglanté, puis jugeant que j’étais remise en forme, Darren demanda à la fille de posé sur mes lèvres intimes une pince de chaque côté. Les deux mâchoires de ces pinces mordirent mes chaires sensibles, puis ils attachèrent chaque pince avec un gros élastique à mes cuisses, ouvrant ainsi mon sexe. Puis prenant un sexe en plastique de grande taille, sans aucune précaution, elle le fit entrer jusqu’au fond. De ce que pouvait voir en me tordant dans mes liens, deux fils sortaient de sa base. Ils fixèrent ensuite sur les pinces deux fils électriques. Ils relièrent ensuite le tout à un petit boitier, muni de boutons et de voyants. Darren s’empara du boitier et alluma le boitier, aussitôt, une décharge électrique m’envahi le bas ventre, il jouait avec les boutons augmentant et diminuant l’intensité. Je ne sais pas combien ça a duré, mais il me paru interminable.Ils retirèrent le tout et sans attendre que je récupère, Darren alla chercher trois verres contenant les bougies allumées. La bougie fondue tremblait au dessus du verre. Il donna un verre a chacun des deux hommes et en gardant un pour lui. Ils approchèrent deux verres au dessus de mes seins et l’autre au dessus de mon sexe, et ils versèrent doucement le contenue des bougies fondues. La douleur la plus forte fut celle sur mon sexe, ouvert comme il était par les pinces et les élastiques, la bougie avait coulée profondément dans mon vagin. Je hurlais dans mon bâillon, mais ils semblaient complètement insensible, car ils se masturbaient de plus belle. Le contenu vide, ils attendirent que la bougie ai refroidie et ils la retirèrent de mes seins et mon sexe.Darren dans un état d’excitation extrême monta sur la table et m’introduisit son sexe, dans mon vagin meurtri. Un des deux hommes se mit derrière Darren et il l’encula, la fille ne resta pas inactive, me retira mon bâillon, et monta également sur cette table elle vint s’assoir sur ma bouche, la tête vers la bas de mon corps, son sexe collé à mes lèvres, le second homme la sodomisant.Comment allait se terminer cette séance de torture, ils devaient bien se douter que sortant d’ici, je porterais plainte, ce qui accentua encore ma panique. Je n’avais plus aucun repaire de temps, lorsqu’on entendit la sonnerie de la porte de l’appartement. Darren grogna mais continua ses vas et vient. C’est après une nouvelle série de sonneries et de coups dans la porte qu’il se décida à aller ouvrir. Il enfila un peignoir et se dirigea vers l’entrée de l’appartement. Puis tout se passa très vite, il y eu des cris, j’entendis le mot « police », et un policier en uniforme entra brusquement dans la pièce, Il braqua les trois acolytes, qui furent immédiatement immobilisés.Puis j’ai vu John arrivé, il se précipita sur moi, me détacha de mes liens et me prit dans ses bras. Je me suis mise à pleurer en gros sanglots incapables de dire un mot. Sur un appel des policiers, deux infirmiers arrivèrent un peu plus tard, on m’a mis sur une civière et direction l’hôpital. Ils me gardèrent deux bonnes heures, le temps de constater que mes blessures étaient plus douloureuses que graves. John me ramena à l’appartement. En chemin, je lui demandais comment il avait su ce qu’il pouvait se passer au domicile de ce fou.C’est assez simple, c’est lorsque tout le monde est parti de la résidence d’Aaron après avoir diné, qu’en regardant les chèques, il s’aperçut qu’un chèque comportait un nom qui n’était pas sur sa liste d’invité. Il ne connaissait pas visuellement toutes les personnes inscrites. Pensant que ça pouvait être un chèque volé, et dans le doute il téléphona à un de ses amis chef de police qui lui promis de le rappeler après s’être renseigné. Il lui confirma vers onze heures, que ce nom correspondait à un homme déjà arrêté il y a quelques années pour séquestration, viol et torture. Il avait échappé à la prison par on ne sait quels connivences. Riche à millions il était passé au travers de l’emprisonnement. Ayant son adresse, ils décidèrent d’intervenir immédiatement.Vers midi, Justine puis Bruno sont revenus au domicile, Justine me voyant dans un état pitoyable, me demanda ce qu’il c’était passé, je lui expliquais alors mes séances de torture. Bruno fou de rage frappait les murs de ses poings en traitant mon bourreau de tous les noms.Pour Justine, son amant d’un jour, malgré son âge avait été formidable, et la maitresse de Bruno lui avait fait découvert l’exotisme de certaines positions propre à ses origines. Tant qu’à John, la nuit qu’il devait passée avec sa jeunette, écourtée par mon aventure, il avait promis à la belle de se revoir à notre domicile pour terminer ce qui avait très bien commencé. Il ne perd jamais le nord.Dans l’après midi je me rendais au poste de Police pour déposer plainte en souhaitant que cette fois-ci, il ne s’en sorte pas aussi facilement.Tant qu’à Aaron il fut interroger par la police, mais aucun chef d’inculpation ne fut retenu contre lui, toutes les personnes présentes étant majeures et consentantes. Il décida de prendre plus de précautions dans la sélection de ses invités mais il ne renonça pas à subvenir à son association caritative par ce moyen pas très moral mais très lucratif.A suivre…
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Par : le 17/03/13
La Voix, un si petit mot en lui-même, qui pour moi représente tellement pour mon esprit et pour mon corps. Cette voix, celle de Mon Maître qui telle le sang dans les veines se veut être source de vie, m’est à moi source vitale, sève de mon esprit, nourriture en mon corps, cette voix qui par ses mots, et son timbre me guide, me dicte, m’ordonne, m’interdit, m’impose, me flatte à satisfaction ou me frappe en pénalisation... Cette voix qui me guide, m’alimente, m’anime, qui s’infiltre en mes sens, et circule en mes chairs, me remplit, s’injecte en moi comme une force, dont jamais je ne me lasse ; enveloppe compressive, exclusive qu’en ma soumission, je peux suivre les yeux fermés, sur ce chemin de mon obéissance et de ma servitude. Cette voix qui me dessine l’unique voie qui est la mienne, qu’en chacun de ses mots, en moi force de vie et de paix, et par sa résonnance sonore, je m’en imprègne. Elle résonne et tonne par sa colère quand je l’entends dure, sévère ou sèche ; elle me dicte par son assurance, et sa précision des mots, quand elle me dresse, m’ordonne, me plie ; elle me rassure et m’apaise par son calme, quand elle me parle, m’explique, calme mes douleurs, me félicite ou me complimente. Elle est si différente pour chaque chose, pour chaque instant, elle est Domination, dirigeante et allaitante, qui en ma soumission m’abreuve, me sustente, ravitaillement en l’âme et les chairs, telle une eau de vie, et fruit sacré à la soumise que je suis. Elle est gardienne par ses paroles, de ma sagesse et ma droiture par mon abdication à ma liberté, qui à ce titre de propriété lui a donné sur moi toute autorité. Elle est : La Voix de Monsieur Votre voix par sa présence, est semence en ma conscience, Elle m’impose, m’ordonne, résonne, me cautionne ou me baîllonne Elle m’impressionne, me frictionne, me harponne, m’approvisionne et me soumissionne Votre voix par sa présence, est exigence, en réjouissance ou en sentence Elle me boutonne, m’actionne, me cramponne et me questionne Elle me positionne, me perfectionne, ou même me sermonne Votre voix par sa présence, est l’essence de mes sens par excellence Elle me coordonne, et me mentionne, me subordonne ou me sanctionne Elle me raisonne et me cloisonne, en mes oreilles elle bourdonne, elle me passionne. Qui pourrait comprendre qu’en moi ma soumission est si grande Qui pourrait imaginer qu’à Vous Mon obéissance et ma servitude, soient si profondes Monsieur Que soumise je ne sache me nourrir que de vos mots, de votre voix, de votre image et de votre présence, Que soumise, vous êtes mon oxygène, cet air dont je me purifie Que soumise je ne puisse me sentir sereine et en paix que de vous donner tout ce qui est en moi, vous sentir puiser en mon esprit et corps tout ce qui vous appartiens Que soumise mes seuls désirs et plaisirs sont de vous apporter plaisirs, jouissifs et satisfactions. Votre Voix par son absence, est silence en ma conscience Je me plonge dans la profondeur de ma soumission Chacune de mes pensées, vers vous est tournée Au monde « des communs » je suis fermée Concentration de mes devoirs en exécution, application, en moi dégustation Canalisation de mes obligations en nutrition, règlementation de mon éducation Je n’ai pas en moi la notion du temps, sans votre voix il paraît si long Chaque jour vers Vous mon Esprit et mon Corps en Votre Possession Chaque jour, à Vous mon obéissance et ma servitude à Votre Domination Chaque jour, pour Vous La grandeur, la profondeur et la douceur de ma Dévotion Chaque jour, à Vous mes regards et mes songes, en ma soumission Votre regard me fait briller, votre voix m’anime, Votre main me tient et me dresse, Votre autorité me dicte et me protège, Votre emprise me donne vie Votre Domination nourrit ma soumission. Que tout de moi vous soit plaisir et satisfaction Que tout de moi vous soit jouissif et excitation Quand tout de vous m’est bien-être, équilibre et paix Quand tout de vous m’est jouissance, bienveillance et excellence. Oh Monsieur que votre voix m’enveloppe, m’abreuve, Et donne clarté et mélodie à ma voix…
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Par : le 17/03/13
Il y a en ce monde je dirais plusieurs catégories de personnes qui sont: - Ceux qui ne vivent rien « Les vanilles.. Pour moi les Communs des mortels » - Ceux qui fantasment "Houla houla... On s’invente des identités, des statuts, et on est tout le contraire". - Les pseudos Dom/soumises... "pas glop... pas glop... Ils "Jouent" eux tranquilles, un samedi soir histoire de faire plus fluidifier la mouille de Madame, et tenir en exploit la gaule de Monsieur quelques minutes de plus". - Les Volontaires à la D/s... "Grrrr… Ils ordonnent, elles obéissent... Cooool... Ils s’affirment être Maître et soumise... MAIS il y a comme un os qui me met hors de moi... C’est que il y a des "Compromis" , ils Ordonnent Oui mais uniquement sur ce qu’elles Acceptent de faire. Et elles obéissent forcément sur ce qu’elles aiment et au final ils ont un listing préconçu de ce que j’appelle moi "Leurs activités sm" (hobbies, travail manuel, récréation), ils sont dans l’offre et la demande... Elle aime l’exhibe, pas de soucis il lui ordonnera de le faire, elle n’aime pas avoir mal, no problemo, elle sera fouettée avec la ceinture du peignoir en coton... - Les Dominants/soumises... Ils le font plus sérieusement, mais pas sur la réelle appartenance, dans le sens où, oui ils seront ensemble, mais ils ne pratiqueront l’art de l’Education, l’obéissance, servitude et les pratiques que dans le cadre de "Séance"... - Les Maîtres/soumises... slave... Ils sont comme les lions blancs... très rares, très peu nombreux, pourcentage minime. Mais ce qui est rare est précieux ne dit-on pas ? L’Important dans une vie n’est pas de paraître ce que nous ne sommes pas aux yeux des autres pour trouver un peu de gloire, mais de rester soi-même et de l’assumer. La Domination et la soumission : Par principe la Domination est un pouvoir qu’une personne exerce sur une autre personne, qui par un comportement directif, amènera à l'obéissance cet autre sujet d’où La soumission. Dans la relation bdsm, il est évident que ce sont nos besoins et ce que l’on a en soi qui nous amène à ce genre de relation. On ne peut pas la considérer comme un jeu, parce que c’est un art de vivre. Il faut bien comprendre ce que signifient "l’Appartenance et le don de soi" : C’est une sorte d’Union qui est scellée, elle a une grande importance dans le sens où Le Maître va prendre à sa charge la Vie d’une autre personne, Il deviendra alors son Propriétaire Absolu, Il dirigera, commandera, ordonnera, exigera à chaque fois que Il le voudra, Il utilisera, prendra, puisera, chaque fois qu’Il en aura le désir, l’envie, le besoin. Il punira, châtiera, giflera, gratifiera, caressera selon ce qu’Il verra de fautes ou de réussites satisfaisantes à ses attentes... Il aura les pratiques de Ses plaisirs qui peuvent être douces, ou bien dures, être bonnes ou faire mal, être vicieuses ou perverses... Mais avant toute chose il faut comprendre qu'Il va éduquer sa soumise, l’étudier, et devoir lui donner une très grande attention, car Il doit la nourrir de Lui, et se repaître d’elle, il doit maintenir l’obéissance, le respect, la servitude qui sont Ses règles de vie… Il ne peut être Maître sIil n’a pas la rigueur, l’autorité, la sévérité, l’esprit lucide et intelligent, l’esprit de justice, et la lucidité. Il ne peut pas être Maître s'Il lui donne des choix, car Il se doit d’être crédible. Dans la relation Maître/soumise, dans l’appartenance voici les "Essentiels" : - Pouvoir avoir une Confiance entière et absolue, - Avoir une transparence totale l’un envers l’autre, - Ne jamais se mentir, tricher, tromper, - Toujours avoir le respect de l’autre au fond de soi, - Sincérité, franchise, honnêteté, droiture. Ce sont des impératifs dans une appartenance telle que Mon Maître et moi nous la concevons. La Domination de Mon Maître : Il est sévère, Il est très directif, Il peut être très dur, il a ses perversions, ses vices en toutes formes, que sévices à mes formes sans vice de forme il décide à l’applique sans forcément y mettre les formes… Il est exigent, Il ne me laisse passer aucune faute, me punit, m’ordonne, m’interdit, m’autorise ; Il m’éduque , me dresse, me dirige. Il me donne de l’attention et parfois me met sous tension, Il m’entoure ou Il me cadre. Il a sur moi la force du Mâle. Il m’enveloppe de toute sa protection, me couvre de ses regards, et me savoure dans ce qu’Il prend et reçoit de moi… Il m’impose et m’oblige, mais aussi me dicte Ses demandes par des mots qui bien ordonnés parfois sont secs et froids et me font trembler, ou des mots qui bien murmurés parfois sont plus feutrés et chauds et me font être rassurée... Il a des règles de Vie qu’Il me dicte, Il ne me demande pas toujours si certaines choses me plaisent ou non, mais quand Il me le demande, ce n’est que pour s’informer et savoir comment je ressens les choses, simplement parce qu'Il est soucieux que je fasse de mon mieux pour Le satisfaire, et qu’Il est soucieux de bien savoir comment j’évolue dans ma soumission ; si je m’y épanouis toujours à chaque instant et avec autant de paix, mais que ce qu’Il décide me plaise ou non, il me l’imposera quand même. Le principe et la logique étant que ce sont Ses choix, Ses désirs, Ses envies, et Ses décisions. Il prend et je donne, Il puise et savoure, mais c’est Lui Le Maître, le Mâle. Ma Soumission à Mon Maître : Je suis douce, sensible voir fragile aussi, mais pourtant en moi une très grande personnalité, une grande force de volonté, un mental très volontaire. Ne pensez jamais un seul instant que je sois stupide parce que soumise, vous auriez grand tord. Car je suis très intelligente, assez cultivée, très maline, et surtout très complète, vous n’imaginez toutes les choses que je sache faire que bien des femmes ne savent pas faire… Donc n’imaginez même pas un seul instant que je sois soumise parce que stupide. Je suis soumise parce que je ne supporte pas le monde des "communs", je ne peux limite que supporter au cas par cas (famille, connaissances de longues dates, ou des éphémères qui seront des gens que juste je croiserai pas trop longtemps). Depuis toujours les communs je m’en tiens assez éloignée. Je ne peux pas expliquer pourquoi mais c’est ainsi ; je fais un rejet parce que je suis si soumise en mes chairs et en mon esprit que je ne supporte pas leur manière d’être, de vivre, de penser parfois aussi. Je respecte les choix et les vies de chacun, mais moi je ne suis pas capable de la vie "vanille/communs" fait de "chéri, mon amour, ma pupuce", bercée par des "on fait câlinoux, on fait des mamours, tendresse, souplesse, caresse"… Faiblesse, quoi... Dans ma soumission à Mon Maître, je trouve cette sérénité, cette paix en mon esprit, et en mon corps, c’est une sorte de calme et de tranquilité intérieure que je ressens. Je suis comme je vous l’ai déjà dis sur un article une réelle soumise, je ne m’épanouis qu'en appartenant, en obéissant, et en donnant au travers de ma servitude tout de moi, tout ce que Mon Maître désire. C’est par cela que je me sens moi, heureuse, que je me sens bien, et rassurée.. C’est en Le satisfaisant que je ressens un incroyable plaisir au fond de moi, ce plaisir, cette joie de savoir que je lui plais, que je le satisfais, que je lui donne tout. C’est un truc fou que je ne contrôle pas, et que personne ne pourrait imaginer le bien-être que cela me fait... Pourtant il faut savoir que c’est parfois très difficile. Quand Il me met une gifle, ce n’est pas grand-chose une gifle, parfois, souvent même, j’ai aussitôt les larmes qui surgissent, et ce n’est pas la douleur de la gifle qui en est la cause, mais en fait, c’est la douleur intérieure de voir que j’ai fais une faute qui me déchire durement. Je n’arrive pas à accepter de faire des fautes, je m’en rends malade et cela me met automatiquement ce poids du remord qui me pèse, trop lourd à supporter, avec de suite ce sentiment que je suis nulle ou mauvaise soumise. Mon désir et ma volonté sont de tellement faire toujours bien, satisfaire au mieux Mon Maître, que je me sens blessée lorsque je ne Le satisfais pas. Lorsqu’Il m’utilise, Il peut par plaisir m’infliger des douleurs, des choses qui font très mal, je ne supporte pas la douleur, mais pour Lui je l’endure, je m’y plie, parce que c’est Son choix, Son plaisir, et que pour moi Le satisfaire passe avant tout. Si je dois Le contenter parfois par des souffrances, qu’Il en soit ainsi ; je me dis que les douleurs s’arrêteront, et que le plus important, soit qu’Il ait eu ce jouissif désir qu‘Il a voulu. Je peux crier dans ces moments là, pleurer ; après Il me réconforte, m’apaise, cela me soulage de mes maux, et je me sens heureuse... J’aime Lui montrer que toute sensible que je suis et pas du tout "Maso", mes douleurs ne sont pas mon plaisir mais uniquement le Sien et que j’y mets grande volonté pour endurer... C’est une fierté que j’ai en moi que de réussir cela… Soumise je dois à mon Maître : - Obéissance, - Respect, - Servitude, - Dévotion. Il est très important pour moi que ces mots .. Ils sont ce qui régit mes quotidiens, ma vie... La règle que je me suis toujours imposée est de ne pas mentir, je ne mens pas à Mon Maître, qu’Il soit près de moi ou pas. Je maintiens en permanence mes devoirs, mes interdits, et les règles de vie qu’Il m’impose, qu’Il souhaite... Je n’ai pas comme le penseraient certains une vie de "prisonnière"... Pas du tout ; je vis tous les jours normalement, je fais mes quotidiens normalement, simplement, au travers de chaque jour, il y a des choses que je dois faire et d'autres que je ne dois jamais faire. - Je dois mettre mon joli bijou anal, tous les matins, afin de compresser les muscles de mon cul pour qu’ils soient serrés. Je dois dire tout de même que même sans bijou, cela serait identique car j’ai toujours eu le cul serré et bien plus sans le bijou, et que très souvent au long de mes journées, je compresse tout le temps par réflexe les muscles de mon cul, et quand il est fermé, on y mettrait un doigt que rien que en compressant mon cul, le doigt le sentirait bien . - J’ai obligation de m’entraîner, 2 fois par semaine avec un gode légèrement courbé ( il vaut mieux), à l’enfoncer complètement en gorge profonde, et tenter le garder ainsi le plus longtemps possible, réussir alors à sortir ma langue pour que, lorsque Mon Maître enfoncera Son sexe, il y trouve du confort et du plaisir. J’arrive quand même maintenant à garder le gode enfoncé 30 secondes au maximum, mais si je sors la langue, c'est plus dur : je peux moins car en toute logique ne pouvant plus m’oxygéner, le fait de sortir la langue réduit d’un coup ma trachée et porte à vomir, et à plus étouffer... Après chaque entraînement, ça me pique et me brûle la gorge un bon moment et, irritée je ne fais que tousser pendant les premières 10 minutes… - Je n’ai pas droit à la masturbation sans autorisation. C’est pour moi très frustrant et très dur, car j’étais quelqu’un qui, avant, aimais et surtout avais une libido très exacerbée (surtout en masturbation) ; mes besoins étant surtout de faire jaillir mes expulsions orgasmiques, mon corps à toujours eu un très gros besoin de cela pour les plaisirs du corps... j‘adore ; ce sont des vidanges qui me sont nécessaires pour mes chairs... Mes orgasmes sont normalement très travaillés, et très puissants, et je me masturbais avant presque tous les jours. Cela depuis des années... J’adore jouir et orgasmer puissamment, jusqu’à sentir toutes mes forces partir de moi, jusqu’à ne plus pouvoir bouger. C’est pour moi et pour mon corps très douloureux de ne pas pouvoir les évacuer. - je n’ai pas le droit de mettre des pantalons, des collants, des chaussures plates. C’est une chose qui ne m’est pas difficile, ni douloureux puisque je n’en mets pas, ayant comme priorité ma féminité, sensualité, sexy… - Tous les appels ou messages de Mon Maître sont prioritaires sur tout, où que je sois, sauf si je suis en situation professionnelle. Pour tout ce que sont mes devoirs et obligations ou interdits en Sa présence, je ne vous les cite pas puisque lui-même vous a publié articles où il vous en a parlé. Interdits du Maître repris dans Son article : Dès le premier jour, Je lui ai interdit le port des : 1. pantalons ou shorts. 2. collants, sauf s'ils sont ouverts à l'entre jambes ou leggings. 3. talons de moins de 10 cm. Il lui est aussi interdit : 1. de croiser les jambes 2. de serrer les genoux 3. de se masturber 4. de porter une culotte à la maison 5. d'aller aux toilettes sans permission 6. de quitter une pièce sans permission   Ma soumission est totale et réelle, elle m’est vitale et nécessaire dans mon mode de vie, pour que je me sente bien. Je ne veux pas et n’aime pas vivre autrement, car autrement cela ne me convient pas, ce n’est pas fait pour moi... J’ai connu des Maîtres ou des pseudos Maîtres dans mon passé, au fil des années, et je dois dire que certains ont été très destructeurs pour moi, parce que ils ne savaient pas me regarder, me ressentir, me deviner, me nourrir dans ma soumission , ils ne savaient pas m’ordonner correctement, me diriger, me rassurer, me protéger, me punir comme il faut, me tenir et me retenir, m’expliquer des choses, me parler, ils ne savaient pas tout simplement me donner leur attention, ils ne savaient ce qu’est "La Domination et la soumission" et le pire est que ils n’étaient pas capables de voir tout ce qui est en moi à prendre, tout ce que j’ai à offrir de moi, et à quel point... Ils ne pouvaient ni me faire évoluer, ni progresser, ni avancer pour que ma soumission soit parfaite, ni m’utiliser, et encore moins me faire me dépasser dans ce que j’ai la capacité…. En gros je n’étais pas nourrie... Si j’appartiens à Mon Maître, c’est parce que Il est Celui dont j’ai besoin, Celui à qui je veux tout donner, Celui que je veux au mieux servir, honorer, être Sa fierté, Sa réussite... J’ai une Dévotion immense pour lui... Je suis soumise à Mon Maître parce que je suis moi, telle que je suis, parce que Lui est tel qu‘Il est… parce que Il fait de moi, celle que je veux être, et qu’Il veut que je sois pour Lui…
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Par : le 15/03/13
Ce texte n'est pas de ma plume... J'aurais aimé l'écrire... Ils sont deux Esprits, qui se rejoignent, se mêlent, s’entremêlent et se mélangent, Fruits d’un pur hasard, où les goûts amères et sucrés, acides et acidulés, vont dans une parfaite concordance donner en cette alliance, ce mixte de rigueur et de douceur... Dans un pile et face, que de vice en verso, sans fard ni paillette, esprits à nus, par la poigne du Maître, enserré et cadré sera maintenu, caressé, et entretenu, l’esprit de la soumise... Esprits complices en deux applications si différentes, de l’ordonnance sur l’obéissance, de l’imposition sur la servitude, de la droiture sur la pliure, du châtiment sur la faute. Esprits Duos en opposition, de la commande et de l’exécution, de la force à la douceur, de la pratique soutenue aux douleurs non retenues, à plaisir de puiser, désir de donner... Que le Maître par ses pleins pouvoirs, et par son esprit, jouisse de sa totale emprise, Par sa suprématie, de ce qui lui est plaisir, contentement, et satisfaction. Que le Mâle Dominant par sa grandeur, et sa valeur, soit honoré et aimé, Par sa rigueur, ferveur et sa volonté, sa sévérité, que sa soumise alors à ses pieds soit posée. Que la soumise, par ses pouvoirs abandonnés, et par son esprit en total emprise, Par sa sagesse, de ce qui lui est désir, bien-être, et sérénité, serve avec humilité. Que la femelle dominée, par sa servitude, et sa docilité, soit pleine de Dévotion, Par son Obéissance, douleurs, faveurs et progression, qu’à son Maître elle soit beauté et Fierté. Esprits conjoints et pourtant si distincts, qui tant se tressent en même instinct, De la puissance opposée à la fragilité, quand l’énergie se transfuse par la parole. Esprits sanguins dont les attentions en Mâle, font les montées en tension à femelle De la vigueur posée sur la fraîcheur, l’aliment de l’un qu’est nourriture à l’autre. Esprits qui se trouvent, s’ouvrent, s’approuvent, et se soudent. De Domination à soumission, mélange du pouvoir et du vouloir, du savoir et du devoir. Esprits assortis, du domptage à l’apprivoisement, du cadrage à l’asservissement, De règles imposées à se conformer, qu’à la lettre seront accomplies et acquittées. Que le Maître par son esprit s’abreuve, à posséder entière volonté et pensées, Par son aspiration, toucher les émotions et mettre sous pression, l’âme soumise acquise. Que le Mâle Dominant, dans toute sa splendeur, impose en diction ses choix et sa loi, Que la soumise par son esprit s’abandonne, de raison avec passion... Ils sont deux esprits, qui se comprennent, se complètent, Se rejoignent pour ne former plus qu'un seul Esprit... "Osmose..."
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Par : le 12/03/13
Suite à une soirée à forte mauvaise ambiance durant laquelle je me suis bien gardée de démouler la moindre réaction trop à chaud, je me risque ce matin à exposer quelques questionnements, après que la nuit m’ait (j’espère) porté conseil. Je ne suis pas inscrite depuis très longtemps sur ce site, mais j’y ai pourtant vu pas mal d’indignations et de fiel s’y déverser, pour des raisons variées. Souvent pour des photographies perçues comme choquantes ou déplacées. Et j’ai plusieurs fois constaté que le choc des photos engendre le poids des mots. Je m’étais risquée il y a quelques temps à un petit commentaire ironique suite à un enchaînement de réactions indignées sur la photo parfaitement esthétique (voire artistique) d’une superbe modèle qui posait avec une casquette allemande de la 2e guerre mondiale. Bon. Hier soir, j’ai personnellement ressenti un certain malaise, et je pense ne pas avoir été la seule. Une photo mettant en scène un petit garçon et une petite fille (genre Doisneau) à ramassé des torrents d’indignation courroucée, tandis qu’à deux pas de là s’exhibaient dans un article public des règlements de comptes et déchirements plutôt privés, et qu’un autre article passé relativement inaperçu mentionnait l’écoeurement calculé de SOS racisme devant la collection de bijoux estampillés "esclaves" de chez Mango… Tout ça au milieu des photos de bites en gros plan, de fesses écartées, et de nichons déballés qui ponctuent chaque jour le mur public de ce site. Mon malaise n’était dû ni aux photos ni aux articles : Aucun souci par rapport à ça. Mon trouble provenait en fait de l’ambiance tellement confite dans la subjectivité absolue de chacun(e) (y compris la mienne à n’en pas douter) qu’elle en devenait d’une insupportable pesanteur. Ce déferlement de subjectivités devenait presque "gênant" (au sens "honteux / embarrassant") - et naturellement source de regrettables clashs entre les personnes dont les sensibilités ne se comprenaient manifestement plus. Le bilan de cette soirée se résume en deux mots : Quel(s) dommage(s). Et du coup, je me questionne ce matin sur ces choses d’une innocence totale qui sont soudain perçues comme insupportablement choquantes selon le contexte. Ou inversement, des choses à la base tragiques qui peuvent parfois passer comme une lettre à la poste selon l’ambiance et la situation. Et donc mon petit cerveau besogneux s’interroge : Ce site constitue t’il justement en lui-même un contexte particulier du fait qu’il revendique une identité BDSM ? Dégage t’il une ambiance propice pour cet inversement total d’appréciation sur ces photos ? Je pense personnellement que oui. (Même si j’avoue en toute sincérité que je ne trouve rien de choquant au contenu intrinsèque de ces photos c'est-à-dire à leur forme). Je n’ai d’ailleurs pas non plus trouvé le "fond" choquant (en tout cas pour l’instant). Il me paraitrait sans doute choquant que dans une conversation ou une personne livre un témoignage d’une éprouvante agression raciste, (par exemple), un intervenant poste sans un mot une photo de "banania". Pourtant ce n’est que le logo d’une célèbre marque de petits déjeuners... Mais le fond supposé prendrait le pas sur la forme, et le contexte transformerait cet acte en une possible et dégueulasse insulte gratuite. Et ça je PEUX le comprendre. Mais je ne l’ai pas ressenti de cette façon hier. Car je pense qu’aucune des personnes qui m’ont mises mal à l’aise par rapport aux articles ou à la photo n’avait l’intention de nuire. (Au contraire même.) Je m’interroge bien sur aussi sur les limites. Les réponses qui m’apparaissent sont (comme d’habitude) empruntes de l’individualité intrinsèque de ces limites, et ces limites si personnelles ne sont donc (comme d’habitude) pas vraiment gérable sans être obligatoirement subjectif et (donc) injuste. C’est donc comme de coutume la loi qui prévaut... Mais même la loi me semble un juge bien démuni! Combien de soumises sont exposée ici sans autorisation ? Combien d’entre nous postent des photos qui ne leurs appartiennent pas ? Je ne m’exclus d’ailleurs pas de cette pratique de pillage du net : Il y a quelques jours encore, j’arborais en avatar la photo d’une artiste que j’apprécie. Même si cela n’a duré que le temps que je prenne le temps de me réaliser moi-même un propre avatar, j’ai été hors-la-loi ici le temps où mon avatar précédent m’a représentée... Cela m’amène donc à réfléchir sur ma propre subjectivité dans l’application de la loi. Loi derrière laquelle je me réfugie si volontiers quand le besoin s’en fait sentir, mais que je n’ai aucun scrupule à contourner quand les choses ne me paraissent "pas trop graves"... Subjectivité pourrie… Bref… Bises à toutes et tous.
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Par : le 12/03/13
Il est 14h30 en ce beau jours de février, je fais du shopping et flâne dans les rues à la recherche de bonnes affaires. Un dom me voit déambuler avec mon petit tailleur et mon foulard, je donnant un air de bourgeoise. J'entrez dans un magasin de lingerie, et en ressors une vingtaine de minutes plus tard un petit sac à la main. Vous prenez une petite ruelle afin de me rendre à ma voiture lorsqu'il, J'approche de moi par derrière et attrape les mains par derrière, me passe une paire de menottes, et passe sa main sur ma bouche pour empêcher de crier. Me vous prends fermement par les bras et oblige à le suivre jusqu'à un van. Ouvre la porte et me jette à l'intérieur, je commence à crier, ils attrapent mon foulard qui me passe en guise bâillon. Me passe alors une corde autour des chevilles, qu'il sert assez fort pour m' immobiliser totalement. Il finit par me mettre un sac sur la tête pour que ne puissiez rien voir et démarre le van. Nous roulons durant une vingtaine de minutes pendant lesquelles ils entendent me débattre et pousser de petits cris étouffés. Lorsque le véhicule s'arrête, je me sors du van en me portant et me porte, je ne vois toujours rien et cessez de me débattre, mais les liens étant fort, je ne peux que subir. Ils me posent, et m' enlèvent le sac qu'avez sur la tête, j' ouvre les yeux et découvre une chambre sombre. Ils passent alors un collier, puis une laisse qu'ils attachent à un crochet présent au sol. Cela ne sert plus à rien que je débatte, je suis maintenant dans mon nouveau domicile... Ce mot me fait tressaillir et je me vois me débattre, de plus, belle pour essayer de défaire de ces liens. À partir de maintenant, je suis à lui, sa petite bonne personnelle et espère que je vais m'acquitter de ta tâche avec le respect que je lui dois!!! Je le regarde l'air implorant, mais rien n'y fait. Ils apportent un sac, je l'ouvre et me montre une tenue de soubrette. Tu vas enfiler ça, ce sera dorénavant ta tenue officielle, pas question que tu portes autre chose sans ma permission. Ils sortent alors un fouet du sac, et me le montre en effleurant délicatement mon visage, mes seins et le faisant claquer doucement sur mes fesses. Si tu désobéis, tu seras punie comme il se doit, est-ce bien compris ? Le regarder, mais je ne bouge pas. Ils claquent alors une fois le fouet un peu plus fort sur mes fesses et je fais un hochement de tête en signe d'approbation. Maintenant, je vais ôter ton bâillon, je vais t'expliquer quelques règles, cela ne sert à rien de crier, personne ne t'entendra ! S'exécute et enlève mon foulard de ma bouche et me prend le visage pour me forcer de le regarder. Que me voulez-vous ? Laissez moi partir ! Tu es maintenant ma bonne personnelle, et rien de ce que tu pourras dire ou faire n'y changera, et tu dois dorénavant m'appeler Monsieur Non, laissez-moi partir, s'il vous plaisent Ils fait claquer le fouet une nouvelle fois sur mes fesses, un peu plus fort encore et ajoute. Appelle-moi Monsieur, je viens de te dire ! Et je ne veux t'entendre dire que : oui Monsieur ! Oui Monsieur, je finie par ajouter dépitée et prenante conscience que je viens de perdre ma liberté. Je vous détache alors les liens de vos jambes et prends en main la laisse. Je vous fais lever et accroche la laisse à un crochet que je fais monter. Vous voila maintenant prisonnière, le collier montant et attirant votre corps avec. Je, vous lièvre ensuite de vos menottes et m'assois sur un tabouret face à vous. Maintenant, j'enfiler cette tenue de soubrette. Puis je devrai faire tout ce qu'ils m'ordonnent, sans hésiter et la seule réponse possible est Oui Monsieur, sauf s'ils me posent une question, oui, J'ai compris Monsieur s'approche de moi et me passe un bracelet en cuir à chaque poignet. En profite pour ouvrir la fermeture éclair de ma jupe qui tombe instantanément à terre, laissant découvrir mes dessous, des collants sous lesquels on peut distinguer un string noir. Arrache mes collants et vous demande d'ôter votre string, vous hésitez une seconde, puis regardant le fouet d'un coin de l'œil vous l'enlever difficilement, car le collier vous tire vers le haut et provoque pour vous un équilibre précaire. Lèche ta culotte ! Vous me regardez une nouvelle fois l'air implorant, mais vous voyez bien que rien n'y fera et vous portez lentement votre culotte à la bouche et commencer à sortir votre langue très doucement. Mieux que ça ! Hésitante, vous lapé petit à petit chaque morceau de votre sous-vêtement, sentant votre sexe. - Bien, maintenant enfile la tenue de soubrette ! Me la tends et je commence à enfiler les bas blancs, un porte-jarretelle et un string de la même couleur. Ensuite, je descends, la laisse et la prends à la main pour que je puisse enfiler la robe après avoir complètement arraché ma veste, chemisière et soutien gorge. Je l'enfile et ils finirent d'ajuster les derniers détails, le petit tablier devant et le bandeau dans les cheveux, vous voilèrent maintenant prête. Je passe une chainette d'une dizaine de centimètres dans les liens à vos poignets et l'attache au collier, vous laissant dans l'impossibilité d'utiliser vos mains. Ensuite, je finis par mettre un bracelet en cuir à chacune de vos chevilles, que je relie par une chaîne d'une trentaine de centimètres. Vient me baiser les pieds ! Quelques secondes d'hésitations et voila qu'un nouveau coup de fouet arrive sur mon postérieur. Oui Monsieur, je dis agenouillée et je commence à embrasser ses pieds. Bien, très bien voila qui est mieux ! À partir de maintenant, tu t'appelles Morticia et tu ne répondras qu'à moi, est-ce clair ? Oui Monsieur. Ils fait claquer le fouet une fois délicatement sur mes fesses puis me dirigent vers une table ou sont poser différents objets. Ils posent le fouet et reviennent vers moi avec une cravache à la main. Tu sembles avoir besoin d'un peu d'éducation Naty, cela tombe bien, je n'avais plus d'élève en ce moment ! Oui Monsieur, mais que voulez-vous faire de moi ? C'est moi qui pose les questions morticia ! Vous dis-je en faisant claquer la cravache sur vos fesses. Oui Monsieur, pardon Monsieur - Bien, je vois que ça commence à rentrer dans ton esprit. Pour répondre à ta question, je vais t'éduquer pour que tu sois une bonne soumise, faisant le ménage, obéissant aux ordres de son maitre, car c'est ainsi que tu dois te comporter. Je vous fais vous relever, et vous demande de faire un tour sur vous-même. Vous vous exécutez et tournez sous mon regard bienveillant. Ils commencent à soulever délicatement ma robe avec la cravache et me tapotent tour à tour mes fesses, mes cuisses, puis remonte vers mes seins et mes mains toujours prisonnières. Ils attrapent la laisse et me fesses avec une main assez fortement. On dirait que tu aimes bien ça Morticia, tu n'en as peut-être pas reçu assez jusqu'à maintenant. Penche-toi en avant que je voie ta croupe. J'obéis dans un timide oui Monsieur et me penché en avant laissant découvrir mon joli fessier légèrement rougi. Ils commencent à me donner des séries de 10 coups de cravaches sur chaque fesse, vous poussez de petit cri et ne voulant plus vous entendre, je vous mets votre string noir dans la bouche et vous remets le foulard par-dessus. Ils continuent alors ses séries de 10 coups de cravache par fesse, et je vois votre derrière rougir au fur et à mesure. Ils découvrent maintenant mes seins qui subissent le même traitement, vos petits cris étouffés laissant deviner que vous être très sensible de cette partie. Oui Monsieur. C'est très bien Morticia, tu as même l'air d'y prendre goût. Je vais t'enlever le bâillon, tu seras plus à l'aise pour la suite. M'ôte le foulard et sors le string de ma bouche et va chercher un anneau qui me place dans la bouche et m'attache derrière la tête. En profite pour remettre mon string à l'intérieur de l'anneau. N'est-ce pas plus agréable Morticia. Je hoche de la tête en signe d'acquiescement.À genou, maintenant on va voir si tu sais te servir de ta langue!!! Vous semblez effrayé, mais obtempérez et vous vous poser devant moi à genou. Je sors alors mon sexe de mon pantalon et le laisse tomber devant votre visage. Avec la laisse, je vous tire vers lui afin qu'il touche votre visage, ce qui semble vous déplaire fortement. Je vous assène alors un coup de cravache sec sur les fesses, vous semblez avoir compris et laissez maintenant mon sexe caresser votre visage sans sourciller. Ils ôtent le string de ma bouche, me le fais sentir, et me demande maintenant de lui montrer mes talents de bouche. Quelque peu résigné, vous avancé vers mon sexe que je pose sur l'entrée de votre bouche, vous léché délicatement mon gland, votre langue est le seul membre que vous maitrisez encore. Ils enfoncent alors profondément son sexe dans ma bouche ce qui me fait hoqueter, et commence à me laisser aller à de doux va et vient. Tu t'y prends très bien Morticia, tu as l'habitude, on dirait. Ils accélèrent le rythme et en quelques minutes durant lesquelles ils prennent soin de faire claquer la cravache sur mes fesses chaque fois que votre détermination semble fléchir, je jouis a fond sur ma poitrine d'un jet puissant. Ils sortent sont sexe et le laisse trainer sur ma poitrine, étalant sa semence sur mes saints. Je vous félicite pour ce premier test auquel vous avez brillamment réussi. Me dirige alors vers la table et rapporte une ceinture de chasteté, qui me passe sous mon regard apeuré. Je l'enfile malgré moi et ils ferment à clé, cela semble vous gêner horriblement, mais vous ne dites rien de peur de représailles. Oui Monsieur. M'emmène ensuite dans une cage dans laquelle ils me faire entrer à quatre pattes, puis une fois à l'intérieur, m'attache chaque cheville d'un coté de la cage ce qui me laisse les jambes légèrement écartées. Ils ensuite mon foulard qu'ils placent sur ma bouche après avoir enlevé préalablement l'anneau. Ils enlèvent enfin les chainettes reliant mes poignets au collier pour me passer une paire de menottes dans le dos. Vous voilâtes prête pour votre seconde étape. Pour finir, place mon string sur ma tête, l'emplacement de mon entrejambe soigneusement positionné sur mon nez afin que je puisse humer au maximum ma propre intimité. - Tu vas passer la nuit ici Morticia, je passerai te voir en me couchant. Ils éteignent la lumière, et sortent de la pièce vous laissant prisonnière, dans le noir avec rien d'autre à attendre que mon retour. Fin
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Par : le 11/03/13
C'est la marque Mango qui a décidé de proposer à ses clients par le biais de son site internet français des bijoux style "esclave" (dixit). Ces bijoux "esclave" ont en effet intégré la collection printemps-été. Intitulés "bracelet esclave tressé", "touch-bracelet esclave pierres" ou encore "collier style esclave", ces accessoires de mode n'ont pas manqué de faire des vagues. Les associations antiracistes françaises (SOS Racisme et CRAN), se sont même emparés du sujet ce lundi : "Il s'agit soit d'un manque de culture coupable, soit d'une démarche indigne et perverse réduisant à une appellation design et mode ce qui relève d'un crime contre l'humanité, reconnu depuis 2001 en France par la loi," déclarait ce matin SOS Racisme. Quant au CRAN il a fait par de son "indignation face à cette série de bijoux, qui vise à donner une vision élégante et colonialiste à un phénomène qui a fait le malheur de dizaines de millions d'êtres humains pendant près de quatre siècles". Beaucoup de bruit pour rien, disent les hispanophones : le nom vient du mot "esclava" qui dans le contexte veut dire "bracelet" ou "gourmette". Le site anglais de la marque parle lui de "woven bracelet", c'est à dire de "bracelet tissé". Il semble d'ailleurs que le terme "esclave" eut dans notre langue le même double sens qu'en espagnol, même si le terme serait tomber en désuétude pour la bijouterie.
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Par : le 10/03/13
Elle m'ouvre sa porte. La lumière est feutrée. Je dis bonjour ; elle ne répond pas. Elancée, 45 ans environ, masquée, vêtue de noir : ses seins semblant bien fermes avec des tétons roses et auréoles brunies sont entourés d'un caraco de latex, elle porte des gants jusqu'aux coudes, une culotte de cuir ouverte devant et derrière, son sexe est sans poil, et des bottes montantes en cuir à talons aiguilles jusqu'aux genoux avec des lacets. D'une voix sèche et rauque, elle me dit : "A partir de maintenant tu ne dis rien et tu fais tout ce que je te dis. Déshabille toi ici, laisse tes vêtements à terre, va dans les toilettes ici à gauche, prends la poire remplis là d'eau, mets la canule et lave toi l'intérieur au dessus des WC puis lave toi le cul, la bite et les couilles et fais ça vite, je n'aime pas les traînards". Elle s'éclipse, je me dévêts et laisse mes habits sur le parquet vernis. Une fois terminé, je reviens dans le hall ; nu comme un ver, elle revient et me met un masque occultant sur les yeux et un bâillon boule dans la bouche. Un mélange de peur de l'inconnu(e!), de curiosité, d'excitation et de désir m'envahit. Prenant ma main, elle me guide dans une pièce plus chaude et m'attache les poignets puis me les tire vers le haut pour me les attacher en l'air. "T'as intérêt à obéir sans grogner sinon tu vas goûter à ma cravache !". Je prend un coup de cravache léger sur les fesses (peut-être un test pour voir ma réaction). Je fais comme si rien n'était mais je suis de plus en plus excité. Elle me prend à pleine main mon membre mou et mes bourses, les tourne, les soupèse, les tord, les serre : "Elles sont pleines… intéressant", me lance-t-elle. Puis elle écarte mes jambes et les attaches aux chevilles. Je sens sa cravache me passer dessous par derrière qu'elle laisse glisser doucement des bourses jusqu'à mon anus plusieurs fois. Elle me tord les tétons, me les pince très fort, me les lèche, me les mordille et donne quelques coups de langue. L'effet est immédiat, ma verge commence à monter. C'est bon mais je ne lâche pas un gémissement de satisfaction. Puis elle me donne une fessée douce mais rapide, cela m'a semblé très long. Quand elle eut fini, cela brûlait et piquait mais surtout je ne bronchais pas. J'entends des roulettes qui s'avancent vers moi et une arête de meuble finit par me toucher les jambes. Je me retrouve les bras devant et elle me tire par la longe afin de m'allonger sur le ventre. Cette plateforme montait légèrement. A ma surprise, un trou béant au niveau de mon sexe me le laisse libre vers le bas et à hauteur de ma poitrine il y en a un aussi. Elle détache mes poignets pour les rattacher en bas me laissant les bras vers le bas sur chaque coté. Des pinces me prennent les tétons bien excités et je sens un poids vers le bas qui me les tire. J'entends des pas : mais il y a deux personnes, l'une d'un pas mesuré, l'autre d'un pas hésitant. Je prends peur car ce n'était pas prévu que d'autres personnes seraient là. Sous moi, je sentis sa main gantée enduire d'huile mon sexe et elle commença un va et vient menu puis plus ample au fur et à mesure que mon membre se durcissait. Elle s'arrête et reprend mais cette main n'est pas la même, sa main gauche peut-être ou alors… celle de quelqu'un d'autre ? Pendant qu'elle entretenait mon érection avec ce va et vient lent mais ferme, je sentis un doigt enduire mon anus d'un gel. Surpris mais ne lâchant toujours rien, le doigt entre tout doucement et pas très profond. Il tourne à gauche et à droite plusieurs fois. Elle met encore du gel à l'intérieur mais avec deux doigts cette fois, puis un objet, probablement un petit gode. Il me ramone bien et de plus en plus loin. Je retiens mes envies de gémir. Un gode plus gros écarte encore plus mon sphincter mais je sens un corps derrière ce gode, puis des mains se posent sur mes hanches. Et commence une pénétration douce, de plus en plus profonde. Le gode ceinture est courbé vers le bas, ce qui me masse ma prostate. Au début j'ai eu un peu mal mais mon envie est telle que je finis par m'ouvrir largement et j'essaie de retenir mon excitation. Un puis plusieurs gémissement de bonheur que je lâche me trahit. "Tu as gémit, tu seras donc puni !". Elle me sodomise alors avec un gode plus large et me claque mes fesses. "Tu aimes ça hein ? Alors prends en partout ! Quelque chose en cuir me soulève le menton et une vraie bite décalottée se présente sur mes lèvres et me force à la sucer. Elle va et vient dans ma bouche de plus en plus vite et je la sens grossir et grandir à un point où mes lèvres me font mal et son gland tape dans le fond de ma gorge tellement elle était énorme et longue. J'ai eu peur de vomir ou de m'étouffer. Je sens le souffle de cet homme sur ma tête et ses bourses bien gonflées qui me frappent le menton. Une voix féminine dit "Je ne veux pas que tu éjacules encore, fais attention à toi". Mais à qui disait-elle cela, car une main continuait à me masturber dessous. "Tu jutes, me dit-on ?". En effet, mon excitation est à son comble et je lâche quelques filets prostatiques. "Tu seras puni encore alors, tu ne dois pas lâcher une seule goutte sans mon ordre !" Les poids sous mes tétons me font mal à présent. Je ne sens plus le pieu qui ramone mon cul. Sur l'ordre de l'autre maîtresse, l'homme se retire de ma bouche. C'est alors le sexe de ma maîtresse qui se présente maintenant et elle me dit de la lécher partout m'offrant son sexe puis son petit trou en alternant l'un puis l'autre. Elle m'ordonne de rentrer ma langue profondément dans sa chatte et dans son cul, je la sens vibrer, elle gémit, puis crie de plus en plus fort et lâche un jet dans ma bouche et sur ma figure : Ce n'est pas de l'urine car c'est sucré et douceâtre, elle doit être une de ces femmes fontaine. Je n'en ai jamais connu. Maintenant, c'est une paire de fesses qui se présente à ma bouche, Maîtresse m'ordonne de lécher ce cul. Mais le bout de ma langue rencontre deux belles bourses qui se ballottent. Je devine un va et vient et un puis plusieurs cris envahissent la pièce; un orgasme est en cours qui dure au moins 5 minutes pendant que je lèche ce cul de mec qui s'ouvrait d'ailleurs un peu avec des contractions saccadées. Puis sa bite revient dans ma bouche, je la suce goulûment car je prends un réel plaisir à le faire à cet inconnu qui n'est qu'un esclave comme moi ! Sa maîtresse dit :"Quand je te l'ordonnerais, tu lui déchargeras tout dans la bouche et la figure !". Pourvu que je n'ai pas à l'avaler ! Je sens un gode vibrant et courbé qui entre en moi et me masse la prostate pendant qu'une main effectue un va et vient sur ma queue sous cette table de torture. Le milking qu'elle me fait ne tarde pas à faire son effet. Je sens un orgasme prostatique venir lentement. Maîtresse doit ressentir que ma prostate gonfle et la maîtresse de l'autre doit ressentir que ma queue se gonfle aussi. Alors que j'entends le claquement d'une cravache, mon inconnu s'enfonce loin dans ma gorge à chaque coup. Mais alors il y a quelqu'un d'autre en plus. Une bouche me suce à présent tout en me masturbant : Est-ce une femme ou un homme ? Ma maîtresse me lance : "Tourne ta langue autour de son sexe !" Je m'exécute pendant qu'il continue de m'envahir la bouche avec son membre énorme. Sa maîtresse lui jette : "Remplis lui la bouche de ton foutre maintenant, dès que ton jus sort, arrête le va et vient mais reste en bouche puis sors ensuite pour lui gicler sur sa face d'esclave". Je me disais qu'il fallait qu'il en ait beaucoup de sperme pour faire les deux, alors je me rassurais en disant que j'aurai tout dans la bouche mais que je pourrai cracher ensuite. Rêve toujours, maîtresse m'ordonne de tout avaler sinon j'aurai une punition à la hauteur de mon affront. Je gémis de plus en plus souvent car j'aime ça. Soudain, je sentis une crème onctueuse et brûlante envahir ma bouche puis ma gorge. J'ai eu un haut le coeur qui me forçat à avaler pour ne pas m'étouffer combien il y en avait de sa bonne semence sucrée-salée. Puis un, deux, 5, 6 jets m'aspergeaient le visage. Il en avait tellement que je sentis le liquide glisser sur ma bouche: je ne pus m'empêchait d'attraper avec ma langue ce qui coulait devant ma bouche. Quelqu'un lapa la semence qui restait sur mon visage, je pense que c'était lui. Je découvrais que j'aimais cela et je m'en délectais. Mais je sentais de plus en plus mon orgasme montait en moi avec cette bouche qui me suçait et cette main qui me branlait. Celui ou celle qui s'occupait de moi a du ressentir que je venais car il arrêta nette de me sucer et me masturba lentement de haut en bas à deux mains, glissant aisément enduit d'huile sur ma queue bien tendue et décalottée ; et mon jus commença à sortir en filet puis gouttes, puis en flux de plus en plus épais et de plus en plus volumineux. Je n'ai pu m'empêcher de lâcher des gémissements de libération. Le gode en moi parti pour être remplacé par un autre plus petit. Je sentis alors un liquide chaud entrer dans mes entrailles qui me fit jouir, comment est-ce possible? Je suppose que c'était mon propre sperme inséminé par seringue, mais comment le savoir? Ma maîtresse me détacha, me releva, me donna un coup de cravache sur les fesses et me tira par la laisse en dehors de la pièce en me disant "Je t'ai bien dressé aujourd'hui mais ton initiation commence à peine, Tu es discipliné mais tu beaucoup à apprendre encore. D'autres expériences plus hard encore t'attendent, tu me plait comme esclave, tu reviendras lorsque j'aurai envie de toi". J'osais lui répondre seulement : "Merci Maîtresse… pour tout." J'étais tout groggy, les jambes tremblantes de plaisir, j'avais tellement joui même en suçant et avec toute cette semence chaude et épaisse. Quand elle m'enleva mon masque, j'ai pu apercevoir par la porte entrebâillée, quelques accessoires et mobilier de donjon avec une jeune esclave : j'ai tout de suite supposé que c'était elle qui s'occupait de moi en dessous. En m'habillant, je jouissais encore du cul et de la prostate, je sentais couler lentement entre mes jambes un liquide poisseux. Je m'essuyais dessous et ma figure : je sentais cette odeur de sperme dans ma bouche qui me donnait une certaine fierté, puis je franchis la sortie en descendant lentement l'escalier de cet immeuble ancien et bourgeois, comme si j'attendais un mot d'elle pour revenir, heureux d'avoir satisfait ma maîtresse et d'avoir eu ma 1ère expérience qui m'avait tant apporté de jouissances, d'orgasmes et de bonheur. Je voyais le sexe d'une autre façon à présent et j'essayais de m'imaginer ce qu'elle me ferait découvrir la prochaine fois. Je fantasmais sur plusieurs hommes qui m'inonderaient de sperme chaud, crémeux et onctueux dont je me délecterais encore et encore, sur plein de godes et de bites chaudes qui me dilateraient entièrement et m'inonderaient le cul de cette semence dont je suis tant assoiffé à présent, des lèvres et de l'anus de ma maîtresse pour la faire vibrer, pour qu'elle se déverse sur moi comme une fontaine, que j'avale tout son nectar jusqu'à la moindre goûte. J'ai eu un frisson de désir rien que de penser à tout ça. J'aurai voulu recommencer encore et encore. Peut-être un jour me gardera-t-elle encore plus que ces deux heures. Je suis prêt à m'épuiser pour elle jusqu'à l'épuisement total et même pendant mon sommeil je voudrais que l'on abuse encore de moi. J'avais découvert une autre forme de satisfaction, de bonheur, d'équilibre, de sérénité ! .
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Par : le 04/03/13
BALADES EN VOITURE C’est l’été mon maitre décide que je m’habille sexy me mais mon collier et ma laisse me fait monter avec violence dans sa voiture me Bandan les yeux et m’attachant les mains et les Pieds ensembles derrière le dos. Nous voilà partie pour une balade on fait plusieurs kilomètre quand tout ta coup je sens que la voiture c’est arrêtée m’attrapas pars la laisse et m’enferme dans le coffre de la voiture redémarrent pendants quelques minutes et pour la dernière fois il s’arrête, me fait descendre du coffre m’enlèvent le bendos avec angoisse je découvre que nous étions dans un bois à l’abri du regard indiscret et ou personne pourrais m’entendre crier. M’arrache tous mes vêtement m’attache debout contre un arbre les bras au dessue de ma tête m’entravent les Pier en fessent sorte que j’ai les jambes bien écarte prie une cordes et m’enroulent les sains bien serrais et accrocha un bout à mon collier, ce mes devant moi commença a me flagelle entre la cuisse et le sexe si fort que n’ai pas pu m’empêcher de criée après de seconde de Replies il me caresse pour calmer un peux les douleurs. Ils attrapent 9pince a linger 4quil place à chaque lèvres et une sur mon clitoris après il s’apprêta à s’occuper de mes saints mais les caresses gentiment et pinçant mes tetons pour les faire bien pointée et me posse une pince à chaque testons qu’il relie avec une élastique et mes di dans un ton asse sec si tu bouges de trop tu seras punie sévèrement commence à m’affliger 10coup de cravache à chaque saints et 5autre coup sur les pince de mes tetons , moi j’avais tellement mal que j’ai finie pars bouger tellement que la douleurs été trop insupportable me regarde droit dans les yeux et me dit tu vois ta voulu bouger ils attrapes le bendos me couvre les yeux et di en ricanant maintenant vois la ta punition et mes un grand coup à chaque pince et les fait sautes avec le martiner cours et moi impossible de me retenir de craquer et j’entends mon maitre dire aaaaahh enfin et réussi à te faire craquer ma petit chiennes, maintenant te laisse 15minutte pour reprendre tes exprie et de donner à boire et si ta envie de pisser tu serra obliger de retenir le temps que je finie de m’amuser avec ta petit chates et la attrapes un gros godes et me l’envonce sans ménagements et tire d’un coup sec sur les pince pour les enlevée une pars une sauf c’elle de mon clitoris qui sort délicatement et me détache de l’arbre. Maintenant dégourdie toi les pates on va marcher un peux. Mon maitre me di a tu envie de te soulager chienne??Moi dit oui maitre et très envie ok a l’ors me toit a 4patte levé une jambe et soulage toi contre l’arbre cochonne!!!Me suis sentie mal de humiliation que sa procurée d’être obligé de faire sa devant le regarde content de mon maitre…Nous reprenons la marche et nous arrivons sur un air de pique que nique ou ils a des bancs me fait m’être a quatre pates dessue le torse contre le haut du banc attacha les avant-bras et les poigner puis après les cheville les jambes bien écartée de façon à ce que mes fesses de sorte à ce que je sois bien cambre.. Me fouette les fesses une première fois légèrement, puis de plus en plus fort, jusqu’à voir la peau blanche rougie, marquée, zèbre il prend alors un vibro et me le passe délicatement sur le clitoris. Je suis proche de la jouissance s’arrête aussitôt.ET me di voyons un peu ton petit trou du cul et avec un speculum me l’enfonce et l’écarte et me le retireet me mais un plug gonflable ils l’introduit l’lentement mais surement au plus profond de moi et une fois l’objet en place, ils s’arrêta pour que je prenne conscience que ce-là ne s’arrêterait pas là.ils commença a le gonfler puis, âpres quelques longues segonde,le dégonflait ainsi de suite plusieurs foi d’affilée et décida de me le retirer le plug sans pour autant le dégonfler. Mon maitre me dit! Est-ce que tu veux jouir? Je réponds oui s’il vous plait faite moi jouir!!Qu’est que je dois faire pour te faire jouir? Vous devais me faire souffrir maitre! Veux-tu souffrir? Oui je le veux maitre. Il prend une branche fine et me donne 10coup a chaque fesse, puis prend un bouquet d’orties et me caressent le dos et les fesse et reprend le vibro et finie pars me faire jouir.Nous fessons une petit pose pour que je puisse reprendre un peux mes esprit. J’ai tellement que l’orgasme été puissent et pas pu me retenir de pisser me nettoyant avec une lingette été a nouveaux humilier j’ai eu l’impression d’être un petit t’enfant. Apres m’écartas les fesses et m’introduit sa son gros sexe bien raide et me sodomisa, me détacha et me fait mettre à genoux a ses Pier pour que je puisse le remercier comme il se doit. Me donne la pétition pour me rhabiller et regagner sa voiture. F IN
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Par : le 21/02/13
Soirée école des fantasmes dans l'Yonne Cette soirée organisée dans l'Yonne entre membre du réseau Fessestivites avait pour thème « l'école des fantasmes », en clair, partager sans tabou ces envies et passions tout en en découvrant d'autres. Il y eut de la bougie, de la canne anglaise, du fouet, de la fessée, des chatouilles, du SM parfois assez poussé, du pony-boy, de l'ABDL en fin de soirée et même la pose d'un piercing par un expert en la matière. 14 fous furieux bien décidés à en découdre dans la joie et la bonne humeur même si à certains moments, le silence n'était troublé que par le sifflement des fouets. La soirée a débuté par une très belle séquence « bougie » qui en a surpris plus d'un avec une bougie basse température qui permet de faire des folies. Pour certains, la découverte de la canne anglaise fut une révélation, pour d'autres, une simple découverte car un peut trop « hard » à leur gout. Qu'à cela ne tienne, rien n'était imposé, tout était proposé. Quelques minutes plus tard, la maison s'est transformée en « fessodrome » comme si le virus « fessée » était contagieux. Du paddle à la main, ce fut un réel concert rythmique parfois « altéré » de « aie » et « ouf » car quelques membres y allaient gaiment à la claque. Une magnifique selle américaine trouva sa place sur le dos d'un des membres dont les ruades désespérées furent rapidement modérées par la cravache de la cavalière émérite affichant un sourire radieux. Un grand gaillard, solidement entravé fut pris à partie par la gente féminine bien décidée à le martyriser. Entre griffes et chatouilles, il ne rendit pas l'âme ni ne demanda grâce, malgré ses gesticulations désespérées qui en amusèrent plus d'un voire même, donnèrent des envies.... Vers trois heures du matin, les personnes dormant sur place furent prises à partie (amicalement) par les adeptes de l'ABDL. L'un d'eux ne put résister à la pédagogie très « persuasive » d'une des maîtresses, certes, terriblement envoutante. Ni une ni deux, il s'est retrouvé en couche sous les yeux amusés des membres qui ne connaissaient pas l'ABDL. C'est autour d'un dernier verre qu'une discussion autour d'un piercing débuta entre passionnés. La présence d'un « pierceur » et de sa valise permit à un soumis de réaliser un de ses fantasmes : être piercé. Il y eut plus peur que mal, car en un rien de temps la chose fut faites. Lors de ces soirées, les photos sont interdites afin de préserver l'anonymat des personnes, un seul appareil photo est utilisé, les photos sont ensuite dispatchées visage masqué. TSM
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Par : le 06/02/13
N.Y. le 28 janvier Notre vie New Yorkaise se poursuit tranquillement. J’attends avec impatience la fin des travaux de ma galerie, ainsi que Justine pour qui cette nouvelle vie est un vrai rêve. Bruno était reparti à St Barth pour régler quelques affaires privées avant de revenir début février. J’avais parlé précédemment des gouts de Justine pour les expériences hard et même sado maso. C’est pourquoi John me parla de soirées que les américains appellent « Public Disgrace ». Il existe plusieurs variantes à ces expériences, certaines se font à l’extérieur, la fille est entièrement nue, menottée et promenée ainsi à la vue du public. Elle est à la merci de son Maître qui peut faire d’elle ce qu’il veut. Elle peut ainsi se faire baiser par des inconnus, sodomiser, subir des fellations forcées. Tout est permis. D’autres, peuvent se passer dans des magasins, des bars tout lieux publics, mais elles sont organisées le plus souvent dans des endroits privés dans des lieux un peu sinistres.  Les invités sont les spectateurs et les acteurs.  Ils payent leur participation à ces séances. La ce présente  deux cas. Le premier, la ou les filles sont volontaires dès le départ de la soirée, Le deuxième cas, les filles présentes ne savent pas à l’avance ce qui les attends. Bien sur, elles sont toutes consentantes et savent que le sort peut les désigner pour être la « victime ». Ce sont les soirées les plus excitantes. Donc un soir de la semaine ou nous étions tout les trois à table, John annonça que nous étions invités à une soirée, il expliqua qu’il s’agissait d’un spectacle érotique, voir pornographique mais sans en préciser la nature exacte. Bien sûr j’étais au courant, John m’ayant tout expliqué. Justine, toujours avide de nouvelles expériences se dit très intéressée par ce type de spectacles. Le jour dit, nous nous sommes préparés pour cette soirée. Je m’habillais d’une jupe de cuir très courte, d’un chemisier pratiquement transparent et comme à mon habitude sans sous vêtement. Je conseillais à Justine de mettre une robe légère décoltée, bas et porte jarretelles, et vue la proportion de sa poitrine, elle porte toujours des soutiens gorges. Elle ne fit aucune objection à mes conseils et ainsi habillée est était très désirable. En chemin, Justine me demanda si je connaissais déjà ce type de spectacle. Je lui avouais que non et que j’avais hâte de découvrir de quoi il s’agissait. Nous sommes arrivé 30 minutes plus tard, dans un quartier que je ne connaissais pas, triste, avec des maisons délabrées et inhabitées pour la plus part, c’était sinistre. Puis nous sommes arrivés devant ce qui devait être un ancien garage, avec un rideau de fer. Holden notre chauffeur descendit sonner, et le rideau de fer s’ouvrit, nous sommes entrés avec la voiture. Une quinzaine de véhicules étaient garés à l’intérieur. Nous sommes descendus puis, je regardais Justine qui semblait un peu effrayée par l’endroit. John ouvrit une porte en fer et nous pénétrâmes dans un grand hangar. Ce qui me frappa en premier, c’est qu’une trentaine d’hommes et de femmes étaient présents tous portaient un loup sur le visage et étaient assis sur des chaises placées en rond autour d’une estrade ou trônait en son centre deux poteaux placées verticalement. Il y avait aussi une table,  un  tabouret, un carcan, et divers autres objets. Nous avons posés nos manteaux, puis on nous invita à prendre dans une vasque une enveloppe et nous nous sommes assis avec les autres personnes présentes. Une femme entra, habillée entièrement de cuir, composé d’un bustier lui serrant la taille et qui lui faisait jaillir deux seins magnifiques, d’une jupe de cuir ultra courte qui laissait entrevoir son entrejambe nu de tout vêtement et de cuissardes à talons très haut. Ca devenait très chaud. Elle se présenta comme la Maitresse de la soirée. Puis elle prit dans une autre vasque une enveloppe l’ouvrit et annonçât le numéro 21. Elle demanda ensuite d’ouvrir nos enveloppes et que le N° 21 se fasse connaître. Justine eu un moment de panique en découvrant son numéro, le 21. Tout les regards se tournèrent vers elle et un murmure de satisfaction se fit entendre. La Maitresse de la soirée s’approcha alors de Justine, l’invita à se lever, et la prenant par la main, l’amena au centre de l’estrade. Elle lui demande alors de dire si elle était d’accord pour participer comme actrice à cette soirée. Justine un peu perdu cherchait dans mon regard un réconfort et une réponse, mais je ne bronchais pas, et au bout de quelques instants elle dit « oui j’accepte ». Et tout alla très vite, elle se retrouva les mains liées derrière le dos, sa robe fut arrachée violement, son soutien gorge coupé par le devant libéra ses seins aux pointes brunes et  dures. Puis se fut le tour de son string également coupé avec un canif. On lui laissa ses portes jarretelles ses bas et ses chaussures. En 15 secondes elle s’est retrouvée complètement nue, immobilisée et à la merci de cette femme. Ensuite on lui posa un bandeau sur les yeux, ce qui augmenta encore plus sa panique. Un homme, son assistant, s’approcha d’elle, et aida la Maitresse à attacher chacune de ses mains aux deux poteaux par des bracelets de cuir. On lui posa des bracelets aux chevilles et elle se retrouva ainsi exposée, les jambes largement ouvertes. Je regardais John et lui demandais : « J’espère qui tu leur a dit de pas être trop brutaux avec elle » Il me répondit ; « ne t’inquiète pas elle ressortira de là sans séquelles ». Pas très rassurant quand même. La femme pris alors un fouet à une lanière de cuir à manche court puis s’approcha de Justine. Elle fit claquer son fouet, Justine compris instantanément ce qui allait se passer et elle se cabra dans ses liens. Et le fouet claqua, d’abord sur son dos, un coup sec, mais sans violence, elle répéta l’opération une deuxième fois, Justine cria, le coup était plus fort. L’homme resté  à côté s’approcha et plaça sur la bouche de Justine un bâillon en forme de boule de caoutchouc et attaché derrière la tête Elle recommença en descendant sur les fesses en lui administrant une dizaine de coups assez forts. Ses fesses se marquèrent instantanement de marques violacées. La Maitresse fit le tour se plaça devant Justine et fit claqué son fouet sur le ventre, et sans attendre deux autres coups sur chaque seins. Justine se débattait dans ses liens.   Je regardais avec un peu d’effroi ce qui lui arrivait, moi qui n’est jamais appréciée la brutalité. Les hommes et les femmes autour commençaient à s’exciter, et je craignais que cette excitation fasse que les « spectateurs » ne se contrôlent plus. La Maitresse demanda alors un volontaire pour continuer à la fouettée. Un homme fut plus rapide que les autres, il se leva, pris le fouet des mains de la femme, se plaçant devant Justine il entreprit de la fouettée à l’intérieur des cuisses, une partie du coprs particulièrement  sensible. Deux coups sur chaque cuisses, il alla regarder son œuvre et sans doute mécontent du résultat recommançat l'opération. Puis se remettant devant Justine il assénat trois coups sur chaque seins. iI frappait plus fort que la Maitresse et des marques apparurent sur les mamelons. Il refit le tour, et fouetta Justine une dizaine de fois dans l’entre jambe, le bout du fouet frappant exactement sur  le devant de son  sexe juste sur le clitoris. Il revint devant et asséna un coup encore plus violent sur chacun de ses seins, des marques laissées par la lanière de cuir apparut quelques gouttes de sang sur les bouts de ses seins. Justine hurlait dans son bâillon. John fit un signe à la femme qui fit stopper le supplice. Mais l’homme surexcité la frappa de toutes ses forces sur le devant de son corps. Il aura fallu qu’un autre homme intervienne pour le stopper dans sa folie. Ils la détachèrent alors et la placèrent dans le carcan. Cet instrument de torture était composé d’une pièce de bois fixe sur un support au sol avec deux demi trous, deux pour les mains et un pour la tête, ils refermèrent l’autre moitié et Justine se retrouva la tête et les mains prisent dans cet étau. Une barre fixée sur les attaches de ses chevilles lui écartait les jambes au maximum, offrant une vue imprenable sur son intimité. Auparavant on lui avait retiré son bâillon, un homme s’approcha d’elle, la braguette ouverte, le sexe en érection et sans ménagement  le lui enfonça dans la bouche, jusqu’à faire toucher ses testicules sur ses lèvres. Il resta comme ça puis se retira, Justine, étouffait et il recommençât, mais cette fois-ci en violents vas et vient. Toutes les quinze secondes il se retirait pour la laisser respirer et continua jusqu’à éjaculer au fond de sa gorge.   Un autre le remplaça aussitôt et tout recommençât, avec en prime une pénétration des plus brutales. En effet, la femme venait de lui enfoncer sa main dans le vagin sans ménagement. Elle allait et venait de plus en plus vite. Toute sa main jusqu’au poignet pénétrait dans le vagin de Justine, qui ne pouvait crier vu l’engin qu’elle avait dans la bouche. La femme retira sa main, s’enduit la main de gel, présenta son poing fermé à l’entrée des reins de Justine et en tournant légèrement entreprit de le pénétrer comme par devant. Centimètre par centimètre son poing pénétrait l’orifice étroit de ses reins. Un troisième homme remplaça le précédent qui venait de jouir au fond de sa gorge. Et tout continua. L’homme un noir avec un sexe énorme remplaça la main de la femme et l’enculât d’une seule poussée. Deux autres hommes se placèrent devant la bouche de Justine et firent entrer leurs deux sexes en même temps. Des larmes coulaient sur son visage entrainant avec elles le maquillage, elle était méconnaissable. Et pas moyen d’arrêter tout cela. Jugeant que cette position avait proposée toutes les solutions, on la sortit de son carcan, et ils la firent assoir sur le tabouret, sur lequel il avait posé un gode conique de grande taille. Lubrifiée par le gel et le sperme du noir, elle s’enfonçât  jusqu’à toucher les fesses sur le tabouret. Une femme s’approcha avec un vibromasseur, le plaça sur le clitoris de Justine qui se mit à bouger dans tous les sens, maintenue au tabouret par de pieu de plastique. Elle fit durer le supplice jusqu’à ce que Justine explose dans un orgasme exceptionnel. Pendant de temps là un homme muni d’un bâton électrique lui titillait les seins et le bas ventre lui envoyant des décharges électriques puissantes mais inoffensives. Je regardais le public autour de moi. Tout ce petit monde, s’envoyait en l’air dans son coin,. Une femme avait fait entré sa main dans son sexe et se masturbait violemment. Une autre suçait son voisin de siège pendant qu’au autre la baisait. Un autre se masturbait et éjacula sur le visage de sa voisine. Je regardais John, il était stoïque. Il regardait le spectacle sans émotion apparente, j’avançais ma main vers son sexe, le dégageais de son pantalon, il bandait comme un âne, je me penchais et avalais ce sexe qui me donnait tant de plaisir. Dans la position ou j’étais j’offrais mon cul à qui voulait le prendre, ce qui ne tarda pas. Je ne voyais pas l’homme puis me baisait et décidais de ne pas savoir qui c’était, jeune, vieux, un sexe qui bande est toujours un sexe.. Pendant ce temps, Justine avait été portée sur la table, un homme placé sur le dos la baisait, pendant qu’un autre la sodomisait. Ils se succédèrent ainsi sans s’arrêter. Justine jouissait pratiquement sans arrêt. Ils le retournèrent celui sur le dos l’encula pendant qu’un autre la baisait. La Maitresse vint alors se placer sur la bouche de Justine lui offrant son sexe. Sa langue léchait le clitoris, pénétrait à l'intérieur de son vagin largement ouvert, mordillant ses lèvres et revenant au clitoris qu'elle prenait entre ses dents. Elle jouit très vite inondant lson visage et faisant boire à Justine le jet de son orgasme. Cela faisait deux heures que la séance venait de commercer. Et ils n’en finissaient pas de la baiser, de l’enculer. Justine, pratiquement inconsciente, avalait tout le sperme qu’on lui faisait boire. Que pouvait-elle subir de plus. Quelles imaginations lubriques pouvaient encore jaillir de ces cerveaux pervers. Et bien ils trouvèrent vite une suite à tout ce qu’elle avait déjà subi.       Tout le monde se rhabilla, ils nettoyèrent Justine, mais la laissant complètement nue, avec son porte jarretelles et ses chaussures,  un homme la portât jusqu’au parking. Il l'installa dans une voiture. Je m’inquiétais de savoir où ils allaient. John me rassura en me disant qu’on allait les suivre en voiture, et qu’il savait ou ils l’emmenaient. Nous avons suivi len cortège jusqu’à un port au bord de l’Hudson. Là se trouvait une vingtaine d’hommes, adossés à des containers,  des dockers pour la plus part, prévenus de la soirée. On fit descendre Justine à qu’on avait remis le bandeau sur les yeux et attachés les mains derrière la tête sur un anneau fixé sur un collier en cuir.  Il faisait assez froid, nue comme elle était elle devait subir cette température difficilement.  L’homme qui le tenait l’approcha des hommes, et leur dit : «Elle est à vous, vous en faites ce que vous voulez, ne la ménagé pas». Aussitôt les hommes l’entourèrent, leurs mains se posèrent sur ses seins, lui tordant les bouts, elles s’insinuaient dans sons sexe pinçant son clitoris,  ils pénétraient leurs doigts dans son cul. Puis ils la firent mettre à genoux, en lui présentant  leurs sexes en érection. L’obligeant à les avaler tour a tour, passant de l’un à l’autre. Certains éjaculaient dans sa bouche d’autres sur ses seins, sa figure. Puis remise debout, penchée en avant, ils la prirent par devant, par derrière tout en lui enfonçant dans la bouche leurs sexes. Je regardais ce spectacle, une envie folle de la rejoindre me pris, j’en parlais à John qui me dis de faire ce que je voulais. Je m’approchais du groupe, j'ouvrais mon chemisier et remontais ma jupe jusqu'a la taille. Ravis d’en avoir une deuxième pour le même prix ils ne tardèrent pas à s’occuper de moi et de me faire subir le même sort qu’à Justine qui me regardait, les yeux dans le vague, saoule de sexe et de sperme. Un homme me souleva, je serrais mes jambes autour de sa taille, puis il me fit descendre sur son sexe, un autre se plaça derière moi et m'encula de tout la longueur de son sexe. Je descendais et remontais de plus en plus fort. je sentais leurs membres taper au fond de moi, ce qui déclenchaient des orgasmes à répétition. La séance dura le temps que les assaillants vidés complètement et sans munition arrêtèrent  de s’occuper de nous. Je prenais Justine par la taille, lui retirais son bandeau, détachais ses mains, puis se dirigeant vers notre voiture ou Holden nous attendait en jouissant du spectacle, je demandais à Justine comment elle allait. Sa réponse fut sans appel, jamais elle n’avait jamais prit un pied comme ce soir. Elle ne regrettait ni les coups de fouets surtout sur les seins, ni les pénétrations violentes, rien de tout cela. Et se disait prête à recommencer avec plus de violence encore. Tu sais me dit'elle, je sais qu'on peut utiliser des aiguilles sur les seins et le sexe, Il faudrat que j'essaye ça  la prochaine fois. Justine m’inquiétait sérieusement. Il ne faudrait pas qu’elle prenne trop goûts à ce genre de séance, car bon nombre de femmes et d’hommes tombés dans l’addiction du sado masochisme se sont retrouvés mutilés par les coups de fouets, de cravaches, de pinces diverses, d’aiguilles plantés dans tous les endroits les plus sensibles du corps, de suspensions etc. Je me souviens de l'expérience malheureuse du fou qui m'avait mis sur le clitoris son objet de torture qui me faisant pénétrer une aiguille dans le clito à chaque fois que pendant qu'il me baisait son ventre touchait cet engin de torture. J'en garde  un souvenir douloureux. Il faudra que je la surveille de prêt, de toute façon Bruno qui n’est pas non plus un adepte de ce genre de sport lui fera comprendre ou il faut qu’elle s’arrête. Dans la voiture qui nous ramenait, elle s’était blotti contre moi. Habillée d’un peignoir que John avait prévu, elle sommeillait dans mes bras. Arrivé à l’hôtel particulier, elle demanda à Holden de lui faire couler un bain. On ne le revit pas ressortir de la chambre de Justine, à croire qu’elle n’en avait pas eu assez ce soir. Je demandais à John : " le numéro 21 tiré soit disant au hasard, ce n’était pas complètement le hasard". Eclatant de rire John me répondit que bien sûr que non, tout était arrangé d’avance. Tu sais dit ’il, je crois que la prochaine fois, ce sera ton tour. Je le regardais alors dans les yeux, en lui disant que s’il me faisait ça, je m'occuperais de lui personnellement  en pire., que j'avais déjà quelques idées précises de ce que je pourrai lui faire subir. Sa réponse  fut : " arrête tu me fais bander, viens tu vas m'expliquer tout ça " et il m’entraina dans notre chambre.   A suivre        
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Par : le 22/01/13
Illicite (J Higelin, Aken Edition)Ô combien j'aimerais l'après-midisi toute la bande de ouistitis qui s'agitentdans tous les sens pour justifierdu pedigree de leur incompétencecessaient leurs allées et venuesleurs corps-à-cris leurs cohuespour laisser mon âme indolentenaviguer en ses grands palaisoùd'affriolantes courtisanesprêtes à subir tous les outrageset les excés de mes fantasmespuissent enfin me livrer en paixla quintessence de leurs orgasmesIl n'y a que l'interdit qui m'excitequi pique mon imaginationje ne bande plus que pour l'Illicitel'au-delà de la fascinationTa douceur captivealimente la dérivede mon espritcomme tes poignets tendusque mes doigts crucifientton corpsdressé contre le murécartelé à l'infinis'offre et résiste à la torturede mes caresses, de mes crisle viceamant de la vertuesclave et maître du plaisirlivre à mon capricieux désirla ferveur de ta chairla prière éperdue de tes membres offertsaux plus tendres supplicesdont mon ardeur complice honoreta soumissionIl n'y a que l'interdit qui m'excitequi pique mon imaginationje ne bande plus que pour l'Illicitel'au-delà de la fascinationDes lourds joyaux de tes prunellespareils à des charbons ardentsjaillit un faisceau d'étincellesqui met le feu à mon tourmentBas et chaussures, dessus, dessous, parures et ornementstombent, pêle-mêlele viceamant de la vertuesclave et maître du plaisirlivre à mon capricieux désirla ferveur de ta chairla prière éperdue de tes membres offertsaux plus tendres supplicesdont mon ardeur complice honoreta soumissionVolcans de soie, torrents de mielvelours froissé, châle émouvantoù je m'enliseoù je m'emmêle éperdumentme raccrochant à mes bras nusles yeux au ciel, le feu au culMaman !Il n'y a que l'interdit qui m'excitequi pique mon imaginationje ne bande plus que pour l'Illicitel'au-delà de la fascination
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Par : le 09/01/13
Le milking of mâle ou la traite du mâle en français est une technique de massage de la prostate qui implique trois organes du système de reproduction masculin : la glande prostatique, les vésicules séminales et les glandes, lesquelles représentent les réservoirs qui contiennent le sperme prêt à être éjaculé. Afin de repérer physiquement ces différents organes, introduisez (ou faite-vous introduire) un doigt (que vous avez préalablement lubrifié dans l'anus, puis remontez le long de la paroi rectale jusqu'à sentir une excroissance de la taille d'une noix : il s'agit de la prostate. Au delà de la prostate se trouve une zone étroite contenant les vésicules séminales. Durant un acte sexuel classique, les corps caverneux contenant le sperme se contractent à la suite de l'excitation et projettent les spermatozoïdes en jets fins contre la paroi de l'urètre. En même temps, les vésicules séminales expulsent aussi en jets fins leur contenu jaunâtre et gluant dans l'urètre. La violence du choc de ce liquide déclenche l'activité de la prostate. Celle-ci se contracte et projette le contenu de ses petites glandes, également en jets fins, dans l'urètre, où les différentes parties du liquide spermatique se mélangent.L'éjaculation du sperme est accompagnée de contractions rythmiques très fortes des muscles situés à la racine du pénis. Une fois commencé, le processus de l'éjaculation ne peut être interrompu. Il y a généralement 4 à 8 contractions musculaires que l'homme ressent d'une manière consciente. Chez l'homme, l'éjaculation est associée à l'orgasme. Tous les muscles du bas-ventre contribuent, de différentes manières, aux contractions rythmiques. La force avec laquelle le sperme est projeté de l'urètre grâce à la collaboration des muscles du bas-ventre, est relativement grande.Mais revenons à l'exploration annale de l'esclave mâle. Attendez qu'il se détende, puis commencez à masser fermement d'avant en arrière. Continuez la stimulation jusqu'à ce qu'il parvienne à l'orgasme... Cela peut prendre un petit moment, le sperme est évacué non plus en jets, mais plutôt de façon continue. Les vésicules séminales, les glandes et la prostate peuvent être entièrement vidé par leur massage. Un massage rythmé de ces organes à l'aide d'un gode est une solution qui peut être remplacé d'une façon plus simple avec votre majeur ou votre majeur et votre index (bien sûr lubrifiés). Le massage forcera le liquide séminal et le sperme à franchir les valves menant aux conduits éjaculatoires, et videra la prostate (qui se videra directement dans l'urètre). Si le massage débute suffisamment longtemps après avoir stoppé toute manœuvre d'excitation, l'éjaculation se fera sans spasmes du pénis. Seul signe de succès de l'opération : l'apparition du produit de l'éjaculation au méat. Vous pouvez à partir de là aider l'urètre à se vider en masturbant fermement votre esclave qui n'aura donc pas connu d'orgasme. Une variante de se massage permet de limiter efficacement la tendance de certains esclaves à éprouver un certain plaisir dans leur traite, il s'agit du " massage glacé ". Cette méthode consiste à installer 10 minutes avant le massage : un sac plastique plein de glaçons sur le sexe et les parties de votre mâle. Le sac doit rester installé durant tout le temps du massage de sa prostate. Lorsque le massage est sur le point de se terminer (le mâle doit vous prévenir lorsqu'il sent qu'il va décharger), vous pouvez retirer le sac. Cette technique est idéale pour conserver un mâle chaste. (La technique peut être poussée au paroxysme du vice en installant le sac de glace sur son sexe alors qu'il ne bande pas encore afin de le conserver dans cet état). Ainsi, il ne ressentira aucun plaisir lorsque le sperme se frayera un passage au travers des conduits éjaculatoires. Un préservatif peut être utilisé pour collecter le sperme, afin que la maîtresse puisse en apprécier la quantité et vérifier qu'elle correspond au produit d'un orgasme normal. A ce moment là, le massage peut prendre fin et la maîtresse peut demander à son esclave de vider le contenu du préservatif dans sa bouche et de l'avaler. Nombreux sont les hommes qui ressentent encore du plaisir lorsque l'on masse leur prostate tout en branlant leur pénis. Mais lorsqu'une quantité suffisante de sperme est déjà évacuée, la pression du fluide n'est plus suffisante pour provoquer de nouveaux réflexe éjaculatoires. En tous cas pas temps que les glandes ne se soient rechargées. Cela peut prendre plusieurs heures voir plusieurs jours. Cette technique peut être utilise pour frustrer un mâle en le privant de sa masturbation ou d'orgasme à condition qu'elle soit réalisé à intervalles réguliers. Comptez sur un à deux massage par jour si vous souhaitez que votre mâle se passe de ceinture de chasteté. Quant aux mâles équipés d'une ceinture de chasteté, une traite sera nécessaire une seule fois sur un intervalle de plusieurs semaines ou au maximum tout les trois mois. Ceci afin d'éviter les éjaculations nocturnes avec orgasmes. Avec un massage régulier de la prostate, un mâle peut être privé d'orgasme durant un temps relativement long sans effet néfaste pour la santé pour peu que le massage soit effectué sans brutalité (un massage brutal provoquerait une infection).   La durée entre deux traites sera jaugée en fonction de votre expérience. Vous chercherez à définir combien de temps votre esclave peut ne pas jouir durant son sommeil. La période la plus longue durant laquelle un homme n'a pas d'éjaculation nocturne n'excède généralement pas 1 mois. Si la traite est faite correctement votre esclave sera privé d'érection au maximum pour dix jours ensuite il est plus sûr de lui installer une ceinture de chasteté pour l'empêcher de se soulager.
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Par : le 20/12/12
Ma Maitresse m'avait prévenue "Je t'invite à un dîner mais tu ne mangeras pas..." Effectivement, après l'avoir activement aidée à préparer tous les plats, elle m'ordonna de me déshabiller intégralement et d'enfiler ma laisse pour chien. puis, je dû me poster au coin du salon, à genoux, la laisse pendant autour du cou... "Enfiles ta laisse chien lubrique"... Comme je le craignais, ses amies arrivèrent une à une... après leur avoir ôté leur manteaux, elle les fit entrer dans le salon, sans plus d'explications.... Certaines se mirent à rougir, d'autres se mirent à rigoler nerveusement, d'autres se montrèrent plus hardies et vinrent constater de quel race de chien il pouvait s'agir... ma maitresse les rassura toutes en leur expliquant que le chien était bien dressé et qu'il n'y avait pas de raison d'avoir peur... Puis ce fut l'apéritif... Ma maîtresse me fit venir plus près à quattre pattes et montra ce qu'elle attendait de ses convives : Elle m'enfila une cacahuete dans le cul et dit "celle qui lui enfilera le met le plus érotique, recevra un cunnilingus..." Ces dames se deridèrent... testant qui un morceau de bretzel, qui des oeufs de lumpe pour faire glisser. C'est Elsa qui m'enfila le cornichon gagant... j'eu ordre immédiat de plonger ma tête entre ses cuisses... je ne devais la toucher qu'avec ma langue, les mains croisées dans le dos... il me fut pourtant assez facile d'écarter son string et de la lécher le plus délicatement possible... pendant cela, ma maitresse fit passer ses convives à table... Mon rôle pendant le repas consitait à être sous la table et à lécher pieds et escapins au grès des appels du pieds. En cas d'erreur de langue ma maitresse avait était formelle : " un bon coup de pointe dans le chien corrigera son attitude"... Je passait ainsi presque deux heures sous la table, léchant et étant parfois brusquement rejeté... Pour le déssert, on me fit passer subitement sur la table, à genoux, en plein milieu... ces dames déshinibées m'enduisirent peu à peu de chocolat fondant... partout.. et je devais lecher parfaitement leurs doigts... Elles burent ensuite du champagne et m'en lancèrent quelque gouttes que je devais attraper au vol... une bonne partie de rigolade pour elles... une souffrance de plus pour moi. Puis je dû les raccompagner jusqu'en dans le couloir... le corps meurti pas les coups d'escapins vengeurs et sali pas ce désert particiulier... Chacune me prenait en laisse, me faisait lécher encore un peu les talons auguilles pour les rendre "luisant" et se séparait de moi avec une tape amicale sur les fesses.... Pour conclure , ma Maitresse me demanda si j'avais apprécié ce repas... mais elle connaissait déjà intimement ma réponse...  
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Par : le 12/11/12
Elle savait qu’Il serait arrivéEt elle L’attendit. Elle savait qu’elle perdrait les yeux et la paroleEt elle l’accepta. Elle savait qu’Il l’emprisonneraitEt elle L’aima. Elle savait qu’Il serait Tout-PuissantEt elle le souhaita. Mais toujours, au cas où,Elle garda, caché,Un double de la clé…
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Par : le 18/10/12
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins). Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article. Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre : Cinquante nuances de Grey Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey (à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ). Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage. On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ? Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).  ...
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Par : le 16/10/12
Je m'appelle Philippe et je suis journaliste d'investigation. A la demande de mon rédacteur en chef, j'avais entrepris une enquête approfondie dans les milieux si méconnus des adeptes de la Domination et de la soumission, du S/m, du bondage, du BDSM, etc. Après le passage obligé des boutiques et des sites internet, j'avais réussi à obtenir un rendez-vous avec Celui qui apparaissait pour beaucoup de mes interlocuteur comme Une Référence en la matière. je me souviens, c'était lors d'un chat avec une Maîtresse : "essaie de contacter Sir Evans, avec Lui tu apprendras beaucoup", m'avait-elle affirmé. J'avais alors erré quelque temps sur le net, jusqu'à tomber enfin sur un site où figurait ce pseudo. Nous avions échangé quelques phrases et Sir Evans avait finalement consenti à me recevoir. Il m'avait dit d'être le vendredi à midi sur la place du village de St- XXXXXX et d'attendre, qu'il se chargeait d'organiser la suite. Au jour dit, je me rendis donc au lieu de rendez-vous. Il faisait gris et froid, une légère brise me glaçait les os. j'étais seul sur la place avec ma Clio noire portant le logo bleu et vert de mon journal. Impossible de me rater pensais-je, appuyé sur le capot et fumant une énième cigarette. je trouvais le temps long... Finalement, vers la demie, je vis un lourd 4X4 qui roulait au ralenti vers la place. je me redressais un peu et jetais mon mégot vers le caniveau. Une étrange sensation m'habitait... j'avais beaucoup discuté avec des adeptes du Divin Marquis lors de mon enquête, mais je n'avais encore jamais rencontré l'un d'eux. j'imaginais des choses assez glauques ou violentes, riche seulement de quelques références littéraires ou cinématographiques. Le 4X4 s'arrêta face à moi... j'attendais, immobile. Pendant de longues minutes, rien ne se passa. je tapais des pieds sur le sol pour me réchauffer et commençais à m'impatienter. Enfin, les portières du véhicule s'ouvrirent. Deux hommes à la forte carrure en sortirent et s'approchèrent. L'un d'eux s'arrêta à quelque distance, tandis que l'autre venait jusqu'à moi : "T'es le journaliste ?" ... "Oui" répondis-je "je commençais à me demander si c'était un canular !". Mon ton un peu sec ne provoqua aucune réaction sur le visage massif de cet homme à la carrure impressionnante : "Suivez moi" dit-il, reprenant le chemin du 4X4, je lui emboitais le pas alors qu'un léger crachin commençait à tomber. Celui qui était resté en retrait s'interposa alors : "Veuillez me donner les clefs de votre voiture, je m'en charge" me dit-il d'un ton qui, allié à une carrure tout aussi compact(e que celle de son compère, n'admettait pas vraiment de réplique. je donnai donc mes clefs et allai jusqu'au 4X4. Je m'installai sur le siège du passager, découvrant la présence d'un troisième homme à l'intérieur. Celui qui m'avait accueilli était déjà installé au volant. C'est lui qui m'expliqua la règle du jeu : "On tient à la discrétion... C'est pour ça que je vous conduis et qu'y faut la cagoule"... "La cagoule ?" je m'étonnai. L'homme assis à l'arrière tendit alors le bras, tenant une cagoule de soie noire. "Excusez nous hein, Le Maître y tient", dit-il tout en passant déjà le fin tissus sur ma tête. "je comprends" répondis-je, plus conciliant par la parole que par l'esprit, un peu angoissé quand même par ces manières de conspirateurs. Le 4X4 démarra en douceur et commença alors un trajet dont j'ignorais totalement la destination. D'abord mené sur une route asphaltée, je sentis soudain un ralentissement, puis quelques cahots, alors que le véhicule s'engageait sur un chemin de forêt. Il fallut environ une demi-heure pour que nous parvenions à destination. les deux hommes m'aidèrent à m'extraire du 4X4 et me guidèrent avec fermeté... A l'issue de quelques mètres sur un sol spongieux, je sentis enfin une dalle de pierre sous mes pieds... le grincement d'une lourde porte et soudain le parfum de l'intérieur... La cagoule me fut ôtée et je découvris un vaste hall dallé, s'ouvrant sur plusieurs portes fermées, et au centre un grand escalier de bois menant vers des étages. Un majordome (je sus plus tard qu'il se prénommait Walter) à l'air sévère se tenait très droit face à moi et ma salua d'un bref hochement de tête : "Le Maître vous attend, veuillez me suivre"... il tourna alors les talons et se dirigea vers l'une des portes au fond du hall, je me hâtai de le suivre... Le majordome ouvrit la porte et s'effaça afin de me céder le passage. j'avançais dans une vaste pièce aux murs de pierre recouverts de riches tapisseries anciennes présentant d'étranges scènes antiques, présentant des hommes et des femmes nus, enchaînés, exhibés sur des marchés aux esclaves ou offerts aux sévices et plaisirs de Leurs Maîtres(ses) vêtus à l'Antique. De hautes colonnes flanquaient chaque côté de la grande pièce éclairée par des fenêtres placées très haut et n'offrant pas de vue sur l'extérieur... Au fond, au centre, une sorte de trône en bois ouvragé sur lequel était installé Un Homme qui me fixait; j'eus un bref instant de doute lorsque je vis... Et pourtant c'était la réalité... A Ses Pieds, nues, seulement vêtues d'un épais collier d'acier enserrant leur cou, deux femmes nues étaient alanguies, une fine chaîne partant de leur collier à chacune pour être fixées aux accoudoirs du trône. L'Homme tendit la main et fit un léger geste pour me signifier que je pouvais approcher, flanqué du majordome qui marchait à mes côtés. Arrivé à environ deux mètres du trône, le majordome tendit la main pour me saisir le poignet; "ici c'est bien" me glissa-t-il dans un souffle. je m'arrêtai... Quelques secondes de silence... Puis la voix de l'Homme du trône retentit, claire, distincte, élégante. Sans avoir besoin de se forcer, elle retentissait dans ce vaste espace : "Bienvenue dans mon domaine", dit-il. je bredouillai un "bonjour et merci d'avoir accepté de me recevoir" plutôt piteux, assez impressionné par l'ambiance et par cet homme qui n'hésitait pas à me recevoir avec ces deux femmes réduites à l'état d'animaux de compagnie qui se tenaient docilement à ses pieds. Le majordome avança d'un pas : "je vous présente Sir Evans, Maître de céans..., Maître, voici Philippe Damier, le journaliste qui avait sollicité une entrevue". Puis il se retira et le silence retomba... Mal à l'aise, je sortis maladroitement un carnet un stylo de ma poche "euh... je... cela ne vous dérange pas si je prends des notes ?"... Un sourire se dessinant sur ses lèvres, Sir Evans eut un geste élégant de la main "mais je vous en prie, notez mon cher, notez... Je suis sur que vous avez beaucoup à apprendre ici"... "je.. euh, merci Sir, ... merci" Sir Evans se leva alors, d'un geste il saisit les bouts des deux chaînes et s'en servit de laisse pour entraîner à sa suite les deux femmes nues qui le suivirent docilement, faisant évoluer leur corps à quatre pattes avec une grâce féline. Sir Evans s'approcha de moi et j'eus du mal à soutenir son regard... Sa seule présence marquait l'évidence de Sa Nature Dominante. Il commença à arpenter la pièce, menant à sa suite les deux femmes qui le suivaient pas à pas, évoluant sans difficulté à quatre pattes au rythme imposé par leur Maître. Tout en accompagnant cette promenade circulaire à travers la grande pièce, j'interrogeai Sir Evans sur sa notion de la Domination, sur ses expériences, ses principes... Il répondait avec clarté, sincérité, ponctuant ses propos d'anecdotes et de récits variés. Fréquemment il tournait son regard vers moi afin de ponctuer une phrase ou un récit; invariablement, je me sentais rougir légèrement et je baissai instinctivement les yeux. je ne parvenais pas à me maîtriser totalement, moi qui étais pourtant habitué à interroger de hauts dirigeants économiques ou politiques, je me sentais soudain "tout petit". Et malgré mes efforts pour qu'il n'en paraisse rien, je n'étais vraiment pas sur d'y parvenir... L'entretien dura près de deux heures. Et tout au long de ces échanges, les deux femmes suivirent le rythme de nos pas, sans jamais gêner nos évolutions, sans jamais se plaindre. Sir Evans devina que je m'interrogeai et précéda ma question : "Ce sont deux de mes esclaves... deux bonnes chiennes qui ont déjà été longuement dressées. Elles sont ici pour quelques semaines et agrémentent mes journées... Ainsi que les soirées que je donne parfois dans la salle à manger du château, pour quelques amis triés sur le volet". Je ne parvins qu'à hocher la tête et ne pu m'empêcher de jeter un regard sur ces deux femmes, qui se tenaient parfaitement immobiles, à quatre pattes, les reins légèrement creusés, la croupe un peu relevée... comme prêtes à être saillies à tout instant. Mon regard s'attarda sans doute plus que je ne le voulais car j'entendis soudain la voix de Sir Evans... "Manifestement elles vous intéressent... Voudriez vous en essayer une ? Je pensais vous offrir l'hospitalité pour la nuit et l'une de ces chiennes aurait pu agrémenter votre séjour, après tout l'expérimentation enrichit toujours le simple témoignage, ne croyez vous pas ?". La proposition avait été faite d'une voix mesurée, calme... même s'il me semblait y avoir peut-être décelé un zeste d'ironie. je bredouillais... "euh, c'est à dire... (je me sentis rougir !) je dois... rentrer ce soir, je ne peux pas... merci mais, non vraiment"... Sir Evans laissa un instant peser son regard sur moi et je ressentis une gêne comme je n'en avais jamais connu. "A votre guise", dit-il, "je vais vous faire raccompagner". Dehors, la bruine du matin s'était transformée en une pluie fine mais persistante... Devant le perron du château, ma voiture professionnelle était garée. Le majordome m'en tendit les clefs que je saisis. je descendis les grands escaliers extérieurs et trouvai refuge dans la Clio. je restai ainsi immobile quelques minutes, essayant de remettre un peu d'ordre dans mes idées. j'avais été extrêmement troublé par cette journée et par cette rencontre avec Sir Evans. Une foule de pensées se bousculaient dans mon esprit. je revoyais les tapisseries avec leurs scènes d'esclavage antique, les deux femmes-chiennes si excitantes au bout de la laisse de Sir Evans... excitantes, oui, indéniablement. Mais ce qui me troublait plus encore, c'est que j'avais du mal à définir ce qui m'avait le plus excité dans cette vision : était-ce de les voir ainsi traitées comme des chiennes ? était-ce plutôt leur situation ? je n'avais pas pu m'empêcher, un instant de me demander ce qu'elles ressentaient, ce que l'on ressentait dans une telle situation, à être ainsi avili, rabaissé au rang d'un animal de compagnie... nié dans la dignité d'être humain libre... et cela aussi m'excitait. Brusquement, n'y tenant plus, je démarrais dans un crissement de pneus. je voulais partir, m'éloigner... Etre loin de ce château, de son Seigneur à la séduction si ambigüe, que je trouvais perverse... je ne me l'avouais pas, mais je fuyais, sans trop savoir quoi, je fuyais... Je roulais sans doute un peu trop vite sur le chemin de forêt qui ceinturait l'enceinte du Château. je sentais mes pneus se dérober légèrement à chaque virage, mais je ne levais pas le pied? je voulais être loin. Mais soudain, un coup de volant un peu trop brusque ? je sentis la voiture échapper à mon contrôle sur le sol boueux. Elle partit en un dérapage que j'étais bien loin de contrôler et alla se ficher dans le bas-côté, heurtant au passage une souche avec laquelle le choc fut violent. La Clio immobilisée, je restais un moment immobile au volant... j'enrageais ! je voulais m'éloigner et voilà que j'étais bloqué comme un fieffé imbécile ! je m'en voulais. je sortis pour constater les dégâts, l'aile était bien endommagée, mais la direction ne semblait pas avoir souffert. je pourrai peut-être dégager la roue et repartir. Sous la pluie, je m'affairai pendant un temps infini, sans résultat. Plusieurs fois, de rage, je donnai un coup de pied dans la voiture immobile, devenue si stupidement inutile ! Je commençais à désespérer, assis sur le capot, la tête entre les mains, lorsque j'entendis un bruit de moteur lointain... Je me redressai et vis au loin le 4X4 qui m'avait pris en charge à mon arrivée. Il approchait et s'arrêta à ma hauteur. Les deux colosses qui m'avaient accompagné à l'aller sortirent et j'allai vers eux... "Vous ne pouvez pas savoir combien je suis content de vous voir", dis-je avec un sourire. Ils ne m'accordèrent même pas un regard, allèrent jusqu'à ma voiture et l'examinèrent. Echangeant un regard entendu, il hochèrent la tête d'un même mouvement : "L'est foutue, pourrez pas rentrer avec", dit l'un d'eux sans même m'accorder un regard. "Vous êtes sur ?" "Ben oui... C'est la direction qu'à morflé... Va falloir réparer, ça prend du temps", dit-il encore, ajoutant : "Z"auriez mieux fait d'accepter l'hospitalité du Maître"... j'étais furieux... "J'aurai surtout mieux fait de ne pas venir dans ce bled pourri !" criais-je en tapant du pied sur le sol boueux, ne parvenant qu'à salir un peu plus le bas de mon pantalon... "C'est pas gentil de dire ça, le Maître a été très accueillant. C'est pas une façon de le remercier", me lança un des deux colosses. Son ton lent et neutre m'énerva encore plus : "Oui ! très accueillant, avec des femmes en laisse !" j'allais continuer lorsque la brusquerie de mon mouvement me fit perdre l'équilibre et chuter dans la boue. j'allai me relever lorsque je sentis un poids soudain peser sur mes épaules... je forçais, en m'appuyant sur mes deux mains, sans succès...le poids se faisait encore plus pesant sur mes épaules... je compris que l'un des deux hommes appuyait sa chaussure sur moi, me maintenant dans la boue... Il appuyait plus encore et mon visage s'enfonçait dangereusement dans la trainée d'eau boueuse qui noyait le chemin. L'autre s'accroupit et se pencha à mon oreille : "C'est pas bien de parler comme ça du Maître"... Tandis que le pied de l'autre me maintenait au sol, le second saisit mes cheveux et écrasa mon visage dans la boue, la maintenant ainsi jusqu'à ce que cherchant ma respiration, je finisse par sentir la boue entrer dans ma bouche et mes narines. Puis il releva ma tête... "il faut s'excuser maintenant". J'avais peur... très peur... "je demande pardon (je toussai et crachai de la boue) je suis désolé, j'étais énervé... je n'aurai pas du"... Malgré ces mots, l'homme repoussa à nouveau mon visage dans la boue de longues secondes avant de me tirer par les cheveux pour me permettre de respirer : "Encore, mieux... "... je sentis le poids du pied dégager mes épaules et c'est en me tirant les cheveux que l'on me força à me relever : les deux colosses se tenaient face à moi... je n'osais ni bouger, ni parler... j'étais tétanisé de peur. "Il est pas très poli le journaliste", dit l'un à l'autre qui lui répondit : "Non, pas très... Va falloir qu'il apprenne"... "Oui, va falloir le dresser". je me tenais dos à mon véhicule accidenté. je n'avais aucune échappatoire. De toute façon, je ne savais même pas par où aller pour rejoindre le village... "écoutez, je suis désolé. j'étais énervé par l'accident, je ne voulais... " C'est une gifle qui vint m'interrompre. Puis je sentis des mains épaisses qui me saisissaient et me retournaient... Je n'osais pas avoir de réaction... paralysé par la criante, je me laissais faire, la situation me semblait irréelle... j'avais le ventre allongé sur le capot de ma voiture, un homme me tenait fermement les poignets tandis que l'autre dégrafait brutalement mon pantalon et le baissait sur mes chevilles. Puis il arracha mon boxer et je sentais la pluie fine et régulière venant s'abattre sur mon cul nu... j'étais terrorisé... je tentais de supplier, mais je ne parvenais même pas à prononcer un mot audible. Par contre, je criai lorsque je sentis quelque chose de souple mais dur venir cingler violemment mes fesses... Une fois, deux fois... cinq fois je sentis cet objet me fouetter et à chaque fois je poussai une cri déchirant. Il y eut cinq coups encore et les sanglots se mêlaient aux cris... je tremblais de tout mon corps, la douleur, le froid, l'humiliation, la peur... je ne savais plus ce qui l'emportait en moi... j'avais le sentiment de flotter, ailleurs, je ne savais plus très bien où j'en étais lorsque les deux hommes me saisirent par les bras pour m'amener jusqu'à leur 4X4. Ils me jetèrent sur la banquette arrière tandis que je sanglotais, s'installèrent à l'avant et démarrèrent... Quelques minutes plus tard, le 4X4 s'immobilisait et je fus sorti de force... Sans ménagement, les deux hommes me mirent debout et arrachèrent mes vêtements... je tentai de supplier une fois, mais une nouvelle gifle vint rougir ma joue et j'abandonnai toute velléité de résistance. je me retrouvai nu sous la pluie battante, les pieds dans la boue, mes vêtements jetés sur le sol comme un vulgaire tas de linge inutile. je me recroquevillai et tentai de cacher mon sexe en joignant les mains devant. Les deux brutes émirent un rire gras : "Voyez donc ça ! ! ça fait des manières, ça veut se cacher"... Ils éclatèrent de rire... L'un d'eux s'approcha et leva la main, au bout il tenait une sorte de badine et il l'abattit, cinglant ma cuisses... "Mets tes mains dans ton dos, salope !" Comme je n'obéissais pas assez vite, un second coup tomba... je poussai un petit cri aigu qui ne manqua pas de faire bien rire mes deux tourmenteurs. et j'obéissais, joignant mes mains dans le dos... les deux homes s'approchèrent alors et je sentis une corde venir lier mes mains, puis ils s'amusèrent à me bousculer, me poussant de l'un vers l'autre, comme une sorte de ballon, ou de poupée de chiffon... je pleurai et mes larmes se mêlaient à la pluie battante qui s'abattait sur mon corps nu et meurtri. Je remarquai soudain que nous étions à l'arrière du Château, près d'une petite porte de service. celle-ci s'ouvrir justement et je vis une femme habillée simplement sortir en s'essuyant les mains à un torchon. "Eh bien ! ? Vous voulez qu'il attrape la mort ou quoi ? Allez, assez joué, ramenez moi ça à l'intérieur !" lança-t-elle à l'adresse des deux colosses qui me poussèrent alors vers la porte... j'entrai pour la deuxième fois dans le château de Sur Evans, mais cette deuxième expérience n'avait pas vraiment le même goût que la première. Nu, entravé, la croupe meurtrie par les coups, tremblant de froid, je franchissais le seuil d'un monde nouveau que j'allais apprendre à découvrir... Les deux brutes me poussèrent à l'intérieur... Il s'agissait d'une petite pièce nue, au sol de grandes dalles de pierre, avec seulement un banc dans un coin. La femme en sortit par une porte de côté tandis que les deux colosses m'immobilisaient au centre de la pièce... l'un d'eux saisit mon sexe dans sa main et dit en riant : "Mais regarde ! La petite salope bande... Malgré le froid, je crois que c'est vraiment une salope, Le Maître avait raison"... J'avais honte de ce qu'il venait de découvrir. Malgré le froid, la honte, la peur, la situation m'excitait, je comprenais à quel point le trouble qui m'avait saisi à la vue des deux femmes nues signifiait que je les enviais. Je n'eus pas le temps d'y penser plus, car la femme revint dans la pièce avec une serviette qu'elle lança à l'un de mes deux tourmenteurs "Sèche le, Le Maître n'apprécierait pas qu'il tombe malade ! Mais qu'est-ce qui Vous a pris ?" lança-t-elle aux deux brutes, "vous savez bien que Le Maître est très attaché à la bonne santé de ses esclaves, quand même !"... L'homme se saisit de la serviette et entreprit de me sécher brutalement. Il passait la serviette chaude partout sur mon corps, s'amusant à insister sur mon sexe et mes couilles... L'autre regardait en riant. "Regardez Marie... Cette salope est toute excitée"... La femme s'approche et regarde mon intimité avec insistance : "En effet... il semble y avoir un potentiel. Mais c'est Le Maître qui en décidera. En attendant, menez le près de la cheminée". A nouveau, les deux brutes me saisirent par les bras pour m'entraîner dans une vaste pièce attenante, où un beau feu grésillait dans une immense cheminée. Une vaste table de bois épais trônait au centre de cette pièce fleurant bon les épices et les plats qui mijotent... A la table, un homme et une femme, nus, portant un collier de métal au cou s'affairaient à éplucher des monceaux de légumes. Ils ne levèrent pas les yeux de leur ouvrage, ne risquant même pas un bref regard. Je fus transporté jusqu'à proximité de l'âtre et installé à genoux. Une main impérieuse m'obligea à me tenir prosterné, visage contre le sol, reins creusés et croupe relevée... deux mains saisissant mes cuisses pour les forcer à s'ouvrir. "Tu ne bouges plus... Immobilité totale" me glissa une voix menaçante. Je n'en pouvais plus de ce traitement, des larmes coulaient silencieusement, mais je n'osai rien dire et j'obéis, je m'appliquais à rester parfaitement immobile dans cette position qui ajoutait l'inconfort à l'humiliation. Tandis que j'entendais des bruits de cuisine tout autour de moi et que les parfums culinaires venaient titiller mes papilles je tentais de m'extraire du contexte pour retrouver mes esprits. j'avais perdu toute notion de temps... je ne savais plus quelle heure il était, j'avais l'impression qu'une éternité venait de s'écouler depuis que j'étais arrivé le matin même dans ce village perdu battu par la pluie. Pourtant tout était si réel, cette position que j'avais du mal à garder, la douleur qui lançait ma croupe meurtrie par la flagellation... Comment pouvais-je en être arrivé là ? Quels mécanismes avaient donc tout bouleversé ? Je tentais de retrouver mes esprits... j'étais victime de deux tarés et Sir Evans allait tout faire rentrer dans l'ordre, il ne pouvait pas en aller autrement ! j'étais un journaliste, on n'enlève pas comme ça un journaliste en France, quand même ! Le Maître des lieux allait corriger ce malentendu, j'étais même sur qu'il allait s'excuser et passer un sacré savon à ses sbires débiles. La chaleur émanant de la cheminée et ces pensées me rassuraient un peu, cette situation absurde ne pouvait pas durer, c'était une évidence ! Pourtant le temps passait et j'avais de plus en plus de mal à garder ma posture. je sentais que je n'allais pas tarder à vaciller, que je risquais de perdre l'équilibre et en attendant que les choses ne rentrent dans l'ordre, je ne tenais vraiment pas à risquer une nouvelle correction. Heureusement, je sentis une présence tout près de moi. Et je vis des chaussures féminines assez grossières à hauteur de mon visage. "Debout !" dit la voix autoritaire de la femme qui m'avait permis d'être réchauffé. j'obéis, me redressant maladroitement en raison de mes poignets toujours entravés dans mon dos. Je me tenais maintenant debout et je fixais le sol, tête baissée, n'osant pas regarder en face cette Femme qui semblait jouir ici d'une certaine autorité. Elle m'avait protégé des deux brutes et je tenais à conserver de sa part cette attitude plutôt positive... "Le Maître est occupé pour le moment, il m'a dit de m'occuper de toi" me dit-elle en me bousculant un peu... je compris que je devais me déplacer. Elle me saisit alors le bras d'une poigne étonnamment ferme et me guida jusqu'à la grande table, me forçant à m'asseoir sur une chaise en bois à l'extrémité opposée à celle où se tenaient l'homme et la femme nus, toujours en train d'oeuvrer à la préparation de quelques mets destinés sans doute à la table de Sir Evans. La Femme autoritaire se tenait à côté de moi et je n'osais pas la regarder. Elle saisit alors mon menton et tourna mon visage vers Elle : "Je suis Marie, la cuisinière. Pour toi c'est Madame Marie ! Quand tu seras autorisé à t'exprimer. Compris ?" "Oui" disais-je en hochant la tête... juste quand la gifle claqua. je compris immédiatement quelle faute j'avais commise. j'avais assez enquêté dans le milieu S/m pour saisir et je me rattrapai au plus vite : "Oui Madame Marie", dis-je les yeux baissés. "C'est bien, tu comprends plutot vite, c'est un avantage" dit-elle tout en s'éloignant. Elle revint quelques secondes plus tard avec un bol qu'elle posa sur la table devant moi. Il contenait une sorte de bouillon clair dans lequel flottaient quelques bouts de légume, des carrés de pain et quelques petits bouts de gras de viande. Je restais interdit face à ce bol... "Mange, c'st chaud, ça te fera du bien" lança la voix impérieuse de la cuisinière. Je me tournais vers elle l'air interrogatif... "Quoi ?" dit-elle. Me supposant autorisé à parler j'osai une courte phrase : "Mais j'ai les mains attachées Madame Marie"... ce qui lui tira un fort mais bref éclat de rire. "Et alors ? as-t-on vu un chien manger avec les doigts ? j'aurai du te servir par terre, mais comme tu es nouveau je te fais une faveur. Alors mange en silence, sinon je devrai sévir". Le ton était si autoritaire que je compris qu'il valait mieux obéir en silence. Je penchai mon visage vers le bol et je commençait à laper le bouillon et à saisir tant bien que mal les bouts de légumes et de pain entre mes dents. Le bout de mon nez trempait dans le bouillon, mon visage s'en maculait. j'essayai de garder une relative dignité mais je n'étais pas dupe, j'étais ridicule et je faisais en mangeant le bruit d'un chien qui dévore sa pitance. Peu importait, le bouillon chaud me réchauffait le corps et je me sentais mieux. je ressentis même de la reconnaissance pour Celle qui daignait ainsi me nourrir, quelles que soient les conditions dégradantes qu'Elle m'imposait. je finis mon bol sans rien laisser, espérant que Madame Marie apprécierait que j'ai fait "honneur" à sa pitance. Ce repas m'avait redonné un peu de courage, mais pas assez cependant pour oser relever le nez de mon bol... je sentais la présence de Madame Marie à proximité et je préférais rester discret car je ne doutais pas que sa main pouvait s'abattre à tout instant si mon attitude ne Lui semblait pas conforme à l'attitude exigée d'une personne dans ma situation... Ma situation, je ne cessais d'y penser, de tenter de l'analyser. j'étais persuadé que les deux brutes avaient outrepassé les ordres de Leur Maître. Le Sir Evans que j'avais rencontré quelques heures auparavant n'aurait pas manqué de s'enquérir de ce qu'il était advenu de moi. Forcément Il ignorait tout de ma situation et ne tarderait pas à remettre les choses en place. je rêvais à ma "revanche" à venir lorsqu'une tape sur la nuque me rappela à ma réalité du moment. "Debout !" m'intima Madame Marie d'une voix puissante. j'obéissais sans tarder et me tenais à ses côtés, debout et aussi nu qu'au jour de ma naissance, la tête basse, le regard rivé vers le sol dans une attitude aussi humble que je pensais pouvoir le faire. Elle vint alors devant moi et attacha une épaisse corde autour de mon cou, suffisamment serrée pour que je ressente sa présence, mais sans pour autant gêner ma respiration. Elle tenait l'extrémité de la corde en main et tira d'un petit coup sec dessus, je suivis le mouvement qu'Elle avait imprimé en faisant un pas en avant... Puis m'arrêtai. Elle recommença ce geste à deux reprises et à chaque fois je tentais au mieux d'épouser le mouvement qu'Elle avait initié. Sans oser lever les yeux, je parvins cependant à percevoir un sourire. Apparemment, Madame Marie était satisfaite de mon attitude, ce qui je l'avoue me rassurait grandement. Elle tira alors plus vivement sur la corde, m'obligeant à un brusque pas en avant et cette fois elle ne cessa pas d'avancer. le cou enserré dans la corde, je suivis le mouvement, réglant mon pas sur celui de La Dame afin de la suivre sans à-coups. Nous sortîmes de la cuisine pour suivre un long couloir assez sombre. Quelques rares appliques distillaient un éclairage tremblotant dans cette longue allée dont les larges dalles de pierre étaient recouvertes d'un long tapis de velours rouge. Je n'osais pas lever la tête et ne pouvais discerner précisément quels thèmes illustraient les riches tapisseries qui pendaient aux murs, de part et d'autre. Au bout du couloir, Celle qui me menait à la longe semblant prendre un tournant et je suivis, m'engageant à sa suite dans un étroit escalier en colimaçon en pierre nue, froide à mes pieds. L'escalier tournait en s'enfonçant profondément sous le Château. Malgré l'humidité ambiante, les marches étaient parfaitement entretenues, ni mousse, ni poussière sur ces pierres ancestrales que je descendais vers un destin dont j'ignorais tout... En bas des escaliers, un petit palier donnait sur une porte basse, fermée. Madame Marie s'arrêta au centre de ce petit espace et je fis de même. Elle s'approcha alors de moi et me saisit le menton pour me forcer à relever la tête. L'espace d'un bref instant je croisai son regard, des yeux noirs durs mais malicieux... je fus saisi d'un éclair de crainte, ce regard sur moi... je sentis qu'Elle était capable de tout, qu'Elle pourrait se montrer presque maternelle comme lorsqu'Elle m'avait protégé des brutes, mais qu'Elle pourrait instantanément se métamorphoser et me faire cruellement souffrir... En maintenant toujours mon menton serré entre Ses doigts, elle me força à regarder les murs autour du palier : à des crochets pendaient des ustensiles tels que fouets, cravaches, liens divers, mors mêlant cuir et métal... Dans des râteliers reposaient d'autres objets, barres de bois et de fer ou d'autres dont j'ignorais l'usage et jusqu'à aujourd'hui l'existence même. Madame Marie ne dit pas un mot, elle m'abandonna dans ma contemplation, comme prenant plaisir à sentir l'angoisse qui me nouait l'estomac. Elle approcha d'un mur et y saisit un simple foulard de soie noire, puis revint vers moi et banda mes yeux. "Tu n'as pas à voir ce qui est derrière cette porte, pour le moment tu n'es qu'une sorte... d'invité (elle rit) par la suite, peut-être seras tu autorisé à ouvrir les yeux" et elle repartit dans un éclat de rire. Les yeux bandés, j'entendis le grincement de la porte de bois que l'on ouvrait, puis une impulsion sur la corde qui se tendit, me contraignant à suivre à nouveau le mouvement. Je marchais en me réglant sur le rythme imposé par La Cuisinière, marchant sur un sol moins régulier qu'auparavant et ressentant comme une sorte d'oppression. Manifestement, le couloir quelque peu sinueux que nous suivions était beaucoup plus étroit. Nous avons ainsi marché une poignée de minutes, avant de nous immobiliser à nouveau. Encore le grincement caractéristique d'une porte aux gonds rouillés, le frottement du bois qui frôle un sol irrégulier... et de nouveau la corde qui tire sur mon cou et me force à avancer... Une odeur de moisi, une ambiance chaude mais humide... Privé de regard, je tentai, sans grand succès, à utiliser mes autres sens pour situer où je me trouvais. "A genoux !", à nouveau la voix impérieuse de Madame Marie et une obéissance immédiate, déjà presque un réflexe, comme une évidence qui s'insinuait dans mon esprit : un ordre, un acte immédiat, une obéissance de l'instant, pour éviter le châtiment. j'avais du mal à accepter cette soumission presque instinctive dont je faisais preuve... j'avais l'impression d'être un autre. Tandis que ces pensées occupaient mon esprit, un bruit de métal me fit sursauter. Pas le temps de réfléchir, déjà on défaisait la corde de mon cou, pour immédiatement la remplacer par ce qui ne pouvait être qu'un collier de métal. Un claquement sec et je pus sentir le poids de ce collier pesant sur mes épaules. je restais là, le collier refermé autour de mon cou, dont je devinais à chaque mouvement qu'une chaîne y était fixée, sans doute me reliant au mur de cette pièce où j'étais désormais captif. Ce n'est qu'alors que je sentis de la paille sous mes genoux... j'avais été tellement obsédé par mon environnement que je ne l'avais même pas sentie en marchant dessus. je me trouvais donc enchaîné, nu sur un sol couvert de paille, les yeux bandés, dans une sorte de cachot plongé dans les entrailles d'un Château isolé du reste du monde. Soudain, les quelques bouffées d'espoir qui m'avaient permis de tenir jusque là m'abandonnèrent totalement. j'étais désespéré, je me sentais perdu. Perdu pour le monde dans lequel j'évoluais habituellement, perdu pour ceux que je connaissais, perdu pour les autres et perdu pour moi-même... je ne savais rien de ce qui m'attendait, ni rien de ce que serait mon avenir, si j'en avais un. je commençais à pleurer doucement... Combien de temps ? Combien de temps suis-je resté ainsi dans le noir de ce bandeau posé sur mes yeux ? je m'étais abandonné à une espèce de langueur. Mon corps nu et meurtri gisait sur la paille qui garnissait le sol de pierre de ce cachot où j'étais désormais captif. Un épais collier de métal ceignait mon cou, relié au mur par une lourde chaîne... mais je ne le sentais quasiment pas, ou plutôt je m'étais résigné à ressentir sa présence. Voilà, j'étais résigné. A l'enthousiasme qui m'avait habité quelques heures plus tôt avait succédé une sorte de distanciation. Ce n'était pas moi qui étais avili par cette humiliante captivité. Cela ne pouvait pas être moi. Non ! Pas moi, pas le journaliste au caractère indépendant, pas celui qui savait toujours poser la question qui dérange. Pas cet homme irrespectueux et ... libre ! Ce n'était plus moi celui qui gisait ainsi, qui avait subi presque sans résistance de telles humiliations... celui avait avait lapé sa pitance comme un chien, qui avait été battu, giflé, humilié, traité comme moins que rien. Et surtout... surtout, cela ne pouvait pas être moi celui qui à chacun de ces instants avait, au-delà de la douleur, de l'humiliation, celui qui avait... éprouvé aussi une certaine forme d'excitation. Oh ! Quelle honte ! je n'avais pas pu totalement étouffer ce ressenti là. Les deux brutes l'avaient bien vu, qui avaient montré à Madame Martine mon sexe en érection tandis qu'ils s'amusaient à m'humilier... Et le regard de La Cuisinière avait été sans ambigüité. j'étais bien conscient de cela, aussi. Même si je me refusais à l'admettre et surtout si je ne comprenais pas ce que j'avais alors laissé s'exprimer de moi... Cette "chose" qui s'était échappée des entrailles de mon être, du plus profond et du plus primaire de ma nature... Le bruit du frottement du bois sur les pavés me tira de ces méditations. On ouvrait la porte de mon cachot... je tentais de me redresser tant bien que mal, quelque peu engourdi par la torpeur à laquelle je m'étais abandonné. Mais deux mains fermes vinrent suppléer à ma faiblesse, me forçant à me redresser et à me mettre à genoux. d'un coup de pied, celui qui venait de m'installer me força aussi à écarter les genoux, rendant ainsi mes parties intimes aussi vulnérables qu'accessibles. Une bouffée de honte me gagna alors, lorsque je sentis que mon sexe se tendait brusquement... Impossible de me contrôler, cette nouvelle humiliation suscitait en moi ce réflexe... Etre humilié, avili, me faisait bander, je n'y pouvais rien, je ne contrôlais pas cette part de moi qui avait toujours été dissimulée et qui soudain se révélait au grand jour. j'en ressentais la pire des humiliations... Manifestement, je n'étais pas le seul centré sur ce sujet... " Je constate que tu n'es pas indifférent à ce que tu subis", dit soudain une voix posée, rompant le silence. Sir Evans ! J'aurai pu reconnaître cette voix entre mille. Elle m'avait charmé lors de notre entretien, elle me glaçait maintenant. Toujours aussi élégante, mais dépourvue de la douce sympathie qui avait bercé l'interview. Maintenant Elle était plus distante, plus incisive... Sir Evans, puisque c'était bien Lui, reprit : "J'ai su tes déboires... Tu aurais dû accepter mon hospitalité je crois. Puisque celle que je t'accorde maintenant est sans doute bien moins... confortable. Mais après tout, tu m'apportes la preuve de ce que j'avais pressenti en te cotoyant ce matin"... Un silence... Je n'osais rien dire, je n'osais pas bouger... j'attendais immobile et soumis. "Donc ! (reprit Sir Evans) Te voici donc mon... hôte. J'ai pensé dès que je t'ai vu que tu avais une âme de chienne. et je ne me trompe jamais à ce propos. Jamais ! ... Enlevez lui son bandeau !"... Quelqu'un placé derrière moi retira le bandeau qui entourait mes yeux... je découvris alors Sir Evans debout, à deux mètres de moi, flanqué à Son côté de l'une des brutes qui m'avaient "capturé" sur la route. je sentais, derrière moi la présence d'un autre... Sir Evans me regardait et, immédiatement, sans même y penser je baissais les yeux. "Je m'intéresse aux sujets tels que toi. j'aime assez les dresser, révéler leur vraie nature et en user, en abuser au gré de mes Désirs, leur faire découvrir tout ce qui se cache en eux et les aider à assumer pleinement ce qu'ils sont... C'est cela que je te propose (il s'approchait de moi, se penchant vers mon visage)... petite pute !", un crachat vitn s'écraser sur mon visage... "As tu quelque chose à dire ? C'est l'occasion ou jamais", poursuivit Sir Evans. j'avalais ma salive, que pouvais-je dire ? je voulais pouvoir partir, rentrer chez moi, oublier tout cela, enfin, il me semblait que je voulais cela, mais les mots ne venaient pas... "je... euh... je veux rentrer. je ne dirai rien de ce qui s'est passé... on oublie tout ! d'accord ? je... je voudrai..." je n'avais plis de mots, pas les bons en tout cas... Sir Evans éclata de rire ! "C'est bien ce que je pensais. Tu n'as rien à dire. Tu es fait pour obéir en silence, pas pour t'exprimer... Alors je vais être clair : je vais compter jusqu'à 10 ... A dix tu devras prendre une décision : ou tu dis je veux partir et je te rends ta liberté... Ou tu choisis d'assumer ce que tu es, de vivre ta réalité. Et dès lors tu abdiques toute volonté et tu t'en remets à moi. Attention, je compte..." Un... Deux... Trois... les chiffres s'égrainaient peu à peu, mon esprit fonctionnait à toute allure. Je devais partir, bien sur je devais partir ! Six... Sept... Huit... Partir, quitter cet univers irréel et revenir vers mon quotidien, vers mes habitudes, vers... vers quoi, en fait ? Neuf... Dix... "Alors ? Qu'as tu à dire ?", Sir Evans avait terminé son décompte et je devais m'exprimer. Je savais que je devais partir, retrouver ma vie d'avant. je le savais... je le savais... Pourtant je ne dis rien... pas une phrase, pas un mot... Rien ! je ne pus, ni ne sus prononcer les mots qi m'auraient libéré. Quelque chose en moi avait pris le dessus. Quelque chose venu du plus profond de mon âme, du plus profond de mon esprit... je ne dis rien et Sir Evans éclata encore de rire... Alors qu'il sortait de mon cachot, son rire raisonnait encore entre les vieilles pierres constituant les limites de mon espace... je venais d'abandonner mon libre arbitre et de me livrer totalement à Un Homme dont j'ignorais presque tout... et sa dernière phrase retentissait encore à mes oreilles, tandis que je restais seul dans mon cachot. La voix de Sir Evans, ironique, disant : "Je le savais"... Je restai ainsi nu et à genoux, enchaîné au mur de mon cachot dont je découvrais enfin l'espace dans lequel j'avais été confiné... Il s'agissait bien d'une sorte de cachot dont trois murs étaient maçonnés et le quatrième directement taillé dans la roche. C'est à ce dernier qu'une épaisse chaîne avait été fixée à un gros anneau d'acier. Cette même lourde chaîne dont les anneaux épais rejoignaient le collier fermé autour de mon cou. Je demeurai immobile, conscient que je venais sans doute de sceller mon destin. Quelque chose au plus profond de moi m'avait empêché de hurler, d'insulter celui qui m'avait réduit à cet état de captif et qui prétendait que je le désirais... Pourquoi ? Pourquoi n'avais-je pas dit que je voulais partir ? j'avais accepté, oui accepté de rester là. Sir Evans m'avait offert le choix et j'avais été incapable de prononcer un seul mot. je m'étais résigné... Combien de temps allais-je rester dans ce réduit de quelques mètres carrés ? Qu'est-ce qui m'attendait ? Des dizaines de questions se bousculaient dans ma tête. Lorsque soudain, le verrou de la porte se mit à jouer, on ouvrait... Deux des hommes de main de Sir Evans entrèrent. l'un de mes tourmenteurs du matin et le troisième homme, que j'avais peu vu. Ils s'approchèrent sans mot dire. je baissais la tête et fixais le sol... j'avais peur... "Une belle petite salope" dit la voix de l'un d'eux... "Tu aurais vu, rien que de la foutre à poil et elle avait déjà la nouille toute raide ! je suis sur qu'elle meurt d'envie d'y passer" et ils se mirent à rire tandis que je restais immobile, craintif, n'osant pas relever la tête... C'est une poignée de main ferme qui m'y obligea. Elle saisit mes cheveux et tira dessus sans ménagement, m'obligeant à lever les yeux et à regarder les deux hommes qui étaient entrés. Grands, larges d'épaules, le crâne presque rasé... Ils portaient tous les deux des débardeurs noirs, des pantalons de treillis et de grosses rangers noires... celui qui me tenait par les cheveux affirma encore sa prise, me forçant à me courber jusqu'au sol... ou plutôt jusqu'à ses rangers... "Lèche, chienne !" lança-t-il... je n'eus pas à réfléchir, je vivais une évidence. mon visage tout contre la chaussure, l'odeur âcre du cuir emplissant mes narines, je me mis en devoir de lécher avec application la ranger boueuse. je m'appliquais à ne négliger aucun point de la chaussure, usant parfois du bout des dents pour décrocher un petit bout de terre mieux accroché que les autres. Le goût de la boue emplissait ma bouche, commençait à produire une sorte de bouillie terreuse que je devais avaler pour ne pas risquer de la recracher sur le cuir qui peu à peu retrouvait son lustre par la grâce de ma salive servile. Un léger geste me fit comprendre qu'il fallait passer à la seconde chaussure et je repris humblement mon léchage, avec application. le goût de terre m'écoeurait mais je m'appliquais à bien nettoyer la première paire, avant comme je m'en doutais déjà, de devoir exécuter la même opération avec la paire de l'autre individu. Lorsque j'eus terminé et que les deux brutes furent satisfaites du cuir brillant de leurs rangers, je sentis une nouvelle pression sur mes cheveux pour m'obliger à me relever... j'avais les articulations douloureuses, après des heures passées à genoux... Mais d'un seul bras, l'homme me maintenait debout, me retenant seulement par les cheveux, rendant mon cuir chevelu de plus en plus douloureux. Un peu titubant, je parvins tout de même à me tenir à peu près droit, même si la chaîne entravait fortement mon déplacement. D'un geste brusque, l'homme me saisit aux épaules et me plaqua contre le mur, le visage écrasé contre la pierre humide. Il m'obligea à me tenir ainsi, penché en avant, reins creusés, la croupe tendue... Je sentais que les deux hommes m'observaient et je n'osais bouger. "Regarde cette salope !" lança l'un... à quoi l'autre répondit en riant : "Oui, Le Maître avait encore raison, il avait bien senti son tempérament. Bien dressée on va pouvoir en tirer le meilleur"... L'un d'eux s'avança et saisit la chair de mon cul à pleine main... Il pétrit ainsi ma croupe, avant de relever la main et de l'abattre violemment sur ma peau. Le coup claqua bruyamment et je ne pus retenir un tressaillement... "Tu ne bouges pas !" dit-il durement, avant de continuer à me claquer les fesses. j'avais subi quelques fessées dans mon enfance, mais là je découvrais ce qu'est une "vraie" fessée... A chaque coup qui s'abattait, je sentais ma peau devenir plus sensible encore, je savais qu'elle était en train de rougir, que la main qui s'abattait implacablement, régulièrement, presque machinalement, allait continuer. Que ce que je ressentais déjà comme une douleur n'était rien... Et je subissais les coups, un à un, le claquement sec et régulier envahissant mon esprit, chassant toute autre pensée. Ma croupe n'était plus que brûlure. Je n'osais imaginer à quel point elle devait être marquée. je ne savais plus combien de coups étaient déjà tombés. Combien allaient continuer de pleuvoir... Des larmes coulaient sur mes joues, je sanglotais doucement, faisant mon possible pour rester silencieux, de peur maintenant que l'expression de ma douleur ne me vaille une multiplication des coups. La grosse main calleuse s'abattait, et s'abattait encore, je sentais mes cuisses et mes jambes qui tremblaient. La transpiration qui s'écoulait le long de mon échine, car malgré la fraîcheur relative des lieux, mon corps était brûlant, le feu de ma croupe se répandant peu à peu partout en moi. Je ne sais combien de temps dura mon calvaire, mais lorsque la main cessa, j'avais perdu toute force et je m'écroulais sur le sol, sous les rires gras et moqueurs de mes deux tourmenteurs... "Déjà ? Quelle mauviette ! (ils riaient) Bah, un bon dressage et tu apprendras à supporter bien plus que ces caresses. Là je t'ai à peine effleuré, mais bientôt ton dressage commencera"... Je restais prostré sur le sol, n'osant ni bouger, ni parler, à peine respirer... je ne vis pas les deux hommes sortir, je ne sus qu'ils étaient partis qu'au bruit de la porte qui se refermait sur mon désespoir. Et je restais seul, la croupe en feu... Le temps avait passé. Impossible de dire combien. Une heure, deux... ? Plus , ma seule façon de savoir que du temps s'était écoulé, c'est que la brûlure de la correction avait délaissé ma croupe. je m'étais à moitié assoupi, toujours enchaîné au mur de mon cachot. je préférais cela, d'ailleurs, car j'ignorais ce qui m'attendait et je préférais ne pas le savoir. je ne voulais plus rien savoir, seulement que l'on m'oublie et ne plus avoir à supporter ces humiliations si douloureuses... Mais bien sur, cela ne pouvait pas durer. Et je fus bien vite rappelé à la réalité de ma situation. La porte de la pièce où j'étais tenu prisonnier grinça à nouveau et les deux brutes approchèrent à nouveau. je ne pus retenir le tremblement qui me saisit alors. j'avais peur. Peur d'être à nouveau battu ou de subir de nouvelles humiliations et souffrances... Mais rien de tout cela. Avec cette poigne puissante qui les caractérisait, ils me soulevèrent du sol pour me remettre debout. Et tandis que le premier nouait un ruban de soie noire sur mes yeux, l'autre décrochait la chaîne du lourd collier de métal qui enserrait mon cou. Du plat de la main, celui qui se tenait derrière moi me poussa en avant et c'est aveuglé mais encadré par les deux colosses que je quittais ma prison. Dans l'autre sens, je sentis sous mes pieds le sol de l'étroit couloir, puis la pierre du palier par lequel Madame Marie m'avait guidé lors de mon arrivée. Lentement, trébuchant parfois et mes orteils heurtant douloureusement la pierre, je gravis cette fois l'escalier en colimaçon pour remonter vers le château. Mes deux accompagnateurs ne faisaient rien pour m'aider. Au contraire, ils ne disaient pas un mot, mais laissaient échapper des rires gras à chacun de mes faux pas et lorsque je cognait durement dans la pierre... Ils ne me torturaient certes pas; mais la situation me rappelait à chaque pas la situation avilissante dans laquelle je me trouvais. Prisonnier et abandonné de tous. Nu, humilié, tourmenté... et dans l'ignorance totale de ce qui m'attendait encore. Ma destinée ne m'appartenait plus. je n'étais plus rien, sinon la victime désignée des décisions de Celui qui commandait à ces gens qui me traitaient comme si je n'étais rien. Et d'ailleurs, c'était bien ainsi que je percevais ma situation : je n'étais plus rien... l'escalier se terminait, nous étions de retour, supposais-je dans le grand couloir du château. Une main se saisit de mon épaule, et- je compris tout de suite que je devais m'immobiliser. Les deux hommes se placèrent chacun d'un côté, ils me saisirent aux épaules et me forcèrent à avancer. Ils me portaient plus que je ne marchais. Et cette façon de ne même pas pouvoir me déplacer par moi même ne fit qu'accentuer mon sentiment d'humiliation et d'insignifiance. On ne me laissait même pas marcher par moi même ! Je fus ainsi "porté" pendant plusieurs minutes. Soudain nous stoppâmes. je sentis du cuir sous ma poitrine et on tira mes bras en croix... je compris de quoi il s'agissait : on m'installait sur une espèce ce cheval d'arçon. ma poitrine reposait sur la large assise en cuir, tandis que mes poignets étaient fermement liés aux arceaux de bois de chaque côté. j'étais renversé sur le ventre, bras en croix, mes pieds ne reposant au sol que sur la pointe des orteils. Dans cette position, ma croupe saillait et j'étais contraint de garder les reins cambrés. je craignais une nouvelle correction lorsque j'entendis des pas qui se rapprochaient. Une présence soudaine, tout près de moi, que mes yeux bandés m'empêchaient d'identifier. ce fut Sa Voix qui retentit soudain, Sir Evans : "On me dit que tu ne résistes guère... C'est une bonne chose, de toute façon tu es totalement en Mon Pouvoir. Autant t'y résigner et comprendre que plus forte sera ton acceptation, plus facile sera ton formatage. Tu n'en es qu'au début, mais je place beaucoup d'espoirs en toi. Bien dressé, tu seras un bon esclave et tu sauras tenir ta place. Mais pour cela, il y a encore beaucoup de travail, alors tâche d'être raisonnable..." Sir Evans venait d'énoncer ce discours d'une voix calme et régulière. Sans forcer sur aucun mot. Ceux-ci pourtant m'avaient transpercé, car ils ne me laissaient aucune alternative. Manifestement il n'y avait plus de répartie possible, mon silence lorsque j'avais eu le choix avait définitivement scellé mon destin. Mais quel destin ? Je restais muet, n'ayant pas la moindre idée sur l'attitude que je devais observer. De toute façon j'étais immobilisé, impuissant... qu'aurais-je pu faire ? Je sentis une main se poser sur ma croupe offerte... un doigt glisser le long de ma raie... Et soudain, à nouveau, Sa Voix : "Saches qu'ici, un esclave mâle ou femelle se doit d'être une bonne putain ! Les tâches ménagères sont l'apanage naturel des esclaves, mais pour être une vraie catin servile, il faut être éduqué, apprendre pas à pas. Apprendre à abdiquer toute forme de pudeur ou de dignité. Apprendre que ton corps ne sera qu'un instrument dont on pourra disposer, user et abuser sans aucun égard pour l'objet que tu seras devenu (une claque fortement appuyée sur ma fesse vint ponctuer le discours).. Compris ?" Comme je restais silencieux, une nouvelle claque retentit et je sentis ma croupe chauffer... "Compris ?" et avant même que je n'ouvre la bouche, une troisième claque ! "oui ... oui Maître"... dis-je dans un souffle... tandis que déjà mes fesses sentaient la brûlure d'une quatrième claque... "Plus fort... et plus convaincant" dit la Voix Du Maître, tandis que la cinquième et la sixième claque chauffaient mon cul... "Oui Maître" énonçais-je avec volonté et en harmonie avec le septième coup... le huitième, le neuvième et le dixième précédèrent une nouvelle phrase de Sir Evans : "Dis : je suis la putain de Sir Evans !" Ce n'est qu'après le douzième coup claquant sur mon cul que je pus articuler cet aveu à haute voix : "je suis la putain de Sir Evans !". Je dus répéter encore trois fois, d'une voix forte mais posée cette reconnaissance de mon état... Et il fallut en arriver au vingtième claquement pour que Le Maître juge mon ton satisfaisant... Dix fois encore il m'appliqua ces claques sèches et fermes qui me chauffaient la croupe. Mais je n'avais plus rien à dire, seulement à subir. Après trente coups, la fessée prit fin. je tremblais un peu, mais je demeurai aussi silencieux et immobile que je le pouvais. "Bien, désormais tu sais ce que tu es... à quoi tu vas être destiné et pour quoi tu vas être dressé"... un silence... je craignais à chaque seconde qu'un nouveau coup s'abatte sur mon cul en feu, mais il n'en fut rien, Sir Evans poursuivit : "Mais, il y a ce que l'on dit... et les faits. Puisque tu as reconnu que tu es désormais ma putain, il est nécessaire que je te voie à l'oeuvre. Dis moi..." il y eut un nouveau silence... "as tu déjà offert ton cul ?" ... je gardais un court instant le silence... Mais une claque sèche et sans appel me rappela à mon devoir, au plus vite, mais d'une voix retenue, je répondis : "Non Maître, mon cul est vierge Maître", dis-je dans un sanglot... "Eh bien, nous allons y remédier" dit alors Sir Evans, juste avant qu'un claquement de doigts ne retentisse dans la pièce dont j'ignorais tout... je ne pus m'empêcher de m'agiter... Dans une ridicule tentative pour échapper à ce qui était bien sur inéluctable. Deux mains vinrent peser sur mes épaules, m'immobilisant plus encore que les liens qui enserraient mes poignets et m'auraient de toute façon maintenu dans la position qui m'offrait totalement aux désirs de qui le voudrait. Tandis que j'étais immobilisé, je sentis une sorte de crème couler dans ma raie, une main qui l'étalait autour de mon anus et brusquement, un gros doigt qui vint se fourrer dans mon petit trou que l'on forçait pour la première fois... le doigt effectua quelques allers et retour... Il ressortit, puis entra à nouveau pour de nouveaux va-et-viens... je gémissais doucement, mais n'osais pas plus tandis que le doigt poursuivait son exploration. Et soudain le doigt ne fut plus seul. ce sont deux doigts qui forçaient mon fondement, qui s'immisçaient en moi. deux doigts qui jouaient avec mon petit trou, qui en écartaient les chairs, qui en faisaient peu à peu un trou accessible à de plus larges perspectives... Je sentis un nouveau flot de gel froid coulant dans ma raie et je ne pus retenir un cri lorsque "quelque chose" de plus volumineux vint s'enfoncer dans mon cul. Mon cri suscita quelques rires, mais surtout un coup de rein plus appuyé encore qui fit s'enfoncer la queue au plus profond de moi... Les coups de boutoir de celui qui m'enculait étaient de plus en plus rapides, de plus en plus profonds... je gémissais sans cesse et poussais de petits cris qui ne manquaient pas d'amuser ceux qui se jouaient de moi. Lorsque le premier se retira, je n'eus même pas le temps de ressentir une once de soulagement, puisque déjà, une autre queue vint remplacer la précédente. Bien que mon trou se soit légèrement élargi, je sentis bien que celui qui venait était plus large et plus long encore que le précédent... Il se mit à me limer brutalement, ses coups de reins me labouraient le cul, enfonçaient sa queue bien loin dans mon cul... Et il prenait un malin plaisir à demeurer ainsi enfoncé bien à fond plusieurs secondes, avant de se retirer partiellement et de s'enfoncer à nouveau en poussant un râle qui semblait donner plus de force encore à son coup de bitte qui me défonçait le cul. Il reste ainsi bien plus longtemps à me limer... et bien que brouillé par la douloureuse expérience, mon esprit gardait assez de lucidité pour savoir que rien n'était fini. J'étais sur en effet que ceux qui me baisaient étaient les brutes qui m'avaient kidnappé... or, tandis que l'un d'eux, le second, prenait mon cul à grands coups de bitte... je me souvenais qu'ils étaient trois... Et en effet, le second venait à peine de se retirer, qu'il y eut une brève giclée de gel et que je sentis un chibre énorme qui forçait mon cul. Bien que bien ouvert par ses prédécesseurs, celui-ci dut insister. le gland forçait contre les parois de mon anus et il s'introduisit en me forçant violemment et en me soutirant un cri strident ! Tout au long de ce troisième enculage, je ne cessais de gémir, de pleurer et de pousser des cris de douleur. Plus large, plus long, plus gros, plus violent aussi, car je sentais qu'il ne m'enculait pas seulement pour ouvrir plus encore mon cul, mais pour tirer de moi de nouveaux cris. Chaque va et vient était l'occasion de m'ouvrir un peu plus, de m'avilir un peu plus, de m'anéantir en me montrant que je n'étais qu'un trou qui devrait apprendre à être pénétré et pénétré encore et encore et encore... Et en plus, cela dura, dura... ce fut interminable et mon anus devenait à chaque instant un trou un peu plus ouvert, un peu plus large, un peu plus accessible pour tous ceux qui en voudraient... à la fin, je relâchais totalement mon corps. mes muscles ne m'obéissaient plus. je n'étais qu'un pantin dans lequel l'énorme sexe allait et venait méthodiquement. et chaque aller et retour était une façon de me dire qu'il en serait toujours ainsi et que je devrai m'y faire. Non seulement l'accepter, il était si facile de m'y contraindre, mais assimiler que c'était désormais ce que j'étais : un trou, un objet, une putain... Lorsqu'enfin le troisième se retira... j'avais abdiqué. Tout abdiqué. Et lorsque à nouveau retentit la voix de Sir Evans il n'y avait plus aucun doute. "Qui es tu ?" demanda la voix calme et posée du Maître. "je suis la putain de Sir Evans" répondis-je tout en cherchant mon souffle... (A suivre ...) ------------------------------------------ Comme déjà dit,je ne veux pas polluer le site de mes histoires, donc après avoir posté sur un premier article un épisode de ma Saga des esclaves, je poste juste ici, un épisode des Origines de la Saga et ce sera tout...Bien amicalement Année 1784 -(1) - Le carrosse & L'Invité fugitif - Printemps 1784. Un carrosse tiré par quatre puissants chevaux brinquebale sur la route cahoteuse et poussiéreuse. Il laisse loin derrière lui le sinistre donjon de Vincennes réputé pour ses prisons sordides... Les geôliers, qui se montraient cependant fort déférents à l'égard de "Monsieur le 6" (du nom de sa cellule), ainsi qu'il est d'usage dans les forteresses royales... Les lettres de cachet, qui ont déjà trop souvent interrompu ses tumultueuses expériences... Il devait être transféré... Pour plus de sécurité, lui avait-on dit. Certes ! Mais ces geôliers si attentionnés l'étaient aussi aux pièces d'or sonnantes et trébuchantes. Il avait suffi d'une bourse suffisamment bedonnantes pour les convaincre de fermer les yeux lorsque s'était effectué un discret échange. Il avait quitté le donjon, franchissant d'un pas toujours un peu plus léger les dix-neuf portes et grilles métalliques qui le séparaient de l'air vif de la liberté, tandis qu'un pauvre bougre quelque peu simplet faisait le chemin en sens inverse. Ainsi il y aurait bien un prisonnier, le lendemain matin, dans la cellule depuis laquelle il serait transféré vers l'immonde prison de La Bastille. Maintenant, il dévorait les lieux... ou plutôt se laisse porter par une folle chevauchée. Madame de Montreuil a su parfaitement élaborer son évasion, il est vrai qu'elle n'a plus qu'un espoir en tête, se débarrasser de lui, aussi définitivement qu'il est possible, sans bien entendu, se salir les mains. Tout ce qu'elle désire, c'est qu'il s'éloigne, disparaisse... sorte de sa vie et de celle de sa fille. Certes, il la déteste... Il ne cesse d'imaginer pour elle, les pires supplices. Voici seulement quelques jours, il l'imaginait écorchée vive, traînée sur des chardons, avant d'être jetée dans une cuve de vinaigre ! Mais ce soir, il se sent d'humeur indulgente. Peut-être la livrerait-il à quelque nègre acheté tout exprès pour la taille extrême de sa virilité... juste pour le plaisir de voir cette bigote rabougrie écartelée, hurlante ou gémissante ? Allez savoir avec les grenouilles de bénitier ! Il ne peut s'empêcher de sourire à l'idée de Mme de Montreuil se faisant ramoner sans ménagement par un esclave noir... d'imaginer l'énorme phallus d'ébène la transpercer, tant par le devant que par le fondement... Certes il lui doit sa liberté, mais à quel prix ! Car il est vrai que le prix à payer n'est pas anodin. Il doit disparaître et laisser le pauvre hère qui l'a remplacé assumer le poids d'une détention dont nul ne sait combien de temps elle pourrait durer... Sombres pensées... Mais bien vite, son esprit se réveille et il profite du délicieux spectacle qui lui est offert au cours de ce long et périlleux périple. Face à lui, deux jeunes beautés. A la longue chevelure ondulée, l'une est brune, l'autre est blonde. Elles sont nues, comme au jour de leur naissance, puisqu'il ne subsiste aucune pilosité sur leurs corps épilé, jusqu’aux moindre recoins de leurs sensuelles formes Elles sont l'ultime présent de sa belle-mère. Un cadeau qu'il a obtenu de haute lutte, laissant entendre qu'il préférait renoncer à la liberté, s'il ne pouvait en jouir pleinement... Il se souvient encore de ses mots, lorsqu'elle était venue, nuitamment lui rendre une visite aussi inattendue qu'intéressante. D'abord hautaine, elle avait fini presque le suppliant d'accepter de ses conditions pour disparaître de sa vie. "Si vous mettez ma liberté au prix du sacrifice de mes principes et de mes goûts, nous pouvons nous dire un éternel adieu. Car je sacrifierai plutôt qu'eux, mille vies et mille libertés si je les avais", lui avait-il lancé voyant qu'elle ne cédait point à ses exigences. "Soit, Monsieur. puisque tel en est le prix vous les obtiendrez, en échange d'un définitif éloignement", avait-elle rétorqué, gardant dans la défaite comme un accent d'autorité. L'argent et les deux filles. Il avait tout obtenu. Ces deux délicieuses ingénues dont il avait assuré l'éducation. Bien avant même d'être si vilainement emprisonné. Elles n'avaient survécu qu'en vendant leur corps si frais et se désespéraient de ne plus être en son pouvoir, où elles avaient tant appris des délices et des souffrances d'un total esclavage. Elles l'avaient si souvent inspiré, qu'il n'était que justice qu'elles puissent l'accompagner en son lointain exil pour, à nouveau, n'être qu'à lui.... Le fugitif n'accorde pas un regard à leurs visages. Il préfère se perdre dans le balancement de leurs seins blancs et lourds, qui suivent le rythme des cahots qui secouent le carrosse. Il se laisse bercer par cette émouvante vision. Il a passé tant de mois entre les quatre murs d'une cellule. Pour quelques pièces, les geôliers lui amenaient quelques fois une catin, mais ce n'étaient que femelles de bas étage, au corps usé, qui se pliaient difficilement aux exigences les plus sublimes de ses sens. Les deux charmantes créatures qui se tenaient docilement face à lui étaient tout autres. Il les avait connues fort jeunes et les avait éduquées. Au fil des ans, il avait façonné leurs pensées, mais aussi leurs corps. Et il était bien fier de son "oeuvre" ! Des seins, son regard descendait peu à peu vers leur ventre et leurs cuisses, docilement ouvertes, offrant une vision idéale sur la cicatrice rosée de leurs sexes parfaitement lisses. Il savait leurs regards baissés. Leurs pensées toutes tendues vers l'unique volonté de lui plaire. Leurs esprits parfaitement dressés, désireux seulement de combler chacune de ses attentes, les plus perverses de ses envies. Juliette et Justine, ainsi qu'il les a baptisées, sont pour lui, un aboutissement. Tout ce qu'il écrit et qui lui vaut tant d'avanies, elle en ont été la substantifique moëlle. Sur elles, il a tout expérimenté... elles se sont pliées à ses plus sombres désirs, ont offert docilement leurs corps à ses plus folles tentatives. Comblé, le voyageur contemple ses créatures. Elles lui appartiennent corps et âme et ont à jamais lié leurs destins au sien. Alors qu'il était emprisonné, elles se sont vendues à des hommes pour survivre. Le vulgaire a ainsi pu souiller leurs corps’ si magnifiques, malgré tout ce qu'ils ont subi. Mais il sait que leurs pensées sont restées vierges (le mot le fait sourire) de toute tâche. C'est pour leur Maître qu'elles ont fait commerce de ces corps qu'il avait façonné. Elles n'ont gardé que le minimum vital pour elles même, envoyant à leur Seigneur adoré tout le surplus afin d'améliorer un peu son triste quotidien. Elles n'ont fait ainsi que leur devoir d’esclaves, mais il sait que rares sont les êtres qui se seraient montrés aussi fidèles. Et cette nuit elles sont là, assises face à leur Maître. Nues, offertes, prêtes à tout accepter de lui, pour lui. Leurs cuisses à la chair ferme sont largement ouvertes, dévoilant la chair rose de leurs sexes qu'il a tant de fois pénétrés et dont la vue lui procure pourtant toujours un si délicieux émoi. L'observation de ces deux corps fait peu à peu monter le désir en lui. Après des mois de quasi abstinence, après la multiplication des pensées les plus perverses, dont il n'a pu se soulager que par l'écriture, il sent la vie renaître dans sa plus vive intimité. Il sent son sexe qui gonfle et durcit, palpitant comme aux plus beaux jours de sa jeunesse. il fixe les deux paires de seins qui palpitent au gré des cahots du chemin, les tétons roses foncé et l'une et nettement bruns de l'autre... des souvenirs lui reviennent. Il n’hésite alors pas une seule seconde et fait claquer les doigts de sa main gauche. C'est Juliette qui réagit donc. Sans un mot, sans un regard, conservant les yeux baissés, elle quitte le siège et vient s'agenouiller entre ses jambes. Lui, d'une main assurée, défait sa culotte et libère son épais phallus. Celui ci demeure droit, tendu et Juliette doit se rehausser légèrement afin de pouvoir le saisir entre ses lèvres. Elle y parvient malgré la position rendue fort inconfortable par les aléas du parcours. Mais elle est experte et sa bouche se referme sur le sexe telle une gaine parfaitement proportionnée. Elle l'avale et le suce avidement. L'érection est telle que la fine bouche parvient à peine à l'engloutir, Juliette devant l'accueillir jusqu'au plus profond de sa gorge. Puis, elle laisse le mouvement du carrosse imposer son rythme et elle offre à son Maître la plus chaude et délicieuse des fellations, serrant bien les lèvres afin d'assurer son plaisir, jusqu'à ce que celui ci jaillisse brusquement, violemment, inondant la bouche de la jeune soumise d'un flot épais et chaud qu'elle s'applique à avaler jusqu'à la dernière goutte, sans oublier de nettoyer avec le plus grand des dévouements le gland rougi du Maître avant que de reprendre sa place, humble et silencieuse... 2 - L'Auberge Ainsi se poursuit le voyage, jusqu'au plus profond de la nuit. Lorsqu'enfin le cocher arrête ses chevaux, le sombre manteau d'Hécate s'est refermé. Un léger frisson fait trembler les grands arbres qui assombrissent encore cette contrée si éloignée de tout. Au coeur de cette forêt se dresse une minuscule bâtisse. L'auberge est plus isolée du monde que la plus lointaine des îles exotiques. C'est ici qu'a été prévue l'étape nécessaire avant que le carrosse n'atteigne le terme de son périple. Le cocher descend de son siège et va ouvrir la porte du carrosse dont une épaisse couche de peinture noire a définitivement dissimulé les armoiries qui en ornaient les flancs. Justine et Juliette, aidées par le cocher, en descendent les premières, toujours aussi nues qu'au jour de leur naissance. Elles s'installent à quatre pattes sur le sol afin de constituer un marchepied de chair et de sang, sur lequel le voyageur s'appuie afin de rejoindre le sol, face à l'entrée lumineuse de son abri pour la nuit. Sans un regard pour ses servantes, le voyageur gagne la porte de la petite bâtisse dont la porte s'ouvre sur un homme trapu, à la barbe épaisse. De l'intérieur s'échappe un lourd effluve de cuisine. Senteurs chaudes et parfumées qui réveillent l'esprit de l'occupant du carrosse. A l'intérieur, près d'une vaste cheminée qui occupe un pan entier de mur, une table a été dressée, couverte de victuailles, vers laquelle l'aubergiste mène le voyageur en multipliant les gestes de déférence. Tout a été prévu pour réserver le meilleur accueil à ce voyageur de renom. L’aubergiste ayant reçu des instructions claires moyennant une forte bourse de pièces d’or. Le voyageur se laisse lourdement tomber sur un banc de bois qui ploie un peu sous son poids, tandis qu'à l'extérieur, le cocher libère ses chevaux et les mène à l'écurie afin de les bouchonner. Toujours agenouillées au sol, face à l'entrée, les deux jeunes femmes demeurent immobiles dans la nuit. Elles grelottent un peu et c'est l'unique mouvement qu'elles osent. Le cocher viendra s'occuper d'elles, lorsqu'il en aura fini avec les chevaux... respectant ainsi l'ordre établi des priorités. Ce n'est donc que bien plus tard que, et usant parcimonieusement de son fouet, que le cocher vient les faire avancer, à quatre pattes, afin de regagner à leur tour l'intérieur. Là, le voyageur a déjà regagné la chambre préparée pour lui, en compagnie de la fille de l'aubergiste qui a été largement récompensé pour avoir su préserver la virginité de la jeune femme afin de la livrer aux appétits de son hôte prestigieux, qui sait apprécier de tels sacrifices lorsqu'il les impose au commun. Tandis que l'âtre s'éteint doucement et que la nuit avance, le cocher savoure les restes du repas de son Maître, qui aime l'abondance mais se rassasie promptement. Face à lui, accroupies sur le sol, les deux jeunes femmes attendent docilement qu'il daigne leur jeter quelques reliefs de son festin. Lorsqu'il lance ses restes, elles s'en nourrissent avec reconnaissance, heureuses de retrouver ainsi les délices qui étaient leur quotidien aux temps heureux où leur Maître jouissait pleinement de sa fortune et de sa liberté. Les temps bénis où il leur avait appris à offrir la moindre parcelle de leur corps pour combler les désirs les plus inavouables. Il ne se privait de rien, ne connaissait aucune limite et elles avaient appris très tôt à l'accompagner en ses extravagances, apprenant au fil du temps à faire plaisir et délices des douleurs et avilissements qu'il se plaisait à leur imposer. Elles ont tout connu auprès de ce Maître qui a guidé leurs vies et les a dressées mieux que jamais ne le fut animal domestique. Il les a entraînées dans ses folles aventures, faisant d'elles les vestales perverses de cérémonies qui auraient valu le bûcher, place de Grève à tout autre. Au sein même d'une chapelle, il avait avec elles consommé l'offrande de sa jeune belle-soeur, la tendre chanoinesse Anne-Prospère, dont il avait possédé chacun des orifices en un quasi-pervers sabbat. La jeune religieuse avait en une folle nuit, fait le sacrifice de sa virginité et l'offrande de son âme à celui qui avait déjà fait trois enfants à sa soeur. Et avant que de la posséder et de lui faire renier tous ses voeux de chasteté, il avait confié à ses deux esclaves le soin de la pervertir et de lui faire découvrir sur l'autel même tous les charmes du saphisme le plus échevelé. ... Tous repus passèrent une reposante nuit. La seule qui fut courbaturée était la fille de l'aubergiste que le voyageur avait chevauchée avec passion durant de longues heures, n'hésitant pas à la flageller fort durement lorsqu'elle tentait sans grand espoir d'échapper à son priapique initiateur. C'est donc de fort plaisante humeur que le voyageur quitte l'auberge, non sans avoir une dernière fois fourragé le fondement de la jeune femme sous les yeux même de son cupide aubergiste de père, surtout préoccupé par les pièces d'or offertes par son noble et anonyme client, pour le prix de ‘’cet ultime service’’ Et le carrosse reprend la route... Chacun a retrouvé sa place, le cocher fouette ses bêtes tandis que le voyageur, aussi confortablement installé que possible, fait ses délices d'un recueil de Pétrarque, dont parfois il daigne faire grâce à ses deux silencieuses accompagnatrices de la lecture de quelques vers : "De longs cheveux brillants à rendre l'or jaloux, Le regard le plus pur, le plus charmant visage Qui jamais aient fait mettre un mortel à genoux, Un sourire ineffable, un si gracieux langage, Une main, de beaux bras noblement arrondis A faire implorer grâce au coeur le plus rebelle, Un pied fait par l'amour, une femme si belle En un mot, qu'il n'est rien de tel au paradis"... Ainsi lit le voyageur, faisant profiter ses deux douces créatures de la richesse de son esprit. Et la poésie aidant, le voyage se passe et le jour s'alanguit. Peu à peu il décline et déjà le terme du voyage approche. Enfin ! s'exclame le voyageur. Enfin le voyage s'achève. Le carrosse s'est engagé sur une longue allée de graviers qui crissent sous les lourdes roues ferrées. De part et d'autre de l'allée, de hautes torches éclairent le trajet qui mène jusqu'au devant d'une impressionnante bâtisse. Le Château d'un fort précieux et si prestigieux ami qui a accepté avec enthousiasme de l'accueillir et de l'héberger aussi longtemps qu'il le souhaitera. Quelques minutes encore pour qu'enfin, les chevaux ne stoppent face au perron du Château. Comme devant l'auberge, le même cérémonial... Le cocher ouvre la porte aux armoiries cachées et les deux jeunes servantes qui servent de marchepied au voyageur qui descend d'un pas assuré. Mais cette fois, depuis le perron, c'est un autre noble et grand personnage qui s'avance. Plus qu'un ami, un égal pour le voyageur qui ne s'en reconnaît que fort peu. Tandis que l'un monte les premières marches menant au Château, l'autre les descend et ils tombent dans les bras l'un de l'autre... - "Cher Marquis, quel bonheur !" lance l'invité... - "Marquis... il y a si longtemps !" répond l'hôte... Et tous deux de s'embrasser en s'étreignant... - "Donatien de Sade... Donatien, cher Marquis, mon ami ... Sentez vous ici, chez vous... autant qu'il vous plaira" - "Merci Marquis d'Evans, je n'aurai pu rêver d’un meilleur refuge !"....
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Par : le 15/10/12
Cela ne fait pas longtemps que je suis dans le monde du BDSM mais le fait d'être une "novice" n'interdit pas d'avoir une certaine réflexion, que ce soit dans le sens Général tout comme sur un Détail.J'ai entendu parler de "Règles"... vous savez le genre "Droits et Devoirs des Maîtres(sses) et des Soumis(es)"... des règles qui, soit-disant, doivent (ou devraient!!) régir les relations BDSM.J'ai pris le temps de lire ces fameuses règles, que ce soit ici, sur BDSM, ou sur d'autres sites. Bien sûre il y a des variantes mais la base est à l'identique pour tous les sites.Je suis désolée, et là je n'engage que moi, après bien des réflexions j'en suis arrivée à la conclusion que je ne voulais pas de ces règles car elles ne sont pas miennes.Ells ne sont pas faîtes pour moi vu qu'elles ne tiennent pas compte de mon caractère profond, de ma nature, de ma façon de penser et de vivre au quotidien et encore moins de ma spécificité.C'est pourquoi avec mon Maître nous avons "NOS RÈGLES" et ces-dernières ne sont valables que pour nous.Soyons quelque peu sérieux... de quel droit pourrais-je dire que "MES RÈGLES" sont les bonnes ? Si elles le sont... elles ne peuvent l'être que pour mon Maitre et moi-même. De ce fait, si moi, Novice, je respecte vos règles, pourquoi certains "experts" s'exerguent à vouloir mettre leurs Règles comme étant la "Règle absolue"?Ne dit-on pas: "Ma liberté s'arrête là où commence celle de autres" ?De ces faits il en découle que PERSONNE n'a le droit de me dire ou d'essayer de me faire croire que mes règles sont fausses ou mauvaises... de ce fait PERSONNE n'a le droit de dire que mon Maître est un manipulateur... un charlatan... un pseudo-Maître... voir pire.Il est mon Maître... je l'ai choisi et je sais pourquoi j'ai fait ce choix même si il est vrai que ce choix est la résultante d'un concours de circonstances...état de faits qui me semble être le cas pour la majorité de ceux et celles (Maîtres et soumis) qui "vivent" le BDSM.Comme me l'a fait comprendre une Maîtresse... qu'on le veuille ou non nous portons tous des chaînes et nous devons tous nous plier à des règles (lois civiles, pénales, routières et j'en passe!).LA VRAIE LIBERTÉ consiste dans le fait de pouvoir choisir nos propres chaînes et règles... chaînes et règles qui nous sont propres à nous-même... c'est ce que le BDSM m'a apporté.Mais cela implique que mes chaînes ne peuvent pas être portées par les autres et que mes règles ne peuvent et ne doivent pas être suivies par les autres.Pour ma part le BDSM est une "choix" de vie, ou du moins d'une partie de ma vie... un peu comme pourrait l'être le choix d'une religion ou d'une philosophie et le fait que je veuille être "une croyante non pratiquante" ou alors "une extrêmiste" est un choix qui me regarde.La VÉRITÉ n'est pas l'apanage d'un seul homme; nous avons tous et toutes la "Nôtre", celle qui nous convient et qui nous ressemble. La Mienne étant valable et bonne pour moi... la Vôtre étant valable et bonne pour vous!Ceci est l'Essence même de la LIBERTÉ !!PS Merci à tous ceux et celles qui ont participé à ma réflexion.
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Par : le 04/10/12
... ou quand il convient de se méfier des partenaires à arrières pensées pécunières ... Il est suisse, banquier, a de gros moyens, époux et papa, mais son couple ne lui apporte pas tout ce qu'il esperait. Ce qui lui manque, il va le chercher ailleurs, auprès de professionnels : des moments BDSM. Il a confié sa "destiné" à un couple de dominateurs qui ont vite vu l'opportunité qu'il pouvait y avoir a faire chanter le richissime homme d'affaire. Pourtant doté d'une petite renommée à l'échelle européenne, le couple BDSM comparaissait mercredi 3 octobre 2012 par devant les instances judiciaires suisses, sous l'accusation de tentative d'extortion de fonds, en l'espère 250000 francs suisses (soit environ 200 000 euros) à notre malheur banquier. Les premières menaces avait été porter début 2012 : ils menacaient d'envoyer des photos de séances BDSM aux proches du "malheureux". Ils avaient également créer un compte Facebook au nom de leur victime afin de poster une photo des organes genitaux de celui ci à son employeur en guise d'avertissement, mais c'était l'homme du couple qui voulaint assumer la pleine responsabilité des méfaits. Pour autant, les élements de l'enquête semblait démontrer que la dominatrice, des plus manipulatrices (même si dans un cadre sain, sur et consensuel, c'est une qualité !) étaient impliqué dans l'arnaque. Les avocats des accusés ont choisi d'opter pour ce système de défense. Le conjoint de la dominatrice était jalou du client banquier tant qu'en a ses revenus qu'à l'égard des relations BDSM qu'il entretenait avec sa femme. L'opportunité de récupérer des espèces sonnantes et trébuchantes auraient pourtant scéllé un pacte d'escroquerie. 12 mois de prison avec sursis ont été réclamés par le procureur, le verdict sera rendu ce vendredi. Réquisition qui peut paraître clémente mais qui se justifie par la grande tolérance des lois suisses à l'égard de la sexualité tarifée.
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Par : le 23/09/12
Il y a quelques temps j’ai été contactée par un couple qui désirait pimenter ses soirées.Après un premier contacte, dans un café, où ils m’ont exposé leurs désirs et attentes concernant une soirée bdsm, nous avons enfin convenu d’un rdv. Ils nous ont invités, mon male et moi, hier soir dans un restaurant chic. Ils voulaient souper en public avec un couple de dominant ! ils ont été servi, nous arrivâmes tout vêtu de cuir. Cela a jeté un froid dans le restaurant. Je jubilais !A la fin du repas, ils nous ont conduits à leur appartement. Pour tuer le temps, pendant le trajet, je me suis occupée du sexe de mon male, sur la banquette arrière de leur voiture.Nous arrivâmes enfin dans leur appartement du 15ème. Un superbe appartement entre parenthèse.Nous prie place dans le salon sur des canapés en cuir. L’homme nous proposa de prendre des rafraichissements. Tout en dégustant notre champagne, le couple nous offrit à mon male et moi un présent. (J’aime ces petites attentions)Nous pouvions enfin commencer !J’ordonna qu’ils soient nus ! je sorti mes jouets de mon sac. Nous leur passâmes leur collier et laisse de serviture. Ils étaient à partir de ce moment nos chiens, nos jouets, nos choses !Nous avons commencé par une petite mise en bouche, avec nettoyage de nos semelles et bottes avec leur langue, tout en les caressant avec une cravache et un fouet.Puis nous avons enchainé sur quelques jeux de cires et de pinces, avant de passer aux choses sérieuses. J’ordonna à la femme de me lécher ma chatte à travers mon pantalon en cuir ! une puissante excitation commença à monter en moi au bout de quelques minutes, et je lui agrippa la tête d’une main afin de lui écraser le visage entre mes cuisses !Pendant ce temps, mon male caressait le dos et le postérieur de son homme avec sa cravache. J’adorais entendre les claquements sourds de la cravache pendant que la femme gémissait.Je la laissa reprendre son souffle, le temps que je mette ma ceinture gode.Puis je la bascula sur la table basse afin de la prendre en levrette ! les mots crus fusaient dans la pièce ! j’invita mon male à nous rejoindre. Il se plaça face à la femme et moi. L’excitation brulait au fond de nos yeux. Il dégrafa son pantalon en cuir et sorti sa queue qu’il engouffra dans la bouche de notre soumise ! elle était prise en sandwich entre deux dominants !Son homme était à genoux, obligé d’observer la scène.Lorsque mon male eu rempli la bouche et gorge de notre soumise de sa semence, nous la relâchâmes.La queue de mon male était bien gonflé et il ne fallait pas que je la laisse ainsi, cela aurait été du gaspillage.Il s’assit sur le canapé, et après avoir retiré ma ceinture gode et dézipé mon pantalon, laissant apparaître mes fesses et ma chatte, je m’installa sur lui afin de glisser son sexe en moi. L’homme était tout excité. Je lui ordonna de s’approcher de nous tout en se redressant sur ses jambes. Lorsqu’il fut a porté je commença a lui caresser son sexe de ma main, tout en me faisant défoncer par mon male. Je sentais l’excitation monter chez mon soumis. Il devait même commencer à se voir sucé par sa maîtresse. Mais je lui brisa ses rêves lorsque j’agrippa ses couilles et que je commença à les broyer entre mes doigts ! il avait oublié qu’aucun soumis ne me baise ; c’est moi qui baise mes soumis ! il se tordait dans tous les sens sous la douleur, comme un asticot. Plus je jouissais et plus broyais ses couilles, jusqu’au moment où mon male me rempli de plaisir. Je lâcha ma victime ! son sexe était violet. Je me leva et appela sa femme, qui avait récupéré son souffle afin qu’elle nettoie le sexe de mon homme. Quand à moi j’ordonna à mon soumis de me nettoyer ma chatte avec sa langue. Quand ce fut fait j’avais une puissante envie de me soulager… dans sa gueule ! (oups le tapis ! j’espère que ce n’était pas le tapis de belle maman.) je ne suis pas que cruelle. Ayant été docile je lui ai permis de se branler sur une de mes bottes et d’y jouir. Ce fut sa récompense pour cette soirée !Après cette agréable soirée et avant de prendre congé de nos hotes, nous avons pu prendre un bain délaçant, mon male et moi, dans un super bain jacousi. Nous n’avons pas pu nous empêcher de nous délasser à notre manière.Puis, l’homme nous ramena en voiture à notre domicile. Avant de nous quitter nous avons convenu de renouveler l’expérience.
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Par : le 18/09/12
  Toujours dans la même position et sans cagoule, elle passe devant moi un gode-ceinture et me dit d'ouvrir la bouche. Elle me chope par la laisse et commence à enfoncer le gode tout doucement. Comme je ne suis pas habitué je mords le gode pour le stopper. Cela lui déplaît et pour me punir, elle me passe un écarteur buccale puis me coiffe d'une cagoule avec un trou au niveau de la bouche. Une fois ainsi, elle se venge en me l'enfonçant bien à fond d'un coup, puis en me bloquant la tête et me cravachant comme il faut les fesses. Je me sens ainsi totalement impuissant, obligé d'accepter ce gode au plus profond de ma gorge. Bien que cela soit humiliant au possible, j'adore ça. Pour terminer, elle m’ôte la cagoule, l'écarteur et m'enfourne à nouveau le gode en bouche. Si je ne me laisse pas faire, la cravache sur les fesses ou sur les testicules me fera entendre raison. Une fois le gode entièrement inséré, elle le laisse et me coiffe d'une cagoule avec deux petits orifices pour respirer par les narines. La scène suivante est assez évidente à deviner. Dans cette position où je suis entièrement à sa merci, elle commence par me cravacher les fesses et les testicules selon son envie avant de me sodomiser. Je suis entièrement bloqué, ne pouvant ni bouger, ni crier, sentant ce gode me défoncer alors que l'autre me force à garder la bouche ouverte. C'est à la fois délicieux et insupportable. Je tire de toutes mes forces sur mes lien en vain. Si elle voit que j'arrive à trop bouger, elle n'a aucune pitié et resserre mes liens. Elle me sodomise comme la salope que je suis, cravaché si je serre les fesses, sentant ma maîtresse tirer sur ma laisse pour faire entrer ce gode de force. Elle seule décide de la durée de ce jeu. Elle me sodomise ainsi plusieurs fois avec des godes de différentes tailles, grosseurs et formes et se régale de me voir tenter de me débattre et lui résister. Lorsqu'elle a terminé, elle m'abandonne ainsi, le gode dans le cul et referme la combinaison et toujours avec l'autre gode en bouche.   Elle me prépare ensuite pour le prochain jeu. Pour cela elle me détache un poignet et y passe une mitaine pour restreindre ma main. Elle attache ensuite mon poignet à l'épaule au niveau avec une sangle en cuir. Elle termine en passant un cadenas pour lier la boucle en bout de mitaine à celle du coté de mon collier Elle procède de même avec l'autre main ainsi qu'avec les chevilles. Je me retrouve ainsi à marcher sur mes coudes et genoux. Elle me prend par la laisse et me fait marcher dans tout l'appartement ainsi, me cravachant si besoin. Lorsqu'elle est satisfaite, elle m'ôte enfin ma cagoule et le gode que j'avais. Sans me laisser récupérer, elle me fait lécher ses bottes. Elle me fait marcher encore et me refait lécher à nouveau ses bottes. Puis elle poursuit le jeu en attachant un poids de 1kg à mes testicules. Le poids repose par terre, son but est juste de me ralentir. Lorsqu'elle a terminé de me préparer, elle règle un minuteur et me dit qu'elle va se mettre dans une pièce de la maison et que j'aurais 5 min pour la retrouver et commencer à lécher ses bottes. Je commence à me déplacer et tente de trouver la porte dans le noir. Inutile de dire que le poids est très handicapant et fait mal dès que je veux avancer, mais la grosse difficulté est d'ouvrir la porte car je dois me dresser pour atteindre la poignée. J'ouvre la porte tant ben que mal et poursuis. Je suis obligé d'ouvrir d'autres portes. Lorsque j'arrive à ses pieds, elle me dit que j'ai mis plus de 5 min pour le trouver. Elle me cravache sur les fesses. Elle me fait ensuite lécher ses bottes et termine en me coiffant d'une cagoule. Lorsqu'elle sent que je commence à me détendre un peu, elle me cravache à nouveau les fesses ainsi que les testicules.
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Par : le 18/09/12
ma Maitresse m'a demandé de poster un article sur une video je vous la livre.Un homme est a son bureau il ouvre un cahier. il parle de 2 personnes Haniecka et Janiecka. Il marche dans la pièce il porte des vêtements démodes.on voit ensuite 2 jeunes femmes qui se déshabillent, une blonde et une brune. Elles portent des tenues d'écolières . La brune à des couettes. elles ont une petite culotte rouge. on voit leurs seins et leur sexe qui est rasé. Elles attendent comme si elles devaient être punies.l'homme parle dans une langue slave.Il déambule dans la pièce et regarde par la fenêtre.Les filles se font une introduction d'une canule dans l'anus, la brune commence. elles sont dans une pièce à part. il y a des bouteilles de liquide bien remplies. Les filles commencent à se le faire couler dans l'anus. il y a beaucoup de liquide à faire passer.On revient sur l'homme il parle dans son bureau.Les filles ont un set de toilette. elles se lavent le sexe consciencieusement au dessus d'un bassin en porcelaine avec un gant de toilette. Elles ont les cuisses écartées et on peut voir très bien leur lèvres intimes.L'homme quitte son bureau.Les filles enfilent un autre uniforme. Les sous-vêtements sont bleu et les tops sont blancs avec un petit nœud papillon. Elles semblent inquiètes de ce qui va suivre.gros plan sur un coucou.Les 2 écolières attendent humblement dans le bureau de l'homme qui rentre et enlève son manteau. Les filles se mettent à ses pieds et ils les gronde. elles semblent le supplier. Il semble excédé. Il reprend son cahier. Elles le supplient à genoux. Il semble énoncer des fautes. On le voit fumer la pipe et observer les 2 jeunes femmes qui se chamaillent par le trou de la serrure. on retrouve les 2 filles qui tentent de s'expliquer.il regarde à nouveau par le trou de la serrure . es filles sont à genoux et corrigent leur cahier de notes.Après cela on revient sur le plan avec les filles à genoux.il regarde encore par le trou de la serrure, les filles sont nues et sur caressent sur un lit. on les voit se branler la brune se pince les seins pendant que la blonde aventure ses mains sur les cuisses et le sexe de la bruneElles se caressent ensuite mutuellement les seins, le corps et le sexe. Notre bon voyeur n'en revient pas. La brune gémit.Les 2 filles tentent de se justifier. Elles ont l'air penaud et se tiennent les couettes et les mains. L'homme reprend son cahier puis il ferme la porte de son bureau à clé.On le voit assis sur une chaise, les 2 filles sont debout. il tire la blonde par les cheveux et la met sur ses genoux pour la fesser. il fesse consciencieusement en alternant les fesses et en maintenant le bras de la blonde. 26 coups, il accélére à 24 car la blonde se rebiffe puis il s'occupe de la brune il remarque un bout de tissu ou d’étiquette qui dépasse de sa culotte. elle se met à genoux il se lève et va reprendre son cahier. il n'est pas content et la brune supplie il la chasse du bureau. elle s'approche de la porte et enlève ce qui devait protéger ses fesses : elle se remet en position et il la fesse de 27 coups. puis il les met au mur , elle doivent tenir une feuille de papier appuyée sur le mur avec leur nez. La brune masse ses fesses car elle a mal. elle regarde son amie.on voit ensuite les jeunes femmes sans leur jupe. L'homme les engueule et verse de l'eau dans une bassine. La blonde enlève sa culotte et la lave dans l'eau. L'homme enlève sa ceinture pendant que la blonde remet sa culotte trempée. il la met bien en place avant de la corriger de coups de ceinture elle se positionne en appui sur une chaise. la blonde gigote après chaque coup qui lui arrache des cris. après le 8e elle demande grâce. après le 13e il s’arrête et la brune subit la même punition. il lui demande de se presser on voit le petit sexe de la brune. il lui donne une quinzaine de coups. Elle pousse des petits cris. il les tire par les cheveux et les fait se mettre à genoux. et leur fait tenir un livre à bout de bras , bras tendus. Elles tremblent et tentent de ne pas le laisser tomber. La blonde a du mal et le fait tomber en premier. il le lui remet et attend. On voit les filles debout, l'homme a une règle en main. il leur donne de petits coups pour redresser leur position (coups sur les cuisses. Il les réprimande en même temps. La blonde tend ses mains et il la frappe sur les mains, 2 main tendues puis une seule. puis il fait de même avec la brune 3 coups sur chaque main.Les 2 filles se déshabillent, petite culotte puis top. et la blonde s'allonge sur le bureau en écartant les cuisses elle se tient au bureau pendant qu'il lui donne des coups de règle en alternant les 2 cuisses. elle se débat mais tente de rester immobile on voit nettement les cuisses rougir à chaque coup. il lui tient la jambe et après une quinzaine de coups. il la remet debout et passe à la brune.elle semble moins bouger et on a une jolie vue sur son sexe.elles sont penaudes. et il pose la règle en bois. il les remet au coin et leur passe une canne anglaise dans les fesses.elle doivent les serrer pour la retenir. elles tiennent plusieurs minutes ainsi.on voirt ensuite les 2 filles nues au cœur du bureau. l'homme fait les sans pas et les réprimande. elles le supplient.Il les fait uriner dans pots de de chambre puis prend une canne anglaise. Les filles ramènent leurs pots sous une table. La brune tient la blonde qui est bien cambrée pour recevoir des coups de canne.La blonde souffre le martyr, les coups sont secs. elle en pleure . au 4e elle se jette à terre pour éviter la suite au 6 e on voit ses fesses se zébrer de traces rouges. l'homme lui fait croire qu'il va frapper en posant sa canne sur ses fesses mais il frappe à contretemps pour qu'elle ne puisse pas anticiper. on sent la douleur qu'elle ressent, elles se tortille et tombe quasiment à genoux à chaque coup. il la fait se cambrer et écarter les jambes. Il en donne une douzaine. on peut voir les traces rougeoyantes s'accumuler sur ses fesses. il en donne au moins 20 en tout. certaines traces virent au bleu. puis il passe à la brune. La brune se tient à la blonde.elle encaisse les 12 premiers coups .ses jambes en tremblent. après 25 oups il arrête.Les 2 filles se mettent à genoux en position d'attente et il leur met une pièce de bois dans le cul. on voit très bien les derrières zébrés de marques. Il les humilie enfin en leur mettant un savon dans la bouche.on voit ensuite l'homme dans une salle d'attente. il boit un café. Les 2filles qu'il a humilié sont la.une infirmière arrive et indique à tout le monde qu'il va venir subir un examen anal ( constipation ou autre). les 2femmes sont explosées de rire. L'infirmière enfile un gant en latex.toute la scène semble donc être un fantasme de l'homme. il rentre dans le cabinet en se tenant les fesses. puis l'infirmière tente un toucher rectal et l'homme hurle4 visionnages Madame.puis le generique passe et on voit les 2 jeunes femmes au téléphonehttp://xhamster.com/movies/522272/bdsm_friday_the_13th_xlx.html
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Par : le 17/09/12
  Voici une histoire de domination soumission où je serais soumis à une femme. A chaque fois j'en écrirai un petit morceau. J’imagine ma maîtresse toute de cuir vêtue, portant des bottes avec de hauts talons, des bas, une mini jupe, un corset et des gants. Elle a une cravache en main afin d’asseoir son autorité. Elle me demande de venir chez elle un vendredi en début de soirée, et une fois arrivé, d’ôter tous mes vêtements qu'elle s'empresse d'aller cacher. Elle m’impose ensuite ma tenue. Elle veut que je sois travesti en cuir. Elle choisit tout ce qu’il y a de plus difficile à porter, me justifiant à chaque fois pourquoi elle a fait ce choix. Elle commence par une catsuit en latex. Avec cet habit, elle veut que je transpire et me sente mal à l’aise. Elle me fait porter des bottines ballet boot. La raison première est évidente : avec ce genre de chaussure il m’est impossible de me tenir debout et marcher. Comme pour tous les accessoires qui vont suivre, elle va les verrouiller avec un système de lanière et de cadenas. Au niveau de la taille elle me passe un corset qu’elle serre au maximum, n’hésitant pas à me planter son talon dans le dos pour resserrer mes liens. Ainsi elle me force à garder le dos droit à cause de l’armature métallique du corset, et me donne du mal à respirer. Ensuite elle me pare d’un collier minerve pour me bloquer le cou en position. Ce collier est verrouillé par deux cadenas et possède quatre anneaux : à droite, à gauche, devant et derrière mon cou. Elle poursuit en m’attachant les bras dans le dos au moyen d’un armbinder. Là aussi elle ne me fait aucun cadeau et le serre comme il faut. Puis elle attache mes chevilles à une barre d’écartement. La raison, je la découvre après lorsqu’elle ouvre ma catsuit au niveau de l’entre jambe, prend mes testicules entre ses mains pour y passer un ball stretcher. Lorsqu’elle a fini, elle attache l’anneau situé en bout de l’armbinder au ball stretcher, me bloquant totalement les bras. Si je les bouge, je tire sur mes testicules. Elle termine de me préparer en me coiffant d’un cagoule de privation sensorielle. Cette cagoule ne possède qu’un petit œillet au niveau de la bouche. Elle est rembourrée au niveau des yeux, me forçant à garder les paupières fermées, ainsi qu’au niveau des joues pour que j’ouvre la bouche. Comme toute les cagoules elle se lace par derrière, mais en plus elle a trois lanières verrouillables afin de totalement me museler totalement. Ainsi soumis, son premier jeu consiste à me branler quelques secondes, puis à me mettre un petit coup de cravache sur mes testicules. Évidemment, je ne sais pas quand elle va me cravacher. Quelque fois elle me caresse avec la cravache au lieu de me frapper. Le but est de tenir un quart d’heure ainsi. Même si la situation est très contraignante, je suis très excité et jouis au bout de quelques minutes. Elle essuie ma queue et referme en partie ma catsuit. Elle prend une corde et l’attache d’un coté à la barre d’écartement, et de l’autre à l’anneau situé en haut de ma cagoule, me forçant à me cambrer et à rester ainsi. Elle tend la corde comme il faut. Elle me laisse ainsi et prend plaisir à me voir me tortiller et gémir à la fois de plaisir et de douleur. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais cela devient très vite insupportable. Je suis forcé d’endurer car elle me laisse longtemps ainsi. Pour moi cela a duré une heure, mais ayant perdu toute notion d’espace et de temps, ils se peut que je sois resté ainsi seulement un quart d'heure, ce qui semble plus réaliste. Elle m’enlève ensuite la corde, la barre d’écartement et détache l’armbinder des testicules. Elle me laisse me reposer ainsi un moment avant de passer à la suite. Elle me repasse la barre d'écartement et attache mes poignets à mes chevilles. Elle m'enlève ensuite la cagoule et me demande de lécher ses bottes. Ne la voyant pas devant moi, je la cherche et la trouve assise sur le canapé à l'autre bout de la pièce. Elle veut que je rampe ainsi jusqu'à elle. Je fais ce que je peux, mais n'avance pas beaucoup. Elle menace de me rattacher comme avant si je n'y mets pas plus du mien. Lorsque je suis à ses pieds, elle ouvre ma catsuit pour dégager mes testicules qu'elle caresse avec sa cravache. Elle m'ordonne de lécher ses bottes. Cela me rebute et j'y vais lentement. Du coup elle me cravache les fesses pour me donner le rythme. Si je n’obéis pas à ses coups, j'ai droit à la même chose sur les testicules. C'est cruel et dur mais il faut ça pour dresser un chien. Aucune tolérance. Elle arrête ses coups et me laisse continuer à la lécher. A la moindre hésitation ou ralentissement de ma part, la punition tombe à nouveau. Lorsqu'elle estime que c'est suffisant, elle me coiffe d'une cagoule et me laisse ainsi. Ma maîtresse étant cruelle et exigeante, elle me fait lécher une autre de ses paires de bottes avec une cagoule ayant une ouverture au niveau de la bouche.
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Par : le 14/09/12
  C'est à l'occasion du quatrième festival "Livres en tête" que sera organisé un concours d'écriture. Deux textes courts inédits seront récompensés parmi les textes sélectionnés.Si nous nous faisons l'écho de ce concours c'est que l'un des deux thèmes proposés est "Libertins" (le second thème étant "Polar") ! Le texte "Libertins" gagnant sera mis à l'honneur lors de la soirée du 17 novembre 2012.Les auteurs des textes retenus pour concourir seront prévenus le 7 novembre, et bénéficierons d'un pass leur offrant l'accès (pour deux personnes) au Festival, durant ses quatre jours.Les deux gagnants verront leurs textes lus par les Livreurs et se verront remettre un coffret de CD Audiolib par Bernard Pivot. De plus, les textes des lauréats seront publiés dans la revue Nouvelles en Sorbonne qui est édité par l'université Paris-Sorbonne.Pour participer, vous devez soumettre un texte de 300 à 400 mots et vous inscrire en précisant que vous souhaitez concourir pour le thème "Libertins".Les textes sont à envoyer par mail à prixlivresentete@laposte.net avant le 31 octobre 2012.Informations complémentaires sur le site du festival
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Par : le 14/09/12
La sonnette tinta nette. Il eut un soubresaut, il l'attendait depuis longtemps, elle était enfin là. Qu'allait-il se passer ? Ses espoirs, ses fantasmes allaient-ils prendre corps ? Ou serait-ce une entrevue amicale et sympathique. Cela faisait quelques mois, plus d'an un tout de même qu'il se cherchait, ou plutot qu'il la cherchait. Par le net, via un messagerie instantannée, il lui avait avouer ses désirs, et elle les siens. Ils pourraient se concorder mais les circonstances n'étaient pas favorable à l'époque. Aujourd'hui, les auspices était bons. Il alla lui ouvrir et découvrit la jeune femme, séduisante aux formes épanouie revétue d'une robe légère et d'un chemisier faussement transparent à travers lequel on devinait un soutien gorge rouge. Elle portait des chaussure à lanière, ouverte, remontées sur de court talon. Souriante, comme à son habitude, dejà il commençait à bander. Il lui fit une bise. - Bonjour, çà va ? lui demanda t il - Oui et toi, il fait chaud hein. - Oui, plus que tu ne le crois ... Elle rit de bon coeur, ayant compris l'allusion. - Tu veux quelque chose à boire ? - Volontier - Jus de pomme ? un alcool doux ? du coca ? - tu as quoi en alcool ? - Viens par là, voilà le salon. - Ah c'est sympa - Met toi à l'aise. Alors, j'ai du porto, du Marsalla, du vin de noix, du cognac, du rhum, du wisky. - un porto s'il te plait - glaçon ? - oui. Elle s'assit sur un des poufs devant la table basse en osier surchargé de livres et de classeur. Il alla prendre des glaçon, puis alla servir les alcools. - Alors quoi de neuf ? demanda-t-il ? - Et bien pas grand chose, la routine. - Moi je finis d'emménager comme tu peux le voir. - Oui dit-elle en embrassant la pièce parsemé de cartons éventrés. - tiens, ton porto. - merci. Il bandait dur dans son short, et ne faisait rien pour le cacher. - Je vois qu'on est en forme dit-elle. - Et oui, tu me fais toujours de l'effet ... - enleve ton short esclave, je veux la voir... dit-elle d'un ton autoritaire. Il se figeat un instant. La regardant, jugeant, puis enleva son short. Il n'avait rien en dessus. Il était là, debout, à 50 cm de son visage, la queue dressée. Il pointa sa queue vers elle. - Ah enfin je la vois. Elle prit le membre et le décallota d'un geste vif. Il trésaillit et manqua de jouir. - Petit salaud, tu bandes dur. Tu vas obeir à ta maîtresse ? - Oui Elle tira doucement sur la peau pour le décaloter à fond. - Tu diras "Oui maîtresse" ! assura-t-elle. - Oui maîtresse. - Bien, assis toi et écarte les jambes pour que je puisse la voir, caresse toi Il s'exécuta, il s'assit tout en prenant son porto de la main gauche, il écarta les jambes et commenca à se masturber le noeud doucement. - Alors comme çà tu bande pour moi ? - Oui maîtresse, et cela fait pas mal de temps maintenant. - Et qui le sait ? - Il n'y a que vous maîtresse. - C'est bien ainsi Il s'astiquait toujours la queue lentement, comme s'il savourait le moment. Il regardait tour à tour son visage et ses seins. Il posa son porto sur la table et reprit son activité onanique mais avec sa main droite, la gauche alla retrouver ses bourses. - Tu es eshibitionniste d'habitude ? demanda-t-elle. - Non pas du tout. - montre moi ton trou, met toi à genoux sur le sofa et doigte toi le cul. - Bien maîtresse. Il s'exécuta. Une fois en place il ressenti un vive morsure au niveau des fesses. - Je t'ai dit de dire "Oui maîtresse". - Oui maîtresse. Il écarta ses fesses avec sa main gauche, mais la position n'était pas favorable a la masturbation. Il alla se tater doucement l'anus ainsi mit a jour. - Aller fais un effort gros porc ! met toi un doigts ! - Oui maîtresse Il se recrovilla pour pouvoir se pénéter du bout de son index. - Faut il que je fasse tout par moi même ? Elle lui flanqua un gifle sur les fesses. - Aller écarte toi le cul à deux mains. - Oui maitresse. - tu sais que je vais t'enculer esclave. - Oui maitresse - Tu aimes çà te faire enculer comme un PD ? - Oui maitresse Elle caressa l'anus offert d'un doigts, alla tater les couilles ramassées puis elle alla attraper la bite dure. - Ne bouge pas. - Oui maîtresse. Elle alla farfouiller dans son sac. et en ressortie une petite panoplie : gants en latex, lubrifiant, petit vibro, un gode-ceinture. - Maîtresse ? pourrai-je avoir la chance de vous gouter le cul, la chatte ? - Oui si tu es sage mon chien. D'ailleurs retourne toi. Branle toi, là je veux que tu te fasse jouir en me regardant. - Oui maîtresse Il se mit à genoux à ses pieds. - Non debout. - Oui maîtresse. Elle se rassit denouveau sur le pouf. Il commença a se masturber. Elle pris une de ses fesses pour la pelotter et le rapprocher de son visage, il avait maintenant sa queue à quelques centimètre de sa bouche. Elle leva les yeux vers lui, lui fit un sourire. Elle posa une main sur la sienne pour arréter sa branlette et goba le gland décalotter. Elle suca le bout de sa bite goulument, avec beaucoup de salive. Puis une fois le chibre recouvert d'une épaisse mousse de salive, elle s'arréta tout en le maintenant décalotté. - Branle-toi le gland. il forma un anneau avec son pouce et son index et s'astiqua le bout. Il commençait a ne plus pouvoir tenir, son visage se durcissait. - Maitresse je vais jouir... sur votre chemisier... - Ah non, retiens toi. Arréte. Elle lacha prise, et déboutonna son corsage. Elle désagrapha son soutien gorge et enleva rapidement sa jupe. Elle portait un tanga coordoné. - Voilà c'est mieux ainsi. Allez recommence où tu en étais. Elle pris un gant en latex alors qu'il recommençait sa masturbation au dessus de ses seins. De la langue elle titilla le meat du gland. Puis elle chercha le tube de lubrifiant, en étalla un peu au bout de son index. Elle glissa sa main dans le sillon de ses fesses et s'enfonça dans le cul de son esclave. - Hummmmm - C'est bon, un mon chien ... - Oui maîtresse Elle commença a lui branler le trou doucement mais fermement. - Haaaa oui Il écarta les les genoux s'accroupant a moitié pour lui facilité le travail... - T'es vraiment un chien mon toutou - Oui maîtresse, ohhhhhhhh - Tu vas jouir sur mes seins hein ? - Oui maîtresse, hummmmmm Son visage se crispait. - Allez lâche toi. - Ohhhhhhhhhhh, hummmmmmmm, ahhhhhhhhhhh Il jouit par saccade. Ses jets de sperme s'écarsèrent sur la poitrine et le visage de sa maîtresse. - Salaud ... tu m'en as mis partout. Tu dois être calmé maintenant ? Elle retira son doigt. se leva. - Léche moi çà. Dit-elle en désignant le sperme. - Oui maîtresse. Il s'appliqua a lécher la moindre trace, léchant la peau avec délicatesse. il s'attarda sur le téton offert, bien qu'il n'y eut pas de trace de semence à cet endroit. Il osa même le sucer. - A genoux chien. Il s'exécuta. Elle lui présenta sa croupe. - Allez léche moi le trou. Tu l'as bien mérité. - Avec plaisir ma maîtresse. Il baissa le tanga, écarta doucement les fesses pendant qu'elle se penchait en avant, les mains sur les genoux. Il huma les odeurs, senti la chaleur de son intimité et y plongea son visage avec bonheur. il darda sa langue, la fit plus large, saliva puis commença à masser son oeillet moelleux. il se délecta de pouvoir lui faire une feuille de rose, il adorait faire cette caresse. Sans prévenir, elle s'écarta. Puis alla sur le sofa, s'y vautra complaisament, releva ses jambes et annonca. - Viens me brouter, mange moi le cul et la chatte. - Avec plaisir maîtresse. Il s'appliqua a recommencer sa caresse initiale tout en plantant son nez dans la vulve de sa dame. Il roula sa langue puis forcit l'anus pour mieux le pénétrer tout en le lubrifiant de salive. - Tu bave comme un chien ! Sans s'arréter il darda la langue et commençà un va et viens, se retirant, poussant dedans comme s'il voulait l'enculer avec. - Ma maîtresse aime-t-elle que je l'encule de ma langue ? - Oui c bon vas y mon chien. Il continua quelques secondes , puis alla dénicher le clitoris pour jouer avec. il humecta son index et lui enfonça doucement dans le rectum. Il commença à lui branler le cul. Il léchait le clitoris en cercle, l'aspirant de temps en temps. - Tu m'exite salaud. Continu c'est bon. Il retira son doigts et remit sa langue dans le trou légèrement élargit de son anus. Il lécha les bords puis s'insinua encore dedans, dardant plus avant la langue, léchant l'intérieur. - Tu es un bon chien... Je viendrai me faire lécher plus souvent. - Avec plaisir maîtresse. - Cesse, met toi à quatres pattes au milieu du salon là. Il prit sa place. Ella refouilla son sac et en sortit une laisse. - Tu es un bon toutou, on va aller te promener .... Elle saisit aussi le petit vibro. Elle s'approcha puis enfonça le gode jusqu'à la garde formée de pseudo-testicule, avant de l'activer. Elle mit le collier autour du cou de son chien. Puis tira sur la laisse. - Aller viens médor. Lui à quatre pattes, ils déambulèrent dans l'appartement. Avec pour seul bruit le vibro enfoncé dans son cul. Il sentait bien l'engin lui vibrer dans les entraille. A chaque pas il changeait de position. Il se délectait de la situation, relevant la tete pour admirer la croupe de sa maîtresse le devancant. - C'est bien tu es un toutou adorable. Elle se pencha pour retirer le gode. - Va le laver ... - Oui maîtresse Lorsqu'il revint de la salle de bain, elle était là trônant sur un pouf, le gode-ceinture en place recouvert d'un préservatif. - C'est l'heure de te faire enculer mon chien ! Elle tapota la table du salon. - Allé, viens te coucher là, sur le dos. Il s'installa sur la table chancellante. - Lève les cuisses. Tu bandes encore salaud. Elle prit une grosse noisette de lubrifiant qu'elle étala a l'anus et positionna l'engin. Elle s'enfonca doucement. Puis commença  à le baiser. - Ohhhhh, doucement maîtresse, pitié .... - Oui bien sur je ne veux pas casser mon jouet. - Ahhhhhhh c'est mieux ainsi maîtresse ... - T'aimes çà mon gros chien, hein ? - Oui - tu vas jouir du cul comme un PD ! - Ahhhhhhhh gémit il pour toute réponse. Elle allait et venait dans son rectum, retirait l'engin pour mieux le remettre, il se fasait baiser comme une chienne en chaleur. Il bandait dur, et elle prit le membre en main pour le masturber. - Je vais te faire jouir. Il gémissait à tout va, se tortillant de plaisir, sentant l'engin lui fouiller profondément le cul, buttant contre sa prostate. Il regardait les seins de sa maîtresse baloter au rythme des bourrades. Elles se faisaient plus douces et plus appuyées, plus en profondeur. Elle lacha le membre et pris les jambes de son esclave pour les mettre sur ses épaules, elle aggripa les cuisses et lui bourra le cul accélérant le rythme. Il gémit plus fort, sa tête allait de gauche a droite, il avait les yeux fermés crispé. Il se cambra, écartant ses cuisses de ses épaules. Tout en continuant de le labourer, elle vit son membre trésautés et éjaculer de longues razades  blanchâtre jusqu'à ses pectoraux. Elle cessa de le baiser quelques instant plus tard. - Merci maîtresse bredouilla-t-il. - Ce n'est pas fini ... il faut te laver maintenant ... suit moi dans la salle de bain. - Oui maitresse Il eut du mal a se lever et tituba vers la salle d'eau. Elle était déjà dans la baignoire. - Allez, dépèche toi gros porc. - ... - Allez, là met toi a genoux devant moi. Il s'installa. Elle avait enlevé son engin, qui trainait dans le lavabo. - Lèche moi la fente. Il s'exécuta. Puis, elle pris sa tete doucement entre ses mains et lui plaqua le visage dans sa vulve et pissa. - Voilà comment le nettoie les chiens de ton espèce ! Il sorti sa langue et fouilla la chatte. - T'aimes çà en plus ! Elle lui écarta le visage et fini de pisser sur son corps...        
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Par : le 13/09/12
Comment en était-elle arrivée là ? Nue et attachée par des cordes dans une cave avec un inconnu !Elle était dans une sorte de fauteuil de dentiste, dans une cave sinistre qui sentait les produit aseptisés. Des cordes de coton noires la maintenait dans une position indécente. Les jambes écartées, les bras  rejeté en arrière, elle était offerte, impuissante, consentante. L'homme était grand, barraqué, impressionnant, charismatique. Il ne portait qu'une cagoule de cuir noire ornés de pointe. En fait, il était terrifiant, c'était un psychopathe se disait-elle. Il était musclé et poilus, un géant sinistre. Il vaquait cherchait un autre ustensil dans un coffre. Il déambulait avec sa queue énorme Elle était longue mais surtout très épaisse et en érection constante. elle était hypnotisée par sa bite. Depuis une heure, elle jouissait régulièrement. elle était en sueur, humide, chaude, dans une douce lassitude sensuelle. Elle aimait tout ce qu'il faisait. Elle subissait tous ces caprices, elle s'invitait au plaisir sans retenue, sans taboue, allanguie. Il était vicieux, pervers, sans limite. Elle aurait du avoir peur. Elle se sentait comme une poupée jouisseuse, un objet sans volonté à la merci de son imagination lubrique. Il lui avait écarté et attaché les jambes, puis ligoté les bras. Il avait enserré ses gros seins avec de la corde, puis avait placer des pince à linge en bois ur ses tétons. Il lui avait rasé tous les poils de la chatte avec minutie, lentement, patiement. Enfin, il lui avait fait un lavement rectal. C'était pervers, odieux, indécent ... elle avait adoré se répandre dans le seau placé sous son cul. Il avait recommencé plusieurs fois... l'eau était chaude, son esprit adorait l'idée quon lui fasse subir ec genre de traitement à son insu, sans rien le lui demander. Finalement, il lui avait lavé l'entre-jambe une dernière fois. Une fois "installé" il avait commencé son traitement.Il lui avait branlé le clito jusqu'à la faire crier. Il lui avait fourré tout un tas de choses dans la chatte jusqu'à la faire gicler. Sa vulve était en feu, gluante (du sperme ? ses secrétions ? un lubrifiant ?) et irritée. Il lui avait fouillé le cul de ses doigts et de sextoys, lui secouant le rectum sans le brusquer, mais elle s'était sentie éclatée. Elle s'était même pisser dessus n'y tenant plus. Durant toutes ses manipulations, elle n'avait rien dit, tout juste avait-elle émise quelques grognements de satisfaction animal ou des gémissements de plaisirs. C'était de la folie, elle aimait ça. Elle voulait sa queue en elle, dans tous ses trous. - "Baise-moi avec ta queue !" lui avait-elle crier, surprise d'elle même.Il se retourna, tout aussi surpris. Il vint entre ses cuisse et la pénétra d'un seul coup. Elle était énorme, elle se sentait rempli, comblé, elle jouit immédiatement, libérant un flot de liquide entre ses cuisses, pleurant d'extase. Il commença à la bourrer comme une chienne. elle criait, jouissait, beuglait des insanité. Lui ne disait rien, il éructait comme un taureau en rut. Le siège était malmené par leur copulation violente. elle avait mal au bras, au jambes ... mais jouissait sans fin. Il sortit sa verge de son con, et alla lui coller le gland à l'oeillet de son anus.- "OUI !!! Encule-moi".Il s'engoufra dans l'anus ouvert. De nouveau, elle se mit à jouir. Elle avait mal au cul mais c'était trop bon. Il lui pompa le rectum, elle sentait l'effet de ventouse de son trou sur sa bite. Il était obscène, bavant à travers sa cagoule de cuir, sa salive tombait sur son ventre et ses seins. Il interrompa la sodomie pour lui montrer sa queue et dans un râle d'agonie, il lui éjacula sur le ventre en de longs jet de crème liquide. Ses seins, son ventre, son pubis reçurent sa semence. Il s'effondra à genoux, le visage contre sa vulve. Puis re releva pour la libérer de ses cordes. d'un geste, il lui indiqua la douche et il sorti de la cave.
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Par : le 03/09/12
 Mise à jour du 18/10/2012 : Ca y est l'ouvrage est sortie en france, sous le titre Cinquante nuances de Grey Cliquez ici pour le commander Vous avez sans doute entendu parlé du livre-phénomène "50 Shades Of Grey". Nous en avions d'ailleurs parlé sur BDSM.FR quand celui-ci faisait tant de bruit dans les pays anglo-saxons.   Autant dire que son auteur, EL James, a frappé un grand coup pour son premier livre qui se veut le récit des sulfureuses relations entre une étudiante diplômée d'université et un homme d'affaires.     Dans le livre, Anastasia Steele se voit obligée à signer un contrat où elle remet dans les main de Grey le contrôle complet de sa vie. Elle se doit, alors, d'assouvir tous les désirs de Grey. Y compris et surtout au niveau du sexe. Grey aime le BDSM, le bondage et le sadisme et Steele est elle encore vierge, autant dire que la trame et le caractère des deux personnages semble inconciliable, et on sent poindre une histoire qui pourrait s'avérer plutot glauque.   Le premier livre de la série qui s'articule autour de trois ouvrages été publié sous forme électronique avant de sortir en livre de poche imprimé à la demande. Le succès qui allait s'en suivre a pour le moins été imprévu : l'ouvrage a littéralement conquis un public féminin malgré la perversité qui y domine en filigrane. Des millions de lectrices dans le monde entier se sont laissés envoutées.   Si les avis positifs de lecteurs affluent, certains vont jusqu'à érigée l'ouvrage comme un manuel d'éveil (ou de réveil, puisque nombreuses lectrices sont des mères de familles) à la sexualité et se sont senti pousser des ailes pour explorer sexuellement et émotionnellement de nouvelles pratiques.   Après le succès du bouquin dans les pays anglo-saxons, les éditions Lattès se sont saisis des droits d'adaptation en français, et les lectrices français devraient pouvoir jouir ... de l'ouvrage dès le mois d'octobre. Une idée de cadeau de noël ?
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Par : le 31/08/12
Une journaliste de Marie Claire est en train de boucler un article sur le BDSM (bouclage de l'article prévu pour le 4 septembre). Elle s'est rapproché de l'équipe de modération car elle a besoin (urgemment donc) de témoignages. Ci dessous son appel à témoin : Journaliste au magazine Marie Claire, je recherche des  témoignages anonymes  de femmes en couple pratiquant le BDSM avec leur mari ou compagnon,  pour illustrer un sujet (accroche: le succès de 50 Shades of grey, un best seller américain  qui raconte une histoire d'initiation au SM dans un couple. Le livre sort en France en octobre 2012 aux éditions Lattès).  Je recherche donc des témoignages de femmes en couple, débutantes ou expérimentées pratiquant le SM  avec leur  mari ou compagnon. D'avance, merci à toutes celles qui me répondront. Pour me contacter: ici. Pseudo: Marie Claire. Délai: je dois rendre mon papier  le 4 septembre, c'est hyperurgent!   Si vous pouvez l'aider ... l'expérience doit être interessante
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Par : le 31/08/12
Avec l'accord de l'Administration, je vais essayer de vous raconter mes débuts. Pardonnez à l'avance les fautes ou la mauvaise syntaxe s'il vous plaît, ce n'est pas facile pour moi, car l'émotion est toujours aussi vive et douloureuse que ce jour où tout aurait pu basculer....   Novices, ce texte ne cherche pas à vous effrayer, seulement à vous prévenir pour VOTRE sécurité; Maîtres, par ce texte Vous saurez jusqu'où peut aller un soi-disant "maître";   Jusqu'en 1998, je n'étais toujours pas décidée à aller voir si l'herbe était plus verte dans le champ du voisin que dans le mien. Pourtant, depuis quelques années déja, mon conjoint ne s'intéressait plus à moi. Plein de questions étaient dans ma tête (du "suis-je si nulle au lit?" jusqu'au "c'est ma grosseur!" en passant par le classique "il doit en voir une autre!!!") J'ai tenté plusieurs fois de parler de "ça" avec lui, mais il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre! Bref, un jour où......................... je m'inscris sur un site de rencontre très classique, mais réservé aux infidèles. Le mot est lâché: j'ai cherché un amant. Très vite, les contacts affluent, et si certains me font fuir leur fiche, d'autres m'attirent... Rendez-vous, prise de contact avec ceux là, mais devant un café, dans un lieu public! Rien ne va plus loin que ça... sauf avec un. Il m'attire irrésistiblement! Grand, mince, élégant, poli, courtois... un rêve... Nous nous sommes vus une bonne dizaine de fois avant qu'il ne me parle de soumission. Je n'y connaissais rien, je le lui ai dit. "Ce n'est pas grave, je t'apprendrais, tu verras ce n'est pas dur. Il te suffit d'accepter ce que je te proposerais" Et j'ai dit oui, par curiosité, pour découvrir... avec son assurance que jamais il ne me ferait quoi que ce soit si je ne voulais pas. "Dis moi ce que tu refuse absolument?" Ma réponse a fusé: la sodomie!... "OK, pas de souci, je ne te sodomiserais jamais!"............... Si j'avais su!!! Tout ce passe très bien pendant huit mois. Une nuit mon mari décide de faire l'amour avec sa femme. (ça faisait plus de trois ans que je n'avais plus de rapports avec lui, vous pensez bien que je n'ai pas refusé!). Tout se passe vite, très vite, et je n'en tire aucun plaisir, mais au moins il revient vers moi... Je revois mon "maitre" quelques jours après et lui annonce que mon mari semble vouloir revenir, qu'il m'a fait l'amour... Mal m'en a pris! Il est entré dans une fureur noire, une rage indescriptible! Je lui appartenais à LUI, je n'avais pas le droit de LUI faire ça, je ne suis qu'une putain..... Je tente de lui faire remarquer que c'est quand même MON MARI, qu'il pèse quand même presque 125 kg (à l'époque, je n'en fais "que" 80), qu'il est beaucoup plus fort que moi, etc...etc..., et que de toute façon ça a été ultra-rapide et que je n'ai pas joui... Peine perdue, il est hors de lui et les insultes pleuvent. D'un seul coup, il se met à me rouer de coups... je reçois des gifles, des coups de pieds, et arrivé au point culminant de sa rage folle, deux coups de poings en pleine bouche, si rapides que je n'ai pas le temps d'esquiver...je suis presque estourbie. Puis le calme après la tempête... ou plutôt "l'oeil du cyclone"... pendant cinq secondes pas plus... et le déchaînement reprend, mais sans les coups. Cette fois c'est pire! Il m'attrape les poignets qu'il attache, me tire jusqu'au sol par les cheveux que j'avais assez longs. Je me retrouve à genoux, lui derrière moi, mes vêtements sont arrachés (nous allions commencer une séance quand je lui ai avoué ma "faute")... Je me trouve dans une posture où je ne peux rien faire, en plus je suis complètement sonnée, quasiment KO! Il se masturbe sur mon dos, sur mes fesses, ça j'ai l'habitude... et d'un seul coup il me sodomise... sans préparation, sans avertissement... Je suis sèche, les coups m'ont laissées vide. Il est entré d'un seul coup, de toute sa grosseur. Son sexe est très épais pour moi, presque 6,5 de diametre, et je suis toujours vierge par l'anus! Je me souviens que j'ai hurlé de douleur!!!! j'ai crié pitié, laissez moi partir!..... et plus rien....le trou noir.......... je me suis évanouie, terrassée par la douleur! Je me suis réveillée aux urgences de l'hôpital Tenon, à Paris. Mon mari était près de moi. Je ne pouvais presque pas parler, j'avais les lèvres tuméfiées, les yeux au beurre noir... des cheveux en moins.... et plus une seule dent! Ah! j'oubliais un détail: la police aussi était là!! Et contrairement aux films, ils m'ont demandé si je pouvais leur parler... C'est le médecin qui leur a demandé de revenir plus tard, dans mon état je ne leur servirais pas à grand-chose... Le soir est tombé, tout le monde est reparti sauf mon mari. Il veut que je vois un psy..... je lui fais comprendre que c'est non, qu'il peut rentrer, ça va mieux... "Oui me dit-il, les enfants sont inquiets, je vais leur dire que tu t'es fait agresser dans la rue et que l'hosto te garde en observation...mais que ça va mieux" Je suis fatiguée, j'ai très soif, j'ai mal partout. On me donne je ne sais quoi, et je m'endors... Le lendemain, ces messieurs de la police m'ont laissé un message: "dites lui de venir nous voir quand elle sort"... Je suis sortie dans la matinée........ et j'ai TRES envie de me venger! Mon mari m'emmène au commissariat où je dépose plainte pour une agression sexuelle. Je leur ai tout expliqué, tout. J'ai vu un album de photos... et là, j'ai sursauté! il était fiché! et pour agression sexuelle! Il leur fallait encore un témoignage pour le faire tomber... J'ai dit oui, et j'ai parlé!   Pour finir, nous avons été trois au tribunal (dont deux soumises). Ce joli monsieur a été condamné. Mes dents n'ont pas repoussé,. Mes cheveux ne sont plus du tout longs. Et mon mari est toujours là! Quant à moi, je suis toujours soumise, mais cette fois mon Dom est connu et  "reconnu" comme tel par d'autres Doms...   Petites soeurs, petits frères de soumission, Maîtres et Maîtresses reconnus (es), maîtres et maîtresses en devenir, lisez cette histoire et rappelez-vous que la soumission et la Domination sont avant tout des JEUX, et qu'ils peuvent mener loin... Ca peut être dangereux, entourez-vous de précautions s'il vous plaît!   Merci de m'avoir lue jusqu'au bout... Vous m'avez servi de psychanalystes... malgré vous.   Avec mes Hommages à tous,   Miss Tère
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Par : le 18/08/12
  Nous considérons qu’une soumise n’est pas un jouet à la merci d’un maître, mais qu’elle devient soumise pour confier son éducation à un Maître qu’elle a choisit. Le but de cette éducation est de mieux se connaître et surtout de connaître ses limites. Pour son éducation, Douce et son Seigneur Yog-Sothoth ont fixés par contrat des objectifs qui vont servir à guider leurs jeux. N’étant pas des « extrémistes » du SM (cela n’est pas une notion dévalorisante de notre part, mais ce n’est pas notre envie) ces objectifs peuvent paraître « ligth » pour certains, voire « vanille » pour d’autres. Que cela ne tienne, c’est notre envie, pour le moment, d’explorer ces voies. Ces objectifs sont au nombre de quatre. Chaque objectif à été décliné en 10 étapes progressives. Et pour chaque étape il est noté l’expérience acquise (4 sous-niveau). Il est évident que la cible visée, est de connaître toutes les étapes des quatre objectifs et de voir leurs expériences des dernières étapes au maximum. Toutefois, il est possible qu’arrivée à un certain point Douce pourra s’apercevoir que cela dépasse ses limites… et donc marquer un point d’arrêt. L’expérience est notée en quatre niveaux 0 : aucune expérience de cette pratique 1 : faible expérience, connue mais rarement pratiquée 2 : pratique maîtrisée, pratiquée régulièrement 3 : expérimenté, fréquemment pratiquée Ces quatre objectifs et les étapes (expérience initiale, expérience actuelle) sont : A - Obéissance & comportement Se laisse manipuler, déshabiller (1,1) Se laisse mettre en laisse (0,1) Prend les positions demandées (1,2) Obéit et acquiesce par un « Oui, Maître » (0,1) Devance les désirs de son Maître, en étant attentionnée à son égard (0,1) Fait son rapport par écrit, puis par oral à son Maître (0,0) Accepte les punitions sans pinailler (0,0) Est force de proposition pour son éducation (0,0) Demande ses punitions, fait son autocritique, s’investi dans son dressage (0,0) Accepte tout de la part de son Seigneur et Maître (0,1) B - Pratiques anales Recevoir : Se faire lécher le trou (0,3) Recevoir : Se faire titiller le trou, par la langue, un doigt ou un sextoy (0,2) Donner : Lécher le trou de son Maître (0,1) Donner : titiller le trou de son Maître, par la langue, un doigt ou un sextoy (0,1) Recevoir : Se faire doigter l’anus (doigt ou sextoy) (0,2) Recevoir : Se faire élargir et branler l’anus (doigts ou sextoy) (0,1) Recevoir : Se faire fouiller le rectum (doigt ou sextoy) (0,1) Recevoir : Se faire enculer  (queue, doigts ou sextoy) (0,1) Recevoir : S’encule toute seule devant son Maître  (doigts ou sextoy) (0,0) Recevoir : Se faire élargir et travailler l’anus jusqu’au fist anal (0,0) C – Shibari, contraintes & tortures (Tortures est à comprendre comme étant de la stimulation par sex-toys souvent jusqu’à la jouissance) Se laisse menotter, se laisse se faire mettre un foulard sur les yeux (1,1) Se laisse bâillonner (0,1) Se laisse immobiliser main & pied (0,1) Se laisse immobiliser complètement (0,1) Se laisse attacher et « torturer » (0,0) Se laisse immobiliser complètement, bâillonner et aveugler et baiser (0,0) Se laisse immobiliser complètement, bâillonner et aveugler et baiser et « torturer » (0,0) Wrapping (0,0) Se laisse enfermer en cage, placard, coffre de voiture etc. (0,0) Suspension ? (0,0) D - Pratiques Uro Donner : Pisser devant son maître (0,1) Donner : Pisser, assise ou accroupie, cuisses écartées, montrant ses jets (0,0) Donner : Pisser à 4 pattes (0,0) Donner : Pisser à la demande de son Maître, lors d’un cunni par exemple (0,0) Recevoir : Se pisser dessus debout (0,0) Recevoir : Se pisser dessus allongée (0,0) Recevoir : Se faire pisser sur le corps par son Maître (0,0) Recevoir : Se faire pisser dessus bouche ouverte ? (0,0) Recevoir : Recueillir la pisse de son Maître dans sa bouche ? (0,0) Recevoir : Boire la pisse de son Maître ? (0,0)
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Par : le 24/07/12
Me voilà enfin de retour de trois semaines environ dans le sud du Portugal.ma belle-soeur nous y a invité mes parents et moi, et avons pu profiter d'être logé dans l'appartement propriété de sa mère.je quitte Paris le 25 juin de l'aéroport de Paris Beauvais à destination de l'aéroport de Faro, capital de l'Algarve. La région la plus au sud et la plus riche du pays.dans l'avion je recule ma montre d'une heure pour me mettre à leur portugaise et attend patiemment l'atterrissage après 2:30 de trajet.Premier constat... Même à 23:30 il fait chaud !!! au moins 15° de plus depuis que j'ai quitté Paris, heureusement le vent du littoral rend la chaleur supportable et même agréable.Après une vingtaine de kilomètres en voiture depuis Faro jusqu'à Loulé je découvre un grand appartement très classe et climatisé. Le temps de m'installer, de saluer toute la petite famille déjà présente, mon frère, ma belle-soeur, mes parents, neveux et nièces et bonne nuit tout le monde ou plutôt "Boa noite".toute la première semaine plutôt calme nous avons chaque jour testé une plage différente. Et inutile de vous dire qu'il n'en manque pas, la température n'est pas descendu en dessous de 30° pour parfois atteindre 37°, et les gens du coin disait qu'il faisait encore "frais" pour la saison.si toutefois il vous venez à l'idée l'idée de faire la même chose je vous conseille plutôt les plages de la côte Ouest plutôt que les plages du littoral sud.déjà que la différence de température entre l'atmosphère et l'eau de la plage vous donne d'office le sentiment qu'elle est glacée au départ, les plages du sud sont elles ... Réellement très froides.Faire le lézard sous le soleil des plages portugaises, bercé par les cris des vendeurs de Bolignhos (begnets) et les odeurs de monoï ne fut pas désagréable. Jusqu'à ce que malgré les précautions d'usage, je me prenne deux énormes coups de soleil sur les mollets...j'ai déjà pris des coups de soleil dans ma vie mais je peux vous assurer que ceux-là furent sûrement les plus douloureux que j'ai connus je suis resté dans l'appartement, le tube de Biafine a porté pendant deux jours.Des que je fus à nouveau capable de marcher sans avoir l'impression que ma peau allait se déchirer, nous sommes allés rendre visite à la famille de ma belle-soeur restée au pays.Alors bien sûr par extension je fais déjà plus ou moins partie de leur famille puisque je suis le frère de l'homme que leur soeur, fille, petite-fille, nièce, cousine a choisi de prendre pour époux.Toutefois alors que je ne les avais jamais vus et qu'il ne me connaissait que d'un nom vaguement cité de ci de la, alors que j'étais plutôt timide prêt à être courtois et à les connaître au fur et à mesure des discussions comme lorsque l'on rencontre quelqu'un la première fois en somme.Ils me prirent tous dans les bras et m'embrassèrent comme du bon pain, comme si nous nous étions toujours connus et que je revenais d'une longue absence.Je suis d'abord surpris puis attendri et flatté d'un tel accueil bien que la visite fus faite à l'improviste la table du salon se chargea vite de bière fraîche, chorizo, fromage et olive cueilli est préparé par la grand-mère de la famille.j'ai surtout discuté avec le grand-père de ma belle-soeur et pour cause il a longtemps vécu en France, ce qui facilite la communication.cet homme est un exemple de courage et de persévérance.sous le régime totalitaire de Salazar et avec l'accord de sa femme, il prit la fuite vers la France avec son fils tout jeune adulte..... À pied !!!Ils partirent du sud du Portugal et marchèrent jour et nuit. Il se cassa le pied à une vingtaine de kilomètres de la frontière française il fit donc le trajet inverse pour se faire soigner la d'où il était parti tout en laissant son fils continuer le voyage jusqu'à Clermont-Ferrand.Une fois guéri il reprit son périple et parti lui jusqu'à Paris où il vécut pendant trois ans sans pouvoir voir ou communiquer avec sa femme pendant trois ans.Même si il y a des exceptions partout tout le long de mon voyage j'ai eu le sentiment que les Portugais étaient des gens accueillants, chaleureux, et serviables.le reste de la semaine en grand passionné d'histoire que je suis je me suis promené dans les quartiers historiques de Loulé et Faro, loin des grandes maisons de luxes, des voitures de sport rutilante et des quartiers aux ambiances "monégasques"Dans le vieux Faro, j'ai rencontré un antiquaire (Un certain Johaquim Carneiro Da Silva qui parlait un parfait anglais) également passionné d'histoire avec qui, après qu'il me fait visiter son atelier, et fait voir les œuvres qu'il avait restaurées, je pus avoir de longues discussions sur l'évolution de notre monde la vision que nous en avions chacun de notre côté.Le tout sous un ciel sans nuage, à l'ombre d'un oranger, une bière fraîche à la main et un chorizo sur la table.Il me fit visiter les endroits qu'il considérait les plus beaux et les plus intéressants de Faro et ses alentour notamment l'église "San Lourenço d'Almencil" qui malgré sa petite taille et son air très commun vu de l'extérieur cache a l'intérieur un véritable trésor artistique.la nef et l'autel toute d'or sont vite éclipsées par la faïence qui recouvre l'intégralité des murs, du plafond et de la coupole.ou les motifs tout bleus sur fond blanc nous racontent l'histoire du martyre de Saint-Laurent je vous invite à y faire une petite recherche sur Internet pour essayer de vous faire une idée de ce que l'on peut ressentir lorsque l'on se trouve à l'intérieur.Nous sommes également allés visiter Lisbonne au cours d'une journée trop courte malheureusement car la ville se trouve à 200 km au nord de la où nous logions nous sommes donc partis très tôt le matin les sommes rentrés encore plus tard.Le long du trajet j'ai pu me rendre compte en regardant le paysage que la sécheresse frappait durement le pays en effet les gens nous disaient que cela fait deux ans qu'il n'y a pas vraiment plus à chaque panneau qui annonçait un fleuve une rivière en contrebas de la route je ne trouvais qu'un serpent de terre asséchée ou l'eau ne coulait plus.Plus nous montions vers le nord je me rendais compte de l'écart économique qui existe entre l'Algarve et le reste du pays.Même Lisbonne la capitale, fait pâle figure comparée aux fastes de Faro.les routes de la ville entièrement pavée et la plupart du temps moitié moins large que toutes les autres rues des grandes villes lui donnaient des airs de petit village le petit tramway qui n'a plus d'age qui fait le tour de la ville et le seul élément qui nous rappelle que nous sommes dans une grande ville (et encore...)Les rues de la ville sont de vraies montagnes russes elle monte les redescende encore plus raide que la butte Montmartre.Certains quartiers on des aires de favella brésilienne à tel point que parfois on a le sentiment qu'une fois arrivée en haut d'une de ces petites rues étroites nous aurons la chance d'apercevoir le Corcovado.Nous avons dîné dans une petite ruelle dans un restaurant de fado traditionnel.Le fado est un chant mélancolique et romantique originaire de Lisbonne, propre et cher à la culture portugaise.Dans tout les restaurant quel qu'il soit le plus gros de la carte est constitué de plats à base de poissons et fruits de mer rien de surprenant mais soyez prévenus si vous n'aimez pas ça ^^La lumière dans le restaurant est tamisée, les serveuses vienne prendre notre commande et allumes une petite bougie sur un bougeoir en face de chacun d'entre nous.si vous êtes habitués à la vitesse de service des restaurants français sachez qu'au Portugal l’attente moyenne et plus longue d'environ 20 minutes où que vous alliez.Une fois servie, on a la surprise se rendre compte que c'est la même personne qui a pris la commande de nos plats ou même celui qui les a cuisinés qui va nous faire entendre sa voix dans ses chansons.Je connaissais déjà un petit peu le style et le principe du fado et je n'étais pas très fan ou impatient de dîner dans un restaurant de cet acabit toutefois à ma surprise l'expérience fut bien plus agréable que je ne m'y attendais car l'aspect "cantine" du restaurant rend l'expérience très chaleureuse d'autant plus que souvent les clients chantent les refrains en cœur portent leur bougeoir pour faire danser la lumière au rythme des paroles mélancoliques de la chanson.personnes à table ne pris de dessert, non pas que la cuisine fut mauvaise bien au contraire, mais ma belle-soeur nous avait promis une surprise en fin de repas nous disons juste de garder un peu de place dans l'estomac.une fois l'addition payée nous voilà tous partis en direction du quartier de Bélem où se trouve la "Pastelaria" (Pâtisserie) la plus réputée du pays.vous trouverez des Pastelaria absolument partout et en nombre impressionnant. Toutes vous proposeront des "Pasteis de nata" littéralement des "pâtisseries à la crème".La recette originale aurait été inventée par des moines mais aujourd'hui les seules à connaître la composition et les techniques de préparation exacte sont trois vieilles sœurs propriétaires de la Pastelaria de Belem, qu'elle tienne elle-même de leurs aïeux. La recette a été imitée partout mais jamais égalée et pour en avoir goûté plusieurs moi-même je vous le confirme !!!Semblable à l'oeil à de petits flancs ronds que l'on mange en deux voire trois bouchées pour les petites bouches. lol ils sont servis tièdes sortant du four le cœur encore chaud et coulant dans la bouche avec un arôme de vanille légèrement sucrée dans une patte d'une légèreté infinie est tout aussi infiniment croustillante le tout pour ceux qui aiment légèrement saupoudrer de cannelle...un orgasme gustatif tout simplement !!!Ils sont vendus pour 1,05 e pièce vous vous faites un délicieux goûter avec trois d'entre eux pour les plus gourmands.Ma belle-soeur m'a affirmé que les soeurs étaient récemment sortis de leur silence et avait fait ouvrir une antenne de leur Pastelaria dans le 17e arrondissent de Paris inutile de vous dire que je vais enquêter !.Après une autre période a squatté les plages et notamment une que nous avons dus rejoindre en bateau car sur une île nommée Tavira, elle est une des plus belles d’Europe.nous avons fait un petit tour en barque sur la côte sud pour y voir de plus près les roches qui semble-t-il à cet endroit ont pris des formes particulières.Tous de roches vous verraient, un éléphant, un gorille, un coeur, le général De Gaulle, un cheval, un crâne de mort, et encore plein d'autres formations curieuses.J'ai également visité quelques châteaux et quelques musées de la région en grand fan d'histoire que je suis.Puis arriva le 16 juillet date de mon retour à la maison chargée de souvenirs de photos et de vidéos je me retrouve à l'aéroport de Faro sous un soleil de plomb et habiller léger pour arriver à Paris sous la pluie avec 15° de moins.... Dur le retour lolMais une chose est sûre je retournerai au Portugal, autant pour la chaleur de son soleil que pour la chaleur humaine et la gentillesse des Portugaiset si vous ne l'avez pas encore découverte je vous encourage à venir faire un petit tour en Algarve.
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Par : le 24/06/12
Elle était tellement amoureuse de lui!Pas de doute, mais… À l’intérieur d’elle, des craintes et des peurs surgissaient, à un rythme effrenné et de plus en plus fortement, alors que son nouvel amour parlait de plus en plus d’un autre mode de vie, si étrange pour elle… Un mode de vie où la douleur marchait main dans la main avec d’intenses plaisirs…Où la clé perdue de la liberté était d’être ligotté par des cordes…Où appartenir pleinement à quelqu’un était un chemin pour trouver sa véritable identité… À l’intérieur d’elle, la fascination grandissait alors que des images,tout aussi sombres qu’inattendues, se frayaient un chemin hors de son esprit,comme de forts vents détruisant lentement les murs que la société avait si patiemmentet de façon répétée construits tout autour de son corps et de son espritpour soi-disant la protéger d’un vieux et malicieux démon… Images d’elle, attachée à une croix, flagellée…Images d’elle, suspendue par des cordes, se faisant baiser…Image d’elle, excitée par le feu, se faisant fouetter… Elle avait tellement peur de se perdre, si elle donnait ne serait-ce qu’un petit peu de son pouvoir! Les murs autour d’elle se rapprochaient dangereusement…Et elle sentait un intense feu brûler à l’intérieur de son corps… Une nuit, alors qu’ils faisaient l’amour, soudainement, il la mordit à l’épaule gauche, puis à l’épaule droite, et ELLE ADORA CELA ! Elle ressentit un intense plaisir et cette sensation fut comme un tremblement de terre, les murs la retenant croulant sous l’impact, disparaissant. Elle se sentait libre de prendre ce chemin étrange avec lui. Il y avait tellement de choses à apprendre et tant de choses à expérimenter… et elle désirait si ardemment lui appartenir!
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Par : le 08/06/12
Bonjour à tous,Ce que j’aime dans le Bondage c’est de  procéder une jeune femme par mes cordes, bâillon et bandeaux et non par le sexe. Quelle m’appartienne, ce donne à moi corps et âme et à mes cordes. Un  moment de plaisir partagé, sans vulgarité, ni sexualité. .Pénétrer sa bouche avec la boule du bâillon et non avec mon pénis.Ne pas la dévêtir mais l’habiller avec mes cordes, la rendre encore plus belle, plus femme, sensuel ainsi ligotée et lui offrir les sensations uniques, jouissance et plaisir d’être ainsi soumises au maître des cordes et devoir attendre son bon plaisir pour être à nouveau libre et, le regretter aussi-top. Partager ces fantasmes de soumissions, son rêve d’appartenir à un Maître et subir avec délice ces liens, ces défis, ces envies, son imagination jouir ensemble sans geste intime.Cette jeune femme qui viens à moi pour découvrir des  moments intenses d’émotions que seul le Bondage est capable d’offrir, des moments de plaisir uniques, la découverte de soi, de son esprits, subir avec une grande excitation la domination des cordes sur ce corps qui, jusque la préfère les mains et le pénis d’un Homme virile.Je recherche une jeune femme pour lui offrir cette découverte d’elle-même, des candidates ?Revedhomme
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Par : le 03/06/12
Au-delà de mon annonce, je voulais pouvoir me présenter un peu plus amplement aux gens présents sur ce site.Je suis un jeune homme très ouvert d'esprit,et très curieux.Pour des raisons de santé j'ai beaucoup de temps libre et je suis un insomniaque chronique, ce qui me laisse le temps d'observer le monde de lire, de me cultiver.Et aujourd'hui je peux dire que je peux discuter et débattre d'à peu près tous les sujets.il m'arrive parfois d'écrire quelques articles sur les événements que j'observe ou les choses qui peuvent arriver dans notre monde.On dit de moi que j'ai un humour assez fin parfois cynique même noir mais jamais méchant.l'humoriste Gaspard Proust utilise dans un de ses sketches une phrase dans laquelle je me reconnais assez bien.Je suis un cartésien désabusé c'est-à-dire que je pense donc je suis, mais je m'en fous... lolvous l'aurez peut-être deviné mais je suis également un grand fan du réalisateur Tim Burton.si vous avez la moindre question à mon sujet, surtout n'hésitez pas me la poser c'est avec plaisir que j'y répondrai.
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Par : le 26/05/12
Quand le scénario et la grille d'écriture de Twilight , bouquin chouchou des ados, est exploité pour faire des livres pour adultes, cela donne une trilogie : Fifty Shades of Grey. Succès phénoménal aux Etats Unis, avec 10 millions d'ouvrage vendu, de nombreux éditeurs dans le monde se sont arrachés les droits de l'adapter dans leur langue nationale. La sortie de la version français est imminente. L'histoire est simple (trop simple ?) : une étudiante vierge tombe sous le charme (puis dans les griffes) d'un homme d'affaires et découvre peu à peu l'univers du sadomasochisme.  E. L. James (Erika Leonard de son vrai nom), a acommencé son travail d'écriture il y a deux ans.Si l'histoire avait d'abord fait l'objet d'une publication sur internet, la nature sulfureuse du récit a privé l'auteure de ce média (nombreuses plaintes !), et c'est donc chez les libraires que la version définitive de l'histoire a été publiée. Le succès foudroyant  a convaincu Universal d'acheter les droits d'adaptation au cinéma. L'achat des droits cinéma ne veut pas forcément dire qu'un film sortira effectivement, mais cela en prend le chemin. Nous ne manquerons pas de relayer l'information sur la disponibilité de cet ouvrage en français : livre de référence ou historiette pour titiller les vanilles, on ne le sait pas encore. Réponse bientôt.
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Par : le 25/05/12
La Knismolagnie (on dit aussi Titilagnie) est d'avoir recours aux chatouilles pour des pratiques sexuelles. Le terme anglais est Tickling. On trouve dans les tribus d'Afrique (chez les Baganda par exemple) des femmes qui se servent des chatoullis fait aux aisselles des hommes un mode de séduction. Il se trouve également des sectes où les chatouilles des femmes sont pratiquées jusqu'à ce qu'elles s'évanouissent. Dans un cadre strictement BDSM, les chatouilles sont utilisés comme moyen de torture : on attache la "victime" est on lui chatouille différentes parties du corps, à la main, avec une plume, etc. Voir également le sujet sur les chatouilles dans le forum        
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Par : le 12/05/12
La bradycubie est une pratique sexuelle qui consiste à des pénétrations multiples durant une rapport vaginal ou par sodomie. La bradycubie est qualifiée quand le sexe est introduit et ressorti complètement de manière répétée et lentement. Cette pratique est utilisée dans différents cas : prolonger l'acte, s'accomoder d'une déficience du type éjaculation précoce, et même contraception (facilite l'éjaculation en dehors de la partenaire). Mais il y a également de vraies amatrices qui aiment, en soi, les pénétrations multiples et de nombreux amateurs qui apprécient la sensation de chaud/froid ressenti lors du retrait puis de la pénétration à nouveau. Cette pratique est évoquée dans le Kama-Sutra qui en fait l'apologie pour satisfaire deux femmes déjà occupées entre elles.
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Par : le 10/05/12
Thomas Duval, photographe, propose actuellement à Bruxelles en Belgique une exposition, que nous relayons ici en clin d'oeil : bondage végétal.  Quinze fruits et légumes ont été ligotés pour cette série, dont l'idée lui serait venue après avoir fréquenté les cuisines des Grands chefs de la gastronomie. Du 3 mai au 3 juin : Pour plus d'informations, consultez le site de la galerie
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Par : le 09/05/12
Le candaulisme désigne la pratique qui consiste pour un homme ou pour une femme de regarder son partenaire habituel avoir une relation charnelle avec une autre personne (ou plusieurs !). Si le candaulisme a parfois les faveurs de ceux qui ont une défience sexuelle et qui préfère assister aux ébats sexuels de leur moitié, et "profiter" ainsi de leur plaisir, le candaulisme est également très apprécié comme pratique sexuelle par ceux qui n'ont aucun problème d'ordre physionomique : c'est en gros la corde de l'esprit de compétition entre le partenaire habituelle et la maîtresse ou l'amant d'un jour qui suscite l'excitation. De nombreux pratiquants du candaulisme témoignent de l'intensité inégalée de l'orgasme qu'ils ressentent dans le cadre de cette pratique.
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Par : le 22/04/12
Comme le nom le laisse deviner, les auto-masochistes s'infligent eux même des actes douloureux parce qu'ils en tirent un plaisir sexuel et émotionel. Dans l'auto-masochisme, on va chercher la douleur, on se flagelle, on se fait des piercings soi-même, on marche sur du verre, on se brule volontairement. L'auto-masochisme est un inépuisable sujet d'étude pour les psy, qui vont chercher quel est l'origine de ce goût pour la douleur auto-infligée.  Certains y verront des maltraitances pendant l'enfance, d'autres un manque d'estime de soi, ou le moyen d'attirer l'attention sur soi.
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Par : le 20/04/12
L'agoraphile apprécie de faire l'amour dans les lieux publics, ou en extérieur de manière générale (jardin, bois ...). Il ne faut pas confondre l'agoraphilie avec l'exhibitionisme. L'exhibitioniste est excité et prend du plaisir à se montrer à des tiers avec un brin de provocation, alors que l'agoraphilie joue davantage sur le jeu du risque d'être surpris. Certains agoraphiles font également part de leur excitation d'être peut-être matés à leur insu, et donc d'être à la merci des voyeurs.
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Par : le 19/04/12
Il est des personnes qui aiment faire semblant de se défendre pour enfin céder au désir de leurs partenaires sexuels. Ces personnes jouent donc leur sexualité consentie comme un pseudo-viol. D'autres, leurs partenaires de jeu, prennent plaisir à jouer le rôle du violeur. Ces pratiques s'appellent l'agonophilie. Il est à noté que certains homosexuels masculins ont une fascination pour la lutte (lutte gréco-romaine, etc.). Il est fort probable que ce soit leur corde "agonophile" qui s'exprime en partie. Vous aurez noté que certains termes ont été mis en gras et/ou en souligné, pour des raisons évidentes : on parle ici sous l'appelation "agonophilie" de pratiques consensuelles entre les partenaires. Contraindre "pour de vrai" est sévèrement puni par la loi : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol et c'est heureux !
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Par : le 16/04/12
L'acrotomophilie est l'excitation d'avoir une relation sexuelle avec une personne amputée. L'amputation peut être feinte, via la mise en place d'un bandage autour d'un bras ou d'un pied. Il s'agit d'une forme de fétichisme, ou l'expression d'une forme de sadisme par procuration.
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Par : le 15/04/12
L'acrophilie repose sur l'excitation d'une personne par l'altitude (acro="point culminant"). L'excitation sexuelle peut être ressenti par certaines personnes pratiquant le saut à l'elastique ou le parachutisme : ces pratiques font vibrer, finalement, les mêmes "cordes" (c'est le cas de le dire) que celle du bondage : enserrage dans un harnais, suspension, vertige. Certain(e)s soumis(e)s ayant le vertige sont d'ailleurs parfois forcé par leur domina ou leur dom, a monter les yeux bandés sur une echelle. Par contre, l'acrophilie a tendance à s'épuiser au fil des expériences, car l'acoutumence à l'altitude diminue l'excitation.
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Par : le 14/04/12
L'acousticophilie concerne les personnes qui sont excitées sexuellement par les sons émis durant les actes sexuels. Ces sons peuvent être de tout ordre : grossieretés, chuchotement, cris, pleurs, halètements. Il peut s'agir plus simplements de musique. Une variante de l'acouticophilie constitue à s'enfoncer dans le vagin ou dans l'anus un objet vibrant au rythme des sons (musique ou paroles) du type haut parleur de casque, téléphone, baladeur pendant qu'il fonctionne. Les amateurs et amatrices certifient que cette pratique procurent des sensations troublantes et agréables.
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Par : le 13/04/12
L'abattage était une punition infligée par les souteneurs aux prostituées qui ne filaient pas droit. Il s'agissait de placer la prostituée dans les hôtels les plus sordides ou autres cabanes de chantiers pour les livrer à un grand nombre d'hommes, en proposant un tarif "symbolique" pour rendre la "séance" abordable au plus grand nombre. L'abattage était également un moyen d'exploiter les prostitués arrivant en fin de carrière et ayant perdu leurs charmes les plus vendeurs. Il existait à Paris des hôtels de passe qui étaient spécialisés dans ce "commerce". Dans les rapport de soumission/Domination, on considère l'abattage comme une preuve que la soumise (ou le soumis) sont dignes de leur Maître ou de leur Maîtresse dans la mesure où ils ou elles acceptent cet acte "intense".
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Par : le 10/04/12
La fessée est un châtiment corporel, une série de claques ou… …de coups administrés sur les fesses.Elle se donne uniquement avec la main, sans instrument, bien que l’on puisse utiliser parfois une planchette en bois ou un martifouet (mixe martinet/fouet).   L’usage de la fessée à l'égard des enfants est maintenant critiqué et certains pays interdisent d'ailleurs de fesser les enfants, considérant qu'il s'agit d'une forme de maltraitance. Dans d'autres pays, comme la France et les Etats-Unis, elle est légale, sauf si elle est excessive. Ce petit jeu entre adultes consentants a toujours été l'un des éléments des rituels érotiques les plus torrides. C’est une des pratiques sexuelles les plus anciennes et les plus répandues sans violence ni humiliation (ou peut être un peu des deux). Avec l’intervention d’un instrument, nous sommes dans une mise en scène qui ne relève plus de la fessée usuelle. Ce plaisir particulier serait un mélange de sensations fortes et troublantes mettant en question l’intimité profonde, le désir de soumission, de sévérité, de protection, le tout assaisonné de réminiscences d’enfance. Les zones érogènes se déchaînant sous la chaleur des frappes….La fessée est un excellent prémice à l’orgasme !! La fessée est quelque chose de gourmand. Alors pourquoi donc s’en priver ? Quels sont les blocages ? ….La sexualité féminine et masculine reste encore très complexe… Offrir notre derrière est juste une question de mise en situation, après à chacun et chacune de choisir la mise en situation qui lui correspondra (petites fessées de temps en temps pour la ou le réservé(e) à une joyeuse fessée punitive et insistante pour les plus accros avec différents scenarios de jeu possibles).   Rassurez-vous femmes bien en chair, au fessier bien ample, dodu, potelé (et tous les superlatifs adéquats), si vous êtes tentées par ce jeu mais complexée par la rondeur ou le rebondis de votre auguste fessier, dites vous que les « fesseurs » n’apprécient que les culs très rebondis. Ceci est aussi valable pour vous messieurs ! «  Les fessiers anorexiques et osseux n’ont que peu de chance d’intéresser un fesseur alors saisissez la vôtre. »
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Par : le 10/04/12
Le bondage qu’est ce que c’est ?(du verbe anglais to bind, lier).... Il s’agit d’une pratique érotique qui consiste à contraindre ses partenaires en leur liant le corps dans sa totalité ou en partie, le plus souvent à l'aide de cordes, ainsi que de scotch spécifique, lanières de cuir ou de plastique, chaînes, foulards, bandes de tissu …  aptent à exercer une immobilisation de la ou des partie(s) concernée(s). L'immobilisation totale n’est pas forcément la finalité de cette pratique. Le bondage ce n’est pas obligatoirement du SM, même si pour certains pratiquants il s’agit bel et bien d’un moyen plus que d’un but. Le bondage pratiqué par les puristes n’engage pas de postures de dominant/dominé mais est l’expression d’un art érotique en tant que tel. Au Japon, la pratique du bondage se nomme Shibari ou Kinbaku  et procède de traditions historiques et artistiques. Etre attaché peut être très agréable, on ne sent plus le poids de son corps, on se laisse aller entre les mains de l’autre et oubliant inhibitions et responsabilités on s’abandonne au plaisir de la contrainte. Pour l’attachant il y’a le plaisir de créer une sculpture humaine, de positionner l’autre pour un usage sexuel sans refus possible etc etc… Une séance peut durer quelques minutes ou plusieurs heures, question d’expérience et de tolérance . N’abusez pas, cela doit rester un jeu surtout si vous n’avez pas ou peu d’expérience. Comme tout bon artisan il est d’usage d’avoir les bons outils pour pratiquer correctement l’art du bondage. Pour un débutant le « bondage tape » peut s’avérer un bon début. Et si l’envie d’aller plus loin vous prend, achetez les bonnes cordes. Celles vendus dans les magasins de sport pour faire de l’escalade ou de l’alpinisme ne sont pas adaptées du tout. Elles peuvent même blesser et brûler si vous vous en servez!!! Pour le bondage il existe aujourd’hui de très bonnes cordes synthétiques assez douces et dans de multiples coloris. Pour le shibari ou bondage avec suspension, utilisez de préférence des cordes en matières naturelles : chanvre ou coton et si vous en trouvez des cordes de soie.  Quelques précautions d'usage incontournables : Le bondage doit être basé sur une forte relation de confiance entre la personne qui attache et la personne attachée. C’est une énorme responsabilité pour l’attachant, on lui fait confiance pour que tout se passe bien, à lui de mettre tout en œuvre pour honorer cette confiance et ne pas mettre la vie de l’attaché en péril. Ne jamais laissé seule une personne attachée et/ou baillonnée; Il ne faut jamais mettre une corde autours du cou de l’attaché, même sous surveillance, un accident arrive très vite et la mort accidentelle par étouffement encore plus ; Il faut toujours garder un ciseau opérationnel spécifique ou un couteau à portée de main ; Attention aux chutes ; Ne suspendez vos partenaires que si vous maitrisez l’art de la suspension ; Suspendre et attaché c’est bien si c’est fait avec de bonnes cordes : naturelles de préférence pour les suspensions ; N'utilisez jamais de nœuds coulants ; L’attaché a mal ? Les membres deviennent violets ? DETACHEZ le ou la, restez vigilant et soyez à l’écoute. Le B A BA : On a détaillé pour vous les 6 étapes de la fabrication de menottes en corde. La corde est en chanvre et d’un diamètre pas trop petit pour ne pas couper la peau. Les liens sont lâches. Regardez bien la photo 1 et les suivantes, les poignets de l’attachée ne se touchent pas laissant ainsi de la marge pour permettre de glisser les cordes entre eux dans les étapes suivantes.   Amusez vous bien !!! Lady Boudoir  
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