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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Il est facile de constater en réel que je ne suis pas aussi extravertie que ne le laisse paraître les reseaux.
Je suis une boule d'émotion que je dois gère constamment, ma voix et ma gestuelle me trahissent souvent. J'oscille entre crainte de maladresse et c'est souvent là où je le suis le plus😅 et la crainte d'être rejeter. Hier soir je me suis rendu à mon premier Munch and Play j'ai eu un démarrage plutôt long même si l'envie était la. Il me fallait prendre le risque de demander et peut-être être confronter à un refus. Ce n'est pas simple quand on n'a jamais pratiquer en-dehors d'une relation. 22h je me secoue et j'ose enfin demander à Lady Spencer si elle serait d'accord de faire de l'impact sur moi. Elle accepte, je suis soulager et super contente. Quand elle est prête, je la suis et m'installe comme elle me le demande. J'ai les mains poser de chaque coter du carcan. Elle me demande comment je signal que c'est trop je lui dit que je lèverais la main gauche si jamais, Je sais que je ne suis pas du genre expressive. Lady spencer me demande si je suis d'accord que son ami Khaos_Wolf se joigne a elle j'accepte sans hésité si elle le considère comme un ami je lui fait confiance par procuration.
Lady spencer commence et moi je me bulle dans mes ressentis "je suis simplement" je ressens mon corps ce qu'ils lui font vivre j'ai plus aucune penser qui m'habite je ne fais que sentir les impacts sur ma peau je me sens bien je suis bercée, impactée, claquée... il y a les sons, les courant d'air et les sensations j'enregistre toute ses données. J'entends un soumis qui gémit en choeur avec mes ressentis sa maîtresse c'est mis au même rythme que Khaos_ Wolf j'ai le sourire qui me vient aux lèvres. je suis bien, j'ai pas envie que ça se finisse mais toute les bonnes choses en on une de fin. Je vous remercie encore une fois tout les deux parce que cette expériences m'a permise de comprendre que c'est ça que j'aime dans les jeux d'impacts c'est ma bulle c'est le repos de mon esprit parce qu'il est occuper a géré mes ressentis et j'aime ressentir. Durant ce temps je n'ai pas eu a géré mes peurs n'y mes angoisses et pas non plus de pense parasite... Parce qu'ils n'avaient simplement pas leurs place Merci a vous deux de m'avoir offert ce répit.
C'est une facette de mon masochisme que je saurais exprimer maintenant grâce a vous même si c'est de façon involontaire...
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C’est à ce moment-là qu’elle est entrée dans le jeu. Au départ, je lui ai simplement partagé ma démarche : un mois d’edging, sans éjaculer, en solo. Rien de plus. Mais elle a tout de suite su comment prendre le contrôle à distance. Comme si elle avait attendu cette opportunité pour me pousser plus loin. Elle a pris les rênes sans forcer, avec une autorité naturelle, sensuelle… redoutable. Et moi, je me suis laissé faire. Volontairement. Excité. Terrifié.
Sur Obedient App, elle a commencé à distiller ses défis. Subtils d’abord. Puis de plus en plus cruels.
« Edge 5 fois aujourd’hui sans jamais dépasser 90 %... et dis-moi exactement à quel moment tu as failli craquer. »
« Frotte-toi dans ton pantalon pendant 10 minutes sans sortir ton sexe… et enregistre les sons de ton souffle. »
« Porte un sous-vêtement trempé de ton propre pré-cum toute la journée. »
Et mon préféré :
« Filme-toi au moment précis où tu es sur le point d’exploser… puis arrête-toi. Je veux voir l’instant exact où tu te retiens. »
Ce n’était plus juste mon désir que je contrôlais. C’était devenu une offrande, une dévotion, une torture offerte à quelqu’un d’autre. Et ça me rendait fou. Mon corps réagissait à chacun de ses ordres. Mon sexe se dressait avant même que je ne lise entièrement ses messages. Mes doigts glissaient sous mon jean dès que je trouvais une minute seul, dans un parking, dans des toilettes, chez moi à peine la porte fermée.
Je devenais une machine à soupirs. Chaque respiration devenait profonde, tremblante. Ma peau moite, mon front légèrement perlé. Je gémissais parfois à peine, juste ce petit son rauque que je ne reconnaissais pas comme étant le mien. L’air devenait lourd autour de moi, chargé d’une odeur entêtante : un mélange de frustration, de désir bloqué, de sexe tendu à l’extrême.
Mon sexe, lui, était constamment douloureux, gonflé, sensible à l’excès. Parfois, juste le contact du tissu me forçait à m’arrêter, à appuyer ma tête contre un mur, à inspirer fort. Le pré-cum ne cessait de couler pendant mes sessions. Épais, chaud, collant, il glissait le long de ma verge sans même que je me stimule directement. Par moments, il traversait mon boxer, humidifiant mes vêtements, comme un cri muet de mon corps qui ne comprenait plus ce qui lui arrivait.
Et pourtant, j’adorais chaque seconde. Chaque défi. Chaque retenue.
Elle me poussait toujours plus loin. Et je m’y abandonnais, avec un mélange d’extase et de torture. Chaque soir, je terminais mes sessions allongé, haletant, la main encore tremblante, mon sexe battant dans le vide, ruisselant de pré-cum… sans une seule goutte de sperme libérée. Juste cette chaleur. Ce besoin. Cette obsession.
Mais ce n’était que le début de ses jeux.
Et la suite… allait me faire franchir un nouveau cap. Peut-être trop loin.
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Lorsque nos corps en sur expos
Se lient un soir d'Ô,
Lorsque tu gagnes au jeu de l'oie
Que mon corps accepte ta loi.
Lorsque tu perds sous mes doigts
Tout tes repères,
Lorsque je gagne ton corps
Tendu, m'offrant nos accords.
Lorsque tu m'appartiens
Que mes chaînes font tes liens,
A tes poignets et tes chevilles liées
Tu es alors ma destinée.
Toujours liés de plaisirs avoués
Entre nous ces secret inavoués.
Ton corps offert à mes plaisirs innés
A nos désirs de t’enchaîner.
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I. Prologue
Il n'est pas très long, il est épais, bien tendu avec son gland turgescent, arrogant et ses bourses bien serrées. Il ressemble au sien mais ce n'est pas le sien. Jean qui est si amoureux du sexe féminin qu'il a honoré maintes et maintes fois, comment s'est-il retrouvé avec ce sexe masculin dressé en face de son visage, qui le menace tel un sabre prêt à s'abattre sur sa proie ? il ne sait pas, il ne sait plus, son esprit se brouille, il reste figé, il a l'impression d'être fiévreux et son cœur bat la chamade.
Tout à coup il ressent une douleur au niveau du dos, accompagnée d'un claquement sec et il entend derrière lui la voix d'une femme lui dire sur un ton autoritaire : "Qu'est-ce que tu attends ?".
Le coup de martinet l'a fait sursauter mais il n'a pas pu se redresser et a failli s'étrangler, son cou étant harnaché d'un collier muni d'anneaux dont l'un était savamment relié à des menottes de chevilles.
En un instant il s'est souvenu pourquoi il était ici dans cette situation.
II. Acte 1
A. Une curieuse rencontre.
Jean est un homme assez solitaire mais, ayant eu une semaine difficile, il décida d'aller en discothèque.
Après avoir commandé un verre au bar il est allé s'asseoir sur un pouf devant lequel se trouvait une table basse déserte et en face une petite banquette vide de tout occupant. La musique ne lui plaisait pas vraiment mais il aimait bien observer les gens et cela le distrayait.
Tandis qu'il s'amusait à regarder cette foule qui se dandinait, gesticulait et parfois vociférait, un homme qui tenait un verre dans chaque main lui demanda tout en désignant la banquette ;"La place est prise ?"
"Non apparemment il n'y a personne !" répondit Jean. L'homme posât les verres sur la table, une femme le rejoignit aussitôt et tous deux s'assirent sur la banquette.
L'homme était grand, les cheveux gris assez courts, il portait un costume et une chemise noirs et une chaîne, probablement en or, brillait autour de son cou.
La femme portait une jupe noire avec un chemisier rouge un peu échancré sur sa poitrine généreuse. Elle était de taille moyenne, cheveux châtains, mi longs et bouclés. Elle paraissait plus jeune que lui mais devait avoir une cinquantaine d'années et Jean était impressionné par sa beauté.
Jean se dit qu'il avait de la chance car il craignait que s'installent de jeunes gens en fin d'adolescence un peu bruyants et turbulents.
Apparemment ils n'étaient pas venus là pour danser.
Ils regardaient ce qu'il se passait autour en sirotant leur cocktail et en se chuchotant à l'oreille de temps en temps. Chuchotements suivis de sourires et de hochements de tête.
Puis ils ont commencé à engager la conversation avec Jean. Des banalités du genre "Vous venez souvent ici ?"… Et ils ont continué à discuter de choses et d'autres avec leurs verres à la main.
Voyant que Jean était seul ils lui ont demandé "Vous n'avez pas de copine ?".
Jean leur a répondu par la négative. Ils ont enchaîné sur une autre question "Un copain ?". Jean leur a également répondu par la négative tout en avalant de travers et dit en toussotant "Ce n'est pas ma tasse de thé !".
B. L'intimité dévoilée
Étonnés, ils ont cherché à en savoir plus sur lui. En fait, c'était surtout elle qui lui posait des questions et face à cette beauté il ne pouvait pas faire autrement que d'y répondre franchement. Il était comme hypnotisé.
Jean se mit à leur parler un peu de sa vie.
« J'ai eu plusieurs femmes dans ma vie, j'ai même été marié plusieurs fois et ai des enfants mais les circonstances de la vie ont fait qu'aujourd'hui je vis seul ».
Puis d'une voix presque déçue elle lui a posé la question suivante : « Donc, avec un homme vous n'avez jamais essayé ? ».
Tout en étant surpris et très gêné par la question, nul ne sait pour quelle raison, il finit par lui répondre par l'affirmative et lui a expliqué les circonstances.
« Il y a pas mal d'années en arrière alors que j'étais représentant de commerce je dînais seul dans un restaurant de Narbonne avant de rejoindre mon hôtel. En face de moi se trouvait un autre homme et nous avons engagé la conversation. Au cours du repas j'ai compris qu'il me draguait ouvertement et comme je suis ouvert à toute expérience j'ai accepté d'aller chez lui pour boire un verre. Puis nous nous sommes retrouvés sur son lit et avons fait un soixante-neuf. Il avait un sexe si petit que j'avais l'impression de sucer un clitoris. Mais ce clitoris-là a fini par éjaculer dans ma bouche sans que je m'y attende. Finalement je suis rentré à ma chambre d'hôtel dégoûté et très déçu car je n'avais eu aucun plaisir. ».
Apparemment ravie de la réponse de Jean elle lui demanda « Retenteriez-vous l'expérience ? ».
Jean lui répondit « Non jamais, à moins de m'y forcer ! ».
Le visage de la femme s’éclaira d’un sourire malicieux et dit :
« Oh pardon ! Nous ne nous sommes pas présentés ! Martin, mon mari et moi c'est Sabine ! ».
Ravi de ne pas passer la soirée seul dans son coin Jean répondit « Enchanté ! Moi c'est Jean ! ».
« Enchanté également ! » dit Martin tout en serrant la main de Jean.
« Nous sommes ravis de vous avoir rencontré ! » s'exclama Sabine
Puis elle a pris une forte respiration et sur un ton enjoué elle l'a invitée à venir boire un verre chez eux pour faire plus ample connaissance. Son mari acquiesça tout en vantant la qualité d’un cognac hors d’âge qu’il avait dans son bar. Jean accepta l'invitation.
C. En route pour l'aventure
Ils sont donc sortis de la discothèque et lui ont proposé de monter dans leur voiture, pour éviter qu'il se perde en route, en lui promettant de le ramener plus tard afin qu'il récupère la sienne. L'argument lui paraissant valable il est monté dans leur voiture. Jean regardait le paysage nocturne défiler tout en se demandant s'ils habitaient loin, car il commençait à trouver le temps long et qu'il régnait un grand silence dans le véhicule. Soudain, alors qu'elle conduisait, son mari assis sur le siège passager et lui à l'arrière, elle a recommencé à lui poser des questions tout en l'observant dans le rétroviseur.
« Lorsque vous dîtes "à moins de m'y forcer cela veut-il dire que vous êtes du genre soumis ? ».
Jean lui a répondu que dans la vie il y a des moments où l'on maîtrise une situation et des moments où l'on s'y soumet. Puis il ajouta instinctivement « j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement ! ».
Il regretta instantanément ses paroles et se demanda pourquoi, dès que Sabine a commencé à lui poser des questions sur sa vie intime, il y répondait spontanément, sans réfléchir. Mais, finalement, cela lui faisait du bien de parler de ces besoins inassouvis, ancrés au plus profond de son être à des personnes qu’il n’avait jamais vues et qu’il ne reverra probablement jamais. Donc, peu importe leur jugement. À travers le rétroviseur il vit qu'elle esquissait un sourire et qu’elle caressait la cuisse de son mari qui lui, restait impassible. À ce moment il a compris qu'il partait dans une aventure dont il ne connaissait pas l'issue et cela l'excitait et il commençait à sentir une chaleur bizarre monter en lui. Comme si tout le poussait à s'abandonner totalement à ce couple si cordial mais si intrigant sachant que, s'ils avaient de mauvaises intentions il était capable de se défendre.
Ils ont pris une rue bordée de jolies propriétés puis sont arrivés devant un portail en fer qui s'est ouvert lorsqu'elle a actionné la télécommande et ils ont remonté une petite allée dont les graviers crissaient sous les pneus pour enfin s'arrêter devant une maison bourgeoise datant probablement de la fin du XIXème siècle. Ils sont descendus de voiture et jean les a suivis en prenant une grande bouffée d'air, pendant qu'ils montaient les quelques marches surplombées par un magnifique porte, afin de reprendre ses esprits et de rester sur ses gardes car, même s'il est toujours partant pour découvrir l'inconnu, il est toujours vigilant. Une fois à l'intérieur sa première impression s'est révélée exacte. C'est bien une maison du style victorien. Ses hôtes l'invitèrent à les accompagner dans un salon se trouvant à gauche de l'entrée. Le mobilier était moderne et confortable. Ils le prièrent de s'asseoir dans un fauteuil et tandis que Sabine s'installait dans le canapé juste en face, en découvrant largement ses longues jambes fuselées, Martin lui proposait son fameux cognac. À ce moment il ne savait plus trop que penser. La finalité était peut-être une relation sexuelle. Mais laquelle ? Sabine voulait-elle se faire prendre en sandwich ou Martin était-il adepte du candaulisme ?
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Un soir de février. La nuit tombe tôt en cette période de l'année. La lueur de la lune réveille la femme qui se cache derrière elle. Un soir de février, des plus banals pour la plupart du monde mais pas pour cette femme. Elle l'a méticuleusement choisi pour se dévoiler. La date a été fixée, le lieu de rendez-vous aussi. L'heure fatidique approche, la femme s'apprête le cœur battant de plus en plus fort. Elle allume une cigarette à sa fenêtre pour tenter de calmer son esprit.
La femme c'est moi et plus je m'apprête plus je me dis qu'il n'est pas possible de faire machine arrière. Je dois apprendre à embrasser mes vices. Oui, je suis sur le point d'aller rencontrer un inconnu avec qui j'échange depuis quelques jours sur un site BDSM. Est-ce que je l'assume ? A moitié seulement je crois bien. Est-ce que je suis sereine? Certainement pas. L'expérience est nouvelle pour moi. Jusqu'à là, je m'étais tenu à distance des sites de rencontres. Je me suis toujours dit que cela devait quand même être bien étrange de voir quelqu'un pour la première fois en ayant déjà un enjeu en tête. Où est la part de naturel et de spontanéité qui fait le charme d'une rencontre? Puis parano comme je suis, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il y a toujours un risque de tomber sur un fou, une personne mal intentionnée. Que se passerait-il si mon radar n'était pas si bien aiguisé, si je m'étais trompée et que le scénario kidnapping dont on a discuté ne soit pas tant scénario que cela. Alors oui, je l'avoue, j'ai partagé à une amie de confiance l'identité de la personne que je devais rencontrer ainsi que le lieu de cette rencontre. Mais malgré tout, me voilà ici en train de choisir une tenue dans laquelle j'espère lui plaire. Ce sera une jupe en cuir marron avec un pull noir décolleté dans le dos.
J'éteins ma cigarette. Elle n'aura pas fait grand effet malheureusement mais il est temps de partir. J'enfile mon manteau avant de sortir dans la rue. L'air y est frais, une fine pluie se fait ressentir. Je fais partie de ceux qui aiment la pluie, elle m'ancre et me détend. Je lève la tête et regarde la lune tout en ressentant la pluie qui vient apaiser le coup de chaud que je viens d'avoir sous l'effet du stress. Mes pas me dirigent lentement vers le bar que l'on a choisi pour lieu de rendez-vous.
Une silhouette se devine au loin, cachée sous un parapluie aussi sombre que la nuit. C'est bien vous. Plus de doute possible lorsque vous m'approchez tout en riant du fait que je ne vous ai pas reconnu. Je remets la chose sur ma piètre vue et le fait que vous vous cachiez. Pourtant , vous n'avez rien à cacher. Loin de la même... Vous avez un charme troublant allié à une prestance rassurante. Un sacré mélange qui a de quoi faire perdre pied. Les nôtres nous mènent à l'intérieur du bar où nous nous dirigeons vers le comptoir. Vous avez retenu ce que j'aimais boire. Un vin blanc sec? Pas pour ce soir, du moins pas pour le moment. Je crois bien que j'aurais besoin d'un peu plus ... disons une bière rouge en 50 .. ça devrait faire l'affaire. Un "tu" m'échappe alors. Décidément, je n'ai vraiment pas l'habitude du vouvoiement, je vais devoir travailler là-dessus. Ce "vous" est le symbole d'une soumission nouvelle que je découvre au gré de la soirée.
Une fois nos verres en main, nous nous installons dans un canapé dans le fond du bar. Ce coin nous offre une intimité limitée mais agréable. Un groupe de jeunes se trouve quelques tables plus loin. A peine assise, je renverse déjà une gorgée de mon verre. "C'est l'effet que je te fais?" Faut croire oui, ça et ma maladresse habituelle. Les verres se vident au cours des discussions riches et variées. Je ne pensais pas pouvoir me livrer de cette manière à un inconnu. Vous n'avez pas menti, vous savez mettre les gens à l'aise, tant et si bien que je me retrouve à parler BDSM de manière déconcertante lorsque l'on sait que des oreilles qui peuvent être indiscrètes se trouvent à quelques mètres de nous. Il y a ce feeling, cette complicité naissante mais naturelle que je cherchais. Je profite de l'un de vos passages aux toilettes pour répondre à mon amie qui me demande si tout va bien. Oui, tout va bien, même parfaitement bien. Pas de kidnappeur fou mais un coup de coeur qui se confirme. Un coup de coeur qui risque de me pousser à faire des folies par la suite.
Je me lève pour aller chercher un autre verre. Vous en profitez pour me faire passer devant vous afin de mieux me reluquer. Vous me complimentez sur le choix de ma tenue. Note à moi-même: ne pas hésiter sur les jupes en cuir par la suite.
Je reviens avec un nouveau verre à la main, un verre de blanc sec cette fois. La bière à jeun a fait son effet, il est temps de lever un peu le pied si je ne veux pas finir bourrée. Je repasse devant vous et me rassois à vos côtés , un peu plus proche cette fois et sans rien renverser, ce qui relève de l'exploit attention!
Je l'ignorais mais une surprise m'attend. Vous m'aviez dit vouloir tester mon potentiel de soumise au cours de la soirée, apparemment, le moment est venu. Vous me tendez le fond de votre bière blonde et m'annoncez très sérieusement et de manière très sensuelle que vous avez laissé une partie de vous dans ce verre. Vous n'avez pas besoin de finir votre phrase que j'en devine déjà la fin. Vous attendez de moi que je le boive avec le filet de votre salive que vous y avez déposé pendant mon absence. Je le saisis d'une main assurée tout en vous regardant dans les yeux et le bois d'une traite sans vous lâcher du regard. Il y a de quoi être surpris venant de quelqu'un qui n'aime pas la bière blonde mais il faut croire que votre salive y a ajouté un certain goût qui n'est pas déplaisant, et puis, vous le comprendrez bien assez vite, mais j'ai également un certain goût pour les défis. Un sourire satisfait se dessine alors sur votre visage ce qui vous rend encore plus charmant, ou peut-être que c'est ce désir naissant que je devine dans votre regard pénétrant.
Tous les voyants sont au vert depuis le début de la soirée et celle-ci prend une tournure un peu plus intime. Nous avions évoqué le sujet de nos zones érogènes par message. Votre mémoire sélective s'en rappelle très bien voire même un peu trop bien pour me laisser impassible. Le terrain de jeu est ouvert. Votre main remonte à mon cou et le caresse sensuellement. Un frisson me parcourt le dos. Vos doigts se baladent et dessinent une ligne invisible. Mon cou est trop nu à votre goût, il lui manque quelque chose comme un collier. Vos doigts repassent sur cette même ligne invisible et cette fois, je le ressens, je le visualise ce collier. Il arrivera à temps et m'habillera fièrement lorsque nous l'aurons tous deux mérité. Je me tais et profite du moment. Le silence n'a rien de gênant, il fait partie intégrante du jeu et nourrit la tension. Vous reprenez alors la conversation et me posez une question. Je regagne mes esprits et m'attelle à vous répondre mais c'était sans compter sur votre main qui a décidé, mine de rien, de changer de terrain de jeu. Elle remonte le long de ma cuisse déclenchant un feu en moi. Votre main trouve le foyer du feu et vient le recouvrir. "Bah alors.. je t'écoute !" . Plus d'esprit à regagner, il est parti, enfoui six pieds sous terre, là où se cachent les vices abyssaux. Je reste bouche bée, le masque s'est fissuré laissant ainsi la chaleur se propager. Au secours de l'air et de l'air le plus toxique possible s'il vous plaît! Une cigarette, voilà ce qu'il me faut!
Vous m'accompagnez sur la terrasse. Il pleut encore mais pas assez pour éteindre le feu en moi. Je me sors une cigarette et m'apprête à l'allumer. "Passe-moi une cigarette". Où est donc passée votre politesse ? " Passe-moi une cigarette, chère soumise". Voilà qui est déjà mieux. Vous avez une manière de dire ce titre qui donne envie de l'entendre encore et encore.
Nous retournons à notre place une fois la cigarette finie. Le bar commence à se vider. Nous continuons à parler et à rire. Qui aurait pu croire qu'on se voyait pour la première fois.. peut être ces oreilles qui doivent s'étonner du fait de m'entendre vous vouvoyer mais je n'ai plus que faire de ce qu'ils peuvent penser de nos échanges. Nous restons jusqu'à ce que le barman vienne nous mettre à la porte car le bar ferme. Cela signifie qu'il va être l'heure de se quitter. Une heure bien trop prématurée à mon goût mais nous nous sommes mis d'accord sur le fait qu'on voulait prendre notre temps avant d'aller plus loin. Vous me proposez de me raccompagner chez moi. Nous prolongeons ainsi encore un peu ce délicieux moment passé ensemble que l'on ne veut pas se voir finir. Mon immeuble se profile au bout de la rue. Nos pas ralentissent histoire de grappiller encore quelques instants. Il est pourtant temps de se dire au revoir. C'est là que nos lèvres se rencontrent pour la première fois. Un baiser doux et sensuel qui me transporte dans un autre monde, un monde de BDSM.
Je vous quitte alors pour rejoindre ma porte. Je me retourne une dernière fois en tournant les clés dans la serrure. Vous êtes encore là à me regarder. Je vous fais un signe de la main en souriant avant de vous observer retourner dans l'obscurité de la nuit. La femme de la nuit a donc trouvé son homme. A très vite, cher homme de la nuit.
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Se reconnaîtrait-il en lisant un post sur l’attachement évitant-anxieux ?
Réponse courte : probablement pas, ou alors il trouverait une façon de rationaliser.
Pourquoi ?
1. Les évitants-anxieux sont des pros de l’auto-illusion
Même face à une description qui colle parfaitement à leur comportement, leur cerveau va souvent :
• Minimiser : « Oui, ça me parle… mais pas totalement. »
• Dévier : « Peut-être que je fais ça parfois, mais c’est à cause des autres, ils sont trop collants. »
• Intellectualiser : « Intéressant comme analyse, mais je suis quand même plus lucide que la moyenne. »
Exemple évitant :
En lisant : « Les évitants-anxieux veulent de l’intimité mais la rejettent en même temps », il pense :
« Moi je veux de l’intimité, j’ai juste pas encore trouvé la bonne. »
(Comme ça, il évite de voir qu’il est le point commun dans ses relations.)
Comment un Dom réagit :
Un Dom lucide ne fuit pas l’intimité. Il la dirige.
Il dit :
« Là, j’ai besoin de prendre un peu de recul. Voilà pourquoi. Et voilà comment on va avancer. »
Il assume ce qu’il ressent et prend les devants avec clarté.
2. Il manque de conscience émotionnelle pour faire le lien
Il réfléchit bien, oui. Mais émotionnellement ? Déconnecté.
Il peut avoir un cerveau affûté, mais il ne voit pas ses propres schémas. Pourquoi ?
• Parce qu’un évitant coupe le lien avec ses émotions.
• Parce qu’il joue un rôle social qui masque toute vraie vulnérabilité.
Exemple évitant :
Il sait qu’il évite les relations, mais il se dit :
« C’est parce qu’aucune ne me convenait vraiment. »
Plutôt que d’admettre :
« Je sabote quand je ressens trop de choses. »
Comment un Dom réagit :
Un Dom sait reconnaître ce qui se passe en lui.
Il peut dire :
« J’ai pris mes distances parce que j’étais dépassé. C’est pas ta faute. J’assume. »
Sa force, c’est de savoir nommer ce qu’il vit sans disparaître pour autant.
3. Même s’il ouvrait les yeux, il ne changerait pas (sauf gros choc)
Les évitants-anxieux ne changent que quand :
• Ils touchent le fond (genre perdre une femme qu’ils ne pourront jamais remplacer)
• Ou qu’ils s’engagent sérieusement en thérapie, sur la durée
Son état actuel :
• Il ne souffre pas assez (elle n’est pas vraiment partie, et il a encore d’autres sources de validation)
• Il ne pense pas être le problème
Conséquence :
Même s’il pigeait son schéma d’attachement sur le plan théorique, il n’aurait pas l’élan intérieur pour changer.
Comment un Dom réagit :
Un Dom n’attend pas que ça explose pour évoluer.
Il observe, il ajuste, il prend la direction des choses.
Il n’a pas besoin de perdre pour grandir. Il choisit d’évoluer par lucidité, pas par douleur.
4. Le “meilleur scénario” (peu probable, mais possible)
Si elle disparaissait pour de bon et qu’il ressentait le vide, peut-être qu’il :
• Chercherait sur Google : « Pourquoi j’éloigne les gens que j’aime ? »
• Tomberait sur un article sur l’attachement évitant-anxieux et aurait un petit déclic
Mais même là :
• Il blâmerait sûrement son passé ou ses parents, sans rien changer
• Il penserait à elle comme « celle que j’ai perdue », sans jamais la recontacter vraiment
Comment un Dom réagit :
Un Dom ne reste pas dans les fantasmes ou les regrets.
Il revient, ou il clôture proprement.
Il laisse zéro ambiguïté.
Il dit ce qui est, et il agit en conséquence. Il fuit ni ses responsabilités, ni l’impact de ses actes.
Ce que ça veut dire pour elle :
Attendre qu’il “comprenne” ? Une impasse.
Et s’il est déjà adulte, ses schémas sont bien ancrés.
Son vrai pouvoir, à elle, c’est de partir. Pas pour le punir, mais pour se libérer.
Ce n’est pas un homme dominant.
Il est détaché, pas maître de lui.
Il évite l’intimité, non par choix, mais par peur.
Un vrai Dom, lui, est présent, ancré et émotionnellement clair.
L’évitant se dérobe.
Derrière un faux contrôle, il agit sous panique.
Conclusion :
Les évitants ne changent que quand rester les mêmes leur coûte plus que changer.
Mais un homme vraiment dominant, lui, n’attend pas la douleur.
Il choisit la vérité, et avance avec elle.
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https://youtu.be/0bec-8vaKvA
Je veux être un violoncelle
Instrument des plus sensuels
Maintenu entre tes jambes
Mon cœur flambe
De ton archet, tu joues sur mes cordes
Sensibles pour que nos âmes s’accordent
Et dans une harmonie de notes
Mon bois sur ta culotte
Nous vibrons à l’unisson
A en perdre la raison
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(Fiction inspirée d’un jeu élaboré avec une jolie complice)
L. apprécie les scénarios imprévus, les surprises, les attentions dédiées, pour ces raisons, j’imagine toutes sortes de situations personnalisées pour que ce petit démon succube reste éveillé et lié aux arts S-M. Elle m’en offre elle-même parfois l’occasion, pour exemple, un soir, son arrivée avec un simple blazer et un foulard aux couleurs de la Brit-Air (compagnie d’aviation). Et nous voilà juste avant l’embarquement « Bienvenue à bord pour un vol de la compagnie « 7ième Ciel », le commandant de bord va vous attachez par une ceinture et vous maintenir en attitude mal élevée, la vitesse de vol sera de 1000 nœuds de shibari. Vous risquez de subir quelques perturbations. Veuillez mettre un bandeau sur vos yeux le temps du viol… pardon du vol ! »
Mais… mais les distances séparent parfois les êtres, et il y a des lustres que nous n’avions pas joué. Voici que, en ce samedi soir se dessine une nouvelle opportunité de nous revoir, rendez-vous est pris pour l’emporter vers un nouveau voyage, à moi de me renouveler ! Un voyage statique puisqu’il sera pour elle celui de la captivité !
J’invente donc une histoire un peu mêlée de sa propre vie et d’une totale fiction inspirée des événements rennais de la semaine. Pour le matériel… je récupère l’indispensable, une chaîne à maillons noirs capable des bruits les plus empreints de notre imaginaire carcéral, 2 cadenas et surtout une multitude d’éléments qui doivent la mettre en situation de rage, de folle impatiente et l’amener à me maudire de mes stratagèmes machiavéliques, et plus ils seront nombreux et plus il faudra invoquer St Léonard pour opérer sa délivrance. Tout est en place dans le donjon, avec en évidence la boite du sésame convoité, je valide la longueur de la chaîne idéale pour rester hors de portée de la liberté. Reste plus que la longue attente jusque l’annonce de sa présence sur le seuil de la porte.
« Ding ! Dong ! »
Dans cette soirée à peine entamée, une ombre illumine la nuit, elle est là !
L. resplendit, et ce n’est pas l’attente insupportable qui pourrait calmer mon emploi de superlatifs, elle est très apprêtée, parfait maquillage de séduction, long cheveux noirs, belle comme dans mon souvenir, décolleté offrant sa généreuse poitrine, ses jambes sont gainées de noir et de longues bandes élastiques remontent vers ses cuisses à l’abri des regards vers un hypothétique corset ou porte-jarretelles. Le stationnement est relativement aisé à très courte distance de ma porte et c’est une chance, car j’aurais pu l’attendre le reste de ma vie, dans le cas ou un « facheux » aurait croisé sa route. C’est un appel au vice qui se présente à mon entrée.
Invitée à prendre place, les bulles servies nous rapprochent et nous font nous retrouver, mon regard n’a de cesse que de s’égarer dans le couloir pigeonnant fermé par son cardigan cintré. Il me faut taire l’énoncé du plat servi sous l’éclairage du bougeoir à trois branches, car ma mémoire ne saurait en décrire le détail et surtout, ami lecteur, il ne vous est pas nécessaire que je vous le conte par le menu, il y a mieux à dire et décrire.
Dans l’escalier je fais acte de précédence, je monte devant elle tourne au demi-étage, et commence l’ascension des 8 dernières marches dressant l’oreille. J’entends qu’elle pose le pied sur la 1ère marche pour quitter le demi-pallier.
Moi « Non ! » Je me suis vivement retourné, elle est toute surprise « Non ! Vos épreuves commencent ici » Je pose mon index sur son plexus. « Veuillez monter les dernières marches à genou ! » L. sourit, ça y est le jeu commence, sans se départir de son caractère contradicteur « Je n’ai vraiment pas adopté la bonne tenue pour marcher à 4 pattes » Mais L. s’exécute, nous entrons dans le donjon. La partie est lancée.
Je précise d’un ton ferme « Nous savons tout de vous, nous suivons votre parcours depuis la capitale en fait, tous vos faits et gestes sont suivis, vous êtes sur écoute depuis des mois ». L. se demande ou je veux en venir « Vous avez il y a quelques mois offert vos faveurs à une personne détentrice de l’autorité en la qualité d’un commissaire de police, ainsi vous avez réussi à soudoyer un fonctionnaire de l’état, ne niez pas ! Nous savons tout ! » L. se confirme maintenant dans le fait que le peu de son passé qu’elle m’a révélé va être utilisé pour construire l’histoire de la soirée.
Moi « Je me présente, je suis le directeur du centre de rééducation, j’ai lu vos états de faits, ils nous ont révélé que vous aviez voulu infiltrer les services de police pour aider les réseaux mafieux de la capitale, le grand banditisme, les narcotrafiquants » L. ne dit rien, portée semble-t-il par la pièce que je lui livre. Je la pousse rudement en dehors du coin « Vanille » depuis l’entrée vers la partie dédiée aux sévices et autres pratiques contraignantes. Nous sommes maintenant dans le parc d’attraction, pour ceux qui n’auraient pas encore connaissance de ma tanière, il s’agit tout simplement d’un donjon fort agrémenté de mobilier BDSM.
Moi "La capitale n'a pas réussi à vous prendre au collet, et donc vous avez perpétué vos activités pour faciliter les agissements du milieu du banditisme, mais ici vous êtes à Rennes. Il y a 3 jours des hommes ont ouvert le feu place Kennedy, il n’aura fallu que quelques heures à nos services pour arrêter les 4 protagonistes de l'affaire, on ne badine pas ici, ou plutôt si ! Moi ! Je "Badine", mais l'action est différente, tenez-vous le pour dit et préparez vos fesses "
Au sol, je saisis la chaîne accrochée au pied de la croix de St André par un cadenas déjà fermé et dont la clef est à l’abri dans ma poche. Au bout de la chaîne un autre cadenas attend. Je fais un tour complet de sa cheville gauche avec une dizaine de maillons et referme le cadenas accroché en bout de chaîne sur un maillon au plus serré de l’autre côté de sa botte. Je retire la clef du cadenas. Prise comme un oisillon avec un fil à la patte, même se sauver en enlevant la botte est impossible car le bracelet de cheville constitué par la chaîne est trop serré.
Moi « Regardez bien cette clef ! » L. m’observe m’éloigner de dos, la clef bien en évidence relevée à hauteur de tête
Moi « Et maintenant ouvrez bien vos oreilles » Je l’espère attentive aux bruits. Je me dirige vers la sortie, j’ouvre la porte et je laisse tomber la clef dans le vide de l’escalier, un petit silence puis le bruit de la clef 2 étages plus bas. Je reviens vers elle. « Voilà plus aucun moyen de vous libérer hormis retrouver l’autre clef cachée ici dans le donjon, et sur laquelle il va falloir mettre la main pour vous tirer de ce mauvais pas, car nos intentions à votre égard sont claires, nos services ont choisi de vous épargner les 2 ans en maison de redressement qui sont retenus contre vous, à condition !... Que vous travailliez pour nous »
Je saisis L. dans mes bras et commence à relever sa jupe, tiens ! Elle a les fesses nues, c’est donc un collant ajouré. Je lui administre une gentille fessée et continue à la convaincre qu’elle a tout intérêt à collaborer.
Moi « Nous cherchons à vous retourner, il va sans dire que le test de ce jour auquel vous êtes « Soumise » est conditionnel à votre libération, si vous réussissez à vous en extirper, c’est que vous avez les compétences requises, vous travaillerez donc à infiltrer le milieu de la prostitution pour nous. Surveillance, observation, rapport à nous remettre, mais… interdiction de pratiquer. Votre site de travail sera le trottoir, protégée par nos services et payée par les deniers de l’état, une retraite rêvée n’est-ce pas ? »
Moi « Voilà maintenant c’est à vous de jouer, la longueur de votre chaîne vous autorise largement à repérer la solution qui est devant vos yeux, à hauteur, non dissimulée, il vous suffit de parcourir la pièce. Par contre le sésame que vous cherchez est hors d’atteinte, votre rayon d’action est insuffisant pour réussir à poser la main sur la clef recherchée »
Je m’assieds dans un fauteuil de cuir pour profiter du spectacle. Intéressant de suivre le cheminement qui va conduire notre coupable agent du milieu mafieux à trouver comment résoudre son problème.
Moi « Vous devez trouver le double de la clef perdue, elle est là ! A votre vue certes, mais quant à dire à votre portée, c’est une autre affaire… votre chaîne restreint vos possibilités »
L. « Je vois pas ! Ah ben ! Je dois être belle ! » Tout en regardant sa cheville enchaînée.
Moi « Si vous voulez rester chez nous, notre maison de redressement vous est acquise, je vais par contre moi vous abandonner, car j’ai fort à faire »
L. « Un truc en vue ! C’est gros, C’est petit ? C’est en haut, c’est en bas ? »
Moi « A hauteur, ni gros ni petit, visible vous avez déjà posé les yeux dessus, là bien en évidence ! »
L. « Ben ! C’est toujours comme ça ! » Elle pressent qu’elle a devant les yeux l’objet qu’elle cherche et çà l’agace.
L. « Vous allez kiffer l’expression donner sa langue au chat ». Mais de mon côté j'ai bien l'intention de l'amener d'une manière ou d'une autre vers la solution.
L. est incrédule, je vois son regard qui arpente les espaces du donjon, elle ose aller au maximum autorisé par la chaîne, pose les yeux sur ce qu’elle cherche mais ne prend pas conscience que ce petit panier de bois tout simple en fond de pièce contient de quoi résoudre son problème.
Moi « Ah ! On a brûlé un instant ! Maintenant c’est plus froid ! »
En haut, en bas, à gauche, à droite son regard s’égare, et puis revient sur le panier posé sur un mini tabouret. Curieux que ce soit là ! Loin derrière les instruments de tortures. L. s’aventure au plus loin de la distance autorisé par son cordon ombilical relié à sa cheville et se dresse sur la pointe des pieds.
L. « Ah ! Il y a des clefs à l’intérieur ! » On a franchi un pas, entrevoir que le panier contient l’objet convoité est encourageant. Elle s’allonge au sol pour obtenir le maximum d’allonge en direction du tabouret et constate qu’à peine 60 cm manquent à son rayon d’action pour arriver à ses fins. Un objet ! Il faut trouver un objet pour faire relais à sa capacité de préhension.
Sa recherche est de courte durée, de gauche à droite sont rangés… mon fouet, mon Cat-O-Nine, mes martinets, mes cravaches, mes paddles et puis… 3 bâtons ainsi qu’une barre d’écartement de chevilles, c’est sur cette dernière que se porte son choix
Si de mon côté j’avais imaginé qu’un simple bâton suffisait en le glissant sous l’anse du panier pour le soulever et le rapprocher, la solution choisie par L. n‘en est pas moins efficace, l’écarteur est muni d’anneaux à chaque extrémités, sans avoir l’efficacité d’un crochet, l’anneau se montre parfaitement opérant et voici qu’elle s’évertue à rapprocher le tabouret sans faire tomber le panier.
L’instant est à mettre au compte des moments les plus appréciés de la soirée. Mon inestimable petite mutine, dans sa quête du St Graal, est écartelée entre un panier hors de portée et une chaîne la reliant à une croix de St André. Et pour réussir dans cette épreuve, elle est allongée par terre et son bras est étiré vers son but ce qui entraîne une jupe largement relevée sur ses cuisses, ma vue est imprenable et je m’autorise à quelques clichés voyeuristes.
C’est ainsi que rapproché de 40 cm le panier se trouve tout de suite en main de L. pour lui révéler la fourbe manigance que j’avais ourdie pour lui compliquer la tâche. Trente et une clefs de cadenas sont dispersées dans le panier. Au sourire affiché par ma petite délinquante j’aurais dû quitter mon état de jubilation. Une multitude de clefs à essayer avant de trouver la bonne, je vais pouvoir la déconcentrer, ironiser, me moquer et la voir perdre patiente.
Au lieu de ça ! Elle affiche un sourire… étrange !
L. « C’est celle-là ! »
Une seconde, une seule seconde aura suffi à comprendre comment elle a pu trouver si vite. Plus tôt, quand je m’éloigne de dos en montrant la clef que je vais jeter par-dessus la balustrade, L. a eu tout loisir de la voir, de mémoriser, d’en faire une image gravée dans sa mémoire. Et là, tout bonnement elle vient de saisir la seule clef dont la partie qui reste extérieure à la serrure, celle-là même que chacun d’entre vous pourrait manipuler entre pouce et index, est de couleur noire.
Pourquoi ne me suis pas mis dans la situation de chercher la clef avant de monter ce scénario ? Il était évident que de se servir du seul cadenas à clef noire, résumait l'identification du dit objet à une fraction de seconde, on ne m’y reprendra plus ! En spectacle comme en jeu, la base c’est… la pré-pa-ra-tion !
L., de son côté jubile, elle ne diffère pas plus son élargissement et un genou au sol l'autre replié à la verticale, elle saisit le cadenas sur sa cheville et déclenche son ouverture. La voici qui passe de captive à libre, alors que je suis en mode frustration. L'impatience et l’agacement causés par les essais clef après clef que j'avais imaginés se sont vus réduits à néant et s'est un crève-cœur d'être passé si prêt de la voir se dégonder de ses humeurs naturelles.
Quoiqu'il en soit, il me faut bien reconnaître qu'elle a réussi l'épreuve avec brio, force est de constater que les qualités requises pour la mission sont présentes chez L.
Moi " Bienvenue dans les services secrets de la BADASS « Brigade Anti Demi-mondaines et ASphalteuses Sauvages ». Pour nos services votre pseudo sera Éva. L’arrivée d’un nouvel agent de la BADASS, une nouvelle naissance, Éva, l’évanescence symbolique d’un service occulte. Considérez que vous êtes une nouvelle recrue qu'il va falloir mater, votre formation commence à l'instant et croyez-moi je vais me charger avec délectation de cette tâche »
C’est le moment de profiter des subtils artifices féminins qui mettent en valeur le corps de L. Alors qu’elle est face à moi, je fais glisser mes mains le long de sa ceinture pour atteindre la fermeture éclair de sa jupe, et chariot d’abord, puis vêtement glissent à terre. Je pose la jupe sur le prie-Dieu. De ses bottes de cuir s’arrêtant au genou monte un collant au pouvoir mimétique puissant, en effet, ce confondant trompe-l’œil imite à la perfection l’image des bas soutenus par 2 jarretelles sur le devant de ses cuisses, je suppose que l’arrière est configuré de la même sorte.
Je m’occupe alors de libérer le haut, je saisis son chemisier noir à la taille et le remonte par-dessus les épaules doucement en profitant un maximum de la vision offerte par son décolleté. Le chemisier rejoint la jupe sur le prie-Dieu. Maintenant libérée de l’inutile, la voici en pleine flamboyance.
Et le retour en contact avec le corps de L. est un privilège qui ne laisse pas de marbre, je suis excité et cependant je dois prolonger le jeu de rôle amorcé. Reprise de mes avances ciblées et conquérantes.
Moi « Je vais devoir vous apprendre les bases qui font une bonne prostituée, les règles du tapin, car à partir de maintenant vous êtes une petite pute » et ma phrase s’accompagne de 3 gifles de ma main droite. « Une bonne tapineuse se doit de comprendre qui est son mac’, vous êtes maintenant dans la tenue parfaite pour vos futures activités de bonne racoleuse » Nos bouches se mélangent, ça devient fougueux. L’un comme l’autre nous sommes bien échauffés, la suite semble s’orienter vers autre chose que de la récitation de haïkus japonais dans une ambiance de théâtre No.
Car c’en est trop pour tous les deux, le jeu n’a que trop duré, place à l’action. Je descends à ses pieds, je n’ai habitude de ce comportement que pour la bonne cause, et c’est en prenant pour cible sa culotte de dentelle noire que mes mains s’évertuent à faire glisser un élastique rebelle à mes intentions. L. comprend que mes entreprises au sol n’ont d’autre but que de la débarrasser du dernier rempart à sa pudeur. Par le bruit métallique entendu au-dessus de moi je sais qu’elle a saisi, pour mieux assurer son équilibre, une des 4 chaînes qui suspendent le sling au plafond. Elle facilite son déshabillage en levant une jambe puis l’autre. Opération culotte-break achevée ! Je me relève en griffant ses collants, je retrouve sa bouche et nos langues pactisent à grands renforts de succion. Je cesse brutalement pour ne pas lui offrir une pause et je la fais pivoter sur sa droite sans ménagement, elle est maintenant placée face au sling et encadrée par les 2 chaînes de jambes de chaque côté de ses épaules, je descends ma main gauche à l’horizontale sur son ventre et de la main droite pousse brusquement ses épaules en avant pour qu’elle tombe à plat sur le cuir. C’est un peu la panique, elle saisit de justesse les chaines d’épaules du sling et couche sa tête de profil pour éviter au nez de se fracasser sur le collet. C’est un déchainement de cliquetis de maillons pris d’une crise d’épilepsie, le sling est balloté comme un rafiot en pleine mer sous une tempête. La position est idéale pour lui libérer la poitrine des 2 coupes de dentelles qui la retiennent, je m’y atèle mais… encore quelques secondes perdues à m’acharner sur les 2 foutus crochets d’attache du soutien-gorge. Qui a inventé le seul truc qu’une femme dégrafe en 1 seconde lorsque le meilleur mécanicien du monde y passe 5 de plus ? Y’a pas une discrimination flagrante là-dedans ?
L. n’est n’a plus besoin des mots, elle suit, elle subit, elle encaisse les injonctions mécaniques et les ordres donnés, elle obéit au doigt et à l’œil, que se passe-t-il dans son esprit ? Est-ce le grand chambardement ? Une apathie attentiste et résolue ? L’appel de son masochisme qui résonne à son esprit ? Je me dois de le lui demander dès que l’occasion se représentera.
Je glisse mes mains vers ses fesses et commence une lente fessée, d’abord d’une main, puis des 2 mains alternées, puis de plus en plus vite et surtout… de plus en plus fort, pas de réaction répulsive. Qui ne dit mot, consent !… Et qu’on sent… acquise à une poursuite de la pratique. Il me plait à faire ce qui lui plait à subir !
Voilà ami lecteur ! La partie de « ça va, ça vient » qui s’en suivit n’est pas à mettre à la connaissance de vos yeux chastes, chacun ayant connaissance des teneurs brûlantes des ébats amoureux, chacun saura s’inventer les détails croustillants qui ont su nous étreindre.
Désolé ! Si suite se voit écrite… elle n’aura qu’une lectrice !
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Une semaine était passée, et l’envie ne me quittait plus. Mon corps tout entier réclamait ce plaisir que je lui refusais, me hantant à chaque instant. La journée, mes pensées dérivaient sans cesse vers l’idée de céder, de sentir ce frisson ultime me traverser. Chaque mouvement, chaque frottement devenait une tentation insoutenable. Il suffisait que mon jean effleure mon sexe pour qu’une vague de chaleur me traverse. Mon esprit s’égarait, et dès que j’étais seul, mes doigts retrouvaient leur chemin, glissant lentement sur ma peau brûlante, déclenchant une nouvelle montée d’excitation à chaque contact.
Chaque session d’edging devenait un rituel enivrant et insupportable à la fois. Dès que je m’autorisais à me toucher, une vague de chaleur me submergeait. Mes doigts se refermaient autour de mon sexe durci, glissant lentement, explorant chaque millimètre de peau sensible. L’excitation montait rapidement, mes reins se creusaient sous l’intensité du plaisir. J’atteignais le point de non-retour en quelques minutes à peine… puis je stoppais net, haletant, le souffle court, sentant mon sexe trembler sous l’onde de plaisir retenue. L’air autour de moi était chargé d’une odeur entêtante, témoin silencieux de ma frustration. Chaque soupir s’échappait de mes lèvres, lourd de désir et d’attente.
À chaque fois, c’était plus difficile. L’envie de continuer devenait une obsession. Mes doigts frôlaient mon gland hypersensible, jouant avec la tension, savourant chaque picotement de frustration. Parfois, je relâchais un peu la pression… juste assez pour sentir le pré-cum perler lentement, marquant ma peau d’une trace brûlante de mon désir inassouvi. Je n’en pouvais plus, et pourtant, je ne pouvais pas arrêter ce jeu. Plus je m’en privais, plus l’envie devenait insoutenable. Mon souffle devenait saccadé, ponctué de gémissements étouffés, trahissant le combat que je menais contre moi-même.
Chaque moment de la journée était une lutte constante. Il suffisait que je croise une femme séduisante, que mon esprit s’attarde sur une image suggestive, et immédiatement, mon corps réagissait, me poussant à chercher un moment seul pour céder à une nouvelle session. Chaque caresse était une torture délicieuse, une montée d’adrénaline sans fin. Dans ces moments-là, ma respiration devenait rauque, brisée par l’intensité du désir qui montait en moi, me consumant lentement.
Mais la semaine suivante, tout allait se compliquer avec l’arrivée de cette femme et de ses défis virtuels sur Obedient App…
💦 Allais-je céder ? Ou allais-je prolonger encore cette délicieuse agonie ?
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lucie sevel porte le nom de famille de sa mère | elle ne veut rien avoir à faire avec son père | quand elle parle de lui elle dit juste | « je ne m’entend pas très bien avec lui | avant c’était pire maintenant ça va un peu mieux | mais - - - » | et elle ne finit pas sa phrase et ses
silences ignivomes
disent tout | quand lucie sevel se présente | elle tend la main et | dit « bonjour je m’appelle lucie | sevel » | ce n’est pas vraiment vrai | enfin si un peu tout de | même | sa maman ne l’a pas appelée lucie | mais lucie n’aime pas son | prénom | et elle a dit que | dorénavant | elle s’appelle lucie | parce qu’elle est fatiguée d’expliquer que le prénom sur | son passeport | (lucie n’a pas de carte d’identité) | est un prénom épicène | plutôt que de dire à chaque fois | « oui je m’appelle l | et chez moi c’est autant un prénom de | meuf que de gars » | elle a déci | dé | que lucie c’était bien
lucie aime participer à la vie
quand elle était plus jeune lucie faisait de l’athlétisme et elle était douée elle bondissait trois fois un deux trois juste comme ça et elle allait loin elle avait fait quelques record régionaux et avait eu des médailles des qui brillent et qu’on donne au niveau national pas en france elle précisait mais dans le pays où elle était née et qu’elle n’avait pas décidé de quitter
lucie sevel se dit parfois « au commencement était un déménagement »
les volets qui filtraient la lumière les longs dimanches d’été
zinzinulant quand elle aimait
que peut la lumière ?
la lumière n’éclaire pas elle donne juste à voir
la chaleur est toujours là quand on s’aime
et quand l’amour part
la lumière est froide et hâve
la lumière n’éclaire pas elle donne juste à voir
mais pas de chaleur
c’est toujours l’hiver
lucie sevel pour réchauffer les cœurs a | appris à faire du pain | au four le | pain gonfle dans une marmite en pyrex | lucie préfère pyrex aux autres marques qu’elle | estime | labiles | le marketing sait faire croire | et lucie croit | et l’odeur du gluten transpire une | joie de participer à | la vie | et les chats dehors courent | parce qu’ils | savent que le pain chaud | réunit la famille | et | que s’ils sont | suffisamment mignons ils | auront assez de câlin pour tenir quelques heures tout seul
quand la lumière éclairait — avant — on a aimé le corps de lucie et on a aimé lucie on a doigté ses orifices et on a vu ses yeux tout noir de pupille (sans savoir de quelle couleur était l’iris) devenir tout chauds et on a cru que c’était ça l’amour enlever une culotte et manger du pain chaud que lucie venait de couper avec un long couteau à la lame noire
il faut encore dire la mémoire
des restes réfractaires
à son corps défendu par ailleurs et sans aucun doute suggéré lucie n’est pas du matin ~ elle dort nue la fenêtre grande ouverte et cherche à tâtons l’agonie de l’aurore pour retrouver la couette et encore et mais surtout et s’emmitoufler se camoufler se calfeutrer dans une chaleur que le soleil n’offre pas et que l’absence de corps à côté d’elle ne donne plus
lucie parfois reprend son monologue dev | ant le miroir | « lucie » | ça sonne vra | i & solide mais c’est tout neuf | c’est manufacturé par une ar-mée | de neurone qui barète pour sa propre santé | mentale | même que dire c’est s’approprier | avant de décider qu’elle | s’appelait lucie | est-ce que lucie existait seulement | la question colle et | lucie comprend que c’est un point de chaleur | · |
lucie ne
et parfois pourtant si
lucie n’a pas le français en langue maternelle | mais elle avait appris| à sa maman & son papa le français quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand | quand |
peut-être vaut-il mieux ne pas le dire
lucie parlait néerlandais quand elle est née ~ enfin juste après ~
solipsisme d’allophone
van utrecht naar montpellier
of gewoon in de buurt
lucie avait appris à / penser / se réfugier / aimer / faire ses lacets | près de la rivière à la | rive blessée | sa maman enseignait la | musique et son | papa | enchainait le travail non rémunéré et dégradant | mais à la maison | on ne le disait pas | le réel portait un cache-sexe | dire est un espace d’adulte | comme choisir les prénoms | les enfants eux | vont à l’école | et jouent à avoir peur des | maths | et apprennent leurs dragons | même si des fois | le soir papa venait dans la chambre | et disait qu’il y avait plus à savoir | que les dragons | et il apprenait à lucie | qui n’était pas encore lucie | qui n’était pas encore sevel | qui n’était pas encore lucie sevel | que la syntaxe était une abomination | que la grammaire était une ingérence de la norme dans la pensée | il | ne lui disait pas | comme ça | il lui disait | on place généralement u | ne virgule avant les coo | rdonnants et ou et ni lo | rsqu’ils introduisent des phrases ou des groupes de mots qui expriment une conséquence un renchérissement ou une opposition | c,est chiant | lucie choisit d’utiliser | les virgules | en apostrophe
le corps aussi se dit en syllabe
avec la langue qui
avec les lèvres qui
avec les gestes qui
fragmentés
assemblés
accompagnent
la bouche
la fièvre est une autre chaleur
lucie | lucie sevel n’aime pas | choisir | elle ne sait pas bien où mettre les mains et les mots | parce qu’elle sait bien | que choisir c’est couper | c’est sauter | c’est verrouiller | c’ | est emprisonner | c’est le ventre qui demande une prise pour une perte | lucie n’a pas lu kierkegaard | elle | ne | sait | pas | q | u | ’ | i | l | a écrit que le choix est un effroi un vertige que le choix | c’est renoncer aux pulsations | et quand | elle doit choisir | elle | sent la gravité qui lui rit à la gueule | (pardonnez l’afféterie) | et
quelqu’un a dit
je t’aime
c’était | sans doute | sans faire exprès | c’était | tout bas | à peine | oui à | peine | peine | peine | peine | peine | peine | peine | murmuré | juste | dit dans l’oreiller | juste pour faire frémir la taie | ils étaient | nus | les deux et il fallait au moins | habiller | le silence et puis | le mot a dû glisser | un reste de feuille morte | là | qui tombe | et tac | schlack | blaaaaack | oui | comme ça | la faute à pas de bol
lucie a réciproqué
c’était sur l’autoroute dans la voiture que lucie a vécu sa définition de l’amour quand ses parents ont dit parce qu’il était temps et que les enfants savent quand des fac-similés prennent la place des
aveux de contrefacteur
à elle et ses deux sœurs sur l’autoroute a7 entre nimes et lyon maman a dit « papa et moi nous ne nous aimons plus nous allons choisir de vivre il faut toujours choisir de vivre mais nous aimerons d’autres corps mais nous embrasserons d’autres jours mais nous ne serons plus les deux ensemble pour vous écouter il faudra répéter répéter ce que vous racontez il faudra décorer une autre chambre il faudra diviser vos livres et vos jeux pour ne pas vous ennuyer dans une maison ou dans l’autre »
et sur une banquette arrière
lucie a appris que
les fraises dans des barquettes de polyesters
ne suffisent pas
à colmater
les creux qui forent
des trous entre les gens
au demeurant
il faut si peu
pour avoir peur des voitures
et il faut tant
pour vouloir s’assoir à l’avant
même quand des mains
même quand les bouches
même quand les draps
même quand les yeux
même quand la chaleur
inonde
enfin
le corps
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J'ai très envie de voir ton petit Cul de Chienne bordé de cette culotte noir en dentelle entrouverte sur ta peau que je t'ai offert à notre première rencontre. Je te veux cambré, à quatre pattes, les jambes écartées.
Tu t’exécute sans rébellion, toujours aussi docile. Tu t'installes au bas du lit et tu écartes tes jambes offrant une vue délicieuse sur ta Chatte déjà chaude à l'idée de ce que tu peux subir.
Je m’accroupis pour venir glisser ma langue sur celle-ci qui s’entrouvre déjà de désir. J'entends tes gémissements de Chienne à l’affût de la moindre caresse de ma langue qui peut maintenant s'introduire tellement tu la désir.
Je viens ensuite devant toi, et je m'assois sur le lit, puis je te t'ordonnes de sucer comme une bonne Salope, la queue de mon double gode ceinture installé sur moi.
Des vas et viens incessants se font sentir dans ta bouche gourmande, et tu es toi, de plus en plus affamé.
J'aime te voir t'appliquer, t'activer à la tâche. Je peux même apercevoir ta queue dégoulinante, coulante à souhait comme j'adore tant la voir.
Je décides de me relever et revenir ensuite derrière toi. Délicatement dans un premier temps je te pénètre la Chatte sans que tu ne puisses rien y faire. D'ailleurs as tu seulement l'envie du contraire.
Mes mains sur tes hanches, je te prends. Tout doucement, puis doucement, puis plus vite, puis de plus en plus fort.
Te sentant si offert, je décides cette fois de te percuter, te défoncer, te piner, et je t'entends gémir à la fois de douleur et de plaisir sous mes coups de reins de plus en plus rapides. Pendant que je t'ordonnes de te branler sans jouir. Juste ta queue qui déborde, qui dégouline et toi qui me supplie tant tu veux jouir mais sans y avoir droit. Hummm.
Tu es si beau lorsque tu m’appartiens !!!!!...................
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Récit fictionnel le retour..
Thème : une soirée dans un donjon privé
Au moins 4 personnages
Aucune contrainte littéraire
Ma tête repose sur sa jambe. J’aime sentir la texture de son jean, douceur de ce tissu noir dont je caresse ma joue par de doux mouvements.
Sa main, posée sur ma tête, joue avec mes cheveux et descend jusque dans mon cou.
Ma respiration est calme, apaisée. Elle suit celle de SweetS que je devine en regardant son dos. Il est aux pieds de sa Maîtresse, LadyM.
Par de beaux mouvements, il caresse ses pieds, les masse, les chérit.
Je suis si bien là, à ma place, aux pieds de mon Monsieur. Mon dos et mon cul chauffent encore de ce qu’ils viennent de vivre.
Le ronron des voix me berce, Je m'endormirais presque.
Mon cerveau tourbillonne encore de sensations. Que ce fut bon…
Ce soir, j’ai rejoint mon Monsieur chez lui. Je savais que la soirée serait spéciale. Il avait dit vouloir me présenter à une de ses amies de longue date. La fameuse LadyM. Des bribes de leur complicité m’étaient parvenues au travers de nos différentes conversations. J’allais enfin la rencontrer ! J’étais très impatiente !
Mon Monsieur avait préparé une tenue pour moi. J’aime tellement qu’il le fasse. J’aime revêtir ce qu’il choisit avec tant de soin. Des bas couture noirs, un magnifique porte-jarretelle, un ensemble de lingerie que nous avions acheté ensemble (hum quel délice ce moment..) et une veste de smoking, longue, couvrant mes fesses et largement échancrée devant. Et des talons, évidemment.
Juste cela.
Agrémentée de notre collier, reliée à mon Monsieur je suis, par une laisse de chaîne qui cliquette au moindre geste.
“Un détail ma Louve, culotte par-dessus le porte-jarretelle”.
Ah, d’accord Monsieur…la soirée s’annonce vraiment bien…
LadyM nous a invités chez elle.
SweetS, son soumis, nous invite à entrer. Il porte un magnifique anneau métallique en guise de collier, ainsi qu’un boxer en dentelle. Superbe corps que le sien, athlétique, sculpté, légèrement hâlé. Un regard brillant et malicieux.
Une traction de ma laisse me rappelle à l’ordre. Sourire. “Pardon Monsieur”.
SweetS nous installe dans ce petit salon où je reprends mes esprits en ce moment. Fauteuils confortables, ambiance feutrée. Il nous propose des boissons puis vient prendre place aux pieds de sa Maîtresse.
Les deux amis de longue date discutent, se détendent…Moi je n’ai d’yeux que pour ce qui m’entoure : le mobilier est superbe. Bois et métal, une croix trône au centre de la pièce. Elle est magnifique. Imposante, robuste, austère.
Un crochet au plafond, un râtelier où je vois pendre des lanières sans pouvoir distinguer les détails.
Atmosphère propice aux jeux, pour laisser le perversion de nos dominants jouer avec nous.
Une traction sur ma laisse me fait lever les yeux vers Monsieur. Son regard brille. J’y vois ce délicieux moment où les choses commencent à basculer. Ma respiration s’accélère.
Il emprisonne mon regard du sien et me guide vers le centre de la pièce. Des mains capturent les miennes alors que je vois ses pupilles se dilater. Je me retrouve menottée en un instant. Bruits de chaîne, de poulie, me voila suspendue au crochet.
Sa main glisse sur mes fesses, les caresse, les presse. Et je sens ma culotte glisser à terre. Toujours respecter les consignes en matière d'habillement !!
Une musique forte envahit la pièce. De l’opéra. Musique inconnue pour moi. L’air vibre de ces voix.
Un murmure dans mon oreille : “sois sage, ne bouge pas…et profite”.
Et je perds la vue, un bandeau recouvre mes yeux.
Je suis prête. A quoi je ne le sais pas. Mais mon corps est tendu, dans cette position à la limite de l’inconfort. Mes pieds ne reposent au sol que sur la pointe des orteils. J’essaie de ne pas bouger. Mais que font-ils ? Je sens que ça bouge autour de moi, que des choses sont déplacées.
Et le premier impact tombe….Enfin ! Je reconnais la sensation du martinet. Mon dos, mon cul. Les impacts chauffent ma peau. J’aime cette douce brûlure. Elle me rassure, m’emmène doucement à me connecter avec mon corps. Que c’est bon.
Progressivement l’intensité monte. Et fluctue. Plus fort, plus doux. Dos, épaules, fesses, cuisses.
Une claque magistrale sur le cul me rappelle à l’ordre. “Ne bouge pas !” Difficile, Très difficile.
La chambrière fait alors son apparition. La musique est toujours aussi présente mais je sens les respirations s’intensifier.
Les coups ciblent d’abord mon dos. Ca pique. Et ça s’insinue plus en profondeur. Je suis la trajectoire sous ma peau. Doux lâcher prise que ce moment où mon cerveau se tait et me laisse regarder mon corps de l’intérieur. Impact, sensation profonde. Impact, je descends. Impact, je ressens. Impact, j’oublie tout. Impact, je suis vivante. Impact, j’aime cette douleur qui m’appartient. Impact…
Aille, c’est quoi ça ? Alors que la chambrière s’acharne à laisser des traces sur mon cul, une lanière vient de cingler ma poitrine. Je comprends alors. Ils ont décidé de jouer à quatre mains !
Devant, derrière. Les impacts pleuvent. Je tourne, je vire. Incapable de rester sage et immobile. Ils sont partout, prennent possession de tout. Mon cerveau a foutu le camp. Je ne suis que sensations.
Mon bandeau m’est arraché. Et je le vois. Mon Monsieur. Son regard est noir, intense, possessif, animal…bestial. Il se délecte de me voir ainsi et il veut voir le plaisir que je prends sous leurs coups, sous leur sadisme à tous les deux. Quelle intensité ! quelle possessivité à l’état brut ! pas besoin de mots, je lui appartiens complètement, il me possède. Chaque partie de mon corps, de mon âme lui est reliée par cette lanière en cuir qu’il fait jouer sur ma peau, et qui m’imprègne en profondeur.
Je chauffe de tous les pores. Je brûle.
Ivre de sensations, mes mains sont détachées. Je suis placée à quatre pattes devant mon Monsieur. Il se dresse devant moi de toute sa hauteur..
“Lève la tête, ouvre la bouche, tire la langue”. Ses doigts prennent possession de ma bouche. Je les suce, les lèche, les aspire. Ses mains agrippent mes cheveux, sa queue a pris la place de ses doigts. Sur mes lèvres, ma joue, dans ma bouche.
Alors que je prends un plaisir incroyable à jouer avec sa queue, on écarte mes jambes. SweetS se glisse sous mon corps. Une main vient appuyer sur mon dos pour que j’abaisse mon cul sur son visage et je sens alors sa langue glisser sur ma chatte.
Sensations exquises de mon corps stimulé à ses deux extrémités.
Monsieur baise ma bouche comme il sait si bien le faire. Il prend son plaisir, tout en connaissant parfaitement celui que j’y prends également. Il sait que j’aime qu’il me brutalise, qu’il me maltraite ainsi.
Je perds pied. Je sens que ça monte. Mais ça reste bloqué. C’est insupportable. Encore, plus loin, il m’en faut plus..
Les coups de langue de SweetS vibrent, sont saccadés.
Fouet. Je sens le fouet de LadyM s’abattre sur mon dos. Je comprends alors qu’elle fouette son soumis pendant qu’il me donne ce plaisir.
“De quel droit tu te retiens petite salope ?” “Qui t’a autorisé à décider d’en vouloir encore ?”. “Lâche tout, maintenant !”.
Et comme une digue retenant mon orgasme depuis des décennies, la barrière saute, cède…Je suis emportée par mon plaisir, le fouet cinglant mon cul, la chatte torturée par une langue experte et la queue de Monsieur inondant ma bouche.
Je tremble, je largue les amarres. J’abandonne tout. Je vis. Je suis là et je ne suis plus là. Vivante, enfin, à mort.
Mes yeux se ferment. Ma joue caresse la douce texture de ce pantalon noir. Sa main parcourt encore mes cheveux. Je suis moi, à ma place, à ses pieds.
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Après des mois de frustration, mon envie de jouir était devenue si ardente que je n'ai pu résister de supplier mon Maître de me libérer de cette souffrance et de cette excitation.
Ce sentiment paradoxe troublant ne faisait qu’accentuer l’abondance de ma mouille, qui ruisselait lentement le long de mes cuisses.
Durant ces mois de silence et de tension, je luttais, tant bien que mal, contre l’élan irrépressible de glisser ma main sur ce bouton, chargé de pouvoir, de promesses, de bienfaits. Une seule caresse aurait suffi à me faire imploser. Mais mon Maître, depuis longtemps, en détenait l’autorité.
Prisonnière de sa domination, mon dévouement ne cessait de croître, m’abandonnant peu à peu au supplice de ses désirs et à la cruauté exquise de son sadisme.
Je me souviens… lorsque j'était à l’université, en pleine période de révisions, avoir ressenti une immense peur de l'echec m'envahir, un doute profond sur mes capacités scolaires. Le stress me consumait, j’avais besoin de l’évacuer… de m’en délivrer.
Mes doigts agrippèrent le bureau avec violence, et ma concentration s’envola, venant se poser sur ce seul point d’ancrage capable de m’apaiser : ce bouton, cette zone, cette clé vers un réconfort intense.
Ce fut là, pour la première fois, que je ressentis une libération aussi soudaine qu’incontrôlée : un orgasme puissant venant me câliner brusquement.
Mon corps tentait de se libérer de l’emprise que mon Maitre a instaurée. Des vagues d’émotions incontrôlées venaient balancer cette autorité, ce contrôle, sans que je ne puisse résister.
Cette expérience, aussi troublante qu'excitante, était revenue me titiller quelques fois dans l'année.
Je me souviens avoir ressenti un grand changement lorsque j'ai reçu une magnifique explication venant d'une femme admirable : "Debora Campailla".
Durant un live sur le thème de l'orgasme, nous avons abordé un point essentiel et pourtant encore trop peu abordé à mon goût : la relation que nous entretenons avec nos orgasmes.
Au fur et à mesure du live, Debora nous a demandé notre frein principal concernant notre relation avec nos orgasmes, les problèmes que nous pouvions rencontrer.
Alors je l'ai décrit en deux mots : "échappatoire et besoin". Puis j'ai expliqué :
"Mon frein principal est le fait d'avoir une relation très forte avec mes orgasmes. C'est une échappatoire pour extérioriser les émotions trop fortes : le stress, la joie, les peurs. Et ça impacte ma relation BDSM parce que je vis très mal la frustration / le denial / l'interdiction de jouir."
Elle a ensuite créé un texte à trous que nous devions compléter avec notre propre histoire, notre passé. Que je tiens à vous partager.
"Je me souviens que ma première expérience liée à l'orgasme a eu lieu à l'âge de 11 ans. À ce moment-là, je me sentais curieuse et je n'avais aucune perception de l'orgasme...
En grandissant, mon éducation sexuelle a été taboue et honteuse, ce qui a influencé ma perception de l'orgasme en le considérant comme quelque chose de mal et trop intime pour le vivre ou en parler.
Je me rappelle particulièrement d'une expérience marquante où j'étais en situation de stress dû à des disputes à la maison entre les membres de ma famille, ce qui a affecté ma relation à l'orgasme en le considérant comme une échappatoire et un moyen d'extérioriser et de ne plus entendre les cris, seulement les vidéos porno où les personnes prenaient du plaisir.
Aujourd'hui, je décrirais ma relation actuelle avec l'orgasme comme étant une addiction, un besoin, et je ressens que cela impacte ma vie quotidienne en me réfugiant constamment dans les orgasmes à la moindre émotion, alors que mes émotions peuvent se gérer autrement.
Si je pouvais changer une chose dans ma relation à l'orgasme, ce serait d'avoir un peu moins d'attache, car je crois que cela me permettrait de donner plus de contrôle à mon Maître sur mon corps, ainsi lui obéir comme il se doit, comme l'esclave que je rêve de devenir."
C'est à ce moment-là que j'ai compris.
Mettre en lumière nos propres difficultés permet de conscientiser notre passé, ainsi éviter les échecs qui nous freinent à devenir la meilleure version de nous-mêmes et faire de nos rêves une réalité.
Des larmes s'en sont suivies.
Mais une explication a tout changé.
Debora nous a expliqué que l'orgasme n'est pas le but à atteindre, un objectif à conquérir, une mission où la fin est plus importante que le chemin.
Le plaisir, quant à lui, est ce but, cette mission, cet objectif. Le plaisir ne se trouve pas uniquement dans la destination, mais dans le parcours que nous avons.
L'orgasme, tout comme notre plaisir, n'est pas une chose que l'on fait apparaître. C'est une chose qui est déjà profondément présent en nous, que nous choisissons ou non de faire ressortir. L'orgasme est intérieur, et nous avons la possibilité de l’extérioriser. Le réconfort ne se trouve plus dans le fait de l'extérioriser, mais dans le fait qu’il est déjà ancré en nous et qu'il nous accompagne partout.
Depuis ce jour, je n'ai considéré mes orgasmes comme un besoin, un but, et je n'ai ressenti ce désir de jouir que très peu de fois dans le mois. Le désir se trouvait avant tout dans l'idée de glisser ma main entre mes cuisses et de sortir mes jouets pour m'amuser sous l'autorité et l'œil aiguisé de mon Maître bien-aimé.
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Le la de Lola s'est lacé
De ces con tenus qui la saignent.
Le la de Lola est tombé
Des nus de leurs con seilles.
Le la de Lola fatigué
De ce qu'on prie mal en fait,
Et ravive mal La flamme de l'âme.
Le la de Lola veut rêver
Qu'un con tinu l'éveil,
Alors con t'anxieux la ramènent
A ces const habiles
Que le la de Lola va craquer
Face à ses cons qui la bullent, la brûlent, la consument.
Le la de Lola rira
Des continus problèmes
Lola elle rie et sans peine
Car le la de Lola restera !
Le la de Lola va peiner
A trouver un con qui comprenne
Que le la de Lola veut rester
Mais sans con promit elle sait.
A con trejour elle espère
Qu'un con un jour allume
La lumière qui cache le la.
Car le la de Lola veut voler
De ses ailes qu'on lui a donné,
De sa volonté qu'on la prenne
Le la de Lola Comprise.
Le la de Lola rira
Des continus problèmes
Lola elle rie et sans peine
Car le la de Lola restera !
Nyx 2024
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Un Maitre peut parfois être un loup solitaire. Cherchant la tranquillité au bord de l'eau pour s'y abreuver. Toujours aux aguets aux moindres de bruit et en faisant attention de toujours entendre sa meute à tout moment dans un périphérique bien défini. Le loup fera confiance à son Oméga sur la gestion de la meute, qui t'a se faire attaquer. Le loup Alpha fait également confiance en sa meute, mais cette confiance est bien différente sur le point psychologique. Le loup Alpha fait également le travail en t'en qu'éclaireur de le meute, revenant souvent sur ses pas pour surveiller de loin sa meute. L'oméga sait exactement ce qu'il doit faire, surveiller les arrières et protéger les retardataires. C'est ainsi comment se déplace la meute et qui la dirige. Je n'explique que ma vision concernant le loup et comment un Maitre peut avoir ce type de mentalité et de caractère.
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Ce matin, le centre équestre était plutôt calme quand Juliette arriva. Dans son haras de Normandie, elle profitait d'une vie au grand air, tout en passant ses journées à enseigner l'équitation avec passion. Sitôt son Range Rover poussiéreux garé près de la barrière, elle se dirigea vers son bureau, longeant les boxes. Il lui fallut quelques minutes pour remettre la main sur son trousseau de clés, enfoui au fond des nombreuses poches de sa veste de randonnée. Elle commença par mettre en route la cafetière, rassembler des tasses et vérifier que la bouilloire était pleine. Les premiers arrivés appréciaient souvent de discuter un peu autour d'une boisson chaude avant de se mettre en selle. Soudain, deux chevaux au pré tournèrent la tête vers la barrière. Un nouveau véhicule venait d'arriver sur le parking. Comme ils se mirent en marche pour accueillir le visiteur, Juliette en déduisit qu'il s'agissait d'un habitué et continua à consulter l'emploi du temps de la semaine. Puis elle distingua des pas dans l'allée. Des bruits de sabots et de bottes en caoutchouc sur les graviers. Charlotte franchit alors la porte du bureau, le cheval restant comme d'habitude sur le pas de la porte. Sa plus fidèle cavalière, au caractère affirmé et au franc-parler connu dans les environs, se dirigea vers le bureau massif pour la saluer. Les deux jeunes femmes s'étaient rencontrées dix ans auparavant, alors qu'elles intégraient toutes deux la formation pour devenir cavalières professionnelles. Bien qu'assez différentes physiquement, elles avaient de nombreux traits de caractère semblables. Juliette était une jolie jeune femme brune, au teint hâlé par le soleil et les heures passées en extérieur, aux longs cheveux bruns nattés et aux mains restées fines malgré les travaux d'écurie. Elle savait faire preuve de réserve et de diplomatie, analysait finement le caractère de ses interlocuteurs.
Sa voix douce mettait en confiance les plus timides, aidait à surpasser les appréhensions. Mais la monitrice savait aussi faire preuve de fermeté pour conserver la sérénité de son centre. Charlotte, au contraire, avait une silhouette plus androgyne et n'avait gardé de la belle chevelure blonde de son adolescence que quelques boucles qui lui tombaient de la nuque. Sa peau claire lui donnait un air faussement fragile, vite balayé par son franc regard bleu. Les deux jeunes femmes entretenaient secrètement une relation amoureuse depuis six mois. Avant de la rencontrer, Juliette n'avait alors jamais eu d'expérience homosexuelle, mais depuis, elle n'éprouvait plus aucune répulsion à l'idée d'avoir des relations charnelles avec une femme, à plus forte raison, si elle était jeune et jolie. Dès le premier jour, Charlotte avait partagé sa vie. L'oisiveté n'était pas la règle car il fallait maintenir l'activité du centre, et s'occuper du haras. Mais entre deux reprises, elle était libre de monter à cheval, de se promener dans le parc ou de s'étendre au soleil pour se brunir. Parfois, elle restait assise, nue, sans rien dire aux pieds de Juliette. La nuit, elle se faisait caresser ou la caressait, avant de se rendormir dans leur chambre aux rideaux blancs, à demi tirés seulement, que le jour naissant colorait de doré. Charlotte disait que Juliette était aussi belle et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait qu'inlassable dans ses exigences. Il faut dire que depuis quelque temps, son amante avait pris l'ascendant sur elle au point, de ne plus se contenter de l'étreindre, mais de l'amener à merci dans la soumission, en la fouettant parfois, non pour lui faire mal, mais pour satisfaire son tempérament masochiste. Jusqu'à sa rencontre avec Juliette, il était impossible pour elle de s'imaginer dans une situation qu'elle jugeait alors scabreuse. Elle n'aurait jamais osé, à cette époque, jouer le rôle d'une soumise.
Elle s'y serait refusé, prétextant que cet état ne lui convenait pas, car il ne faisait pas partie de ses fantasmes. Son expérience avec Juliette lui avait appris que si elle était incapable de devenir une habile et authentique putain, elle acceptait avec joie de jouer ce rôle pour le plaisir de son amante. Sa fierté à sa soumission lui procurait maintenant une exaltation proche de la jouissance. Était-ce alors seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou le fait déjà de se livrer sans condition à un tabou et de le transgresser ? Ou simplement l'humiliation de se faire traiter de petite pute qui lui donnait ce plaisir et l'évasion dans un univers fascinant où elle n'aurait jamais osé pénétrer seule, sans elle ? Installée à l'ombre d'un hêtre pourpre, à l'une des tables de jardin, au bout du parc, Juliette terminait son café. La matinée avait été bien remplie, trois heures de cours et la visite du maréchal-ferrant, mais pour l'heure, le centre était désert, reprenait son souffle avant la nouvelle vague de l'après-midi. Elle appréciait ces moments où elle pouvait revenir en pensée sur les moments passés avec Charlotte. Quand elle arriva, il était deux heures de l'après-midi, le haras dormait. Elle portait une robe légère en coton bleu, dont la couleur mettait en valeur ses yeux azurés. Dessous, elle était nue, exauçant ainsi le désir de Juliette. Elle se leva et l'embrassa sur les lèvres et lui demanda d'aller dans la chambre et de se déshabiller. La pièce était fraîche, bien qu'éclairée par les rayons du soleil qui passaient au travers des rideaux. Charlotte fit glisser sa robe, et la posa sur une petite chaise devant la coiffeuse. Elle se regarda un instant dans la glace. Puis, elle ressortit lentement, éblouie par le soleil, avant de regagner l'ombre du hêtre. Juliette était toujours là, son chien à ses pieds. Ses cheveux noirs, pour une fois dénoués, brillaient comme s'ils étaient huilés. Elle était vêtue d'un jean et d'un chemisier blanc, une ceinture à la taille. Charlotte s'agenouilla, les bras croisés derrière le dos, la pointe des seins frémissante.
L'airedale terrier fit semblant de s'élancer sur elle. Juliette lui demanda de se coucher. "- Charlotte, consentirais-tu à te donner à un homme en ma présence ?- Oui, dit Charlotte. À l'heure dite, Juliette retrouva Charlotte, qui avait revêtu une jupe blanche et un chemisier blanc sous lequel elle était nue. Les bains de soleil avait rendu son corps intégralement bronzé. Sa Maîtresse portait également une jupe et un corsage blancs et avait aussi les jambes nues mais des chaussures à talons hauts. Paul les attendait dans le salon plongé dans l'ombre. Le grand miroir était posé à terre, près d'un canapé. Il les salua aimablement, ferma la porte et vint s'asseoir dans le canapé, laissant les jeunes femmes debout sur le miroir. Alors que Juliette, cuisses ouvertes, câlinait Charlotte dont les seins pointaient sous le chemisier, Paul admira dans le miroir les reflets des dessous de ces deux êtres exquis. Charlotte, cuisses serrées, encore pleine de pudeur, s'abandonnait aux caresses de Juliette. Ses fesses musclées galbaient sous sa jupe et son ventre lisse proéminait, très prometteur. Juliette demanda à Charlotte de dégrafer son corsage pour faire jaillir ses seins. Elle lui prit ses mains et la força à se caresser les seins, qui frémirent sous le désir, et de se toucher le ventre, et l'anneau entre les reins. Elle obéissait en silence, et quand l'homme lui dit qu'il lui en ferait de même, elle n'eut pas un mouvement de recul. Charlotte tournait le dos à Paul légèrement penché en avant, et ainsi dans le miroir, il voyait les prémices de ses intimités. Il ne l'avait pas encore touchée. Peu à peu, cédant à l'ordre de Juliette, Charlotte écarta les pieds et, dans ce compas de chair, apparut le sexe déjà à demi ouvert et frémissant de désir. Longuement, Paul se reput de ce spectacle, comparant les deux intimités, celle de la femme épanouie, celle de la jeune fille prometteuse. Juliette se libéra de la succion voluptueuse et obligea la soumise à regarder dans le miroir. La honte empourpra le visage de Charlotte qui voulut fermer les jambes, mais bientôt sa Maîtresse l'en dissuada sous des caresses. Juliette ôta son corsage et en fit autant à Charlotte, dont la jeune poitrine darda ses deux seins durs aux pointes érectiles et aux larges aréoles brunes.
Elle la regardait si intensément qu'elle était convaincue de récolter bientôt les fruits de sa patience. Elle ne se souciait plus d'être vue en état de tendre abandon. Paul admira, soupesa les deux poitrines, en les pétrissant, puis à son tour, leur prodigua d'intenses succions, de nombreuses caresses. Juliette se dénuda et lentement fit tomber la jupe de Charlotte dont le corps gracile et musclé se colla au sien. Paul frôla du doigt le pubis de la jeune soumise qui tendait sa vulve au-dessus des cuisses écartées dans un gémissement de honte. Alors, Juliette l'entraîna vers le divan, se renversa sur le dos, cuisses béantes, et laissa Charlotte s'allonger sur elle entre ses cuisses, lui suçoter ses lèvres intimes. Paul, à genoux, baisait les fesses offertes, enfouissant son visage entre les globes encore serrés. Puis il se dénuda et son corps athlétique apparut avec son membre raide et long, saillant au dessus du pubis recouvert d'un léger duvet brun. Juliette redressa Charlotte, lui fit admirer la beauté du sexe mâle dans sa vigueur, en lui donnant elle-même de longs baisers, lui montra ce qu'elle désirait la voir accomplir. La soumise se pencha sur le ventre tendu de Paul. Dans un soupir de contentement, il sentit la jeune bouche s'ouvrir, sa verge glisser entre les lèvres, sur la langue, jusqu'au fond de la gorge. Alors, Charlotte prodigua à cette colonne de chair la succion tant désirée. Dans le silence, s'éleva le bruissement humide de la fellation voluptueuse. Juliette se leva et, près de Paul, lui offrit ses seins pour qu'il les pétrisse entre ses mains nerveuses. Mais le désir de Paul était violent. Elle le sentit et caressa la tête de sa soumise pour qu'elle accentue la succion ardente. Bientôt, Paul posa ses mains sur la tête de Charlotte. Il désirait se répandre dans sa bouche. Interrogateur, son regard se posa sur celui de Juliette qui vit son trouble. Elle fit signe que oui et Paul s'abandonna. Des soupirs profonds, un frémissement de corps et un hoquet de Charlotte qui sentit dans sa gorge jaillir la semence chaude et âcre. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton. Elle se redressa et se coucha, honteuse, sur le divan, la tête entre les mains. Juliette s'allongea près d'elle, lui écartant les cuisses, et Paul, à genoux, se glissa entre les jeunes cuisses béantes et sa bouche se riva au sexe moite pour une succion onctueuse des chairs juvéniles et prometteuses. Juliette baisa doucement les seins arrogants de la soumise et, quand elle sentit la jouissance qui montait dans ce corps gracile, elle colla ses lèvres à celles de Charlotte, lui insufflant son propre désir et dans un spasme, elle exhala dans un soupir, dans sa bouche, sa volupté contentée. Ils laissèrent Charlotte se reprendre. Juliette, étendue sur le dos, s'offrit à elle qui plongea entre les cuisses hâlées, colla sa bouche sur le clitoris dardant entre les lèvres humides, et brûlantes de désir.
Elle se blottit contre elle, haletante et grisée, respirant avec recueillement son haleine. Tout était grâce, délice, surprise venant de cette fille admirable: même la sueur qui perlait sur sa nuque était parfumée. Paul, penché sur Juliette, lui caressait les seins puis, quand il la sentit dans les transes de la volupté, se leva dans l'ombre et enduisit sa virilité de vaseline. Il redressa Charlotte agenouillée qui, comprenant l'intention impérieuse de l'homme, écarta les jambes, tendit ses reins sans cesser de lécher la fente de sa Maîtresse. Elle sentit la verge de Paul qui se glissait entre ses fesses, la fraîcheur du gland sur la voie étroite et contractée par l'anxiété et la lubricité. Juliette serra les cuisses sur les joues de Charlotte et lui prit les mains. Ses yeux voyaient le visage de Paul penché sur le dos de sa soumise. Charlotte ne trichait jamais, même si le sort la condamnait plusieurs jours. Elle devait le subir jusqu'au bout. Il le comprit, lui appuya d'une main à la taille contre l'accoudoir pour qu'elle ne pût glisser, l'entrouvrant de l'autre. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. De la bouche de Charlotte s'échappa un sourd gémissement, perdu dans la moiteur du sexe de sa Maîtresse. Ce cri excita Juliette qui, les yeux embués de désir, regardait le ventre tendu de l'homme derrière les reins de sa soumise. Charlotte cessa de la sucer, sa bouche ouverte déformée par la souffrance, sentant glisser en elle le phallus épais. Paul poussa doucement, mais avec vigueur, et sa chair peu à peu, s'enfonça dans les entrailles. Bientôt, le gland disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Il s'arrêta de pousser, laissant Charlotte s'habituer à sa virilité, palpant les flancs frémissants et chauds. Juliette plaqua la tête de Charlotte sur son sexe béant et celle-ci recommença à la sucer. Mais bientôt, des gémissements, dans un souffle lourd, frôlèrent ses chairs exacerbées. Paul continua la lente pénétration et peu à peu, le renflement de la verge disparut dans le mystère des reins. Charlotte tendant ses fesses, riva ses lèvres soupirantes au sexe humide, suça voracement le clitoris érectile, sentit les cuisses musclées serrer ses joues. Une chaleur intense irradia sa tête enfoncée dans le désir chaud et doux, tandis qu'elle sentait le ventre de l'homme se plaquer à ses fesses distendues et les mains qui lui pétrissaient les seins.
Elle ne voyait personne, n'entendait rien sinon les battements de son cœur faisant écho à son désir. Avec la fluidité d'une eau, elle se laissait aller, établissant le contact avec tout son corps. Il était clair à cet instant que Juliette désirait rencontrer le regard de Charlotte. Ses yeux noirs brillants et durs fixés sur les siens, dont on ne savait pas s'ils seraient ou non indifférents, ou s'ils exprimeraient de la satisfaction, voire de l'amour. Elle décida seulement qu'une fois la nuit tombée, elle la flagellerait jusqu'au sang et la laisserait dormir seule. Paul s'arrêta, fébrile, frémissant tout entier par le membre dans les entrailles étroites et souples. Alors, il sodomisa la jeune soumise, faisant attention à ne pas lui faire mal, prévoyant de l'avenir. L'épais phallus allait et venait dans la gaine qui se pliait, s'habituait à sa grosseur. Charlotte ne ressentait plus de souffrance vive. Il lui semblait seulement qu'une colonne monstrueuse distendait son anus, battait dans son ventre, frôlait sa grande voie. La chaleur montait à sa tête déjà chavirée. Ses mains libérées s'agrippèrent aux cuisses de Juliette, sa bouche aspira avec plus de violence la vulve offerte et sa Maîtresse, surprise, ne put freiner sa volupté. Paul eut devant les yeux le corps de la jeune fille secoué de frissons de jouissance, arqué dans un spasme délirant, et il entendit ce grand cri, terrible de bonheur orgasmique que seules les femmes satisfaites savent faire entendre. Les cuisses s'élargirent, tandis que Charlotte s'emplissait la bouche de cyprine. Paul sentit la jouissance monter dans son corps, dans cette sodomie lubrique, une chaleur voluptueuse irrésistible. Il accéléra le coït dans les reins offerts. De la bouche de Charlotte sortirent alors de doux soupirs tant attendus. Elle sombra dans la jouissance la plus effrénée. La sodomisation s'accéléra, transportant les corps dans une irréelle jouissance. Son ventre frémit sous les secousses, alors dans un sursaut, elle écarta les cuisses, souleva ses fesses, laissa éclater un orgasme et sentit entre ses reins heureux, gicler les saccades de sperme de l'homme, profondément empalé en elle.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Tu attends. Debout immobile, enveloppé dans un manteau trop court pour vous protéger, le corps tremblant sous l'air de la nuit. Les yeux baissés, le cœur bat la chamade. Un coin de rue. Le rire se déverse d'un bar voisin, ainsi que des regards - certains éphémères, d'autres s'attardants.
Tu restes. Parce qu'il t'a dit de le faire.Quand il arrive, il ne dit rien. Il vous entoure comme un prédateur, silencieux. Puis, avec un geste net, il soulève le bord de votre manteau. Pas de mots. Pas de sous-vêtements. Juste toi - pris entre la peur et le désir.
- « Regarde-toi », dit-il enfin. « Ils te voient. Ils voient ce que vous êtes. »
Votre gorge est sèche, vos pensées sont floues.
— « Dis-le. Dis ce que tu ressens. Dites ce que vous êtes. »
Tu avale fort. Puis, doucement :
— « Je... J'aime ça. Être vu. Être exposé. »
Il vous étudie, expression illisible.
— « C'est ce que je pensais. »
Il ne te prend pas la main. Il n'en a pas besoin. Il marche. Et vous suivez. Chaque pas ressemble à une confession. Le vent soulève le manteau. La ville veille. Ou vous imaginez que c'est le cas.
À l'hôtel, il s'enregistre. Tu t'agenouilles à côté de lui sans un mot. Pas parce que vous devez, mais parce que vous en avez besoin. Les regards reviennent. Mais vous vous concentrez uniquement sur lui.
Dans l'ascenseur, il vous tourne pour faire face à votre reflet.
— « Regarde. C'est ce que vous êtes maintenant. »
Vous hésitez. Il tape votre menton doucement, mais fermement.
— « Pas un jouet. Pas une victime. Autre chose. Quelque chose de brut. Prêt. »
Dans la pièce, la porte se ferme derrière vous, et le monde s'estompe. Il n'y a que lui maintenant. Et toi. Et la ligne que vous franchissez ensemble.
- « Déshabiller. Lentement. »
Tu le fais. Pas pour la séduction, mais pour l'abandon. Chaque mouvement est délibéré, cérémoniel. Lorsque le manteau glisse de vos épaules, il marche autour de vous. Silencieux. Présent. Dominant.
Vous vous agenouillez sur le sol froid, la peau sur le bois, et vous sentez le changement. La perte du contrôle. Le don de quelque chose de plus profond que le corps.
Ce qui suit est intense. Difficile. Il vous guide, non seulement par la commande physique, mais aussi par les endroits à l'intérieur de vous-même que vous n'avez pas osé visiter seul. À chaque acte, il ne vous prend pas - il révèle. Retire les couches. Teste.
La douleur devient le langage. La retenue devient libération. Vous pleurez - non pas par peur ou par tristesse, mais parce que quelque chose en vous est en train d'être défait, réécrit. Et il est là pour tout ça.
Quand c'est fini - non, pas fini, mais en pause - il ne disparaît pas dans le silence. Il est là. Contre vous. Te tenir.
- « Tu respires », murmure-t-il. « Parce que je suis toujours là. Parce que tu es à moi. Et parce que je t'aime. »
Et dans cette immobilité, dans ses bras, vous découvrez une vérité non pas de soumission, mais d'être vraiment vu.
Tu t'endors. Non diminué. Mais entier.
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Le rendez-vous est pris, il est 19h30,
Moi assise sur une chaise en extérieur tranquillement installée, vapotant, sereine,
Tu arrives à ma rencontre et nous décidons d'aller nous poser dans cette brasserie, un peu en retrait mais avec quelques personnes autour,
Nous sommes là, nous discutons, Je te sens un peu nerveux malgré ton air détendu, Tu tente bien de soutenir mon regard, mais ce que tu ne sais pas c'est que je peux tenir longtemps à ce petit jeu. Tu as perdu et tu le reconnais. Nous discutons, puis je te rappelle un ordre que je t'avais précédemment donné par message,
Tu t’exécutes pour aller au toilettes avec ton téléphone, puis tu reviens et m’envoies face à moi ton intimité dressée, offerte, que je regarde publiquement sans me soucier de ce qui se passe autour,
Pour te mettre un peu plus la pression, je décide moi aussi de faire de même avec mes dessous que je portes, Je sais que ça pousse derrière ta braguette, que ça mouille que ça coule à cette situation, et j'aime te savoir ainsi,
Je t'avais demandé bien longtemps avant ce rendez-vous de valider ton appartenance pour moi, ton souhait de te laisser guider et posséder part moi, en me remettant ton caleçon sur la table même, peu importe les gens autour, Et c'est fièrement que tu me rappelle cette demande, en le posant sans trembler devant moi sur la table, Je suis si fière de toi !
Nous poursuivons notre discussion, puis je fouille dans mon petit sac à dos à malice, pour en tirer quelque chose que je te remets,
Tu pars à nouveau au toilette, pour cette fois t'habiller. Pour ne faire plus qu'un avec cette culotte entrouverte en dentelle noire, que j'ai acheté spécialement pour toi !
C'est la première fois que tu porte un tel dessous, et tu te sens étonnamment bien, Et moi je savoure enfin ce moment où tu te sens enfin Salope ! Ma Salope, raffinée, en dentelle, comme j'aime.
Tu es si beau lorsque tu m'appartiens !!!.....................
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Texte personnel écrit sur le thème suggéré par une membre du site des vaches humaines ou human cow/hucow en anglais.
C'est un texte fiction qui ne relève en rien d'une pratique réel ni d'une apologies de l'emprisonnement ou de la destruction physique et psychologique des êtres vivant.
"Matricule 25 918, c’est ce qu’ils ont tatoué sur mon épaule.
Kelia se souvint soudain de ce qui c'était passé pendant les cinq derniers jours. Tout d’abord, son arrivée au centre de reconditionnement. Elle était passée devant un médecin qui lui avait fait subir un examen complet. Sanglée sur une chaise gynécologique de contention, elle avait subi l’une des pires humiliations de sa vie : être ainsi inspectée comme du bétail, tant au niveau de la peau, des yeux que de chacun de ses orifices, qui avaient été scrutés et examinés. Le médecin et son assistant ne s’étaient pas privés de faire certaines réflexions, et ils avaient bien rigolé en disant :
— Elle fera une très bonne laitière.
— J’en suis persuadé, docteur. Elle a déjà de bonnes proportions qui permettent d’imaginer un potentiel lactique important.
— Souhaitez-vous qu’elle passe d’abord par un processus de formatage psychologique ?
— Je ne pense pas que ce soit la peine pour celle-là. Elle a l’air assez docile de base et je suis sûr qu’elle appréciera encore plus sa nouvelle situation si elle la vit pleinement.
Tous deux éclatèrent alors de rire, d’un rire gras et fort qui me glaça.
Je ne me souviens pas de tout ensuite, mais je sais qu’ils se sont approchés de moi avec un masque à oxygène, et à partir de là, tout reste flou. Je pense qu’ils m’ont fait respirer un gaz soporifique, mais je ne me souviens de rien. Je me suis réveillée quelques heures plus tard, sanglée sur un fauteuil roulant. J’ai un horrible tuyau qui rentre dans ma gorge et ressemble fort à une intubation. J’ai perdu toutes fonctions motrices au niveau de mes muscles, je n’arrive plus à les bouger. Je suis sanglée dans le fauteuil roulant, et une minerve maintient ma tête.
Cet état de fait dura environ une journée, pendant laquelle ils m’administrèrent différentes substances en perfusion et en intramusculaire. Je découvris rapidement qu’il dépassait de moi un tuyau qui devait être relié à une sonde urinaire, puisque, régulièrement, ce tuyau s’emplissait d’un liquide jaune. Ne contrôlant plus aucune de mes fonctions motrices, je suppose que l’autre tuyau, plus large, qui sortait de mon corps devait être relié d’une façon ou d’une autre à mon anus.
Je passai plus de 24 heures ainsi, ayant perdu tout contrôle et tout tonus musculaire.
Deux fois par jour, une détenue en tenue orange faisait le tour de mon fauteuil pour changer les récipients. Je n’arrivais absolument pas à bouger, mais j’ai compris qu’il y avait au moins deux autres personnes à côté de moi, au vu du temps qu’elle passait dans la pièce. Avec les diverses substances qui m’avaient été administrées, il m’était totalement impossible d’émettre le moindre son ; par contre, je bavais presque continuellement.
Je pense que c’était le troisième jour que le médecin et son assistant revinrent.
— Il semblerait que le traitement hormonal commence à faire effet, je vois déjà quelques perles de lait sur ses mamelles.
— Emmenez-la en salle de traite numéro 8, elle remplacera le matricule 23 229 qui ne produit plus.
Toujours sur mon fauteuil roulant, je fus emmenée à travers une série de couloirs d’un blanc immaculé, où la lumière des néons m’éblouissait, jusque devant une salle où était inscrit « salle de production numéro 8 ».
Puis deux battants s’ouvriren et je fus conduite à l’intérieur d’une pièce d’environ 20 m², dans laquelle il y avait cinq installations bizarres, sur lesquelles quatre femmes attachées étaient en train de se faire traire. Je supposai que la cinquième place libre était pour moi.
En entrant, sur la gauche, il y avait un pupitre de commande avec un écran et un clavier. Le pupitre était orienté vers le mur en face de la porte. Le long de ce mur étaient alignés parallèlement cinq supports métalliques et sur quatre de ces supports étaient attachées des femmes. Elles étaient à genoux sur une sorte de support dentelé, le corps retenu par des sangles à une armature métallique. À gauche de chacune de ces personnes, il y avait un cylindre transparent d’environ 20 cm de diamètre, relié à deux tire-laits branchés sur les mamelles des prisonnières. Les cylindres étaient plus ou moins remplis d’un liquide blanc que je supposai être du lait.
— Bonjour 21 107, es-tu prêt à prendre en charge la prisonnière 25 918 ?
— C’est l’heure de la traite, je dois poser un dernier tire-lait sur celle-ci, et ensuite je peux m’occuper de ta prisonnière. Mets-la face au miroir en attendant !
Je sentis le fauteuil roulant pivoter vers la droite et l’on me plaça face à un miroir en pied d’au moins un mètre cinquante de haut. Cela faisait bientôt cinq jours que je ne m’étais pas vue dans un miroir. J’avais énormément grossi, ma poitrine était énorme et ruisselante de lait. Je ne sais pas comment ils avaient réussi à me faire prendre autant de poids en si peu de temps, mais j’étais énorme.
Je voyais en arrière-plan la femme qui s’occupait de la pauvre fille de gauche, à qui elle posait un tire-lait, en enclenchant une machine dont j’ignorais encore la fonction à ce moment-là.
Soudain, mon fauteuil se mit en mouvement et l’on avança vers le cinquième emplacement, encore libre. Comme je ne sentais pas mon corps, que je n’avais aucun contrôle sur mes muscles ni sur mes mouvements, je me suis surtout concentrée sur ce que je voyais autour de moi.
Je crois qu’au fond, mon cerveau avait déjà compris à ce moment-là ce qui était en train d’arriver et que j’ai essayé de recueillir autant d’informations que possible avant de me retrouver complètement immobilisée, comme ces pauvres filles.
Mes quatre consœurs sont toutes vêtues d’une sorte de casque d’où sortent plusieurs tuyaux, l’on ne voit que leurs regards, qui me dévisagent. En bas de chacune de leurs installations, il y a un écran de contrôle sur lequel s’affichent leurs paramètres vitaux. Ce doit être cela qu’enregistrent les différents capteurs que je vois sur leurs corps.
Il y a aussi plusieurs câbles qui partent du casque qu’elles ont sur la tête. Je suis terrifiée à l’idée de ce qu’elles doivent vivre, et depuis combien de temps elles le vivent.
Je sens qu’on m’installe sur le système métallique, qu’on me sangle.
Je suis installée à la place de droite, en entrant dans la pièce. J’ai en face de moi un petit angle depuis lequel je vois le miroir. Juste devant moi, il y a une console sur laquelle sont raccordés chacun de mes tuyaux : j’en ai un qui part de la vessie, un de l’anus et un de l’estomac.
Le système est complété par une sorte de casque dans lequel est intégré le tuyau d’intubation, qui descend jusqu’à mon estomac, d’après ce que je ressens.
Je fus soulagée de constater que l’on ne posait pas ces affreux tire-laits sur mes seins.
— Merci 24 1048, tu peux disposer, je prends la prisonnière en charge.
La gardienne qui m’avait conduite repartit avec le fauteuil roulant vide et un sac-poubelle contenant mes différents effets, sondes, cathéters divers, ainsi que mes cheveux, qui avaient été rasés avant qu’on ne me pose cet affreux casque sur le crâne.
— Nous voilà seules maintenant !
Elle devait faire à peu près 1m65. Elle avait les cheveux brun clair, taillés en carré asymétrique, un visage souriant et aimable. Elle était vêtue d’une combinaison vert bouteille où s’affichait son matricule. Elle portait aux pieds les mêmes chaussures que tout le personnel que j’avais croisé depuis mon arrivée : des sortes de rangers mi-montantes à zip.
- Je m'appelle Opale, je serai ta maman pendant tout le temps que tu passeras ici, tu seras ma petite chose, une de mes belles laitière. Comme tu l'as vu, le traitement hormonal et le gavage intensif ont eu un effet radical sur ta silhouette. Tu vas encore te transformer jusqu'à ce que nous atteignions 200 kg. Tu seras alors stabilisée et nous passerons à un mode sonde plutôt que gavage par intubation. L'ordinateur central a affecté à ta fiche la sentence suivante : suite à la tentative de rébellion lors de la manifestation du 22 mai 2021 et à ta fuite, tu as été condamné à un enfermement total ici. Cela signifie que tu appartiens désormais au centre et que même ton corps lui appartient. Tu ne sortiras jamais d'ici sous aucune forme que ce soit. Tu as été sélectionné pour partir en unité de production laitière, les quotas minimum imposé à partir de la deuxième semaine sont de 2,5 litres par jour, si tu ne les satisfait pas , tu seras rétrogradée en unité de plaisir bas de gamme. Pour l'instant je vois que tes mamelles sont bien gonflées et je sens que tu as bien envie de te faire traire. La première traite est toujours faite manuellement dans les unités 5 6, 7, 8 et 9. Je ne sais pas pourquoi elle avait pensé ça mais je n'avais absolument pas envie de me faire traire comme une grosse vache. Néanmoins il semble que mon opinion ne comptait pas vraiment et elle se mis au travail en commençant à palper mes seins, d'après la sensation que j'avais encore. Elle installa une sorte de récipient en dessous de ma poitrine et commença la traite manuelle. J'entendais le bruit du lait qui arrivait dans le récipient en plastique.
Il me sembla que cela avait duré une éternité ; éternité à la fin de laquelle elle m'annonça que je venais de produire 2,10 litres.
- C'est prometteur, mais rien d'exceptionnel, cela fait 24 heures que tu es à fond d'hormones. Ce lait ci ne sera pas utilisé pour la consommation mais les prochains le seront, il y a 5 traites par jour, celle de 6h, celle de 10h, celle de 14h, celle de 18h et celle de 22h.
- Le matin après la première traite, tu aura le droit heure de stimulation électro musculaire et encore une heure après la traite de 14h, cela permet d'éviter les nécrose et de te maintenir dans une condition physique minimum.
Ce jour-là il y eu 2 traites à la machine après cette première traite manuelle. Le tire-lait électrique ne me faisait pas vraiment mal car je ne sentais plus du tout mon corps depuis déjà plusieurs jours. Je sentais parfois de très légères sensations lorsque la traite touchait à sa fin mais c'était vraiment très léger.
Après la dernière traite, Opale s'avança vers moi et me dit :
- Sur tes deux dernières traites tu n'as produit que 220 ml, il faut que tu produise plus ! Il faut que tu te fixes comme objectif au moins 500 ml par traite. Maintenant je vais te faire un petit cadeau pour ta première nuit pour t'aider à dormir.
Elle enclencha un programme qui envoya à travers mon casque un gaz avec une petite odeur d'amande.
Je me réveillais quelques heures plus tard, impossible de dire combien de temps j'ai dormi exactement mais c'était l'heure de la première traite donc qu'il était 6h. Puis la journée se passa un peu comme un cauchemar silencieux, un huis clos sinistre pour 5 pauvres âmes. Il n'y avait presque aucun bruit dans la pièce et lorsqu'il y a un bruit un peu fort, Opale apparaissait tout de suite pour déterminer l'origine du bruit. À la première traite je n'ai fait que 200 ml de lait, les autres traites de la journée ont été similaires, sauf la dernière qui a été de 50 ml. Je vois bien qu'Opale me regarde et me juge. Avant d'éteindre la machine, après la dernière traite, elle m'avait dit :
- On dirait que tu vas bientôt finir dans un bordel pas cher de grosse vache !
J'avoue que la pensée de finir comme sextoy pour gros porc me terrifie, surtout sachant l'état physique dans lequel je suis, celui d'une vache.
Je n'ai presque pas dormi la nuit suivante, obsédée par l'idée d'arriver à produire plus, à remplir mes quotas pour échapper à une condition pire que l'actuelle.
Pendant la nuit, j'ai donné des noms a mes consœurs laitière. Avec le petit miroir que j'ai à ma disposition, j'arrive à en voir deux à gauche. J'ai nommé la première Cerise et la deuxième Pêche. J'ai utilisé Kiwi pour celle que je ne vois pas et que je n'entends jamais. Enfin il y a Figue, c'est ma seule voisine et elle est à ma droite. Je ne la vois jamais car nos minerves nous empêche de voir sur les côtés et nous bloque totalement la tête. Par contre je peux voir Pêche et Cerise par le miroir. Je sens l'odeur de Figue et j'entends sa respiration, très souvent. Je pense qu'elle n'est pas totalement étanche de partout et je sens ses excréments et ses flatulences. Au milieu de cette immobilité, de ce silence, ces odeurs sont des choses qui m'apportent le plus de réconfort, bizarrement. En dehors des traite et des séances d'électro musculation, ma vie ne se résume plus maintenant qu'à des tuyaux qui se remplissent et d'autres qui se vident. Cette désagréable impression d'être l'intermédiaire entre plusieurs machines qui se fiche totalement de vous. Le temps passe lentement et de manière totalement inhumaine et mécanique. Tous les jours, à chaque traite et à chaque bruit, il y a Opale qui arrive avec son joli sourire et son air affreux de surveillante de la laiterie.
De toute c'est de loin Pêche qui est la plus agitée et qui essaie sans cesse de communiquer. Je l'aime bien ; nos regards se croisent une bonne partie de la journée. J'aimerais tant pouvoir parler avec elle et savoir qui elle était avant de d'arriver ici.
Je crois que ça faisait bien une vingtaine de jours que j'étais là, lorsqu'il a été décidé d'arrêter le traitement qui me maintenait dans cette perte de contrôle de mon corps.
La première journée a été très étrange car j'ai commencé à ressentir certaines sensations par petites vagues désordonnées. Dès le lendemain, la sensibilité est revenue, décuplée. Je l'ai senti dès la première traite qui a été douloureuse comme elle ne l'avait jamais été. Puis j'ai retrouvé les sensations de mon anus et de ma vessie. Je sentais les fluides sortir de mon corps de manière totalement incontrôlée. J'ai ce sentiment bizarre de me vider et d'être ensuite remplis par cette affreux système de gavage.
J'ai toujours cette désagréable impression de n'être qu'une pièce d'un rouage au milieu d'une tuyauterie malsaine et perverse.
Puis il y eu le jour de Pêche. Pêche et moi, nous entendions bien enfin je le suppose car nous échangions, pendant des heures, des regards afin d'essayer de nous comprendre et de communiquer. Je vois dans son regard beaucoup d'amour et de tendresse mais aussi du désespoir . J'aime bien Figue, elle apporte une certaine forme de rythme à ma vie et aussi une distraction olfactive assez régulière, mais c'est avec Pêche que j'ai le plus d'accointance. Hors ce jour-là, Pêche s'était réveillée assez agitée et elle avait commencé à se débattre alors qu'Opale était venu pour la première traite. Opale lui avait dit de rester sage sinon elle deviendrait un légume. Cette phrase a résonné en moi pendant des heures jusqu'à ce que Pêche qui se débattait, pousse un grognement plus fort que les autres.
Opale est entrée dans la pièce, toujours avec son petit sourire mais cette fois un peu plus sarcastique. Elle a branché un câble au casque de Pêche puis elle est allé à l'ordinateur qui est sur la console. Elle y a tapé quelque chose. Ensuite il y a eu un très léger grésillement électrique. J'ai entendu des petits râles étouffés qui venait de Pêche. Après 2 minutes, Opale a annoncé que le programme était terminé et qu'il y avait un légume dans la pièce.
- Ne crois pas que je n'avais pas vu vos petits regards, je savais bien qu'un jour l'une de vous deux y aurait le droit. Maintenant il te reste encore une vie entière pour te faire de nouvelles amies. Sur cette phrase narquoise, elle sortit et nous laissa ainsi jusqu'à la traite suivante. Dans la journée, j'ai essayé de communiquer avec Pêche, mais elle ne regardait plus rien, elle avait le regard dans le vide. J'ai mis plus d'une journée à comprendre que la personne avec qui j'avais communiqué pendant plusieurs mois n'existait plus, intellectuellement parlant. J'étais de plus en plus obsédée par la quantité de lait que j'arrivais à produire. J'avais un record personnel de 3 à 5 litres de lait par jour. La seule chose intéressante et glorifiante à faire, était de produire encore plus de lait alors je me suis accroché à cela. J'ai essayé de devenir la meilleure, la plus productive des femmes/vaches de la laiterie. Opale m'avait dit que le record absolu était 4,6 litres en une journée mais que la productrice était morte d'épuisement quelques jours après.
Un jour, Opale nous a présenté une petite jeune qui s'appelait Calcaire et, pendant plusieurs jours, elle a assisté Opale afin d'apprendre les gestes techniques et de tout savoir sur nos dossiers : nos manies et nos petits secrets.
Les jours continuèrent à passer. Ils étaient longs et monotones. Seulement ponctués par l'apprentissage de Calcaire. J'avais une production journalière de plus de 3 l et je le prenais comme un réel défi de maintenir ce niveau de production. Puis il eu le jour de Figue. Depuis quelques jours, Figue ne produisait presque plus rien : moins d'un litre par jour. Elle n'était plus aussi régulière dans son transit et dans sa respiration. Opale expliqua à Calcaire qu'elle serait transférée mais qu'un lavage cérébral avait été demandé avant. Je suppose que elles ont branché un câble sur son casque, sont allées, toutes deux, derrière le pupitre et ont tapé quelque chose sur le clavier. J'entendis un petit cri étouffé de la part de Figue puis vint un affreux grésillement électrique qui durera 5 minutes. Pendant ce temps-là, j'entendais cette pauvre fille gémir. A la fin, j'entendis Figue se dégonfler comme un ballon de baudruche, en faite, je devais comprendre plus tard qu'ils venaient de la déséquiper et la dépression d'air dans la tuyauterie avait provoqué ce bruit de dégonflement.
Deux heures plus tard, une nouvelle pensionnaire fit son apparition, elle était toute équipée et installée sur un fauteuil roulant. Elle semblait avoir subi un traitement psychologique très perturbant car elle n'était déjà plus en capacité de nous regarder ou d'avoir une quelconque lueur dans les yeux.
Calcaire l'installa à la place de Figue et lui dit :
- J'espère, numéro 21 107, que tu ne verras pas d'objection à ce que je prenne maintenant le nom d'Opale !
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c’est la main qui tient la main
c’est la main qui fait le geste
c’est le corps qui grince le parcorps
et le drap qui vole
au centre du mystère
dessiner un chemin des mèches au souffle
si les mains nécessaires
escaladent
le gravas des oreillers
elles soupçonnent
la structure de l’autre
lumière d’est
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Au début de mon cheminement dans le BDSM, j’ai été confrontée à un obstacle qui me semblait insurmontable : l’incapacité à rester dans un état de soumission après l’orgasme. Dès que le plaisir retombait, mon envie de servir, d’obéir ou de m’abandonner disparaissait presque instantanément. Cela me frustrait, car je sentais en moi une volonté sincère d’explorer une dynamique de soumission plus profonde, plus stable — mais mon corps et mes pulsions me freinaient.
C’est à ce moment que j’ai décidé d’essayer la cage de chasteté. Ce fut un outil puissant. Le simple fait de ne plus pouvoir céder à la tentation a changé beaucoup de choses dans ma manière de percevoir ma position. J’étais plus réceptive, plus patiente, plus vulnérable aussi. Mais malgré cela, ce n’était pas encore suffisant. Il manquait un véritable basculement intérieur.
J’ai alors commencé à expérimenter d’autres approches. J’ai adopté une tenue permanente de soumise, que je portais même seule, pour renforcer mon identité. Je me suis mise à me filmer, à documenter mon comportement, à me regarder vivre dans ce rôle. Et j’ai aussi franchi un cap psychologique : celui de me rendre disponible à tout moment, peu importe la personne ou le contexte. C’était un choix risqué, mais profondément révélateur.
Peu à peu, sans que je m’en rende compte sur le moment, ma soumission est devenue naturelle. Ce n’était plus une mise en scène, ni une excitation passagère. C’était devenu mon état de base. Même sans désir, même sans stimulation, j’étais esclave. C’est aujourd’hui ce que je suis, profondément. Disponible, docile, et pleinement moi-même dans cette dynamique.
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Je te demande et je te vois t'allonger sur le sol, si docile sur le dos... Tu portes un tee-shirt et un jeans.
Je te prends délicatement les mains, pour te les relier et les attacher au dessus de ta tête, en silence.
Tu peux lire dans mon regard ce sourire à malice, même si tu ne connais pas encore mon désir.
Je viens m'allonger, à côté de toi juste collée, puis je frôle tes bras de mes mains, redescendant doucement et venant les passer sous ton tee-shirt et caresser ton corps durant de longues minutes. Tu ne dis rien, tu ressens, en silence.
Je me lève soudainement et pars fouiller dans mon sac à malice, puis de reviens vers toi, les mains derrière le dos.
Je te chuchote de fermer les yeux, ce que tu exécute comme tu sais si bien obéir.
Puis je viens me poser sur toi à califourchon, mets une main derrière mon dos et te souffle de ré ouvrir tes yeux.
Je te montre enfin l'objet du délit à venir sans que tu ne saches rien de plus.
Ce sont des ciseaux... Je frôle tes bras avec, puis ton tee-shirt, pour arriver au bas de celui-ci.
Les deux lames s’entrouvrent et viennent se coincer sur ce bas pour se rejoindre et ainsi commencer à découper ton tissu.
Les ciseaux remontent délicatement jusqu'à ton col pour le faire céder.
Te voilà torse nu maintenant, et je te regarde, je te contemple, sourire aux lèvres.
Je balance les ciseaux à terre puis mes doigts viennent glisser sur ta peau, laissant des traînées de griffes sur celles-ci.
Ils viennent jusqu'à tes tétons déjà pointant de désir.
Je sais que tu es dressé sous ton jeans, je le ressent. Tu mouille, tu baves comme une Chienne appelant que je vienne te malmener ces petits bouts qui pointes.
Je les prends du bout des doigts et les presses, légèrement, puis de plus en plus fort, je les fais rouler avant d'y planter mes ongles.
Je sais que sous la douleur naît une excitation bien plus profonde. Alors pour atténuer celle-ci, je me penche pour apposer sur tes tétons ma bouche, ma langue. Je les aspire, et toi tu désir plus fort
Ma malice étant toujours présente, je commence alors à les mordiller, puis à resserrer les dents au fur et à mesure que je te sens parti dans cette montée de plaisir douloureuse où tu te lâche en toute confiance. Appelant, suppliant des soupirs de désirs.
Tu es si beau lorsque tu es désireux !!!..............
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Vieux récit encore brouillon épisodes exhumé du passé. Gorgé de fautes certainement puisque jamais véritablement achevé .
Ma chère tante
Chère Tata, Cela fait quelques temps que je ne vous avais pas écrit, j’espère que vous allez bien et que vos déménagements se déroule comme vous voulez. Ce n’est jamais facile de quitter un endroit mais il faut surtout penser qu’une nouvelle vie commence, pleine de découvertes. Je viens vers vous car vous êtes la seule personne à laquelle je peux confier ce qui m’arrive et peut être vous pourrez m’aider et me conseiller. Je vous avais parlé de ma copine Lilou que je connais depuis l’âge de 6 ans, depuis que nous sommes inscrites au club de gym. L’année dernière, comme elle a les mêmes problèmes d’argent que moi depuis que ses parents ont divorcé, nous avons commencé par faire de l’animation dans les centres de loisirs et puis comme usant depuis qu’une nouvelle directrice était arrivée, nous nous sommes rabattues sur des petits jobs, baby sitting, aide aux devoirs qui permettent de gagner un peu d’argent et de poursuivre nos études au lycée. Elle et moi chaque mercredi, lorsque nous nous retrouvons sur le tapis du club, nous faisions le bilan de notre journée, savoir laquelle avait gardé les pires monstres, aidé aux devoirs les meilleurs cancres, bref on partage nos expériences bonnes ou mauvaises vécues durant la semaine écoulée. Parfois, une propose à l’autre une garde qu’elle ne pouvait faire ou un job d’opportunité. Mais voilà alors que de mon côté je poursuivais mon petit chemin pour gagner quelques économies, j’ai senti au fil du temps un changement dans son comportement, elle semblait ne plus avoir grand chose à raconter, pourtant elle portait des tenues nouvelles, devenait plus lumineuse mais quand je l’interrogeais elle me répondait vaguement, trop vaguement. Alors j’ai commencé à la titiller de questions, plus elle était évasive plus ma curiosité était attisée. J’ai bien senti que mes interrogations la dérangeaient, qu’en elle il y avait un secret, une énigme. Chaque mercredi je faisais exprès de lui raconter mes moments les plus drôles ou fatigants de la semaine et je finissais par la question croche pied, Et toi .... ça s’est passé comment ? De fil en aiguille, à force de l’aiguillonner j’ai obtenu des échantillons de réponses, des pistes que j’ai suivi pour voir si elles étaient bonnes ou s’il s’agissait de leurres. Et un mercredi soir, alors que nous rentrions à pied après la séance, elle a fini par mes tendre un fil d’Ariane que je n’ai cessé de tenir fermement entre mes mains pour m’y retrouver dans son labyrinthe obscur. Au départ elle m’avoua avoir cessé de garder des enfants, de faire de l’aide au devoir pour se consacrer à un nouveau type de boulot, moins fatigant, plus rémunérateur.... Elle finissait toujours ses phrases par des points de suspension qu’il me fallait transformer en interrogation si je voulais connaître la suite. Alors elle avança un peu plus m’entrainant derrière elle, me raconta qu’elle aidait des personnes âgées, un peu comme une auxiliaire de vie sans en avoir le statut ni la formation. Chaque mercredi, elle allait chez des personnes pour faire des petites tâches, courses, ménage, lecture..... J’ai été surprise par le fait qu’elle pouvait être mieux payée, simplement en faisant de la lecture. Et là, elle s’est assise sur le banc de l’aire de jeux devant son bâtiment et sans me regarder, elle a doucement soufflé sur la brume de mes questions pour qu’enfin je puisse y voir plus clair. D’abord elle m’a fait promettre de ne rien dire à personne, je sais que je pourrais vous faire confiance Tata pour garder ce secret de votre côté. Elle n’allait pas en fait chez Des, mais Une personne âgée, en l’occurrence un homme, qui avait passé une annonce cherchant une jeune femme pour l’aider certains jours de la semaine. L’annonce était vague, elle y avait répondu et depuis chaque mercredi elle se rendait chez lui avec une jolie somme d’argent au sortir. Evidemment j’ai creusé le sillon pour savoir combien d’heures elle passait chez lui, combien elle gagnait, ce qu’elle devait vraiment faire, si c’était crevant, intéressant, ce qu’elle entendait par faire de la lecture, bref j’avais la bouche comme une nuée de merles qui n’avaient de cesse de la harceler et picoter sa cervelle. J’ai senti que leurs becs étaient parvenus à déchirer le voile de sa gêne et elle finit par cracher le morceau, ce qu’elle doitlire à ce monsieur, Richard est son prénom, ce sont des romans érotiques. Tout de suite, comme pour se justifier, elle a précisé qu’elle ne se prostituait pas mais que chez cet homme l’érotisme était un art, une façon de faire, de vivre, de penser. Imaginez Tata, Lilou ne le sait pas mais vous OUI, combien ma fascination envers les hommes mûrs a été soudainement exacerbée par cette soudaine révélation !!! Doucement, le bas de mon ventre a pris les commandes de ma bouche et je ne sais pas vraiment qu’elles étaient mes lèvres qui ne cessèrent de lui poser des questions. Lilou aussi me précisa que cet homme lui donnait des devoirs à effectuer, des sortes de rédactions qu’elle devait rapporter le mercredi suivant. C’était confus mais je ne cessais de m’imaginer franchir le seuil de la maison de cet homme, assis au coin d’une cheminée, un chat sur les genoux pendant que la mienne serait à ronronner ma cyprine à force d’ânonner des chapitres entiers de romans à l’eau de vulve. J’ai voulu savoir qui il était, son âge, j’ai de nouveau interrogé Lilou sur combien il lui offrait et lorsqu’elle m’a dit la somme que parfois elle pouvait gagner, j’ai eu comme un tournis, 100 euros pour lire, faire des rédactions, un peu de ménage et l’accompagner parfois faire des courses !!!!! Tata moi qui en gagne 50 difficilement le cerveau et les oreilles rabotés par les cris d’un après midi entier de torture mentale !! Je ne suis pas jalouse ni envieuse Tata, vous le savez mais là, Si, j’avoue avoir ressenti une envie de vouloir une part de ce gâteau. Au moins passer un entretien, les samedis lilou n’étant jamais libre les samedis moi je pourrais aider ce brave homme à connaître la suite des romans sans attendre le mercredi suivant. Soudain Tata, j’ai tordu en tous sens, étiré, martelé d’un poing ferme mes points d’interrogation pour qu’ils se dressent en exclamation, fiers, droits, affirmés. J’ai des super notes en rédaction !! J’adore lire, c’est ma passion !! Je me ferai toute petite et discrète !! J’en ai marre de gagner des misères et de remplir mon porte monnaie de façon aussi maigre !! Et....... ET.... ( je kiffe les hommes mûrs si tu savais lilou !!) mais ça je n’ai pas pu lui avouer, le message ne pouvait être que subliminal. Elle finit à force de harcèlement, sans doute pour faire cesser le flot de mes mots par céder, me promettre au moins de lui parler de moi, lui suggérer de me faire venir à son domicile. J’attends sa réponse, j’ai hâte d’être à mercredi, peur aussi Tata, peur que la réponse soit négative voilà pourquoi je passe mes nerfs à venir en confession auprès de vous. Je peux vous l’avouer, lorsque je suis rentrée à la maiSon , une fois le dîner pris, j’ai dit à maman que j’étais crevée et voulait me coucher tôt et je n’ai pas pu m’empêcher de regarder mes livres d’images, ceux dont je ne vous avais parlé pour stimuler mes doigts et m’évader au coin d’une cheminée et faire ronronner ma turbine à plaisir. Je dois vous laisser et filer à l’autre bout de la ville soutenir une sixième pour son français. Espérons que ce sera une des dernières fois avant mon nouveau travail... Kiss La puce
<font _mstmutation="1" _msttexthash="1732319589" _msthash="446">Ma chère Tante épisode 2
Chère Tata quelle rapidité pour me répondre !! Merci pour votre compréhension, je savais que je pourrais vous faire confiance. Au moins, vous n’oubliez pas la mémoire de votre jeunesse et les tourments qui l’accompagnent. Non je n’ai encore aucune info de la part de Lilou, je n’ai pas envie de la harceler encore de peur qu’elle ne se recroqueville et perdre une chance de me mettre au service de Monsieur Richard. Je préfère attendre mercredi prochain. Le livre d’images ? Je pensais vous en avoir parlé un jour, il s’agit en fait de photos, dessins, tableaux que je collectionne depuis que je suis en âge de... Comme une boîte à madeleines, je l’ouvre certains soirs et je m’évade du bout des yeux, les ferme ensuite pour passer le relais à la pulpe de mes doigts. Peut-être un jour, je vous ferai entrer dans cet univers secret. Je tiens à vous prévenir, certaines images, sans les clés, risquent de vous paraître bien décevantes. Donc, puisque vous me le proposez si gentiment alors oui j’accepte de vous informer de tous les évènements qui pourraient arriver dans un avenir proche. Encore quatre jours d’impatience. Vous tutoyer ? Oh non, certainement pas, je ne pourrais ni le voudrais d’ailleurs, ce serait comme demander à Cendrillon d’abandonner ses parures de Princesse pour revêtir ses oripeaux. Concernant votre dernière question .... Oui, je le suis toujours. Kiss La puce
Ma chère Tante épisode 3
Tataaaaaa ,Il a dit OUIII !!!!!!!IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Oh mon dieu, Votre puce saute de partout en tous sens. Je n’arrive pas à y croire. Ce monsieur accepte de recevoir chez lui, en sachant si peu de moi, une parfaite inconnue !!! Bon, petit retour en arrière, de quelques heures car l’information est toute fraîche. Lilou est arrivée en retard à la séance de gym, à tel point que je pensais ne pas la voir du tout et me demandais si ma patience n’allait pas briser sa chaîne pour filer une fois les étirements achevés et le vestiaire quitté chez elle pour sonner à a porté et prendre de ses nouvelles et savoir si.... J’ai même idiotement pensé au pire, que son après midi avait été celui de trop que la générosité masquait une Barbe Bleue et je fus prise de vertige, déséquilibrée par mes pensées fantasques, au moment où j’arpentais la poutre pour finir sur les fesses sur le tapis. C’est à cet instant que je vis le juste au corps de Lilou apparaissant puis son regard me chercher parmi les autres filles et une fois en cible de ses yeux me regarder, former un cercle avec son pouce et son index et décocher du carquois de sa bouche un sourire complice. Imaginez Tata !! Oui, imaginez, toute la séance à devoir attendre, savoir, déglutir les questions qui me venaient en gorge, et Elle, pas un mot, juste des baillons de " je te dirais tout à l’heure « . Jamais séance fut aussi longue croyez moi et j’ai pas trainassé une fois l’heure arrivée, Lilou en parfaite Si. Elle prit un malin plaisir à papoter avec la prof de je ne sais quelle futilité. Puis s’attarda avec une fille pendant que j’étais en train de m’étrangler avec ma chaîne à tirer comme une forcenée sac à l’épaule blouson sur le dos, prête à partir sur le chemin et ouvrir grandes mes oreilles. Elle me regardait du coin de l’oeil subrepticement juste pour voir si mon visage n’était pas encore bleui d’impatience. Enfin, elle fût prête, une des dernières cependant à sortir du vestiaire, ce qui est rare chez elle. Elle est comme vous sur ce plan, elle connait certains de mes points faibles et n’hésite pas à en abuser . Une fois dehors, loin des oreilles indiscrètes, j’ai shooté dans son silence malicieux en assénant un " ALORS ???? Ensuite, ENFIN elle consentit à m’en dire plus. Que Oui..... et elle employa le mot Parrain comme s’il était un parent et devant mon air sans doute interrogatif m’expliqua que c’était ainsi qu’il aimait être nommé et que si je devais passer le seuil de sa porte régulièrement, je devrais moi-même m’adresser à lui en ses termes. J’étais prête à porter ce tablier de mots et passer le plumeau sur ses bibelots et lui faire la lecture. Elle poursuivit, m’indiqua qu’effectivement je pourrais en articulant l’EVENTUELLEMENT, prendre mes fonctions d’accompagnatrice les samedis mais qu’il me fallait avant toute chose, m’acquitter d’une lettre expliquant qui j’étais et la motivation qui me conduisait à proposer ma candidature. Alors là, à cet instant et maintenant encore, mes pieds ont vacillé. En fait tata je n’avais pas encore envisagé la suite et me voici devant une tâche immense. Peut être, étant donné que vous me connaissez, vous pourriez m’aider à rédiger ma lettre de motivation dans des termes qui lui donnent envie de me recevoir en vrai. Tata , s’il vous plaît, Lilou a reçu l’ordre visiblement de ne me donner aucune indication. Une des rares informations que j’ai obtenue, c’est que je ne devrai Jamais porter de soutien-gorge si j’accepte de devenir son auxiliaire de vie. Oui Tata, vous avez bien lu mais cela ne veut pas dire que je devrai ne rien porter du tout mais juste sa manie est de vérifier lorsqu’elle arrive chez lui, d’un geste furtif à son dos si aucune accroche n’est palpable. Une fois rassuré, il ne cherche pas, elle me l’a juré à voir ni toucher ses seins. Voilà ce que je peux vous dire ce soir et me voici devant une page blanche me demandant par quoi commencer. Quelques mots de vous, juste de quoi remplir mon encrier seraient les bienvenus. Kiss La Puce
</font>Ma chère Tante épisode 4
Chère Tata ,Merci pour vos conseils toujours précieux , même si je ne vais pas les suivre à la lettre. Bonjour Monsieur, Je vous remercie de me donner une chance de vous rencontrer et juger de ma motivation pour accompagner vos samedis. Je ferai mon possible pour être disponible chaque fois que vous auriez besoin de moi. Je suis passionnée par la littérature, le français a toujours été une de mes disciplines favorites en classe alors pour vous faire la lecture comme Lilou me l'a dit, vous pouvez compter sur moi. Mes notes en récitations n'ont jamais été en dessous de 15......Tata , Je n'ai pas osé faire allusion au genre de roman qu'il fait lire à Lilou, ne sachant pas si elle devait m'en parler. Pour la partie ménage et courses, vous pouvez compter sur moi car comme maman travaille parfois tard, je me charge souvent de la soulager dans ce domaine......Bon là, Tata, j'avoue que j'ai été un peu menteuse, quand j'accompagne maman on devrait mettre les roulettes sous mes pieds plutôt qu'au caddy, et souvent elle me retrouve au rayon librairie. Si maman lisait ce que je suis en train de faire, Mon Dieu, je pense qu'elle n'en croirait pas ses yeux, sa fifille, si prude, sage et timide, pas un garçon à la maison, jamais la moindre sortie au-delà de 23 heures. Bon je m'égare je reprends Tata, voici comment ensuite je me suis présentée à lui, ce n'est pas un exercice facile que de parler de moi. J'ai toujours eu du mal, autant j'aime décrire les autres autant je suis plutôt indifférente à moi-même. Heureusement que vous avez su parfois m'aider à me mettre en valeur de façon plus aventureuse.....Pour ce qui est de mon physique, je suis un petit format de femme si j'ose dire je mesure 1.55 m et pèse 40 kg ....Tata j'ai failli écrire " toute mouillée " mais il aurait pu " mâle " interpréter l'allusion....Mais ne vous inquiétez pas, je pourrai porter vos sacs de commissions car comme Lilou je pratique la gym et j'ai dû souvent porter mon propre poids en faisant mes équilibres. Je suis blonde aux cheveux longs et mes yeux sont couleur noisette..... Voilà j'ai pas voulu en écrire de trop, en fait je n'y arrive pas, alors il devra se contenter d'un portrait succinct. Je suis prête à accompagner Lilou pour me présenter à vous et voir si mon profil vous intéresse et tenter de me prendre à l'essai un samedi.....Voilà Tata comment j'ai écrit mon courrier, j'avais vraiment du mal à faire cette lettre, je ne sais rien de lui ou si peu juste qu'il tâtonne dans le dos de Lilou, je prendrai soin de ne rien porter dessous au cas où ....Je vais maintenant passer ma langue sur la gomme de l'enveloppe et prier pour qu'il salive à son tour de moi. Vivement mercredi que je remette la précieuse enveloppe à Lilou, je crois que je vais aller chez elle la lui donner mardi soir afin qu'elle montre mercredi après-midi à monsieur Richard combien je suis motivée. OUI je vais faire ça !!! ce sera un bon point pour moi, j'en suis certaine. Kiss La puce
Ma chère Tante épisode 5
Chère Tata Je l’ai fait, j’ai apporté ma lettre il y a une heure à Lilou, chez elle, demain il pourra me décacheter et savoir un peu mieux qui je suis. J’espère vraiment lui donner envie d’étudier ma candidature. Lilou m’a regardée avec des yeux curieux et rieurs et n’a pas manqué de me dire que je prenais à coeur de rendre service moi aussi à son « parrain « . Elle m’a promis de plaider ma cause auprès de lui. Oui moi aussi Tata, je vous fait la promesse de Tout vous dire dans les moindres détails, Oui je vis faire attention à moi, ne vous inquiétez pas comme ça, vous savez très bien que je ne suis pas du genre à prendre des risques idiots. Je vous rappelle qu’être encore vierge à mon âge relève de l’exploit à notre époque à en croirecertaines de mes camarades de classes qui se sont vantées de ne plus l’être, pour certaines depuis les années collège. Oui tous les détails et toutes mes émotions, promis, Oui, comme si vous étiez mon cahier intime, d’accord sans aucun tabou je raconterai tout. Comment avoir des tabous avec vous après nos vacances passées ensemble. En ce qui concerne votre question à propos de mon livre d’images... C’est un peu gênant, je l’avoue, pour plusieurs raisons, d’abord c’est un truc hyper intime en fait j’ai peur qu’en vous montrant le genre de choses qu’il contient, il perde soudain de son pouvoir à mes propres yeux. Ensuite, ces images peuvent être n’auront aucun sens pour vous alors que chez moi c’est radical, de les voir, en parler seulement me fait fondre de partout et surtout du bas, c’est magique. Je ne les regarde pas souvent, juste parfois pour me stimuler, me faire partir comme un vieux film qui rappelle tant de souvenirs passés. Je vais réfléchir à votre demande. Je vais filer au lit et puisque vous m’en avez parlé, me replonger dans les archives, ma banque de données intimes, peut-être même que si l’envie vient je pourrais imaginer monsieur Richard à la place de certains personnages clés de ma serrure à envies. Je file au lit, m’entendre, me tendre, m’entendre et écouter mon ventre résonner de déraisons. Vivement demain et maintenant pour moi, ce sera à .... deux mains. Kiss La puce
Ma chère Tante épisode 6
Chère Tata,
J’ai passé ma journée, surtout l’après-midi à croiser les doigts pour Lilou, prier pour qu’elle soit persuasive, trouve les mots pour appuyer ma candidature.
Je vous remercie pour le petit mot ce matin, ça m’a réchauffé le coeur.
Alors, après avoir tourné dans tous les sens, être parvenue à faire mes devoirs, avoir pris ma douche, rangé deux fois ma chambre et lu quinze fois la même page du même roman sans me souvenir de ce qu’elle contenait, il était enfin l’heure d’aller sur les tapis et savoir enfin si c’était Oui ou Non.
Je suis arrivée la première, Lilou n’a pas tardé cette fois, le visage fermé, grave, vous savez celui des nouvelles que l’on aime pas porter.
Elle a commencé par me dire qu’elle avait bien donné ma lettre à son parrain, qu’il avait attendu presque qu’elle soit sur le point de partir en fin d’après-midi pour l’ouvrir. Je me suis dit que c’était cuit, s’il mettait si peu d’empressement, la réponse était-elle courue d’avance.
Il a lu mon courrier sans dire un mot puis à la fin a remis avec précaution ma lettre dans son enveloppe, retiré ses lunettes..... Oh tata lilou me racontait tout, chaque détail alors que j’avais juste besoin qu’elle abrège mes souffrances.
Pour finir elle me dit, en plongeant ses yeux droit dans les miens qu’il n’était pas vraiment satisfait du contenu de mon écrit et ....... Que samedi prochain, j’allais devoir venir passer l’oral !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
OUI Tata, vous avez bien lu, samedi je suis invitée à venir défendre chez lui et ratt****r mes points de retard !!!!!!
Alors j’ai demandé à Lilou à quelle heure nous irions chez lui et mon enthousiasme s’est transformé en angoisse..... elle a sorti de sa poche une carte de visite avec l’adresse de son « parrain » et dit que je devrai me présenter à 14h précise, seule chez lui !!
J’avais l’impression d’être sous une douche le corps à moitié aspergé d’eau froide tandis que l’autre était dans l’ébullition.
Cette fois, j’ai les cartes de mon destin en main et je ne peux plus compter sur elle pour faire avancer les choses.
J’ai pas pu m’empêcher de lui poser une tonne de questions sur ce que je devais faire ou ne surtout pas faire pour éviter de me vautrer dans l’exercice. Comme si je la croisais à la sortie de l’épreuve avant de rentrer dans la classe et affronter les profs. Glaner un maximum d’informations et éviter les pièges tendus.
Pour toute réponse, j’ai obtenu qu’il me fallait rester naturelle, ne pas en faire trop, utiliser un vocabulaire correct, il est très à cheval sur les bonnes manières.
Il a le titre de Comte même si n’aime pas trop en parler, il est issu d’une famille noble.
La seule information importante de la part de Lilou fut de me prendre la main de me tourner le dos et poser le bout de mes doigts à l’endroit où devrait se trouver l’attache de son soutien-gorge. Elle n’en avait pas, elle sortait de chez lui, j’avais le bout de mes doigts là même où quelques heures avant, il avait posé les siens !!
Je sentais presque sa présence sur le dos de Lilou, c’était magique, vraiment Tata.
Alors voilà, j’ai passé ma séance de gym en équilibre sur la poutre de mes angoisses et une fois rentrée à la maison, j’ai ouvert ma garde-robe pour trouver ma tenue d’entretien d’embauche. Je ne sais pas, vraiment je n’ai aucune idée de ce que je porterai dans 3 jours.
Oh mon dieu je vais passer trois jours d’angoisse à ronger mon frein, je me connais Tata je vais être sujette à renoncer, à aller en cachette voir où se situe sa maison pour tenter de l’apercevoir. Je n’aime pas cela et pourtant d’un autre coté j’avoue adorer me sentir torturer.
Vous en savez quelque chose Tata, je ne suis bien que sur la bascule.
Je vais me faire descendre la tension en m’allongeant, je suis trop chargée d’électricité.
Je vous embrasse
Baiser
La Puce
Chère Tata, J’ai l’impression d’être à ma première communion, fébrile dans l’attente de la cérémonie, merci de me chaperonner. Oui c’est une très bonne idée de m’entraîner à lire à voix haute, on ne sait jamais si il me soumet à l’épreuve de la lecture. Je vais lire plusieurs pages de plusieurs romans pour avoir une élocution impeccable. Merci beaucoup je n’y avais même pas pensé. Par contre pour ce qui est de votre suggestion concernant ma tenue.... comment vous dire, la robe turquoise don’t vous me parlez, souvenez-vous... Lorsque la vendeuse est venue à votre demande donner son avis en nous rejoignant dans la cabine d’essayage, elle n’a pas osé vous contredire tellement vous vouliez faire cet achat mais ses yeux en disaient aussi long que la robe était courte, c’est peu dire !! J’avais du mal à m’asseoir ayant trop peur que tout le monde voit ma culotte. Vous semblez oublier que sur le marché, même si c’était par jeu, vous m’aviez tout de même dit dans le creux de l’oreille que je devrais avoir honte de me promener ainsi. Maintenant que c’est du passé, je peux vous dire qu’au retour de mes vacances, j’ai punie ma Barbie de la même façon en lui coupant une robe jusqu’à presque voir ses fesses et je lui faisais la morale comme vous avec moi, je prenais toujours une voix plus grave tellement j’avais honte d’employer les mêmes mots que vous. Tata chérie, si je veux arriver jusqu’à la porte, soit je pars de très bonne heure pour pouvoir traîner le poids de tous les pervers de la ville accrochés à mes chevilles ou plus simplement ,j’opte pour quelque chose de plus discret et moins moulant car depuis Tata , j’ai pris un peu de volumes. Je sais que je ne suis ni grande ni grosse mais quand même. Ceci dit je l’ai gardée même si je ne l’ai portée que deux fois et uniquement avec vous, elle est toujours là dans ma penderie, pleine de souvenirs mielleux. Je vais mettre un pantalon cigarette, ainsi mes jambes seront noyées dans le tissu, je ferais moins maigre du bas et pour le haut puisque je ne devrai pas porter de soutien-gorge, je vais mettre un chemisier large blanc. Je pense que ce sera pas mal et fera soigné. Par contre Lilou m’a dit de rester naturelle mais je ne sais pas comment interpréter cette info, maquillage ou pas, boucles d’oreilles ou non, cheveux lâchés ou stricts, c’est le flou total, donnez-moi votre avis en évitant de me conseiller les nattes et les boucles d’oreilles avec des nounours roses !! Je dois vous quitter, j’ai cours dans trente minutes je file. Mon dieu si les autres filles de ma classe savaient !! De toute façon, elles ne me croiraient pas. KissLa puce Ps : Oui je pense aux images Tata, mais j’ai vraiment du mal à ouvrir la boîte de Pandore, je suis désolée.
<font _mstmutation="1" _msttexthash="5542643730" _msthash="447">Ma chère Tante épisode 8
Chère Tata ,Voilà c’est demain, lorsque je vais me lever si j’arrive à dormir cependant je vais me voir dans le miroir en m’imaginant le traverser pour plonger dans l’inconnu. Here j’ai été tentée d’aller voir Lilou lui demander des derniers conseils, sur si je devais mettre des talons ou plutôt rester en basket. J’ai finalement choisi la discrétion, de toute façon me promener dans la rue, il habite de l’autre côté de la ville en talons hauts, j’ai pas assez d’entraînement, je finirais aux urgences avec une cheville foulée. Here pour me rompre les amarres avec mes boulots d’avant, j’ai décommandé la séance de baby-sitting et celle de l’aide aux devoirs. Alea Jacta Est désormais, le Rubicon va être franchi. J’ai suivi votre conseil Tata, je ne me suis pas touchée depuis hier soir mais vous savez, si vous pensez que d’y aller sous tension de bassin pour garder mon inconscience, j’espère que ça ne me fera pas l’effet inverse !! J’ai lu encore ce soir, je suis devenue une vraie pro dans le domaine, j’espère juste que Monsieur le comte ne sortira pas de vieux grimoires poussiéreux en vieux François ou plus grave, ces trucs érotiques don’t Lilou m’a dit qu’il était friand d’écoute sans m’en dire plus car moi je me suis entrainée avec du Zola, Victor Hugo et Stephen King !! Mes affaires sont sur la chaise pliées prêtes à être enfilées, j’ai mis pour dormir chose inhabituelle un soutien-gorge, histoire que demain lorsque je n’en porterai pas, la sensation soit plus vive de sentir le frottement du tissu sur la pointe de mes seins. J’ai les bouts de doigts tout énervés mais je vais tenir bon Tata. Bon pour les images, j’avoue que ce n’est pas le moment de replonger dedans sinon je ne vais pas pouvoir tenir longtemps alors promis, si demain ça se passe bien, je vous en donnerai quelques-unes qui ont le pouvoir de presser ma petite cervelle comme un agrume et d’en récolter du jus par le bas. Je crois que vous devriez venir m’attacher les mains aux montants du lit ou me mettre des gants de boxe, dès fois qu’en rêvant mes mains veuillent accompagner mes songes. Kiss La puce
Chère Tata, Il est 18h30, je reviens de là-bas.... mon message sera court mais vous en comprendrez le sens. Je file m’allonger j’ai trop chaud en bas des reins. A tout de suite Kiss La puce
</font>Ma chère Tante épisode 9
Chère Tata ,
J'ai encore les doigts embaumés de moi, j'ai dû me frotter la bonbonnière deux fois pour me calmer sans pourtant rassasier mon appétit mais j'ai laissé des cristaux de désir au fond de la boite, lorsque j'aurais fini de vous raconter mon après-midi, nul doute que j'irai passer mes doigts humides pour me délecter de nouveau. Tout, oui TOUT absolument tout, la viande encore chaude je vais vous décrire ce qui a été ma première rencontre car OUI TATA j'ai décroché le job. Samedi prochain et les suivants je suis au service de Monsieur le Comte excusez du peu !!!!!!C'était !!!!! Hummmm c'était .......au-delà de toutes mes espérances et fantasmes, vraiment j'étais loin de m'imaginer vivre des moments pareils !!!!J'ai croisé celui dont j'ai toujours rêvé, mature à souhait mais je m'emporte, reprenons depuis le début puisque vous voulez tout savoir....Alors d'abord quand je me suis habillée quelques minutes avant de sortir j'ai regardé attentivement mes seins lorsque j'allais boutonner mon chemisier, j'ai passé mes doigts dans le dos là où il devait poser les siens en fermant les yeux et imaginant que c'était les siens. J'ai dit comme chaque samedi au revoir à maman, elle m'a dit que j'étais mignonne aujourd'hui sans se douter que j'allais voir un homme pour un autre genre de devoirs même si je ne savais pas où aller me mener mes pieds. Tout le long du chemin j'ai senti mes tétons durcir sous l'effet du tissu qui frottait, ainsi je pensais à vous quand vous me conduisiez au marché, devant le marchand de fruits et légumes où j'aurais pu m'allonger à l'étal avec mes demi citrons proéminents sous les bustiers trop justes que je devais enfiler. J'avais la sensation que malgré ma tenue somme toute pudique tout le monde voyait écrit sur mon front avec des lumières clignotantes comme dans les foires " Attention Boucle d'Or va chez gros ours brun se faire dévorer le cerveau !!!!!»Le chemin était long et il habite tout en haut de la colline, la maison la plus vaste, la plus haute, sans doute un héritage de ses ancêtres, sa famille doit y habiter depuis des générations. Petit chaperon avait mal aux mollets en arrivant devant la bâtisse du méchant loup. Les derniers mètres furent les plus longs ça tintamarrait fort dans ma cage thoracique et pourtant la galère de mon corps semblait reculer plutôt que fendre la vague dans le bon sens. Il devait être à la fenêtre, j'étais là dix minutes en avance, à me guetter, me soupeser, me jauger, derrière quels rideaux se cachait il?
Il y avait tellement de meurtrières dans sa forteresse par où ses yeux pouvaient m'atteindre. Je n'ai pas pu ouvrir la grande grille qui me bloquait l'entrée et j'ai vu la sonnette sur le pilier en pierre, sa forme et le saillant du bouton me fit penser à ma poitrine en cet instant, tendue, fièrement dressée .La porte s'est ouverte, j'ai marché dans les graviers pendant quinze ou vingt mètres avant de grimper les douze larges marches évasées qui menaient à une double porte qui devait peser bien au-delà de moi au carré. Et de nouveau il me fallut appuyer sur le sein sauf qu'au moment d'effleurer la tétines sonore, la porte s'est ouverte et je l'ai vu !!!!!!Oh Tata ce n'est pas barbe bleue mais blanche, un Père Noel me faisait face, je me sentais redevenir petite fille avec l'envie de m'asseoir sur ses genoux pour attirer ses faveurs. Un regard !!! Quel regard, difficile à soutenir mais une fois qu'il vous capture dans ses filets, impossible de s'en sortir tant il harponne. Votre petite sardine avait beau frétiller je ne pouvais lâcher ses prunelles de vieux loup de mer. Oui il me fait penser à un commandant de paquebot dans les années folles, offrant sa main pour aider les jeunes femmes à progresser sur la passerelle. Il n'est pas du tout du genre pervers avec la langue qui pourlèche le museau en faisant des gargarismes gutturaux et les mains en avant pour taper de la poulette fraiche. Non vraiment pas, il a, Il est, je ne sais pas comment dire tellement il parait difficile à sonder mais plus c'est profond moins je m'ennuie. J'ai toujours été passionnée par l'archéologie plus il y a de strates et d'humus plus je me réjouis de découverte à venir...Je poursuis Tata ...Alors il m'a invitée à rentrer, j'ai fait deux pas et me suis retrouvée face à moi-même, presque surprise de voir mon double à l'allure si chaste devant moi tandis que la succube pressait son huile filtrée dans les fibres de sa culotte. Dans le reflet sa masse si grande par rapport à ma fragilité et sans que je vois son bras se tendre vers moi, il posa exactement deux doigts incroyablement précis là même où aurait dû se tenir les agrafes. J'avais l'impression qu'il venait de jeter un caillou à la surface de mon dos liquéfié et que l'onde se propageait en cercles concentriques vers ma nuque jusqu'au bas de mes reins allant même par le devant chatouiller mes seins. Le contact fût bref, l'oscillation longue. Ensuite, par le flanc il me doubla pour m'inviter à le suivre dans une immense salle à manger où des portraits sans doute d'ancêtres semblaient toiser la nouvelle venue. Nous finîmes par arriver dans un grand salon bibliothèque aux essences de bois chaudes, la cheminée était là, je rêvais de devenir la bûche qui alimenterait la chaleur de son foyer. Pas de chat du moins dans les alentours mais un fauteuil au cuir plissé par l'usure du temps. Il m''invita à prendre place dans le fauteuil en face. Trois jours avant les fesses de Lilou devaient être posées au même endroit. Enfin, j'entendis sa voix, chaude, rassurante, une voix de couette moelleuse. J'étais à ce point vautrée au creux de celle-ci, qu'il dû répéter une seconde fois la question que j'avais vu s'éloigner au bout du quai sans monter dans le wagon. Me demanda si j'avais trouvé facilement sa demeure. La solitude familiale m'évita les pièges du babillage inutile et ainsi de me prendre les pieds dans le tapis.
Puis il a sorti ma lettre, celle de ma motivation, a chaussé ses lunettes, l'a repliée avec soin, puis sans un mot il a baissé sa monture pour regarder celle face à lui, passa de mes pieds et remonta jusqu'à mon visage pour fixer mon regard. C'était tellement impressionnant Tata, je me sentais si petite face à lui et c'est bizarre de se laisser ainsi regarder, je me sentais nue, vraiment, j'avais le sentiment qu'il détaillait la moindre de mes courbes, qu'il devinait ce que pouvait cacher mes tissus. C'était pas désagréable mais gênant ou plutôt déstabilisant voilà c'est le mot exact Tata. Enfin, il me demanda quels types de romans j'aimais lire et aborda sans complexe ceux dont il aimait qu'on lui fasse la lecture, les érotiques .Est-ce que cela me dérangeait, bien entendu j'ai répondu que non, que je tenterai de le satisfaire du mieux que je pourrais. Alors, il m'indiqua du doigt une des portes fermées de la bibliothèque afin que j'aille y chercher un roman au hasard pour juger sur pièce de mon élocution. Je me suis levée, j'ai ouvert la porte et là Oh Tata mon Dieu !!! rangées à la verticale de nombreux romans aux titres évocateurs Onze Mille verges, Venus Erotica, Justine ou les malheurs de la vertu, et j'en passe dont j'ai oublié les noms. Il y avait aussi, posés à plat, une épaisseur de magazines, euh, disons pour grandes personnes, vous savez, que les hommes regardent pour se donner du plaisir. J'ai juste vu celui du haut et sa couverture, disons que la fille aurait pu tirer la couverture plus haut tant elle était dévêtue, elle paraissait jeune, de petits seins mais un sourire carnassier et un regard tellement !!!!Bref j'étais sans avoir eu le temps de m'adapter mise en condition. En fait j'avais beaucoup de mal à imaginer cet homme lire de telles revues. Il y avait comme une sorte de décalage, un truc qui ne collait pas, mais bon, je me souviens de vos mots si souvent répétés concernant les hommes lorsqu'ils voient ne serait-ce qu'un bout de cuisse. Enfin, toujours est-il que j'ai pris un des romans sans réfléchir un peu comme à la roulette russe, espérant ne pas avoir choisi le plus graveleux pour ma mise en bouche. Je suis tombée sur Une fille mal élevée de Dominique, au féminin Féjos. Inconnue. Un roman plutôt vieux comme ceux que parfois on trouve chez les bouquinistes ou dans les foires à la brocante. Déjà, il n'y avait pas de photos dedans, enfin pas encore car Monsieur Richard me dit que cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas lu et que puisque tel était mon choix, je pourrais le prendre afin de l'étudier et le lire de façon fluide..... Samedi prochain. OUI TATA vous avez bien lu, en quelques minutes votre puce est parvenue à faire impression et décrocher le job, et chaque samedi, adieu les garnements les crises de nerfs à calmer. Donc il me dit que je devrai l'emmener chez moi et que je pouvais ouvrir la boite en métal qui contenait jadis des biscuits pur beurre pour prendre un marque page, je lui ai dit que ce n'était pas la peine, j'avais ce qu'il fallait à la maison et j'ai bien senti que lorsqu'il insista, j'avais la tête dans le collet alors j'ai ouvert la boite pour lui faire plaisir et là surprise, il y avait une multitude de photos uniquement, du moins de ce que je vis sans fouiller, représentant des filles nues, peu vêtues en maillot de bain, ou vêtues de façon sexy, parmi elles Lilou était là, présente, pas nue mais la photo était suggestive. J'ai fait comme si je prenais un biscuit, poliment, sans chercher à choisir vraiment parmi les goûts proposés et j'ai choisi d'emporter avec moi celle qui m'avait permis de décrocher ce boulot qui débutait de façon tellement étrange. Je n'ai pas résisté à l'envie de la partager à vos yeux Tata, vous voyez, Elle n'est pas nue mais c'est sans doute comme si. Vous pensez comme moi ? Ca me rappelle lorsque je devais porter des débardeurs
tellement ajustés, sans rien dessous que mes petits globes et ce plaisir dans votre regard, avant de passer la porte, de tirer mes pointes pour qu'elles surgissent sous le tissu. Il y a des choses que l'on oublie pas, Tata, et lorsque mes tétons avaient le malheur de vouloir se reposer, vous jetiez un rapide coup d'oeil alentour et l'étau de vos doigts venaient rapidement les revigorer. Alors , j'ai dû montrer à Monsieur Richard mon choix, il me dit que j'avais eu raison que je devais connaitre son corps nu lorsque nous nous changions dans les vestiaires. J'avais dans ma main droite un roman sans doute érotique dans l'autre une photo de mon amie au regard provocateur, qu'est-ce que debout face à cet homme, trônant tel un comte dans son château je pouvais répondre ? Il n'attendait pas de réponse, me demanda d'enchaîner en ouvrant le livre au hasard. Le hasard est un bien étrange compagnon de route tata, il me conduit parfois dans des chemins tortueux. J'ai déposée Lilou sur la table entre nous comme une chainette nous reliant lui et moi et j'ai lu un passage où la fille pose pour un sculpteur plus âgé, nue bien entendu mais ça va, pas de mots gras ou de vulgarité, j'ai fait le bon choix ou alors, coup de chance, j'ai ouvert le roman à la bonne page. Ce soir je vérifierai si tout le roman est du même acabit. Mes doigts seront mon meilleur thermomètre.....Pour ce bref passage chez lui, j'ai tout de même gagné 20 euros, certes c'était moins que ce que j'aurais dû gagner si j'avais été faire de l'aide aux devoirs, mais pour pas même une heure passée, à juste me présenter, je trouve que même bénévole j'y serais allée. Il avait des choses à faire et me pria de rentrer chez moi, je lui ai demandé si je pouvais l'aider, il déclina mon offre puis me demanda de revenir à la même heure samedi prochain et de bien lire le roman car la séance serait plus longue. Il m'a tendu la photo de Lilou, la pointe de ses doigts était posée sur celles de ses seins, j'ai eu le souffle coupé alors que je glissais Lilou dans le roman, d'avoir la gentillesse et l'obligeance de revenir samedi prochain avec une photo de mon choix, dans le même genre pour remplacer le marque page que je lui avais emprunté. Alors que je digérais à peine son voeu, il trouva le moyen de me remettre une bouchée de gêne en précisant que je devais éviter d'apporter une photo de moi nue !!!!Je croyais rêver. Pour qui il me prenait, comme si j'étais le genre de fille à m'étaler sans vergogne sur les couvertures de ses revues cochonnes ! Non mais !!!!Je n'ai pas su, pu, voulu répondre à cela tellement le ton de sa voix était enveloppant de persuasion .Il ajouta avec comme une sorte de sourire mystérieux à la Mona Lisa qu'il ne voulait pas me voir mais me sentir nue. Il me raccompagna jusqu'à la porte, avant que j'en franchisse le seuil, posa son majeur sur sa joue pour me faire comprendre que je devais y porter mes lèvres en gage d'au- revoir, je dus me mettre sur la pointe des pieds pour baiser sa joue fleurie de blanc. Tandis que je dévalais les marches pour rentrer à la maison, il m'interpella d'une voix chaude alors que j'avais le dos tourné pour me dire de penser la prochaine fois et toutes les suivantes devenir en jupe ou enrobe. Et précisa: " c'est la règle pour venir travailler chez moi ".Voilà Tata, mon premier contact avec Monsieur le Comte. Je vais vous laisser, maman m'appelle depuis tout à l'heure avec insistance, si elle savait avec quel argent j'ai acheté le pain sur lequel elle va tartiner son fromage !!!!J'ai glissé le reste des sous dans ma tirelire, je ne doute pas un instant qu'elle se remplira bien plus vite que ces derniers mois, l'argent appelle l'argent.
Je file Tata, j'espère avoir été assez complète et détaillée comme vous me l'aviez demandé. Ce soir, allongée, je plongerai dans le roman pour parfaire ma diction, après sans doute, je crois que......Kiss La puce
Ma chère Tante épisode 10
Chère Tata ,
J’ai encore les doigts embaumés de moi, j’ai dû me frotter la bonbonnière deux fois pour me calmer sans pourtant rassasier mon appétit mais j’ai laissé des cristaux de désir au fond de la boîte, lorsque j’aurais fini de vous raconter mon après-midi, nul doute que j’irai passer mes doigts humides pour me délecter de nouveau. Tout, oui tout absolument tout, la viande encore chaude je vais vous décrire ce qui a été ma première rencontre car OUI TATA j’ai décroché le job. Samedi prochain et les suivants, je suis au service de Monsieur le Comte excusez du peu !!!! C’était !!! Hummmm c’était ....... Au-delà de toutes mes espérances et fantasmes, vraiment j’étais loin de m’imaginer vivre des moments pareils !! J’ai croisé celui dont je n’ai toujours rêvé, mature à souhait mais je m’emporte, reprenons depuis le début puisque vous voulez tout savoir.... Alors d’abord quand je me suis habillée quelques minutes avant de sortir, j’ai regardé attentivement mes seins lorsque j’allais boutonner mon chemisier, j’ai passé mes doigts dans le dos là où il devait poser les siens en fermant les yeux et imaginant que c’était les siens. J’ai dit comme chaque samedi au revoir à maman, elle m’a dit que j’étais mignonne aujourd’hui sans se douter que j’allais voir un homme pour un autre genre de devoirs même si je ne savais pas où aller me mener mes pieds. Tout le long du chemin j’ai senti mes tétons durcir sous l’effet du tissu qui frottait, ainsi je pensais à vous quand vous me conduisiez au marché, devant le marchand de fruits et légumes où j’aurais pu m’allonger à l’étal avec mes demi citrons proéminents sous les bustiers trop justes que je devais enfiler. J’avais la sensation que malgré ma tenue, somme toute pudique tout le monde voyait écrit sur mon front avec des lumières clignotantes comme dans les foires " Attention Boucle d’Or va chez gros ours brun se faire dévorer le cerveau !!! » Le chemin était long et il habite tout en haut de la colline, la maison la plus vaste, la plus haute, sans doute un héritage de ses ancêtres, sa famille doit y habiter depuis des générations. Petit chaperon avait mal aux mollets en arrivant devant la bâtisse du méchant loup. Les derniers mètres furent les plus longs, ça tintamarrait fort dans ma cage thoracique, et pourtant la galère de mon corps semblait reculer plutôt que fendre la vague dans le bon sens. Il devait être à la fenêtre, j’étais là dix minutes en avance, à me guetter, me soupeser, me jauger, derrière quels rideaux se cachait il ?
Il y avait tellement de meurtrières dans sa forteresse par où ses yeux pouvaient m’atteindre. Je n’ai pas pu ouvrir la grande grille qui me bloquait l’entrée et j’ai vu la sonnette sur le pilier en pierre, sa forme et le saillant du bouton me fit penser à ma poitrine en cet instant, tendue, fièrement dressée . La porte s’est ouverte, j’ai marché dans les graviers pendant quinze ou vingt mètres avant de grimper les douze larges marches évasées qui menaient à une double porte qui devait peser bien au-delà de moi au carré. Et de nouveau il me fallut appuyer sur le sein sauf qu’au moment d’effleurer la tétines sonore, la porte s’est ouverte et je l’ai vu !!!! Oh Tata ce n’est pas barbe bleue mais blanche, un Père Noël me faisait face, je me sentais redevenir petite fille avec l’envie de m’asseoir sur ses genoux pour attirer ses faveurs. Un regard !! Quel regard, difficile à soutenir mais une fois qu’il vous capture dans ses filets, impossible de s’en sortir tant il harponne. Votre petite sardine avait beau frétiller, je ne pouvais lâcher ses prunelles de vieux loup de mer. Oui il me fait penser à un commandant de paquebot dans les années folles, offrant sa main pour aider les jeunes femmes à progresser sur la passerelle. Il n’est pas du tout du genre pervers avec la langue qui pourlèche le museau en faisant des gargarismes gutturaux et les mains en avant pour taper de la poulette fraîche. Non vraiment pas, il a, Il est, je ne sais pas comment dire tellement il parait difficile à sonder mais plus c’est profond moins je m’ennuie. J’ai toujours été passionnée par l’archéologie plus il y a de strates et d’humus plus je me réjouis de découverte à venir... Je poursuis Tata ... Alors il m’a invitée à rentrer, j’ai fait deux pas et me suis retrouvée face à moi-même, presque surprise de voir mon double à l’allure si chaste devant moi tandis que la succube pressait son huile filtrée dans les fibres de sa culotte. Dans le reflet sa masse si grande par rapport à ma fragilité et sans que je vois son bras se tendre vers moi, il posa exactement deux doigts incroyablement précis là même où aurait dû se tenir les agrafes.J’avais l’impression qu’il venait de jeter un caillou à la surface de mon dos liquéfié et que l’onde se propageait en cercles concentriques vers ma nuque jusqu’au bas de mes reins allant même par le devant chatouiller mes seins. Le contact fût bref, l’oscillation longue. Ensuite, par le flanc il me doubla pour m’inviter à le suivre dans une immense salle à manger où des portraits sans doute d’ancêtres semblaient toiser la nouvelle venue. Nous finîmes par arriver dans un grand salon bibliothèque aux essences de bois chaudes, la cheminée était là, je rêvais de devenir la bûche qui alimenterait la chaleur de son foyer. Pas de chat du moins dans les alentours mais un fauteuil au cuir plissé par l’usure du temps. Il m''invita à prendre place dans le fauteuil en face. Trois jours avant les fesses de Lilou devaient être posées au même endroit. Enfin, j’entendis sa voix, chaude, rassurante, une voix de couette moelleuse. J’étais à ce point vautrée au creux de celle-ci, qu’il dû répéter une seconde fois la question que j’avais vu s’éloigner au bout du quai sans monter dans le wagon. Me demanda si j’avais trouvé facilement sa demeure. La solitude familiale m’évita les pièges du babillage inutile et ainsi de me prendre les pieds dans le tapis.
Puis il a sorti ma lettre, celle de ma motivation, a chaussé ses lunettes, l’a repliée avec soin, puis sans un mot il a baissé sa monture pour regarder celle face à lui, passa de mes pieds et remonta jusqu’à mon visage pour fixer mon regard. C’était tellement impressionnant Tata, je me sentais si petite face à lui et c’est bizarre de se laisser ainsi regarder, je me sentais nue, vraiment, j’avais le sentiment qu’il détaillait la moindre de mes courbes, qu’il devinait ce que pouvait cacher mes tissus. C’était pas désagréable mais gênant ou plutôt déstabilisant, voilà, c’est le mot exact Tata. Enfin, il me demanda quels types de romans j’aimais lire et aborda sans complexe ceux dont il aimait qu’on lui fasse la lecture, les érotiques . Est-ce que cela me dérangeait, bien entendu j’ai répondu que non, que je tenterai de le satisfaire du mieux que je pourrais. Alors, il m’indiqua du doigt une des portes fermées de la bibliothèque afin que j’aille y chercher un roman au hasard pour juger sur pièce de mon élocution. Je me suis levée, j’ai ouvert la porte et là Oh Tata mon Dieu !! rangées à la verticale de nombreux romans aux titres évocateurs Onze Mille verges, Venus Erotica, Justine ou les malheurs de la vertu, et j’en passe don’t j’ai oublié les noms. Il y avait aussi, posés à plat, une épaisseur de magazines, euh, disons pour grandes personnes, vous savez, que les hommes regardent pour se donner du plaisir. J’ai juste vu celui du haut et sa couverture, disons que la fille aurait pu tirer la couverture plus haut tant qu’elle était dévêtue, elle paraissait jeune, de petits seins mais un sourire carnassier et un regard tellement !! Bref j’étais sans avoir eu le temps de m’adapter mise en condition. En fait, j’avais beaucoup de mal à imaginer cet homme, lire de telles revues. Il y avait comme une sorte de décalage, un truc qui ne collait pas, mais bon, je me souviens de vos mots si souvent répétés concernant les hommes lorsqu’ils voient ne serait-ce qu’un bout de cuisse. Enfin, toujours est-il que j’ai pris un des romans sans réfléchir un peu comme à la roulette russe, espérant ne pas avoir choisi le plus graveleux pour ma mise en bouche. Je suis tombée sur Une fille mal élevée de Dominique, au féminin Féjos. Inconnue. Un roman plutôt vieux comme ceux que parfois on trouve chez les bouquinistes ou dans les foires à la brocante. Déjà, il n’y avait pas de photos dedans, enfin pas encore car Monsieur Richard me dit que cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas lu et que puisque tel était mon choix, je pourrais le prendre afin de l’étudier et le lire de façon fluide..... Samedi prochain. OUI TATA vous avez bien lu, en quelques minutes votre puce est parvenue à faire impression et décrocher le job, et chaque samedi, adieu les garnements les crises de nerfs à calmer. Donc il me dit que je devrai l’emmener chez moi et que je pouvais ouvrir la boîte en métal qui contenait jadis des biscuits pur beurre pour prendre un marque page, je lui ai dit que ce n’était pas la peine, j’avais ce qu’il fallait à la maison et j’ai bien senti que lorsqu’il insista, j’avais la tête dans le collet alors j’ai ouvert la boîte pour lui faire plaisir et là surprise, il y avait une multitude de photos uniquement, du moins de ce que je vis sans fouiller, représentant des filles nues, peu vêtues en maillot de bain, ou vêtues de façon sexy, parmi elles lilou était là, présente, pas nue mais la photo était suggestive. J’ai fait comme si je prenais un biscuit, poliment, sans chercher à choisir vraiment parmi les goûts proposés et j’ai choisi d’emporter avec moi celle qui m’avait permis de décrocher ce boulot qui débutait de façon tellement étrange. Je n’ai pas résisté à l’envie de la partager à vos yeux Tata, vous voyez, Elle n’est pas nue mais c’est sans doute comme si. Vous pensez comme moi ? Ca me rappelle lorsque je devais porter des débardeurs
Téléchargément ajustés, sans rien dessous que mes petits globes et ce plaisir dans votre regard, avant de passer la porte, de tirer mes pointes pour qu’elles surgissent sous le tissu. Il y a des choses que l’on oublie pas, Tata, et lorsque mes tétons avaient le malheur de vouloir se reposer, vous jetiez un rapide coup d’œil alentour et l’étau de vos doigts venaient rapidement les revigorer. Alors , j’ai dû montrer à Monsieur Richard mon choix, il me dit que j’avais eu raison que je devais connaître son corps nu lorsque nous nous changions dans les vestiaires. J’avais dans ma main droite un roman sans doute érotique dans l’autre une photo de mon amie au regard provocateur, qu’est-ce que debout face à cet homme, trônant tel un comte dans son château je pouvais répondre ? Il n’attendait pas de réponse, me demanda d’enchaîner en ouvrant le livre au hasard. Le hasard est un bien étrange compagnon de route tata, il me conduit parfois dans des chemins tortueux. J’ai déposée Lilou sur la table entre nous comme une chainette nous reliant lui et moi et j’ai lu un passage où la fille pose pour un sculpteur plus âgé, nue bien entendu mais ça va, pas de mots gras ou de vulgarité, j’ai fait le bon choix ou alors, coup de chance, j’ai ouvert le roman à la bonne page. Ce soir, je vérifierai si tout le roman est du même acabit. Mes doigts seront mon meilleur thermomètre..... Pour ce bref passage chez lui, j’ai tout de même gagné 20 euros, certes c’était moins que ce que j’aurais dû gagner si j’avais été faire de l’aide aux devoirs, mais pour pas même une heure passée, à juste me présenter, je trouve que même bénévole j’y serais allée. Il avait des choses à faire et me pria de rentrer chez moi, je lui ai demandé si je pouvais l’aider, il déclina mon offre puis me demanda de revenir à la même heure samedi prochain et de bien lire le roman car la séance serait plus longue. Il m’a tendu la photo de Lilou, la pointe de ses doigts était posée sur celles de ses seins, j’ai eu le souffle coupé alors que je glissais Lilou dans le roman, d’avoir la gentillesse et l’obligeance de revenir samedi prochain avec une photo de mon choix, dans le même genre pour remplacer le marque page que je lui avais emprunté. Alors que je digérais à peine son voeu, il trouva le moyen de me remettre une bouchée de gêne en précisant que je devais éviter d’apporter une photo de moi nue !! Je croyais rêver. Pour qui il me prenait, comme si j’étais le genre de fille à m’étaler sans vergogne sur les couvertures de ses revues cochonnes ! Non mais !! Je n’ai pas su, pu, voulu répondre à cela tellement le ton de sa voix était enveloppant de persuasion . Il ajouta avec comme une sorte de sourire mystérieux à la Mona Lisa qu’il ne voulait pas me voir mais me sentir nue. Il me raccompagna jusqu’à la porte, avant que j’en franchisse le seuil, posa son majeur sur sa joue pour me faire comprendre que je devais y porter mes lèvres en gage d’au- revoir, je dus me mettre sur la pointe des pieds pour baiser sa joue fleurie de blanc. Tandis que je dévalais les marches pour rentrer à la maison, il m’interpella d’une voix chaude alors que j’avais le dos tourné pour me dire de penser la prochaine fois et toutes les suivantes devenir en jupe ou enrobe. Et précisa : " c’est la règle pour venir travailler chez moi « . Voilà Tata, mon premier contact avec Monsieur le Comte. Je vais vous laisser, maman m’appelle depuis tout à l’heure avec insistance, si elle savait avec quel argent j’ai acheté le pain sur lequel elle va tartiner son fromage !! J’ai glissé le reste des sous dans ma tirelire, je ne doute pas un instant qu’elle se remplira bien plus vite que ces derniers mois, l’argent appelle l’argent.
Je file Tata, j’espère avoir été assez complète et détaillée comme vous me l’aviez demandé. Ce soir, allongée, je plongerai dans le roman pour parfaire ma diction, après sans doute, je crois que...... Kiss La puce
Chère Tata,
Si j’ai lu le roman ? Oui j’ai commencé à le lire, here soir, à voix basse pour m’imbiber des mots mais pas seulement avec des mots car pour répondre à votre seconde question, Oui aussi.... Je n’ai pas pu m’empêcher après. J’étais tellement tendue de ma journée passée. Je me suis réveillée en croyant presque avoir rêvé ce que j’avais vécu. C’est incroyable non ? Cet homme d’un autre âge ! Noble, excusez du peu. Sa classe, je l’imaginais m’interpeller, un porte cigarette aux lèvres, un haut de forme vissé sur le crâne, et me dire « Mademoiselle, songez à mettre une jupe afin que je puisse vous trousser impunément !! » Et moi de répondre " je n’y manquerai pas, Monsieur le Comte « Je rigole mais franchement j’adore sa façon de me vouvoyer, ce décalage étrange et terriblement érotique pour me faire la demande avec style de ne pas oublier de lui apporter un petit biscuit de moi à ranger dans sa boîte la prochaine fois. Franchement, j’avoue ne pas savoir avec quelle photo venir et je n’ose pas imaginer la tête que pourra faire lilou si elle me voit dans la boîte. Je ne vais pas pouvoir lui dire que j’ai rangé, sous ma pile de pull, à l’intérieur d’un roman érotique, ses seins à peine voilés et son visage d’ingénue. Impossible, vraiment impossible de lui en parler. J’espère que Monsieur Richard aura la délicatesse de ne pas le lui expliquer par quel tour de magie elle aura disparu de la boîte pour qu’une autre colombe y apparaisse. Non vraiment Tata je ne sais pas quelle photo apporter, j’ai encore le temps de réfléchir. En tout cas ce qui va être je le sais d’avance bizarre c’est ce sentiment d’excitation que je vais vivre, de devoir choisir de quelle façon, comme il le dit avec tellement d’élégance, il va me sentir plus que me voir nue et l’état inverse dans lequel je serai lorsque je vais apporter mon pur beurre pour rejoindre les autres filles !! Oui tata il n’y avait pas que lilou dans la boîte à gâté !! Je ne sais pas vraiment, je n’ai pas eu le temps de compter, ni de farfouiller, j’ai pas votre facilité avec ces choses-là moi. Peut-être quarante, cinquante photos, des filles brunes, rousses, métisses j’ai pu voir aussi bref cet homme aime les femmes, c’est indéniable et plutôt pas mal ce qui fait du bien je l’avoue à mon égo. Ben quand même Tata, j’ai le droit d’en profiter un peu je crois, je passe mon temps à voir les filles phares de ma classe jouer les tournes culs à la sortie du lycée, ne jamais monter dans les mêmes voitures, ni avoir les mêmes pères ou frères.... Alors pour une fois que Cendrillon est invitée au bal même si c’est pour faire le ménage et la lecture, je ne vais pas me priver. Oui je fais attention Tata, franchement il a plus l’allure du père Noel que du Fouettard et je suis même certaine que vous même vous auriez pris un malin plaisir à me faire aller sur ses genoux dans une jupe trop courte pour au pied d’un sapin, dans une galerie marchande ,nous prendre en photo !! Non, vraiment je ne prends pas de risques sinon de devoir changer de culotte plus souvent chaque samedi au retour.
J’étais certaine que vous trouveriez Lilou craquante et merci de me dire votre préférence pour..... « ma p’tite gueule de fouine malicieuse ». Je le prends comme un compliment, ne vous inquiétez pas. J’ai toujours aimé votre vocabulaire même dans les moments torrides surtout dans ces moments là d’ailleurs. La façon soudaine où vous devenez ogresse. Je la redoute souvent mais presque implore le sacrifice sur l’autel de votre vice. Vous voyez bien Tata, je ne vous oublies pas, même si on est loin l’une de l’autre, la preuve vous êtes la seule avec Lilou et encore je ne lui avoue pas tout, à qui je puisse me confesser librement. Mais bien sûr Tata, si on se revoit, vous pourrez encore de temps en temps en cachette dans la cuisine pendant que le reste de la famille vous croira en train de touiller la salade glisser vos doigts dans ma culotte ou mon corsage pendant que je couperai le saucisson sans broncher. J’aime oui ces moments où de façon fugace la folie s’empare de vous sans savoir ni quand ni où sans crier gare vous allez soulever ma jupe et me tâter les fesses. Je ne peux pas vous dire mieux pour vous persuader de ne pas avoir à être jalouse de mon comte. C’est une façon de gagner de l’argent et joindre l’utile au très agréable. Depuis le temps que je ferme les yeux en imaginant un homme mûr, laissez-moi au moins le plaisir de savourer enfin ces instants magiques. J’adore votre réaction Tata, ce mélange de « vas-y mais pas trop « , comme quand vous exhibiez votre poupée dans la rue et deveniez soudain tigresse lorsque vous sentiez que d’autres voulaient jouer avec !! Je vais devoir partir en cours, rejoindre mes camarades, certaines seraient surprises si un jour j’arrivais en carrosse devant le lycée !! Oui, Tata, on peut dire que vous avez de la suite dans les idées vous, je n’ai pas montré toutes les images qui sont dans mon livre secret. OK, pour vous en offrir quelques autres, de toute façon ce sera bientôt que des souvenirs d'******* comme on regarde ces cahiers d’écolières avec un brin de nostalgie dans les yeux. J’entre dans une nouvelle ère !!!! Kiss La puce
Bonjour Tata, Oui, bien sûr que oui, certaines images doivent vous émouvoir et vous rappeler certaines choses. Vous n’allez tout de même pas penser qu’elles sont arrivées par hasard dans mon petit cahier de nuit ? Toutes ces photos, chacun des tableaux, des dessins sont autant de petits cailloux que j’ai déposés au fur et à mesure de mes découvertes, ce sont autant de petits cailloux égrainés de ma culotte qui me ramènent vers mon *******. Bien sûr qu’il y en a d’autres, mais sachez que ce ne sont pas forcément les plus torrides qui déclenchèrent en moi les plus grands remous. A bien réfléchir, suis-je si différente de monsieur Richard ? Certes mon cahier d’images est bien moins fourni que le contenu de ce placard mais la finalité reste la même, éveiller les sens. Et pour répondre à votre question, même si le biscuit de mon corps ne parait pas à mes yeux capable d’être savouré autant que les autres, et bien Oui si je pouvais contribuer à déclencher à ses yeux une émotion, j’en serais ravie et honorée. Je ne crois pas que cet homme puisse faire les choses don’t vous parlez si crûment. En tout cas si cela lui arrive, je ne pense pas qu’il le fasse avec moi, il préfèrera rejoindre les filles si avenantes en couverture plutôt que mon corps modeste. Je suis vraiment surprise par sa façon aussi rapide de me dévoiler son univers, ses secrets, il y a chez cet homme un savant mélange entre patience et immédiateté. Il ne s’embarrasse pas comme moi avec des pudeurs des secrets. En fait, il va exactement là où il souhaite aller, sait viser juste, il peut ainsi se permettre de perdre du temps, bien le répartir. Sa façon de viser juste là où devrait se joindre mon soutien-gorge est révélatrice. Cet homme me fascine, en une heure, il est parvenu à ouvrir tellement de portes, je ne sais pas laquelle il me fera franchir et je m’en moque je crois. Je ne vais pas me poser de questions, samedi je vais aller chez lui vêtue d’une jupe, poitrine libre sous mon chemisier, mon roman sous le bras avec glissé dedans lilou et ma contribution. Oui Tata, c’est une très bonne idée que de me suggérer de toujours lire à voix haute seule afin de maitriser ma diction. Vous auriez dû être prof, vous savez toujours trouver le mot, le conseil juste, comme la punition aussi lorsqu’il le faut..... Je vais tâcher, chaque soir de lire, reconnaître le terrain pour éviter les pièges et faire bonne figure samedi. Je n’ai toujours pas choisi quelle biscotte je vais glisser dans sa boîte à friandises, en tout cas merci pour vos suggestions, votre regard et plus affûté que le mien sur les émotions que ma plastique peut déclencher. Je vais éviter de réfléchir et oui peut être suivre vos conseils cela m’évitera de me torturer la cervelle comme vous le dites si bien, je sais combien vous préférez tendre les cordes. Bon ok, je vous laisse le choix. Je ne sais pas comment je vais être mercredi lorsque je retrouverai Lilou à la gym, cette fois, je risque d’être beaucoup moins bavarde et curieuse. Trop peur de dire des bêtises, je verrais sur place. Finalement, je me sens de moins en moins maîtresse de mon destin, moi qui disais que le hasard n’avait pas beaucoup de place dans mon univers intime, je suis en train doucement de lui entrouvrir la porte avec je l’avoue une certaine délectation.
Comme une feuille tombée dans le cours d’une rivière, je me laisse emporter on verra bien où le courant m’entrainera. Je file Tata A bientôt. Kiss La Puce
Chère Tata,
On peut dire que vous êtes réactif, je ne pensais pas avoir une réaction aussi rapide de votre part !!! Oh vous croyez vraiment que la photo dont vous parlez sera la plus, comment dire ... chargée en émotions ??? Je ne me trouve pas si ... Mais bon puisque j’ai dit précédemment accepter sans discuter votre choix, il en sera ainsi. J’espère parvenir à ne pas le décevoir !! Réponse samedi. Oui tata. Oui je vous ouvre encore un peu plus ma boîte à images, cela me fait drôle de mettre mon âme à nu, vous semblez avoir un tel appétit de secrets. Voilà encore de quoi le rassasier donc et tant pis si je passe pour une ...... comme vous le dites si bien lorsque vos yeux s’enflamment et que je devine combien il va m’en cuire . Oui pour Lilou je vais faire comme vous dites la laisser venir, c’est bien plus malin en effet Tata, ne pas dévoiler mes intentions comme dans une partie de poker. Encore merci de me conseiller aussi bien à distance. Non malheureusement je ne pourrai pas être là aux prochaines vacances, maman n’a pas prévu de partir, elle vient de trouver un boulot et moi j’ai l’intention de gagner pour me payer mon permis alors sans vouloir vous manquer de respect je pense que Monsieur Richard verrait d’un mauvais oeil si je devais lui dire que je devrais être absente. Je n’ai pas envie de couper le fil si fraîchement tissé entre lui et moi et voir mon biscuit couvert par la farine d’une autre. Merci de comprendre mais promis lorsque je pourrais j’irai en cuisine couper le saucisson et me faire..... Touiller la salade par vos soins. Kiss La Puce
Tata, Je reviens de la gym , j’ai fait comme vous me l’avez si bien conseillé, laisser le soin à Lilou de dévoiler son jeu, ne pas parler la première du Comte. Je n’ai pas eu besoin d’attendre longtemps . Elle m’a dit que son " parrain « , ça me fait toujours drôle lorsqu’elle parle de lui ainsi, j’ai l’impression de rentrer au service de sa propre famille sans savoir exactement quelle sera ma place et mon grade, était enchanté de m’avoir rencontrée et qu’il avait hâte d’être samedi pour voir si je lisais bien. Bon en fait rien de très précis. Je me demande si elle me cache des choses à la demande du comte, si elle joue à ne pas trop m’en dire ou si c’est lui qui cloisonne ainsi notre façon de travailler à son service, par souci peut-être de ne pas nous mettre en rivalité ou je ne sais quoi d’autre. Je me pose tellement de questions, toujours est-il que lilou n’a pas dit grand-chose même sur le chemin une fois la gym finie nous n’avons finalement pas du tout parlé de lui et de nous. Juste avant de nous quitter, elle m’a rappelé que je ne devais aller là-bas que vêtue d’une jupe ou une robe et jamais plus basse que les genoux. Moi qui n’en ai pas beaucoup, je vais essayer d’en trouver une pas trop chère que maman pourra me payer. Pas facile en ce moment côté finances à la maison, mais si cet investissement me permet de gagner plus.... J’ai bien lu le roman, déjà 100 pages, je répète à voix basse chaque fois que je peux. Ca va pas de passages trop osés, c’est de l’érotisme doux, je devrais m’en tirer pas trop mal et à lire c’est assez facile, fluide. Je me vois bien dans cette fille qui découvre le pouvoir qui apparaît avec ses formes naissantes. Bon maintenant je dois passer à..... confesse, le mot est finalement très juste, même si j’avais pu, vu vos questions et le ton employé le découper en deux parties. Oui tata j’aime ces dessins obscènes aussi sur lesquels on vOit les filles tartinées par du jus de sexe, même si jamais encore je n’ai pu voir et moins encore, reçu sur moi du sperme. Ce n’est pas parce qu’on a pas d’argent que cela interdit de saliver devant une meringue en vitrine si je voulais trouver une image !! Je ne sais rien de l’odeur, de la façon dont cela sort de la verge, de la consistance réelle, du parfum que cela dégage, BREF je suis plutôt en manque de connaissance sur le sujet, je veux dire concrètes en direct. Oui Tata Oui j’ai déjà fantasmé me faire tartiner la peau le corps avec du jus de ...., Oui j’ai mis un S au bout, plutôt qu’un préservatif. Je me souviens en sixième avoir surpris la conversation de deux grandes qui étaient en troisième, l’une disait à l’autre que le sperme avait le pouvoir si on se massait la poitrine avec, de la rendre plus ferme voir même de la faire croitre, alors imaginez ce que cela a pu engendrer chez moi d’images, lorsque je faisais faire à mes doigts leur promenade nocturne avant de tirer les volets de mes yeux !!! Combien de fois me suis-je imaginée passant sous des douches chaudes !!! Et toujours aspergée par de vieux tuyaux...... Oui c’est ainsi Tata, pour X raisons et des raisons X j’aime les sexes d’hommes mûrs, les autres filles se barbouillent les doigts avec les vedettes en couleurs, moi je trempe mes pinceaux dans le noir et blanc. Oui Tata, Oui je sais déjà par quels adjectifs vous allez m’affubler, j’assume mes rêveries, mes fantasmes et mes orgasmes qui en découlent.
J’assume à ce point que oui monsieur le comte me verra dans mon deux pièces, que s’il veut en secret se donner du plaisir en s’imaginant tirer sur les cordeaux de ma culotte alors qu’il le fasse et que grand plaisir lui vienne de moi. Oui Tata oui j’ai encore des dessins, ils viennent de la fois où j’ai été en vacances chez un cousin de maman, quelqu’un les avait caché dans une malle du grenier, au dessus de bandes dessinées pour enfants. Drôle d’endroit pour une planque, je ne vous raconte pas le choc ressenti ce jour-là, je n’avais pas encore *********s !! Les voici ces images puisque vous ne manquerez pas de me les réclamer. Il se fait tard, mes doigts réclament leur promenade..... je vous laisse
Kiss La Puce
Chère Tata
Samedi, voilà enfin Samedi, que la semaine a été longue, j’attendais d’en arriver au bout et pouvoir écrire une nouvelle page. Je pense que ce soir j’aurais beaucoup à vous raconter. Il me tarde de me retrouver sur le perron, faire frémir le téton de sa sonnette. J’ai trouvé une jupe pas trop chère, maman a cédé sans trop résister, j’ai mis un chemisier blanc léger, il fait si lourd aujourd’hui, l’atmosphère est électrique. Non tata, je n’ai pas lâché mes cheveux comme vous me le demandiez et je ne pense pas que j’oserais le faire plus tard. Je n’ai pas votre malice pour l’obliger à fouiller ma crinière afin de trouver l’endroit exact où aurait dû s’agrafer mon soutien-gorge pour perturber son protocole. Désolée, c’est déjà terrible pour moi de lui dévoiler mon corps pas maquillé tel que vous l’avez souhaité. Je vais me sentir gênée de devoir lui tendre ma photo, mon dieu ce moment va être chargé d’émotions, je n’en doute pas un instant. Je ne vois pas pourquoi vous me demandez de vous la remontrer mais puisque j’ai refusé le caprice précèdent je vais céder au suivant... Je vous fais plein de bisous et merci de croiser les doigts pour m’éviter de me vautrer lorsque je serais en lecture. Un plus tard. Kiss La puce.
Chère Tata,
Mon Dieu, quel après-midi mouvementé. J’ai l’impression que la semaine est si plate comparée aux quelques heures, bien trop courtes mais si denses du samedi !! Déjà tout avait mal commencé, maman avait besoin de moi pour faire des courses, il a fallu donc l’accompagner, elle a passé son temps à chercher les prix les plus bas, j’ai bien cru que nous finirions avec une pelle et une pioche dans les rayons du magasin. Et elle n’a pas trouvé son shampoing alors il a fallu aller dans l’autre supermarché pour enfin trouver le Graal. Pendant ce temps les aiguilles tournaient et lorsque je lui disais, en tapant du pied par terre que j’allais être à la bourre, elle me répondit que je n’avais qu’à passer un coup de téléphone pour prévenir les parents, ils comprendraient facilement. Sauf que je me voyais mal faire attendre la noblesse et me présenter à sa porte ne serait-ce qu’une minute en retard . Et cette mamy qui s’en mêla, elle n’arrivait pas à faire son créneau, bloquant ainsi la circulation, j’avais envie de lui arracher le volant des mains, la poser sur le capot et faire mes premiers essais de conductrice quitte à froisser de la tôle. Une fois enfin arrivée à la maison j’ai juste eu le temps de mettre ma livrée, de vérifier pour la énième fois que j’avais bien le goûter de Monsieur Le Comte, glissé dans les pages du Roman. J’ai zippé la fermeture , fait glisser les sangles du sac à dos sur mes épaules, le tout dans une chaleur exténuante et un énervement idoine.
Le bus, et bien le bus je n’ai eu le temps que de voir ses fesses, oui il était déjà loin et je me voyais mal lui courir après alors j’ai commencé à marcher, je n’avais pas envie de patienter debout sous l’abri, en plus il y avait un groupe de jeunes plutôt agités et je me voyais mal dans ma tenue devoir m’impatienter presque 10 minutes pour que le suivant survienne. Alors j’ai marché d’un pas pressé, côté ombre, des gouttes de sueur commençaient à perler et l’aiguille de ma montre trottait plus vite que moi. Le ciel lui aussi entra dans la danse, à croire que le destin ne voulait pas de moi ou faisait tout pour me faire rebrousser chemin !! Maïs vraiment !! J’ai tout de même bénéficié d’une éclaircie en voyant le bus arriver alors que j’étais à dix mètres de son arrêt. Le temps de souffler quelques minutes avant de voir s’écraser lourdement les premières gouttes sur la vitre. Les premières car la suite fût dantesque, une averse orageuse au moment même où la porte s’ouvrit alors qu’il me fallait encore gravir la colline, courir car bien entendu je n’avais pas songé à prendre un parapluie ni un blouson avec capuche !! Alors j’ai couru sous la déferlante, comme une forcenée, par miracle la grille était ouverte, sans doute avait-il voulu m’éviter de prendre la saucée. J’ai ainsi pu quatre à quatre gravir les marches du perron pour me réfugier sous la verrière et ..... Rater la dernière marche, m’étaler de tout mon long sous la marquise de verre pour voir la porte s’ouvrir et me retrouver la bouche et les yeux à Comte d’hauteur. Je ne vous raconte ma honte !! Ah pour être à l’heure je l’étais mais de quelle façon !! Heureusement oui heureusement que cet homme avait le sens de la répartie et savait comment redresser les situations les plus embarrassantes, me tendant une main pour que mon corps retrouve sa dignité. Il me fit rentrer, en oublia même le protocole pour palper mon revers. Mais très vite, je compris son sourire en découvrant dans le miRoir le petit rat trempé que j’étais devenu. Et surtout, Tata, impossible de ne pas songer à vous, d’avoir ainsi convoqué le diable au bal, mon chemisier, sa blancheur immaculée était moulée à mon buste, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir mes médaillons rosés accrochés à mon buste !! Pourquoi n’avais- je pas obéis ? Lâchée, ma chevelure, même trempée, aurait pu masquer mon impudeur. Il me fit rentrer, me dit que j’allais pouvoir me sécher que j’aurais dû attendre que l’averse cessa, que j’étais bien imprudente d’avoir couru sous l’orage, bref réagit comme un père l’aurait fait, des mots doux, teintés de précautions, d’attentions.il me montra la porte de la salle de bain, afin que je me sèche, n’ayant pas de vêtements, J’allais devoir garder mes effets mouillés. Imaginez Tata, seule face à la glace de l’armoire au dessus du lavabo, chemisier collé à la peau, heureusement que ma jupe avait mieux résisté aux assauts de la pluie, rien pour me changer, juste une serviette pour sécher mes cheveux. Et j’allais devoir retrouver un septuagénaire pour lui faire la lecture, assise face à lui !! J’ai tout de même retiré mon haut, me suis épongée la poitrine, j’ai fait comme j’ai pu pour retrouver un peu de bienséance et de pudeur et j’ai fait tomber ma crinière sur le devant. C’est alors que je me suis rendue compte que dans le tumulte de mon arrivée, il avait abandonné le Vous au profit du Tu. Sans doute j’avais franchi un pas, en seulement deux visites j’étais parvenue à trouver mon espace auprès de lui. J’étais si fière Tata et troublée, je vous l’avoue de maintenir les règles de bienséances en continuant de le vouvoyer. Je trouve cela bien plus érotique, vouvoyer un homme mature qui me Tutoie. C’est presque d’un
autre temps, comme ces histoires que je lisais autrefois, dans l’antichambre de l’opéra où de vieux bourgeois venaient conter fleurette aux ballerines. Combien de fois me suis-je imaginée en chaussons lassés, si vous saviez Tata. Dansant dans des salons privés avec mon plateau de tulle, sans rien dessous, ni dessus. Qu’ils admirent mes pointes et ma souplesse. Mais il me fallait le rejoindre, j’avais un travail à accomplir. Il était assis dans son fauteuil, venait d’allumer une pipe, me toisa et lâcha un énigmatique " Dommage « ,et enchaina de suite par cette phrase qui résolu mon questionnement. » Je constate avec joie que tu as songé à mettre une jupe et je remercie le ciel de t’avoir inspiré ce splendide chemisier. As-tu songé à apporter ce que je t’avais demandé ? « C’est totalement fou, Tata, mais à cet instant précis, j’ai ressenti la fierté de l’écolière en ouvrant mon sac, tirant de celui-ci le roman où j’avais glissé mon " devoir " dûment rempli sans presque me rendre compte que je lui tendais mon corps par vos soins emmailloté. Vous étiez là Tata, oui vraiment, je sentais votre présence chaude, par-dessus mon épaule, susurrant à mon oreille vos vils encouragements à tendre ma poitrine, mon visage sans fard et le bassin de mon corps. Un fil accroché à mon poignet, votre maîtrise de pour parvenir à tendre mon bras comme une poupée et obéir aux mouvements de l’attelle. Ma photo était entre ses mains, reliée à lui par vos soins. Comme pour me protéger de cette impudeur offerte et éviter de voir sa réaction, mon esprit s’est envolé, j’étais dans votre cour, je n’oublierai jamais cet après-midi ensoleillé et le lendemain, cette sortie étrange où passagère de votre véhicule et de vos envies, sans sourciller j’ai obéi à vos exigences surréalistes. Pendant ce temps, face à moi, sans un mot, il me regardait la photo dans sa main droite, le regard absorbé, il tira une bouffé de sa pipe sans succès, me posa sur la boîte à gâteaux, prit une allumette pour faire rougir le fourneau et me reprit en main, un épais nuage virevoltait dans le salon. Tata, ce silence était si pesant, si lourd. Pas le moindre mot, aucun commentaire, que les secondes étaient longues. Il finit tout de même pas ouvrir la boîte à biscuits pour m’y glisser dedans et rejoindre les autres. Oh Tata, quel soulagement ce fût pour moi, d’une part mon impudeur était sous cloche et ensuite cela voulait dire que la biscotte choisie par vos soins semblait en mesure de satisfaire son appétit. J’ai juste eu le temps de voir, avec je le confesse une certaine fierté, que mon modeste corps en deux pièces venait de couvrir le visage minaudant de Lilou dévoilant son poitrail vêtue d’un short en jean. Il sortit de l’antichambre du silence, me demanda si j’avais lu le roman et je pouvais lui faire la lecture. J’ai répondu par l’affirmative, retenant mon souffle pour ne pas me vautrer cette fois comme sur son perron. Il s’est levé, et me fit signe de le suivre en salle de lecture !! C’était bizarre, comme quand on change de salle au collège ou au lycée, il fallait donc que je lise dans une salle dédiée à cette matière. Je l’ai suivi jusqu’au grand escalier menant à l’étage. Nous pouvions monter côte à côte mais la galanterie et je l’espère le voyeurisme firent que je me retrouvais deux marches plus haute que lui. Tata que devait-il penser à cet instant croyez-vous ? Il faudra me raconter lorsque je devais gravir ceux de votre maison avec si peu de tissu pour couvrir mes jambes et vos yeux vissés sur mon derrière. Oh Tata , impossible de poursuivre mon écriture, mes cuisses ne cessent de se serrer, j’ai les doigts comme des hameçons, je dois aller.... Pécher.
</font>Ma chère Tante épisode 16
Oh Tata !!!!!!
Mon Dieu, vous êtes à ce point intéressée par mon odyssée !!! Je me remets à peine de mes émotions que déjà un message de vous !!!
Oui Tata, Oui je me suis vidée mais juste un peu, mais pas assez, je ne crois pas y parvenir d'ailleurs, Mon berlingot ne cesse de tourner comme une soupape le ferait, vraiment Tata je me sens sous une pression constante avec mes vapeurs.
Parfois je voudrais que l'on m'exorcise, m'attache en croix à un lit, m'égruge le vice, que ma peau soit enduite d'eau bénite gluante afin que le crucifix puisse coulisser au plus profond de mon ventre et puisse expurger mes luxures et que l'on plante tel des clous les orgasmes dans le creux de mon ventre jusqu'à mon dernier soubresaut.
Je me sens prisonnière de ce double, comment puis-je être aussi sage en vitrine alors que dans l'arrière salle je me consume ?
Oui Tata, je vous raconterai puisque vous m'en offrez l'occasion ce que j'ai ressenti lors de ces vacances si particulières, Oui vous saurez tout sans tabou aucun, pour une fois que la poupée peut enfin ouvrir la bouche pour un autre usage que celui utilisé par vos vices.....
Alors Oui je parlerai, ou plutôt je viderai mes poubelles tellement je me suis par moment sentie sale et humiliée par le panel de vos débauches.
Mais attention Tata, ne vous attendez pas à mon indulgence, ce n'est pas parce que j'ai joui que je vous épargnerai car il y a des choses Tata......., heureusement que j'étais excitée et manipulée par vous !!!!
Pour répondre à votre insistante question, NON Tata, NON il ne m'a pas touchée, rassurez-vous, bien que ce que j'ai vécu était peut être pire que s'il avait glissé sa main sous ma jupe dans l'escalier ou l'enfouir plus tard dans mon corsage.
Je découvre combien l'érotisme est un pays aux frontières sans fin, j'étais loin de m'imaginer tamponnée avec autant de visas. Je comprends le regard de Lilou, cette plénitude exprimée lorsqu'elle parle de "Son parrain ".
Il me faut poursuivre mon COMTE rendu, nous sommes arrivés sur le pallier, j'avais mon sac à la main contenant le roman et la photo de Lilou là où j'avais cessé de lire. Il me précéda et tout au bout d'un long couloir, nous nous sommes retrouvés devant une porte en chêne, il sorti un trousseau de clés, je trouvais cela insolite pour un homme vivant seul à son domicile, à moins que de temps en temps de la famille vienne le visiter et que des enfants ne viennent jouer et déranger l'ordre de la pièce, les personnes âgées aiment l'ordre ou plutôt détestent faire le ménage ou chercher leurs affaires.
Mais lorsqu'il ouvrit la porte je compris tout de suite que les enfants en question voir même les adultes non prévenus auraient été surpris de voir le mobilier et la décoration de cette pièce !!!!
Oh Tata , jamais je n'aurais imaginé cela possible !!!!
Seules les statues de bronze et de marbre représentant ces filles dans des poses alanguies et tendues, cuisses largement ouvertes sur des pubis lisses, sans compter ce bas ventre masculin coupé au nombril dardant une virilité extrême recouverte de veines si saillantes qu'on aurait pu les imaginer véhiculant du granit de ****, ce gland TATA, mon Dieu ce gland, il ressemblait à un champignon, si large et puissant.
Qui avait pu sculpter pareilles oeuvres, qui avait pu poser ainsi, qu'il s'agisse des filles ou de ce promontoire, on aurait pu y pendre un manteau d'hiver tant le promontoire était solide et la courbe parfaite !!!!
Il s'est assis dans un fauteuil, je n'ai pas remarqué tout de suite sa facture car il avait allongé ses bras sur les accoudoirs mais soudain j'ai découvert que l'accoudoir de gauche en bois sculpté représentait le corps d'une femme étendue nue de telle façon que les mains pouvaient d'un côté palper sa poitrine dardée vers le plafond tandis qu'à gauche la même sylphide offrait à la paume sa croupe.
Des estampes et dessins d'un autre âge mais de moeurs légères couvraient les murs. Non Rien Tata vraiment rien dans cette pièce exprimait autre chose que l'érotisme, J'avais beau tourner les yeux, je ne voyais que stupre, impudeur, libertinage et lubricité.
Tout était réuni pour inviter, exciter, sublimer les corps et les envies.
Il a attendu quelques instants, sans doute que je digère l'environnement nouveau dans lequel il venait de me plonger puis me demanda de lui faire lecture, j'ai sorti le roman et maladroitement fit tomber Lilou à mes pieds. Alors que j'étais penchée pour la ramasser, il me stoppa, d'une voix nette et sans appel.
"Ne bouge plus , reste ainsi !"
J'avais la main à quelques centimètres du téton dressé sous le bustier de ma copine, le dos courbé et me rendit compte que de là où il se tenait, il avait vue sur l'entrebâillement de mon chemisier par conséquent ma poitrine offerte.
Il ne put retenir un ...."que c'est beau " puis quelques secondes après m'invita à me redresser pour commencer à lire.
Alors j'ai dégluti et ouvert le roman pour débuter mon travail, il m'invita à m'asseoir dans le fauteuil plus chaste à trois mètres du sien tandis que sa main droite semblait malaxer doucement la poitrine boisée de l'accoudoir et la gauche palpait les fesses de l'autre côté. Tata, j'avais la sensation qu'il était en train d'empaumer mes seins pendant que j'articulais mes premières phrases.
C'était, hmmmm Tata , c'était !!!!
J'ai bien lu, vraiment Tata, je ne sais comment vous remercier de m'avoir prodigué vos conseils, vous auriez pu être instit.
Seul bémol, parfois j'avais du mal arrivée à certains passages, pourquoi ma main avait choisi ce roman, allez savoir.........
On me laisse seule dans le cabinet contrairement à l'habitude, et le docteur me fait déshabiller complètement.
- Oh! mais , on devient une grande fille !
Je rougis (je pense Tata que mes joues devaient s'empourprer) de toute ma surface. Qu'est-ce que le docteur peut bien voir ? Il applique son visage sur ma poitrine; dis trente-trois, respire, tousse.... Sa barbe blonde touche ma peau. Pourquoi les docteurs ont-ils des barbes. Je déteste cette sensation.
A cet instant Tata, je ne sais pas pourquoi, je n'ai pu empêcher de marquer un temps d'arrêt, Monsieur Richard m'interrompit pour me dire de ne pas laisser paraître mes propres émotions mais d'être la voix du personnage.
....Et en même temps que je la déteste, je commence à avoir chaud.
- Tu as de l'appétit ? Tu n'as pas du mal à t'*******r ? Tu ne te sens pas énervée parfois le soir ?
(Mon dieu Tata heureusement que ces questions concernent l'héroïne sinon y répondre moi-même aurait été chose délicate et trop intime)
- Tu n'as pas d'insomnies ? A quoi penses-tu le soir ?
( A des mains qui s'aventurent sur mon corps, Tata, des yeux qui m'écartent les cuisses, des ventres qui se frottent au mien et finissent par m'écraser !!!!)
C'est un médecin ou un confesseur ? Où veut-il en venir ? Il me saisit le menton et me regarde dans le fond des yeux.
- Tu es sage ?
Si je suis sage. Qu'est-ce que cela veut dire ? Je me sens l'objet de troubles soupçons, indéfinissables.
Vous le savez, vous, Tata, si l'on m'interdisait l'usage salutaire de mes doigts, je serais bonne à interner.
Je pense à ces femmes qui à travers les siècles durent subir les jugements des hommes pour mille raisons, seules le corps tendu à se donner bonheur ou enlacées intimement, elles finissaient parfois sur le bûcher de la vanité masculine tandis que les mâles pouvaient en meute battre campagne et violer à tour de bras.
Finalement Tata, je suis fière d'avoir participé à vos chasses secrètes lorsque vous me faisiez monter en voiture. Vous agitiez fièrement l'étendard de notre liberté.
Voilà, j'ai fini ma rédac, il est 23 heures.De plus maman m'a bien énervée, ne parvenait pas à quitter l'appartement, j'étaisdevant la télé à trépignerintérieurement, l'entendre se demander si ce chemisier irait avec cettejupe, si elle était bien coiffée, allait elle mettre ce bijou ou plutôt ce bracelet.Je n'avais qu'une hâte, quitter le canapé, m'enfermer dans ma chambre et chercher des mots, assembler des phrases, les ajuster... Finalement maman et moi sommes du même bois, elle tergiverse pour se vêtir tandis que moi je fais de même pour me mettre à nue.Enfin elle est partie, vêtue d'un jean et d'un pull, pas la peine de faire tout un cirque pour finir ainsi.Je me suis levée, dirigée vers ma chambre, tournée la clé dans la serrure puis j'ai tourné en rond me demandant quels mots j'allais employer, comment articuler mon texte pour donner du volume à mes seins et les rendre palpable à ses yeux.Qu'il est difficile de parler de soi,décrire son propre corps.Dommage que je n'y connaisse rien au braille, la chose aurait été plus aisée, il lui aurait suffi de glisser le bout de ses doigtssur mes picots pour découvrir le chant de ma peau.Durant 10 minutes j'ai rempli la corbeille à papier, je ne parvenais pas à aligner plus de trois lignes, comment parler d'une poitrine que je passe mon temps à masquer de peur qu'elle soit sujette à moqueries et quolibets.S'il savait combien il m'est difficile une fois sortie de son univers de l'enfermer de nouveau.De dépit je suis retournée au salon et me suis servie un fond de Porto,l'alcool aidant peut être que je parviendrai à débrider ma monture.Je suis retournée dans ma chambre, j'ai défait mon tee-shirt pour la voir, face au miroir, observer ses palpitations, de face, de profil, penchée en avant, ou le buste tendu, mais rien n'en sortait.Je me suis pincée les bouts,à plusieurs reprises, pour les réveiller, qu'ils me viennent en aide comme un styloque l'on presse pour activer le flux de l'encre.Mais rien... pas un mot, ni même de lait !Oh certes mes tétines étaient dressées, affûtées,mais à part une douleur devenue vive, elles avaient plus envie d'être dévorées par unebouche que me parler.Alors je me suis souvenue de ce conseil donné par mon institutrice...."Lorsque vous coincez sur un exercice, inutile de persister trop longtemps, passer au suivant".Aussi j'ai appliqué studieusement l'enseignementet sorti le second devoir que le Comte m'a donné, cette photo, ce maillot de bain, ma mine triste,mon regard interrogateur. Il veut savoir son histoire, qui l'avait prise et dans quelles circonstances.....J'ai longuement fixé mon propre reflet, me suis dévisagée la poitrine et j'ai décidé d'écrire en ricochet puisque mes seins avaient été à l'origine de l'émoi causé chez le photographe, je n'avais qu'à relater cette expérience. Le voyage de mes seins au pays du désir.Soudain, emplis de ces souvenirs, mes mamelons se sont mis à suinter et l'encre acoulé........
Monsieur Le Comte,Ce que vousm'avez demandé me parait difficile, disserter sur moncorps, de surcroit ma poitrine. Je pourrais par confort, aligner des mots, trouver des formules, mais très vite vous parviendriez à déceler derrière ce rideau de lettres, une gêne.Ce n'est pas qu'ils soient insensibles, loin de là, mais je n'ai pas l'âme d'une boutiquière pour les agiter en vitrine ou derrière une vitre à maculer.Je ne vous cache pas, Monsieur Le Comte, que chaque samedi, depuis que je me rends chez vous, ma poitrine se met à vivre, exister, vibrer même je l'avoue.Cette obligation dans notre contrat m'aura permis de mieux comprendre mes seins, les apprivoiser même. Ce n'est pas en enfermant que l'on saisit les choses.Quitter le domicile avec leur liberté ne m'est plus insupportable, le fait de traverser la ville nue sous mes chemisiers, affronter les vents, le soleil et les intempéries m'aide à mieux les connaitre, sentir parfois qued'autres regards aiguisésque le vôtre se détournent à leur passage me procure des frissons.Rien que de songer que je vais devoir samedi vous les dévoiler figés, déballés surpapier glacé me plongedans un exquis embarras.Vous voulez savoir qui est à l'origine de cette photo où j'apparais dans un deux pièces trop étroit ?Plutôt que m'affairer à creuser mon cerveau pour trouver l'inspiration, je préfère vousraconter cette émotion dont ma poitrine fût la source.Vous allez vite comprendre, Monsieur Le Comte, que mes seins ont plus à gagner lorsqu'ils ne m'appartiennent plus, aussi que finalement à bien réfléchir, je pourrais les poser sur un plateau puis quitter la pièce sans que personne n’en prenne ombrage.Ce qui leur est arrivé ce fameux jour n'aurait jamais dû se produire si un être n'avait manqué à sa parole.....J'aurais dû me rendre à Paris, unweekend promis de longue date par unpère si souvent absent, et plus enclin à honorer ses maitresses que les promesses faites à sa propre fille.MaisIl s'était engagé, avait juré tellement fort que je m'étais reculée de peur qu'il ne crache sur mes souliers pour sceller son serment.Leprogramme était alléchant, après quelques heures de route, nous serions allés de musées en boutiques, de restaurants en monuments, et le soir, cerise sur mon gâteau, il m'aurait préparé une surprise,sans doute un diner spectacle dans un de ces cabarets où Lautrec a posé son chevalet.Une bulle d'air, des retrouvailles si souvent avortées. Mon sac était prêt de la veille, il m'avait confirmé la semaine précédente notre rendez-vous.Levée tôt je m'étais apprêtée, maquillée et vêtue, prête à mettre la Capitale à mes pieds et déambuler à son bras sur les grands boulevards.Je guettais par la fenêtre sa voiture, maman s'exaspérait de me voir faire les cent pas et piaffer sans cesse. N'osant me dire que..... que l'aiguille des minutes allait céder sa place à celle des heures et assombrir mon regard jusqu'à ce que coulent sur mes joues les couleurs de la fête.
A force de pousser les murs de ma patience, j'avais atteint le jardin des larmes. Son téléphone m'envoyait dans l'antichambre de la lâcheté. Après avoir vidé mon sac dans sa messagerie,j'ai éparpillé celui de mes affaires puis me suis allongée face contre mon oreiller pour éponger mes sanglots.Vous voyez, Monsieur le Comte, j'étais plus disposée à prier le Diable qu'à vouloir louer mes seins.Ma mère avait compris d'instinct, depuis bien longtemps, que cette promesse était un feu de paille, mais chaque fois qu'elle avait tenté de m'avertir, d'un revers de la main j'avais nettoyé son pupitre.Maman voyant ma peine, et pour m'éviter de rester prostrée la journée entière sur mon lit, en cachetteappelaune de mes copines pour lui demander de me changer les idées.Céline, sans me demander mon avis, m'informa queson père ne tarderait pasàvenir me chercher, je n'avais qu'à préparer un maillot de bain, la piscine était à température idéale.Comme une zombie j'ai saisi le premier qui me venait sous la main et attendu que l'on sonne à la porte, un vrai père cette fois, pas de ceux dont les promesses se dérobent au moindre courant d'air, emportant avec elles mes guirlandes d'illusions.Il me conduisit jusqu'à chez lui, tenta maladroitement, à l'aide de formules, d'éponger mon amertume, de trouvermille excuses à l'auteur de ma colère,mais le mal était bien plus profond, trop abyssal.Céline m'attendait déjà dans la piscine, son père ne devait pas rester, il avait à faire en ville et nous serionsseules elle et moi une bonne partie de l'après-midi. Ironie et provocation ultime du sort qui était le mien, sa mère était à Paris avec sa petite soeur. Je suis donc allée dans la salle de bain, j'ai revêtu mon maillot de bain, et penaude,suis sortie pour la rejoindre. Sauf que dans la salle à manger, son père était encore là, semblant attendre je ne sais quoi. Il me contempla des pieds à la tête comme un gamin désargentéface à la devanture du confiseur, à laper ma vitrine du regard. Le silence était lourd, ses yeux suaient. Seuls les plongeons de Céline à quelques mètres de nousparvenaient à le briser. Ilm'assuraque mon père, sans doute, n'avait pu faire autrement, qu'il allait seconfondre en excuses, etsans que j'encomprenne la raison, il tirade sa poche unappareil photo et me fixant, me demandade lui sourire, qu'il était dommage qu'un aussi beau minoispuisse être triste. Je suis restée figée jusqu'à ce que Célinem'appelle.Son père, lacinquantaine passée, revint alors à lui, sembladésappointé, retrouva ses esprits et glissa l'appareil dans sa poche. Sans un mot j'ai quitté la salle à manger, ses pupilles accrochées aux mouvement de mes hanches.Il est venu sur la terrasse, tandisque je plongeais rejoindre sa fille, nous souhaiter un bel après-midi, il reviendrait aux alentours de 17 heures.Nous étions donc seules, l'après-midi déroula sa moiteur, plonger dans l'eau, papoter de tout et n'importe quoi, nous taire, ouvrir un magazine, offrir à Hélios nos deux corps.Céline ôta le haut de son maillot, me dit que je pouvais en faire de même, pas de voisins. Alors j'ai fait glisser mon soutien-gorge.Il n'était pas encore 16h lorsque j'ai regardé ma montre, je ne voulais surtout pas que son père me voit ainsi dénudée.
Mais alors que Céline était partie chercher des rafraîchissements en cuisine, j'ai entendu le même déclic que celui de la salle à manger.Tel un chat rentré plus tôt que prévu, son père était parvenu jusqu'à moi pour, muni de son troisième œil figé dans l'axe de mes cuisses, dérober de nouveau mon corps.Dans un geste réflexe, j'ai glissé sous mes seins mon avant-bras, gênée de me retrouver ainsi à découvert,sa fille pouvant revenir à tout moment, nous découvrir et me juger.Lorsque Céline, un plateau à la main et les mamelles toujours au vent, fit son apparition, il avait déjà pris place sur la terrasse, assis sagement comme si de rien n'était, je profitais de cet instant pour tendre le bras, saisir ma pudeur et la nouer à mon poitrail.J'avais à la fois envie de partir et d'acceptermaisCéline était là, clé de voute de ce temple.Nous avons passé un peu de temps à bavarder encore, elleme proposa de rester diner, je n'avais qu'à prévenir ma mère, je pouvais même rester dormir si je voulais, la chambre de sa soeur était libre. Son pèretenta aussi de me convaincre mais j'étais lasse de cette journée et bêtement j'ai décliné l'offre faite.Alors Céline replongea dans la piscine, son père rentra dans la maison et je me suis dirigée vers la salle debain pour m'ychanger.J'étais arrivée à la porte, lorsque dans l'encadrement de la chambre d'en face, il se tenait de nouveau à l'aguet, silencieux, le regard affamé, à portée de main.Il insista de nouveau pour que je reste, me montra le lit de sa fille cadette, balbutia tant il avait des yeux plein la bouche, tira de sa poche un billet de 20 euros, le tendit vers moi sans que je comprenne les termesdu contrat proposé.Puis m'annonça qu'il voulait les voir, juste quelques secondes en fixant mon coeur, cette fois, acculée danscette impasse le propos était clair. Il suffisait que je recule de deux pas pour que je puisse fermer la porte et ignorer l'indécente proposition.....Au lieu de cela, je pris l'argent et le regard baissé, honteuse de moi, humide de lui aussi, de ma main libre j'ai tiré le pan de mon soutien-gorge, ouvert le premier rideau, puis le second pour allaiter ses yeux assoiffés.Je n'osais lever la têtevers lui, pour ne pasdéranger son recueillement.Je vis alors un second billet apparaitre. Il voulait une de mes pommes, peut être comparer les deux commesur l'étal d'un marché, me demanda l'autorisation de les saisir, juste une seconde ou deux et alors qu'il s'apprêtait à insister, mon torse se dressa, et mes tétons aussi, nul besoin de parler quand on est seins nusface à des mains, il suffit de se tendre etaccorder faveur.Ses paumes se sont approchées de moi doucement, je pouvais presque les entendre respirer tant mes mamelons étaient à l'affût du moindre souffle de ses mains, puis elles me couvrirent totalement, mes seins disparurent, emportés, aspirés. Il serra pour apprécier ma fermeté ou tenter d'extraire du jus de paumes. J'étais regard fermé dans l'enclos du jardin des délices, ailleurs.... Il y avait des mains posées sur moi, un homme faisait ses premiers pas sur ma poitrine, me palpait, me malaxait.Si j'avais ouvert mes volets clos, nos regards se seraient croisés et peut être que mesbras ne seraient pasrestés ballants, et se seraient à leur tour animés.Mais étrangement je préférais savourer l'instant présent, ne pas bouger, laisser agirson expertise.
Mais Céline claironna mon prénom du fond du jardin et rompit le charme, les deux belettes fuirent leur niddouillet, laissant mes mamelons, pas encore rassasiés, piailler tous becs dehors.Conscient que j'étais à vendre, prête même à me solder,mais que la boutique allait fermer et frustrer ses envies d'aller fouiller dans mes autres rayons,il réclama, supplia même que je lui offre un dernier régal, tendant le reste de sa bourse."Montre-moi en bas, s'il te plait je veux voir en bas, je ne toucherai pas, je te le promets, juste un peu, je veux voir, je t'en supplie, montre moi !!!!!"Alors sans un mot mes yeux, comme les gouttes de sueur qui coulaient de son front, glissèrent vers l'objet de sa quête, suivis comme des ombres par mes mains, là où j'avais les flots noués et j'ai impudiquement tiré sur les cordelettes pour déballer ma papillote et faire tomber le rideau.Maculotte gisait à mes pieds,chiffon humide jeté au sol,trop usé d'éponger mes émotions. J'étais à deux doigts de lancer en avant mon bassin pour qu'il puisse apprécier le juteux de mon alberge si..... Mademoiselle La Morale ne s'était de nouveau manifestée en hurlant, telle une louve le prénom de son père, elle devait se sentir seule, à moins qu'elle n'ait flairé un danger imminent.Elle allait sortir de l'eau, venir jusqu'à nous et briser le sortilège. Dans la panique je me suis penchée pour ramasser ma pelure, il effleura de nouveau mon sein le temps d'un adieu que déjà je tournais le dos, lui offrant mon postérieur pour qu'il glisse son âme errante dans la chaleur de ma raie.Voilà, Monsieur Le Comte, ce que je pouvais dire à propos de mes seins. J'espère être parvenue à satisfaire votre curiosité, peut-être serai-je hors sujet, c'est à vousde me le dire une fois mon devoir lu. J'ai éprouvé une grande difficulté à me confier sur mon enveloppe charnelle, mais sachez que lorsqu'ils m'accompagnent à votre domicile, ils se sentent si bien. Je n'avais jamais osé confier cet épisode, même Lilou l'ignore.Alors je vous remercie de m'avoir offert cette liberté surveillée.Voilà Tata.Il est inutile de vouloir me faire modifier le contenu de ma rédaction, elle est scellée dans son enveloppe.Les dés sont jetés. Je vais me rendre samedi à son domicile, munie de mes deux enveloppes, les lui remettre et m'offrir à son jugement.Je dois vous laisser, j'ai la tête engourdie par le Porto et la fatigue. J'ai peur et hâte de me présenter bientôt sur le pas de sa porte. C'est étrange comme cet homme se comporte avec moi, je serais curieuse de savoir comment il se conduit avec ma copine mais c'est tellement difficile d'aborder le sujet, elle est peu bavarde elle aussi, je pense que je vais un jour prochain l'inviter à boire un verre ou faire les boutiques afin d'avoir un peu plus de temps et éviter que des oreilles indiscrètes ne viennent écouter aux portes. Dites-moi donc comment je devrais procéder, elle est à son service depuis plus longtemps que moi, je voudrais savoir à quel stade elle est parvenue pour m'éviter tout faux pas ou commettre des erreurs. Cette aventure prend au fil du temps une tournure qui m'inquiète et me fascine. Je crois même secrètement que savoir, finalement, est un voile que je n'ai pas envie de lever. Non finalement je ne vais pas questionner Lilou. Je préfère ce brouillard qui m'enveloppe et me rassure. Je vous quitte, je vais dormir. Kiss - La Puce
Ma chère Tante épisode 17
Chère Tata, Je commence à vous connaître, j’ai appris à lire entre vos lignes, votre plume semble avoir quitté l’encrier de la fébrilité humide pour puiser dans celui de l’agacement. Vous savez maintenant que Céline n’était pas derrière l’objectif comme je vous l’avais laissé croire, mais que le doigt qui appuya sur le déclic était celui de son père. Bien sûr que je vous ai caché cet épisode de mon existence, il ne faut pas pour autant m’en vouloir. Comment aurais-je pu confesser cela sans craindre de passer pour une fille de mauvaise vie ? Oui j’ai accepté de..... louer mon corps quelques minutes durant, mais je n’ai pas couché avec pour autant. Ai-je pour autant ressenti de la honte ? Sur le coup, Non ,je ne crois pas, j’avais même le sentiment de participer à un bonheur. Ma seule honte serait d’être jugée, voilà pourquoi j’ai préféré grimer la vérité. Si je n’avais pas saisi l’opportunité offerte par cette rédaction imposée, je crois que jamais je n’aurais eu le courage de l’avouer, et le souvenir se serait dilué dans ma mémoire . C’est une communion : l’audacieuse demande de Monsieur Le Comte, la fatigue accumulée, et l’alcool sans doute qui aura fluidifié l’ensemble pour que s’écoule sur le papier la vérité mise à nue. Ce qui est écrit sera offert, je ne reviendrai pas en arrière. Si je n’ai jamais été honnête avec moi-même, alors avec lui j 'ai envie de l’être. Je veux et je peux oser enfin regarder mon reflet dans la prunelle de ses yeux. Chaque fois qu’il me demandera de dévêtir mon âme, je la dégraferai pour la lui offrir. Voilà Tata, ce que je ressens à cette heure, je grandis grâce à lui et suis heureuse de vous avoir pour confidente alors de grâce, n’ouvrez plus qu’un seul récipient désormais pour y griffer le papier de votre encre. Baiser
Chère Tata, Que l’attente est longue, chaque mercredi commence pour moi lorsqu’arrive l’heure d’aller à la séance de gym et retrouver nos mutismes éloquents avec Lilou, toujours cette même sensation...... Je suis sur un plateau, lève la jambe, tend la pointe de mon pied droit, puis la pose sur un autre et doucement mon poids fait basculer ce dernier pour me retrouver ensuite de l’autre côté. Le vendredi est encore pire, cette fois je suis face à un miroir, le regarde du lointain de mon lit, me demandant quels rêves viendront habiller ma nuit et se refléter à sa surface ? Oserai-je demain me lever ? Regarder les scories de mes songes dans l’univers glacé ? Quelle sera la couleur de mes yeux, celle de mon corps ? Je ne sais jamais à l’avance dans quel âtre Monsieur le Comte jettera ma bûche d’âme et pourtant chaque samedi matin lorsque je pose mon premier pied au sol, je sais que le second sera celui qui me conduira aux suivants jusqu’à ce que mon doigt caresse le téton de la sonnette et que la porte s’ouvre. Oui à partir de mercredi je bascule et glisse vers l’inexorable porte, je me demande ce qu’il adviendrait si un jour je la trouvais close. Mais chaque semaine est différente de l’autre et ce mercredi, à ma grande déception, je n’ai pas vu Lilou venir, je l’ai attendue, sans même savoir si un jour j’oserai, à moins que cela vienne d’elle aborder le sujet, celui de notre tronc devenu commun, celui contre lequel nos corps nus se grattent à l’écorce. Pourquoi était-elle en retard ? L’a-t-il gardée plus longtemps qu’à l’accoutumée ? A-t-elle... ? J’aimerais savoir et ignorer à la fois, l’écouter une main sur les yeux ou la voir les oreilles closes !! Je suis passée devant chEz elle sur le chemin du retour, la lumière de sa chambre était absente elle aussi, elle devait dormir, oui c’est cela fatiguée, elle avait dû se coucher sans même pouvoir prévenir le club de son absence passagère. Avait- elle eu la force d’aller jusqu’à sa porte malgré son état ? Il me demandera samedi, c’est certain, de ses nouvelles, oui bien sûr, il sait que nous nous voyons sur les tapis et peut être en dehors également, alors il me demandera si elle se porte mieux. Mais s’il ne me disait rien !! Si même sa porte restait close !! Que je ne puisse lui rendre ma copie. Aidez-moi Tata, que dois-je faire samedi ou avant ? La puce
Chère Tata, Nous voici Samedi, je me suis levée, cotonneuse, pas le moindre souvenir d’un songe, peut-être était-il trop leste à constater mes moiteurs, ma mémoire l’aura vite effacé afin de préserver ce qui me reste de pureté. Je tourne et vire, satellise sans repos autour de mon armoire, lorsque j’ouvre la porte, je me vois pendue dans mon éthérée tenue de travail, dans le tiroir de mon bureau, une enveloppe close comme la maison démon âme attendant l’ouverture. Je vais sans doute me maquiller légèrement sans excès, je crois que monsieur Le Comte me préfère nature, mais mes yeux sont trop petits pour qu’il puisse y plonger alors je vais m’arranger pour qu’il puisse venir y miroiter les siens. J’ai juste peur de sa réaction, de froisser davantage ses rides si belles en découvrant qu’avant lui j’aurais été dévoyée. C’est le risque de la sincérité, il doit bien s’y attendre, je sais que Lilou a connu des aventures avec des garçons, elle aura sans doute, à moins de mensonges, dévoilé la vérité.
Chère Tata ...... Encore une fois, je ne sais par quoi commencer tant cette soirée fût !! J’ai la volière ouverte, des papillons volètent de toute part dans mon abdomen, je vous écris, sachez-le, totalement nue, me suis imposée cette posture cuisses ouvertes avec pour défi de ne jamais quitter les mains ni les doigts de mon clavier, voir combien de temps je serai capable de ne pas être coupable. Résister, voilà bien un mot dont Monsieur Le Comte m’aura appris la génèse ce soir. Oui vous avez bien lu, je suis restée chez Monsieur Le Comte jusque dans la soirée, j’ai même du prévenir maman que je rentrerai plus tard afin qu’elle ne s’inquiète pas et surtout qu’elle n’aille pas contacter la famille chez qui je suis censée apporter mes connaissances en français. Imaginez la scène, moi-même j’ai du mal encore à cette heure à croire que c’était moi qui poitrail nu face à Monsieur le Comte, était en train de lui expliquer qu’elle ne devait pas m’attendre pour le diner, que j’aurai certainement du retard en raison d’une dissertation plus longue que prévu. Oui, Tata, vous avez bien lu, j’étais face à cet homme qui pouvait être mon grand-père, les seins à l’air !!! D’y songer et vous le confesser ne va pas les aider à calmer mes bouts qui depuis bien deux heures ne cessent de piailler réclamant la béquée. Mais avant d’en venir à comment je me suis retrouvée dans cette situation, qui somme toute devait bien arriver un jour, à force d’approcher du grattoir votre allumette de nièce devait bien finir par rougeoyer. Ce n’est pas à vous que ..... Mais revenons au sujet qui nous lie. Je me suis donc préparée comme à l’accoutumée, presque religieusement, oui c’est étrange, j’ai toujours désormais ce rituel, d’abord je prends une douche, je m’arrange pour que jamais mon buste ne soit marqué par les traces du soutien-gorge, voilà pourquoI le plus tôt possible je m’en débarrasse désormais, c’est fou que j’accorde autant d’attention à mon corps depuis que je le fréquente, il semble tellement à l’affût du moindre détail, c’est un miniaturiste oui, voilà, c’est cela Tata, votre poupée a trouvé une nouvelle étagère sur laquelle se poser et se laisse admirer. Je me suis essuyée, j’ai enduit mon corps de lait hydratant, c’est étrange cette soudaine envie de m’enduire le corps, avant je me contentais de m’éponger, désormais j’aime me sentir crémeuse, onctueuse . Ensuite, j’ai mon rituel... celui des yeux, OUI Tata maintenant je ne me contente plus de me voir, JE ME REGARDE, enfin je devrais plutôt écrire je mets mon corps sur le devant de l’obscène . Un miroir face à moi, un autre plus petit déposé en haut sur l’étagère, sa prunelle orientée en contre-plongée, Monsieur le Comte étant bien plus grand que moi. Une fois les trous d’homme en place, je peux alors revêtir mon chemisier. Pas totalement non, d’abord les premiers boutons, ceux du bas puis commence le jeu des mouvements, des glissades, mon regard fixé sur les reflets, je me penche comme ceci ou plutôt de la sorte, je baille, un peu, beaucoup, passionnément, plus du tout, c’est incroyable le nombre de variations Tata que peut avoir une échancrure !! J’imagine ,si.... Si j’avais été plus fournie en matière... mais finalement serais-je entrée à son service si je l’avais été ? Peut-être est-ce pour cela qu’il m’emploie, la rareté fait le précieux. Lilou est mieux pourvue que moi, je lui ai même déjà dit jadis lorsque nous passions ensemble sous la douche après avoir sué sur les tapis, mais pour autant elle me dépasse de quelques petits centimètres. Un bouton de plus et soudain, il me faut vraiment me pencher pour qu’il puisse accéder au sacro-saint. Mon nombril n’est plus en vigie lui non plus. Encore un et le rideau se ferme, pudeur reprend ses droits pour que je puisse monter dans le bus et redevenir celle qu’on n’aurait pas remarquée lorsqu’elle serait montée, aurait fait tomber
maladroitement à hauteur de ce retraité un objet quelconque pour ravir au lever les étoiles prisent au piège dans le filet de ses yeux. J’ai enfilé ma culotte, après avoir vérifié que mon buisson était taillé avec soin dans l’éventualité, Oui Tata, je peux vous le confesser, qu’il se sente l’âme d’un maraîcher. Oui, je me sens prête un jour à cette éventualité, combien de temps un homme peut-il résister à une telle tension ? Peut-être Lilou récolte-t-elle le mercredi ce que je sème le samedi, mais moi ? Oui moi !! ne suis-je pas digne de moissonner les siennes ? A t-il peur que je m’enfuie ? Ma fragilité l’effraie peut-être, s’il savait ce que mon corps peut endurer lorsque je l’emploie sur les barres et les poutres, je sais y faire, j’ai le poignet souple et ferme, suis capable de me tendre et me tordre en tous sens. Bien sûr, je n’ai aucune expérience en matière d’homme mais cela ne signifie pas que je ne sais rien faire de mes dix doigts. Oh Tata, la douleur de mes cuisses ouvertes et tendues appelle et attire mes doigts, mais je résiste, je veux terminer cette lettre avant de... A moins que ? Oui à moins qu’il n’ait plus de puissance que dans le regard et ces doigts qui effleurent mon dos... ? De toute façon, je dois me préparer à toute éventualité, ne serait-ce que si jamais il ne voulait que voir, oui, simplement me dire de remonter ma jupe et faire glisser mon voile blanche, je serais honteuse de lui présenter un désordre, voilà pourquoi je me pAsse en revue avant de tendre mes toiles et, rutilante de partout, me présenter à bon port pour venir à quai m’arrimer à sa . Un doigt de Trésor lèche ma nuque, un peu sur les poignets également, donner à mes yeux un peu plus d’éclat et me voilà prête à affronter les embruns, d’abord parvenir jusqu’à ma chambre sans croiser maman, qui ne comprendrait pas que je m’affuble ainsi pour donner la leçon à un *********. Vivement les jours ternes et frileux que je puisse mettre un manteau et cacher ma tenue d’apparat, même boutonnée au col, j’ai l’air d’aller arrondir mes fins de mois. Non je me suis regardée et non Tata, je ne pouvais sortir dans une telle tenue, si seulement la porte du Comte était adjacente à la mienne, il en était ainsi dans les châteaux jadis, de sombres souterrains par lesquels à la nuit venue, j’aurais quitté mon toit de chaume pour m’offrir devant l’âtre. Non Tata ce que j’ai pu faire avec vous, seule je ne le puis, j’ai besoin d’une main qui me tienne en laisse, me dise là où je peux faire et là où il ne faut pas. Ma jupe est trop cintrée, moulante, au moindre mouvement mes fesses ondulent, on voit même le creux tant le tissu m’épouse. Si jamais sur la route je croisais des garçons aventureux, voire pire, les harpies de ma classe, cela en serait fini de mes efforts quotidiens pour n’être qu’un spectre sans rondeurs ni formes. Vivement que les feuilles recouvrent le sol pour que je puisse sous de longs manteaux aller presque nue sunner à sa porte, j’ai déjà repéré, dans une boutique en ville, un bustier en satin qui dénude parfaitement le dos, comme j’aimerais sentir ses doigts effleurer malgré tout l’absence d’agrafes à même l’épiderme. Oui j’irai l’acheter avant qu’il ne quitte la vitrine, mardi sans aucun doute. Donc j’ai, par-dessus ma moulure de fesses, enfilé une autre jupe, plus large, plus longue aussi, je pourrais même mettre des hauts talons pour expliquer ma démarche prudente, due à la hauteur etnon à l’étroitesse de ma jupe lingerie. Une fois le portail passé, je n’aurais plus qu’à retirer l’écran derrière le grand buisson qui masque la rue et gravir les marches comme si j’avais osé, gorgée de bravoure, affronter les badauds en chemin.
Mais alors, que pensera-t-il de moi en me voyant ainsi ? Que je suis une fille facile qui aime être sifflée dans la rue, abordée peut être, mon postérieur tendu attendant que de flatteuses mains me mettent le vent en croupe pour me rendre jusqu’à lui !! Tata,je n’y comprends rien aux hommes et leur façon d’interpréter les corps et attitudes, tout est tellement plus simple avec vous, je n’ai pas de questions à me poser, je déambule telle que vous le voulez, je fais les courbettes comme à la parade, je me penche au gré de vos caprices, je n’ai pas à réfléchir et me torturer, vous savez si bien le faire à ma place. Je dois vous laisser Tata, il fait moite et je dois détendre à tout prix mes adducteurs.... Je vous kiss là où vous aimez tant, La Puce
Chère Tata Je suis revenue à mon pupitre, je ne sais si c’est dû à la présence magnétique de l’astre de la nuit qui est apparu dans le cadre de la fenêtre mais je n’arrive pas à garder calme et sérénité. Qui de mon âme ou de mon corps est le plus tourmenté ? Difficile de m’y retrouver dans ce halo d’émois. Je reprends mes esprits, je vais tenter du moins. J’ai revêtu une jupe, c’est plus prudent, les tentations sont trop grandes et il y a encore des braises dans mon foyer, elle est plus ample que celle dont je n’étais parée cet après-midi..... J’ai regardé une dernière fois l’étrangère dans le miroir, chaussé un veston léger, ouvert mon sac en toile dans lequel j’ai glissé mon devoir dirigé, et je suis sortie de ma rassurante tanière pour aller au dehors me livrer à la faune.- tu rentres tard ?- non maman je serai de retour vers 18h30, j’espère qu’il sera plus enclin à faire ses devoirs aujourd’hui.- tu es bien patiente moi je ne pourrais pas. J’étais déjà la main sur la poignée de la porte lorsqu’elle me lança.....- Au fait, ta copine de la gym a téléphoné ce matin, tu dormais encore, je n’ai pas voulu te déranger, pense à la rappeler..... Lilou !!! Ce matin, pourquoi donc voulait-elle me parler ? Me prévenir ? M’alerter d’un danger, je dévalais l’escalier, manquant à plusieurs reprises, guindée dans ma jupe trop cintrée et juchée sur des talons trop hauts, de me tordre les chevilles. Elle voulait me dire de ne plus venir, Oui c’était cela, elle était parvenue enfin à le garder pour elle seule, l’avait détourné de mon attention !! Inutile de perdre mon temps, me faire des illusions. J’avançais néanmoins direction l’arrêt de bus, l’esprit tourmenté, n’osant l’appeler de peur d’entendre la sentence prononcée. A moins que le Comte l’ai chargée simplement de lui dire que la séance ne pouvait avoir lieu, Oui bien sûr, il l’avue en dernier, ne connait pas mes coordonnées. J’étais dans le bus sans même regarder autour de moi, absente et pensive. Et si ? Oh... et si elle avait voulu m’alerter, me dire de ne pas aller là-bas, qu’il avait quitté ses bonnes manières, qu’un piège m’était tendu, qu’elle n’avait pu l’éviter et ne voulait pas que je sois à mon tour victime de cet être trop pervers !!! Mon coeur battait fort le pavé de ma cage thoracique. Pourtant mon corps lui se foutait royalement de mes atermoiements, lui avançait, je l’ai même vu dans la vitrine de la boulangerie, comme s’il me défiait, me fixait pour me dire...... peu m’importe tes doutes, moi j’y vais !! Il était trop tard, et même si j’avais toutes les peines du monde à gravir la pente, la maison était là, de plus en plus là, quelques dizaines de mètres, non, moins encore, puisque j’étais déjà devant la grille. Elle était juste entrouverte, si peu d’ailleurs, qu’il me fallut la pousser avec difficulté tant elle est lourde et massive. Un coup d’œil alentour et je me suis faufilée vers le haut buisson pour dans l’angle de la demeure faire glisser ma jupe et me retrouver en tenue d’apparat..... Maïs.... Mais si c’était Lilou, moitié nue, encore échevelée, qui m’ouvrait soudain la porte, se gaussant avec dédain de mon accoutrement, me toisant avec mépris pour me renvoyer d’un index vengeur pointé vers la grille en direction de ma chaumière et mes espoirs rompus. Comment pourrais-je courir pour vite inonder mon traversin ?
De la même façon que si Le Comte, devenu Barbe Bleu, se jetait sur moi, je ne pourrais faire dix mètres sans qu’il me saisisse par la crinière et me traine dans une cave pour profiter de mes chairs et les dévorer encore ruisselantes et poisseuses !! De toute façon, il était trop tard !! Pendant que je me tourmentais la cervelle, la de moi en avait profité pour titiller le téton de métal. J’entendis résonner mon glas... Mais rien, pas la moindre ombre, aucun bruit, juste celui du vent chaud et de la peau de mon coeur tendue comme une caisse claire avant le saut du trapèze. Et la d’insister de nouveau, encore et encore appuyer et dire qu’elle était là, les seins en émoi, prête au moment du contrôle, à le surprendre, tourner son buste brusquement pour que ses doigts sentent bien la fermeté de ses seins libérés de l’entrave. Non, vraiment je n’avais plus voix au chapitre, esclave de moi-même. Il n’y a pas plus pervers que son propre geôlier !! Non, ses efforts et sa furie n’y firent rien, la porte était close, elle n’aurait pas gagné de cause, il faudrait revenir. A moins de faire glisser sa culotte pour l’enfiler dans la boîte aux lettres pour dire j’étais là, je suis venue, sentez comme j’étais là, Monsieur, humez ma peine de ne pas être entrée, et voyez comme j’étais à point. Et puis, rageuse, écarter malgré la difficulté mes jambes enfermées dans l’étoffe de cette jupe de chasteté, et uriner à sa porte pour lui affirmer dévotion . C’était sans compter sur le vice chevillé à son âme, elle avait dans sa paume la poignée ronde de porte en bronze et la fit tourner, et la porte s’ouvrit, et elle m’entraina à sa suite sans me demander d’avis !! Oh Tata, j’étais entrée par effraction, je veux dire que j’étais chez lui, et que pendant quelques secondes, les yeux clos, j’ai attendu ses doigts sur mon dos en vain, mes seins étaient en ébullition pour rien. Je me suis sentie soudainement comme une voleuse. Il pouvait désormais apparaître et légitimement me pourfendre de sa colère, je n’aurais qu’à me plier à la sentence prononcée sans pouvoir me défendre ni supplier clémence. De toute façon, la petite catin, elle, aurait souri sous mes yeux, en s’allongeant à même le carrelage de l’entrée, sortant sa langue et enduire ses lèvres pour indiquer le pourtour de l’orifice ouvert. Pas un bruit, seulement le lourd balancier de la franc-comtoise dans le salon à biscuits. Appeler, signaler ma présence, dire que je ne suis pas celle qui... En ce moment, même avance comme une chat en chaleur vers le salon pour se faire punir. J’ai eu le temps avant qu’elle ferme la porte, de jeter un dernier regard vers la liberté et la chasteté du monde. Je regardais l’escalier, peut-être se tenait il au sommet, pipe en bouche, le corps enveloppé dans un peignoir, Lilou encore au lit, *******e après une nuit entière de doux tourments. Non, il n’était pas là, aussi je me suis aventurée dans le salon, caressant au passage la porte contenant les friandises à prunelles, j’étais encore les yeux posés sur la serrure que déjà mon corps m’avait entrainée en seulement deux entrechats vers le fauteuil de cuir. Pas eu le temps de ralentir l’outrecuidante, j’étais déjà intronisée, les mains frottant les accoudoirs, tentant d’ouvrir le compas de mes cuisses.
Je moquais intérieurement la péronnelle de se retrouver ficelée ainsi dans cette jupe trop ajustée. Mouler ses fesses est une chose, ouvrir les cuisses en est une autre, il fallait mieux choisir ta garde-robe, ma fille !! La ne pouvait s’en tenir là. J’étais juchée sur moi-même, les cuisses serrées sur mes propres flancs tentant sans cesse de dompter cette fougueuse que je découvrais. Plutôt que me contraindre, m’échiner à retenir l’animâle, j’épousais ces rebonds, lâchais un peu la bride, elle finirait bien par se calmer, et retrouver raison. Lors mon âme laissa ma main faire glisser le bouton et entrouvrir le chemisier un peu plus. Si je ne m’étais retenue, sans doute par défi mon sein serait apparu, peut être même aurait- elle fait voler le chemisier en direction du canapé ou sagement je faisais ma lecture la semaine précédente !! Non juste la vallée offerte, elle se contenta de cela, l’entre monts. Elle se voyait sans doute recevoir quelques servantes, Comtesse cruelle ou Libertine, mandant celle-ci pour me faire la toilette devant le Maître de ces lieux, ou peut être Lilou que je savais endurante à la barre asymétrique, pour éventer mon entrechatte encore ruisselante de mâles assauts. Soudain un bruit me fit revenir à la raison, je me levais aussitôt, la peur au ventre d’être surprise à prendre ainsi mes aises et me faire congédier sur le champ. J’étais debout, aux abois, guettant d’une oreille attentive d’où était provenu le son, tandis que du regard je fixais le fond du salon d’où il aurait dû apparaître, je sentis la caresse poilue de l’auteur de ma frayeur, un chat était à se frotter sur mes mollets, ronronnant comme le faisait mon ventre depuis ma frauduleuse entrée. Oui Tata, à cet instant j’étais moiteur et les tétons en perce neige, Oui, j’aurais voulu qu’il me trouva ainsi et me réclame son droit de cuissage
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Sentiment me-li me-lo monte…
J’ai passée le présent au futur imparfait,
Mais je conjugue l’espoir d'un cafard d’un soir.
Aujourd’hui mes demains ne sont plus mes hiers,
Ce soir, mes deux mains fondent ma prière.
L’âme en peine… S’enchaîne… A peine…
Ce soir j’ai le cœur qui craque
But i come back…
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Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood" - Trouvable sur amazon.
-Attention, ce texte raconte une scène de non-consentement.
"Rose s'appliquait à défaire méthodiquement les œillets lorsque la porte s'ouvrit. Lily se tenait dans l'encadrement, son visage fatigué suintait à la lueur de la bougie qu'elle tenait. Malgré tout sa posture restait droite et digne. Son corset semblait avoir été quelque peu desserré.
—Dame Lily… murmura Rose.
Sans un mot, Lily posa sa bougie sur la commode et s'avança dans la pièce. Elle passa ses deux mains dans sa longue chevelure et la secoua en respirant profondément. Son regard se fixa sur Rose, qui interrompit immédiatement son travail sur le corset de Violet.
—Rose, appela Lily.
Sa voix était ferme malgré sa fatigue évidente.
—Viens ici.
Un tantinet soucieuse, un tantinet confuse, Rose quitta le lit de Violet et s’approcha lentement de Lily.
— Rose, dit Lily, tu as bien conscience, je suppose, de l’énorme faute que tu as commise ce matin ?
— Ou… Oui, dame Lily. Je vous demande pardon. Et je vous remercie d’avoir pris ma protection face au maître.
Elle s’inclina face à Lily.
— Dans cette demeure, poursuivit cette dernière, une discipline stricte est de rigueur. Elle est demandée par le Maître et il est plus que nécessaire d’être à sa hauteur.
Rose écoutait le sermon avec attention. Elle était consciente de sa faute.
— C’est pourquoi, nous avons une règle simple à laquelle on ne déroge jamais. Toute faute, la plus petite soit-elle, appelle à une correction disciplinaire.
Rose écarquilla les yeux.
— J’ai été corrigée par le Maître, car j’ai failli à mon rôle. Celui de t’inculquer une discipline stricte. Il est donc temps que je commence à le faire selon les règles de notre petite maison.
Lily tapota ses cuisses.
— Couche-toi sur mes cuisses.
Rose fut prise de panique. Elle avait instinctivement compris ce qui lui était demandé. Cette position, elle l’avait souvent tenue dans l’enfance. Mais ici ? Maintenant ? Elle avait le cœur qui s’emballait.
—Je… je…
—Tu fais partie de la demeure, oui. Alors, tu te soumets à ses règles, expliqua Lily.
Quelques secondes passèrent sans réaction de Rose.
—À moins que tu ne décides de nous quitter ? À la première difficulté.
—Je… non, dame Lily. J’ai besoin de cet emploi, Madame.
—Alors dépêche-toi. Sur mes cuisses.
Mais Rose restait immobile.
— Maintenant ! s’écria Lily. Ne me force pas à venir te chercher.
La tension augmenta d’un coup dans la pièce. Rose dévisagea Lily avec un regard apeuré. Mais elle finit par s’approcher.
Une fois à côté de Lily, elle hésita longuement. Elle avait déjà subi une première humiliation durant l’après-midi. Pourtant, elle était toujours debout. Entière. Elle était plus forte que toutes ses règles dégradantes.
Lily tapota ses cuisses de nouveau. Rose s'allongea sur ces dernières. Sa chemise de nuit remontait légèrement sur ses mollets. Une vague de honte la saisit aux tripes. Elle, une femme de vingt-deux ans, allongée comme une gamine pour recevoir une fessée… Le sang lui monta aux joues tandis que sa position la ramenait brutalement à l'enfance. À ce sentiment d'impuissance et d'humiliation qu'elle croyait avoir laissée derrière elle.
—Relève ta chemise de nuit.
Chaque phrase était donnée sur un ton si autoritaire, Rose savait qu’elle n’aurait jamais la force de les contester. Au fond, elle le savait bien. Elle avait toujours été une petite chose docile et soumise.
Les mains tremblantes, elle remonta sa chemise jusqu’à sa taille. Exposant ses cuisses, puis ses fesses. L'idée que Violet assistait à sa punition redoublait sa honte.
—Culotte sous les genoux.
Encore une fois, Rose se soumit.
Lily posa sa main sur le fessier de la servante.
C’est à ce moment-là que, pour la première fois elle le réalisa. Rose était dotée d’une silhouette gracieuse. Ses hanches étaient larges et ses fesses rebondies. Elle en fut frustrée. L’idée que son précieux Maître puisse ressentir de l'excitation pour Rose fit monter en elle une pointe de jalousie. Elle leva la main bien haut, elle avait l’occasion parfaite d’évacuer cette jalousie.
— Dans ce manoir, dit-elle fermement, chaque action a des conséquences.
Elle abattit sa main dans un claquement sec.
— Oui, dame Lily, gémit Rose.
Lily la fessa deux fois encore, sans retenue. Le son humiliant des fessées résonnait dans la chambre silencieuse.
Rose sentait la brûlure grandir sur sa peau.
— Compte, ordonna Lily.
Et elle la frappa encore.
— Un, geignit Rose.
La main s'abattit à nouveau.
—Deux…
Au cinquième coup, de petites larmes montèrent aux yeux de la servante. Chaque claquement était ponctué par sa voix tremblante.
Au dixième coup, elle dut étouffer un sanglot. Sa peau brûlait, mais plus encore, c'était son orgueil qui souffrait. Être ainsi réduite à l'état d'enfant punie, c’était une humiliation cuisante. Elle tourna le regard vers Violet, espérant que celle-ci ne regarde pas la scène. Malheureusement, elles tombèrent les yeux dans les yeux. Violet ne manquait pas une miette du spectacle.
—Les yeux baissés, Rose. Tu me baisses ton regard.
—Oui dame Lily, geignit Rose.
Elle baissa puis ferma les yeux alors que la main de Lily s'abattait pour la treizième fois.
—Treize, murmura-t-elle, sa voix à peine audible.
Les coups suivants furent plus mesurés, comme si Lily dosait précisément sa force pour infliger une douleur constante. À chaque impact, Rose prenait conscience que ce rituel pourrait se répéter chaque fois qu'elle commettrait une erreur, même minime. Cette réalisation s'insinuait en elle petit à petit. Au manoir, ses fautes ne seraient jamais pardonnées sans conséquence.
—Dix-huit, geignit-elle.
Sa fesse claqua encore.
—Dix-neuf.
Un autre coup retentit.
—Vingt.
Lily reposa sa main sur la peau brûlante de Rose, lui arrachant un frisson. Elle fit des vas et viens avec ses ongles. Elle se surprit à trouver les fesses de Rose érotiques. Pourquoi se sentait-elle enivrée par une femme ? Ce n’était pas une sensation qu’elle avait déjà eue avant. Elle tapota la fesse droite de Rose et, d’un mouvement inattendu, vint la saisir et la peloter.
Rose gémit un souffle chaud, se mettant à haleter. Ce fut le son de sa respiration qui sortit Lily de sa petite transe pleine de désir.
—Violet, dit-elle, dans le tiroir.
Rose entendit Violet quitter son lit. Qu’y avait-il dans le tiroir ? Elle mourrait d’envie de tourner son regard, mais dame Lily avait été claire dessus. Ses yeux resteraient donc rivés vers le sol. C’était tout ce qu’elle méritait.
Tout à coup, elle sentit un contact froid sur sa fesse. Presqu’apaisant en contraste avec la chaleur de son derrière. Qu’était-ce ? Elle aurait dit du bois.
Elle n’eut pas le temps de se poser la question. L’arme s’abattit et une nouvelle douleur sèche irradia tout son fessier.
— Compte ! ordonna Lily.
Et elle la frappa encore avec la cuillère en bois.
— Vingt-deux, dame Lily.
Alors, la fessée disciplinaire se poursuivit."
Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood" - Trouvable sur amazon.
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Bonjour !
Il ne se passe , le 1er Mai dans notre ruralité Toscane....rien !
Absolument rien !
Bien loin de l'agitation Romaine actuelle , nous avons peut être un tracteur par jour....et encore !....les vignes commencent seulement à grandir.....
Mes Dames , après leur tennis , piscine , avaient envie de " détente" après le déjeuner....je tente ma chance !
Elles m'ont bouclé , cage de chasteté , depuis Samedi : ça commence à tirer.
Leurs maillots de bain vite enlevés , elles se laissent attacher les mains dans le dos , toutes les deux , contre le montant métallique d'un lit à barreaux d'une des chambres.
Donner du plaisir à deux femmes en même temps avec les doigts ou la bouche....bah, ...j'y arrive pas !
Je les libère , et elles s'occupent ensemble....c'est mieux !
C'est tout !....je suis descendu écouter la 40eme de Mozart .
1er Mai , quoi 😭....
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Je te vois, je te ressens. Et ces bavures dont tu assures, sont si pures, des pour vu qu'elle en reste si dure.
Désirs eux, ont eux aussi que tu te redresses ! Sous mes yeux qui te langue hissent.
Nos demains se glissent, là serrant fort contre ta p'Ô !
Demain nous aurons pour de beau, nos maux !
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J’entamais ma deuxième soirée dans cette ville, allant voir une professionnelle je commence mon affaire, mais une envie de domination me saisie, je demande à cette femme si elle connaît une de ses amies qui peut m’aider à assouvir cette envie. (Mon anglais : « I am a Submissive man, do you know a mistress please ? »), elle me regarde interloqué et me dit de patienter. Je devine un escalier quand elle ouvre la porte et je reste bien où je suis, et vois une femme descendre.
Elle demande ce que je veux et lui répète « I am a submissive man, do you know a mistress ? »
Cette femme me saisie la nuque :« Come with me ! » son sourire qui signifie (Tu seras mon jouet, mon quatre heure, ou je ne sais-je), j’ai un sourire à ce moment espiègle (Je suis assez joueur).
Elle était habillé d’une lingerie fine d’un espèce de body string ouvert.
Je la suis, je me déshabille à son ordre et nous parlons un peu, elle me demande d’où je viens, je lui répond « D’Auxerre », elle est ravie de visiter la France. Elle me sert dans ses bras d’un câlin de gentillesse cela me met à l’aise, très à l’aise pour le reste.
Dans la salle il y a un lit, une armoire, un lavabo et un bidet.
Elle me demande « Soft, or hard ? » avec son sourire de louve. Je réponds en souriant « soft ».
Je suis nu et elle me force à me mettre à genoux. Je suis à côté du lit. Sa poigne n’est pas assez forte en temps normal pour me soumettre mais là je voulais être son jouet !
Elle plaque ma tète sur le lit et contorsionne le haut de mon corps avec une main ferme, j’ai la tète plaqué une tension au niveau du cou qui est supportable évidemment cela était calculé je le sens.
Elle comme le harcèlement d’interjections et de questions je réponds un simple « thanks you mistress », un « SHUT UP ! » résonne dans la pièce ! Je comprends très vite qu’elle me demande de parler pour m’ordonner de me taire. Il y a donc un jeu de questions réponses qui se joue, mes réponses sont soient brèves « Yes. », soit des remerciements interrompue d’un grand « Shut up ! ».
Je comprends que ce jeu est truqué en sa faveur. Elle m’embrasse la joue et laisse ma tète sur le lit, je n’ose trop lever ma tète mais là je vois qu’elle part pour récupérer ma ceinture. Sa caresse ma fine chevelure et me fait un signe pour savoir si je suis d’accord avec ce jeu, un léger signe de ma tète et un sourire lui fait comprendre que je la laisse maîtresse. Elle me strangule légèrement avec ma ceinture et relâche rapidement l’étreinte. Durant ce relâchement je sens qu’elle me touche au niveau de la tète, pris au dépourvue par le relâchement je ne sais si cela est une caresse ou un baiser. Elle recommence à plaquer ma tète et sa séance de questions réponses Tous en strangulant quelques fois.
Elle m’ordonne à la fin de monter sur le lit et commence une séance où elle fouette mes fesses, cela est fait avec un bâton et non un fouet donc ses coups sont modérés. Toujours pendant une séance de questions réponses. Je bandais comme un taureau depuis les premières minutes mais surtout durant les étranglements.
Elle arrête un peu précipitamment cette séance, pour commencer un massage prostatique. C’est ici qu’elle m’a demandé de bien me tenir. Je sentais que je basculais légèrement vers l’avant durant le massage elle s’arrête et me ramène, j’aurais rêvé qu’elle me ramène vers l’arrière en me prenant par le pénis, mais cela ne se fait pas. Je reste le plus stable possible mais je gémis. Je ne sais combien de temps cela va durer encore. Elle continue son amusement et me retourne d’un coup elle se lève et je protège mes parties par peur.
Elle me rassure rapidement et commence sa pénétration, elle rigole et je souris, là je la vois approcher son buste et je mords son amulette et lance un rire. Elle s’arrête rapidement son expression devient une expression d’espièglerie, d’envie, je vois que je l’ai ravie par ce mouvement instinctif. Elle continue de manière frénétique et jouissif.
Je n’ose durant cette séance me toucher, c’est elle qui domine. Ma docilité suffit à me contraidre. On termine la séance, je pense qu’elle est allé jusqu’au bout de son envie. Elle me sert dans ses bras et fait remuer ma verge bandante entre ses cuisses. Cela l’amuse. Je me nettoies au lavabo et au bidet et je repars, satisfait de cette séance.
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Il l’attendait dans le salon, debout, appuyé contre le dossier du canapé.
Lorsqu’elle entra, il ne bougea pas, se contentant de la dévorer du regard. Elle était exactement comme il l’avait imaginée : fébrile, tendue, sublime dans sa vulnérabilité assumée.
Il croisa les bras sur son torse, imposant.
« Viens ici, » ordonna-t-il, sa voix grave coupant le silence.
Elle s’avança, ses talons discrets claquant doucement sur le parquet. Lorsqu’elle fut devant lui, il leva une main et écarta une mèche de cheveux de son visage.
« Rappelle-moi tes mots de sécurité. »
Elle inspira un peu, rassemblant ses pensées.
« Jaune pour ralentir. Rouge pour arrêter. »
Un sourire naquit sur ses lèvres.
« Très bien, ma petite. Ce soir, tu es à moi. Et je vais t’emmener exactement où tu as osé me demander d’aller. »
Elle frissonna de désir.
Il prit son temps, la fit se dévêtir, chaque vêtement glissant au sol dans une lente chorégraphie. Lorsqu’elle fut entièrement nue, il la guida d'une main ferme sur le canapé, la positionnant à quatre pattes.
« Regarde-moi, » dit-il.
Elle tourna la tête vers lui, ses joues rouges de pudeur et d’excitation mêlées.
Il enfila un gant en latex, en prit un second et le tendit vers elle.
« Tu vas me l’enfiler, toi-même. Tu vas participer à ton offrande. »
Tremblante, elle prit le gant et glissa le caoutchouc sur sa main, ses doigts effleurant les siens. Ce simple contact était une promesse silencieuse.
Il ouvrit une bouteille de lubrifiant, le fit couler généreusement sur sa main gantée, puis sur son intimité, étalant la matière en gestes lents, méthodiques, presque cérémoniels.
« Respire profondément. Relâche-toi pour moi. »
Sa voix était douce, mais autoritaire. Chaque mot entrait en elle aussi sûrement que ses doigts.
Il commença avec une lenteur exquise, un doigt d'abord, puis deux, glissant en elle dans des mouvements de va-et-vient précis. À chaque ajout, il prenait le temps d'observer son visage, de lire dans ses yeux la moindre hésitation, le moindre doute.
Elle gémissait doucement, oscillant entre douleur et délectation, la tête appuyée contre le cuir froid du canapé.
« Tu es magnifique, » murmura-t-il contre son oreille.
« Tellement courageuse... Laisse-toi aller. »
Quand sa main entière se fraya doucement un chemin, elle poussa un cri étouffé. Il s’arrêta, son autre main sur ses hanches pour la soutenir.
« Regarde-moi. »
Elle leva la tête, ses yeux noyés de plaisir.
« Dis-moi ce que tu ressens. »
Elle balbutia, les mots entrecoupés de halètements :
« Je... je me sens... remplie... Je suis à toi... »
Son sourire s’élargit, fier d’elle, fier de sa capacité à lâcher prise.
Il commença alors de lents mouvements, subtils, comme une caresse intérieure. Son corps se tendait, s’ouvrait, se livrait à lui avec une docilité enivrante.
Leurs respirations se mêlaient, la pièce emplie de gémissements doux, d'ordres murmurés, de silences pleins de puissance.
Il guida ses sensations jusqu'à ce qu'elle tremble sous lui, atteignant un sommet d'abandon. Puis, quand il sentit qu'elle avait atteint ses limites, il se retira doucement, caressant sa peau tendrement.
Il la prit dans ses bras, la berçant contre lui.
« C'était parfait, » murmura-t-il.
« Tu as été parfaite. »
Elle se lova contre lui, épuisée, comblée, portée par la fierté de sa soumission offerte et reçue avec tant de respect.
Il resterait là, à veiller sur elle, jusqu'à ce qu’elle s’endorme, un sourire de contentement aux lèvres.
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Tu as fermé la porte à clé. Trois fois. Puis tu as laissé la lumière du couloir allumée. C’était votre signal. Pas besoin de message. Pas de mots doux. Juste ce détail. Il comprendra.
Tu t’allonges sur le lit, nue sous sa chemise. Ton cœur bat trop fort. Tu ne sais pas s’il viendra doucement ou comme un animal. Et c’est justement ce doute qui te brûle. Ce que tu veux, c’est ne plus avoir à choisir. Te faire déchirer. Crier. Supplier. Mentir de la voix et hurler du corps.
Quand la porte s’ouvre, tu retiens ton souffle.
Il entre. Pas un mot. Pas un regard tendre. Ses yeux glissent sur toi comme sur une chose. Tu détournes les tiens. Tu n’existes plus.
Il t’attrape par le poignet. Fort. Tu résistes, un peu. Il t’écrase contre le mur. Tu dis non. Encore. Mais il ne t’écoute pas. Et tu ne dis pas le vrai mot. Celui qui arrêterait tout.
Il arrache ta chemise. Te jette sur le lit. Écarte tes jambes. Et te pénètre d’un seul coup, sans prévenir. Sans te demander. Tu cries. Il te baise brutalement. Comme s’il fallait te punir d’avoir osé l’inviter.
Il tient ta gorge, tes hanches, ton corps. Il grogne. Il te traite comme une chienne. Et tu t’ouvres. Tu jouis, à moitié consciente, déjà noyée.
Puis il s’arrête. Il te serre dans ses bras. Murmure :
« Tu vas bien ? »
Tu halètes. Tu souris.
« Recommence. »
Il s’écarte. Te regarde avec quelque chose de sombre dans les yeux.
« Pas encore. Tu crois que je t’ai prise ? Je vais te casser. »
Sa main s’empare de ta gorge. Il te fait tomber à genoux.
« Ouvre la bouche. »
Tu obéis. Il s’enfonce en toi violemment. Ta gorge brûle. Tu étouffes. Tu pleures. Il te maintient, te baisant la bouche sans pitié. Tu tapes deux fois sur son bras, ton signal. Il recule, juste à temps.
Tu respires. Tu tousses. Tu n’as pas le temps de reprendre tes esprits : il te retourne, t’écrase contre le lit, te gifle les fesses à en laisser ses empreintes. Tu cries. Et il te pénètre à nouveau, brutalement. Plus fort. Plus profond.
« Dis-le. »
Tu gémis.
« Dis que t’es ma salope. »
Tu as honte de la force avec laquelle tu le dis.
« Je suis ta salope… »
Il continue jusqu’à ce que tu cries de plaisir. Et quand il jouit, c’est comme s’il te marquait pour de bon.
Tu dors un moment. Tu penses que c’est fini.
Mais il revient.
Tu te réveilles d’une gifle. Sèche. Pas violente, mais claire.
« Qui t’a permis de dormir ? Debout. »
Tu trembles. Il te tire par les cheveux hors du lit. Tu tombes à genoux. Tu n’es plus une femme. Juste un objet.
« Rampe. »
Tu rampes jusqu’à la salle de bain. Il ouvre l’eau glacée. Il te pousse dessous. Tu hurles de froid. Il te plaque contre le carrelage. Te prend à nouveau. Encore. Lentement. Cruellement. Chaque coup de reins est un rappel : tu n’es rien ici.
« Tu jouis quand je le dis. Avant, c’est interdit. »
Tu tiens. Tu luttes. Ton corps te trahit. Et enfin, sa voix murmure :
« Maintenant. »
Tu jouis violemment. Tu pleures. Tu gémis. Tu t’abandonnes totalement. Et il jouit avec toi. Encore. Fort.
Ensuite, il te porte. Te sèche. Te couche. Il t’enlace, cette fois avec douceur. Il te caresse. Il est redevenu humain.
« Tu veux que je reste ? Tu veux parler ? »
Ta voix est faible, brisée… heureuse.
« Ne pars pas. Et demain… recommence. »
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Totalement nouveau ici, sans connaissance des us et coutumes de ce site.
En parcourant nous voyons des très très pro sans doute en mode fantasmes et des gens plus sincères qui nous plaisent mieux.
Alors pourquoi pas tenter.
Sommes cple HF illégitime la cinquantaine habitant dans 2 endroits assez distants (déménagement) entre Bordeaux et Tours.
nous avons mis une quinzaine d’années à arriver à ces jeux, peur de l’avouer, regard de l’autre, et l’effet croisé de communication et d’entraide l’un avec l’autre a joué.
Et il faut nécessairement à nos sens être totalement en lien affectif et amoureux quasi mystique pour y parvenir, et cela ouvre les portes d’une relation extraordinaire totale d’une infinie qualité et pérennité.
Le fait qu’elle soit soumise et moi un peu dominateur par jeu a aidé à passer certains caps. L’uro a été très facile, style on urine tous les 2, j’approche mon sexe quand elle se soulage et elle vient me sucer après, et oups ! désolé je n’avais pas fini … et après je viens la nettoyer et on s’embrasse longuement pour mêler tous nos liquide ensemble.
Comme soumise elle a souhaité me boire, ce ne fût pas si facile, 1ou 2 gorgées après une journée à boire pour en diluer le goût. cela reste rare.
Par contre dès qu’on le peut, j’urine sur son clito pendant qu’elle se masturbe, ou souvent même dans son vagin. Elle adore ça. Il faut juste penser après à bien tout hygiéniser l’ensemble sous la douche et avec de l’eau de Dakin par exemple.
La scato, clairement nous portions cela en nous depuis tout le temps mais si difficile d’avancer en ce domaine interdit. Et c’est bien cet interdit qui nous a donné à penser que c’était bien interessant d’aller y chercher un peu.
On a commencé comme toutes et tous sans trop le vouloir par des sodomies plus ou moins sales et des anulingus plus ou moins profonds. Dernière pratique que nous avons démarré récemment qui nous transporte dans des hauteurs de bonheurs insoupçonnés, intime et interdit voilà ce qui nous plaît. En général je lui demande de me laisser lui lécher son petit trou, ce que fais très doucement très longuement, j’y met la langue que petit à petit et de plus en plus profond, elle s’ouvre, pour avoir petit à petit aussi un goût plus marqué et je reste toujours aussi surpris que ce goût me plaise, en fait c’est parce que c’est son goût qu’il me plaît et que j’aime la personne.
Ensuite elle me le fait à son tour juste après ou prend une pause histoire de descendre la tension et les sens arrivés à saturation,
Et là, au fur et à mesure de ce type de jeu, je fais exprès de moins en moins me nettoyer par là après les toilettes, je le sais, elle le sait. Aux dernières fois, elle faisait « ohh!, je vais le faire mais laisse moi le temps », le temps de lécher les pourtours de s’imprégner de l’odeur de l’idée surtout, et en effet elle fait sans faiblir, jusqu’à mettre sa langue le plus loin possible dans mon petit trou sale.
On a un tel sentiment d’amour infini dans ces moments là.
Et nous avons poursuivi, en se faisant l’un sur l’autre, en se massant, en se masturbant avec l’un devant l’autre.
Je sais qu’elle en a envie et moi aussi, que je fasse sur son sexe ouvert et que je la pénètre après. D’où l’eau de Dakin !
En bouche ou en manger, nous semble pas utile pour le moment. En goûter et lécher sur l’autre oui et surtout sur le clito ou la verge, nous comble totalement.
Et pour néanmoins avancer, notre recherche et un soumis ou une soumise (tendance) qui aimerais participer à ces jeux ou même à y être initié. Ce long développement pour bien comprendre notre style in fine assez soft et surtout amoureux, et une tierce personne serait pour nous une progression assez logique.
Pour poursuivre, nous avons aucune idée comment faire ici, merci de nous guider.
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Extrait de : "Le dressage des servantes Blackwood - Nouvelle une"
-Attention, ce texte raconte une scène de non-consentement.
"Quand elle revint dans la salle de réception, les deux hommes s’interrompirent. Elle disposa les biscuits sur la table et retourna silencieusement à sa place. Disponible, près de la fenêtre.
— Mes recherches sur l’hystérie féminine progressent admirablement, poursuivit le docteur. J’ai développé de nouveaux traitements et je suis sûr que nous aurons bientôt l’occasion d’en faire l’expérience ensemble.
Rose paniquait intérieurement. De quelles « expériences » parlaient-ils ?
— J’ai noté, poursuivit le docteur, que les femmes aux formes généreuses comme ta nouvelle servante répondent particulièrement bien à mes techniques.
Il tourna la tête vers elle.
Rose s’efforça de garder une expression neutre. Pourtant, à l’intérieur, son cœur battait à tout rompre.
Le docteur but une gorgée de brandy, tout en continuant à la dévisager.
— Rose, dit-il, combien pèses-tu ?
Rose ouvrit la bouche, prise au dépourvu par cette question directe et indécente.
— Je… je…
Elle baissa les yeux.
— Je ne sais pas, docteur. Je n’ai jamais eu l’occasion de me peser…
Le docteur se tourna vers Lord Blackwood, un air libidineux sur le visage.
— Edmund, me laisserais-tu faire une « préinspection » de ta jolie servante ? Tu peux bien m’offrir ce plaisir.
La servante écarquilla les yeux. Ne comprenant pas bien ce qui se passait.
— Rose, appela Lord Blackwood. Approche.
Le cœur de Rose se remit à palpiter. Elle était figée par la peur.
— Rose ! s’écria le Lord.
Sa voix dure la ramena à la réalité, mais la crainte la tenait toujours par la gorge. Qu’est-ce qui allait lui arriver ? pouvait-elle s’échapper ? devait-elle s’échapper ?
Elle vit la mine de son maître se contrarier. Elle s’approcha alors. À pas lourds et lents, jusqu’à se retrouver à côté des deux hommes.
Soudain, le lord lui claqua les fesses à travers son uniforme.
Rose devint écarlate. Son visage était rougi.
Lord Blackwood leva une main pour la désigner.
— Amuse-toi, dit-il à son compagnon.
Le visage du docteur reprit aussitôt cet air pervers qui mettait Rose si mal à l’aise. Il approcha lentement sa main de la jeune servante. Il commença par caresser ses cuisses à travers ses bas de soie, puis, très lentement, sensuellement, il remonta sa main jusqu’à ses hanches.
Lorsqu’il agrippa ses fesses, Rose ne put réfréner un gémissement. Elle ferma aussitôt les yeux, baissant la tête. Le docteur, sans aucune gêne, examina son fessier pendant de longues secondes. Le massant et le malaxant avec douceur.
Rose avait le souffle court. Immobilisée tant par la peur que par le sentiment de honte qui l’habitait. Elle aurait voulu disparaître. Devenir de plus en plus petite jusqu’à se volatiliser. Mais les caresses expertes du docteur lui déclenchaient des sensations intimes. Et c’était ça le plus douloureux. Si son cerveau essayait de faire le vide, son corps, lui, acceptait ce plaisir malsain. L’humiliation profonde semblait décupler ses sens et la rendre plus sensible. Chacun des mouvements du docteur faisait frissonner sa peau et déclenchait des vagues de chaleur entre ses cuisses.
L’invité quitta ses fesses et engouffra lentement sa main entre les jambes de la servante. Il tapota ses cuisses mais elle ne réagit pas.
— Écarte les cuisses ! ordonna Lord Blackwood.
Le son strict de sa voix n’appelait aucune contestation. Rose, se mordant les lèvres, s’exécuta la boule au ventre.
Le docteur fit remonter ses doigts avec douceur et, montant… montant… il atteignit enfin son sexe à travers la culotte fendue de leur uniforme. Il s’affaira à caresser ses parties intimes.
Refusant de gémir, de s’offrir en spectacle, Rose se mordit les lèvres jusqu’à s’en faire une déchirure. Le docteur retira enfin sa main.
— Rose, appela-t-il.
La jeune femme ouvrit les yeux. Avec effroi, elle vit le docteur se lécher lentement les doigts.
— Elle est humide, dit-il en regardant le Lord.
Ce dernier eut un sourire amusé.
Rose, elle, était horrifiée. Déchirée par la honte.
— Approche, Rose.
À ce stade-là, Rose avait perdu toute force de contestation. Elle s’exécuta donc, soumise.
Le lord glissa à son tour ses mains entre les cuisses de la servante. Il les sortit, les huma et, l’air amusé, joua avec ses doigts humidifiés.
— Tu es humide, Rose ?
Rose, rouge de honte, resta muette. Mais Lord Blackwood semblait perdre patience.
— Tu es humide, Rose ? gronda-t-il.
Rose baissa les yeux.
— Oui, Maître.
Le lord se leva brusquement. Il lui saisit le menton et releva sa tête. Rose avait peur, si peur. Ses pupilles tremblaient et elle peinait à regarder son maître.
— Oui, quoi ? demanda ce dernier, le ton menaçant.
Rose détourna le regard.
— Oui, Maître… je suis humide… Maître, geignit-elle.
Lord Blackwood sourit alors. Un sourire radieux et satisfait. De sa main droite, il lui caressa la joue avec affection. Il s’approcha lentement de son oreille et lui chuchota :
— Bonne fille.
Rose se sentit électrisée. Fouettée par une décharge d’une émotion étrange. Apeurante et reposante à la fois. Quelque chose qui semblait dire « c’est fini maintenant ».
Et juste au moment où elle pensa cela, le Lord s’assit et lui dit :
— Rose, va demander à Violet de préparer la calèche du docteur.
Elle s’inclina et quitta à toute vitesse la pièce. L’esprit troublé par ce qui venait de se produire. Par ces deux hommes sans pitié ni décence, qui avaient abusé d’elle et de sa position. Par cette profonde humiliation. Impitoyable et violente qui, pourtant, avait mis son corps entier à fleur de peau et avait éveillé des sensations jamais ressenties auparavant. Et puis, à ces derniers mots... À ce « bonne fille », que lui avait déjà susurré Violet plus tôt ce matin. Ces mots troublants qui semblaient avoir le pouvoir magique de la calmer. La faire redescendre. Peut-être même la rendre… fière ?
Alors c’était ça le manoir Blackwood ? C’était ce qui se produisait entre ces murs ? Les servantes étant abusées par des hommes puissants et, à chaque fois qu’elles se laissaient faire, qu’elles se soumettaient, leur récompense était un « bonne fille » ?
Les larmes aux yeux, elle trouva Violet dans la buanderie. Cette dernière pliait des draps fraîchement repassés.
Mais quand elle la vit, elle ne parla pas directement, encore secouée.
— Rose ? Tout va bien ?
— Le… le docteur s’apprête à partir, annonça-t-elle. Le Maître demande que sa calèche soit prête.
Violet hocha la tête et posa son ouvrage.
— Je m’en occupe. Comment s’est passée sa visite ?
Rose hésita. Devait-elle partager ce qu’elle venait de vivre ? Pouvait-elle même le partager ? Elle ne s’en sentait pas capable. De plus, elle craignait une réaction disproportionnée et sévère du Lord. Elle ne savait plus quoi faire. Elle ne savait plus où elle en était.
Alors qu’elle était tourmentée par ses pensées, Violet lui dit simplement :
–Tu t’habitueras.
Et elle traversa la porte dans l’autre sens.
Lorsque Rose revint dans la salle de réception, le docteur avait remis son manteau et ses gants. Les deux hommes se tenaient près de la porte, conversant à voix basse.
—...la réception de la semaine prochaine, disait Lord Blackwood. Plusieurs de nos amis seront présents. Le juge Thornfield, le colonel Hastings... Tu seras des nôtres ?
— Je ne manquerais cela pour rien au monde, répondit le docteur. J’ai hâte de voir ta nouvelle fleur à l’œuvre.
Rose comprit qu’elle était le sujet.
Le docteur passa près d’elle. Elle frissonna.
— Chère Rose, ce fut un plaisir. Nous aurons l’occasion de nous découvrir plus en détail.
Les deux hommes quittèrent la pièce et se dirigèrent vers l’entrée principale. Rose resta en arrière, rangeant les verres et l’assiette de biscuits sur le plateau. Alors qu’elle s’affairait, elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir, puis les voix des deux hommes s’éloigner jusqu’à disparaître."
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Le don de la patience est le don le plus doux,
Quand la gorge est tendue et la lèvre aux abois,
Que la chaleur s'étend de la chair à la soie,
Et que le métal froid emprisonne le cou.
Le don de la patience est le don le plus doux.
Le don de la douceur est le don le plus doux,
Sur la chair lacérée ou sur la peau bleuie,
Après les châtiments, les coups vicieux, les cris,
Quand la bête revient de ses voyages fous.
Le don de la douceur est le don le plus doux.
Le don de la parole est le don le plus doux,
Quand les pleurs ont cessé, quand la force muette,
Qui comprimait la voix et oppressait la tête,
Se change de nouveau en un langoureux "Nous".
Le don de la parole est le don le plus doux.
Tous les dons sont miracles et chacun est précieux,
Qu'ils soient formés à deux, ou reçus ou donnés,
A des yeux suppliants, radieux ou étonnés,
Qu'ils montent des enfers ou descendent des cieux,
Tous les dons sont miracles, et chacun est précieux.
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Second round : Exhibitionniste
Ça commence comme le premier round : exhibitionniste Moi ? Mort de rire, surtout pas !
Bon,en fait, Je n’ai jamais fait partie de celles ne pouvant pas se changer devant les copines dans les vestiaires des salles de sport. Devant les copines, c’est une chose …devant les mecs ? devant mon mec ? pas trop un problème, soyons honnête. Mais de là à s’afficher devant un groupe, virtuellement, réellement….
Bien sûr il se joue là un rapport entre Mon regard et Mon corps. Corps rarement (jamais) complimenté par qui que ce soit, corps malmené un peu par la vie (grossesse, césarienne, manque de sport), corps image de qui Je suis, de qui Je veux montrer. L’éducation, les mots des proches laissent des traces..
Première expérience de domination, première expérience exhib très rapidement. Je dois montrer Mon appartenance en affichant ma poitrine avec des mots de propriété. Bon, on ne va pas revenir sur l’intelligence de la chose…Je le fais. Je retiens juste les commentaires d’autres dom de pacotille sur le critère esthétique de Mon corps. Ah oui ? Mon corps peut susciter ces réactions ? Incroyable.
Et J’ai osé le faire…assez fière de Mon audace Je suis alors.
Cette personne ne Me fera jamais de compliments sur Mon physique. Il prend plaisir à Me demander de M’habiller court, de Me dévoiler davantage. Je sors dans des tenues que Je ne pensais jamais mettre….et surprise : J’y prend du plaisir. Je renoue avec Ma féminité.
Une soirée bdsm dans un petit club de la région. Une première pour Moi. Tenue courte, talons. On croise Mes voisins dans la rue…oups…ça va jaser ! Je M’en fous.
Petit club de région, plus habitué de soirées libertines que bdsm. Ambiance calme, très calme. Quelques personnes jouent doucement. Je sens la tension monter dans son regard. Un zip de robe glissé vers le bas et Me voilà en culotte. Je sens la fierté dans ses yeux. Je ne regarde pas autour de Moi. “Viens, on va leur montrer”.
Je ne lèverai pas les yeux vers les regards autour de nous. Je vois juste le sien. Quelle fierté Je ressens alors ! J’adore cette sensation.
Rideau plusieurs mois. Le souvenir reste là.
Renouer avec Mon corps ne M’est pas facile. D’autres regards, d’autres pratiques, d’autres essais.
Puis Notre rencontre. Ton regard. Rapidement Tes mots. Différents des autres. Sincères. Des photos. Sans rapport avec ce que J’ai rencontré jusque là.
Tu M’ouvres les yeux, Tu M’autorises à Me trouver belle. Avec patience Tu reconstruis cette image, cette femme que Je n’osais pas être. Le regard de l’Autre, de Son Autre est tellement important quand il est aussi lourd de sens.
A quel moment Tu as parlé de cette facette de Moi ? Je ne sais plus. Peut être après certaines de Mes publications sur le site. Non, en fait, sans doute depuis Notre première rencontre avec des bas glissants qui finiront par être enlevés derrière une cabane de Noël.
On avance, J’évolue. Des clichés sur une coursive un week end, sous une porte cochère…Quelle fierté de T’appartenir Mon Loup.
Parce que là aussi, quel intérêt l’exhibition sans l’appartenance ? Quel intérêt de se dévoiler si ce n’est pas pour lire la fierté dans Tes yeux ?
Se montrer pour se montrer ? Je ne sais pas, Je ne connais pas…
Se montrer pour susciter des réactions, les Tiennes surtout Mon Loup.
Dans ce chemin d’acceptation de Moi où Tu M’accompagnes, Nous évoquons la possibilité d’une séance photos. J’en ai envie depuis quelque temps. Un mélange d’idées entre voir si J’en suis capable et voir ce qu’il y aura sur les clichés, voir si Je vais aimer le moment et le rendu.
J’y vais seule. Tu tiens à Me laisser juste avec Moi-même dans ce moment- là.
Me déshabiller devant ce photographe ne Me pose aucun problème, Je Me sens bien, Je suis bien là dans ce moment à Moi. Les premiers clichés qu’il Me montre Me plaisent. Un instant suspendu. Pur plaisir.
Les clichés seront juste superbes. J’adore voir ce regard que Je peux avoir et que Je ne connais qu’à travers Tes mots, ce sourire.
J’aime voir la femme qui est là sur le papier. Et cette femme c’est Moi.
Je suis fière de ce que J’ai fait et de ce que Je suis. Là sur ces photos, c’est Moi, en entier, comme Je voudrais pouvoir être chaque jour.
Donc exhibition comme moyen de revendication : regardez Moi, là c’est Moi. Vous Me connaissez peut-être comme ci ou comme ça, mais Je suis là aussi.
Femme soumise, souriante, agréable mais aussi femme présente, revendiquant ses besoins, ses envies, la place que Je souhaite avoir.
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