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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Chapitre IV.
Bien remise de mon aventure à Neuilly, je laisse malgré tout passer quelques jours avant de consulter ma b.a.l.
De part mes fonctions comme documentaliste dans un grand magazine féminin, je dispose non seulement l'accès à Internet mais aussi de l'abonnement à plusieurs diverses revues spécialisées. Mon job consiste à classer les informations par groupes d'intérêts, de confectionner des dossiers pour mes collègues journalistes.
C'est ainsi que je suis tombée sur une annonce d'un magazine spécialisé SM. Une annonce particulièrement tentante pour moi :
Maître exigeant, cherche esclave noire docile, obéissante, soumise pour dressage intensif dans résidence équipé à Toulouse - accepte jeune femme présentée par Maître ou mari - Pas sérieuse s'abstenir. Suivait le pseudo Maître Henry et un numéro de téléphone. Pour obtenir une réponse il fallait envoyer une lettre de motivation, une description complète et une photographie, comme pour une embauche.
Le fait d'être présentée par mon mari me stimulait. Depuis longtemps, j'avais envie que Raymond assiste à mes séances.
Je lui fit part de mon désir de répondre à cette annonce. Je demandais également l'autorisation à Pierre qui était mon Maître de fait.
A mon grand étonnement mon mari promit de s'occuper de prendre contact et de téléphoner au mystérieux Maître Henry à Toulouse. Dix jours plus tard Raymond mon mari et moi prenons le TGV pour la ville rose. Raymond a décidé de m'accompagner pour mon dressage comme l'exige Maître Henry. C'est la première fois que Raymond accepte de remplacer Pierre l'initiateur de mes turpitudes. Je suis très contente, je vais pouvoir enfin exercer mes talents avec amour durant trois jours de dressage devant mon mari. Jusqu'à présent il avait toujours refuser de m'accompagner et d'assister à ma totale soumission à Pierre et à ses invités occasionnels.
Le rendez-vous était fixé à la gare de Matabiau, Maître Henry serait à la gare pour nous attendre.
Maître Henry avait les cheveux blancs et une petite moustache de la même couleur. L'accueil fut amical et jovial. Maître Henry avait un bel accent du sud-ouest. Il complimenta Raymond pour ma beauté. Nous primes tous les trois un petit déjeuner au buffet de la gare avant de nous rendre à son appartement près de la Place Jeanne d'Arc, aménagé en salle de tortures tout près de la gare. Auparavant nous nous arrêtâmes dans un hôtel tout proche de son domicile pour déposer nos bagages ne gardant que le nécessaire, maquillage, tenues pour les trois jours.
Maître Henry avait calé des rendez-vous pour moi pour ces trois journées.
Mon nouveau Maître était fort connu dans la région , il est l'auteur d'un ouvrage sado-maso fort apprécié.
Il pratiquait depuis plusieurs années, beaucoup de soumises étaient passées entres ses mains expertes mais jamais de jeunes femmes noires.
Son appartement était situé dans un vieil immeuble rénové près de la gare. Maître Henry n'habitait pas là, il se servait de cet appartement uniquement pour ses dressages.
Raymond était visiblement mal à l'aise, il vendait sa femme à un inconnu. En bonne esclave soumise je laissais les deux hommes faire connaissance, ils faisaient le tour du propriétaire s'attardant sur les installations.
Raymond fit les présentations d'usage.
Voilà dit-il je vous présente mon épouse Safi, comme convenu je l'accompagne cela signifie mon total accord pour sa soumission et son utilisation maximale. A mon adresse et assez vivement Raymond me dit : déshabille toi complètement pour que ton nouveau Maître t'examine.
J'ôtais mes vêtements avant de me placer à genoux les mains derrière le dos devant Henry et la tête baissée.
Bonjour Maître je m'appelle Safi, je suis à votre entière disposition, usez et abusez de moi comme bon vous semblera, je suis ici pour obéir aveuglément et totalement dis-je d'une faible voix, c'est un honneur et un privilège que d'être dressée par vous en présence de mon mari.
Raymond avait prit place dans un fauteuil dans un coin du salon, moi j'étais nue au centre de la pièce. Maitre Henry se tenait debout une cravache à la main.
Très bien enchaîna Maitre Henry, tu es une bonne esclave et une bonne épouse, maintenant avant de t'expliquer ce que j'attends de toi durant ces trois jours, je vais t'examiner sous toutes les coutures pour voir s'il n'y a pas de modifications à apporter à ton physique.
Mets toi à quatre pattes et écarte bien les cuisses, je dois pouvoir juger de tous tes orifices.
A l'aide de sa cravache, il a parcouru tout mon corps en s'arrêtant plus particulièrement sur mon sexe rasé qu'il écarte avec sa cravache. Il titille mon clito avant de faire glisser sa cravache vers mon anus qui déjà s'excite sous la caresse. Je n'ose pas regarder Raymond.
Maître Henry me demanda de me relever et de lui faire face debout. Il trouve mes petits seins pas si inintéressants que ça. Il admirait mon corps fin et menu, écarta mes cuisses à l'aide de sa main en me caressant de façon très obscène devant Raymond afin de lever toute ambiguïté. Il dit à Raymond :
C'est une belle femelle que tu as là, j'espère qu'elle est aussi bonne qu'elle est belle. On va pouvoir s'amuser avec cette belle chienne black. J'ai prévu tout un programme.
Au même instant, un doigt de Maître Henry était parvenu dans mon anus serré, mon dressage commençait. Maître Henry enchaîna : Safi tu me plait, mais ce n'est pas tout de me plaire il faut aussi me satisfaire, non seulement mes propres désirs mais aussi ceux de mes invités.
Ici c'est moi qui décide de tout, de ton utilisation, du prix de ta location ! Est-ce que tu as bien compris petite chienne salope ?
Oui Maître je ne vous décevrai pas.
Bien dit-il, on verra si ton discours est sincère, ce soir tu feras la pute, tu iras racoler des clients sur les bords du Canal du Midi, juste à côté d'ici, on verra si tu est une bonne pute et une bonne soumise, pas question de refuser, ok ! Tu as déjà fais ça ?
Non Maître répondis-je timidement en tentant d'accrocher le regard de Raymond. Dans mon esprit faire la pute est un jeu, être une pute sur le trottoir ce n'est pas ce que j'avais envisagé.
Ce n'est pas la peine de regarder ton mari me dit-il, Depuis que tu es nue chez moi, tu ne lui appartiens plus, c'est moi qui décide de tout.
Tu as déjà oublié, rien que pour ça tu seras punie après ton premier client qui doit arriver à 11 heures. Tu devras aussi répondre au téléphone pendant tout ton séjour ici. Effectivement Maître Henry parlait de client, j'étais donc une pute.
Comme prévu Roger mon premier client arriva à l'heure prévue.
Nue comme au premier jour, j'ouvris la porte.
Roger n'en revenait pas. Il sentait rien qu'à regarder Safi marcher devant lui dans le couloir qu'il bandait.
Roger était petit, rougeaud, obèse, il sentait la campagne, il était un habitué des rendez-vous de Maître Henry.
Au moment où Safi, l'invita à entrer dans la pièce aux instruments de torture, Roger sentit son ventre se contracter. Safi l'invita à se déshabiller complètement. Entre ses cuises ses testicules se gonflèrent d'un poids nouveau. Sa pine se dressa vers le plafond.
Dans la petite pièce aménagée, Safi avait déposé un genou sur la table basse. Elle offrait ainsi un spectacle hallucinant à Roger. Les grandes lèvres de sa chatte effleurèrent le goulot de la bouteille de whisky, elle versa le liquide dans un verre qu'elle tendit à Roger. Ce dernier soufflait et se branlait
Safi tira sur sa vulve, faisant surgir aussi gros qu'un haricot son clitoris, puis lentement roulant des hanches, elle fit avaler à son con le goulot de la bouteille de whisky.
Appuyé du regard de Safi, Roger s'approcha. Safi vit la queue du rougeaud s'approcher de son visage, le gland huilé de sperme, elle huma l'odeur, repoussant plus en avant la bouteille en elle. Le goulot disparu dans sa chatte aidé par la main ferme de Roger.
Bouche ouverte elle lécha le gland humide. Roger se branla violemment, ses reins se cabrèrent, il déchargea sur le visage de la salope africaine. Elle respirait fort, elle se sortit la bouteille, essuya de la main le foutre qui souillait la pine de Roger et s'en enduisit la moule lisse.
Safi pinçait et branlait son clitoris sous les yeux de Maître Henry et de son mari Raymond. Les cuisses largement ouvertes, elle s'assit sur le guéridon. Roger s'agenouilla entre le ciseaux de ses jambes gainées de soie. Sa bouche plongea dans la chatte humide vers le clito luisant de désir, soumis à des secousses de plus en plus brutales à mesure qu'il la fouillait. Safi s'arracha à la bouche de Roger pour s'enfoncer la queue dans la chatte.
Malgré son obésité, Roger l'enfila sans discontinuer jusqu'à qu'il sente l'os pubien lui écraser la naissance du noeud, puis elle la ressortit pour se faire prendre dans le cul.
Safi humidifia son anus, le gland et le préservatif de l'homme de salive puis guida délicatement Roger vers son trou du cul
Ca y est Monsieur vous y êtes dit Safi.
L'homme réalisa qu'il était en train d'enculer l'orifice serré de la sénégalaise. Les yeux fermés il se répandit dans les entrailles de Safi qui émit un soupir de contentement avant de remercier son enculeur. Toujours à genoux sur le guéridon, Safi attendait les ordres du Maitre.
Raymond n'en revenait pas de voir sa femme se comporter comme une actrice de films porno.
Pour terminer, Safi avait léché le chibre volumineux de Roger. Elle riait légèrement fière d'elle, elle adressa une moue espiègle et une langue obscène en direction de son mari tout en continuant de sucer le gros rougeaud.
Elle avalait le sperme qui débordait de sa bite à chaque contraction de ses couilles. Maître Henry regardait sa nouvelle recrue, l'anneau de ses lèvres à moitie de queue.
Henry ouvrit sa braguette et s'agenouilla entre les fesses ouvertes de la négresse. Du bout de sa langue il mouilla l'anus de Safi,testa son élasticité de ses doigts. Henry écarta de nouveau les fesses de Safi et regarda sont trou du cul s'élargir sous la poussée de son noeud qui forçait l'entrée.
Le foutre de Roger coulait en filaments sur le doux visage de Safi.
La queue d'Henry s'enfonçait millimètre par millimètre. Roger jouissait maintenant debout, Safi essaya de lui aspirer les bourses sous le ragard inquiet de Raymond qui assistait à la scène.
Elle entendit de nouveau son Maître souffler. Un orgasme comme une décharge électrique lui secoua le ventre lorsqu'elle constata que toute la longueur de la bite de Maître Henry était maintenant dans son cul.
Les débuts de Safi à Toulouse s'annonçaient bien.
Tout en se rhabillant, Roger déposa une enveloppe dans un petit panier d'osier.
Contrairement à Maitre Pierre, Maître Henry louait son appartement et prélevait un quart des sommes fixées par lui destiné à l'esclave. A Toulouse chez Maître Henry les soumises étaient aussi des putes occasionnelles.
Maître Henry se payait à la fois en espèces et en nature.
Cinq clients sexe dans l'appartement et deux sur les bords du Canal du midi pour cette première journée.
Le lendemain je passais la matinée à répondre aux téléphone, et à organiser la soirée dressage plus baise prévue avec plusieurs personnes. Je vais être la soubrette de service.
Henry m'a offert une belle tenue, corsage noir string noir, bas noir, escarpins vernis, mon collier fétiche avec le S pour médaille, tablier et coiffe blanche, c'est comme ça que je dois accueillir les invités.
A suivre.
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Mon amour, ce texte décrit mes désirs, mon ressenti et ma vision du couple comme je souhaiterai le construire et le vivre avec vous. Ce que je vais écrire plus bas ne sort pas comme par magie d’un chapeau, c’est bien de notre histoire d’amour passée et présente que ce texte est possible aujourd’hui.
Les sentiments que je ressens pour vous dépassent l’amour entre un homme et une femme, entre un mari et son épouse. Je me sens bien plus que ça,je vous sens bien plus que ça. J’ai envie et besoin de donner bien plus que cela.
Depuis plus de treize ans, vous me faites découvrir et réfléchir sur le monde BDSM. Nous pratiquons souvent avec des jeux et parlons beaucoup de la philosophie BDSM et à chaque fois que je comprends un peu plus ou simplement mieux cette philosophie ainsi que votre vision, je trouve un endroit où je me sens bien, un endroit où je trouve un équilibre où je me sens vivante et où je prends beaucoup de plaisir. Je me découvre, je me comprends mieux.
Je me souviens quand j’étais toute jeune, mon rêve, mon fantasme qui revenait chaque jour était celui ci : «j’ étais retenue prisonnière dans une tour, comme un donjon, par un homme fort et puissant et j’étais à sa disposition, corps et âme.»
Ce rêve m’a poursuivi pendant longtemps et je m’y réfugiais à chaque fois que j’avais besoin de réconfort ou de sécurité. Malgré mon état de captivité, j’aimais cet homme, car il était pour moi mon protecteur. J’étais sa soumise et j’y trouvais là une magnifique place.
Aujourd’hui, je réalise que cet homme c’est vous. Je l’ai compris grâce à tous nos échanges.
Depuis bientôt vingt ans, sans jamais vraiment poser les mots, vous agissez comme mon protecteur, comme une lumière vers laquelle je me tourne quand j’ai peur, quand je me sens perdue.
Je réalise qu’au niveau de mon corps ainsi que de mon esprit et dans tous les domaines de ma vie, je suis épanouie et heureuse seulement quand je ressens votre présence physique ou mentale. Présence pleine de respect et d’amour, qui m’aide et me permet d’avancer dans ma vie.
Comme dans mon rêve de jeune fille, m’imaginer être votre soumise, être à votre disposition, vous avoir comme Maître c’est bien cela que je souhaite plus que tout au monde.
Alors aujourd’hui, je souhaite enfin poser ces mots pour vous décrire ma volonté d’engagement et affirmer mon consentement pour vivre avec vous une relation BDSM au quotidien afin qu’il nous permette d’avancer ensemble dans la même direction avec toujours cette ouverture vers d’autres possibles …
Oui depuis des années, je prends mon plaisir quand vous me dominez, que ce soit par l’intellect ou par le sexuel.
Oui depuis des années, je prends mon plaisir quand je m’offre à vous que ce soit par l’intellect ou par le sexuel avec toute ma confiance et mon amour.
Je souhaite que vous me preniez comme esclave d’amour, pour cela je vais décrire mes objectifs et mes envies pour que vous puissiez connaître le fond de mes pensées et ainsi accepter devenir mon Maître officiellement.
Voici mes objectifs et mes envies :
J’ai besoin et envie que vous exerciez votre autorité sur moi en tous lieux et à tous moments pour utiliser mon corps et mon esprit de quelque manière que ce soit. Pour cela, je serai totalement à votre disposition, ce qui implique que j’accepte les règles de soumission et d’obéissance qu’impose ma condition; que mon seul devoir sera d’obéir, de vous servir et de vous satisfaire ; que je serai punie pour tout manquement.
Je souhaite que vous choisissiez mes vêtements que je porterai avec fierté devant toute personne.
J’aime ressentir la douleur quand c’est vous qui me la donnez et je vous demande que notre relation se poursuive et se développe dans une pratique sadomasochiste.
Cette douleur, vous serez le seul à savoir et à décider de son intensité, de sa nature et de la méthode employée pour me la faire vivre.
J’ai besoin d’aller dans mes limites pour me sentir vivante et je vous donne toute ma confiance pour me conduire sur cette route.
J’aime le bondage et tous autres moyens de contraintes et je souhaite me laisser totalement entraver.
J’aime également porter des traces ou des marques sur mon corps me rappelant que je vous appartiens. Chaque marque sur ma peau est une preuve que je vous appartiens et une preuve d’amour que je reçois qui me remplit de joie. De plus, je serai fière de les porter afin de les montrer pour que tout le monde sache que je suis votre soumise.
J’aime l’humiliation quand elle sert à me rappeler ma condition de soumise et j’espère que vous continuerez à trouver de nouvelles situations ainsi qu’à me surprendre.
Je souhaite laisser mon corps à tout homme ou femme que vous aurez choisi, pour vous prouver mon niveau d’abandon pour vous. Je sais que si vous décidez de me prêter, vous le ferez pour votre plaisir, mais je n’ai aucun doute que votre démarche sera de me permettre de me dépasser et de trouver un bonheur encore plus grand en dépassant mes limites. Encore une fois la confiance que j’ai en vous est au moins aussi grande que l’amour que j’ai pour vous.
Je sais que de vivre notre relation avec une autre soumise vous tient à coeur depuis bien longtemps. Il y a eu bien souvent des malentendus dans le passé.
Aujourd’hui j’ai assez confiance en vous, confiance en moi, mais également en nous pour vous dire que j’aimerai que notre relation BDSM évolue dans cette voie.
Ce serait pour moi la preuve ultime que mon amour est le plus grand, le plus fort et le plus beau et que mon appartenance pour vous est sans limites. Arriver à repousser mes limites sur cette voix serait pour moi la plus belle preuve de mon lâcher-prise et la plus belle preuve de mon amour pour vous. Car l’essentiel pour moi, c’est vous et notre amour.
Voici mon rêve exposé et pour le réaliser j’ai besoin de vous, j’ai besoin d’un Maître qui me conduira à ce lâcher-prise que je désire tant.
Un Maître qui saura repousser mes limites en toute sécurité, je n’ai pas de doute sur votre amour, sur votre écoute et votre respect pour moi.
Je réalise chaque jour un peu plus la chance de vous avoir rencontré.
Je me donne à vous avec mon corps et mon esprit pour que chacun de nous trouve cette part de soi, totalement libérée, pour accéder à une conscience toujours plus grande.
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Les soumises sont des sadiques !
Prenez une soumise réelle qui vit réellement sa soumission comme un Art de vie et confiez-lui des soumis en lui ordonnant de leur faire du BDSM.
Au départ la soumise refuse et râle en vous disant qu'elle n'est pas Maîtresse. Elle insiste même en vous rappelant qu'elle est soumise dès fois que vous l'auriez oubliée...... !
Insistez en lui rappelant qu'une soumise n'a pas à discuter les ordres de son Maître. Si besoin est, annoncez qu'une protestation ou un refus sera sanctionné d'une punition. (Chez moi les punitions sont redoutées car ce ne sont pas des jeux BDSM)
Regardez-la partir en râlant et observez attentivement. Vous constaterez que si la dite soumise est bien soumise, passé les premières minutes l'ordre de dominer sera exécuté avec une certaine forme de sadisme.
CONCLUSIONS PERSONNELLES et plusieurs fois constatées :
Les réelles soumises ne sont pas domina et ne switchent pas, dominer ne les intéresse pas et les ennuie fortement, elles feront l'effort si elles n'ont pas le choix.
La domination qu'elles mettent en place (puisqu'elles n'ont pas le choix) risque de vous surprendre de part leurs côtés pervers et sadiques.
ET LE PIRE c'est que si ces soumises sont maso, les pauvres soumis risquent de souffrir car elles adaptent la puissance des coups et actions en fonction de leur propre masochisme ! Aie aie aie si le soumis n'est pas maso.....
Personnellement (en grand pervers que je suis) j'adore faire dominer mes soumises parce qu'elles râlent mais exécutent mes ordres et les regarder m'amuse beaucoup. J'aime voir les rictus sur leur visage. Si comme moi vous aimez observer, vous serez surpris.
Les soumis n'apprécient pas toujours (rire) mais ont-ils le choix ?
Après une séance de domination réalisée par une soumise contrainte de dominer, une reprise en main de votre part est aussi salutaire qu'une bonne douche pour Hercule après ses grands travaux. La soumise ne vous en sera que plus reconnaissante......
J'ai fait le test avec deux soumises, si les approches sont différentes, les résultats sont les mêmes, les soumis « dégustent » et je m'amuse.
TSM Maître et psychopathe en chef chez Fessestivites
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En ce jeudi automnal, il pleuvait légèrement, quelques gouttelettes qui rappelait que l'été n'était plus qu'un souvenir. Il faisait frais également, pas suffisamment pour sortir de lourds manteaux, mais suffisamment pour inciter à se mettre plus qu'une chemisette sur le dos.
Et donc en ce jeudi après-midi, Maître Margraf s'en allait fournir ses bons offices. On l'appelait "Maître", car il était avocat auprès du barreau de la ville de S. Il avait tout du bon citoyen bien établi, c'est à dire un métier respectable, un appartement spacieux et confortable dans un quartier tranquille, ainsi que des amis de marque avec lesquels il se plaisait à partager des activités de bons goûts. Il était plutôt bel homme, ses cheveux blonds cendrés étaient coiffés de telle sorte qu'apparaisse une raie sur le côté gauche. Ses yeux noisettes contrastaient avec une la pâleur de sa peau. Sa mâchoire carrée apportait la touche de virilité qui s'imposait à son visage impeccablement lisse. De plus, il se rendait de temps à autre à la salle de sport afin de parfaire sa plastique. Mais sans en abuser, il estimait que l'équilibre était un des piliers d'une vie réussie.
Maître Margraf se rendait à l'hôtel de police sur la demande d'un officier de police judiciaire. En effet lors d'une interpellation, l'un des droits du mis en cause était de pouvoir consulter un avocat, soit de son choix, soit désigné. Il ne se souvenait plus pourquoi il avait accepté de figurer dans la liste des avocats joignables, après tout ses revenus lui permettait de s'épargner ce genre de mission. Peut-être cela lui fournissait un prétexte pour se forcer à sortir en milieu de journée, ou alors espérait-il croiser des gens intéressants à l'occasion d'un déplacement.
Le bâtiment n'avait pas quinze ans d'existence, mais quelques traces orangeâtres au niveau des zones de contact entre différents matériaux tels que le béton et les parties métalliques laissaient deviner un souci constant de mégoter sur la qualité et une attention suivie sur les économies de bout de chandelle. Les préposées à l'accueil le reconnurent, et l'une d'entre elles l'accompagna dans la salle réservée aux entrevues entre gardés-à-vue et avocats. L'accès à cette salle se faisait par une porte située à l'opposé de l'entrée principale du grand bâtiment. Il fallait ensuite descendre au sous-sol où était parqués les gens interpelés, puis passer par un double-sas ouvert à distance par un fonctionnaire qui vérifiait les entrées au moyen d'une caméra.
Alors que Maître Margraf et la jeune contractuelle entraient dans le premier sas, une odeur nauséabonde commençait à agresser les narines des deux visiteurs. Un pot-pourri d'odeurs de chaussettes, de sueur et d'urine flottait effectivement dans cet endroit; la raison était l'inexistence de douche pour les "pensionnaires" ainsi que la mise à disposition unique d'un seul sanitaire mal conçu. D'autres problèmes existaient, mais il ne serait pas séant d'en donner une description. Heureusement la salle où se rendait Maître Margraf était accessible à la droite du premier sas, et juste en face se trouvait une salle de visio-conférence.
La salle était petite, pas plus de dix mètres carrés. Elle était insonorisée et mal éclairée par l'unique ampoule. Les murs étaient grisâtres et le seul élément de fantaisie était un petit bouton qui actionnait une sonnette afin d'avertir les fonctionnaires des geôles quand un entretien était fini ou quand il y avait un problème.
Il s'installa donc, posa son porte-documents, et attendit quelques minutes qu'on lui amène son client. L'entretien fût bref, il s'agissait d'un voleur à la tire déjà connu des services de police locaux. Le contraste était saisissant, l'un vêtu d'un survêtement jaune tâché, et l'autre portant un costume noir qui le mettait en valeur ainsi qu'une chemise de couleur Bourgogne. L'entretien fini, il actionna la sonnette et attendit l'officier chargé de son dossier afin de dire si oui ou non, il avait des remarques à formuler, et également pour savoir s'il était possible de procéder à l'audition du mis-en-cause sur le champ.
L'officier en question fût prévenue de la fin de l'entretien et descendit dans la salle ou l'avocat attendait. Elle était plus petite que le Maître, et sans être adipeuse elle avait quelques petites rondeurs qui lui donnait un air mignon. Sa tresse châtain claire accompagnait une tête faite d'un visage au teint pâle que certains décriraient comme étant un océan de douceur dans lequel on se noierait volontiers. Elle était plutôt agréable à vivre et compétente dans les tâches qu'elle accomplissait, et on ne lui connaissait pas d'activité particulière. Bien que franche du collier avec les quelques personnes qui avaient son amitié, elle était quelque peu timide.
Maître Margraf demanda d'une voix claire quand est-ce qu'ils pourraient partir en audition: "Il serait de bon ton que nous procédions à l'audition de ce jeune homme".
Alice, c'est ainsi qu'elle se prénommait, appréciait les visites du Maître, il avait ce charme de l'Homme moderne avec un grand "H", viril et raffiné à la fois, avec cette aisance à s'adresser à ses interlocuteurs, et à diriger. Il lui plaisait c'était certain. Possédée par son charme, Alice rougit un peu, et perdant un peu de son assurance elle baissa un court moment les yeux et lui répondit ainsi: "Je... je suis désolée Maître..., mais j'ai besoin de temps pour collecter certaines informations".
Maître Margraf, devinant le trouble d'Alice, se mit dans l'idée de voir à quel point il pouvait étendre son autorité sur elle. Le Maître se leva donc, dominant d'une tête Alice et pris un air courroucé. Sa voix se fit impérieuse et son regard sévère: "Je ne puis tolérer un tel manque de rigueur... Ce manquement sera signalé à votre hiérarchie ainsi qu'aux autorités judiciaires compétentes qui accordent les fonctions judiciaires dont vous usez. Ils n'ont pas besoin d'incompétents de votre espèce. Si vous êtes incapables de faire les choses les plus élémentaires, laissez la place à d'autres!"
Alice, baissa la tête et croisa les mains. Elle bafouilla: "Mais... vous n'avez pas à, à... je suis fonctionnaire de..., vous ne...". Elle peinait à trouver ses mots.
A ces mots le Maître tapa du poing sur la table et augmenta d'un ton le volume sonore de sa voix, c'est à dire assez pour prendre un ton un peu plus agressif, mais pas trop pour qu'on le n'entende pas. "Vous savez pertinemment que dans ce pays vos dires ne valent rien face à un avocat bien placé! Je sais en outre que cela arrive fréquemment, donnez-moi satisfaction ou je me verrai dans l'obligation de sévir!".
En effet la pauvre Alice avait quelques soucis à gérer ses dossiers, cela était connu, mais on ne pouvait décemment lui reprocher ses carences. Le manque de temps et de moyens, ainsi que les lourdeurs administratives faisaient que l'on mettait deux à quatre fois plus de temps pour gérer les affaires. Ces remarques lui avaient déjà été adressées, mais sur le ton de la blague, car tout le monde était concerné à vrai dire. Mais Aline avait tendance à prendre certaines remarques un peu trop à coeur. De plus, elle savait qu'on ne pouvait jouir que de peu de considération face au Maître.
Maître Margraf, satisfait de son effet, poursuivit. "Je crois que je vais devoir saisir vos supérieurs, mais comme semblez être une gentille fille, je puis régler cela d'une manière privée... Cependant vous devez me jurer de faire exactement ce que je dis!"
Alice laissa couler quelques larmes, et répondit en ces termes, d'une voix étouffée par l'émotion: "S'il vous plait... épargnez-moi.. j'ai.. j'ai investi tellement de temps pour en arriver là! Pi..pitié Maître..."
Le Maître reprit en reprenant un ton plus posé, et en affichant un petit sourire. "Bien, vous allez donc posez vos mains sur la table et baisser votre pantalon."
Alice laissa couler d'autres larmes et fit mine de parler. Le Maître l'interrompit aussitôt: "Je ne veux pas vous baiser petite idiote, je vais vous punir? Vous allez faire ce que je vous ordonne, et à la prochaine tentative d'interruption, j'irai faire sauter votre carrière? Est-ce clair dans votre petite tête?"
Aline répondit d'une voix résignée: "Oui..."
"Oui, oui qui?" questionna sèchement le Maître, accompagnant la question d'une petite claque sur la joue trempée par les larmes.
"Oui, Maître! Par...pardonnez-moi, Maître!" répondit Alice. La pauvrette était toute chamboulée par son état de soumission, offerte au désirs sadiques de Maître Margraf. Mais celui-ci était un homme raffiné, il savait jusqu'où aller et ne pas transformer ses jeux pervers en simple déchaînement de violence bête et méchant. Le Maître était un artiste pour cela, une sorte de vampire aristocratique qui vous subjuguait et vous hypnotisait avant de vous sucer le sang, et ce, de votre plein gré.
Le Maître sorti de son porte-document une règle en plastique et commença à donner des coups sur la croupe d'Alice d'un geste assuré. Elle gémit, et commença à éprouver en son for intérieur une autre honte que celle qui la voyait cul nu, à subir les outrages du Maître. Chaque coup porté se concluait par un bruit de claquement sourd qui s'accompagnement d'un raidissement d'Alice. Au bout d'une vingtaine de coup, les fesses d'Alice, présentait de longue marques claires. Une honte mêlée au plaisir masochiste d'être humiliée et rudoyée ainsi, d'être soumise et d'appartenir à quelqu'un. Elle découvrait ce plaisir honteux comme un prêtre dévôt s'abandonnant à la masturbation. La conséquence fût que son sexe larmoyait de cyprine, ce qui n'échappa pas au Maître.
Le Maître empoigna fermement la base de la tresse d'Alice, approcha son visage et lui susura :"je constate que cela vous plait. Vous êtes une petite traînée qui s'ignore, je vais faire de vous une vraie salope qui s'assumera en tant que tel. Dites-le!"
Alice, complètement chamboulée, laissa maladroitement ses émotions parler, ses larmes étaient devenues des larmes de honte et des larmes de plaisir. D'une voix enrouée elle admit les faits: "Je...suis..." hésita-t-elle.
"Dites-le! Ayant le cran de l'admettre petite garce!" grogna le maître.
"...Je..suis...une...une...salope!" admit enfin Alice, qui ferma les yeux, vaincue et humide. N'en pouvant plus, elle se laissa doucement tomber à genoux, la tête baissée et les yeux fermées.
Le Maître s'écarta d'elle, alors qu'elle se laissait glisser vers le sol. Il approcha son visage sévère et lui d'un ton neutre: "je vais vous laisser un choix, et je vous le proposerai une seule et unique fois. Devenez ma soumise, et vos chaînes seront votre lien vers la libération de votre être intime. Refusez, et vous resterez dans vos petites certitudes ineptes et vos frustrations quotidiennes."
Le Maître s'écarta alors de celle qui avait à choisir entre une soumission libératrice ou un retour à la liberté bien-pensante et en désaccord avec son moi profond, et déposa une carte de visite en carton avec son numéro de téléphone. Ses derniers mots furent les suivants: "relevez-vous, et rhabillez-vous, nous n'avons pas besoin de montrer votre être véritable dans ce lieu crasseux. Vous serez MA soumise, et pas celle des autres, j'espère que c'est clair. Vous avez jusqu'à ce soir, vingt-et-une heures pour vous décider."
Alice obéit, elle se rhabilla maladroitement et sêcha son visage encore rougit par l'intensité des émotions et les attouchements. On vint donc leur ouvrir et le Maître s'en alla sans se retourner vers Alice, en direction du sas et des escaliers. Alice passa le sas juste après lui, mais resta dans les escaliers pour prendre un répis.
Un choix s'imposait à elle. La vérité ou le mensonge? L'expression sincère des tréfonds de son âme ou un mensonge couplé à de l'hypocrisie?
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! Comme chaque année, le réseau ***LIEN COMMERCIAL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** organise sur une propriété privée isolée des regards des week-ends de rencontre qui sont 100% gratuits. (Les thèmes sont BDSM ou ABDL ou Fessée ou shibari ou …..) Les 8 et 9 juin 2013, la thématique était ABDL et fessée sur la petite propriété camarguaise. Si le vendredi soir la météo était clémente, le week-end fut dès plus humide ! La pluie a contraint les membres à se replier dans la maison mais est-ce la promiscuité ou la motivation des membres, le moins que l’on puisse dire c’est que l’ambiance fut chaude ! ! ! Les nurses ont pu changer les ABDL mais également tanner les fessiers des plus espiègles sous le regard inquiet des nouveaux. Que l’on se rassure, cette inquiétude n’a pas durée et pour cause, avec autant de fous furieux, la folie devient contagieuse ! Les plus timides se sont donc aventurés à murmurer « j’aimerai bien essayer pour voir ». Les fous ! ! ! Il y eu donc des initiations à la fessée et des initiations à la canne anglaise pour les plus téméraires ce qui a généré des vocations y compris pour une nurse qui a trouvé cela très plaisant. Nous en déduisons qu’il y a de fortes chances qu’elle récidive lors des prochaines rencontres. Après les discussions, apéro, repas, un spectacle de marionnettes humoristiques, une dictée de masochiste humoristique, les changes, un atelier body paint et même un défilé de mode, les sens se sont enflammés pour générer des idées sadiques. UN GANG BANG FESSEE ( sans sexe) Le Maître de soumise Kioki-san, également connue sous bébé Kio, avait décidé de lui offrir une monstrueuse fessée plaisir pour satisfaire les plaisirs masochiste de cette soumise dès plus gourmande. Les fesseurs et les nurses et même les soumis et soumises se sont donc invertis pour satisfaire la grande gourmande de fessée. Elle fut fessée quasiment une heure non stop ! Le Maître de Kioki-san a fait « l’ouverture » de ce gang bang fessée avant de passer la main aux personnes désireuses de participer à cet évènement rare. Vers la fin de l’heure, l’a sentant prête à jouir (au sens propre du mot) le Maître de TSM a repris la main pour la dernière ligne droite la conduisant à la jouissance. Si l’entrejambe de cette soumise était mouillé, je peux vous affirmer que le front des fesseurs et fesseuses l’était également pour cause de transpiration ! Du vendredi soir au dimanche soir, les fesses rouges ont été talquées et mises à l’abri sous d’épaisses couches voir même sous des grenouillères, tout cela dans une ambiance cordiale où chacun a pu participer à ce qui le séduisait. Les trois prochains week-ends auront pour thème : Un week-end Ecole du BDSM (rencontre entre expérimentés et débutants) Un week-end SM pur avec un artiste du fouet Un week-end toutes activités confondues RAPPEL : Les soirées puis les fessestory puis les week-ends sont gratuits pour les membres du réseau TSM
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Voilà plus d’un mois que je suis à New York et j’ai l’impression d’y habiter depuis des années. Les plans de la nouvelle galerie sont pratiquement terminés, et les travaux devraient commencés fin novembre, plus tôt que prévu.
J’ai prévu de rentrer en France le 16 novembre pour faire connaissance du nouveau propriétaire de ma galerie lyonnaise.
Ici ont vit à cent à l’heure, Dans cette ville rien ne s’arrête jamais, jour et nuit la ville fourmille. Ça me change de Lyon ou à 10 heures du soir, c’était le désert.
Parmi les amis que John m’a présenté, figure un richissime industriel de 70 ans qui à fait fortune dans le pétrole, et qui a pour habitude d’organiser les fêtes les plus originales.
John m’expliqua qu’il organisait régulièrement 4 fois par an, des cocktails à but caritatifs. Dans sa somptueuse demeure, ils invitaient des couples, tous mariés, et au portefeuille bien garni. Le jeu consistait dans un premier temps, à ce que toutes les clefs de voitures de ces messieurs soient mises dans un petit sac de velours, avec leur nom à l’intérieur. En même temps ils devaient faire un chèque de dix mille dollars. Ces sacs étaient mis dans une grande vasque. Ensuite chaque femme tirait un sac et découvrait le nom du propriétaire des clefs. Ils partaient alors ensemble pour terminer la journée et la nuit au domicile du monsieur qui devait rendre la liberté à sa nouvelle maitresse avant 12 heures le lendemain. Bien évidemment, une épouse ne pouvait pas partir avec son mari et tirait un autre sac.
Les gens se bousculaient pour être invités à ses journées de bienfaisance. La recette ne descendait jamais en dessous de 800 000 $ qu’il redistribuait aux associations.
Une idée qui rapportait beaucoup d’argent, qui ne lui coutait que le champagne et les petits fours, et qui permettaient à ces couples mariés de se tromper mutuellement, mais pour la bonne cause ! L’honneur était sauf.
Fin octobre, John m’annonçât que nous étions invités à une des soirées organisées par ce magnat du pétrole. Je demandais à John s’il s’agissait de ce types de soirée, il me répondit que non, qu’il s’agissait d’une soirée costumée sur le thème de « Les nuits de Caligula ».
Un peu d’histoire pour ceux qui ne connaissent pas cet empereur romain. On lui a prêté maints méfaits plus horribles les uns que les autres. Il n’avait pas hésité à tué son oncle l'empereur Tibère de ses propres mains, (si on peu dire) pour prendre sa place, qu’il couchait avec sa sœur, (il reproduisait ainsi les mœurs de l’Egypte antique) qu’il organisait des fêtes qui se terminaient toujours en orgies le plus souvent très sanglante. Des hommes et surtout des femmes étaient sacrifiés dans des souffrances les plus horribles pour assouvir sa folie sexuelle et meurtrière. Qu’il humilia les Sénateurs en prostituant obligatoirement leurs femmes et leurs filles. Il avait même nommé son cheval Grand Consul. Vous voyez le personnage.
Le thème de la soirée était sans ambigüité. Sur le carton d’invitation, il était écrit que les costumes seraient fournis en totalité sur place. L’adresse était un entrepôt situé au port Newark dans le New jersey
Vendredi 29 octobre
Quand nous sommes arrivés sur les lieux, c’était sinistre. Des alignements de bâtiments identiques, dans un environnement de containers. L’endroit était lugubre, puis après avoir tourner en rond un bon moment, nous sommes arrivés sur un parking éclairés, des dizaines de voitures étaient déjà garées et surveillées par des gardes armés.
Sur le devant du bâtiment, une entrée fortement éclairée. Quand nous pénétrâmes, une surprise de taille nous attendait. Nous nous serions cru dans un décor de péplum à Hollywood. Une vaste entrée avec de chaque côté des colonnes, puis les vestiaires, hommes et femmes. Je quittais John et me retrouvais devant des servantes toutes vêtues à la romaine, une espèce de robe très courte, découvrant la totalité d’un sein et ouverte dans le dos avec une ceinture à la taille. Toutes étaient jeunes et belles. Je me déshabillais avec les autres invitées, mettais mes affaires dans un casier en plastique, ne gardant sur moi que mes bijoux. Les téléphones portables devaient être également déposés dans le casier. Interdiction formelle de photographier. Un couvercle fermait le casier avec un cadenas dessus. Je gardais avec moi la clef.
Puis je me dirigeais dans le plus simple appareil vers la salle d’habillement. Là ce sont des hommes vêtus également d’une sorte de jupe qui nous donnèrent nos vêtements. Ils me donnèrent une robe rouge sang, en mousseline, très transparente, très décoltée devant et derrière et des espèces de sandales et un petit sac en forme de besace que l’on pouvait passer autour du cou. Il était rempli de préservatifs. J’y plaçais la clef. Et me dirigeais vers la sortie.
Dans ce hall, je retrouvais John, habillé d’une toge blanche et également de sandales. Je le regardais ainsi déguisé, je le trouvais très beau, il me fit le même compliment, ce qui me ravit.
Le hall passé, nous sommes arrivés dans une immense salle ronde, avec en son centre une piste comme au cirque et tout autour, des gradins. La pièce suivante devait être la salle à manger. Elle était composée essentiellement de large matelas recouverts de tissus, dans le fond un buffet était dressé avec une multitude de mets et de boisson.
Un peu plus loin, un large couloir avec de chaque côté une bonne douzaine d’alcôves simplement fermées de rideaux presque transparents.
Nous continuions la visite et découvrait une autre pièce, ressemblant à une cave, des ustensiles de torture étaient accrochés aux murs. « Ca ce n’est pas pour moi » disais-je à John, qui acquiesçât.
En retournant dans le hall, John rencontrât le maître des lieux, jouant le rôle de Caligula accompagné d’une sublime créature, aux longs cheveux d’un noir profond et entièrement nue, à l’exception d’un collier autour du coup auquel était attaché une chaine et qu’il tenait à la main, elle portait comme bijoux des boucles d’oreilles en or et diamants d’un bracelet et d’un bijoux assorti placé au dessus de la fente de son sexe complètement épilé, Les présentations faîtes, la fille s’appelle Eva, « Caligula » nous dit que soirée commencerait dans un quart d’heure.. Il nous donnait rendez-vous au « cirque ».
Effectivement, une sonnerie de trompette nous invitât à nous diriger vers le cirque. En regardant nous avons constatés qu’il devait ya avoir au moins deux cents invités, qui avaient quand même déboursé mille dollars par personne. « Caligula » pris place sur un trône avec à ses pieds son esclave nue. Je ne pense pas qu’il aurait pris le risque de faire venir des mineures, mais cette fille était visiblement très jeune.
Une fois tout le monde installé, il se leva et annonçât : « que les jeux commencent ». Alors deux hommes entrèrent entièrement nus, comme c’était l’usage dans la Rome antique, Ils se placèrent au centre de l’arène. « Caligula » leva la main et la lutte commença. De voir ces lutteurs nus, le sang commençait à monter aux joues. Prises après prises, où tout était pratiquement permis, un des participants, le rasé, immobilisa son adversaire par une prise peu protocolaire, un serrage de couilles avec immobilisation des bras avec ses jambes.cour08b.jpg
« Caligula » se leva et le déclara vainqueur. Alors « l’esclave » de « Caligula » se leva se dirigea vers le gagnant, se mit en levrette devant lui en offrant son sexe et le reste. Il ne se fit pas prié, après une simple masturbation, il enfonçait son sexe dans le cul de « l’esclave » et la pilonna jusqu’à la jouissance. Tant qu’au perdant, une autre « esclave » s’approcha de lui, elle tenait devant elle attaché à sa taille un gode d’une bonne taille, quatre autres l’obligèrent a se mettre à quatre pattes et en le maintenant fermement, sans attendre « l’esclave » au gode lui perforât les reins d’une seule poussée. L’homme poussa un cri strident, le spectacle chauffait les esprits, le fait de voir un homme se faire sodomiser par une femme les mains commencèrent à se balader sur son voisin ou sur une voisine proche.
« Caligula » se leva et proposa une autre lutte avec cette fois, deux femmes tirées au sort dans les invités. Il plongea la main dans une vasque et tira deux papiers pliés le 15 et le 126, il nous demandât ensuite de regarder dans nos petits sac quels numéros figuraient. Ce que je n’avais pas vu, un petit papier était plié au fond, je le dépliais et montais à John mon numéro, le 127. Ouf sauvée, je n’avais aucune envie de lutter contre une autre femme.
Les deux femmes tirées au sort se présentèrent au centre de l’arène. Une avait une trentaine d’année, pas très grande avec des seins imposants. Elle émit le souhait de ne pas participer à cette lutte, « Caligula » lui répondit que si elle refusait, elle serait conduite à la salle de torture. Du coup elle accepta en rechignant. L’autre visiblement plus âgée, à l’opposé n’avait pas beaucoup de poitrine. Je disais à John, que si la mince arrivait à attraper les seins de la plus jeune elle avait gagnée. Ce que j’avais prévu arrivât un peu plus tard, Après quelques prises aux cheveux, la plus jeune voulant enfoncer sa main dans le sexe de son adversaire. La plus âgée l’ayant retourné sur le dos elle lui attrapât les deux seins à pleine mains et tourna violemment. L’autre cria et arrêtât le combat.
« Caligula » se leva et déclara la femme aux petits seins vainqueurs. Il lui donna le choix de punir son adversaire, elle choisi le même châtiment que pour le lutteur homme, mais cette fois par un homme. Il appela alors cet homme, un black surgit des coulisses, il était monté comme un âne. Lorsque la femme vit son sexe, elle voulu fuir, mais elle n’alla pas très lion, retenue par l’assistance qui voulait voir ce spectacle. Alors, maintenue au sol sur le dos, les jambes relevées remontées jusqu’aux épaules, le black s’avançât, se plaça devant elle, le sexe tendu au maximum devant le petit orifice, et lentement mais implacablement s’enfonçât dans son intimité la plus étroite. La fille criait, une des esclaves lui plaquât sa main sur la bouche pendant que le black n’en finissait pas de perforé cette femme. Une des esclaves masturbait le clito de la fille qui ne tarda pas à remplacer ses cris par des gémissements. Le black accéléra ses vas et vient et au bout d’un bon moment il se retira et jouit sur le ventre de la fille, qui en jouissant à son tour émis un jet violent qui inonda le black. Pour la gagnante elle eu le choix entre le même black ou un gang bang avec cinq « esclaves » dans une des alcôves. Gourmande elle choisi les 5 hommes.
Mais le spectacle n’était pas fini. « Caligula » se leva et annonçât que 3 jeunes filles étudiantes avaient décidées de mettre leur virginité aux enchères, au plus offrant. La défloration se fera au milieu de l’arène après les enchères. Il demanda aux participants d’être doux avec les filles pour leurs premières fois. Les trois filles entrèrent, Elles étaient entièrement nues. Dans la salle les yeux des hommes étaient fixés sur ces trois filles prêtent à connaître pour la première fois la perte de leur virginité. Les enchères devaient revenir aux filles ce qui leur permettaient de poursuivre leurs études sans problème financier, Pas très moral, mais après tout, il fallait bien qu'elle se fasse baiser un jour, alors autant joindre l'utile à l'agréable. On apportât alors trois lits qui furent placés au centre de l’arène.
Alors « Caligula » commença les enchères à 5 000 $. Pour la première fille, une petite brune toute frisée avec des petits seins. L’homme derrière moi annonçât 6 000, un autre 7 000. Celui qui a dit 8 000 était un homme d’une bonne soixantaine d’années. Il emportât les enchères à 10 000 $. Cette fille allait pour la première fois de sa vie faire l’amour avec un homme agé. Souhaitons qu’il soit à la hauteur. Effectivement après avoir longuement lécher son sexe il pris sa virginité avec une douceur extrème, pour la première fois de sa vie elle joui d'une pénétration.61f.jpg
La seconde fille était brune, grande avec des seins respectables, complètement épilée avec le triangle du sexe largement ouvert. Les enchères reprirent 8 000 $ – 9 000 – 10 000, ça commençait à faire cher pour une défloration. Enfin 15 000 $ et c’est un homme black qui emportât la mise. Je pensais en moi-même, s’il est monté comme l’autre black de tout à l’heure, la fille va le sentir passer.Elle se coucha sur le dos, il lui demandât de lui faire une fellation, son sexe d'une taille honorable au repos développa une érection impressionnante. Après avoir à son tour sucer le clitoris de la fille il lui demandât de se mettre en levrette, il présenta son sexe à l'entrée du vagin et tout doucement il l'a pénétra de toute la longueur de son sexe. Elle émit un cri de douleur, puis il se retira, son sexe portait les traces de la perte de virginité de la fille. Il recommença, elle avait la tête enfouie dans un coussin et commençait à gémir puis n'ayant plus d'obstacle, il la martelât longuement jusqu'à ce qu'elle se mette à crier. Il éjaculât, et ils tombèrent tous les deux sur le côté. L'assistance dans un état d'excitation extrème se mit à applaudir.
Troisième enchères, des murmures montèrent dans l’assistance, la fille grande, blonde était magnifique, avec une paire de seins superbes. La bataille s’annonçait rude. C’est alors que « Caligula » annonçât : « Cette fille est vierge des deux côtés, dont il y aura deux gagnants » et de toutes parts les enchères montaient. 15 000 -20 000 les deux vainqueurs de ces enchères allaient baiser et enculer cette fille pour la modique somme de 35 000 $ chacun. Elle alait pouvoir terminer ses études sans soucis.
Tant qu’à la troisième fille, un des deux hommes s’était couché sur le dos, il fit mettre a fille au dessus de lui en lui tournant le dos et sans qu'elle n’eu pas le temps de comprendre, l’homme s’était littéralement empalé dans son cul, laissant libre son sexe pour l’autre partenaire. Elle essayât de se dégager, mais le deuxième homme s’approcha plaça son sexe entre les lèvres intimes de la fille, et sans attendre, il s’enfonça d’un coup. La fille se mit à hurler, mais rien n’y faisait, ils continuaient tous les deux à baiser et enculer la blonde à grands coups de reins. Ses seins se balançaient sous les coups de boutoirs. Ils firent durer le plaisir un bon moment, sans doute fallait-il rentabiliser les 35 000 $ qu’ils avaient déboursé chacun. La fille pleurait en les suppliant d’arrêter, mais ils continuaient inlassablement le massacre de ses orifices encore vierges vingt minutes plus tôt. Puis ils se regardèrent et dans un ensemble parfait, ils éjaculèrent ensemble. Ils se dégagèrent enfin, la fille se couchât en chien de fusil sur le lit, son sexe saignait. Les draps en étaient tout souillés. Des hommes entrèrent prirent chaque côté les trois lits et emportèrent les filles toujours couchées dans une pièce annexe.
Visiblement ils avaient du se mettre d’accord, pour faire subir à cette pauvre fille un traitement qu’elle ne méritait pas. « Caligula se leva et annonça : « J’avais demandé de la douceur, vous n’avez pas respecté cette consigne, je vous exclu de la soirée et des autres à venir. » et comme si il était vraiment entré dans la peau de son personnage, il ajouta : « Galigula a parlé, partez immédiatement ».Ils quittèrent l’arène sous les huées des autres spectateurs. non sans avoir signer leurs chèques de 35 000 $ chacun. Je regardais John, il était écarlate. Je lui demandais : « Tu aurais été capable de faire subir ça à cette fille ? » Sa réponse fût catégorique : « j’aime trop les femmes pour les faire souffrir de cette façon ». En tout cas, j’espère qu’elle ne gardera pas trop de séquelles morales et physiques de son dépucelage, car c’est des coups à devenir lesbienne.
Ce spectacle avait été d’une telle violence, que les spectateurs n’en pouvaient plus, je sentais une main se promener sur un de mes seins, je me retournais et constatais que sa voisine avalait son sexe. Mon voisin de devant se retourna, et constatant que mon sexe n’était pas encore occupé, plongea sa main en avant, et entra plusieurs doigts dans ma chatte très largement humidifiée. A mes côtés John avait sur ses genoux une très jeune fille qui lui offrait son cul pour une pénétration anale. Ce qu’il fit immédiatement. Mon occupant changea de position, sortant un sexe en pleine forme de dessous sa toge, je sortais un préservatif du petit sac, lui enfilait, et il me baisa longuement.
On eu droit aussi à une vente aux enchères comme ça ce faisait à l'époque; Sur une estrade un homme officiait en vantant les qualités d'une femme complètement nue, Il décrivait ses performances sexuelles, ses préférences. Il la présentait de face en lui écartant les jambes et ouvrant son sexe, de dos en ouvrant largement avec deux doigts son anus jusqu'à le dilater de quelques centimètres. Les enchères montèrent très vite, et ce fut un vieillard qui l'emporta pour 20 000$. La vente prévoyait qu'elle devait rester avec son maître une semaine et assouvir toutes ses volontés.
La soirée commençait bien et tout le monde commençait à baiser avec tout le monde. L’esclave de « Caligula » pratiquait une fellation à un des participants, pendant qu’un autre la baisait.
Au bout d’un moment, « Caligula » se leva et annonça que le diner était servit, les corps se détachèrent petit à petit et nous nous dirigeâmes vers ce qui était la salle à manger. En fait nous nous sommes tous installés à la romaine, couché sur le côté, pour déguster les mets que nous proposaient les « esclaves » hommes et femmes. De notre position allongée, nous avions une vue superbe sur les sexes des filles et des hommes sous leurs petites jupes. La promiscuité des corps allongés, la transparence des robes, ont fait que très vite, les mains s’égarèrent à nouveau, et je sentis derrière moi, la présence d’un sexe prêt à servir. Je regardais l’homme, il était pas mal, alors poussant mes fesses en arrière, présentant mon cul à sa disposition, après avoir mis un préservatif, il m’encula de toute sa longueur.
J’ai participée à pas mal de soirée, mais aucune ne m’avait procurée autant de sensations. Les coïts succédaient aux coïts et la jouissance à la jouissance. A ce moment là je pensais à Justine, la connaissant bien, je suis sur qu’elle aurait appréciée cette soirée.
J’allais d’alcôves en alcôves, changeant les plaisirs du féminin au masculin, les deux à la fois, la continuité des rapports multiples sans dis-continué apportent pas leurs nombres une jouissance extrême. En levant un rideau, je suis tombée sur Annabella la directrice de publication de revues érotiques en charmante compagnie de trois jolies filles qui immédiatement me demanda de venir la rejoindre. Après m’avoir embrassé sur la bouche elle plongeât vers mon sexe, et se mit a exercer sur mon clito une série de petites tortures sublimes. John ne m’avait pas menti, cette femme était une experte du cunnilingus.61a
Sa langue collée à mon sexe n’en finissait pas de m’envoyer des décharges de plaisir. N’en pouvant plus, j’ai voulu me dégager, mais elle me tenait ferme par hanches, et cela continua un bon moment, Ses doigts allaient et venaient en même temps dans mon vagin déclenchant des orgasmes à répétition dont elle buvait avec plaisir le résultat, sans qu’une seule fois elle ne cesse de me lécher, sucer, mordiller, mon clitoris qui criait au secours. Les trois autres filles s’occupaient d’elle pendant ce temps là, une sur chaque sein et la troisième enfouie entre ses jambes. Quand enfin elle se retira d’entre mes cuisses, je ne savais plus ou j’étais. Entre les multiples pénétrations anales et vaginales et la séance d’Annabella, j’étais complètement KO. Je prenais congé de ma suçeuse de clito après qu’elle m’ai dit que les photos prisent au studio, seraient prêtes le mardi suivant.61b.jpg
A ce moment John apparu devant l’alcôve, il se dirigeât vers moi, et me dit : « Alors c’était comment ? » encore essoufflée par la séance, je répondis : « fabuleux, jamais une fille ne m’avait fait jouir comme ça, c’était divin » il me prit alors par la main et m’emmena vers la salle de torture. Là un autre spectacle s’offrait à nos yeux. Des « esclaves » hommes et femmes entièrement nus, étaient attachés par les mains avec des cordes qui pendaient du plafond. Des fouets et cravaches de toutes sortes étaient à la disposition des « bourreaux » c'est-à-dire, nous, les invités. Une grosse femme se défoulait une baguette de bambou à la main sur le corps gracile d’une jeune femme. Elle visait particulièrement ses seins, elle voulait peut-être lui faire payer sa jeunesse et sa beauté. La pauvre fille pleurait mais aucun son ne sortait de sa bouche, sans doute elle ne voulait pas offrir à son bourreau le plaisir de ses cris de douleur. Le chef des bourreaux intervint et arrêta le supplice. Le nombre de coups était limité à dix. La grosse femme avait les yeux complètement exorbités, si on ne l’avait pas arrêté, elle aurait massacrée cette fille.
Comme quoi, lorsque l’on met dans une certaine situation des gens sains d’esprits et sans excès d’agressivité, ils peuvent se transformer en tortionnaires. Je demandais à John qui était ces hommes et ses femmes qui sont volontaires, pour subir ces trainements. John me dit qu’Il y avait des étudiants(es), des secrétaires, des femmes de ménages en fait toutes sortes de gens ordinaires pas forcement portés sur le sado maso, mais comme ils étaient très bien rémunérées par le Maitre des lieux, ils subissaient ces tortures pour améliorer leur ordinaire. De temps en temps, il arrive qu’il y ait des vrais maso, et là ce sont eux qui décident d’arrêter la torture.
Des hommes flagellaient des femmes ou des hommes et l’inverse, les cris devenaient de plus en plus terribles, et l’excitation de plus en plus forte. John le vit, il me mit une petite cravache dans la main et me poussant en avant vers un jeune homme. Inconsciemment je commençais à le frapper d’abord doucement, sur le dos, puis sur les fesses, puis de plus en plus fort et comme il se débattait dans ses liens, il se retourna de face et me présenta son sexe en pleine érection. Ce fut plus fort que moi, je me mis à fouetter ce sexe tendu de plus en plus fort, qui prenait une couleur rougeâtre au fur et à mesure des coups. Je devenais incontrôlable, heureusement John m’arrêtât, à ce moment je constatais ce que j’avais fait, le sexe du jeune homme était tout rouge, n’y tenant plus et voulant sans doute réparer mes actes, je m’accroupissais, prenais délicatement le sexe dans ma main, approchais ma bouche, et tout doucement je lui administrais une douce et longue fellation. Toujours suspendus par les mains, il avançait son ventre pour s’enfoncer le plus loin possible mais ni tenant plus il éjacula en longs jets chauds et épais au fond de ma gorge.
Quelle soirée, je demandais à John, combien de filles il c’était fait, sa réponse fut évasive : « je ne sais pas cinq, six peut-être plus, je n’ai pas compté, mais là je n’en peux plus.» je lui répondais que j’espérais bien qu’il ait gardé quelques forces pour moi en rentrant dans la voiture. « Oui ne t’inquiète pas pour ce genre de soirée, je prends ce qu’il faut avant j’ai encore de la réserve, il faut simplement que je récupère un peu. Je laisserais la vitre de séparation de la limousine ouverte, comme ça tu seras encore plus excitée ». Je m’insurgeais, « tu ne vas pas recommencer ce coup là ? Si tu fais ça en arrivant je baise avec Holden » Sa réponse ne fut pas surprenante : « Chiche ».
Décidément, John était vraiment un mari très tolérant, mais comme je l’était aussi, nous sommes vraiment fait pour nous entendre.
Nous avons quitté « Caligula » vers 5 heures su matin, John lui demanda s’il pouvait lui donner le n° de téléphone d’Eva son esclave. Il le regarda et lui dit : « Pas la peine, tu lui demanderas toi-même, emmenez là avec vous ce soir si vous voulez, elle n’a rien à me refuser. » Il nous raconta : «Elle est exilée cubaine, sans famille, abusée depuis l’âge de 11 ans par le personnel d’encadrement dans le centre pour orphelins où elle était hébergée. Quand je l’ai trouvée elle n’avait pas encore 15 ans, elle faisait la manche dans la rue et se prostituait dans les quartiers les plus pourris de N.Y. pour survivre. Elle venait de se faire agresser par une bande. Ils l’avaient séquestrée pendant plus d’un mois enchainée sur un matelas en assouvissant sur elle une multitude de sévices sexuels. Ils l’avaient privée de tout sauf de sexe. Elle avait des brûlures sur les seins et sur le sexe, Ils lui avaient percé le bout des seins et le clitoris et pour empêcher que ca se referme, ils lui avaient mis des clous dans les trous pratiqués. Elle marchait hagarde dans une rue, pratiquement nue et la merci d’autres bandes qui l’auraient à leurs tours utilisée comme jouet sexuel. »
Il ajouta : « J’ai appelé la police, et après un coup de fil à mon ami le gouverneur, qui me donna son accord, pour que je l'emmène chez moi après un passage par l'hôpital. Grâce à mes connaissances, je lui avais obtenu rapidement une carte de séjour en règle. Je l’ai soignée, habillée, elle a appris les bonnes manières, J’ai pris à mon domicile un prof qui lui a enseigné l’anglais et les matières essentielles. Depuis elle me voue une reconnaissance extrême. J’ai toujours refusé tous actes sexuels avec elle. Elle est libre de rencontrer qui elle veut, mais je surveille discrètement ses relations. Elle a eu 21 ans le mois dernier, Je suis fils unique, je n’ai pas d’enfant, ma femme décédée d’un cancer du sein, il y a 9 ans n’en voulaient pas. Alors je l’ai adoptée officiellement, étant donné ce qu’elle à vécu depuis sa petite enfance, elle mérite bien ça. Elle a créée une Association qui s’occupe des filles, qui comme elle, on connu des sévices depuis leur petite enfance. Quand je ne serais plus là, et si elle ne fait pas de conneries, elle pourra vivre comme une princesse jusqu’à la fin de sa vie.».
Pour preuve que l’on peut rouler sur l’or et avoir un cœur grand comme ça !
Et c’est comme ça que nous sommes rentrés à la maison, Holden en a pris plein les yeux dans son rétro et comme je l’avais dit, arrivé à destination, je l’emmenais dans la grande chambre, rejoint quelques instants plus tard par John et Eva.
A suivre
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New York. le 7 janvierNoel et le Jour de l’An sont passés. Ce sont des fêtes que je n’apprécie pas forcement. Pour Noël, mes parents sont venus, et j’ai réussit à faire venir mon frère avec sa femme et ses deux enfants. Il a convaincu sa femme d’enterrer la hache de guerre avec sa belle mère, un événement. De son côté seule la mère de John était présente, ses parents étant divorcés et John en veut à son père de s’être conduit avec sa mère comme un beau salaud. Bruno était resté au grand plaisir de Justine, Melissa et Joé étaient repartis pour passer les fêtes en famille Joé à Saint Barth et Mélissa à la Guadeloupe où habite sa famille.John m’a fait un superbe cadeau, une voiture de sport de marque allemande. Il s’est beaucoup amusé en me voyant descendre de la voiture pour la première fois, il a eu droit à une vue imprenable sur mon entre-jambes nu. Il va falloir que je m’habitue à ne pas écarter les jambes pour descendre de cette voiture. Enfin c’est un détail après tout si ça fait plaisir à ceux qui regarde, moi ça ne me dérange pas, c’est mon côté exhibitionniste.Tout ce petit monde est reparti, à l’exception de Bruno à qui John a proposé un job intéressant dans sa boite d’import-export avec pas mal de voyages en vue, ce qu’il a accepté avec joie. Et la vie à retrouvé un peu de calme.Un soir, en rentrant de ses bureaux, John nous annonça que nous étions invitez à une soirée. Je vous avais parlé de ce magnat du pétrole qui organisait, des soirées échanges de partenaires pour subvenir aux besoins financiers de son association. Et bien il s’agissait de cela.Justine et Bruno faisaient partie de la fête s’ils le voulaient. Un peu inquiet quand même, ne sachant pas sur qui le sort leur ferait partager une nuit d’ébats sexuels car il ne s’agissait que de sexe, les sentiments restant aux vestiaires. Il pouvait s’agir d’un jeune homme ou d’un homme plus âgé, idem pour les hommes.Le jour en question, en fin d’après midi, J’ai pris la Porsche avec John et Bruno empruntât la limousine de John avec Justine pour nous rendre à la résidence d’Aaron. Car il fallait obligatoirement avoir une voiture pour ramener l’heureuse élue au domicile du Monsieur. Aaron possédait une superbe propriété à Mamaroneck, située à quelques kilomètres de New York, ce petit village à la campagne offre un cadre de vie idyllique avec ses plages et son port ou sont amarrés de superbes bateaux de plaisance. Arrivé à la propriété, Aaron nous accueilli en nous remerciant d’être venu tous la quatre à sa petite « sauterie ». Content surtout de récolter 2 fois 10 000$ pour notre participation et celle de Justine et Bruno.l y avait une bonne trentaine de couples, de tout âges, des jeunes mariés comme des couples n’ayant plus grands choses à se dire et qui trouvaient dans ces soirées le moyen de renouer avec leur jeunesse pourvu qu’ils aient la chance de tomber sur des hommes et des femmes plus jeunes qu’eux.Après quelques coupes de champagne et amuse-gueules, le tirage au sort commença.Tous les participants mâles avaient mis dans un petit sac de velours leurs clefs de voiture ainsi que leur noms le tout mis dans une grande vasque en verre. Je tenais serrée la main de John car ayant remarqué quelques hommes d’un âge plus que dépassé, j’avais une peur bleue de tomber sur eux. Justine partageait mon angoisse.Nous avions reçu en entrant un numéro qui déterminait l’ordre de passage. La première sur la liste tira le premier sac, et annonça le nom de l’heureux gagnant. Cette femme d’une quarantaine d’année n’était pas très belle physiquement mais il se dégageait d’elle une superbe prestance doublée d’un rien d’érotisme. L’homme choisit fut un homme nettement plus jeune qu’elle. Elle en parue très heureuse et tant à lui il avait l’air content du choix.Les femmes se succédaient les unes derrière les autres, et puis vient le tour de Justine, elle prit le sac, retira la clef et lu le nom de l’homme avec qui elle allait passer la nuit jusqu’au lendemain midi. Un homme d’une cinquantaine d’année se présenta, vêtu d’un élégant costume sombre, les cheveux grisonnants coupés courts et des yeux d’un bleu soutenu. Justine soupirait, j’étais content pour elle. Il s’approcha d’elle, lui fit un baise main et se présentât. Puis il prit Justine par le bras et l’entrainât après avoir dit à Bruno qu’il ne s’inquiète pas, qu’il prendrait bien soin d’elle. Puis ils partirent tous les deux, sa femme ayant déjà choisi son cavalier.Puis vint le tour d’une femme d’une vingtaine d’année, elle tira un sac et annonçât : « John Steven». Je regardais John et lui disait à l’oreille, « salaud, moi qui voulait que tu te tapes une vieille, c’est raté et tu ne la baises pas dans notre lit OK ? ». John hocha la tête en souriant pour me dire qu’il avait compris le message, me dit au revoir et se dirigea vers la fille. Blonde aux yeux verts, elle avait une poitrine « à l’américaine », et était assez jolie avec un air de salope très prononcé. Bruno s’impatientait quand il entendit son nom, Il regarda qui l’avait appelé et découvrit une fille d’une trentaine d’année, de type asiatique, grande et belle avec des cheveux jusqu’au fesses. Je lui disais «Et bien tu ne vas pas t’embêter ». Il m’embrassât et partit rejoindre la fille. Et vint mon tour. Il restait dans l’assistance une dizaine de couples dont une majorité d’hommes visiblement de plus de cinquante ans. Je tirais un sac et annonçait le nom, l’homme tiré au sort leva la main et je découvris ce que je redoutais, mon partenaire devait avoir au moins soixante ans. Il portait beau, soigné dans son apparence, les cheveux blancs assez longs, mais vieux. Je me disais que peut être, comme il participait à ces soirées il devait être un pas trop mauvais coup au lit, enfin on verra bien.Il me prit par le bras et m’emmena aussitôt vers sa voiture, Son chauffeur attendait, il nous ouvrit la portière et nous sommes installés dans cette limousine grande comme un wagon de chemin de fer, avec télévision grand écran, bar chaine Hi-Fi. Enfin toute la panoplie des gadgets indispensables pour montrer aux autres sa réussite sociale. Il se présenta, il se prénommait Darren, il était retraité de la banque, il avait 65 ans ! Il se mit à rire en me disant que sa femme était parti avec une petit jeune, et que lui avait le bonheur d’être choisit par une femme jeune. Il y avait dans son propos une certaine philosophie.Nous sommes arrivés à son appartement donnant sur Central Park. Dernier étage avec une grande terrasse. Et une vue magnifique sur cet air de verdure en plein milieu des immeubles. Je me débarrassais de mon manteau de fourrure, Il me proposât un verre, que j’acceptais, et au moment de trinquer à notre nuit à venir, il m’embrassât dans le coup, mais sans empressement.Il me dit alors qu’il avait prévu de diner ici, un traiteur devant apporter à 20 heures le repas, et que si je voulais utiliser la salle de bain, elle était à ma disposition. Il se dégageait de cet homme un curieux sentiment, je n’arrivais pas à le cerner. Je luis demandais si il pouvait me faire visiter l’appartement, « bien sûr » me dit’ il « suivez moi ». Derrière le salon il y avait une salle à manger donnant sur une cuisine immense, puis un couloir qui conduisait aux 6 chambres toutes avec salles de bains.Je m’apprêtais à ouvrir la dernière dans ce couloir, quand il me prit la main, la porta à sa bouche et après un baiser, me dit : « non pas celle là ». Je me disais peut-être est’ elle en travaux ou je ne sais quoi. Je lui demandais de me rendre dans une salle de bain pour me refaire un peu de maquillage.Revenu au salon je le trouvais assis dans un canapé buvant une coupe de champagne. Il m’invitât à m’assoir à coté de lui, je me disais que les choses sérieuses allaient commencées. Il m’offrit une coupe, je trempais mes lèvres et reposais le verre. Il s’était mis de côté et me regardais. Je portais pour l’occasion une robe en soie, très décoltée dans le dos, et pour une fois un porte-jarretelles et des bas, mais ne pouvais concevoir de porter une culotte, n’ayant jamais mis de sous-vêtements depuis mon enfance.Il se rapprochât de moi, posa sa main sur ma jambe et remontant le long de ma jambe elle atteint ma cuisse qu’il caressât doucement, puis continuât son ascension. Il eu moment d’hésitation quand il s’aperçut que mon sexe était libre de tout obstacle, sa main alors se posa sur mon sexe, le majeur en avant, j’ouvrais les jambes pour lui permette une caresse plus profonde. Sa main allait et venait sur mon clitoris, il était très adroit, et il ne tarda pas à réveiller chez moi les prémisses d’un orgasme. Il s’en aperçu et appuya encore plus sa caresse qui débouchât sur un orgasme. Je me penchais alors sur lui, dans le but de lui rendre sa caresse, mais il m’arrêtât immédiatement en disant pas tout de suite.Puis il me demandât de me déshabiller entièrement ne gardant uniquement porte jarretelles bas et chaussures. Je luis faisais remarquer qu’il était presque vingt heures et que le traiteur n’allait pas tarder. Il balaya ma remarque d’un geste de la main et posant ses mains sur mes épaules il fit glisser ma robe jusqu’à terre. Je me retrouvais nue dans ce salon, et dans l’attente du traiteur. Quelle tête il fera en me voyant, il détournera les yeux où au contraire me regardera fixement ?. J’avoue que cette situation ne manquait pas de piments et m’excitais plutôt.A vingt heures, sonnerie de l’interphone, c’était le traiteur, Darren me demandât de me mettre debout, et de regarder par la baie vitrée. Pourquoi pas. Cinq minutes plus tard on sonnait à la porte de l’appartement, Darren alla ouvrir et j’entendis plusieurs voix dont celle d’une femme. Je restais impassible quand ils entrèrent dans le salon pour se diriger vers la cuisine. Je devinais leurs regards posés sur moi. Darren vint vers moi et me dis que nous passerons à table dans un quart d’heure. Il était derrière moi, ses mains posées sur mes seins, je sentais le souffle de sa bouche dans mon coup, Il descendit sa main sur mon corps jusqu’à atteindre mon sexe, qu’il recommençât à caresser. Je m’offusquais en prétextant la présence du traiteur et de la femme, mais il continua son travail de sape sur mon clitoris, déjà mis en forme par la séance précédente, je tenais debout à peine, il était très doué. Je n’en pouvais plus, c’est alors qu’en entendis venant de la salle à manger, « Madame est servie ». Darren retira sa main avec regret, et nous nous sommes dirigés vers la salle à manger.Et là énorme surprise, il n’y avait pas une femme et un homme, mais une femme et deux hommes, qui ne portaient pour simple vêtements, pour les hommes un nœud papillons et pour la femme un mini tablier blanc qui ne cachait rien de son anatomie. Ils étaient tous les trois jeunes. Ils restaient donc pour nous servir le repas. Ca c’est typique Etats Unis, on peut faire tout et n’importe quoi, même se faire servir un repas par des hommes et des femmes à poils dans son appartement.Le repas se déroula très bien, Quand un des hommes me servait, j’avais son sexe à vingt centimètres de mon visage, ça ne m’étais encore jamais arrivé. Puis vint le dessert et la fin du repas. Darren m’invita à le suivre au salon pendant que le « personnel » débarrassait la table et rangeais tout dans la cuisine. Darren debout, il me demanda de me mettre à genoux, je compris tout de suite son souhait, j’obéissais, et descendais sa braguette, en me demandant ce que j’allais trouver.Je sortais son sexe avec difficulté en m’apercevant qu’il était dans une bonne forme, je ne devrais pas trop regretter ma soirée et ma nuit. Je prenais son sexe dans ma bouche et commençais une fellation profonde comme je les aime. Darren soupirait, je m’activais de plus en plus vite et de plus en plus loin, jusqu’au moment où n’y tenant plus, il déchargeât au fond de ma gorge en longs jets épais et chauds. C’était incroyable la quantité de sperme que j’ai du avaler. A mon avis il devait y avoir un moment que sa femme ne l’avait pas sucé, pour avoir une telle éjaculation. Quel dessert !Pendant ce temps les serveurs avaient finis de tout ranger, Je pensais alors qu’ils allaient partir, mais pas du tout, ils vinrent nous rejoindre tous les trois dans le salon, la fille avait retiré son tablier ce qui laissât apparaître un sexe complètement épilé et qui commençait très haut. Je me tournais vers Darren en lui témoignant mon étonnement, il me répondit que la suite était comprise dans le service. Un des deux s’approchât de moi me pris par la taille et me fit m’allonger sur une table basse. Il ouvrit mes jambes et posa sa langue sur mon clito. La soirée commençait plus que bien. Il était doué et sentant que j’allais jouir, il vint s’allonger sur moi et me pénétra d’un cou après avoir mis un préservatif..Il fit durer le plaisir un bon moment et n’y tenant plus il joui en même temps que moi. En me remettant de mes émotions, je constatais que Darren était à son tour entièrement nu, que la fille léchait les couilles de serveur pendant que ce dernier sodomisait Darren. Ce beau monsieur marchait à voile et à vapeur.Une partie de la soirée continua jusqu’au moment ou Darren proposa de changer de pièce pour continuer nos ébats. Sur le moment je ne compris pas quand il me mit un bandeau sur les yeux, puis il me prit pas la main et m’entraina dans le couloir. Je l’entendis ouvrir une porte, puis eux bras me soulevèrent et je me sentis posé sur une table. Sans que j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, je me suis retrouvée les pieds et les mains liés aux quatre coins de la table, une sangle passant sur mon ventre complétait mon immobilisation. Les yeux toujours bandés, j’ai été pris de panique, et pour étouffer mes cris ils me mirent dans la bouche une balle en caoutchouc attachées derrière la tête.Dans quel merdier j’étais, qu’allaient-ils me faire ? Tout tournait dans ma tête. Ils me retirèrent mon bandeau et je vis ou je me trouvais. Sans doute dans la pièce qu’il n’avait pas voulu me montrer. Elle était entièrement tapissée de noir, pendaient aux murs des tas d’ustensiles, des fouets de toutes sortes, des pinces, des cordes, des menottes, sur une table était disposés des bougies dans des verres, une boite en métal contenant des aiguilles hypodermiques, des pinces de chirurgie etc.. il y avait aussi une armoire à pharmacie ! Darren s’approcha de moi, me caressant les seins il me dit : « maintenant les choses sérieuses vont commencées. » et ça ne tarda pas.Je ne suis pas une adepte de sado masochisme, et j’ai même une certaine aversion à participer à ces séances, la douleur physique qu’elle soit pour moi ou pour les autres m’a toujours fait peur, mais là on ne m’a pas laissé le choix. Le plus grands des deux hommes, celui qui avait sodomisé Darren, s’approcha de moi, Il avait dans la main un petit objet doré comme un petit tube, d’un centimètre de diamètre. Il l’ouvrit en deux, dans le sens de la longueur ce qui le fit ressembler à une sorte de pince longue de cinq centimètres environ dont les bords étaient munis de petites dents. A l’intérieur il y avait un piston sur un ressort muni à son extrémité d’une aiguille fine et longue d’un bon centimètre. Le piston sortait à l’extrémité du tube. Il m’expliqua alors son fonctionnement. Il allait poser cette pince sur mon clitoris le piston vers le bas et qu’ensuite quand il me baisera, son ventre appuyant sur le piston, l’aiguille rentrera de toute sa longueur dans la partie le plus sensible de mon sexe.Il prit ensuite un tube de crème et m’enduisis mon clito en le massant bien avec cette pommade. Trente secondes plus tard un froid intense suivit d’une forte chaleur fit que mon clitoris avait triplé de volume. Il plaça alors la pince avec le piston à la base de mon clito. Les petites dents mordirent mes chaires et je sentis une forte douleur. Grimpant sur la table je le vis s’allonger sur moi et il me pénétra d’une seule poussée. C’est quand son ventre toucha mon sexe qu’une douleur fulgurante m’irradia mon sexe provoquant comme une décharge électrique. J’étais chez les fous !L’aiguille venait de pénétrer mon clito de toute sa longueur, et la douleur recommença à chaque fois que le ventre de mon bourreau touchait mon ventre. L’aiguille entrait et sortait en permanence. Ce supplice dura jusqu’au moment et il éjacula et grognant comme un cochon, et en s’appuyant de toutes ses forces sur mon sexe. Il se retira, descendit de la table, me regarda puis pour mieux voir ma réaction appuya plusieurs fois sur le piston. Il semblait jouir de me voir torturer de la sorte puis il retira l’engin de torture de mon sexe. Mon supplice avait mis tout tous leurs états ses comparses car les deux hommes se masturbaient et la fille avait pratiquement enfoncée sa main dans son vagin et se tordant de plaisir.Je me demandais comment Aaron avait pu inviter à cette soirée un tel individu. Je pensais avoir fini avec ça, mais j’étais loin du compte. Ils me nettoyèrent mon sexe ensanglanté, puis jugeant que j’étais remise en forme, Darren demanda à la fille de posé sur mes lèvres intimes une pince de chaque côté. Les deux mâchoires de ces pinces mordirent mes chaires sensibles, puis ils attachèrent chaque pince avec un gros élastique à mes cuisses, ouvrant ainsi mon sexe. Puis prenant un sexe en plastique de grande taille, sans aucune précaution, elle le fit entrer jusqu’au fond. De ce que pouvait voir en me tordant dans mes liens, deux fils sortaient de sa base. Ils fixèrent ensuite sur les pinces deux fils électriques. Ils relièrent ensuite le tout à un petit boitier, muni de boutons et de voyants. Darren s’empara du boitier et alluma le boitier, aussitôt, une décharge électrique m’envahi le bas ventre, il jouait avec les boutons augmentant et diminuant l’intensité. Je ne sais pas combien ça a duré, mais il me paru interminable.Ils retirèrent le tout et sans attendre que je récupère, Darren alla chercher trois verres contenant les bougies allumées. La bougie fondue tremblait au dessus du verre. Il donna un verre a chacun des deux hommes et en gardant un pour lui. Ils approchèrent deux verres au dessus de mes seins et l’autre au dessus de mon sexe, et ils versèrent doucement le contenue des bougies fondues. La douleur la plus forte fut celle sur mon sexe, ouvert comme il était par les pinces et les élastiques, la bougie avait coulée profondément dans mon vagin. Je hurlais dans mon bâillon, mais ils semblaient complètement insensible, car ils se masturbaient de plus belle. Le contenu vide, ils attendirent que la bougie ai refroidie et ils la retirèrent de mes seins et mon sexe.Darren dans un état d’excitation extrême monta sur la table et m’introduisit son sexe, dans mon vagin meurtri. Un des deux hommes se mit derrière Darren et il l’encula, la fille ne resta pas inactive, me retira mon bâillon, et monta également sur cette table elle vint s’assoir sur ma bouche, la tête vers la bas de mon corps, son sexe collé à mes lèvres, le second homme la sodomisant.Comment allait se terminer cette séance de torture, ils devaient bien se douter que sortant d’ici, je porterais plainte, ce qui accentua encore ma panique. Je n’avais plus aucun repaire de temps, lorsqu’on entendit la sonnerie de la porte de l’appartement. Darren grogna mais continua ses vas et vient. C’est après une nouvelle série de sonneries et de coups dans la porte qu’il se décida à aller ouvrir. Il enfila un peignoir et se dirigea vers l’entrée de l’appartement. Puis tout se passa très vite, il y eu des cris, j’entendis le mot « police », et un policier en uniforme entra brusquement dans la pièce, Il braqua les trois acolytes, qui furent immédiatement immobilisés.Puis j’ai vu John arrivé, il se précipita sur moi, me détacha de mes liens et me prit dans ses bras. Je me suis mise à pleurer en gros sanglots incapables de dire un mot. Sur un appel des policiers, deux infirmiers arrivèrent un peu plus tard, on m’a mis sur une civière et direction l’hôpital. Ils me gardèrent deux bonnes heures, le temps de constater que mes blessures étaient plus douloureuses que graves. John me ramena à l’appartement. En chemin, je lui demandais comment il avait su ce qu’il pouvait se passer au domicile de ce fou.C’est assez simple, c’est lorsque tout le monde est parti de la résidence d’Aaron après avoir diné, qu’en regardant les chèques, il s’aperçut qu’un chèque comportait un nom qui n’était pas sur sa liste d’invité. Il ne connaissait pas visuellement toutes les personnes inscrites. Pensant que ça pouvait être un chèque volé, et dans le doute il téléphona à un de ses amis chef de police qui lui promis de le rappeler après s’être renseigné. Il lui confirma vers onze heures, que ce nom correspondait à un homme déjà arrêté il y a quelques années pour séquestration, viol et torture. Il avait échappé à la prison par on ne sait quels connivences. Riche à millions il était passé au travers de l’emprisonnement. Ayant son adresse, ils décidèrent d’intervenir immédiatement.Vers midi, Justine puis Bruno sont revenus au domicile, Justine me voyant dans un état pitoyable, me demanda ce qu’il c’était passé, je lui expliquais alors mes séances de torture. Bruno fou de rage frappait les murs de ses poings en traitant mon bourreau de tous les noms.Pour Justine, son amant d’un jour, malgré son âge avait été formidable, et la maitresse de Bruno lui avait fait découvert l’exotisme de certaines positions propre à ses origines. Tant qu’à John, la nuit qu’il devait passée avec sa jeunette, écourtée par mon aventure, il avait promis à la belle de se revoir à notre domicile pour terminer ce qui avait très bien commencé. Il ne perd jamais le nord.Dans l’après midi je me rendais au poste de Police pour déposer plainte en souhaitant que cette fois-ci, il ne s’en sorte pas aussi facilement.Tant qu’à Aaron il fut interroger par la police, mais aucun chef d’inculpation ne fut retenu contre lui, toutes les personnes présentes étant majeures et consentantes. Il décida de prendre plus de précautions dans la sélection de ses invités mais il ne renonça pas à subvenir à son association caritative par ce moyen pas très moral mais très lucratif.A suivre…
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Il y a en ce monde je dirais plusieurs catégories de personnes qui sont:
- Ceux qui ne vivent rien « Les vanilles.. Pour moi les Communs des mortels »
- Ceux qui fantasment "Houla houla... On s’invente des identités, des statuts, et on est tout le contraire".
- Les pseudos Dom/soumises... "pas glop... pas glop... Ils "Jouent" eux tranquilles, un samedi soir histoire de faire plus fluidifier la mouille de Madame, et tenir en exploit la gaule de Monsieur quelques minutes de plus".
- Les Volontaires à la D/s... "Grrrr… Ils ordonnent, elles obéissent... Cooool... Ils s’affirment être Maître et soumise... MAIS il y a comme un os qui me met hors de moi... C’est que il y a des "Compromis" , ils Ordonnent Oui mais uniquement sur ce qu’elles Acceptent de faire.
Et elles obéissent forcément sur ce qu’elles aiment et au final ils ont un listing préconçu de ce que j’appelle moi "Leurs activités sm" (hobbies, travail manuel, récréation), ils sont dans l’offre et la demande... Elle aime l’exhibe, pas de soucis il lui ordonnera de le faire, elle n’aime pas avoir mal, no problemo, elle sera fouettée avec la ceinture du peignoir en coton...
- Les Dominants/soumises... Ils le font plus sérieusement, mais pas sur la réelle appartenance, dans le sens où, oui ils seront ensemble, mais ils ne pratiqueront l’art de l’Education, l’obéissance, servitude et les pratiques que dans le cadre de "Séance"...
- Les Maîtres/soumises... slave... Ils sont comme les lions blancs... très rares, très peu nombreux, pourcentage minime. Mais ce qui est rare est précieux ne dit-on pas ?
L’Important dans une vie n’est pas de paraître ce que nous ne sommes pas aux yeux des autres pour trouver un peu de gloire, mais de rester soi-même et de l’assumer.
La Domination et la soumission :
Par principe la Domination est un pouvoir qu’une personne exerce sur une autre personne, qui par un comportement directif, amènera à l'obéissance cet autre sujet d’où La soumission.
Dans la relation bdsm, il est évident que ce sont nos besoins et ce que l’on a en soi qui nous amène à ce genre de relation. On ne peut pas la considérer comme un jeu, parce que c’est un art de vivre.
Il faut bien comprendre ce que signifient "l’Appartenance et le don de soi" :
C’est une sorte d’Union qui est scellée, elle a une grande importance dans le sens où Le Maître va prendre à sa charge la Vie d’une autre personne, Il deviendra alors son Propriétaire Absolu, Il dirigera, commandera, ordonnera, exigera à chaque fois que Il le voudra, Il utilisera, prendra, puisera, chaque fois qu’Il en aura le désir, l’envie, le besoin. Il punira, châtiera, giflera, gratifiera, caressera selon ce qu’Il verra de fautes ou de réussites satisfaisantes à ses attentes... Il aura les pratiques de Ses plaisirs qui peuvent être douces, ou bien dures, être bonnes ou faire mal, être vicieuses ou perverses...
Mais avant toute chose il faut comprendre qu'Il va éduquer sa soumise, l’étudier, et devoir lui donner une très grande attention, car Il doit la nourrir de Lui, et se repaître d’elle, il doit maintenir l’obéissance, le respect, la servitude qui sont Ses règles de vie…
Il ne peut être Maître sIil n’a pas la rigueur, l’autorité, la sévérité, l’esprit lucide et intelligent, l’esprit de justice, et la lucidité. Il ne peut pas être Maître s'Il lui donne des choix, car Il se doit d’être crédible.
Dans la relation Maître/soumise, dans l’appartenance voici les "Essentiels" :
- Pouvoir avoir une Confiance entière et absolue,
- Avoir une transparence totale l’un envers l’autre,
- Ne jamais se mentir, tricher, tromper,
- Toujours avoir le respect de l’autre au fond de soi,
- Sincérité, franchise, honnêteté, droiture.
Ce sont des impératifs dans une appartenance telle que Mon Maître et moi nous la concevons.
La Domination de Mon Maître :
Il est sévère, Il est très directif, Il peut être très dur, il a ses perversions, ses vices en toutes formes, que sévices à mes formes sans vice de forme il décide à l’applique sans forcément y mettre les formes…
Il est exigent, Il ne me laisse passer aucune faute, me punit, m’ordonne, m’interdit, m’autorise ; Il m’éduque , me dresse, me dirige.
Il me donne de l’attention et parfois me met sous tension, Il m’entoure ou Il me cadre. Il a sur moi la force du Mâle. Il m’enveloppe de toute sa protection, me couvre de ses regards, et me savoure dans ce qu’Il prend et reçoit de moi…
Il m’impose et m’oblige, mais aussi me dicte Ses demandes par des mots qui bien ordonnés parfois sont secs et froids et me font trembler, ou des mots qui bien murmurés parfois sont plus feutrés et chauds et me font être rassurée...
Il a des règles de Vie qu’Il me dicte, Il ne me demande pas toujours si certaines choses me plaisent ou non, mais quand Il me le demande, ce n’est que pour s’informer et savoir comment je ressens les choses, simplement parce qu'Il est soucieux que je fasse de mon mieux pour Le satisfaire, et qu’Il est soucieux de bien savoir comment j’évolue dans ma soumission ; si je m’y épanouis toujours à chaque instant et avec autant de paix, mais que ce qu’Il décide me plaise ou non, il me l’imposera quand même. Le principe et la logique étant que ce sont Ses choix, Ses désirs, Ses envies, et Ses décisions. Il prend et je donne, Il puise et savoure, mais c’est Lui Le Maître, le Mâle.
Ma Soumission à Mon Maître :
Je suis douce, sensible voir fragile aussi, mais pourtant en moi une très grande personnalité, une grande force de volonté, un mental très volontaire.
Ne pensez jamais un seul instant que je sois stupide parce que soumise, vous auriez grand tord. Car je suis très intelligente, assez cultivée, très maline, et surtout très complète, vous n’imaginez toutes les choses que je sache faire que bien des femmes ne savent pas faire… Donc n’imaginez même pas un seul instant que je sois soumise parce que stupide.
Je suis soumise parce que je ne supporte pas le monde des "communs", je ne peux limite que supporter au cas par cas (famille, connaissances de longues dates, ou des éphémères qui seront des gens que juste je croiserai pas trop longtemps). Depuis toujours les communs je m’en tiens assez éloignée. Je ne peux pas expliquer pourquoi mais c’est ainsi ; je fais un rejet parce que je suis si soumise en mes chairs et en mon esprit que je ne supporte pas leur manière d’être, de vivre, de penser parfois aussi.
Je respecte les choix et les vies de chacun, mais moi je ne suis pas capable de la vie "vanille/communs" fait de "chéri, mon amour, ma pupuce", bercée par des "on fait câlinoux, on fait des mamours, tendresse, souplesse, caresse"… Faiblesse, quoi...
Dans ma soumission à Mon Maître, je trouve cette sérénité, cette paix en mon esprit, et en mon corps, c’est une sorte de calme et de tranquilité intérieure que je ressens.
Je suis comme je vous l’ai déjà dis sur un article une réelle soumise, je ne m’épanouis qu'en appartenant, en obéissant, et en donnant au travers de ma servitude tout de moi, tout ce que Mon Maître désire.
C’est par cela que je me sens moi, heureuse, que je me sens bien, et rassurée.. C’est en Le satisfaisant que je ressens un incroyable plaisir au fond de moi, ce plaisir, cette joie de savoir que je lui plais, que je le satisfais, que je lui donne tout. C’est un truc fou que je ne contrôle pas, et que personne ne pourrait imaginer le bien-être que cela me fait...
Pourtant il faut savoir que c’est parfois très difficile. Quand Il me met une gifle, ce n’est pas grand-chose une gifle, parfois, souvent même, j’ai aussitôt les larmes qui surgissent, et ce n’est pas la douleur de la gifle qui en est la cause, mais en fait, c’est la douleur intérieure de voir que j’ai fais une faute qui me déchire durement. Je n’arrive pas à accepter de faire des fautes, je m’en rends malade et cela me met automatiquement ce poids du remord qui me pèse, trop lourd à supporter, avec de suite ce sentiment que je suis nulle ou mauvaise soumise.
Mon désir et ma volonté sont de tellement faire toujours bien, satisfaire au mieux Mon Maître, que je me sens blessée lorsque je ne Le satisfais pas.
Lorsqu’Il m’utilise, Il peut par plaisir m’infliger des douleurs, des choses qui font très mal, je ne supporte pas la douleur, mais pour Lui je l’endure, je m’y plie, parce que c’est Son choix, Son plaisir, et que pour moi Le satisfaire passe avant tout. Si je dois Le contenter parfois par des souffrances, qu’Il en soit ainsi ; je me dis que les douleurs s’arrêteront, et que le plus important, soit qu’Il ait eu ce jouissif désir qu‘Il a voulu.
Je peux crier dans ces moments là, pleurer ; après Il me réconforte, m’apaise, cela me soulage de mes maux, et je me sens heureuse... J’aime Lui montrer que toute sensible que je suis et pas du tout "Maso", mes douleurs ne sont pas mon plaisir mais uniquement le Sien et que j’y mets grande volonté pour endurer... C’est une fierté que j’ai en moi que de réussir cela…
Soumise je dois à mon Maître :
- Obéissance,
- Respect,
- Servitude,
- Dévotion.
Il est très important pour moi que ces mots .. Ils sont ce qui régit mes quotidiens, ma vie...
La règle que je me suis toujours imposée est de ne pas mentir, je ne mens pas à Mon Maître, qu’Il soit près de moi ou pas. Je maintiens en permanence mes devoirs, mes interdits, et les règles de vie qu’Il m’impose, qu’Il souhaite...
Je n’ai pas comme le penseraient certains une vie de "prisonnière"... Pas du tout ; je vis tous les jours normalement, je fais mes quotidiens normalement, simplement, au travers de chaque jour, il y a des choses que je dois faire et d'autres que je ne dois jamais faire.
- Je dois mettre mon joli bijou anal, tous les matins, afin de compresser les muscles de mon cul pour qu’ils soient serrés.
Je dois dire tout de même que même sans bijou, cela serait identique car j’ai toujours eu le cul serré et bien plus sans le bijou, et que très souvent au long de mes journées, je compresse tout le temps par réflexe les muscles de mon cul, et quand il est fermé, on y mettrait un doigt que rien que en compressant mon cul, le doigt le sentirait bien .
- J’ai obligation de m’entraîner, 2 fois par semaine avec un gode légèrement courbé ( il vaut mieux), à l’enfoncer complètement en gorge profonde, et tenter le garder ainsi le plus longtemps possible, réussir alors à sortir ma langue pour que, lorsque Mon Maître enfoncera Son sexe, il y trouve du confort et du plaisir.
J’arrive quand même maintenant à garder le gode enfoncé 30 secondes au maximum, mais si je sors la langue, c'est plus dur : je peux moins car en toute logique ne pouvant plus m’oxygéner, le fait de sortir la langue réduit d’un coup ma trachée et porte à vomir, et à plus étouffer... Après chaque entraînement, ça me pique et me brûle la gorge un bon moment et, irritée je ne fais que tousser pendant les premières 10 minutes…
- Je n’ai pas droit à la masturbation sans autorisation. C’est pour moi très frustrant et très dur, car j’étais quelqu’un qui, avant, aimais et surtout avais une libido très exacerbée (surtout en masturbation) ; mes besoins étant surtout de faire jaillir mes expulsions orgasmiques, mon corps à toujours eu un très gros besoin de cela pour les plaisirs du corps... j‘adore ; ce sont des vidanges qui me sont nécessaires pour mes chairs... Mes orgasmes sont normalement très travaillés, et très puissants, et je me masturbais avant presque tous les jours. Cela depuis des années... J’adore jouir et orgasmer puissamment, jusqu’à sentir toutes mes forces partir de moi, jusqu’à ne plus pouvoir bouger. C’est pour moi et pour mon corps très douloureux de ne pas pouvoir les évacuer.
- je n’ai pas le droit de mettre des pantalons, des collants, des chaussures plates. C’est une chose qui ne m’est pas difficile, ni douloureux puisque je n’en mets pas, ayant comme priorité ma féminité, sensualité, sexy…
- Tous les appels ou messages de Mon Maître sont prioritaires sur tout, où que je sois, sauf si je suis en situation professionnelle.
Pour tout ce que sont mes devoirs et obligations ou interdits en Sa présence, je ne vous les cite pas puisque lui-même vous a publié articles où il vous en a parlé.
Interdits du Maître repris dans Son article :
Dès le premier jour, Je lui ai interdit le port des :
1. pantalons ou shorts.
2. collants, sauf s'ils sont ouverts à l'entre jambes ou leggings.
3. talons de moins de 10 cm.
Il lui est aussi interdit :
1. de croiser les jambes
2. de serrer les genoux
3. de se masturber
4. de porter une culotte à la maison
5. d'aller aux toilettes sans permission
6. de quitter une pièce sans permission
Ma soumission est totale et réelle, elle m’est vitale et nécessaire dans mon mode de vie, pour que je me sente bien. Je ne veux pas et n’aime pas vivre autrement, car autrement cela ne me convient pas, ce n’est pas fait pour moi...
J’ai connu des Maîtres ou des pseudos Maîtres dans mon passé, au fil des années, et je dois dire que certains ont été très destructeurs pour moi, parce que ils ne savaient pas me regarder, me ressentir, me deviner, me nourrir dans ma soumission , ils ne savaient pas m’ordonner correctement, me diriger, me rassurer, me protéger, me punir comme il faut, me tenir et me retenir, m’expliquer des choses, me parler, ils ne savaient pas tout simplement me donner leur attention, ils ne savaient ce qu’est "La Domination et la soumission" et le pire est que ils n’étaient pas capables de voir tout ce qui est en moi à prendre, tout ce que j’ai à offrir de moi, et à quel point...
Ils ne pouvaient ni me faire évoluer, ni progresser, ni avancer pour que ma soumission soit parfaite, ni m’utiliser, et encore moins me faire me dépasser dans ce que j’ai la capacité…. En gros je n’étais pas nourrie...
Si j’appartiens à Mon Maître, c’est parce que Il est Celui dont j’ai besoin, Celui à qui je veux tout donner, Celui que je veux au mieux servir, honorer, être Sa fierté, Sa réussite...
J’ai une Dévotion immense pour lui...
Je suis soumise à Mon Maître parce que je suis moi, telle que je suis, parce que Lui est tel qu‘Il est… parce que Il fait de moi, celle que je veux être, et qu’Il veut que je sois pour Lui…
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N.Y. le 28 janvier
Notre vie New Yorkaise se poursuit tranquillement. J’attends avec impatience la fin des travaux de ma galerie, ainsi que Justine pour qui cette nouvelle vie est un vrai rêve. Bruno était reparti à St Barth pour régler quelques affaires privées avant de revenir début février.
J’avais parlé précédemment des gouts de Justine pour les expériences hard et même sado maso. C’est pourquoi John me parla de soirées que les américains appellent « Public Disgrace ». Il existe plusieurs variantes à ces expériences, certaines se font à l’extérieur, la fille est entièrement nue, menottée et promenée ainsi à la vue du public. Elle est à la merci de son Maître qui peut faire d’elle ce qu’il veut. Elle peut ainsi se faire baiser par des inconnus, sodomiser, subir des fellations forcées. Tout est permis.
D’autres, peuvent se passer dans des magasins, des bars tout lieux publics, mais elles sont organisées le plus souvent dans des endroits privés dans des lieux un peu sinistres. Les invités sont les spectateurs et les acteurs. Ils payent leur participation à ces séances. La ce présente deux cas. Le premier, la ou les filles sont volontaires dès le départ de la soirée, Le deuxième cas, les filles présentes ne savent pas à l’avance ce qui les attends. Bien sur, elles sont toutes consentantes et savent que le sort peut les désigner pour être la « victime ». Ce sont les soirées les plus excitantes.
Donc un soir de la semaine ou nous étions tout les trois à table, John annonça que nous étions invités à une soirée, il expliqua qu’il s’agissait d’un spectacle érotique, voir pornographique mais sans en préciser la nature exacte. Bien sûr j’étais au courant, John m’ayant tout expliqué. Justine, toujours avide de nouvelles expériences se dit très intéressée par ce type de spectacles. Le jour dit, nous nous sommes préparés pour cette soirée. Je m’habillais d’une jupe de cuir très courte, d’un chemisier pratiquement transparent et comme à mon habitude sans sous vêtement. Je conseillais à Justine de mettre une robe légère décoltée, bas et porte jarretelles, et vue la proportion de sa poitrine, elle porte toujours des soutiens gorges. Elle ne fit aucune objection à mes conseils et ainsi habillée est était très désirable.
En chemin, Justine me demanda si je connaissais déjà ce type de spectacle. Je lui avouais que non et que j’avais hâte de découvrir de quoi il s’agissait. Nous sommes arrivé 30 minutes plus tard, dans un quartier que je ne connaissais pas, triste, avec des maisons délabrées et inhabitées pour la plus part, c’était sinistre. Puis nous sommes arrivés devant ce qui devait être un ancien garage, avec un rideau de fer. Holden notre chauffeur descendit sonner, et le rideau de fer s’ouvrit, nous sommes entrés avec la voiture. Une quinzaine de véhicules étaient garés à l’intérieur. Nous sommes descendus puis, je regardais Justine qui semblait un peu effrayée par l’endroit. John ouvrit une porte en fer et nous pénétrâmes dans un grand hangar.
Ce qui me frappa en premier, c’est qu’une trentaine d’hommes et de femmes étaient présents tous portaient un loup sur le visage et étaient assis sur des chaises placées en rond autour d’une estrade ou trônait en son centre deux poteaux placées verticalement. Il y avait aussi une table, un tabouret, un carcan, et divers autres objets.
Nous avons posés nos manteaux, puis on nous invita à prendre dans une vasque une enveloppe et nous nous sommes assis avec les autres personnes présentes. Une femme entra, habillée entièrement de cuir, composé d’un bustier lui serrant la taille et qui lui faisait jaillir deux seins magnifiques, d’une jupe de cuir ultra courte qui laissait entrevoir son entrejambe nu de tout vêtement et de cuissardes à talons très haut. Ca devenait très chaud.
Elle se présenta comme la Maitresse de la soirée. Puis elle prit dans une autre vasque une enveloppe l’ouvrit et annonçât le numéro 21. Elle demanda ensuite d’ouvrir nos enveloppes et que le N° 21 se fasse connaître. Justine eu un moment de panique en découvrant son numéro, le 21. Tout les regards se tournèrent vers elle et un murmure de satisfaction se fit entendre. La Maitresse de la soirée s’approcha alors de Justine, l’invita à se lever, et la prenant par la main, l’amena au centre de l’estrade.
Elle lui demande alors de dire si elle était d’accord pour participer comme actrice à cette soirée. Justine un peu perdu cherchait dans mon regard un réconfort et une réponse, mais je ne bronchais pas, et au bout de quelques instants elle dit « oui j’accepte ». Et tout alla très vite, elle se retrouva les mains liées derrière le dos, sa robe fut arrachée violement, son soutien gorge coupé par le devant libéra ses seins aux pointes brunes et dures. Puis se fut le tour de son string également coupé avec un canif. On lui laissa ses portes jarretelles ses bas et ses chaussures. En 15 secondes elle s’est retrouvée complètement nue, immobilisée et à la merci de cette femme.
Ensuite on lui posa un bandeau sur les yeux, ce qui augmenta encore plus sa panique. Un homme, son assistant, s’approcha d’elle, et aida la Maitresse à attacher chacune de ses mains aux deux poteaux par des bracelets de cuir. On lui posa des bracelets aux chevilles et elle se retrouva ainsi exposée, les jambes largement ouvertes. Je regardais John et lui demandais : « J’espère qui tu leur a dit de pas être trop brutaux avec elle » Il me répondit ; « ne t’inquiète pas elle ressortira de là sans séquelles ». Pas très rassurant quand même.
La femme pris alors un fouet à une lanière de cuir à manche court puis s’approcha de Justine. Elle fit claquer son fouet, Justine compris instantanément ce qui allait se passer et elle se cabra dans ses liens. Et le fouet claqua, d’abord sur son dos, un coup sec, mais sans violence, elle répéta l’opération une deuxième fois, Justine cria, le coup était plus fort. L’homme resté à côté s’approcha et plaça sur la bouche de Justine un bâillon en forme de boule de caoutchouc et attaché derrière la tête Elle recommença en descendant sur les fesses en lui administrant une dizaine de coups assez forts. Ses fesses se marquèrent instantanement de marques violacées. La Maitresse fit le tour se plaça devant Justine et fit claqué son fouet sur le ventre, et sans attendre deux autres coups sur chaque seins. Justine se débattait dans ses liens.
Je regardais avec un peu d’effroi ce qui lui arrivait, moi qui n’est jamais appréciée la brutalité. Les hommes et les femmes autour commençaient à s’exciter, et je craignais que cette excitation fasse que les « spectateurs » ne se contrôlent plus. La Maitresse demanda alors un volontaire pour continuer à la fouettée. Un homme fut plus rapide que les autres, il se leva, pris le fouet des mains de la femme, se plaçant devant Justine il entreprit de la fouettée à l’intérieur des cuisses, une partie du coprs particulièrement sensible. Deux coups sur chaque cuisses, il alla regarder son œuvre et sans doute mécontent du résultat recommançat l'opération. Puis se remettant devant Justine il assénat trois coups sur chaque seins. iI frappait plus fort que la Maitresse et des marques apparurent sur les mamelons. Il refit le tour, et fouetta Justine une dizaine de fois dans l’entre jambe, le bout du fouet frappant exactement sur le devant de son sexe juste sur le clitoris. Il revint devant et asséna un coup encore plus violent sur chacun de ses seins, des marques laissées par la lanière de cuir apparut quelques gouttes de sang sur les bouts de ses seins.
Justine hurlait dans son bâillon. John fit un signe à la femme qui fit stopper le supplice. Mais l’homme surexcité la frappa de toutes ses forces sur le devant de son corps. Il aura fallu qu’un autre homme intervienne pour le stopper dans sa folie.
Ils la détachèrent alors et la placèrent dans le carcan. Cet instrument de torture était composé d’une pièce de bois fixe sur un support au sol avec deux demi trous, deux pour les mains et un pour la tête, ils refermèrent l’autre moitié et Justine se retrouva la tête et les mains prisent dans cet étau. Une barre fixée sur les attaches de ses chevilles lui écartait les jambes au maximum, offrant une vue imprenable sur son intimité. Auparavant on lui avait retiré son bâillon, un homme s’approcha d’elle, la braguette ouverte, le sexe en érection et sans ménagement le lui enfonça dans la bouche, jusqu’à faire toucher ses testicules sur ses lèvres. Il resta comme ça puis se retira, Justine, étouffait et il recommençât, mais cette fois-ci en violents vas et vient. Toutes les quinze secondes il se retirait pour la laisser respirer et continua jusqu’à éjaculer au fond de sa gorge.
Un autre le remplaça aussitôt et tout recommençât, avec en prime une pénétration des plus brutales. En effet, la femme venait de lui enfoncer sa main dans le vagin sans ménagement. Elle allait et venait de plus en plus vite. Toute sa main jusqu’au poignet pénétrait dans le vagin de Justine, qui ne pouvait crier vu l’engin qu’elle avait dans la bouche. La femme retira sa main, s’enduit la main de gel, présenta son poing fermé à l’entrée des reins de Justine et en tournant légèrement entreprit de le pénétrer comme par devant. Centimètre par centimètre son poing pénétrait l’orifice étroit de ses reins. Un troisième homme remplaça le précédent qui venait de jouir au fond de sa gorge. Et tout continua.
L’homme un noir avec un sexe énorme remplaça la main de la femme et l’enculât d’une seule poussée. Deux autres hommes se placèrent devant la bouche de Justine et firent entrer leurs deux sexes en même temps. Des larmes coulaient sur son visage entrainant avec elles le maquillage, elle était méconnaissable. Et pas moyen d’arrêter tout cela. Jugeant que cette position avait proposée toutes les solutions, on la sortit de son carcan, et ils la firent assoir sur le tabouret, sur lequel il avait posé un gode conique de grande taille. Lubrifiée par le gel et le sperme du noir, elle s’enfonçât jusqu’à toucher les fesses sur le tabouret. Une femme s’approcha avec un vibromasseur, le plaça sur le clitoris de Justine qui se mit à bouger dans tous les sens, maintenue au tabouret par de pieu de plastique. Elle fit durer le supplice jusqu’à ce que Justine explose dans un orgasme exceptionnel.
Pendant de temps là un homme muni d’un bâton électrique lui titillait les seins et le bas ventre lui envoyant des décharges électriques puissantes mais inoffensives. Je regardais le public autour de moi. Tout ce petit monde, s’envoyait en l’air dans son coin,. Une femme avait fait entré sa main dans son sexe et se masturbait violemment. Une autre suçait son voisin de siège pendant qu’au autre la baisait. Un autre se masturbait et éjacula sur le visage de sa voisine. Je regardais John, il était stoïque. Il regardait le spectacle sans émotion apparente, j’avançais ma main vers son sexe, le dégageais de son pantalon, il bandait comme un âne, je me penchais et avalais ce sexe qui me donnait tant de plaisir. Dans la position ou j’étais j’offrais mon cul à qui voulait le prendre, ce qui ne tarda pas. Je ne voyais pas l’homme puis me baisait et décidais de ne pas savoir qui c’était, jeune, vieux, un sexe qui bande est toujours un sexe..
Pendant ce temps, Justine avait été portée sur la table, un homme placé sur le dos la baisait, pendant qu’un autre la sodomisait. Ils se succédèrent ainsi sans s’arrêter. Justine jouissait pratiquement sans arrêt. Ils le retournèrent celui sur le dos l’encula pendant qu’un autre la baisait. La Maitresse vint alors se placer sur la bouche de Justine lui offrant son sexe. Sa langue léchait le clitoris, pénétrait à l'intérieur de son vagin largement ouvert, mordillant ses lèvres et revenant au clitoris qu'elle prenait entre ses dents. Elle jouit très vite inondant lson visage et faisant boire à Justine le jet de son orgasme.
Cela faisait deux heures que la séance venait de commercer. Et ils n’en finissaient pas de la baiser, de l’enculer. Justine, pratiquement inconsciente, avalait tout le sperme qu’on lui faisait boire. Que pouvait-elle subir de plus. Quelles imaginations lubriques pouvaient encore jaillir de ces cerveaux pervers. Et bien ils trouvèrent vite une suite à tout ce qu’elle avait déjà subi.
Tout le monde se rhabilla, ils nettoyèrent Justine, mais la laissant complètement nue, avec son porte jarretelles et ses chaussures, un homme la portât jusqu’au parking. Il l'installa dans une voiture. Je m’inquiétais de savoir où ils allaient. John me rassura en me disant qu’on allait les suivre en voiture, et qu’il savait ou ils l’emmenaient. Nous avons suivi len cortège jusqu’à un port au bord de l’Hudson. Là se trouvait une vingtaine d’hommes, adossés à des containers, des dockers pour la plus part, prévenus de la soirée. On fit descendre Justine à qu’on avait remis le bandeau sur les yeux et attachés les mains derrière la tête sur un anneau fixé sur un collier en cuir.
Il faisait assez froid, nue comme elle était elle devait subir cette température difficilement. L’homme qui le tenait l’approcha des hommes, et leur dit : «Elle est à vous, vous en faites ce que vous voulez, ne la ménagé pas». Aussitôt les hommes l’entourèrent, leurs mains se posèrent sur ses seins, lui tordant les bouts, elles s’insinuaient dans sons sexe pinçant son clitoris, ils pénétraient leurs doigts dans son cul. Puis ils la firent mettre à genoux, en lui présentant leurs sexes en érection. L’obligeant à les avaler tour a tour, passant de l’un à l’autre. Certains éjaculaient dans sa bouche d’autres sur ses seins, sa figure.
Puis remise debout, penchée en avant, ils la prirent par devant, par derrière tout en lui enfonçant dans la bouche leurs sexes. Je regardais ce spectacle, une envie folle de la rejoindre me pris, j’en parlais à John qui me dis de faire ce que je voulais. Je m’approchais du groupe, j'ouvrais mon chemisier et remontais ma jupe jusqu'a la taille. Ravis d’en avoir une deuxième pour le même prix ils ne tardèrent pas à s’occuper de moi et de me faire subir le même sort qu’à Justine qui me regardait, les yeux dans le vague, saoule de sexe et de sperme. Un homme me souleva, je serrais mes jambes autour de sa taille, puis il me fit descendre sur son sexe, un autre se plaça derière moi et m'encula de tout la longueur de son sexe. Je descendais et remontais de plus en plus fort. je sentais leurs membres taper au fond de moi, ce qui déclenchaient des orgasmes à répétition.
La séance dura le temps que les assaillants vidés complètement et sans munition arrêtèrent de s’occuper de nous.
Je prenais Justine par la taille, lui retirais son bandeau, détachais ses mains, puis se dirigeant vers notre voiture ou Holden nous attendait en jouissant du spectacle, je demandais à Justine comment elle allait. Sa réponse fut sans appel, jamais elle n’avait jamais prit un pied comme ce soir. Elle ne regrettait ni les coups de fouets surtout sur les seins, ni les pénétrations violentes, rien de tout cela. Et se disait prête à recommencer avec plus de violence encore. Tu sais me dit'elle, je sais qu'on peut utiliser des aiguilles sur les seins et le sexe, Il faudrat que j'essaye ça la prochaine fois.
Justine m’inquiétait sérieusement. Il ne faudrait pas qu’elle prenne trop goûts à ce genre de séance, car bon nombre de femmes et d’hommes tombés dans l’addiction du sado masochisme se sont retrouvés mutilés par les coups de fouets, de cravaches, de pinces diverses, d’aiguilles plantés dans tous les endroits les plus sensibles du corps, de suspensions etc. Je me souviens de l'expérience malheureuse du fou qui m'avait mis sur le clitoris son objet de torture qui me faisant pénétrer une aiguille dans le clito à chaque fois que pendant qu'il me baisait son ventre touchait cet engin de torture. J'en garde un souvenir douloureux. Il faudra que je la surveille de prêt, de toute façon Bruno qui n’est pas non plus un adepte de ce genre de sport lui fera comprendre ou il faut qu’elle s’arrête.
Dans la voiture qui nous ramenait, elle s’était blotti contre moi. Habillée d’un peignoir que John avait prévu, elle sommeillait dans mes bras. Arrivé à l’hôtel particulier, elle demanda à Holden de lui faire couler un bain. On ne le revit pas ressortir de la chambre de Justine, à croire qu’elle n’en avait pas eu assez ce soir.
Je demandais à John : " le numéro 21 tiré soit disant au hasard, ce n’était pas complètement le hasard". Eclatant de rire John me répondit que bien sûr que non, tout était arrangé d’avance. Tu sais dit ’il, je crois que la prochaine fois, ce sera ton tour. Je le regardais alors dans les yeux, en lui disant que s’il me faisait ça, je m'occuperais de lui personnellement en pire., que j'avais déjà quelques idées précises de ce que je pourrai lui faire subir. Sa réponse fut : " arrête tu me fais bander, viens tu vas m'expliquer tout ça " et il m’entraina dans notre chambre.
A suivre
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On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins).
Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article.
Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre :
Cinquante nuances de Grey
Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey
(à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ).
Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage.
On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ?
Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).
...
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Quand le scénario et la grille d'écriture de Twilight , bouquin chouchou des ados, est exploité pour faire des livres pour adultes, cela donne une trilogie : Fifty Shades of Grey.
Succès phénoménal aux Etats Unis, avec 10 millions d'ouvrage vendu, de nombreux éditeurs dans le monde se sont arrachés les droits de l'adapter dans leur langue nationale. La sortie de la version français est imminente.
L'histoire est simple (trop simple ?) : une étudiante vierge tombe sous le charme (puis dans les griffes) d'un homme d'affaires et découvre peu à peu l'univers du sadomasochisme.
E. L. James (Erika Leonard de son vrai nom), a acommencé son travail d'écriture il y a deux ans.Si l'histoire avait d'abord fait l'objet d'une publication sur internet, la nature sulfureuse du récit a privé l'auteure de ce média (nombreuses plaintes !), et c'est donc chez les libraires que la version définitive de l'histoire a été publiée.
Le succès foudroyant a convaincu Universal d'acheter les droits d'adaptation au cinéma. L'achat des droits cinéma ne veut pas forcément dire qu'un film sortira effectivement, mais cela en prend le chemin.
Nous ne manquerons pas de relayer l'information sur la disponibilité de cet ouvrage en français : livre de référence ou historiette pour titiller les vanilles, on ne le sait pas encore. Réponse bientôt.
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Comme le nom le laisse deviner, les auto-masochistes s'infligent eux même des actes douloureux parce qu'ils en tirent un plaisir sexuel et émotionel. Dans l'auto-masochisme, on va chercher la douleur, on se flagelle, on se fait des piercings soi-même, on marche sur du verre, on se brule volontairement. L'auto-masochisme est un inépuisable sujet d'étude pour les psy, qui vont chercher quel est l'origine de ce goût pour la douleur auto-infligée. Certains y verront des maltraitances pendant l'enfance, d'autres un manque d'estime de soi, ou le moyen d'attirer l'attention sur soi.
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