La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/12/21
La Checklist BDSM est un outil d’expression pour connaître les possibilités du dominé Accessoire indispensable au Maitre ou à la Domina, la Checklist BDSM est un outil de travail à mettre en place dans toutes relations sexuelles SM et BDSM. Elle permet de se connaître mutuellement et de jouer en respectant les envies, les désirs et les limites de chacun. Chaque protagoniste a des fantasmes et des possibilités qui lui sont propres. Il a également des devoirs et obligations afin que la relation D/s soit aussi enivrante qu’enrichissante. Plus qu’une lecture coquine, cette check list est le recueil des envies et possibilités de l’esclave. C’est le seul moyen connu pour laisser libre expression à la soumise ou au soumis en ce qui concerne ses goûts et dégoûts pour toutes les activités sexuelles qui peuvent entrer dans une relation Dominant /soumis. Aussi indispensable que le contrat BDSM, cette liste non exhaustive est mise en place simultannément au modèle de contrat BDSM afin d’asseoir toutes les pratiques pouvant être effectuées avec la personne dominée. En cas de pluralité d’esclave, chacun a la sienne qui lui reste propre. La future partenaire s‘oblige à remplir le plus honnêtement possible chacune des colonnes en gardant l’esprit libre de ses réponses. Le Maitre n’est pas autorisé à juger, il prend simplement note des indications pour concrétiser les jeux érotiques en fonction de celles-ci. Parfaite pour mettre à nu les sentiments profonds vis-à-vis de certaines pratiques SM et sexuelles, le partenaire répond au questionnaire avec franchise et rigueur en ayant pleine conscience de ce qui lui est demandé. Checklist BDSM, un accessoire intime évolutif et ludique Essentielle, la Checklist BDSM reste un pilier majeur de la relation erotique liant la Maitresse et son esclave. Souvent, le Dominant remplit lui aussi le même document pour dévoiler ses envies et attentes, mais certaines soumises attestent que cela enlève parfois un peu de piment et de mystère à la relation. Associée à un univers sexuel empli de confiance, elle n’a de reste d’être en constante évolution avec l’âge, les mœurs et la pratique. Bien entendu, une fois remplie, la checklist BDSM ne doit pas être prise comme une liste de pratiques à faire immédiatement, les unes après les autres. Elle ponctue plutôt le chemin de l'évolution de la personne dominée. Une soumise peut toujours, avec l’accord de son Dom, ajouter ou exclure des agissements contenus dans la liste initialement mise en place. Celle-ci n'est jamais figée ou statique mais évolutive pour le plaisir des partenaires. La Checklist BDSM doit être mise à l’étude pendant des moments de repos où l’élève prend son temps pour répondre et analyser. Une fois terminée, elle est relue autant que nécessaire pour s’assurer de ses choix et apporter les corrections voulues. Une fois dans les mains du Dominant, elle lui ouvre cérébralement toutes les portes du désir pour mettre en place lors de séances ou de jeux extrêmes propices à la satisfaction de la soumise. La Checklist BDSM est le lien direct entre la soumise et son Maitre La Checklist BDSM se doit d’être simple et compréhensible de tous. Si un doute survient, le soumis doit demander conseil à sa Maitresse. La check est bien entendu rédigée dans la langue de l’esclave. Elle est le lien direct entre les participants et sa présence rassure afin que les pratiques choisies par le Dom soient en adéquation avec le plaisir du dominé. Un document unique et personnel qui vous suit dans toute votre sexualité BDSM. Une façon de se dévoiler qui à prendre au sérieux et qu’il faut éditer avec attention. Le Maître et la Maîtresse sont guidés par cette liste dans toute approche, démarche et choix BDSM. Pour vous aider dans votre démarche notre magasin, vous propose une checklist BDSM et son mode d'emploi. Il va de soi que chacun doit l'adapter en fonction du contexte. Pour un BDSM soft certains paragraphes sont à supprimer. Pour des jeux plus extrêmes, chaque ligne à son importance. L'usage et toute utilisation de cette checklist BDSM gratuite ne saurait en aucun cas relever de la responsabilité du sexshop ilxelle. Elle s'adresse à des personnes majeures, responsables et consentantes qui peuvent l'utiliser en usage privé. Checklist BDSM mode d’emploi Pour remplir votre check-list, notre sexshop BDSM vous conseille d’apporter les annotations nécessaires à chaque colonne. 1. Dans la première colonne, se trouve la mention "Essayé". Vous annotez : • O comme Oui si vous avez déjà essayé • N comme Non si vous n’avez jamais essayé • SO comme Sans Objet si vous estimez ne pas être concerné. 2. La seconde colonne de la Checklist BDSM est une ressource pour connaître votre degré d’envie. Une notation de 0 à 5 permet à votre Maitre ou Domina de vous situer dans votre désir. Vous annotez : • 0 - vous n’en avez pas envie • 1 - la pratique vous indiffère • 2 – vous avez une envie faible • 3 – vous aimez • 4- vous aimez beaucoup • 5 – vous ne pouvez vous en passer 3. La troisième colonne est un indicateur de difficultés. La graduation de 0 à 5 permet à la Maitresse ou au Maître de connaître votre réticence à effectuer une pratique sexuelle. Vous annotez pour cette colonne : • 0 – trop difficile. Impossibilité pour l’instant. A revoir ultérieurement avec plus de pratique ou jamais. • 1 – très difficile mais faisable avec progression, pas d’un seul coup • 2 – difficile mais réalisable • 3 – assez facile • 4 – facile • 5 – ne pose aucun problème Prévoyez un long moment de tranquilité avant de commencer et bonne analyse de vos désirs ! ;) Exemple de checlist BDSM Essayé Envie Difficulté Observations Abrasion de la peau Adoration de la chatte Adoration des bottes Adoration des mains Adoration des pieds Adoration des talons hauts Adoration du pénis Agacement sexuel ou teasing Anuslingus Asphyxie Attache bras dans le dos levés Attache debout bras écartés Attache debout bras levés Attache sur tréteau Baguette ou badine Bâillon Bâillon avec tape bondage Bâillon Ball Gag ou harnais Bâillon en tissus (linge ou sous vetement) Bandeau sur les yeux Barre d'écartement Bestialité Bondage avec barre Bondage avec cordes Bondage avec sangles Bondage difficile Bondage léger Bondage Shibari Bondage sur longue période Boule Quiès Brosse à cheveux Brûlure au fer rouge Cage Cage de chasteté Cagoule Camisole de force Canne rigide Canne souple Carcan stocks Ceinture de chasteté Chaîne Changement de nom Chatouilles Chiot humain Cire chaude Claques au visage Claques aux seins Collier en cercle privé Collier porté en public Contrôle orgasmique Correction douce Correction dure Corset Corvée domestique Cravache Crochet anal Dilatation Domestique ou bonniche Dormir attaché Échangisme Égratignures Electrosexe Emprisonnement Enfantilisme Épilation à la cire Épilation complète Épingle à linge Etirement des testicules ou ball stretching Étouffement Étranglement Examens medicaux Exercice physique forcé et obligé Exhibitionnisme Exhibitionnisme avec des amis Fantasme de viol Fantasme de viol par un groupe Féminisation forcée Fessée Fessée avec accessoires Fessée avec martinet Fessée sur les genoux Fétichisme Fisting Fouet à lanière Fouet de dressage Fouet single tail Fouettage de la chatte Fouettage des seins Fouetter le corps entier Fouetter le dos Fouetter le penis Fouetter le ventre Fouetter les cuisses Fouetter les fesses Fouetter les mollets Gifle Glaçon Gode ceinture Harems servitude avec d'autres soumises Harnais cuir Harnais d'orgasme forcé Harnais en corde Hommage avec la langue Homosexualité forcée Huiles érotiques Humiliation Humiliation en privé Humiliation en public Humiliation verbale Injection Interrogatoire Jeu de groupe Jeu de rôle Jeu d'urine Kidnapping Lavement anal Ligotage des seins Ligotage japonais Ligotage léger Ligotage par Sarah wrap Lutte Marquage au fer rouge Massage Masturbation avec les seins Masturbation forcée Menottes cuir Menottes en sangle Menottes métal Menottes pour pouces Mise au coin Mise aux enchères Model pour photo érotique Mors de cheval Morsure Nudité forcée Nudité partielle ou complète imposée Obéir aux ordres Orgie Pénétration double Pénétration triple Perçage temporaire Piercing Pilori Pinces à linge sur le corps Pinces aux seins Plug anal Poids pour seins Pose de cathéters Position à genou Privation de sommeil Privation sensorielle Privation sexuelle Prostitution fantaisiste ou réelle Rasage Restriction de parole Restriction des contacts visuels Rites d'initiations Scarification Scatophilie Scène de prison Scène extérieure Scène filmée Scène médicale Scène religieuse Se faire battre doucement Se faire battre durement Se faire battre par une canne Se faire choisir la nourriture Se faire choisir les vêtements Se faire donner à une autre personne dominante Se faire donner la morale Se faire imposer de la nourriture Se faire imposer des vêtements/sous-vêtements Se faire mordre Se faire servir sexuellement Se faire vendre à une autre personne dominante Sermon, leçon en cas de mauvaise conduite Servir comme mobilier, pièce d'art Servir comme toilette Servir comme un poney servir oralement Servitude forcée Servitude imposée Sexe anal Sexe génital Sexe par téléphone Spéculum Strapping Suspension Suspension bras attachés derrière Suspension en position debout Tatouage Tenue en laisse en cercle restreint Tenue en laisse en privé Tirer les cheveux Tirer ou tordre les parties génitales Tirer ou tordre les tétons Uniforme Vêtement de latex Vêtement de lycra Vêtement érotique Vêtements osés en cercle restreint Vêtements osés en privé Voyeurisme
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Par : le 26/12/21
Aimer, amour, sont des mots que longtemps j'ai refusé de prononcer. Trop galvaudés, mis à toutes les sauces. Que tout le monde prononce, sans en comprendre (ou vouloir en comprendre) le sens. Sans se les approprier. J'aime le sexe, les mecs. Me soumettre à eux quand ils me baisent. Mais je m'étais toujours refusée à ce que ça aille plus loin. _______________ Nous vivons dans une société de consommation où l’individu est roi. Et il n’y a pas de mal à mes yeux à « consommer du sexe ». Les mecs peut-être d’ailleurs plus facilement que nous :smile: (sans jugement de valeur, évidemment). Mais certaines femmes aussi. Dont moi pendant longtemps. Je n’y ai jamais rien vu quoi que soit de choquant. J'étais dans une relation d’échange. J’ai envie de jouir de toi, et je te donne du plaisir en échange. Après, on se quitte. La « transaction » est parfaitement loyale. En plus, ce type de fonctionnement a des avantages certains : ça permet de comparer les différents « produits ». _______________ Et puis, un jour, une nuit, l’improbable survient. Qui fait qu'on se dit que tout ça, ce fonctionnement centré sur nous-mêmes uniquement, finalement, il est creux, vide. Que certes le plaisir était là, et que ça a fait du bien. Mais qu'après, quand on se quitte au petit matin, on en ressent la vanité. Parce qu'on a rencontré quelqu'un qui nous fait comprendre que la vie, ce n'est peut-être pas seulement ça. Coucher. Baiser. Jouir égoïstement des autres. Parce qu'on a envie de partager autre chose avec cet "autre". Qu'on a compris enfin que « l'instrument » était moins important que celui qui s'en sert. Quand bien même « l'instrument » est essentiel :smile:. Et surtout qu’un homme, ce n'est pas seulement une queue dont on se sert pour jouir. Alors, ce mot, aimer, j’ai commencé à l'apprivoiser. D’abord, en le susurrant doucement, pour que surtout "il" ne l'entende pas. Parce que ça voulait dire sortir de ma zone de confort, pour entrer en zone de risque. Jusqu'au moment où j’ai fini par le lâcher, à voix haute et intelligible. Et que j’ai compris, à son regard, à son sourire, combien ce mot, il l'attendait, il l'espérait. Et ça m’a fait du bien. Au point que je le crie désormais. _______________ Alors, oui. J’aime Maxime, mon mec, mon Maître. Et aussi la poularde de Bresse au vin jaune :smile:. J’aime Maxime. Caresser son corps, le parcourir de ma bouche, de ma langue et m'agenouiller à ses pieds. Et aussi la symphonie du nouveau monde. J’aime Maxime. Sucer sa bite et boire ce qui en sort. Et aussi les paysages de la baie d’Ha-long. Mais pas pareil. Et si j’aime être dominée, ce que j’aime aujourd'hui dans la soumission, c’est d’être dominée par lui.
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Par : le 26/12/21
Louis Aragon disait : Tant que j’aurai le pouvoir de frémir Et sentirai le souffle de la vie Jusqu'en sa menace Tant que le mal m’astreindra de gémir Tant que j’aurai mon cœur et ma folie Ma vieille carcasse Tant que j’aurai le froid de la sueur Tant que ma main l’essuiera sur mon front Comme du salpêtre Tant que mes yeux suivront une lueur Tant que mes pieds meurtris me porteront Jusqu’à la fenêtre Quand ma nuit serait un long cauchemar L’angoisse du jour sans rémission Même une seconde Avec la douleur pour seul étendard Sans rien espérer les désertions Ni la fin du monde Quand je ne pourrais veiller ni dormir Ni battre les murs quand je ne pourrais Plus être moi-même Penser ni rêver ni me souvenir Ni départager la peur du regret Les mots du blasphème Ni battre les murs ni rompre ma tête Ni briser mes bras ni crever les cieux Que cela finisse Que l’homme triomphe enfin de la bête Que l’âme à jamais survive à ses yeux Et le cri jaillisse Je resterai le sujet du bonheur Se consumer pour la flamme au brasier C’est l’apothéose Je resterai fidèle à mon seigneur La rose naît du mal qu’a le rosier Mais elle est la rose Déchirez ma chair partagez mon corps Qu’y verrez-vous sinon le paradis Elsa ma lumière Vous l’y trouverez comme un chant d’aurore Comme un jeune monde encore au lundi Sa douceur première Fouillez fouillez bien le fond des blessures Disséquez les nerfs et craquez les os Comme des noix tendres Une chose seule une chose est sûre Comme l’eau profonde au pied des roseaux Le feu sous la cendre Vous y trouverez le bonheur du jour Le parfum nouveau des premiers lilas La source et la rive Vous y trouverez Elsa mon amour Vous y trouverez son air et son pas Elsa mon eau vive Vous retrouverez dans mon sang ses pleurs Vous retrouverez dans mon chant sa voix Ses yeux dans mes veines Et tout l’avenir de l’homme et des fleurs Toute la tendresse et toute la joie Et toutes les peines Tout ce qui confond d’un même soupir Plaisir et douleur aux doigts des amants Comme dans leur bouche Et qui fait pareil au tourment le pire Cette chose en eux cet étonnement Quand l’autre vous touche Égrenez le fruit la grenade mûre Égrenez ce cœur à la fin calmé De toutes ces plaintes Il n’en restera qu’un nom sur le mur Et sous le portrait de la bien-aimée Mes paroles peintes Louis Aragon ~ Le roman inachevé
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Par : le 26/12/21
Summer m’accompagne dans la pièce qui sert de vestiaire. Je mets mes vêtements de Notasulga, jean et tee-shirt un peu défraîchis. Je lui dis : — J’ai des beaux vêtements, mais... — Tu veux les ménager ? Pas de problèmes. Je remplis un sac avec le peu que j'ai... Le plus important étant les photos et les dessins de Bobby, je lui dis : — Je dois passer un coup de téléphone à un ami pour le prévenir de mon départ. Ça n’a pas l’air de la déranger. J’appelle Bobby pour lui expliquer ce qui se passe : — Un producteur m’emmène à Hollywood ! Dès que j'ai la possibilité, je te dis où je suis et tu me rejoins. — Oh, oui, je viendrai. N’oublie pas. — Promis, sinon je ne t’aurais pas appelé. Tu seras mon photographe. Bon, je dois y aller, bisous. On retourne dans la salle VIP. Monsieur et Madame, ou plutôt Enzo et Ruby, puisqu’ils ne sont plus mes patrons, sont là, avec Sam. Celui-ci leur dit : — Je ne veux pas vous léser, que voulez-vous en échange ? Enzo répond : — Si c’était possible, on voudrait avoir le secteur ouest. — D’accord, il est à vous. Ils sont ravis. J’ai été échangée contre le secteur ouest ! C’est un peu spécial, non ? Ils m’embrassent et me disent : — Bonne chance, tu deviendras une star. Qu’est-ce qu’ils sont gentils, tout à coup. On passe dans le club, j’embrasse Alan, qui m’a remplacée par la rousse, et puis les filles. Tout le monde me souhaite bonne chance. On sort pour monter dans une voiture. C’est le garde du corps qui conduit, Sam se met devant et nous, les filles, on va à l’arrière. Après avoir collé Alan, je colle Summer. C’est quand même stressant de partir avec des inconnus, la nuit. Son contact me rassure, tellement elle a l’air sûre d’elle. On commence à voir de plus en plus d’indications pour l’Aéroport International Hartsfield-Jackson. Je leur demande : — On va prendre l’avion ? Les deux filles me regardent comme si j’avais dit une grosse connerie. Pussycat répond : — On est à 3500 km de LA. Nous allons traverser tout le sud des USA. Tu as déjà pris l’avion ? — Non, jamais. Et, je ne le dis pas, mais oui, j’ai la trouille. Le garde du corps nous dépose devant l’entrée, puis il va rendre la voiture. À son retour, on va vers la police ou les douaniers, je ne sais pas. Sam me dit : — J’aurais dû penser à te demander si tu avais un passeport. Sinon, un permis de conduire, ça va aussi. Je sors de mon sac ma "social security card", oubliée un jour dans la poche d’un jean mis en machine. Je lui tends. Il la prend entre deux doigts d’un air dégoûté, en disant : — C’est tout ce que tu as ? — Oui... Gros soupir. Il y a du monde en pleine nuit, dans cet immense aéroport. Je suis devant Summer. Le policier regarde ma carte d’un air aussi dégoûté que Sam. Summer, qui est derrière moi, lui dit : — C’est ma cousine et elle est un peu demeurée, Monsieur. Elle a lavé un jean en machine en oubliant sa carte dedans. Il me regarde et je prends un air stupide. Si, si, j’y arrive. Il me dit : — C’est bon, mais il faut demander une nouvelle carte d’urgence. — Oui M’sieur, merci M’sieur. Il vérifie aussi ma carte d’embarquement et on se retrouve devant les portiques de détection. On doit mettre les bagages à main sur un tapis roulant et tout ce qui est métallique sur un plateau. Summer passe, puis moi, juste après. Et là... je sonne. Un policier me demande : — Vous avez du métal sur vous ? Des bijoux intimes ? Après l’avoir regardé, un peu ahurie, pour de vrai cette fois-ci, je lui réponds : — Des bijoux intimes ?? — Des anneaux ou des piercings ? — Non, Monsieur. Pussycat me dit : — Ce sont tes vêtements qui sonnent, enlève-les. Ah ? Bon ! J’ôte mon tee-shirt et mon jean et je passe toute nue dans le portique. Je ne sonne plus, chouette ! J’ai fait ça tellement vite que les policiers n'ont pas réagi... Peut-être parce que ça les amuse.   Un homme siffle, un autre applaudit, tandis qu'une mémère grommelle quelque chose sur "l'impudeur des jeunes"... Avec un grand sourire, un policier me dit : — Levez les bras pour qu’on soit sûrs. C’est clair, ils s’amusent. Ils vérifient mes vêtements, mais il n’y a rien de spécial. Un des policiers me dit : — On a passé un bon moment, grâce vous... Vous pouvez y aller, mais, rhabillez-vous d'abord. J’enfile mes vêtements. Sam me regarde, amusé, lui aussi. Il me dit : — On ne passe pas inaperçu avec toi ! Tant mieux. Je demande à Summer : — Il n’y a plus de contrôle ? — Non, on est dans la zone des free-shops. Sam lui tend une carte de crédit en disant : — Je voudrais que tu habilles la petite d’une façon convenable et après, vous nous rejoignez au bar des premières Rhabiller la petite, je n’apprécie pas tellement. Par contre, des vêtements neufs, c’est chouette. Summer m’aide à choisir, je lui dis : — J’aimerais bien m’habiller en blanc On choisit une robe blanche assez décolletée et une petite veste dans les roses. Oui, c’est assez voyant ! Je vais dans une cabine d’essayage assez étroite, je me rends compte que mes fesses dépassent du rideau mal fermé. Après être sortie de la cabine, je dis à Summer : — Vous savez, j’avais des vêtements plus habillés... — Si Monsieur Sam te les offre, autant en profiter. Je tourne sur moi même en faisant voler ma jupe et je lui demande : — Comment vous me trouvez ? — Belle et inconvenante ! Tu ne mets jamais de culotte ? — Ben, non. Elle m’achète encore des chaussures blanches et puis une brosse à dents, des produits de beauté et j’ajoute du Chanel n° 5. On achète aussi un sac pour nos achats. Mes autres vêtements et mes photos sont déjà dans sa valise. Cet aéroport est immense. Il paraît que c’est le plus important des USA pour le trafic. On rejoint les autres au bar des premières classes. Le garde du corps est également là... Je bois du champagne, j’adore... Mon stress diminue grâce à Summer et aux bulles. Sam parle un peu d’une affaire qui le préoccupe. J’attends qu’il y ait un blanc pour demander : — Je peux vous poser une question, Monsieur Sam ? — Vas-y. — Là où j’habitais, près d’Atlanta, il y avait une esclave, je n’en avais jamais vu. On m’a dit que la vente n’était autorisée que depuis quelques jours. Vous en possédez, vous ? Ils me regardent à nouveau tous comme si... je venais de la lune ou de Notasulga. Sam répond : — Oui, bien sûr, on a quatre esclaves. C’est ma société qui gère la vente. — Sérieux ? — Oui... Tu es vraiment mignonne, toi. Ça veut dire "conne", je sais. Je réponds, un peu vexée : — Je n’avais jamais quitté Notasulga. — Évidemment... Alors je t’explique, mon groupe a aidé le Président à être élu et grâce à ça, il nous a accordé différents monopoles, dont les esclaves... Je suis gênée de poser la question suivante, mais tant pis, elle me brûle les lèvres : — Est-ce que vous... les fouettez ? — Moi, non, mais il y a une gouvernante qui est très sévère avec eux et ma fille aime aussi les fouetter. Chez mon frère, il y en a plusieurs et Pussycat en a une ou deux. Elle répond : — Deux et j'aime bien les fouetter. Quand je suis nerveuse, ça me calme. Oh putain ! Cette petite conversation me va droit entre les cuisses. Sam me dit : — Tu pourras visiter l'endroit où on les vend. Ça s'appelle "Slave Paradise". Summer t'y amènera. — Oh oui, merci ! — Tu vas avoir Johnny Hinde comme agent, c’est le meilleur d’Hollywood et je lui ai fourni une collection d’esclaves. Le meilleur agent qui va me représenter et visiter l'endroit où on vend les esclaves, j’adore... Je verrai sans doute des esclaves fouettées. Entendons-nous, je serai juste avec mes esclaves. Sévère, mais juste. Summer me demande : — Tu penses à tes succès ou à tes futures esclaves ? Je rougis en répondant : — Un peu des deux... On monte dans l’avion, en première classe. C’est vraiment luxueux : les fauteuils sont grands et confortables, on reçoit des boissons, même du champagne... On peut manger aussi, je choisis un morceau de tarte aux pommes avec une boule de glace. Bon... tout n’est pas parfait, le décollage me fout la trouille et à un moment, il y a eu quelques trous d’air. Heureusement, je suis à côté de Summer qui somnole. Après avoir fait des milliers de kilomètres en un peu plus de 4 h, on atterrit à LA vers 7 h du matin. L’atterrissage est stressant aussi. Quand on descend de l'avion, je suis heureuse de me retrouver sur un vrai sol. L’avion, même en première classe, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Les formalités à l’arrivée sont beaucoup plus rapides. On ne doit pas passer par un portique où je peux me déshabiller, dommage... Pour moi, tout est nouveau et immense. Heureusement, les regards admiratifs des hommes me rassurent. Pendant que le garde du corps récupère les bagages, Sam nous annonce : — On va prendre un petit déjeuner. Cool, je n’ai mangé qu’un morceau de tarte. On va s’installer dans la cafeteria, je peux enfin commander des eggs and bacon. Ils sont même accompagnés de potatoes. Les autres se contentent de beignets, de fruits et de yaourts... A suivre 8 Le sud d'est en ouest Summer m’accompagne dans la pièce qui sert de vestiaire. Je mets mes vêtements de Notasulga, jean et tee-shirt un peu défraîchis. Je lui dis : — J’ai des beaux vêtements, mais... — Tu veux les ménager ? Pas de problèmes. Je remplis un sac avec le peu que j'ai... Le plus important étant les photos et les dessins de Bobby, je lui dis : — Je dois passer un coup de téléphone à un ami pour le prévenir de mon départ. Ça n’a pas l’air de la déranger. J’appelle Bobby pour lui expliquer ce qui se passe : — Un producteur m’emmène à Hollywood ! Dès que j'ai la possibilité, je te dis où je suis et tu me rejoins. — Oh, oui, je viendrai. N’oublie pas. — Promis, sinon je ne t’aurais pas appelé. Tu seras mon photographe. Bon, je dois y aller, bisous. On retourne dans la salle VIP. Monsieur et Madame, ou plutôt Enzo et Ruby, puisqu’ils ne sont plus mes patrons, sont là, avec Sam. Celui-ci leur dit : — Je ne veux pas vous léser, que voulez-vous en échange ? Enzo répond : — Si c’était possible, on voudrait avoir le secteur ouest. — D’accord, il est à vous. Ils sont ravis. J’ai été échangée contre le secteur ouest ! C’est un peu spécial, non ? Ils m’embrassent et me disent : — Bonne chance, tu deviendras une star. Qu’est-ce qu’ils sont gentils, tout à coup. On passe dans le club, j’embrasse Alan, qui m’a remplacée par la rousse, et puis les filles. Tout le monde me souhaite bonne chance. On sort pour monter dans une voiture. C’est le garde du corps qui conduit, Sam se met devant et nous, les filles, on va à l’arrière. Après avoir collé Alan, je colle Summer. C’est quand même stressant de partir avec des inconnus, la nuit. Son contact me rassure, tellement elle a l’air sûre d’elle. On commence à voir de plus en plus d’indications pour l’Aéroport International Hartsfield-Jackson. Je leur demande : — On va prendre l’avion ? Les deux filles me regardent comme si j’avais dit une grosse connerie. Pussycat répond : — On est à 3500 km de LA. Nous allons traverser tout le sud des USA. Tu as déjà pris l’avion ? — Non, jamais. Et, je ne le dis pas, mais oui, j’ai la trouille. Le garde du corps nous dépose devant l’entrée, puis il va rendre la voiture. À son retour, on va vers la police ou les douaniers, je ne sais pas. Sam me dit : — J’aurais dû penser à te demander si tu avais un passeport. Sinon, un permis de conduire, ça va aussi. Je sors de mon sac ma "social security card", oubliée un jour dans la poche d’un jean mis en machine. Je lui tends. Il la prend entre deux doigts d’un air dégoûté, en disant : — C’est tout ce que tu as ? — Oui... Gros soupir. Il y a du monde en pleine nuit, dans cet immense aéroport. Je suis devant Summer. Le policier regarde ma carte d’un air aussi dégoûté que Sam. Summer, qui est derrière moi, lui dit : — C’est ma cousine et elle est un peu demeurée, Monsieur. Elle a lavé un jean en machine en oubliant sa carte dedans. Il me regarde et je prends un air stupide. Si, si, j’y arrive. Il me dit : — C’est bon, mais il faut demander une nouvelle carte d’urgence. — Oui M’sieur, merci M’sieur. Il vérifie aussi ma carte d’embarquement et on se retrouve devant les portiques de détection. On doit mettre les bagages à main sur un tapis roulant et tout ce qui est métallique sur un plateau. Summer passe, puis moi, juste après. Et là... je sonne. Un policier me demande : — Vous avez du métal sur vous ? Des bijoux intimes ? Après l’avoir regardé, un peu ahurie, pour de vrai cette fois-ci, je lui réponds : — Des bijoux intimes ?? — Des anneaux ou des piercings ? — Non, Monsieur. Pussycat me dit : — Ce sont tes vêtements qui sonnent, enlève-les. Ah ? Bon ! J’ôte mon tee-shirt et mon jean et je passe toute nue dans le portique. Je ne sonne plus, chouette ! J’ai fait ça tellement vite que les policiers n'ont pas réagi... Peut-être parce que ça les amuse. Un homme siffle, un autre applaudit, tandis qu'une mémère grommelle quelque chose sur "l'impudeur des jeunes"... Avec un grand sourire, un policier me dit : — Levez les bras pour qu’on soit sûrs. C’est clair, ils s’amusent. Ils vérifient mes vêtements, mais il n’y a rien de spécial. Un des policiers me dit : — On a passé un bon moment, grâce vous... Vous pouvez y aller, mais, rhabillez-vous d'abord. J’enfile mes vêtements. Sam me regarde, amusé, lui aussi. Il me dit : — On ne passe pas inaperçu avec toi ! Tant mieux. Je demande à Summer : — Il n’y a plus de contrôle ? — Non, on est dans la zone des free-shops. Sam lui tend une carte de crédit en disant : — Je voudrais que tu habilles la petite d’une façon convenable et après, vous nous rejoignez au bar des premières Rhabiller la petite, je n’apprécie pas tellement. Par contre, des vêtements neufs, c’est chouette. Summer m’aide à choisir, je lui dis : — J’aimerais bien m’habiller en blanc On choisit une robe blanche assez décolletée et une petite veste dans les roses. Oui, c’est assez voyant ! Je vais dans une cabine d’essayage assez étroite, je me rends compte que mes fesses dépassent du rideau mal fermé. Après être sortie de la cabine, je dis à Summer : — Vous savez, j’avais des vêtements plus habillés... — Si Monsieur Sam te les offre, autant en profiter. Je tourne sur moi même en faisant voler ma jupe et je lui demande : — Comment vous me trouvez ? — Belle et inconvenante ! Tu ne mets jamais de culotte ? — Ben, non. Elle m’achète encore des chaussures blanches et puis une brosse à dents, des produits de beauté et j’ajoute du Chanel n° 5. On achète aussi un sac pour nos achats. Mes autres vêtements et mes photos sont déjà dans sa valise. Cet aéroport est immense. Il paraît que c’est le plus important des USA pour le trafic. On rejoint les autres au bar des premières classes. Le garde du corps est également là... Je bois du champagne, j’adore... Mon stress diminue grâce à Summer et aux bulles. Sam parle un peu d’une affaire qui le préoccupe. J’attends qu’il y ait un blanc pour demander : — Je peux vous poser une question, Monsieur Sam ? — Vas-y. — Là où j’habitais, près d’Atlanta, il y avait une esclave, je n’en avais jamais vu. On m’a dit que la vente n’était autorisée que depuis quelques jours. Vous en possédez, vous ? Ils me regardent à nouveau tous comme si... je venais de la lune ou de Notasulga. Sam répond : — Oui, bien sûr, on a quatre esclaves. C’est ma société qui gère la vente. — Sérieux ? — Oui... Tu es vraiment mignonne, toi. Ça veut dire "conne", je sais. Je réponds, un peu vexée : — Je n’avais jamais quitté Notasulga. — Évidemment... Alors je t’explique, mon groupe a aidé le Président à être élu et grâce à ça, il nous a accordé différents monopoles, dont les esclaves... Je suis gênée de poser la question suivante, mais tant pis, elle me brûle les lèvres : — Est-ce que vous... les fouettez ? — Moi, non, mais il y a une gouvernante qui est très sévère avec eux et ma fille aime aussi les fouetter. Chez mon frère, il y en a plusieurs et Pussycat en a une ou deux. Elle répond : — Deux et j'aime bien les fouetter. Quand je suis nerveuse, ça me calme. Oh putain ! Cette petite conversation me va droit entre les cuisses. Sam me dit : — Tu pourras visiter l'endroit où on les vend. Ça s'appelle "Slave Paradise". Summer t'y amènera. — Oh oui, merci ! — Tu vas avoir Johnny Hinde comme agent, c’est le meilleur d’Hollywood et je lui ai fourni une collection d’esclaves. Le meilleur agent qui va me représenter et visiter l'endroit où on vend les esclaves, j’adore... Je verrai sans doute des esclaves fouettées. Entendons-nous, je serai juste avec mes esclaves. Sévère, mais juste. Summer me demande : — Tu penses à tes succès ou à tes futures esclaves ? Je rougis en répondant : — Un peu des deux... On monte dans l’avion, en première classe. C’est vraiment luxueux : les fauteuils sont grands et confortables, on reçoit des boissons, même du champagne... On peut manger aussi, je choisis un morceau de tarte aux pommes avec une boule de glace. Bon... tout n’est pas parfait, le décollage me fout la trouille et à un moment, il y a eu quelques trous d’air. Heureusement, je suis à côté de Summer qui somnole. Après avoir fait des milliers de kilomètres en un peu plus de 4 h, on atterrit à LA vers 7 h du matin. L’atterrissage est stressant aussi. Quand on descend de l'avion, je suis heureuse de me retrouver sur un vrai sol. L’avion, même en première classe, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Les formalités à l’arrivée sont beaucoup plus rapides. On ne doit pas passer par un portique où je peux me déshabiller, dommage... Pour moi, tout est nouveau et immense. Heureusement, les regards admiratifs des hommes me rassurent. Pendant que le garde du corps récupère les bagages, Sam nous annonce : — On va prendre un petit déjeuner. Cool, je n’ai mangé qu’un morceau de tarte. On va s’installer dans la cafeteria, je peux enfin commander des eggs and bacon. Ils sont même accompagnés de potatoes. Les autres se contentent de beignets, de fruits et de yaourts... À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 26/12/21
Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" Il retira alors son pied puis saisit d'une poigne le collier sur le cou de celle quui gisait à ses pieds. D'un coup, il serra ses muscles saillants et releva l'avant bras, portant par cela la jeune femme quiu se trouvait devant lui. Il l'emmena alors sur le lit, serrant le cou d'une main et entourant son entrejambe de l'autre. Il remarquat alors l'abondante humidité se dégaeant de la partie basse. Il jeta alors la jeune fille sur le lit qui, toujours enchainer, ne put s'empecher de s'ecraser sur le matelas. Il s'approcha alors et il posa sa main sur le haut de ses fesses, il remonta alors le long de la colonne vertebrale, décrochant des tremblements qui firent chavirer aussi bien le coeur que le corps de la créature. Etait elle encore humaine ou n'était elle qu'un objet qu'elle avait elle meme offert à cet homme? Toujours est il qu'elle murmura à travers le baillon qui lui serrait la bouche: "baiser moi s'il vous plait". Il s'approcha, retira le baillon et dit: "Je n'ai pas bien compris" Génée, elle repeta "Pouvez vous me baiser, s'il vous plait" Il se mit alors à rire, accentuant la gène de la jeune femme avant de lancer un "Tu es directe toi". Il enleva alors sa braguette et se positiona legerement à l'arrière, posant sa main sur la croupe... Il saisit alors la croupe qui se positiona devant lui et se mit à la pénétrer comme jamais elle n'avait été penetrée. Elle mouillait tellement que chaque mouvement faisiat virer un jet de cyprine sur le matelat. D'un coup de main, il lanca depuis son téléphone la VIIe symphonie de Bethoven. Les premieres notes retentierent et soudain, elle s'appercu que les coups de reins se synchronisèrent avec la mélodie. Son plaisir montait malgré l'inconfort de la position. Soudain, tout s'arreta, il sorti et d'un coup applatit la paume de sa main sur les fesses qui rougirent d'un coup, puis un deuxieme puis un troisieme. Il defit alors les entraves de la pauvres femmes et d'un coup se saisit de ses cheveux et plongeat son regard dans le sien... -------------- Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/ Parties 5: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#5/
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Par : le 26/12/21
Maitresse Lucy m'a désigné une croix de Saint Andre. Je m'en suis rapproché. Elle m'a retiré les menottes aux poignets et les a attaché à la croix. J'étais donc le ventre contre la croix à offrir mon dos et mes fesses au premier venu. Après m'avoir bien attaché, Maitresse Lucy est partie dans mon dos de facon à ce que je ne puisse plus la voir. Je n'avais donc aucune idée de ce qui allait arriver. - " Tu es novice, je crois, donc je vais y aller doucement pour commencer" - "Merci Maitresse" Je ne savais pas ce qui allait se passer mais je commençais à être excité quand même. Un premier coup de fouet s'est abattu sur mon dos : mélange de surprise et de douleur. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. - "Tu aimes bien ?" - "Oui maitresse" - "Très bien, continuons". Les coups ont continué de pleuvoir sur mon dos pendant plusieures longues minutes. La douleur était de plus en plus forte et le plaisir aussi. Je sentais mon sexe se redresser mais la cage empêchait toute érection. Au bout d'un moment, Maitresse Lucy m'a délivré et m'a poussé vers un autre coin de la pièce. Elle m'a désigné un morceau de bois suspendu au plafond. - "Met ta tête et tes mains ici" Je me suis executé sans discuter. Maitresse Lucy a posé un autre morceau de bois au dessus de ma tête, m'immobilisant complètement. - "J'ai commencé gentiment, maintenant on va passer à la vitesse superieure". - "Comme vous voulez, maitresse" - "Dis donc, tu es très poli, c'est bien" - "Merci maitresse" - " Mais ça ne va pas durer" Immobilisé dans le carcan, je ne pouvais pas bouger. J'ai senti alors un liquide froid dans le bas de dos, vers mon anus. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. - "Ne t'inquiètes pas" m'a dit Maitresse Lucy. C'est pour que tu es moins mal. A suivre..
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Par : le 26/12/21
Peut-on qualifier d'amour Le simple désir de possession Est-ce enfermer à double tour Son coeur dans une scintillante prison Peut-on résumer en quelques mots Ce que nous cherchons tous hardiment Peut-on le prendre en photo Cet amour qui nous fait vivre milles tourments A-t-il un visage, une odeur Quel est son nom, sa couleur Saurais-je le reconnaitre s'il vient à me croiser Aurai-je la présence d'esprit de ne pas le laisser s'en aller Le trouverai-je sympathique au premier abord Essayerai-t-il de me tromper Sera-t-il d'accord Ou désintéressé Le 16 12 2021 Fiction
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Par : le 26/12/21
J’ai trouvé un nouveau jouet pour ma soumise alors ce soir ça va être un peu trash. Je l’ai conviée à me rejoindre dans la salle de jeu, j’ai fait un peu de place, les mômes sont couchés nous avons tout le temps de nous amuser. Elle entre dans la pièce, nue comme demandé. Je me place derrière elle, une corde à la main. J’attache ses poignets dans son dos et monte un harnais de poitrine (gote), très sévère, très restrictif. - Mets toi à genoux. Elle s’exécute. J’attache alors ses chevilles et monte deux harnais jambes repliées (futomomo) Je me penche sur elle et l’oblige à se pencher en avant, le buste entre les genoux. Je reprends une corde sur un harnais de jambe, l’enroule autour de sa taille, noue l’ensemble et me reprend sur l’autre jambe. J’attache une dernière corde dans le dos du gote, me reprend sur l’ anneau au plafond et suspend son buste. Attachée ainsi, elle ne peut plus se relever et reste parfaitement cambrée. Elle offre son cul, son anus à mon regard et à mes jeux. Elle commence à gémir un peu, la position est très inconfortable. Je lui pose un bâillon, ses gémissements étouffés m’excitent. Je l’embrasse un moment, caresse son dos, ses fesses, ses seins. Je l’encourage un peu, c’est difficile mais le plaisir, l’orgasme n’en sera que plus fort, plus jouissif. J’enduis mes doigts de lubrifiant et caresse son anus, me glisse doucement en elle, un doigt, puis deux, je la dilate et la lubrifie doucement. Elle gémit encore, elle tente d’ouvrir un peu plus ses cuisses. J’ai un «crochet» en acier, avec une boule de trois centimètres et demi de diamètre à son extrémité et un anneau à l’autre bout, je la fais pénétrer dans son anus doucement, la fais tourner sur lui même, pousse un peu, elle s’ouvre et laisse entrer l’objet en elle. Je le pousse bien au fond, plaque la tige en acier sur ses reins et la noue sur la corde autour de sa taille. Paf,Paf. Deux petites claques sur les fesses, un gémissement je la laisse ainsi un petit moment, l’incite à bouger un peu son bassin, aller chercher son plaisir. Paf,Paf….Paf,Paf,Paf… Quelques claques bien posées sur les fesses. Elle se tortille encore. Paf,Paf… Encore quelques unes, elle continue à tortiller du cul. Elle adore ça (putain si ça me plais, plus elle prend son pied et plus j’aime ça). Avec une petite cordelette, j’attache le vibro magique sur sa taille et le plaque sur son clitoris. Je tourne la molette et monte très vite en régime (avec ça ma chérie, tu vas jouir comme jamais) j’enlève mon caleçon et lui retire le bâillon, j’ai une érection canon. - Prends moi dans ta bouche. - Oui, viens. Elle ouvre la bouche et je m’enfonce doucement en elle, sa langue s’active, elle me pompe , elle me suce, elle la veut (putain si c’est bon) - Vas-y ma belle, suce moi bien, à fond, avale moi. Elle ouvre sa gorge et m’avale tout entier. (ça lui à pris des années avant d’y arriver, mais c’est magique et elle adore ça) Le vibro fait son petit effet, elle gémit, elle jouit, elle m’avale, me suce, s’étouffe avec ma queue et jouit encore plus. Je me retire, je ne veux pas jouir maintenant et j’avoue qu’avec une pipe pareille, il est très difficile de se contenir. Je passe derrière elle, défais le nœud qui maintient le crochet en place et retire doucement la boule de son anus. Je décroche la corde au plafond et la laisse reposer les épaules au sol. J’appuie mon gland sur son anus et la laisse s’ouvrir, elle m’accueille en elle en gémissant. Mon va-et-vient devient rapidement pressant, en plus le vribro envoie tout ce qu’il peut, c’est dément.. Je me calme un peu en dénouant le gote pour libérer ses bras, lui permettre de prendre appui au sol et retrouver le contrôle (partiel) de son corps. Je m’active à nouveau en elle, elle m’offre ses fesses, se tend, gémit encore et encore, je n’en peux plus, ce petit jeu était vraiment trop excitant. - Je vais jouir ma belle, rejoints moi. - Oui, viens, jouis en moi. Il n’en fallait pas plus, pour me faire jouir, j’éjacule, j’explose en elle, le plaisir m’envahit tout entier, les spasmes de ma queue sont puissants. Je suis repus, épuisé. Je me retire, arrête le vibro et commence à dénouer les cordes pour la libérer complètement. Elle étant ses membres doucement et me sourit. -Merci mon amour. - Merci à toi ma belle. Ça t‘a plus? -Oui, c’était vraiment spéciale. - Oui, très. Je l’embrasse, me relève et range un peu tout ça, il ne faudrait pas que les enfants tombent sur nos jouets demain matin.
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Par : le 18/12/21
Je me déplace rarement hors de Paris dans mon cadre professionnel. Et quand ça arrive, c'est généralement pour la journée. Départ le matin, souvent tôt, retour le soir, parfois tard. Il ne m'était plus arrivé de devoir partir plusieurs jours depuis le début du Covid. Mais là, je n'avais pas le choix. Signature des actes relatifs au rachat d’une boîte, auquel j'avais participé. 3 jours de déplacement. _______________ Longtemps, j’ai vécu seule. Les mecs que je voyais me baisaient le plus souvent chez eux, parfois chez moi. Nos affaires terminées, nous nous quittions au petit matin. J’étais libre, et cela me convenait parfaitement. Et puis, il y a eu ce foutu Covid, le premier confinement, mon installation chez toi. Et j’ai découvert combien c’était bon de partager ta couche. Pas seulement pour que tu profites de moi et moi de toi. Mais pour m’endormir, me réveiller à tes côtés. Sentir la chaleur de ton corps contre le mien, me blottir contre toi. Te savoir là quand il m’arrive de me réveiller la nuit. Pouvoir te toucher, te caresser, te respirer. Te réveiller le matin en même temps que ton désir 😀. _______________ Bon, ça présente aussi quelques inconvénients. Ta façon de t’étaler, deux tiers du lit pour toi, un tiers à peine pour moi. Mais ça ne me gêne pas. Puisque la place que tu prends dans le lit ne fait que refléter celle que tu occupes désormais dans ma vie 😀. _______________ Alors, j’appréhendais ces deux nuits sans toi. Le manque de toi. Me retrouver seule dans un grand lit vide. Sans toi. _________________ Le premier jour, le client nous a invité à dîner dans un restau connu de la place. Dîner agréable, quelques compliments un peu appuyés de sa part à mon propos, rien de choquant ni de déplacé. J’aime bien les compliments quand ils viennent des mecs 😀. Il était tard quand je t'ai appelé. Nous nous sommes raconté nos journées respectives. Le deuxième soir, nous avons dîné à l'hôtel, moi et Kevin, le collaborateur qui m'accompagnait. Dîner rapide, après une journée chargée. Dernières discussions, ultimes modifications aux actes que nous avions préparés. A 10h et demie, j'étais dans ma chambre. Je t'ai appelé. Nous avons parlé longuement. Je t'ai dit combien tu me manquais. Toi, et ce que tu as entre les jambes. Quand bien même j'en avais pourtant profité encore le matin avant mon départ. Tu m'as dit d'allumer mon pc, de brancher la caméra, de te rappeler via skype. Je me suis déshabillée, allongée sur le lit vide, j'ai branché l'ordi et je t'ai rappelé. "Caresse toi" m'as tu ordonné. "Montre moi ta chatte". "Mieux que ça, ouvre toi davantage" "Montre que tu n’es qu’une chienne" "Pince tes tétons" "Plus fort" "Je veux voir ton cul" "Mets y un doigt" "Deux" "Encore un" "Tu mouilles ? Je veux voir ton sexe" _______________ Oui, je mouillais. Rien qu'à entendre le son de ta voix. A obéir à tes ordres. Alors même que je ne te voyais pas, puisque de ton côté tu n'avais pas allumé ta caméra. Et en même temps, j'avais honte. Pas de m'exhiber ainsi devant toi. Mon corps, mes trous n'ont plus de secrets pour toi. Mais de prendre du plaisir sans qu'il ne soit la conséquence du tien. Parce que si j'aime jouir, c'est de toi que j'aime jouir. Par toi, pour toi, grâce à toi. J'ai quand même joui ce soir-là, sur ce lit que je ne partageais pas avec toi. Ce grand lit vide où je me suis endormie seule. Sans toi. _______________ Quand je suis rentrée, tu n'étais pas encore arrivé. Dans le vide poche de l'entrée, il y avait un de tes mouchoirs. Humide de ce que d'autres qualifieraient de "souillures", que je n'ai jamais considérées comme telles . J'ai souri en pensant à quoi il t'avait servi. Je l'ai longuement reniflé, léché, avant de le remettre là où je l'avais trouvé. Presque aussi propre que si tu ne l'avais pas utilisé. Puis j'ai été me doucher, me préparer pour toi. _______________ La nuit a été longue. Ou courte, selon le point de vue qu'on adopte. J'ai veillé à largement compenser ces deux nuits passées sans toi. Sans aucune honte cette fois-ci. _______________ Finalement, je préfère un tiers du lit pour moi et les deux autres pour toi qu'un grand lit pour moi seule :smile:.
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Par : le 18/12/21
Mur de commentaires Severazur 14/11/2021 16:27:56 Une page se tourne... Les jours ont des couleurs. Certains sont jaunes comme le soleil, roses comme l'amour, rouges comme la passion, gris comme la tristesse. Aujourd'hui est un jour bien gris. La décision que je me suis résolu à prendre m'arrache le cœur tant je sais qui je perds et tant je sais combien je la fais souffrir. Il m'était cependant impossible d'envisager une autre issue pour des raisons qui ne regardent qu'elle et moi. Déchiré et triste, je ne peux cependant que me résoudre à rendre à ma si Précieuse sa liberté dont elle ne voulait pas. Devant toutes et tous ici, je veux rendre grâce à sa sincérité, son engagement, son honnêteté sans faille. Jamais il ne m'a été permis de posséder pareille soumise, dont la force et la fragilité forcent mon respect et mon admiration. Jamais ma précieuse n'aura failli, démérité, n'ayant de cesse que de devancer mes désirs avec une passion incroyable. Je lui rends grâce et je demande aux nombreuses personnes qui nous ont témoigné leur bienveillance ici de prendre grand soin d'elle et de l'accompagner dans ce moment compliqué. Pour ma part, je ne chercherai pas à la remplacer, elle est de toute manière irremplaçable. Je remercie les personnes qui ici par leurs messages, leur humour et leur bienveillance nous ont accompagnés et je souhaite à chacune et chacun d'éprouver la connexion que ma précieuse et moi avons connu. Bon vent à toutes et tous. Quelques uns de nos commentaires Merci mon arc, ma précieuse pour vos mots ici et pour garder le lien. Vous m'êtes et me resterez toujours précieuse 14/11/21 arc en ciel Vive émotion Mon Maitre à vous lire, je reste votre précieuse, vous restez précieux pour moi. Mon choix est de garder le lien entre nous ailleurs, cette décision vous sied. Je n'ai aucun reproche à vous faire, sachez le. Votre décision, je l'ai accepté avec déception et tristesse, ne pouvant faire autrement. La vie continue, je sais me relever... Vous me voulez forte, je le suis et serai. 1 15/11/21 Je le mets ici pour garder le lien/souvenir de notre relation. Le 15 12 2021
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Par : le 14/12/21
Immobilisée au sol, dans une position non confortable et qui plus est n'était pas celle demandée. Voila sa situation. Pourtant, elle avait essayé de se relever, toujours sans succès. La porte battait toujours legerment au rythme des courants d'air provoqués par l'ascenseur du couloir alors que le lampadaire clignotait parfois, brisant le fin rayon de lumière qui pénétrait dans la chambre. C'était stressant oui, mais jamais elle n'avait été autant excitée. Ce n'était pas de l'excitation cela lui arrivait sans cesse lorsqu'elle voyait un homme attirant ou qu'elle s'apprêtait à s'élancer dans des ébats. Non, c'était autre chose, une excitation interdite, presque mystique. Elle n'arrivait à penser à rien d'autre qu'à la réaction de l'homme qui allait rentrer par cette porte et à si ca serait bien l'homme auquel elle pensait et non un parfait inconnu. Et pourtant, elle savait au fond d'elle meme que rien ne pouvait lui faire regretter d'être venue. Elle mouillait, évidemment, plus qu'elle n'avait jamais mouillée, mais son excitation ne venait pas de ses parties intimes, elle venait de sa tête, de ses poignés menottés, du collier qui à chaque instant serrait un peu plus son cou. Elle venait de cette boule au milieu du ventre qui lui disait fuit, elle venait de la chaine qui la reliait au sol qui lui répondait que c'était impossible de fuir. Elle lui venait de cette porte qui a tout moment pouvait s'ouvrir. Le temps passa, elle aurait pu s'endormir si l'inconfort de la position ne lui avait pas ôté toute envie. Elle entendait l'heure tiquer, elle sentait la lune continuer dans le ciel derriere elle, la vie continuait et elle était coincée dans cette chambre, à la merci d'une porte capricieuse. 40 minutes passèrent, 50? Elle n'en savait rien. Toujours est il qu'a un moment donné des bruits de pas se firent entendre. Des pas lourds mais délicats, étouffés par la moquette de l'hotel. Soudain, les bruits s'arrêtèrent devant la porte. L'ephemere moment sembla durer une heure, comme suspendu à une seconde d'insouciance, à une minute de questionnement. Alors la porte s'ouvrit. La curiosité s'emballait, elle voulait voir qui était là, si c'était celui qu'elle attendait. Cela faisait des heures qu'elle n'attendait qu'une chose, voir le visage qui passerait cette porte. Et pourtant, ses yeux ne lui obéissait plus, pas plus que son cou ou que ses muscles. Son regard se figea dans un trait du motif de la moquette rouge et elle ne pouvait lever sa tete. Elle le voulait, mais c'est comme si son corps disait inconsciemment de regarder le sol afin de ne pas défier du regard celui auquel elle avait déjà désobéis. Les pas reprirent et le regard demeura figé jusqu'à ce qu'elle sente le froid d'une semelle se poser sur son cou, à moitié sur son collier et à moitié sur sa peau frère et refroidi par l'atmosphère hivernal. Elle n'était plus rien et elle était tout. Son collier l'avait transformer. Elle ne craignait plus la punition, elle voulait garder son visage figé dans ce trait noir désiré sur la moquette rouge pour l'éternité, dans le simple but de LUI offrir sa personne. Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" -------------- Partie 2 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 3 Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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Par : le 13/12/21
Marine et Valérie, les deux championnes des hauts alpages s'affrontent pour le combat final. Il ne doit en rester qu'une. Le peuple s'est assemblé, c'est jour de grande fête. La bière coule à flot. Les deux rivales se toisent, se lancent des regards de feu. Leurs pieds rageurs raclent la terre. Voilà, elles se foncent dessus, cherchent de suite à s'empaler. Les cornes se choquent avec grand bruit. Leurs narines lâchent un air brûlant de rage. Marine est une costaude, toute en masse, puissante. Valérie, plus fine est toute en finesse et esquives, mais elle sait cogner dur. Un combat impitoyable. Finalement, avec ses frappes de précision Valérie prend vite le dessus. Marine ne met pas genou à terre, mais se retire. Elle est la perdante mais c'est une fière qui refuse toute soumission. L'assemblée du peuple exulte et célèbre la victoire de Valérie. Chante peuple, réjouis toi. Au final c'est encore toi qui l'aura dans le cul.
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