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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
La Maison-Blanche, c'est grand ! Il y a beaucoup de gens partout. Je suis bien accueillie... mais, il y a deux choses qui me m'ennuient. Non, trois. D'abord, Summer n'est pas là... Oui, elle me manque. Je sais bien que c'est une garce et qu'elle peut m'obliger à faire des choses que je ne veux pas, mais en même temps, elle me rassure. Ensuite, je deviens la femme du Président, au moment où il y a une menace qu'ils ont l'air de prendre au sérieux. Enfin, il parait que je suis une "trophy wife", une épouse pour faire des la figuration. J'ai l'intention de m'informer, afin de tout faire pour que mon cher époux soit réélu... Pas pour lui, mais pour moi.
Je vais d'abord me renseigner sur son adversaire, Dany Prince (quel nom bidon !).
Dans une semaine, on part en voyage officiel chez nos alliés. On va à Paris et Bruxelles pour l'UE et ensuite, au Japon...
Ce qui me dérange aussi, c'est le personnel. À Malibu c'est clair et net : Madame Stone commande à tout le personnel. Ici, il y a des esclaves et des servantes libres. Plusieurs personnes leur donnent des ordres : une gouvernante, un majordome, la cuisinière... Et puis les chefs des différents services, aussi. Ça ne me plaît pas ! Je veux savoir qui sont les esclaves, m'en servir et... les punir. Si elles ont fait quelque chose de mal, bien sûr.
J'ai trois objectifs : réorganiser les esclaves et les servantes, me renseigner sur la politique et trouver un moyen d'éliminer l'adversaire.
On a des chambres séparées. Tant mieux je n'ai vraiment pas envie de dormir avec lui...
***
Le lendemain soir, le président veut que je le rejoigne pour manger. Il va sûrement me demander quelque chose. J'arrive dans la petite salle à manger. On commence par des banalités. Je lui demande :
— Tiens, à propos, je peux avoir une esclave dans mon lit ?
— Bien sûr, une esclave, c'est comme un sex toy.
Exactement ce que je pense. Je veux encore autre chose :
— Et si je veux sucer une bite ou me faire prendre en levrette ?
Je sais que cette façon de parler va l'exciter. Il aime l'idée que je me fasse baiser ! Il réfléchit et dit :
— Tu fais appeler Spencer, c'est le chef des gardes. Il va bien te baiser, petite salope !
Aussi simple que ça. Il ajoute :
— À ce sujet... euh...
— Oui ?
— On part bientôt en Europe et en Asie. Mais avant ça, je voudrais qu'on passe un petit week-end à Tijuana, pour... euh...
Ah, il est moins énergique, là... Je lui souffle :
— Pour s'amuser comme à Jackson ?
— Oui, c'est ça.
— D'accord, mais je voudrais aussi te demander quelque chose. À la villa de Malibu, les servantes sont très stylées et Madame Stone leur tient la laisse très courte. J'aimerais beaucoup qu'on l'engage pour qu'elle s'occupe du personnel. Tu verras la différence.
— D'accord. Vois ça avec Madame Conway.
Super ! Dès que j'ai fini de manger, je vais dans ma chambre et je téléphone à la villa de Malibu. C'est Madame Stone qui répond, en disant :
— Résidence de Mademoiselle Hunter.
Eh ! C'est chez moi, pas chez Summer. Enfin, si. Je lui dis :
— Bonjour Madame Stone, c'est Madame Birch.
— Qui ?
— Ashley.
— Ah oui, bonjour.
Toujours aussi peu protocolaire, mais je m'en fous, elle sait y faire avec les esclaves. Je lui dis :
— Je voudrais parler à Summer.
Je l'entends crier :
— Mademoiselle Summer, c'est Ashley.
Elle prend l'appareil et me dit :
— Bonjour Ashley. Alors, comment ça va ?
— Bonjour... Ça va, sauf que tu me manques trop. Tu viens ?
— Je viendrai... Tu voulais autre chose ?
— Oui. Ici les esclaves ne sont pas stylées. Tu me prêtes Madame Stone pour un mois ?
— Pourquoi pas... Je connais quelqu'un qui pourrait la remplacer.
— C'est gentil, ça me rappellera notre villa. Tu viendras, hein ?
— Oui ! Je te l'ai dit. Au sujet de Madame Stone, si tu te laisses faire comme à ton habitude, tu laveras bientôt ses culottes ! Bon, je te la passe... bises.
— Oui moi aussi, je....
— Allo ?
Elle a passé le téléphone à Madame Stone. Je lui dis :
— Comme vous le savez, je suis devenue la Première Dame et je suis à la Maison-Blanche. Ici, les esclaves et les servantes, c'est l'anarchie. Je voudrais vous charger de... remettre de l'ordre. Vous auriez tout le personnel sous votre contrôle... pour tout organiser comme à Malibu.
Il y a un blanc, puis elle me dit :
— Vous connaissez mon salaire ?
— ... Euh, oui...
— Je le fais pour le triple et je veux deux week-ends libres par mois.
— D'accord.
— Je prendrai l'avion demain
— Merci Madame Stone et...
— Je vous téléphonerai quand je serai là... Vous viendrez m'accueillir.
— D'accord... et...
— À demain.
Elle raccroche. Oui, on pourrait penser que... la façon dont elle me parle n'est pas correcte, mais elle est terriblement efficace. Elle va les mener à la baguette. Et puis, j'aurai un spectacle tous les matins... Je ne la laisserai pas être trop familière avec moi.
Ce soir, on mange avec les Krassing, les marchands de cochons. Je ne les aime pas et eux m'ignorent... Aussi, j'ai une migraine subite et je n'assiste pas au repas. Ça arrange mon mari. Ils vont parler politique et je n'y connais rien. Enfin, c'est ce qu'il pense.
***
Aujourd'hui, première chose : me faire baiser ! Ça fait un temps fou que je n'ai plus senti une bite en moi. Mon majeur a beau être de très bonne volonté, il ne remplace pas une vraie bite.
Je fais venir Spencer et je lui explique les raisons de la venue de Madame Stone. Rapidement, je me rends compte qu'il ne m'écoute plus. C'est pas très poli, ça. Il a l'air hypnotisé par quelque chose... Voyons... Je suis assise sur une chaise et j'ai croisé les jambes, ma jupe est remontée et je n'ai pas de culotte... Alors, il voit ma chatte et ça a l'air de lui plaire. Je lui demande :
— Vous regardez quoi avec tellement d'intensité, Spencer ?
— Vous, Madame la Présidente.
— Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour que vous ne soyez plus distrait ? Peut-être que si vous me baisiez, vous pourriez mieux vous concentrer ?
— Oui !
Je me lève et j'enlève ma robe. Je me retrouve nue devant lui...
Il hésite encore... un peu. Je vais m'asseoir sur ses cuisses, au risque de mouiller son pantalon et je l'embrasse en mettant mes bras autour de son cou. Ah ! Il se réveille et il m'embrasse aussi, tout en me caressant les seins. Je lui dis :
— Ne me baise pas comme si j'étais la Première Dame...
Il termine ma phrase :
— Mais, comme si tu étais une fille à partouze ?
— Ouiiii...
Voilà, c'est plus sympa, comme ça. Je me mets à genoux et je descends le zip de son pantalon. Oh ! Il n'a pas de slip et son sexe me bondit à la figure. Avant tout, il faut l'apprivoiser. Alors je le couvre de baisers, puis je tire sur la peau pour découvrir le gland. Oh qu'il est mignon : rose, dodu et luisant... Je le goûte du bout de la langue... Je joue un peu trop à son avis, car il me prend par la nuque et force ma bouche. Quand un client fait ça, il faut ouvrir la bouche pour mettre le sexe au chaud... Ce ne sont pas des souvenirs de Première Dame, mais de pensionnaire de "House of Pussies". Il a un goût un peu prononcé, mais comme je suis très excitée, ça passe. Je le suce... et ma tête va et vient sur son sexe... Son gland rose me caresse même les amygdales. Je dois avoir une bonne technique, parce qu'il me fait arrêter avant de repeindre ma bouche aux couleurs de son sperme. Il me lance :
— À quatre pattes !
D'accord, voilà qui est clair. Il a le gland voyageur et après ma bouche, voici qu'il viole ma petite chatte. Violer n'est peut-être pas le mot qui convient... Il me baise comme un lévrier baise sa levrette. Aujourd'hui, j'aime bien les images et les comparaisons. Il est bon, le gars, il me baise à grands coups de reins en me donnant quelques claques sur les fesses. Le Président a une très grande qualité, il est doué pour trouver des amants à sa femme. Il me manque... j'aimerais qu'il soit là pour voir comment baise un vrai homme... Je jouis bientôt, suivi par partenaire... J'imagine son sperme inondant les moindres recoins de mon vagin et pénétrant plus loin après avoir escaladé le col de la matrice. Putain ! que j'aime me faire baiser !! Il me donne une dernière claque sur les fesses en disant :
— Je serai toujours très heureux de vous rendre ce genre de service, Madame la Présidente.
L'après-midi, j'attends l'arrivée de Madame Stone. Enfin, vers cinq heures de l'après-midi, elle me téléphone :
— Je suis à l'entrée de service, Ashley
— J'arrive, Madame Stone.
J'appelle Spencer pour qu'il m'accompagne, je l'ai prévenu. Il nous faut un moment pour traverser la maison. Spencer ouvre et je dis :
— Bonjour Madame Stone,
— Bonjour madame la Présidente.
Ouf ! Elle a compris que devant les gens, elle devait montrer un minimum de déférence. Les gens dominants veulent vous dominer en toutes circonstances, c'est normal. Je l'amène dans le bureau de Madame Conway. Elle va lui montrer sa chambre et lui présenter le personnel.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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Comme une bête sauvage qui rôdait dans ses fourrés, Juliette avait investi sa vie, comme un incendie qui met les arbres à terre. Chaude et torride, elle ne savait plus où la flamme allait prendre racine. Pourtant, il était doux à Charlotte que ce qui lui fut interdit, matériellement, comme la porte de la cellule interdit matériellement aux filles enfermées, de s'appartenir ou de s'échapper. Il s'agissait du meilleur partie qu'on pouvait alors tirer d'elle. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Allongée sur le dos, elle était captive, nue, écartelée. Comme les chaînes tiraient au plus court, vers l'arrière, pour les chevilles et les poignets, elle ressentait une interminable souffrance, proche du démembrement. L'humiliation était là. Se montrer ainsi dans cette position dégradante, alors que fouettée, prise ou sodomisée, sa vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Charlotte prenait conscience de l'orgueil réel de l'esclave qui motive et qui excuse tout. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en réalisant ses fantasmes. Si elle mimait la dérobade, c'était pour mieux en profiter. Elle ne s'habituerait jamais à toutes les bizarreries des fantasmes de son amante.
Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle aimait être surprise chaque jour. La sensualité sautait sur sa proie avait enthousisme, toujours au centre de ses émois et de ses passions. Ne rien prévoir, laisser tout au hasard. Ne jamais s'indigner de ses propres fantasmes. N'avait-t-elle pas elle-même avoué qu'elle avait en elle, jusqu'à l'obsession, des images de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la regardait d'un œil narquois. Elle s'assit sur le rebord du lit, nue, les mains sur les genoux. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Il semblait à Charlotte, comme si cela ne la concernait pas, qu'elle avait déjà vécu une scène analogue. Mais pour cette fois, la jeune fille lui était inconnue. Elle n'en était que l'occasion ou l'objet, on n'avait plus qu'à la soumettre. Juliette vit la jeune fille poser délicatement ses mains de part et d'autre de la vulve glacée de Charlotte. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Le contact, même s'il demeurait ferme, n'avait pas du tout la violence redoutée. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre un fruit, avec grand soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire, pour qu'elle puisse continuer. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de passivité, parviendrait-elle à exciter ses sens.
La divine impression de lui prendre un pucelage, d'être la première. Le plaisir sadique de l'humilier un peu, de lui faire mal, de l'inquiéter pour après la consoler. L'espoir de lui donner un nouveau plaisir. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où la jeune inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa bientôt dans ses chaînes et trembla encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, mais elle n'avait pas eu honte. La jeune fille habitait près de la place Saint-Sulpice. Charlotte avait cru, ou voulu croire, pour se donner du courage, qu'elle serait farouche. Elle fut détrompée. Les airs pudiques qu'elle prenait, étaient précisément destinés à l'aguicher. Elle l'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre du salon, par la jeune fille nue, organisatrice de la séance. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement, pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, Charlotte se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, la robe tombant alors sur le sol, pour écouter le clapotis de son sexe déjà ouvert. L'ivresse d'être pénétrée, de se sentir étroite et profonde.
La fierté trouble d'être à la fois initiatrice et bourreau, et surtout un peu mâle. La délicieuse ambilavence qui rend femme, parce que sillonnée. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Sans tarder, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Charlotte devait lui être soumise et l'accueillir avec le même respect avec lequel elle l'accueillait, comme autant d'images de Juliette. Elle tenait d'autant plus à elle, qu'elle la livrait davantage. Le fait qu'elle la donnait était une preuve, et devait en être une pour elle, qu'elle lui appartenait. On ne donne que ce qui vous appartient. Mais Juliette la reprenait aussitôt. Tes yeux se retournent vers mon sourire. Le silence, nous l'avions décidé. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais de cuir serré, son corps supplie. Nue, de dos, debout devant moi. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue.
La corde, le verrou, la clé. Une prison consentie. Avec des barreaux en fer. Tu t'évades, si je veux, et je reviens si je veux. Je veux être libre de ne pas être libre. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de te fouetter. Cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore. Tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de coups. Tout est évident. Tu es allongée, au-dessous de moi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Charlotte entrouvrait les lèvres et fermait à demi les yeux. Elle regardait la jeune fille à la dérobée, qui se leva brutalement du canapé. Charlotte n'attendit pas son ordre. Elle avait compris. "- Maintenant, je voudrais te fouetter, je te le demande. Acceptes-tu ?" Elle accepta. La jeune fille lui lia les poignets enserrés par des bracelets au-dessus de la tête, à un anneau chevillé au plafond. Jamais Charlotte ne l'accepta avec autant de joie. Elle attendit et le temps cessa d'être immobile. Sa douceur offerte appelait les blessures autant que les caresses. Elle n'eut jamais d'illusion. Elle était debout, et ses bras levés et joints, faisaient saillir ses seins. La jeune fille les caressa, puis l'embrassa sur la bouche. Quand elle lui eut mis un bâillon, et qu'elle eut saisi un fouet, elle la fouetta longuement.
Comme une clé luisante, polie, comme huilée par l'usage, et qui tourne sans bruit dans une serrure accueillante jusqu'au miracle, elle aimait autant la frapper que la voir se débattre. Charlotte se tordait, gémissait, pleurait sous le fouet. Seuls ses yeux pouvaient implorer sa grâce mais elle ne l'obtint pas. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de douleur ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incroyable bonheur masochiste. La jeune fille cessa de flageller Charlotte. Elle défit le collier et les bracelets qui la tenaient captive. En fut-elle délivrée ? Ses cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de Sa sensualité fouaillée. Elle est ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Elles basculèrent, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui les emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, des gouttes de sueur perlant sur ses seins, elle s'abandonna aux désirs saphiques insatiables de la jeune fille. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sous le fouet. Elle appartenait plus que jamais à Juliette. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur amour était scellé à jamais. Se laisser prendre à l'envi, fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Juliette entendrait, bientôt, encore une fois Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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bonjour à vous toutes et tous. A mon tour je me lance pour partager mes expériences qui sont assez réduites.
Très jeune, j'avais des fantasmes sexuels avec des garçons. J'étais à cette époque plutot gros avec une petite poitrine que certains de mes amis s'entrainaient, j'aimais mettre un maillot de bain féminin ce qui m'excitait grandement. j'allais jusqu'à me sodomiser avec un manche à balais que j'avais coupé et fixé sur une planchette ce qui me permettait de m'enfiler tout seul. Un peu plus tard, j'ai eu mes premières expériences avec un ami plus agé. Celui ci me traitait comme une fille. au début, sans pénétration sauf un doigt ou deux avec sa salive, des caresses, je prenais maladroitement son sexe en bouche, il m'a appris à bien sucer une verge. Lui aussi aimait me faire porter un maillot de bain et il a introduit peu à peu les liens et le martinet. Jusqu'au jour ou il m'a sodomisé pour la premiere fois. Bien qu'il ait été assez délicat, j'ai eu mal , il était plutot bien monté et je n'ai pas apprécié cette pénétration. Pourtant, peu à peu je me suis détendu puis ouver à sa queue et j'ai ressenti du plaisir à me faire sodomiser et enfin à en jouir. j'aimais qu'il me traite comme sa petite femelle, qu'il me fesse ou me donne le martinet. Notre relation a duré quelques années ou je lui étais totalement soumise. En rentrant du lycée, je le retrouvais chez lui pour le satisfaire comme il le voulait. Parfois il venait me chercher au lycée et je le sucais dans sa voiture dans un coin discret, la campagne est bien faite pour ça. j'ai passé de très nombreuses heures nu à ses pieds, attaché ou pas, attendant son bon vouloir. Quand notre relation a pris fin jétais devenue une bonne petite salope comme il aimait me dire et ce plaisir d'être traité ainsi, même s'il a un temps c'est mis en sommeil, ne m'a jamais vraiment quitté
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Ciel d’un bleu saphir sans le moindre nuage,
Sable blanc agate et galets gris sur la plage.
Eau vert jade, petit vent marin caresse la mer
Vagues, écume blanche s’affalent sur la terre.
Oiseaux pêchent, plongent, d'un vol gracieux,
Attrapent et emportent leurs butins précieux.
Bercé par le petit souffle et le bruit des vagues,
Somnolent, couché sur ma serviette, je divague.
Avec à mes côtés, femme brune, mince et élancée,
Ses cheveux cachent ses seins pulpeux et galbés.
Magnifique vallon au bois sacré complètement rasé,
Jambes divinement musclées, légèrement ecartées.
Sur la plage, pas d’ombre, il fait encore très chaud,
Nue dans le soleil à la Prévert, elle se lève et va à l’eau.1
Du sable est collé sur ses fesses en forme de cœur,
Elle les balances en marchant, l’image du bonheur.
Femme pensive, affichant sa nudité et qui flotte sur l’eau
Magnifique créature, beauté divine qui va au fil de l'eau.
Bras qui répètent les figures, jambes ecartées puis serrées,
Maintenant toute sa beauté est vaguement immergée.
Revenue vers la plage, allongée elle s'appuie sur ses mains,
Profitant des vagues, elle joue et affiche un sourire coquin
Ses seins lourds, larges et ronds, sont gentiment ballotés,
Clapotis plaisant entre les jambes qu'elle maintient écartées,
Chute de reins rêvée, fesses brunes affichant leurs rondeurs,
Superbe tableau, triomphe de la beauté, ode à la splendeur...
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J'avoue que cela faisait plusieurs fois que je m’intéressais à ce "mobilier" BDSM. Enfin, mobilier BDSM parce qu'aussitôt l'achat envisagé, j'y voyais sur tout un moyen de tester de nouvelles pratiques de D/s (celui qui est sur la balançoire est à la merci de son partenaire, voire en est l'objet sexuel, façon poupée gonflable presque !). Au final, super acquisition mais qui ne renouvelle pas tant que ça nos pratiques sexuelles et BDSM.
En creusant ce qui est porposé en matière de balançoire dans les boutiques, j'ai pu me rendre compte que c'était finalement moins simple qu'il n'y semblait que de faire son choix.
Les balançoires existent sous différentes formes et tailles, mais elles ont toutes un point commun : elles permettent à l'utilisateur d'être suspendu en l'air pendant vos ébats amoureux (ou pendant votre séance SM). Elles permettent ds variantes de positions sexuelles bien excitantes, dont la plupart peuvent être bien sûr obtenues en ayant recours aux cordes et au bondage, mais dans ce cas, 1- c'est plus compliqué 2- ca peut même être dangereux si vous vous y prenez mal.
La balançoire sexuelle de porte
Le premier type de balançoire sexuelle dont nous allons parler c'est la balançoire sexuelle de porte. (C'est la seule que nous ayons expérimenté en profondeur, hormis un autre test en club libertin)(enfin, c'est la seule pour le moment, car je suis très tentée par une de suspension).
Comme le nom l'indique, les balançoires de porte sont conçues pour être suspendues au-dessus d'un cadre de porte. Les balançoires de porte sont une excellente option pour les personnes qui veulent essayer une balançoire sexuelle mais ne veulent pas investir dans un meuble BDSM plus permanent. Elles sont également faciles à monter et à démonter, ce qui en fait un bon choix pour les personnes qui vivent dans de petits espaces ou qui veulent pouvoir ranger discrètement leur balançoire
L'un des inconvénients des balançoires de porte est qu'elles ne sont pas aussi solides que d'autres types de balançoires, elles peuvent donc ne pas être en mesure de supporter le poids de certains utilisateurs. De plus, les balançoires de porte peuvent endommager les cadres de porte si elles ne sont pas utilisées correctement, il est donc important de suivre attentivement les instructions si vous ne voulez pas faire des dégâts.
Le processus d'installation de la nôtre est assez simple, et il n'y a pas besoin ni outils ni marqueurs permanents ! Il y a 4 sangles réglables (2 pour chaque jambe) ainsi que 2 tubes qui se calent en haut de la porte quand elle est ouverte. Les tubes sont bloqué par la fermeture de la porte, et voilà, c'est prêt pour le jeu. Ca se monte vite, mais ca se démonte donc vite aussi, ce qui est très appréciable (si belle maman vient diner le dimanche midi).
La balançoire BDSM suspendue au plafond
Un autre type de balançoire sexuelle est celle qui s'accroche au plafond. Les balançoires suspendues au plafond sont assez similaires aux balançoires de porte, à ceci près qu'elles sont conçus pour pour être suspendues à un crochet ou un python, à une poutre de soutien (pour ceux qui ont la chance d'avoir une demeure qui en a) ou encore à une autre structure solide de votre chez vous. Avantage, dans l'absolue, c'est beaucoup plus solide (si le montage est fait correctement !) et peut donc supporter davantage de poids. On ne va pas se mentir, pour les personnes costauds, c'est probablement la solution à privilégier. C'est ce type de balançoire que l'on trouve dans les clubs libertins ou les clubs SM (et chez les dominatrices disposant d'un donjon).
Les balançoires de plafond offrent davantage de possibilités en matière de pratique de suspension et de sensation. Avec une balançoire au plafond, vous allez pouvoir explorer des positions sexuelles "ouaaah" (du genre tête en bas) et des sensations que vous ne pourrez pas avoir avec une balancoire de porte (être prise sur une balançoire de plafond c'est profiter d'une amplitude de balancement importante, qui rendra les pénétrations divines) ! La balançoire sexuelle de plafond, si elle est plus cher est un général un produit bien mieux fini : les matériaux sont en général de meilleur qualité (on en trouve en cuir alors que les balançoires de porte sont plutôt en nylon) et elles sont plus confortables car davantage rembourrés, là où les balançoires de porte sont plus "cheap".
Néanmoins, la balançoire BDSM de plafond ont un inconvénient majeur : ce peut être compliqué à monter (si on veut le faire bien et ne pas se casser la figure pendant les ébats). Installer un python qui tienne la route (et surtout le poids des membres du couple ...) demande du matériel et un minimum de savoir faire. De plus, cela implique de percer votre plafond : ça laisse des traces et ce n'est pas forcément très discret d'avoir un anneau fixé au plafond de sa salle à manger ! Pas simple d'expliquer à belle maman la présence d'une balançoire, ou à tout le moins d'un python d'accrochage !
L'apport de la balançoire sexuelle dans les pratiques BDSM
Nous avons pratiqué la balançoire une fois en club libertin (dans une relation sexuelle vanille donc, cela nous a permis de voir d'autres couples plus expérimentés faire l'amour en utilisant les possibilités de cet "accessoire"), et sommes équipés d'une balançoire de porte pour nos jeux BDSM à la maison.
L'intérêt de la balançoire BDSM est à découvrir par chacun par rapport à ses pratiques et à ses fantasmes, et une partie du plaisir offert par ce type de jeu est justement d'imaginer des supplices (doux ou durs) pour sa partenaire.
Nous avons aimé la balançoire comme alternative au bondage (que balançoire et bondage ne soit pas incompatibles, vous pouvez très bien utiliser les cordes et la balançoire conjointement !). Il y a un vrai plaisir pour le couple, telle (moi) de se sentir écartelée et offerte, et le cuni ou la pénétration (et les ondulations/balancements qui l'accompagnent) sont sublimes. Et celui ou celle qui est immobilisée va pouvoir être cravachée, fouettée, pincée à loisirs.
Le côté exhib de la position imposée à celle ou celui qui est suspendue pimente un peu plus ces instants. J'étais accrochée, jambes écartées et mains contraintes quand chouchou s'est mis dans la tête de faire des photos. Super excitant !!!
Scabreux mais nous avons pu tester des positions type tête en bas. Cela fait tourner la tête a plus d'un titre, mais on doit avouer que la partie de rigolade pour parvenir à prendre la position a un peu tuer l'excitation initiale ...
Nous avons adorés cumulés balançoire et bandeau. La sensation de balancement couplée à celle de la privation sensorielle du bandeau est particulièrement excitante. Même si avec une balançoire de porte, le balancement est très limité. C'est ce qui nous donne envie (peut être si nous changeons de logement et que nous avons un grenier ou une cave "fréquentable") d'acheter une balançoire de plafond. Si vous êtes tentées et que vous avez la place et que vous êtes un peu bricoleur/bricoleuse, achetez directement une balançoire qui se suspend. Ou bricoler la vous même en DIY...
Ces expériences autour de cet accessoire BDSM ne changent pas fondamentalement ni notre sexualité, ni nos sensations dans les jeux BDSM, on va dire que la balançoire permet de changer d'angles et de décliner des pratiques qu'on connaissaient déjà, et dont on a pu explorer des variantes. Une confidence, mon meilleur moment avec la balançoire n'est pas une excentricité, mais une sensation d'être pénétrée très très profond. Possédée. Alors qu'en fait, les cms du sexe de Chouchou, sont les mêmes que d'habitude. Ce doit être dans la tête (oui je sais, la tête, ce n'est pas là...).
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J'ai cru longtemps m'être trompée. Encore aujourd'hui. Sirène blonde, tu t'es dérobée des années, et puis des mois encore tu as joué avec mes rêves. Le rayon bleu de tes iris a passé sur nos jours, et le myosotis a fleuri dans ma vie quand je n'y croyais plus. Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau. - Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour. Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir. - Juliette ! - Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même ! Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine. - Je croyais que c'était un jeu, Juliette. - Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie. Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère. - Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment. - Comment tu le sais ? - J'ai un amant. - Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette. - Tu sais bien que non. - Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision. Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Bientôt Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes.
Et si elle avait cherché, elle aussi de son côté ? Et si elle avait haleté dans l'ombre en brandissant, pour une brune trop absente, une cravache ? Incertitude est beaucoup dire. Etonnement serait plus juste. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésitible. J’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien.
Que le comportement de Charlotte vint d'une autorité en dehors d'elle, et ne fut pas le résultat d'une élémentaire stratégie, Juliette était à mille lieux d'y songer. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction.
On ne pouvait pas dire que Charlotte se défendit, ni se méfia. Elle était à la fois provocante et fuyante, d'une incroyable habilité à l'esquive, s'arrangeant sans jamais une faute pour ne donner prise ni à à un geste, ni à un mot, ni même un regard quit permit de faire coïncider cette triomphante avec cette vaincue, et de faire croire qu'il était facile de forcer sa bouche. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inépanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme.
Avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore lorsque la demande prend la forme d'un ordre, par une espèce de langue de flamme, j'ai été atteinte et brûlée, je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées.
Elle se prête alors de son mieux, se décontracte et s'offre sans honte, en sentant que l'anneau de ses reins se serre autour de mes doigts. La forçant à peine, je la bascule brutalement sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis. Elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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TIRE AU SORT 2 ou La revanche :
Un soir je reçois un SMS de mon 'soumis d'occasion" : Il ne regrette rien mais se demande si je n'ai pas un peu triché pour le tirage au sort de la courte paille ?
En tous cas il veut bien me revoir mais cette fois-ci comme dominateur !
Donc patientez encore un peu pour la suite, je Vous dirai tout à mon retour !
Quelques jours plus tard !
J'avais donc décidé en attendant sa convocation de me présenter en salopette blanche destroy, en dessous mon string cuir préféré et aux pieds chaussettes et baskets blanches! Rasé ou pas rasé, j'attendais ses précisions !
Je n'avais aucune idée de la date de retour!
Même pas peur ou inquiet des représailles possibles. J'irai me livrer serein & tranquille librement & volontairement offert/soumis en sachant les risques encourus !
Au fond de moi, j'espérai bien aussi une seconde rencontre et +++
Un soir je reçu mon invitation ou plutôt ma "convocation"
pour le lendemain à 10h30 !
A l'arrivée je devais poser mon sac entre mes jambes, mettre mon dos contre la porte d'entrée et attendre!
Peut-être au dernier moment, avant de rentrer un collier avec une laisse ou une chaine autour du cou pour mieux signifier mon rôle de soumis cette fois !
Contenu de mon sac : une tenue de rechange ( on ne sait jamais!) 4 bracelets pour les poignets et les chevilles, bâillon, bandeau, lunettes de soudeur, pompes à seins avec lubrifiant, pinces à seins, baguettes chinoises, cage de chasteté, rasoir avec mousse à raser et diverses cordes de couleurs différentes.
J'attends donc après avoir sonné et entend une musique classique à l'intérieur.
Dans mon excitation, je commençais déjà à "bander" sous mon string cuir, je ne sais pas trop combien de temps j'ai ainsi attendu. La musique est devenu plus forte lorsqu'il a ouvert la porte, pris mon sac et aussitôt refermer la porte!
J'attendais de longues minutes à me donner envie de repartir, mais je ne pouvais plus repartir sans mon sac d'accessoires.
La porte s'ouvre à nouveau et je sens un bandeau sur les yeux et la pose de bracelets aux poignets pour me lier les mains dans le dos! Ensuite, le collier avec la laisse va me tirer à reculons à l'intérieur.
De nouveau un long temps d'attente, je n'y vois plus rien, ma salopette tombe sur mes chevilles et de suite une longue séance de fessées en cadence sur la musique du Boléro de Ravel!
Je sens mes fesses qui doivent commencer douloureusement à prendre des couleurs tandis que mon sexe doit probablement déborder de mon string cuir noir!
Les fessées s'arrêtent avec la musique et ses mains me caressent sensuellement et voluptueusement, de haut en bas, en insistant sur mes fesses et mon sexe, j'allais oublier aussi mes seins vigoureusement tripotés!
Les bracelets de mes poignets sont séparés et tendus fermement écartés, tandis que mes chevilles entravées se retrouvent aussi écartées!
Ainsi exposé, la situation m'excite un maximum lorsque la musique reprend avec les fessées en continu, puis enfin un temps de repos dans cette même position !
Mon Dominateur enlève facilement mon string et je suis désormais exposé en croix tout nu!
Mon sexe est trituré joyeusement et lubrifié, je sens que la cage de chasteté ne devrait guère tarder à prendre sa place favorite. En effet après plusieurs essais délicats, je sens bien l'emprise de mon sexe dans la cage que j'avais apportée!
Toujours pour bien signifier qui est désormais le MAÎTRE, je sens un mordillement voluptueux et bien sensuel sur un puis l'autre sein ! Sûrement ( puisque je ne vois rien!) je devine la pose de ces fameuses baguettes chinoises, de plus en plus serrées!
Toujours écartelé et totalement nu, salopette sur les chevilles, au bruit de la tondeuse je comprends que je vais être rasé, malgré le bandeau, remplacé momentanément par une main bien chaude!
Je sens tomber sur ma poitrine le peu de cheveux qui me restait et me retrouve désormais avec une cagoule cuir aveuglante et bien serrée sur la nuque qui a remplacé le bandeau rapidement !
Les bracelets aux chevilles sont un plus écartés et il me semble que Mon Dominateur enlève ma cage de chasteté pour probablement avec la mousse à raser trop excitante me rendre totalement imberbe de la tête aux pieds. Après le sexe, le derrière, mes aisselles sont aussi passées au rasoir !: c'est terriblement excitant !
Je trouve particulièrement beau un corps rasé de frais : c'est sensuel & sexy!
Pour nettoyer le reste de mousse, je sens une vaporisation générale sur tout mon corps et l'eau tiède coule sur mes jambes écartés et inonde ma salopette, puis mes baskets !
Tentative à nouveau bien délicate pour reposer ma cage de chasteté sur mon sexe en pleine érection. Je crie lorsque je sens la friction de glaçons sur mon sexe et mes seins : cela ramollit bien mon sexe mais excite encore plus mes seins encore bien pincés à la limite du supportable! ( mais n'est-ce pas ce que j'étais venu chercher ?)!
Combien de temps vais-je encore devoir supporter l'écrasement de mes deux seins ?
J'essaye de penser à notre première rencontre pour évacuer la douleur.
Comme si mon Nouveau MAÎTRE avait compris ma douleur, celui-ci desserre et enlève les baguettes chinoises de mes seins pour aussitôt être généreusement lubrifiés et palpés. Personnellement, la lubrification est un signe évident de la pose de pompes sur les seins!
Aucun doute sur la suite, généreusement massés les pompes commencent à aspirer lentement, surement et douloureusement mes seins déjà douloureux!
Toujours en croix, le sexe en feu dans sa cage, les seins qui ont du triplés de volume avec les pompes, je ressens à nouveau un liquide chaud qui part de la cagoule pour descendre remplir mes baskets : c'est à la fois agréable mais insuffisant pour oublier mon écartèlement, mon sexe en rut et mes seins en éruption !
Combien de temps, suis-je resté ainsi dégoulinant et muet de souffrance et de plaisirs de savoir que ma douleur est partagée et désirée, souhaitée par mon partenaire !
De temps en temps, un gémissement sort de ma cagoule et je ne sais plus trop si c'est de plaisir ou de douleur!
Une fois de plus, je me retrouve nu écartelé et le sexe en furie avec mes seins probablement triplés de volume.
La musique revient et je sais ce qui va suivre : fessées sensuelles à gogo !
Mes seins doivent remplir totalement les pompes et mon sexe aussi a bien envie d'une libération salutaire!
A nouveau, je sens un dégoulinement très sensuel d'eau chaude sur mon corps imberbe, et enfin avec précaution, je sens mes seins libérés de leur aspiration et mon sexe libéré de sa cage !
Mon nouveau Dominateur semble prendre un malin plaisir à me voir ainsi exposé et je ne sais pas trop combien de temps je ne pourrai retenir une éjaculation!
Cette fois ce n'était plus de l'eau qui suintait de ma cagoule, mais plutôt un genre d'huile de massage bien chaude, bien agréable qui descendait le long de mon corps jusqu'au chaussettes!
Presque aussitôt les mains de mon MAÎTRE parcourent sensuellement et vigoureusement l'ensemble de mon corps, toujours exposé nu, en croix!
Ses mains passent de mes seins encore bien gonflés, à mon anus, reviennent vers mon sexe en rut bien provocateur et parcourent ainsi la totalité sensuellement , perversement et virilement.
Mes fesses ne sont pas oubliées non plus comme mes seins encore sensibles.
Je n'en peu plus de douleur mélangée de plaisir avec une sensualité subtile.
Assez vite je sens mon sexe avalé et sa langue lécher mon bout de sexe en furie !
Puis sa bouche passe à la raie de mes fesses et je sens sa langue rentrer délicatement dans mon anus trempé, puis revient à mon sexe en alternance !
Je n'ai jamais pu, su, ni voulu résister à une fellation surtout si en même temps mes seins sont vigoureusement triturés !
Mon sexe se durcit dans sa bouche et je ne sais ni veux résister ni repousser mon éjaculation, tant attendue et souhaitée!
Sous l'excitation, je ne rappelle même plus avoir joui dans sa bouche ?
Cela sent la fin et je sens ses mains étaler mon sperme sur mon corps et plus particulièrement sur mes seins encore bien douloureux.
La séparation entre la douleur et le plaisir est parfois bien délicate!
Une fois de plus je viens d'en faire l'extraordinaire expérience !
Encore immobilisé nu en croix, cette fois ci je suis abondamment lavé, puis essuyé vigoureusement !
Enfin mon NOUVEAU MAÎTRE me détache de mes liens aux pieds et aux chevilles écartés, bien impossible désormais de remettre ma salopette : elle est trempée !
Mes seins sont encore très douloureux & sensibles !
Je remercie mon complice de cette formidable séance et lui rappelle que je suis toujours partant pour une troisième rencontre à définir !
Je lui redis Merci avant franchi la porte, j'entends "Au revoir" bien discret à mon gout!
Si je dois revenir ( je l'espère !) en MAÎTRE bien sur (même si je dois tricher au tirage au sort!) je lui réserve déjà dans ma tête bien des surprises : lavement interne, douche dorée, Humbler, bondage, momification, suspension, à genoux, écartèlement, etc ...
Bien sur, la prochaine fois, Mon SOUMIS une fois immobilisé et cagoulé, je devrais pouvoir visiter l'appartement pour trouver les opportunités multiples possibles à cette troisième séance !
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https://youtu.be/OZbagrROhn0
Je me languis déjà depuis plusieurs jours de participer à mon tout premier munch.
Je n'ai pas d'appréhension particulière. Au contraire je suis persuadée que cela va super bien se passer.
Maître a posé pleins de questions aux organisateurs. Je n'en n'ai pas le détail et je m'en fou. IL a l'expérience. IL a fait ce qu'il fallait. Donc j'ai pas à m'en poser.
Si IL etait au dessus de mon epaule à me lire, IL me dirait : "aphy, une soumise doit se poser des questions et ne doit pas obéir aveuglément..... et puis libre arbitre....consentement... premier munch"
Oui Maître bien sur que Vous avez raison. Mais quand je suis en confiance, je vais pas me poser des questions tout le temps. Je lâche l'affaire et ça fait du bien. C'est pas ça l'objectif d'une relation D/s ?
Et là IL doit être derrière son écran à s'embrasser le poing "c'est ma victoire✌️" et IL sourit.
Une heure de route, arrêt à la boulangerie pour avaler un truc. "Tiens, je prendrai bien une tarte au citron pour là bas. Ou deux, on va être nombreux" "Hey ma pauvre fille, t'es pas invité à un week end en famille. Maître a payé pour avoir les entrées. Tu vas pas au restaurant avec ta bouteille de vin. Ben là c'est pareil". "Mouai, la petite voix, sauf que là c'est pas un truc purement commercial."
Bref me voilà enfin avec mon Maître. IL me demande de marcher devant. IL le fera souvent dans la soirée alors que c'est pas du tout ce qu'IL m'a appris. Quand c'est pour mater mes fesses dans l'escalier, je comprends mais pour le reste... bof passons.
C'est parti mon clicli :
Je me présente aux personnes déjà là. Par mon prénom de baptême. "mais qu'elle idiote ! c'est mon nom de soumise qu'ils ont besoin de connaître." Je réalise, je suis encore en mode "Vanille". J'arrive direct du travail, avec ma tenue de ce matin. J'ai un métier de contact et de découverte de mon interlocuteur. Je suis encore dans ce mood là. Boh pas grave. Aphy dans le civil ne se fait pas appeler de la même façon mais n'est pas différente de la aphy soumise. Je vais finir de passer en mode soumise doucement. L'essentiel est de rester moi même et tant pis s'il y a des maladresses. Elles ne sont pas volontaires, pas connues. Je suis encore novice et mes maladresses jamais faites dans l'intention de faire du mal.
Quand à ceux qui jugent sur le strict protocole, si il y en a, et qui ne prendraient pas le temps de m'expliquer, ben voilà c'est réglé. Personne ne perdra son temps.
Des sourires sur tous les visages, c'est agréable. Je repère 2 ou 3 Dom. Rien qu'à leur facon d 'être assis dans le fauteuil, ils en imposent. On sait de quel côté ils sont. Je trouve ça dingue qu'on les devine Dom juste en les regardant. Ils occupent pleinement l'espace de leur fauteuil sans être avachi, tout en ayant une posture ouverte et une visage doux, serein.
Très vite j'entends des jeux de mots. Ah si en plus on peut jouer avec les sens des mots....ça va me plaire.
Quelques cartes de visite. Un book d'une soumise qui travaille le cuir. C'est très joli ce qu'elle réalise et très pro aussi. J'adore ce qui est artisanal et manuel. Et je reconnais que son travail a beaucoup de valeur.
Le Maître des lieux et sa soumise nous font visiter les deux gîtes, nous parlent de leurs projets, de leur parcours.
Je me sens bien là. J'entend sans écouter les conversations, regarde la lumière, les expressions de visage, les odeurs, dehors, les arbres, les oiseaux, des gens qui rient.
Je me sens à la fois indépendante, en autonomie et à la fois rassurée par la présence de mon Maître. Je sens bien qu’IL n est pas loin. IL me laisse faire au naturel et doit sûrement être en train de m'étudier.
C'est l'heure de la douche. Hhhhhhaaaaa j'adore ce moment. Ce moment où je lave mon Maître dans tous ses recoins. Hey hey, pas folle la guêpe, un bon prétexte pour le tripoter. Mais aussi parceque c’est le moment où mon quotidien se détache mon corps avec l'eau brûlante. C'est le moment où j'enfile la tenue de soumise choisie par mon Maître. Où je me maquille, me coiffe. Où je m'affirme comme soumise... Et au passage une petite fellation pour Mon Maître.
La nuit est tombée sans que je m'en aperçoive. En fait tout se passera dans cette soirée avec un naturel et une fluidité étonnante. Je suis bien là à discuter avec ce petit groupe d'une dizaine de personnes.
https://youtu.be/x9g7TJnJk48
Quelques uns jouent du fouet, sans soumis(e) au bout du cuir d'abord. Un fouet très très longs, apparemment difficile à manier. Mais il élague très bien les branchettes alentours.
Il y a aussi un martinet à ventouses. J'aime beaucoup l'idée. Si Cthulu avait un martinet, il en aurait un comme ça c'est sur. Fouet et martinet ont été réalisés, sur commande, par la soumise dont j'ai feuilleté le book tout à l'heure. Quel boulot. C'est toujours plus parlant quand l'objet à une histoire quand on sait qui l'a réalisé.
Un Dom teste le martinet ventouse sur sa soumise. Au bout d'un moment, Maître et moi entendons clairement le safe word de sa soumise. Bien sûr le Dom s'arrête aussitôt. "Tu as entendu aphy ?" "Oui Maître" comme pour me dire : "tu vois, tu peux l'utiliser ton Safe Word, c'est normal".
Pour l'instant je n'en n'ai pas eu besoin. Maître est suffisamment à l'écoute et dans l'observation pour s'arrêter quand il est temps. IL me questionne souvent pour savoir si ca va. Je pense que le fait de LUI dire simplement "j'y arrive plus" peu suffire pour l'instant. IL n'est vraiment pas du genre à abuser ou à se laisser emporter. Si c'est le cas, se sera vraiment pas intentionnel ni conscient. Je garde le safe word pour ce possible dérapage.
Les poignets des Dom sont échauffés. Ce nouveau long fouet intrigue tant les soumis(e)s que les Dom. Le Maître des lieux a l'air de s'y connaitre en fouet, et son nouveau jouet de plus de 2 metres n'a pas l'air si simple a manier. Sa soumise prend place. Une deuxième ne se fait pas prier pour s'enlacer avec la première. Il y a quelques grimaces de douleurs mais très peu. Le but de leur Maître est d'enrouler le fouet autour d'elles sans faire mal, comme une caresse presque. Y a bien eu un ou deux loupés mais très peu globalement, et puis c’est le jeux ma pauvre Lucette... hum Intéressant. Ça laisse à réfléchir. Ca demande au Maître une grande maîtrise de l'objet mais ça le dédiabolise. Et hop il sort de la trousse à outils de punition à côté de la badine et de la tige de kevlar et vient se ranger du côté des jouets pour plus tard quitte à morfler un peu.
....Je m'imagine quand je serai grande.... avec Maître qui apprend sur moi à jouer du fouet comme ça. Je pense qu'IL aimerait. Il en a déjà joué avec d'autres soumises. Si IL pouvait devenir encore plus Maître en s'exerçant sur moi.... IL l'est déjà mais au fur et à mesure qu'IL me fait progresser, IL doit bien évoluer lui aussi...non ?
Mouais je fais maline, mais quand j'aurais goûté de sa morsure, je risque de moins rêver.
Un gourmand demande à tester. On aurait dit qu'on autorisait un diabétique à manger une part de gâteau. Il en salivait du regard. Le voilà sous le fouet du Maître des lieux. La vache il encaisse ! C est pas tant à être enroulé qui lui plaît mais bel et bien la douleur du fouet. Le Maître y va crescendo. Et il encaisse toujours. Impressionnant. Et je suis pas la seule à être impressionnée.
Le Maître lui demande a plusieurs reprise si ça va. Oui il veut continuer. J'observe. Il kiffe.
C'est comme si chaque coup lui permettait de se reconnecter avec lui même. C est mon interprétation. Au final, de mémoire, c'est le Maître qui n y tiens plus. Pas par faiblesse, mais parceque le fouet est lourd et que ça fait un bon moment qu'il joue avec. Entre l'échauffement, les soumises, ce soumis. Et puis le soumis bientôt ne tiendra plus. Franche accolade entre les deux homme. Voir ces deux hommes dans les bras l'un de l'autre me fait penser à un mini aftercare. Une façon de se rappeler qu'on est copain et qu'on s aime bien. Comme deux potes qui se tapent dans le dos. Une façon de se dire "on a bien jouer, t'as été fort"
https://youtu.be/Xi2Mu9KKA_g
Nous discutons avec un couple charmant . Madame Domine, monsieur se soumet. Ils nous racontent une mauvaise d expérience d 'un munch. J'écoute, apprend, observe. Je me rends compte que beaucoup de Dom femme ou homme m'ont donné des conseils, m'ont expliqué à chaque fois que j ai dit. "Je ne sais pas ce que c'est, je ne connais pas." En fait tous... J'adore cette simplicité, cette fluidité.
Je me surprend à penser que ce couple là est bien assorti. Ils ont l'air de se compléter parfaitement. Les deux sont calme, serein. Chacun sait comment compléter et équilibrer l'autre. Plus tard le soumis reviendra avec le dos paré d'aiguilles de différentes couleurs. Comme un tableau. Comme le travail d'une dentellière. Elle explique qu'il y a deux étapes. La dépose compte autant que la pose. Et c est en écoutant son soumis qu'elle l'a compris.
J'aurais aimé les voir (sachant qu'ils ont pratiqué en presence d'autres personnes) mais je ne peux pas tout découvrir d'un coup. En tout cas j'aimerais les recroiser même sans aiguilles. Leur personnalité m'a beaucoup plu.
Pour changer des aiguilles mais toujours dans le dos, une autre soumise est apparue tout à l'heure. Son Dom lui avait posé des percings avec des petits anneaux dans le dos. Un fin ruban violet lacait les anneaux entre eux. C'est son regard à elle qui m'a plu surtout. Elle était fière d'être parée ainsi. A même la peau. Le regard brillant, encore un peu dans la lune. Elle explique qu'elle n'a pas réussi à supporter la douleur pour faire plus d'anneaux. Mais déjà comme ça c'est super beau. Il sera toujours temps d'en rajouter plus tard. .... je me trompais c'était de l'éphémère. Son Dom va s'occuper de la dépose aussi. Je crois comprendre que c'est son metier Tatoueur perceur. Il explique la cicatrisation. Elle explique la douleur.... et qu'elle en a qu'elle garde aussi. Elle nous montre les anneaux qu'elle porte sur son sexe.
Tiens ça m'interpelle. Impensable pour moi de faire un percing aux tetons mais à cet endroit.....
Maitre m'emmène dans le gîte. Rez de chaussée, à gauche. Madame se regale d'un cunilungus. Ca doit être une Domina. Un(e) Dom ne pratiquera pas ça sur son ou sa soumis(e). La scène reste intime, par respect je détourne mon regard qui s'est égaré là.
A doite, séance d'impacts d une soumise au pilori. La soumise au dos lacet. Elle exprime sa douleur. Enfin sa douleur ? Au fur et à mesure que les impacts s'enchaînent, on dirait qu'elle s'habitue. Qu'elle transforme la douleur en plaisir. Et elle prend beaucoup de plaisir. Elle l'exprime avec ses gémissements, ses râles. En se tortillant aussi.
Ah ben moi qui croyais qu'il fallait rester le plus immobile et silencieuse possible. Je constate l'inverse, et ça me rassure. Je suis plutôt expressive. Et ça aide justement à gérer la douleur.
Mais qu'est ce qui a bien pu me mettre cette idée de l'immobilisme et du silence en tête ? Ça n'a jamais été une consigne. Je me suis foutu ça dans le crâne toute seule. Mon premier "Dom" insistait beaucoup sur l'esthétique de la posture. Je me suis autoconditionnée pour ne pas gigoter et gâcher la position en exprimant ma douleur physiquement. Et par extension j'en ai conclu ne pas exprimer ma douleur tout court y compris à l'oral. Bref je me suis autoformatée de travers pour le coup. Bon ben voilà, c'est capté, y'a plus qu'à corriger.
Je repose mes yeux sur la facon dont elle exprime sa douleur-plaisir. Sur les mouvements de ses jambes. Son Maître prend une latte en bois, genre un bout de sommier ikea, et pause aussi un paddle clouté à côté. Je m'imagine à la place de la soumise qui se tortille deja bien. Ah non j'y arriverai pas, trop tôt, trop d'un coup. La badine me fait deja peur, je suis pas prête pour les planches sur mes fesses. Elle kiffe, il maîtrise. Mais je sens que ça m'angoisse. Je préfère sortir. Maître me suit. "Vous pouviez rester Maître" "non, je reste avec toi. Qu'est-ce ce qu'il y a aphy?" [....] "tu as bien fait de sortir. Viens maintenant, montes"
https://youtu.be/kFr8SdOS5ic
Me voilà au premier étage face à une croix de Saint André. Sourire au coin des lèvres. Je devine la suite, ravie. Maître commence à m'attacher les poignets, puis les chevilles. Je ne sais plus ce qu'IL a bien pu me dire, sûrement du "ça va?", du safe word, t es OK ?.... moi j'etais déjà prête à le laisser faire. En mode anti-reflechissure. J'apprends pas, observe pas, juste j'écoute mon corps. Cette fois c'est lui qui s'exprime, qui prime et pas mes neurones. Ca lui arrive tellement rarement que je lui laisse sa place.
Sentir la cravache qui me chauffe la peau. Le dos, les fesses.... puis arrive le martinet, enfin. Je l'adore cet instrument. Maitre le sait. Pas de douleur avec lui parceque Maître me prépare à le recevoir. Si c était direct à froid pas sûr que je réagirais pareil. Mais là, il chauffe, enveloppe, picote, il réveille mon corps qui se sent vivre. Enfin le cerveau se tait. Seul le corps est acteur. Et il a l’impression qu'il ne peut agit puisque pieds et poings liés. Alors il se laisse faire. Maître me parle. S'assure que tout va bien. Le cerveau répond en pilote automatique. Simplement. Une reponse reflechie demanderai trop d effort. La seule chose qui me rappelle à la réalité, c'est mes foutus escarpins. Ce n'est pas la douleur qu'ils me font aux pieds qui me gène. Mais j'ai l'impression de ne pas être ancrée au sol. Qu'il faut que je contrôle encore la position de mes pieds pour ne pas me tordre la cheville et tout envoyer valser.
Maitre me détache. IL veut me faire tester le pilori. Petit problème technique de l'instrument qui se déboite.
Ha crenon de non, c'est pas le materiel qui commande ! Maître veut tester le pilori, alors on va tester le pilori ! C'est bien ce qui se passe dans ma tête à ce moment là. Mais avec le recul, je dois bien avouer que moi aussi j'ai envie de tester. Hop me voila une corde à la main, deux noeuds, je m'enfile fissa les poignets et la tête dans le machin et voilà, on en parle plus du soucis technique. Manque plus que le petit bruit du micro-ondes qui annonce que le plat est chaud, y a plus qu'à ...
Revoilà mon pote martinet. Je réalise qu'entre temps j'ai demandé l'autorisation de lever mes escarpins. Je suis pieds nu et je kiffe pleinement.
Aucune notion du temps. Je m'apercois de ma jambe gauche tremble, sans raison. C'est curieux comme sensation. J'aime bien . Mon corps s'exprime. J'ai envie de le laisser faire. Et puis ca veut dire que les gestes de mon Maître lui font beaucoup d'effet. Mon Maître est bien. Je l'ai bien choisi et lui aussi, j'espere, ma bien choisi. MERCI. Maître décide qu'il faut s'arrêter. IL a raison, je sais pas si j'aurais fini par dire stop tellement j'étais déconnectée. J'aurais fini par capter qu'au moment où la douleur aurais été insoutenable. J'étais plus en capacité de pouvoir distinguer les nuances.
Mais je suis comme ça aussi dans le civil aussi. Un seuil de douleur assez haut. Ca va, ça va, ça va, hop ça va plus. Des seances comme ça vont peut-être me permettre d'enfin écouter mon corps et d essayer de le comprendre et repérer ses nuances.
Là il est temps de le reconnecter au cerveau.
La tête sur les genoux de Maître emmitouflée dans mon manteau. Le plaisir de la chaleur des impacts et du manteau. Le plaisir d entendre la voix de son Maître. Je n'écoute pas ce qu'il me dit. Juste le plaisir de sa voix, comme une musique. IL pourrait me lire le discours de le méthode, l'histoire d'ernest et célestine ou me raconter l'importance du charbon de bois pendant la guerre de 14 18...ça me ferait le même effet.
Je suis en boule, juste du chaud, une mélodie... je suis bien. Petit à petit les mots viennent se coller à la partition orale de mon Maître. Puis enfin le morceau qu'IL joue prend corps. Je reconnais des phrases, des sens. Les mots exact ? Aucune idée, j'étais trop dans le coton. En substance, quelque chose comme "c est bien. Je suis fier. Je pensais pas que tu irais aussi loin...et devant d'autres personne" un refrain qui revient plusieurs fois .
Maitre encourage un couple à se lancer. Ils nous ont observé et hésitent aussi sur la croix.
La main de Maître est sur mon dos, à l endroit des impacts. Ca rajoute de la chaleur, appuye légèrement. Le même plaisir que quand on joue avec sa langue sur un aphte. Je suis encore en boule et me déplie doucement.
Le couple se lance. C'est leur première. C'est beau. Mais je suis plus trop en état de capter.
Je regarde sans vraiment regarder. En fait je m imprègne de l'ambiance. Et réalise que je fais ça depuis le début de la soirée. Ca y est le cerveau se remet en route. Il n'y a de ma part ou de celle des participants aucun voyeurisme malsain. Oui on regarde, mais pas en se cachant, pas à l insu des principaux concernés. Pas dans le but de se satisfaire de la souffrance de l'autre ou de lui voler son intimité. Ce n'est pas un acte de profit égoïste et gratuit. C'est dans le partage. "Apprends en me regardant faire, réjouis toi dans les émotions que je transpire." C'est bizarre, j'ai l'impression de retrouver l'atmosphère des cours de catéchisme quand j'étais gamine. Ah si on faisait des messes BDSM.... je me fais rire. Ca y est le cerveau est à plein régime. Des croix, du partage, une communion, des bougies... il m'en fallait pas plus.
https://youtu.be/6NhkjW9DYLw
Maitre m'entraine dans la pièce d'à côté, pour me rafraichir à la salle de bain je suppose. La pièce est occupée Ils sont 4. Une little, son Daddy à sa droite, une Maîtresse et son soumis. Le Daddy fait signe à Maitre de rester. De ce que je comprend, Il prête sa little à une Maîtresse pour une séance de fessées. La little est enroulée sur un touret, les fesses déjà bien rouges. Je suis impressionnée par le geste de la Maîtresse. Je pensais pas qu une fessée pouvait être aussi technique. Le geste est précis, vif. La pression dosée. Il s'agit d'un roulement avec la tranche de chacune de ses deux mains. Cela pourrait ressembler limite à des carresses si la pression n'était pas suffisante. la Maîtresse veille à ce que sa reste une douleur plaisir. Et va crescendo sur la pression et la vitesse. Je sens bien qu'elle est à l écoute de la little. Elle regarde aussi régulièrement le Daddy pour valider d'un regard, d'un ochement de tête si c est ok. Le Daddy acquiesse content. "Quelle couleur baby...?" "Vert" repond une petite voix étouffée "ah si ça avait été moi, ça ferait un moment que tu aurais dit orange voir rouge." "C'est tellement insupportable ?" La petite voix amusée répond "oui Monsieur" "tu tends pourtant bien tes fesses pour quelques chose d'insupportable" et il fait signe en souriant à la Maîtresse de continuer.
Elle est d'un calme, d'une agilité. Chaque geste est fluide, précis même quand elle se déplace dans la pièce . Aucun mouvement inutile. Son soumis est là pour l'assister. D'un regard, il comprend sa Maîtresse. Quand elle lui demande les deux martinets...quand elle lui demande de les désinfecter...de les aérer. Aucune fausse note. Il est fier. Ces yeux brillent. Il transpire le bonheur d'être la. Il fait tourner consciencieusement les martinets. Avant de les tendre à sa Maîtresse.
Et moi je suis heureuse d'avoir vu ça. Ces expressions sur leurs visages à tous. Sauf celui de la little, cachée derrière le touret. Mais elle aussi on sentait qu elle était bien. J 'étais comme une petite souris autorisée à regarder l'envers du décor. Trop de la chance. La little ne pouvait, vu sa position, constater les échanges entre son Daddy et la Maîtresse. Et puis elle avait autre chose à profiter. Et ils ne voulaient pas justement qu'elle voit. Les Dom tout concentrés à ce qu'ils faisaient ne pouvaient profiter pleinement du visage rayonnant du soumis et de la minutie avec laquelle il assistait la Maîtresse. Moi j'ai eu cette chance de pouvoir voir et observer tous ces détails, toutes ces préparations qui font que les 4 étaient complices. Qui servait qui ?
https://youtu.be/bKUMaibnQKU
Maitre décide qu'il est temps de les laisser ensemble. Et que N/nous devons nous effacer.
N/nous revoilà en bas, dans la tanière. Séance de shibari. Grande curiosité pour moi.
La soumise est déjà bien encordee. N/nous arrivons presque au moment où son Dom veut la "suspendre". Les nœuds sont réguliers. Les cordes enlacées doucement minutieusement. C'est joli. Je ne sais pas ce qui me plairait le plus. Apprendre à faire les nœud ou me faire encoder ?
Je réalise qu'on est tous assis autour des protagonistes. A chuchoter. Un peu comme une communion .... encore ! L idée de la communion. Je suis pourtant pas croyante. Ranges ton eau bénite, tes osties et profites ! .... heu par contre un peu de vin, je suis pas contre. Dans l'idée de communier bien sûr.
Il range ses cordes méticuleusement.
Plus tard, N/nous verrons un deuxième couple faire du shibari. Dans un style totalement différent. Ce qui compte pour le Dom ce n'est pas l'esthétique, mais bien d'accompagner sa soumise pour lui permettre de lâcher prise.
IL nous explique la sciatique de sa soumise, sa peur de la suspension.... "je ne suis pas un oiseau. Mes pieds sont bien a terre " petit à petit IL la place dans un cocon de corde. L'oblige à prendre confiance dans les cordes et dans son corps. Ce n'est pas les cordes ou la volonté du Dom qui contraignent la soumise. Mais du fait de son dos et de ses peurs, c'est bien la soumise qui prend place dans ce cocon. Et son Dom prends bien soin de l'y accompagner. Je sens bien que si ça avait été quelqu'un d'autre, jamais elle ne se serait laissée faire. Je sens bien qu’Il a pour seul objectif de la faire se dépasser mais sans la blesser. Il teste, observe, defait, renoue. Il est un genoux au sol. Le premier pied de sa soumisse sur sa cuisse. Il gère la tension de la corde et la hauteur du buste de sa soumise d'une main. Il lui ordonne de prendre place dans la corde de laisser son corps aller. Elle obéi. Il lui prends l’autre pied. Le pose aussi sur sa cuisse à lui. Whaou. Finalement elle a levé les deux pieds du sol. C 'était pas gagné. Il le lui fait remarquer. Je suis admirative. Oui les nœuds étaient pas beaux mais on s’en fou. Il a réussi à l'amener là où Il voulait. Sans brusquer juste en accompagnant. Maitre m'a beaucoup expliqué ce rôle d'un Dom. Mais là ce n est pas qu'un concept. Je peux le voir, c'est concret. Les deux pieds retrouvent le sol. Leur séance continue. Lui a l'air de s'être détendu aussi. Pourtant il est arrivé stressé d'un après-midi perso compliqué et n'était pas sur d'arriver à faire quelque chose. Ben qu'est ce qu'il arrive à faire quand il est détendu alors ?
Une autre soumise dors dans un canapé. La couverture glisse. On peut pas la laisser comme ça. Me voilà partie lui rechercher une couverture.
En fait j ai envie de faire des câlins et de distribuer des couvertures à tout le monde.
Je sens encore la chaleur des impacts sur mon corps, celle de mon manteau et j'ai envie de donner du chaud à tout le monde.
https://youtu.be/g0_dyc4IrLg
La soirée à été dense. Riche en observations en apprentissages en découvertes.
Il est temps de remettre le cerveau en sommeil pour qu'il commence à classer, digerer tout ceci. Je me réveille sous les caresses et les gestes tendre de Maître.
Le souvenir de cette soirée ? J ai passé une superbe soirée. Fait de très belles rencontres. Je me suis liée un peu plus encore à Maître. J'avais découvert dans un club echangiste que la diversité des corps était belle, naturelle , rassurante. J'ai eu la confirmation de ceci . J'ai appris hier soir que la diversité des pratiques, des relations était encore plus belle et enrichissante. J'ai été surpris par le naturel des communications, par la simplicité des échanges humains. Pas la fluidité des relations. Des couples D/s se tutoient, d'autres se vouvoient mutuellement. On était tous différents mais on était tous à notre place, dans notre élément.
Le plaisir de savoir qu on a le droit d être soi-même. Ce sentiment de liberté, de partage.
En fait y en a d'autres comme N/nous mais pas tout à fait N/nous. Et c'est ce qui les rends si intéressant. J'ai encore tellement de choses à découvrir. Et je ne suis pas seule. Même si IL a de l'expérience, j'ai l'impression que N/ous avons à découvrir. et qu'à travers moi IL va aussi apprendre.
Merci Maître pour cette soirée et un grand merci à tous ceux que N/nous avons croisé , qui ont partagé avec N/nous et j'espère que N/nous recroiserons.
https://youtu.be/r-or9APQKPo
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Quelques danses plus tard, le Président nous dit :
— Chers amis... Il y a des chambres à votre disposition. La Première Dame et moi allons nous occuper de notre descendance.
Rires... justifiés. Moi, je pense : "Faudrait que tu bandes pour une femme, petit clown !" Mais, je ne le dis pas. Il me tend la main, on quitte la pièce sous les "Et bonne nuit, hein !"
Dans l'ascenseur, il me demande :
— Ça va, tu es en forme ?
— Oui, oui, ça va, je n'ai pas trop peur... Je dois vous avouer que j'ai déjà vu le loup... et sa queue.
On rit et on entre dans la chambre... Je ne m'attends pas vraiment à une nuit de folie. Le Président met CNN. Moi, je fais pipi et je me lave les dents. Putain, qu'est-ce qu'on va branler cette nuit ? Je reviens nue dans la pièce et je vois Ron... Aah ! Là, il y a des chances que ce soit quand même la fête à mon cul ! Il m'enlace, m'embrasse, on valse... enfin, non... il est moins romantique que ça. Il m’annonce :
— Oh toi, je vais te défoncer, petite salope !
Oh ! Devant le jeune marié ! Ron ajoute :
— Ça ne vous dérange pas que je baise cette petite pute, Monsieur le Président ?
— Je t'en prie, Ron. Je l'ai ramassée sur le trottoir, elle est là pour ça.
Aah ! D'accord : on joue. Je sais jouer aussi. Je dis à Ron :
— Si tu veux que je te suce la bite, c'est cinquante dollars, cow-boy.
Mon mari me regarde, très intéressé tout à coup. Ron répond :
— Une pipe et puis je t'encule, combien ?
— Cent dollars M'sieur...
Le président intervient :
— Et l'inverse, petite ? Il t'encule et puis tu le suces ?
— C'est sale, M'sieur.
— Deux cents dollars.
— Non.
— Mille dollars.
Il est fou ! Je peux avoir l'argent que je veux, je suis la femme de l'homme le plus puissant du monde, après le Président chinois. N'empêche... mille dollars ! Je dis :
— D'accord., mais je voudrais mon petit cadeau avant de commencer.
Le Président se lève, va chercher de l'argent dans son portefeuille et me donne 10 billets de 100 $. Eh ! Ma plus belle passe !
Je suis une fille accueillante de tous les côtés, heureusement. Je relève ma jupe sur les reins et je me mets à genoux sur un divan les fesses offertes à la première bite qui passe. Oh ! Y a un passant... Une bite vient me renifler le trou du cul... au point où on en est, appelons un chat, un chat. Je tourne la tête en disant :
— Soyez gentil de cracher dessus avant, M'sieur...
Heureusement, mon "client" est un gentleman, il me crache dessus... Et puis titille mon anus avec son gland mouillé et... il entre à fond jusqu'à ce que ses couilles claquent sur mes cuisses. Ouch !
Ça passe, mon anus a une élasticité insoupçonnée, il s'est étiré au maximum pour laisser passer ce visiteur. Ron, qui fait le client, est un vrai gentleman parce qu'il me caresse la chatte tandis qu'il va et vient entre mes reins, comme le dit une chanson du siècle passé, ou dans mon cul comme j'aurais tendance à le dire. Enculée d'un côté, titillée de l'autre, je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Il y a des choses auxquelles je ne dois surtout pas penser... Et puis, hélas, j'imagine la maison de Malibu et Madame Stone fouettant les esclaves de grand matin et... je jouis... Je pousse des gémissements pour plaire au Président. Quand mon anus relâche la queue de Don, il se retire et il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Maintenant, mets-toi à genoux, tu vas me sucer.
— Oui... sauf que le nettoyage, c'est le travail de mon esclave.
Je regarde le Président en disant :
— Jojo, aux pieds ! Lèche la bite de Monsieur...
Il a l'air tout con... Alors, j'ajoute :
— Tu as cinq secondes, ensuite c'est le fouet.
Et... là, il bondit et se met à genoux devant Ron. Je crie :
— Et qu'il soit impeccable, vermine !
Vermine ! Je suis dingue, moi... ou pas, car l'esclave Jojo lèche soigneusement le gland un peu souillé par sa fidèle épouse... euh... je veux dire par son épouse. En théorie, je devrais prendre le relais, sauf que mon mari va jusqu'au bout et avale tout ce que Ron lui déverse dans la bouche en jouissant ! Dès qu'il a avalé, il cesse de jouer et il me dit :
— Couche sur le lit, Ashley !
Moi, je suis une épouse soumise, j'obéis. Il se déshabille rapidement et vient se coucher sur moi dans la position du missionnaire. Je sens un tout petit sexe me pénétrer.
Il baise rapidement, un peu comme un lapin. D'ailleurs, je le sens à peine : non seulement il baise comme un lapin, mais en plus, il jouit aussi vite qu'un lapin.
Dès qu'il a fait sa petite affaire, il se lève et va dans le lit d'à côté en disant :
— Bonne nuit, les amoureux
— Bonne nuit, mon chéri.
— Bonne nuit, Monsieur le Président.
Je vais à la salle de bains, faire une mini toilette, puis je rejoins mon amant dans son lit et je me colle à ses muscles durs... Ça, c'est un homme.
***
Le lendemain, quand je me réveille, je suis seule. Je ne les ai pas entendus se lever. Est-ce que j'ai rêvé tout ça ? Première chose, je vérifie si l'argent est toujours dans mon sac. Oui : ouf ! Je sais, c'est bête, parce que je vais avoir une allocation en tant que Première Dame. Mais bon, je garde mes réflexes de pauvre. Je m'apprête et je descends dans la salle à manger. Mon mari est avec ses amis. Ils sont occupés à déjeuner autour d'une grande table. Je dis :
— Bonjour...
Ils me regardent et me répondent... mollement. C'est pas une façon d'accueillir la Première Dame, ça. Ah, le Président se lève et il m'embrasse sur la joue en disant :
— On doit discuter de choses ennuyeuses, va déjeuner avec Summer et les gardes.
Il me traite comme une gamine pour changer, mais je préfère 1.000 fois déjeuner avec Summer et les gardes qu'avec Madame Wolf et les marchands de cochons ! Eux, ils sont contents de me voir arriver, ils se lèvent et m'embrassent. Je m'assieds à côté de Summer et je lui dis :
— Je préfère 1.000 fois être avec toi, ils sont vraiment désinvoltes avec la Première Dame.
— Tu es une "trophy wife"...
— C'est quoi, ça ?
— Un trophée. Tu es là pour la galerie. Pour qu'il se refasse une réputation. Tout ça pour être réélu...
Pas très sympa le rôle de trophée. M'en fous, je vais en profiter un maximum, puis partir avec Summer.
Une serveuse esclave attend derrière moi que je me décide. Je lui dis :
— Je voudrais des œufs au bacon, des crêpes au sirop d'érable et du café.
— Certainement, Madame.
Elle file. Le service est bien fait quand il est assuré par des esclaves. Vous remarquerez que je ne prends plus de pommes de terre avec mes œufs. Suite à une réflexion et une claque sur mes fesses de la part de Summer. C'est vrai que je dois faire un peu attention.
Je pose la main sur ses cuisses... et je lui demande :
— Le Président a un problème ?
— Un opposant noir a créé un nouveau parti regroupant les Noirs, les Hispaniques et une partie des démocrates...
Ouch ! Ça fait beaucoup. Elle ajoute :
— Il ne faudrait pas que les Chinois le soutiennent.
Elle voit ma tête qui change et me dit :
— Les Républicains et la plupart des Démocrates blancs soutiennent ton mari et il a l'appui de l'Union Européenne et du Japon.
Ça fait beaucoup aussi, heureusement...
Quand on a fini, on va au bord de la piscine avec les gardes. On se déshabille et on nage... On est nus et on s’amuse tandis que les autres discutent de stratégie politique. Après avoir nagé, Summer plonge et moi je saute du bord, oui je sais le faire ! Je vais me mettre contre elle et je lui dis :
— Les histoires avec cet opposant, ça m'angoisse. Tu as déjà imaginé si... euh... le Président est renversé ou pire...
Elle lève les yeux au ciel, je continue :
— Je t'en prie, sérieux, si ça tourne mal, j'aurai le temps de m'enfuir ?
— Ce sera difficile.
— Et toi ?
— J'aurai sans doute le temps.
Je prends ses mains dans les miennes en disant :
— Tu me sauveras ?
— Oui, j'aurai besoin de toi pour laver mes culottes... Même s'il me faut un moment pour y arriver.
Et là, j'ai une idée. Oui, ça m'arrive. J'ai confiance en elle. Je sais que ça paraît fou, mais c'est comme ça. Je lui dis :
— Je vais te donner de l'argent, tu le mettras sur un compte à l'étranger et si j'ai des problèmes, tu t'en serviras.
— Et si je le garde pour moi ?
— Tu es la seule personne en qui j'ai confiance. J'ai 1 000 $ dans la chambre, je te les donnerai.
Elle ne me demande pas comment j'ai ça et d'un côté, tant mieux. Elle réfléchit et dit :
— On pourrait ouvrir un compte commun aux îles Cayman, il faudra être deux pour retirer l'argent.
— Toi seule, c'est mon assurance... je t'en prie.
— D'accord.
Ouf ! Je me sens mieux !
Vers une heure, on mange et puis on part pour Washington. Je vais découvrir la Maison-Blanche...
Summer ne vient pas avec nous, elle va s'installer à Malibu, dans notre villa pour un an.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Ma Domina...
Ma Domina est la plus dur.
Elle m'a apprit la perte, le chagrin, la peine, la tristesse, le deuil, le renoncement, la douleurs psychique et physique, la déception, le désespoir, la mélancolie, l'oublie, le dénie, la colère, la rage, le silence, la solitude, le manque, le vide, la chute, la honte, la souillure, les plaies, les cicatrices, l'absence...
Elle me domine sans repos.
Elle me mets à genoux la face contre terre.
Elle me piétine, me gifles, me griffe, me mord, m'écrase, m'étouffe...
Elle ne tolère pas de safe word elle n'a pas de limite et ne respecte pas celle de ceux qui lui appartiennent.
Elle fait comme bon lui semble elle peut être douce elle offre aussi de beaux moment de beaux souvenirs elle peu sublimé illuminé et tout reprendre. Elle soumet tout le monde.
Ma Domina c'est .....La vie
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Lundi
Petit clin d’œil à la journée d’Halloween, une fois n’est pas coutume. Il y a d’autres rendez-vous que nous ne manquons jamais. Celui-ci n’avait jamais pris place dans notre agenda. Alors que mon collier était déjà en place depuis le matin, comme il se doit, tu me fais mettre la cagoule et tu commences par m’enfiler les manchons rouges. Je dois reconnaître que je les aime bien : ils sont le prétexte à diverses options de contrainte. Tu les serres bien au niveau des poignets, des fois que je chercherais à les enlever dans un moment d’égarement. Pour rester raccord, tu sélectionnes une corde rouge pour la suite. Tu me demandes de placer mes bras, enfin plutôt les manchons le long du corps. Tu commences alors un savant laçage en utilisant pour cela les différents anneaux fixés de part et d’autre des harnais. Bien évidemment, parvenue à proximité du sexe, tu ne peux t’empêcher d’y faire un ou deux boucles avant de remonter dans mon dos par le plus court chemin … comme d’habitude. D’autant plus que ces premiers moments ont déjà suscité une réaction certaine en moi. Ce n’est plus un sillon fessier mais un couloir à cordage ! Après une savante remontée de dos, tu poursuis de la même manière dans mon dos. Petit à petit, je sens que mes bras ne peuvent plus guère bouger. Tu conclues ton œuvre en venant relier les deux extrémités des harnais juste sous mon pénis. Tandis que je suis encore assis, tu apportes la fameuse touche « halloweenesque ». Et je dois reconnaitre que je la sens penser : les chauves-souris sont bien pinçantes lorsqu’elles atterrissent sur mes tétons. La grosse araignée est quant à elle bien plus douce, que ce soit en cache-sexe ou bien juchée sur mon épaule.
Après m’avoir immortalisé sous tous les angles, tu modifies légèrement tes nœuds pour immobiliser les harnais sur le devant m’obligeant quelque peu à incliner les épaules vers l’avant sous l’effet de la tension exercée sur les manchons via mon entrejambe. A ce rythme, un de ces jours, je risque de finir dans une position encore plus contraignante et inconfortable.
Mercredi
En ce début de soirée, tout a commencé par une simple présentation de mes derniers achats, en l’occurrence deux boxers « aérés » étant donné que le précédent a décidé de se dégrader à vue d’œil. Je les sors donc de ma valise pour te les montrer. Ton expression semble indiquer une certaine satisfaction en les manipulant. Néanmoins, tu en veux plus. C’est bien beau de les prendre en main mais cela serait encore mieux de les admirer en place sur un nounours.
On commence par le plus complexe, un ensemble en simili cuir doté de laçage sur les hanches, sur la poche avant et à l’arrière de la ceinture. Autant dire qu’il faut plus d’une paire de mains pour l’ajuster mais tu t’en sors évidemment à merveille, satisfaite du résultat une fois en place sur la « bête ». Aussitôt immortalisé sous toutes les coutures, aussitôt retiré. C’est vrai qu’il est sympa. Espérons qu’il durera dans le temps.
Tiens, tiens, tu insistes pour que j’enfile ensuite le second, beaucoup plus simple et très similaire à l’ancien modèle, à un détail près mais Ô combien intéressant pour toi, une fermeture éclair sur le devant pour avoir accès à tout moment à mon intimité. J’obtempère fissa. Je commence à comprendre que ce n’était qu’un avant-goût. Tu passes derrière moi pour nouer le petit tablier blanc qui s’accorde parfaitement au noir brillant de mon boxer. Mais tu me demandes aussi d’aller mettre mes talons. En voilà une tenue …. Là aussi, tu immortalises l’essayage.
Puis tu t’assoies sur le rebord du lit et tu m’invites à venir m’installer, non pas assis sur tes genoux mais couché en travers. Il faut reconnaitre qu’un fessier offert souligné de noir, cela doit être des plus tentant. Si j’ai bien compris, cela te manquait de m’infliger une fessée à mains nues. Visiblement tu sembles t’y éclater et moi, je n’y suis pas insensible. De temps en temps, tu reposes les paumes de tes augustes mains en laissant intervenir tes griffes, tantôt en mode « cueillette » de chair tendre, tantôt en mode griffures électrisantes qui me font tant réagir, jusqu’à un quasi ronronnement, et pas seulement sur les fesses. Mes épaules et mon dos sont à portée, ça aide pour les « cibler ».
Il est temps de laisser refroidir tes paumes en les dotant d’extensions tout aussi efficaces pour attendrir mes chairs, et éventuellement les marquer si mon corps le veut bien, sait-on jamais ! Quant à moi, je dois quitter tes genoux accueillants pour m’étendre directement en travers du lit, sur le ventre. Tu commences par harceler mes fesses avec la langue de dragon courte. Elle est étonnante dans sa variété ; tantôt elle mord dans un silence relatif, tantôt elle claque bruyamment sans trop mordre. Si, si ! En l’absence de commentaire, j’en déduis que je ne daigne pas marquer ce soir, on dirait ! Le jour où on aura compris le mécanisme, on aura fait un grand pas pour l’humanité du nounours.
Tu te saisis ensuite d’une de tes cravaches, baptisons la « classique ». J’ai bien l’impression que tu commences par en user avec la tige, si j’en crois les morsures qui se succèdent. Puis tu laisse agir la tête qui propose un contact un peu différent mais tout aussi efficace. Disons qu’il chauffe plus dans la durée. Tes assauts répétés ont fini par faire monter le thermostat. Malgré ma tenue plutôt légère, je ne risque plus le coup de froid.
Il est d’ailleurs temps de changer de face. Tu me fais pivoter pour me retrouver sur le dos, toujours en travers du lit. Je te vois venir t’asseoir à mes côtés, ce qui me surprend un peu mais je comprends assez rapidement le pourquoi du comment. D’autant plus que tu me demandes aussi de libérer le petit oiseau de sa protection, simplement en dézippant le boxer, te laissant ainsi libre accès à mon intimité. Tu viens d’attraper un élastique, chose rare, pour autant que je m’en souvienne. Ce n’est certes pas ton jouet le plus courant, n’empêche que tu le manies à merveille. Pfiou, je sens vite le contact mordant de ce bout de caoutchouc tout de même modeste par sa taille. Petit certes, mais lorsqu’il atteint sa cible, je le sens bien passer, que ce soit sur le téton ou encore un peu partout sur mon sexe. J’en gigote dans tous les sens sous tes assauts, lâchant par moment de petits cris. J’ai beau me tortiller, cela n’arrête pas tes assauts. C’est juste reculer pour mieux sauter. L’élastique a cette particularité d’agir un peu comme un moustique piquant ici ou là selon les envies de la sadico-perverse qui le manipule.
Toujours est-il que tes cibles de choix commencent à être sensibles à souhait. Ceci contribue à me rendre aussi réactif lorsque tu remplaces l’élastique par ton faisceau de paille. J’ai beau le connaître depuis longtemps maintenant, il a toujours cette apparence inoffensive … enfin tant qu’il n’entre pas en contact avec mon corps. Dès lors, dans tes mains, manié avec doigté sur une zone déjà bien sensibilisée, comment dire ? Il devient irrésistible ? J’y réagis au quart de tour, ne cessant de couiner et de gigoter. Décidément, je ne tiens pas en place ce soir. Et malgré tout, je ne m’échappe pas, je demeure bien installé sur ce lit qui nous sert d’aire de jeux.
Tu termines à mains nues, ou plutôt, devrais-je dire, à griffes nues. Celles-ci s’acharnent longuement, essentiellement sur mon sexe, couilles, pénis, tout y passe. Tous ces tourments provoquant alternativement couinements ou fous rires. … Dur, dur de conclure sérieusement cette soirée.
Jeudi
Tu me tends les bracelets que je place sur mes poignets et mes chevilles. Puis je te vois farfouiller dans ton placard « secret ». Tu en ressors un accessoire que je n’avais plus aperçu depuis bien longtemps. Limite j’avais oublié que je t’avais fabriqué cette barre d’écartement artisanale. Voici donc pourquoi tu as prévu les bracelets. En quelques minutes, tu relies mes chevilles, ou plutôt tu les forces à s’éloigner. Désormais, je suis contraint de maintenir les jambes bien écartées. Je pensais que cela se révèlerait plus inconfortable que cela. A ce stade, j’arrive encore à me relever du lit sans trop de difficulté. Positionnée dans mon dos, tu commences par relier mes poignets à l’aide d’une sangle sans trop les serrer. Puis tu t’escrimes à positionner une seconde sangle à mi-biceps. Cette fois, malgré la légère latitude laissée, mes mouvements se retrouvent drastiquement réduits. Et dire que tu imagines que je pourrais m’échapper : je ne sais pas vraiment comment je pourrais y parvenir ainsi équipé.
Me voilà paré pour affronter tes tourments du soir. Tu viens t’asseoir devant moi sur ton coffre à malices. Et ton sourire est à la hauteur de ton impatience. Il faut préciser que tu as égaré une boite de pinces depuis quelques jours sans que celles-ci ne soient réapparues malgré une fouille intensive de la maison. Aussi ce matin, tu en as déniché de nouvelles en faisant les courses et, cette fois, tu ne tardes pas à les essayer. Il ne faudrait pas qu’elles disparaissent elles-aussi.
Tu places la première sur mon téton gauche. Ouch, tu avais raison, elle pince bien. Encore une qui cache son jeu sous des apparences doucerettes. En plus, depuis quelques temps, j’ai l’impression que celui-ci est plus sensible que son alter ego. Je serre les dents le temps que la douleur initiale s’estompe, ou du moins, que je m’y habitue. En comparaison, la seconde est beaucoup plus facile à supporter. Tu poursuis ta décoration sur mon pénis, une rangée de chaque côté. Celles-ci passeraient presque inaperçues au contraire des deux dernières que tu viens placer au bout de manière à « boucler » cet orifice. Tu me laisses ainsi à ces pincements pendant quelques minutes. Comme toujours avec les pinces, quelle que soit leur nature, le pire est à venir lors de leur retrait. Toutes, sans exception, se font largement ressentir ; surtout que tu les enlèves par paires. Pour ainsi dire, tu génères un double effet kiss cool : un « lancement » de chaque côté. Je dois reconnaitre que la chaleur de tes mains vient avantageusement apaiser ces douleurs fugaces mais intenses.
Après un court moment de répit, le temps qu’elles se fassent oublier, tu reprends tes stimulations par le biais de ta cravache. Tu te concentres sur quelques zones bien précises, sans surprise celles que tu viens de sensibiliser. Ce sont donc alternativement mes tétons, mes couilles et mon pénis qui se voient « martyrisés ». Je me tortille dans tous les sens, essayant de limiter autant que possible les couinements. Rien qui ne t’arrête néanmoins. Bien au contraire. Tu changes juste « d’outil ». Place à la langue de dragon courte. Plus le temps passe et plus mes tétons virent à l’hypersensibilité. Son mordant en est démultiplié. Et mes réactions par la même occasion. Est-ce que c’est pour compenser ? Toujours est il que tu t’égares aussi sur mes cuisses, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Décidément je vais finir par être une boule de sensibilité. Malheureusement, pas la moindre marque ne daigne apparaître sur mes jambes. De dépit, tu passes dans mon dos pour vérifier ce qui se passe sur mes épaules. Et là, miracle, en quelques minutes, j’entends ta satisfaction, des triangles teintés de rouge, synonymes de marques à ton goût.
Ainsi « repue » à ta manière, tu abandonnes cette langue de cuir noir pour reprendre une autre cravache. Cette fois, tu as changé de technique. Fini les impacts, place à l’effleurement. Ecrit comme cela, on pourrait penser qu’il s’agit d’un moment de douceur. Sauf que ce n’est pas le cas du tout. Surtout que tu l’infliges sur des zones sensibles. Ces brefs et légers contacts génèrent comme une sorte de griffure qui finit par électriser le propriétaire des dites zones ! J’ai encore une fois l’impression que cette façon de faire t’amuse beaucoup, peut être parce qu’elle n’est pas classique.
Tu termines ta soirée de tourments en mode manuel, d’abord une série de pichenettes qui transforme tes doigts en de véritables engins de « torture ». Comment je pourrais résister et rester de marbre et silencieux. Il en va de même quand tu laisses entrer en action tes griffes, que tu les autorises à venir pincer encore et encore, augmentant encore un peu, s’il était nécessaire mon niveau de sensibilité. Par chance, celle-ci finira par s’apaiser largement pendant la nuit m’évitant le calvaire du drap ou du pyjama venant frotter, frotter, frotter …
A un moment de la soirée, à trop gigoter ou me plier pour échapper en vain à tes assauts, je me retrouve assis sur le lit les bras toujours coincés dans le dos mais tout de même encore capable de me relever malgré les contraintes.
Visiblement satisfaite de l’heure qui vient de s’écouler, tu finis par me libérer non sans faire un essai différent avec la barre, prélude possible à de futures nouvelles contraintes. Affaire à suivre dans un prochain épisode.
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j'ai été convoqué par mon fesseur habituel, ce lundi. Cela fait maintenant plusieurs mois que ce monsieur, ancien professeur dans une école catholique me donne des fessées. Chaque fois il me convoque, c'est à dire trois à quatre fois par mois et je dois me rendre chez lui vêtu d'un petit short, d'une culotte coton, d'un polo blanc, de longues chaussettes blanches et de tennis aux pieds. Il me demande chaque fois de lire le mail que je suis tenu de lui envoyer chaque semaine, avec mes bêtises ou manquements de la semaine. Je dois lire la liste à haute voix. Après, bien entendu, selon la gravité de mes fautes, la fessée est plus ou moins sévère.
Lundi, j'ai reçu de lui un mail me convoquant. J'avais oublié de lui envoyer ma liste de fautes hebdomadaires. Je savais que ce serait sévère, mais je m'y suis rendu, la peur au ventre, les larmes au bord des yeux.
A peine arrivé et entré dans son bureau, je constate qu'il n'est pas seul. Sa femme est là, et un de leurs amis aussi. C'est rare qu'il me reçoit en présence d'autres personnes. Come j'hésite à pénétrer plus dans son bureau, il me tire par l'oreille et m'amène devant son bureau. Il s'assoit derrière et commence à me reprocher bien sûr d'avoir oublié d'envoyer ma liste. Il me dit que je l'ai fait exprès. J'ai juste oublié, mais il ne veut pas me croire. Alors, sur le paper booard de son bureau je dois écrire la liste de mes fautes de la semaine, et il commente au fur et à mesure, prenant à témoin sa femme et son ami.
Quand j'ai eu fini, il me demande de lire à haute voix, ce que je m'empresse de faire. Il demande alors à sa femme ce qu'elle en pense et ce qque ça mérite. Sans hésitation, elle répond que ça mérite, les fautes et l'oubli, que je n'ai pas marqué sur le paper booard, une série de quatre fessées de plus en plus intenses. Son ami donne également son avis et il demande à ce que le martinet, la ceinture et le paddle me soit infligé aussi.
Je e rends compte alors que ça va vraiment chauffer pour moi. Je me sens pris d'une peur terrible, d'une appréhension. Pleurer sous la fessée quand il n'y a que mon fesseur et moi, ça passe, mais devant sa femme et son ami c'est autre chose. J'ai l'impression que ma tête tourne, que j'ai des vertiges, je n'entends qu'à travers un brouillard la discussion autour de moi jusqu'à ce qu'une gifle me ramène à la réalité. La réalité elle n'est pas belle, je viens de faire pipi à la culotte. A mes pieds une flaque, mon petit short en jeans est orné d'une large auréole. J'ai honte.
Sans attendre, le fesseur me ^rend le bras, me dirige vers le bureau, et me courbe dessus. Une pluie de claques s'abat sur mes cuisses et mes fesses. A travers le short je la ressens bien cette fessée mais ce n'est rien par rapport à ce qui m'attend. Il dégrafe mon short, qui tombe à mes pieds. Me voici en culotte blanche et rose, devant lui sa femme et son ami. Sa femme dit alors "mais c'est une culotte de fille" ! oui, je porte une culotte de fille, une grande culotte blanche et rose. Sauf que là, elle est trempée, pleine de pipi. Le fesseur me déculotte d'un coup sec, m'enlève entièrement la culotte et me la met dans la bouche. ça sent le pipi. je sais que j'ai dans la bouche mon propre pipi... j'ai honte, très honte, ce n'était pas prévu.
Le fesseur prend alors son temps, il me caresse un peu les fesses puis commence une magistrale fessée à la main. j'ai mal, je commence à gémir, à gigoter, mais il me tient fermement. Il arrête. Je l'entends dans mon dos, il se déplace, il revient, et un coup violent me frappe les fesses, il a pris une ceinture !
j'ai de plus en plus mal, les larmes perlent sur le bord de mes yeux, je crie, je supplie qu'il arrête, il me répond que je suis là pour expier mes fautes et qu'il est là pour me les faire expier. Alors il continue, il a troqué la ceinture pour un martinet, il me flagelle autant les fesses que les cuisses, je pense illico que je vais avoir des marques sur les cuisses, que ça va se voir, je le supplie d'arrêter. Peine perdue, il continue. Puis, il s'arrête et me conduit par l'oreille au coin.
je reste au coin mains sur la tête pendant un bon quart d'heure. Pendant ce temps je les entends commenter cette fessée. L'ami du fesseur lui dit "tu avais raison, c'est un sacré garnement, il en mérite des fessées et des cuisantes". Sa femme dit, "je vais lui faire essuyer le pipi par terre, et elle s'en va chercher une serpillère. Elle revient, viens me chercher par la main, et m'ordonne d'essuyer. Je le fais volontiers, je ne veux pas en rajouter, confus d'avoir fait pipi à la culotte sans m'en rendre compte.
Après, elle me relève et me conduit à la cuisine pour que je lave la serpillère. Elle me tient toujours par la main, je me sens redevenu un petit garçon.
Revenus dans le bureau, je découvre posés deux paddles, un en cuir, l'autre en bois. Je suffoque, je sais que mes fesses ne vont pas en supporter davantage, alors je supplie, je me mets à genoux, mais rien n'y fait. Je suis relevé, et à nous veau courbé sur le bureau. Mais cette fois, la femme du fesseur et son ami ont fait le tour du bureau et me tiennent chacun un bras, solidement. Il me fait écarter les jambes. Les coups commencent à pleuvoir, je pleure comme un gamin, je n'en peux plus, je crie, je pleure, mon nez coule, je ne peux pas me moucher, heureusement je n'ai plus la culotte dans la bouche je me serais étouffé.
Enfin la fessée s'arrête. S'ils me lâchent, je vais m'effondrer, mes jambes ne me portent plus.
le fesseur me prend alors par le bras, me relève et me ramène au coin, cette fois agenouillé. Les commentaires vont bon train, et ils regardent les photos qu'ils ont prises pendant mes fessées. Ils commentent, ils rient bien fort comme si je n'étais pas là. Ils prennent un thé, et moi je suis toujours au coin. Enfin ordre m'est donné de me relever et de venir devant le fesseur. Il me remet ma culotte trempée de pipi, et mon petit short, il me dit de m'asseoir, et sa femme me fait une leçon de morale, pendant que leur ami me caresse les cuisses, passant sa main sous le short et la culotte.
Enfin, le fesseur me ramène à la porte de chez lui. En passant devant le miroir de l'entrée, je constate que les zébrures du martinet sont bien visibles sous le short et je vais devoir revenir à ma voiture à pieds, faire les 800 mètres qui me séparent du parking. J'ai honte, à nouveau je me mets à pleurer. Il e met dehors, qu'importe mes larmes ! je marche sur le trottoir, je croise des gens, j'entends des rires derrière moi...
Je sais que je n'aurais pas du oublier d'envoyer la liste de mes fautes, je sais que ces fessées je les ai méritées car la liste des fautes hebdomadaires était longue... Oui, il fallait que je sois à nouveau corrigé, je l'ai été, je ne peux m'en prendre qu'à moi.
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