La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 24/05/16
Non mais pour qui tu te prends? Fermes la et restes à ta place! Ton comportement est pire qu'arrogant, Franchement... Tu manques de classe! Te sentir vivante t'effraies? Bah alors pourquoi t'es venue me chercher? Allumeuse! T'as aimé ça me provoquer... T'étonnes pas maintenant que je te le fasse payer! Putain mais qu'est ce que tu croyais? Ici on est pas dans 50 nuances de grey! Devenir chienne faut savoir aussi le mériter... Tes fantasmes de nympho je m'en tape si tu savais! Oui parce qu'une petite branleuse c'est ce que tu es... Assumes bordel que tu aimes te sentir trempée, T'aimes ça à t'en faire gicler petite traînée... Alors comme ça tu as envie de te rebeller? Fais moi confiance je vais te faire plier... Ne te méprends pas, et laisses toi aller! Je vais façonner la soumise que tu es... Tu m'appartiens... c'est un fait! Acceptes que je plante en toi nos piliers, Ceux sur lesquels je vais prendre plaisir à t'attacher, t'expier, te ligoter... Te baiser, te goder et pire... t'exciter à t'en faire hurler! Mets toi nue sur tes talons et prosternes toi à mes pieds... Mon sac à foutre, urinoir ou cendrier... Sois la chienne... la pute que tu es, Et dis moi que tu aimes me faire bander! Car crois moi tu vas aimer être dressée... Entends cette voix intérieure et obéis... Tu es si belle lorsque tu t'offres à moi... Que tu jouis... N'oublies pas que fuir n'est pas une option... Nos esprits et nos corps se sont choisis... Fais toi une raison! ***Oups.... Petite évacuation de Pulsions... Pardon... mais c'est trop bon ^^ *** Et si vous en êtes choqués sachez que je ne cherche ici qu'à m'exprimer en toute liberté... Rien de plus... Vraiment!
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Par : le 29/04/13
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être : - Sûres - Saines - Consensuelles Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger ! Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré ! Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE. Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : le 09/01/14
oici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) _______________________________________ 1. J’ai demandé à mes potes de m’aider un peu, on a fait 1/5eme du travail ensemble. Mais 50 trucs, c’est dur quand même !!! 2. Mes cheveux sont châtain voire châtain clair, mais je les teins en brun très foncé pour qu’ils soient assortis à mes sourcils. J’aime beaucoup les choses assorties, c'est agréable à l'oeil. (j'ai pas encore beaucoup d'inspiration, vous m'en voudrez pas hein?) 3. En parlant de sourcils je suis incapable de trouver une forme correcte pour les miens. Du coup, en ce moment, ils sont fins et très courts. C’est très moche et j’ai peur qu’ils ne repoussent plus jamais. 4. J’écris « comme un garçon ». Je n’ai pas de « style » d’écriture. Certains ont une écriture ronde, soignée, serrée, filiforme ou encore aérée… Moi, c’est tellement désordonné et irrégulier qu’on ne peut absolument pas lui attribuer de style ! =D 5. C’est là que je me dis « heureusement qu’il y a Internet »… Si je correspondais avec vous par le biais l’écriture manuscrite, vous ne me comprendriez même pas. Merci la technologie ! 6. «Le radeau de la Méduse » est le tableau devant lequel je me suis arrêtée pour la première fois. Avant, je « voyais » vaguement les croutes devant lesquelles je passais, sans m’intéresser à la manière dont ils étaient réalisés, sans vraiment faire attention à leur histoire… Sans les regarder, en fait. 7. J’ai une cicatrice sur la fesse gauche, parce qu’un jour, je suis tombée dans mon lave-vaisselle, BIM, tout droit sur les fesses ! Bizarrement, je n’ai pas du tout le souvenir d’avoir eu mal… 8. J’ai un problème relationnel avec le trottoir du lycée où j’étudie, trottoir parsemé de nids de poules et de crottes de chiens, un vrai parcours du combattant le truc ! Au moins 20 « trébuchements », 6 gamelles et une entorse à mon actif. Maintenant, je préfère marcher sur le côté de la route, je m’y sens bizarrement mieux. 9. J’adore la viande tendre et surtout bien saignante, au grand dam de ma famille paternelle (pied-noir) qui a pour habitude de manger « bien cuit ». A traduire par « cramé » ! =D 10. Quand j’étais bébé, il arrivait que mon cher padre m'affabule du doux surnom de « la Castafiore »… Je vous laisse imaginer pourquoi. En grandissant, ça a changé pour « la syndicaliste »… Je vous laisse imaginer pourquoi, aussi. En parlant de syndicaliste, une de mes profs m’a dit qu’elle me verrait bien syndicaliste… Je n’ai pas trop su comment le prendre. 11. Quand je suis sortie du ventre de ma mère, j’avais un « V » rouge sur le crâne parce j’étais toute serrée contre ma sœur jumelle dans son ventre. Ma maman a quand même sacrément du douiller avec nous deux. Elle a été vraiment courageuse. 12. J’aime ma sœur jumelle à la folie. 13. Une fois, je me suis fait voler mon sac par un type dans la rue à Dublin (on l’a rattrapé et pendant qu’il se faisait embarquer, il a essayé de s’échapper en mordant les policiers, c’était... sympa) et ma sœur (qui n’était au courant de rien) m’a appelée le soir même en me disant qu’elle avait senti qu’il s’était passé un truc pas net. 14. Quand je vous une femme mince, je me dis qu’il faut sérieusement que je me mette au régime. Tout de suite après, prise d'un élan limite divin, je me mets à monter les escaliers à pied, je mange une feuille de salade par ci par là, je prends de grosses résolutions (étant une championne olympique de la proscrastination, ça m'arrange) ou bien je refuse une part de gâteau « parce que tu comprends je fais attention à ma ligne ». Et le lendemain c’est reparti comme en quarante. 15. Tous les régimes que j’ai essayé m’ont fait prendre du poids !! =D (autant en rire) 16. J’adore nager, c’est un des seuls sports que j’aime pratiquer. Je me sens bien dans l’eau, ça détend tous mes muscles (bien cachés mais présents !!), j’aime la sensation de « plénitude » que m’offre l’apnée… J’aime l’espèce d’apaisement que je ressens une fois sous l’eau. J’aime aussi faire du vélo dans la forêt, ça me rend zen. 17. La forêt a toujours été pour moi un lieu a FORT voire TRES FORT potentiel érotique. 18. Je n’ai pas d’orientation politique particulière, je ne sais pas trop où et comment me positionner. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir des idées ! Cet été, je n’ai jamais autant ri en voyant le Petit Journal se foutre de la gueule des culs bénis de la Manif Pas Pour Tous. « C’est contre-naturannnnnh »… 19. L'apogée du couple, c'est quand on peut prouter en toute sérénité sans avoir peur de dégoûter l'autre. 20. Je déteste les alcools « forts » comme la vodka, le rhum ou la tequila… 21. J’ai beaucoup de mal avec tout ce qui sort de la mer. Le poisson et les fruits de mer, c’est impossible pour moi. Je ne suis pas difficile, je mange de tout… Mais ça, franchement… Je crois que si j’étais sur une île déserte, je mangerais du sable… 22. Je suis pressée d’avoir 20 ans !!! 23. Je n’ai rien de la « Parfaite Petite Soumise du Vrai BDSM Digne De Ce Nom ». 24. C’est pas faute d’avoir essayé … Le côté très protocolaire du BDSM me fait carrément « débander », j’aime les relations et les rapports spontanés. J’aime taquiner, chambrer, provoquer, titiller… Tout un préliminaire ! 25. Du coup je crois que je suis parfois très souminatrice ! Mais je m’en fous, je suis une ignare du Vrai BDSM Digne De Ce Nom, je ne pense qu’au cul et c’est très bien comme ça ! 26. La soumission masculine ne m’attire que dans certains contextes. J’aime les retournements de situation, ainsi imaginer dégrader une personne qui m’a dégradée auparavant m’excite énormément. Les hommes qui représentent un « challenge » à mes yeux me donnent envie de les soumettre, en fait... 27. J’aime bien discuter avec mes voisins du banc sur lequel j’attends le bus. La dernière fois, j’ai discuté de l’Islam avec une femme qui avait l’âge de ma mémé… Même si je suis athée, j’ai trouvé sa foi et ses convictions très belles… 28. J’adore la nourriture asiatique, les pâtisseries marocaines et les tartes au citron meringué. 29. J’adore aussi la mythologie grecque. 30. Je vais souvent vers les autres et j'apprécie rencontrer de nouvelles personnes. Mais quand on me fait chier trop longtemps, je me mets très vite en très grosse colère. Du coup, c’est déjà arrivé qu’on me prenne pour une schizophrène. 31. Je suis très directe avec les gens que je n’apprécie pas ou ceux que je n’aime que très moyennement. Mais avec ceux que j’apprécie, je prends plus de pincettes. 32. J’ai porté un appareil dentaire au palais pendant un petit bout de temps. Il paraît (mais les potes qui me disent ça sont des peaux-de-vache !!) que j’en ai gardé un léger zozotement. 33. J’ai déjà goûté les croquettes de mon chat (paix à son âme) et je n’ai pas trouvé ça mauvais. 34. J’aime beaucoup les chiens mais je trouve que ça pue. Et c’est envahissant. Alors qu’un chat, c’est tout un concept, un chat ça se conquiert, ça se séduit, ça s’apprivoise. 35. Un peu comme la soumission en fait. Je vois ma soumission ou celle d’un éventuel soumis comme un terrain d’éternelles découvertes, comme quelque chose qui ne sera jamais vraiment complètement acquis. 36. Je suis 'achement vanille. J’aime les bisous, les caresses, les mots doux. J’aime faire l’amour tout doucement et les préliminaires langoureux. C’est l’âge, ça me passera ! :D 37. Ecouter mon partenaire jouir, c’est merveilleux. L’ultime abandon… 38. A part moi-même (et encore), je n’ai jamais fait jouir une femme. 39. Je crois que je ne me marierai jamais. J'adore les gosses, vraiment, je m'éclate avec eux et ils m'apprennent plein de trucs mais.... Je ne sais pas si j’en aurai un jour... Un humoriste que j’aime bien a dit « le mariage est un cercueil dont les enfants sont les clous » (pour du rire) mais je crois que dans le fond il y a un peu de vrai. Enfin j’ai encore le temps de changer d’avis… 40. Je me suis toujours promis de ne pas pleurer en regardant un film. J’ai souvent souri en voyant quelqu’un essuyer une larme devant l’écran. Et puis un jour, j’ai vu « Million Dollar Baby » et je crois que j’ai chialé l’équivalant d’une baignoire. Depuis, j’ai pu pleurer librement devant Le patient anglais et La vie est belle… 41. Mon film préféré est « Les Fils de l’Homme » d’Alfonso Cuarón. Un de mes bouquins préférés est 1984 d’Orwell. C’est pas un hasard, j’aime beaucoup le fait d’essayer d’imaginer le futur… Et surtout quand ces prédictions contiennent une part de vrai… Souvent, je voudrais pouvoir faire un saut dans le futur et voir comment ça se passe, là-bas ! 42. Le suspense me rend folle. C’est donc très souvent que je me rends à la fin d’un livre ou sur un site de spoilers pour découvrir le dénouement de l’histoire que je suis. 43. Les gens qui viennent me parler le matin m’horrifient. Le matin, je suis un ours grincheux à l’haleine de chacal, un rien m’insupporte, je rembarre tout le monde. 44. J’adore le goût de la cigarette ajouté à celui du chocolat chaud !!! Je n’aime pas du tout le café, c’est criminel comme boisson, je sais pas comment on peut boire un truc pareil. 45. Je suis bordélique. Je me retrouve très bien dans mon capharnaüm, et les choses rangées sont mon désordre personnel. 46. En ce moment j’ai trouvé un truc merveilleux contre le froid et le temps moche : en début de soirée, quand il fait nuit noire, que les lampadaires sont allumés et que les guirlandes scintillent, je me mets une playlist de jazz et plus particulièrement des titres d’Armstrong dans les oreilles. Et ben je peux vous assurer que c’est une grosse dinguerie, un orgasme auditif et visuel. 47. J’ai souvent trouvé certaines filles avec les cheveux courts très sexy. Du coup ça me hérisse un peu (beaucoup) le poil de lire –parmi certaines habituelles conneries- que les cheveux longs c’est le top de la féminité, ou bien que pour être Fââââme (avec un grand F) il faut porter des talons, être maquillée, découvrir ses jambes… 48.J’adore dessiner des femmes toutes nues, les femmes en sous-vêtements, et les chaussures de femmes. 49. Je peux paraître très assurée et très confiante… Mais un homme qui me plaît vraiment, me fait perdre bien souvent mes moyens, ça m'arrive peu, mais quand ça m'arrive c'est le retournement de cerveau complet... Une fois que je me suis rends compte que quelqu'un me plaît et que je suis attirée par lui, je disjoncte avant, pendant et après l'avoir vu... Je suis bien souvent complètement larguée ! - La phase "avant" : je me dis qu'il doit/va me trouver vraiment trop/pas assez ceci/cela - La phase "pendant" : je dis n'importe quoi, je bégaie, je me trompe de mots, je parle de sujets bateaux, je rigole nerveusement en me disant "mais qu'est-ce que t'es conne ma pauvre" - La phase "après" : c'est je me rembobine toutes mes casseroles, et ça fait vraiment mal ! 50. FIOUUUUUUUUUUU !!! C’EST FINI !!!! Je te remercie, toi, lecteur, de m'avoir lue jusqu'ici ! Et je confirme, WonderSalope est bel est bien sadique !! :D Merci beaucoup à Oplum pour l'idée de titre !!! Et toutes mes excuses au staff pour avoir supprimé au moins 10 fois mes articles !
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Par : le 30/09/23
La douleur est insupportable. Je crois que je me suis fracturée l’épaule quand deux miliciens m’ont brutalement plaquée au sol dans ma fuite. Une dizaine de défenseurs de la démocratie m’entourent déjà, m’interdisant tout échappatoire. Ils me rouent de coups et déchirent ma robe. La sensation équivalente à un poignard dans l’épaule m’a ôté toute velléité de résistance. Je suis passée en mode automatique, en mode survie. Je me protège tant bien que mal des coups de pied et des coups de matraque. Ils m’obligent à m’agenouiller, malgré mes hurlements de douleur et sortent leurs bites. Je n’entends que leurs éclats de rire. Les gifles pleuvent, me faisant comprendre ce qu’ils attendent de moi. Je suce les bites qui m’entourent, passant rapidement de l’une à l’autre pour ne pas faire de jaloux, le visage tuméfié par les gifles et les coups. Les miliciens ont sorti des tondeuses et entreprennent de faire disparaître peu à peu ma chevelure pendant que ma bouche passe d’une bite à l’autre. Chacun y va de sa petite touche. Les rires et les moqueries redoublent d’intensité. Dans une pathétique tentative de sauvegarde, je m’efforce de repousser les tondeuses à l’aide de mon bras encore fonctionnel, ce qui déclenche une avalanche de coups jusqu’à ce que je me tienne tranquille. La douleur à l’épaule s’atténue soudainement, me permettant de reprendre un peu mes esprits. Les zébralyvox gémellaires sont déjà à l’œuvre. Quelle efficacité ! Les éjaculations s’enchaînent, de manière presque synchronisée. C’est un bukkake en bonne et due forme. Je ne tarde pas à avoir le visage et le crâne couverts de sperme. C’est nue, tondue et couverte de sperme que je suis promenée dans le parc d’Ueno. Aucune humiliation n’est trop sévère pour les ennemies de la démocratie. 民主主義を守る旅団 est tatoué sur les joues des miliciens qui m’ont capturée [1]. Ce sont les plus fanatiques parmi les défenseurs de la démocratie. Ils sont si fiers d’appartenir aux Brigades de Défense de la Démocratie qu’ils l’arborent sur leurs visages. Au lieu de se délecter de ce spectacle, les passants détournent le regard, feignant l’indifférence. Résistance passive ? Ce peuple réputé soumis à l’autorité se révèle à sa manière bien plus réfractaire que les peuples Européens. Nous empruntons la rue Dobutsuen qui longe l’étang de Shinobazu. Les miliciens rient et plaisantent bruyamment, très fiers de l’humiliation imposée à la proie qu’ils viennent de capturer. L’étang est recouvert de lotus et à travers les larmes et le sperme qui embrouillent ma vision, j’entrevois des scintillements bleu jaunâtres devenant de plus en plus intenses, comme à Fushimi Inari. Je ne sais pas si c’est un signe ou le délire de mon imagination, mais je ne réfléchis pas. Ma situation est tellement désespérée, qu’ais-je à perdre ? Je profite d’une seconde d’inattention de mes geôliers pour mettre toutes les forces qui me restent dans un sprint en direction de l’étang. Ces idiots, tellement sûrs de leur supériorité, n’ont pas pris la peine de me menotter. Ils ne tardent pas à hurler et à me poursuivre en courant. Je m’enfonce dans la vaste étendue de lotus. La boue se solidifie sous mes pieds m’offrant un appui inespéré dans ma fuite. « Pan ! » Elle n’est pas passée loin cette balle ! Instinctivement, je me couche au sol, comme si les feuilles de lotus pouvaient m’apporter une quelconque protection. C’est fichu. Dans quelques secondes ils vont me cueillir. 助けて! 助けて! 助けて! Les poignants appels au secours des miliciens m’incitent à lever la tête, juste à temps pour les voir disparaître dans le marécage, engloutis dans les eaux boueuses, comme dévorés par les lotus. « Ysideulte ! » La voix de mon Maître ! J’ouvre les yeux, terrifiée, au bord de la tachycardie. « Ce n’est rien. Tu as fait un cauchemar » me dit-il d’une voix apaisante. Il me faut un bon moment pour me calmer et revenir à la réalité. « Ecarte les cuisses, Ysideulte » me dit-il avec gentillesse pendant que je lui raconte mon cauchemar. Décidément, je fais une bien piètre soumise, obligeant mon Maître à me rappeler à l’ordre une fois de plus. En d’autres circonstances il m’aurait giflée, mais pas cette fois. Il a compris que ce cauchemar m’a terrifiée et qu’à cet instant son indulgence et sa voix apaisante me font un bien fou. Ysideulte… J’aime quand mon Maître m’appelle par mon prénom. Un prénom qui n’existe pas pour une fille qui n’existe pas ? Pendant longtemps, j’ai eu le sentiment de traverser ce monde sans vraiment en faire partie. Effacée, invisible. Et puis le destin a voulu que je le rencontre. Mon Maître. Celui qui a changé ma vie, qui m’a donné confiance en moi. Dès qu’il détourne le regard, je l’observe, emplie d’admiration, et je m’empresse de baisser les yeux dès qu’il s’en rend compte. Il ne me réprimande pas. Nous sommes à bord du Spacia X. Vue panoramique, grand confort. Ce superbe train qui relie le trépidant quartier d’Asakusa à la bucolique Nikkō été mis en service le 15 juillet 2023. Ici le confort et le plaisir du voyage ont été privilégiés sur la vitesse. A tel point que je me suis endormie, ce qui ne m’était jamais arrivée dans un train. « S’il vous plaît, Maître, est-ce que vous avez compris ce que le Professeur voulait dire à propos de la tubuline ? » « Pas plus que toi, Ysideulte. Mais pourquoi ne lui as-tu pas posé la question ? » « J’ai eu peur de passer pour une idiote… » « Il t’aurait sans doute dit qu’il n’y a pas de question idiote. » Petit moment de silence. Le paysage défile. J’aime ce train et je suis reconnaissante au Professeur de nous l’avoir conseillé. J’ai hâte de le revoir. Dans une semaine. J’ai encore tant de questions à lui poser. Et puis, je trépigne de savoir ce qu’ont donné les analyses des prélèvements. Les idées tournent dans ma tête jusqu’à l’obsession. Je ne changerai pas…  « N’y avait-il pas un article à ce sujet dans la base de données que Sonia t’a confiée ? » « Vous pensez, Maître ? Je n’en ai pas le souvenir. Mais je n’en ai consulté qu’une infime partie »  Mais je dois en avoir le cœur net. Je demande à mon Maître la permission de sortir mon PC portable et d’activer la carte. Dans le cadre de la politique de lutte contre la désinformation, mise en place par la Suprême Alliance Démocratique, les articles scientifiques doivent à présent être visés avant publication par les conseils scientifiques de la fédération. Ces conseils, placés sous l’égide des ministères de la vérité, sont chargés de s’assurer que toute publication respecte le « consensus scientifique ». Plusieurs articles antérieurs à la promulgation de la loi ont été censurés, car jugés non conformes au consensus, et détruits de tous les supports numériques et matériels. Tous, sauf ceux qui ont pu être préservés dans la base de données illégale du pangolin fou… J’active la carte que Sonia m’avait confiée en la glissant dans ma fente humide, faisant pour l’occasion office de lecteur de carte. Comme à chaque fois que je l’active j’ai une pensée pour l’ingénieur pervers qui a imaginé ce mode d’activation. La Magna Carta Libertatum, avec le pangolin fou en filigrane, ne tarde pas à apparaître sur la surface, signifiant que le PC peut pendant un court laps de temps accéder aux données subversives qu’elle contient. Sonia avait raison. Cette image me permet de garder espoir quand tout semble perdu. Elle n’est rien et pourtant elle représente des idées qui font trembler les hautes sphères de notre démocratie. Les idées sont à l’épreuve des balles disait V. C’est pour cela qu’elles sont dangereuses pour les tyrans. Je tente une recherche par mots clés dans l’immense base de données. Plusieurs articles mentionnent la tubuline, protéine structurale des microtubules, constituants du cytosquelette, mais je ne vois pas ce qu’ils apportent à mon questionnement. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi ils ont été censurés. Les « experts » sélectionnés par les ministères de la vérité font preuve d’un excès de zèle déconcertant. Mon Maître tente de rassembler ses souvenirs pour m’aider à affiner ma recherche. Un article de Sir Roger pourrait être en lien avec la remarque du Professeur [2]. Mais comment l’interpréter ? L’intrication des ondes de spin parcourant la structure hexagonale des microtubules comme support de la conscience ? « Et si les symbiotes tentaient de communiquer avec ta conscience en intriquant leurs microtubules avec les tiens ? » Hautement spéculative la suggestion de mon Maître, et pourtant… Comment expliquer mes « hallucinations » à Fushimi Inari ? Seul le Professeur pourra nous éclairer. En attendant, nous voici déjà arrivés à Nikkō. Je n’ai pas vu le temps passer. A la sortie de la gare les libellules sont partout. Il y en a des milliers. Heureusement qu’elles sont inoffensives. Joli village sur fond de montagnes. Nous avons embarqué dans la grouillante gare d’Asakusa, nous nous retrouvons à la campagne. Le contraste est saisissant. Au loin, la brume sur les montagnes, la lumière presque surréaliste. C’est beau ! On dirait une estampe japonaise. Et puis, il est là. Mon propriétaire. J’ai le privilège d’être la chienne qui va l’accompagner pendant ce séjour à Nikkō, qui lui tenait tant à cœur. Celle qui lui servira de vide-couilles, celle qui veillera à son plaisir physique et intellectuel. Quel bonheur ! Pendant quelques secondes, j’ose croiser son regard de mes yeux admiratifs, prenant le risque de recevoir une gifle carabinée. C’est plus fort que moi.   à suivre   *** Contexte et références ***   [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).   [2] Stuart Hameroff & Roger Penrose, “Consciousness in the universe: A review of the ‘Orch OR’ theory”, Physics of Life Reviews, Volume 11, Issue 1, March 2014, Pages 39-78 https://doi.org/10.1016/j.plrev.2013.08.002    
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Par : le 23/05/15
Mettez vous au travail Mademoiselle, vous avez trois heures pour M'écrire un sonnet. À Vous que je pensais présomptueux Dont le présage me paraissait inouï Dévoiler mes plus viles envies Vous avez su Monsieur Votre verve se jouant de mes craintes User de contrastes savants Rendre mon sexe acrescent Et convoiter mon désir de contrainte Vous saviez Monsieur que paupières baissées Ce sombre voyage vers l'abîme de mon âme Délicieusement guidée je le ferais Qu'à entrouvrir l' étui emprunté à Pandore Je brûlerais de sensations intenses Qu'inexorablement je demanderais encore L.
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Par : le 07/11/16
Invitée à une soirée BDSM dans un club libertin, contrairement à mon habitude, j'accepte. L'après-midi chez mon ami, des discussions, des rires, ainsi qu'il est de mise entre nous. Le repas avalé, je file me changer. Tenue noire de rigueur, corset, jupe, bottes, j'attrape mon sac à jouets, ma cravache, et nous voila partis. Enfin, après avoir perdu 10mn à chercher la cravache voyageuse qui a décidé de prendre la clé des champs juste avant de monter en voiture. Arrivés à destination, on nous attend déjà. Deux jeunes femmes charmantes et souriantes. Nous sommes rejoints par un jeune homme, puis par un couple. Nous sommes enfin au complet. Le club nous tend les bras, un passage au vestiaire, ces dames se changent, et nous entrons dans le club proprement dit. Ambiance sympa, chacun reste sur son quant-à-soi, mais sans gêne excessive. Nous commençons à faire connaissance. Le couple commence à jouer, puis je demande à l'une des jeunes femmes si elle a envie de goûter mes martinets. Nous nous avançons vers la barre de pole dance, elle se déshabille, ne garde que sa culotte en dentelle et se met en position. Je commence doucement, j'alterne les coups, les différents martinets en ma possession. Elle ondule, se dérobe légèrement, parfois, concentrée, dans la sensation de ce que je lui inflige. J'étrenne différents martinets, tout se passe au mieux. Nous terminons sur une note plus cinglante, un petit flogger aux lanières dures et fines sur l'arrière de ses cuisses, douloureux pour elle, jouissif pour moi. Merci pour ce délicieux moment partagé, au rythme de mes coups, au rythme de ton corps qui me répond. Nous retournons vers notre coin, et je m'intéresse au jeune homme. Totalement débutant, il s'intéresse plutôt au bondage, me dit-il au début, puis nous parlons douleur, masochisme... Je lui demande s'il veut, lui aussi, tester mes instruments. Il veut bien, mais pas devant tout le monde. Nous montons donc à l'étage, cherchant une salle qui conviendrait. La pénombre n'est pas le mieux pour jouer, mais il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur. Je lui indique sa place, debout, en appui contre le mur. Je lui demande de se déshabiller, de ne garder que son caleçon. Le jeu commence. J'y vais tout doucement, avec mes jouets les plus doux, je n'ai pas envie de le dégoûter, j'ai envie qu'il découvre le mieux possible ce monde qui l'attire depuis un moment. Il m'indique où il préfère que mes coups atterrissement, son dos est le plus agréable, visiblement. Je lui demande souvent si tout va bien, et je monte en puissance. Il aime beaucoup, se découvre des plaisirs inconnus de lui. Après un bon moment, nous cessons le jeu, il se rhabille, et nous allons pour redescendre. Là, il me dit qu'il a envie de tester la chaise BDSM. Nous changeons de pièce, il enlève son tee-shirt, s'assied, et je boucle les sangles sur ses poignets, ses cuisses. Je sais qu'il aime la sensation d'impuissance. Je reprends mon martinet doux, et je commence à flageller ses pectoraux, insistant sur les tétons, dont il me dit aimer le travail. Je suis concentrée, il est plus bas que moi, je fais très attention à ce qu'il ne reçoive pas une lanière dans le visage. Il aime, le dit. Je suis heureuse de pouvoir lui faire découvrir ce dont il rêve, de ne pas le décevoir, et très heureuse de son masochisme que je découvre et qui me ravit. Nous finissons le jeu, et cette fois, nous redescendons pour de bon. En bas, les jeux se poursuivent également, tout le monde s'amuse, chacun est occupé, l'ambiance est très bonne. Nous nous installons sur des tabourets, et nous buvons un verre. Nous papotons un peu, en regardant ce qui se passe autour de nous. Je lui propose de tester mon nouveau martinet en sisal. Il en a un peu peur, me le dit, mais à suffisamment confiance en moi pour accepter, et vouloir jouer devant tout le monde. De nouveau, son tee-shirt tombe. Je commence sur son dos, la sensation de l'accessoire est très bonne, le tombé est parfait, bien groupé, il est suffisamment rigide, avec cependant une bonne souplesse. Mon partenaire est rassuré, plus de peur que de mal, ça chauffe plus que ça ne pique, la sensation lui plait également. Je lui demande de se retourner, et je recommence à frapper ses pectoraux. Concentrée, encore. Il est plus grand que moi, debout, c'est plus facile, je me permet de lever les yeux pour croiser les siens. J'ai un choc, littéralement. Il me regarde avec une intensité peu commune, je me sens transportée par ses yeux vrillés aux miens, tendus vers moi, un instant d'osmose. Troublée par ce regard que je n'ai connu qu'une fois auparavant, je me sens remontée à bloc, portée par cette envie, cet appel, ce don. Je reviens souvent accrocher mon regard au sien. Lorsque nous revenons vers nos amis, les soumises présentes félicitent mon partenaire pour son endurance, et pour ce regard qu'elles ont vues aussi, lui disant que c'est si rare. Il semble ne nous croire qu'à moitié, heureux de ces compliments, cependant. La soirée se déroule, alternance de jeux, de discussions, d'explications aux non initiés, rigolade et sérieux avec le patron. L'ami avec qui je suis venu me dit qu'il aimerait bien jouer avec son cat-o-nine. Je lui propose mon partenaire d'un soir, et vais lui demander si l'expérience le tenterait. Il accepte, va se mettre contre le comptoir du DJ, torse nu, et le jeu commence. A un moment donné, prise d'une inspiration subite, je viens me positionner entre les bras du jeune homme, toujours les mains sur le comptoir, et je commence à lui pincer les seins. Le mélange des deux douleurs semble lui plaire grandement. Je reviens vers mon ami, et lui demande s'il voudrait que je me joigne à eux avec un martinet. Il accepte, et la danse commence. Lui dans le dos, avec son cat, moi devant, avec un martinet aux lanières larges mais douces. Nous frappons à contre-temps, puis en même temps. J'ai la chance d'avoir le plus beau point de vue de ce trio, je vois en même temps les yeux du jeune homme et ceux de mon ami. Grand moment, une première pour nous trois, et une réussite. L'heure avance, les clients partent les uns après les autres, nous rassemblons nos affaires, une dernière discussion avec le patron, et nous quittons les lieux. Poignées de mains et bises échangées, nous sommes tous heureux de notre soirée et nous promettons de recommencer vite. Un grand merci à vous, mes partenaires de ce soir, qui m'avez donnés tant de plaisir et avec qui j'ai partagé des moments uniques. Merci jeune fille, pour ton corps doux et ondulant au gré de mes lanières, merci jeune homme, pour m'avoir donné l'occasion de te faire entrer dans ce monde de belle façon.
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Par : le 31/08/17
Plusieurs personnes dont Tendresseab voudraient avoir des conseils sur le marquage au fer : je propose ici un récapitulatif non exhaustif sur cette pratique EXTREME : il ne s'agit pas d'un simple tatouage, il s'agit d'une brûlure bien réelle, qui est réalisée pour durer plusieurs années. D'où une réflexion profonde à discuter entre deux personnes au sein de la relation DS, et pas, à mon sens, un désir de poser son empreinte sur un coup de tète ! Je ne place dans cet article QUE mes avis et ma pratique, sans exclure d'autres avis bien-sûr, toujours les bienvenus, en précisant 2 points importants : > j'ai réalisé 2 marquages au fer rouge > je suis infirmière, ce qui a facilité l'approche de la technique et les soins "post-op" Je n'aborderai pas les désirs de marquage : ils sont propres à chaque couple et ne se discutent normalement pas . Que l'on trouve cette pratique extrème, oui car c'est le cas : mais merci de ne pas porter de jugement hâtif sur le bien ou le mal de cet acte Voici donc quelques conseils techniques sur les fers en alliage de bronze : pour les autres fers, voir avec le créateur du fer > l'emplacement du marquage : toutes zones charnues du corps (fesses, bras, cuisses, abdomen, épaules, seins.....) Eviter les zones cicatricielles, zones de peau fine, zones osseuses Le fer de grande taille, devra être en contact complet avec la peau > l'état de santé de la personne marquée : ne pas réaliser le marquage lors d'une maladie même bénigne , reporter l'acte . Précision qui peut sembler "logique" mais qui ne l'est pas tant que cela : si la personne devant subir un branding est en phase dépressive, ne pas pratiquer l'acte non plus : physiquement, les brûlures peuvent être beaucoup plus difficiles à cicatriser, et psychologiquement, le vécu du branding peut en être modifié > réalisation : contention de la personne : ça me semble indispensable ! Le fer est chauffé entre 800 et 900°, son application est certes brève mais la douleur est très violente : attacher sur une table par ex, bras et jambes solidement écartés et immobilisés pour éviter tout mouvement incontrôlé > bloc de glace : pour analgésier la zone, vous pouvez mettre un bloc de glace pendant quelques minutes avant (enveloppé dans un tissu et sorti du congel 1/4h avant le marquage : sinon,risque de brûlure par le froid) L'analgésie n'est pas recherchée par tous, à voir selon vos désirs > > asepsie : la zone de marquage sera lavée eau et savon, rinçage +++ et séchage +++ (rasage éventuel) puis, compresse alcoolisée (alcool à70°) à passer sur la zone large > préparation du fer : prévoir un récipient pour poser le fer en fin de marquage Le chauffer sur une flamme de type camping gaz par ex, jamais sur un brasero qui laisseraient des résidus charbonneux (tant pis pour le coté western) Précision : commencer par chauffer l'extrémité du fer (jointure) et finir par le fer lui-même Conseil : lors de cette phase, mettez vous dans la pénombre pour surveiller la couleur de chauffe : le fer ne doit jamais être ROUGE VIF, pour un fer en bronze 2 à 3 minutes suffisent pour atteindre la bonne température Lorsqu'une couleur rouge sombre apparait sur les extrémités du fer, le sortir de la flamme et attendre 5 secondes environ pour que la chaleur se répartisse dans tout le fer : la couleur rouge sombre disparaitra alors. Le fer est prêt pour l'application > Application : d'une main ferme, geste sûr, sans trembler, appliquer le fer sur la peau , sans forcer (vous constaterez combien le fer pénètre la chair) > Temps de pose : ATTENTION : 2 à 3 SECONDES, PAS PLUS (c'est long pour celui qui reçoit et très court pour celui qui applique) Entrainez vous avant, avec le fer froid sur un tissu par ex : vous pouvez prononcer une phrase calmement, du style "Par ce fer, je te marque" Pour stopper la brûlure qui continue après le retrait du fer, posez immédiatement le bloc de glace avec une compresse sur la plaie. > Là, c'est un instant d'émotion pure : je ne vous donne aucun conseil (sourire) > Soins post-marquage : le but du marquage par brûlure de la peau, est de la remplacer par un tissu cicatriciel donc, les soins sont essentiels La cicatrisation sera plus ou moins longue (3 à 4 semaines, voire plus) La plaie sera de suite nettoyée avec des compresses stériles et du sérum physiologique à 0.9 %, pas de coton qui s'accrocherait et laisserait des micro fibres . Pansement tous les jours la 1ère semaine puis tous les 2 jours Si plaie inflammée (rouge et sensible) : nettoyage à la Bétadine (jaune) Protéger la plaie avec un pansement sec, compresse et pommade pour brûlure ou avec un pansement hydrocellulaire (vendu en pharmacie suivant la taille) Ne jamais gratter les croutes, elle tomberont seules Si un problème infectieux survient, rougeur anormale, douleur lancinante, fièvre....consulter immédiatement un médecin et ne pas hésiter à lui expliquer le marquage : il n'est pas là pour juger mais pour vous aider et vous soigner Le marquage obtenu aura une couleur nacrée dans les semaines suivant la fin de la cicatrisation : plus visible sur une peau bronzée par exemple Conseils en collaboration avec Marc Sainteul de "Corpus Delicti" ,créateur de bijoux BDSM
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Par : le 23/11/20
Ce soir tu  es là à  4 pattes à te faire prendre,  collier au cou, les fesses encore bien teintées d'un rouge violacé par les lanières du fouets de la dernière séance .  Je t'ai  fait  lécher le gode ceinture que J' ai enfilé par-dessus ma lingerie pour finalement te  le mettre à nouveau  profond pour te le limer . Ton anus se dilate et mouille. Je  te  griffe le dos pour que tu te  cambres davantage ... Là je vois que   tu te  branles la queue en même temps  . J' ai alors envie de te  retourner pour te voir faire pendant que Je te baise ; les cuisses bien écartées  comme une chienne;   bien saisit par les jambes en te disant:     "VAS Y SALOPE  BRANLE TOI BIEN!"    J'ai plaisir à t'assaillir ,  te démonter ta rondelle de mâle  à grands coups de reins.  Tu couines  et J'aime ça. Mes râles   envahissent la pièce au fur et à mesure que Je prends mon pied à te sodomiser  ainsi.   Au plus profond de toi, totalement dilaté . J'entre et ressors  et rentre encore. J'entre jusqu'au bout et te baise encore et encore . Mes ongles se plantent dans tes cuisses tellement Je  les  serre contre moi.   " BRANLE TOI ENCORE! ... PLUS FORT!  ...PLUS VITE! "     Hum! Je sens monter en moi la jouissance ,mon rythme s’accélère... Je  jouis si fort que ça résonne à travers les murs. Tu cries en te branlant frénétiquement. Tu attends que Je t'autorise de jouir aussi , mais Je ne te le dis pas...    Je ne peux te lâcher; J' en veux encore... Je me redresse au-dessus de toi en te laissant sur le dos pour venir te présenter ma queue de silicone  toute fraîchement sortie de ton cul humide de chienne dilatée. J'ote le préservatif et Je viens te l' enfiler dans la bouche. Doucement pour commencer . Enfin; pas trop doucement non plus car J'aime t'en faire baver...  "   Hum! Bonne salope! Tu m' as bien fait jouir... Ton cul était trop bon... Suce la bien cette queue!  Tu l' as aimé dans ton cul, hein,  dis Moi?..."    Je  la retire de ta bouche pour te frapper le visage avec.  Tu me réponds tant bien que mal... Ma queue dégoulinante de salive , J' entre et  sors encore et encore... Tape tes joues... Branle contre ta langue et  enfonce plus profondément  ma queue baveuse ... Je baise ta bouche  comme J'ai baiser ton cul  ET FAIS DE TOI MA SALOPE!  Tu as des hauts le cœur... Les yeux qui pleurent... Ça fait longtemps que tu as perdu pied... Ta main en oublie de branler ta  queue toujours raide...   Je te maintiens la tête en arrière d'une main ferme et défonce ta p' tite gueule à grand coup de bite,   ressors pour  voir ta langue en redemander et Je te l' enfonce de plus belle pour ressortir aussitôt et jouer ainsi de toi jusqu'à ce que  tu dégoulines de bave ... Puis,Je te bouche les narines de la paume de la main,  et te pénètre plus violemment encore...  Je  me retire d'un coup,  dégage le harnais et pose ma chatte sur ton visage  : LECHE MOI!    Tantôt Je me plaque sur ta bouche, tantôt Je m' éloigne  t'obligeant à soulever la tête .    " BRANLE TA QUEUE! " Tu exécutes sans réfléchir...    D'une enjambée ,Je fais volte face;  te voilà face contre cul,  ta langue entre ma lingerie pour lécher mon anus pendant que Je crache sur ta queue . J' en profite pour attraper tes tétons,  les pince, les tourne. Tu gémis tout en continuant de lécher entre mes fesses.   " BRANLE TOI ! ...  LECHE MOI SALOPE! "   Tu es pris par tous les fronts.  Arrives tu à gérer ? Mon cul qui cherche à t' étouffer? Mes doigts qui te pincent?   Mes ordres sur ta queue?              C'est si bon de te posséder ainsi!   D'un coup Je me redresse!  Ça te surprend,  tu restes là sur le dos,  queue en main,   haletant.  Je suis   droite au-dessus de toi,  jambes écartées .  Je tire mon shorty sur le côté pour en dégager mes lèvres gorgées de plaisir.   Tu as la vue sur mon sexe gonflé  que Je dirige en arriéré pour te pisser  dessus  toute la jouissance que J' ai accumulée ...   De ta bouche à ta queue...  Tu essaies d'en boire...  De ta queue à ta bouche....  Tu en as de partout...  Je me lâche sur toi...  Mélange de foutre et d'urine...   C'est chaud à souhait...   Je fini le dernier jet en redescendant  pour que tu boives les  toutes dernières  gouttes...   Pleinement satisfaite , sans rien dire  ni ordonner, Je te souris   en ré-ajustant mes dessous et m' en vais  me doucher... 
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Par : le 20/04/14
On est dans ta salle de bain. Mes mains sont appuyées sur l'évier, mon buste est penché vers l’avant et mon cul est relevé vers toi. Tu es derrière moi. Tu as insisté pour que ça se passe ici, devant ton miroir. Tu veux me voir, mais tu veux aussi que je voie mon visage, que je voie l'expression de ma souffrance quand tu t'insinueras en moi, centimètre par centimètre. Tu veux que je voie le tien, que je prenne entièrement conscience de l’emprise que tu as sur moi. Tu veux me faire mal. Tu ne vas pas y aller doucement. Tu ne vas pas me ménager. Tu vas forcer, parce qu’on sait tous les deux que mon cul est étroit. Et surtout, parce que tu sais que ça m’excite. Tu ne le ferais pas sinon… Tu baisses mon pantalon sur mes cuisses et tu relèves mon haut, dévoilant mes reins, mon dos et mes seins. Tu passes tes mains sous mon ventre incliné, et tes doigts se saisissent de mes tétons durcis par la faim de toi. Ton pantalon est collé à mes fesses et je peux déjà sentir ton excitation. Comme pour me frustrer encore plus, tu le retires, te retrouvant en caleçon. Effectivement, tu bandes! Tu pinces mes tétons, les tords, fort et sans ménagement, en frottant ton bas-ventre à mon entre-jambe déjà trempée. D'habitude je mouille "normalement", ni trop vite, ni pas assez, mais on sait tous les deux que ce genre de situation, un peu cérébrale, humiliante et forcée me rend dingue. Je sais que le fait de voir ma chatte trempée t'excite. Je sais que tu aimes le fait de me savoir suspendue à tes gestes, obéissante et dévouée. Je ne tiens déjà plus... Mes fesses, d'un mouvement incontrôlé, se joignent au mouvement de ta queue qui se frotte à moi. J'ai trop envie de toi, ça fait trop longtemps qu'on ne s'est pas vus, j'aimerais que tu en finisses et que tu me délivres d'un coup de queue salvateur. Mais ça ne se passera pas comme ça. No pain, no game !
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Par : le 26/06/17
Ma quête du Double Mâle-éfique... Le dominant guide sa Soumise c'est bien connu... Mais certaines vous diront "oui mais pas queue!" Pas queue quoi? Bah pas queue ça... Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi guider... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise... Car la vraie histoire se fait à deux... L'un révèle l'autre... L'un élève l'autre ... L'un éveille l'autre... Mais qui est l'un et qui est l'autre ? L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui s'élève grâce à Lui? Mais qui a le Pouvoir? Assurément le Dom! Voyons! Mais certaines vous diront "Mais pas queue!" Pas queue quoi? Bah pas queue ça encore une fois... Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi dominer... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise... Car le vrai Pouvoir du sexe s'exerce à deux... L'un excite l'autre ... L'un frustre l'autre... L'un tient l'autre ... Mais qui est l'un et qui est l'autre ? L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui sex-prime grâce à Lui? Non... car si la Soumise connaît son pouvoir sexuel, cela ne l'empêche pas de se soumettre à son Dominant... lui même soumis à la tentation sexuelle dont se joue la soumise... Pas folle la guêpe ... Ils sont bien deux soumis! Et ... #LeDomEstUnSoumisCommeUnAutre !! Ce que cherche Dominant lui est propre... Mais chienne à son pied il aimerait... Soumise Sa-lope à lui, Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement féminine... Ce que MOI soumise je cherche est clair: je cherche le Double Mâle-efique... Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement masculine... Et c'est mon Pouvoir et mon jeu, Ma soumission et mes "vas-y", mes "tu peux" et mes "libère-toi" qui le déchaîneront! Pourquoi lui et pourquoi ça? Car il est l'exact contraire de son double... et parce qu'il est son contraire alors il me mérite. Alors je pars en quête... je chasse... je teste... j'appâte... je ferre...j'attise.... Linsoumise en mode Lionne: tapis à l'agachon (terme sudiste je m'adapte à la faune locale...), j'observe mon espace de jeu et les mâles qui s'y présentent. Choisir le bon endroit d'observation... toujours près du point d'eau... je les regarde faire pendant que JE ferre... Il y a là les romantiques, il y a là les goujats, un peu plus loin les morts-de-faim, les beaux parleurs sortent leurs belles phrases. Il y a ceux qui veulent m'apprendre la levrette et me faire des cunni pendant des heures... méprisables. Là je suis en mode snipper. Moi je sais ce que je veux et surtout ce que je cherche... Je cherche le metasex...pas de la baise! Ça c'est facile et quand je veux. Pas besoin de me donner la peine de chercher... j'ai mes 06 de secours en cas de besoin. Non. Je cherche autre chose... bien plus subtil, bien plus profond, bien plus cérébral... Mais surtout, je cherche un Dom qui s'ignore... car mon plaisir est aussi là. Oui lui aussi doit se libérer et ce n'est pas forcément simple... Le plaisir réservé aux dom? Alors je suis Dom sans l'ombre d'un doute... Éveiller. Conscientiser. Ouvrir les champs des possibles. Viser ses carcans et les exploser en vol. L'observer baisser ses barrières, l'observer grandir et devenir le Dom que moi je vois...et que je veux faire éclore... Dom mais en n'employant pas les mêmes chemins ni les mêmes armes... Car je cherche celui qui pourrait me soumettre... à terme. Et pour qui je ressentirai l'envie de... En dehors d'un physique sportif et musclé inévitable pour moi, il me faut un intérieur riche: riche en fantasmes, riche en potentiel sadique, riche en coeur, riche en émotions... Mais aussi, sentir un orage contenu, opprimé, fait de tellement de défauts qui font les qualités d'un Dominant... du Dominant que je veux. Oui que je VEUX. Car personne ne peut entraver ma volonté. Insoumise au fond? Ou soumise sur ce que je laisse à cet autre... et plus il est Dom et plus je lui laisse... Celui que j'ai choisi ...Est protecteur, romantique, émotionnel, généreux, ouvert, réfléchis, tolérant, attentif... amoureux. Mais j'ai senti autre chose... au premier regard. Et c'est cette dichotomie qui me passionne... cette Division en deux champs opposés nettement en lui : Dichotomie entre la raison et la passion, Entre son Moi et son Ça, Entre ce qu'il est et.. ce qu'il est. Entre ce que l'on sait de lui et ce que je sais de lui. Il est protecteur et a appris à me maltraiter, Il est romantique mais peut aimer le sordide, il est émotionnel et dévore nos émotions, Il est gentleman mais bestialement possédé, il est généreux et généreusement égoïste, Il est doux mais tellement violent, il est ouvert et sait me mener en m'écoutant, il est respectueux mais m'irrespecte avec amour, Il est réfléchis et intellectualise tout avant de fondre férocement sur moi, il est tolérant mais s'impose intransigeant, il est attentif toujours... Il est amoureux de moi et de Sa soumise, mon double femell-éfique... L'Ô-rage que je cherche est en lui... et savoir aller le chercher est un art... Pas trop vite, pas trop doucement mais aussi art instinctif... Il m'aime alors viol-emment, nul besoin de consentement, il m'aime alors intolérablement, nulle tolérance à prêter, il m'aime alors bestialement, nulle femelle autre que moi, prétentieusement, nulle générosité à ce moment là, égoïstement, nul plaisir autre que le sien, impunément... tous les droits sur moi... Et on a alors la rage au coeur et les tripes à vif. Machistador de mes désirs, ce double Mâle-éfique me tsunamise, me transperce, me pénètre, me tétanise, me terrasse, pour mieux me chérir le calme revenu... Il s'est pris au jeu, il a pris la main, et quand Dom prend... il EST Dom. Je ne me suis pas trompée... Il se révèle peu à peu, il se libère de tant de choses depuis que je le connais. Lui me prend au jeu, il ne s'est pas trompé non plus en changeant de vie... Je me révèle aussi peu à peu grâce à lui, je me libère lentement de mes carcans à moi... Il a progressivement bouger ses limites ... et maintenant il a encore beaucoup à faire ...avec les miennes.. il a progressivement modifié ses angles de vues ... et veut m'emmener dans ses distorsions digressives à l'infini ... Mais il a ma confiance et mon Amour pour qu'à nous deux nous trouvions le chemin de N/notre BDSM... Aventure Clair-obscur pour deux êtres de sang mêlé... Atypique? Piquez-moi! Étonnant? Étonnez-moi! Vicieux? Viciez-moi! Surpris? j'en suis heureuse... Je vous aime mon Dhom, vous et votre Double Mâle-éfique...
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Par : le 16/01/14
1) Vlan01 veut savoir quelle partie de moi est la plus à croquer, j’aurais bien envie de lui répondre qu’elles sont toutes autant à croquer les unes que les autres, mais je crains qu’il ne se satisfasse pas entièrement de cette réponse, je vais donc tâcher d’être un peu plus précise… 2) Quand j’étais petite, j’ai toujours été la plus grande de ma classe (vous savez, j’étais parmi ceux qui sont toujours au dernier rang sur les photos de classe), j’étais également la seule à avoir de la poitrine, je courais plus vite que tous les mecs et je les battais tous au bras de fer. Je pensais donc qu’une fois adulte j’aurais les jambes d’Adriana Karembeu, la poitrine de Monica Bellucci et la force physique de je ne sais plus trop quelle sportive de haut niveau. 3) Résultat : je suis quand même plus grande que Mimi Mathy, mais pas tant que ça, j’ai la poitrine de Jane Birkin, et quand on me demande pourquoi je ne fais pas de sport, je cite Churchill qui avait répondu à un journaliste que son secret pour rester en forme était le sport : il n’en faisait jamais… 4) Je fais quand même de la danse classique, mais certains disent que ce n’est pas un sport…. 5) En théorie, mon Maître pourrait profiter de ma souplesse, mais depuis un an j’ai mal à l’adducteur gauche et j’ai l’impression d’avoir un corps de mémé avant l'heure. Je repense alors à Churchill et je me dis que j’aurais dû l’écouter, car si je n’avais pas fait de sport, je n’aurais jamais eu cette douleur et j’aurais gardé mon corps de jeune fille ! 6) Mais rassurez-vous Vlan01, mon corps n’est pas encore ridé, l’intégralité en est lisse comme un abricot… 7) J’ai l’impression de faire un gros hors-sujet, mais je me dis que cela serait un peu prétentieux d’expliquer en long et en large quelle est la partie de moi la plus à croquer, je vais donc continuer à développer mon hors-sujet 8) Quand j’étais petite, je voulais être médecin, coiffeuse, caissière et actrice. Résultat : je passe mes journées à répéter à de jeunes gens qu’un verbe conjugué dans une subordonnée se place à la fin de la phrase en allemand… C’est on ne peut plus passionnant… 9) Pour échapper à ce quotidien passionnant, j’aime repenser à mes rêves d’enfance et je me rappelle que je voulais être avant tout princesse. D’une certaine manière, cela se combine assez bien avec le métier d’actrice et j’étais donc très jalouse d’Isabelle Adjani qui a joué dans la Reine Margot. 10) Pour compenser cette frustration (j’ai compris un jour qu’il allait y avoir peu de chance que je sois actrice ou princesse), je me suis intéressée à l’histoire. J’avais décidé d’écrire un livre sur la Reine Margot, ce qui m’aurait permis, par procuration en quelque sorte, d’être princesse. 11) Résultat : je vais travailler de longues années et sans doute écrire un livre sur les causes de la Première Guerre mondiale. Je n’ai toujours pas compris le lien de cause à effet entre la Reine Margot et le déclenchement de la Première Guerre mondiale. En tout cas, si je le trouve, je vais révolutionner la recherche en histoire, ou alors être prise par les historiens pour une illuminée… 12) Je parle beaucoup de mes rêves d’enfance non réalisés, devrais-je aller voir un psy ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, je m’enfonce dans le hors-sujet, je devrais sans doute retourner à l’école. 13) Revenons-en à notre Reine Margot ! Pour être honnête, je n’ai jamais lu le pavé d’Alexandre Dumas ; en revanche, dans le film de Patrice Chéreau, il y a une scène où Margot est maltraitée par ses frères et où ils sont à deux doigts de la violer. J’avais enregistré le film, et je faisais systématiquement retour arrière dès que cette scène était passée ; en tout, j’ai dû la voir une cinquantaine de fois. 14) Je continue ma thérapie en 28 points et, en repensant à mon vif intérêt pour cette scène, je me dis que j’ai commencé très jeune à penser au BDSM, sans en avoir conscience. 15) D’où vient ce fantasme ? Aucune idée. Et vous ? Sauriez-vous dire d’où il vient ? 16) Au fait, Isabelle Adjani a interprété le métier que je fais actuellement dans « la journée de la jupe », je me dis que par procuration de procuration de procuration, je suis une princesse. 17) Je ne suis pas sûre d’utiliser à bon escient l’expression « par procuration ». Qu’en penses-tu Hearbeat ? Je dis Hearbeat, mais ça peut être quelqu’un d’autre, évidemment, c’est juste que je suis béate d’admiration devant un tel maniement de la langue française. 18) Si après la lecture de cette thérapie en 28 points, mon Maître ne comprend pas que je veux qu’il me traite comme une princesse, c’est qu’il manque un peu de perspicacité, et si Hearbeat ne comprend pas que je suis impatiente de lire le tout premier livre que j’espère qu’elle écrira un jour, c’est que…..hum… je ne sais pas comment finir ma phrase, je ne connais pas assez Hearbeat pour savoir de quel trait de caractère cela relèverait. 19) Je ne suis pas en train de dire que mon Maître manque parfois de perspicacité, mais si après lecture de ce texte je vois qu’il ne change en rien son comportement vis-à-vis de moi (comportement qui, par ailleurs, me convient très bien), je préfère penser que c’est juste une question de perspicacité : il me suffira alors de l’éclairer ou d’être encore plus explicite et mon rêve se réalisera ! 20) Quand je lis une recette de cuisine, il faut que j’aie un dictionnaire à côté de moi et que j’aie accès à intérêt pour regarder l’aspect des ingrédients que je dois acheter. 21) Pardonnez-moi, je n’ai pas fait de transition, mais je sais que vous avez tous ici l’esprit alerte. 22) Bref, ce n’est pas en raison de mes talents culinaires que je suis à croquer. 23) Un jour, je me suis énervée contre quelqu’un ; cette personne m’a : « on dirait ta mère ». Depuis, je suis devenue la fille la plus calme au monde. Peut-être que ça fait de moi une soumise à croquer ? 24) Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais j’essaie désormais de traiter le sujet. 25) Mine de rien, en parlant de ma taille dès le début, je crois que je traitais déjà un peu le sujet : avant de découvrir le monde du BDSM, je me trouvais trop petite pour séduire, et dès le premier jour où je me suis inscrite sur un site BDSM, j’ai compris que ma taille était un atout ! Ces grands mâles dominateurs ont davantage l’impression de dominer s’ils peuvent s’emparer entièrement du corps de leur soumise…. Même remarque pour la taille des seins. 26) D’un autre côté, je me suis dit que c’était peut-être aussi parce que les grands mâles dominateurs sautaient sur tout ce qui bougeait : grande, petite, peu importe, ils disent toujours que c’est parfait. Alors les grandes soumises ? Est-ce que les dominateurs vous ont dit que votre taille se prêtait tout particulièrement au BDSM ? 27) Quelle que soit votre réponse, j’oserai faire confiance à mon Maître et continuer à croire que mon petit corps lui plaît beaucoup. En revanche, je suis quand même très curieuse de connaître votre réponse. 28) Vlan01, vous ne m’avez pas demandé dans quelle mesure j’étais une « petite soumise », mais, pour conclure, je vais quand même répondre à cette question (quand on veut éviter de faire des hors-sujets, c’est très pratique de faire les sujets soi-même) : vous aurez compris que c’est parce que je suis petite, mais c’est surtout parce c’est ainsi que m’appelle mon Maître. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 12/04/14
Comme c'est curieux, cette ambivalence, cette multitude de désirs, si contradictoires, et en même temps... Si complémentaires... Comme c'est curieux, d'aimer être traitée durement (voire très durement dans les moments de manque intense), et puis, de l'autre côté, aimer une douceur presque... extrême. Est-ce que c'est grave, docteur ? Peut-être que c'est comme ça que ça marche, la vie... Finalement, on jongle entre des états, parfois extrêmes eux aussi, qui, combinés les uns aux autres, réussissent à donner "quelque chose", un ensemble presque harmonieux... Ces états, auraient-ils la même saveur et surtout la même valeur s'ils étaient seuls ? Est-ce cette ambivalence qui les rend si... attrayants ? Est-ce que j'apprécierais les moments agréables de la vie d'une même manière, si il n'y en avait pas des totalement pourris à côté ? Est-ce que j'apprécierais la douleur physique/morale de la même manière, si il n'y avait pas ces moments totalement dénués de SM à côté ? Et puis il y a ces moments où il n'y a qu'un seul état... Pas d'état différent pour contrebalancer le premier... Et il faut s'y faire. Et des fois, on aime ça. Aimer la vanille strictement vanille, c'est grave docteur ? Et aimer une personne, dans sa globalité, sans once de SM ? ...Et aimer tout court ? Apprécier tout simplement la présence de l'autre, l'autre avec ses particularités, ses aspérités, l'autre dans son ensemble... Les caresses, les baisers, la tendresse, la douceur, ces mains qui se perdent partout, dans les moindres recoins... Aimer faire l'amour tout doucement, presque religieusement après une longue séparation... Et puis finir par avoir peur, parce qu'on se dit que ça ne va pas durer, que certaines épices vont forcément finir par manquer... Dis docteur, on fait comment ?
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