La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/02/22
Texte personnel, ne pas diffuser sans mon autorisation. Photo @Dame Sweet  ***************************************************************************** Monsieur gère mon emploi du temps. Nous sommes mardi, tous les mardis Il m'élargit, me sodomise. Profondément, avec force, sans oublier une certaine technique. Il arrive, immense dans l'encadrement de ma porte, descend les quelques marches S'installe dans le fauteuil Regarde la tenue qu'Il a souhaité que je porte Sans un mot, Il ouvre son zip et je le prends en bouche : c'est notre rituel. Rien ne se passe, pas un mot, pas une caresse, pas une salutation, avant ce moment précis. "Bonjour pute" dit-il. Vas-tu bien ce mardi ? Son sexe en bouche, je hoche la tête pour dire oui. Je savoure ce moment où je ne sers qu'à ça, à Lui. Un objet. Fonctionnel. Je me concentre sur Lui, Le prendre, arrondir les lèvres, pour Lui, que pour Lui. "Arrête, pute, c'est assez maintenant" Je me redresse, un filet de bave descend sur mon menton. Je ne sais pas quoi faire, que va-t’ Il décider pour la prochaine minute ? Un câlin, enfin. Qui fait du bien. Un contact humain, qui me nourrit. "Monte l'escalier devant moi, arrête-toi sur la première marche." Je m'arrête, Il écarte mes jambes avec son pied. Me fouille, installe Ses longs doigts dans mon sexe, mes orifices, tous mes orifices. Plusieurs doigts. "C'est bien, monte maintenant" Et je monte ainsi l'escalier, tenue bien fermement par mon intimité. Plusieurs doigts. Déjà un peu pleine de Lui. Cette prise étroite et profond me rassure, m'apaise. Et Il le sait. Il me dirige par le sexe, avec ses doigts, me fait arrêter sur le palier après quelques marches. "Bras sur le mur" Je m'exécute, évidemment. Il est en moi, avec ses doigts, preuve évidente de mon appartenance. Et je trouve ça normal, vu que mes orifices sont à Lui. Il me travaille avec ses doigts, encore et encore, entre et sort. "Jouis pour moi, pute, quand je te dirais" Bien Monsieur Que faire d'autre ? Echevelée, hypnotisée par ce qui se passe, par cette perversion que je vis, je suis stupéfiée de moi, d'aimer cette dépravation, cette souillure, cette luxure. "Jouis. Maintenant", dit-Il en accélérant le rythme Je hurle et jouis, je coule sur le sol en une flaque, témoignage de mon plaisir. Comment faire autrement ? Dès qu'Il passe la porte, j'ai envie de ça, de m'oublier et devenir cette part sombre de moi-même.
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Par : le 13/02/22
Les lèvres ne prononcent pas Le coeur pense Les yeux disent Car ces mots là N'agressent pas Ils ne blessent pas Et ne tuent pas Lorsqu'ils sont d'amour, de tendresse Lorsqu'ils sont posés comme une caresse Alors ils veulent dire tous les "je t'aime" du monde Le 07 02 2022
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Par : le 01/02/22
Sous les nuances d'éclairs dans les yeux Lueur qui pétille quand ils se fondent en elle La flamme coiffe ce lit à séduire en ce lieu L'étincelle d'amour aux couleurs aquarelle La braise du désir s'affermit sous leurs doigts Ce frisson de lumières guidé par l'instinct Bien au-delà d'une nuit aux traits de soie Besoin de confier la dévotion dans un écrin Enrubanné de dentelles, brodé de tendresse Ces saveurs velours sur un jardin de plaisir Abriter l'invité au creux de douces ivresses L'impatience d'accorder le dernier soupir Ces nuits vagabondes entre les nues en perdition Éclat d'un croissant de lune discret et joyeux Brûlante fièvre dont l'âme est rébellion Quand la braise évoque une larme de vœux Le 31 01 2022 fiction
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Par : le 31/01/22
Je ne suis pas du genre à fermer les yeux ni à baisser le regard. J’aime regarder la réalité en face, quand bien même elle n’est pas toujours ce que je voudrais qu'elle fût. J’ai besoin de croiser mon regard avec celui des autres. Et celui de mon mec/Maître en particulier. _____ J’ai aimé ce que j’y ai vu dès son premier regard. Son désir. La certitude que je correspondais à ce qu’il espérait. Son envie de me posséder. J’ai aussi aimé ce que je voyais. Son corps, son allure, son style. Sa façon d’être, de bouger, d’occuper l’espace. Et aussi cette bosse que je distinguais au niveau de son entrejambe :smile:. _____ J’aime ce qui est beau. Et c’est beau, un mec. Alors, je continue de les regarder quand je croise un spécimen intéressant. Et ça ne me gêne pas de susciter non plus leur intérêt. Quand bien même il ne se passera rien entre nous. Rien d’autre que deux regards qui se seront croisés, l’espace d’un instant. Comme une manière de nous reconnaître, de nous dire que nous sommes semblables. Il ne me déplaît pas non plus que les mecs me matent. Après tout, je fais pareil les concernant. Et, lorsqu'avec mon mec nous sortons ensemble, au restau, au ciné, au théâtre, j’aime sentir sur moi le regard envieux des autres mâles. Pas par exhibitionnisme, encore moins pour le rendre jaloux. Puisque même lui a fini par comprendre qu’il n’y avait pas de risque :smile:. Mais bien pour montrer à tous ma fierté d’être à lui. _______________ Mais c'est surtout lui que j'aime à regarder. Maxime, mon mec/Maître. Le contempler quand je me réveille la nuit ou au petit matin, alors qu’il dort encore. Admirer ses formes, son corps nu, sa queue au repos. Le regarder aussi dans les yeux, lorsqu’il décide de n'être plus mon mec mais mon Maître. Pour m’agenouiller certes devant lui, mais le regard tourné vers lui. Fière de lui prouver ma soumission. C’est pour cela que je n’aime pas trop quand il me bande les yeux. Parce que cela me prive du plaisir de le voir lui. _____ Alors, non. Fermer les yeux ou baisser le regard, ce ne sera jamais mon style. Puisque c'est d’abord par le regard que nous construisons notre vision du monde. Celle que j'aime partager désormais avec lui.
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Par : le 30/01/22
Je suis attaché sur la table basse, à genoux, tête contre le bois, dos cambré et cul bien relevé. Ma Maîtresse a pris soin que je sois bien installé pour que son plaisir puisse durer longtemps. Les cordes m’immobilise les bras, les jambes, la tête. Mes mouvements sont des plus réduits et je ne peux pas voir ce que prépare Ma Maîtresse. Son silence ne me donne aucune indication sur l’utilisation qu’Elle fera de Sa chose. Je n’ai pas d’inquiétude, Sa créativité est toujours fabuleuse. Soudain, je sens le froid du lubrifiant sur ma rondelle et la pénétration d’un gode mais je n’arrive pas à l’identifier lorsque Ma Maîtresse me demande. «Alors Rnby qu’est ce qui est dans ton cul ?» J’hésite, «Est-ce que c’est un crochet Maîtresse ?» et pourtant je ne ressens pas la tige métallique qui remonte sur mon dos. «Mauvaise réponse, tu es tellement dilaté Ma salope que tu ne sens même pas ce que tu as dans ton cul» J’ai honte de ne pas pouvoir lui répondre ; Elle a raison, je ne suis qu’une salope. Ma Maîtresse me donne quelques indices au moment où je ressens une pression de plus en plus forte sur les parois de mon anus. Je balbutie sans aucune assurance : «C’est un écarteur Maîtresse ?» «Oui Ma salope» Je n’aurais jamais pu deviner sans l’aide précieuse de Ma Maîtresse. Il a tendance à s’échapper. Alors Maîtresse le lie à une cordelette qu’elle relit à mon collier pour l’empêcher de ressortir. C’est gagné et Maîtresse prend possession du trou béant que forme mon anus. Elle ouvre l’écarteur au maximum, le chauffe avec les bougies, éclaire mon rectum car son large anneau laisse un grand passage, souffle dedans comme dans un bocal éteignant même les bougies qu’elle rallume dans la foulée. Même en ayant identifié le dildo, mes sensations sont confuses. «Mais Ma salope, tu coules» me souffle Maîtresse Je ne peux pas lui cacher, j’aime être fouillé ainsi comme une vrai salope. Je pense aussi à la satisfaction que doit en retirer Ma Maîtresse de m'humilier ainsi. Sa roulette et Son martinet me font sursauter et crier. «Silence Rnby» La douleur que vient chercher Maîtresse pour sa jouissance devient de plus en plus forte, jusqu’aux larmes. Au propre comme au figuré, Elle va les chercher au plus profond de mon corps. Je suis maintenant bien dilaté et Maîtresse décide de libérer la cordelette qui retient l’écarteur. Je le sens s’échapper. La Main de Ma Maîtresse vient rapidement occuper la place vacante et exciter ce nouveau vagin. Maîtresse m’invective. «Jouis Rnby, dépêche-toi, jouis Ma salope» Je sens Ses Mouvements de plus en plus forts, de plus en plus excitants sur ma prostate. C’est vraiment très jouissif. «Allez tu vas jouir Ma salope» exige Ma Maîtresse en s’enfonçant encore plus profond Je sens la jouissance monter irrésistiblement par Sa Main, l’impression d’être rempli profondément. Je gémis au rythme imprimé par Ma Maîtresse. Et puis comme un torrent, un grand frisson m’envahit partant de ma nuque jusqu’au bas du dos me laissant pantelant. Ma Maîtresse m’a mené jusqu’à l’orgasme. Je suis troublé d’avoir eu cet orgasme très loin des standards masculins et d’avoir pris autant de plaisir. Elle m’humilie en me faisant passer de chose insignifiante à salope. Elle a déclenché cet orgasme aussi facilement qu’Elle a fait couler mes larmes, me faisant passer par toute les émotions. C’est Ma Maîtresse qui m’a emmené jusque là alors cet orgasme prend une valeur toute particulière que je ne suis pas prêt d’oublier. Merci Maîtresse de me procurer ce plein d’émotions.
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Par : le 30/01/22
#MMM, vous connaissez peut-être. Le hashtag créer par Charline Vermont autrice du compte Instragram @orgasme_et_moi. A l'origine, ce hashtag indiquait "Meufs Mecs Merveilleux.ses", qui s'est mué, dans un souci d'une plus grande inclusivité à "Mixed Marvelous Minds". Faut-il aujourd'hui en regretter l'anglicisation alors que le processus initial portait sur l'expression d'une pensée en français ? je l'ignore. Fait est que le hashtag #MMM est largement adopté et se croise régulièrement dans les profils d'appli de dating et les sites de rencontres, les personnes qui souhaitent indiquer qu'elles sont ouvertes à une sexualité décomplexée et bienveillante. Ce que d'autres ont nommé de longue date sexualités alternatives (notez les pluriels). Le glissement progressif d'un monde de sexualités aux nombreuses formes d'expressions, avec ou sans pouvoir qui s'exerce lors des jeux sensuels (D/s, soumission, shibari, discipline érotique, contrôle sensuel du partenaire...) pour une sexualité décomplexée et bienveillante, nouvelle dénomination pour des pratiques qui demeurent dans l'exécution, les mêmes que celles de nos aïeux. C'est dans la forme, dans la communication qu'il est signifié des attentes avec une précaution importante quant aux exigences de formulations explicites, modalité inclusive et soucieuse de ne pas créer d'incertitude pour les partenaires. Les générations antérieures aux années 1990 ont connu le consentement implicite, non sans avoir préalablement négocié les actes à venir, aujourd'hui il se doit d'y avoir une permanence dans l'acquiescement des partenaires à agir dans l'instant. Nouveau protocole d'expression et de sa permanence, avec pour corollaire de s'assurer de ne pas outrepasser l'accord des participants afin de ne pas créer de traumatisme, de violence. La généralisation du questionnement permanent du consentement dans l'action interroge sur la faculté à pouvoir lâcher-prise, et cela même dans l'espace/temps de déconnexion et d'envole vers les EMC (état modifié de conscience) propres à la libération de l'orgasme de quelque genre fusse-t-il. L'enthousiasme du consentement initial doit avoir pour préalable la préoccupation des protagonistes à interroger la validité de la responsabilité de chacun à formaliser ce consentement aux actes à venir, il ne faut jamais sous-estimer la phase où il va devenir plus incertain (EMC) de pouvoir s'exprimer sans avoir à garder les pieds sur terre. Cette quadrature du cercle doit faire autant réfléchir les plus matures comme les plus jeunes, si d'un côté, les quadras et plus doivent s'approprier ces nouveaux protocoles de dialogue et de communication, il ne faut pas que les moins de quarante ans oublient qu'il n'est pas acquis d'avoir une permanence de conscience et de capacité à exprimer en toute lucidité, sa responsabilité au travers du consentement à l'action en cours. Comme pour l'ensemble des résonances #SexPo, les approches positives et enthousiastes des rencontres et relations amoureuses n'échappent pas aux opportunismes des prédateurs et prédatrices, aujourd'hui désignés "wokefishers". A vous de cerner la sincérité et l'éthique de vos correspondants. Je ne doute pas qu'il soit heureux de pouvoir mieux communiquer, exprimer de façon formelle ses actions à venir, les accompagner de paroles, de mots qui permettent une douce mélodie sensuelle. Que les "Meufs Mecs Merveilleux.ses" puissent se rencontrer et s'épanouir, c'est toute la délicatesse que je leur souhaite.
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Par : le 29/01/22
Tu me dis souvent que je suis sensuelle. Et c’est vrai que j’aime goûter aux plaisirs des sens, que je suis réceptive aux sensations physiques. Et au sexe en particulier. Je sais que ce faisant je ne suis pas dans l'air du temps. Parce que notre puritaine modernité n’aime pas la sensualité et réprouve tout ce qui rattache aux sens. Passe encore pour la vue et l’ouïe, à condition de demeurer dans les limites du respectable. Surtout ne pas donner une image de la femme qui pourrait susciter le désir toujours inapproprié du "Mâle prédateur". En évitant aussi les mots qui pourraient être mal interprétés par les victimes prétendues de préjugés sexistes ou autres. Nous laisser toucher est pour certaines immédiatement assimilé à du harcèlement. Nous chassons en permanence tout ce qui est odeurs, à grand renfort de déodorants ou de désodorisants. Et pas question évidemment de vouloir goûter l’autre. Mais je m’en fous. Le désir des hommes et la manière dont ils le manifestent n'a jamais rien eu de choquant à mes yeux. Et en tout cas, pas le tien :smile:. _______________ Surtout, les sens et l’usage que j’en fais sont aussi pour moi un moyen d’appréhender le monde, de me relier aux autres. De t’appréhender toi, de me relier à toi. En assumant ma part d’animalité. Alors oui, je suis certainement sensuelle. _______________ Mais ma façon de vivre ma sensualité ne se limite pas à faire usage de mes sens. Elle est aussi quête du sens. Celui que je mets dans ma façon d’être, de vivre. Et surtout le sens que j’entends donner à ma vie à tes côtés. Une quête de moi-même au travers de toi. Et de toi au travers de moi. Pour appréhender ensemble l’essence de ce que nous sommes.
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Par : le 29/01/22
Voici plusieurs années que je n’ai pu porter un slip ou l’un de ces ridicules caleçons à la mode qu’il y a vingt ans seulement, aucun homme moins que nonagénaire n’aurait voulu enfilé. P. est très stricte sur ce point et si je ne suis nu sous mes vêtements je n'ai droit de porter qu’un mince string ficelle de taille S, qui peine à couvrir mes organes. Je me souviens de ce dernier jour où je m’étais présenté devant P. portant un slip sous un pantalon de toile. Je sortais alors avec P. depuis quelques semaines et nos relations étaient agréables mais banales et rien ne laissait présager la tournure qu'elles prendraient bientôt et les liens profonds qui en découleraient. Lien, profond et couler ne peuvent être des termes mieux choisis. Ce jour là, à peine arrivé chez elle, je me rendis compte que P. faisait la moue, ma compagnie ne semblait visiblement pas lui procurer un grand bonheur. Alors que nous discutions de banalités, P. me demanda subitement de me déshabiller et voyant mon slip m’ordonna fermement, à ma grande surprise, de le lui remettre et de la suivre. P. me dit alors « Regarde bien ce slip car tu n’en porteras plus » et le jeta à la poubelle, son visage s'éclairait. Je restai interloqué ne sachant que répondre. Elle poursuivit. « Dorénavant tu ne porteras pas de sous-vêtements en ma présence, à l’exception de ce string et aucun autre, ton sexe doit être en permanence disponible ». Elle me montra un string d’une taille ridiculement petite. "Je pressens que tu es doué, dès ton premier massage je savais que je te ferai un jour cette proposition ! Je t'offres une éducation pour de nouvelles relations intenses, hors du commun. J'ai éduqué d'autres hommes autrefois quand j'étais à Paris où ma réputation était des meilleures. Mes élèves étaient forts appréciés. Comprend bien que tu vivras dorénavant exclusivement pour le sexe mais que tu en deviendras l'esclave, tu découvriras des plaisirs intellectuels et physiques inouïs au prix d'un abandon total de ton corps au delà ce que tu imagines " "Si tu acceptes ce nouveau mode de vie écarte les cuisses pour que je t'équipe. Si tu refuses remonte ton pantalon et n'en parlons plus" Quelques instants plus tard, un string moulait parfaitement mes parties génitales malgré sa petitesse. En un éclair, P. avait glissé avec une grande dextérité la bande de tissu entre mes fesses bien plaquée contre mon anus, positionné le triangle qui peinait à contenir les formes et refermé les crochets qui maintenaient parfaitement l’ensemble du sous-vêtement. La sensation était délicieuse. Le tissu ni trop étroit, ni trop large frottait contre mon anus au moindre mouvement, transmettant de délicieuses caresses à chaque instant. Comment n’avais-je pas découvert plus tôt un tel plaisir ! Seul ce modèle me procurait une telle sensation. Je ne le quitterais plus. Sobre et noir, ce string était orné d’une petite plaque en métal gravée de la mention ‘EROS‘ à l’aplomb du pénis, suffisamment réduite pour être de bon goût. Des crochets plats en limite du triangle de tissu permettaient de le mettre ou de l’enlever sans ôter le pantalon. Je n’imaginais pas comme cette conception allait servir l’usage que P. lui destinait. « Viens nous allons à présent déterminer tout ce que tu dois savoir et faire pour être présentable » dit-elle alors que nous retournions dans le salon. Elle s’assit sur le canapé me demandant de rester debout devant elle dans cette tenue.
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Par : le 25/01/22
Elle m'a détaché rapidement et m'a appuyé sur la tête pour me forcer à lécher mon foutre sur ses chaussures. Sans réfléchir, je me suis allongé et commencé à lécher mon propre sperme. - "Nettoie bien, il faut que ça brille, petite salope" Je m'appliquais du mieux que je pouvais. - "Maintenant, dégage, je ne veux plus te voir ! " Tête baissée, je me suis dirigé vers un coin de la pièce. -" Je ne t'ai pas dit d'aller au coin, espèce de puceau de merde. Je t'ai dit de dégager ! Dehors ! Reprend tes affaires et dégage ! Et si je te revois, je te promets que tu vas le regretter". Ouch, je ne m'attendais pas à ça. Tout penaud, je me suis levé et me suis dirigé vers la porte. De l'autre côté, Maitresse Sylvie semblait m'attendre. Comment pouvait-elle savoir ? Sans un mot, elle m'a ramené au casier où j'avais laisser les affaires. Je tentais de ma rhabiller mais Maitresse Sylvie me pressait et me frappait de son fouet pour que je me dépêche. Elle m'a poussé dehors et a claqué la porte derrière moi. J'étais donc en caleçon, dans la nuit, à 2h de chez moi. Je terminais de m'habiller à la hâte et rentrais chez moi en repassant dans mon esprit cette étrange soirée. De nombreux sentiments se mélangeaient dans ma tête. D'abord la joie d'avoir réussi à dépasser mes craintes, la satisfaction des punitions que j'ai reçu mais aussi l'incompréhension face à la réaction de Maitresse Lucy et la crainte de représailles comme l'interdiction definitive de revenir. Car mine de rien, j'avais beaucoup apprécié cette soirée même si les marques que j'avais reçu me faisaient encore mal. Je suis arrivé vers 2h du matin chez moi. Sitôt arrivé, je me suis effondré sur mon lit et me suis endormi assez vite tout en repensant à cette nouvelle expérience... Fin de la partie 1 --------------------‐---------------------------------------------------------------- Ce chapitre est le dernier de la partie 1. J'attends impatiament vos retours et commentaires sur cette partie. Voulez vous la partie 2 ? Qu'aimeriez vous y lire ? Des idées à me proposer ?
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Par : le 25/01/22
« Du premier contact à la symbolique du collier. » < Cet article a pour vocation d’aider les dominants et les dociles à gérer au mieux leurs intérêts communs et respectifs dans le processus de prise en main propre au BDSM. > < Il est regrettable que trop souvent les uns comme les autres lorsqu’ils sont à la recherche du partenaire idéal agissent de manière opportuniste et sont même dépasser par les événements or la moindre erreur peut s’avérer fort préjudiciable. Il faut le savoir et avoir conscience en premier lieu qu’une relation bdsm ne né pas du tout de la même façon qu’une relation vanille en fait elle obéit à une logique. > < Elles ressemblent quant à elle à ces mariages arrangés d’autrefois, on se recherche activement et systématiquement, on étudie ensuite l’opportunité de former un couple de manières réfléchies puis lorsque l’on s’est accordé sur l’essentiel, on s’engage formellement et l’on apprend peu à peu à s’apprécier et à s’aimer.> < Mais pour faire suite, il était logique que je vous parle de ce Graal à ce qui motive le fond de mon article, c’est-à-dire la Symbolique profonde du collier. Du premier contact à la remise de l’objet, le processus de prise en mains est long complexe et rigoureux même s’il est vrai que c’est la soumise qui choisit son futur maître, c’est au dominant de diriger la relation dés le premier jour, il doit garder le contrôle des événements et gérer correctement le timing ce qui lui permet de démontrer sa capacité à structuré les rapports du couple. L’empressement est à proscrire d’un côté comme de l’autre. Le laxisme est tout aussi néfaste, il entache la relation pour toujours. L’expérience démontre qu’une docile incapable de se comporter comme une vraie bonne soumise avant même d’avoir été prise en main ne pourra que très difficilement changer du tout au tout une fois qu’elle portera le collier de son nouveau propriétaire. De même un dom qui a l’égard d’une soumise potentielle se montrerait faible ou même incapable de garder la maîtrise dès ses envies et de ses émotions ne pourra jamais devenir un maître à la poigne de fer dans un gant de velours ... Évidemment, mais en pratique rien n’est simple et facile.> < On peut énumérer 2 étapes dans le processus de prise en mains. Règle numéro un les échanges et la validation de la recherche de chacun, une fois le contact établi entre le dom et la docile ceux-ci procèdent alors au premier échange par écrit, chat, messagerie instantanée, la première des priorités est de s’assurer de la nature du sérieux, de chacun, les annonces sont elles limpides aucun terme ne vous pose problème?? Comparé à ce que vous-même désirez est ce que tout vous semble compatible ?? Les réponses obtenues vous permettent de jauger le sérieux de votre interlocuteur. Presque toujours négligé, c’est échanges sont pourtant fort utile aux deux parties puisqu’il permet de cerner la personnalité les aptitudes et les attentes de chacun et qu’il évite toute négociation inutile pour cause d’incompatibilités première. C’est un formidable moyen de mieux se connaître et de prendre conscience de toutes les dimensions qui compose une relation BDSM et tout particulièrement le D/s . Et si le feeling passe le dominant doit étudier avec la plus grande attention chaque réponse donnée il y a toujours des compléments d’information à obtenir pour ne laisser subsister le moindre doute. Ces informations se fondent sous forme d’écrit ou verbaux cordiaux respectueux et constructifs. Au terme de cette phase de découverte mutuelle les deux parties s’accordent alors pour dire s’ils sont à priori compatibles ou pas et s’il est opportun de poursuivre la discussion afin d’envisager ensemble une relation BDSM. >   < L’étape suivante, règle numéro deux, c’est l’envoi par le dominant à sa soumise potentielle de sa check-list cet outil est plus connu que le questionnaire, il n’est cependant pas toujours très bien compris et utilisé notamment par ce que la plupart du temps, il manque à la docile les explications nécessaires à la bonne réalisation du travail qui est attendu d’elle.> < c’est pourquoi je conseille à tout dominant de prendre le temps de rédiger une petite annexe visant à faciliter la compréhension des différents termes et points listés dans la check-list, de donner des indications utiles pour que les évaluations soient les plus précises possibles et pour lever toute ambiguïté éventuelle. Pour le premier, il s’agira de savoir s’il aime faire telle ou telle chose à sa soumise pour la seconde, il sera question d’évaluer son acceptation à vivre telle ou telle pratique voulue par son dom. Il est indispensable que la docile demande des éclaircissements au dominant. Que les soumises ne s’étonnent pas que la check-list soit excessivement détaillée et crue !! Il s’agit très clairement de faire étalage au grand jour de ses pratiques BDSM et sexuels d’évaluer avec précision ses goûts et ses aversions, de révéler ou sans manque d’expériences justement. Il ne faut ni mentir ni exagérer dans un sens comme dans l’autre, ni omettre. > < Si tout a été compléter sérieusement et qu’elle est analysée avec rigueur et intelligence en regroupant et en recroisant les réponses le dominant obtient une idée précise du potentiel de la docile.> < Pour les personnes de nature soumise et novice encline à accepter beaucoup de nouveautés ou de pratiques qui ne les enthousiasment pourtant pas car elles estiment que c’est insupportable du point de vue morale, c’est personnes partent du principe que l’on doit se mettre en couple pour ensuite élaborer à deux une sexualité et des jeux qui tiennent compte des limites de chacun sachant que la personne docile sait à quoi s’attendre dés le départ, il est impensable qu’un dominant se prive de pratiques qui lui sont indispensables pour être satisfait et être heureux, et il doit savoir dés le début ce que la personne docile est capable de lui apporter dans le domaine sexuel ou des activités BDSM. > < Quant à la soumise sa nature intrinsèque la pousse tout naturellement à s’adapter aux exigences du maître ou de sa maîtresse, étant elle-même en quête de nouvelles sensations de nouveaux plaisirs de nouvelles expériences pouvant la faire évoluer voilà le moment tant attendu l’heure aux négociations… Les choses deviennent alors vraiment sérieuses puisqu’il est entendu que les parties envisagent de manière concrète de développer leur relation en tant que maître et soumise.> < Lorsque arriver au terme de leurs négociations le dominant et la docile sont parvenus à un accord global et détaillé que tout est bien clair pour eux deux, ils sont alors sur le point de s’unir dans le respect des principes de BDSM, c’est le temps des promesses et des serments le moment où il est enfin possible de taire sa raison pour laisser s’exprimer ses sentiments ! < Après le temps de noviciat, ou le début de l’histoire sans fin, qui varie extrêmement d'une personne à l'autre, les deux protagonistes vont décider de s'engager l'un avec l'autre d'une façon encore plus complète. La personne Dominante va estimer que la personne soumise est arrivé au terme de la base de son éducation (protocole, positions, découvertes des pratiques, connaissances théoriques, connaissance d'elle-même, de sa/son Dom, etc...). Tout ce qui fera qu'elle se sera révélée à elle même et pourra désormais se consacrer à l'éducation donné par son Maître pour la faire évoluer dans ce qu'elle est.> < C'est un acte fort, vous l'aurez compris, qui ne peut donc se faire après quelques semaines de lien, quelques jours, voir pire, comme je l'ai déjà lu, dès la prise de contact si la personne Dominante s'est déjà beaucoup investi dans le noviciat de celui ou celle dont il veut faire son/sa soumis(e), et lui faire porter son coller implique d'autres devoirs pour ce/cette Dom. Celui de toujours faire évoluer pour son bien-être son/sa soum, et non pour son plaisir personnel de Dom. Et devra tirer satisfaction et plaisir de cette évolution. > < Pour autant, est ce qu'un(e) Dom va poser un collier de suite à une personne soumise bien sur que non !!! Il va donc mettre d'autres « conditions » pour que la personne soumise soit digne de porter son collier et atteindre cet objectif prendra aussi du temps. > < Vous comprenez donc bien qu’un collier ne se donne pas à la légère. Ni ne s'accepte à la légère. Car la personne soumise s'engage aussi à tout mettre en œuvre pour que son Dominant soit fier de son attitude en toute circonstance. Faire honneur à son/sa Dom, et à l'éducation qu'il lui inculque, doit être sa priorité.> < Le/la Dom pose son collier comme il/elle l'entend et quand il estimera que le moment est venu pour que la personne soumise porte son collier, Il montre ainsi qu'il est son/sa Maître(se). Cette pose à lieu au choix, soit en public lors de la cérémonies des roses, soit en privé (c’est ma préférence) mais quel que soit le choix de la cérémonie, ce sera un moment fort un moment d'intense communion entre la personne Dominante et sa personne soumise.> < Un moment qui se veut le départ d'un lien que chacun s'appliquera à rendre le plus solide possible. Et qui les mènera tous les deux, enfin, je le souhaite à tous ceux qui s'engage dans cette voix, vers un accomplissement total de vos personnes dans cette osmose des âmes, des corps, et parfois aussi des cœurs. > < Et maintenant passons aux derniers chapitres un événement majeur dans la relation en BDSM qui correspond à la remise du collier. A cette occasion, le maître prépare suffisamment longtemps à l’avance une soirée généralement intime ou en publique et organisera les choses à sa convenance une cérémonie avec tous les rituels que cela implique et les mots-clés sont alors complicités amour offrande respect honneur dignité responsabilités noblesse solennité.> < Car la société a ses rites, mais en BDSM, c’est pareil. Il existe des cérémonies pour récompenser et souligner la réussite d’un (e) soumis (se). Lors de remise de collier, un passage de niveau, la réussite d’un défi, pour avoir vaincu ses limites, et marquer un engagement. Cela souligne un passage, une réussite, et développe l’estime de soi de la/le soumis (se) et sa fierté de servir son dominant.> < PS : on ne pratique les cérémonies, et rituels qu’avec une soumise qui s’engage à suivre une éducation complète (novice puis soumise) ou esclave. A déconseiller avec des soumises invitées sauf exception.> < Pour ma part je vais procéder ainsi avec Irène bientôt, comme me la si gentiment appris ma guide autrefois. La cérémonie va se passer dans une pièce décorée pour la circonstance, en soirée des bougies seront disposées au sol pour former un triangle à l’intérieur duquel il y a un cercle. On appelle cela le Pentaclion. Il y a trois sortes de Pentaclion selon le stade d’évolution : novice, soumise, esclave.> < Vêtu de noir, je serai, à la pointe supérieure du triangle.> < Ma novice sera totalement nue si elle le désire ou elle pourra choisir des vêtements cérémoniels selon les circonstances. Elle se mettra dans le cercle en entrant par la base du triangle tête baissée, agenouillé au sol en disant.> « Maître, je m’offre nue, je ne vous cache rien, je veux vous appartenir, apprendre et progresser et être digne de devenir votre soumise ». < Pour ceux qui souhaitent officialiser leurs unions en public lors d’une soirée BDSM, il existe Les cérémonies des roses comme j’ai précisé avant.> Symbolique de la rose : La fleur de la rose, son parfum, symbolisent la beauté, l’harmonie, le plaisir, les valeurs du BDSM. La tige couverte d’épine les difficultés à affronter, les limites à repousser, les dépassements de soi, la volonté qu’il faut avoir pour réussir.> < Sa couleur définie la signification de la cérémonie. > < Les Cérémonies des Roses> < Cérémonie de la rose Blanche qui symbolise la virginité, la pureté, l’innocence et la recherche de perfection. Cérémonie destinée à la Postulante qui va par l’initiation devenir une meilleure personne. Une soumise qui veut renaître plus pure et qui veut se laver de ses erreurs passées pour renaître innocente, vierge et pure pour son Maître.> < Cérémonie des roses, c’est le Mariage BDSM.> < Cérémonie de la rose Noire qui symbolise une régression, un regret, une trahison. Cérémonie ou la soumise va être rétrogradée à un rang inférieur. Elle peut aussi marquer la fin de leurs relation.> < Cérémonie des épines - pour s’engager à réussir à franchir une étape importante (vaincre un tabou, une peur, suivre une résolution, prendre une décision difficile.> < Cérémonie des fleurs - chaque cérémonie est symbolisée par une fleur différente qui est offerte en bijou et symbolise une qualité acquise, un tabou, une peur que tu as vaincu, franchi des limites. L’orchidée par exemple est offerte lorsque tu as atteint le Subspace trois fois.> < Cérémonie BDSM du Phoenix est une cérémonie spéciale car réclamée par la soumise elle marque un renouveau dans la vie de la soumise, un changement de cap, une épreuve difficile surmontée.> < Mais revenons à nos moutons, qu’est ce que Le Pentaclion > < Il est utilisé lors des cérémonies, matérialisé par des bougies qui forment au sol le cercle et le triangle et dans lequel la soumise entre. Il représente les trois stades d’évolution de la soumise > < Symbolisme du Pentaclion> < Le Cercle > < Le cercle symbolise la soumise. Un cercle peut rouler, être instable. Le cercle va petit à petit pénétrer le triangle pour symboliser la stabilité qu’apportent les valeurs du Maître par le LIEN SACRÉ et la fusion Maître/soumise ou esclave. Le cercle dans la vie est partout, la terre, les étoiles, la roue du temps qui passe, les cycles de la vie, les saisons, tout est cercle. Il n’y a pas de début, pas de fin, il représente l’infini, l’éternité, la protection et la perfection. Il symbolise aussi la féminité. La soumise qui veut s'approprier ses valeurs prendra place dans le cercle.> < Le Triangle > < Le triangle symbolise le Maître, sa force, ses qualités. Le triangle est utilisé dans la formation des Maîtres pour symboliser l’équilibre des valeurs qu’il doit respecter. Il est symbole de stabilité. Avec la pointe vers le haut il représente la masculinité, la puissance, la virilité. Le triangle apporte au cercle (c’est à dire à la soumise et la je m’adresse à iréne) stabilité et équilibre, il empêche le cercle de rouler.> < Le Pentaclion de novice> < La femme, la féminité est symbolisée par un cercle. En entrant en soumission, la novice désire acquérir de nouvelles valeurs, une stabilité, développer un lien fort avec un guide, un mentor qui va l’éduquer, la dresser, l’épanouir.> Le triangle symbolise le Dominant, le Maître et les valeurs de la soumission. Le Pentaclion de novice symbolise le chemin que la novice doit faire pour acquérir par l’éducation et le dressage les qualités pour devenir une parfaite soumise en entrant dans le triangle, qui représente le Maître et ses valeurs.> < Pentaclion de Novice > < Le Pentaclion de Soumise Le cercle est en partie entré dans le triangle. Il utilise la base du triangle pour sa stabilité. Il symbolise la stabilité et la force de la relation Maître/soumise qui offre un équilibre parfait. La soumise est entrée partiellement dans le triangle, la soumission lui apporte épanouissement, plaisir, la relation, le lien est stable mais les deux parties droite et gauche du cercle qui dépassent du triangle symbolise le libre arbitre qu’elle garde et le respect de ses désirs, de sa liberté. Sa soumission est offerte au Maître mais selon ses conditions car la soumise garde toujours son libre arbitre et son droit de véto.> < Pentaclion de soumise > < Le Pentaclion d’esclave ou de soumise Céleste Le cercle est totalement entré dans le triangle. C’est un symbole fort. La soumise fusionne avec le Maître pour devenir esclave ou soumise Céleste. C’est à dire qu'elle lui voue une confiance totale, elle renonce à son libre arbitre et à son droit de véto.> < Elle se laisse guider et fusionne totalement avec son mentor abandonnant son égo pour se laisser porter totalement par la vague de bonheur qu’elle ressent à son service. Bien-sur à tout moment, elle peut reprendre sa liberté, Le Maître doit se montrer digne de ce cadeau divin et se donner corps et âme également pour mériter cette confiance.> < Pentaclion d’esclave > < L’après Cérémonie L’après cérémonie est différente selon le type de cérémonie. Pour certaines Cérémonies (allégeance, accueil, vœux, remise de collier…) La soumise reconnaissante va s’offrir au Maître pour le remercier de cet honneur. Pour d’autres le Maître va récompenser la soumise pour ses efforts et sa progression par un repas, une soirée spéciale, un cadeau.> < Pour conclure voyons rapidement les différents types de colliers BDSM.> < Il existe 3 types qui s’utilisent selon un cadre bien précis : < A. Le collier de dressage ou de posture Le premier est le collier de dressage. Il est restrictif, contraignant et, avant tout, fonctionnel. Il est équipé d’un ou plusieurs anneaux dans le but d’y attacher chaînes et autres accessoires pour le jeu ou le dressage. Cet accessoire peut être agrémenté de clous pour garder le menton haut et la tête droite. Il peut aussi être large, comme un corset une minerve de cou pour contraindre tous mouvements de la tête. Il est souvent fait de cuir et/ou de métal et n’est pas spécialement agréable à porter longtemps. Il est souvent choisi par le dominant.> < B. Collier d’appartenance Le second est démonstratif, il souligne l’appartenance à un/une Maîtresse. Il est porté tous les jours, selon les règles instaurées. Ce collier d’appartenance est un rappel de la hiérarchie imposée. Il sert alors d’accessoires souvent choisi mutuellement et porté dans le cadre intime. Il est léger et agréable à porter pour le/la soumise.> < C. Le collier d’appartenance en public Le troisième type de collier est à but esthétique et de discrétion. Il a pour but d’être porté en public. Il ne souligne pas l’appartenance au monde BDSM clairement, seuls les pratiquants pourraient en reconnaître le sens. Il s’agit souvent d’un simple ras-de-cou (aussi appelé “Chocker”) et au goût de le/la soumis/e. Ce dernier signe d’appartenance n’est pas forcément un collier, et, selon les désirs du couple, il peut être un bijoux, un tatouage ou un vêtement. Les partenaires peuvent tout aussi bien décider de porter un collier d’appartenance ou de dressage même en public, ou rien du tout. C’est le consentement mutuel qui prévaut.> < II. La signification pour le/la Maître/sse Le collier est à la fois un accessoire de discipline, de dressage mais aussi un signe d’appartenance. Le/La Maître/sse est totalement libre d’y apposer ses initiales ou sa marque pour insister sur la possession de l’autre Le/La Maître/sse voit en sa/son soumis/e portant cet accessoire comme un signe d’acceptation de sa soumission et signale qu’il est prêt à recevoir sa domination. Ce qui est, la plupart du temps, source de satisfaction-plaisir pour lui/elle. Le collier rappelle indéniablement qui dirige et qui exécute. Il est un point d’accroche et de saisie pour exercer une domination physique (traîner, attacher, conduire…) mais le collier est avant tout une domination psychologique.> THE END  
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Par : le 25/01/22
Juliette convint que la séance de flagellation endurée par Charlotte la veille suffisait. Non pas qu'elle le regrettât, au contraire, mais il fallait que tout ne lui soit pas infligé à la fois, pour qu'elle ne s'habituât pas à en tirer du plaisir. Elle recommencerait pour juger du résultat, non pas de ses cris ou de ses larmes, plutôt des traces, plus ou moins mordantes et durables, que les lanières de cuir laisseraient sur sa peau. Et surtout, il lui paraissait sage d'alterner les tourments et les languissements, les supplices et les délices, afin que la confiance qui les unirait, conditionne à l'avenir tous les excès, c'est à dire tous les bonheurs. Le devoir de Charlotte serait de s'abandonner toujours au premier mot de Juliette ou de qui l'enjoindrait. Lorsque Juliette eût pris le soin de diriger le rayon de la lampe de façon que la clarté tombât d'aplomb sur son visage et sur le sexe de sa soumise, qui en était tout près, elle le fourrât brutalement. Elle gémit quand les doigts, qui appuyaient sur le renflement de la chair d'où part la corolle intérieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe de la langue l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentait durcir l'aiguille cachée, qu'entre les dents et les lèvres une longue meurtrissure aspirait et ne lâchait plus, une longue et douce meurtrissure, sous laquelle elle haletait. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette s'étaient posées. La source qui naissait de son ventre devenait ruisseau, à l'instant précédant la jouissance, quand Juliette prit la perle qui se cachait entre les nymphes que sa soumise lui offrait. Se cambrant alors de tous ses muscles, sa main droite balaya inconsciemment la table de massage sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets tombèrent sur le sol. Ses cuisses se resserrèrent alors autour de la tête de Juliette puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon exquis. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les cuisses ouvertes et écartées dans une position d'offrande exhibant les moindres replis de ses intimités les plus secrètes. Elle commença à trembler de tout son être quand Juliette viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une intensité inouïe. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but les sucs délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Juliette lui caressa doucement les cheveux, lui lissa les sourcils du bout des doigts, lui baisa furtivement les lèvres. Elle lui dit qu'elle l'aimait. Charlotte, encore tremblante, lui répondit: "-Je vous aime", et que c'était vrai. Venant d'un autre monde, sa Maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Juliette s'agenouilla entre les jambes de Charlotte, faisant alors onduler ses cheveux clairs au-dessus de la vulve alors prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais pensé qu'il était aussi bon de la dominer sans la violenter puis brusquement, ses doigts vinrent se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la fouiller. Mille flèches s'enfoncèrent dans le sexe de Charlotte. Elle sentit qu'elle allait jouir de nouveau. Elle voulut l'arrêter mais bientôt les dents de Juliette se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de son ventre, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle, animé par ces mains fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer la cavité de son sexe, la poussant à des aventures audacieuses. Ses phalanges pénétrèrent profondément son ventre. Juliette, que Charlotte n'osait plus regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Elle avait saisi et lentement ouvert, les lèvres qui protégeait le creux de son ventre. Juliette la tira vers elle, afin qu'elle fût mieux à portée et son bras droit glissa autour de sa taille. Cette humiliation qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, lui semblait sacrilège. Que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens. Elle se vit alors fourvoyée. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarassa de son corsage. Dessous, elle portait un caraco vaporeux et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Les pointes durcies de ses seins pointaient sous le caraco. Elle le retira délicatement dénudant ainsi sa poitrine. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules, glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes gracieuses de la gorge. Il était rare que sa Maîtresse lui accorde un tel privilège. Elle aima cette pensée. Enhardie, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour glisser jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans la cavité de sa féminité. L'attouchement fut très audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/01/22
J'étais heureux ce matin de mai . J'avais réussi , à réserver un voyage pour deux personnes pour l'Ile de la Réunion . Depuis notre voyage de noce , Lady Gabrielle et moi rêvions de retourner sur cette île merveilleuse . Nous rêvions de retourner manger des samoussas sur les marchés colorés de Saint Paul ou de Saint Denis , revoir le Piton de la Fournaise , nager avec les poissons aux couleurs de tropique , déguster la cuisine créole et profiter de tout ce que cette île propose . Je n'avais plus qu'à appuyer sur « enter » . Ce que je fis avec prudence craignant la « fausse manip » . Mais tout c'est bien passé . Les quatre feuilles de ma « résa » étaient imprimées . J'avais bien mérité le grand bol de thé que je me préparais ainsi que le pain au chocolat de la veille que je réchauffais pour qu'il redevienne croustillant . Je dégustais mon petit déjeuner quand Lady Gabrielle me rejoignit encore ensommeillée . J'avais placé les feuilles entre son énorme bol à p'tit dèj qu'elle affectionne tant et le petit vase où règnait en majesté une rose « Queen Elysabeth » » cueillie dans notre jardin . Quand elle découvrit l'objet de ces feuilles son visage s'éclaira comme la terre lorsque le soleil apparaît à l'horizon . La date de notre départ arrivait . Chaque jour nous voyait nous occuper d'une nouvelle préparation . Je dois avouer que la joie de retourner sur cette terre de prédilection était troublée par l'appréhension que j'ai des voyages en avion . Non pas que j'ai peur mais le fait de passer 12 heures coincé dans un siège trop petit pour moi ne m'enchante pas du tout . L'attitude blasée et l'état d'irritation permanent du personnel de cabine participaient pour beaucoup à mon appréhension . La veille de notre départ nos préparatifs étaient terminés . Nous profitions d'une journée calme avant d'affronter ce petit chamboulement qu'est un voyage en avion . Il était onze heure du matin quand Lady Gabrielle m'ordonna de me dévêtir . Elle avait envie de me flageller . J'étais à mille lieues de partager la même envie à ce moment là mais je m'exécutais. Je suis sont soumis , mari aussi, mais surtout soumis . Je pensais que Lady Gabrielle le pensait aussi . Après la flagellation elle me fit assoir , me menotta poignets et chevilles aux barreaux et montants de la chaise . Je ne pouvais pas me libérer . me dit-elle . Je ne voyais pas du tout où elle voulait en venir . En outre j'étais étonné , elle n'avait jamais commencé une séance BDSM , juste avant le repas de midi . Quand je sus la raison de son comportement , j'étais complètement abasourdi . Lady Gabrielle n'avait jamais laissé apparaître le moindre signe ni le moindre indice qui aurait pu me faire soupçonner ce qu'elle m'annonça ce matin là , veille de notre départ . > Tout d'abord j'avais pensé à une plaisanterie . Il lui fallut faire preuve de beaucoup de persuasion pour me convaincre . Quand enfin mon cerveau me fit admettre le sérieux du projet de Lady Gabrielle , la stupéfaction et le rejet m'envahirent . > J'étais stupéfait . > > J'acquiesçais du bout des lèvres . > A ce moment là , je décidais de ne plus récalcitrer . Mais j'avais du mal à cacher mon désappointement . > Revenus à de meilleurs sentiments ? Tout était relatif mais je n'avais pas le choix . N'avais-je pas , au début de notre relation , fais serment d'obéissance à Lady Gabrielle ? Ne m'étais-je pas offert à Elle ? Allais-je en quelques mots détruire cette relation Domination/soumission ? Certainement pas , je ravalais ma déception et tâchais de faire bonne figure . Quelle ironie de la part de Lady Gabrielle . L'après-midi elle me conduisit , effectivement , chez le couple de dominateurs propriétaires d'une ancienne ferme fortifiée transformée en gîte rurale , un gîte spécialisé BDSM qui a pour nom '' Le Domaine de H&K ''. L'établissement était géré par eux même , Maîtresse Karole et Maître Hadès et entretenu par un couple travaillant à demeure . J'apprendrais plus tard qu'ils étaient tous deux soumis mais rémunérés et qu'ils participaient parfois , aussi à la domination des soumises et soumis clients de l'établissement tout en subissant celle de leurs Maîtres . Certains de ces soumis étaient envoyés là par leur dominant comme c'était mon cas . D'autres venaient ici de leur propre chef pour assouvir leurs fantasmes . La durée du séjour était au choix des clients . Nous étions arrivés vers quinze heures . J'avais voyagé à l'arrière de la voiture yeux bandés et poignets menottés . Lady Gabrielle m'avait ordonné de mettre les vêtements les plus vieux que je possédais . Cet ordre m'avait intrigué , à juste titre . Bien sûr je portais ma cage , je ne devais plus la quitter jusqu'à la fin de mon stage . La deuxième chose que je dû faire après avoir salué , à genoux , les propriétaires du lieu fût de retirer tous mes vêtements , sauf mes baskets , et de les jeter dans un fût en métal où ils furent brûlés par l'homme du couple de soumis .A ce moment là je réalisais que Lady Gabrielle reprenait le contrôle sur notre relation de manière très sévère . La Propriétaire des lieux m'ordonna de faire mes adieux à ma Maîtresse . Lady Gabrielle me regardait avec un sourire quelque peu narquois et avec une autre lueur indéfinissable .Je lui embrassais les pieds , je savais qu'il aurait été malvenue de lui faire un baiser de mari ( sur la bouche ) ou de copain ( sur les joues) . Elle partit sans plus de commentaire à mon grand désarroi . Elle ne me donnait même pas une parole de réconfort . > Je m'étais étonné de la relative indulgence de Maître Hadès , ce que je subissais , je l'avais fantasmé de nombreuses fois mais dans mes rêves les poids étaient plus lourd . Cinq kilos au moins pour mes testicules et mes poignets . Je marchais depuis une éternité et je comprenais que l'indulgence n'avait rien à voir avec mon supplice , c'était du réalisme . Je n'aurais certainement pas tenu longtemps avec des poids de cinq kilos . Quand j'avais commencé à marcher en rond, j'avais ressenti le bonheur '' d'une première fois '' et l'excitation de l'accomplissement d'un fantasme . Je m'étais senti à ma place , une place que j'avais rêvée et j'y étais placé par ma Maîtresse , même si elle n'était pas à mes côtés j'étais connecté à Elle . Je savais qu'Elle pensait à moi dans son manque de sommeil dû à la fébrilité l'accompagnant , dans cette veille de départ pour la Réunion . A ce moment là je ne lui en voulais plus du tout , Elle m'avait offert le plus beau des cadeaux qu'un soumis puisse recevoir . Je n'allais pas toujours penser cela au cours de mon séjour . Je marchais depuis longtemps . Maintenant la souffrance était bien présente . La fatigue et les crampes provoquées par les poids étaient insupportables . Les pinces irradiaient une douleur intense dans mes seins . Mais j'avais peur du fouet . Je me cramponnais à mon rêve : je subissais ce que j'avais rêvé . . . Non? De nombreuses minutes plus tard j'étais à un stade où j'avais dépassé toutes prudences . Plus rien ne comptait que de me reposer et de soulager la douleur de mes seins et de mes bras , je m'accroupissais . J'oubliais de faire tintinnabuler les grelots de mes seins . Erreur funeste , Maître Hadès vint me rappeler à l'ordre par un coup de fouet qui n'avait rien de bienveillant . J'essayais de me relever mais mes jambes me trahirent .> L'apprentissage de cet exercice fut relativement facile . Nous nous sommes assez bien habitués à tirer le sulky avec nos couilles . Une heure d'adaptation nous fut quand même nécessaire pour y arriver. Maîtresse Karole n'eut pas beaucoup de raisons de nous fouetter avec sa chambrière mais Elle le fît quand même , gratuitement , pour assouvir son sadisme . Elle fît tourner ainsi son manège original durant une heure et demi ne se privant pas de nous stimuler dans l'effort en fouettant aussi nos testicules . Elle nous libéra au début de la soirée . Gérôme nous reconduisit dans nos cellule tandis Tandis que Maîtresse allait se rafraîchir dans sa piscine . J'étais à nouveau enfermé et je ne connaissais pas la suite du protocole prévu . Je prenais une douche à l'eau froide me séchais tant bien que mal dans une petite serviette . Personne ne vînt me chercher jusqu'au lendemain mais je restais dans l'angoisse de l'incertitude . Cela faisait quatre jours maintenant que je suivais ou plutôt subissais ce stage de redressement D/S . Je n'avais droit qu'à un repas par jour et toute l'eau que je souhaitais au pommeau de la douche. J 'étais affamé , moi qui faisais trois repas par jour . La veille ,tous les soumis présents au gîte , avaient été réveillés à six heures du matin . Nous avions été conduits dans le petits bois du parc et attachés à un arbre . Nous étions positionnés à intervalle d'une cinquantaine de mètres des uns des autres et nous sommes restés ainsi sans explication . L'attente dans l'interrogation de ce que l'on va subir est extrêmement stressante . Mon stress augmentait au fil des minutes . J'attendis deux heures attaché à cet arbre la suite de mon protocole . Maître Hadès et Maîtresse Karole apparurent enfin sur le chemin du sous-bois en tenue de jogging . Ils s'arrêtèrent devant moi pour souffler . Quand Maîtresse Karole eut exécuté ses exercices de respiration , elle s'approcha de moi , saisit mes bouts de seins entre index et pouces pour les pincer avec une force que je ne soupçonnais pas puis me donna une série de coups de genoux dans les testicules . J'étais solidement attaché à mon arbre je ne pouvais donc pas tomber ni même me plier en deux comme mon corps l'aurait fait impulsivement sous cette douleur atroce . Je criais instinctivement mais cela ne retenait aucunement Maîtresse Karole , elle continuait de plus bel . Quand elle fut satisfaite du supplice qu'elle m'avait infligé elle céda la place à Maître Hadès . Il se montra moins violent , craignant peut être l'accident . Heureusement lors de ce supplice , la douleur provoquée par les coups dans les testicules est atténuée par le fait que le genoux frappe aussi l'entre cuisse , ce qui freine sa vélocité . A l'écoute des cris des autres soumis , je sais qu'ils ont tous subit le même sort que moi . Nous avons été reconduit dans nos cellules à midi complètement épuisés , les testicules endoloris . Je ne devais plus rien subir avant le lendemain . Ce ne fut pas le cas de certains de mes co suppliciés . Je restais seul à me morfondre en pensant à Lady Gabrielle qui devait déguster des samoussas et faire tout ce que nous avions imaginé . Léonie m'apporta mon repas dans une gamelle qu'elle posa sur le sol , s'accroupi au dessus et urina dedans . Elle me souhaita un bon appétit et me donna l'ordre de manger devant elle . J'avais tellement faim que je me jetais sur la nourriture . L'urine de Léonie ne me gênait pas étant habitué à déguster le nectar de ma Maîtresse . Quand j'eut terminé mon '' repas '' elle me fit coucher sur le sol , s'assit sur ma bouche et m'ordonna de la faire jouir . Elle me quitta dans l'après midi comblée , moi étais épuisé . Le lendemain , au sixième jours de ma présence ici , Gérôme vint me chercher à huit heures . > Il me laissait là sans plus de commentaire . De nombreuses minutes plus tard , j'entendis enfin Maîtresse arriver . Sans dire un mot elle me donna vingt coups hargneux de cravache sur les fesses et sur le dos témoignant de sa mauvaise humeur . Elle monta sur son cheval et parti sans plus prêter attention à moi . Je tentais tant bien que mal de garder mon équilibre au bout de la longe . Chose extrêmement malaisée en raison de la vitesse du cheval , qui pourtant était mené au pas et du mauvais entretien du chemin semé de trous de sabot . Durant la promenade de Maîtresse je tombais trois fois mais jamais elle ne dit mot . De retour à l'écurie , c'est Gérôme qui comptabilisa les coups de la sanction . Je reçus les soixante coups de cravache mais je ne reconnaissais pas la dextérité du dominant qui me punissait . Je ne percevais pourtant pas d'autre personne présente dans l'écurie . Ce n'était pas Maîtresse Karole qui me cravachait ni Maître Hadès ni même Gérôme ou Léonie , tous m'avaient m'avaient abondamment fouetté tout au long de la semaine . Qui cela pouvait bien être . Les soixante coups assenés Gérôme m'enleva la cagoule . Quand mes yeux furent réadaptés à la lumière je reçus un tsunami d'étonnement et d'émotion . Lady Gabrielle se tenait devant moi , souriante . >
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