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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Allongée, encore chaude et brulante de désir.... on a fait l'amour.. tu m as baisé..j ai léchée ta queue pour quelle grossisse... pour quelle durcisse....tu m'as laissé jouer avec ton corps...ma chatte embrassant ton gland, il rentre et sort....je sais que tu aspires à être complètement en moi... c est le bonheur quand enfin je te glisse au fond de moi.... c'est doux, chaud, moelleux et humide....
Je glisse sur ton pieux tendu....mon corps attends plus....j insère mon rosebud...pour mieux te sortir...tu apprécies de te sentir un peu plus à l' étroit...je te chevauche avide de plaisir.....
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Tu m'as bien baisé, tu t'es répandu en moi... j aime quand tu t'abandonne! Mon corps attend plus, mais quoi? Pourquoi ne s'appaise t il pas?
Je glisse ma main entre mes cuisses...c'est chaud, moelleux, humide a souhait... c'est si bon...je glisse 2 doigts, quelque va et viens....le plug toujours en moi...un troisième, puis 4 doigts explorent mon corps.... cette douceur se plaisir de me sentir à travers mes doigts... j 'en veux plus...mon pouce se replit, se faufile dans ma main, en moi, revenir à l origine...je m ouvre un peu plus...c est fort...
Mes doigts rentrent peu à peu, étirent mon corps... je recherche en moi quelque chose de perdu? Une explosion, quelque chose de plus profond....
Mes doigts bougent au fond de moi, étrange sensation... ma propre main qui m'explore, mon corps se moule sur ma main, je me ressens de l intérieur...
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(Petit poème écrit il y à quelques mois pour renaitre de mes cendres tel le phénix...)*******Fantasmes de l'âge de raison sous les étoiles du dômeJe m'espérais princesse-tendresse de ton royaumeAux marches du palais, ma main dans ta paumeJe nous rêvais comme les contes d'amour monochromeBercée d'utopie, avec ferveur je priais mon psaumeConsciente de la chance infime de trouver ce baumeJe me résignais mélancolique à quelques chapitres du tome.La fille banale grandit, baleine maladroite d'un aquariumJuger par les regards vitreux elle s'emballe d'aluminiumEt enterre la sensibilité de son cœur au pied des géraniumsOn utilise ses courbes pour qu'elle se pavane sur le podiumOn la tripote comme une fleur qui décore le solariumMais à la nuit tombé on la laisse faner dans une flaque d'opiumPour panser ses blessures il ne lui reste que son critériumJe fait ma première fois chanceuse sans trop de vagues à l'âmeUn souvenir gravé à à la pierre dans son reflet naissant sur la lameInstantanément je bascule pour devenir cette sensuelle dameSoumise sous le cuir des regards, je paye ma culpabilité sans sésameCourte liberté, quand tu me rappelle que je ne suis que l'entameVive écorchée, fait moi mal, forcée je me laisse aller bigameJusqu'à ce que tu me noie, silencieusement, d'un seul coup de rameJe deviens alors l’appât idéal, et prête l'oreille à leurs louanges en rimes,On me déroule le tapis jusqu'au jardin, renaissance d'un sourire d'estimeTimide je découvre cet art, sublimation d'un amour si beau et intimeJe me laisse prendre au jeu, innocente, tu m’accueille maitre sans la moindre frimeHors du temps, ce n'est pas mon corps mais nos cœurs qui deviennent victimesImprévisible hasard d'une rencontre pas anodine, et même pantonymeSous couvert d'un monde qui se compte en milliards de centimesEmportée sur un nuage rose flottant aux douceurs de crèmeTu viens me chercher et m'offrir dans son oreiller de satin, mon diadème ?Poudre de perlimpinpin, ma vie devient le comte réel de mes poèmesJe me sens dans ton regard comme le soleil et boit chaque mot que tu parsèmesTu lis mon âme entre ses lignes, tu me caresse bienveillant sans stratagèmeMe croyant héroïne, je me sacrifie, aveugle confiance, je m'abandonne bohèmeJusqu'à ce que sans crier gare, seule dans le noir, tu m'abandonnes, tu me sèmes...Effondrée en terre, je laisse le poids de mon corps creuser ma tombe anthumeJe me sens hisser alors dans une tour d'argent en ivoire étendue sur le bitumeTu m'apaises entre tes mains et tes mots pour me faire redevenir plumeChaque nuit sans étoiles, j'accepte tes changements de coutumes et de costumesPar la bonté de mon cœur je te soutiens lorsque tu te libères de tes enclumesBien qu’apeurée je t'ai cru, j'ai vendu mon âme, puis à nouveau le noir, la brume...Lee.
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Parfois je t'entraine... pour vivre d'autres choses, sortir de la routine. ..
J'ai revêtu une combinaison. ..mon corps paraît de dentelle. .. des bracelets à mes poignées et mes chevilles. .. je t'attends, image ta réaction, mon désir qui monte... un texto en mise bouche pour donner le ton de la soirée. .. j'ai longtemps hésité pour ce collier. ...
J'entends le bruit de la voiture. .. à 4 pattes j'attends. .. dans un vide poche repose les crochets des bracelets. ..et la laisse. ..
La porte s' ouvre... ne pas bouger, tête baissée, croupe offerte... docile uniquement pour toi
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Attrapez votre soumise par les cheveux et trainez la où bon vous semblera
Bâillonnez la en serrant bien fort, jusqu’à ce que la bave lui dégouline de la bouche
Caressez lui les cheveux comme une petite chienne au pied de son Maitre
Déshabillez la sans ménagement, déchirez et déchiquetez ses vêtements
Examinez tout son corps avec vos doigts dans chacun de ses orifices
Fouettez la, sur ses fesses nues jusqu’à ce qu’elle se soumette docilement
Giflez la au moindre signe de rébellion ou pour votre bon plaisir
Humectez son anus de votre salive et glissez-y le rosebud de votre choix
Insérez votre queue dans sa bouche sans oublier de lui remettre le bâillon après
Jouissez dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle ait avalé chaque goutte de votre semence
Kidnappez son entre cuisses pour la pilonner à volonté sauvagement
Ligotez lui les mains dans le dos, ou glisser lui une laisse autour du cou
Marchez, évoluez dans la maison en la promenant derrière vous à 4 pattes
N’hésitez pas à l’objectaliser en vous en servant de table ou de tabouret
Osez lui faire lécher vos pieds au moindre signe de plaisir qu’elle prendrait
Pincez, tordez, léchez, pétrissez lui seins et tétons, car désormais ils vous appartiennent
Quittez-là un long moment, la laissant attachée seule dans le noir, comme oubliée
Raclez son corps à l’aide d’un gant de crin tout en lui faisant prendre son bain
Sodomisez la en levrette et effleurez son bouton d’or de votre doigt
Tout en fessant ses dunes déjà rougies avec une grande fermeté
Utiliser votre savoir faire pour l’amener aux rives de l’orgasme multiple
Veillez à ce qu’elle jouisse seulement sous votre injonction
Warranter sur le fait qu’elle jouira bruyamment sans retenu comme un animal
Xeres vous lui ferez boire de force dans un verre en cristal, afin d’enivrer la catin qu’elle est
Yeux dans les yeux, son menton dans le creux de vos mains vous l’embrasserez
Zébrez la à volonté, mais n’oubliez jamais de la choyer à la hauteur de combien vous l’aimez
Lee, au pied de la Lettre.
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Donner sans recevoir
Pardonner
Aimer sans être aimé
Enrichissement
Vertu de la frustration
et de l'épreuve
Chaque jour nouveau
devrait être une renaissance
A chaque matin son sourire
et son pas en avant
Car chaque jour
est une nouvelle chance
de donner
de créer
de se réjouir
d'apprendre
La chance d'apprendre
est une délectation du sage.
Filo
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une excellente émission sur une pratique revendiquée par beaucoup : le fist
http://www.franceculture.fr/emission-mauvais-genres-l-amour-a-poings-nus-pratique-esthetique-et-mystique-du-fist-fucking-expo-ma
du gode et du vibromasseur comme instruments de construction sociale et politique de la domination masculine :
http://www.contretemps.eu/interventions/jouets-indiscrets-quoi-parlent-sex-toys
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J'ai entouré la corde autour de ta taille, plusieurs fois pour te vêtir. .. je n'ai pas serré, je t'ai juste habillé... puis j'ai levé tes bras, pour libérer ta poitrine.... me trouvant contre toi dans ton dos, je t'ai caressé...avant de replier tes bras pour attacher tes mains dans ton dos entre tes omoplates.. mes cordes ont serpentées le long de tes bras...t'imobilisant...
J'ai sorti des baguettes en bois, un bois foncé pour contraster avec les cordes... une à une je les ai glissé alternativement entre les cordes de ta taille...devenant vannerie, puis corset... se resserrant à mesure que je glisse les baguettes... je t'emprisonne...je glisse ma main entre tes cuisses. .. tu t'ouvres à mon passage, mes cordes t'enlacent... tu deviens ma sculpture que je façonne... maintenant je vais pouvoir me délecter de toi... griffer ta peau, la lécher, la mordiller...te sucer... tu ne pourras que subir... et t'abandonner cuisses ouvertes pieds et mains liés. .. je t'allonge et savoure ton corps... tu es mon trophée. ...
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Je fais une différence entre ageplay et DD/lg. Je n'aime pas le terme "ageplay" car il y a "acting" et donc jeu (au sens jeu d'acteur) : c'est plutot une dimension de jeux de la comédie, de jeux de rôles. Je préfére parler de dynamique DaddyDom/lilgirl (ou tout autre combinaison MommyDom, lilboy, etc.) afin de faire la différence entre jeux de rôle et expression d'une réelle facette de la personnalité.
Une relation DaddyDom/lilgirl (idem pour les MommyDom et les lilboy ou tout autre combinaison) est plus une relation où le Dom incarne une figure rassurante, protectrice de la soumise. La soumise recherchant un cadre où elle se sentira protéger, et où le Dom s'occupera d'elle et de son bien être. La lilgirl pouvant très bien n'avoir que très peu de traits "enfantin".
De mon point de vue, la différence de cette dynamique de domination par rapport à d'autres, c'est d'utiliser la douceur comme vecteur de domination et non la douleur, ou l'humiliation. Cela rend cette dynamique plus douce, et génére (à mon sens) une emprise plus profonde.
Les lilgirls que j'ai pu connaitre, cotoyer, accompagner ou dont j'ai été le Daddy, ne jouaient pas un acte, elles étaient elles-même. J'ai eu l'occasion de connaitre une soumise qui a voulu me faire plaisir en jouant la lilgirl mais cela n'a pas fonctionné. La dynamique n'était pas sur le bon niveau.
Je pense que le manque de DaddyDom en France est lié à une culture BDSM très orientée controle par la douleur, la punition, ou l'humiliation alors que la dynamique DaddyDom/lilgirl nécessite un controle par la douceur et la tendresse.
Mais bien entendu, cela n'est que mon point de vue (néanmoins partagé avec celles qui furent/sont mes lilgirls )
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...Maintenant qu’elle connait les bases. Je lui enfile un imper cachant sa semi nudité et nous sortons de l’appart direction la cave.C’est une petite cave, comme celle de tous les habitants de mon immeuble. Elles sont accolé les unes aux autres.Et c’est ce que je trouve excitant.Il y fait sombre, froid et humide.Je sens la peur et l’excitation monté en elle.J’ouvre la porte en bois qui grince et la fait pénétrer dans la cave. Rien ne la distingue aux autres caves de toutes les copropriétés du monde et c’est en cela que c’est intéressant.Je la laisse rentrer et avant de refermer la porte, je jette un coup d’œil à la multitude de porte fermer et laisse, le temps d’un battement de cœur, mon imagination fantasmer sur le secret qu’elle renferme et toute les possibles soumises, esclaves, petgirls et autres prisonnières qu’elle pourraient renfermer à l’insu de tous les habitants…haaaalala…Sortie de ma rêverie, je lui dis que c’est ici qu’elle risque de passer beaucoup de temps si elle n’est pas sage…Ou si j’en ai envie…Et pour joindre le geste à la parole, je lui ordonne de se déshabiller. Elle s’exécute, ses seins pointe, due au froid et à l’excitation.Je lui ordonne de pousser les quelques affaires contre le mur de droite.Elle obéie et découvre ainsi les cordes et attaches que j’ai fixé au mur ainsi qu’un collier, une chaine, un bol et un seau.Je lui dis de se retourner et de se mettre à genoux.Une fois fait je lui tire les cheveux en arrière et m’introduit de force dans sa bouche.Elle s’étouffe mais n’essaye pas de se retiré, elle a déjà de bon réflexe.Zut j’aurais aimé la punir pour un réflexe d’auto défense mais son maitre d’origine la bien dresser, bah ce n’est pas grave.Je profite de sa bouche pulpeuse et sensuelle tout en lui expliquant a quoi tout sert, les différentes choses et pratique en cours dans cette cave et les conditions d’utilisation des objets ici (que je ne décrirais pas ici…allons, allons, chacun ses petits secrets ^_^ seul ceux qui testent savent ma cave et souvent ouverte )Au moment de sortir je lui dit de me tendre ses poignets. Je les attaches alors l’un a l’autre et une chaine les relies au mur. La voilà attacher dans cette cave sombre. Je lui dis que des gens peuvent venir, qu’elle ne doit pas faire de bruit ni révéler sa présence sous peine de gros ennui.Puis pour m’en assurer je sors un rouleau de scotch marron que je lui colle sur la bouche.Sa respiration se fait rapide. Sa poitrine monte et descend de plus en plus vite, ses mamelons tendent à leur maximum, ses fesses révèlent un grain de peau et une chair de poule ma fois fort excitante. Son regard est effrayer et en même temps remplie de reconnaissance.J’adore ça.Chaque détail de son corps restera a jamais dans ma mémoire. J’aime ce que je déclenche chez mes soumises et le contrôle que j’ai dessus.C’est un bonheur que de vivre une domination.Je m’en vais en éteignant la lumière, refermant la porte de bois légère qui mènent au couloir d’accès des caves. Et la laisse ainsi, nue, attachée, bâillonnée dans le froid, l’humidité et le noir seule. Je claque la lourde porte en métal qui mène a se couloir.Et je l’imagine terroriser et exciter par cette situation.Elle imagine que cela va durer des heures.En réalité elle n’y restera que quelques minutes mais pour elle cela aura duré une éternité.(Bien entendu je ne pars pas vraiment et sa sécurité est ma priorité, je reste devant la porte en fer qui mène au cave, au cas où, un voisin viendrais chercher quelque chose. Je lui ai laissé un téléphone portable avec mon numéro en priorité. Elle n’a qu’à appuyer sur le bouton appeler , car même si ses poignets son attacher, ses mains sont libre et a l’instant même où je recevrais son appel d’urgence sur mon téléphone. Je foncerais la délivrer. Je me suis entrainé au cas où, il me faut moins d’une minute pour la rejoindre et la délivré. Je préfère préciser et « casser » un peu le récit mais m’assuré que si quelqu’un s’en inspire, il comprenne bien que la sécurité est primordiale, indispensable et indissociable du rôle de maitre et que je ne fais pas cela au hasard)Au bout de quelque minutes j’ouvre la porte en fer et rentre dans le couloir mais au lieu d’aller à ma cave je fais comme si c’était un voisin qui venait voir la sienne pour rajouter a son stress et a son excitation.Je passe exprès devant ma cave plusieurs fois.J’entends un léger mais vraiment très léger bruit de chaine.Je fais mine de m’arrêter devant ma cave et d’écouter.Je l’imagine dans le noir, transie de peur d’être découverte, nu, attaché, humilié.Elle est dans le noir mais le couloir est éclairer et je sais qu’elle voit mon ombre qui se découpe dans la lumière qui éclaire sous la porte. Je l’imagine se recroquevillant, retenant son souffle afin de faire le moins de bruit possible pour ne pas être découverte.Quelques secondes passent puis je fais semblant de continuer mon chemin.Je repars et fait exprès de claquer la porte en fer.La lumière du couloir s’éteint à nouveau.J’attends encore quelque minutes et finalement rentre pour la délivrée.Lorsque j’ouvre la porte, elle est là dans un coin, rouler en boule, ses yeux exorbiter dans une expression de peur et d’inquiétude. Lorsqu’elle s’aperçoit que c’est moi, elle se rue à mes pieds en rampant toute heureuse.Je lis la gratitude et le soulagement dans ses yeux….comme j’adore ce moment.Je la prends dans mes bras pour la calmer, lui enlève son scotch et lui demande si elle est heureuse de me voir ?Elle me répond que oui.Alors je lui demande de le prouver et de se retourner pour me recevoir.Je n’ai pas fini de le dire qu’elle se retourne se met a 4 pattes et tant son cul vers moi.Je sors mon sexe et lui met en elle, fort, à fond, d’un seul coup.Elle crie, je lui mets ma main devant sa bouche pour qu’elle ne fasse pas de bruit. Elle hurle dans ma main sous mes coups de rein.Elle est toujours attachée ses mains jointes au mur.Ses chaines claques contre le sol à chaque balancement de son bassin.Je prends un morceau de scotch et je lui remets sur la bouche ainsi j’ai les mains libres pour lui écarter son cul pendant que je la prends.Apres quelques vas et viens, je m’arrête et me penche sur elle, et lui susurre a l’oreille. « Attention ça va faire mal …».Elle lève des yeux apeurés vers moi.Je lui écarte son petit cul et lui crache dedans, puis je m’introduis doucement en elle.Elle lâche un petit crie sous son scotch.Cela ne m’excite que plus et je reprends mes vas et viens dans son cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort.Elle ramène ses mains encore attaché pour les mettre sur son baillons, tirant ainsi sur ses chaines et m’excitant encore plus.Je repasse dans sa chatte et Je la pénètre violemment comme elle aime tout en lui mettant un petit doit dans son cul.D'un seul coup, pendant que je prends mon pied, on entend la porte en fer qui s’ouvre.Nous nous arrêtons, nous fixons sans un bruit, la respiration est haletante mais nous essayons de faire le moins de bruit possible.J’entends quelqu’un qui viens dans les caves.Au bruit il se dirige a l’opposé de la mienne.Moi pendant tout ce temps je n’arrête pas mes vas et viens, ils sont juste beaucoup, beaucoup plus lent, pour qu’elle me sente en elle mais qu’elle ne fasse pas de bruit.On entend la personne faire du bruit dans sa cave.Comme si il chercher quelque chose ou qu’il rangé ca cave.Je profite du bruit qu’il fait pour mettre des coups de rein plus fort à ma soumise.Je voie bien que cela l’excite et qu’elle essaye de ne pas faire de bruit, appuyant ses mains sur sa bouche par-dessus son bâillon.La voir essayer de se faire discrète malgré mon traitement m’excite.Elle essaye de ne pas crier, de ne pas faire de bruit alors moi j’y vais plus fort, et lui remet un doigt dans son cul.L’inconnue de la cave prend son temps et moi mon pied.Alors que je défonce ma soumise, je sens qu’elle se lâche inconsciemment, elle accélère le mouvement de son bassin, reculant son cul vers moi par à-coup afin de prendre son pied et d’un seul coup je l’entends pousser un cri puis un râle sous son bâillon, je la sens tressauté et tremblé et mon doigt sent son anus se contracté.Elle ose avoir un orgasme sans mon consentement !Je la laisse finir de prendre son pied, je la voie essayer de se mordre la main à travers le scotch. Elle ralentie le mouvement, petit à petit, puis se détend vers l’avant laissant mon sexe presque sorti de dedans elle et ferme les yeux lâchant un petit soupir dans la poussière.Elle oublie qui est le maitre et a de la chance qu’il y est quelqu’un pas loin mais elle ne va pas s’en tiré à si bon compte. Je m’avance vers elle afin de me pencher sur elle, rentrant mon sexe en érection dans sa chatte endolorie par l’orgasme. Elle escarbille les yeux, ne s’attendant pas à ça, je m’enfonce doucement exprès en elle, elle tourne le regard vers moi. Je lui tire les cheveux en arrière et lui chuchote a l’oreille.« Tu jouis sans mon consentement ? Tu crois que parce qu’il y a quelqu’un tu vas t’en sortir comme ça ? Tu crois que c’est fini ? C’est moi ton maitre maintenant et tu n’es rien, c’est moi qui décide ! »Elle me regarde avec ses yeux de biche triste et secoue la tête pour dire non« Bien, alors je vais continuer, car c’est moi qui décide, tu vas ramasser hein ? »Elle répond oui de la tête« C’est bien tu es une bonne petite chienne »Et je reprends de plus belle le travail que j’avais commencé, elle ferme les yeux de douleur et de plaisir.Je continue à lui susurré des mots crue a l’oreille et lui dit « peut-être que je vais aller inviter se mec à venir te punir avec moi maintenant, peut-être que je vais l’inviter à prendre son pied avec le vide couille que tu es non ? »Elle me regarde avec un mélange de crainte et d’excitation.J’entends le bruit de l’inconnue qui arrête.Nous aussi.Il ferme sa porte et s’en vas pendant que nous retenons notre souffle.Je sors brusquement de ma soumise en disant « une prochaine fois peut-être »Je la détache, lui retire son bâillon de scotch et lui ordonne de me nettoyer avec sa bouche. Elle s’exécute.Bien quand tu auras fini nous passerons a ta punition lui dis-je…Elle sourit…fin ...pour l'instant...
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Une incertaine tendresse
01
– Alors cela va être terrible, lui dit-il, terriblement difficile… et périlleux… Etes-vous prête ?
– Je l’espère…
Ils se vouvoient. Dans la distance de ce vouvoiement.
– Maintenir la distance, lui dit-il en lui passant la main sous le menton…
Il la caresse comme une jeune chatte. Il flatte ses flancs : elle : à genoux, nue… Il frôle ses seins, son ventre… Il lui suffirait d’un ordre pour qu’elle écarte les cuisses, se montre, s’offre : à sa vue… à sa main… et à ses désirs…
Il la caresse de la cravache. Il se retient. Il se retient dans ses désirs. Il l’éprouve.
Il aime la voir trembler. Il aime voir la sueur perler à la surface de sa peau. Il aime la voir trembler.
A genoux. Nue. Le buste droit. Les bras tendus. Paumes offertes.
Elle doit : maintenir la pose. Il a ses exigences.
Car il veut qu’elle soit belle.
Belle. Désirable.
Dans cette tension du désir. De l’attente.
Alors il la frôle….
02
C’est très doux.
Terriblement doux.
Son regard. Ses mains.
La cravache.
La douceur de son regard. Et de ses mains. Son sourire. Sa voix. Il la caresse de sa voix.
Mais la cravache.
La cravache est là. Impérieuse. Elle sait qu’elle y aura droit. Et la cravache dessine son corps, ses courbes…
Il l’apprivoise. Il lui enseigne et lui apprend : à avoir peur, à redouter la cravache… à la désirer…
C’est difficile.
Maintenir la pose est difficile.
Et la cravache au creux des reins le lui rappelle : elle se redresse.
– Je vais vous apprendre la fierté. Offrez-vous. Tendez-vos seins. Creusez vos reins. Faites saillir votre croupe. Offrez-vos mains. Les paumes bien tendues. Je veux pouvoir… il marque un temps, puis très vite, dit : … les embrasser, les fustiger… Craignez ! Craignez ma tendresse et mon désir !...
Elle veut bien faire. Etre fière de l’honorer. Lui offrir sa beauté. Sa nudité.
03
Soudain il la relève.
D’une pression sous le menton.
Et de ses bras le long du corps. De ses mains. Il la relève, il la dresse.
– Tête haute.
Et l’enlace. L’embrasse. Sa bouche. S’empare. Il l’embrasse. Serrée dans ses bras.
Ce baiser. Cette pelle. Sa langue dans sa bouche. Cette fusion. Ses bras qui la retiennent. Cela dure.
Soudain : il empoigne sa chatte. A pleine main. Il la broie.
Sa chatte dans sa main.
Il joue avec. Lui fait mal. Le lui demande :
– Je vous fais mal ?
Dans un souffle, elle le reconnaît, avoue :
– Oui. Vous me faîtes très mal.
Et pourtant elle résiste. A la douleur. Elle résiste. Alors, il serre plus fort. Jusqu’à ce qu’il entende son râle. Et la sente mollir jusqu’à presque tomber…
04
Des deux bras noués autour de son cou, elle se retient à lui. Alors qu’il l’explore.
Il écarte ses fesses, joue avec. Leur élasticité tactile. Il pétrit.
Ecarte ses fesses pour voir son cul : dans la glace. Fixée au mur. A quelques centimètres de ses fesses.
Le lui dit :
– Je vois votre cul, très chère.
Alors elle resserre ses bras. Se fait chatte. Se love. Contre lui.
– Petit animal, dit-il, en lui caressant les cheveux.
Avant d’empoigner à nouveau ses fesses. Largement les écarter. Ouvrir son trou. Le faire bailler entre ses doigts.
Il l’encule fort. Profondément. D’un doigt.
Et la soulève. A la force du poignet.
05
La faire marcher. Ainsi. La faire marcher.
A quatre pattes.
Comme une chienne.
Son doigt planté. Pour la guider. La faire avancer.
Il lui murmure, doucement, à l’oreille :
– Vous êtes obscène… Vous êtes très belle…
Et son doigt bouge en elle.
Il s’agenouille à ses côtés.
– Vous êtes une petite chienne… Un animal docile…
Et quand il retire son doigt, c’est pour l’attraper, d’un bras serrer sa taille, la coller, maintenue contre lui. Et la fesser. Fort.
Bien tenue serrée d’un bras, il la fesse avec son autre main.
Il la corrige.
Il lui échauffe le cul.
Il la fesse pour la dresser.
06
– Ai-je le droit de vous battre ?
– Oui. Vous en avez le droit.
– Est-ce nécessaire ?
– Oui. Il le faut.
Il interroge. Et elle répond. Dans leur essoufflement.
Lui, d’abattre sa main avec force.
Elle, de subir le châtiment.
– Je vous bats, je baise en vous battant, je vous prends. Je vous prends avec ma main qui frappe.
Elle répond « oui » entre deux souffles : gémissant, haletant.
Il frappe ses fesses, et comme il est pervers : il bat sa chatte aussi.
– Ouvrez-vous. Ecartez davantage les cuisses. Offrez-vous.
Animal docile, elle s’exécute.
Et sa main s’abat sur les lèvres trempées.
– Mais vous mouillez comme une chienne !
– Oui, Monsieur, je suis désolée…
07
– Petite pute !... Tu aimes être battue ?
Le ton change.
Ironique. Moqueur.
Il l’insulte. Et l’aide à se relever.
La met debout. La dispose. Bras croisés dans le dos. Il la manipule.
– Tu aimes ça, hein ?...
Il lui soulève le menton. Les yeux dans les yeux. Il la nargue.
– Oui, Monsieur, j’aime ça…
Les mots se coincent dans sa gorge. Et : elle avale difficilement sa salive. Tente de baisser la tête.
Au bord des larmes.
Mais la main de l’homme sous le menton l’oblige à rester droite. A relever la tête. A se cambrer davantage.
Pour lui faire mal : il remonte ses bras croisés dans son dos.
08
– Ai-je le droit de te faire mal ?
– Oui, Monsieur, vous en avez le droit. Faites de moi ce que vous voulez…
Il sourit et caresse sa joue.
Tendrement, doucement. Calmement.
Il caresse son visage, le dessine de ses doigts. Frotte sa paume aux pommettes. Frôle d’un doigt le nez. Souligne le menton. Maquille ses lèvres.
Marque une pause.
Bras ballants. Debout face à elle, nue. Tête haute. Les bras croisés remontés haut dans son dos, reins cambrés.
Soudain il l’étrangle.
Il serre son cou. L’étrangle.
Brusquement la lâche.
La gifle.
Une seule. Terrible. Gifle.
Bouleversée.
Elle ravale ses larmes.
Maintient la pose.
Reste droite.
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L'affront réitéré
de cette lumière molle
pas de joie, pas de vice
et ce néon arrimé
à ce chapelet de journées torves
à ton pas de vie
que tu dévales en spirale concentrique
tu t'éloignes peu à peu
du bord
de l'inconnu
dehors
tu verrouilles l'axe
collections
séries
manies
la voix de l’œil du grand frère
toujours branchée
qui t'enseigne
te conforte
t'entretient
ton monde bétonné
couleurs vives
grand choix
rayons & gondoles
les figurants dehors
derrière ta forêt de cadenas
alors que le dedans te défigure
te recharge d'illusion
de rites
de passé
Sur son autel
la lucarne t'aide
à remplir le temps mort
le présent mort
en attendant
car tu attends toujours
un jour ton putain de prince
viendra enfin
te baisera
et tu y croiras
puis comprendras
puis pleureras
jusqu'à ce qu'un autre recommence
et tu pardonneras
et une autre spirale
un autre néon
une autre voix
rassurante
pré-requiem inachevé
d'incontinence
de tes petits riens
A ta dernière heure
le pire serait que tu te retournes
et comprennes tout enfin, d'un bloc.
Filo
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3 aime
01
Tu es allongée, nue, sur le sol.
Sur le ventre.
A même le sol. Peu importe qu’il soit parquet ou moquette ou carrelage ou tapis.
Nue.
Allongée au sol. Dans cette position d’humilité.
Jambes écartées. Les bras tendus devant toi : tu m’offres tes paumes.
Tu m’offres ta nuque, tes épaules, ton dos.
Nus.
Tu m’offres tes reins, tes hanches, tes fesses. Tes cuisses et tes mollets. Tes pieds.
Nus.
Dans cette position d’attente et d’abandon.
Tu m'offres ta nudité.
Acceptant mes mains sur tes reins.
Mes mains écartant tes fesses.
Mes doigts explorant ton con.
Acceptant ?
Espérant. Désirant. Implorant.
L’emprise de mes mains sur tes reins.
Mes mains malaxant tes fesses. Dilatant ton trou.
Mes doigts écartant tes lèvres pour les voir béantes.
Soumise.
Dans cette position de soumission.
Soumise.
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Me réveiller le matin à tes côtés. ..caresser ton sexe chargé de désir. .. me blottir dans tes bras, venir te prendre en bouche. ... te sucer... ressentir ton abandon... m'empaler sur toi... décider du rythme. ..lentement. .. profondément. .. juste au bord.... ou plus vite, plus fort... contrôler ton plaisir. ..me détendre et savourer. .. caresser mes seins tout doux, tout moelleux... pincer légèrement les bouts... griffer mes cuisses. ... me laisser aller... venir... de te guider ailleurs. .. plus à l'étroit. .. gémir de ces nouvelles sensations. ..caresser ton périnée, pourencore plus de plaisir. ... poursuivre. ... ruisseller de plaisir...et jouir ensemble. ..Et reprendre la routine du quotidien. ..
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Un rêve
Les yeux fermés
Je me laisse guider.
Des envies
Des sentiments
Des sensations
Tout s égraine petit à petit
Nous sommes la
Allonger
L un contre l autre
L une contre l autre
Les souffles se bousculent
L envie de toucher cette peau douce d un coté
Et sentir la force de l autre
Effleurer ses lèvres savoureuses de femme
Sentir son emprise virulente d homme
Les yeux fermés
Je sens sa main caresser mon visage
Et la mienne descendre le long de son sein bien rond
Mes sens sont en éveils
Et se bousculent les uns contres les autres
J aime cette proximité des corps
D un coté ses courbes vallonnées
De l autre ce puissant mordant
Je n ai jamais eu l occasion de vivre telle expérience
Mais je sais
Mon être tout entier sait ce qu’il doit faire
De baisers fougueux
En caresses sensuelles
Je me révèle
Ses deux corps
Me plaise tant
Plus accessible
Je me surprend à aimer balader mes mains
Balader mes doigts
Sur ses seins, son ventre et son entre cuisse
Une envie de mordre
Ces deux petits tétons
Venant pointer vers moi
Ces deux seins ronds
Fermes
Me plaisent tant
Mes mains glissent sur ce corps chaud
Qui aurait cru
Que j aime autant cela
Qui aurait cru
Que je sache quoi faire
Une évidence pour moi
Et tant d envies
L envie de la sentir et l entendre succomber entre mes mains
D un coté
Et l envie d être dominée
Et pénétrée fougueusement de l autre
Le fait d entendre ses deux souffles
De chaque coté de mon être
Prendre du plaisir
Augmente mon excitation
Plus il me violente
Plus j ai envie de la faire jouir
Et plus mon plaisir augmente
Je la vois
Se dandiner
Ses seins pointant vers le plafond
Mes dents jouant de ses tétons
Je le sens
Me pénétrer
De plus en plus fortement
Quel doux plaisir
Que d être dans pareil position
Nos trois souffles s enlacent
Nos trois corps ce crispent
Le plaisir est bien la
Quelle plus belle sensation
Que le plaisir qui nous envahi
La tendresse s’installa
La chaleur passée
La fatigue prit le pas
Chacun caressant l un
Caressant l autre
Un moment pleins de douceurs
C est ainsi que nos esprits s assoupirent
Et que mes yeux se sont ouverts
Quel doux rêve ai-je donc pus faire …
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Flash Back
Depuis Quelques mois
Des moments intenses
Jai eu l occasion d en vivre
Je les savoure
Je m en délecte
Profite de chacun d eux
Ne me prive pas
Ne me prive plus
Pour lui
Pour moi
Pour nous
Il ne fut pas facile d en arriver là
Et notre chemin
A de nombreuses reprises
C’est vu semé d embuches
Mais lorsque je vois ou nous en sommes a ce jours
Je ne peu me dire qu’une chose
Tout est possible
D une jeune fille frêle et timide
Je suis devenue cette femme épanouie
Et sachant se laisser tenter par tant de plaisirs
Que dire de cette douce douleur
Qui lorsque le cuire de la cravache ce pose sur ma peau
Me donne tant de frissons et de désirs
Comment aurais je un jour pue imaginer
Que de simples cordes pouvaient procurer tant d émotions
Et de sensations multiples
Ou pouvaient me transportais si loin
Si loin de mon corps et de mon être
Moi qui étais fermé
Eteinte
Murée a toutes ses choses
Qui en réalité me faisais une peur atroce
Qui aurai cru
Que la petite fille pudique
Aime ce faire voir
S exhiber
Tenue par des liens
Ou simplement porter ce collier
Pour rendre fier son Maître
Avoir l’espoir que dans ses yeux
Cette petite flamme scintille
Oui je m étonne moi-même parfois
Repoussant les limites de la douleur
Repoussant les limites de la peur
Repoussant mes limites tout court
Pour une seule et unique personne
Lui
Le Maître
L homme
Celui que j Aime
Celui pour qui je suis prête a tout vivre
Tout endurer
Par la force de ce sentiment
Qui me pousse a me dépasser
Qui m a permis de me battre
Qui force la tolérance et le respect
Je suis consciente de ne pas être comme le commun des mortels
Que je ne veux plus l être
Pour une seule et unique raison
L Amour
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Notre relation avait démarré quelques mois plus tôt, d'abord des échanges de courriers électroniques de plus en plus enflammés, puis récemment par téléphone... Mais nous ne nous étions encore jamais vu, pas même en photo, craignant, je pense,de briser une forme de charme érotique et sensuel que seul le virtuel peut apporter. Il est vrai que le passage "au réel" est toujours un risque, car c'est le moment où il va falloir assumer les délires numériques etles confronter à la dure réalité du monde physique...
Bref, nous avions décidés de sauter le pas et je me retrouvais maintenant là, un peu bête, dans le froid et l'anonymat d'une grande gare parisienne ce samedi soir de janvier.J'étais nerveux et en avance, il était convenu que notre première rencontre aurait lieu dans un café, officiellement pas rassurer la demoiselle, mais aussi,beaucoup pour me rassurer moi-même. J'avais les mains moites, la gorge serrée,j'avoue que je me faisais un peu l'impression d'être un ado encore puceau lors de son premier rendez-vous amoureux... De toute manière, il était trop tard pour faire marche arrière, je la voyais déjà approcher. Elle m'avait ditqu'elle viendrait avec un imperméable noire et qu'elle serait incroyablement sexy... Mais là... Comment vous dire... J'étais abasourdi. Elle respirait la féminité,bien plus femelle encore que femme, sa silhouette divine et élancée semblait flotter sur le sol. A chacun de ses pas, assurés et conquérants, sa magnifique chevelure brune ondoyait comme au ralenti. Pour tout dire, je me serais cru pour quelques instants dans un film d'aventure, où le héros (obligatoirement beau, ce qui n'était pas vraiment mon cas) allez forcément charmer et attirer dans ses filets, l'héroïne, aussi belle qu'inaccessible et nymphomane, comme il se doit. Si nous n'avions pas été en hiver, j'aurais pu même m'imaginer qu'elle ne portait aucun vêtement sous son imperméable... Fichue région parisienne...
Elle se prénommait Layla, elle était d'origine tunisienne et était encore étudiante en biologie lors de notre première rencontre. 26 ans, belle à se damner, et une tendance à la soumission, comme elle me l'avait très vite expliqué lors de nos premiers échanges. Elle vivait en couple depuis 3 ans, mais son compagnon ne partageant pas ses penchants, elle s'était vite transformée en une chasseuse d'homme, à la recherche de qui saurait la combler dans une relation de domination. C'est là, que j'entrais en jeu. Je me trouvais, finalement, dans une situation tout à fait analogue, ma femme étant farouchement opposée à tout comportement de domination, ou pire de sadomasochisme. Bref, Layla et moi,nous étions trouvés, et s'était donc naturel que tout cela finisse ici,à la gare de l'Est, entre une composteuse et un minable distributeur de sandwichs. Mais qu'importe, nous étions là.
Contre toute attente, nous n'eurent aucun problème à briser la glace, nos longs échanges torrides par écrit ou téléphone avaient fait de nous des intimes plus que des étrangers, et c'est enfin détendus que nous nous sommes assis dans un petit café, à l’abri des regards indiscrets. Comme elle était très officiellement ma Soumise et moi son Maître, je lui avais donné des directives très strictes sursa tenue vestimentaire : Elle devait porter des bas (avec porte-jarretelle,bien entendu) ainsi qu'un ensemble de sous-vêtements très élégants que nous avions repérés ensemble dans une boutique de lingerie en ligne. Nous trouvions en effet tous les deux très excitant et sensuel une belle lingerie, bien plus préférable à la nudité totale, du moins dans un premier temps. Sûrement, pour moi, des réminiscences de ce plaisir enfantin de déballer un cadeau très attendu le jour de Noël. Pourtant, je la savais bien souvent nue chez elle et savais aussi que son sexe était toujours parfaitement épilé.
Nous primes notre temps, devisant gentiment autour d'un café, ce qui ne m'empêcha pas à plusieurs reprises et le cœur battant à tout rompre du fait du lieu et de la situation,d'aller lui flatter impudiquement le sexe, lui faisant bien comprendre qu'elle était à ma disposition, en devoir d'assouvir toutes mes pulsions même – et surtout - les plus viles. Loin d'être choquée, elle semblait y prendre plaisir ce qui m'incitait à m'enhardir plus encore. Quand nous en fûmes au point où elle me léchait les doigts emplis de son nectar intime, la respiration courte et le pourpre aux joues, nous décidâmes de nous diriger vers la chambre quej'avais réservée dans un petit hôtel voisin...
La chambre était vraiment laide, genre hôtel de passe, mais qu’importe le flacon, pourvu qu’onait l’ivresse… Jamais Musset n’avait sonné aussi juste à mes oreilles, et puis ce cadre glauque, en un sens, m’excitait profondément.
Je la poussais sans ménagement sur le lit et elle émit un petit cri de surprise. Je mis longtemps à la déshabiller, profitant pleinement de la situation. Nous savions tous les deux que peut-être plus jamais nous ne revivrions ces instants et nous comptions bien en profiter. Etendue sur le lit, elle restait offerte, neportant plus que ces bas, son tanga et son soutient gorge... Je pris mon temps,définitivement... J'ai commencé par lui lécher et lui embrasser la gorge puis je suis doucement descendu entre ses seins, ma main juste posé sur son entrejambe dont je pouvais sentir l'abondante humidité malgré le tissu me cachant encore pour quelques instants sa grotte exquise. Avec mes dents, je dévoilais ses tétons que je léchais et mordillais jusqu'à la faire gémir, de cet espèce de gémissement soumis dont on ne sait trop s'il exprime la douleur ou le plaisir. Sûrement les deux, à cet instant-là, lui faire mal m'excitait au plus au point et m'effrayais tout autant. Je ne voulais pas lui faire mal, et pourtant je le désirais ardemment. Descendant de son nombril jusqu'à son entrejambe, ma langue ne s'attarda pas sur son sexe dont je respirais l'odeur à plein poumon.
"Lève-toi etagenouille toi sur le sol" furent mes seules paroles. Ces yeux rivais dans les miens elle s'exécuta, sa voix tremblante me répondant dans un souffle court d'excitation "oui, Maître". Une fois à genoux, je la poussais dans l'angle de la pièce où j'immobilisais son visage pris en étaux entre l'angle de mur et ma poigne dominatrice totalement assumée. Sans autre forme de procès,j'ai pénétré violemment sa bouche de mon sexe turgescent et violet de désir et j'ai commencé une extraordinaire irumation dans sa bouche devenue maintenant simple objet de mes pulsions. Elle ne bougeait pas, elle ne pouvait pas bouger et mes vas et viens s'accéléraient sans qu'elle ne put lutter le moindre instant. Je la pénétrais jusqu'à la garde de mon sexe, l'enfonçant le plus profondément possible dans sa gorge. Elle hoquetait, avait du mal à respirer, mais elle était ma prisonnière, enchaînée de son plein grès à mon désir, la transformant pour un instant en un simple kleenex. Je jouis longuement en elle... Mon flot de sperme était tel qu'elle faillit s'en étouffer, une quantité non négligeable lui ressortant de la bouche malgré mon sexe et ces lèvres serrées avide de cenectar chaud et salé que je lui offrais. Quand je me retirais, en me regardantdroit dans les yeux, elle se lécha les lèvres d'un excitant coup de langue,pareille à une chatte lapant du lait. Nous ne dirent rien, il n'y avait rien à dire, j'avais jouis et elle n'avait servi que de réceptacle à mes vices..."Met toi en position de levrette à même le sol et fait toi jouir, Salope!". "Oui Maître, merci Maître", encore une fois, elle s'exécuta et ôta son tanga, puis se mis en position de manière obscène et servile devant moi, sa main droite fouillant frénétiquement sa chatte trempée. S'est alors queje me mis à la fessée. Plus ses fesses magnifiques devenaient rouges, plus ses doigts s'agitaient et plus ses râles de plaisir et de douleur se faisaient sonores. Son orgasme fut phénoménal et l'anéanti complétement.
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Nous ne pensions pas, après notre première rencontre, qu'il y en aurait d'autres, comme si, d'une certaine manière, notre intense relation dans un minable hôtel de passe avait épuisé le sujet de notre érotisme, ou tout du moins qu'un seul écart dans nos vies biens rangées ne constituait pas, en soi, un adultère intégralement consommé. D'ailleurs, lorsque nous nous quittâmes ce soir là, ce fut sans un mot, et sans contact pendant presqu'un mois. Le temps sûrement de digérer, pour moi le profond sentiment de culpabilité qui me rongeait à chaque fois que je pensais à elle et d'assumer la présence d'un priapisme violent à la seule pensée de celle qui était en train de devenir mon fantasme absolu. Pourtant, bien souvent, la réalité n'est jamais à la hauteur du fantasme... Mais dans ce cas là, ce fut clairement le contraire. La charge érotique était telle que 4 semaines plus tard, j'en arrivais à me demander si je n'avais tout simplement pas rêvé cette nuit torride passée avec Layla. Bref, un mois plus tard, je rongeais mon frein, partagé entre l'envie folle de la recontacter et la peur viscérale que la même action provoquait en moi. C'est elle qui brisa ce silence tacitement imposé entre nous. Un simple "Je vous appartiens Maître" reçu dans un mail sans objet, me plongea dans des abîmes de désirs insoutenables. Elle avait été ma chose, et l'avoir traité de la sorte me faisait m'interroger sur moi, ma sexualité, mes valeurs. Bon, j'étais paumé quoi. Le concept même d'adultère avec elle m'excitait... Mais la "dominer", faire d'elle une poupée de chaire acceptant par avance tout ce que je pourrais lui faire "subir", dépassaient dans le désir et l'excitation tout ce que j'avais pu vivre jusque là. Je *voulais* abuser d’elle. La domination et la soumission, le sadomasochisme, relevaient avant elle d'une tendance très théorique sans réelle et profonde signification. J'avais peut-être trop lu "fifty shades of grey" sans vraiment comprendre... (Je préférais néanmoins le marquis de Sade). Mais maintenant je comprenais. Je comprenais que ma vie venait de changer et qu'elle en ferait à jamais parti, d'une manière ou d'une autre. Je comprenais qu'elle était *à moi* et qu'elle s'offrait entièrement sans demander aucune contre partie que celle de mon propre plaisir. Je comprenais aussi et surtout que ma sexualité venait de changer sans possibilité de retour en arrière.
Je lui ais donc donné rendez-vous devant la même gare de l'Est. Même heure, même endroit. Le distributeur était toujours là, encore plus sale et plus minable qu'un mois plus tôt. Une éternité. La gare elle même était d'un terne révoltant, terne encore accentué par un ciel gris et des odeurs nauséabondes de désinfectants sous une chaleur étouffante. J'avais été très clair dans mes directives, elles avaient été données de manière très laconiques et sans aucune chaleur. J'essayais très maladroitement de rentrer dans mon rôle de "dominant", avec la conscience aiguë que je m'y prenais mal... Mais qu'elle ne m'en tenait pas rigueur pour autant, trop heureuse d’enfin appartenir à quelqu’un. J'avais en bandoulière un sac contenant un petit "équipement" de jeu... Je voulais lui faire une surprise, mais sans aller "trop loin"... enfin...
Je lui avais demandé de venir nue sous son trench-coat. Quoi ? On a bien le droit de se taper son petit fantasme personnel non ? Et puis le trench coat c'est comme les bas avec porte-jarretelle, ça fait parti de l'inconscient fantasmatique collectif. Bon, ok, c'était aussi une preuve de mon manque d'imagination... Je lui avais aussi imposé une "pute-attitude", laissant à sa discrétion le choix de l'interprétation du concept, flou, même pour moi. J'étais dans ma demande très loin de l'image très érotiquement polissée que nous avions décidés la foi précédente, et je savais que ça allait indirectement contre ses propres goûts. Une manière encore une fois de m'imposer... Et, j'en étais certain, de la contenter dans son désire masochiste de m'appartenir coûte que coûte.
Ca pour une "pute-attitude", je ne fus pas déçu. Une fois encore, je la vis s'approcher comme au ralenti, subjugué par sa beauté et sa vulgarité contenue. Elle portait bien évidemment de hautes cuissardes. Cette femme avait la classe, et quoi qu'elle fasse, elle ne pourrait pas avoir l'air *vraiment* vulgaire. Même le chewing-gum qu'elle avait dans la bouche, pour faire "plus vrai", était mâché avec féminité et élégance. Ce fut bien simple, tous les mâles présents à cette heure devant l'entrée de la gare se tournèrent vers elle, bouche entre-ouverte, tandis-que les femmes la dévisageaient, mi-intriguées, mi-scandalisées, mi-envieuses (...). J'éprouvais à la voyant arriver, un sentiment d'orgueil et de propriété vaniteuse que je ne me connaissais pas et qui me surpris tout autant qu’il me scandalisa et m’excita. Elle fusilla tout le monde du regard et tous les visages se détournèrent d’elle, mais ses magnifiques yeux s'adoucirent immédiatement lorsque nos regards se croisèrent. Elle était à moi et elle le savait. Tout son caractère, toute son intelligence, tout son être se mettaient au service de mon plaisir et se donnaient à moi sans retenue, acceptant tout par avance. Je la pris par la main et la guidais vers l'hôtel voisin où je sentais que nous allions avoir, in fine, nos habitudes.
Entrés dans la chambre je lui dis "met toi nue" et elle fit tout simplement glisser son trench coat, révélant son corps superbe et tout dévoué à mon plaisir.
« Tiens toi bien droite et ne bouge pas… quoi qu’il arrive… ». J’avais changé le ton de ma voix en prononçant ces dernières paroles, et j’espérais qu’elle y avait bien lu une forme de sadisme latent des plus inquiétants. Un frisson la parcourut… pour ma plus grande satisfaction tandis-qu’une ombre indéfinissable passait dans son regard. Que se disait-elle ? Avait-elle peur de moi ? Peur de ce rendre compte que j’allais *vraiment* abuser d’elle et que je n’étais peut-être pas celui qu’elle pensait, mais un monstre sadique digne des faits divers les plus vils ? A moins qu’elle n’ait *envi* que j’use et abuse d’elle comme bon me semble... Cette ombre n’était peut-être finalement que de l’impatience contenue. Dans la chambre mitoyenne, quelqu’un écoutait la radio, et la scène en prenait une allure des plus surréalistes. Elle ne bougeait pas, acceptant sans broncher, pour le moment, ce rôle activement passif que je lui imposais. Moi, je prenais mon temps, faisant glisser mes mains, mes doigts sur son corps, l’inspectant comme un esclavagiste inspecterait un futur esclave. Son visage, son coup, son dos, le bas de ses reins, ses fesses, ses jambes puis ses seins, son sexe, sa bouche… J’allais partout de la manière la plus impudique qui soit, lui faisant bien comprendre qu’elle n’était rien d’autre qu’un mannequin manipulé et habillé par mon désir. Mes doigts venaient flatter son sexe et la pénétraient sans ménagement de plus en plus. Elle, en retour, ne bougeait pas, restait immobile, et mouillait abondamment… Mes doigts étaient trempés de ses sécrétions intimes, et je les lui faisais lécher régulièrement sans qu’elle n’émette le moindre son. Après un bon quart d’heure de ce traitement, j’avais suffisamment dilaté son sexe pour pouvoir y introduire presqu’intégralement ma main. Elle jouit brutalement, tout son corps se raidissant et vibrant d’une manière incontrôlée… Elle ne réussit pas à retenir un râle guttural des plus excitants et je ne lui permis pas de s’allonger… Elle devait rester debout parce que tel était mon désir, et ces yeux noirs exprimaient un mélange d’extase absolue mêlée à quelque chose d’autre, totalement indéfinissable… De la colère ? de la haine ? De l’abandon peut-être. « Retourne toi et reste bien droite ». Elle resta là, sans bouger, me tournant le dos et moi je ne disais rien, ne bougeais pas, au point même qu’elle devait se demander si j’étais encore là. Puis, très lentement, j’ouvris mon sac, faisant jouer la fermeture éclaire avec le plus de bruit possible. Je sortis un tube de lubrifiant et je lui enduis l’anus avec une infinie douceur. Elle ne s’attendait pas à mon contact, et elle tressaillit de surprise. « Ne bouge pas ! » lui entonnais-je et immédiatement elle se ressaisit. Je sortis aussi de mon sac un énorme godemichet que je posais ostensiblement dans son champ de vision de même qu’une paire de menottes, une bougie et une cravache… Elle se mit à trembler de manière visible, l’angoisse montant au creux de son ventre, tout comme l’excitation qui atteignait des sommets, son jus intime dégoulinant maintenant abondamment entre ses cuisses et le long de ses jambes, son bassin ondulant légèrement au rythme d’un amant invisible. Dans la pièce d’à côté, Balavoine chantait « on nous prend pour des fous… ce qu’on peut penser de nous on s’en fout… »… Toujours ce côté surréaliste… L’univers entier fomentait un complot et nous faisait un clin d’œil. Je me mis enfin nu, et c’est sans ménagement que je me mis à la sodomiser, avec une brutalité à peine contenue et un plaisir évident. Je voulais voir jusqu’où elle était capable d’aller, et je commençais à craindre, que ses limites ne soient plus lointaines encore que les miennes. Son corps était secoué par mes coups de boutoir mais elle tenait bon et ne bougeait pas, même si je sentais qu’elle contractait périodiquement les muscles de son vagin… La petite câtin arrivait à se masturber sans se toucher et cette simple constatation augmenta encore mon érection. Je mis ma main dans sa chatte pour mieux sentir son plaisir. Malgré elle, elle se mit à gémir autant de plaisir que de douleur et je n’intervins pas. Je jouis en elle abondamment, mon sperme inondant largement hors de sa grotte interdite et glissant le long de ses fesses. Elle avait mal, je le savais, je le *voulais*, et de cette douleur même elle tirait de la satisfaction… celle de porter dans sa chaire la douleur de mon plaisir. Elle s’oubliait elle-même, s’abandonnant à mes envies. Je la poussais à genoux et mon sexe à nouveau turgescent pénétra sa bouche tandis- que je me saisissais de la cravache. Elle hésita, frémissant de crainte et d’envie mêlées et son regard clairement angoissé maintenant se fondit dans le mien. Et pourtant, elle continuer à silencieusement se masturber… Je lui souris et contre toute attente lui dit « un mot de toi et je m’arrête ma Layla ». Elle ne dit rien et je la fis se relever, accompagnant son mouvement de mes doigts dans son sexe trempé. Elle me regardait, clairement partagée entre le plaisir, le désir et l’appréhension. Je sortis alors de mon sac une magnifique corde de lin qui finit à côté de la bougie et du godemichet… Elle me lança un regard d’une perversion absolue, jouissant par avance de ce qu’elle allait me laisser faire… Notre nuit ne faisait que commencer… et moi je me mis à me demander qui de nous deux dominait l’autre finalement…
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J'aime m'abandonner entre tes mains. .. te laisser mon corps... tes ongles glissent sur ma peau... tu sais que j'aime ça, tu en profites...je me laisse faire. .. je savoure... tu me mordilles... suces le bout de mes petits seins moelleux... descends sur mon ventre. .. je lutte c'est sensible, tu arrives entre mes cuisses. .. ta langue, un supplice. .. tu me retiens, je me débats. .. mais tu continues.... je sens ton emprise sur moi, tes mains sur mes cuisses ouvertes... tu te délectes de mon corps, me maintient fermement. .. pour que je m'abandonne... un doux supplice. .. envie de plus. .. plus intense... je t'attire vers moi, cherche ton sexe, ta bouche... je te veux en moi... contre moi...peau contre peau...tu me pénétres, c'est si bon... puis je viens sur toi, danse lassivement sur toi en caressant mes seins, pinçant légèrement mes bouts...griffant mes cuisses. .. j'aime cette sensation... puis je sens tes mains claquer sur mes fesses. .. j'en veux encore. .. toujours plus. ..
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Mon téléphone sonne.
C’est un message de maitre A qui m’annonce que lui et sa soumise sont à la gare.
Je m’habille pour aller les chercher. Il vient me la confier quelques jours, quinze pour être exacte, quinze jours ou elle sera ma pute, mon esclave, ma soumise, ma chose selon le bon vouloir de son maitre.
Alors que j’arrive à la gare, je les voie tous les deux m’attendre.
Lui, grand, classique, m’accueille avec un sourire, elle…
Hé bien elle est habillée comme je le souhaite, talon haut, bas noir, et un long imper qui cache sa nudité.
Je sais que dessous elle n’as seulement qu’un porte- jarretelle et rien d’autre. Je le sais car, selon mes conseils, son maitre le lui a ordonné.
Maquillé outrageusement, telle la pute qu’elle est, elle me sourit à son tour. Je les fais monter, lui a l’avant, car c’est la place des personnes.
Elle a l’arrière car je ne peux malheureusement pas la mettre à sa vrai place, dans mon coffre, devant tout ce monde et de plus elle ne m’appartient pas, elle reste la propriété de maitre A.
nous arrivons enfin chez moi, je les fais pénétrer maitre et soumise, dans mon salon.
je Prend leur manteau et propose a maitre A de s’assoir afin que nous ne perdions pas de temps.
Il sort alors de son sac le contrat que nous avons rédigé ensemble.
Sa soumise nous le lis, habillé seulement de son porte jarretelle, offert à nos regard.
Une fois finie nous signons tous ce contrat de prêt et sur de dernière recommandation de son maitre elle m’appartient pour quinze jours!
Enfin!
Elle va ramasser!
Je le raccompagne à la gare, mais cette fois il monte à l’arrière de ma voiture, et elle a l’avant.
Il ne comprend pas trop pourquoi mais il s’exécute, a peine démarré, j’ordonne à ma nouvelle pute de me sucer pendant que je conduis, laissant ainsi le plaisir a maitre A de contempler sa chienne en pleine action.
Elle est là, en train de me sucer, et lui qui la mate, elle le sais alors elle s’applique de son mieux, met de l’ardeur a la tache comme un dernier cadeau envers son maitre afin qu’il soir fier d’elle.
Nous arrivons à la gare et je lui ordonne d’arrêter.
Nous déposons maitre A à la gare et repartons.
Sur le chemin du retour je l’oblige à me sucer encore, et lui met quelques gifles pour mon plaisir.je jouis dans sa bouche, elle avale tout goulûment manquant de s’étouffer, bavant et laissant s’échapper du sperme aux commissures de ses lèvres. hum que j'adore ce bruit. je lui ordonne de ne pas l'essuyer.
nous continuons ainsi jusqu’à chez moi, a chaque fois qu'une voiture s’arrête a coté de nous au feu, je sens qu'elle s'agite.
je sais ce qu'elle pense et cela me fait sourire, j'en joue avec elle...
elle s’imagine que tous savent ce qu'elle vient de faire, qu'elle salope elle est et que tous voient les traces sur ses lèvres.
bien sur il n'en n'est rien mais je sais que cela l'excite.
a peine arriver chez moi, je me pose sur mon fauteuil de maitre et lui ordonne de se présenter devant moi.
Elle arrive debout, je lui ordonne de se mettre à genou et lui passe son collier de chienne.
Je lui explique les règles de la maison.
Puis lui fait faire le tour du propriétaire en la tirant par une laisse.
La cuisine, pendant que je lui explique ou son placer les choses, je lui mets ma bite dans sa bouche de force, et lorsque nous attaquons les placards du haut pour quelle voient mieux, je la relève, la retourne et l’encule à sec.
Elle crie.
J’aime ça.
Tous ses trous m’appartiennent selon notre contrat, ou, quand, et comment je le veut.
Je lui mets ma main autour de la bouche, la déformant de force et lui dit à l’oreille doucement, qu’elle ferait mieux de fermer ca gueule et qu’elle a plutôt intérêt à faire bien attention à ce que je lui dis car à la moindre erreur de sa part elle sera sévèrement punis.
Elle secoue la tête et me répond «oui maitre».
C’est bien.
Nous passons au couloir, je lui explique que lorsque je rentre elle doit m’attendre à l’entrer et me présenter son corps afin que je l’inspecte, à chaque fois.
Je la retourne donc la plaque contre le mur et inspecte son corps comme si je venais d’arriver, en caresse chaque partie, introduit mon doigt dans chaque orifice et lui fait sentir ou lécher.
Elle se doit d’être propre.
Nous travaillerons son accueil plus tard.
On continue avec les toilettes, je lui explique les normes d’hygiène, ici elle n’est rien, elle doit laisser la porte ouverte pour que je la voie peu importe quand, de plus je lui explique que je peux lui mettre ma bite ou je veux pendant qu’elle fait ses besoins, et pour lui montrer je la pose sur les toilettes et l’oblige à me sucer.
Bien,
je me retire quand elle semble prendre son pied, afin de la frustrer un maximum.
Nous continuons,
la salle de bain, ici elle me lavera quand je le lui ordonnerais et je la laverais (à l’eau froide comme recommander par son maitre) moi-même, elle n’as pas le droit de se laver seule.
Pendant que je lui explique cela, je la mets face au miroir de la salle de bain et la pénètre violement, lorsque je rentre ma queue je sens ses jambe dégoulinante d’envie, cela ne me donne que plus d’ardeur!
Après quelques crie de sa part, nous passons au placard, je lui dis que c’est ici qu’elle sera enfermer lorsque je recevrai des gens qu’elle ne devra pas rencontrer, lorsqu'elle fera du mauvais travail ou tout simplement quand j’en aurais envie.
C’est un grand placard, sombre, glauque, que j’ai aménagé pour y faire subir mes chiennes.
Je la mets dans une position inconfortable et l’oblige a me sucer pendant que je lui montre les différentes attaches dans le placard qui me permet d’attacher ma soumise pour la punir.
Une fois mon sexe et mes couilles bien nettoyer par ma nouvelle petite chienne, nous passons a la chambre, a peine entrer , je la prend par les cheveux et la jette sur le lit, l’écrase de tout mon poids et lui susurre a l’oreille les règles à suivre dans la chambre, elle ne bouge plus , respire fortement tellement elle est excité,ce que je vérifie en mettant mes doigts dans son intimité. L’intérieur de ses cuisses sont recouverte de sa mouille intime et le flot ne fait que continuer.
Bien! Cela lui plait.
Je lui tire les cheveux pour qu’elle relève la tête, et lui explique ou se trouve son panier, dans un coin de la pièce, c’est là où elle dormira pendant ses quinze jours, pendant qu’elle regarde je saisie mon sexe et la pénètre violemment, elle crie, puis je lui écrase la tête dans les coussins et lui dit de gueuler autant qu’elle veut parce que je vais y allez violemment.
Je la pénètre fortement au rythme de mes envies, elle crie, gémis, et au moment où je sens qu’elle part qu’elle va jouir, je me retire.
Non, ce n’est pas pour maintenant la jouissance, ça c’était les présentations…
maintenant que le tours du propriétaire est fait et que les règles sont dites, il est temps d’aller à la cave…
à suivre...
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1) Déjà, il nous faut une musique http://www.youtube.com/watch?v=disqzLW1QJA
Dvorak, c'est banal, mais c'était ça ou une valse de Vienne, vous plaignez pas !
2) Vlan, j'espère que vous savez valser, et que vous êtes assez grand, je suis loin d'être petite et j'aime regarder mon partenaire dans les yeux quand je danse.
3) D'habitude, je valse avec mon fils, grand amateur de la chose. Plus grand, il écumera les thés dansants, à mon avis...
4) 1, 2, 3, 1, 2, 3, 1, 2, 3....
5) J'ai un seul fétichisme, le cul des hommes. C'est une passion, chez moi. Les petits, les larges, les moelleux, les musclés, miam.
6) Je suis VIP, Very Intrusive Person.... J'adore m'introduire à l'intérieur d'un homme, par pas mal d'orifices, avec pas mal d'accessoires...
7) Aïe, ça, c'était mes pieds !
8) Mais non, vous ne risquez rien, à peine une main aux fesses, mon cher vlan, pas de quoi fouetter un chat...
9) Je me souviens d'un de mes boulots. Un collègue avait le cul le plus magnifique que j'ai jamais vu ! Du coup, je passais mon temps derrière lui à me rincer l’œil. Il me trouvait compétente, mais lente, très lente....
10) Tiens, et si on changeait de musique ? http://www.youtube.com/watch?v=i31godfcZZ0
11) En plus d'être VIP, je suis MIP, mais ça, c'est que pour mon him.
12) Pour répondre à votre tentative de racket, vlan, j'ai été victime d'une prise d'otage, un jour, sans blague. Le type avait un fusil, il menaçait de tuer tout le monde s'il n'obtenait pas ce qu'il voulait. Du coup, il s'est pris une bonne ratatouille par une bonne soeur excédée, foutue comme un déménageur breton, au bout de 2h de pourparlers... Comme quoi, faut pas énerver une religieuse !
13) Si je ne devais garder qu'un seul livre, ce serait "Les noces barbares", de Yann Quéffélec http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Noces_barbares
14) Un jour, je jouais avec mon chien, un lévrier iranien un peu brute, j'ai baissé la tête, il a relevé la sienne, et il m'a cassé le nez. Personne n'a voulu me croire quand aux circonstances de l'incident. Pourtant, c'était plus original qu'une porte de placard !
15) A 14 ans, j'étais babacool. Mais c'était trop doux. Du coup, je suis devenue blouson noir. Bagarreuse, teigneuse. Puis j'ai viré punk. Par certains côtés, ça m'a pas passé...
16) Oups, ça, c'était vos pieds...
17) J'ai eu jusqu'à 200 paires de chaussures.
18) J'ai 4 armoires de fringues, et rien à me mettre, of course !
19) Je rêve de faire le chemin de Compostelle. Pour la paix, la sérénité, l'effort physique, et l'introspection. Mais je ne suis pas catholique.
20) Je vis dans un quartier multi-ethnique depuis 18 ans, et j'adore ça ! Chez nous, quand ça sonne à l'interphone, on ne décroche pas le combiné, on ouvre la fenêtre et on crie "C'est pour quoi ?". C'est quand même plus convivial, non ?
21) Ceci dit, j'ai reçu une excellente éducation, je suis sortable partout, je vous rassure
22) C'est bientôt fini, une dernière musique pour bien faire : http://www.youtube.com/watch?v=UK5X_Mb9daM
23) Le Prince des Marées
24) Je suis une grande buveuse de thé, et je rate le café. Même lyophilisé....
25) J'aime flâner dans une ville inconnue, le nez en l'air, en mode Lulla l'exploratrice.
26) Je suis curieuse. Dans tous les sens du terme....
27) Ca va, pas trop fatigué, mon cher Vlan ?
28) J'ai fumé pendant 30 ans, et je me suis arrêtée du jour au lendemain. Ca fait 3 ans, et tout va bien.
29) Le film Rrrrrrr me fait mourir de rire. Il va faire noir....
30) Je peux revoir x fois un film que j'aime sans jamais me lasser.
31) S'il y a une chose que j'ai du mal à supporter, ce sont les mytho...
32)
33) Bon, voila, c'est terminé. Je vous remercie pour ce moment musical et dansant. Il ne manque plus qu'une petite coupe de champagne, pour bien faire...
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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LA PUNITION
Non je ne veux pas le faire,
Et pourtant le faudra-t-il.
Mais ne crois pas mon amour en péril :
Il me le faut pour mieux t'aimer.
Il faudra du courage, et ainsi tout subir,
Et tu l'auras, je le promet.
La déception envers toi m'envahit,
Comme un poison mortel emplit tout mon esprit.
Il faut tuer l'erreur, tu dois payer ce prix,
Avant qu'elle ne m'ait une autre fois trahis.
Mais ne crois pas mon amour en péril :
Il me le faut pour mieux t'aimer.
Il faudra tout ton coeur pour toujours m'obéir,
Et tu l'auras, je le promet.
Il faudra tout ton coeur pour savoir me servir,
Et tu l'auras, je le promet.
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Elle a des yeux qui brillentComme des boutons de bottinesElle vous regarde, mutine,Anime votre pupille…Elle vous tend une main blancheQue vous baiserez en gentleman ;Vous lui saisirez les hanches D’un doigté de profane.Mais elle plantera ses lames,Piquants acérés, pointes amères,Sourire cruel, morsure de dame,Rapt d’un mâle par une chimèreC’est la femme porc épic…
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Dès les premiers échanges sur un tchat BDSM, je l’ai remarquée. Elle avait du style de la prestance et une certaine douceur dans sa façon d’écrire. J’y suis sensible. Sur sa fiche, l’image d’une paire de jambes féminines vêtues de cuissardes. J’y suis également sensible.
C’est stupide. Les images de femmes en cuissardes pullulent sur le net et il n’est pas si difficile d’avoir de la prestance sur un tchat, il suffit de le vouloir et de prendre son temps avant d’écrire. Mais j’ai senti quelque chose avec Elle, tandis que nous échangions sur un salon peuplé de soumis et de quelques dominatrices. Et j’avais le désir qu’Elle me remarque, je voulais faire la différence, parce qu’Elle me plaisait.
Je suis d’un naturel assez réservé, même sur un tchat. Mais cette fois là, je me suis dit qu’il fallait agir, ne pas passer à côté d’une opportunité. Je préférais ne pas plaire plutôt que de ne pas savoir.
J’ai su me faire remarquer, j’ai su lui plaire, pour mon plus grand bonheur.
Rapidement nous échangions par message privé, puis par mail et par sms.
Tous ces échanges ne faisaient que confirmer ma première impression et j’étais heureux d’apprendre que je lui plaisais.
Vinrent les échanges de photos, une femme magnifique avec un regard irrésistible. Mais je n’étais pas son type, pas moche mais pas le soumis qu’elle s’imaginait. Elle semblait douter, l’attirance cérébrale était forte.
L’attirance physique ne se discute pas vraiment. Je devais bien m’incliner.
Néanmoins nous gardions contact, les échanges étant toujours si intenses, si agréables. On se comprenait.
Pour Elle j’eus de l’audace. Je lui exprimais mon admiration, mon désir de la vénérer, l’image de Déesse que j’avais d’Elle. Je n’avais pas le moindre doute, une sensation nouvelle pour moi… l’évidence. Ce que j’ai toujours cherché.
D’une certaine manière je lui restais fidèle, même si Elle n’était pas ma Maîtresse. Je voulais simplement la satisfaire, être à sa disposition sans être envahissant, disponible pour Elle.
Puis vinrent les échanges en skype, la voir bouger, sourire et surtout me regarder. Le photos ne lui rendaient pas honneur. Elle était encore plus fabuleuse en mouvement. Et ce regard sur moi, indescriptible, un instant de bonheur.
Puis Elle changeait d’avis. Elle me voulait pour lui appartenir, être sa chose. J’en fus bien sûr très heureux et dès ce moment, je l’appelai Maîtresse.
La relation démarra à distance car nous étions distants. Impossible de se voir spontanément. La distance, les vies à mener de chaque côté, pas simple de se voir.
Pour la première fois je vivais la relation à distance, sans réel, sans contact physique, frustrant aussi bien pour Elle que pour moi. Mais mon plaisir fut pourtant bien plus grand comparé à mes précédentes relations réelles. A ma grande surprise j’y prenais beaucoup de plaisir, lui raconter ma journée chaque soir, parfois suivre ses ordres ou ses consignes. Je fus parfois puni, je me suis parfois rebellé mais la relation continuait, toujours forte, de plus en plus complice. Avec moi Elle pouvait être totalement Elle-même. Je m’adaptais à son humeur, à ses désirs et j’y prenais un grand plaisir. Je me rendais disponible pour Elle.
J’avais un surnom juste pour Elle.
Au bout d’un certain temps elle décida de faire le trajet pour venir passer un week end chez moi. Le passage en réel peut être délicat, d’autant plus quand il y a de la distance. Mais je n’avais aucun doute. J’acceptais l’idée de ne pas lui plaire en réel, sa simple présence me suffirait.
Je l’attendais à la gare, impatient et stressé, le genre d’instant dont on se souvient, qui nous rappelle qu’on est en vie. Elle apparut enfin, souriante, j’étais à Elle.
Un baiser sur la joue, c’est ce qui était convenu. Puis je prenais sa valise et l’emmenait chez moi.
Le soir même j’étais nu et à genoux devant Elle. Elle avait apporté plusieurs paires de bottes, Elle savait bien sûr que j’y étais sensible. Elle me demanda quelle paire je préférais. Je n’osais pas répondre, mais Elle le fit pour moi. Elle avait deviné, Elle me connaissait déjà si bien. A sa demande je me mettais à 4 pattes pour lcher ses bottes tandis qu’Elle me cravachait les fesses.
Au cours de ma vie j’ai eu l’occasion de vivre ce genre d’expérience plusieurs fois. Et souvent je ne pouvais m’empêcher de réfléchir tout en léchant les bottes. Je me visualisais pendant cette situation. Parfois je me demandais pourquoi je faisais ça, je me demandais si j’y prenais du plaisir.
Cette fois là, ce fut différent. Je ne réfléchissais pas, j’obéissais, je me soumettais à ma Maîtresse. Je découvrais à quel point j’y prenais du plaisir et à quel point ce plaisir pouvait être intense. Je ne me visualisais pas, je vivais l’instant.
Malgré la cravache, la soumission je ressentais une grande douceur venant d’Elle. Une puissance devant laquelle je m’inclinais avec bonheur.
Pendant ses déplacements et sans le vouloir, son pied marcha sur ma main. Nous en furent surpris tous les deux. Et sans réfléchir, je redoublais de ferveur avec ma langue sur le cuir de ses bottes, comme pour exprimer ma soumission. Même sans faire exprès, Elle était ma Maîtresse et je devais lui montrer que j’étais prêt à subir pour Elle.
Elle s’arrêta et je pus sentir son plaisir ce qui fit redoubler le mien.
Ensuite Elle s’installa sur le fauteuil et m’ordonna de m’approcher d’Elle à genoux. Elle prit mon sexe dans sa main avec lequel Elle joua un moment, provoquant parfois la douleur, toujours compensé par une extrême douceur comme sa joue contre la mienne, ses lèvres sur mon visage. Puis je dus lui donner du plaisir avec ma langue, aussi longtemps qu’Elle le désirait. Ce plaisir fut intense pour moi. Et enfin je pus me masturber dans ma main, jouissant au moment où Elle le décidait.
Le week-end passa ainsi, fait de discussions, de plaisir et de soumission à Elle. Parfois je ne portais que mon collier juste pour discuter.
Puis Elle repartit après ces deux jours qui passèrent trop vite.
La relation continua un moment à distance. Puis Elle fit une rencontre vanille face à lequel je ne pouvais représenter aucune concurrence si ce n’est son désir de dominer. Elle fit un choix, celui de vivre l’amour vanille.
Bien sûr j’avais le regret de perdre cette intensité mais je souhaitais son bonheur et j’avais la confirmation que j’aimais être soumis à une femme. J’avais aussi compris grâce à Elle que je n’étais pas soumis à toutes les femmes et qu’il ne suffisait pas de porter des bottes ou des cuissardes pour que je ressente cet intensité.
C’est bien la femme qui compte avant tout et la relation qui se construit avec Elle, la complicité qui émerge et se fortifie avec le temps. La capacité de deviner les désirs de l’autre et partager plus que des séances.
Je ne sais pas si c’est de l’amour, mais c’est ce que je recherche…
loveboot
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Tu es derriere moi...je suis en jupe quand je sens tes main remontant le long de ma cuisse...retroussant ma jupe et decouvrant mes fesses a nues ...et le petit triangle de mon string en au haut de mes fesses... Le desir monte en moi.. Je sais a quoi m attendre bientot tu seras en moi pour mon plaisir...
Tes mains caressent mon cul...descendent vers mon sexe me titille... Je sens le frottement de ton corps contre le mien...le desir montant en toi... En nous...
Tes mains font glisser mon string ...liberant mon sexe...le mettant a nu...je me penche sur la table me preparant a d acceuillir... Pleine de desir .... Tu deboutonne ton pantalon...liberant enfin ton sexe charge de desir...je sens le frottement de celui ci contre moi...entre mes jambes....ton gland s approche doucement de l entree humide de mon sexe.. Il commence a me penetrer ...s insinue en moi s enfonce en moi ...je sens le va et vient de ton sexe s enfoncant un peu plus en moi ...me liquefiant sous ton emprise m agrimppant a la table... succombant peu a peu au plaisir...laissant ton sexe m envahir... Le plaisir grandir en nous... Au fur et a mesure de ce va et vient tu finis par me retourner...me retrouvant face a toi... Ton sexe encore charge de desir.. Je m allonge sur la table tandis que je sens a nouveau ton sexe qui me penetre.... Tes mains guidant mes fesses.. Pour mieux t enfoncer en moi...au plus profond de moi... Faisant glisser tes mains sur mon corps caressant mes seins charges de desir...laissant le plaisir m envahir... Peu a peu.... M agrippant a ton corps..te laissant aller venir en moi... Jusqu a ta liberation....
Juin 2013, rédigé et Envoyé à mon Amour
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Sans mot dire, elle s’assied par terre, tire le bas sur sa peau diaphane, lisse une mèche de cheveux, s’agenouille enfin, jambes écartées, mains jointes sous les fesses, épaules en arrière, seins dardant sous la brise fraîche de la clim.
L’attente, excitante… Et ce regard dans son dos qu’elle sent, pesant, assombri mais où brille une lueur lubrique. Le silence accroît cette sensation dense et humide, presque tropicale, avec quelques degrés supplémentaires lui arrachant une perle sur la tempe, rougissant ses joues, gonflant sa poitrine autant que dilatant sa pupille. Elle inspire un grand coup, règle sa respiration qu’avait augmenté les battements de son cœur, ralentit cette galopade qui lui vrille les sens et progresse dans son ventre où gonfle cette boule pressante, vivante, exigeante. Elle devine cet afflux qui irradie son sexe, elle sent le miel couler dans la fente douce et renflée, ouverte. Elle prend conscience de cette eau douce qui coule sur ses cuisses, en jouit d’avance. Elle respire sa propre odeur de cyprine, en est troublée, redouble d’excitation, toujours suspendue, en alerte. Elle ferme alors les yeux pour savourer cette onde qui l’envahit entièrement, frissonnante et abandonnée : le désir qui la prend est un avant-goût de sa domination.
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MEA CULPA
Mea culpa mais aussi conseil d’un « vieux de la vieille » pour les nouveaux dans ce monde.
Certaines ou certains me connaissent ici sous la « bannière de Maître ».
Aujourd’hui, et après de nombreuses années passées à dominer, je préfère m’en retirer le titre.
Parfois nous nous confortons dans cette image qui n’est, en fin de compte, que celle que notre ego nous dicte .
N’étant pas issu du milieu libertin, (chacun ses pratiques ou ses envies mais ce n’était pas les miennes. Je respecte cependant toutes catégories), je suis entré de suite dans celles qui me touchaient, qui me faisaient vibrer. Le BDSM
Mon parcours a souvent été semé d’embûches en tout genre.
Même l’apprentissage n’est pas une mince affaire dans ce genre de relations.
« jeux », « pas jeux » ?
Je ne vais pas continuer à vous énumérer ce parcours.
Des soumises ? Oui !
Les aléas de la vie font parfois que les relations se terminent brusquement avec une grande claque en pleine tête.
Certes, on se remet plus ou moins vite sur pied mais difficilement.
L’Homme est ainsi construit.
Pour en revenir à « mon histoire », « notre histoire » avec ARC et pour ceux qui pourraient se poser des questions, je vais vous en donner un bref aperçu et chacun de vous pourra en tirer une conclusion ou plus judicieusement un conseil.
NE JAMAIS COMMENCER UNE RELATION TANT QUE LE CŒUR RESTE ENCORE UN PEU AILLEURS.
J’avais tout misé sur Arc en pensant que mon choix était établi.
Hélas une autre était encore présente. Cinq années partagées avec des hauts et des bas.
Beaucoup de bas les derniers temps.
Avec Arc, nous avions des échanges plus ou moins réguliers quand j’étais avec ma soumise.
Juste envie de discuter sauf que déjà, j’avais une forte attirance vers elle.
Et puis voilà le moment où cette soumise, cette FEMME, devient libre.
Une approche, des échanges…. Des heures à parler, à discuter de tas de choses.
La rencontre :
Celle que je voyais dans toutes les galeries était encore plus belle que sur les photos.
Ceci dit, en passant, CELLE qui considère qu’elle est vieille, « obèse », n’est pas passée par tous les stades de la vie.
Nous verrons comment elle sera après un accouchement ou plus.
Une fois la ménopause venue … l’âge…
Facile de parler quand on a 20 ou 30 ans de moins.
Et puis comme j’ai toujours dit :
Il vaut mieux un corps avec du répondant, avec des formes douces et pulpeuses plutôt qu’un corps que l’on a peur de "casser".
De mon côté Homme, Mesdames soyez fières d’être aussi dévouées dans notre monde de « dépravés » car votre Dominant, en contrepartie, ne vous apportera certainement moins que ce que vous lui donnez. Vous êtes, en quelque sorte, notre force d’avancer.
Arc est belle, Arc ne manque pas de personnalité.
Arc est une bourrique mais c’est tellement agréable d’avoir quelqu’un ayant du répondant.
Arc est volontaire et sait se donner, oui, se donner.
Je suis déjà jaloux de son futur Maître.
Une histoire parmi tant d’autres qui se termine mal par la faute de l’un des deux.
J’assume en être ici le seul responsable par un choix, qui, je le sais d’avance, ne sera pas obligatoirement le bon.
J’ai rédigé ce texte avec tout mon ressenti.
Notre relation entre Elle et moi est terminée sauf que… sachez, Messieurs les futurs prétendants, je garderai contact avec Arc.
Avant de vous engager, pesez le pour et le contre.
Si vous êtes mariés, passez votre chemin.
Si vous êtes en hésitation pour une rupture annoncée, passez votre chemin.
Si vous pensez chercher une carpette, passez votre chemin.
Si vous pensez pouvoir devenir Son Maître, capable de lui apporter bonheur, sincérité, plaisirs partagés… osez !
L’autodestruction du scorpion que je suis et qui vient de se détruire une fois de plus.
M_JPS
Le 7 avril 2015
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L'envie qui arrive se développe dans ma tête. .. souvenir d'un réveil calin, d'un moment intense lorsque j'ai senti ton sexe forcer l'entrée de mon cul... que j'ai crié à mesure que tu t enfoncais en moi.. mes mains dans mon dos j étais allongée sur le ventre... et tu t'activais en moi.... avant que je sente ton sperme gicler dans mon dos... Quel doux souvenir..., j'ouvre ton jean, caresse ton sexe pour le réveiller, avant de le sortir de son cocon, le prendre en bouche, m'en délecter ... je m'active, te suce, j'en ai terriblement envie... je déboutonne mon jean tout en gardant ton membre dans ma bouche.... pas de temps à perdre, tu te lèves, me prends en levrette sur le canapé. .. c'est si bon, je gémis de plaisir. .. puis tu t'assois dans le canapé et je viens m'empaler sur toi... trop envie... envie de plus... je guide ton sexe dans mon cul...je me détends... je vais, je viens. .. c'est profond... le plaisir monte.... je me caresse en même temps.... te sens en moi... mes 4 doigts savourent ma chatte humide et ouverte à souhait. .. tout va vite... l'orgasme est proche, nouveau, troublant. ...ce plaisir au travers d'une sodomie. ..mes mains sur tes épaules, je m'active, encore et encore. .. Puis tu te lèves. . M'attire vers la table... et là tes doigts s' activent en moi, pour mieux me délivrer... je coule délicieusement, encore et encore...et encore.. c'est si bon de s'abandonner ainsi.... tant pis pour la flaque au sol....
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La soirée battait son plein, les tintements des verres se confondaient dans les rires et les exclamations de gaieté.
L'ambiance était légère et chaleureuse, quelques blagues fusaient par-ci par-là dans un nuage de bonheur.
La repas touchait à sa fin. Elle riait avec son amie, venue pour l'occasion de la soirée tandis qu'Il alla chercher le dessert, qu'Il avait fait quelques heures plus tôt, une mousse au chocolat.
Il en profita également pour ouvrir une bouteille de Clairette.
«Pourquoi tu l'ouvres?
- Il n'y a pas de raison particulière, j'ai envie, et les bulles sont une bonne façon de terminer une soirée agréable, non?»
Elles acquiescent, tout en sachant, comme Lui, que fin du repas ne rime pas forcément avec fin de soirée...
Un sujet n'avait pas encore été abordé...
… un sujet à cordes …
«Hestia me disait que c'était quelque chose qui t'attirait?
- Oui, ça ne me laisse pas indifférente
- Tu as déjà eu l'occasion d'essayer?
- Quand j'étais petite, on s'amusait avec mon frère, mais du bondage, jamais. Jamais essayé»
Elle avait partagé, quelques jours plus tôt, cette envie, cet intérêt pour ces jeux de corde, avec Hestia, sa confidente. Ce fantasme l'intriguait d'autant plus qu'il lui paraissait malsain. Elle se posait des tas de questions à ce sujet, mais à qui en parler pour avoir une réponse droite, sans jugement.
L'approche du sujet s'était faite progressivement. D'abord, le corset avait été essayé avec grand plaisir, puis des petites blagues et plaisanteries sur des fouets ou des martinets avaient été sorties. «Étrangement», le sourire n'avait pas été le même quand l'objet de supplice avait été sorti, en vrai!
De petits détails en petites mimiques, Hestia avait remarqué l'intérêt de son amie pour le BDSM; c'est ainsi qu'elle a pu la mettre en confiance sur ce sujet et qu'elle l'a invitée pour en discuter autour d'un repas, avec son Maître.
Jusqu'à présent, c'était des personnes rencontrées lors de munchs qui étaient venues; certaines avaient même tenté l'expérience des cordes; mais il est difficile de parler d'amis …. aucun ne leur a renvoyé l'ascenseur.
Veroso n'a jamais bien apprécié cette attitude. Organiser des munchs est une chose; inviter des inconnus dans leur maison personnelle en est une autre....
Mais ce soir, c'était différent. Il l'avait déjà rencontrée, la connaissait un peu et elle était très amie avec Hestia. De plus, elle avait une réelle curiosité portée sur le BDSM. Ce n'était donc pas qu'une simple curieuse de passage qui était assise à leur table, mais une autre réelle passionnée, comme eux.
«Pour une première, je te propose de te faire un petit cordage tout simple, pour ressentir les premiéres sensations. Est-ce que tu acceptes?
- Oui
- Ok, je vais chercher les cordes»
Tandis qu'Il s'éloigne, Il entend les 2 amies discuter entre elles à voix basse. Un mélange d'excitation, d'appréhension et de rassurance transpire de cette petite messe basse.
Ce n'est pas la première fois qu'Il encorde une autre personne que sa soumise. Il s'agissait d'invitées au munch. Cela lui faisait un peu bizarre, mais ça n'allait pas plus loin.
Mais là, c'est différent... C'est son amie …
Etrange malaise qu'Il ressent. Enjoué de lui faire cette démonstration, mais appréhendant un peu en même temps, pour une raison qu'Il a un peu de mal à cerner.
Si...
Est-ce à cause du «programme» qu'Il veut lui proposer?
Il verra bien … Il a confiance en Lui et sait que, sans prétention, Il sait parfaitement se tenir et que sa soumise va également assister.
Est-ce que c'est parce qu'Il va faire des gestes qu'Il fait toujours, par habitude, dans un contexte intime qu'Il le rend nerveux?
Les 2 amies sont dans la pièce, souriantes, quand Il réapparait, ses sacs à la main.
«Pour le premier cordage, il suffit de t'asseoir dans le canapé. Hestia, tu te mets où tu veux pour regarder».
Alors qu'Il prépare sa corde, Il ressent, à contrario, une sorte de fierté et de confiance de savoir que sa soumise va le regarder faire. D'habitude, elle «subit» sans trop vraiment voir le résultat; là, elle est aux premières loges...
«Tends tes jambes, cale-toi bien dans le canapé... et détends-toi»
Sur ces mots, elle obéit à ses instructions tandis que Hestia s'assied à côté d'elle, l'oeil curieux et ravi de voir son Maître faire le bondage.
Il lui passe une boucle autour des 2 pieds, les reliant entre eux; puis la corde remonte derrière les mollets.
A mi-hauteur, un de ses doigts bloque la corde, tandis que le reste du brin fait le tour et repasse prendre, en boucle la corde coincée par le doigt.
Enfin, la corde poursuite sa course jusqu'à la base du genou et refait le même tour derrière la jambe.
Il fait courir la corde ainsi jusqu'en haut des cuisses où il serre le nœud final.
«Alors?
- C'est …. spécial ….
- C'est une sensation agréable que de sentir son corps se faire enfermer progressivement, ajoute Hestia.
- Oui, ça....ça fait quelque chose, sourit son amie»
La découverte, la première fois, c'est toujours particulier et puissant en sensation... Il laisse afficher un sourire de satisfaction. Elles ont toutes les 2 aimé son cordage. Elle a des sensations, elle est enthousiaste de l'avoir vu manipuler les cordes correctement. Peut-être Hestia voit en son amie ce qu'elle ressent, quand elle est, elle, ligotée...
«Veux-tu un autre cordage?
- Oui, enfin, si tu veux»
Il sourit; ce n'est pas Lui, un passionnée des cordes qui va refuser. Même si, de plus en plus, Il a envie d'avoir Sa soumise à la place....
«Mets-toi debout»
Dés qu'elle est levée, Il fait passer 2 brins de cordes derrière son cou, qu'Il laisse pendre. Il noue ensemble les 2 brins tous les 15 cm environ
Puis, Il fait passer une autre corde dans les maillons de la première puis dans le dos en emprisonnant les bras. La figure est esthétique, mais Il ne se souvient plus du nom japonais exact. En fait, Il s'en tape. Ce qui l'intéresse, c'est de voir qu'elle prend du plaisir évident à s'enfermer dans ses cordes. Elle regarde les brins passer ici et apparaître là; son regard n'en perd pas une miette, elle est passionnée. Tout comme Hestia qui profite à fond du spectacle.
Ils partagent ainsi tous 2 leur passion; l'un partage son expérience d'encordeur, tandis qu'elle partage les sensations qu'elle ressent quand elle est prisonnière.
Le nœud final est serrée. La voilà totalement ligotée.
«A partir de ce moment, tu es à la merci de celui, ou celle, qui t'a attachée. Tu ne peux rien faire que subir»
C'est non sans plaisir sadique qu'Il prononce cette phrase provocatrice envers cette novice; elle dont les sensations sont exacerbées par le mélange d'appréhension, d'excitation.
Hestia rajoute: «imagine avec le martinet que je t'ai montré l'autre jour».
Il lui sourit, elle est toute aussi sadique que Lui. Finalement, Il va le sortir, le martinet ….
Entravée, elle ne sait quoi répondre. Mais son regard et sa voix balbutiante trahissent une satisfaction sincère d’assouvir un fantasme, de concrétiser un rêve.
«Un autre? Demande-t-Il en la détachant»
- Heuu ...». Elle manque d'éclater de rire de honte, d'envie et d'excitation à la fois.
- Je te propose un bondage un peu plus... coquin? Ou je fais dans le même registre?
- C'est-à-dire?
- Les cordes vont passer dans des endroits un peu plus sensibles, comme les seins, par exemple. Ne t'inquiète pas, tu n'as pas à te déshabiller. C'est juste que les cordes vont passer par là.
- Ok, ca va alors.»
Pour sa démonstration de bondage et, surtout, pour partager les sensations fortes que cela procure, Il a besoin de surprendre. Il ne peut pas dire où les cordes vont toutes passer.... Mais manipuler les cordes à ces endroits-là ne sont pas fait pour le mettre tout à son aise. Encore une fois, ce sont des choses qu'Il ne fait qu'à sa soumise. Mais le plaisir de partager une Passion est plus fort que le reste. Et encore une fois, Il sait maîtriser ses doigts.
«Si quelque chose ne va pas, n'hésite surtout pas à le dire. On est là pour passer une agréable soirée.»
Il entame un nouveau bondage en passant une boucle de corde autour du buste, enfermant ses bras. Puis, Il fait passer la corde au-dessus et en de-dessous des seins les comprimant en tournant autour du buste. Une autre corde est fixée dans le dos avec la première, passe au-dessus des épaules et s'enroule 2 fois autour des 2 brins qui emprisonnent les seins. Puis, le reste de la corde passe sous un sein et s'enroule à nouveau autour des 2 brins précédents côté bras.
Il fait de même de l'autre côté.
Malgré le t-shirt, on voit très bien que toutes les formes sont mises en valeur...
Le reste de la corde descend le long du ventre, passe sur l'intimité et remonte pour se nouer finalement dans le dos.
«Hestia, va me chercher le sac qui est sur le lit»
Sa soumise s’exécute et le lui rapporte. Il en sort une paire de menottes.
«Tu aimes les menottes?
- Heuuuu oui, répond-elle, hésitante»
Il lui attache aussitôt les mains dans le dos.
«Hestia, approche»
Etonnée, sa soumise s'avance vers Lui tandis qu'Il sort son collier. Il le lui pose sans lui dire un mot et ordonne à son amie de se coucher à plat ventre sur le canapé.
«Je parlais d'être à la merci, tout à l'heure.... Voici un cas un peu plus concret.»
Un bandeau est aussitôt posé sur ses yeux. Puis, il noue ses chevilles ensemble qu'il rabat sur le dos. Là, avec le reste de corde, Il les attache au reste du cordage, l'immobilisant.
«Voilà, avec quelques cordes, une paire de menottes et un bandeau tout ce qu'il est possible de faire et, surtout, de ressentir... Tu te sens bien, demande-t-il en souriant?
- Heuu , je crois que oui, fait-elle d'un rire nerveusement enthousiaste.
- C'est bien! Quel autre matériel t'intéresse? Ou t'interroge?
- Hmm, je ne sais pas, répond-elle mal à l'aise, mais excitée à la fois
- Tu connais le baillon-boule?
- Non, c'est quoi?
- Regarde»
Retirant un bâillon de son sac, Il le lui met dans la bouche et le fixe légèrement derrière la tête.
«Le mieux est d'essayer, n'est-ce pas?»
Des gémissements lui répondent mais Il se tourne vers Hestia.
«A présent, à nous deux, ma soumise»
Il avait besoin de ce moment. Même si ce n'est qu'une démonstration voulue et organisée et même si elle avait pris plaisir à assister à ce moment, Il n'aimait pas s'occuper d'une autre personne que sa soumise. Bander ou bâillonner une personne autre que sa soumise le mettait mal à l'aise, mais l'excitait vis-à-vis de sa soumise, en même temps, étrangement. Est-ce que parce qu'elle Le voit faire? Qu'elle partage elle aussi ce qu'Il voit et peut donc ressentir? Ou parce qu'Il vit, et va faire vivre une nouvelle expérience?
Difficile de répondre, d'autant plus qu'Il a sorti une corde.
Il lui fait le même bondage que son amie, en plus serré, lui bande les yeux et la bâillonne aussi.
Il lui caresse la poitrine et ses doigts titillent ses tétonsà travers le t-shirt; les effets ne se font pas attendre; l'excitation monte en Lui.....
Il sait que tout peut aller très vite.
Cette situation, paradoxalement, l'excite. Des cordes enlacent une amie, ligotent Sa soumise, des bandeaux sont posés, des bouches sont bâillonnées, la paire de menotte brille, le collier est resplendissant au cou de sa soumise, elle-même magnifique ainsi offerte. Il y a tous les ingrédients pour une ambiance BDSM qu'Il affectionne, avec sa soumise. La dernière soirée en club BDSM remonte à longtemps …
Le téléphone sonne..... La sonnerie le fait sortir de sa rêverie. Il est quelle heure? 15H45... Il faut partir....
Quel étrange rêve....
Pure fantasme? Une envie?
Il y avait du déjà vécu dans ce songe.... mais tout était resté soft.
Que penser de ce dernier fantasme que son esprit a rapporté de son vagabondage?
Il aime partager son expérience, expliquer, démontrer... mais agir d'office ainsi? C'est une façon de démontrer assez radical, mais elle est à double tranchant …
Enfin, créer ainsi une ambiance BDSM comme celle-là lui a plu, lui plaît. C'est peut-être ça, au final, le fantasme de son songe: vivre aussi le BDSM ailleurs que dans la chambre à mot chuchoté (même s'il est déjà bien puissant....)
La porte claque derrière lui. Rêver, fantasmer n'a jamais fait de mal à personne. Et puis, ce n'est pas le première fois que son esprit vagabonde ainsi. Il en rapporte parfois de bonnes idées.
Mais ce qu'Il a en tête, surtout, c'est qu'Il va retrouver sa soumise très bientôt, après quelques jours, trop longs comme toujours quand ils sont séparés...Il va de nouveau honorer, à sa manière, son Joyau, sa Fierté, Sa Soumise.
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Pour savoir ce que vous en pensez, je l'ai écrite pour moi. Les remarques, critiques, conseils et suggestions sont les bienvenus, et plus particulièrement s'ils sont argumentés.
LETTRE D'ENGAGEMENT MUTUEL A LA DOMINATION ET A L'ESCLAVAGE
Cette lettre lie dans un engagement mutuel : ….............................., qui sera désigné par la suite comme l'esclave. Et : ….............................., qui sera désigné par la suite comme le Maître. Par cette présente lettre, l'esclave s'engage sur l'honneur à se soumettre à la volonté du Maître, à se laisser asservir, exploiter, violer, séquestrer et torturer par lui de toutes les manières qu'il lui plaira, ainsi que par toutes les personnes à qui il donnera son autorisation. La suite de cette lettre présente un exemple de vie que souhaiterait vivre l'esclave, même s'il n'impose pas cet exemple précis au Maître. L'esclave s'engage sur l'honneur à ne jamais tenter de s'émanciper lui-même. Par cette présente lettre, le Maître s'engage sur l'honneur à exploiter à volonté l'esclave, mais aussi à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à chercher à le rendre globalement heureux dans l'esclavage et la torture qu'il lui infligera. S'il donne à une tierce personne l'autorisation d'utiliser l'esclave, il s'engage sur l'honneur à veiller que cette tierce personne l'utilisera de manière responsable, en respectant lui-même l'engagement précédent du Maître sur la santé et le bonheur de l'esclave. Le Maître s'engage sur l'honneur à ne jamais donner ou vendre à titre définitif l'esclave à une tierce personne, en gardant toutefois le droit de le prêter ou de le louer. Signature de l'esclave : Signature du Maître : EXEMPLE DE VIE DESIREE PAR L'ESCLAVE Dès la signature de ce contrat d'esclavage, toutes les possessions de l'esclave sont remises au Maître, et l'esclave devient une possession du Maître. Toutes possessions que l'esclave obtiendrait à titre définitif et d'une manière ou d'une autre par la suite doivent être au plus vite données en offrande au Maître, de manière à ce que l'esclave ne possède plus jamais rien. Les possessions qu'il obtiendrait dans le but de les donner, de les transmettre ou de les rendre par la suite à une tierce personne doivent leur être remises à la première occasion, et ne seront donc pas offertes au Maître. Par amour pour le Maître, l'esclave accepte de se faire asservir par lui. A partir de ce moment, l'esclave garde en permanence une attitude docile et servile, et garde les yeux baissés quand il est face à son Maître. L'esclave appelle alors son Maître «Maître» et le vouvoie, tandis que le Maître le tutoie en retour et l'appelle comme bon lui semble. Chaque fois que le Maître et l'esclave se retrouvent dans la même pièce, l'esclave salue le Maître en s'inclinant respectueusement. Quand le Maître s'absente et revient chez lui, l'esclave l'accueille en s'agenouillant devant lui. L'esclave est dressé à être efficace au travail, heureux et plaisant à côtoyer dans sa servitude, et à la fois humble et fier de sa condition d'esclave, ayant appris à se sentir honoré par son asservissement. Il est dressé à servir aussi bien son Maître que toute autre personne à qui le Maître le prête ou le loue. Il a appris un minimum sur la cuisine, le jardinage, le bricolage et la mécanique automobile pour mieux servir son Maître. Il est aussi entraîné à être violé sans ménagement par son Maître et par les amis de son Maître, et à être torturé de manière de plus en plus extrême et de plus en plus fréquente pour pouvoir supporter toujours plus de douleur. Les séances de tortures seront toutefois sécurisées avec, au minimum, un safeword que doit respecter le Maître. L'esclave est entraîné à accepter sans broncher toutes les humiliations, et à les recevoir comme des preuves d'amour de son Maître. Les journées de l'esclave sont généralement divisées en trois périodes, que le Maître peut déplacer, raccourcir et allonger à loisir. Durant la période de travail, l'esclave est relativement libre. Le Maître lui met ses fers au cou, aux poignets et aux chevilles, et l'esclave vaque à ses tâches domestiques. C'est principalement durant cette période que le Maître utilise son esclave, pour des relations sexuelles, pour des séances de tortures, ou pour des choses plus simples comme discuter avec lui ou regarder un film avec lui si le Maître le désire. De temps en temps, l'esclave peut aussi accompagner le Maître à l'extérieur (sans ses fers s'ils sortent en public, mais en portant toujours au moins un collier de chien pour indiquer clairement sa condition servile), pour que l'esclave porte les courses du Maître ou conduise sa voiture par exemple. L'esclave n'a jamais le droit de sortir seul de la demeure du Maître, et si celui-ci s'absente pendant cette période, l'esclave est au moins enchaîné dans une pièce de la maison pour éviter toute tentative de s'enfuir. Durant la période d'écriture, l'esclave est enchaîné à son bureau pour écrire. Un ordinateur est mis à sa disposition pour cela, avec une connection internet. L'esclave a le droit de lire des livres, de faire des recherches, de regarder des images, d'écouter de la musique et d'entretenir des interactions avec d'autres internautes, car cela peut aider à faire germer des idées pour l'écriture et à enrichir ses discussions avec le Maître, mais le Maître surveille son historique de navigation et ses discussions, et n'hésite pas à lui bloquer l'accès des sites où il va perdre mon temps. Le but premier de cette période reste en effet que l'esclave écrive pour le Maître, qui apprécie son écriture. Si l'esclave parvient à vendre des livres, les bénéfices sont donnés en offrande au Maître. Durant la période de repos, l'esclave est enfermé et enchaîné dans un cachot ou une cage, de manière plus ou moins contraignante selon les envies du Maître, qui le laisse alors ainsi se reposer et dormir. Bien entendu, rien n'empêche le Maître de venir voir l'esclave et de le réveiller de la manière qui lui plait le plus et pour n'importe quelle raison qu'il puisse avoir, même aucune en particulier, car l'esclave est à son service de manière permanente et il a le droit de faire tout ce qu'il désire de lui. L'esclave porte en permanence une cage de chasteté, et il n'est autorisé à jouir qu'en de très rares occasions. Le reste du temps, il est trait pour ne pas avoir d'éjaculation nocturne. De son côté, le Maître peut le violer à volonté, et accumuler autant de partenaires qu'il le désire, à qui il peut prêter l'esclave sexuellement ou pour être torturé ou pour n'importe quel autre service. Il est interdit à l'esclave de manger quoi que ce soit sans permission, tout autant qu'il lui est interdit de boire autre chose que de l'eau sans permission. L'eau quant à elle lui est la plupart du temps laissée à disposition dans une écuelle pour chien. La nourriture lui est généralement donnée dans une gamelle pour chien, ou à même le sol, ou alors l'esclave la mange directement dans la main de celui qui la lui donne, de manière docile et soumise. L'esclave ne porte pas sa nourriture à sa bouche avec ses mains, c'est sa bouche qui va à la nourriture là où elle se trouve. A moins qu'on donne temporairement à l'esclave le droit de participer à une discussion, ou que l'on lui adresse directement la parole et qu'il doive répondre, l'esclave doit systématiquement demander l'autorisation de parler avant de pouvoir le faire. Des demandes trop fréquentes ou une demande de prise de parole inutile ou impertinente peuvent l'exposer à une punition. Dans certains cas d'urgence, il peut lui être pardonné de prendre la parole sans permission. Le Maître a appris à l'esclave à hurler, à aboyer, à grogner, à gémir et à japper comme un loup ou un chien, ainsi qu'à marcher et à courir à quatre pattes. Il lui a appris à se considérer non pas comme un homme, mais comme un canidé, et chaque fois qu'il le lui ordonne, il se conduit comme un véritable chien, obéissant et bien dressé. L'esclave est ainsi l'esclave de son Maître, 24 heures par jour, 365 jours par an, et ce pour le reste de sa vie. Il peut ainsi à loisir le faire tatouer, scarifier ou marquer au fer rouge pour représenter le caractère permanent et définitif de son asservissement. En échange de ce dévouement, et par amour pour l'esclave, le Maître s'engage à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à le rendre globalement heureux dans la servitude et la souffrance. Ce sont, au final, les seules limites fixées à la façon dont il peut traiter l'esclave, ce qui laisse de grandes marges de manœuvre au Maître étant donné le goût prononcé de l'esclave pour la servitude et la souffrance.
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Goûte le silence
Goûte le recueillement de la soumission
Goûte le regard profond qui te pénètre
Goûte la voix qui impose et qui humilie, qui réconforte et qui apaise
Goûte la chaleur de la main qui rougit et caresse
Goûte la morsure et les zébrures, le sifflement et le claquement
Goûte le lien, celui qui se tisse invisible comme celui qui se noue autour de ton corps immobilisé
Goûte les sensations multiples qui se bousculent au tréfonds de ton être
Goûte la saveur du foutre, le sien, le tien, les deux mêlés
Goûte la douceur de la peau dans la quiétude des bras
Goûte, sans en perdre une miette…
Goûte !
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C'était un samedi, je me suis assise sur mon canapé, j’avais déjà envoyé trois message à mon Maître, mais il ne répondait pas, je commençais sérieusement à m'inquiéter de ne pas avoir de ses nouvelles.
-qu'ai-je donc pu faire pour ne pas avoir de réponse ? Pensais-je …
Il devait sûrement être contrarié, vu qu’ hier soir il m’avait demandé une obligation que je me devais d’exécuter en rentrant soirée avec mes amies.
Mais en rentrant de ma soirée j'étais tellement fatigué que j'ai exécuté mon obligation pas très sérieusement...
Je reçu enfin un message sur Skype, c'était lui …
-es-tu dispos
-oui Maître
-explique à ton Maître qu'est-ce que c'est cette obligation que tu as remplie hier soir? Tu étais bourrée pour oublier de le faire correctement?
Quand on met 0 ça veut dire qu'on ne veut pas le faire, donc vu qu'il n'y a que des 0 ou des 5 j'en déduis que tu ne veux pas faire grand-chose...
Tu devrais savoir que l'on met ses préférences de 0 à 5, 0 je veux jamais le faire, 1 si mon Maître me l'ordonne, je le fait, 2 pourquoi pas, 3 j'aimerais bien essayer, 4 j'aime et 5 j'adore....
J'en étais sûr, c'est donc bien pour cela que je n'ai pas eu de nouvelles de lui jusqu'à présent...il était vraiment contrarier, je fais vraiment une piètre Soumise, mes début dans ce monde commence vraiment très mal. J'avais déjà une autre punition au compteur, mon Maître est vraiment exigeant.... mais j'aime ça, et je sais qu'il veut faire de moi une bonne soumise.
Mon Maître m’as donné 10 minute pour rectifier mon obligation, j'ai mis 11 min de plus, et il ne manquât pas de le relever, ce qui ne faisait qu’augmenter mon carnet d’une nouvelle punition. Je démarrais vraiment mal …
-bien ma Soumise on en reparle tout à l'heure, maintenant tu vas aller te préparer et voilà tes obligations:
Ton sexe doit être épilée ou rasée et je vérifiais, attention je serais sévère la dessus, et
N’oublie pas de prendre tes sex-toys que tu as… pour la tenue pas de collant, je tolère des bas et bien entendu rien sous ta jupe.
Est-ce que tu as un grand manteau d'hiver ou de printemps assez léger?
oui Maître j'ai ce qu'il faut
très bien alors sois prête dans une heure je viens te chercher
Mon sang bouillonnais dans tout mon corps … je crois que j'ai jamais été autant stressée, excitée, sachant qu’il n’était pas content de moi, et que j’allais être puni, cela me mettais dans un sacré état, je sentais ma culotte s'humidifier de plus en plus …
Une fois prête, j'étais habillée d'un simple pantalon noir et pull rose avec un débardeur noir en dessous.
Mon Maître était bien présent à l’heure pour le rendez-vous. Une fois dans sa voiture, il me donna un petit baiser doux et remplis de promesses, j’étais fébrile assise dans sa voiture, il démarrât, et une fois sur l'autoroute il me demanda de me changer...
Je sentis au moment de cette ordre, une gêne et d'un coup une montée de chaleur et d’adrénaline, je serai nu dans sa voiture, et il y a de la circulation, j'avais le cœur qui battais a cent a l’heure, cette montée d'adrénaline me submergea avec la peur qu'on me voie nu dans la voiture.
Je pris alors mon courage à deux mains, ne voulant surtout pas le décevoir et en rajouter aux erreurs que j'avais déjà faites.
Je gardai ma veste, et enlevai mes chaussures, chaussettes et pantalon, jetais nue, j'enfilais assez rapidement ma mini-jupe … je m'attaquai maintenant au haut, ce qui étais moins évident, il voyait bien que je n’étais pas trop à l’aise, il ralenti sa vitesse et ce mis sur la voie de droite, afin que je continue à me déshabiller tranquillement, voyant mon regard sur les voiture qui nous doublais, il me dit -
ne fait pas attention aux voitures, me dit-il d'une voix rassurante.
J'enlevais lentement ma veste, suivi de mon haut, mon soutiens gorge, et remis ma veste et la ferma... je me sentie mieux, et aussi fière d'avoir réussi.
maintenant que tu écartes les jambes afin que je puisse voir ton sexe et reste comme cela jusqu'à notre arrivée à destination.
Je sentais que j’étais en train de tremper le siège de son véhicule, j'étais fébrile, mais ne dis rien..
Une fois arrivé à destination, et la voiture garée sur le parking de l’hôtel, la peur commençais à m'envahir de nouveau, j'étais dans une tenue très provoquante, je me sentais nue malgré mon manteau fermé, ma mini-jupe en talon haut et sans rien de plus....
- Maitre, il va y avoir quelqu'un a l'entrée, Lui dis-je anxieuse
-oui surement, tu me suis et t'occupe pas d’eux, compris ?
-oui Maitre
Malgré ses recommandations, je n'étais vraiment pas rassurée.
Une fois dans le hall de l’hôtel, je vis une jeune femme blonde à l’accueil, elle était occupée et ne prêtais pas vraiment attention à nous…
« Ouf » mon Maître avance en direction de l'ascenseur, je le suis tète baissé.
Arrivé à l'étage ou étais notre chambre, il s’avança me laissant devant l’ascenseur, et vérifia que personne n'étais dans le couloir, il me fixa et me lança :
Enlève ta veste et met toi à quatre pattes,
Au moment où il finassât de prononcer cette phrase, tout mon corps se liquéfiât …
mon regard croisa le sien , un regard remplis de complicité et de malice… un ordre étant un ordre j'enlevai donc ma veste , laissant mes sein a l'aire libre.... mon cœur battais a mille a l'heure , j’étais prise de frisson , et d’une excitation rarement connue qui affluai abondement.
J'eu l'impression que mon âme flottais au-dessus de mon corps, ce qui me donna une vue magnifique, je me voyais en train de marcher a 4 pattes en direction de notre chambre … c'était érotique et excitant à la fois.
Mon Maître pris tout son temps pour taper le code de notre chambre… une fois dedans je restais là sans bouger, attendant sagement ses ordres, et qu'il me guide.
tu te sens bien ma Soumise ?
oui Maitre
bien....
Il m’amena au bord du lit.
met toi a genou la face au lit
Je m’installais et ne bougeais pas.... j'attendais, que va t il me faire ?
il s'approcha de moi et me regarda d'un aire provocant, il m'attrapa les cheveux et susurra dans le creux de mon oreille …
- alors ma Soumise, il me semble que tu as fait quelque bêtise ?
- oui Maitre, je n’ai pas été une bonne Soumise
-Monte sur le lit et met toi a genou !
Je ne le fis pas attendre une seconde plus, une fois sur le lit, la tête baissée et les mains dans le dos, je ne bronchais...
Il apparut à mes côté avec un petit carnet en main
- tu sais ce que c'est ?
- oui Maitre c'est mon carnet de punitions...
- lit ce qu'il y a marqué sur la première page me dit-il d'un aire autoritaire.
Je pris le petit carnet et l’ouvrit,
- Une fois la lecture faite, mon Maitre me repris,
- A ton avis ma Soumise, ça mérite quoi comme punition ?
- je ne sais pas Maître, je me plierai à votre décision Maître
Que va-t-il décider ? Que va-t-il faire ? Un léger petit sourire envahi mes lèvres, il m'ordonna de ne pas bouger et pris dans son sac un bandeau et une paire de menotte en cuir…
lève les mains, et pose-les sur la rambarde au-dessus du lit
Il passa les menottes en cuir entre les barreaux et m'attacha les poignets, me mis le bandeau sur les yeux, je ne voyais plus rien, j’étais dans le noir total...
Cette obscurité rendit la punition encore plus intense, d'autant plus que je ne savais pas du tout ce qu'il allait m'arriver....
10 coups de cravache sa suffira comme punition
Merci mon Maitre c'est tout ce que je mérite
tu vas compter et gare à toi si tu te trompes, je recommencerai à zéro
Aie, ça va être ma fête..... Je sens que je vais avoir de sacré marque sur les fesses.
Il me cingla d'un 1er coup
-un !
Le 1er coup me fit mal, il n'y va pas de main morte …
Deux, trois, quatre, ….sept, huit... huit... euh non neuf !
Mince je me suis trompé
Tu as dit quoi petite chienne ?
Neuf ! Maitre excusé moi
ah j'ai cru que tu t'étais trompé...
Je crois qu’il ne pris pas en compte ma faute car il ne voulait pas être trop dur avec moi pour une première fois...
et de dix !
J'avais les fesses en feu... j'en pouvais plus, mes jambe en tremblais, je tremblais tellement et étant très crispée et tendu que les menottes se cassèrent....
Je me confondu en excuses auprès de mon Maître, il me rassura, que ce n’était pas grave qu'il ne m'en voulait pas car ces menottes de cuir était de piètre qualité. Il remplaça les menottes par des liens de cordes.
Je le senti descendre du lit, il prit autre chose dans son sac, ma tête bouillonnais et mon corps …. Je ne sais plus, je n’ai jamais ressenti de telle sensation …
Il remonta sur le lit et la quelque chose pinça mes seins, il mit deux pinces sur chacun de mes tétons …
Waouh mais qu'es ce qu'il se passe dans mon corps ? Il me tira subitement les cheveux et m’embrassa langoureusement, ce fut un moment intense, un de plus …
- alors comme sa tu veux être une bonne Soumise ? Tu te rends compte des erreurs que tu as déjà faites ? Tu ne commences vraiment pas bien ….
- oui Maitre je sais, veuillez me pardonnez, la femme vanille en moi a du mal à partir même si c'est ce que je désire
- hum, oui c'est ce que je constate...
Il redoubla d’ardeur et continua à me tourmenter, il malmenait mes seins, mes tétons, ainsi que mes cheveux … Je ne savais plus ou j’étais, prise dans ce tourbillon, une forte sensation commença à apparaitre dans ma poitrine, je là sentie montée et ce fut une explosion de plaisir !
Je n’avais jamais eu d'orgasme à ce niveau-là, je n’aurais même pas osé l’imaginer, et ça venait d’arriver, les larmes commençais à couler sur mes joues, je ne comprenais plus rien à ce que je vivais à cette instant, mon corps n'avait jamais, ni connu, ni ressenti de telles plaisir. J'étais comme perdu dans cet océan de plaisir.
Mon Maître souleva mon bandeau et vit mes larmes, je n’osais le regarder dans les yeux, je ne voulais pas qu'il voie mes larmes.
regarde-moi ma Soumise
je me forçais a tourner la tête pour que nos yeux ce croise, et je vis à mon regard, un léger sourire se former sur ses lèvres.
- je ne comprends pas pourquoi je pleure Maitre... j'ai senti comme une explosion dans ma tête quand vous vous occupiez de mes seins et de mes tétons.
- c'est un orgasme cérébral que tu viens d'avoir ma soumise, c'est très fort effectivement, une petite pause s'impose, tu l'as bien méritée ma Soumise.
Il détacha les liens des barreaux, doucement et délicatement, afin que je me détende...
Je repris ma place au pied du lit, j’étais vidée.
Nous discutâmes de ce qui venait d'arriver et de bien d'autres sujets, cela me faisait le plus grand bien de me détendre et me reposer à ses pieds après tant d’émotion, ce qui me permit de reprendre des forces au cas où mon Maître voudrait continuer.
- Maitre, mes sein sont très sensible...
- oui ma Soumise, je m'en doute bien, je crois que pour ce soir tu en as eu assez, je vais les laisser tranquille
Merci Maître, dans l’état ou vous les avez mis, et vu le plaisir que j’en ai retiré, je suis soulager car je pense que ça m'aurai fait plus de mal que de bien, vue dans l'état ou ils sont.
Nous avons fait une séance de Shibari par la suite, c'était très excitant
caresse toi ma Soumise, le temps que je t’attache, mais interdiction de jouir.
Mes doigts descend lentement le long de mon corps qui étais remplis d’électricité, une fois ma main sur mon sexe, je m’exécutai, je n'avais jamais été autant humide … dans ma vie vanille je n'avais connu que sècheresse, ce n’était vraiment pas pratique …
Mon Maître s’affaira pendant un petit moment, je ne voyais rien, tout en me caressant… une fois qu’il eut fini, il souleva mon bandeau afin que je puisse voir, c'était magnifique, je me sentais belle avec ces liens …
Il me remit le bandeau et je ne bougeais plus, je senti le bruit d’un briquet, tiens mon Maître se fume une cigarette en admirant son œuvre me disais-je…. Soudain, Pendant une fraction de seconde je sentis une brulure sur mon sein encore endolorie de ce qu’il venait de subir auparavant, je me tordis dans tous les sens sur le moment, et une fois la sensation fut -elle passée que j'éclatai de rire, il continua sur l'autre sein , continuant à me torture, à me tourmenter, et je riais de plus belle , sauf quand il descendit sur mon ventre et arrivant à la naissance de mon intimité , là je ne riais plus, c’est tout mon corps qui se crispait et je dirai que la sensation n'était pas agréable , me voyant me tordre il versa de la cire sur mon intimité mais remonta vite voyant que je ne goutais pas forcément à cela, il m'en versais dans le nombril , continua partout sur le ventre et encore sur mes sein , j'étais de nouveau en feu... mes rires avait laisser place à une concentration bien plus forte pour pas que mon corps se torde dans tous les sens , mais c'était trop bon …. Quel merveilleuse sensation et découverte….
Cela faisait maintenant bien une vingtaine de minute que j'étais attaché, des douleurs se faisait naissantes sur mes membres, et mon Maître me détacha lentement en veillant à ne pas faire plus mal, et une fois libérée de mes liens, je restais là un instant un peu hagarde en reprenant le contrôle sur mes membres.
-tu peux aller prendre une douche ma soumise, pour enlever la cire sur ton corps de petite chienne…
Maître enleva mon bandeau, je fus surprise par toute la cire étalée sur mon corps, ce qui me fit éclater de rire.
L'eau chaude coula sur mon corps, je me détendais et reprenais petit à petit mes esprits …
Ce n’était pas facile d'enlever toute cette cire, je n'aurai jamais cru …. Dix minute plus tard je sortais enfin de la douche, proprette comme un sous neuf.
Je repris ma place au bord du lit et nous parlâmes avec Maître de tout et de rien, après un débriefing de l'ensemble de la soirée.
Cette première séance fut pour moi une des expériences des plus intenses que j’ai eu à vivre, je sais désormais que ma place est et restera dans ce monde-là.
Maître continua à jouer avec moi, jusqu’à l’ultime orgasme que nous primes ensemble… nous nous allongeâmes ensuite bien au chaud sous la couette, et il ne nous fallut peu de temps pour rejoindre les bras de Morphée, la soirée avais été épuisante autant pour lui que pour moi.
Je plongeai dans un sommeil profond heureuse avec un sourire dessiné sur mes lêvres...
Ma toute 1ere séance à mon arrivé dans le milieux avec celui qui a été mon mentor et qui à l'heure d'aujourd'hui est un ami précieux.
Je voulais partager ça avec vous.
Merci de m'avoir lu
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Il rentrait enfin chez Lui.
La journée a été aussi longue et dense que fatigante. Mais malgré cela, la satisfaction d'avoir quitté le bureau en laissant le travail correctement terminé pour ce jour se lisait sur son visage.
Déjà l'esprit vagabondait... le temps d'un instant, sans avoir à courir après le temps. Il sait qu'à peine après avoir posé le pied sur le quai, la réalité va prendre le dessus et qu'il va falloir gérer repas-douche-gammelle du lendemain-courrier avant de se coucher car Mister Réveil est un lève-tôt … On n'est pas bien loin du «métro boulot dodo».
Pas toujours simple de caser une séance dans ce bousin... Si ce n'est pas Chronos qui met son grain de sable, c'est Morphée qui s'en chargera. Les flèches d'Eros ne peuvent rien ….
En pleine pensée, il regarde le paysage défiler sous ses yeux....
Il avait regardé des résumés de livres, des films basés sur des histoires de BDSM.
Il souriait.
Tous ces types, Dominants, étaient pleins aux as. Les plus «clochards» d'entre eux n'étaient que millionnaires et possédaient des empires industriels. Mais surtout, ils avaient tous le Temps …. Le Temps de s'occuper de leur soumise comme bon leur semblait, d'avoir totalement l'esprit pour, et d'en mettre plein la vue au passage.... Salauds!
Son Empire se résumait à un open-space, mais il avait quelque chose que tous ces Dominants n'avaient pas: un chauffeur et un chef de bord dans un véhicule long de plus de 50m … Bon, traduisons qu'il revient du bureau en TER et qu'il a la chance d'être assis sur un fauteuil défraîchi par plus de 5 ans de bons et loyaux services. Ce soir-là, il n'y avait pas trop de monde.
Pourquoi la Domination est en rapport forcé avec des types de pouvoir, fortunés? La littérature est parfois curieuse... d'autant plus étrange qu'elle véhicule un cliché par forcément représentatif.
Des soumis(e)s ne sont justement pas des personnes qui veulent lâcher prise et ne plus avoir le poids de décision, d'enjeux, de responsabilités, de soucis du paraître, comme du politiquement correct?
Les «pouilleux» qui se tapent le train défraîchi et la foule pour bosser n'ont-ils pas droit à leur lettre de noblesse?
Ce serait certainement moins vendeur … L'élite et son cortège d'avantages fait tellement fantasmer, aussi …
Le quai approche. Retour à la réalité.
La soirée s'est déroulée comme à l'accoutumé. Rapidement, bon repas, les gamelles sont prêtes, la douche est prise.
Mais l'envie est tenace.
Pour les 2.
Elle et Lui.
Alors, tant pis pour la routine …
Les cordes sont de sortie. Elle s'assied sur le lit.
Pas un mot ne sort; quelques regards sont échangés. Seules ses mains s'activent et tissent le bondage des seins qu'Il lui fait. Un cordage tout simple, mais magique: les seins de son Joyau sont resplendissants, mis en valeur, offerts. A peine le nœud serré qu'Il la fait coucher sur le dos. Il se délecte de cette position et de cette offrande qu'elle lui fait.
Ses doigts parcourent aussitôt le galbe de la poitrine et viennent titiller les tétons, très vite durs.
Quelle beauté!
Quel paradoxe!
Ses magnifiques seins offerts, entravés, chatouillés, câlinés.... et torturés dans la foulée.
2 pinces sont posées dessus, dans un léger soubresaut de douleur et de surprise.
Quel paradoxe qui est celui du mélange de la douleur et de la tendresse... C'est ce qu'Il aime.
Afin qu'elle le déguste au plus profond de son âme, Il lui bande les yeux. Le sens du touché en sera d'autant plus exacerbé que les sensations seront cycloniques.
Les mains de son Joyau sont toujours libres quand Il pose sa bouche sur un de ses seins, puis sur ses lèvres, déposant par-ci et là des doux baisers. Surtout, pas de jaloux entre seins; les 2 sont couverts de baisers furtifs mais déposés partout sur la peau. Les lèvres sont visitées, mais aussitôt, un autre baiser est laissé au milieu de la poitrine, suivi d'un autre sur l'oreille.
La danse continue, tout aussi passionnée, ne laissant pas à la peau le temps de refroidir. Un baiser sur le nez, un autre sur le sein, un 3ème juste à côté, un autre entre les cordes, encore un autre sur le sexe, puis dans le cou …. un gémissement est lâché puis un autre quand le baiser remonte derrière l'oreille.
Elle ne peut s'empêcher de poser doucement ses mains, encore libres, sur Lui, le caressant tendrement aussi, prélude au voyage qu'Il lui prépare...
Il apprécie fortement ce moment de tendresse. C'est une façon pour Lui de prendre possession de ce Corps, de jouer avec Lui. Cela lui rappelle un très vieux clip vidéo qu'Il avait vu à une époque où Internet n'en était qu'à ses balbutiements (et ses connaissance en BDSM aussi). 2 Dominas couvraient de tendres baisers une soumise, attachée, offerte et bâillonnée. A chaque fois, cet érotisme faisait son effet. A présent, ce fantasme se concrétisait ….
Prolongeant ces baisers, une de Ses mains vient explorer l'intimité de sa soumise, déjà bien trempée.
C'est le début du Voyage.
Pendant qu'il fait gonfler le clitoris, Il arrête les baisers et se rapproche pour offrir sa Queue. Le membre est raide comme de la pierre, Il est accueilli avec délice et gourmandise par la bouche de sa soumise.
Le moment de plaisir est intense, mais c'est n'est que le début.
Lui laissant le plaisir de le sucer, Il lui passe des bracelets aux poignets et l'attache, bras écartés. Enfin, Il revient s'occuper de la chatte qu'Il avait commencé de chatouiller.
Le Plaisir montait rapidement en elle; Il le voyait via les va-et-vient et frénétique et l'intensité de cette pipe qu'elle Lui faisait.
Même en plein orgasme, elle profitait le plus longtemps de Sa queue et n'était pas du tout résolue à la voir partir de sa bouche.
Il était à 2 doigts de jouir également, mais Il profitait de ce court moment de calme de sa soumise pour se mettre à ses pieds.
Délicatement, Il lui enfila sa paire de stilettos, puis les bracelets de chevilles. L'ensemble obtenu était magnifique pour sa soumise.
Il la met aussitôt en levrette, chatte offerte, bâillon en bouche, jambes écartées et attachées.
Il la pénétra d'un coup et de violents va-et-vient s'ensuivirent. Il n'en faut plus pour qu'Il la prenne sauvagement, défonçant sa chatte. Il saisit le bondage des seins, noués dans le dos, pour avoir une meilleure prise. C'est tout le corps de sa soumise qui répondit, avec les gémissements, aux coups de butoir de Son membre.
Il ne lui laissa aucun répit et prit son temps, dégustant ce moment bestial. Quel plaisir de baiser ainsi sa soumise, criant d'orgasmes, perdant par moment son contrôle. Il s'aperçut au passage qu'Il ne lui avait pas entravé les mains dans le dos.... ce sera pour une autre fois, le déluge de sensations est déjà bien puissant.
Enfin, les coups de butoirs cessent et sa soumise s'apaise. Ce n'est qu'une accalmie, Il n'en a pas fini.
C'est sur le dos qu'Il la fait mettre, poignets attachés aux chevilles, la position de «torture orgasmique». Elle va être incontrôlable, Il l'aime la voir ainsi.
Reprenant possession d'elle, la violence des va-et-vient qu'Il lui fait subir ne lui laisse aucun répit. Les orgasmes la torturent, emportée par un torrent de sensations.
La puissance de ses accoups est telle qu'elle doit faire une pause pour cause de crampe.... Mais c'est pour repartir de plus belle dans une passion aussi bestiale qu'intense.
Alors qu'Il était en train de caresser le pied de sa soumise délicieusement enfermé dans son stiletto – un de ses objets fétiches -, son Corps se mit soudainement à se raidir dans une formidable explosion de plaisir.
Affaibli par une telle jouissance, Il se retire doucement de sa soumise, qui se détend également.
Doucement, tendrement, Il lui retire la bandeau et, avec ces Mains qui l'ont attachée, prise, excitée, baisée, titillée, bâillonnée, encordée et la prend dans Ses bras.
Un baiser sur la joue, une caresse derrière la nuque, c'est le retour au calme après pareil torrent de sensations.
Épuisés, mais heureux de cet instant unique, ils s'enlacent de bonheur.
Comblés par ce moment de plaisir intense et d'échanges, ils se laissent aller, doucement, entraîner par les bras de Morphée....
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Badine câline
Les hanches en cadence
Caresse les fesses
Déclenche l’ivresse
Et coule en silence
Cyprine saline
Cravache qui dessine
Puis tombe un coup vif
Zèbrant et fouettant
A corps consentant
S’enfonce une griffe
Et courbe l’échine
Douceur Opaline
Un doigt qui s’avance
Déflore une rose
Qui déjà éclose
S’épanouit, indécence
Au creux de collines
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Le métro , sors du tunnel , mon regard s'attarde sur les vitrines des magasins , c'est l'hiver , Noel approche , toutes ses vitrines brillent dans la nuit , parfois le métro frole un appartement , je peux voir des familles déjeuner juste un visage attraper au hasar de la nuit , et puis une lumière tamisée que je vois de loin , un couple s'enlacer ..
Tout est si rapide le jour se lève Paris s'éveille , le métro traverse la Seine , elle est grise se matin , quand il fait beau en milieu de journée elle chande de couleur .. j'aperçois les pêcheurs ou un bateau mouche avec des touristes qui photographient tout se qui voit .. Au loin la tour Eiffel , la Grande Dame est belle ,dans la brume matinal ..
Mon regard se tourne vers les voyageurs , ses banlieusards don je fait partie qui traversent Paris indifférent à toute cette beauté extérieur , certain plonger dans leurs journaux , d'autre pendu au téléphone racontent leurs vie sans aucune discrétion .. D'autre se dévisagent , des numérros de téléphone échanger , des sourire complices ..
Il y a une femme toujours seule au fond du wagon elle s'installe toujours de manière à se que personne ne s'assied près d´elle , parfois habiller sexy parfois elle se cache sous d'informe habits , elle lit son livre , parfois elle regarde son téléphone , sourit , je me demande qui lui écrit ;je l'imagine lire des emails ou des textos .. Parfois je la voit rougir, sous son foulard , il me semble parfois apercevoir un collier , mais un collier qui me rappelle.......... .. Parfois aussi des larmes coules sur son visage , inconnue discrète qu'elle est donc ta vie ..
Il m'arrive d'avoir envie d'aller lui parler .. Je n'ose pas ..
Je croise le regard d'un homme qui m'observe depuis un moment , je détourne les yeux .. Il sourit , je me lève il se lève , je tiens la barre du métro sa main se pose sur là mienne , sourire discret , vous me plaisez me susurre t'il , vous avez de très belle jambes .. Je souris et descends du métro pour monter dans un autre wagon ...
Le métro descend sous terre , il passe de rame en rame je me laisse porter , dans certaines stations des SDF sont la , je sais qu'ils passent la nuit la .. Certains crient leurs désespoirs certain pisse devant les gens d'autre fument se rencontrent ,se racontent leurs vies , leurs vies souterraines ..
Un musicien monte , il chante une ballade , les voyageurs replongent leurs nez dans un livre , qu'ils ne lisent pas .. Le musicien chante plus fort souriant , je lui donne une pièce quand il passe près de moi .. Il me remercie d'un clin d'œil .. Le voyage continue , c'est autour d'un mendiant de monter il ne raconte pas sa misère , il nous dit je fais la manche pour boire un coup , il est honnête je lui donne une pièce .. Je ne donne pas à chaque fois c'est le coup de cœur , sinon je serais ruinée .. Il y a temps de malheureux .
Je parcours le wagon du regard dans le suivant j'aperçois celui qui a poser sa main sur la mienne , je l'observe , il regarde une femme , il pose sa main sur la sienne , elle rit je souris ,
c est Paris .
Ses rencontre improbables dans le métro ses bousculades .. C est l'heure des sorties de bureau , on joue les sardines des odeurs se dégagent , certaines fleuries d'autre pleine de sueur , certain en profite pour se coller plus près aux femmes .. les amoureux prolongent leurs baiser.....
Il fait nuit les wagons se vide , un jeune me demande si je suis une cougard ,plus loin un autre s'intéresse a mon livre BDSM.........
c'est l'heure des loups aussi........ C est l'heure de la drague sans doute .
.Je regarde un homme qui dessine et je m'invente une histoire.........
Je me retrouve seule dans le wagon .. Je compose se numéro que je connais par cœur ..
Allo , il faut que je vous raconte le Métro aérien .. J'entends son sourire puis son rire à mes anecdotes parfois j'en rajoute juste pour entendre son rire.....
Hydréane
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J'aime y venir
Y revenir
Vous sentir
Vous appartenir
Résister
M'abandonner
Me soumettre
A Mon Maître
J'aime m'offrir
M'épanouir
Subir
Jouir
Me laisser aller
Vivre l'intensité
Avec sincérité
Puis espérer
Le 31 mars 2015 8h10
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