La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 12/01/16
La deuxième édition du Fucking switch a été interdite par Bdsm-mon-ami du fait d un article dévoilant sa véritable identité . Après des mois de refus de la censure , le comité de rédaction s incline et renonce à tout dévoiler sur le Baiseur De Salopes de Maîtres La prochaine édition à paraître : Tout sur la Domspace par Koi GMDCNNNT ! Verbe et soumission ! Humiliations verbales par Son ange le premier Soumis sans contrat ni safeword ! Domination à travers la parole , déclinaisons par Analogique, le seul switch qui a une bite à la place du stylo ! Eh oui la deuxième édition sera sérieuse , du faut de l exigence de Bdsm-mon-ami que Vlan01 soit rédacteur en chef Sous prétexte de sa thèse sur l Internationale Switchuationniste et de son prix Nobel de La Vérité pour ses découvertes archéologique sur l Ordre des Grands Maîtres et Grandes Maîtresses Dignes de Ce Nom de la Nuit Noire des Ténèbres (OGMGMDCNNNT). Sous prétexte , je dis ça je dis rien... À paraître prochainement la deuxième édition du ´Fucking Switch ! Le journal des Switchs Fuckers !!!
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Par : le 12/01/16
Il y a dans un fouet une singulière nonchalance teintée de sensualité, comme une inertie un peu floue; il s'étale avec mollesse, se déroule avec lenteur, se répand en attendant son heure. L'odeur du cuir, discrète, volatile, évanescente émane des tresses serrées jusqu'au plumeau léger du cracker qui nargue la victime consentante. Elle s'empare du fouet langoureusement, il fait partie d'elle maintenant. Elle le déploie devant elle, ils semblent danser ensemble devant l'homme immobile. Une grâce conjuguée, une énergie démultipliée... Dans sa main, cet indolent révèle sa toute puissance, il se réveille et emplit l'espace, majestueux. Il est comme une langue ou une tentacule qui va venir lécher la peau offerte, en douceur. Tantôt, elle l'enroule autour de la taille de sa proie, tantôt elle opère par petites touches, puis sans crier gare, son bras levé s'abaisse vivement et le fouet s'abat sèchement en zébrant la chair dans un claquement sonore. Elle peint par impressions sur le dos comme sur une toile, ou au couteau selon son inspiration; elle y laisse des traces longues et fines ou des points boursouflés, les impacts du cracker, qui semblent des piqures d'insecte ou d'ortie. Jusqu'à ce que l'homme demande grâce ou qu'elle le recueille contre elle, délaissant le fouet qui reprend son amorphisme premier...
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Par : le 12/01/16
<Suite> "Hhhmmmmmmmm, fait-elle en reposant le verre et posant la tête sur Son épaule. - Fatiguée?" Un signe de tête Lui répond, avec le sourire. Il lui rend une caresse "Ca a été intense, murmure-t-elle - J'ai senti ca, fait-Il en clin d'oeil". Profitant d'un petit moment de calme aprés les sensations, Il regarde autour de Lui. L'ambiance est un peu plus chaude. Un fouet claque au loin, tandis que, face à eux, d'autres couples s'adonnent au plaisir des cordes. La Croix reste vide, mais le trapèze a trouvé un occupant. Manifestement, il va ramasser.... Elle aussi dévisage la salle, calée contre Lui, dans Son bras. Son joyau. Sa place est à côté de Lui, symboliquement à Ses pieds, mais certainement pas par terre, comme ce soumis qui semble trouver le sol un peu sous sous genoux. Si elle doit être au sol, c'est forcément sur un coussin et pas piqué des vers. Un vrai coussin, moelleux, confortable. Elle est son Joyau, le diamant à l'abri dans son écrin à la hauteur de sa valeur, écrin qu'Il ouvre à sa guise pour permettre l'admiration, l'envie, mais aucun doigt ou autre n'y touche. Il aime qu'elle suscite l'admiration, même si sa première sensation est l'hostilité. En fin de compte, ca lui a plu que le type soit venu.... et qu'il se soit vite éclipsé. Porter un diamant se mérite. Personne n'a ce privilège. Pas touche à l'écrin Encore moins au Cailloux ! La femme qui les avait regardé tout particulièrement à côté de la Croix s'approche. A la tenue vestimentaire, elle connait le milieu et sait utiliser l'esthétique du latex. A priori, non hostile. "Bonsoir - Bonsoir, répondent-ils - Vous avez passé un sacré moment, tout à l'heure - Ho oui, répond-elle - Vous venez souvent ici ? - Non, c'est la première fois, répond-Il - Je viens de temps en temps; d'habitude, je suis avec ma soumise, mais elle n'a pas pu se libérer.... - Ha :/ - Vous avez une très belle soumise - Je vous remercie, répond-Il courtoisement, mais sentant un début d'hostilité, non sans fierté - Aimez-vous le bondage? - Oui, nous aimons tous les 2; vous pratiquez depuis longtemps ? - Depuis pas mal de temps, oui. Est-ce que vous voudriez que nous jouions tous les 3 ? " Il hésite. Même s'Il est là et que ce serait uniquement pour des cordes, leur passion commune, Il n'est pas enchanté. Même si c'est une femme; c'est une inconnue. Il se tourne vers sa soumise, lui murmure à l'oreille; laquelle hoche avec conditions. Quelques instants plus tard, le trio est dans une petite pièce qui contient une sorte de grand lit en cuir et d'une chaise. "Je vous propose de vous attacher en premier. Ma soumise pourra ainsi me voir à l'oeuvre. - Humm, d'accord, je n'ai pas trop l'habitude - Il suffit de fermer les yeux et de se laisser aller. J'utilise vos cordes ? - Oui, bien sûr" - Asseyez-vous sur la chaise" A ces mots, Il extirpe des cordes en chanvre de son sac, ainsi qu'un autre accessoire. L'odeur Lui plait. Il entame un motif qu'Il connait bien; la corde serpente du buste jusqu'aux pieds. Le motif est simple, mais il a son charme; les cordes sont bien tendues, et dessine un quadrillage de carré et de losanges. Quand le dernier noeud est serré, Il se retourne vers Sa soumise "Qu'en penses-tu ? - Il est bien fait - Y'a mieux, non ? - Il suffit de s'entrainer, mais celui-la, Vous le connaissez bien, vous pouvez en faire un autre. - Oui.... Je les réserve pour toi", se dirigeant vers elle. Puis se tournant, vers la Domina "Vous aimez?" - Merci - Pouvez-vous me détacher ? - Non, pas tout de suite - Pourquoi ? - C'est avec ma soumise que vous voulez jouer... - ... - Je vous libererai après. Soyez sage, sinon .... " Il s'éloigne en montrant le bâillon-boule qui était rangé avec les cordes. Rejoignant sa soumise, Il retire son corset pour libérer sa poitrine. Doucement, Il l'enferme dans ses cordes, qui serpentent de part et d'autres des seins, en dessous, les mettant en valeur. Puis, Il ligote ensemble ses coudes dans le dos. Le brin descend jusqu'aux poignets pour les immobiliser. Il regarde Ses oeuvres. Satisfait, Il embrasse Sa soumise sur le front et dépose une pince sur chaque téton. "S'il vous plait - Oui ? - C'est trés dur de rester comme ça devant vous.... Votre soumise est trop .... - Elle vous plait trop ? - Heuu, oui.... - Tant pis, fait-Il en se détournant" Prenant la tête de Sa soumise, Il l'approche de Son membre trés gonflé. Elle l’attrape aussitôt en bouche. Ils sont restés trés excités depuis la Croix, si bien qu'Il ne peut faire durer le Plaisir qu'elle Lui offre. "S'il vous plait ... C'est dur .... " N'écoutant pas ces gémissements, Il couche sur le côté sa soumise afin de la prendre en possession. Son intimité est aussi mouillée qu'Il est dur et Il ne lui faut qu'un mouvement pour s'enfoncer en elle. Elle ne peut retenir un cri de plaisir et un grand frisson la parcours. La vue de Sa soumise ligotée, offerte, à Lui, explose son plaisir. Le fait qu'il y est cette lesbienne ligotée qui ne peut assouvir son désir attise sa fierté. Cela ne semble pas Le laisser indifférent. C'est un étrange mélange de plaisir et de gêne qu'une autre paire d'yeux soit là. Serait-ce une nouvelle limite qu'Il testerait et qu'Il ferait aussi tester à Sa soumise ? Pour le moment, aucun mot de sécurité n'est prononcé; Il continue, elle est déjà en plein orgasme. Il ne tarde pas à faire de même..... Les corps s'étant détendus après de longues secondes de plaisir intense, Il détache doucement sa Douce, qui n'a toujours pas fini de voyager. Il la caresse tendrement, et l'embrasse sur le front. Enfin, Il la prend dans ses bras et la câline tout doucement.... Ils sont dans leur bulle, savourant chaque caresse, chaque câlin, chaque seconde de cet instant privilégié. Puis, se relevant, Il demande : " Ca va ? pas trop chaud ? " Elle est rouge, ligotée sur sa chaise. Elle ne répond pas, le regard teinté de reproche, de frustration, d'excitation est suffisamment expressif. "Vous ne m'en voulez pas ? Ma soumise et Moi ne nous prêtons pas. - Vous auriez pu me le dire dés le début - Ca a pimenté la soirée de manière imprévue, et vous avez connu une sensation qu'une soumise connait bien..., dit-il avec un sourire au coin - Il n’empêche, fait-elle agacée, mais ne pouvant cacher l'excitation qui est montée en elle" Le trio se sépare dans la salle. Vu le nombre de verre frais qu'elle boit et les yeux, Il se dit qu'elle n'est pas si perdante que ca au final. Mais Il préfère se tourner vers son Diamant, assise à ses côtés, les yeux encore plein d'émotion. Une caresse au visage, un regard puissamment amoureux entre les 2, puis, Il la prend dans Son bras, heureux, comblé....
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Par : le 12/01/16
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai compris qu'en toutes circonstances, J'étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que cela s'appelle… L'Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions. Aujourd'hui je sais que cela s'appelle… L'Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… La Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… Le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… L'Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé d'avoir peur du temps libre Et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime quand cela me plaît et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… La Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé de chercher à avoir toujours raison, Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert… L'Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois et cela s'appelle… La Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c'est… Le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles. Lu par Charlie Chaplin Texte : DE KIM & ALISON MC MILLEN
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Par : le 12/01/16
Voilà, ça fait 20 ans en cette période de Noël, ce n’est pas un hasard, Je fête mes vingt ans dans le BD²S²M. Où ma personnalité a mis un mot sur ce que je suis. Quatre ans que je suis sur ce site web il un an à peine lorsque je me suis inscrit. J’ai été une outre pleine et ce n’est pas un compliment. J’ai acquis de l’expérience ; beaucoup des certitudes ; trop. Il m’a fallu vider ma coupe pour continuer d’apprendre. Je n’ai pas « changé » car on ne change pas, en revanche on s’améliore. J’avais besoin de cette transition c’était pas « cool » pour ceux qui l’ont subit mais elle était nécessaire pour moi. Je ne regrette pas mon parcours, je ne regrette pas mon attitude, et je sais que vous lisez cela d’un regard paradoxal et c’est peut être difficile à comprendre. Je ne regrette rien car j’ai appris ; j’ai appris énormément et cet acte de contrition que je fais... Je l’accepte et le fais en toute humilité, ma colère déposée depuis plus de 15 ans déjà. Ma fureur évacuée il a plus de 6 ans. Ma « transformation » commencée il y a 2 ans et demi. Ce que mon cerveau s’avait déjà, mon cœur l’ignorait, ils n’étaient pas d’accord et je crois que bon nombre d’entre vous l’ont constaté. J’avais besoin de m’abaisser pour pouvoir m’élever à nouveau. Ma coupe était pleine, ma vanité mon orgueil sans commune mesure, Et je n’avais à mon sens pas d’autre possibilité que de les laisser exploser, dans des dégâts qu’on connait. (Pour ceux qui sont ici sur ce site depuis plus de 1 an, les autres ma mauvaise et très mauvaise réputation arrivera seule à vos oreilles) Je sais que je vais m’en prendre plein la G... Ce n’est pas grave j’accepte la vengeance la rancune la rage et la rancœur pour ce qu’elles sont, le mal que j’ai provoqué : je n’aime pas les citations mais ... « qui sème le vent... » et vous connaissez la suite alors ; « Ploie mais ne rompt pas » j’endurerai vos reproches vos réprimandes je les écouterai toutes sans m’en justifier sans y trouver d’excuses à redire. Et parce que l’exemple n’est pas la principale façon d’influencer les autres, C’est l’unique moyen ; Alors Je , courbe l’échine, parce que je suis un Dom, car je suis un D’hom. J’ai nombre d’excuses à présenter, je ne suis pas fier de mon comportement, Mais je n’ai pas honte de m’excuser. Prenez les pour sincères ou dites qu’elles sont hypocrites, faites en ce que vous voulez, Je vous les ai présentées, elles vous appartiennent désormais. Délicatement toujours, L.
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Par : le 11/01/16
<Suite> L'établissement dans lequel ils se rendent n'est pas à côté. Mais le voyage leur a paru tellement court. La joie, le bonheur, la fièvres des sensations précédentes, la perspectives des prochaines.... tous les ingrédients étaient réunis pour que le Temps passe vite... Les portes passées, l'ambiance à l'intérieur est plus calme qu'Il ne l'avait pensée, mais ce n'est que le début, il n'est pas si tard que ca... Prenant place sur un sofa, elle s'assied à côté de Lui, découvrant elle aussi les lieux du regard. Il repart aussitôt chercher 2 rafraichissements. "C'est calme.... mais je ne vois pas beaucoup d'autre personnes qui ont gout au fétiche ou au BDSM, fait-Il en se rasseyant - Ca ne va peut-être pas tarder, lui répond-elle en prenant le verre qu'Il lui tendait". Quelques couples passent dans la salle ou discutent entre eux, des personnes isolées sirotent au bar, ou font mine de découvrir aussi les lieux. L'ambiance est calme, timide.... Mais à y regarder de plus prés, ici, lui semble être un habitué : il est à l'aise et semble très bien connaitre ce groupe de 3 personnes. Une domina avec son soumis, partagent eux-aussi, leur verre, discrètement. A côté, un soumis visiblement en quête de sa Maitresse; et elle, Domina ? peut-être mais seule.... A la vue du nombre de mâles seuls ce soir, elle ne devrait pas avoir à se relever souvent pour remplir le verre qu'elle est en train de terminer.... La décoration est sans prétention mais explicite : une croix de St-André, un trépied pour faire de la suspension, quelques fouets entreposé sur ce barreau..... faisant lui-même partie d'un espalier; pas loin,un trapèze défit la gravité attendant le ou la soumise prochaine; enfin, le fauteuil orné d'accroches, d'anneaux ne serait pas passé inaperçu s'il n'était caché par ce couple... Finalement, cela ira très bien pour la suite de la soirée. C'est même parfait. Il a envie de tout, mais par quoi commencer ? Déjà, vider le verre... désespérément presque vide. En face d'eux, un couple, visiblement expérimenté se lance dans une démonstration de bondage suspendu. Prenant la main de sa soumise, Il assiste au spectacle en sa compagnie. Ce n’est pas la pratique qu'Il préfère le plus, mais cela reste un jeu de cordes, un jeu intime, personnel, très complice, de confiance, d'abandon, de possession, de tout ce qui fait qu'Ils sont unis l'un à l'autre. Pendant que les cordes serpentent autour du trépied et du corps de cette soumise, Il regarde la Sienne, se délectant aussi du spectacle. Il est rapide pour l'encorder et les gestes sont sûrs. Il maitrise, certes, mais cela manquerait un chouilla de sensualité. Ne perdant pas de vue ce tro dont l'un des membres ne touche plus le sol désormais, Il récupère de son sac 4 bracelets de cuir bien connus, utilisés quelques heures auparavant. Il les pose à nouveau sur Sa soumise. Encore un prétexte pour l'admirer à nouveau.... La démonstration touche à sa fin, elle a bien été ficelée et, il est vrai, c'est de l'art. La timidité de la salle semble s'effacer et d'autres couples s'approchent du trépied, tandis qu'un autre a pris possession du fauteuil, cordes à la main. L'envie est trés forte de se lever, mais sa timidité naturelle est diaboliquement forte, aussi. Il finit pour la 3e fois son même verre pour se décider à emmener sa soumise et au moment où Il repose son verre... "Bonsoir" Un inconnu. Pas du tout habillé en style BDSM. Seul de toute évidence Il la regarde avec trop d'intérêt Hostile. "Bonsoir, répond-Il - Comment allez-vous ?" - Ca va, répond-Il, fouillant dans son sac - Vous venez souvent ici ? C'est la première fois que je vous vois - On vient de loin - Vous verrez, il y a de quoi faire ici - Je n'en doute pas, le toise-t-Il aprés avoir fixé la laisse au collier de Sa soumise - Vous savez tout ce qu'il y a ici ? demande-t-il, la regardant intensément - On n'a pas encore fait le tour du propriétaire, mais J'irai avec elle le découvrir et - Venez, je vous y emmène. - J'ai tout mon temps, répond-Il fermement mais poliment" Et montrer ostensiblement la laisse dans Sa main ne laissait entrevoir aucune ambiguïté... Il n'aime guère ce genre d'individu qui s'imagine pote avec tout le monde.... et qui disparait aussi vite qu'il est venu sitôt qu'il a compris qu'il était de trop. "Bonsoir" Une inconnue Vétue d'un ensemble noir dans les tons fétichistes Elle les regarde tous les 2 avec un large sourire Non hostile "Bonsoir - Est-ce que c'est la première fois que vous venez ici ? Voulez-vous que je vous fasse visite ? - Avec grand plaisir, répond-il avec le sourire, cette fois." Elle devait être une employée, ou la patronne; c'est carrément un autre charme de se faire guider par un lourdaud. Le petit tour se termine au niveau de la Croix de St-André. Vide. C'est le moment.... mais cette fichue timidité.... Il la prend par les hanches, devant elle et la fait reculer contre la Croix. Puis, Ses mains remontent vers son visage et lui caressent les joues. Adossée à la Croix, Il lui dépose un baiser sur le front. Il se tient trés prés d'elle, lui bouchant la vue sur toute la selle depuis laquelle, Il imagine, tout le monde les regarde. Il est dans Sa bulle, avec elle. Doucement, Il saisit un poignet qu'Il monte au sommet et le fixe. Sa main prend son temps pour redescendre et, surtout, la caresser. Elle passe sur le visage et passe le relais à l'autre main qui emporte l'autre poignet vers le sommet. Elle redescend, pareil, sensuellement lentement. Saisissant à nouveau son visage, Il lui dépose un autre baiser et, sans quitter son regard, pose un bandeau. Prenant son temps, Ses mains descendent pour écarter les jambes et fixer les chevilles aux 2 extrémités de la Croix. Son coeur bat la chamade; un mélange d'excitation de ce qui reste à présager, de la vue de sa soumise entravée et offerte... et de la sensation d'avoir 10.000 regarde braqués sur Lui. Restant dans sa bulle, Il dégrafe le corset qu'Il tire vers le bas, délivrant 2 magnifiques seins. Tandis qu'Il en saisit le téton de l'un, Sa main s'occuper coquinement de l'autre. Les frissons ne tardent pas à venir, surtout quand Il décide de titiller son sexe, déjà bien humide. Jouant de toutes ces sensibilités, Il prend possession de sa bouche avec la Sienne lui offrant un langoureux baiser qu'Il prend plaisir à faire durer. Puis, repasse sur un téton bien durci par l'excitation, sans négliger l'autre. Ses doigts naviguent entre l'un et l'autre, faisant escale sur le sexe de temps à autre. Elle lâche des gémissement de plus en plus prononcés, ondulant d'avantage son corps, effrontément si désirable. Dans une autre situation, Il lui aurait déjà sauté dessus. Mais dans l'immédiat, Il s'applique à jouer avec ce plaisir qui monte inexorablement, cet orgasme qui n'est plus bien loin. Mais surtout, Il joue d'elle, de son Corps offert, de cet abandon qu'elle Lui donne. Il jouit de ce moment si particulier et si puissant à la fois d'exprimer sa Domination, son Emprise. Cette sensuelle Force, cette douce torture, qui l'emmène voyager est la Sienne, rien que pour Elle, sa soumise. Le regard rivé vers sa bouche entrouverte de Plaisir, Il jongle, titillant d'avantage le téton droit, délaissant le clitoris un moment avant de revenir à pleine charge sur lui, arrachant une gracieuse et érotique ondulation de sa soumise. Quelle liberté et jouissance d'être entravée ainsi offerte à Ses doigts et à sa bouche, se laissant balloter d'un plaisir à un autre, son voyage doit être magnifique et il n'y, justement, pas de limites pour cela. Décidé à la faire voyager la plus insensément possible et à en profiter, Il lui loge un bâillon-boule qu'Il serre fermement et reprend ses caresses. Surtout, Il s’attarde longuement sur son sexe mouillé d'excitation. Il passe ainsi la main sous sa jupe, si bien que personne ne peut voir Son intimité. C'est voulu. N'est pas partageur. Mais Il sent, Il voit malgré tout du coin de l’œil que quelques personnes les regarde. Il sent de l'intérêt, de l'amusement, mais cette femme à côté semble être plus intéressée que les autres. Qu'importe. Il continue encore plus fermement Ses caresses; elle est proche de l'explosion, elle ondule comme ce n'est pas permis au rythme des gémissements. Elle semble vouloir s'échapper, mais le Désir lui empêcherait d'aller si loin, préférant subir cette torture que de lui échapper. Elle crie de bonheur, se lâchant grâce au bâillon et pour le plaisir de son Maitre. Son corps ondule, elle crie, gémit, son corps est chaud de Désir, mais la jouissance ne vient pas. Il fait durer. La récompense sera d'autant meilleure. Doucement, Il ralentit ses caresses qui deviennent douces et sensuelles. Elle se calme, mais haletante. Il lui remet son corset et, rapidement, la détache de la Croix. Tandis qu'Il l'embrasse à nouveau sur la bouche, Il lui retire son bandeau et la laisse reprendre ses esprits. Il ne lui pas beaucoup de répit avant qu'Il ne lui attache les poignets par devant et qu'Il remette la laisse, la gardant bâillonnée. C'est en se dirigeant vers le sofa qu'Il constate que quelque personnes les regardaient avec une envie certaine, ou de la curiosité coquine. Il la fait asseoir à côté de Lui, retire son bâillon et lui tend un verre d'eau fraiche. Une pause méritée avant la suite de la soirée.....
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Par : le 11/01/16
« Bon WE - Bon WE » C'était le coup de fil qui aurait pu être de trop. De toutes manières, les emmerdes ont toujours lieu au moment de partir quand on se décide à mettre les voiles à une heure raisonnable pour file vers un WE sympa. Le PC éteint, le bureau rang.... heuu.. remis à peu prés en ordre, le sac à dos au dos et c'est enfin la délivrance. La nuit commence à tomber dehors, il menace de pleuvoir ; c'est d'autant plus motivant pour pédaler rapidement afin de ne pas louper le train. A peu de choses près, c'est son quotidien . La soirée qu'il a prévu s'annonce délicieuse, mais personne ne le sait.... Il la retrouve chez eux, seuls, autour d'un petit apéro pris à l'improviste, mais bien mérité. Puis, prétextant d'être trempé (ce qui n'était pas totalement faux), il repose son verre. « Je file à la douche, accompagne-moi. - Non, fait-elle sourire aux lèvres - Allons, tu auras droit à un massage des pieds plus tard que prévu, voir pas du tout » Elle se lève ; ce petit cadeau qu'il lui propose est un moment agréable, de détente, de relaxation et de sensations aussi. Un petit bonheur à partager à 2 en perspective. Mais autant offrir ce massage est un réel plaisir, autant entendre un 'non' quand il s'agit de s'offrir un moment agréable, même quand c'est dit sur le ton de la plaisanterie, est une chose à laquelle il a du mal. L'eau ruisselle chaudement sur sa peau. Un peu bonheur, ca aussi. Alors qu'il commençait à appliquer le savon, voilà qu'une autre main se pose sur son dos, lui provoquant un frisson. Il se laisse faire, envoûté par cette délicate tendresse. C'est un autre moment intime et complice qu'ils ont ; la soirée s’annonce meilleure que prévu. Quant à la punition qu'il avait envisagé pour corriger ce 'non', elle semble déjà bien loin. Habitué à des douches expéditives, il laisse à ces 2 mains le temps qu'il leur faut pour caresser sa peau, passer sur toute la surface, la masser délicatement..... Enfin, aprés de longues et agréables minutes passées sous cette eau chaude et ces mains magiques, il s'apprête à échanger les rôles. « Je préfère un bain - Ok, mais n'oublie pas que tu as un massage qui t'attend, fait-il avec un clin d'oeil - Je ne vais pas l'oublier, répond-elle avec le sourire » Dans un sens, tant mieux, ca laisse du temps pour fignoler les préparatifs... et finir ce verre d'apéro:p Au moment où elle rentre dans la chambre, Il lui barre le chemin et prend sa tête dans ses mains. Lui posant un baiser sur les lèvres, Il lui murmure « Ce soir, c'est ma soumise qui est entre mes mains » Joignant le geste à la parole, Il lui appose un bandeau sur les yeux et la fait asseoir sur le lit. Elle ne dit mot et se laisse faire quand Il pose le collier de cuir autour de son cou, qu'Il a préalablement embrassé. Puis, Il enchaîne en fixant un bracelet de cuir à l'un de ses poignets, et habillant l'autre du même apparat. Enfin, les 2 sont rejoints au niveau du cou et attachés au collier ; Sans un mot, Il la fait basculer sur le dos et caresse son pied. Le massage tant attendu... Ses 2 mains parcourent ces pieds offerts qui ne tardent pas à réagir à cet instant de plaisir. Les gémissements accompagnants leur danse de béatitude. Entre les orteils, par dessus, puis en dessous, aucun recoin n'échappe à Son doigt, caressant toute la peau, serrant le pied ou le tendant. Le plaisir monte de cette gestuelle agréable et douce. Il monte, décrochant quelques soupirs par-ci, par-là. Un moment tout simple, mais magique. Elle est détendue, offerte à ces caresses, pratiquement déjà en train de Voyager.... Une petite escale est effectuée quand Il retire Ses mains et revenir avec un tissus léger et très fin. Ce tissus s'enroule autour de sa jambe et il monte jusqu'à la cuisse. L'autre jambe est ainsi habillée de la manière dans la foulée, mais avec la même tendresse. Puis, un tissus tout aussi fin et agréable entoure délicatement sa taille. Il est accroché au bas par d'autres bandes de tissus Soudain, Il s'accapare de sa bouche, plongeant délicatement mais fermement Sa langue plonge entre ses lèvres pour les déguster, tranquillement. Quand Il se retire après ce long baiser, c'est pour être remplacé par une boule serrée fortement par des lanières. Lui caressant encore la joue après l'avoir ainsi bâillonnée, Il continue d'habiller sa soumise en sublimant ses pieds, fraîchement massés, par une petite paire de talons hauts. D’après ses sensations, ce serait la première paire qu'elle ait reçu de Lui en cadeau. Sa main caresse à nouveau ses pieds, délicieusement enfermés, et remonte le long de cette jambe, passe rapidement à côté du Puit des Désirs et Plaisirs et s'arrête sur un de ses seins. Il prend le temps de le savourer, titillant ce téton qui durcit plus vite qu'il ne le faut, le massant, puis passant à l'autre sein pour lui offrir le même plaisir. Puis, après lui avoir détaché les mains, Il lui ordonne de lever les bras. Un corset descend le long de ses bras, enfermant tout son buste. Un autre moment qu'Il affectionne, c'est quand Il sert ce corset.... Cette prison de séduction, à la fois glamour et classe est aussi la même marque d'appartenance quand Il lui attache son collier. Se hâtant, les ficelles se resserrent en un beau nœud, sublimant ce Corps de sa soumise. Encore différent des cordes qu'ils affectionnent, ce corset est la touche glamour de sa Fierté. Quand il eut finit de l'habiller, Il lui retire son bâillon pour offrir son sexe très dur. Pendant qu'elle le prend en bouche délicatement, Il lui dit : « Nous allons en soirée après. Un peu de route à faire et nous pourrons jouer avec les cordes et tester un peu de mobilier ...» Elle s'applique. « Voir du monde du milieu sera excellent » Elle déguste Sa queue. « Tu vas être magnifique, ma soumise. » Sa langue parcourt avec gourmandise tout le long de Son sexe « Des cordes, le martinet, la cravache. J'espère qu'il y aura un fouet comme l'autre fois. Tu avais été exceptionnelle ce soir-là. J'en ai encore des frissons » Sa queue est un délice qu'elle engloutit « On part quand je me serai bien occupé de toi » A ces mots, Il lui remet le bâillon en bouche et, écartant ses jambes « Tu vas pouvoir crier. Maintenant comme tout à l'heure ! » Sa queue plonge aussitôt dans son sexe bien trempé, provoquant un torrent de gémissements de plus en plus fort à mesure qu'Il prend possession d'elle. Les allers-retour sont forts et rapides. Il se saisit de sa jambe droite qu'Il pose sur son épaule déclenchant illico des longs cris étouffés de plaisir. Des plaintes de bonheur s'élèvent au rythmes des spasmes et des coups de butoir. Il ne lui laisse aucun répit pendant cette torture de Bonheur. Les sensation les submergent, contrastant avec la tendresse des autres instants, c'est tout une exquise brutalité qui les unit, dans cette pièce embaumée par une forte agréable odeur de sexe. Le moment de l'extase arrive très vite, se délivrant de tous ces jets brûlants d'amour en elle. Revenant peu à peu à Lui, Il se retire et délivre sa soumise pour la laisser, elle aussi, récupérer. « Tu as bien voyagé ? - Ouiiiiiiii, murmure-elle - Ce n'est que le début, fait-il ». Le gémissement de plaisir est sa seule réponse avec ce doux sourire de bonheur qu'elle porte aux lèvres. Tout en savourant ce moment, elle sent qu'Il termine de l'habiller avec une longue jupe noire. Il la regarde ; Il ne se lasse pas d'admirer son Amour, sa Fierté, magnifique. Il se prépare lui aussi après avoir enchaîné à nouveau sa soumise, juste pour le plaisir de la voir ainsi séquestrée, pour Lui. Il prend son temps, déposant par moment un baiser ci et là, et la délivre à la fin. Bras dessus et dessous, ils partent pour cette soirée, continuant cette nuit d'exception, qui est une autre histoire à suivre ….
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Par : le 10/01/16
«Ambre, ohooo Ambre!!!» entend t'elle soudain dans son dos. Et de voir se mettre à presser le pas pour les rattraper, une de ses connaissances bretonnes, veuve du regretté notaire de son village. Cette rencontre la dérange, et elle lit le même sentiment dans les yeux de son soumis, mais ne lui déplait pas complètement. Elle a parfois perçu un certain sentiment de supériorité dans le comportement de celle qui approche et qui porte manteau de fourrure en hiver et collier de perles toute l'année. Voici peut-être une belle occasion est de remettre aujourd'hui les choses à leur place. «Bonjour Agathe, vous voilà bien loin de chez vous, que venez vous donc chercher ici?» demande t'elle tout à trac, un brin de malice dans la voix. Les joues brutalement rougies d'un fard monstrueux témoignant que la question a fait mouche, la veuve du notaire reste sans voix pendant un court moment. Avant de s'inventer une vieille cousine en fin de vie, à visiter d'urgence au Couedic. «Moi, j'aime cet endroit» lui répond Madame, en ajoutant «… on y sent l'odeur du large, la puissance de la nature et on y fait aussi de belles rencontres masculines». Second fard d'envergure chez Agathe, qui regarde maintenant l'homme resté silencieux avec un intérêt nouveau. Elle remarque immédiatement le collier qu'il porte au cou et cela semble d'un seul coup l'intéresser énormément. Ainsi donc cette petite Madame un peu sauvage et réservée, au rire franc et communicatif, serait elle finalement plus délurée et entreprenante qu'elle ne le montre. Se serait elle totalement trompé sur son compte en la rangeant dans la catégorie des célibataires indécrottables et frustrées! Madame jubile et lit à livre ouvert tous les sentiments qui se succèdent sur le visage d'Agathe. Et elle décide de pousser cruellement son avantage et dit en la tutoyant: «Je te présente L, l'un de mes plus fidèles soumis. Il est très obéissant et commence enfin à savoir me donner du plaisir comme j'aime ». Troisième fard d'affilée chez la veuve, totalement désarçonnée par cette franchise imprévue et insolente. Et d'encaisser dans la foulée l'estocade finale, lorsque Madame la prend par le bras et lui propose de les accompagner jusqu'à l'extrémité de la plage maintenant toute proche. «Pourquoi pas!» murmure une petite voix brisée, ayant dorénavant perdu toute suffisance mal placée. Plongeant alors la main dans la seconde poche du blouson de Laurenzo, Madame en sort la laisse qu'elle fixe à son collier et dont elle dépose l'autre extrémité entre les mains d'Agathe. Celle-ci n'ose pas refuser et voici marchant sur la plage, cet étrange équipage de deux femmes se tenant bras dessus bras dessous, suivies de près par un homme tenu en laisse. «Ton dernier homme, c'était il y a combien de temps?» demande Madame à sa nouvelle amie, dont elle sent qu'elle lui obéira maintenant au doigt et à l'oeil sans discuter. Agathe manque s'étrangler en entendant la question et aucun mot cohérent ne parvient à sortir de sa bouche. Madame sourit de son embarras, puis accentue la pression sur son bras, lui faisant comprendre qu'elle veut bien la garder encore un peu auprès d'elle et lui faire un petit cadeau. Dans le bois de pins Quoique silencieux, L est lui aussi un peu déstabilisé par la tournure que prennent les événements. Il avait prévu d'être seul au service de sa Maitresse et le voici maintenant obligé de supporter la compagnie de cette greluche. Dans ses rêves secrets, il a certes déjà imaginer que sa Maîtresse puisse un jour lui imposer de prendre soin de l'une de ses amies. Il était d'ailleurs fort excité l'autre jour lorsque celle-ci a bien voulu lui présenter une voisine, son collier de soumis porté bien en évidence. Et cela s'est produit de nouveau lorsqu'elle est venue en fin de journée prendre l'apéritif avec son mari. Mais cette fois l'affaire est sérieuse et le profil anguleux, plutôt revêche et suffisant, qu'il voit devant lui ne le séduit pas vraiment et le laisse sexuellement totalement indifférent. De plus, la façon dont sa laisse se tend parfois de manière subite lui laisse à penser que la veuve reprend des couleurs et de l'assurance et qu'elle va bientôt devenir redoutable. Seul le popotin gigantesque qui chaloupe là devant lui, trouve grâce à ses yeus et il s'imagine un instant partir à sa découverte, explorer hauts sommets et ses vallées secrètes, humer ses parfums délicats et subtils. Souriante et détendue, Madame a parfaitement senti ce qui se tramait et lance: «Ma chère Agathe, que diriez vous de faire un peu plus connaissance avec mon soumis préféré?» Et sans attendre la réponse, elle fait signe à L de se tourner vers elle puis frôle d'une paume légère ses tétons qui pointent à travers le tissu de sa chemise. La réaction est immédiate et le bassin du soumis se porte spontanément en avant. Et les deux femmes entendent distinctement un petit tintement métallique. «A vous ma chère, jouez donc un peu avec cet homme sensible et délicat,plein de ressources cachées» dit elle en s'asseyant sur un tronc d'arbre couché pour regarder la scène. A SUIVRE
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Par : le 10/01/16
Le fouet clac A genoux devant son MaÏtre Le maître lui pose doucement la cagoule Les poignets menottés L'attache à leur arbre. Le fouet clac. Dévêtue elle est là.. Ses fermes fesses offertes. Reins cambré Le fouet clac. Sans plus voir, Les sens ouverts L'ouïe à l'extrême L’odorat en éveille Elle cherche le Maître Son Maître. Le fouet clac L'herbe se froisse Les feuilles les branches craquent Sous les pas du Maître Le fouet clac Les mains du Maître se posent, Sur ses reins, Ses fesses ferme et craintive pour " une fessée " pense t elle..! Le fouet clac. Attentif au frémissement Le Maître fait silence Le vent vient caresser ses reins Comme il fait frissonner les feuilles Le corps de soumise ce cabre Le fouet clac L'embout mord la peau Effleure les chaires Embrasse les fesses En de vif mouvement du poignet du Maître Le fouet clac Rougie la blanche peau Les gémissements sont doux N'expriment que le plaisir qui naît La jouissance monte Et remplace que qui fut morsures En une douce douleur Le fouet clac Le Maître attentif, écoute, Les petits râles Les petits gémissements Les petites suppliques De jouissance qui sortent Du fond corps de soumise Le fouet clac La peur La crainte L'angoisse Remplacés pas le désir Le corps ce cabre Se tend vers le fouet Cherche et attend ce dernier Avec désirs Avec envie. Le fouet clac Maître de son poignet Maîtrise son fouet Pour le faire aimer Soumise à découvert Comment vaincre ses peurs Le fouet clac Né maintenant la confiance En son Maître Le fouet se tait Les mains entour Les belles fesses rondes Rougie, rosie Un doux et ferme massage Repartie la chaleur Les rougeurs Le membre du Maître se pose Sur la fente humide Les Mains du Maître S’accrochent aux hanches de Soumise Le Maître tire fortement Soumise à LUI Et s'enfonce dans les Abysses Chaudes et trempés de Soumise Le Maître possède Soumise maintenant Longue est la saillie Le Maître ensemence Soumise Le Maître est satisfait Soumise libéré viens ce blottir contre son Maître Le corps tremblant De plaisir du solde de sa jouissance Le Maître s'inquiète de la douleur Soumise le rassure de son plaisir reçu le maître tendre calme la jouissance de soumise le fouet est rangé il sommeil maintenant. Première séance de fouet de ma soumise en foret . Maître-C78
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Par : le 08/01/16
Quand il me demande de le toucher, de le faire durcir, de procéder comme une putain, il devient client et je suis à son service. Oui mais... J'aime griffer le tissu un peu rêche du jean, entendre le crissement de mes doigts, de mes ongles, c'est un bruit qui agace les nerfs, c'est ma condition de femelle. Puis détacher la ceinture, la faire glisser, descendre la fermeture éclair, doucement, en le regardant dans les yeux. Ecouter le son flûté du zip, en caressant l'air de rien. Le regarder avec nonchalance, indolence, provocation. Se mordre les lèvres et saliver, en saisissant son pénis, encore un peu engourdi ou à l'inverse largement déployé. L'enserrer délicatement, et longer la ligne directrice jusqu'au gland qui palpite doucement dans la main. Appuyer un peu sur le frein et juger de l'effet produit. Enduire de salive, au besoin cracher et lisant le plaisir jubilatoire dans son regard. Et commencer à aller et venir, tranquillement, effrontément ou docilement, c'est selon. Se retenir d'y porter la bouche et poursuivre en accélérant. Humidifer à nouveau, en approchant son visage de l'objet convoité. Faire mine de... Mais non. Reprendre l'activité manuelle avec un regard en coin. S'opérant un changement insidieux: la sensation de prendre le pouvoir sur lui, de maîtriser son plaisir, de jouer avec lui. Inversion des rôles. Se sentir plus garce que putain. Il le sent, il le sait, il le lit dans mon regard;les représailles viendront en leur temps. L'astiquer jusqu'à le faire gicler entre les doigts, avec un dernier massage pour calmer les soubresauts, lui offrir ce dernier plaisir lentement prodigué, le garder au chaud dans la main refermée. Savourer cette ambivalence du plaisir qui se prolonge, du plaisir qui se termine, de cette prise de pouvoir inopinée et assumée mais qui risque de provoquer un retour de bâton cuisant...
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Par : le 06/01/16
C'est sur une longue plage de sable fin, qu'elle lui a donné rendez vous. Il est encore un peu tôt en saison pour y surprendre là comme en plein été, sous le couvert des grands pins bordant le littoral, des couples en pleine copulation ou des mâles souvent agés, désoeuvrés et en rut. Mais retrouver cet endroit qu'elle affectionne après la longueur froide et humide de l'hiver la met en joie et fait aussi remonter dans sa mémoire des moments intenses et fort agréables. L'été prochain, à n'en pas douter, elle étendra à nouveau sa serviette sur la dune et se libérera de tous ses vêtements. Sa peau blanche attirera les rayons du soleil et il lui faudra d'ailleurs veiller à ne pas oublier de la protéger. Elle attirera aussi les regards et certains mâles n'hésiteront pas à dire en silence et par gestes leur désir pressant pour ses rondeurs délicates. Et il grandira certainement encore lorsqu'elle s'allongera sur le sable, écartant ses cuisses généreuses juste ce qu'il faut. Du côté des femmes présentes sur la plage, certaines prendront un air courroucé, jetant un oeil inquiet vers leur compagnon et la direction de son regard. D'autres trouveront la scène amusante, se demandant lequel de ces hommes osera le premier s'approcher d'elle et tenter sa chance. Sur sa serviette, Madame jubile de la situation et sent déjà une étrange chaleur l'envahir. Peut-être le soleil y est-il pour quelque chose, mais elle connaît bien le langage de son corps et sait que ce sont rudesses et caresses qu'il réclame. A la fois soumise et dominante, elle navigue avec bonheur entre ces deux rives. Le spectacle d'un homme soumis à ses pieds la ravit, tout comme la voix autoritaire d'un Maître qui lui demande de montrer son cul en tenant ses fesses écartées pour une inspection détaillée. Elle aime donner et recevoir, caresser et punir, avec un même plaisir. Son ventre, ses sens, sa tête réclament tout à la fois. Parfois le rôle de la domina qui doit inventer pour deux l'agace et l'épuise. Et elle trouve alors dans la soumission qu'elle accorde à quelques uns, le calme et la paix intérieure auxquels elle aspire. Mais Madame est d'abord et avant tout une gourmande de la vie, qui aime les hommages vigoureux et endurants. Aujourd'hui elle est cependant un peu inquiète. Dans quel état va t'elle trouver l'homme qu'elle attend! Outre le fait qu'il n'est plus tout à fait le jeune étalon fougueux que ses sens réclament, elle se demande si leur complicité d'hier saura trouver de nouvelles façons de s'affranchir de ses problèmes de santé actuels. Sur la plage, le vent est tombé. On devine dans le lointain la silhouette d'un petit groupe de personnes qui avance vers la Turballe. Le temps paraît comme suspendu, tout est calme et reposé. Et Madame est heureuse de tout cela. Une douce chaleur Plongée dans ses pensées, elle sursaute presque lorsque la main amie attendue se pose sur son épaule. Sans se retourner, elle cambre légèrement les fesses et se plaque doucement contre lui. Pendant de longues minutes, ils vont rester ainsi, silencieux et pensifs devant le spectacle immuable de cet océan en perpétuelle activité. Calant son rythme sur le mouvement régulier des vagues qui explosent en écume devant elle, Madame sent vite s'éveiller contre ses fesses la raideur plaisante d'un membre masculin. Poursuivant son manège, elle y imprime parfois un mouvement plus vif vers l'arrière qui, manifestement, ne laisse pas indifférent. Et puis, toujours sans un mot, elle glisse une main dans la poche du blouson de son visiteur du soir et en sort un joli collier de cuir noir. Se retournant alors, elle lui sourit, caresse furtivement sa poitrine dont la dureté des tétons déjà fort excités la surprend, puis fixe autour de son cou ce symbole élégant d'une soumission consentie. Entre ses jambes, une douce chaleur commence à se faire sentir. La voilà totalement rassurée pour la suite de la soirée, l'homme debout devant elle est là pour la servir et sa virilité est bien au rendez vous pour la satisfaire de toutes les façons possibles. Dans l'autre poche du blouson, elle sait la présence d'une laisse dont elle décide de repousser l'usage à plus tard. La fraîcheur du soir commence à se faire sentir et, toujours sans un mot, ils marchent maintenant vers le couvert protecteur de la forêt de pins bordant la plage. Souvent déjà, elle y a attiré des hommes rencontrés sur la plage pour une étreinte sauvage et rapide. Et aujourd'hui encore, elle est heureuse de s'y rendre, savourant par avance les délicieuses attentions dont elle va être l'objet. Elle est aussi très curieuse de prendre la mesure de la soumission croissante dans laquelle s'est engagée son visiteur. Elle sait déjà qu'il a en permanence entre les jambes une belle et large bague d'argent massif, mis en place en signe d'appartenance. Et elle veut aussi savoir à quoi ressemble le lourd et massif anneau d'acier qu'il porte également depuis quelques semaines et quels en sont les premiers effets. Sentir battre contre ses fesses, les couilles du mâle qui la prend est agréable et plaisant. Les sentir plus longues et lourdement lestées doit certainement provoquer de nouvelles sensations, fort intéressantes à tester. A SUIVRE
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Par : le 05/01/16
voilà 7 mois un monde nouveau se révélait à moi , celui de mon "Moi" profond celui de "Soumis" Depuis plusieurs années lors de rencontre au fil de la vie, je côtoyais le monde D/s sans savoir qui j'étais. Puis au mois de juin dernier , discutant avec un de mes amis Dominant dans sa nature, et dans son couple, celui ci me dit: " ne serais tu pas en fait un soumis? " cela me travailla et venant sur le site de BDSM que je découvrais , je créais un profil de soumis, dévoilant qui j'étais et exprimant ma volonté de me soumettre à une Domina ,mes contraintes personnelles, non pas une folle du fouet, non pas une professionnelle mais une Maîtresse capable de me conduire et de m'éduquer pour me permettre de me révéler à moi-même. C'est là que prenant contact avec des Dames au profil plus intellectuelles que physiques , je rentrais en relation par messagerie avec Maîtresse Sarah. Nos échangeâmes beaucoup alors sur nos désirs respectifs, et je pénétrais un monde qui alors m'étais en réalité totalement inconnu.J'avais soif d'apprendre , mais en même temps étant depuis si longtemps dans cette construction de mon "être" cela sonna comme une évidence pour tous les deux ; que Maîtresse Sarah pouvait me conduire vers elle et ma soumission à son endroit. Ni une ni deux , rendez vous fut pris et je rencontrais alors pour la 1 ere fois ma Domina qui en plus de l’intellectuelle, avait le physique et qui sut dés le début créer l’atmosphère idéal pour une rencontre qui allait être ma "Naissance". Permettez moi de gardez pour nous le récit de ce moment mais sachez que je découvris ce que le lâcher prise était effectivement . Maîtresse Sarah, dés le début m'avait prévenu que sa carrière professionnelle pouvait évoluer et quelle pourrait être amené à quitter la région. Mais sentant chez moi un tel besoin de m'abandonner elle accepta de me conduire. Nos échanges quotidiens nous permettaient de vivre même à distance une vraie relation et deux mois plus tard nous nous rencontrions à nouveaux. Et là ce fut encore plus fort. Mais effectivement Madame du s'éloigner de la région , et nos rencontres étaient compliquées. malgré tout , elle vint sur Bordeaux et nous passâmes une excellente soirée en compagnie de mon ami Dominant.Un souvenir mémorable! Depuis plusieurs semaines , étant repartie loin de moi, nous continuâmes à échanger quotidiennement, mais l'un et l'autre savions au fond que ce type de relation passe aussi par le physique surtout quand c'est une construction. Voilà pourquoi , Maîtresse Sarah a décidé et je lui en suis gréé , de me libérer de ce collier quelle m'a fait porter par 2 fois signe de ma soumission à son égard et de sa domination Merci à vous Madame Aujourd’hui orphelin ou célibataire comme vous voulez ,sans collier, surement , je cherche une Domina qui accepterai de reprendre ce rôle d'éducatrice envers le soumis que je suis , qui à soif d'apprendre. Je suis un cérébral, Oui mais pas que!! J'ai besoin aussi de me donner à une Dame qui voudrait vivre dans un échange ou à la fois je lui donnerai ce qui lui revient de Droit parce quelle est une Femme et ce que je pourrais recevoir car je recevrais ses désirs. Comme je disais plutôt les pro et les folles du fouet (il n'y a pas que ça dans la vie!!) passez votre chemin, je ne cherche pas ce type de relation et de toute façon je ne me donnerai pas à la juste mesure de mes moyens . De la même façon je n'ai pas une âme d'esclave, mon coté taquin est une partie de moi,mais toujours respectueux de part ma position et de celle de la" Femme" , feront que notre relation ne pourra être qu'une relation d'échange ou chacun fera grandir l'autre et ou j'ai besoin de me donner ou plutôt de m'abandonner. J'ai perdu ma Domina , mais je conserve l’éducation quelle m'a donné avec la personnalité de chacun et je l'en remercie. Alors Madame qui lisez ce témoignage et ,vous , qui trouvez une sincérité peut être puérile mais si véridique, n'hésitez pas à me contacter pour échanger mais de grâce, n'habitez pas à 500 km !!!
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Par : le 05/01/16
Résultat de nos séparations. Quand il me transperce et me lacère Quand la douleur provoquée m’étreint jusqu’aux entrailles Quand tenaillée par le mal je perds mes repères Quand agenouillée j’implore qu’il s’en aille Il s’insinue plus profondément encore Pour lacérer plus intensément mon corps Il dévore mon âme, sans tenir compte de mes larmes Il sait que je suis démunie et sans arme Ennemi intime qui jouit de ma détresse C’est sans aucun remord et sans cesse Qu’il m’envahit et s’insinue M’emportant bien loin des nues Me plongeant dans un profond désespoir Au fond duquel la lumière ne peut s’apercevoir Étouffée par son emprise Face à lui cependant je serai insoumise ! Armé de la certitude que le temps est son allié Il ignore tout de la volonté que je vais déployer Pour lui résister et le combattre Avec l’aide de mon Maître je suis armée Prête à lui faire face, il ne pourra m’abattre Toute sa stratégie tient en 6 lettres Tout comme le mot Maître Ce qu’il ne pouvait ni le déceler ni anticiper C’est la force insufflée par le choix que j’ai fait De patience et d’attente est bâtie ma soumission Pas à pas c’est construite cette profonde relation L’intensité qui depuis des mois s’est installée A elle seule me donne la puissance de lui résister Le rouge désormais restera ma couleur préférée Alors, noir perd et MANQUE…..
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Par : le 04/01/16
Allez un peu de sémantique : "Mariage pour tous" Mariage ; Le mariage mode d'organisation de la conjugalité. On parle bien de "conjoint" dans le mariage ET "homosexuel" Mariage dans le but de fonder un foyer (faire des enfants on y reviendra) Conjoint : « État de conjoint ; vie conjugale », (thème du mariage super) dans le domaine du droit et de la sociologie, elle désigne l'état d'un couple. Super il faut être DEUX pour faire un couple. Un homme une femme, une femme une femme, et même DEUX hommes. (non ça ne fait pas SIX arrêtez de chipoter et suivez un peu) Couple (mariage pas en mécanique Newtonienne) : Un couple, en sociologie deux personnes liées par une volonté de former une communauté matérielle et affective, potentiellement concrétisée par une relation sexuelle. Un légionnaire et une chèvre, Une bourgeoise et son doberman. Plus sérieusement : Accouplement : désigne le rapprochement de deux individus sexuellement complémentaires aboutissant à une reproduction sexuée. Exit la chèvre et le doberman… Et les couples « homosexuels ». Donc le mariage pour tous est un oxymore. CQFD. L. Références honteusement volées sur Wikipédia.
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Par : le 04/01/16
Le Loup et le Chien Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le Mâtin était de taille A se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. "Il ne tiendra qu'à vous beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, haires, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée : Tout à la pointe de l'épée. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. " Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ? - Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son Maître complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons : Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse. " Le Loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé. "Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. " Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.
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Par : le 02/01/16
Il a été convenu comme rendez-vous 18h00...Vous êtes à l'heure et comme indiqué Votre paquetage au dos …. J' aurais pensé à un sac tout simple presque un sac en toile épais façon père noel mais mon idée de départ était erronée, une simple petite valise portative ! Vous sonnez et entrez, je Vous fait visiter mon petit chez moi , mon petit nid douillet. On s'installe au salon où on discute un moment de diverses choses, de ce qu'on a déjà discuter, de nos échanges, ceci autour d'une bière …. ( Légère et avec modération pour ce qui sera de la suite )... Vous me demandez ce que sera le programme de la soirée et je Vous répond simplement que c'est a Vous de le programmer … ( Il est vrai que c'est facile pour moi de dire cela et de Vous laisser le choix des jeux de la soirée à ce moment là et j'en profite ) ...... Vous sortez Vos cordes, me les montrez, m'expliquer en quoi elles sont faîtes , la taille et pourquoi.... Puis Vous vous approchez et me montrez sur mon poignet la différence qu'il y a entre le « bondage » et le « shibari ». Tout cela en continuant de discuter. Ma curiosité est bien présente, un simple encordage de poignet et j'ai déjà appris beaucoup en peu de temps.... Puis les choses sérieuses commencent, Vous me demandez d'enlever ma tenue et de me mettre en petite tenue. Ce que je fait presque aussi simplement que si j'avais été seule chez moi. A la différence que vous me demandez d'enlever aussi les bas et là j'ai pensé « mince» moi qui avait mis de joli bas violet qui irait bien avec la couleur de Vos cordes.. Effet raté ! Je me retrouve ainsi devant Vous nue, ou presque juste ma culotte qui fait office de tissu... Vous me demandé de venir me mettre a genou dos à Vous et c'est à cet instant que Vous prenez le pouvoir et que je découvre ce qu'est le kinbaku. Vous Venez derrière moi et me mettez les mains dans le dos et Vous les attachées. Vous me bandez les yeux …..... Puis..... Les cordes vont allées et venir sur moi en long en large en travers. Vos cordes vont me pénétrées , vont m'éffleurées, me caressées, me touchées, m'enlacées, me contraindre. Vous prenez possession de mon corps, avec vos mains, Vos pensées, Vos cordes, Vos jambes qui suivent Vos envies, Vos pulsions , Votre fermeté....... C'est parfois tendre, et sensuel et parfois durs , vifs. Vous me repoussez comme vous m'attirez à Vous par les cheveux . Vous jouez avec les cordes sur mes seins, mes tétons ou laisser couler les cordes le long du corps ou parfois venant donné une tape sur une cuisse..... De Vos mains Vous parcourez mon corps, l'effleurant, le touchant, caressant mon intimité, me demandant mon accord pour y mettre vos mains.....Mes appréhensions du début s'efface laissant place a un plaisir montant et une envie de se laisser aller. Je ne peux plus bougée certaines parties de mon corps et je Vous laisse le choix des positions et des sensations.. Ne voyant rien , mon ouïe prend vite le relais et Votre respiration, Vos gestes, Vos caresses me font décuplées mes envies.... Je ressent les cordes et je me sent contrainte, totalement à votre merci mais avec une sérénité béante. J'aime... Je découvre mais quel plaisir... Quelle sensation de ressentir les cordes sur son corps , votre contact... Mais vous me libérée en me gardant prêt de Vous dans Vos bras..... Vous rangez vos cordes , les laissant à proximité. Avec une des cordes , Vous confectionnées une sorte de tresse qui ressemble à un collier..... Vous me demandez si je veux manger en étant soumise ou libre..... Une partie de moi dit libre, l'autre partie me dit soumise et je Vous réponds soumise. J'apporte l'en-cas dînatoire et je me met en soumise a genou à vos côtés.. Je pensais ne vivre qu'une soirée « cordes » et je me retrouve à genou ainsi à ma place. Je vous ai accordé ce « pouvoir»... La corde en forme de collier/laisse à mon cou. J'aime cela , j'aime me sentir ainsi vêtue. J'aime aussi ce que Vous en avez fait, me promenant avec, en me faisant manger dans Vos mains ..me demandant d'aller chercher Vos cordes et de Vous les ramener comme une chienne...de garder la laisse en bouche... De rester à quatre patte pendant que Vous me fessier.. de punir quand j'oubliais les ponctuations, Vos ponctuations. Vous m'avez posé des pinces sur les tétons, pinces que je ne connaissait pas , que je n'avais jamais eu posé et bien plus mordantes que celles que j'ai connue et j'avoue n'avoir pas tenue longtemps... M'ayant déjà bien titillé, sensibilité accrue , j'aurais aimé les gardées plus longtemps et j'espère que je serais plus endurante sur ce point au fur et a mesure.... J'aime les marques que vous avez laissé sur mes fesses.....J'aime que Vous m'ayez laisser lécher vos mains.... J'aime avoir été cette petite chienne à Vos pieds, obéissante.... Vous m'avez libéré, rendue ma liberté. De soumise je repasse à libre. Vous nous accordez une pause et on discute un peu avant de me dire alors que fait on et je vous ai répondu: « des cordes Monsieur ».... Je crois avoir à ce moment parlé de photos et Vous avec malgré une grand envie de kinbaku laissé ma petite envie venir à Vous. Installée sur le canapé, vous m'avez plié le mollet de la jambe gauche sur la cuisse et avez commencé ainsi le « shibari »...Puis la jambe droite accroché au canapé différemment et immobilisée. Les bras joints accrochées autrement en hauteur, le torse légèrement en travers.... Les yeux bandés , je vous ai laissé m'encorder en pensant au résultat final avec un réel plaisir de voir le travail final et de pouvoir le contempler par la suite. De pouvoir garder pour moi ou de poster ou que Vous puissiez le poster. J'aime cette idée car j'aime ce que vous faîte, j'aime savoir que les cordes feront parties de mon univers, parties prenantes de ma soumission ou pas mais j'aime les sensations ressenties, j'aime aussi laisser une trace.. J'aime sentir la forme de la corde sur la peau quand on enlève, ses marques comme un tatouage.. Je prend autant de plaisir à me laisser encorder que de Vous voir encorder, de voir Vos gestes sûr et ferme. Cela me donne envie de découvrir toutes les possibilités, de trouver tout un tas de lieu , les plus insolites parfois ou pas ou les cordes peuvent s'exprimer, ou votre ( ou mon) imagination peuvent vivre. J'ai aussi envie de montrer le résultat pour aussi montrer que oui une fille « ronde » peut être belle aussi dans des cordes même si elle a des formes, des cuisses, des bourrelets et que même si parfois ce n'est pas forcement très esthétiques, elle peut être bien dans des cordes et aimer le faire voir.... Les photos prises, Vous avez doucement ou vivement défait ce qui venait juste d'être fait ne laissant à la fin que les mains liées et c'est a cet instant que votre pouvoir a repris le dessus et place au « Kinbaku »...Vous m'avez tirez au sol à Vous et avez repris naturellement Votre place.... Les yeux bandés toujours...... Vous m'avez contrainte et dominé de belles façons par Vos cordes. Douleurs des contraintes , vite effacées part votre présence omniprésence, par Vos gestes, Vos paroles, Vos mains baladeuses et Vos envies.... Vous m'avez attachées de différentes manières mais vives, fermes et possessives. J'étais Votre par Vos cordes.. Vous m'avez détaché , amenez à Vous pris dans Vos bras et vous m'avez serrées contre Vous..... Vos mains venant caressée mon intimité....Pris mes mains et vous l'avez demandé de me laisser aller tout en me caressant les seins, le ventre. Vous m'avez accordé ce plaisir et le plaisir de lécher ma jouissance........ Nous sommes rester ainsi un long moment vous assis par terre et moi allongée sur Vos jambes a simplement parlé et juste apprécier le moment présent.... Je ne pensait pas ressentir autant de sensations avec les cordes.. C'est une confirmation pour moi et je sais déjà que les cordes feront parties de ma vie, et de ma soumission ou les deux et que je ne pourrais plus m'en passer. Et ceci je Vous le doit , Monsieur.. Ce « Vous » qui est pour Vous Monsieur . Je n'en oublie pas pour autant cette ponctuation tout au long de mes ressentis ( dans ma tête il y est ) juste que par esthétisme , j'ai opté pour cette façon.. Mais je n'oubli pas que ce « Vous » qui est a lui seul la ponctuation tout le long. Vous avez raison , Monsieur, je vais être surement accro, une droguée des cordes. J'espère pouvoir , vivre, être encordées, exprimée mes ressentis par cette forme le plus souvent possible... Je n'ai qu'une chose à dire: Merci Monsieur et …. Puis je dire ENCORE, c'est quand et où Vous voulez
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Par : le 30/12/15
je l'aime... j'aime quand il m'ordonne le soir de le rejoindre il m'attend, s'impatiente, je fini toujours par lui obéir, il est là, à m'attendre dans la chambre sans un mots, simplement un charisme puissant qui m'oblige à me déshabiller sous son regard, mise a nue, enfin je le rejoins, il caresse ma peau, m'enveloppe de sa chaleur, dessine mais courbe et me donne un sentiment de bien être... qu'il doux se s'abandonner à lui... il me donne des suées, chaude, des sueurs froide...aussi mais quoi qu'il arrive il est toujours rassurant. Parfois je le boude, refuse de le rejoindre, il s'en fiche car il sait que de tt façon, je finirai par venir, je ne peux y échapper, ni résister bien longtemps, mais sa vengeance est terrible, il me garde plus de temps que de raison auprès de lui mais quoi qu'il en soit je l'aime.... ...mon lit. ;p
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Par : le 29/12/15
Ayant etendu et reconnu sa voiture se garer dans l'allée, je me leve et ouvre la porte. le laisse la passer, assez pour la refermée sans delicatesse, elle claque... ma main se pose sur son torse et d'un geste sure, le plaque a la porte le coincant de mon corps, ma cuisse entre ses jambes, desinvolte, envahissant son espace securitaire, se pressionne sur son intimité, pendant que mon doigt posé sur sa bouche comme pour le faire taire, mes levres s'approche des siennes, se posant presque sur mon doigts, mumurant d'une voix aussi douce que sure - es tu pret...a subir mon abandon? - mon autre main glissant le long de son torse - es tu pret... a devenir mon objet de plaisir - defaisant son bouton sans enlever sa ceinture - autant tu feras de moi ta chose...- ouvrant sa braguette - a me voir Chienne...- appuyant le mots tout en sortant son sexe - repondant a l'appel du loup - glisse le bout de ma langue sur toute la longueur de mon doigt - interdit de te deshabiller plus que ca. - retire mon doigts de sa bouche mes yeux fixer dans les siens, mes mains se glissent le long de ses bras, tandis que mes levres se glissent sur les siennes avec douceur, mes mains atteignant ses poignets, se referment sur eux et les plaque contre le mur de chaque cotés de son corps, ne lachant pas son regard, mes levres quittent les siennes, depose un baisers sur son menton, tout mon etre s'accroupissant face à lui, ne lachant pas ses poignets, ouvre ma bouche juste assez pour emprisonné entre mes levres son sexe encore endormi, le caresse de ma bouche sensuellement, doucement, contrastant avec mes doigts qui se resserre sur ses poignets... son sexe grossissant dans ma bouche au fur et a mesure de mes caresses, mon excitation ayant ete alimenter par cette adoration de sentir son sexe se reveiller dans ma bouche...
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Par : le 29/12/15
Brisée dans mon âme Encore ce péché qui pointe le bout de son nez Encore une nuit blanche Un air surpris sur mon visage Je pensais pouvoir combattre Mais je ne peux voir ce que je ne connais pas Je dois le refuser. Ou sont passés mes rêves? Me serais-je écarté du chemin? Serais-je partie aussi loin de moi même ? En quoi ce combat changeras mes rêves ? Une imagination, Utopie, D'une vie qui n'est pas mienne Facile d'implorer la cause divine Mais certaines vérité ne sont pas bonne a voir Pardon de bousculer toute vos idées conventionnelles Mais tout ce que vous savez est faux. Asseyez-vous. Servez nous un verre. Les coudes posés sur la table Discutons. Peut-être qu'au fil de la nuit Nous y découvrirons l'espoir... C'est une plaisanterie. Sommes nous inconscient ? Certainement. Demandons nous plutôt Ou commence la folie. Cherchons nous a nous détruire ? Comment ça seulement moi ? Comment pouvez vous afficher ce sourire ? Votre assurance me fascine Votre folie me terrifie Devrais je vous fuir ? Ou vous laisser tenter de me prouver Que vous êtes plus fou que moi ? Qu'est ce ? C'est une blague ? Pensez vous vraiment me sauver avec une chaîne ? Vous faire confiance ? Pour me mieux me faire confiance ? Ses mots sonnent d'une fausseté.
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Par : le 29/12/15
le vent est glacial autour de ton astre, pourtant, je sens la chaleur dans tes murmures poussiéreux. Je te regarde danser sur une mélodie contradictoire, entre la porte entre ouverte et l'escaliers à monter. Chaque âme à ses propres épines noires, tes roses ont été coupé à la racine, tu t'es noyé en tentant de rejoindre tes rêves à l'horizon, les miennes ne sont que fanés, je n'ai bu que la tasse. Il est clair que nous ne serons jamais l'autre, je ne comprendrais certainement jamais ce que tu as traversé mais je m'abaisserai à toi pour te relever la tête. Laisse tes larmes nourrir mes roses, je t'aiderai à évacuer toute cette mer de souffrance, dans cet équilibre parfait des deux, nous maintiendrons la balance en son milieu, ainsi ne régnera que la plénitude. Regarde moi ne fais surtout pas de moi ta cible, tu deviendrais ma proie. Regarde toi ta fatigue est telle que tu ne fais pas le poids. Mes mots sont durs ? peut être. Alors ne me demande pas de te prouver que tu n'as rien à craindre, contente toi de cracher tes tripes sur mon épaule.
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Par : le 29/12/15
Qui est elle .... Chienne ....Louve .... Nul ne sait ....et surtout pas elle .... Chienne lorsque sa présence se fait sentir.... ...ressentir .... Louve ...lorsque enfin il apparaît.... ....elle renaît .... Mais surtout .... Entre Chienne et Louve ..... Un peu comme cet espace temps .... Peu avant que la nuit ne tombe .... Un peu comme ce contre temps ... Avant qu'il ne nous plombe ... Qui est elle .... Chienne ... Louve .... Chienne à ses côtés ..... Ramassant ses crocs acérés ... Louve désespérée .... Désespérée .... de ne pas .... .... de ne plus .... Savoir contrôler ses pulsions .... ...ses impulsions ... Chienne contrôlée .... ...domptée.... Louve insaisissable .... ...incontrôlable .... Entre Chienne et Louve .... En tous temps ... Tout instant .... Chienne dont l échine peut se courber .... ...plier ... Louve dont la gueule se fait mordante .... ...puissante .... L'une domptée.... L'autre .... tentée d'apprivoiser .... Entre Chienne ..... et Louve ... Sylvie L.
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Par : le 28/12/15
la soumise dessin sado maso sur mesure et commandé pour illustré un texte sur un blog érotique isa les mains attachées doit faire jouir dans sa bouche le plus d’homme possible en un temps très court sinon elle subira les tortures les plus hard elle s’applique suce goulûment lèche enfonce le membre tout entier au plus profond de sa gorge fait des va et vient de plus en plus rapide exerce une pression forte avec sa bouche ses lèvres et sa langue tout en poussant des gémissements de plaisir pour exciter le plus possible l’homme qui voit cette soumise attaché et nu s’acharner savamment sur son sexe isa fait tout pour que le sexe éjacule au plus vite dans sa bouche pour une fois remplis et débordant de sperm elle puisse aussitôt sucer sans reprendre son souffle une autre bite avec la même vigueur isa a vu les installations de torture qui on été préparés pour elle , on lui a expliqué en détail ce qu’elle subira suite à son échec et notamment ce gros pal dresse d’un mètre cinquante de haut huit de large qui l’attend et sur lequel on a bien l’intention de l’empaler par son cul . une fois sur ce pieux ou elle ne pourra absolument pas bouger de peur de voir le pal s’enfoncer d’avantage pour subir d’autres sévices . c’est pour dire à quel point elle est motivée pour sucée de nombreuses queues elle y arrivera et aura sucer trente hommes en une heure fatiguée et son corps luisant de sueur et de sperm qui aura coulé de sa bouche à ses seins pour atteindre son sexe pour voir et savoir plus sur mes dessins érotiques http://dessindenu.onlc.fr/
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Par : le 27/12/15
A) Les oxymores : Commençons par le CM2, vous connaissez tous : « monter en bas » (et que j’en entende pas un dire ‘oui mais avec mes bas résilles… je peux aller à l’étage’ ^_^ … si si je les entends les pestouilles :p ) Reprenons : monter en bas. SOIT on monte, SOIT on va en bas ! Cet oxymore est facile à « démonter ». Je vous en propose de notre vie courante : -« Guerre humanitaire » Qui pourrait « démonter » cet oxymore ? -« égalité des chances » Qui pourrait « démonter » cet oxymore ? Je vous propose aussi "mariage pour tous" en démonstration. L.
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Par : le 26/12/15
Blond et lisse, de bois façonné, jusqu'au détail du gland qui fait comme un renflement en son extrémité... son gabarit effraie autant qu'il attire l'oeil luisant, la bouche salivante. Sera-t-il plutôt une punition ou une récompense? Apportera-t-il plutôt du plaisir ou de la douleur ? L'eau à la bouche, le regard plein de convoitise, je l'ai entrevu une fois et depuis, il revient cerner mes pensées de temps en temps. Comme une obsession en demi teintes, un rêve éveillé, un fantasme long et dur, glissant dans un orifice comme un puits sans fonds. Le toucher des doigts, appliquer ma langue sur ce membre sculpté, prier cette divinité à genou, cuisses ouvertes, sexe béant, anus palpitant devant cet objet tendu qui appuiera un jour sur cette entrée ourlée, lisse, veloutée pour l'accueillir avec un suave soupir au fond de mon ventre. Distendue, écartelée devant ce sexe d'apparat, ce sexe de substitution, ce sexe indicible...
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Par : le 25/12/15
Bleue, la mer qui se tait quand le vent ravage ma peau Bleu, l'horizon de mes rêves zébrés de sang et d'or Bleu, l'air glacé que réchauffe l'étincelle des corps Bleue, la cravache et la main dans le même tempo Bleus, les éclairs argentés qui lacèrent mes fesses Bleue, la douleur fulgurante qui ravive la flamme Bleue, ta pupille troublée qui me traverse l'âme Bleus, tes yeux-fleuves dans les miens, comme une douce ivresse
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Par : le 25/12/15
Il m'envahit, me submerge de ses mains voraces sur moi, parcourant, saisissant, caressant, emprisonnant, pinçant. Ses doigts semblent démultipliés, avides, curieux explorant chaque parcelle de mon corps. Sa bouche-ventouse plaquée sur ma chair, gonflée sur mon cou, happant mes épaules et aspirant chaque millimètre de peau jusqu'à la pointe dressée de mon sein, sous sa langue dardant et ses dents mordillant. Il me retourne et plaque son corps contre mon dos, pesant, humide, collé à mon dos, son sexe dardant sur mes fesses, ses genoux forçant l'ouverture de mes cuisses, me livrant à son désir chaud et durci, butant sur mon cul, mes mains immobilisées dans le dos, emprisonnées dans sa poigne puissante, abandonnées à sa force, écrasée sous son poids. Affalée, pantelante, soumise à sa volonté et à ses membres démultipliés qui prennent possession de moi, entièrement à sa merci. Je sens sourdre et couler son désir, contre mon anus, ses doigts happés par ma chatte moite et brûlante, gluante. Cet homme tentaculaire qui pénètre mon esprit et mon corps, dont les membres me parcourent, m'envahissent, me submergent.
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Par : le 24/12/15
Les deux jolis mamelons aux larges auréoles framboise jaillissant hors de leur prison firent sourire Ambre qui entrepris ensuite de réclamer à sa propriétaire de petits mouvements de la tête, des mains et des jambes. Totalement rassurée par cet examen rapide, elle dit à voix haute qu'il n'y avait plus là matière à inquiétude et qu'après une bonne nuit de sommeil tout serait oublié, mises à part quelques ecchymoses et courbatures. Et elle proposa même à la jeune femme, en tournant les talons, de les soulager dans les jours à venir par quelques uns de ses massages magiques. Un peu plus loin dans le fossé, un grand panier d'osier laissait dépasser la tête d'un jard splendide. Mais le volatile ne bougeait plus et sa tête faisait un angle bien étrange avec le reste de son corps. Il n'avait pas eu la même chance que sa maîtresse! Un peu troublée par ce joli corps féminin entraperçu, et fatiguée aussi par sa journée de travail, Ambre installa dans sa cour un grand baquet d'eau fraîche et n'eut pas la patience d'attendre longtemps qu'elle réchauffe au soleil pour se mettre nue et y plonger toute entière. Une lourde chaine entre les jambes Ses ablutions furent vite expédiées et elle s'allongea bientôt avec délice sur sa confortable fourrure de massage devant l'âtre où crépitait un feu vif, avide d'un sommeil réparateur et pressée aussi de retrouver en songe les bras puissants de son forgeron préféré. Mais à l'instant même où il se décidait enfin à l'entreprendre en la prenant aux hanches pour une pénétration qui s'annonçait bien vigoureuse, il lui sembla vaguement qu'on toquait à la porte. Un moment, elle crut avoir mal entendu, mais le heurtoir reprit du service et elle se leva en maugréant. Passant une pelisse de renard sur ses épaules nues, elle entrouvrit prudemment la porte. Là, se tenait un homme, manifestement confus de la réveiller à cette heure tardive. Vêtu d'une longue cape de laine et portant bâton de marche, il dissimulait sous un chapeau de feutre un visage marqué par la fatigue. Totalement immobile mais nullement menaçant, il semblait attendre qu'elle décide pour lui. Accepterait-elle de l'héberger pour la nuit ou bien le repousserait elle dans la solitude du soir! En fait, il s'en remettait totalement à son esprit de décision et aussi à sa bonne étoile. Elle sourit intérieurement à cette vue et se dit que décidément ses amies les étoiles avaient bon goût et lui envoyaient justement l'aide qu'elle espérait. Sans mot dire, elle s'effaça pour le laisser entrer et le fit asseoir. Remarquant au passage de discrets cliquetis métalliques, elle ne fit aucune remarque et lui proposa un morceau de fromage, un quignon de pain et un gobelet de vin rouge. Le regardant attentivement pendant qu'il mastiquait avec lenteur ce dîner bienvenu, elle remarqua qu'il gardait sa grande cape ostensiblement fermée, malgré la chaleur régnant dans la pièce. Instinctivement, son tempérament de maîtresse femme lui commanda d'en savoir plus. S'approchant de lui, elle écarta doucement les pans de laine et découvrit un homme arborant une tenue paysanne, mais partiellement nu, une lourde chaîne pendant entre ses jambes. A ses poignets, des marques profondes témoignaient clairement d'une mise aux fers sévère et prolongée. Poursuivant avec calme ses investigations, Ambre s'agenouilla devant son visiteur du soir et examina avec attention la chaîne qui lui battait les chevilles. Le dernier maillon était difforme, tordu, manifestement cassé par des efforts musculaires frénétiques et répétés. L'autre extrémité avait été forgée de façon à venir enserrer les testicules du prisonnier. Elle frissonna en imaginant le terrible coup de marteau qui avait aplati la pièce métallique pour la maintenir définitivement en place, sans toutefois causer le moindre dommage aux parties génitales du prisonnier. Manifestement il y avait là un vrai savoir faire de la part d'un bourreau très habile! En ces temps reculés, les châtiments pratiqués par les celtes étaient laissés à la discrétion des offensés et pouvaient s'avérer d'une rare cruauté, à l'égal des terribles pratiques chinoises. En outre, le lien entre faute et châtiment était souvent direct et l'on était souvent puni par où on avait pêché. Quelques siècles plus tard, la promulgation de la première version de la loi salique (IVe ap JC) imposera une modification de ces pratiques en portant dans la sphère publique la prononciation des peines par un représentant du roi. Et cela sur la base d'un inventaire précis de tous les dommages pouvant être causé (meurtre, mutilation, vol…). Exit donc les fantaisies terrifiantes de certains notables locaux et toutes ces règles particulières établies par chaque conseil d'anciens. Mais pour l'heure, c'est encore Elcmar, seigneur de Rohan et époux de la sublime Dana, qui prononce chaque jeudi (jour de la semaine destiné à traiter les affaires juridiques chez les celtes) les sentences à venir. Obscure et sombre couleur prune Petit et malingre, cet homme méchant au visage ingrat et à la voix de fausset s'est rapidement fait connaître dans toute la contrée pour la férocité implacable de ses jugements. Avec lui, le bourreau ne chôme pas, faisant même preuve d'une grande inventivité dans les supplices pratiqués, suivant en cela, disent les mauvaises langues, les conseils avisés et un tantinet sadiques de la belle Dana. Et Ambre de reconnaître la signature de celle-ci dans cette façon récente et tout à fait particulière d'enchaîner les condamnés de sexe masculin. Elle sait aussi les attirances anales de la redoutable Dame et n'a guère de doute sur ce qu'a pu subir son visiteur du soir, côté pile. Prévenante, c'est après avoir plongé la main dans le petit pot d'onguent opiacé disposé près de la cheminée, qu'elle va tenter d'apaiser le feu qui lui dévore l'anus, malmené très récemment en prévision probable d'une exécution par empalement. Ignorant la composition exacte de la médecine qu'elle se procure en forêt chez une vieille rebouteuse, elle l'applique cependant avec conviction et douceur, en connaissant l'efficacité rapide, et aussi certains de ses effets secondaires tout à fait intéressants quand on aime les plaisirs de la chair. C'est bien connu, l'intimité d'une femme, c'est l'origine du monde. Celle d'un homme, c'est au contraire une porte fermée, tendre et délicate, mais d'une obscure et sombre couleur prune, à laquelle la plupart des civilisations n'ont accordé qu'un rôle strictement fonctionnel. Ambre sait pourtant qu'il en est tout autrement, et qu'avec un sésame approprié on peut s'y glisser toute entière, ou presque. Elle aime sentir cette chair palpitante, qui s'échauffe encore davantage lorsqu'elle saisit brusquement l'un ou l'autre des tétons disponibles du mâle qu'elle soumet. Lorsqu'elle mène ainsi bataille, arrachant victoires sur victoires au point d'y mettre la main entière, elle sent aussi monter du côté de son ventre à elle de fortes envies de visite. Elle résiste tant qu'elle peut, poursuivant parfois son avantage jusqu'à doter son entrejambe d'un gigantesque fac similé. L'esthétique de l'ustensile lui déplaît souverainement mais la sensation quand elle pénètre l'homme n'est pas du tout déplaisante. Le retournement de situation est complet et c'est avec grand plaisir qu'elle laboure avec vigueur le sillon masculin, attentive aux gémissements de contentement qui lui parviennent bientôt aux oreilles. Toute à ses pensées frivoles, elle frissonne soudain et réalise que le feu dans la cheminée a bien baissé. Allongeant le bras vers le haut du bahut, elle en ramène un collier de cuir, des bracelets munis d'un gros anneau ainsi qu'une laisse de corde tressée. - « je ne veux rien savoir de ton passé» dit elle «ni d'où tu viens ni pourquoi tu portes cette chaine». - «je te propose de demeurer ici aussi longtemps que tu voudras, tu y seras à l'abri de ceux qui te poursuivent. Mais tu seras aussi mon esclave. Tu garderas tout au long du jour et de la nuit ce collier et ces bracelets. Et dorénavant c'est moi qui déciderait ce qui est bon pour toi, dans quelque domaine que ce soit.» ajouta t'elle en secouant légèrement la chaine. Hésitant un court instant, il tendit finalement le cou, puis les chevilles et les poignets, auxquels elle fixa solidement le cuir. A l'anneau du collier, elle accrocha la laisse, puis décida que c'était l'heure de dormir et le guida jusqu'à l'étage. FIN
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Par : le 24/12/15
Sombre nuit qu'éclaire la lueur fugace et fébrile des bougies... C'est la nuit du Solstice, le bienveillant retour du soleil qui réchauffe nos corps et nos âmes. C'est la nuit d'un rêve éveillé, un rêve de cordes et de bambou, de fer et de cuir ; d'odeurs mêlées de cire et de stupre, de fragrances animales, musquées et aigres, de gouttelettes de sueur et de stries de salive, coulant sur la peau ; d'images révulsées et de mots tapageurs, cinglants comme le fouet, saisissant comme la paume d'une main ; de regards inquisiteurs qui déshabillent et qui caressent, qui lèchent et qui sucent, des orbites creuses, dégoulinantes de désir humide, avide, athropophage ; de morsures et de griffures, d'empreintes sur la peau diaphane d'un oiseau nocturne, un rapace qui se repaît de ma chair. Dissoute et digérée pour renaître à la vie, renaître au soleil, sereine, épanouie, apaisée. Rêve d'une nuit de Solstice...
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Par : le 23/12/15
ne ambiance, une lumière tamisée par les bougies au sol...une constellation... mon peignoir tombe... je m'avance au centre.... je suis nue... telle une nymphe...je m'agenouille... je me prosterne... moment de calme...de séreinité... d'appaisement... je te sais bien veillant... une bougie dans ta main...la cire qui coule... tombe sur mon dos...se fige...premier contact... impression, sensation... Je me retourne... fais couler l'huile d'une bougie de massage... douce chaleur au creux de mes seins... qui coule sur mon ventre... mon corps devient luisant... je t'offre mes seins... tu me tends un glacon, que je caresse sur la pointe qui s'érige.... la bougie....première goûte... chaud froid.. je mords ma lèvre...et ferme les yeux... la cire se fige.. http://pin.it/gHLp9V3 http://pin.it/h1TmVkY
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Par : le 22/12/15
J'ai eu un rêve. Créer un centre d'entrainement de Ponygirl. Il pourrait être constitué d'une grande ferme isolée dans le Sud-Ouest de la France. Il possèderai un grand manège, et le terrain serait assez grand pour réaliser un peu de training à l'extérieur. Il pourrait aussi servir pour éduquer ces belles juments sur différents thèmes et servirai de ruche à idées et d'échanges. Il pourrait être loué à plusieurs, dans le respect mutuel et l'équilibre relationnel. Voilà un rêve de ce vieux Gabriel, il en a bien d'autres, mais pour l'instant, c'est celui qui le hante......
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Par : le 21/12/15
Ce matin, ses amies les étoiles l'ont avertie d'une visite prochaine, un marcheur venu de loin, un homme peut être déjà rencontré lors d'une fête païenne, comme celles auxquelles elle participe parfois à deux pas de l'Océan. Non, lui ont-elles dit, il n'est pas l'Apollon de ses rêves secrets ni le mâle sauvage à la queue monstrueuse qu'elle aimerait bien croiser un jour. Non, c'est plus simplement la manifestation d'un des hasards heureux de la vie. Mais pour l'instant, nulle présence à l'horizon si ce n'est celle du soleil qui se lève et va bientôt embraser la campagne. Le solstice d'été est passé et avec lui un cortège d'orages et de pluies diluviennes qui ont abreuvé, et parfois inondé sols et cultures. Et depuis le retour de la chaleur, c'est une véritable folie dans les champs et potagers. Les maïs prennent 10 cm d'un jour à l'autre, le blé change de couleur et sera bientôt mûr. Les tomates partent à l'assaut des hauteurs et poireaux et patates promettent de délicieuses soupes pour bientôt. Les mauvaises herbes aussi prolifèrent et vont mettre en péril la récolte, se dit Ambre, debout dans la fraîcheur du matin, les mains sur les hanches. Il va falloir nettoyer tout cela. Et la voici bientôt cassée en deux vers le sol, arrachant à mains nues liserons, chardons et autres … Sous sa blouse de grosse toile, Ambre ne porte aucune de ces culottes grotesques et inutiles, dont tous les curés successifs de Naizin vont bientôt s'évertuer à rappeler, à partir du VIIIe siècle, l'absolue et salutaire nécessité. Maniant la binette avec énergie, jambes largement écartées, elle adore sentir s'insinuer entre ses cuisses les petits courants d'air légers que lui envoie la mer de Bretagne. Toutes ces caresses délicates répétées éveillent ses sens et elle se surprend bientôt à rêver d'un assaut sauvage du forgeron de Rohan aux épaules si puissantes et musclées. Se redressant en massant ses reins endoloris, elle imagine un instant devant elle une ou deux silhouettes masculines au travail. En contrepartie de ses prédictions astrales et autres médecines naturelles, ces journaliers auraient accepté de se mettre à son service, aux champs et aussi pour l'entretien de la chaumière, réparant ici une chaise branlante ou là une fuite dans la toiture. Elle aurait alors eu grand plaisir à avancer vers l'un d'eux pour poser une main ferme sur la nuque affairée, la maintenant courbée vers le sol. Sans un mot, l'autre main serait venue flatter les flancs mouillés par l'effort, puis aurait glissé brusquement vers l'entrejambe pour une caresse brutale et possessive. Madame exige de ses pensionnaires une soumission totale et entend bien rappeler cette règle en toute circonstance. Un mâle est fait pour servir sa Maitresse, un point c'est tout! Mais tout cela n'est pour l'instant qu'un rêve et la journée de travail aurait pu être encore longue si les voix d'une dispute, manifestement très vive, ne s'étaient fait entendre au lointain. Là-bas, au virage de «chez Dominique», deux attelages viennent d'entrer en collision. L'un, tiré par des bœufs, transporte un lourd chargement de bûches venu du bois du Cosquer, tandis que le second n'est autre que la charrette assurant la liaison quotidienne de Naizin à Pontivy, et retour. En s'approchant à grands pas, elle entend bientôt des gémissements qui pourraient bien être ceux de blessés. A voir l'état de la charrette, le timon brisé et tout le côté gauche défoncé, le choc a été violent. Et les passagers de retour du marché, assis sur le talus, ont l'air bien sonnés. Plus loin dans le fossé, elle aperçoit un corps gisant sur le sol, la jupe troussée et les jambes dénudées. C'est une jeune paysanne, manifestement éjectée lors de l'accident et qui vient de faire un beau vol plané. Près d'elle, les deux cochers continuent leur dispute et se lancent des mots d'oiseaux, n'oubliant cependant pas de jeter à tour de rôle un œil égrillard vers la peau tendre et douce de ses cuisses. S'il n'y avait eu la présence des autres passagers, leurs cris auraient probablement changé rapidement de nature et la pauvre enfant aurait certainement eu à subir d'autres violences encore. Agacée par la situation, Ambre écarta les deux hommes d'un geste autoritaire et mit un genou à terre, s'adressant d'une voix douce à la jolie victime. Quelques légers battements de paupière la rassurèrent vite sur son état de conscience. Dégageant sur le côté son abondante tignasse rousse, elle entreprit de dégrafer son corsage pour l'aider à respirer. A suivre
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Par : le 19/12/15
J'aime la dentelle, qui laisse entrevoir, qui souligne, cache et laisse deviner. J'aime la transparence du tulle. ...le maintien des serre - tailles, qui dessine les courbes et les met en valeur... J'aime les laçages, qui emprissonnent telle une cage... J'aime les bodys.... les pressions de l'entrejambe. .. qui laissent la liberté d'ouverture. ... j'aime les bas dont la jarretière frôle le ras des fesses.... j'aime les strings qui laisse les fesses à l air et cache juste l'intime. .. J'aime les talons hauts qui galbent les jambes... J'aime les armatures, les balconnets qui subliment les poitrines... les dentelles sans armature pour jouer les filles sagent... le boxer qui laissent imaginer et rêver. .. J'aime être et me sentir sexy....
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Par : le 19/12/15
Un seul dieu pour tant de seins » Cachez ce saint, que je ne saurais voir sans envie d’accomplir les affres du pécher de la chair Cachez ce démon, dont les promesses d’enfer m’enchantent et me troublent plus que de raison Cachez au seigneur que dans son antre, près de la Vierge Marie, vit un homme tout de passion Cachez à qui ne souffre, la beauté faire mâle, ici bas portée à nos vues blessées, cinglant éclair Priez pour nos doutes, nos désirs, nos envies, nos songes, autant de preuves de nos faiblesses Priez pour nous, louves abandonnées à ses pieds, chiennes affolées à ses contours, pécheresses Priez pour éloigner nos erreurs, nos folies autant que pour nos désespérantes sagesses Priez pour que vienne le temps de la délivrance, sans plus d’offense face à tant de détresse Dieu, qu’être femme non loin de cet homme prend une amplitude d’un autre ordre Dieu, qu’être faible est jouissif, qu’être faille est impératif, il a sublimé le désordre Dieu, qu’être sans force, ne plus lui résister, quel moment intense que celui, où l’on oublie d’être forte Dieu, qu’être pleine de chaleur, cela alourdit notre sang quotidien, nous dépose presque soumise à sa porte Se perdre par cet homme, pour cet homme, pour mieux renaître femme Se couper à sa lame, se blesser à sa flamme, fuir en nous, la noble dame S’abandonner, oublier toute notion de contrôle, frôler ses admirables échancrures S’adonner à la luxure, être sa pute de luxe, sa petite ordure, succomber à ses dorures… Caliente
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Par : le 19/12/15
Ce texte est en fait une réadaptation d’un article de mon journal, pour lequel Dame Maestria m’avait demandé d’imaginer ce qu'Elle avait fait pendant Sa journée. Puisque je travaillais, je connaissais uniquement le début de Sa matinée et de Sa soirée : * Le matin : Elle était vêtue d’une robe de chambre blanche. Nous nous sommes quittés sur un baiser après avoir pris le petit déjeuner ensemble. * À mon arrivée après ma journée de travail : Dame Maestria portait encore Sa robe de chambre. Toutefois je savais qu'Elle avait été faire des courses pour notamment cuisiner un carpaccio de saumon. Alors qu'Elle essaie en ce moment d'arrêter de fumer, Elle m'a également informé ne pas avoir résisté à l’appel de la cigarette. À partir de cela, j’ai donc essayé d’imaginer l’entre-deux. Peut-être s’attendait-Elle à quelque chose de sérieux pour ce texte. En ce qui me concerne je Lui ai imaginé une journée très sportive et plutôt délirante. En effet, j’ai tout de suite pensé à la publicité abracadabrante de Canal+ où un homme essaie tant bien que mal de justifier sa présence dans le placard d'une chambre...(https://www.youtube.com/watch?v=VEiLGJrCxSY ). Bref le genre d'histoire complètement improbable et tellement incroyable que ça en devient très drôle. Juste après mon départ, Dame Maestria prit Sa voiture pour se rendre à l'aéroport le plus proche. Celui de Nantes évidemment ! Direction la ville irlandaise de Galway, uniquement dans le but de trouver l'inspiration culinaire pour faire une surprise à Son chevalier. Dame Maestria s’équipa de Ses plus belles cuissardes... de pêche et monta à bord du bateau qui l'attendait : Son chalutier attitré nommé "Mât Estria". Après une heure de navigation pendant laquelle, à l’exception du commandant de bord, Elle encorda tous les occupants de l'embarcation, Dame Maestria nagea au large de la mer Celtique. Un banc de saumons l'entourait. "Voilà mon menu de ce soir !". Dès qu'Elle eût attrappée un de ces saumons, Elle demanda à être reconduite sur la terre ferme. De retour à l'aéroport avec Son saumon pêché, Elle a été fort déçue lorsqu'on L’informa qu'étant donné la grande taille de Son poisson Elle ne pourrait pas l'avoir avec Elle en cabine. De retour à Nantes et alors que tout le monde avait récupéré ses bagages mis en soutes... point de saumon pour Dame Maestria. Elle alla donc se plaindre au personnel de l'aéroport. On Lui dit qu'un problème de transport avait eu lieu avec le fameux poisson. Celui-ci était malencontreusement passé sous les roues de la voiturette qui portait les bagages... et rien n'était récupérable. Dépitée de revenir bredouille Dame Maestria rejoignit l'appartement. Son chevalier terminait dans 1 heure et Elle n'avait plus la matière première du carpaccio qu'Elle souhaitait préparer. Elle se connecta sur Internet et commanda un carpaccio saumon express au traiteur du coin... ainsi qu'un paquet de cigarette pour noyer le chagrin que Lui a donné Son saumon. Ding dong - le traiteur arriva et délivra le plat désiré. Dame Maestria remercia le livreur, ferma la porte et courut remettre Sa robe de chambre blanche, comme si de rien n'était. Comme si, à part cuisiner un plat pour Son chevalier, Elle n'avait rien fait d'autre de la journée… Il était moins une, Son chevalier arriva. Il trouva toutefois étrange que Sa Princesse soit encore habillée avec Son vêtement du matin. Etrange également qu'Elle soit aussi transpirante et essoufflée pour quelqu'un qui dit ne pas avoir fait grand chose de Sa journée. Il y avait quelque chose qui clochait... mais le chevalier ne dit rien et garda cela pour lui. Je Vous remercie Dame Maestria. Quelle journée !!!
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Par : le 17/12/15
En ces temps reculés, nul clocher catholique ne vient hérisser la campagne bretonne. A la saison froide, seuls quelques minces filets de fumée troublent le ciel immense, signalant ici la présence de quelques familles dans leurs chaumières ou là le bivouac d'un groupe de chasseurs.Au lieu dit «Corgarho», à une quinzaine de lieues au nord-ouest de la déjà mythique forêt de Brocéliande, se trouve une habitation isolée aux volets souvent clos. Son occupante vit chichement de son petit lopin de terre, cultivant pommes de terre, carottes et choux. Et lorsqu'on s'approche, quelques poules destinées aux repas des jours de fête se manifestent bruyamment.Pas vraiment grande, comme tous les celtes de son temps, cette femme aux rondeurs généreuses et aux gestes vifs, ne passe pas vraiment inaperçue. Ses yeux rieurs et sa langue bien pendue déclenchent régulièrement des tempêtes dans les caleçons masculins des environs. Et certaines femmes aussi ne détestent pas venir lui montrer leurs trésors, sous des prétextes les plus futiles.Une grande libertéMais sa notoriété dans toute la contrée et les nombreuses visites qu'elle reçoit sont, d'abord et avant, tout liés à sa connaissance du ciel et des étoiles. Elle sait déchiffrer le langage des astres.Née quelques siècles plus tard, elle aurait certainement été rapidement emprisonnée, torturée et violentée avant d'être conduite au bûcher, accusée de sorcellerie.Mais dans cette Gaule celte vénérant encore quotidiennement le soleil et plusieurs centaines de divinités, elle est au contraire un personnage incontournable, une interprète précieuse avec le ciel, que l'on sollicite et que l'on écoute.Et puis beaucoup savent aussi qu'elle sait sonder les mystères du corps humain. Ses mains habiles connaissent la science du massage et dénichent aisément ici ou là telle ou telle douleur à calmer.Des femmes désireuses d'enfant ou des hommes à la virilité défaillante viennent également la consulter et repartent souvent de chez elle plus détendus et souriants qu'à leur arrivée, ravis aussi de savoir qu'il leur faudra revenir bientôt et s'étendre à nouveau nus sur la peau de bête, tout au centre de la chaumière.En ce temps là, le modèle social gréco-romain basé sur le patriarcat ne s'est pas encore répandu sur l'immense pays gaulois où les femmes bénéficient d'une grande liberté.La femme celte a une existence sociale propre, elle peut disposer de biens personnels qui la suivent toute sa vie et dont elle reste propriétaire. Les mariages sont par ailleurs temporaires et renouvelables, sans obligation de durée.Par ailleurs, les femmes pouvaient diriger des peuplades. Elles buvaient et faisaient la guerre comme les hommes. Dans «la Guerre des Gaules», César évoquait d'ailleurs la polyandrie et signalait aussi le fait qu'une femme gauloise pouvait avoir plusieurs époux/partenaires simultanément. Maitresse femmeAmbre, car tel est son nom, est indéniablement une de ces maîtresses femmes qui ne confient à personne d'autre qu'à elles-mêmes le soin de conduire leur vie. Et aujourd'hui, fait totalement inhabituel pour elle, elle s'est levée aux premières lueurs de l'aube.L'oeil encore mi clos, elle a toutefois pu ranimer la flamme du foyer et mettre de l'eau à chauffer pour son brouet du matin.Du rêve érotique qui a peuplé sa nuit, elle se rappelle peu. Seulement le moment très plaisant où les deux voyageurs hébergés chez elle la nuit précédente l'ont étendue avec une grande douceur sur sa peau de bête de massage et l'ont bercée chacun leur tour d'une délicieuse et profonde pénétration.Quel plaisir de se soumettre ainsi totalement à l'ardeur de mâles attentifs et vigoureux ! Elle n'aurait d'ailleurs opposé qu'une très faible objection de principe s'ils avaient décidé soudain de la prendre avec davantage d'ardeur encore tous les deux ensemble, l'undevant, l'autre derrière. La domination est pour Ambre un ingrédient précieux dont elle adore pimenter savie sexuelle. Y compris d'ailleurs dans des situations où c'est elle-même qui prend lesinitiatives et impose sa loi.Avec la complicité coquine de ses amies les étoiles qui l'informent des opportunités, il lui arrive en effet de proposer le gîte et le couvert pour quelques jours à un voyageur de passage.Se transformant alors en Maîtresse exigeante et directive, elle impose tout d'abord à son nouveau serviteur le port d'un collier de cuir, symbole de sa soumission consentie. Ildevra ensuite accepter sans discussion aucune toutes ses instructions et directives,notamment celles d'aller travailler dur au jardin, à gratter la terre ou élaguer les arbres.En cuisine, il veillera à préparer avec un soin attentif et imaginatif les repas de Madame, sans jamais oublier de nettoyer ensuite ustensiles et matériel. Et si d'aventure des visites sont annoncées, il assurera le service avec discrétion et efficacité, proposant boissons fraîches ou collations, d'abord aux dames puis aux messieurs.Si les uns ou les autres s'adressent à lui, il sollicitera d'abord l'accord de sa Maîtresse avant de répondre. Et si elle souhaitait pour eux d'autres services plus personnels ou plusintimes, il s'exécutera avec distinction et élégance. C'est également elle qui décidera de la tenue qu'il portera, n'excluant pas qu'il puisse être, à l'intérieur de la chaumière comme à l'extérieur, partiellement ou totalement nu.Enfin, il lui faudra se tenir à l'entière disposition de Madame pour lui faire la lecture,l'accompagner en forêt… ou bien s'allonger contre elle pour la caresser et la satisfaire, et cela à toute heure du jour ou de la nuit. Et il devra, bien entendu, renoncer à tout plaisir sexuel pour lui-même, sa condition de soumis le destinant à être exclusivement là, actif, entreprenant et endurant, pour l'aboutissement de son plaisir à elle.Sa meilleure récompense sera alors d'entendre monter lentement son chant d'amour, ses doux gémissements de bonheur, puis d'être tout à coup ébloui par son puissant cri de jouissance, qui portera certainement jusqu'à Pontivy, voire au-delà encore.A suivre...
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Par : le 17/12/15
Je ne voudrais pas être celle. Qui abandonne et qui déçoit. Qui prend et découpe en rondelles. Les mots douceur que je reçois. J'ai des besoins de silence. De liberté, de solitude. Qui peuvent aussi, si l'on y pense. Passer pour de l'ingratitude. Quand la désillusion remplace le désir. Le froid a tout balayé sur ma route. Je me suis repliée dans les souvenirs. La confiance n'est plus, je doute. Deux fins de relations m'ont fait mal. Suis-je encore apte à me soumettre ? Serez-vous patient pour un possible aval. Etes-vous Monsieur celui que je souhaite ? Le 15 décembre 2015.
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