La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/12/21
Mur de commentaires Severazur 14/11/2021 16:27:56 Une page se tourne... Les jours ont des couleurs. Certains sont jaunes comme le soleil, roses comme l'amour, rouges comme la passion, gris comme la tristesse. Aujourd'hui est un jour bien gris. La décision que je me suis résolu à prendre m'arrache le cœur tant je sais qui je perds et tant je sais combien je la fais souffrir. Il m'était cependant impossible d'envisager une autre issue pour des raisons qui ne regardent qu'elle et moi. Déchiré et triste, je ne peux cependant que me résoudre à rendre à ma si Précieuse sa liberté dont elle ne voulait pas. Devant toutes et tous ici, je veux rendre grâce à sa sincérité, son engagement, son honnêteté sans faille. Jamais il ne m'a été permis de posséder pareille soumise, dont la force et la fragilité forcent mon respect et mon admiration. Jamais ma précieuse n'aura failli, démérité, n'ayant de cesse que de devancer mes désirs avec une passion incroyable. Je lui rends grâce et je demande aux nombreuses personnes qui nous ont témoigné leur bienveillance ici de prendre grand soin d'elle et de l'accompagner dans ce moment compliqué. Pour ma part, je ne chercherai pas à la remplacer, elle est de toute manière irremplaçable. Je remercie les personnes qui ici par leurs messages, leur humour et leur bienveillance nous ont accompagnés et je souhaite à chacune et chacun d'éprouver la connexion que ma précieuse et moi avons connu. Bon vent à toutes et tous. Quelques uns de nos commentaires Merci mon arc, ma précieuse pour vos mots ici et pour garder le lien. Vous m'êtes et me resterez toujours précieuse 14/11/21 arc en ciel Vive émotion Mon Maitre à vous lire, je reste votre précieuse, vous restez précieux pour moi. Mon choix est de garder le lien entre nous ailleurs, cette décision vous sied. Je n'ai aucun reproche à vous faire, sachez le. Votre décision, je l'ai accepté avec déception et tristesse, ne pouvant faire autrement. La vie continue, je sais me relever... Vous me voulez forte, je le suis et serai. 1 15/11/21 Je le mets ici pour garder le lien/souvenir de notre relation. Le 15 12 2021
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Par : le 14/12/21
Immobilisée au sol, dans une position non confortable et qui plus est n'était pas celle demandée. Voila sa situation. Pourtant, elle avait essayé de se relever, toujours sans succès. La porte battait toujours legerment au rythme des courants d'air provoqués par l'ascenseur du couloir alors que le lampadaire clignotait parfois, brisant le fin rayon de lumière qui pénétrait dans la chambre. C'était stressant oui, mais jamais elle n'avait été autant excitée. Ce n'était pas de l'excitation cela lui arrivait sans cesse lorsqu'elle voyait un homme attirant ou qu'elle s'apprêtait à s'élancer dans des ébats. Non, c'était autre chose, une excitation interdite, presque mystique. Elle n'arrivait à penser à rien d'autre qu'à la réaction de l'homme qui allait rentrer par cette porte et à si ca serait bien l'homme auquel elle pensait et non un parfait inconnu. Et pourtant, elle savait au fond d'elle meme que rien ne pouvait lui faire regretter d'être venue. Elle mouillait, évidemment, plus qu'elle n'avait jamais mouillée, mais son excitation ne venait pas de ses parties intimes, elle venait de sa tête, de ses poignés menottés, du collier qui à chaque instant serrait un peu plus son cou. Elle venait de cette boule au milieu du ventre qui lui disait fuit, elle venait de la chaine qui la reliait au sol qui lui répondait que c'était impossible de fuir. Elle lui venait de cette porte qui a tout moment pouvait s'ouvrir. Le temps passa, elle aurait pu s'endormir si l'inconfort de la position ne lui avait pas ôté toute envie. Elle entendait l'heure tiquer, elle sentait la lune continuer dans le ciel derriere elle, la vie continuait et elle était coincée dans cette chambre, à la merci d'une porte capricieuse. 40 minutes passèrent, 50? Elle n'en savait rien. Toujours est il qu'a un moment donné des bruits de pas se firent entendre. Des pas lourds mais délicats, étouffés par la moquette de l'hotel. Soudain, les bruits s'arrêtèrent devant la porte. L'ephemere moment sembla durer une heure, comme suspendu à une seconde d'insouciance, à une minute de questionnement. Alors la porte s'ouvrit. La curiosité s'emballait, elle voulait voir qui était là, si c'était celui qu'elle attendait. Cela faisait des heures qu'elle n'attendait qu'une chose, voir le visage qui passerait cette porte. Et pourtant, ses yeux ne lui obéissait plus, pas plus que son cou ou que ses muscles. Son regard se figea dans un trait du motif de la moquette rouge et elle ne pouvait lever sa tete. Elle le voulait, mais c'est comme si son corps disait inconsciemment de regarder le sol afin de ne pas défier du regard celui auquel elle avait déjà désobéis. Les pas reprirent et le regard demeura figé jusqu'à ce qu'elle sente le froid d'une semelle se poser sur son cou, à moitié sur son collier et à moitié sur sa peau frère et refroidi par l'atmosphère hivernal. Elle n'était plus rien et elle était tout. Son collier l'avait transformer. Elle ne craignait plus la punition, elle voulait garder son visage figé dans ce trait noir désiré sur la moquette rouge pour l'éternité, dans le simple but de LUI offrir sa personne. Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" -------------- Partie 2 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 3 Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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Par : le 13/12/21
Marine et Valérie, les deux championnes des hauts alpages s'affrontent pour le combat final. Il ne doit en rester qu'une. Le peuple s'est assemblé, c'est jour de grande fête. La bière coule à flot. Les deux rivales se toisent, se lancent des regards de feu. Leurs pieds rageurs raclent la terre. Voilà, elles se foncent dessus, cherchent de suite à s'empaler. Les cornes se choquent avec grand bruit. Leurs narines lâchent un air brûlant de rage. Marine est une costaude, toute en masse, puissante. Valérie, plus fine est toute en finesse et esquives, mais elle sait cogner dur. Un combat impitoyable. Finalement, avec ses frappes de précision Valérie prend vite le dessus. Marine ne met pas genou à terre, mais se retire. Elle est la perdante mais c'est une fière qui refuse toute soumission. L'assemblée du peuple exulte et célèbre la victoire de Valérie. Chante peuple, réjouis toi. Au final c'est encore toi qui l'aura dans le cul.
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Par : le 13/12/21
J'ornerais de beauté ces langoureux désirs Ces soupçons cachés sous les cils de vos paupières Cette adorable émotion enveloppée des feux d'enfer Noircit votre regard quand ma folie soupire Vous voilez de dentelle le bleu de mes yeux Dans ces ténèbres, je chavire sous vos empreintes Ces silences libèrent mon corps amoureux Qui s'abandonne aux vertiges, en cris et plaintes Suspendue au brouillard, assoiffée d'éclaircies De mes lèvres à la pointe de mes pieds fragiles Ces ravages qui font du grain de ma peau cette anatomie De courbes veloutées que dessinent vos mains agiles Nous vacillons au gré des rafales de vagues océans Paysage étonnant de nature paisible ou en guerre Vous voguez entre forêts et lune comme un insolent Quand la musique emplit les murs de mon visionnaire Perdus sur le chemin , nos âmes vendues aux flammes Dont la dernière étincelle brûle encore sur mon corps Laissez s'émousser le souvenir d'un mirage qui vous acclame Faut-il qu'en défiant le sort ,vous le souhaitiez encore ? fiction Le 13 12 2021
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Par : le 13/12/21
Ma bouche est remplie, mais les mouvements ont cessés, ce que je pense être un gode, reste fixe, mais il semble fixé sur la table, sur laquelle mon torse est plaqué. il l'est d'autant plus que je ressent un poids, qui m'empêche de bouger, si j'en eu envie. des doigts saisissent mes fesses et les écartent. Je ressent le froid d'un liquide sur mon orifice, et un doigt s'introduit en moi. "je te l'ai dit, tu es a moi cette semaine, et je décide de tout, ne t'avise pas a bouger". Le poids qui me plaque sur la table, disparait, et j'attend obéissant. j'entend des bruits dans la cuisine, et avoue avoir peur. Le poids, que maintenant j'ai identifié comme celui de la dame, qui me chevauche, retourne avec ses doigts sur mes fesses, les écartant. je ressent une sorte de brulure sur mon orifice, qui progresse en moi. En fait, j'identifie que c'est de la glace qui me pénètre, des petites billes, qui sont des glaçons qui me remplissent. Les brulures sur mon orifice, s'estompent, mais mon corps veux les expulser, et j'avoue avoir peur d'être à l'origine d'une débâclé peu ragoutante. Je supplie Madame de me laisser aller aux toilettes. Madame, joue un peu de mon empressement, puis me libère, mais j'ai toujours les yeux bandés. Je ne sais vers ou aller, Madame, s'en apercevant, m'enlève le bandeau, mais l'envie étant tellement pressente je me précipite sur les toilette, ayant peur des fuites, et la débâclé a lieu sur les toilettes. C'est ainsi que je fis connaissance visuellement de Madame, qui apprécie la situation, me regardant me vider, en riant. Situation on ne peut plus humiliante. Je demande l'autorisation de prendre une douche, qui m'est accordée avec un grand sourire, moqueur.
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Par : le 12/12/21
Mon fard sur ta force Ma rose sur ta tige Mon fer sur ta sève Ta queue maquillée maculée et son sourire de putain mouillée dans sa cage Mes cordes sur ton corps Mes tours sur ton torse Mes noeuds sur tes pointes Ta peau marquée inscrite et ses frises de bois gravé entre les lignes Mes pinces à ta source Mes poids à tes breloques Mes chaînes à ton or Tes gestes cliquetants entravés et leur grammaire de carillon fou sans balancier Mon cuir à ta taille Mes liens à ton dos Mon étreinte à ton échine Ta cambrure corsetée contrainte et ses os raides armaturés dans ta chair Mes lanières à ta volée Ma cravache à ton centre Ma paume à tes rondeurs Ta blancheur zébrée tressautante et ma marque imprimée sous ta brûlure Ma force dans tes fesses Ma tige dans ta rose Mon thermomètre dans ta fièvre Ton cul forcé rempli et ma petite mort au fond de toi
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Par : le 12/12/21
Le terme de "jeu" est d'usage courant lorsqu'il s'agit de relations bdsm. Pour désigner ce que nous faisons ensemble, qui que que nous soyons, et quelle que soit notre "rôle" dans le jeu. J'ai longtemps "joué" de la sorte. Me servant des mecs pour mon plaisir. Selon les règles que je leur imposais. Ils pensaient me dominer, ce qui m'a toujours fait sourire. Puisque c'est moi qui "jouait" avec eux. Qui me jouait d'eux. Mais nos "jeux" n'étaient qu'illusion. Scénarisation de mes désirs. Puisque les leurs ne comptaient pas. Tout du moins pour moi. _______________ Mais dans tout jeu il y a toujours un gagnant et un perdant. Et quand je joue c'est pour gagner. Je ne suis d'ailleurs pas trop mauvaise à cela :smile:. Alors, avec toi, à cause de toi, j'ai compris un jour qu’il me fallait cesser de jouer. Parce que la vie, ce n'est pas qu'un jeu. Parce qu'on ne joue pas avec ses sentiments, ses désirs et ceux de l'autre. Mais surtout parce que je ne veux plus qu'il y ait un gagnant et un perdant, Parce que je ne veux ni perdre contre toi, ni gagner contre toi. Mais bien gagner avec toi, que nous gagnions ensemble :smile:. Alors, oui, ce mot de jeu, entre nous, pour ce qui est de nous, je l'ai banni de mon vocabulaire. Et ca me convient bien :smile:. Parce que tu m'as appris à ne plus jouer. Mais à vivre.
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Par : le 12/12/21
Je n’aimais pas quand sa mère, Mme Joubert, m’emmenait au bois ! Je préférais l’avoir pour moi seul. Elle, en revanche, s’en faisait une fête et semblait ravie quand elle me passait ma laisse et me tirait jusqu’au au parking où elle m’enfermait dans le coffre de la voiture et prenait la route du bois. Là, pas loin d’un réverbère, elle m’attachait à un arbre, abaissait mon pantalon sur mes chevilles et me faisait assoir comme un toutou avec l’ordre de ne pas bouger. « Tu fais moins le malin maintenant ! Je vais t’apprendre qui commande ! » Une fois sagement assis sur mon postérieur, elle faisait mine de partir, me laissant seul. Bien que je la sus cachée pas loin, impatiente de se régaler de ce qui allait m’arriver, l’inquiétude de ne plus la voir me paralysait. Puis les premiers bruits de pas se faisaient entendre et les premières ombres s’approchaient. La première queue déballée devant mon nez marquait le signal du début de mon calvaire. Il me fallait sucer à la chaîne tout ce qui ressemblait à un phallus tandis que l’attroupement grossissait… La tâche semblait insurmontable, dès que je finissais avec un, un autre surgissait plus vigoureuse que la précédente. Je suçais sans répit ne cherchant même pas à voir les propriétaires de tous ces sexes en attente. J’offrais ainsi ma bouche aux plus impatients, forcé d’accepter les plus douteux, jusqu’à l’épuisement et le renoncement. Les gifles et les coups de genoux dans les côtes pleuvaient alors, me forçant à finir le travail. Il y avait aussi les doigts qui s’introduisaient en moi et qu’on me faisait parfois lécher. Si l’un d’eux cherchait à me pénétrer, Mme Joubert intervenait avec sa cravache pour remettre de l’ordre… ou se joignait à la mêlée et m’arrosait de coup de cravache, pendant qu’on me montait dessus. Quand l’attroupement s’était dispersé, me laissant exsangue, couvert de terre et de sperme, Mme Joubert me faisait remonter dans le coffre et me ramenait chez sa fille. Parfois, sous le porche, elle me gratifiait d’une fellation si elle voulait que je laisse Pat tranquille ou, au contraire, m’en privait pour que je passe ma frustration sur elle.
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Par : le 12/12/21
Sure de me faire plaisir, Pat choisit un corset noir et rose qui laissait voir ses tétons, sans pouvoir détacher son regard d’une cagoule en cuir noire, à l’esthétique morbide, qui trônait sur le présentoir. Sa fascination était telle que je l’ajoutais au panier, curieux, moi aussi, de savoir ce que m’inspirerait le corps de Pat, une fois la beauté de son visage occultée.. Arrivés à l’appartement, elle quittait son blouson, mais aussi son chemisier et sa jupe, et se retrouvait rapidement nue, en escarpins et bas résille, à déballer les achats, impatiente d’essayer sa nouvelle tenue. Je l’aidais bien sûr, me faisant un plaisir de serrer fort les lacets. Chaque cran l’obligeait a se cambrer un peu plus, faisant ressortir son gros cul que je caressais et soupesais régulièrement pour en évaluer la contrainte et, une fois satisfait, validais d’une claque. La bonne volonté que Pat mettait à devenir une femme fatale, était émouvante, même si ses efforts pour maintenir son fessier callipyge en équilibre sur ses talons de 12 étaient plutôt comiques. Rapidement elle s’était installée à demeure chez moi et passait le plus clair de son temps à ranger l’appartement et à se gaver de saloperies. Personne ne trouvait rien à y redire. Pat n’avait plus à subir les critiques permanentes de sa mère, Mme Joubert, qui, elle, pouvait continuer de mener tranquillement sa vie de débauche. C’est elle qui m’avait présenté sa fille, mais je continuais de la voir seul chaque jeudi. C’était une femme de tête qui pouvait s’emporter facilement, mais à qui on ne pouvait rien refuser. J’attendais et redoutais notre séance hebdomadaire, les choses qu’elle me demandait de faire pour me laisser admirer son corps sublime me dégoûtaient parfois. Cette relation contrariait fortement Pat, mais, pour l’instant, elle gardait la tête baissée pendant que j’ajustais sur sa nuque la petite lanière qui fixait la cagoule. C’était du meilleur effet ! Le contraste entre les froufrous du corset et l’austérité de la cagoule était saisissant. Sa seule expression passait par ses petits yeux inquiets qui, à travers les trous, semblaient redécouvrir le monde. Le masque lui enlevait son identité et la réduisait à son postérieur. Je saisis le martinet et l’abattais sur ses fesses, provoquant un cri de douleur, preuve que derrière le masque, il y avait bien un être humain.
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Par : le 08/12/21
Bien sûr, Bobby ne ressemble pas du tout à Allan. Il n’est pas très grand, pas très costaud, pas très sûr de lui, mais il dessine très bien et ses photos sont splendides. De plus, il a peut-être d'autres talents. Il se jette sur ma chatte la langue la première et ça me fait constater que, oh oui, il fait ça bien ! Pearl m’a bien léchée, de peur d’être fouettée, mais Bobby, c’est un... "natural born pussy licker" (né pour lécher des chattes). Sa bouche et sa langue me titillent délicieusement. Oh ! Il la remet dans sa bouche... mais c’est pour me demander :  — Je peux plier tes jambes ?  — ... Euh, oui... Il replie mes jambes, dans la position du bébé qu’on lange. Ensuite, appelons un chat, un chat, il enfonce sa langue dans ma chatte et puis dans mon cul. Ça, c’est la première fois qu’on me le fait ! Il y a déjà eu des doigts et des bites qui l’ont visité, mais une langue, jamais... Et ça me plaît ! C’est tellement... intime et inconvenant ! Après une courte mais délicieuse romance entre sa langue et mon cul, il remet mes jambes dans une position normale et sa langue se remet à virevolter sur mon clito. Putain ! Il est bon ! Vous voyez, un mec comme Alan, il a l'impression, qu'il vous fait une fleur en vous enfonçant sa bite dans la bouche, mais jamais il n’irait embrasser un minou et encore moins un cul. Sa bouche, il estime qu’elle sert à donner un baiser à sa mère, pas à embrasser le cul des filles. Chacun a sa spécialité : la nuit dernière Alan m’a mis 10 cc de sperme dans la chatte et ce midi, Bobby la nettoie. Ce sont des pensées que je ne devrais pas avoir : ça m’excite trop, mais si je pense au fouet qui claque sur les fesses de Pearl, c’est pire ! Alors je lâche les amarres et le bateau de la jouissance m’emmène sur une mer de félicité ! Ou bien, pour parler normalement, je prends un super pied. Je plaque son visage sur ma chatte et je resserre mes cuisses tandis qu’il me fait jouir. C’est trop bon.... Je le lâche avant qu’il n’étouffe et, comme une chatte qui lape du lait, il nettoie ma chatte mouillée. Je me lève pour m’étirer... Bobby me demande :  — Je pourrai le refaire ?  — Tous les matins, si tu veux. Ses yeux brillent comme ceux d’un enfant qui découvre les jouets laissés par le père Noël... Enfin, moi, je n’ai pas connu ça ! Il me dit :  — Je sais que tu vas partir bientôt. Je pourrai t’accompagner quand tu iras à Hollywood ? Mes parents me versent une rente, je te la donnerai et... Allons bon, voilà autre chose. Est-ce que j’ai besoin de lui ? Oui, pour faire des photos et pour être mon boy, si j’ai envie. Je lui demande :  — Tu m’obéiras ?  — Oui, je te le jure.  — C’est combien la rente ?  — 750 $ par mois... Mouais, pas énorme, mais il peut m’être utile. Je réponds :  — D’accord, je te ferai venir.  — Oh merci Ashley. Pour le taquiner, j’ajoute :  — Mais tu devras laver mes culottes... à la main.  — Ouiiii... Il me donne son numéro de téléphone et prend le mien. Bon, assez joué, je descends vers la terrasse, mon boy sur mes talons. Pearl ne fait aucune bêtise, ça m’énerve ! *** En fin de journée, je pars au club avec Allan. Il y a une nouvelle fille, une jolie rousse et il a l’air très intéressé. On ne s’est pas juré fidélité et bon, je vais partir dès que possible. Vers 23 h, un groupe arrive. Il y a d’abord un homme d’une cinquantaine d’années, très noir de cheveux. Il n’est pas séduisant mais apparemment très sûr de lui, comme tous les riches. Il pourrait être Italien comme Enzo, le patron du club. Une jolie blonde l’accompagne, ça pourrait être sa fille ou sa petite fille... Il y a aussi une femme d’une trentaine d’années, une jolie brune aux yeux bleus. Sans pouvoir expliquer pourquoi, je la sens dangereuse. Enfin, il y a un homme plus jeune et costaud, sûrement un garde du corps. Dès que Ruby voit l’homme, elle dit à une fille :  — Demande à Monsieur de venir immédiatement. Puis elle va au-devant de l’homme en disant :  — Signor Boizano, je suis ravie de vous voir dans notre club. Il lui tend la main et répond :  — Tu es Ruby, c’est ça ?  — Oui, Signor, l’épouse d’Enzo. D’ailleurs, le voici. Enzo s'incline devant le nouveau venu en disant :  — Bienvenue, Signor Boizano, votre visite est un grand honneur. Si je puis vous être utile de quelques façons que ce soit...  — On est ici pour affaire et j’ai entendu parler d’une fille qui serait le sosie de Marilyn.  — Certainement... Si vous voulez, les filles vont vous installer dans la salle VIP et elle va vous rejoindre. Eh ! Je suis connue ! Monsieur ouvre lui-même la porte de la salle VIP. Il fait signe à plusieurs filles de s’occuper d’eux. Ruby me dit :  — Va vite te changer. Tu mets la robe rouge pour faire ton numéro devant le signor Boizano. C’est quelqu’un de très important. Non, pas possible ? À les voir ramper devant lui, je m’en doutais un peu. Après m’être changée, je me donne un coup de peigne. Puis je vais dans le club, par la porte qui donne sur la grande pièce VIP. J’entre et je prends une pose de pin up en demandant avec la voix de Marilyn :  — Puis-je danser pour vous ? Ils sont surpris, eux ! Il faut dire que ma ressemblance avec Marilyn est... comment dire ? Hallucinante. Voilà... Le signor Boizano me répond :  — Je suis venu pour te voir et je ne suis pas déçu, tu es très belle....  — Merci Monsieur. Je clique sur mon iPhone et la musique de "Diamonds" se fait entendre. Le son n’est pas très bon, mais je suis sûre que c’est la vue qui l’intéresse. Je grimpe sur la table. Elle est grande, ce qui me permet de danser en chantant et en me déshabillant. Je fais mon numéro pour el signor. Je commence à chanter :  — The French are glad to die for love (les Français sont heureux de mourir d'amour).  — They delight in fighting duels (ils aiment se battre en duel).  — But I prefer a man who lives (mais je préfère un homme qui vit).  — And gives expensive jewels (et qui m’offre des bijoux coûteux). Moi, je suis tout à fait d’accord avec ces paroles. Je continue à chanter tout en me déshabillant et je termine en saluant... Et... il n’a pas mis de billet sur la table. Je lui dis :  — Ça ne vous a pas plu, Monsieur ?  — Si, si, mais je suis surpris de la ressemblance. Ayant compris que je voulais que son admiration se transforme en espèces, il sort un billet de son portefeuille. Je me retourne et il le glisse entre mes fesses. C’est l’habitude au Club, les clients glissent les billets sous le string, entre les fesses ou ils les posent sur la table. Je le remercie et prends le billet. Oh ! c’est 100 $, mon plus gros pourboire. Je me mets à quatre pattes sur la table pour l’embrasser sur la bouche. Il a l’air surpris, les autres aussi... Peut-être suis-je un peu trop familière ? Je dis aussitôt :  — Pardon, c’était spontané. En regardant la fille qui l’accompagne, j’ajoute :  — Je ne voulais pas... euh... marcher sur tes plates-bandes. Je suis nouvelle et... Elle répond :  — Pas de problèmes, tu peux embrasser mon oncle. Je suis une grande fille, hein tonton Sam ?  — Mais oui, Pussycat. Ils se foutent de moi là, Tonton Sam et Pussycat ? Il me dit :  — Assieds-toi petite, j’ai une proposition à te faire.  — Si vous voulez m’épouser, c’est "oui" tout de suite. D’abord surpris, il finit par rigoler. Je vais m’asseoir sur une chaise en face de lui. À ses côtés, il y a Pussycat et l’autre la fille de trente ans. Il dit à cette dernière :  — Sers-lui un verre, Summer. Ça lui va bien, ce nom Summer. Elle remplit une coupe de champagne et me la tend. Je remercie les yeux baissés car elle m’intimide. Je vide mon verre d’un coup... et je fais un petit renvoi discret. Sam me dit :  — Tu sais qui je suis ?  — Mon plus riche client jusqu’à présent.  — Oui, mais aussi un homme d’affaires. Ma société possède un grand studio à Hollywood et je voudrais t’engager. Oh ! Il se fout pas de moi là ? Je lui dis :  — Sérieux ?  — Oui. Bon, il faudra travailler, apprendre à jouer, à danser, à chanter...  — Oui, bien sûr, je travaillerai dur. Je veux devenir une star !  — Tu es vraiment décidée ?  — Oui. Il me tend la main et je me lève pour la serrer. C’est tout ? On ne signe pas de contrat ? Ça me surprend, mais bon, je viens de la campagne. Summer m’explique :  — Une poignée de main avec Monsieur Sam, devant témoins, vous engage tous les deux. C’est plus important qu’un contrat. Sam, mon nouveau patron, me dit :  — Si tu veux, pars avec nous maintenant. Oui, mais oh ! Ça va trop vite, là ! Il me voit paniquer, tout à coup, car il sort une tablette d'une serviette et dit à Summer :  — Explique-lui. — Oui, Monsieur Sam. Elle me prend la main en disant :  — Viens avec moi. On va s'asseoir côte à côte, à une table du fond. Elle ouvre la tablette, tape quelques mots et me montre le site du studio "New Hollywood Studios" en disant : — Le studio de la société de Monsieur Sam. Ensuite elle me montre un grand casino à Vegas, qui appartient à sa société et enfin,  un site qui s'appelle "Slave Paradise" Vente d'esclaves. Je lui dis : — C'est à lui ? — Oui, sa société est la seule à vendre les esclaves, les shérifs ne peuvent plus le faire. — Et, je pourrai y aller ? — Ce n'est pas encore ouvert, mais je connais tous les gardes. On pourrait y aller et même se baigner à poils sur la plage privée... — Et pendant le voyage, on sera ensemble ? — Oui. — C'est d'accord. On se lève, elle me reprend par la main... D'accord, elle me traite comme une gamine, mais elle me rassure... On retourne près des autres, Summer dit : — La petite part avec nous. À suivre. Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos 7 livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … Les planches originales des dessins des 5 "Mia sans dessous", signées par Bruce Morgan et en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr Tous les dessins de Bruce Morgan sont ici : www.leslivresdemia.blogspot.be
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Par : le 08/12/21
Savoir jouer entre nos regards Au bord de l’instant, sans fard Entre chaque minute, entre le jour et la nuit Dans le fond d’une passion qui nous conquît Sur la douceur d’un drap, glissent ainsi nos envies Duo impénétrable, totale déraison tout en bruit Et si tendrement, je faisais tomber l’ivresse d’un corps D’un subtile geste, ne m’enivrant que bien plus encore Autre face d’un soupir, sur l’acte infiniment enchanté Lèvres humides, faisant rythmer l’amour avec fermeté Comment savoir patienter et se retenir, à travers ardeur et ferveur Sur le combat, entre glissements et battements de nos cœurs L’ombre d’un éternel baiser s’imaginant, se dessinant Délectation sensuelle, nous faisant frissonner si fortement Du bout des doigts, j'évaluerais la cadence Jusqu’à en braver, d’un souffle léger, le silence Le 07 12 2021
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Par : le 08/12/21
Voila le jour tant attendu. Elle est maintenant devant la grande facade blanche de l'hotel parisien. Elle hésite une dernière fois et se décide à rentrer. Elle se dirige vers l'accueil et demande la carte de la chambre 112. L'homme en uniforme lui donne d'un geste de la main en professant un "bon séjour parmi nous". Sans un mot, elle prend la carte et se dirige vers l'escalier en granite et le monte deux marches à la fois en prenant soin à ce que personne ne remarque ce qu'elle porte sous son grand manteau noir qui volète sur les cotés. Elle arrive devant la porte. Elle toque inutilement. Pas de réponse, elle le savait. La jeune femme insère alors la carte dans l'encoche et pénètre dans la chambre. La porte se referma timidement derrière elle et la chambre est désormais plongée dans le noir, à l'exception de la lumière diffuse que le réverbère fais rentrer à travers les voiles. Elle insère la carte afin d'activer l'éclairage. Elle découvre alors trônant au centre de la piece le materiel dont lui avait parlé l'Homme, celui qui lui avait donné rendez vous ici, celui qui lui avait donné la liste de consigne qu'elle avait mémorisée, celui qui l'avait introduit à la domination et qui aujourd'hui commencerait son dressage. Elle prit le collier posé à terre et le passa autour de son cou. A l'avant, un cadenas le verrouillait. Elle chercha la clef des yeux avant de les poser sur les autres objets. Aucun n'avait de clé. Une fois qu'elle avait fermé les cadenas, seul LUI pouvait la libérer. Elle hésitat avant d'appuyer sur le cadenas et se rappela ce qu'IL lui avait dit "tu hésiteras, mais la mouille coulant de ton vagin te rappellera pourquoi tu es là". Il avait dit vrai. Elle n'avait pas besoin de vérifier pour sentir son entrejambe mouiller plus qu'elle ne l'avait jamais été. Elle ferma donc le cadenas. Enleva son grand manteau, relevant au miroir, seul autre occupant de la chambre libre sa tenue. Porte Jaretelle et corset, tel qu'IL l'avait demandé. Elle se posa sur les yeux le bandeau présent à sa disposition et place ses mains dans des menottes attachées à une barre à même le sol, l'immobilisant désormais complètement. Quelques minutes passèrent et soudain, aveuglée et immobilisée, une révélation lui vient. Elle n'avait pas entendu la porte claquer. Etait elle fermée? Elle ne le pensait soudain plus. Elle s'était refermée, c'était certain mais était elle complètement fermée, elle n'en savait plus rien. Elle se tourna alors dans tous les sens pour arriver à enlever le bandeau. Après 10 minutes de combat avec les menottes elle tomba à la renverse et était dans l'impossibilité de se relever. Elle finit cependant à réussir à retirer le bandeau pour s'apercevoir avec horreur que la porte n'était pas fermée... Une ouverture s'agradissait et se rétrécissait aux mesures des courants d'airs. Alors elle réalisa que la situation était plus déséspérée encore. Non seulement n'importe qui pouvait entrer désormais mais quand IL arriverait, s'il arrive, il la trouvera sans bandeau et pas dans la position demandée... Elle allait commencer son dressage par une punition... _____ La suite: Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/ Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/ Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/ Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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