Catégories		
	La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. 
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
« Les histoires d’amour sont les seules qui méritent d’être contées. » - Vincent ARTIER 1ère L Lycée DUMONT D’URVILLE TOULON
« Sauf que Vincent était un con et que de toute façon j’ai fait S ..I., »
Pour citer le poète d’un autre siècle, c’est toujours les mêmes gestes. Les mêmes formes comme les mêmes résultats.
D’aucun aurait cité Eïnsteïn. Mais pas moi.
Car à l’image de mon orthographe douteuse, s’attendre à de différents résultats tout en appliquant toujours les mêmes procédés n’est pas ma définition de la folie.
Parce que pour moi, c’est en forgeant que l’on devient forgeron. Et si les mathématiques doivent m’enseigner une chose, c’est que les statistiques sont de mon côté.
Je me connecte et mon regard va directement sur la cloche, désespéramment vide.
Une flopée d’injures s’envole en direction de ses femmes de petite vertu qui ne saisissent pas (encore) la chance, l’honneur qu’il est d’attirer mon attention, mon regard.
Je trie la liste des nouvelles proies.
Je suis un aigle majestueux, haut dans le ciel.
Son profil attire directement mon regard, le prédateur que je suis sent la faiblesse, la peur. Ou bien est-ce ce morceau de chair mal cadré que j’aperçois en photo de profil. La photo bien trop sombre et  de faible définition pour être une image pompée d’internet. Un coup de Yandex et me voilà fixé.
Petite, petite, petite, petite.
Je m’imagine déjà en elle. 
Ma bite aussi. 
Ma main court machinalement vers mon entrejambe et c’est avec force de volonté que je ne dérive pas vers d’autres sites aux contenus cinématographique de haute volée.
NON !
Celle-ci promet. Un 8/10 sur l’échelle de l’envie.
J’aurais pu être peintre tellement j’ai le compas dans l’oeil. Pas trop grosse, une peau ferme, la lingerie est de bonne qualité… Encore une envie pressante. NON. Je dois me concentrer, elle est pour moi celle-là. Avant que les morts-de-faim ne débarquent, les beaux-parleurs et compagnies.
Profil créé il y a 3 minutes, c’est un signe.
« -Salut, tu recherches quoi sur le site ? »
Comme on dit, c’est dans les vieux pots qu’on fait je sais plus quoi. Bref, simple et efficace. Un brin mystérieux, ça les fait toutes craquer.
Pas de réponse.
Je tourne en rond devant mon écran, me lève plusieurs fois, m’ouvre une bière, jure mais ma danse de la pluie ne semble ouvrir son ciel.
« - Tu sais, je suis là depuis un bail alors si t’as besoin, je peux te présenter les lieux. »
Enfin, les petits points, elle écrit.
« - Salut, nouvelle effectivement, je découvre le site doucement, merci de la proposition, je n’hésiterai pas si le besoin se fait sentir. »
Les mecs sont des couilles molles sur ce site, heureusement que je suis là pour montrer à toutes ces chiennes comment se tenir.
« - Pour qui te prends-tu ? On vouvoie son Maître sale chienne. »
Vraiment ces nanas sont tarées, aimer se faire parler comme ça, faut vraiment avoir une case en moins. M’enfin, ça fait de la baise facile. Une de plus de soulevée.
Sauf que…
Sauf que pas de réponse.
Ni à ma demande d’amitié.
Et les heures passent.
Elle se lie d’amitié avec un autre profil, puis un autre.
Je la surveille, vois le nombre de vues exploser.
Et puis elle poste une présentation. Tellement classique. Comment espère t’elle se faire accepter sans un brin d’imagination.
Sauf que…
Sauf que beaucoup de gens répondent.
Puis les habitués s’en mêlent. Trop tard pour moi. Si je suis un vampire, ils sont les rayons du jour (je parle de vrais vampires, pas ces tapettes de twilight). Je ne peux plus me montrer, c’est mort.
Bah, de toute façon c’est qu’une *fantasmatrice. Elle est là pour jouer. Je n’ai pas le temps pour les amatrices, j’ai une vie bien remplie.
Un brin dépité, las de chercher ma chienne, celle qui saura satisfaire toutes mes envies, et que je souillerai plusieurs fois par jour. Néanmoins je continue. J’enchaîne les profils, les anonymes. Les sans photos, les moches, les grosses, c’est plus pour garder la forme, ne pas perdre la main. Je suis quand même très sympa, sans moi, qui voudrait d’elles.            
            
                
                    
371 vues                    
                    
3 aime                    
                
                
            
        
Les deux couples se sont rencontrés dans un bar. Entre, Christine et Marc, et Sylvie et Jean, le courant est tout de suite passé. Surtout entre les deux femmes. Elles se sont vite rendu compte qu’elles avaient les mêmes centres d’intérêt, et surtout qu’elles avaient très envie l’une de l’autre. Si elles ont à peu près la même taille, Christine est plus fine que Lydia. elles ont toutes les deux une superbe poitrine. 
Deux belles plantes en tout cas  se sont vite embrassé, léché, , essayé différents jouets , ont fini par se déshabiller entièrement pour mieux se lécher. « Leurs seins sont incroyables, tu ne trouves pas Marc ? » Beaucoup plus grand que Marc, Jean et leur a tout de suite indiqué qu’il « aimait aussi beaucoup les hommes ». Mince, très peu poilu, 1m80, Marc a toujours beaucoup plus aux hommes sans jamais aller plus loin. . C’est dire s’il a besoin de son soutien pour franchir le pas et prendre la superbe bite de Jean en bouche. Mais là quel bonheur de la sucer longuement, de lui lécher ses couilles, de venir, revenir. Et Jean qui prend son contrôle, dit : « Vous avez vu cette belle salope. » Et les femmes de rire : « C’est bien qu’il se rende compte ce que c’est de sucer ! »
Sylvie et Christine sont nues sur le canapé. Marc est à quatre pattes devant Jean et le suce. Jean fait pénétrer son sexe de plus en plus loin dans sa bouche. Sylvie se lève. S’installe derrière Marc et commence à lui pincer les seins. Marc bande à son tour quand elle le prend en main : « Viens me prendre ». Elle se place en levrette. Il se retourne, la pénètre, prend ses seins à pleine main. Très excitée Christine se dirige vers Jean et le suce à son tour. Pour la première fois ils partagent le même sexe.
« Mais vas-y. suce le ! » Celle qui encourage ainsi son compagnon, Léopold, à sucer le sexe particulièrement long de leur ami Jean-Philippe c’est Chrystèle. Avec Lydia, la femme de Jean-Philippe, elles se sont bien amusé, léché, pénétré et elles considèrent que c’est maintenant à leurs hommes de prendre le relais. Peu habitué aux aventures homosexuelles et surtout très gèné de le faire devant sa compagne, Léopold hésite. Pédagogue Jean ne le force pas. Ces dames l’encouragent puis Chrystèle décide de prendre les choses en main ou plutôt la tête de Léopold vers le sexe de Jean : « Suce le. C’est un ordre ». 
« Tu veux que je prenne ton mec ? » demande Jean. « Vas-y » répond Sylvie, heureuse de lui imposer des figures qu’elle connaît maintenant très bien après presque dix mois de libertinage. Jean s’avance. Met un préservatif. Lubrifie le cul de Marc. S’avance. « Tu vas aimer », promet Sylvie à son mec. « Tu vas aimer. Jean est un expert, il a une grosse bite et il va te défoncer le cul pour ton dépucelage, il veut faire de toi une vraie petite salope." dit Christine tout en se faisant  baiser. Marc sent l’autre homme qui s’approche, son long sexe qui bat centre ses fesses. Il commence sa pénétration. Pour une première Marc tombe sur une très grosse queue, le sexe de son amant a une longueur appréciable et un calibre impressionnant, il le déflore brutalement lui faisant mal à l'anus en l'enculant, Marc geint comme une femme. Sous les coups de boutoir, il débande et Sylvie avec Christine vont admirer le spectacle. Jean décide de retourner Marc pour le prendre par devant : « Voilà, soit une bonne femelle, je veux que tu deviennes une vraie salope qui aime que je l'encule, même si cela fait mal car tu es un maso.». Il rebande même peu à peu. Christine se dit que rien ne sera plus comme avant. Sylvie a décidé de prendre part au jeu. Elle apporte deux godes ceintures : « Mets ça chérie, tu vas me prendre. Et moi je vais prendre Jean ». 
. Les deux hommes se prennent. Sylvie prend son homme. Christine prend Sylvie.
« Ca t’a plu ?
- Tu veux dire de me faire prendre ?
- Oui.
- Tu voudras recommencer.
- Pourquoi pas ?
- Je savais que tu étais une lopette et maintenant je vais te faire enculer tous les week end.
- Oui Maîtresse. »            
            
                
                    
546 vues                    
                    
4 aime                    
                
                
            
        
La Checklist BDSM est un outil d’expression pour connaître les possibilités du dominé
Accessoire indispensable au Maitre ou à la Domina, la Checklist BDSM est un outil de travail à mettre en place dans toutes relations sexuelles SM et BDSM. Elle permet de se connaître mutuellement et de jouer en respectant les envies, les désirs et les limites de chacun. Chaque protagoniste a des fantasmes et des possibilités qui lui sont propres. Il a également des devoirs et obligations afin que la relation D/s soit aussi enivrante qu’enrichissante. Plus qu’une lecture coquine, cette check list est le recueil des envies et possibilités de l’esclave. C’est le seul moyen connu pour laisser libre expression à la soumise ou au soumis en ce qui concerne ses goûts et dégoûts pour toutes les activités sexuelles qui peuvent entrer dans une relation Dominant /soumis. Aussi indispensable que le contrat BDSM, cette liste non exhaustive est mise en place simultannément au modèle de contrat BDSM afin d’asseoir toutes les pratiques pouvant être effectuées avec la personne dominée. En cas de pluralité d’esclave, chacun a la sienne qui lui reste propre. La future partenaire s‘oblige à remplir le plus honnêtement possible chacune des colonnes en gardant l’esprit libre de ses réponses. Le Maitre n’est pas autorisé à juger, il prend simplement note des indications pour concrétiser les jeux érotiques en fonction de celles-ci. Parfaite pour mettre à nu les sentiments profonds vis-à-vis de certaines pratiques SM et sexuelles, le partenaire répond au questionnaire avec franchise et rigueur en ayant pleine conscience de ce qui lui est demandé.
Checklist BDSM, un accessoire intime évolutif et ludique
Essentielle, la Checklist BDSM reste un pilier majeur de la relation erotique liant la Maitresse et son esclave. Souvent, le Dominant remplit lui aussi le même document pour dévoiler ses envies et attentes, mais certaines soumises attestent que cela enlève parfois un peu de piment et de mystère à la relation. Associée à un univers sexuel empli de confiance, elle n’a de reste d’être en constante évolution avec l’âge, les mœurs et la pratique. Bien entendu, une fois remplie, la checklist BDSM ne doit pas être prise comme une liste de pratiques à faire immédiatement, les unes après les autres. Elle ponctue plutôt le chemin de l'évolution de la personne dominée. Une soumise peut toujours, avec l’accord de son Dom, ajouter ou exclure des agissements contenus dans la liste initialement mise en place. Celle-ci n'est jamais figée ou statique mais évolutive pour le plaisir des partenaires. La Checklist BDSM doit être mise à l’étude pendant des moments de repos où l’élève prend son temps pour répondre et analyser. Une fois terminée, elle est relue autant que nécessaire pour s’assurer de ses choix et apporter les corrections voulues. Une fois dans les mains du Dominant, elle lui ouvre cérébralement toutes les portes du désir pour mettre en place lors de séances ou de jeux extrêmes propices à la satisfaction de la soumise.
La Checklist BDSM est le lien direct entre la soumise et son Maitre
La Checklist BDSM se doit d’être simple et compréhensible de tous. Si un doute survient, le soumis doit demander conseil à sa Maitresse. La check est bien entendu rédigée dans la langue de l’esclave. Elle est le lien direct entre les participants et sa présence rassure afin que les pratiques choisies par le Dom soient en adéquation avec le plaisir du dominé. Un document unique et personnel qui vous suit dans toute votre sexualité BDSM. Une façon de se dévoiler qui à prendre au sérieux et qu’il faut éditer avec attention. Le Maître et la Maîtresse sont guidés par cette liste dans toute approche, démarche et choix BDSM.
Pour vous aider dans votre démarche notre magasin, vous propose une checklist BDSM et son mode d'emploi. Il va de soi que chacun doit l'adapter en fonction du contexte. Pour un BDSM soft certains paragraphes sont à supprimer. Pour des jeux plus extrêmes, chaque ligne à son importance. L'usage et toute utilisation de cette checklist BDSM gratuite ne saurait en aucun cas relever de la responsabilité du sexshop ilxelle. Elle s'adresse à des personnes majeures, responsables et consentantes qui peuvent l'utiliser en usage privé.
Checklist BDSM mode d’emploi
Pour remplir votre check-list, notre sexshop BDSM vous conseille d’apporter les annotations nécessaires à chaque colonne.
1. Dans la première colonne, se trouve la mention "Essayé".
Vous annotez :
•       O comme Oui si vous avez déjà essayé
•       N comme Non si vous n’avez jamais essayé
•       SO comme Sans Objet si vous estimez ne pas être concerné.
2. La seconde colonne de la Checklist BDSM est une ressource pour connaître votre degré d’envie. Une notation de 0 à 5 permet à votre Maitre ou Domina de vous situer dans votre désir.
Vous annotez :
•       0 - vous n’en avez pas envie
•       1 - la pratique vous indiffère
•       2 – vous avez une envie faible
•       3 – vous aimez
•       4- vous aimez beaucoup
•       5 – vous ne pouvez vous en passer
3. La troisième colonne est un indicateur de difficultés. La graduation de 0 à 5 permet à la Maitresse ou au Maître de connaître votre réticence à effectuer une pratique sexuelle.
Vous annotez pour cette colonne :
•       0 – trop difficile. Impossibilité pour l’instant. A revoir ultérieurement avec plus de pratique ou jamais.
•       1 – très difficile mais faisable avec progression, pas d’un seul coup
•       2 – difficile mais réalisable
•       3 – assez facile
•       4 – facile 
•       5 – ne pose aucun problème
Prévoyez un long moment de tranquilité avant de commencer et bonne analyse de vos désirs ! ;)
Exemple de checlist BDSM
 	Essayé	Envie	Difficulté	Observations
Abrasion de la peau	 	 	 	 
Adoration de la chatte	 	 	 	 
Adoration des bottes 	 	 	 	 
Adoration des mains	 	 	 	 
Adoration des pieds 	 	 	 	 
Adoration des talons hauts 	 	 	 	 
Adoration du pénis 	 	 	 	 
Agacement sexuel ou teasing 	 	 	 	 
Anuslingus	 	 	 	 
Asphyxie 	 	 	 	 
Attache bras dans le dos levés	 	 	 	 
Attache debout bras écartés	 	 	 	 
Attache debout bras levés	 	 	 	 
Attache sur tréteau	 	 	 	 
Baguette ou badine	 	 	 	 
Bâillon 	 	 	 	 
Bâillon avec  tape bondage	 	 	 	 
Bâillon Ball Gag ou harnais	 	 	 	 
Bâillon en tissus (linge ou sous vetement)	 	 	 	 
Bandeau sur les yeux 	 	 	 	 
Barre d'écartement 	 	 	 	 
Bestialité 	 	 	 	 
Bondage avec barre	 	 	 	 
Bondage avec cordes	 	 	 	 
Bondage avec sangles	 	 	 	 
Bondage difficile	 	 	 	 
Bondage léger	 	 	 	 
Bondage Shibari	 	 	 	 
Bondage sur longue période	 	 	 	 
Boule Quiès	 	 	 	 
Brosse à cheveux 	 	 	 	 
Brûlure au fer rouge 	 	 	 	 
Cage 	 	 	 	 
Cage de chasteté 	 	 	 	 
Cagoule 	 	 	 	 
Camisole de force 	 	 	 	 
Canne rigide	 	 	 	 
Canne souple	 	 	 	 
Carcan stocks 	 	 	 	 
Ceinture de chasteté 	 	 	 	 
Chaîne 	 	 	 	 
Changement de nom 	 	 	 	 
Chatouilles	 	 	 	 
Chiot humain 	 	 	 	 
Cire chaude 	 	 	 	 
Claques au visage	 	 	 	 
Claques aux seins	 	 	 	 
Collier en cercle privé	 	 	 	 
Collier porté en public	 	 	 	 
Contrôle orgasmique	 	 	 	 
Correction douce	 	 	 	 
Correction dure	 	 	 	 
Corset 	 	 	 	 
Corvée domestique 	 	 	 	 
Cravache	 	 	 	 
Crochet anal	 	 	 	 
Dilatation 	 	 	 	 
Domestique ou bonniche	 	 	 	 
Dormir attaché	 	 	 	 
Échangisme	 	 	 	 
Égratignures	 	 	 	 
Electrosexe	 	 	 	 
Emprisonnement	 	 	 	 
Enfantilisme 	 	 	 	 
Épilation à la cire 	 	 	 	 
Épilation complète	 	 	 	 
Épingle à linge 	 	 	 	 
Etirement des testicules ou ball stretching 	 	 	 	 
Étouffement 	 	 	 	 
Étranglement	 	 	 	 
Examens medicaux	 	 	 	 
Exercice physique forcé et obligé	 	 	 	 
Exhibitionnisme 	 	 	 	 
Exhibitionnisme avec des amis	 	 	 	 
Fantasme de viol 	 	 	 	 
Fantasme de viol par un groupe 	 	 	 	 
Féminisation forcée 	 	 	 	 
Fessée 	 	 	 	 
Fessée avec accessoires	 	 	 	 
Fessée avec martinet 	 	 	 	 
Fessée sur les genoux	 	 	 	 
Fétichisme	 	 	 	 
Fisting 	 	 	 	 
Fouet à lanière	 	 	 	 
Fouet de dressage	 	 	 	 
Fouet single tail	 	 	 	 
Fouettage de la chatte 	 	 	 	 
Fouettage des seins 	 	 	 	 
Fouetter le corps entier	 	 	 	 
Fouetter le dos	 	 	 	 
Fouetter le penis	 	 	 	 
Fouetter le ventre	 	 	 	 
Fouetter les cuisses	 	 	 	 
Fouetter les fesses	 	 	 	 
Fouetter les mollets	 	 	 	 
Gifle 	 	 	 	 
Glaçon	 	 	 	 
Gode ceinture 	 	 	 	 
Harems servitude avec d'autres  soumises	 	 	 	 
Harnais cuir	 	 	 	 
Harnais d'orgasme forcé	 	 	 	 
Harnais en corde	 	 	 	 
Hommage avec la langue 	 	 	 	 
Homosexualité forcée 	 	 	 	 
Huiles érotiques	 	 	 	 
Humiliation	 	 	 	 
Humiliation en privé	 	 	 	 
Humiliation en public 	 	 	 	 
Humiliation verbale	 	 	 	 
Injection 	 	 	 	 
Interrogatoire	 	 	 	 
Jeu de groupe 	 	 	 	 
Jeu de rôle	 	 	 	 
Jeu d'urine	 	 	 	 
Kidnapping 	 	 	 	 
Lavement anal	 	 	 	 
Ligotage des seins 	 	 	 	 
Ligotage japonais 	 	 	 	 
Ligotage léger 	 	 	 	 
Ligotage par Sarah wrap 	 	 	 	 
Lutte 	 	 	 	 
Marquage au fer rouge	 	 	 	 
Massage	 	 	 	 
Masturbation avec les seins	 	 	 	 
Masturbation forcée 	 	 	 	 
Menottes cuir	 	 	 	 
Menottes en sangle	 	 	 	 
Menottes métal	 	 	 	 
Menottes pour pouces 	 	 	 	 
Mise au coin 	 	 	 	 
Mise aux enchères	 	 	 	 
Model pour photo érotique 	 	 	 	 
Mors de cheval 	 	 	 	 
Morsure 	 	 	 	 
Nudité forcée 	 	 	 	 
Nudité partielle ou complète imposée	 	 	 	 
Obéir aux ordres	 	 	 	 
Orgie 	 	 	 	 
Pénétration double 	 	 	 	 
Pénétration triple 	 	 	 	 
Perçage temporaire	 	 	 	 
Piercing 	 	 	 	 
Pilori	 	 	 	 
Pinces à linge sur le corps	 	 	 	 
Pinces aux seins	 	 	 	 
Plug anal 	 	 	 	 
Poids pour seins 	 	 	 	 
Pose de cathéters	 	 	 	 
Position à genou	 	 	 	 
Privation de sommeil 	 	 	 	 
Privation sensorielle 	 	 	 	 
Privation sexuelle 	 	 	 	 
Prostitution fantaisiste ou réelle 	 	 	 	 
Rasage 	 	 	 	 
Restriction de parole	 	 	 	 
Restriction des contacts visuels	 	 	 	 
Rites d'initiations 	 	 	 	 
Scarification	 	 	 	 
Scatophilie	 	 	 	 
Scène de prison 	 	 	 	 
Scène extérieure 	 	 	 	 
Scène filmée	 	 	 	 
Scène médicale 	 	 	 	 
Scène religieuse 	 	 	 	 
Se faire battre doucement 	 	 	 	 
Se faire battre durement 	 	 	 	 
Se faire battre par une canne 	 	 	 	 
Se faire choisir la nourriture 	 	 	 	 
Se faire choisir les vêtements 	 	 	 	 
Se faire donner à une autre personne dominante	 	 	 	 
Se faire donner la morale 	 	 	 	 
Se faire imposer de la nourriture	 	 	 	 
Se faire imposer des vêtements/sous-vêtements	 	 	 	 
Se faire mordre	 	 	 	 
Se faire servir sexuellement 	 	 	 	 
Se faire vendre à une autre personne dominante	 	 	 	 
Sermon, leçon en cas de mauvaise conduite	 	 	 	 
Servir comme mobilier, pièce d'art 	 	 	 	 
Servir comme toilette 	 	 	 	 
Servir comme un poney 	 	 	 	 
servir oralement 	 	 	 	 
Servitude forcée 	 	 	 	 
Servitude imposée	 	 	 	 
Sexe anal 	 	 	 	 
Sexe génital	 	 	 	 
Sexe par téléphone 	 	 	 	 
Spéculum 	 	 	 	 
Strapping 	 	 	 	 
Suspension 	 	 	 	 
Suspension bras attachés derrière	 	 	 	 
Suspension en position debout	 	 	 	 
Tatouage	 	 	 	 
Tenue en laisse en cercle restreint	 	 	 	 
Tenue en laisse en privé	 	 	 	 
Tirer les cheveux 	 	 	 	 
Tirer ou tordre les parties génitales	 	 	 	 
Tirer ou tordre les tétons	 	 	 	 
Uniforme 	 	 	 	 
Vêtement de latex 	 	 	 	 
Vêtement de lycra	 	 	 	 
Vêtement érotique 	 	 	 	 
Vêtements osés en cercle restreint	 	 	 	 
Vêtements osés en privé	 	 	 	 
Voyeurisme            
            
                
                    
4.2000 vues                    
                    
1 like                    
                
                
            
        
Aimer, amour, sont des mots que longtemps j'ai refusé de prononcer.
Trop galvaudés, mis à toutes les sauces.
Que tout le monde prononce, sans en comprendre (ou vouloir en comprendre) le sens.
Sans se les approprier.
J'aime le sexe, les mecs.
Me soumettre à eux quand ils me baisent.
Mais je m'étais toujours refusée à ce que ça aille plus loin.
_______________
Nous vivons dans une société de consommation où l’individu est roi.
Et il n’y a pas de mal à mes yeux à « consommer du sexe ».
Les mecs peut-être d’ailleurs plus facilement que nous :smile: (sans jugement de valeur, évidemment).
Mais certaines femmes aussi. 
Dont moi pendant longtemps.
Je n’y ai jamais rien vu quoi que soit de choquant. 
J'étais dans une relation d’échange. 
J’ai envie de jouir de toi, et je te donne du plaisir en échange.
Après, on se quitte.
La « transaction » est parfaitement loyale.
En plus, ce type de fonctionnement a des avantages certains : ça permet de comparer les différents « produits ».
_______________
Et puis, un jour, une nuit, l’improbable survient.
Qui fait qu'on se dit que tout ça, ce fonctionnement centré sur nous-mêmes uniquement, finalement, il est creux, vide.
Que certes le plaisir était là, et que ça a fait du bien.
Mais qu'après, quand on se quitte au petit matin, on en ressent la vanité.
Parce qu'on a rencontré quelqu'un qui nous fait comprendre que la vie, ce n'est peut-être pas seulement ça.
Coucher. Baiser.
Jouir égoïstement des autres.
Parce qu'on a envie de partager autre chose avec cet "autre".
Qu'on a compris enfin que « l'instrument » était moins important que celui qui s'en sert.
Quand bien même « l'instrument » est essentiel :smile:.
Et surtout qu’un homme, ce n'est pas seulement une queue dont on se sert pour jouir.
Alors, ce mot, aimer, j’ai commencé à l'apprivoiser.
D’abord, en le susurrant doucement, pour que surtout "il" ne l'entende pas.
Parce que ça voulait dire sortir de ma zone de confort, pour entrer en zone de risque.
Jusqu'au moment où j’ai fini par le lâcher, à voix haute et intelligible.
Et que j’ai compris, à son regard, à son sourire, combien ce mot, il l'attendait, il l'espérait.
Et ça m’a fait du bien.
Au point que je le crie désormais.
_______________
Alors, oui.
J’aime Maxime, mon mec, mon Maître. 
Et aussi la poularde de Bresse au vin jaune :smile:.
J’aime Maxime. Caresser son corps, le parcourir de ma bouche, de ma langue et m'agenouiller à ses pieds.
Et aussi la symphonie du nouveau monde.
J’aime Maxime. Sucer sa bite et boire ce qui en sort.
Et aussi les paysages de la baie d’Ha-long.
Mais pas pareil.
Et si j’aime être dominée, ce que j’aime aujourd'hui dans la soumission, c’est d’être dominée par lui.            
            
                
                    
461 vues                    
                    
16 aime                    
                
                
            
        
Louis Aragon disait :
Tant que j’aurai le pouvoir de frémir
Et sentirai le souffle de la vie
Jusqu'en sa menace
Tant que le mal m’astreindra de gémir
Tant que j’aurai mon cœur et ma folie
Ma vieille carcasse
Tant que j’aurai le froid de la sueur
Tant que ma main l’essuiera sur mon front
Comme du salpêtre
Tant que mes yeux suivront une lueur
Tant que mes pieds meurtris me porteront
Jusqu’à la fenêtre
Quand ma nuit serait un long cauchemar
L’angoisse du jour sans rémission
Même une seconde
Avec la douleur pour seul étendard
Sans rien espérer les désertions
Ni la fin du monde
Quand je ne pourrais veiller ni dormir
Ni battre les murs quand je ne pourrais
Plus être moi-même
Penser ni rêver ni me souvenir
Ni départager la peur du regret
Les mots du blasphème
Ni battre les murs ni rompre ma tête
Ni briser mes bras ni crever les cieux
Que cela finisse
Que l’homme triomphe enfin de la bête
Que l’âme à jamais survive à ses yeux
Et le cri jaillisse
Je resterai le sujet du bonheur
Se consumer pour la flamme au brasier
C’est l’apothéose
Je resterai fidèle à mon seigneur
La rose naît du mal qu’a le rosier
Mais elle est la rose
Déchirez ma chair partagez mon corps
Qu’y verrez-vous sinon le paradis
Elsa ma lumière
Vous l’y trouverez comme un chant d’aurore
Comme un jeune monde encore au lundi
Sa douceur première
Fouillez fouillez bien le fond des blessures
Disséquez les nerfs et craquez les os
Comme des noix tendres
Une chose seule une chose est sûre
Comme l’eau profonde au pied des roseaux
Le feu sous la cendre
Vous y trouverez le bonheur du jour
Le parfum nouveau des premiers lilas
La source et la rive
Vous y trouverez Elsa mon amour
Vous y trouverez son air et son pas
Elsa mon eau vive
Vous retrouverez dans mon sang ses pleurs
Vous retrouverez dans mon chant sa voix
Ses yeux dans mes veines
Et tout l’avenir de l’homme et des fleurs
Toute la tendresse et toute la joie
Et toutes les peines
Tout ce qui confond d’un même soupir
Plaisir et douleur aux doigts des amants
Comme dans leur bouche
Et qui fait pareil au tourment le pire
Cette chose en eux cet étonnement
Quand l’autre vous touche
Égrenez le fruit la grenade mûre
Égrenez ce cœur à la fin calmé
De toutes ces plaintes
Il n’en restera qu’un nom sur le mur
Et sous le portrait de la bien-aimée
Mes paroles peintes
Louis Aragon ~ Le roman inachevé            
            
                
                    
452 vues                    
                    
4 aime                    
                
                
            
        
Summer m’accompagne dans la pièce qui sert de vestiaire. Je mets mes vêtements de Notasulga, jean et tee-shirt un peu défraîchis. Je lui dis :
— J’ai des beaux vêtements, mais...
— Tu veux les ménager ? Pas de problèmes.
Je remplis un sac avec le peu que j'ai... Le plus important étant les photos et les dessins de Bobby, je lui dis :
— Je dois passer un coup de téléphone à un ami pour le prévenir de mon départ.
Ça n’a pas l’air de la déranger. J’appelle Bobby pour lui expliquer ce qui se passe :
— Un producteur m’emmène à Hollywood ! Dès que j'ai la possibilité, je te dis où je suis et tu me rejoins.
— Oh, oui, je viendrai. N’oublie pas.
— Promis, sinon je ne t’aurais pas appelé. Tu seras mon photographe. Bon, je dois y aller, bisous.
On retourne dans la salle VIP. Monsieur et Madame, ou plutôt Enzo et Ruby, puisqu’ils ne sont plus mes patrons, sont là, avec Sam. Celui-ci leur dit :
— Je ne veux pas vous léser, que voulez-vous en échange ?
Enzo répond :
— Si c’était possible, on voudrait avoir le secteur ouest.
— D’accord, il est à vous.
Ils sont ravis. J’ai été échangée contre le secteur ouest ! C’est un peu spécial, non ? Ils m’embrassent et me disent :
— Bonne chance, tu deviendras une star.
Qu’est-ce qu’ils sont gentils, tout à coup. On passe dans le club, j’embrasse Alan, qui m’a remplacée par la rousse, et puis les filles. Tout le monde me souhaite bonne chance.
On sort pour monter dans une voiture. C’est le garde du corps qui conduit, Sam se met devant et nous, les filles, on va à l’arrière. Après avoir collé Alan, je colle Summer. C’est quand même stressant de partir avec des inconnus, la nuit. Son contact me rassure, tellement elle a l’air sûre d’elle.
On commence à voir de plus en plus d’indications pour l’Aéroport International Hartsfield-Jackson. Je leur demande :
— On va prendre l’avion ?
Les deux filles me regardent comme si j’avais dit une grosse connerie. Pussycat répond :
— On est à 3500 km de LA. Nous allons traverser tout le sud des USA. Tu as déjà pris l’avion ?
— Non, jamais.
Et, je ne le dis pas, mais oui, j’ai la trouille. Le garde du corps nous dépose devant l’entrée, puis il va rendre la voiture. À son retour, on va vers la police ou les douaniers, je ne sais pas. Sam me dit :
— J’aurais dû penser à te demander si tu avais un passeport. Sinon, un permis de conduire, ça va aussi.
Je sors de mon sac ma "social security card", oubliée un jour dans la poche d’un jean mis en machine. Je lui tends. Il la prend entre deux doigts d’un air dégoûté, en disant :
— C’est tout ce que tu as ?
— Oui...
Gros soupir. Il y a du monde en pleine nuit, dans cet immense aéroport. Je suis devant Summer. Le policier regarde ma carte d’un air aussi dégoûté que Sam. Summer, qui est derrière moi, lui dit :
— C’est ma cousine et elle est un peu demeurée, Monsieur. Elle a lavé un jean en machine en oubliant sa carte dedans.
Il me regarde et je prends un air stupide. Si, si, j’y arrive. Il me dit :
— C’est bon, mais il faut demander une nouvelle carte d’urgence.
— Oui M’sieur, merci M’sieur.
Il vérifie aussi ma carte d’embarquement et on se retrouve devant les portiques de détection. On doit mettre les bagages à main sur un tapis roulant et tout ce qui est métallique sur un plateau. Summer passe, puis moi, juste après. Et là... je sonne.
Un policier me demande :
— Vous avez du métal sur vous ? Des bijoux intimes ?
Après l’avoir regardé, un peu ahurie, pour de vrai cette fois-ci, je lui réponds :
— Des bijoux intimes ??
— Des anneaux ou des piercings ?
— Non, Monsieur.
Pussycat me dit :
— Ce sont tes vêtements qui sonnent, enlève-les.
Ah ? Bon ! J’ôte mon tee-shirt et mon jean et je passe toute nue dans le portique. Je ne sonne plus, chouette ! J’ai fait ça tellement vite que les policiers n'ont pas réagi... Peut-être parce que ça les amuse.   
Un homme siffle, un autre applaudit, tandis qu'une mémère grommelle quelque chose sur "l'impudeur des jeunes"... Avec un grand sourire, un policier me dit :
— Levez les bras pour qu’on soit sûrs.
C’est clair, ils s’amusent. Ils vérifient mes vêtements, mais il n’y a rien de spécial. Un des policiers me dit :
— On a passé un bon moment, grâce vous... Vous pouvez y aller, mais, rhabillez-vous d'abord.
J’enfile mes vêtements. Sam me regarde, amusé, lui aussi. Il me dit :
— On ne passe pas inaperçu avec toi !
Tant mieux. Je demande à Summer :
— Il n’y a plus de contrôle ?
— Non, on est dans la zone des free-shops.
Sam lui tend une carte de crédit en disant :
— Je voudrais que tu habilles la petite d’une façon convenable et après, vous nous rejoignez au bar des premières
Rhabiller la petite, je n’apprécie pas tellement. Par contre, des vêtements neufs, c’est chouette. Summer m’aide à choisir, je lui dis :
— J’aimerais bien m’habiller en blanc
On choisit une robe blanche assez décolletée et une petite veste dans les roses. Oui, c’est assez voyant ! Je vais dans une cabine d’essayage assez étroite, je me rends compte que mes fesses dépassent du rideau mal fermé. 
Après être sortie de la cabine, je dis à Summer :
— Vous savez, j’avais des vêtements plus habillés...
— Si Monsieur Sam te les offre, autant en profiter.
Je tourne sur moi même en faisant voler ma jupe et je lui demande :
— Comment vous me trouvez ?
— Belle et inconvenante ! Tu ne mets jamais de culotte ?
— Ben, non.
Elle m’achète encore des chaussures blanches et puis une brosse à dents, des produits de beauté et j’ajoute du Chanel n° 5. On achète aussi un sac pour nos achats. Mes autres vêtements et mes photos sont déjà dans sa valise. Cet aéroport est immense. Il paraît que c’est le plus important des USA pour le trafic.
On rejoint les autres au bar des premières classes. Le garde du corps est également là... Je bois du champagne, j’adore... Mon stress diminue grâce à Summer et aux bulles.
Sam parle un peu d’une affaire qui le préoccupe. J’attends qu’il y ait un blanc pour demander :
— Je peux vous poser une question, Monsieur Sam ?
— Vas-y.
— Là où j’habitais, près d’Atlanta, il y avait une esclave, je n’en avais jamais vu. On m’a dit que la vente n’était autorisée que depuis quelques jours. Vous en possédez, vous ?
Ils me regardent à nouveau tous comme si... je venais de la lune ou de Notasulga. Sam répond :
— Oui, bien sûr, on a quatre esclaves. C’est ma société qui gère la vente.
— Sérieux ?
— Oui... Tu es vraiment mignonne, toi.
Ça veut dire "conne", je sais. Je réponds, un peu vexée :
— Je n’avais jamais quitté Notasulga.
— Évidemment... Alors je t’explique, mon groupe a aidé le Président à être élu et grâce à ça, il nous a accordé différents monopoles, dont les esclaves...
Je suis gênée de poser la question suivante, mais tant pis, elle me brûle les lèvres :
— Est-ce que vous... les fouettez ?
— Moi, non, mais il y a une gouvernante qui est très sévère avec eux et ma fille aime aussi les fouetter. Chez mon frère, il y en a plusieurs et Pussycat en a une ou deux.
Elle répond :
— Deux et j'aime bien les fouetter. Quand je suis nerveuse, ça me calme.
Oh putain ! Cette petite conversation me va droit entre les cuisses. Sam me dit :
— Tu pourras visiter l'endroit où on les vend. Ça s'appelle "Slave Paradise". Summer t'y amènera.
— Oh oui, merci !
— Tu vas avoir Johnny Hinde comme agent, c’est le meilleur d’Hollywood et je lui ai fourni une collection d’esclaves.
Le meilleur agent qui va me représenter et visiter l'endroit où on vend les esclaves, j’adore... Je verrai sans doute des esclaves fouettées. Entendons-nous, je serai juste avec mes esclaves. Sévère, mais juste. Summer me demande :
— Tu penses à tes succès ou à tes futures esclaves ?
Je rougis en répondant :
— Un peu des deux...
On monte dans l’avion, en première classe. C’est vraiment luxueux : les fauteuils sont grands et confortables, on reçoit des boissons, même du champagne... On peut manger aussi, je choisis un morceau de tarte aux pommes avec une boule de glace. Bon... tout n’est pas parfait, le décollage me fout la trouille et à un moment, il y a eu quelques trous d’air. Heureusement, je suis à côté de Summer qui somnole.
Après avoir fait des milliers de kilomètres en un peu plus de 4 h, on atterrit à LA vers 7 h du matin. L’atterrissage est stressant aussi. Quand on descend de l'avion, je suis heureuse de me retrouver sur un vrai sol. L’avion, même en première classe, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Les formalités à l’arrivée sont beaucoup plus rapides. On ne doit pas passer par un portique où je peux me déshabiller, dommage... Pour moi, tout est nouveau et immense. Heureusement, les regards admiratifs des hommes me rassurent. Pendant que le garde du corps récupère les bagages, Sam nous annonce :
— On va prendre un petit déjeuner.
Cool, je n’ai mangé qu’un morceau de tarte. On va s’installer dans la cafeteria, je peux enfin commander des eggs and bacon. Ils sont même accompagnés de potatoes. Les autres se contentent de beignets, de fruits et de yaourts...
A suivre
8 Le sud d'est en ouest
Summer m’accompagne dans la pièce qui sert de vestiaire. Je mets mes vêtements de Notasulga, jean et tee-shirt un peu défraîchis. Je lui dis :
— J’ai des beaux vêtements, mais...
— Tu veux les ménager ? Pas de problèmes.
Je remplis un sac avec le peu que j'ai... Le plus important étant les photos et les dessins de Bobby, je lui dis :
— Je dois passer un coup de téléphone à un ami pour le prévenir de mon départ.
Ça n’a pas l’air de la déranger. J’appelle Bobby pour lui expliquer ce qui se passe :
— Un producteur m’emmène à Hollywood ! Dès que j'ai la possibilité, je te dis où je suis et tu me rejoins.
— Oh, oui, je viendrai. N’oublie pas.
— Promis, sinon je ne t’aurais pas appelé. Tu seras mon photographe. Bon, je dois y aller, bisous.
On retourne dans la salle VIP. Monsieur et Madame, ou plutôt Enzo et Ruby, puisqu’ils ne sont plus mes patrons, sont là, avec Sam. Celui-ci leur dit :
— Je ne veux pas vous léser, que voulez-vous en échange ?
Enzo répond :
— Si c’était possible, on voudrait avoir le secteur ouest.
— D’accord, il est à vous.
Ils sont ravis. J’ai été échangée contre le secteur ouest ! C’est un peu spécial, non ? Ils m’embrassent et me disent :
— Bonne chance, tu deviendras une star.
Qu’est-ce qu’ils sont gentils, tout à coup. On passe dans le club, j’embrasse Alan, qui m’a remplacée par la rousse, et puis les filles. Tout le monde me souhaite bonne chance.
On sort pour monter dans une voiture. C’est le garde du corps qui conduit, Sam se met devant et nous, les filles, on va à l’arrière. Après avoir collé Alan, je colle Summer. C’est quand même stressant de partir avec des inconnus, la nuit. Son contact me rassure, tellement elle a l’air sûre d’elle.
On commence à voir de plus en plus d’indications pour l’Aéroport International Hartsfield-Jackson. Je leur demande :
— On va prendre l’avion ?
Les deux filles me regardent comme si j’avais dit une grosse connerie. Pussycat répond :
— On est à 3500 km de LA. Nous allons traverser tout le sud des USA. Tu as déjà pris l’avion ?
— Non, jamais.
Et, je ne le dis pas, mais oui, j’ai la trouille. Le garde du corps nous dépose devant l’entrée, puis il va rendre la voiture. À son retour, on va vers la police ou les douaniers, je ne sais pas. Sam me dit :
— J’aurais dû penser à te demander si tu avais un passeport. Sinon, un permis de conduire, ça va aussi.
Je sors de mon sac ma "social security card", oubliée un jour dans la poche d’un jean mis en machine. Je lui tends. Il la prend entre deux doigts d’un air dégoûté, en disant :
— C’est tout ce que tu as ?
— Oui...
Gros soupir. Il y a du monde en pleine nuit, dans cet immense aéroport. Je suis devant Summer. Le policier regarde ma carte d’un air aussi dégoûté que Sam. Summer, qui est derrière moi, lui dit :
— C’est ma cousine et elle est un peu demeurée, Monsieur. Elle a lavé un jean en machine en oubliant sa carte dedans.
Il me regarde et je prends un air stupide. Si, si, j’y arrive. Il me dit :
— C’est bon, mais il faut demander une nouvelle carte d’urgence.
— Oui M’sieur, merci M’sieur.
Il vérifie aussi ma carte d’embarquement et on se retrouve devant les portiques de détection. On doit mettre les bagages à main sur un tapis roulant et tout ce qui est métallique sur un plateau. Summer passe, puis moi, juste après. Et là... je sonne.
Un policier me demande :
— Vous avez du métal sur vous ? Des bijoux intimes ?
Après l’avoir regardé, un peu ahurie, pour de vrai cette fois-ci, je lui réponds :
— Des bijoux intimes ??
— Des anneaux ou des piercings ?
— Non, Monsieur.
Pussycat me dit :
— Ce sont tes vêtements qui sonnent, enlève-les.
Ah ? Bon ! J’ôte mon tee-shirt et mon jean et je passe toute nue dans le portique. Je ne sonne plus, chouette ! J’ai fait ça tellement vite que les policiers n'ont pas réagi... Peut-être parce que ça les amuse. 
Un homme siffle, un autre applaudit, tandis qu'une mémère grommelle quelque chose sur "l'impudeur des jeunes"... Avec un grand sourire, un policier me dit :
— Levez les bras pour qu’on soit sûrs.
C’est clair, ils s’amusent. Ils vérifient mes vêtements, mais il n’y a rien de spécial. Un des policiers me dit :
— On a passé un bon moment, grâce vous... Vous pouvez y aller, mais, rhabillez-vous d'abord.
J’enfile mes vêtements. Sam me regarde, amusé, lui aussi. Il me dit :
— On ne passe pas inaperçu avec toi !
Tant mieux. Je demande à Summer :
— Il n’y a plus de contrôle ?
— Non, on est dans la zone des free-shops.
Sam lui tend une carte de crédit en disant :
— Je voudrais que tu habilles la petite d’une façon convenable et après, vous nous rejoignez au bar des premières
Rhabiller la petite, je n’apprécie pas tellement. Par contre, des vêtements neufs, c’est chouette. Summer m’aide à choisir, je lui dis :
— J’aimerais bien m’habiller en blanc
On choisit une robe blanche assez décolletée et une petite veste dans les roses. Oui, c’est assez voyant ! Je vais dans une cabine d’essayage assez étroite, je me rends compte que mes fesses dépassent du rideau mal fermé. 
Après être sortie de la cabine, je dis à Summer :
— Vous savez, j’avais des vêtements plus habillés...
— Si Monsieur Sam te les offre, autant en profiter.
Je tourne sur moi même en faisant voler ma jupe et je lui demande :
— Comment vous me trouvez ?
— Belle et inconvenante ! Tu ne mets jamais de culotte ?
— Ben, non.
Elle m’achète encore des chaussures blanches et puis une brosse à dents, des produits de beauté et j’ajoute du Chanel n° 5. On achète aussi un sac pour nos achats. Mes autres vêtements et mes photos sont déjà dans sa valise. Cet aéroport est immense. Il paraît que c’est le plus important des USA pour le trafic.
On rejoint les autres au bar des premières classes. Le garde du corps est également là... Je bois du champagne, j’adore... Mon stress diminue grâce à Summer et aux bulles.
Sam parle un peu d’une affaire qui le préoccupe. J’attends qu’il y ait un blanc pour demander :
— Je peux vous poser une question, Monsieur Sam ?
— Vas-y.
— Là où j’habitais, près d’Atlanta, il y avait une esclave, je n’en avais jamais vu. On m’a dit que la vente n’était autorisée que depuis quelques jours. Vous en possédez, vous ?
Ils me regardent à nouveau tous comme si... je venais de la lune ou de Notasulga. Sam répond :
— Oui, bien sûr, on a quatre esclaves. C’est ma société qui gère la vente.
— Sérieux ?
— Oui... Tu es vraiment mignonne, toi.
Ça veut dire "conne", je sais. Je réponds, un peu vexée :
— Je n’avais jamais quitté Notasulga.
— Évidemment... Alors je t’explique, mon groupe a aidé le Président à être élu et grâce à ça, il nous a accordé différents monopoles, dont les esclaves...
Je suis gênée de poser la question suivante, mais tant pis, elle me brûle les lèvres :
— Est-ce que vous... les fouettez ?
— Moi, non, mais il y a une gouvernante qui est très sévère avec eux et ma fille aime aussi les fouetter. Chez mon frère, il y en a plusieurs et Pussycat en a une ou deux.
Elle répond :
— Deux et j'aime bien les fouetter. Quand je suis nerveuse, ça me calme.
Oh putain ! Cette petite conversation me va droit entre les cuisses. Sam me dit :
— Tu pourras visiter l'endroit où on les vend. Ça s'appelle "Slave Paradise". Summer t'y amènera.
— Oh oui, merci !
— Tu vas avoir Johnny Hinde comme agent, c’est le meilleur d’Hollywood et je lui ai fourni une collection d’esclaves.
Le meilleur agent qui va me représenter et visiter l'endroit où on vend les esclaves, j’adore... Je verrai sans doute des esclaves fouettées. Entendons-nous, je serai juste avec mes esclaves. Sévère, mais juste. Summer me demande :
— Tu penses à tes succès ou à tes futures esclaves ?
Je rougis en répondant :
— Un peu des deux...
On monte dans l’avion, en première classe. C’est vraiment luxueux : les fauteuils sont grands et confortables, on reçoit des boissons, même du champagne... On peut manger aussi, je choisis un morceau de tarte aux pommes avec une boule de glace. Bon... tout n’est pas parfait, le décollage me fout la trouille et à un moment, il y a eu quelques trous d’air. Heureusement, je suis à côté de Summer qui somnole.
Après avoir fait des milliers de kilomètres en un peu plus de 4 h, on atterrit à LA vers 7 h du matin. L’atterrissage est stressant aussi. Quand on descend de l'avion, je suis heureuse de me retrouver sur un vrai sol. L’avion, même en première classe, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Les formalités à l’arrivée sont beaucoup plus rapides. On ne doit pas passer par un portique où je peux me déshabiller, dommage... Pour moi, tout est nouveau et immense. Heureusement, les regards admiratifs des hommes me rassurent. Pendant que le garde du corps récupère les bagages, Sam nous annonce :
— On va prendre un petit déjeuner.
Cool, je n’ai mangé qu’un morceau de tarte. On va s’installer dans la cafeteria, je peux enfin commander des eggs and bacon. Ils sont même accompagnés de potatoes. Les autres se contentent de beignets, de fruits et de yaourts...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search            
            
                
                    
537 vues                    
                    
9 aime                    
                
                
            
        
Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" Il retira alors son pied puis saisit d'une poigne le collier sur le cou de celle quui gisait à ses pieds. D'un coup, il serra ses muscles saillants et releva l'avant bras, portant par cela la jeune femme quiu se trouvait devant lui. Il l'emmena alors sur le lit, serrant le cou d'une main et entourant son entrejambe de l'autre. Il remarquat alors l'abondante humidité se dégaeant de la partie basse. Il jeta alors la jeune fille sur le lit qui, toujours enchainer, ne put s'empecher de s'ecraser sur le matelas. Il s'approcha alors et il posa sa main sur le haut de ses fesses, il remonta alors le long de la colonne vertebrale, décrochant des tremblements qui firent chavirer aussi bien le coeur que le corps de la créature. Etait elle encore humaine ou n'était elle qu'un objet qu'elle avait elle meme offert à cet homme? Toujours est il qu'elle murmura à travers le baillon qui lui serrait la bouche: "baiser moi s'il vous plait". Il s'approcha, retira le baillon et dit: "Je n'ai pas bien compris" Génée, elle repeta "Pouvez vous me baiser, s'il vous plait" Il se mit alors à rire, accentuant la gène de la jeune femme avant de lancer un "Tu es directe toi". Il enleva alors sa braguette et se positiona legerement à l'arrière, posant sa main sur la croupe... Il saisit alors la croupe qui se positiona devant lui et se mit à la pénétrer comme jamais elle n'avait été penetrée. Elle mouillait tellement que chaque mouvement faisiat virer un jet de cyprine sur le matelat. D'un coup de main, il lanca depuis son téléphone la VIIe symphonie de Bethoven. Les premieres notes retentierent et soudain, elle s'appercu que les coups de reins se synchronisèrent avec la mélodie. Son plaisir montait malgré l'inconfort de la position. Soudain, tout s'arreta, il sorti et d'un coup applatit la paume de sa main sur les fesses qui rougirent d'un coup, puis un deuxieme puis un troisieme. Il defit alors les entraves de la pauvres femmes et d'un coup se saisit de ses cheveux et plongeat son regard dans le sien...
--------------
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
Parties 5: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#5/            
            
                
                    
559 vues                    
                    
3 aime                    
                
                
            
        
Maitresse Lucy m'a désigné une croix de Saint Andre. Je m'en suis rapproché. Elle m'a retiré les menottes aux poignets et les a attaché à la croix. J'étais donc le ventre contre la croix à offrir mon dos et mes fesses au premier venu.
Après m'avoir bien attaché, Maitresse Lucy est partie dans mon dos de facon à ce que je ne puisse plus la voir. Je n'avais donc aucune idée de ce qui allait arriver. 
- " Tu es novice, je crois, donc je vais y aller doucement pour commencer"
- "Merci Maitresse"
Je ne savais pas ce qui allait se passer mais je commençais à être excité quand même. 
Un premier coup de fouet s'est abattu sur mon dos : mélange de surprise et de douleur.
Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise. 
- "Tu aimes bien ?"
- "Oui maitresse"
- "Très bien, continuons". 
Les coups ont continué de pleuvoir sur mon dos pendant plusieures longues minutes. La douleur était de plus en plus forte et le plaisir aussi. Je sentais mon sexe se redresser mais la cage empêchait toute érection. 
Au bout d'un moment, Maitresse Lucy m'a délivré et m'a poussé vers un autre coin de la pièce. Elle m'a désigné un morceau de bois suspendu au plafond. 
- "Met ta tête et tes mains ici" 
Je me suis executé sans discuter. 
Maitresse Lucy a posé un autre morceau de bois au dessus de ma tête, m'immobilisant complètement. 
- "J'ai commencé gentiment, maintenant on va passer à la vitesse superieure".
- "Comme vous voulez, maitresse"
- "Dis donc, tu es très poli, c'est bien"
- "Merci maitresse"
- " Mais ça ne va pas durer" 
Immobilisé dans le carcan, je ne pouvais pas bouger. J'ai senti alors un liquide froid dans le bas de dos, vers mon anus. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise.
- "Ne t'inquiètes pas" m'a dit Maitresse Lucy. C'est pour que tu es moins mal.
A suivre..            
            
                
                    
1.2000 vues                    
                    
7 aime                    
                
                
            
        
Peut-on qualifier d'amour
Le simple désir de possession
Est-ce enfermer à double tour
Son coeur dans une scintillante prison
Peut-on résumer en quelques mots 
Ce que nous cherchons tous hardiment
Peut-on le prendre en photo
Cet amour qui nous fait vivre milles tourments
A-t-il un visage, une odeur 
Quel est son nom, sa couleur
Saurais-je le reconnaitre s'il vient à me croiser
Aurai-je la présence d'esprit de ne pas le laisser s'en aller
Le trouverai-je sympathique au premier abord
Essayerai-t-il de me tromper
Sera-t-il d'accord
Ou désintéressé 
Le 16 12 2021
Fiction            
            
                
                    
203 vues                    
                    
7 aime                    
                
                
            
        
J’ai trouvé un nouveau jouet pour ma soumise alors ce soir ça va être un peu trash. Je l’ai conviée à me rejoindre dans la salle de jeu, j’ai fait un peu de place, les mômes sont couchés nous avons tout le temps de nous amuser. Elle entre dans la pièce, nue comme demandé.
Je me place derrière elle, une corde à la main.
J’attache ses poignets dans son dos et monte un harnais de poitrine (gote), très sévère, très restrictif.
- Mets toi à genoux.
Elle s’exécute. J’attache alors ses chevilles et monte deux harnais jambes repliées (futomomo) Je me penche sur elle et l’oblige à se pencher en avant, le buste entre les genoux. Je reprends une corde sur un harnais de jambe, l’enroule autour de sa taille, noue l’ensemble et me reprend sur l’autre jambe. J’attache une dernière corde dans le dos du gote, me reprend sur l’ anneau au plafond et suspend son buste. Attachée ainsi, elle ne peut plus se relever et reste parfaitement cambrée. 
Elle offre son cul, son anus à mon regard et à mes jeux.
Elle commence à gémir un peu, la position est très inconfortable. Je lui pose un bâillon, ses gémissements étouffés m’excitent.
Je l’embrasse un moment, caresse son dos, ses fesses, ses seins. Je l’encourage un peu, c’est difficile mais le plaisir, l’orgasme n’en sera que plus fort, plus jouissif.
J’enduis mes doigts de lubrifiant et caresse son anus, me glisse doucement en elle, un doigt, puis deux, je la dilate et la lubrifie doucement.
Elle gémit encore, elle tente d’ouvrir un peu plus ses cuisses. J’ai un «crochet» en acier, avec une boule de trois centimètres et demi de diamètre à son extrémité et un anneau à l’autre bout, je la fais pénétrer dans son anus doucement, la fais tourner sur lui même, pousse un peu, elle s’ouvre et laisse entrer l’objet en elle. Je le pousse bien au fond, plaque la tige en acier sur ses reins et la noue sur la corde autour de sa taille.
Paf,Paf.
Deux petites claques sur les fesses, un gémissement je la laisse ainsi un petit moment, l’incite à bouger un peu son bassin, aller chercher son plaisir.
Paf,Paf….Paf,Paf,Paf…
Quelques claques bien posées sur les fesses. Elle se tortille encore.
Paf,Paf…
Encore quelques unes, elle continue à tortiller du cul. Elle adore ça (putain si ça me plais, plus elle prend son pied et plus j’aime ça).
Avec une petite cordelette, j’attache le vibro magique sur sa taille et le plaque sur son clitoris. Je tourne la molette et monte très vite en régime (avec ça ma chérie, tu vas jouir comme jamais)
j’enlève mon caleçon et lui retire le bâillon, j’ai une érection canon.
- Prends moi dans ta bouche.
- Oui, viens.
Elle ouvre la bouche et je m’enfonce doucement en elle, sa langue s’active, elle me pompe , elle me suce, elle la veut (putain si c’est bon) 
- Vas-y ma belle, suce moi bien, à fond, avale moi.
Elle ouvre sa gorge et m’avale tout entier. (ça lui à pris des années avant d’y arriver, mais c’est magique et elle adore ça)
Le vibro fait son petit effet, elle gémit, elle jouit, elle m’avale, me suce, s’étouffe avec ma queue et jouit encore plus.
Je me retire, je ne veux pas jouir maintenant et j’avoue qu’avec une pipe pareille, il est très difficile de se contenir.  
Je passe derrière elle, défais le nœud qui maintient le crochet en place et retire doucement la boule de son anus. Je décroche la corde au plafond et la laisse reposer les épaules au sol. J’appuie mon gland sur son anus et la laisse s’ouvrir, elle m’accueille en elle en gémissant. 
Mon va-et-vient devient rapidement pressant, en plus le vribro envoie tout ce qu’il peut, c’est dément.. Je me calme un peu en dénouant le gote pour libérer ses bras, lui permettre de prendre appui au sol et retrouver le contrôle (partiel) de son corps. Je m’active à nouveau en elle, elle m’offre ses fesses, se tend, gémit encore et encore, je n’en peux plus, ce petit jeu était vraiment trop excitant.
- Je vais jouir ma belle, rejoints moi.
- Oui, viens, jouis en moi.
Il n’en fallait pas plus, pour me faire jouir, j’éjacule, j’explose en elle, le plaisir m’envahit tout entier, les spasmes de ma queue sont puissants. Je suis repus, épuisé. Je me retire, arrête le vibro et commence à dénouer les cordes pour la libérer complètement.
Elle étant ses membres doucement et me sourit.
-Merci mon amour.
- Merci à toi ma belle.
Ça t‘a plus?
-Oui, c’était vraiment spéciale.
- Oui, très.
Je l’embrasse, me relève et range un peu tout ça, il ne faudrait pas que les enfants tombent sur nos jouets demain matin.            
            
                
                    
657 vues                    
                    
5 aime                    
                
                
            
        
Je me déplace rarement hors de Paris dans mon cadre professionnel.
Et quand ça arrive, c'est généralement pour la journée. 
Départ le matin, souvent tôt, retour le soir, parfois tard.
Il ne m'était plus arrivé de devoir partir plusieurs jours depuis le début du Covid.
Mais là, je n'avais pas le choix.
Signature des actes relatifs au rachat d’une boîte, auquel j'avais participé.
3 jours de déplacement.
_______________
Longtemps, j’ai vécu seule.
Les mecs que je voyais me baisaient le plus souvent chez eux, parfois chez moi.
Nos affaires terminées, nous nous quittions au petit matin. 
J’étais libre, et cela me convenait parfaitement. 
Et puis, il y a eu ce foutu Covid, le premier confinement, mon installation chez toi.
Et j’ai découvert combien c’était bon de partager ta couche. 
Pas seulement pour que tu profites de moi et moi de toi.
Mais pour m’endormir, me réveiller à tes côtés.
Sentir la chaleur de ton corps contre le mien, me blottir contre toi. 
Te savoir là quand il m’arrive de me réveiller la nuit.
Pouvoir te toucher, te caresser, te respirer.
Te réveiller le matin en même temps que ton désir 😀.
_______________
Bon, ça présente aussi quelques inconvénients.
Ta façon de t’étaler, deux tiers du lit pour toi, un tiers à peine pour moi. 
Mais ça ne me gêne pas. 
Puisque la place que tu prends dans le lit ne fait que refléter celle que tu occupes désormais dans ma vie 😀.
_______________
Alors, j’appréhendais ces deux nuits sans toi. 
Le manque de toi.
Me retrouver seule dans un grand lit vide.
Sans toi.
_________________
Le premier jour, le client nous a invité à dîner dans un restau connu de la place.
Dîner agréable, quelques compliments un peu appuyés de sa part à mon propos, rien de choquant ni de déplacé.
J’aime bien les compliments quand ils viennent des mecs 😀.
Il était tard quand je t'ai appelé.
Nous nous sommes raconté nos journées respectives.
Le deuxième soir, nous avons dîné à l'hôtel, moi et Kevin, le collaborateur qui m'accompagnait.
Dîner rapide, après une journée chargée.
Dernières discussions, ultimes modifications aux actes que nous avions préparés.
A 10h et demie, j'étais dans ma chambre.
Je t'ai appelé.
Nous avons parlé longuement.
Je t'ai dit combien tu me manquais.
Toi, et ce que tu as entre les jambes.
Quand bien même j'en avais pourtant profité encore le matin avant mon départ.
Tu m'as dit d'allumer mon pc, de brancher la caméra, de te rappeler via skype.
Je me suis déshabillée, allongée sur le lit vide, j'ai branché l'ordi et je t'ai rappelé.
"Caresse toi" m'as tu ordonné.
"Montre moi ta chatte".
"Mieux que ça, ouvre toi davantage"
"Montre que tu n’es qu’une chienne"
"Pince tes tétons"
"Plus fort"
"Je veux voir ton cul"
"Mets y un doigt"
"Deux"
"Encore un"
"Tu mouilles ? Je veux voir ton sexe"
_______________
Oui, je mouillais.
Rien qu'à entendre le son de ta voix.
A obéir à tes ordres.
Alors même que je ne te voyais pas, puisque de ton côté tu n'avais pas allumé ta caméra.
Et en même temps, j'avais honte.
Pas de m'exhiber ainsi devant toi.
Mon corps, mes trous n'ont plus de secrets pour toi.
Mais de prendre du plaisir sans qu'il ne soit la conséquence du tien.
Parce que si j'aime jouir, c'est de toi que j'aime jouir.
Par toi, pour toi, grâce à toi.
J'ai quand même joui ce soir-là, sur ce lit que je ne partageais pas avec toi.
Ce grand lit vide où je me suis endormie seule.
Sans toi.
_______________
Quand je suis rentrée, tu n'étais pas encore arrivé.
Dans le vide poche de l'entrée, il y avait un de tes mouchoirs.
Humide de ce que d'autres qualifieraient de "souillures", que je n'ai jamais considérées comme telles .
J'ai souri en pensant à quoi il t'avait servi.
Je l'ai longuement reniflé, léché, avant de le remettre là où je l'avais trouvé.
Presque aussi propre que si tu ne l'avais pas utilisé.
Puis j'ai été me doucher, me préparer pour toi.
_______________
La nuit a été longue.
Ou courte, selon le point de vue qu'on adopte.
J'ai veillé à largement compenser ces deux nuits passées sans toi.
Sans aucune honte cette fois-ci.
_______________
Finalement, je préfère un tiers du lit pour moi et les deux autres pour toi qu'un grand lit pour moi seule :smile:.            
            
                
                    
1000 vues                    
                    
20 aime                    
                
                
            
        
Mur de commentaires
Severazur
14/11/2021 16:27:56
Une page se tourne...
Les jours ont des couleurs. Certains sont jaunes comme le soleil, roses comme l'amour, rouges comme la passion, gris comme la tristesse.
Aujourd'hui est un jour bien gris.
La décision que je me suis résolu à prendre m'arrache le cœur tant je sais qui je perds et tant je sais combien je la fais souffrir.
Il m'était cependant impossible d'envisager une autre issue pour des raisons qui ne regardent qu'elle et moi.
Déchiré et triste, je ne peux cependant que me résoudre à rendre à ma si Précieuse sa liberté dont elle ne voulait pas.
Devant toutes et tous ici, je veux rendre grâce à sa sincérité, son engagement, son honnêteté sans faille. Jamais il ne m'a été permis de posséder pareille soumise, dont la force et la fragilité forcent mon respect et mon admiration.
Jamais ma précieuse n'aura failli, démérité, n'ayant de cesse que de devancer mes désirs avec une passion incroyable.
Je lui rends grâce et je demande aux nombreuses personnes qui nous ont témoigné leur bienveillance ici de prendre grand soin d'elle et de l'accompagner dans ce moment compliqué.
Pour ma part, je ne chercherai pas à la remplacer, elle est de toute manière irremplaçable.
Je remercie les personnes qui ici par leurs messages, leur humour et leur bienveillance nous ont accompagnés et je souhaite à chacune et chacun d'éprouver la connexion que ma précieuse et moi avons connu.
Bon vent à toutes et tous.
Quelques uns de nos commentaires 
Merci mon arc, ma précieuse pour vos mots ici et pour garder le lien. Vous m'êtes et me resterez toujours précieuse
14/11/21
arc en ciel
Vive émotion Mon Maitre à vous lire, je reste votre précieuse, vous restez précieux pour moi.
Mon choix est de garder le lien entre nous ailleurs, cette décision vous sied. Je n'ai aucun reproche à vous faire, sachez le.
Votre décision, je l'ai accepté avec déception et tristesse,  ne pouvant faire autrement.
La vie continue, je sais me relever...
Vous me voulez forte, je le suis et serai.
1 15/11/21
Je le mets ici pour garder le lien/souvenir de notre relation.
Le 15 12 2021            
            
                
                    
494 vues                    
                    
9 aime                    
                
                
            
        
Top rédacteurs		
	
Sujets tendances		
	









