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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Approchez-vous, imprégnez ma chair
Sur le tissu léger de la lumière
Me submerger d’émotions
Dans l'ombre de vos étreintes
Redessinant les empreintes émouvantes
Volant à mon corps toutes les caresses
Le long de mes plaintes
Cette manière de percevoir votre regard
Gourmand se glissant sans égard
Sur l'arrondi de mes formes qui s'égarent
Comme un raz-de-marée entre vos mains
Se faufilent, m’effeuillant la peau
Du bout de la plume de vos doigts exaltant
Caressez-moi encore, que nos corps se cherchent
Vos doigts à l'intérieur de mes cuisses
Remontant jusqu’à mon postérieur
Mon corps à soif de votre imagination
De vos mots remplis d’affection
Je ne sais plus comment l’arrêter
Je n'arrive plus à me taire
Mon corps a besoin de trouver sa place
Sur les contours sensuels de vos gestes
Captivant, cultivant les émotions, les envies.
Il attend que vous me libériez de ces gémissements
Sous la clameur de vos lèvres
Qui me touche, me caressent
Inlassablement, insatiablement
Éveillant les murmures qui se font entendre
Pour vous, je me ferais docile et câline
Vous aurez le choix dans un jeu rempli de luxures.
Pile, je m’abandonnerai à vous
Face, je serai entièrement à vous
Que je gagne où je perde
Le' jeu' en vaudra la chandelle
Pour notre plaisir commun et charnel
Que procurent toutes ces sensations des gestes
Vous m’attachez, je suis à vous
Dans le jeu perpétuel de l’envie où va la vie
Je suis à vous pour nos désirs
Sur quel orifice viendrez-vous vous attarder
Me caresser en premier
Vos yeux voyagent sur l’arrondi et mes formes
Aimerez-vous peut-être que je commence
Mais ce n'est pas moi qui ordonne
Plusieurs gestuelles me viennent en tête
Je sens les pulsions parcourir mon corps
Qui se parsème sous la chaleur de vos mains
Imaginant votre peau, l'excitation que vous me procurez
Machinalement votre langue se promène sur mes lèvres
Les yeux clos, je me laisse emporter par ces préliminaires
Mon corps danse, ondulant de gauche à droite avec vous
Tout en moi, se contracte, se décontracte
Je suis à vous pour ces délices
Car le plaisir est au bout des ébats
Que les réjouissances commencent
Prenez-moi par le côté face
Me mettant à rude épreuve l’envie
Le désir de vos doigts qui me fouillent
Faisant couler en moi la cyprine de vos maux
Que nos désirs soient les fruits insoupçonnés
De l’audace des gestes agiles et précis
Qui parcourent de plaisirs nos lignes tendues
Que je ne maîtrise plus rien de cette attente
Sous les caresses soutenues
Se faisant de plus en plus oppressantes, douces et appuyées
Insistant sur certaines parties de mon corps
Dans le bruit et le son de nos soupirs
Que je puisse accueillir en moi
La semence chaude et puissante
Qui fait vibrer l’entrave de mes doigts
Pendant que les vôtres me parcourent le corps en toute liberté
Le 27 04 2022
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18 - Un peu de shopping.
Les belles esclaves s’en vont. Elles sont remplacées par les "pom-pom girls" que j’ai vues à l’entraînement. Elles se sont bien améliorées en deux jours... Le fouet doit y être pour quelque chose. La fille qui nous a placées vient donner à Summer une tablette en disant :
— De la part de Monsieur Boizano, Mademoiselle Summer.
Et moi ? Heureusement, Summer me la donne et m’explique le fonctionnement :
— Pour acheter une fille ou enchérir, tu tapes son numéro, puis tu tapes une somme, puis OK. T’as compris ?
— Je crois...
J’ai pas bien l’habitude de ces machins.
Il y a du soleil et pas mal de lumières, mais des projecteurs s’allument et éclairent un homme qui arrive sur scène. C’est un homme grand et bien en chair avec des cheveux très noirs. Sur l’écran géant au-dessus de lui, je vois que ses cheveux doivent être teints et qu’il est très maquillé. Summer me dit :
— C’est celui qui présente les élections de Miss USA et Miss Univers.
L’homme est un pro. Il dit :
— Bonsoir chers amis. La Société Slave Trading International et moi-même vous souhaitons la bienvenue. Vous allez être les premiers à acheter officiellement une esclave. Certains disent que l’esclavage est un retour vers le passé. C’est vrai, mais pourquoi ne pas s’inspirer de ce qu’il y avait de positif dans le passé ? Je vais vous donner un exemple. Il crie :
— Les filles !
Aussitôt, deux filles nues arrivent sur scène en portant un lourd fauteuil. Il s’assied, tandis que les filles se mettent à genoux devant lui, puis posent leurs bouches sur le bout de ses pieds. De cette façon, on est sûrs que ce sont des filles : on voit très bien leurs chattes roses. Surtout sur l’écran géant. Les spectateurs applaudissent. Le présentateur dit :
— Apéritif !
Aussitôt, elles se lèvent et courent dans les coulisses. Il ne leur faut que quelques minutes avant de revenir avec un plateau sur lequel se trouve une bouteille, un verre, des chips... La fille qui tient le plateau, se met à genoux et tend le plateau pour qu’il soit à portée de main de son maître. L’autre fille remplit le verre et le lui tend. Il prend le verre et de l’autre main, il indique le sol devant lui. Aussitôt, elle se met à quatre pattes et il pose ses pieds sur les reins de la fille en disant :
— On n’est pas bien là, après une journée de travail, à la fraîche avec deux esclaves ne cherchant qu’à satisfaire vos moindres désirs ? Car sinon... voici ce qui risque de se passer.
Il pousse du pied la fille "repose-pieds" en criant :
— Fouet !
La fille se lève et court dans les coulisses. Elle revient avec un fouet, se met à genoux et tend le fouet, tête baissée. Il le prend en disant :
— Position !
La fille se remet à quatre pattes devant lui, puis posant son front sur ses mains qui sont sur le sol, elle offre son postérieur à l’injuste punition, puisqu’elle n’a rien fait... Je regarde Summer, elle soupire et dit :
— Oui, c’est injuste, Ashley !
Le présentateur s’est bien exercé, parce que, malgré son arthrose (c’est une supposition) il est très habile et depuis son fauteuil, les lanières de son fouet viennent claquer une dizaine de fois sur les fesses de l’esclave. Sur l’écran géant, on voit les fesses se marquer de lignes rouges et le visage de l'esclave en pleurs. Les spectateurs applaudissent et comptent les coups. Ils ne sont pas gentils, hein ? C'est vrai, mais, c’est une esclave... Quand il a fini, la fille vient le remercier et lui embrasse les mains en pleurant. Le présentateur dit :
— Voilà, la vie avec des esclaves... Maintenant, la vente va commencer.
Il s’en va, sous les applaudissements, avec ses deux esclaves qui traînent le fauteuil.
Des hommes amènent une sorte de pupitre, comme ceux qui servent aux hommes politiques pour faire des discours, parfois mensongers, à ce qu’il paraît. Sur le dessus du pupitre, il y a un micro et un ordinateur. Un homme d'une cinquantaine d'années arrive et s’installe derrière le pupitre. Il dit :
— Bonjour, je m’appelle Max Salerno et je suis commissaire-priseur. Nous allons procéder à la vente de 50 filles. Elles sont toutes saines, marquées et éduquées. Je vais vous parler du marquage.
Un garde fait claquer son fouet. Aussitôt, une fille nue arrive sur la scène. Le commissaire-priseur poursuit :
— Les filles portent un collier avec un œillet, de façon à les attacher ou à les tenir en laisse.
On voit le collier sur l’écran. Il continue :
— Ce collier porte le numéro matricule de l’esclave. Ce numéro est aussi marqué sous le pied gauche des esclaves.
La fille se couche sur le dos, ses pieds vers nous. On regarde tous l’écran géant : sur la plante du pied, il y a une série de lettres et de chiffres. Le commissaire explique :
— Il s’agit du numéro de matricule des filles, brûlé au fer rouge comme avant, quand on marquait le cul du bétail.
Rires parmi les spectateurs. Je pense qu’elles ont dû souffrir, les pauvres. D’accord, ce sont des esclaves, mais quand même. Le commissaire poursuit :
— Il y a une deuxième marque au fer rouge sur les filles.
La fille se lève et il indique le haut de sa cuisse. Je vois sur le grand écran SP entourée de chaînes. Les lettres sont grandes, fines, très élégantes, je dirais faites par un artiste.. Il explique :
— Les initiales SP, sont celles de Slave Paradise. C’est une garantie de qualité que les filles sont très fières de porter.
Ça, ça m’étonnerait... Il retourne derrière son pupitre et poursuit :
— Une fille qui a ces deux marques est définitivement une esclave ! Bien, je vais procéder à la vente de la première esclave.
Un garde arrive sur la scène. Trois filles arrivent sur la scène.
À part le collier, elles sont aussi nues que moi sous la douche. Elles se mettent dans la position de l’esclave qui attend les ordres : cambrée, les jambes écartées, les mains dans la nuque. Max Salerno présente la première fille :
— Cette superbe fille est une vraie blonde. Elle a été élue miss New Hampshire, mais elle a été arrêtée alors qu’elle conduisait une voiture avec 0,9 gramme d’alcool dans le sang. De plus, elle milite dans un parti interdit. Le tribunal l’a condamnée à 10 ans d’esclavage à condition de ne plus avoir de condamnation. Elle est en bonne santé et son anus est vierge. Vous allez pouvoir la détailler sur les écrans géants.
Le garde qui est devant elle fait claquer son fouet et dit :
— Position 2 !
Elle se met à 4 pattes, le nez touchant le sol. Un coup d’œil sur les écrans géant et elle n’a plus de secret pour personne : on voit sa chatte qui fait la moue, on le ferait à moins. Son anus un peu plus foncé nous fixe, il n’a pas l’air très à l’aise. On le comprend aussi. Il risque de bientôt se prendre 20 cm de bite dure. Restera plus vierge longtemps, le petit bougre !
Clac !
— Position 3, de face.
Elle saute sur place. Ses seins montent et descendent. Cris de joie de la foule !
Clac !
— Position 3, de dos.
Elle se retourne et saute à nouveau. Là, ce sont ses fesses qui dansent ! Elle saute pendant plusieurs minutes. Enfin, le garde crie :
— Stop !
Max Salerno commence la vente. Il dit :
— Mise à prix 5.000 $. Qui dit mieux ?
Bêtement, je crie :
— Moi.
Tout le monde me regarde et le pire, c’est qu’on voit mon visage qui devient rouge sur l’écran. Max Salerno me dit :
— Utilisez votre tablette, ma petite demoiselle.
Summer me prend la tablette des mains. D’autres gens enchérissent. Summer me montre comment faire. J'écris 5.750 $. Max Salerno dit :
— 5.750 $ pour la petite demoiselle toute rouge qui est à sa première vente aux enchères, manifestement.
Aussitôt, un acheteur propose 6.000 $, puis un autre 6.250 $.
La Miss finit par être adjugée à 12.500 $, ça dépasse mon budget ! Un garde vient attacher une laisse à son collier et la conduit dans un enclos où son nouveau maître pourra la récupérer. Max Salerno regarde sa tablette et dit :
— Le propriétaire de Miss New Hampshire nous signale qu’elle sera à la disposition de tous au Moonlight Inn de Las Vegas.
Il fait sa pub, le gars. N’empêche, ça donne envie d’y aller... Summer me dit :
— Tu t’es bien fait remarquer !
— Mais, euh... je pensais...
— Évite de penser, ça ne te réussit pas.
Ça, c’est Summer ! M’en fous, je penserai plus, je parlerai plus, je.... Elle reçoit un SMS et elle me dit :
— On peut monter jusqu’à 7.500 $
Super ! Je décide de penser et de parler à nouveau ! Deux autres filles blanches se vendent très cher à des acheteurs noirs. Ben oui, normal qu’ils aient envie d’esclaves blanches... Par contre, une jolie Noire est achetée par des Blancs. Une métisse arrive sur le devant de la scène. Summer me dit :
— Les métisses se vendent moins cher
— Pourtant cette fille est super belle.
— Oui, mais tu as vu que les acheteurs noirs achètent des blanches. Via le Net, il y a des acheteurs des pays d’Afrique et des Émirats.
Ça me dépasse un peu. La métisse est belle avec un petit nez, une bouche appétissante, des seins en poires et surtout de belles fesses... ce qui est important si on est obligé de la punir. J’enchéris deux fois, bêtement, je le fais trop vite, et enchéris sur moi. Max Salerno s’adresse directement à Summer dont le visage apparaît sur l’écran. Il lui dit :
— Mademoiselle avec le tee-shirt "Virgin Suicide", ne laissez pas votre petite sœur jouer avec la tablette.
Je donne vite la tablette à Summer, puis je vais me cacher dans un trou de souris. Je m’en fous de leur vente ! Quelques minutes plus tard, Summer me dit :
— On l’a.
— On a quoi ?
— La métisse...
Bon je sors de mon trou. Elle me dit :
— Dis-moi celles qui te plaisent.
Oui, c’est mieux comme ça... parce qu’elles déconnent, leurs tablettes ! Je choisis encore deux filles, mais elles sont vendues vraiment trop cher. La troisième que je choisis, on l’a pour 6.250 $. C’est une jolie brune, sans doute hispanique, moins recherchée aussi. Les gens ne savent pas ce qui est beau ! Il faut une bonne heure avant que toutes les filles soient vendues. Max Salerno annonce :
— Mesdames et Messieurs, vous pouvez venir payer et retirer vos achats. Prochaine vente demain à 14 heures.
On se dirige vers l’enclos des 50 filles. Elles sont collées les unes aux autres. Il y a des gardes qu’on connaît et Max Salerno est là, aussi. Summer me dit :
— Va t’excuser auprès de lui.
Ça, jamais ! Qu’il aille se faire foutre et elle aussi. Elle me pince méchamment le bras et je vais près de lui en bredouillant :
— Pardon pour tout à l’heure. Je n’ai pas l’habitude et...
Oh ! Il me prend par la taille et me dit :
— C’est pas grave, petite. Tu sais que si je devais te vendre, on ferait un carton !
— Euh... oui, c’est gentil, mais je ne suis pas une esclave.
Sa main descend sur mes fesses tandis qu’il répond :
— Pas encore.
Là, je panique ! Mais, il se met à rire et il dit :
— Je te charrie. Sam croit beaucoup en toi.
— Vous êtes un de ses amis ?
— Son beau-frère et je connais bien Summer, ta grande sœur.
Ils se sont bien foutus de moi de nouveau. Un garde vient me tendre deux laisses avec les deux filles à l’autre bout. Je dis à Summer :
— On peut les garder un peu ?
— Tu sais bien que non, elles iront directement au studio... mais on va faire des photos. Ensuite, tu as ton texte à apprendre.
Ah, oui, c’est vrai. Le photographe arrive. Il me photographie avec les filles en laisse... Summer me dit :
— Assieds-toi, les filles vont t’embrasser les pieds.
Elle leur dit :
— Vous avez entendu ?
Les achats, en chœur :
— Oui Maîtresse.
Aussitôt, elles se mettent à genoux, enlèvent mes sandales et couvrent mes pieds de baisers. C’est mignon... Ensuite, je dois marcher avec les deux esclaves à quatre pattes au bout de leurs laisses. Oh ! On nous voit sur l’écran géant, mais cette fois-ci, ça me fait plaisir. Quelques photos plus tard, Summer dit au photographe :
— On doit y aller, la petite a du texte à apprendre pour demain.
Mais pourquoi tout le monde me traite comme si j’étais une gamine ? Oui, bon, peut-être que je n’ai pas une conduite très... mature.
Je n’ai que deux pages à apprendre pour demain. Summer me dit :
— On va aller répéter sur la plage. Là, c’est plus facile de te punir si tu te concentres pas.
Et allez, encore une fois, on dirait que je suis une gamine !
On va sur la plage qui est à côté. Ils ont fait une partie naturiste. C’est là qu’on va... Il y a un couple qui flirte dans un coin et un groupe de jeunes assez loin. Beaucoup de gens sont à la vente et si ça se trouve, il y a encore des attractions qu’on rate ! J’enlève ma robe et mes sandales, c’est tout ce que j’ai sur moi. J’aime être nue dans la nature, ou, plus exactement, j’aime être nue tout court. Summer enlève son jean puis son tee-shirt... Je vois apparaître ses tatouages et les poils noirs et brillants de ses aisselles. Le buisson de sa chatte m’attire terriblement. Elle me dit :
— Quoi ? J’ai du noir sur le nez ?
— Non, tu me plais et...
— Et tu vas apprendre ton texte... Lis tes deux pages et puis relis-les et recommence. Moi je vais nager. Ah, Ashley...
— Oui ?
— Tu vois ces bambous ?
— Euh... oui...
— Quand je reviens, si tu ne connais pas les 3/4 du texte, je vais en couper un. Tu sais pourquoi ?
— Oui, mais je vais me concentrer et apprendre et...
Elle part vers la mer.
A suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Ma Maîtresse aime fabriquer Son matériel alors je ne suis pas étonné de la voir réaliser une badine bicolore sur un morceau de noisetier. Le tressage est fin et le mélange rouge noir lui donne un air gai.
«Je m’entraîne» me dit-Elle. Ma place ne m’autorise pas à lui demander à quoi.
«J’ai besoin de matériaux alors tu seras Mon chauffeur cet après-midi.»
Je ne me doute pas encore que l’âme de ce fouet prend déjà forme dans cette recherche.
Munie de Sa petite liste, Ma Maîtresse me dirige vers différents magasins.
Dans mon enthousiasme, j’outre passe bêtement mon rôle de chauffeur et j’ai droit à un recadrage en public. Conscient de ma bévue et honteux, je baisse la tête. Mon horizon se limitera à la pointe de mes chaussures tellement je ne savais plus où me mettre. Et encore, je sais que Ma Maîtresse aurait pu m’humilier bien plus devant tout le monde...
Je n’aurais eu que ce que je méritais.
Progressivement, je sens que Sa création prend vie . J’ai encore quelques doutes sur Ses intentions mais c’est à ce moment que Son projet commence à prendre forme dans ma tête.
Ma Maîtresse n’a pas trouver tout ce qu’Elle désirait mais suffisamment pour débuter sa création. Elle me charge de lui trouver de la paraffine dont Elle n’a pas besoin dans l’immédiat.
Quelques jours plus tard, Elle me convoque à Ses Pieds et me montre un grand fouet qu’Elle a finement tressé. Il n’est pas terminé mais il est déjà magnifique. Le tressage trois tons est subtil ; quelle réalisation magnifique de Ma Maîtresse. Je suis admiratif même si Elle me montre de petites imperfections qui ne sont pas à son goût.
Reste à le tremper dans un bain de paraffine. A ce moment, je ne me doutais pas encore de ce que cette paraffine allait lui apporter.
Avant cela, Ma Maîtresse est impatiente de le tester et je me retrouve vite au milieu de la pièce avec la primeur d’absorber les premiers pas de ce fouet.
En douceur , Ma Maîtresse le fait voltiger autour de mon corps dénudé. Il fend l’air dans un bruit aigu qui me fait sursauter. Rapidement , Ma Maîtresse l’envoie autour de mon torse. Il m’enlace totalement et sa pointe vient me cingler. La douleur s’étend du dos à son point d’impact terminal. Ma Maîtresse retient les premiers coups et pourtant il me fait déjà bien danser. Enfin, il vit et Ma Maîtresse le manie avec de plus en plus de précision et surtout de plus en plus d’énergie. Elle m’indique les points d’impacts qu’Elle vise et en retour j’en confirme la justesse. C’est de plus en plus précis et mon corps commence à se zébrer d' empreintes rougeâtres.
La lanière trace sa toile sur ma peau. Chaque impact est un feu brûlant qui laisse une flamme violette en souvenir.
Ce sont ses tous premiers claquements et il promet déjà beaucoup. Manié à la perfection par Ma Maîtresse, je pressens qu’il va m’emmener bien loin dans la souffrance quand il sera fini.
Ma Maîtresse lui donne vie. Il est dans sa période nouveau né. Elle l’éduque, le dirige, me fait couiner quand il fend l’air, le fait claquer sur ma peau . Mes cris attestent déjà de sa puissance.
Après ce premier essai, Ma Maîtresse décide qu’il est temps de le finir et donc de le plonger dans un bain de paraffine fondante. Sa couleur change, il devient plus brillant. J’ai l’impression que son poids a doublé.
Il est devenu vraiment très beau, très lourd et Ma Maîtresse me met en place pour tester Sa création finie.
Il fend à nouveau l’air dans un bruit plus soutenu. Je sens l’air lui faire place dans un sifflement aigu quand Ma Maîtresse le fait passer à proximité de mes oreilles. Elle le Maîtrise merveilleusement bien.
Les premiers impacts me surprennent terriblement. Je ressens immédiatement le poids que la paraffine lui a donné. A ce moment, je m’aperçois que c’est exactement l’effet que je me faisais d’un fouet. Vous savez, ce que l’on peut imaginer quand l’on regarde cela au cinéma.
La vivacité de son contact m’arrache immédiatement des cris de douleurs. Je serre des dents, je me reprends en respirant profondément. Heureusement, la volonté de satisfaire Ma Maîtresse est la plus forte.
L’intensité est exceptionnelle et je me tords à chaque impact qui m’enveloppe comme le vent dont il a pris la place. Ma Maîtresse le maîtrise tellement bien qu’Elle me cingle plusieurs fois au même endroit comme Elle aime bien. Je peux lui offrir cette belle douleur qu’Elle vient chercher avec le fouet qu’Elle a créé.
Et j’ai beaucoup à offrir car la douleur que le fouet me procure augmente crescendo bien aidé par l’adresse de Ma Maîtresse qui sait que cette douleur lui appartient. Elle la fait naître, la fait grandir jusqu’à mes limites pour mieux en goûter la saveur exquise.
Sans me toucher, le simple bruit de la lanière me fait frissonner. C’est maintenant au tour de Ma Maîtresse de s’emballer. Le fouet claque de plus en plus vite, de plus en plus fort pour que le plaisir de Ma Maîtresse monte…
Elle accompagne la musique ambiante en virevoltant autour de Sa chose, en la faisant tourner pour avoir le meilleur angle qui alliera force et précision sur ce corps offert.
Les traits fins de la lanière me marquent depuis les cuisses jusqu’aux épaules, jusqu’aux tétons guidés avec dextérité par Ma Maîtresse. Elle écrit un nouveau chapitre sur la page de mon corps.
Je ressens Ce fouet comme le prolongement du sadisme de Ma Maîtresse. Il irradie une violente douleur qui se dissipe vite pour mieux diffuser la suivante. Il attaque un côté avant d’impacter violemment l’autre côté. J’ai beaucoup de mal à m’en protéger et je dois l’absorber de plein fouet si je peux dire. Je me tortille en tentant difficilement de reprendre la position que m’impose Ma Maîtresse.
Avec précision, Elle parvient à le projeter comme une caresse. Son extrémité me frôle de si près qu’il me griffe douloureusement.
La douleur devient difficilement supportable, je crie, je saute, je couine et me tortille encore et encore. Ma Maîtresse vient me rassurer par Sa Tendresse entre chaque série, attentive à mes réactions. Elle actionne Son nouveau fouet, le dompte autant qu’Elle me dompte ; Elle cherche son plaisir à travers lui et Sa chose…
Elle cherche ma limite du supportable et s’en satisfait… Je tiens pour qu’Elle en profite encore. Elle prend tant de plaisir à me fouetter.
Je gémis, je grimace, gigote dans tous les sens et Ma Maîtresse rit et se réjouis. Son plaisir l’illumine ; Elle me dit même qu’Elle en mouille...
Quand Elle arrive à ma limite, Elle pose le fouet et me réconforte. Elle est tout sourire et se régale en contemplant les marques que son nouveau fouet a laissé sur Sa chose.
Je suis épuisé mais tellement content que Ma Maîtresse m’ait donné la primeur de Sa création.
Je ne suis pas prêt d’oublier l’intensité des émotions qu’Elle m’a fait vivre avec Son fouet.
Merci Maîtresse de lui avoir donné vie.
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Il me connaît bien…
Il se recula et détacha sa puissante étreinte de mon cou et de mes cheveux.
C’est sa façon à lui de me montrer que je lui ai manqué. La dernière fois , samedi dernier, toujours à la même heure, je lui avais ouvert la porte comme il me l’avait ordonné. Ce soir là, j’étais habillée pareillement( si l’on peut dire) mais sans mon beau corset. Il poussa la porte brusquement et la referma d’une main. De l’autre, il jeta sa mallette au loin sans se soucier où elle atterrirai . En l’espace d une seconde , je me retrouvais collée face contre le mur du couloir. Mes seins écrasés, sur cette surface rugueuse et froide, contrastait avec la chaleur de son imposant torse sur mon dos. De chaque main, il pris mes poignets et les plaça tendus au dessus de ma tête. Il laissa sa main gauche emprisonner mes poignets tandis que sa main droite se faufilait rapidement entre mes cuisses. Je sentis deux gros doigts en moi me pénétrer intensément .Avec ses pieds, il écarta un peu plus mes jambes , je me mis à gémir naturellement lorsque je sentis quatre doigts s’enfoncer profondément. Plus je gémissais et plus il forçait … Il me connaît bien.
Soudain, il retira ses doigts humide , il était très excité et d’un coup sec, Il fit pénétrer son sexe gros et dur à l’intérieure de ma chatte mouillée. Sa main droite vint s’agripper à mes cheveux et il commença à me ramoner fort , de plus en plus fort. A chaque coup de queue, je ressentais son gland au fond de mon utérus. A chaque coup de rein, mes seins râpaient violemment les parois du couloirs. A chaque cambrure de son corps, il me tirait plus fort les cheveux. La douleur transformait mes gémissements en cris , mes cris sourds se transformèrent en larmes qui perlaient sur mes joues. Il déplaça sa main droite et la posa dans ma bouche de sorte que je ne puisses sortir aucun son. La douleur s’accentuait et je plantais mes dents dans la chair de sa main . J’entendais mon râle et le sien se relayer à chaque mouvement brutal .Et il continuât à me baiser avec un rythme allant crescendo , ses terribles coup de reins ,allant de bas en haut, telle une machine à pilonner, ravageaient tout mon être . Plus il me baisait et plus j’enfonçais mes dents dans sa main, plus j’enfonçais mes dents et plus il me baisait avec rage. J’avais fait ressortir la bête majestueuse qui est en Lui.
La sueur de nos corps nous enveloppait. Dans ces moments là, nous faisons qu’une seule entité, une sorte de Yin et de Yang où la brutalité et la sensualité se mélangent . Son plaisir est mon plaisir, un plaisir presque cannibale. Dans le même temps , il me mordait la nuque et je l’entendais me dire férocement : « Tiens ma chienne, ma queue est au fond de toi, Tu es à Moi ma salope, tu es ma pute rien qu’à Moi , à Moi Seul!!! »
Plus il disait cela et plus j’étais à Lui… Il me connaît bien…
Ses derniers coup de reins bien plus fort que les premiers ,m’avaient rendus euphorique, dans ce paroxysme d’extase, je ressentais tout son Amour pour moi par l’offrande liquide qu’il venait de me faire. Sa respiration ainsi que la mienne se faisaient échos , rapide , forte et intense. Je sentais la veine de son cou qui battait tout contre la mienne , chaude et puissante. Je desserrais mes dents et il retira sa main droite laissant sur elle une marque rouge, il me punira sûrement pour avoir fait cela me disais-je . Il positionna sa main meurtries entre le mur et mon ventre , me serrant très fort contre ses reins afin d éjecter les dernières gouttes de sperme en moi. Il se retira et me libéra de son étreinte. Je laissais tomber mes bras ankylosés , il me retourna face à lui et me couva de son regard chaleureux et satisfait . Il m’embrassa langoureusement et me dit : « Je t’aime ma précieuse. »
Sans m’en rendre compte , ma bouche répondit « Je vous aime mon Maître. » Je n’ai pas le droit de parler sans son autorisation.
Il sourit et embrassa tendrement les traces écarlates sur mes seins torturés. Quel délice fut ce moment où ses lèvres pansaient mes plaies et que quelquefois je sentais la salive de sa langue adoucir la brûlure du frottement… il me connaît bien…
Il leva sa tête et m’ordonna : « Nettoie ma queue avec ta bouche et qu’il ne reste plus rien! »
Je m’accroupis avec célérité et j’engloutis son gland sans ménagement , ma langue parcourant avec ferveur le moindre recoin . Ses mains me caressant doucement les cheveux, j’aspirais avec vigueur sa verge à la recherche de ce goût salé bien à lui que je finis par trouver en serrant sa queue de mes deux mains , comme il me l’avait appris. Quelle joie de le sentir en moi , au plus profond de moi. Je suis à Lui, je lui appartiens , je ne suis rien sans mon Maître… Il me connaît bien …
Il rangea son sexe et pris la laisse qui pendait de sa main gauche. Il me fit signe de me mettre à quatre pattes.Il se dirigea au salon vers son fauteuil, je le suivais comme une bonne chienne docile de telle sorte que la chaîne ne soit ni trop tendues ni trop leste.
Il s’installa dans le fauteuil et moi je restais à quatre pattes parallèle à Lui. Il pris une cigarette noire et l alluma avec le briquet qu’il m avait offert . Il prit une bonne bouffée et la souffla longuement.Il pris le verre de vin déjà remplit et en but une gorgée. Il posa ses deux pieds l’un sur l’autre sur mon dos et jeta sa tête en arrière l’air pensif. Au bout d’un moment , il retira ses pieds , écrasa sa cigarette dans le cendrier ,posa son verre et m’ attrapa par les cheveux en me montrant la cicatrice de la morsure sur sa main que je lui avais faite et il me dit : « Lèche Salope! »
Je m’exécutais avec empressement tant je me sentais coupable d’avoir déçue mon Maître.Et tandis que je léchais sa main , je sentis une douleur cinglante sur mes fesses. Je n’avais pas vu qu’il avait récupéré sa cravache , et il se mit à me fouetter plus fortement . Plus il me fouettait, plus ma langue était active sur sa main…Il sait comment me diriger…Je suis sa marionnette, il dispose de ma personne comme il le souhaite…c’est mon Maître à moi, à moi seule, rien qu’à moi… Il me connaît bien…
Mais ce soir, que va t-il faire de moi…?
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Plusieurs cages à chiens sont disposées, les unes sur les autres, sur 3 niveaux. Chacune est numérotée de 1 à 15. Mais il n'y a pas de chien dans les cages. Il y a des hommes. Chaque cage est occupée par un homme attaché, nu évidement et parfois cagoulé.
Maitresse Sylvie me tire vers la cage numéro 7, au deuxième niveau.
- "Montes la dedans, petit chien. Tu fermes ta gueule et tu n'a pas intérêt à faire du bruit ou tu regrettera d'être revenu."
Je rentre dans la cage difficilement. Elle est vraiment petite pour un homme. C'est l'objectif recherché en même temps. Je ne peux que me placer en position fœtale. Maitrese Sylvie referme la cage, y pose un cadenas et s'en va en éteignant la lumière. La position n'est pas du tout confortable. Je peux à peine me tourner et je n'ai pas chaud. De plus, les barreaux de la cage renforcent la sentation de froid. Je n'ai aucune couverture pour me réchauffer ou quoi que ce soit pour mes besoins. J'approche ma tête de la cage du dessous et chuchote :
- Hey, salut. Tu sais comment ça se passe pour la nourriture ou les besoins ? Quand est ce qu'il nous font sortir ?
N'obtenant aucune réponse, je répète ma question :
- "Hey oh ! Tu peux me renseigner ? C'est la première fois que je viens ici, je suis un peu perdu".
Mais c'est une voix sur ma droite qui me répond :
- il peut pas te répondre, il est bâillonné. Il a trop parlé et ils l'ont fouetté avant de l'enfermer dans sa cage pour 2 jours complet. Maintenant tais toi ou on va être puni aussi. Ils nous surveillent avec des caméras et des micros"
- "Mais il fait noir ici".
- "caméras infrarouges. Pour répondre à ta question, on mange quand ils ont envie, on sort pas et tu fais tes besoins dans ta cage. T'as de la chance, t'as personne au dessus de toi. Maintenant, ferme là".
Je met plusieures secondes pour encaisser ce que je viens d'apprendre. Je vais rester enfermé ici pour une durée indéterminée et sans manger probablement pendant un long moment. Je me recroqueville dans ma cage en me demandant combien de temps je vais devoir rester là à attendre...
A suivre...
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Ecrit par un soumis qui a compris le sens réel de la soumission : vassaldeReine
Pas besoin de cuir ou d'un fouet pour être une Dame et/ou une Maîtresse.
Ce n'est pas la tenue cuir , latex ou autres, ni la main qui tient le fouet et encore moins le fouet lui-même qui font la Dominante. Ce n'est pas les insultes, ni les ordres, encore moins l'autoritarisme qui font la Dame. C'est encore moins les pratiques qui font la Maîtresse. Tenir un fouet, s'habiller de cuir, insulter, faire preuve d'autoritarisme, avoir des pratiques est à la porté de tout le monde et de n'importe qui, même des soumis.
La nature et la personnalité font la Dominante. L'intelligence, la culture, l'instruction, la philosophie, le savoir vivre, l'humour, le sens de l'observation, la psychologie, son équilibre, etc., font la Dame. Le savoir faire, la Maîtrise de son art, et la signature de sa domination font la Maîtresse. On peut naître dominante ou le devenir, la vie vanille vous apprend à être Dame, l'apprentissage et la formation feront de vous une Maîtresse, car l'on ne naît pas Dame ni Maîtresse sans apprendre.
Idem pour les soumis. On peut naître avec une nature soumise ou pas, mais dans tous les cas servir une Dame ou une Maîtresse s'apprend. Ce n'est pas non plus la tenue qui fait le soumis, ni les pratiques ou leurs absences, ni l'art de ramper (s'il y en a un), ni dire "oui Maîtresse" à toutes les sauces alors qu'on ne le pense pas et qu'on ne le ressent pas, ni d'obéir pour "jouer le jeu", etc. La soumission est dans la motivation et le besoin de servir une Dame qui sait nous montrer avec intelligence, lucidité, et raison où est notre place. J'insiste sur "avec raison".
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Deux semaines passèrent avant que Gabrielle n’ait de nouveau des nouvelles de Max. Elle était toujours distraite avec ses amis et devait leur avouer qu’elle fréquentait quelqu’un. Le genre de relation qu’ils avaient, elle garda le silence bien sûr.
Lorsque Max lui a envoyé un texto l’invitant à dîner, elle a immédiatement répondu qu’elle pouvait. D’une certaine manière, elle était reconnaissante qu’il l’ait invitée chez lui. Le sien était un peu en désordre et elle savait d’après ses histoires qu’il considérait cela comme une raison suffisante pour donner à une jeune femme un derrière très rouge.
Le soir de son rendez-vous, elle a fait de son mieux pour s’habiller aussi sexy que possible. Elle portait une courte robe jaune, sachant que Max adorerait les bas qu’elle portait en dessous. Elle a choisi de la lingerie noire, sachant qu’elle contrastait joliment avec la robe claire.
Se préparant ainsi, elle se rappela qu’ils avaient accepté d’avoir des relations sexuelles lors de leur deuxième rendez-vous. C’était un peu bizarre d’aller à un rendez-vous en ayant déjà accepté cela ; mais pas aussi bizarre que d’être fessée pour l’avoir voulu le premier.
Quand elle est arrivée, Max portait un jean à la coupe nette et une chemise propre. En plus de cela, il portait un tablier. “Bonsoir madame, entrez s’il vous plait.” Il a dit.
Gaby rougit, se sentant trop habillé pour l’occasion. Max préparait évidemment le dîner pour elle lui-même et n’avait pas l’intention de l’emmener.
“Veuillez m’excuser un instant.” dit Max après l’avoir guidée jusqu’à son salon. « Le repas a besoin de quelques retouches supplémentaires, puis je vous rejoindrai.
Seule dans la pièce, Gaby regarda autour d’elle pour voir ce qu’elle pouvait découvrir sur lui. La chambre était propre et le mobilier était moderne. Il y avait beaucoup de livres, ce qui signifiait que Max n’écrivait pas seulement, mais lisait aussi. Aucun de ceux-ci n’était érotique du tout.
Elle pouvait l’entendre dans la cuisine et plus tard quelque part plus loin dans la maison monter des escaliers. À son retour, le tablier avait disparu et le jean et la chemise avaient été remplacés par un costume.
“Excusez mon apparition plus tôt.” dit Max. “Je ne vous avais pas attendu si tôt.”
Gaby rougit. “Non Monsieur, excusez-moi de vous avoir embarrassé en arrivant tôt.” Elle avait pratiqué une attitude de soumission appropriée en lisant autant de ses histoires qu’elle le pouvait.
Max sourit largement. « Je vous pardonnerai, jeune fille, mais seulement cette fois. Maintenant, s’il vous plaît, rejoignez-moi à table pour le dîner.
Gaby sourit largement en laissant Max l’aider avec sa chaise. Elle nota mentalement de ne pas arriver trop tôt la prochaine fois ; car Max pouvait sembler enjoué, rien ne disait qu’elle ne finirait pas sur ses genoux la prochaine fois qu’elle le surprendrait pas prêt pour leur rendez-vous.
Max lui a servi un steak parfaitement préparé avec des légumes cuits à la vapeur et des pommes de terre au four. C’était un repas simple mais délicieux. Il lui a également offert un verre de vin, mais lui a fait promettre de ne pas en boire plus d’un afin qu’elle soit suffisamment sobre pour consentir à ses souhaits lorsqu’il l’a emmenée dans sa chambre.
Gaby n’a bu que la moitié de son verre et a dû se forcer à toucher le repas. Elle était trop distraite par l’anticipation des choses qu’il pourrait lui faire.
Quand elle a finalement débarrassé son assiette, elle a lancé à Max un regard provocateur. “Assez de préliminaires.” Dit-elle.
Max se leva de sa chaise et se déplaça vivement autour de la table. Il la saisit par les poignets et la souleva si brusquement que sa chaise tomba à la renverse.
Gaby haleta de surprise quand Max l’attira contre lui. Son désir pour elle était immense et elle réalisa qu’il le voulait autant qu’elle.
“Un tel sourire déviant pour une dame.” dit Max.
“Je pensais que vous seriez plus doux, comme le gentleman que vous êtes.” taquina Gaby.
“Alors je vais te montrer à quel point je peux être doux.” dit Max.
Sa main qui la tenait par la nuque lâcha ses cheveux et glissa le long de son dos. Il reposait juste au-dessus de ses fesses.
« Voudriez-vous me suivre en haut, ma dame ? Max lui a demandé.
“Oui monsieur.” Gaby respira.
Il la guida jusqu’à sa chambre. C’était aussi propre que le reste de sa maison et le lit soigneusement fait. Il l’a arrêtée quand elle a voulu s’allonger dessus.
Lentement, Max défit la fermeture éclair de son dos. Ses mains massaient ses épaules alors qu’il écartait sa robe. Il tomba jusqu’à ses hanches. Le doigt de Max a tracé sa colonne vertébrale, puis a doucement baissé sa robe jusqu’à ce que ses fesses sortent par l’ouverture confortable.
Il laissa ses doigts errer sur son corps, la caressant doucement le long de ses sous-vêtements. Lentement, prudemment, il la déshabilla, jusqu’à ce qu’elle se retrouve nue dans sa chambre.
Gabrielle n’a pas parlé ni discuté. Même en étant aussi doux, il était indéniable que Max était en charge. Lorsqu’elle fut complètement nue, elle suivit ses instructions muettes de s’allonger sur le lit.
Elle croisa les jambes et plaça sa main sur ses seins, sentant que sa nudité en laiton ne correspondait pas aux actions douces de Max.
Lentement, il se déshabilla. Gaby aimait le regarder dénuder son corps pour elle. Quand elle vit enfin sa grande érection lancinante, elle eut envie de le sentir en elle.
Max s’agenouilla à côté d’elle sur le lit. Doucement, ses doigts sondèrent l’intérieur de ses cuisses, lui faisant écarter les jambes. Il se déplaça vers ses pieds, plaçant sa tête près de sa chatte gonflée et humide. Sa langue la lécha sur toute la longueur de ses lèvres.
Gaby gémit profondément.
Doux et sans aucune force, Max la lécha. Sa langue fit lentement son chemin entre ses lèvres et sur son clitoris.
Gaby arqua le dos, aspirant à plus, mais Max n’offrit pas plus de force qu’il n’en avait déjà.
Atrocement lent, sa langue la rendait folle.
Son corps en demandait plus, mais quand Gaby attrapa ses propres seins, les serrant brutalement, Max s’arrêta. Il lui prit les poignets et poussa ses mains sous l’oreiller sous sa tête.
« Gardez-les là. Il a dit. « Tu voulais que je sois gentil, tu te souviens ?
Gaby gémit profondément mais garda ses mains derrière sa tête.
Max a continué son jeu lent et tortueux avec sa langue. Il a semblé prendre une éternité à Gaby pour atteindre un point culminant et encore une fois, elle a utilisé ses mains pour l’aider un peu.
“Les mains derrière la tête.” dit Max, arrêtant son plaisir une fois de plus. “Ne m’oblige pas à t’attacher.”
Gaby rougit et plaça ses mains derrière sa tête une fois de plus. Il ferait si chaud d’être ligoté ; mais pour une raison quelconque, elle se sentait encore plus excitée d’être retenue uniquement par ses paroles.
Max s’est déplacé sur le lit, n’utilisant plus sa langue pour lui faire plaisir, mais juste un doigt. Il le plaça entre ses lèvres, juste au-dessus de son clitoris, et poussa doucement.
“Est-ce assez doux, Gabrielle?” demanda-t-il alors qu’elle gémissait.
“Oui monsieur.” Elle répondit.
“Et ça?” demanda-t-il en se penchant en avant pour lécher son mamelon.
“Hnng-oui.” dit Gaby.
“Voulez-vous jouir?” Max a demandé, pressant un peu plus son clitoris.
“Oui s’il vous plaît.” dit Gaby. Son corps a commencé à convulser. Elle avait pensé qu’elle était encore loin de l’orgasme après ce jeu doux, mais ses paroles l’avaient poussée jusqu’au bout.
“Pas encore.” dit Max en relâchant la pression. “Demande-moi d’abord et gentiment cette fois.”
Gaby rougit, mais Max n’allait plus la toucher jusqu’à ce qu’elle le lui demande. “S’il vous plaît monsieur, puis-je jouir?” Elle l’a supplié.
“Bonne fille.” dit Max, son doigt jouant à nouveau avec son clitoris. “Tu peux jouir maintenant.”
Le corps de Gaby tremblait de façon incontrôlable, elle gémissait et haletait alors que l’orgasme arrivait dès qu’elle en avait la permission.
Quand ça s’est arrêté et qu’elle a vu Max la regarder, elle a rougi profondément. Elle vit son érection à côté de sa cuisse et ne put plus attendre. Elle retira ses mains de derrière l’oreiller et l’attrapa doucement.
“S’il vous plaît, baisez-moi, monsieur.” Dit-elle.
Max prit ses mains par les poignets et les poussa sur le lit à côté de l’oreiller. “Je pensais t’avoir dit de garder ça pour toi.” Il a dit. Il se pencha en avant, son attente sur ses bras épinglés et l’embrassa rudement, mordant sa lèvre inférieure avant de lâcher prise.
“Oww, Monsieur, ce n’était pas très gentil.” protesta Gaby.
“J’ai été assez doux.” dit Max. “Si tu ne peux pas faire ce qu’on te dit, je vais juste devoir être un peu brutal.”
Gaby gémit profondément. Oui, rude était exactement ce qu’elle voulait en ce moment.
Max se pencha sur elle alors qu’il l’embrassait à nouveau, la gardant coincée contre le lit.
Les poignets de Gaby lui faisaient mal sous sa prise ferme, mais elle adorait la douleur.
« Reste ici, je vais chercher un préservatif. Max a dit
Il se retourna pour attraper une boîte sur la table de chevet. Pendant qu’il le mettait, Gaby s’agenouilla derrière lui, enroulant ses bras autour de lui pour presser ses seins contre son dos et frotter sa poitrine avec ses bras.
Avec le préservatif bien en place, Max se retourna. “Je t’ai dit de rester en bas.” Il a dit.
Gaby sourit malicieusement.
Max attrapa brutalement ses épaules et la retourna, la poussant face contre terre sur le lit. De sa main ouverte, il lui frappa brutalement les fesses.
Gaby gémit profondément.
Après quelques bons coups et un cul rose, Max l’a attrapée par les hanches et l’a tirée sur ses genoux. Il a poussé son érection contre sa chatte et l’a glissée à l’intérieur.
Max l’a baisée brutalement par derrière, utilisant une main sur le bas de son dos pour la pousser vers le bas et l’autre pour lui donner quelques bonnes claques.
Quand il vint enfin, il s’accrocha à ses hanches à deux mains, ses doigts s’enfonçant profondément dans sa peau. Puis, il l’a attrapée par les cheveux et l’a tirée vers le haut. Il posa une main sur sa poitrine, l’autre sur sa gorge juste en dessous de son menton.
“Alors.” Il murmura. « Qu’est-ce qui t’as le plus plu, doux ou brutal ? »
“Je ne suis pas sûr.” Gaby a répondu. « Pouvons-nous recommencer pour que je puisse décider ? »
Max grogna et la lâcha.
“Ne sois pas gourmand.” Dit-il en nettoyant le préservatif usagé. « Ou je devrais peut-être te donner une fessée.
“Cela pourrait être amusant aussi.” Gaby a répondu.
“Gardons ça pour une autre fois.” dit Max. “De cette façon, t’as encore quelque chose à espérer.”
Gaby fit la moue, mais réalisa que Max avait peut-être besoin d’une pause. Elle n’irait nulle part, ils pourraient encore s’amuser plus tard ce soir.
Après que Max se soit levé du lit, Gaby est resté derrière, fixant le plafond de sa chambre. Même si elle en voulait plus, elle s’était vraiment sentie satisfaite. En vouloir plus prouvait à quel point cela avait été bon.
Son sentiment de vouloir s’envoyer en l’air était certainement satisfait.
Quand elle s’est levée et a suivi Max en bas, elle s’est sentie vraiment satisfaite de ne pas s’être contentée d’une aventure d’un soir pour satisfaire ses envies. Ce n’était que leur deuxième rendez-vous, mais elle se sentait déjà comme Max et elle pourrait être bien plus.
Max, vêtu d’un peignoir, se reposait dans le canapé de son salon. “Pas encore habillé?” Il lui a demandé.
Gaby rougit, se balançant légèrement alors qu’elle se dirigeait vers lui, montrant son corps nu. « Je pensais que je resterais la nuit. Si ce n’est pas trop présumer.
“Pas du tout.” Max a répondu. « En fait, j’insiste pour que tu restes. Il est beaucoup trop tard pour qu’une jeune fille comme toi soit seule dans le noir.
Gaby sourit. « Dans ce cas, je ne pensais pas avoir besoin de mes vêtements. À moins bien sûr que tu pensais que ce ne serait pas très féminin de ma part de me promener ainsi déshabillée. Elle a fait un clin d’œil.
“Au contraire.” dit Max. « Tu devrais porter quelque chose de sexy ou rien du tout quand tu es ici. Une gentille fille ne voudrait pas priver son petit ami de la vue de son corps magnifique.
“Eh bien, je suppose que je vais me déshabiller dès que j’aurai franchi ta porte d’entrée, la prochaine fois que je serai là.” dit Gaby d’un ton taquin.
Elle s’assit à côté de lui sur le canapé, posant ses pieds sur ses genoux. Distraitement, Max a commencé à les masser pendant qu’ils parlaient d’autres sujets de tous les jours.
Après s’être lavé, Gaby retourna dans la chambre de Max. Après le sexe sauvage qu’ils avaient eu auparavant, le rejoindre au lit comme ça était un peu étrange; comme un couple qui est ensemble depuis un moment, partageant un lit comme ils le font tous les jours.
Max était déjà sous les draps quand elle est arrivée. Elle supposa qu’il était nu, comme elle l’était toujours.
« Puis-je vous rejoindre dans votre lit, Monsieur ? Elle a demandé.
“Vous pouvez.” Max a répondu.
Gaby rampa sous les couvertures et rougit d’avoir demandé la permission de le faire. Elle l’avait lu dans l’une de ses histoires et c’était aussi sexy de le faire pour de vrai que de lire à ce sujet.
Une fois sous les couvertures, elle a atteint le corps de Max et a senti qu’il était en effet nu. Elle attrapa son entrejambe.
“Hmm, fille gourmande.” dit Max.
Gaby rougit, mais sentit qu’il avait déjà mis un préservatif, il était prêt pour elle. Elle rampa sur lui, à cheval sur ses jambes. Elle pouvait sentir son érection entre eux, le bout de son pénis contre son clitoris. C’était incroyable de se frotter contre lui.
Max plaça ses mains sur ses hanches et guida ses mouvements, l’exhortant à le chevaucher lentement, augmentant la chaleur entre eux.
Quand Gaby gémit bruyamment, il se pencha et l’aida à mettre sa queue en elle. Il plaça son pouce entre ses lèvres et pressa son clitoris pendant qu’elle le chevauchait.
Sa main libre lâcha sa hanche et frappa une fois ses fesses. Libéré de son contrôle, Gaby prit de la vitesse. Elle le chevaucha fort et vite, sa bite au fond d’elle et son pouce appuyant sur son point le plus sensible.
Avec un gémissement bruyant, Max est venu; mais Gaby ne pouvait pas s’arrêter. Max lui a claqué les fesses, l’encourageant à jouir pendant qu’elle le chevauchait, son pouce appuyant fort, jusqu’à ce qu’elle atteigne également son orgasme, son corps tremblant, gémissant profondément alors qu’elle s’effondrait sur lui.
« Dors bien, ma fille gourmande. dit Max en la repoussant.
Gaby n’avait pas encore fini cependant. Alors qu’elle dormait au début, elle se réveillait souvent, distraite par le corps masculin à côté d’elle dans le lit. Elle n’avait pas eu à partager un matelas depuis longtemps.
Un peu après minuit, elle était réveillée et elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle tâta le corps de Max et découvrit qu’il dormait sur le dos. Elle se pencha et trouva sa queue, elle était molle dans ses mains.
Au fur et à mesure qu’elle jouait avec, il s’animait lentement. C’était une sensation étrange, comment elle devenait lentement plus grosse et plus dure, résistant à sa force jusqu’à ce qu’elle soit incapable de la plier comme la première.
“Si tu continues à jouer avec ça, je vais te faire finir ce que tu as commencé.” dit soudain Max.
Gaby rougit, se sentant pris en flagrant délit. « Cela ne me dérange pas de le finir pour vous, monsieur. Dit-elle timidement, avant de rouler sur lui.
“Attends, nous avons besoin d’un autre préservatif.” dit Max alors qu’elle le chevauchait déjà.
Gaby pouvait le sentir atteindre sa table de chevet, tâtonnant dans le noir. “Attends.” dit-elle, roulant à nouveau sur lui. “Viens t’allonger contre mon dos.” Elle ne voulait pas perdre de temps ou allumer la lumière au milieu de la nuit.
Max se retourna, se pressant contre elle. Elle pouvait sentir son érection presser contre ses fesses.
Gaby a tordu ses hanches, attrapant sa queue entre ses fesses, quand Max a poussé en avant, il a été poussé fermement entre elles.
Elle gémit profondément alors que Max lui baisait les fesses, sans la pénétrer. Il a atteint autour d’elle avec sa main libre, trouvant sa chatte humide et attendant.
Coincé entre sa queue entre ses fesses et ses doigts entre ses lèvres, Gaby frissonna alors que les doigts de Max provoquaient un autre orgasme. Elle poussa contre ses hanches poussées, jusqu’à ce qu’il jouisse également, son jus chaud se répandant dans le bas de son dos.
Quand Gaby s’est réveillé le lendemain matin. Elle pouvait encore sentir le désordre collant sur son dos, ils n’avaient pas pris la peine de nettoyer au milieu de la nuit. Elle tendit la main vers Max et, à sa grande surprise, découvrit qu’il était toujours dur. Ou encore dur, avec le matin, supposa-t-elle.
En repensant à ses histoires, elle se demanda comment une fille vraiment soumise réveillerait son petit ami. La réponse était évidente, alors elle rampa sous les draps et le prit dans sa bouche.
Max ne s’est réveillé que juste avant de venir.
Gaby était fière de la rapidité avec laquelle elle avait réussi à le faire jouir en utilisant uniquement sa bouche. Elle avala tout ce qu’il lui offrait, ne pensant qu’un instant que cette fois elle avait oublié le préservatif.
Max écarta les couvertures et la regarda avec un sourire. “Une petite amie si gourmande.” Il a dit.
Gaby rougit. Comment avait-elle été gourmande ? Elle avait fait ça pour lui, n’est-ce pas ?
“Je veux nous faire tester tous les deux pour les MST.” Dit-elle.
“Pas la salutation matinale la plus romantique.” Max a répondu.
“Je ne veux tout simplement pas continuer à m’embêter avec ces préservatifs à chaque fois.” dit Gaby. “Je prends la pilule, donc si nous sommes tous les deux propres, nous pouvons nous amuser davantage sans ces choses.”
Max hocha la tête. « Je pensais la même chose hier soir, même si je ne savais pas trop comment te le dire. Je suppose que te donner l’oral en premier aurait peut-être marché.
Gaby gloussa.
A la table du petit déjeuner, ils parlaient peu. Ils ne pouvaient pas prolonger ce deuxième rendez-vous beaucoup plus longtemps; mais pendant que Gaby prenait une douche, elle sentait qu’elle pouvait le séduire une fois de plus. Elle n’avait pas encore reçu la fessée de cette gentille fille après tout.
De retour en bas, Max ne portait toujours qu’une robe de chambre, alors qu’elle portait la lingerie et les bas d’hier. Elle portait sa robe, pliée dans ses bras.
“Tu sais que tu ne peux pas sortir comme ça.” dit Max.
“Je pensais juste que tu voulais me dire au revoir comme il faut.” dit Gaby.
Max soupira. “Qu’est-ce que je t’ai dit sur le fait d’être cupide, Gabrielle ?” Il a demandé
Gaby rougit. Il n’avait pas semblé s’en soucier quand elle le réveillait au milieu de la nuit, ou le matin avec sa bouche.
“Mais je n’ai pas eu de fessée.” Elle a fait la moue. “J’avais tellement hâte d’y être.”
« Je t’ai dit hier que tu devrais attendre encore un peu. Tu n’es pas obligé de tout obtenir en même temps dit Max.
Gaby fit la moue et mit ses plus beaux yeux de chiot.
“Je vais compter jusqu’à cinq et ensuite tu vas mettre cette robe, jeune fille.” dit Max.
“Une.”
Gaby lécha ses lèvres.
“Deux.”
Il était hors de question qu’elle le laisse lui faire peur pour qu’elle le mette.
“Trois.”
De plus, s’il allait lui donner une fessée, elle obtiendrait exactement ce qu’elle voulait.
“Quatre”.
Bien que… Ce premier rendez-vous fessé n’était pas quelque chose qu’elle voulait voir répété, n’est-ce pas ?
“Cinq!”
Merde! Trop tard.
« C’est ça jeune fille. Tu as été une bonne fille pendant tout ce rendez-vous ; mais maintenant je vais devoir te renvoyer chez toi avec un derrière rouge. dit Max.
Gaby rougit, mais ne protesta pas.
Max lui prit le poignet et la guida vers le canapé. Il lui prit sa robe et la posa sur la table basse avant de la mettre sur ses genoux.
Sa main atterrit violemment sur son derrière.
Gaby gémit doucement. “Attends.” Dit-elle. « Je suis désolé, je ne voulais pas être méchant. Je pensais que tu me donnerais une fessée amusante.
Max lui a encore donné une fessée. « Je t’ai dit deux fois que je n’allais pas le faire. Ne prétend pas que tu ne savais pas que tu allais avoir des ennuis si tu continuais à désobéir.
Gaby se mordit la lèvre. Elle avait su, alors pourquoi avait-elle continué à agir comme elle l’avait fait ?
Max lui frappa les fesses à nouveau. “Si tu vas agir comme un gosse cupide, c’est comme ça que je vais te traiter, Gabrielle.” Il a dit.
Gabt rougit. Elle ne s’était jamais considérée comme une gamine ; mais la façon dont elle l’avait défié pendant son compte à rebours était un comportement évident de bratty.
Elle couina quand Max la frappa fort et vite. “Eh bien, as-tu autre chose à dire?” Il a demandé.
Gaby secoua la tête. “Non monsieur.” Elle a répondu, en s’avouant qu’elle avait ceci à venir.
La main de Max se posa encore et encore sur ses fesses. Envoyant des chocs de douleur à travers sa peau et ses fesses. Il a baissé sa culotte à mi-chemin et a décroché la prochaine volée de claques sur ses fesses nues.
Gaby gémit et se tortilla. Cela ne ressemblait en rien à la fessée sensuelle qu’elle voulait, mais elle se sentait toujours excitée d’être fessée.
Lorsque Max s’est arrêté pour lui frotter les fesses, elle a su que l’échauffement était terminé. Ses fesses lui piquaient déjà. Quand il leva à nouveau la main, elle sut qu’il était sérieux au sujet de cette fessée.
Ses fesses rebondirent sous sa main. Gaby donna des coups de pied et couina, ses fesses étaient en feu. Elle a promis de bien se comporter, l’a supplié d’arrêter et a juré de ne pas être aussi gourmande lors de leur prochain rendez-vous.
Max ne s’est pas arrêté jusqu’à ce qu’elle sanglote et gémisse, les larmes sur son visage et son corps flasque après que tout le combat soit sorti d’elle.
Quand il la laissa se lever, il la serra fort contre lui.
“Merci Monsieur, je suis désolé d’avoir été un gamin si gourmand.” dit Gaby.
« J’espère que tu feras mieux la prochaine fois, Gabrielle. C’est deux rendez-vous d’affilée que tu te retrouve avec des fesses rouges et douloureuses. Maintenant, mets ta robe. dit Max.
Gaby rougit en enfilant sa robe. Quand elle a remonté sa culotte, elle était douloureusement serrée autour de ses fesses.
Lorsque Max lui a montré la porte, elle s’est demandée pourquoi elle attendait déjà avec impatience leur prochain rendez-vous. Certes, elle s’était amusée aux deux rendez-vous, jusqu’à ce qu’elle ait mérité cette fessée vers la fin. Elle réalisa alors qu’elle voulait ces fessées disciplinaires strictes autant qu’elle avait voulu le sexe auparavant. Elle n’est pas sortie avec cet homme malgré sa fessée, elle est sortie avec lui à cause de cela.
“Je suis désolé d’être une si mauvaise fille, monsieur.” dit-elle à la porte. “J’essaierai plus fort la prochaine fois.”
Max l’a embrassée au revoir. “Assure-toi de le faire, tes fesses auront besoin de repos après ces deux premiers rendez-vous.”
Gaby fit un signe de la main et s’éloigna. Désolé monsieur. Elle pensait. Mais tu vas juste devoir me fesser encore. Je suis ton sale gosse après tout
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Elle me connaît bien…
Samedi soir, il est exactement Minuit, après avoir roulé une cinquantaine de km je me retrouve devant sa porte, je prends sa clé, je l’insère dans la fente, en un clic me voilà à l intérieur.
Le couloir est sombre, j’attends un petit instant que mes yeux s’habituent à ses ténèbres.
Puis sur ma droite, j aperçois une faible lueur dansante et chaleureuse provenant du salon. Immobile, une douce musique s’invite à mes oreilles ,je reconnais le duo « sull aria » ,les noces de Figaro de Mozart… Elle me connaît bien.
Dans cette obscur clarté , je pose délicatement ma mallette sur le tabouret en bois près de la porte d’entrée et je me dirige lentement vers cette lumière qui m’appelle. Le grincement du parquet rythme les pas de mes bruits silencieux. Pendant ma progression , un doux parfum de vanille sucrée mélangé au bois de Santal Indien parvient à mon nez et commence à envelopper tout mon être …Elle me connaît bien.
Me voilà devant cette intrigante pièce, des bougies blanches parfumées sont réparties un peu partout sur le sol près des murs blancs.
Je vois au milieu de cet espace mon beau Fauteuil en velours vert, sur sa droite, un guéridon circulaire en bois vernie à quatre pieds . Sur celui-ci, est disposés une bouteille de vin blanc sucré entamée , un verre à pied rempli au trois/quart, une boîte à cigarette ouverte contenant 5 cigarettes noires et longues ,un briquet doré en forme de Dragon, un cendrier rond en céramique vert à la bordure dorée. Et appuyée sur le bord, se trouve ma belle cravache noire …Elle me connaît bien.
Puis sur la gauche du Fauteuil, je la vois Elle, Mon objet le plus précieux qui fait de moi ce que je suis. Agenouillée sur le tapis gris à poil long,le buste droit, la tête baissée, les mains posées au dessus de ses genoux écartés , laissant entrevoir le haut de ses lèvres roses et sa mince toison brune…elle m’attend…Elle me connaît bien.
Quelle belle image: ses belles fesses rebondies sont assises sur l’ arrière des talons de ses escarpins noirs, les pointes perpendiculaire au sol. Ses bas noir remontent jusqu’à ses fines cuisses tenues par un porte-jarretelle à dentelle noire.
Un corset noir argenté lui ceinture finement la taille afin d’exposer à mon regard ses magnifiques seins nus. Son cou délicat est orné par un large collier en cuir noir accroché à une chaîne à petits maillons serrés. Le bout de la chaîne est enroulée sur le bord du Fauteuil…Elle me connaît bien.
J’avance doucement ,les ombres des bougies m’accompagnent dans cette rencontre. Je pose ma main gauche sur sa douce chevelure blonde et la caresse trois fois,j’entends son petit gémissement, alors brusquement j’empoigne ses cheveux et tire sa tête vers l’ arrière , de ma main droite je lui serre le haut du cou.Son regard « bleu » s’accroche au mien « noir » et me laisse la pénétrer par cette porte azurée ,puis je jette ma bouche contre la sienne, mes lèvres humides écrasent ses lèvres maquillées de rouge la forçant à l’ouvrir , ma puissante langue s’engouffre et envahit furieusement ce bel orifice, je ne la laisse pas respirer. Coincée dans mon étau,entre ma main derrière sa tête, l’autre qui serre le haut de son cou et ma bouche dans la sienne , elle me subit, docilement sans bouger car elle sait qu’elle ne doit pas bouger. Elle est à moi, elle m’appartient, elle est ma propriété…
Elle me connaît bien…
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Saurais-je
Vous plaire
Fébrilement
Vous dessiner
Ce sourire
Sur votre visage
Celui qui vous fait rayonner de tout feu…
Sans allumer la flamme
Saurais-je
Découvrir
Déposer
Ressentir…
Mon ame est fébrile
D’entrevoir
Cet emballement
Cette magie
Qui émane de vous,
Madame
Vous êtes Source d'envie
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Texte ecrit par une merveilleuse ex soumis..
Un bouquet pour sa soumise
Elle était à quatre pattes en position d'attente...
Il arriva, l'observa comme à Son habitude, silencieux... puis Il s'approcha d'elle... elle Le salua, tête baissée, elle ne voyait que Ses pieds... Ses pieds.... comme elle aimait y être...
Il la salua aussi. Puis Il lui dit
- tiens regarde, j'ai une surprise pour toi...
elle leva les yeux toute souriante, elle était ravie qu'Il lui fasse une surprise, impatiente de savoir ce que c'était... mais son sourire disparu et elle ne dit rien...
- tu ne dis rien? je t'ai cueilli un beau bouquet et on dirait que ça ne te fait pas plaisir... lui dit Il taquin
- oh, euh, si si Maître, je suis... ravie que vous pensiez à moi...Elle cherchait quoi dire, sans être désobligeante... je vais aller le mettre dans l'eau si vous voulez bien et à l'abris des poilus dans une autre pièce... je ne voudrais pas qu'ils abîment un bouquet si ... particulier...
- toujours aussi maligne ma petite chienne, mais non, tu ne le mettras pas dans une autre pièce... lui dit Il en souriant
- qui ne tente rien, n'a rien...
- tenter, tu peux oui... même si ça ne sert pas à grand chose...
Il posa son bouquet sur la table, alla chercher son collier qu'il lui passa autour du cou, y accrocha la laisse... Il commença à la toucher, elle Lui appartenait, Il le montrait dans Ses gestes... Ses doigts fouillèrent son intimité, elle allait à leur rencontre, se trémoussait dessus.... Il enfonça bien ses doigts
- avance...
Il la dirigeait par son intimité, elle avait du mal à avancer, elle aurait préféré se faire du bien sur Ses doigts... elle avançait, faisait quelques pas, marquait une pause, elle voulait qu'Il bouge Ses doigts, mais Il ne le faisait pas...
- avance je t'ai dit
Elle repartit... Il la dirigea jusqu’à la table...
- lève toi et penche toi sur la table
Elle se leva, il avait toujours ses doigts en elle, elle se coucha sur la table, écarta bien les cuisses, se cambra, ondula sur Ses doigts, elle en voulait encore....
- pas encore ma petite salope....
elle soupira....
Il enleva Ses doigts et alla chercher Ses cordes, lui attacha les chevilles aux pieds de la table, lui mit les bracelets aux poignets qu'Il attacha ensuite au collier... et lui banda les yeux
- bon comme la beauté de ton bouquet ne te parle pas, on va l'utiliser autrement qu'en décoration... quoi que ça va bien décorer quand même.... mettre de la couleur.... sur ta belle croupe
Il s'écarta d'elle un instant, revint, lui caressa les fesses, lui mit une bonne claque sur chaque fesse, elle tendit tout de suite son postérieur pour en avoir encore.... mais ce n'est pas Sa main qui s'abattit sur ses rondeurs mais le bouquet.... d'orties...
Instantanément, ça piqua, brûla, gratta, elle n'aimait pas du tout, mais il continuait.... elle prit sur elle et se retient de faire le moindre bruit... Elle essayait d'oublier... s'accrochait à son collier...
Il s’arrêtât quand la couleur fut à Son gout... Son fessier était en feu... c'était infernal... et ça allait durer...
Il reposa le bouquet défraîchi sur la table... Il la détacha... la prit dans Ses bras... la calina... elle avait résisté pour Son plaisir...
(Après je bloque... avec les fesses en feu, je ne vois rien d'envisageable de plus... sourire)
--
petite soumise Lildya
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Fendre l’armure,
Rendre les armes,
Fondre en larmes.
Episode pirate,
L’Albator s’incline,
La Sylvidre exulte.
Déesse des forêts,
L’enlace, le lacère,
L’harasse, elle exulte.
Instants cordes & liens,
En relation cornélienne,
Du vaisseau au vassal.
Pour elle, il s’érige,
Pour lui, elle édicte,
S’éveillent, s’émerveillent.
Elle veut tant,
Il est haletant
Ont le temps
Moments carrousel
Sa main à l’encolure
Fermement, le dresse
Elle va tout prendre.
Ordonne à son adresse,
Indécente, incandescente.
L’inquisitrice réquisitionne,
L’administre de l’intérieur,
En profondeur, le fouille.
Elle lui dit, l’hâte
ôte la pudeur, l’agrippe,
en devient l’hôte.
Elle s’enfonce
A la lune pâle.
S’empare. Lui s’empale.
Ils s’avouent tout,
A cordes et à cris,
Savourent, salivent, s’élèvent.
Délacé,
Délassée,
Démasqués.
En chœur, en cordes,
En cœurs, encore,
En corps, s’accordent.
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J’avancai inexorablement comme sans vie
Teinté de toute ces nuances de gris
Trembler de desirs encore
Se sentir de nouveau eclore
Sentir à nouveau ce sentiment
Qui s’épanouit « en dedans »
Les blessures inscrites en sa chair
Dans son esprit , une bouffée d'air
Puis au coin d'un sous-sol , la voir
Fait vibrer violemment de ses mains le charnu
ses cheveux ondulent , mon esprit ému.
Et ressentir l'envie de la revoir
Elle a su allumer en moi l’étincelle
Et me voila me presentant à ELLE
Mes hommages presentés a cette belle
Pour esperer un regard d'ELLE
Me retrouver naturellement a ses pieds
Ce cuir que je n'ose carresser
Trembler de timide plaisir encore
La respecter et attendre
Attendre sa roulette en recompense
Douleur et plaisir se compensent
Sentir ses mains qui me rassurent
Trembler de plaisir pour sur
Vos mots sonnent et resonnent
Comme nulle autre personne
Mon corps , mon ame et mon esprit
Et tout ces sens reviennent à la vie
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